ParIS La beLLe Verte
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ParIS La beLLe Verte
Partances par Técia Pépin Les incontournables Paris la belle verte Jardin des Tuileries Le Jardin des Tuileries est une belle manière de prendre le pouls de Paris, car il est situé au centre de la ville, près du métro Tuileries-Concorde. Avec ses 25,5 hectares, c’est le plus vaste et ancien jardin de Paris. Les larges allées de terre bordées par des pins et mûriers matures donnent une apparence royale à cet espace vert où 125 000 plantes et fleurs sont plantées annuellement. À l’est des Tuileries se trouve annexé le Jardin du Carrousel, plus fleuri et romantique, avec ses sculptures de marbre, dont certaines réalisées par Rodin. Les bassins d’eau avec les chaises tout autour invitent au farniente. En face du Jardin du Carrousel, le célèbre musée du Louvre. Bien que la Joconde soit la « résidante » la plus convoitée par les visiteurs, le Louvre conserve plus de 400 000 œuvres (peintures, sculptures, etc.) allant de l’A ntiquité à Tableau 1 Photo : Técia Pépin Paris compte plus de 400 parcs et jardins contribuant à en faire une des plus belles villes du monde. Les espaces verts font partie du mode de vie des Parisiens qui les fréquentent assidûment. Une vie culturelle et historique riche entoure ces lieux de beauté. Jardins du Caroussel nos jours. De ce nombre, 35 000 sont exposées. En sortant du Louvre, prenez la rue de Rivoli, ensuite l’avenue de l’Opéra et Halévy. Vous arriverez aux luxueuses Galeries Lafayette (avec leur impressionnante coupole de style byzantin en vitrail). Chanel et Gucci y côtoient Louis Vuitton et Givenchy. Effets indésirables rapportés chez ≥ 2 % des patients traités par TRAJENTAMC et à une fréquence au moins 2 fois plus élevée que sous placebo dans des études contrôlées par placebo sur TRAJENTAMC en monothérapie ou en traitement d’association Effets indésirables SyStème organique Linagliptine en monothérapie* Linagliptin + Metformin# Linagliptin + Sulfonylurea Tableau 4 Système organique/Effet indésirable Placebo N (%) Linagliptine N (%) 84 (100,0) 161 (100,0) Infections et infestations 4 (4,8) 20 (12,4) Rhinopharyngite 1 (1,2) 7 (4,3) Infection urinaire 0 (0,0) 5 (3,1) Nombre de patients Rhinopharyngite 7 (4,3) 1 (1,2) Toux 19 (2,4) 3 (1,1) Tableau 5 Troubles du métabolisme et de la nutrition Hypoglycémie 181 (22,9) 39 (14,8) 4 (2,4) 0 (0,0) Linagliptine en traitement d’association avec la metformine et une sulfonylurée (essai déterminant, à répartition aléatoire, à double insu, contrôlé par placebo et à groupes parallèles de l’efficacité et de l’innocuité de la linagliptine d’une durée de 24 semaines chez des patients atteints de diabète de type 2) : manifestations indésirables survenues à une fréquence ≥ 2 % et plus fréquemment sous linagliptine que sous placebo, sans égard au lien de causalité, par système organique et terme préconisé. Système organique/Effet indésirable Placebo N (%) Linagliptine N (%) 263 (100,0) 791 (100,0) Troubles généraux et affections au point d’injection 18 (6,8) 61 (7,7) Asthénie 5 (1,9) 19 (2,4) 76 (28,9) 169 (21,4) *Données groupées de 7 études #Données groupées de 2 études †Comprend des rapports d’hypertriglycéridémie (n = 2; 1,2 %) et d’augmentation des triglycérides sanguins (n = 2; 1,2 %) Nombre de patients La fréquence des manifestations indésirables survenues chez au moins 2 % des patients recevant TRAJENTAMC à 5 mg et à une fréquence supérieure à celle observée sous placebo, en traitement d’association avec la metformine, avec une sulfonylurée ou avec une association de metformine et d’une sulfonylurée, sans égard au lien de causalité, est présentée dans les Tableaux 2 à 5. Infections et infestations Tableau 2 Linagliptine en monothérapie (essai déterminant, à répartition aléatoire, à double insu, contrôlé par placebo et à groupes parallèles sur l’efficacité et l’innocuité de la linagliptine administrée sur une période de 24 semaines chez des patients atteints de diabète de type 2) : manifestations indésirables survenues à une fréquence ≥ 2 % et plus fréquemment sous linagliptine que sous placebo, sans égard au lien de causalité, par système organique et terme préconisé. Système organique/Effet indésirable Nombre de patients Épreuves Hausse de la glycémie Placebo N (%) Linagliptine N (%) 167 (100,0) 336 (100,0) 11 (6,6) 21 (6,3) 3 (1,8) 7 (2,1) Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif 10 (6,0) Dorsalgie 3 (1,8) 9 (2,7) Troubles du système nerveux 4 (2,4) 15 (4,5) Céphalée 2 (1,2) 9 (2,7) Troubles vasculaires 2 (1,2) 17 (5,1) Hypertension 2 (1,2) 12 (3,6) Tableau 3 32 (9,5) Linagliptine en traitement d’association avec la metformine (essai déterminant, à répartition aléatoire, à double insu, contrôlé par