N.I.T 311

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N.I.T 311
NOTE D’INFORMATION TECHNIQUE
N.I.T.N°311
2002
RÈGLES TECHNIQUES RELATIVES AUX ÉQUIPEMENTS
INDIVIDUELS DES PERSONNELS
DES
SERVICES D’INCENDIE ET DE SECOURS
CASQUE DE PROTECTION DE TYPE "F1"
POUR
LES SAPEURS-POMPIERS
Note d'information technique homologuée par décision du directeur de la défense et
de la sécurité civiles le : 18 avril 2002.
ANALYSE
La présente note d’information technique émane du ministère de l’intérieur, direction
de la défense et de la sécurité civiles. Elle a été élaborée en application de l’arrêté
du 06 mai 2000 et en complément des différentes normes. Elle a pour but
d’uniformiser et d’optimiser les équipements individuels des sapeurs-pompiers. Elle
fournit une description générale et détaillée de l'équipement et précise notamment
les performances des matériaux constitutifs, les critères de conception, des
matériaux constituant l’effet.
Le respect des exigences de cette N.I.T permet à l’équipement de prétendre à son
référencement ainsi qu’à sa préconisation par le ministère de l’intérieur.
REFERENCES
- Directive européenne 89/686 CEE du 21 décembre 1989
modifiée concernant les E.P.I.
- Arrêté du 06 mai 2000, fixant les tenues, insignes et attributs
des sapeurs-pompiers.
MODIFICATIONS
- Annule et remplace le C.C.T.P de juin 1995
- Annule et remplace la page 6 du 18 avril 2002
CORRECTIONS
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Sous-direction des sapeurs-pompiers - Bureau des relations industrielles
Section des matériels et équipements de sécurité civile
NOTE D’INFORMATION TECHNIQUE
CASQUE DE PROTECTION DE TYPE
"F1"
P OU R
SAPEURS - POMPIERS
 Direction de la Défense et de la sécurité civiles
Section des matériels et équipements de sécurité civile
Dépôt légal le 19/04/2002
I.S.B.N : 2-11-090739-8
Reproduction autorisée dans le cadre de l'acquisition des équipements de sécurité civile
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AVERTISSEMENT
Le casque de protection est un Équipement de Protection Individuelle (E.P.I) de catégorie 3 selon le
guide de catégorisation de la commission CE, publié le 08 janvier 1996.
Il doit être conforme aux exigences générales de la directive européenne n°89/686 concernant les
équipements de protection individuelle ainsi qu’à la norme NF EN 443 : mai 1998 et aux exigences de
la présente note d’information technique.
1 DESCRIPTION GENERALE
Le casque des personnels des services d’incendie et de secours est de couleur « nickel » afin
d’améliorer les propriétés de rétro réflexion thermique.
Il est de forme enveloppant et est destiné à protéger les zones suivantes du porteur :
−
−
−
−
Le dessus de toute la calotte crânienne.
L'arrière de la nuque.
Les zones temporales et auriculaires.
L'avant de la partie frontale.
Masse du casque complet avec les écrans (facial et oculaire) sans les accessoires et options :
− 1400 g maxi pour une taille 56.
− 1700 g maxi pour une taille 64.
Système de rétention.
Coiffe avec système d’amortissement.
Ecrans escamotables (1 protection oculaire transparente, 1 protection faciale thermique).
Points d’accrochage pour la fixation du masque d’ARI par brides.
Une plaque spécifique en revêtement de couleur doré avec inscriptions, « SAPEURSPOMPIERS » et/ou attributs du corps d’appartenance.
Bandes de signalisation rétro réfléchissantes de couleurs différentes selon le grade.
NOTA : des options peuvent compléter cette description générale ( lampe, bavolet de nuque,
équipements de communications, etc.)
2 MATERIAUX
2.1 COMPOSANTS PRINCIPAUX DU CASQUE
− Calotte et sous-coque: thermoplastiques ou thermodurcissables.
− Ecrans : l’écran oculaire transparent assure la protection des yeux contre les projections
et l’écran facial doré assure une protection du visage contre la chaleur radiante.
− Système de rétention : sangles, rubans auto agrippants, cuirs, boucleries en plastiques.
2.2 CUIRS
Conformes à la fiche d'identifications n° 22 (01/94) de la brochure 5500 du GPEM/TC.
2.3 JUGULAIRE ET COIFFE
En matériaux thermostables.
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2.4 RUBANS AUTO-AGRIPPANTS
Conformes à la fiche d'identification RA 20 et RA 25 (05/89) de la brochure 5508 du
GPEM/TC, et ignifugés classe B de la norme NF G 08-184 (12/95).
