Lundi 5 septembre 2016
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Lundi 5 septembre 2016
Lundi 5 septembre 2016 Mobile: 0770 88 90 80 Lotissement Sylvain Fouratier N°08 El Mouradia, Alger Mobile: 0770 88 90 80 / 0556 48 67 56 [email protected] www.fce.dz. SOMMAIRE Synthèse ................................................................................................................................................................. 3 A la une .................................................................................................................................................................. 4 Importation de véhicules : « Le quota de 2017 sera fixé après évaluations » déclare M. Bouchouareb (El Moudjahid) ................................................................................ 4 Mohamed Alioui, secrétaire général de l’Union nationale des paysans algériens (UNPA), à Algérie-Eco : «Le cheptel ovin a atteint cette année 4,5 millions de têtes de moutons» (Algérie Eco) ......................................................................................... 5 Les modifications prévues par la LF 2017 pour améliorer l'économie nationale n'affecteront pas le pouvoir d'achat ............................................................................. 6 Sellal : «S’il y en aura, elles seront minimes» (La nouvelle république) ................... 7 Vers un durcissement de la pression fiscale : Sale temps pour les ménages et les entreprises (El Watan)................................................................................................. 9 IMPORTATION DE LAIT : La facture d'importation en nette baisse (L’Expression) ................................................................................................................................... 10 Formation hôtelière à Oran : Accompagner la dynamique du tourisme (El Moudjahid) ................................................................................................................ 11 18 complexes avicoles modernes et la consommation en recul (L’Eco News) ........ 12 Banque/bourse/Assurance .................................................................................................................................. 13 Ooredoo et la BADR lancent un «nouveau service de e-paiement» (Le quotidien d’Oran) ...................................................................................................................... 13 Près de 33.000 commerçants et 440 unités de productions mobilisés les jours de l'Aïd ........................................................................................................................... 14 Coopération ......................................................................................................................................................... 15 Gestion des déchets ménagers : Un partenariat ambitieux (El Moudjahid) .............. 15 Veille ..................................................................................................................................................................... 16 Parlement : Neufs projets de loi sur la table (L’Eco News)...................................... 16 2 Synthèse La majorité des quotidiens ont repris dans leurs éditions d’aujourd’hui les déclarations du Premier Ministre et du ministre de l’Industrie et des Mines en marge de l’ouverture de la session parlementaire hier. A ce propos, Mr Abdelmalek SELLAL est revenu sur le projet de Loi de finances (LF) 2017 qui sera examiné cette semaine. Ce texte prévoit de nouvelles taxes dont le but, selon lui, à consolider l’économie nationale «sans affecter le pouvoir d'achat des citoyens». Pour sa part, le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Abdeslam Bouchouareb, a indiqué que « le groupe de travail regroupant les secteurs du Commerce, de l'Industrie et des Finances, va se réunir pour faire des évaluations et des» à propos des quotas d’importation des véhicules. Les journaux ont, par ailleurs, repris le communiqué du Presse du Ministère du Commerce qui annonce la mobilisation pour les jours de l'Aïd El-Adha, « près de 33.000 commerçants et 440 unités de production et une permanence dont la mise en œuvre sera supervisée par 2.059 agents de contrôle à travers tout le pays». 3 A la une Importation de véhicules : « Le quota de 2017 sera fixé après évaluations » déclare M. Bouchouareb (El Moudjahid) Le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Abdeslam Bouchouareb, a indiqué que « le groupe de travail regroupant les secteurs du Commerce, de l'Industrie et des Finances, va se réunir pour faire des évaluations et des propositions aux départements concernés, à savoir les ministères du Commerce et de l'Industrie ». Dans une déclaration à la presse en marge de l'ouverture de la session parlementaire ordinaire de l'APN, M. Bouchouareb qui répondait à une question pour savoir si le quota 2017 était en hausse ou en baisse par rapport à celui de 2016, s'est contenté de dire : « Je ne peux vous le dire car il faut d'abord faire