placebo et à groupes parallèles sur l’efficacité et l’innocuité de la linagliptine administrée sur une période de 24 semaines chez des patients atteints de diabète de type 2) : manifestations indésirables survenues à une fréquence ≥ 2 % et plus fréquemment sous linagliptine que sous placebo, sans égard au lien de causalité, par système organique et terme préconisé. Système organique/Effet indésirable Placebo N (%) Linagliptine N (%) 177 (100,0) 523 (100,0) 38 (21,5) 112 (21,4) Rhinopharyngite 9 (5,1) 27 (5,2) Grippe 5 (2,8) 18 (3,4) Infection des voies respiratoires supérieures 4 (2,3) 15 (2,9) 20 (11,3) 58 (11,1) Nombre de patients Infections et infestations Troubles gastro-intestinaux Diarrhée 4 (2,3) 15 (2,9) Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif 14 (7,9) 58 (11,1) Arthralgie 3 (1,7) 11 (2,1) Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 5 (2,8) 25 (4,8) Toux 3 (1,7) 11 (2,1) diantine en raison de sa proximité avec l’Université Paris VI. La Grande Mosquée de Paris (la plus grande de France) sera également sur votre chemin au 2, bis place du Puits-de-l’Ermite. La Grande Mosquée abrite une salle de prière, une cour intérieure, un minaret, un hammam et un restaurant. Des visites guidées sont organisées. Linagliptine en traitement d’association avec une sulfonylurée (essai déterminant, à Infections et infestations Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux Jardins des plantes Avant de vous rendre au Jardin des Plantes, vous pourriez être tenté de faire un saut rue Mouffetard, dans le 5e arrondissement. Cette sympathique rue, avec ses restaurants, cafés et boutiques d’artisanat, est une des plus anciennes de Paris. Elle est fréquentée le jour par une clientèle estu- répartition aléatoire, à double insu, contrôlé par placebo et à groupes parallèles sur l’efficacité et l’innocuité de la linagliptine administrée sur une période de 18 semaines chez des patients atteints de diabète de type 2) :manifestations indésirables survenues à une fréquence ≥ 2 % et plus fréquemment sous linagliptine que sous placebo, sans égard au lien de causalité, par système organique et terme préconisé. Linagliptin + Metformin + Sulfonylurea TRAJENTAMC Placebo TRAJENTAMC Placebo TRAJENTAMC Placebo TRAJENTAMC Placebo n = 765 (%) n = 458 (%) n = 590 (%) n = 248 (%) n = 161 (%) n = 84 (%) n = 791 (%) n = 263 (%) Hypertriglycéridémie† Emblème de Paris, la tour Eiffel est véritablement assaillie chaque jour par des milliers de touristes. Des ascenseurs vitrés vous mèneront au sommet de la structure imposante de 10 000 tonnes et de 324 mètres pour une vue panoramique de Paris. L’église du Sacré-Cœur, au sommet de la Butte Montmartre, offre aussi une vue saisissante sur Paris. Notre-Dame-de-Paris : 30 000 à 50 000 personnes pénètrent chaque jour dans cette mythique cathédrale gothique. Le cimetière du Père-Lachaise pour ses résidants, tels qu’Édith Piaf, Molière et Jim Morrison. Très paisible comme endroit. Visitez aussi le cimetière du Montparnasse, plus contemporain, où reposent Baudelaire, Sartre et Gainsbourg. Les sépultures vous surprendront par leur originalité. Rhinopharyngite 12 (4,6) 40 (5,1) Troubles du métabolisme et de la nutrition 68 (25,9) 246 (31,1) Hypoglycémie 39 (14,8) 180 (22,8) Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif 24 (9,1) 98 (12,4) Arthralgie 4 (1,5) 21 (2,7) Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 7 (2,7) 33 (4,2) Toux 3 (1,1) 19 (2,4) Troubles vasculaires 6 (2,3) 34 (4,3) Hypertension 5 (1,9) 19 (2,4) Effets indésirables moins fréquents observés au cours des essais cliniques Les effets indésirables moins fréquents (< 1 %) rapportés au cours des études cliniques en rapport avec le traitement par TRAJENTAMC ont été les réactions d’hypersensibilité (p. ex., urticaire, œdème de Quincke ou hyperréactivité bronchique). Dans le programme d’essais cliniques, une pancréatite a été signalée chez 8 patients sur 4687 (4311 années-patients d’exposition) recevant le traitement par TRAJENTAMC comparativement à 0 patient sur 1183 (433 années-patients d’exposition) dans le groupe recevant un placebo. Trois autres cas de pancréatite ont été rapportés après l’administration de la dernière dose de linagliptine. Anomalies des résultats d’analyses hématologiques et biochimiques Au cours des études contrôlées par placebo, l’intensité de l’hypoglycémie a été légère (6,8 %; n = 175) ou modérée (0,8 %; n = 21). Aucun cas d’hypoglycémie n’a été classé comme grave. Les changements dans les résultats des analyses de laboratoire étaient semblables chez les patients traités par TRAJENTAMC à 5 mg et les patients recevant un placebo. Les valeurs obtenues aux analyses de laboratoire suivantes ont été évaluées : hématologie, électrolytes, enzymes hépatiques, fonction