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Table des matières
En guise d’avertissement ...............................................................................................
Exergue ou le cimetière de la mémoire enfouie ............................................
5
9
TRACER SA ROUTE, 13 ; UN HOMME DEBOUT, ; PAGE D’HISTOIRE : L’ESPAGNE,
RETOUR SUR LE PASSÉ, 17.
Introduction ou les chemins de la mémoire ....................................................
21
RICOCHET, 23 ; AUTRE RICOCHET, 25.
Cinquante-six ans après Madrid, mourir à Sarajevo.
L’ambivalence d’une guerre d’agression
caractérisée contre des civils ......................................................................................
27
LA LOI DU PLUS FORT, 28 ; LE VIOL, PRATIQUE DE GUERRE, 34.
François Mazou, son ancrage du pacifisme ....................................................
35
PÈRE MILITAIRE, 36 ; « SALOPERIE DE GUERRE », 37 ; « DÉTESTER LA
GUERRE », 38 ; INTERDIT DE COLLÈGE, 38 ; MILITANT AU PARTI COMMUNISTE, 39 ; PACIFISTE CONVAINCU, 39 ; MARXISTE, 40.
Oloron à l’heure de la République espagnole agressée..........................
41
Un parcours de vie exemplaire : portrait de Jean Mazou par son frère ..
45
MADRID, LÀ OÙ BATTAIT LE CŒUR DU MONDE
François Mazou s’engage pour l’Espagne, décembre 1936 ................
51
RICOCHET EN DEUX TEMPS, 53 ; ALBACETE, 55 ; L’OR DE LA RÉPUBLIQUE
CONTRE DES ARMES, 56.
Février 1937, François Mazou au cœur de sa première bataille ....
59
LE VERDUN CASTILLAN, 60 ; LA MORT D’EMIL, LE COMMANDANT ROUMAIN DE
VINGT-TROIS ANS, 61 ; FRANÇOIS MAZOU CHARGÉ DE RECRUTER LES
COMBATTANTS DE LA LIBERTÉ, 62 ; L’ESPOIR GUIDAIT LEURS PAS, 64 ;
GUERRE À OUTRANCE, 65.
1938, la bataille de l’Ebre ou le glas de la République espagnole.....
69
UNE RÉSISTANCE HÉROÏQUE, 69; FRANÇOIS MAZOU RACONTE, 70.
Document .....................................................................................................................................
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75
MOURIR À MADRID, LA RAISON D’UNE DÉFAITE
Le départ des brigadistes...............................................................................................
79
EN ATTENDANT EL FRACASO, 82.
La « non-intervention » ou la défaite programmée...................................
83
UNE TENTATIVE DE COUP D’ÉTAT QUI NE RESTERA PAS SANS EFFET, 83 ;
NEUTRALITÉ, QUAND TU NOUS TIENS !, 85 ; D’UN CÔTÉ « LE DROIT CANON »,
DE L’AUTRE « LA NON-INTERVENTION », 89 ; LA GUERRE: UNE HISTOIRE DE
TEMPS MIS À PROFIT POUR AFFAIBLIR SON ADVERSAIRE, 92 ; D’ABORD ILS
ONT ASSASSINÉ LORCA (1936), PUIS ILS SONT PASSÉS (1939), À PRÉSENT ILS
VONT GOUVERNER (1939-1975), 94 ; L’HISTOIRE DE FRANCE FAIT L’IMPASSE
SUR LES CONTRECHAMPS DE SON HISTOIRE, 94 ; LA « NON-INTERVENTION »,
UNE INCROYABLE COMPROMISSION, 95 ; LA RÉPUBLIQUE ESPAGNOLE FUT
VAINCUE ET L’HISTOIRE HÉSITE ENCORE À NOUS DIRE POURQUOI !, 97 ; L’ESPAGNE, MARQUEUR DE RÉALITÉ, 98 ; LE FASCISME ET SON IDÉOLOGIE DE
MASSE, 100 ; L’ORDRE NOUVEAU, 100 ; VAINCRE LE FASCISME…, 101 ; LES
ACCORDS DE MUNICH, 102.
Fait historique ...........................................................................................................................
105
LES ALGÉRIENS DANS LE CAMP RÉPUBLICAIN, 105 ; BELAÏDI, OUSSIDHOUM ET
AUTRES FIGURES ALGÉRIENNES DES BRIGADES INTERNATIONALES, 106 ; LA
MÉMOIRE COURTE, 108.
LA GUERRE SE FAIT MONDIALE
La Retirada : les camps de la honte et de l’humiliation.
Argelès-sur-Mer, Gurs .....................................................................................................
109
LE PARCAGE HUMAIN, 111 ; COMBIEN DE « TÊTES » ET DE LITIÈRES OU DE
LITERIE, 111 ; LE CAMP D’ARGELÈS-SUR-MER, 112.
Une journée particulière, le 14 juillet 1939 à Gurs ..................................