l'évaluation de 2016 avant de définir le quota de 2017 ». Fixé initialement à 152.000 unités pour l'année 2016, le contingent quantitatif d'importation des véhicules a été finalement réduit à 83.000 unités. Le contingent des véhicules concerne ceux destinés au transport de dix personnes ou plus (chauffeur inclus), les véhicules de tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus pour le transport des personnes (y compris les voitures de type "break" et les voitures de course) et les véhicules dédiés au transport de marchandises. Les engins tels que les camions et tracteurs que certains professionnels importent pour le fonctionnement de leurs entreprises ne sont pas concernés par le dispositif des licences. Selon les prévisions du ministère du Commerce, la facture d'importation des véhicules ne dépassera pas un milliard USD en 2016, contre 3,14 milliards USD (265.523 véhicules) en 2015 et 5,7 milliards de dollars en 2014 (417.913 unités). Parallèlement à l'octroi des licences d'importation, attribuées en mai dernier à 40 concessionnaires sur 80 postulants, le gouvernement a exigé des concessionnaires d'engager des investissements dans le secteur des véhicules et les filières industrielles annexes. Le projet Peugeot suit son cours A une autre question sur l'état d'avancement du projet Peugeot en Algérie, 4 il a assuré que ce projet « est en train de suivre son cours » sans donner plus de détails. Le ministre avait déjà déclaré, à la mi-juillet, que le rôle du gouvernement algérien était de « rapprocher les avis des trois partenaires » concernés et que la phase "la plus compliquée" a été, dans ce sens, dépassée. De même que pour l'usine Renault, le projet Peugeot, dont l'accord n'a pas encore été signé, sera implanté dans la localité d'El Hamoul relevant de la daïra d'Oued Tlélat dans la wilaya d'Oran. En novembre 2015, M. Bouchouareb avait annoncé que Peugeot comptait s'installer en Algérie avec sa filiale Faurecia pour satisfaire ses besoins de sous-traitance. Il avait alors avancé que les deux parties, algérienne et française, s'étaient mises d'accord pour que la nouvelle usine fabrique quatre modèles dont un véhicule utilitaire de type pick-up dans une première phase. Mohamed Alioui, secrétaire général de l’Union nationale des paysans algériens (UNPA), à Algérie-Eco : «Le cheptel ovin a atteint cette année 4,5 millions de têtes de moutons» (Algérie Eco) Algérie-Eco : L’Aid El Adhra approche, et les prix du mouton dominent l’actualité. Certains parlent d’une baisse sensible des prix par rapport à l’année passée, d’autres font remarquer le contraire, c'est-à-dire une flambée des prix mais dans certaines régions comme Alger. Quel commentaire faites-vous dans ce sens ? MAlioui : Je peux confirmer que les prix des moutons cette année sont très abordables et varient entre 25.000 da à 55.000 da, chacun trouve ce qui lui va je pense, celui qui a les moyens il peut s’offrir un mouton de plus de 50.000. Nous savons bien que l’Aid cette année coïncide avec la rentrée scolaire, donc malgré cela, les familles algériennes, surtout pour les bourses moyennes, trouveront normalement leur bonheur. Ceux qui n'ont pas les moyens d'acheter un mouton pour respecter la Sunna, soit les petites bourses, méritent bien quand même que les éleveurs et marchands de moutons fassent un geste, un beau geste. Il faudrait donner un peu de joie aux enfants, surtout qu'il s'agit de la fête de l’Aïd El Kebir. Une fête où s'exprime la solidarité. 5 Quelles sont les raisons qui ont fait que cette année les prix soient aussi abordables que vous le précisez ? D’abord, au sein de l’UNPA nous remercions et félicitons les services de sécurité au niveau des frontières qui ont fait un travail draconien, pour stopper la contrebande. Les frontière ont été fermées et une surveillance remarquable a été appliquée ce qui a empêché les moutons algériens de traverser les frontières comme c’était le cas auparavant. Ensuite, l’opération de vente des moutons pour l’Aid, nous l’avons préparé depuis six mois. Donc les préparatifs ont donné leurs fruits, car auparavant les éleveurs affrontaient plusieurs obstacles comme le transport et le manque de fourrage pour le cheptel ovin. Cette année, les éleveurs n’ont pas connu ces problèmes, et sont entrés directement dans les marchés, au lieu de faire la vente, première main, deuxième main etc… Ce qui a empêché également la spéculation. Les deux dernières années, on se plaignait également de la baisse du nombre de têtes de moutons ne dépassant pas les 4 millions. Une baisse que certains observateurs ont attribuée au coût de l’aliment et du foin. Qu’en est-il pour cette année ? Cette année, le cheptel ovin est évalué à 4,5 millions de têtes de moutons. Ce qui pourrait satisfaire largement la demande. J’atteste également que le mouton mis sur le marché est en très bonne santé et qu’il n’est nullement atteint par quelconque épidémie. Il y a aussi la vente des moutons par facilité. Pouvez-vous nous en dire plus ? Nous avons constaté que pour les deux années précédentes, cette