rénale, cholestérol (y compris la bilirubine) et acide urique. Les changements dans les résultats de ces analyses qui se sont produits plus fréquemment dans le groupe recevant TRAJENTAMC et à une fréquence supérieure d’au moins 1 % à celle du groupe sous placebo sont les hausses de l’acide urique (1,3 % sous placebo, 2,7 % sous TRAJENTAMC). INTERACTIONS MÉDICAMENT-MÉDICAMENT Metformine : L’administration concomitante de multiples doses de 850 mg de metformine trois fois par jour et d’une dose suprathérapeutique de 10 mg de linagliptine une fois par jour n’a pas entraîné d’altération d’importance clinique de la pharmacocinétique de la linagliptine ou de la metformine chez des volontaires sains. Par conséquent, la linagliptine n’est pas un inhibiteur du transport dépendant du transporteur de cations organiques. Sulfonylurées : La pharmacocinétique à l’état d’équilibre de 5 mg de linagliptine (administrée une fois par jour pendant 5 jours) n’a pas été modifiée par l’administration concomitante d’une dose unique de 1,75 mg de glibenclamide (glyburide). Toutefois, une réduction sans importance clinique de 14 % de l’ASC et de la Cmax du glibenclamide a été observée. Étant donné que le glibenclamide est principalement métabolisé par la CYP2C9, ces données appuient également la conclusion que la linagliptine n’est pas un inhibiteur de la CYP2C9. On ne s’attend pas à ce qu’il se produise des interactions d’importance clinique avec d’autres sulfonylurées (p. ex., glipizide, tolbutamide et glimépiride) qui, comme le glibenclamide, sont principalement éliminées par la CYP2C9. Pioglitazone : L’administration concomitante de multiples doses quotidiennes de 10 mg de linagliptine (suprathérapeutiques) et de multiples doses quotidiennes de 45 mg de pioglitazone, un substrat de la CYP2C8 et de la CYP3A4, n’a produit aucun effet d’importance clinique sur la pharmacocinétique de la linagliptine, de la pioglitazone ou des métabolites actifs de cette dernière. Ceci indique que la linagliptine n’est pas un inhibiteur du métabolisme dépendant de la CYP2C8 in vivo et appuie la conclusion que l’inhibition de la CYP3A4 in vivo par la linagliptine est négligeable. Le Jardin des Plantes est à quelques minutes de marche de la Grande mosquée. Il s’agit en fait d’un jardin botanique à vocation éducative afin de faire connaître la diversité végétale et animale qui peuple la planète. Neuf jardins thématiques sont proposés, dont la roseraie, le potager et les serres tropicales. Suite à la page 89 Ritonavir : Une étude a été réalisée pour évaluer l’effet du ritonavir, un puissant inhibiteur de la glycoprotéine P et de la CYP3A4, sur la pharmacocinétique de la linagliptine. L’administration concomitante d’une dose unique de 5 mg de linagliptine par voie orale et de 200 mg de ritonavir deux fois par jour par voie orale pendant trois jours a entraîné une hausse de l’ASC et de la Cmax de la linagliptine d’environ deux et trois fois respectivement. Des simulations des concentrations plasmatiques de la linagliptine à l’équilibre en présence et en l’absence de ritonavir ont indiqué que la hausse de l’exposition ne serait pas associée à une accumulation accrue. Ces altérations de la pharmacocinétique de la linagliptine n’ont pas été considérées comme étant d’importance clinique. Par conséquent, on ne s’attend pas à ce qu’il y ait des interactions d’importance clinique avec d’autres inhibiteurs de la glycoprotéine P/ CYP3A4 et aucun ajustement posologique n’est requis. Rifampicine : Une étude a été menée pour évaluer l’effet de la rifampicine, un puissant inducteur de la glycoprotéine P et de la CYP3A4, sur la pharmacocinétique de la linagliptine à 5 mg. L’administration concomitante de linagliptine et de rifampicine a entraîné des baisses respectives de 39,6 % et de 43,8 % de l’ASC et de la Cmax de la linagliptine à l’équilibre, et une baisse de l’inhibition de la DPP-4 d’environ 30 % à la concentration minimale. Par conséquent, la pleine efficacité pourrait ne pas être obtenue lors de l’administration concomitante prolongée de linagliptine et de rifampicine (ou d’un autre inducteur puissant de la P-gp/CYP3A4). Le médecin doit surveiller étroitement la glycémie. Si l’efficacité était insuffisante, le médecin devrait envisager de substituer à l’inducteur de la P-gp/CYP3A4 un composé qui n’induit pas la P-gp/CYP3A4 ou de substituer un autre antidiabétique oral à TRAJENTAMC (voir aussi mises en garde et précautions: Endocrinien/métabolisme et Surveillance et épreuves de laboratoire). Digoxine : L’administration concomitante de multiples doses quotidiennes de 5 mg de linagliptine et de multiples doses de 0,25 mg de digoxine n’a pas eu d’effet sur la pharmacocinétique de la digoxine chez des volontaires sains. Par