Changements du théâtre - École Nationale Supérieure d
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Changements du théâtre - École Nationale Supérieure d
Ecole nationale supérieure d’architecture de Nantes Séminaire de recherche, rencontres de scénographes GERSA Groupe d’étude et de recherche scénologique en architecture/BRAUP Cycle de formation supérieure Scénographe DPEA Département scénographie Changements de décors « Changements du théâtre ? » saison 2013-2014 Métamorphose scénique au théâtre et à l’opéra : toiles peintes, châssis, trucs, Pepper's ghost, fantasmagorie, et autres pratiques aujourd’hui Jeudi 14 novembre ensa nantes, amphi 150 (de 10 h à 17 h) Jean-Pierre Vergier à propos de Cyrano, mise en scène Georges Lavaudant, et de bien d’autres choses Esquisse de Jean-Pierre Vergier Le Groupe d’étude et de recherche scénologique en architecture (GERSA) au sein du Département scénographie de l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Nantes propose depuis 2006 un séminaire de recherche, organisé autour de rencontres avec des scénographes. Il s’agit d’appréhender la pratique théâtrale (au sens générique d’art de la scène), à travers la scénographie en lien avec l’architecture, et plus particulièrement de se concentrer sur la métamorphose de la scène et de l’image scénique à travers la pratique du changement de décor, pratique théâtrale qui remonte au XVIIe siècle. Cette question de la métamorphose concerne l’art du théâtre lui-même, dont la scénographie peut être un indice précieux. Jean Pierre Vergier (1944, Riorges) Electromécanicien de formation, il devient graphiste avant de rencontrer Ariel Garcia-Valdès, puis Georges Lavaudant en 1973. Il réalise pour ce dernier, son premier décor. Dès lors, ils seront associés pour la plupart des créations à Grenoble, à Villeurbanne, puis à l’Odéon ainsi qu’à l’opéra ou dans les festivals. Il a travaillé par ailleurs avec Daniel Mesguich, Bruno Boëglin, Bruno Bayen, Ariel Garcia-Valdès. Jean Pierre Vergier reconnaît l’influence déterminante sur lui de la photographie. Les images fortes, voire grandioses, qu’il conçoit en font un maître de ce que l’on a appelé le théâtre de l’image, créant des atmosphères raffinées et inquiétantes qui ne s’oublient pas. Toutefois, il serait fallacieux de l’y réduire car il maîtrise la boîte scénique avec un art consommé de la construction architecturale. Luc Boucris, Scénographes en France, Actes Sud, 2013 Parmi plus de 80 réalisations, citons Lorenzaccio de Musset (1973), premier décor, Palazzo mentale de Pierre Bourgeade (1976), Les Géants de la montagne de Pirandello (1981), Eine florentinische Tragödie (Une tragédie florentine), opéra en un acte d’Alexander von Zemlinsky (2012) Syllabaire pour Phèdre de Maurice Ohana, Didon et Enée de Henry Purcell, mise en scène Ariel Garcia Valdès, à l’Opéra de Vichy en 1991. Le décor avait été construit dans les ateliers du département scénographie, alors situé à Clermont-Ferrand. La scénographie de Jean-Pierre Vergier pour la mise en scène d’Hamlet par Daniel Mesguich (1977) est présente parmi les dix scénographies choisies pour Dramaturgie/Scénographie, les mots et la matière, exposition conçue par Guy-Claude François pour la Bibliothèque publique d'information, à Paris, 1992. Cette exposition est déposée à l’ensa nantes. Jean-Pierre Vergier a mis en scène Le Roi des fées de Marc Cholodenko en 1986 au TNP Villeurbanne. Georges Lavaudant a fondé le Théâtre Partisan à Grenoble en 1969. Il a dirigé le CDNA à Grenoble à la Maison de la Culture de 1976 à 1986, leThéâtre National Populaire de 1986 à 1996, l’Odéon-Théâtre de l'Europe de 1996 à 2006. Il a fondé LG Théâtre en 2007. Cyrano de Bergerac Texte Edmond Rostand, Mise en scène Georges Lavaudant, Dramaturgie Daniel Loayza, Décor & costumes JeanPierre Vergier, Assistante costumes Géraldine Ingremeau, Son Jean-Louis Imbert, Lumières Georges Lavaudant, Maître d’armes François Rostain, Maquillages et effets spéciaux Sylvie Cailler, Perruques Jocelyne Milazzo, Assistante à la mise en scène Fani Carenco