opération, c'est-à-dire la vente de mouton par facilité, a été une belle réussite. Nous avons décidé de reproduire cette année encore ce genre d’initiative pour les employés. La société Latraco spécialisée dans l’élevage de bétail met en vente depuis quelques jours des moutons pour l’Aïd el Adha par facilité de paiement, et a signé des conventions avec les Œuvres sociales de plusieurs entreprises pour permettre aux salariés d’acheter un mouton par facilité. Je précise que les hangars sont situés à l’ouest d’Alger précisément à Birtouta. Les modifications prévues par la LF 2017 pour améliorer l'économie nationale n'affecteront pas le pouvoir d'achat Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a indiqué dimanche à Alger que le projet de Loi de finances (LF) 2017 qui sera examiné cette semaine introduira quelques modifications pour améliorer la situation économique sans affecter le pouvoir d'achat des citoyens. Le projet de Loi de finances 2017 qui sera examiné cette semaine introduira quelques modifications pour améliorer la situation économique et renforcer le front social, a déclaré M. Sellal à la presse en marge de l'ouverture de la session parlementaire. 6 La LF 2017 est "la mise en oeuvre de la première année du nouveau modèle politique et économique" qui vise à "consolider l'économie nationale et l'investissement, notamment national, et à renforcer la production industrielle et agricole", a souligné le Premier ministre. La loi introduira quelques modifications pour améliorer la situation économique et renforcer le front social, a dit M. Sellal, précisant qu'aucune décision n'avait été prise pour la hausse des impôts. Il a toutefois assuré que s'il devait y avoir une hausse des impôts, celle-ci serait minime et n'affecterait pas le pouvoir d'achat des citoyens. Il a tenu à affirmer que "l'Etat continuera à construire des logements, des écoles et des hôpitaux". Le Premier ministre a, par ailleurs, indiqué que dans le cadre de la LF 2017, "les grands équilibres seront maintenus" en dépit du choc pétrolier et le PIB sera même amélioré. "En 2017, nous n'importerons plus de ciment. Nous tendrons plutôt vers son exportation", a-t-il indiqué. Après avoir affirmé que le secteur industriel avait beaucoup progressé par rapport aux précédentes années et rappelé que le secteur agricole avait progressé de 7%, le Premier ministre a précisé que "l'Etat prendra de nouvelles mesures pour développer l'industrie du savoir et renforcer les industries technologiques". Il a, à cet égard, appelé à "changer les mentalités pour relancer l'économie nationale". Concernant le dossier des retraites, le ministre a indiqué que les listes des métiers pénibles concernés par la retraite proportionnelle "seront établies en concertation avec toutes les parties concernées une fois que le texte aura été soumis aux membres du parlement. Sellal : «S’il y en aura, elles seront minimes» (La nouvelle république) Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal s’est exprimé, hier à Alger, en marge de l’ouverture de la session ordinaire du Conseil de la nation, par rapport à l’avant-projet de la loi de finances 2017 qui sera examiné cette semaine. Malgré la crise, le gouvernement semble tenir le coup, le Premier ministre dans ses sorties médiatiques, garde toujours son optimisme. En effet, hier à l’occasion de l’ouverture de la session du Parlement, il a tenu un discours optimiste par rapport aux nouvelles réformes qui seront inclues dans la loi de finances 2017. A ce sujet, Abdelmalek Sellal a déclaré que l’avant-projet de loi de finances qui sera examiné cette semaine, va compter de grandes réformes qui ne toucheront pas pour autant le chapitre social de la politique 7 du gouvernement. «Nous allons continuer à construire des écoles et des logements. Nous soutiendrons davantage le secteur de la santé», a indiqué le Premier ministre. Cependant, interrogé sur l’éventualité d’augmentations des salaires dans le projet de loi des finances 2017, Abdelmalek Sellal a déclaré «nous n’avons pas encore pris de décisions définitives». Néanmoins, s’exprimant à ce sujet, le Premier ministre a souligné qu’ «au cas où il y aura des augmentations, elles seront minimes», ajoutant que «le gouvernement est là pour défendre le citoyen». Loi de finances 2017 : les grandes lignes L’avant-projet de loi de finances pour 2017, qui devrait être soumis au gouvernement cette semaine, contient une série de mesures fiscales visant à renforcer le budget et/ou encourager certains secteurs d’activités, selon les détails du texte, cité par TSA. En premier lieu, le gouvernement compte instaurer une nouvelle hausse des taxes en 2017. C’est le cas de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) dont les taux seront relevés de 2 points de pourcentage : ils passeront de 17 à 19% pour le taux plein et de 7 à 9% pour le taux réduit. Ces nouvelles recettes devraient être affectées aux collectivités locales afin d’améliorer leur situation financière. Par ailleurs, la taxe intérieure sur la consommation sera étendue et relevée