Génération désenchantée

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GENERATION DESENCHANTEE (1)
Force est de constater que tous nos systèmes philosophiques, idéologiques et politiques ont échoué.
Combien notre génération est marquée par le mal sous toutes ses formes, marquée par le choix
volontaire de se passer de Dieu. Nous vivons une génération désenchantée…
Voici comment la Bible identifie les causes de ce désenchantement.
(Genèse 3:1-6) « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Eternel Dieu avait faits.
Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme
répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au
milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne
mouriez. Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en
mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal. La femme vit
que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit
de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. »
(1 Jean 2:15-17) « N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le
monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la
convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et
sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. »
Êtes-vous des amateurs de musique ?
Moi j’aime beaucoup le Rythm’n blues, mais j’apprécie aussi quelque fois le RAP. J’ai remarqué qu’en France,
depuis le début des années 80, certaines chansons décrivent ou annoncent les grands mouvements sociaux. Par
leur sensibilité, les artistes semblent percevoir souvent avant les autres et expriment parfois mieux dans leur
chansons ce que vivent les gens. Et si nous faisions un petit voyage dans le temps !?
« Chacun fait ce qui lui plait ! » ou « il est libre Max » chantait Hervé Christiani en 1982. « 82 », c’est aussi
l’époque d’une redéfinition des rapports entre les sexes et Julien Clerc chante « Femmes je vous aime ! » et
veut célébrer les valeurs féminines. Ensuite, c’est au tour de Cookie Dingler avec « Femmes libérées » et en
1984, c’est la cerise sur le gâteau : Jean-Paul Gaultier fait défiler des hommes en jupes… Bref ! Les Français
sont de plus en plus mal dans leur peau. « Foule sentimentale » chante Souchon, qui n’apprécie pas beaucoup
la froideur de notre société. Comme Jean-Louis Aubert, beaucoup rêvent « d’un autre monde » (1984). Un
autre monde qui nous ferait rêver… par exemple, une « Belle île en mer » à la Laurent Voulzy (1986). Certes,
comme Yves Simon, chaque Français est conscient de la chance qu’il a d’être « né en France » (1988) plutôt
que d’être « né quelque part » comme le chante Maxime le Forestier (1987). Mais tout le monde sait que ce
n’est pas facile de grandir à « Auteuil, Neuilly, Passy » (1991) et Les Inconnus nous le rappellent avec
l’humour qu’on leur connaît. Les quartiers dits sensibles, c’est pas la joie, surtout lorsqu’on s’appelle « Saïd ou
Mohamed » (1991), ou « Didi » (1992), ou bien « Aïcha » (1996). Certains ont envie de se « casser la voix »
comme Patrick Bruel (1989) et dire stop… Finalement, Tonton David a peut-être raison : « Chacun sa route,
chacun son chemin » (1994) n’est-ce pas ? Pour beaucoup, ce serait presque un chemin de Croix et beaucoup
auraient envie de se réfugier dans « la cabane du pêcheur » (1994) avec Francis Cabrel alors que d’autres, plus
révoltés comme NTM, se demandent: « Qu’est-ce qu’on attend pour foutre le feu ? » (1996). Il y a quelques
années, on était plus « soft », on chantait : « Qu’est-ce qu’on attend pour faire la fête… qu’est-ce qu’on attend
pour être heureux ? » C’est à se le demander n’est-ce pas ?
Les hommes ont tout essayé pour trouver LA SOLUTION au bonheur et rien ne marche !
Raymond Queneau : " L'histoire est la science du malheur des hommes. "
Edwards Gibbon (G.B. 18e) : " L'histoire n'est guère plus, en vérité que le registre des crimes, des folies et des
malheurs de l'humanité. "
« Une génération s'en va, une génération vient… » dit l’Ecclésiaste 1:4
Kofi Annan (secrétaire général des Nations Unies) dans le Nouvel Observateur du 3 décembre 1998 dit
qu’aujourd'hui nous vivons dans un monde où un homme a plus de chances d'être jugé s'il tue une seule
personne que s'il en tue 100 000 !