Construction des décors et réalisation des costumes Ateliers de la MC93 Maison de la culture de la Seine-SaintDenis. Le spectacle a été créé aux Nuits de Fourvière en juin 2013 dans le théâtre antique, et repris en salle à la rentrée pour une longue tournée. Il y a donc eu deux scénographies. « Depuis toujours, l’ancien directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe est sensible aux identités qui se bâtissent en doutant d’elles-mêmes, poussées en avant par leur fêlure. Cyrano, lui aussi, s'est voulu ce qu'il est. Signant son nom à la pointe de son épée et de sa plume, Cyrano, né de l’excès, est toujours “trop” Cyrano, superlativement drôle, incomparablement brave. Toujours en représentation, et aspirant toujours à cet instant d'extase où il pourra se mettre à nu, dire ce qui lui est interdit et découvrir enfin, jetant bas le masque de la laideur, le vrai visage qu'il se rêve. C’est comme si cet homme-panache ne vivait que d’un crédit tiré sur son propre néant, et dont il paye les intérêts de beaux gestes et de bons mots, ardents, étincelants, spirituels jusqu'au dernier, lestés du poids d’une existence qui se sait si vide et fragile ». Daniel Loayza, présentation MC 93 Bobigny « Dans un premier temps, je me suis dit tout simplement qu’il fallait le prendre un peu au pied de la lettre. Si je monte Cyrano, je dois assumer de me confronter à un texte populaire. Pour moi, c’est un exercice difficile et inattendu, dans un registre très nouveau. La première étape du travail consiste à ne pas esquiver les données qui font partie du charme: le brio, les mousquetaires, les duels. Il y a un plaisir enfantin à cela, mais il ne doit pas devenir infantile et, sans faire le malin avec la pièce ni succomber à la facilité, il faut tenter d’approfondir les situations, gagner en subtilité et en sincérité. (…) Cyrano est fort pour masquer sa fêlure. C’est l’enjeu de la pièce ». « Il y a un tel souffle dans les vers, une telle vibration, qu’on pourrait jouer la pièce dans sa nudité, presque sans décors » Georges Lavaudant, Propos recueillis par Géraldine Mercier, mai 2013, dossier du Scérén « Pièce démontée ». « Georges Lavaudant s’appuie sur un comédien qu’il affectionne particulièrement, Patrick Pineau, pour donner naissance à un Cyrano tout en contrastes. Le projet de mise en scène qu’il conçoit se joue habilement des attentes du public. Décors et costumes interrogent sans cesse l’actualité de la pièce, tout en s’inscrivant dans une sobriété élégante qui rend au personnage toute sa force ». Edito du dossier du Scérén « Pièce démontée ». Les lieux Cyrano de Bergerac est une pièce en cinq actes, qui comporte comme de tradition cinq décors, cinq lieux, donc des changements de décor. L’acte I se déroule lors d’une représentation à l’Hôtel de Bourgogne. L’acte II se déroule dans la boutique de Ragueneau, rôtisseur-pâtissier et poète. L’acte III se déroule sur une petite place de l’ancien Marais, sous le balcon de Roxane. L’acte IV se déroule sur un champ de bataille, dans le poste de combat des Gascons durant le siège d’Arras où le régiment de Cyrano va assiéger la ville. L’acte V se déroule dans le parc du couvent parisien des Dames de la Croix où Roxane s’est retirée et où Cyrano vient lui rendre visite. Les quatre premiers actes ont lieu siège d’Arras, en 1655. entre le 3 juin et le 9 août 1640. Le cinquième acte a lieu 15 ans après le Détail des didascalies Acte I : La salle de l’hôtel de Bourgogne La salle de l’hôtel de Bourgogne, en 1640. Sorte de hangar de jeu de paume aménagé et embelli pour des représentations. La salle est un carré long ; on la voit en biais, de sorte qu’un de ses côtés forme le fond qui part du premier plan, à droite, et va au dernier plan, à gauche, faire angle avec la scène qu’on aperçoit en pan coupé. Cette scène est encombrée, des deux côtés, le long des coulisses, par des banquettes. Le rideau est formé par deux tapisseries qui peuvent s’écarter. Au-dessus du manteau d’arlequin, les armes royales. On descend de l’estrade dans la salle par de longues