2.5 RESILLE
En para-aramide/carbone pré oxydé.
2.6 FILS
De haute ténacité, résistants aux UV et à l'abrasion, conformes à la brochure 5505 (12/91)
du GPEM/TC.
2.7 MATERIAUX AMORTISSEURS ET DE CONFORT
En matériaux ininflammables et/ou ignifugés.
2.8 BOUCLERIE
En matériaux résistants au brouillard salin avec absence de rouille après 96 heures de
conditionnement suivant la norme NF X 41-002.
2.9 BANDES RETRO-REFLECHISSANTES
2.9.1
CARACTERISTIQUES DE LA BANDE GRIS ARGENT (OFFICIERS)
−
−
−
−
Matière rétro réfléchissante à caractéristique unique de classe 2.
Matière de couleur gris argent avec rétro réflexion de couleur blanche.
Conforme aux exigences de la norme NF EN 471.
Résistance à une température de 200 °C, à l'air ambiant, pendant 5 minutes.
2.9.2 CARACTERISTIQUES DES BANDES DE COULEUR JAUNE ET
ROUGE-ORANGE (SOUS-OFFICIER ET HOMME DU RANG)
− Matières à caractéristiques combinées.
− Résistance à une température de 200 °C, à l'air ambiant, pendant 5 minutes.
− Conforme aux exigences de la norme NF EN 471 excepté le coefficient de rétro
réflexion des 2 produits et les coordonnées chromatiques du produit rouge orangé
définies ci-dessous.
Tableau 1
Valeurs minimales de rétro réflexion en cd / (lx.m2) à l'état neuf
Angle d'éclairage
Angle d'observation
0,33 ° (20 ')
5°
20 °
30 °
40 °
65
45
13
4
Tableau 2
Couleur du produit rouge orangé
couleur
Rouge
Orangé
X
Y
coordonnées
chromatiques
1
2
3
4
0.49 0.62 0.562 0.694
0.38 0.38 0.269 0.306
Facteur de luminance
minimal b min.
0.25
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2.9.3 CARACTERISTIQUES DE LA BANDE GRIS-ARGENT ET BLEU
(SAPEURS AUXILIAIRES)
La couleur gris argent est identique à celle de la bande de signalisation des officiers,
la couleur bleue devra répondre au « PANTONE Process blue C ». (voir schéma).
2.9.4 CARACTERISTIQUES DE LA BANDE GRIS-ARGENT ET VERT
(SERVICE DE SANTE)
La couleur gris argent est identique à celle de la bande de signalisation des officiers,
la couleur verte devra répondre au « PANTONE 7490 vert ». (voir schéma).
3 DESCRIPTION DETAILLEE
3.1 CALOTTE
− Le casque est constitué d'une calotte extérieure de type enveloppant.
− Cette calotte est composée d'une demi forme avant sur la bombe supérieure jusqu'au
niveau des oreilles, décalée par rapport à la demi forme arrière.
− Le casque porte, longitudinalement, une nervure formant cimier, partant de la nuque et
s'élargissant jusqu'au bord avant.
− Une plaque d'attribut s'adapte sur la partie avant en prolongement du cimier.
− La demi forme de la bombe supérieure sert de logement à deux écrans relevables. L'un
est un écran de protection oculaire, l'autre est un écran de protection faciale.
− Une sous-coque permettant la fixation de la coiffe et le logement des écrans.
− La calotte comprend un système de fixation des deux écrans permettant d’assurer une
position stable de ceux-ci.
− Deux logements oblongs sensiblement verticaux intégrés ou rapportés à la calotte
servant à l'amarrage des brides de fixations du masque de l'appareil respiratoire sur le
casque sont disposés dans les zones latérales du casque.
− L'intérieur du casque est aménagé pour recevoir des accessoires tels que bavolet de
nuque, système de communication.
3.2 CALOTIN
Le rembourrage situé entre la coque et la coiffe est en matériaux spécifiques permettant
notamment d'atténuer l'énergie d'impact d'un choc.
3.3 COIFFE COMPLETE
− La coiffe réglable à toutes les tailles est fixée au niveau du tour de tête du porteur. Elle
doit permettre l’utilisation du masque de l'appareil respiratoire avec ou sans brides.
− La coiffe doit être convenablement ajustée, afin de maintenir la stabilité du casque et le
confort sans pression excessive sur la tête. Elle remplit les trois fonctions suivantes :
. elle enveloppe la tête, dans sa partie supérieure, avec un système de réglage en
hauteur
. elle maintient la nuque grâce à un système de réglage
. elle permet le réglage du tour de tête au moyen d'un dispositif ajustable.