pour certains produits dits « de luxe ». Déjà augmentée en 2016, la TIC concerne notamment les véhicules de grosses cylindrées, les fruits exotiques, le saumon et le caviar. En plus d’une hausse des taux, d’autres produits devraient donc être soumis à cette TIC. Dans le même ordre d’idées, la TIC sur les tabacs sera également revue à la hausse. Elle concernera la partie fixe de la taxe, avec une augmentation de près de 100% pour les tabacs blancs et de 60% pour les tabacs bruns. Le gouvernement envisage de mettre en place une taxation des marges sur les opérations de vente et livraison de biens meubles d’occasion. Cela concernera notamment le marché des véhicules d’occasion. Le but est d’organiser ce segment, en réduisant le marché particulier, tout en assurant de nouvelles recettes pour l’État. Par ailleurs, la location des habitations individuelles sera soumise à un nouveau taux de 10% d’imposition sur le revenu global (IRG). Dans le même temps, les plus-values sur les cessions d’immeubles bâtis se verront imposées à hauteur de 5% (IRG) libératoire d’impôt. Ce prélèvement pourra néanmoins faire l’objet d’abattements (jusqu’à 100%) selon la durée de conservation du bien. Par ailleurs, le gouvernement mise sur une réduction de la consommation d’énergie, avec l’instauration d’une taxe spécifique intitulée «taxe d’efficacité énergétique». Son taux variera entre 30 et 60% selon la classification. Elle sera applicable aux produits importés ou fabriqués localement, fonctionnant à l’électricité, au gaz et aux produits pétroliers. Cette taxe bénéficiera à hauteur de 90% au budget de l’État. Les 10% restants seront reversés au profit du Fonds national de maîtrise de l’énergie et pour les énergies renouvelables et de la cogénération, a-t-on appris. 8 Vers un durcissement de la pression fiscale : Sale temps pour les ménages et les entreprises (El Watan) L’avant-projet de loi de finances 2017 contiendrait de nouvelles dispositions fiscales visant à renflouer le Trésor public, mais qui auront des effets douloureux sur les contribuables. L’heure des solutions de rupture semble avoir sonné pour le gouvernement Sellal, qui a tenu à faire sa rentrée politique hier, au sein du Parlement. Confiné depuis le début de l’année dernière à des mesurettes sans conséquence, le plan anticrise passe à une nouvelle étape, laissant entrevoir, à l’horizon du prochain exercice, une pression fiscale qui monte d’un cran. La décision la plus spectaculaire serait de porter le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) à 19% contre 17% actuellement et de 7% à 9% dans la version du taux réduit. La hausse de la TVA est sensible. A la fois les producteurs et les consommateurs sont à nouveau mis à rude épreuve, alors que les trésoreries tant des ménages que des entreprises faiblissent peu à peu. Outre la hausse de la TVA, le projet de loi de finances 2017 prévoit le relèvement de plusieurs autres impôts, dont la taxe intérieure de consommation à la faveur de laquelle plusieurs produits verront leurs prix croître de manière spectaculaire. C’était l’une de ses promesses à son arrivée au département des Finances : Hadji Baba Ammi assurait qu’il était temps que le niveau des dépenses s’adapte aux ressources financières du pays. Le ministre des Finances avertissait, en juillet déjà, que le projet de loi de finances du prochain exercice allait introduire de «nouvelles dispositions pour améliorer le niveau de recouvrement fiscal». Le journal électronique TSA, qui détenait une copie dudit avant-projet, écrivait hier que les transactions immobilières et autres qui s’opèrent dans les marchés de véhicules d’occasion n’échapperont désormais plus au fisc. A ce propos, plusieurs impositions ont été instituées, mettant désormais sous les feux de la rampe plusieurs niches fiscales auxquelles l’administration des impôts s’est peu ou prou intéressée. Selon la même source, il est également prévu que d’autres consommables fonctionnant au gaz et/ou à l’électricité, jugés énergivores, seront fortement taxés. Pour ne citer que ces niches, il est ainsi clair comme de l’eau de roche que le gouvernement réaffirmera aujourd’hui, à travers la loi de finances 2017, son objectif d’optimiser les ressources de la fiscalité ordinaire, quitte à mettre sa main dans la poche des «bons contribuables» parmi les ménages et les entreprises. 9 Il va sans dire que cette promesse d’une nouvelle pression fiscale remet le sujet de la justice devant l’impôt sur le devant de la scène, à l’heure où des fortunes continuent à prospérer en toute quiétude dans les circuits invisibles de l’économie. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui assistait hier à l’ouverture de la session parlementaire, tentait de dissiper les craintes d’une pression fiscale qui menace de grever davantage le pouvoir d’achat des ménages, malmené par l’inflation et la dépréciation de la monnaie nationale. Le Premier ministre a indiqué que le projet de loi de finances 2017, qui sera examiné cette semaine, introduira quelques modifications pour améliorer la situation économique sans affecter le pouvoir d’achat des Algériens. Précisant que la hausse des impôts était encore au stade de discussion, Abdelmalek Sellal a toutefois assuré que s’il devait y avoir une hausse des impôts, celle-ci serait minime et n’affecterait pas le pouvoir d’achat des citoyens. Il a tenu à affirmer que «l’Etat continuera à construire des logements, des écoles et des hôpitaux». Ainsi, le gouvernement se donne pour mission de tenter un rééquilibrage budgétaire tel qu’annoncé en juillet sans que son action sociale ne soit remise en cause. Un pari difficile. Surtout lorsque l’on sait que les transferts sociaux et les subventions captent l’essentiel de l’engagement social de l’Etat. Hier, les quelques bribes d’information sur le contenu de la prochaine loi budgétaire laissaient entrevoir une année plutôt difficile pour les contribuables. Un besoin de justice et d’équité devant l’impôt se fait sentir, tant il est vrai que, face aux mauvais contribuables, l’Etat y va encore avec le dos de la cuillère. IMPORTATION DE LAIT : La facture d'importation en nette baisse (L’Expression) La facture d'importation du lait a reculé à près de 477 millions de dollars (usd) durant les sept premiers mois de 2016, contre 707,5 millions usd à la même période de 2015, soit une baisse de 32,58%, a-t-on appris auprès des Douanes. Les quantités importées de ce produit (lait en poudre, crèmes de lait et matières grasses laitières utilisées comme intrants) ont également reculé pour s'établir à 201 134 tonnes contre 236 399 tonnes, soit une réduction de près de 15% entre les deux périodes de comparaison, indiquent les chiffres du Centre national de l'informatique et des statistiques des douanes (Cnis). Outre la baisse des quantités importées, la facture a reculé également en raison de la chute des prix à l'importation par l'Algérie de cette denrée alimentaire. Ainsi, durant les cinq premiers mois 2016, le prix moyen à l'importation par l'Algérie des poudres de lait s'est établi à 2425 usd/t contre 2962 usd/t durant la même période en 2015 (-18,1%). Pour rappel, la facture des importations du lait en poudre, crèmes de lait et matières grasses laitières, 10 avait reculé à 1,04 milliard de dollars (md usd) en 2015 contre 1,91 md usd en 2014, pour des quantités de 372.252,4 tonnes contre 395 898,2 tonnes. Afin de réduire les importations de ce produit subventionné et de promouvoir la filière lait, des mesures avaient été décidées par le gouvernement en faveur des éleveurs et des opérateurs de ce secteur en augmentant la subvention du lait cru et en encourageant l'investissement, avec l'objectif de baisser les importations de la poudre de lait de 50% à l'horizon 2019. Le gouvernement a ainsi décidé que le prix de référence du litre de lait cru de vache soit fixé à 50 DA (contre 46 DA auparavant), se répartissant entre 36 DA le prix de cession du lait cru aux laiteries et 14 DA de subvention de l'Etat, contre, respectivement, 34 DA et 12 DA auparavant. Formation hôtelière à Oran : Accompagner la dynamique du tourisme (El Moudjahid) D.R Avec la réception des projets en cours, la capitale de l’Ouest est appelée à être un futur pôle de formation dans le domaine du tourisme et de l’hôtellerie. Cette perspective s’inscrit en droite ligne avec la volonté du gouvernement de faire d’Oran une destination du tourisme par excellence, en lui donnant les moyens permettant sa redynamisation. Cela intervient alors qu’Oran s’apprête à accueillir, en octobre prochain, la conférence annuelle de l’Organisation mondiale du tourisme. En tête de ces projets, une école supérieure d’hôtellerie et de tourisme, lancée par la Société d’investissement hôtelier, dont la première pierre a été posée en juin dernier. Cette école est la deuxième appartenant à cette société publique, après celle d’Aïn Benian, et disposera de 160 places pédagogiques et autres structures. Cet établissement devra assurer une formation d’excellence pour les futurs managers et cadres dirigeants du secteur. Elle est située à proximité du Centre des conventions d’Oran. L’autre projet s’inscrivant dans cette perspective est un institut supérieur régional des métiers de l’hôtellerie et de tourisme, lancé à Cap Falcon et qui devra être réceptionné dans deux ans. La future institution est placée sous la tutelle du ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels et est dédiée à la formation des techniciens supérieurs et à la prise en charge de toutes les manifestations pédagogiques concernant la filière d’hôtellerie. Toujours dans le chapitre des actions visant à développer la qualification dans les métiers du tourisme et de l’hôtellerie, une convention de partenariat, première du genre en Algérie, a été signée entre le groupe privé Eden, le lycée de Gascogne et le réseau GRETA Nord-Aquitaine. Le 25 novembre 2013, le président de l’APC d’Oran avait émis le souhait de voir sa ville dotée d’une école de formation autour des métiers de l’hôtellerierestauration, en mettant en avant toutes les richesses naturelles de la région. C’est