conséquent, la linagliptine n’est pas un inhibiteur du transport dépendant de la glycoprotéine P in vivo. Warfarine : De multiples doses quotidiennes de 5 mg de linagliptine n’ont pas altéré la pharmacocinétique des isomères S(-) ou R(+) de la warfarine, un substrat de la CYP2C9, ce qui montre que la linagliptine n’est pas un inhibiteur de la CYP2C9. Simvastatine : De multiples doses quotidiennes de linagliptine ont eu un effet minime sur la pharmacocinétique à l’équilibre de la simvastatine, un substrat sensible de la CYP3A4, chez des volontaires sains. Après l’administration de 10 mg de linagliptine en concomitance avec 40 mg de simvastatine chaque jour pendant 6 jours, l’ASC plasmatique de la simvastatine avait augmenté de 34 % et la Cmax plasmatique, de 10 %. Par conséquent, la linagliptine est peu susceptible de provoquer des interactions d’importance clinique avec la simvastatine (ou d’autres statines ayant des voies d’élimination semblables). La linagliptine est considérée comme un inhibiteur faible du métabolisme dépendant de la CYP3A4, et un ajustement posologique des substances métabolisées par la CYP3A4 qui sont administrées en concomitance n’est pas considéré comme nécessaire. Contraceptifs oraux : L’administration concomitante avec 5 mg de linagliptine n’a pas altéré la pharmacocinétique à l’équilibre du lévonorgestrel ou de l’éthinylœstradiol. POSOLOGIE ET ADMINISTRATION SURDOSAGE Symptômes : Durant les essais cliniques contrôlés chez des sujets en bonne santé, des doses uniques allant jusqu’à 600 mg de linagliptine (équivalant à 120 fois la dose recommandée) ont été bien tolérées. On ne dispose d’aucune donnée sur des doses supérieures à 600 mg chez l’humain. Traitement : En cas de surdosage, il est raisonnable de recourir aux mesures de soutien habituelles, par exemple, enlèvement du matériel non absorbé du tube digestif, surveillance clinique et instauration de mesures d’appoint au besoin. On ne s’attend pas à ce que la linagliptine soit éliminée à un degré d’importance thérapeutique par l’hémodialyse ou la dialyse péritonéale. EN CAS DE SURDOSAGE SOUPÇONNÉ, COMMUNIQUEZ AVEC LE CENTRE ANTIPOISON DE VOTRE RÉGION. La monographie de produit est disponible sur demande. Trajenta est une marque de commerce de Boehringer Ingelheim International GmbH. Boehringer Ingelheim (Canada) Ltée 5180 South Service Road Burlington, Ontario L7L 5H4 Promotion conjointe par : Eli Lilly Canada Inc. 3650 Danforth Avenue Toronto, Ontario M1N 2E8 14 décembre 2011 | www.ProfessionSante.ca | L’actualité médicale | 87 Partances Suite de la page 87 Les enfants apprécieront la Ménagerie du Jardin, un zoo où cohabitent 1800 espèces animales, dont le tiers est menacé d’extinction. À la Galerie de paléontologie, ils auront droit à une collection intéressante de fossiles de dinosaures. Des aires de jeux sont aménagées dans le Jardin des Plantes. Pour poursuivre votre journée, rendez-vous près du pont d’Austerlitz où le Batobus vous attend. Pour 14 euros, vous aurez le forfait « 1 jour » pour vous déplacer entre huit escales populaires, comme les Champs-Élysées, le Musée d’Orsay et la tour Eiffel. Une plaisante façon de découvrir Paris vue de la Seine. Parc des Buttes-Chaumont Le parc des Buttes-Chaumont pourrait être le plus beau et spectaculaire parc que vous aurez vu de votre vie. On reste sans voix devant la somptuosité de ce parc à la végétation luxuriante. Sur d’anciennes carrières de gypse, Napoléon III décida de le transformer en jardin. La tâche fut colossale, nécessitant 1000 ouvriers. Inauguré en 1867, le parc des Buttes-Chaumont figure parmi les parcs les plus prisés des Parisiens. Et pour cause, une promenade dans Effets neurologiques Effets sur la capacité de conduire et de faire fonctionner des machines : Aucune étude n’a été effectuée concernant les effets de BRILINTA sur la capacité de conduire et de faire fonctionner des machines. BRILINTA a une influence négligeable ou nulle sur la capacité de conduire et de faire fonctionner des machines. Durant le traitement du syndrome coronarien aigu, des étourdissements et de la confusion ont été rapportés. Par conséquent, les patients qui éprouvent ces symptômes devraient user de prudence lorsqu’ils conduisent ou font fonctionner des machines. Considérations périopératoires Chez les patients de l’étude PLATO ayant subi un pontage aortocoronarien (PAC), BRILINTA a été associé à un taux d’hémorragies majeures comparable à celui observé avec le clopidogrel tous les jours ayant suivi l’arrêt du traitement sauf au jour 1, où BRILINTA a été associé à un taux plus élevé d’hémorragies majeures. En raison de la liaison réversible de BRILINTA, le retour de l’agrégation plaquettaire se produit plus rapidement avec BRILINTA qu’avec le clopidogrel. Lors