Connais-toi toi-même - L`Observatoire de l`Abitibi

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Connais-toi toi-même - L`Observatoire de l`Abitibi
Connais-toi toi-même
Ce mois-ci :
le tourisme vu par les résidents,
la réduction des déchets et
Qui de mieux placé que la population de l’Abitibi-Témiscamigue
pour renseigner le monde touristique des points forts et faibles
le recyclage ainsi que la
qui caractérisent la région? Un sondage réalisé cet été
chasse à l’orignal.
fait le point sur les perceptions des Témiscabitibiens
concernant l’industrie touristique régionale.
L’image à projeter
Selon
la
population
pouvant être pratiquées par les visiteurs
interrogée,
la
sont, aux yeux des répondants, la chasse
principale image que devrait projeter
et
l’Abitibi-Témiscamingue en tant que
activités de plein air (58 %) ? Les
destination touristique est celle d’une
différents
région d’aventure et de plein air. Le
régionaux n’ont retenu l’attention que
caractère accueillant et chaleureux de la
de
population est aussi l’un des atouts sur
conclut que la population de l’Abitibi-
lesquels il faut cibler. Enfin, la beauté
Témiscamingue connaît peut-être
de
moins les produits touristiques de la
la
nature
et
des
paysages
se
démarque et est une autre valeur sûre.
la
pêche
12 %
région
(66
%)
festivals
des
ainsi
et
que
événements
répondants.
outre
ce
les
pourquoi
On
elle
en
La nouvelle vision de Tourisme
Abitibi-Témiscamingue est de
mettre au centre de ses préoccupations le bien-être et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens, tout en rendant l’AbitibiTémiscamigue plus attirante aux
yeux des touristes.
a
longtemps été reconnue, soit la chasse,
Les atouts
Une vision sociétale
la pêche et ses grands espaces.
Cela implique que les municipalités améliorent les infrastructures
Les résidants ayant répondu au sondage
récréatives
considèrent quasi-unanimement (98 %)
Les
que la population régionale est très ac-
régionale croit que la présence de
cueillante envers les touristes. De la
touristes dans la région a un impact
même manière, autant trouvent la
important sur leur qualité de vie et
région intéressante à visiter. De là à
presque tous jugent cet impact comme
tomber en amour avec elle lorsqu’on la
étant positif (96 %). Les résidents
visite, il n’y a qu’un pas, que n’hésitent
interrogés
pas à franchir 86 % des répondants.
contribution du tourisme à l’économie
deux
tiers
sont
de
la
population
conscients
de
la
afin
d’enrichir
familles,
et
par
le
fait
même,
attirer un plus grand nombre de
touristes via des infrastructures
améliorées.
La
quasi-totalité
(96 %) des répondants au sondage
embrassent cette vision.
(62 %) et apprécient la vitalité que les
Plus de neuf répondants sur dix croient
touristes insufflent à la région en sai-
que l’Abitibi-Témiscamingue possède
son estivale (27 %).
des attraits touristiques qui intéressent
les clientèles provenant de l’extérieur du
1SJODJQBMFJNBHFRVFEFWSBJUQSPKFUFSM"CJUJCJ
Québec. Entre autres intérêts particu-
5¤NJTDBNJOHVFTVSMFTNBSDI¤TUPVSJTUJRVFT
liers à la région, selon eux, il s’agirait de
*NBHFÎQSPKFUFS
l’endroit idéal pour pratiquer la chasse
"WFOUVSFFUQMFJOBJS
et la pêche, la motoneige le quad/VTT
(FOTBDDVFJMMBOUTFUDIBMFVSFVY
ou encore d’autres activités de plein air.
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Plusieurs avancent aussi que la région
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est toute désignée pour y assister à un
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#POSBQQPSURVBMJU¤QSJY
festival ou un événement (84 %).
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Dans le même ordre d’idées, doit-on se
surprendre que les principales activités
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1FSDFQUJPOTDPNQPSUFNFOUTFUBUUFOUFTEFTS¤TJEBOUTEFM"CJUJCJ
5¤NJTDBNJOHVFDPODFSOBOUMJOEVTUSJFUPVSJTUJRVFS¤HJPOBMF
Octobre 2005
la
qualité de vie des résidents et leurs
Réduction
Voir encore plus vert
Les municipalités font aujourd’hui face à un défi de taille : gérer de façon responsable et efficace les
matières résiduelles produites sur leur territoire, dans une perspective de développement durable.
Dossier complexe s’il en est, l’élimination des déchets ne se conjugue plus uniquement en termes
d’enfouissement mais plutôt suivant le mot d’ordre des 3RV-E !
.