marches. De chaque côté de ces marches, la place des violons. Rampe de chandelles... Deux rangs superposés de galeries latérales : le rang supérieur est divisé en loges. Pas de sièges au parterre, qui est la scène même du théâtre ; au fond de ce parterre, c’est-à-dire à droite, premier plan, quelques bancs formant gradins et, sous un escalier qui monte vers des places supérieures et dont on ne voit que le départ, une sorte de buffet orné de petits lustres, de vases fleuris, de verres de cristal, d’assiettes de gâteaux, de flacons, etc. Au fond, au milieu, sous la galerie de loges, l’entrée du théâtre. Grande porte qui s’entrebâille pour laisser passer les spectateurs. Sur les battants de cette porte, ainsi que dans plusieurs coins et au-dessus du buffet, des affiches rouges sur lesquelles on lit : La Clorise. Acte II : La boutique de Ragueneau La boutique de Ragueneau, rôtisseur pâtissier, vaste ouvroir au coin de la rue Saint-Honoré et de la rue de l’ArbreSec qu’on aperçoit largement au fond, par le vitrage de la porte, grises dans les premières lueurs de l’aube. A gauche, premier plan, comptoir surmonté d’un dais en fer forgé, auquel sont accrochés des oies, des canards, des paons blancs. Dans de grands vases de faïence, de hauts bouquets de fleurs naïves, principalement des tournesols jaunes. Du même côté, second plan, immense cheminée devant laquelle, entre de monstrueux chenets, dont chacun supporte une petite marmite, les rôtis pleurent dans les lèchefrites. A droite, premier plan avec porte. Deuxième plan, un escalier montant à une petite salle en soupente, dont on aperçoit l’intérieur par des volets ouverts ; une table y est dressée, un menu lustre flamand y luit : c’est un réduit où l’on va manger et boire. Une galerie de bois, faisant suite à l’escalier, semble mener à d’autres petites salles analogues. Au milieu de la rôtisserie, un cercle en fer que l’on peut faire descendre avec une corde, et auquel de grosses pièces sont accrochées, fait un lustre gibier. Les fours, dans l’ombre, sous l’escalier, rougeoient. Des cuivres étincellent. Des broches tournent. Des pièces montées pyramident. Des jambons pendent. C’est le coup de feu matinal. Bousculade de marmitons effarés, d’énormes cuisiniers et de minuscules gâte-sauces. Foisonnement de bonnets à plume de poulet ou à aile de pintade. On apporte, sur des plaques de tôle et des clayons d’osier, des quinconces de brioches, des villages de petits-fours. Des tables sont couvertes de gâteaux et de plats. D’autres entourées de chaises, attendent les mangeurs et les buveurs. Une plus petite, dans un coin, disparaît sous les papiers. Ragueneau y est assis au lever du rideau, il écrit. Au lever du rideau, la salle est dans une demi-obscurité, vide encore. Les lustres sont baissés au milieu du parterre, attendant d’être allumés. Acte III : Une petite place dans l’ancien Marais Une petite place dans l’ancien Marais. Vieilles maisons. Perspectives de ruelles. A droite, la maison de Roxane et le mur de son jardin que débordent de larges feuillages. Au-dessus de la porte, fenêtre et balcon. Un banc devant le seuil. Du lierre grimpe au mur, du jasmin enguirlande le balcon, frissonne et retombe. Par le banc et les pierres en saillie du mur, on peut facilement grimper au balcon. En face, une ancienne maison de même style, brique et pierre, avec une porte d’entrée. Le heurtoir de cette porte est emmailloté de linge comme un pouce malade. Au lever du rideau, la duègne est assise sur le banc. La fenêtre est grande ouverte sur le balcon de Roxane. Près de la duègne se tient debout Ragueneau, vêtu d’une sorte de livrée : il termine un récit en s’essuyant les yeux. Acte IV : Le poste qu’occupe la compagnie de Carbon de Castel-Jaloux au siège d’Arras Le poste qu’occupe la compagnie de Carbon de Castel-Jaloux au siège d’Arras. Au fond, talus traversant toute la scène. Au-delà s’aperçoit un horizon de plaine : le pays couvert de travaux de siège. Les murs d’Arras et la silhouette de ses toits sur le ciel, très loin. Tentes ; armes éparses ; tambours, etc. – Le