« Mais comment en est-on arrivé là ? »
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
Les questions que notre génération devrait se poser sont :
Où se trouve la réalité dans un monde fait uniquement d’apparences ?
Quel est l’avenir de la planète « Terre » ?
Pourquoi est-ce plus facile de faire le mal que le bien ?
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Dans sa 1ère lettre, l’apôtre Jean nous donne UNE réponse : « Le monde entier est au pouvoir du Malin. » (1
Jean 5:19)
Pendant les trois émissions qui vont suivre, je vais développer avec vous les 3 points suivants :
1. La convoitise de la chair.
2. La convoitise des yeux.
3. L’orgueil de la vie.
1. La convoitise de la chair.
Dieu a donné à l’homme certains désirs, certains besoins qui sont bons en soi. La faim, la soif, la sexualité… Il
n’y a rien de mal dans ces besoins lorsqu’ils sont vécus dans la perspective de Dieu. Le problème, c’est que
l’homme vit ces choses tout en étant déconnecté de son Créateur. En ignorant Dieu, l’homme se dégrade et
tous ses besoins légitimes se pervertissent. En fait, tout ce que fait l’homme sans Dieu perd son authenticité,
son but initial. Le plus grand besoin pour l’homme est donc de retrouver une relation avec son Créateur pour
réorienter ses désirs et redonner à ses besoins leur vraie dimension.
(cf. Film « La haine ») L’humanité ressemble à cet homme qui, se jetant du 50ème étage, se dit dans sa chute,
à chaque étage… « Jusqu’ici, tout va bien… jusqu’ici tout va bien… »
Par rapport à la convoitise de la chair, je souhaiterais évoquer avec vous deux terribles fléaux qui dégradent
les hommes et les femmes de notre génération : Le sexe (sans âme) et la drogue.
Faisons un peu d’histoire :
1964 / 1965. Ce que les sociologues ont appelés communément « la révolution des meurs ».
• Natalité qui commence déjà à chuter.
• Chômage en augmentation.
• Pratiques religieuses qui régressent.
• Délinquance en très forte croissance à partir de 1964 où le nombre de crimes et délits passent de 600 000 à
1 700 000 en 1972.
• Le nu fait son apparition dans les magazines, dans les films et sur les plages…
Notre génération a été séduite par le sexe.
La vidéo porno fait 40 % du marché de la vidéo en France. Son chiffre d’affaires : 4 MdF. Celui de la
prostitution est de 22 milliards. On parle même de tourisme sexuel où ce sont des enfants qui sont utilisés pour
les pires infamies. La pornographie sur Internet représente 6 milliards de dollars dans le monde et 40 000
sites web lui sont consacrés. Combien de nos contemporains tombent dans les sables mouvants d’une sexualité
animale, sans âme, sans état d’âme, sans frein… « Voici comment agit la femme adultère (dit la Bible): elle
satisfait ses appétits, s’essuie la bouche et dit : « Je n’ai rien fait de mal. » (Proverbes 30:20)
Voici la citation d’un des athées les plus célèbres : Aldous Huxley… « J’avais de bonnes raisons dit-il pour
ne pas vouloir que le monde ait un sens (sous entendu : que Dieu existe). J’ai donc tenu cela pour établi, et j’ai
pu trouver sans difficultés des raisons satisfaisantes à l’appui de mon hypothèse… Pour moi, la philosophie de
l’absurde était essentiellement un instrument de libération sexuelle et politique. » (Ends and Means p. 270)
« L’île de la tentation, c’était son choix ! »
La plupart des émissions télé et radiophoniques tournent autour de la sexualité. Les limites seraient-elles
devenues aussi larges que l’écran le propose ? Un écran qui d’ailleurs n’a jamais cessé de repousser les
limites !… La Bible nous dit sous la plume de Pierre : « …Semblables à des animaux dépourvus de raison…
Ils trouvent leur plaisir à se livrer à la volupté en plein jour… ils ont les yeux pleins d'adultère et (sont)
insatiables de péché. » (2 Pierre 2:12-14)
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
Beaucoup pensent que Dieu « interdit » ou « donne un cadre » pour nous priver, pour gâcher notre vie !
Combien de vies brisées et de familles divisées, mutilées par ce mensonge diabolique !