Le principe des 3RV-E vise d’abord la
Plan de gestion des matières résiduel-
Po u r
Réduction
le
les, tel que demandé par la Loi sur la
particulièrement, le défi est de taille
Réemploi, le Recyclage ou encore la
qualité de l’environnement. Il s’agit d’un
puisque
Valorisation des matières. Vient ensuite
portrait du territoire englobant tous les
Québec récupèrent en moyenne
l’Élimination, mais comme mesure ul-
aspects
déchets
20 % de ce qui leur est possible de
time de disposition. Autrement dit, à
(inventaire, objectifs, budget, etc.) qui
récupérer et qu’elles devront tripler
moins qu’une analyse environnemen-
sera remis à jour à tous les cinq ans.
cette performance pour 2008.
tale ne démontre le contraire, la réduc-
Chacune des MRC, indépendamment
tion des déchets à la source par les 3RV-
de son « score » actuel qui varie entre
Pour les industries, commerces et
E
suivant
3 % et 33 % en termes de récupéra-
institutions, le pourcentage de recy-
l’ordre de priorité de la formule lors des
tion, s’est donnée comme objectif l’at-
clage à atteindre est aussi de 60 %
choix de gestion des matières (réduc-
teinte d’un taux de 60 % de récupéra-
et ce pourcentage grimpe à 80 %
tion, réemploi, recyclage, valorisation,
tion pour 2008, au niveau des déchets
pour les entreprises de construction,
élimination), ici comme ailleurs.
domestiques. Il faut comprendre qu’il
rénovation et démolition. Il s’agit des
s’agit de recycler 60 % des matières
cibles fixées par la Politique québécoise
Les plans de gestion
potentiellement
de gestion des matières résiduelles 1998-
En Abitibi-Témiscamingue, chacune
composent 85 % du sac de poubelles.
doit
à
être
la
source,
privilégiée,
et
puis
de
la
gestion
des
recyclables,
qui
des MRC s’est dotée récemment d’un
2008
le
secteur
du
les
municipal
plus
municipalités
gouvernement
et
du
sur
lesquelles s’enlignent la plupart des
municipalités du Québec. Cela fixe
2VBOUJU¤TEFNBUJßSFTS¤TJEVFMMFTQSPEVJUFTFOGPVJFTS¤DVQ¤S¤FTFUSFDZDM¤FT
le grand total de récupération moyen
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à atteindre à 65 % pour l’ensemble
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des secteurs d’activité.
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le service de collecte sélective de
est évalué à 32 % et on estime que
l’objectif de faire grimper ce taux à
60 % pour 2008 est un objectif
à atteindre. Une aide de la part de
Recyc-Québec serait bienvenue,
QPVS
0CKFDUJGUPUBM
Tous les citoyens sont desservis pas
réaliste, mais certainement pas facile
SFDZDMBHF
La Ville de Rouyn-Noranda
porte en porte. Le taux de recyclage
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0CKFDUJGS¤TJEFOUJFM
EPNFTUJRVFTQSPEVJUT
EFS¤DVQ¤SBUJPO
EFM0S
QPVS
selon Marie-Josée Bart, responsable
du dossier à la ville, notamment afin
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FUJOTUJUVUJPOT*$*
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-FTWPMVNFTEJTQPOJCMFTUPOOFTBOQPVSMB.3$E"CJUJCJFUUPOOFTBOQPVSMB
ques dans des secteurs où elles sont
inexistantes
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VUJMJTFOUBVTTJMFTDMPDIFTHSBOETDPOUFOFVST
EVUFSSJUPJSF
(récupération
de
la
ferraille par exemple). Le compostage
domestique est parmi les grandes
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4PVSDFT1MBOTEFHFTUJPOEFTNBUJßSFTS¤TJEVFMMFTEFDIBDVOFEFT.3$FUEFMB7JMMFEF3PVZO/PSBOEB
de permettre la collecte de statisti-
actions entreprises afin de réduire le
Octobre 2005, page 2
des
volume
de
déchets
Cette
conserve toutefois l’objectif de s’appro-
année, environ 300 personnes ont suivi
déchets
cher le plus près possible du 60 % de
les formations dispensées par la Ville,
récupération domestique fixé pour 2008,
Les
détournant par le fait même un volume
même si on est conscient que la barre
représentent 40,8 % du sac vert,
de 68 tonnes de déchets des lieux
est
Fullum,
dont la majeure partie est enfouie
d’enfouissement.
chargée du dossier à la MRC. Toutefois,
ou incinérée au Québec. Il s’agit
depuis deux ans,
le taux de récupéra-
donc d’un moyen simple, efficace
La MRC de Témiscamingue
tion est passé de 3 % à 10 %, donc c’est
et peu onéreux pour réduire de
Présentement,
bon signe.