de l’étude OFFSET, le pourcentage moyen de l’inhibition de l’agrégation plaquettaire induite par le ticagrélor, 72 heures après l’administration de la dose, était comparable au pourcentage moyen de l’inhibition de l’agrégation plaquettaire (IAP) induite par le clopidogrel 120 heures après l’administration de la dose. L’arrêt plus rapide de l’effet pourrait permettre de prédire une réduction du risque de complications hémorragiques (p. ex. dans le cas où il faut cesser temporairement le traitement antiplaquettaire en raison d’une chirurgie ou d’un trauma). Aperçu des effets indésirables du médicament Dans l’étude PLATO, au total, 6762 patients présentant un syndrome coronarien aigu (API, NSTEMI et STEMI) ont été exposés à BRILINTA (dose d’attaque de 180 mg suivie d’une dose d’entretien de 90 mg deux fois par jour) pendant au moins 6 mois et jusqu’à 12 mois pour 3138 d’entre eux. Les manifestations indésirables graves ont été rapportées à des fréquences semblables chez les patients traités par BRILINTA (20,2 %) et le clopidogrel (20,3 %). Les manifestations indésirables graves les plus fréquemment observées ont été l’insuffisance cardiaque (1,1 % vs 1,0 %), les douleurs thoraciques non cardiaques (0,9 % vs 0,9 %) et la dyspnée (0,7 % vs 0,4 %). Le taux d’abandon du traitement par le médicament à l’étude en raison de manifestations indésirables a été de 7,4 % sous BRILINTA et de 5,4 % sous clopidogrel. La dyspnée a été la manifestation indésirable ayant mené le plus souvent à l’abandon du traitement dans le cas de BRILINTA (0,9 % sous BRILINTA et 0,1 % sous clopidogrel). Effets indésirables au cours d’essais cliniques Puisque les essais cliniques sont menés dans des conditions très particulières, il est possible que les taux des effets indésirables observés ne reflètent pas les taux observés en pratique; ils ne doivent donc pas être comparés aux taux observés dans le cadre des essais cliniques portant sur un autre médicament. Les renseignements sur les effets indésirables associés à un médicament qui sont tirés d’essais cliniques s’avèrent utiles pour la détermination des manifestations indésirables liées aux médicaments et pour l’approximation des taux. Événements hémorragiques : Le critère principal d’évaluation de l’innocuité de l’étude PLATO était composé du «total des hémorragies majeures» et comprenait les «hémorragies majeures mortelles/mettant la vie en danger» et les «autres hémorragies majeures». Le Tableau 2 présente les taux d’événements hémorragiques sur 12 mois chez les patients de l’étude PLATO (événements définis selon les critères de l’étude PLATO). Tableau 2 : Analyse de l’ensemble des événements hémorragiques définis selon les critères de l’étude PLATO BRILINTA (%) n = 9235 Clopidogrel (%) n = 9186 Valeur p* 11,2 0,4336 5,8 5,8 0,6988 16,1 14,6 0,0084 3,1 2,3 0,0058 5,9 4,3 < 0,0001 4,5 3,8 0,0264 2,1 1,9 0,2516 Critère principal d’évaluation de l’innocuité Total des hémorragies majeures 11,6 Critères secondaires d’évaluation de l’innocuité Hémorragies majeures mortelles/ mettant la vie en danger Total combiné des hémorragies majeures + mineures Hémorragies majeures non liées à une intervention Hémorragies majeures + mineures non liées à une intervention Hémorragies majeures totales non liées à un PAC Hémorragies majeures mortelles/ mettant la vie en danger non liées à un PAC *Valeur p nominale non corrigée pour les tests multiples. PAC = Pontage aortocoronarien. Hémorragie majeure mortelle/mettant la vie en danger : Cliniquement apparente avec réduction > 50 g/L de l’hémoglobine ou transfusion de ≥ 4 unités de globules rouges; ou mortelle; ou intracrânienne; ou intrapéricardique avec tamponnade cardiaque; ou avec choc hypovolémique/hypotension grave exigeant des vasopresseurs ou une chirurgie. Autre hémorragie majeure : Cliniquement apparente avec réduction de 30-50 g/L de l’hémoglobine ou transfusion de 2-3 unités de globules rouges, ou significativement invalidante. Hémorragie mineure : Nécessite une intervention médicale pour arrêter ou traiter l’hémorragie. Il est survenu peu d’événements hémorragiques mortels au cours de l’étude, soit 20 (0,2 %) sous BRILINTA et 23 (0,3 %) sous clopidogrel. Lorsque les hémorragies mineures ont été prises en compte, le taux combiné d’hémorragies majeures et mineures selon les critères de l’étude PLATO était significativement plus élevé sous BRILINTA que sous clopidogrel. Siège des hémorragies de la catégorie «total des hémorragies majeures + mineures» (BRILINTA vs clopidogrel) : intracrânien = 0,3 % vs 0,2 %, péricardique = 0,1 % vs 0,1 %, rétropéritonéal = 0,03 % vs 0,03 %, intra-oculaire = 0,02 % vs 0,04 % et intra-articulaire = 0,02 % vs 0,01 %. Autres sièges courants par ordre de fréquence : gastro-intestinal = 1,8 % vs 1,5 %, épistaxis = 1,3 % vs 0,7 %, urinaire = 0,5 % vs 0,4 %, sous-cutané/cutané = 0,5 % vs 0,4 % et hémoptysie = 0,1 % vs 0,08 %. Hémorragie mortelle non liée à une intervention : Aucune différence n’a été observée entre BRILINTA et le clopidogrel en ce qui a trait à l’ensemble des hémorragies mortelles non liées à une intervention. Il y a eu un plus grand nombre d’événements hémorragiques intracrâniens non liés à une intervention de la catégorie «hémorragies majeures mortelles/ mettant la vie en danger» avec BRILINTA (n = 27, 0,3 %) que sous clopidogrel (n = 14, 0,2 %). Parmi les événements hémorragiques intracrâniens non liés à une intervention, 11 ont été mortels sous BRILINTA et 1 sous clopidogrel. Il y a eu autant d’hémorragies gastro- Photo : Técia Pépin pont relie les rives nord et sud du parc à l’île du Belvédère. Sur cette île, le Temple de la Sybille surmonte une falaise de 30 mètres avec plantes grimpantes et arbres. On a l’impres sion d’être suspendu au-dessus de Paris. Afin de terminer la journée en beauté, direction canal Saint-Martin et ses neuf écluses. Privilégiez le côté Quai de Valmy avec ses restaurants et boutiques branchés. Avant de partir Parc des Buttes-Chaumont le coin de verdure du 19e arrondissement réserve de belles surprises : un lac, où les canards trouvent re- fuge, une grotte de 20 mètres avec des stalactites et une chute d’eau, ainsi que le pont des Suicidés. Ce intestinales majeures mortelles/mettant la vie en danger sous BRILINTA et sous clopidogrel, le nombre d’événements mortels étant plus élevé sous clopidogrel (5) que sous BRILINTA (aucun). Hémorragies dans les sous-groupes de patients : Les caractéristiques initiales, dont l’âge, le sexe, le poids, la race, la région géographique, les antécédents médicaux, les affections concomitantes et les traitements concomitants, ont été examinées pour évaluer une éventuelle hausse du risque d’hémorragie avec BRILINTA. Aucun groupe de risque en particulier n’a été mis en évidence pour l’une ou l’autre des sous-catégories d’hémorragies. Le Tableau 3 présente les taux globaux d’événements hémorragiques définis selon les critères de TIMI. Tableau 3 : Analyse de l’ensemble des événements hémorragiques définis selon les critères de TIMI BRILINTA (%) n = 9235 Clopidogrel (%) n = 9186 Valeur p Hémorragies majeures 7,9 7,7 0,5669 Hémorragies majeures + mineures 11,4 10,9 0,3272 2,8 2,2 0,0246 4,5 3,6 0,0093 Hémorragies majeures non liées à un PAC Hémorragies majeures + mineures non liées à un PAC Hémorragie majeure selon les critères de TIMI : Cliniquement apparente avec une réduction > 50 g/L de l’hémoglobine ou une hémorragie intracrânienne. Hémorragie mineure selon les critères de TIMI : Cliniquement apparente avec une réduction de 30 à ≤ 50 g/L de l’hémoglobine. Les autres effets indésirables médicamenteux cliniques qui ont été rapportés comme ayant un lien possible ou probable avec BRILINTA sont énumérés ci-dessous par appareil ou système : Fréquents (≥ 1 % à < 10 %) • Troubles de la peau et du tissu sous-cutané : hémorragie sous-cutanée ou cutanée • Troubles gastro-intestinaux : hémorragie gastro-intestinale • Troubles rénaux et urinaires : hémorragie des voies urinaires Peu fréquents (≥ 0,1 % à < 1 %) • Troubles du système nerveux : hémorragie intracrânienne (peut être mortelle ou mettre la vie en danger), confusion, paresthésie • Troubles gastro-intestinaux : gastrite, hémorragie rétropéritonéale • Troubles oculaires : hémorragie oculaire (intraoculaire, conjonctivale, rétinienne) • Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux : hémoptysie Rares (≥ 0,01 % à < 0,1 %) • Troubles musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et de l’os : hémarthrose INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES : Interactions médicament-médicament Effets d’autres médicaments sur BRILINTA Kétoconazole (inhibiteurs puissants du CYP 3A4) : L’administration concomitante de kétoconazole et de ticagrélor a multiplié par 2,4 la concentration plasmatique maximale (Cmax) du ticagrélor et par 7,3 son aire sous la courbe (ASC). La Cmax et l’ASC du métabolite actif ont été réduites de 89 % et de 56 %, respectivement. Les autres inhibiteurs puissants du CYP 3A4 (clarithromycine, néfazodone, ritonavir et atazanavir), qui auraient probablement des effets similaires, sont contre-indiqués en concomitance avec BRILINTA. Diltiazem (inhibiteurs modérés du CYP 3A4) : L’administration concomitante de diltiazem et de ticagrélor a augmenté de 69 % la Cmax du ticagrélor et de 174 % son ASC, et elle a abaissé de 38 % la Cmax de son métabolite actif, tandis que l’ASC de celui-ci est demeurée inchangée. Le ticagrélor n’a eu aucun effet sur les concentrations plasmatiques de diltiazem. Les autres inhibiteurs