Boson de Higgs, fin du monde

LE BOSON DE HIGGS : EST-CE LA FIN DU MONDE ?
Dans un certain passé (aussi bien dans l’histoire éloignée de l’humanité que récemment quand nous étions enfants), on se représentait le monde comme la terre (le sol) entourée des mers sur un plateau circulaire à dimensions finies et recouvert du dôme céleste sur lequel se déplaçait le Soleil, sans même se demander ce qui se passait avec ce Soleil durant la nuit (comment réapparaissait-il le matin à l’Est après qu’il se soit couché le soir à l’Ouest ?), de même pour la Lune et les Étoiles d’ailleurs que l’on situait tous à une même distance du sol derrière les nuages.
On croyait que les objets non poreux (particulièrement les fluides) étaient sans structure, compact et sans espace en leur sein.
On se rendit ensuite compte que la terre était une sphère, et aussi que c’est la Terre qui tournait autour du Soleil et non pas l’inverse.
On découvrit aussi plusieurs corps astraux dont les planètes [du système solaire] et les constellations et les galaxies…
On dressa aussi la structure du système solaire…
On s’aperçut ensuite que les limites de l’univers s’éloignaient au fur et à mesure que nos moyens d’observations se perfectionnaient (devenant plus précis et plus sensibles).
Naturellement, on a aussi constaté que la structure de base de l’univers était une grosse structure de base au centre comme un noyau, entourée de satellites (de toutes tailles mais inférieures à celle de la structure-noyau) qui orbitent tout autour de ce noyau : c’est le token (motif) de base du fractal qu’est l’Univers qui se répète.
Donc, toujours un noyau autour duquel orbitent des satellites…
On s’est aussi rendu compte que même les fluides que l’on croyait homogènes sont aussi constitués de corpuscules (« molécules » pour les substances, et « atomes » pour les éléments pouvant s’assembler pour constituer des molécules).
Les atomes, constitués essentiellement d’autant de protons que de neutrons (les deux, formant le noyau atomique) que d’électrons (sauf pour les isotopes et les ions), avaient été considérés initialement comme les PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ABSOLUES à partir desquelles étaient formées toute matière existante et en-dessous desquelles il n’y avait plus rien.
On s’est par après aperçu qu’il y avait beaucoup d’autres sous-particules de taille et poids inférieurs à ce qui précède, reliées par des forces comme les interactions nucléaires (les interactions faibles et les interactions fortes), les interactions électromagnétiques et la gravitation qui est très faible pratiquement négligeable par rapport aux trois autres interactions.
Par exemple le proton peut s’éclater (par exemple lors des collisions dans le LHC = Large Hadron Collider) en 3 quarks reliés par des gluons.
Mais qu’est ce qui confère aux particules [l’impression de] la masse aussi bien inertielle que gravitationnelle ? L’Écossais Peter HIGGS & colls ont soupçonné vers 1960 l’existence du « CHAMP DE HIGGS » que l’on admet être partout présent dans l’univers même dans les vides, champ dans lequel baignent les particules et dans lequel elles rencontreraient une résistance au déplacement, et cette résistance est proportionnelle à l’encrage (interaction ou force de couplage) de la particule dans le champ de Higgs (une sorte de matrice [aparticulaire?] comportant des bosons de HIGGS) dans laquelle baigne toutes les subparticules (= particules sub-atomiques) élémentaires qui constituent toutes les particules qui constituent toute matière existante (électrons, positrons, quarks, neutrinos, matière noire [qui appartiendrait à une autre dimension que celles perceptibles par nous]…).
La liaison entre une PARTICULE et le CHAMP DE HIGGS est assurée par la particule appelée BOSON DE HIGGS qui a spin zéro (ne tourne pas sur elle-même). Le boson de Higgs est aussi appelé FICHUE PARTICULE ou PARTICULE DE DIEU.
Mais on dit aussi que toutes les particules sont constituées d’une unique particule de l’ordre de 1e-33 cm (= longueur de Planck, 1e20 × plus petit plus petit qu’un électron), les cordes.
La théorie des cordes stipule que toute particule est une minuscule cordelette vibrante, bien au-delà des limites de l’observable.
Si on agrandit un atome d’hydrogène jusqu’à la taille de l’univers observable, une corde aura la taille d’un arbre de forêt.
Et la matrice ou champ de Higgs est constituée de quelles sub-particules ?
Et les cordes sont constituées de quoi ?
Manifestement, on ne finira jamais de descendre vers l’infiniment petit.
MORALITÉ :
L’INFINIMENT PETIT EST INFINI, ET L’INFINIMENT GRAND AUSSI EST INFINI, ET PEUT-ÊTRE QUE LES DEUX SE REJOIGNENT QUELQUE PART FORMANT UNE INTRICATION QUANTIQUE (COMPRENEZ BIEN) !