CHERS AUDITEURS… PENSEZ-VOUS QUE DIEU SOIT UN TROUBLE FÊTE ?
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A la question : « Comment te représentes-tu Dieu ? » un écolier répondit qu’il l’imaginait « comme une
personne qui, fourrant son nez partout, repère ceux qui prennent du bon temps et s’efforce de les en
empêcher. »
C’est un peu comme vous interdisiez à votre enfant de 5 ans de traverser la rue tout seul et que j’aille lui
chuchoter au creux de l’oreille : « Tes parents sont méchants !… Ils veulent te priver de ta liberté !… Le
seul objectif du cadre qu’ils veulent te donner est de t’empêcher de vivre heureux ! »
(2 Timothée 3:1-4) « Sache que, dans les derniers jours, surgiront des temps difficiles. Car les hommes
seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats,
sacrilèges, insensibles, implacables, calomniateurs, sans frein, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres,
impulsifs, enflés d’orgueil, aimant leur plaisir plus que Dieu… »
Notre génération séduite par la drogue.
Connaissez-vous la drogue appelée « ecstasy » ou (MDMA) ?
C’est-à-dire Méthylène-dioxy-méth-amphétamine.
Le dieu de ce monde chers auditeurs, c’est le « dieu PROZAC ». Avec lui, on se libère, on se désinhibe, on se
laisse aller pour oublier tous ses soucis. Malheureusement la suite est tragique : On dégringole, on se
désolidarise de son entourage et de la réalité du monde qui nous entoure.
Pour employer une expression contemporaine : On se marginalise !
Puis on arrive vite, très vite, à un point de non retour !
Les causes de ce drame peuvent être multiples et on pourrait presque les comprendre ! Chômage - avenir
sans espoir - Rentabilité au travail, dans la vie quotidienne - Surmenage - Stress - Culpabilité… Même les
loisirs deviennent une source de stress, surtout lorsqu’il faut travailler 11 mois pour un seul mois de vacances…
Notre génération vit dans un état d’anxiété permanent.
Est-ce étonnant si c’est notre occident matérialiste qui affiche la plus haute consommation d’antidépresseur ?…
La France en tête de liste ! 48% des Français consomment régulièrement des psychotropes.
L’Evangile de Marc (6:34) nous rapporte que « Jésus vit une grande foule, et fut ému de compassion pour
eux, parce qu’ils étaient comme des brebis qui n’ont point de berger… »
Jésus a affirmé : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. » (Jean 10:11)
Cher auditeur : Faites-vous partie de cette foule sans berger ?
Faites-vous partie de ceux qui ne parviennent plus à contrôler leurs désirs, leurs passions ?
Fait-vous partie de cette génération désenchantée ? Sans vraiment d’espoir pour l’avenir ?
Savez-vous que Jésus est le berger dont vous avez vraiment besoin ?
Savez-vous qu’il est venu sur la terre pour vous ?
Aujourd’hui, j’aimerais vous encourager à vous approcher de Jésus.
Parlez-lui ! Il est vivant et vous entend, où que vous soyez, qui que vous soyez…
Demandez-lui la force qui vous manque.
Demandez-lui de manifester sa présence dans votre vie.
Demandez-lui de vous libérer de vos passions qui vous tirent vers le bas.
« Jésus leur dit encore : En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. […] Je suis la porte. Si
quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages. » (Jean 10:7, 9)
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
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GENERATION DESENCHANTEE (2)
Chers auditeurs, bonjour…
Voici notre second volet du thème que j’ai intitulé « Génération désenchantée ! »
Les deux textes bibliques que je vais vous re-lire servent de base à notre développement.
(Genèse 3:1-6) « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Eternel Dieu avait faits.
Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme
répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au
milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne
mouriez. Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en
mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal. La femme vit
que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit
de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. »
(1 Jean 2:15-17) « N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le
monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la
convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et
sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. »
Les questions que notre génération devrait se poser sont :
Où se trouve la réalité dans un monde fait uniquement d’apparences ?
Quel est l’avenir de la planète « Terre » ?
Pourquoi est-ce plus facile de faire le mal que le bien ?