modérés du CYP 3A4 (p. ex. amprénavir, aprépitant, érythromycine, fluconazole et vérapamil) auraient probablement des effets similaires. Comme ces variations de l’exposition ne sont pas considérées comme cliniquement significatives, ces médicaments peuvent donc être administrés en concomitance avec BRILINTA. Rifampicine et autres inducteurs du CYP 3A4 : L’administration concomitante de rifampicine et de ticagrélor a diminué de 73 % la Cmax du ticagrélor et de 86 % son ASC. La Cmax de son métabolite actif est demeurée inchangée et l’ASC de celui-ci a diminué de 46 %. Les autres inducteurs du CYP 3A4 (p. ex. dexaméthasone, phénytoïne, carbamazépine et phénobarbital) pourraient également diminuer l’exposition au ticagrélor et entraîner une réduction de l’efficacité de BRILINTA. Autres : Les études de pharmacologie clinique sur les interactions montrent que l’administration concomitante de ticagrélor et d’héparine, d’énoxaparine et d’AAS n’a eu aucun effet sur la concentration plasmatique du ticagrélor ou de son métabolite actif. L’administration concomitante de ticagrélor et d’héparine n’a eu aucun effet sur l’héparine d’après la mesure du temps de céphaline activé et du temps de coagulation activé. L’administration concomitante de ticagrélor et d’énoxaparine n’a eu aucun effet sur l’énoxaparine d’après le dosage du facteur Xa. Effets de BRILINTA sur d’autres médicaments Simvastatine : L’administration concomitante de ticagrélor et de simvastatine a augmenté de 81 % la Cmax de la simvastatine et de 56 % son ASC, et elle a augmenté de 64 % la Cmax de la simvastatine acide et de 52 % son ASC, les valeurs étant de 2 à 3 fois plus élevées dans certains cas. Il convient de prendre en considération la signification clinique de l’ampleur et de la portée des variations quant à l’exposition chez les patients ayant besoin d’une dose de simvastatine supérieure à 40 mg. La simvastatine n’a pas eu d’effet sur les concentrations plasmatiques du ticagrélor. Il est possible que BRILINTA ait des effets similaires sur la lovastatine, mais on ne s’attend pas à ce que cet agent ait un effet d’importance clinique sur les autres statines. Atorvastatine : L’administration concomitante d’atorvastatine et de ticagrélor a augmenté de 23 % la Cmax de l’atorvastatine acide et de 36 % son ASC. Des augmentations similaires de l’ASC et de la Cmax ont été observées pour tous les métabolites acides de l’atorvastatine. Ces augmentations ne sont pas considérées comme cliniquement significatives. Tolbutamide : L’administration concomitante de ticagrélor et de tolbutamide n’a entraîné aucune variation de la concentration plasmatique de ces médicaments, ce qui montre que le ticagrélor n’est pas un inhibiteur du CYP 2C9 et qu’il est peu susceptible d’altérer la biotransformation d’autres médicaments métabolisés par le CYP 2C9. Warfarine : Aucune étude portant sur l’interaction médicamenteuse avec la warfarine n’a été réalisée. Comme c’est le cas avec les autres traitements antiplaquettaires oraux, il existe un risque accru de saignement. Par conséquent, il faut procéder avec prudence lors de l’administration concomitante de warfarine et de BRILINTA. Contraceptifs oraux : L’administration concomitante de ticagrélor et de lévonorgestrel et d’éthinylestradiol a augmenté l’exposition à l’éthinylestradiol d’environ 20 %, mais n’a pas eu d’effet sur la pharmacocinétique du lévonorgestrel. On ne s’attend à aucun effet d’importance clinique sur l’efficacité des contraceptifs oraux lorsque le lévonorgestrel et l’éthinylestradiol sont administrés en concomitance avec BRILINTA. Site Internet de l’Office de tourisme de Paris www.parisinfo.com/ Digoxine (substrat de la glycoprotéine P) : L’administration concomitante de ticagrélor a augmenté de 75 % la Cmax de la digoxine et de 28 % son ASC. Par conséquent, une surveillance appropriée de l’état clinique et/ou des résultats d’épreuves de laboratoire est recommandée lors de l’administration concomitante de BRILINTA et de médicaments dépendants de la glycoprotéine P ayant une marge thérapeutique étroite, tels que la digoxine. Autres médicaments concomitants : Dans les études cliniques, BRILINTA a couramment été administré en concomitance avec de l’AAS, de l’héparine, de l’héparine de faible poids moléculaire, des inhibiteurs de la GpIIb/IIIa administrés par voie intraveineuse, des inhibiteurs de la pompe à protons, des statines, des bêta-bloquants, des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et des antagonistes des récepteurs de l’angiotensine au besoin, pour traiter des affections concomitantes. Ces études n’ont révélé aucune indication d’interactions indésirables d’importance clinique. POSOLOGIE ET ADMINISTRATION : Généralités Les données de l’étude PLATO semblent indiquer