façon significative la quantité de
les
enfouis.
habitants
du
haute,
selon
Karolyne
Et le compostage ?
matières
compostables
matières acheminées à l’élimina-
Témiscamingue doivent déposer euxmêmes leurs matières recyclables dans
La MRC d’Abitibi-Ouest
tion. Le taux de récupération des
les différentes cloches (grands conte-
Dans la MRC, on vient de doter la
matières compostables était de
neurs)
D’ici
population de bacs de recyclage à la
7 % en 2002 comparativement à
quelques mois, soit en janvier 2006, plus
maison. On estime que l’objectif de
5
des trois-quarts des résidents bénéficie-
mettre en valeur 60 % des déchets
L’objectif pour 2008 est que 60 %
ront de la collecte de porte en porte des
domestiques sera difficile à atteindre
de la matière compostable soit
matières recyclables. Présentement, on
pour 2008, vu le court délai imparti non
>récupérée. Dans la plupart des
estime
prévues
à
cet
effet.
%
en
2000
au
Québec.
matières
seulement pour implanter les prodédés,
MRC, les formations auprès de la
recyclables sont effectivement recyclées
mais aussi les rendre efficaces. Toutefois
population intéressée se multi-
via les cloches. L’objectif, qui est de
l’amélioration est continue et on ne peut
plient et l’éventualité d’un ramas-
60 % pour 2008, sera facilement atteint
que progresser ! La réglementation sur
sage de porte en porte se discute.
selon Kathy Pellerin, responsable du
l’élimination des dépôts en tranchées
dossier à la MRC. La collecte de porte
situés à moins de 100 km d’un lieu
en porte viendra grandement faciliter
d’enfouissement sanitaire agit comme
l’atteinte de l’objectif. Éventuellement,
un catalyseur qui amène les municipa-
les villes de plus de 1 000 habitants
lités à réfléchir suivant un point de vue
comme Lorrainville, Notre-Dame-du-
de développement durable. Ici aussi, le
Nord,
compostage domestique est valorisé et
Matière résiduelle : Toute matière
la population incitée à le pratiquer.
ou
que
le
tiers
des
Saint-Bruno-de-Guigues,
Témiscaming et Ville-Marie seront
Un peu de vocabulaire
objet
périmé,
rebuté
ou
autrement rejeté par les ménages,
incitées à s’adonner au compostage, mais
il n’est pas certain que l’objectif soit
MRC d’Abitibi
industries, commerces et institu-
atteint pour 2008.
Dans la MRC, c’est maintenant 84 %
tions. Sont exclus les matières
de la population qui est desservie par la
dangereuses, les déchets biomédi-
collecte de recyclage de porte en porte.
caux et résidus de fabriques de
On vise 100 % pour 2008. On estime
pâtes et papiers.
MRC de La Vallée-de-l’Or
Ici aussi, le grand coup d’envoi en
matière de recyclage se fera au 1
er
que le volume récupéré a plus que
janvier 2006, date à laquelle toute la
doublé depuis les dernières années, no-
Récupération :
population bénéficiera du service de
tamment depuis qu’Amos est desservie.
traitement des matières résiduelles
collecte porte en porte. Elle aura aussi
Cette année, ce sont les industries, com-
qui consiste à récupérer, par voie
accès à trois Éco-centres, un centre de
merces et institutions de cette dernière
de collecte, de tri, d’entreposage
transbordement, des cloches à textile,
qui se dotent de structures de recyclage.
ou
une ligne Info-récup, la récupération des
Selon Normand Grenier, responsable du
matières mises au rebut en vue de
résidus domestiques dangereux, un
dossier à la MRC, l’atteinte de l’objec-
leur valorisation.
nouveau lieu d’enfouissement techni-
tif de 60 % pour 2008 passe incondi-
que, entre autres nouveautés. Jusqu’à
tionnellement par la valorisation du
Recyclage : Utilisation, dans un
maintenant, le plan de gestion est suivi
compostage. On espère la concrétisation
procédé manufacturier, d’une ma-
à la lettre, mais divers délais d’approba-
d’une plate-forme de compostage et
tière secondaire en remplacement
tion plus longs que prévus ont entraîné
d’une collecte du compost de porte en
d’une matière première vierge.
un retard évalué à une année. On
porte pour les secteurs urbains d’ici 2008.
Octobre 2005, page 3
de
Méthode
conditionnement,
de
des
Suivre sa trace
Sorti des presses
Tuera, tuera pas ? Telle est la question que se posent ce
mois-ci plus de 20 000 adeptes de la chasse à l’orignal
dans la région, sans parler de leur famille et amis !