Je vous rappelle aussi que dans sa 1ère lettre, l’apôtre Jean nous donne UNE réponse : « Le monde entier est au
pouvoir du Malin. » (1 Jean 5:19)
Le premier point était « la convoitise de la chair », et nous avons évoqué deux fléaux de notre société : le sexe
(sans âme) et la drogue. Si vous le voulez bien, nous allons développer aujourd’hui le point suivant :
2. La convoitise des yeux.
Être « au top », les endroits « branchés », porter « de la marque »… Les belles choses ! Tout cela n’est pas
mauvais en soi car ce sont peut-être des dons accordés par Dieu. Le danger est de leur attribuer beaucoup trop
d’importance et c’est exactement ce que la plus part de nos contemporains sont entrain de faire. L’ENVIE, LE
DESIR D’AVOIR TOUJOURS PLUS… TOUJOURS QUELQUE CHOSE DE DIFFERENT…
(Proverbes 27:24) « La richesse ne dure pas toujours, pas plus qu’une couronne de génération en
génération. »
Voici les paroles d’une chanson de
Jean-Jacques Goldman.
Qui s’appelle « Les choses »
(Paroles et musique Jean-Jacques Goldman – Columbia JRG 2001)
Si j’avais ci si j’avais ça
Je serais ceci je serais cela
Sans chose je n’existe pas
Les regards glissent sur moi
J’envie ce que les autres ont
Je crève de ce que je n’ai pas
Le bonheur est possession
Les supermarchés mes temples à moi
Dans mes uniformes, rien que des marques identifiées
Les choses me donnent une identité
Je prie les choses et les choses m’ont pris
Elles me posent, elles me donnent un prix
Je prie les choses, elles comblent ma vie
C’est plus « je penses » mais « j’ai » donc je suis
Des choses à mettre, à vendre, à soumettre
Une femme objet qui présente bien
Sans trône ou sceptre je me déteste
Roi nu je ne vaux rien
J’ai le parfum de Jordan
Je suis un peu lui dans ses chaussures
J’achète pour être, je suis
Quelqu’un dans cette voiture
Une vie de flash en flash
Clip et club et clop et fast food
Fastoche speed ou calmant, mais fast
Tout le temps zap le vide et l’angoisse
Plus de bien que de mal, mais est-ce que ça passe à
Textesla
detélé
Daniel
? Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
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Une des plus grandes séductions de notre génération (époque): La passion consommatrice.
Combien culpabilisent ou se sentent mal dans leur peau parce qu’ils ne peuvent pas s’offrir ce qu’ils
voient ? Combien souffrent de ne pas atteindre le standard vu et défini par les publicités dont le message
est : « Si vous ne possédez pas ceci ou cela, vous ne valez rien » …
Combien de nos contemporains vont s’endetter pour arriver à ce standard ? (Aggée 1:6) « Vous avez beaucoup
semé et vous rapportez peu, vous mangez sans être rassasiés, vous buvez, mais vous avez toujours soif, vous
êtes vêtus sans avoir chaud ; Le salarié reçoit son salaire dans un sac percé. »
« Génération désenchantée = Génération ENCHAÎNEE ! »
Trouver le bonheur dans « le matérialisme » c’est s’apercevoir tôt ou tard que dans le cœur demeure un vide,
une insatisfaction, un manque, un trou béant, pour ne pas dire « une plaie » ! Et cette plaie ne peut-être guérie
que par Dieu. « L’homme regarde ce qui frappe les yeux alors que Dieu regarde au cœur. » (1 Samuel 16.7)
MES AMIS, SAVEZ-VOUS QUE DIEU NOUS AIME, NON PAS À CAUSE DE CE QUE NOUS
AVONS, MAIS POUR CE QUE NOUS SOMMES !
Isabelle, tout juste 18 ans, est une grosse dépensière. Elle réclame sans relâche à ses parents plusieurs centaines
d’euros par semaine pour satisfaire ses besoins impérieux d’achats de vêtements.
Marianne, ancienne dépensière compulsive, incapable de gérer ses comptes, est aujourd’hui sous tutelle. Elle
se contente d’une poignée d’euros par mois pour vivre avec ses trois enfants.