ainsi qu’outre les hôtels internationaux existant à Oran, un groupe hôtelier a retenu l’attention de la mission d’exploration qui s’est déroulée 11 en novembre 2014, puis en mars 2015, à savoir le groupe EDEN très présent sur Oran et dans toute la région de l’Ouest. Des rencontres avec les responsables de ce groupe ont permis de définir plusieurs axes de coopération possibles. Une palette d’activités diverses a pu être définie dans la convention-cadre signée lors de la dernière visite effectuée à Oran par l’ancien Premier ministre français et l’actuel maire de Bordeaux, M. Alain Juppé, en janvier dernier. Il faut savoir que plusieurs actions sont menées à l’échelle locale pour fournir de la main d’œuvre au secteur, en perspective, notamment, de la tenue des futurs Jeux méditerranéens. «Suite à une convention-cadre intersectorielle signée en 2014, de nombreuses actions ont été réalisées, entre autres, la formation de jeunes au niveau des hôtels classés de haut standing et qui ont fini par être recrutés dans les établissements où ils ont été formés», a fait savoir M. Touil Abdelkader, directeur de la formation de la wilaya d’Oran. Il convient de rappeler, par ailleurs, qu’Oran va accueillir, en octobre prochain, un meeting international sur les statistiques du tourisme international. Cet évènement devra regrouper des experts internationaux, des représentants d’organismes et d’institutions touristiques internationales et de grandes enseignes de l’industrie hôtelière. Les participants à ce meeting vont étudier et analyser les données et statistiques reflétant la dynamique touristique internationale et débattre des nouveaux systèmes développés en matière de recensement touristique. 18 complexes avicoles modernes et la consommation en recul (L’Eco News) Au moment où les viandes blanches replongent dans une spirale de flambée à travers plusieurs régions du pays, la filière avicole laisse transparaitre des signes de relance notables, particulièrement en matière d’infrastructures de production et d’amélioration des techniques d’élevage. Une analyse effectuée par le docteur Sana Benmaghsoula, experte auprès du programme onusien pour le développement industriel, Onudi, l’Algérie dispose de 18 complexes avicoles de taille moderne, dont une grande partie est issue des anciennes unités appartenant à l’ex-Oravie (office public des productions avicoles). Situés au Centre et à l’Est comme l’Avicola de Htatba, l’Avicoc de Dar el Beida à Alger, l’Avial de Ain Bessam à Bouira, ou les complexes avicoles de Bordj Bou Arreridj et de Sétif, ces complexes concentrent plus de 70 % de part de marché de l’œuf à couver ponte, 44 % du poussin ponte, 41 % des poulettes démarrées, 28 % du poussin chair, 16 % des œufs à couver chair, 9 % des œufs de consommation et 2 % du poulet de chair, selon le diagnostic de la filière présenté par l’experte. Cependant, « la consommation de viande blanche et d’œufs en Algérie a fait un bond singulier de 15% entre 2003 et 2007, une dynamique qui vient de se confirmer en 2016 », affirme-t-elle. Par type d’élevage, Mme benmaghsoula, souligne que l’élevage de la dinde gagne aussi du terrain et la production de la poule pondeuse suit la même 12 progression alors que le poulet de chair, en revanche, est le plus instable de ces secteurs avicoles, constate l’experte, en précisant que « l’ensemble de la profession a souffert de la crise de la grippe aviaire. La hausse du prix des aliments s’ajoute à la cherté générale des intrants importés, grevant les coûts de production. Mais les points faibles ne se situent pas seulement au niveau de la grande dépendance à l’importation des intrants ». Le marché informel, en effet, compromet les efforts de consolidation de la filière avicole. Selon l’auteur de l’analyse, « pour le poulet de chair, dont l’organisation est la plus fragile, 70 à 80% des activités sont informelles et non déclarées ! La structure de ces élevages est caractérisée par l’activité saisonnière ou occasionnelle. Ces éleveurs pratiquent l’élevage en petites bandes de 2 000 à 3 000 sujets en moyenne. » En conséquence, cette structure, fortement atomisée génère de multiples problèmes : « Performances médiocres, allongement du cycle d’élevage, gaspillage d’intrants et d’aliments, taux de mortalité excessif et prix de revient élevé », précise l’experte. Par ailleurs, l’analyse en question fait ressortir que le taux moyen de consommation de viandes blanches a connu un recul inédit durant ces dernières décennies, passant de 11,5kg/hab/an à 8 kg/hab/an seulement. Banque/bourse/Assurance Ooredoo et la BADR lancent un «nouveau service de e-paiement» (Le quotidien d’Oran) Un communiqué conjoint de l'opérateur mobile, Ooredoo, et la Banque de l'Agriculture pour le Développement rural (BADR), annonce «la mise en place prochaine d'un nouveau service de e-payement permettant aux clients de payer leurs factures téléphoniques en ligne, via leur carte CIB». Le communiqué indique que la cérémonie de signature de ce partenariat «s'est tenue le lundi 29 août 2016», en présence du