que l’efficacité de BRILINTA (ticagrélor) par rapport au clopidogrel est associée à la dose d’AAS administrée durant le traitement d’entretien. Ainsi, les patients recevant une faible dose d’entretien d’AAS tirent plus de bienfaits que ceux qui en reçoivent une dose élevée. Comme les données des patients recevant une dose d’entretien élevée d’AAS (> 300 mg par jour) ne fournissent pas de preuves concluantes de l’efficacité de BRILINTA comparativement au clopidogrel, une dose d’entretien élevée d’AAS (> 150 mg par jour) n’est pas recommandée pour la bithérapie antiplaquettaire d’entretien avec BRILINTA. Il n’y a pas de preuves concluantes concernant le mécanisme biologique sousjacent. D’après une analyse des données cliniques disponibles, il est recommandé d’utiliser BRILINTA avec une faible dose d’entretien quotidienne d’AAS (75-150 mg). En outre, on ne dispose d’aucune donnée sur l’innocuité et l’efficacité de l’emploi de BRILINTA pendant plus d’un an. Posologie recommandée et ajustement posologique Passage du clopidogrel à BRILINTA : Les patients peuvent passer du clopidogrel à BRILINTA sans interruption de l’effet antiplaquettaire. Ce changement se traduit par une hausse absolue de l’inhibition de l’agrégation plaquettaire (IAP) de 26,4 %. Inversement, le passage de BRILINTA au clopidogrel se traduit par une réduction absolue de l’IAP de 24,5 %. Les cliniciens qui souhaitent faire passer des patients du clopidogrel à BRILINTA doivent administrer la première dose de 90 mg de BRILINTA 24 heures après la dernière dose de clopidogrel. Considérations posologiques dans des cas particuliers Personnes âgées (≥ 65 ans) : Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients âgés (≥ 65 ans). Patients présentant une insuffisance rénale : Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients présentant une atteinte rénale. Aucune étude clinique n’a été réalisée chez les patients sous dialyse rénale. Le ticagrélor ne serait pas dialysable. Il faut prendre des précautions appropriées chez les patients qui ont besoin d’un traitement de substitution rénale. Patients présentant une insuffisance hépatique : Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients présentant une atteinte hépatique légère. BRILINTA n’a pas été étudié chez les patients présentant une atteinte hépatique modérée ou grave. SURDOSAGE : Pour traiter une surdose médicamenteuse présumée, communiquez avec le centre antipoison de votre région. Traitement On ne connaît actuellement aucun antidote qui pourrait renverser les effets de BRILINTA (ticagrélor), et on ne s’attend pas à ce que le ticagrélor soit dialysable. Le traitement d’un surdosage doit suivre la pratique médicale standard locale. L’effet attendu d’une surdose de BRILINTA est la prolongation du risque d’hémorragie associé à l’inhibition plaquettaire. S’il se produit une hémorragie, les mesures de soutien appropriées doivent être prises. MODE D’ACTION ET PHARMACOLOGIE CLINIQUE : Pharmacodynamique L’inhibition de l’agrégation plaquettaire (IAP) médiée par le ticagrélor augmente avec la hausse des concentrations plasmatiques du ticagrélor et de son métabolite actif (AR-C124910XX) jusqu’à l’atteinte d’une inhibition presque complète. L’IAP diminue graduellement à mesure que baissent les concentrations plasmatiques du ticagrélor et de son métabolite actif, étant donné que l’IAP due au ticagrélor est réversible. Le ticagrélor se liant de manière réversible au récepteur P2Y12, on s’attend à ce que le rétablissement de la fonction plaquettaire soit dépendant des concentrations plasmatiques du ticagrélor et de son métabolite actif et non du remplacement des plaquettes irréversiblement inhibées, comme c’est le cas avec les antiplaquettaires de la classe des thiénopyridines. L’IAP produite par le ticagrélor est généralement indépendante de facteurs tels que la race, la présence d’affections hépatiques ou rénales, ou l’administration concomitante d’AAS, d’héparine et d’énoxaparine. Pharmacocinétique Le ticagrélor affiche une pharmacocinétique linéaire. L’exposition au ticagrélor et à son métabolite actif est à peu près proportionnelle à la dose. Date de préparation : 26 mai 2011 Le Résumé des renseignements posologiques présente les renseignements les plus récents au moment de l’impression. Pour accéder aux renseignements les plus à jour, consultez la monographie du produit (préparée pour les professionnels de la santé) en visitant www.astrazeneca.ca ou en communiquant avec AstraZeneca Canada Inc. BRILINTA® et le logo d’AstraZeneca sont des marques déposées du groupe AstraZeneca. © AstraZeneca 2011 AstraZeneca Canada Inc. 1004 Middlegate Road Mississauga, Ontario L4Y 1M4 www.astrazeneca.ca 14 décembre 2011 | www.ProfessionSante.ca | L’actualité médicale | 89