Pour Jacques, il n’y a pas de petites économies. Elle récupère l’eau de pluie, collectionne les bons de
réductions et s’habille à bas prix. Elle inculque à son fils son sens des économies et de l’anti-gaspillage.
Michelle fréquentait les casinos avec sa sœur qui, criblée de dettes, a fini par se suicider. Terriblement affectée
par cette disparition, elle n’arrive pourtant pas à arrêter de jouer...
Patrick, qui doit une somme d’argent excessivement importante à quelque 25 créanciers, dit n’avoir plus
aucune notion de la valeur de l’argent.
Raymond, ancien cambrioleur et braqueur, ressentait une vive émotion à la vue des liasses de billets dans les
coffres qu’il éventrait. Depuis, il affirme que 6 ans de prison et 20 ans de vente sur les marchés lui ont donné la
notion de la valeur de l’argent.
Sylvie a accepté de se marier avec homme de 80 ans qui lui demandait de l’épouser pour son argent. D’abord
motivée par l’argent, cette relation est ensuite devenue de plus en plus tendre.
Frédéric a été empoisonné puis séquestré par sa femme qui voulait tenter de s’emparer de son patrimoine.
Quelle folie génère l’argent !?
Combien s’épuisent pour en avoir toujours plus et encore plus …
Combien adoptent un style vie à cause de l’argent ?
Et la dimension spirituelle dans tout ça ?
On est attiré, certes par ce qui se voit, ce qui se touche, ce qui est « matériel », mais nous oublions que nous
avons besoin d’une autre dimension dans notre vie : La dimension spirituelle, la dimension de Dieu !
Jésus nous dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. »
(Matthieu 11:28)
Le Proverbe 8 (34-36) dit : « Ils sont heureux, ceux qui m’écoutent, qui veillent chaque jour à ma porte, qui
surveillent l’entrée de ma maison ! Oui, celui qui me trouve a trouvé la vie, et le Seigneur l’approuve. Mais
celui qui ne me trouve pas se blesse lui-même, tous ceux qui me détestent aiment la mort.»
Avez-vous déjà réfléchi à l’invitation de Jésus : « VENEZ A MOI » ?
ET SI LE VRAI BONHEUR SE TROUVAIT LA ?
ALLER A JESUS … Y AVEZ-VOUS PENSEZ UN INSTANT ?
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
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La Bible dit que nous devons nous amasser un trésor dans le ciel, où il ne rouillera pas et où les voleurs ne
pourront pas venir le voler. Si nous devons convoiter quelque chose, c’est bel et bien cela. Le trésor éternel est
LA chose la plus importante. C’est à ça que doit servir l’argent qui passe entre nos mains ! Si Dieu vous a béni
avec plus que ce dont vous avez besoin pour le nécessaire, le surplus devrait être utilisé pour acheter un trésor
dans le ciel. Toute autre utilisation de cet argent est égoïsme, apostasie et finalement, idolâtrie. Ce ne sont pas
mes mots… Moi qui vous parle, je suis sur le banc des accusés comme vous.
« La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir
l’intelligence… »
LA FEMME VIT QUELQUE CHOSE DE PRECIEUX !
Ce qui séduit l’homme au travers du précieux argent (qui est le meilleur exemple), c’est l’ambition de
l’indépendance, l’idée d’une forme de sécurité autarcique, la pensée de l’autonomie vis-à-vis de Dieu, le
pouvoir.
« Ne vous amassez pas des trésors sur la terre où les vers et la rouille détruisent et où les voleurs percent et
dérobent, dit Jésus, mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où ni les vers ni la rouille ne détruisent et où
les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur (…) Et nul ne peut
servir deux maîtres, car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous
ne pouvez servir Dieu et Mammon. C’est pourquoi je vous le dis : ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce
que vous mangerez, ni de votre corps de quoi vous serez vêtus (…) car cela ce sont les païens qui le
recherchent. Or, votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement son Royaume et sa
justice, et tout cela vous sera donné par-dessus (…) » (Matthieu 6:19-34)
Lorsque Jésus, dans cette parole célèbre, désigne l’argent du nom de Mammon (Matthieu 6:24, Luc 16:13), il
personnifie le pouvoir de l’argent, et le reconnaît comme étant susceptible de devenir pour l’homme une sorte
de divinité « revendiquant la place et l’autorité qui sont celles de Dieu ». L’argent, de toute évidence, est à ses
yeux une puissance de nature spirituelle pour laquelle la monnaie n’est qu’une apparence, une manière d’être,
une forme dont elle se sert dans sa relation avec les hommes.