président-directeur général de la BADR, M. Boualem Djebbar et du directeur général d’Ooredoo, M. Joseph Ged. Ce nouveau service, destiné aux abonnés Ooredoo et aux clients de la BADR, «s'inscrit dans le sillage du contrat-cadre de partenariat signé conjointement par Ooredoo et la BADR en juin 2015 portant la mise en place du Mobile Banking (m-Banking) et le paiement en ligne (e-paiement) des produits et services». Pour le directeur général de la BADR, Boualem Djebbar, cité dans le communiqué, cet accord vient «enrichir la gamme de services de la BADR et d'offrir à nos clients ce nouveau mode de paiement moderne, pratique et sécurisé. Notre partenariat avec Ooredoo nous permet de développer l'innovation et la connectivité de nos outils et faciliter ainsi la vie de nos clients au quotidien.» 13 De son côté, le directeur général de Ooredoo, Joseph Ged, qui quittera ses fonctions au cours de ce mois, a déclaré : «Ce nouveau service s'inscrit dans le cadre de notre stratégie visant à offrir à notre clientèle des modes de paiement modernes tel que le e-payement. Nous sommes fiers de notre partenariat avec la BADR qui confirme notre volonté et participation active à la modernisation des moyens de paiement et du développement de l'économie numérique nationale.» Le communiqué rappelle également que le partenariat Ooredoo/BADR «permet notamment, en plus du paiement et du rechargement téléphoniques, une panoplie de services directement accessibles via leur ligne tels que accéder aux soldes des comptes, effectuer des transactions bancaires ou acheter du crédit de communication» sur le site de l'opérateur. Commerce Près de 33.000 commerçants et 440 unités de productions mobilisés les jours de l'Aïd Le ministère du Commerce a mobilisé pour les jours de l'Aïd El-Adha, qui sera célébré le 12 septembre, près de 33.000 commerçants et 440 unités de production, une permanence dont la mise en œuvre sera supervisée par 2.059 agents de contrôle à travers tout le pays. Ainsi, sur 32.955 commerçants à l'échelle nationale réquisitionnés pour cette période, 4.885 activent dans la boulangerie, 20.289 dans l'alimentation générale, fruits et légumes et 7.343 dans des activités diverses, indique un communiqué du ministère. Par wilaya, 6.558 commerçants assureront la permanence de l'Aïd à Alger dont 721 boulangeries et 3.561 magasins d'alimentation générale, 5.791 à Sétif (804 boulangeries et 4.094 alimentations générales), 4.552 à Blida ( dont 705 boulangeries et 2.806 alimentations générales), 4.059 à Batna (654 et 2.337), 3.531 à Oran (612 et 2.486), 2.827 à Saïda (514 et 1.502), 2.354 à Annaba (399 et 1.474), 2.233 à Ouargla (321 et 1.361) et 1.050 à Bechar (155 et 668), précise la même source. Pour ce qui est des 440 unités de production concernées par la permanence, il s'agit de 128 laiteries, de 272 minoteries et de 40 unités de production d'eau minérale et de source. A l'effet d'assurer la mise en ouvre de ce programme, le ministère fera appel durant l'Aïd à 2.059 agents de contrôle. Le ministère a rappelé la disponibilité des commerçants à approvisionner la population durant les fêtes nationales et religieuses, en les appelant à 14 "demeurer mobilisés en vue de contribuer massivement à la réussite de cette opération". Des sanctions seront prises à l'encontre des commerçants n'ayant pas respecté leur obligation conformément à la législation en vigueur, avertit le ministère. Le programme des permanences des commerçants, qui vise à garantir un approvisionnement régulier des populations en biens et services de large consommation, est élaboré par les services du ministère du Commerce en application des dispositions de l'article 22 de la loi 04-08 du 14 août 2004 relative aux conditions d'exercice des activités commerciales, modifiées et complétées, rappelle la même source. Coopération Gestion des déchets ménagers : Un partenariat ambitieux (El Moudjahid) D.R La gestion des déchets ménagers constitue une des priorités de la politique environnementale du gouvernement algérien qui a consenti d’énormes moyens pour éradiquer le phénomène des déchets domestiques qui portent préjudice au cadre de vie, dans la mesure où des décharges anarchiques s’accumulent par des citoyens dont le seul souci est de s’en débarrasser, n’importe comment. Une chose est sûre, l’incivisme de certains compatriotes est souvent pointé du doigt. Face au phénomène, les pouvoirs publics ont décidé de prendre le problème à bras-le-corps. En effet, dans le cadre de l’amélioration de la gestion des déchets, l’Algérie s’associe au Royaume de Belgique à travers un projet de coopération ambitieux. En effet, une convention spécifique a été signée entre le ministère des Ressources en eau et de l’Environnement et la partie belge qui porte sur la concrétisation du projet «Appui à la gestion intégrée des déchets» (AGID), selon le ministère des Ressources en eau et de l’Environnement. Et d’ajouter que ce projet sera mis en œuvre dans trois wilayas de l’Ouest, à savoir Mascara, Mostaganem et Sidi Bel-Abbès. Il s’étalera sur une période de