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3.4 ECRANS
− Les écrans, dans la zone du champ visuel, sont sphériques et concentriques.
− L'écran oculaire doit être conforme aux exigences générales de la norme NF EN 166, il
comporte un rebord arrondi au niveau du contact avec le visage.
− L'écran facial se rabat devant les yeux par simple action de la main munie d’un gant
conforme à la N.I.T 306 sur la partie restant accessible à l’extérieur de la calotte du
casque. Il doit permettre d’apporter une protection contre la chaleur radiante.
− En position basse, il arrive au niveau de la lèvre inférieure dans les tailles couvertes par
la coiffe.
− La distance entre la zone respiratoire du visage et l'écran facial doit être suffisante pour
éviter une accumulation de buée sur l'écran.
− Les deux écrans se manœuvrent indépendamment.
3.5 SYSTEME DE RETENTION
− Il est constitué par une jugulaire souple à 2 ou 3 points de fixation avec mentonnière et
boucle d’ouverture manœuvrable d’une seule main munie d’un gant conforme à la N.I.T
306, d'une largeur de 20 + 2 mm, il est lié à la calotte pour assurer un maintien
permanent sur la tête, même sous l'action de mouvements brusques.
− L'extrémité du brin libre de la jugulaire ne doit pas pouvoir intempestivement se
désolidariser lorsque la jugulaire est ouverte.
− Le système de fermeture de la jugulaire, une fois le casque en place sur la tête, jugulaire
desserrée ne doit en aucun cas gêner le port du masque de l'appareil respiratoire isolant.
3.6 OPTIONS
Toute adaptation d'options citées au § 1 ainsi que leurs systèmes de fixation doivent être
agréés par le fabricant de casque.
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4 CARACTERISTIQUES COMPLEMENTAIRES A LA NORME NF EN 443:1998
4.1
LA CALOTTE
4.1.1
RESISTANCE AUX PROJECTIONS DE METAUX EN FUSION
− Versement de 300 gr de zinc liquide chauffé à 440 °C tombant sur le sommet du
casque d'une hauteur de 50 à 100 mm.
− A l'issue de l'essai la calotte ne doit pas être traversée par le zinc en fusion.
4.1.2
RESISTANCE AUX GAZ DE COMBUSTION ET AUX FUMEES
− La calotte est exposée pendant 5 minutes à une fumée de polystyrène puis de
polychlorure de vinyle à une température de 150°C.
− A l'issue de l'essai le revêtement extérieur doit résister.
4.1.3
RESISTANCE AUX PRODUITS CHIMIQUES
− Les produits suivants sont appliqués sur la surface extérieure de la calotte pendant
30 secondes: acide chlorhydrique à 33%, ammoniac, acétone, trichloréthylène.
− A l'issue des essais la surface ne doit pas comporter d'attaque importante.
4.1.4
ISOLEMENT ELECTRIQUE
Avant l’essai, la calotte du casque doit être placée pendant 24 h ± ½ h dans une
solution à 3 g/l ± 0,2 g/l de chlorure de sodium à une température de 20°C ± 2 °C. La
calotte du casque doit ensuite être retirée du bain, essuyée puis placée, la tête en
bas, dans un récipient de taille suffisante. Ce récipient et la calotte du casque sont
alors remplis avec la même solution de chlorure de sodium, jusqu’à 10 mm sous le
bord inférieur de la calotte.
Une tension alternative nominale de 50 Hz ou 60 Hz doit être appliquée entre deux
électrodes, l’une plongeant dans la solution contenue dans la calotte du casque et
l’autre dans la solution contenue dans le récipient à l’extérieur de la calotte du casque.
La tension doit être augmentée jusqu’à 1200 V ± 25 V alternatif et maintenue à cette
valeur pendant 15 s. Le courant de fuite à cette tension doit être enregistré, en même
temps que tout signe de chute. Lors de l’essai, le courant de fuite ne doit pas être
supérieur à 1,2 mA.
NOTE 1 : Le casque devrait, si possible, être soumis à l’essai avant que les trous
n’aient été effectués dans la calotte.
NOTE 2 : L’orientation de la calotte du casque dans la solution de chlorure de sodium
pour cet essai devrait être réglée si nécessaire afin de :
− D’éviter que tout orifice dans la calotte soit situé en dessous du niveau de l’eau.
− D’adapter des calottes dont le bord inférieur n’est pas droit.
4.2 LES ECRANS
4.2.1
RESISTANCE AUX CHOCS
− Une bille d'acier de 46 mm de diamètre et d'une masse de 0,4 kg, tombe d'une
hauteur de 2.50 m.