Au plus profond de notre être, l’amour de Dieu et l’amour de l’argent lui apparaissent comme étant totalement
contraires et exclusifs l’un vis-à-vis de l’autre. De plus, le Christ, parlant de Dieu et de Mammon, décrit la
condition humaine comme étant « enfermée dans l’alternative d’être soumise à l’un ou à l’autre de ces deux
maîtres ». De telle sorte que la seule façon pour l’homme de ne pas être l’esclave de Mammon sera –et c’est
bien là la pointe de son exhortation– de faire de Dieu son Maître.
Seul Jésus-Christ est susceptible de nous libérer de l’esclavage de Mammon et de la convoitise des yeux !
Le Livre de l’Ecclésiaste (10 :19) dit que « Celui qui aime l’argent n’est pas rassasié par l’argent ».
Jésus dit ce que personne n’a jamais dit !
Jésus propose ce que personne n’a jamais proposé !
Jésus donne ce que personne ne vous donnera jamais !
« Je suis le pain de vie (dit-il). Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura
jamais soif. » (Jean 6:35)
Chers auditeurs, voulez vous de ce pain aujourd’hui ?
Voulez-vous vous dégager des tourments de l’argent et du matérialisme ?
Voulez-vous vous libérer de la convoitise des yeux ?
Voulez-vous être libre ? Voulez-vous de Jésus ?
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
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GENERATION DESENCHANTEE (3)
Chers auditeurs, bonjour…
Voici troisième et dernier volet de la série « Génération désenchantée ! »
Je vais re-lire les deux textes bibliques nous servent toujours de base pour notre développement.
(Genèse 3:1-6) « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Eternel Dieu avait faits.
Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme
répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au
milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne
mouriez. Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en
mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal. La femme vit
que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit
de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. »
(1 Jean 2:15-17) « N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le
monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la
convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et
sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. »
Les questions ne changent pas et sont toujours les suivantes :
Où se trouve la réalité dans un monde fait uniquement d’apparences ?
Quel est l’avenir de la planète « Terre » ?
Pourquoi est-ce plus facile de faire le mal que le bien ?
Je vous rappelle aussi que dans sa 1ère lettre, l’apôtre Jean nous donne UNE réponse : « Le monde entier est au
pouvoir du Malin. » (1 Jean 5:19)
Le premier volet de notre série était « la convoitise de la chair », et nous avons évoqué deux fléaux de
notre société : le sexe (sans âme) et la drogue. Le second était « la convoitise des yeux » et nous avons
évoqué le matérialisme et l’argent. Aujourd’hui, nous allons parler de l’orgueil de la vie…
3. L’orgueil de la vie.
•
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•
•
•
Convaincre les autres de son importance.
Vivre continuellement dans un esprit de compétition.
Désir continuel de surpasser les autres et de les éblouir.
Leur en mettre plein la vue. Leur clouer le bec.
Être prêt, du jour au lendemain à sacrifier son honnêteté et ses valeurs en échange de la célébrité ou d’un
sentiment d’importance.
Le philosophe C.S. Lewis appelle l’orgueil le grand péché.
Un des signes distinctifs de l’orgueil, c’est la comparaison. La jalousie suit de près l’orgueil car lorsqu’on se
compare aux autres ou lorsqu’on compare les autres à soi… on « jalouse »… ce qu’ils ont en plus, ce qu’ils ont
de mieux… Mes amis… l’orgueil est très souvent dissimulé sous le voile hypocrite de la modestie. C’est un des
fléaux les plus virulents de notre monde !
Le problème, c’est que cette attitude nous empêche d’accepter l’amour et la Grâce de Dieu. Jésus nous fait
alors « sourire » !