jour va se lever. Jaune orient. – Sentinelles espacées. Feux. Roulés dans leurs manteaux, les cadets de Gascogne dorment. Carbon de Castel-Jaloux et Le Bret veillent. Ils sont très pâles et très maigris. Christian dort, parmi les autres, dans sa cape, au premier plan, le visage éclairé par un feu. Silence. Acte V : Le parc du couvent des Dames de la Croix Quinze ans après, en 1655. Le parc du couvent que les Dames de la Croix occupaient à Paris. Superbes ombrages. A gauche, la maison ; vaste perron sur lequel ouvrent plusieurs portes. Un arbre énorme au milieu de la scène, isolé au milieu d’une petite place ovale. A droite, premier plan, parmi de grands buis, un banc de pierre demicirculaire. Tout le fond du théâtre est traversé par une allée de marronniers qui aboutit à droite, quatrième plan, à la porte d’une chapelle entrevue parmi les branches. Atravers le double rideau d’arbres de cette allée, on aperçoit des fuites de pelouses, d’autres allées, des bosquets, les profondeurs du parc, le ciel. La chapelle ouvre une porte latérale sur une colonnade enguirlandée de vigne rougie, qui vient se perdre à droite, au premier plan, derrière les buis. C’est l’automne. Toute la frondaison est rousse au-dessus des pelouses fraîches. Taches sombres des buis et des ifs restés verts. Une plaque de feuilles jaunes sous chaque arbre. Les feuilles jonchent toute la scène, craquent sous les pas dans les allées, couvrent à demi le perron et les bancs. Entre le banc de droite et l’arbre, un grand métier à broder devant lequel une petite chaise a été apportée. Paniers pleins d’écheveaux et de pelotons. Tapisserie commencée. Au lever du rideau, des sœurs vont et viennent dans le parc ; quelques-unes sont assises sur le banc autour d’une religieuse plus âgée. Des feuilles tombent. Description de la scénographie de Jean-Pierre Vergier La scénographie s’établit sur une interaction colorée sourde avec des éclats, entre lumière, espace et costumes, composantes qui se fondent les unes aux autres. De même, les cinq lieux se fondent dans un lieu unique géométrique et géométral, symétrique, relativement dépouillé. L'idée d'espace est un espace vide bordé par des haies, à jardin, au lointain et à cour. Au centre un massif vert flamboyant comme un panache, ou une flamme : un château-bosquet d'ifs asymétrique qui contient un escalier et un balcon. Ce massif est sur un praticable circulaire effectuant une rotation à 180° pour offrir deux aspects : - celui d'un bosquet d'ifs - celui d'un balcon d’une maison, balcon encadré d'ifs Chaque haie a un passage vers les coulisses. L'ensemble s'inscrit dans une boîte noire. L'espace est ainsi couronné, surplombé d'un grand ciel noir, dans un format panoramique. Les costumes, satinés, combinant des motifs et des impressions, apportent des couleurs désaturées et souvent isophanes, pourpres, marrons, verts, noirs, avec des aplats crus (bleu du costume de Ragueneau au revers de sa cape noire), des tâches claires (gants blancs, panache blanc). Ils mêlent les époques. Quatre bancs encadrent le bosquet. Un chariot de dessert et de victuailles, un faisceau de mousquets, un fauteuil moliéresque rouge sang, prennent place dans cet espace, réel et mental La lumière vient de deux sources : - projecteurs classiques - projecteur vidéo La vidéo, intégrée à la scénographie, née du pinceau du scénographe comme un élément aquarellé, qui rehausse les fonds, a une triple fonction poétique : - Création d'une ambiance par un gobo global (effet de sous-bois dans la scène de bataille) - Métamorphose de la haie par des surimpressions de motifs ornementaux jardins à la française, arbres morts - Effet d'incandescence blanche sur le bosquet, couleur lunaire vibrante, qui frise la tête des haies pour les changements d'acte et changements de lieux. Marcel Freydefont Ce séminaire est organisé sur une journée (de 10 h à 17 h sauf exception de 14 h à 17 h) en coréalisation entre l’Ensa Nantes et le Grand T. Les rencontres avec les scénographes invités s’appuient en partie sur des spectacles programmés