L’an dernier, 2 528 bêtes ont été abattues dans les zones 13 et 16,
Ministère des Resources naturelles et de la
dont 2 087 mâles adultes, 417 faons et quelques femelles adultes.
Faune. Ressources et industries forestières. Portrait
Il s’agit d’un niveau de récolte jamais atteint dans la région lorsque la femelle
statistique éd. 2004. Version globale et résumé, 2005.
adulte est protégée, c’est-à-dire une année sur deux.
Ministère des Ressources naturelles et de la
Faune, Direction du développement minéral.
Le succès de chasse
Répertoire des exploitants miniers du Québec 2004,
Le succès de chasse est un indicateur mesuré annuellement qui correspond à la
Abitibi-Témiscamingue,Volet Producteurs,
proportion de chasseurs ayant prélevé un orignal durant l’année. Ce rapport, qui
entreprises d’exploration et forage, 2005.
oscillait autour de 8 % au début des années 1990, grimpe régulièrement pour
Commission de la construction du Québec.
dépasser les 10 % depuis 2001. Ce taux de succès amélioré s’explique à la fois par
L’industrie de la construction en 2004 - Bilan et
l’ouverture précoce de certaines saisons de chasse (qui coïncident davantage avec
annexes statistiques (les annexes de 2003, 2002
le rut de l’orignal) ainsi que par une augmentation réelle des populations.
et 2001 sont également disponibles), 2005.
Tourisme Québec. Le tourisme au Québec.
Quant aux permis vendus, leur nombre varie entre 23 000 et 24 000 depuis
1999, pour s’établir à 23 377 l’année dernière. De ce nombre, 3 % des permis
ont été vendus à des chasseurs ne résidant pas en Abitibi-Témiscamingue (801
Bilan 2004 et résultats préliminaires 2005,
Portrait statistique de l’hôtellerie au Québec en
2004, Le tourisme au Québec en bref 2004, 2005.
permis).
Ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles, Portraits régionaux 1994-2003
Les femmes au rendez-vous !
- Caractéristiques des immigrants établis au
De plus en plus, les femmes s’adonnent aussi à la chasse et transforment en
activité de couple ce qui était autrefois... une activité de «mâles» ! Les femmes
composent aujourd’hui près du quart des chasseurs du Québec (22 %).
Québec et dans les régions 2005, et Portraits
régionaux 1999-2003 - Caractéristiques des
immigrants établis au Québec et dans les régions,
et Présence au Québec en 2005 des immigrants
Aux 21 624 adeptes de la chasse de la région s’ajoutent 13 288 non-initiés se
disant intéressés à pratiquer l’activité. Encore ici, les femmes sont au rendez-vous
et composent 18 % de la population intéressée.
admis de 1994 à 2003, 2005.
Moffet, Denis. Projet de développement et
entrepreneurship, 2005.
ACCORD Abitibi-Témiscamingue. MDERR,
Une dépense importante
La dépense annuelle moyenne par adepte de la chasse est de 1 711 $ en AbitibiTémiscamingue pour 18 jours de pratique. Au total, on estime à 37 millions de
SGF, Plan stratégique - Créneau d’excellence
Techno-mines souterraines, 2005.
dollars les dépenses des chasseurs de l’Abitibi-Témiscamingue et 65 % de ce
Institut
montant est dépensé sur le territoire même de la région (24 M$). Les chasseurs
Estimation du PIB des 17 régions administrati-
d’ici sont ceux qui dépensent les plus forts montants au Québec pour pratiquer
ves du Québec 1997-2000, 2005.
cette activité. Ces statistiques concernent l’année 2000.
de
la
statistique
du
Québec.
Conseil québécois des ressources humaines en
tourisme (CQRHT) et Emploi-Québec.
Enquête sur la situation de l’emploi en tourisme et
Sources : Ministère des Ressources naturelles, de la Faune et des Parcs (MRNFP). L’informateur
faunique, décembre 2004.
MRNFP. Importance des activités récréatives liées à la faune et à la nature au sein de la population des
différentes régions du Québec en 2000.
sur les pratiques de gestion des ressources humainesRégion touristique de l’A-T, 2005.
Hyperliens vers ces documents :
MRNFP. Ventes de permis de chasse à l’orignal par zones, 1994 à 2004.
www.observat.qc.ca/trouvailles.htm
Ce bulletin est réalisé par l’Observatoire de l’Abitibi-Témiscamingue
Rédaction : Julie Thibeault : [email protected]
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Collaboration : Lili Germain : [email protected]
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