Notre génération séduite par des personnages influents :
Nos contemporains sont séduits par des personnages influents et populaires du milieu artistique. La plupart
d’entre eux représentent une sorte d’invincibilité, mais aussi l’humanisme, le matérialisme et la sexualité.
Ils sont devenus les modèles d’une société de même type, d’où la réalisation de besoins immédiats, de
permissivité, de loisirs et de sensations toujours plus fortes… C’est à ces modèles que s’identifie notre
génération !
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
Quelqu’un a dit que le vrai humanisme chante : « Gloire à l’homme dans les lieux très hauts ! »
Rien n’a changé depuis le jardin d’Eden ! « … vous serez comme des dieux … » (Genèse 3:8)
8
Un simple passage par le petit écran transforme les hommes et les femmes en divinités (ex : Loft Story, la
Nouvelle Star, Star Academy, Nice people, Bachlord, La ferme célébrité, Opération séduction, l’île de la
tentation…).
Je cite Alain Gérard Slama, Ecrivain politique, éditorialiste au Figaro, enseignant à Science po dans son livre :
« Chronique des peurs ordinaires » Journal de l’année 2002 (Ed. Seuil) : Désormais, les manipulateurs de l’image
exploitent le besoin d’identification… Les auditeurs, flattés dans le sens de la paresse, en arrivent à zapper, malgré eux,
tout ce qui peut nécessiter de leur part un effort de réflexion ou un jugement de goût. Une industrie de voyeurisme pur
utilise d’extraordinaires moyens techniques pour inciter les foules à communier dans l’insignifiance. (Fin de citation)
Tout le système de pensée et de réflexion sort du petit écran… Les artistes sont divinisés, placés sur des
piédestaux, adorés et pleurés comme des dieux… A les entendre parler, on croirait qu’ils détiennent tous les
secrets de la vie et du bonheur. On tombe de haut n’est-ce pas devant un Bertrand Cantat, chanteur du groupe
Noir Désir, qui a battu à mort Marie Trintignant, sa compagne.
« Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous et ils ont remplacé la gloire du Dieu incorruptible par des
images représentant l’homme corruptible… » (Romains 1:22s)
Le prophète Esaïe disait bien : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui changent les
ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres… Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux et qui se
considèrent intelligents ! » (5:20)
Le principe de séduction du diable est qu’il réussit à faire vivre les hommes dans un univers imaginaire
dont ils deviennent eux-mêmes les dieux. Des dieux prisonniers de leurs rêves !
DES REVES QUI NE SE REALISENT JAMAIS !
Combien de larmes avez-vous versées à cause de rêves qui ne se sont jamais réalisés dans votre vie ?
NONS SEULEMENT LE DIABLE EXISTE, MAIS IL CONNAIT BIEN L’HOMME…
IL SAIT S’Y PRENDRE…
IL SAIT TOUCHER NOS CORDES SENSIBLES… NOS AMBITIONS… NOTRE EGO…
Le prince de ce monde, le prince de la puissance de l’air, le dieu de ce monde. Ne lui attribuons pas une trop
haute importance ! Comme, si finalement, il était au même niveau que Dieu.
Le prince de ce monde n’en reste pas moins une créature créée… Créée limitée, déchue, ennemie du
Créateur, ennemie de la création… ennemie des humains !
MAIS… PARCE QU’IL Y A UN « MAIS » !… UN ENNEMI VAINCU A LA CROIX !!
La veille de sa crucifixion, Jésus a affirmé : « MAINTENANT a lieu le jugement de ce monde,
MAINTENANT le prince de ce monde sera jeté dehors ! » (Jean 12 :31)
QUI EST « CELUI » QUI INFLUENCE NOTRE VISION DU MONDE ?
« Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent ; pour les incrédules dont le dieu de
ce siècle a aveuglé les pensées, afin qu’ils ne voient pas resplendir le glorieux Évangile du Christ, qui est
l’image de Dieu … » (2 Corinthiens 4:3-5)
Jésus affirme : « Celui qui n’est pas avec moi est contre moi… » (Matthieu 12:30)
Quelle que soit notre génération, qu’elle soit désenchantée, privilégiée ou sacrifiée, qu’elle soit « X » ou
« baby-boom », rien a changé : « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne se confie pas au Fils
ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3:36)
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006
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Notre génération peut ignorer cette affirmation, faire semblant de ne pas l’entendre, jouer l’indifférence ou
pour être dans l’air du temps : La « ZAPPER » … mais notre génération a besoin plus que jamais de
connaître l’opinion que Dieu a de notre humanité.