113
LA MARSEILLAISE, 115 ; INCONSCIENCE ? PROVOCATION ?, 116 ; L’ÉTAPE TRANSITOIRE VERS LES CAMPS DE LA MORT, 117.
D’une guerre à l’autre ou François Mazou continue le combat......
119
DÉSILLUSION AU RETOUR, 119 ; FRANÇOIS MAZOU ET LA RECONQUISTA, 124.
De quel acier était forgé François Mazou ? .....................................................
127
Huit portraits de républicains espagnols devenus béarnais,
excepté Carmen ........................................................................................................................
132
CRISTOBAL ANDRADES, DE LA 10e BRIGADE DE GUÉRILLEROS, 132 ; JULIAN
MARTIN ET SON ÉVASION SPECTACULAIRE, 134 ; MIGUEL MARTINEZ, LE
GUÉRILLERO QUI A APPRIS À FAIRE CHANTER LA POUDRE, 138 ; VIRGILIO
PEÑA CORDOBA, ANDALOU, UN ATYPIQUE RÉSISTANT ANTIFASCISTE, 140 ;
CARMEN LÉRA NÉE ANDREU (1917-2003), UNE MILICIENNE DE LA CULTURE,
143 ; LES GONZALEZ, UNE FAMILLE RÉPUBLICAINE ESPAGNOLE, 150 ; RÉFUGIÉE EN FRANCEANSELMO TRUJILLO, UN HOMME ATYPIQUE, 152 ; THÉO
FRANCOS, UN HOMME FRATERNEL, 153.
Léon Bérard: les chemins de la mémoire sont parfois semés d’embûches ...
UN DIPLOMATE PEU ORDINAIRE, 156 ; UN PRÉSIDENT DU CONSEIL GÉNÉRAL
PEU ORDINAIRE, 157 ; UN AMBASSADEUR PEU ORDINAIRE, 158 ; LE COURS
LÉON-BÉRARD À PAU 159, ; DÉBOULONNER L’ICÔNE LÉON BÉRARD, 159 ;
DERNIÈRE PIÈCE À UN DOSSIER DÉJÀ LOURD, 161.
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156
IL SERAIT TEMPS D’ÉCRIRE L’HISTOIRE
Morata de Tajuna, dix ans de lutte pour réhabiliter un site .............
165
LE CIMETIÈRE DE LA MÉMOIRE RETROUVÉE, 168 ; « TOUJOURS LES DEUX
ESPAGNES… », 173.
Gurs, un camp au cœur du Béarn..........................................................................
175
PREMIÈRES RETROUVAILLES, 177 ; LÉON BÉRODY, PREMIER PRÉSIDENT, 177 ;
PREMIER CONGRÈS, 179.
Carl Einstein, un Allemand libre ............................................................................
185
Walter Benjamin, Lisa Fittko : destins croisés ........................................................
191
LA MONTÉE DU FASCISME ET L’EXIL DES ANTINAZIS, 192 ; LISA FITTKO,
HÉROÏNE JUIVE ALLEMANDE, 192 ; LA MÉMOIRE ALLEMANDE, 195.
Carmen Bazan, une femme d’honneur ..............................................................
197,
55 ANS APRÈS, LE MÉMORIAL 201 ; CES ÉTRANGES ÉTRANGERS, 204.
Cristobal… ..................................................................................................................................
205
Mémoire et contre mémoire : une cabale indigne .......................................
207
MAZOU PLANQUÉ À L’ARRIÈRE ?, 208.
Quelques manipulations de l’histoire............................................................................
211
LA CENSURE DE L’HISTOIRE, 211 ; LE COURAGE DES « NOUVEAUX HISTORIENS », 211 ; LA FICTION EST PLUS RÉELLE QUE LA RÉALITÉ, 214 ; LE MONDE
LIBRE EST UNE GAGEURE DE L’ESPRIT, 215 ; LA CAUSE MORALE D’UNE ARMÉE
PURE ?, 216.
Épilogue ......................................................................................................................................
217
IL Y A DES ANNIVERSAIRES QUI PARTICIPENT À PERPÉTUER LES LEÇONS DE
L’HISTOIRE, 217 ; LE PASSÉ AU PRÉSENT, 217.
Postface .......................................................................................................................................
219
REBOND, 223 ; « ODE À CE FRÈRE ESPAGNOL », 225.
Témoignage de la mémoire acquise ...............................................................................
229
LA MORT DU DICTATEUR, 230 ; IL EST LIBRE CARRERO, IL Y EN A MÊME QUI
L’ONT VU VOLER, 231 ; LE JUGE GARZON, 231 ; RICOCHET, 233.
Annexes..........................................................................................................................................
LA NAISSANCE DE L’UNE (UNION NATIONALE DES ESPAGNOLS), 234 ; QUAND
L’HISTOIRE NETTOIE SES PLAIES, 234.
— 239 —
234