trois années, jusqu’au 30 juin 2019. Pour ce faire, un budget a été alloué à ce programme bilatéral. Il sera financé par les deux pays. L'apport de l'Algérie pour sa concrétisation, eu égard aux termes de la convention, est d’un milliard de DA, alors que celui de la partie belge est de 11 millions d’euros. Du côté algérien, c'est l'Agence nationale des déchets (AND) qui sera chargée de la mise en œuvre de ce 15 projet. Pour la Belgique, elle est du ressort de la Coopération technique belge (CTB). L'appui aux collectivités locales est l’une des priorités de l'AGID. Il couvre tous les aspects de la gestion des déchets telles l'organisation de la collecte, l'exploitation d'infrastructures, la maîtrise technique des équipements et les campagnes de sensibilisation. Une vaste gamme d'instruments sera ainsi mise à la disposition des collectivités de la zone d'intervention. Ce programme comprend, entres autres, la formation du personnel aux tâches managériales, techniques et relationnelles, le jumelage d'acteurs algériens avec leurs homologues belges, la mise au point de méthodes de gestion et de suivi ainsi que l'acquisition d'outils de gestion, l'élaboration des schémas directeurs et la planification intégrée des déchets, l'assistance par des spécialistes (notamment pour les centres d'enfouissement technique.) Dans un cadre plus large, la coopération entre le département d’Abdelkader Ouali et le Royaume de Belgique dans le cadre d’AGID a également pour objet de développer des filières pour valoriser les déchets et, ainsi, promouvoir l'économie circulaire. Cela concerne, en premier lieu, la valorisation des déchets domestiques et assimilés. Des collectes sélectives seront organisées et des centres de tri construits. Sur la base de quoi, des segments de valorisation développés selon les besoins et les opportunités propres à chaque wilaya. Des actions sont également prévues pour les déchets inertes et les déchets spéciaux ménagers. Le projet se trouve dans sa première phase, à savoir installation de l’équipe AGID (AND, CTB) dans la zone du projet et recueil des besoins réels des autorités locales au niveau de la zone du projet. Veille Parlement : Neufs projets de loi sur la table (L’Eco News) Le parlement vient d’ouvrir sa session ordinaire, qui dure pour la première fois toute l’année, conformément aux nouveaux dispositifs de la constitution. Il aura du pain sur la table, puisque pas moins de neufs projets de loi sont déjà prêts à être débattus. La reprise pour les parlementaires aura le même rythme que celui a précédé le départ en congé. Après avoir débattus et approuvé six projets de lois avant de partir en vacances, les deux élus des deux chambres s’apparentent à étudier débatte et approuver pas moins de neuf projet de 16 loi a indiqué le président de l’Assemblée Nationale Populaire (APN), Larbi Ould Khelifaaujourd’hui, lors de son allocution d’ouverture de la session de la chambre haute. Cette intense activité est due aux nouvelles « règles issues des réformes constitutionnelles qui impliquent des adaptations juridiques», a indiqué encore Ould Khelifa. Entre autres, le président de l’ APN a cité le projet de loi modifiant et complétant la loi 05-06 de 2005, relative à la lutte contre la contrebande, le projet de loi fixant les modalités de la désignation des membres de conseil de la national des droits de l’hommes, ajoutant un autre projet qui fixe les hautes responsabilités de l’Etat ainsi que les fonctions politiques dont l’accès requiert la nationalité algérienne. Les parlementaires seront aussi appelé à débattre les projets de loi relatives à la retraite, au développement des petites et moyennes entreprises, aux regels générales des préventions des risques d’incendies et de panique, ainsi que celui relatif à l’Etat civil et le projet relatif à l’organisation de la sécurité et de la police de la circulation routière. Par ailleurs, le projet le plus important demeure celui relatif à la loi de fiance 2017, auxquels les députés s’attendent à des mesures catastrophiques qui peuvent porter atteinte aux pouvoir d’achat des citoyens. Youcef Khababa, député de parti d’EL Adala, a estimé à cette occasion que « le gouvernement comptera sur la poche du citoyens afin de remédier une partie des pertes liées à la baisse de ses revenus». Dans ce sens, il a indiqué qu’il « s’attend à des augmentations des prix de plusieurs produits énergétique». Pour RamdaneTaazibt de Parti des Travailleurs, « l’Etat ne doit pas alourdir les dépenses des citoyens » car il estime que l’argent existe encore suffisamment pour faire face à la crise actuelle, « ils n’ont qu’à recouvrir la fiscalité qui est hors champs économique et qui est de prêt de neuf milles milliers de dinars » a-t-il lancé. Par ailleurs, la session d’ouverture de l’APN, a vu le boycott des députés de FFS, n’ont pas pris part à cet évènement. En attendant, la programmation de tous ces projets de loi, l’œil de la majorité des députés se dirige vers les élections législatives qui sont programmé a parti de premier trimestre 2017. 17