− A l'issue de l'essai les écrans ne doivent pas entrer en contact avec la fausse tête,
les écrans ne doivent présenter ni fracture ni décollement de la matière du côté de
l'œil.
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4.2.2
RESISTANCE A LA PERFORATION
− Les essais de perforation des écrans sont réalisés aux conditionnements suivants :
température ambiante pendant 4 heures et –20°C pendant 4 heures.
− Un poinçon conique, d'angle 60° et de masse 0,3 kg, est placé en contact avec
l'écran. Une masse de 3 kg est lâchée d’une hauteur de 0,25 m pour l'écran
oculaire et de 0,50 m pour l’écran facial.
− A l'issue de l'essai les écrans ne doivent pas être perforés, les écrans ne doivent
présenter ni fracture ni décollement de la matière du côté de l'œil.
4.2.3
RESISTANCE AU GAZ DE COMBUSTION ET AUX FUMEES
− Les écrans sont exposés pendant 5 minutes à une fumée de polystyrène et de
polychlorure de vinyle à une température de 150°C.
− A l'issue de l'essai les écrans ne doivent pas présenter de modification importante
(couleur, résistance mécanique).
4.2.4
RESISTANCE A LA COMBUSTION DE L’ECRAN FACIAL
− Un brûleur « Bunsen » au propane avec une buse de 10 mm de diamètre, est
placé en contact avec l'écran. Le brûleur est orienté avec un angle de 45° par
rapport à la verticale, flamme dirigée vers le haut. L'écran reste en contact avec le
haut de la flamme pendant 15 secondes.
− A l'issue de l'essai, l'écran facial ne doit pas s'enflammer et ne doit pas présenter
de déformation importante.
4.2.5
RESISTANCE A LA CHALEUR RADIANTE DE L’ECRAN FACIAL
− L'écran facial est placé à 150 mm de la source infrarouge, surface extérieure
dirigée contre la source. Le panneau radiant émet un flux de chaleur de 14 kW/m²
soit une température de la source de 450°C environ. L'écran est soumis au flux de
chaleur pendant 180 secondes.
− A l'issue de l'essai l'écran ne doit pas présenter de modification importante
(couleur, résistance mécanique).
4.2.6
RESISTANCE AUX PRODUITS CHIMIQUES DE L’ECRAN FACIAL
− Les produits chimiques suivants sont appliqués sur la surface extérieure des
écrans pendant 30 secondes avec un rinçage à l'eau entre chaque produit :
− !acide chlorhydrique, " trichloréthylène, #acétone, $ammoniac.
− A l'issue de l'essai l’écran doit résister.
5 DISPOSITIF RETRO-REFLECHISSANT
− Les éléments rétro réfléchissants sont de forme rectangulaire de 35 + 1 mm de largeur suivant
une génératrice partant des orifices oblongs et s'arrêtant au niveau du cimier dans sa partie
arrière (voir schéma).
− La surface de contact de la calotte avec les brides de liaisons ne doit pas comporter d'éléments
rétro réfléchissants.
Couleur des bandes suivant le grade.
Officier
: gris argent
Sous-officier
: jaune
Homme du rang
: rouge orangé
Personnel auxiliaire
: bleu bordé de gris argent
Service de santé
: vert bordé de gris argent
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6 VERIFICATION DES EXIGENCES
− Examen CE de type par un organisme notifié.
− Exigences spécifiques par un laboratoire désigné par la commission des équipements de
sécurité civile.
7 MARQUAGES
7.1 MARQUAGE CE
Suivant la directive 89/686 CEE et la norme NF EN 443 1998.
7.2
AUTRES MARQUAGES
− L'étiquette de préconisation de la D.D.S.C.
− Un numéro de série unique pour identification du produit.
8 NOTICE D’INFORMATIONS
Chaque casque doit être accompagné d’une notice conforme à la directive 89/686 CE modifiée
(annexe II § 1.4), elle doit préciser clairement les contrôles visuels périodiques ainsi que ceux à
effectuer après chaque évènement opérationnel particulier permettant de déceler une dégradation
des performances de l’équipement.
9 EMBALLAGE
Les casques sont conditionnés individuellement avec la notice d’informations.
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10 SCHEMAS
FORME GENERALE
VUE DE PROFIL
VUE DE FACE
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VUE LATERALE
VUE DE DESSUS
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BANDES RETRO-REFLECHISSANTES
GRIS ARGENT. JAUNE. ROUGE ORANGE
BLEU OU VERT BORDE DE GRIS ARGENT
Pour le ministre et par délégation
Le sous-directeur des sapeurs-pompiers
Jacques SCHNEIDER
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