au Grand T, à Angers Nantes Opéra (ANO), au Théâtre Universitaire de Nantes en relation avec ces établissements culturels. Elles sont destinées aux étudiants du cycle professionnel supérieur spécialisé Scénographe DPEA de l’Ensa Nantes, aux étudiants en architecture, aux élèves des classes d’art dramatique du Conservatoire de Nantes, aux élèves régisseurs du DMA Lumière et son du Lycée Guist’Hau, aux techniciens en formation professionnelle de STAFF/Spectacle et Technique Association Française de Formation, ainsi qu’aux élèves des classes théâtre ou de design d’espace dans les Lycées de la métropole, du département et de la région. Elles sont ouvertes également à un public plus large, sur inscription, et dans la limite des places disponibles. Cette initiative participe de la mise en place à Nantes d’un Pôle d’Echange pour la Formation aux Arts de la Scène [ Pôle Fas ] au sein du Quartier de la création. Rencontres animées par Marcel Freydefont, directeur scientifique du Département scénographie Ensa Nantes, avec la participation de Bruno Suner, enseignant Département scénographie Ensa Nantes (Gersa), Philippe Lacroix, enseignant Département scénographie Ensa Nantes (Gersa), Laurent Lescop, enseignant Département scénographie Ensa Nantes (Gersa), Véronique Lemaire, docteure en Etudes théâtrales à l’Université catholique de Louvain la Neuve, (enseignante-chercheuse associée au Gersa), Luc Boucris, professeur émérite à l’Université Stendhal, Grenoble 3, (chercheur associé au Gersa), Danièle Pauly, professeur à l’Ensa Paris Val de Seine (chercheuse associée au Gersa), Mahtab Mazlouman, enseignante Ensa Paris La Villette (chercheuse associée au GERSA) Programme 2013-2014 Jeudi 3 octobre Ensa Nantes, Amphi 150 (de 10 h à 17 h) Pierrick Sorin, Cabaret New Burlesque Jeudi 14 novembre, Ensa Nantes, Amphi 150 (de 10 h à 17 h) Jean-Pierre Vergier, Cyrano, mise en scène Georges Lavaudant Jeudi 21 novembre, Ensa Nantes, Amphi 150 (de 10 h à 17 h) Emmanuelle Roy, Modèles Jeudi 30 janvier, Lieu unique (de 10 h à 17 h) François Tanguy, pour sa nouvelle création Noces et banquets (titre provisoire) Jeudi 10 avril, Ensa Nantes, Amphi 150 (de 10 h à 17 h) Laurianne Scimemi, Paroles gelées Equipe de recherche du GERSA : Enseignants de l’ensa nantes: Marcel Freydefont, Philippe Lacroix, Bruno Suner, Laurent Lescop, Emmanuelle Gangloff, doctorante Collaborations scientifiques extérieures à l’Ensan : Luc Boucris, (Université Stendhal, Grenoble 3), Eric Monin, (Ensap de Lille), Maud Le Floch (Polau Tours), Marion Lyonnais (Scénographe DPEA, doctorante en Etudes théâtrales à l’Université Stendhal, Grenoble 3), Véronique Lemaire (docteure en Etudes théâtrales à l’Université catholique de Louvain la Neuve, enseignante Scénographe DPEA), Patrick Vindimian (scénographe, chercheur associé), Danièle Pauly, professeur à l’Ensa Paris Val de Seine, Mahtab Mazlouman, enseignante Ensa Paris La Villette (chercheuse associée au GERSA). Ecole nationale supérieure d’architecture de Nantes (ensa nantes) Établissement public national d'enseignement supérieur et de recherche Ministère de la Culture et de la Communication Directeur général : Christian Dautel Département scénographie Marcel Freydefont Responsable scientifique Philippe Lacroix Responsable pédagogique Cycle Scénographe DPEA 6 quai François Mitterrand BP 16202 44262 Nantes cedex 2 Tél. : 02 40 16 01 21 Fax : 02 40 59 16 70 Email : [email protected] Site web : http://www.nantes.archi.fr Le Grand T, Théâtre de Loire-Atlantique, EPCC financé par le Conseil Général de Loire-Atlantique, la Ville de Nantes et le Conseil Régional des Pays de la Loire, avec le concours du ministère de la Culture-DRAC des Pays de la Loire Directrice générale : Catherine Blondeau Administrateur : Alain Anglaret Directeur technique : Sylvain Le Dauphin Directrice du pôle Public et médiation : Marion Fraslin-Echevin Adjointe à la directrice du pôle Public et médiation : Manon Albert 68, rue du Général Buat BP 30111 44001 Nantes Cedex 1 Standard : 02 28 24 28 24 Site web : www.legrandT.fr