Notre génération peut ne pas croire en Jésus de Nazareth, ne pas croire en son message, ne pas croire en sa
résurrection, ne pas croire en sa divinité, ne pas croire que Jésus est le Fils de Dieu… mais ça ne change rien à
la Vérité révélée de Dieu.
Adam et Eve ont fait un choix … Nous devons AUSSI faire un choix :
Ne pas faire de choix, c’est déjà faire un choix !
Nous sommes tous appelés à nous décider devant Jésus.
Nous devons nous décider ouvertement pour Jésus-Christ. Rappelez-vous Jésus, avant d’être crucifié, il fut
conduit devant Pilate. Ponce Pilate se rendait bien compte que Jésus était innocent et pour délivrer Jésus, il a
proposé au peuple un brigand, un criminel : Barrabas. Lequel voulez-vous que je vous relâche ? Et la foule
s’est écriée ’Barrabas’ ! La foule s’est décidée, la foule a fait un choix. Notre génération a fait ce choix !
Vous aussi, vous devez faire un choix ! Encore aujourd’hui.
Un choix entre Jésus Christ et la convoitise de la chair.
Un choix entre Jésus-Christ et la convoitise des yeux.
Un choix entre Jésus-Christ et l’orgueil de la vie.
Un choix entre Jésus-Christ et le péché.
Un choix entre Jésus-Christ et tout ce qui vous empêche d’accéder au royaume de Dieu.
Un choix entre Jésus-Christ et le prince de ce monde, Satan !
(Romains 5:6-8) « Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des
impies. A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu’un peut-être aurait le courage de mourir pour un
homme qui est bon. Mais en ceci, Dieu prouve son amour envers nous : lorsque nous étions encore
pécheurs, Christ est mort pour nous. » (Verset 19) « En effet, comme par la désobéissance d’un seul homme
(ADAM), beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul (JESUS), beaucoup seront
rendus justes. »
Notre génération a besoin de Jésus CAR Jésus, c’est une autre perspective pour notre vie :
Au travers de Jésus-Christ, Dieu veut vous donner une autre perspective, un autre avenir, une autre vie… UNE
VIE qui vaut la peine d’être vécue ! Jésus est la seule personne qui pourra vous aider à ne pas faire comme cet
homme qui se ment à lui-même en disant : « Jusqu’ici tout va bien… jusqu’ici tout va bien… »
Rien ni personne ne pourra satisfaire votre vie autant que Jésus.
Pour terminer cette série de trois volets, voici un extrait de la chanson de Mylène Farmer « Génération
désenchantée » : Peut-être que l’un d’entre vous, chers auditeurs, se reconnaîtra…
« Je n’ai trouvé de repos que dans l’indifférence,
Mais rien n’a de sens, et rien ne va
Tout est chaos, à côté
Tous mes idéaux : des mots abîmés
Je cherche une âme qui pourra m’aider
Je suis d’une génération désenchantée… »
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Vous vous apercevez que dans votre vie, il vous a fallu devenir indifférent pour subsister !
Vous vous apercevez que dans votre vie, finalement rien n’a de sens et rien ne va !
Vous prenez conscience qu’autour de vous, c’est le chaos, la confusion, le désordre…
Tous vos idéaux se sont envolés… (des mots abîmés)
Vous cherchez quelqu’un qui peut vous aider ?
JESUS EST LA PERSONNE QUE VOUS CHERCHEZ !
AUJOURD’HUI JESUS VEUT VOUS AIDER !
AUJOURD’HUI JESUS VOUS DEMANDE DE VENIR A LUI !
AUJOURD’HUI JESUS VEUTVOUS DONNER UNE AUTRE VIE !
Textes de Daniel Coronès diffusés sur Radio Evangile en mars 2006