Les vacances des Danois
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Les vacances des Danois
Les vacances des Danois à l’étranger Septembre 2002 RUE DU MARCHE AUX HERBES, 61 - B-1000 BRUXELLES Tél.: +32 02 504 02 00 l Fax.: +32 02 513 69 50 – Grand public - http://www.opt.be Professionnels - http://www.optpro.be 3 1. Données démographiques et sociales Superficie totale 1 : - dont terre - dont eau 43.094 km² (Belgique 30.000 km²) 42.394 km² 700 km² Population 2 : 5.368.354 habitants, dont 49,44 % d’hommes et 50,56 % de femmes Croissance démographique: 0,32 % 3 (Belgique :1 %) Densité de la population : 251 habitants par km² dans le Seeland et 65 habitants par km² dans le Jütland (Belgique 334,5) Nombre total de familles : 2.436.341 familles 4 Taille moyenne par famille : 2,2 personnes ² La structure de l’âge de la population est la suivante ² : fe m m e s hom m e s 90-94 90-94 75-79 75-79 60-64 60-64 45-49 45-49 30-34 30-34 15-19 15-19 0- 4 0-4 0 50000 100000 15000 0 200000 25 0000 0 50000 100000 150000 200000 250000 On peut voir dans ce « diagramme démographique », que les groupes entre 30 et 59 ans constituent le groupe le plus important de la population danoise. Plus de 7 % de la population sont des immigrants. Les groupes ethniques qui existent au Danemark sont les : Féringiens, Inuits, Allemands, Turcs, Iraniens et les Somaliens mais aussi des Suédois et des Norvégiens.5 1 Source : www.cia.gov Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) 3 Source : www.leader-city.com/danemark/expat1.htm 4 Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) 5 Source : www.cia.gov et Statistique Danemark ( www.dst.dk ) 2 4 Le Danemark est divisé en 14 régions ² : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. København Frederiksborg Roskilde Vestsjælland Storstrøm Bornholm Fyn La population des régions en % de la population totale 8. Sønderjylland 9. Ribe 10. Vejle 11. Ringkøbing 12. Århus 13. Viborg 14. Nordjylland K øbenhavn Frederik sborg Ros kilde V es tsjæ lland S tors trøm 14% 10% B ornholm 5% Fy n 8% 13% S ønderjy lland 5% Ribe 6% 6% V ejle 5% 7% Ringk øbing Å rhus 1% 5% 5% V iborg 10% Nordjy lland Les centres urbains les plus importants sont ³ : København Århus Odense Aalborg 499.148 habitants 286.668 habitants 183.691 habitants 161.661 habitants La langue principale parlée au Danemark est le danois. Une petite minorité d’environ 20.000 habitants parlent l’allemand. La plupart des Danois parlent l’anglais. 6 6 Source : L’ambassade danoise à Paris ( www.amb-danemark.fr ) 5 2. Données économiques Gross Dom estic Product (1990=100) 116,5 116 115,5 115 114,5 2001 114 2002 113,5 113 112,5 112 111,5 janv ier f év rier mars av ril mai juin juillet auôt Source : Statistique Danemark 2.1 PIB 7 : PIB du Danemark : Croissance annuelle ² : 1352,1 milliards couronnes danoises (DKK) en 2001 (180,28 milliards EURO) 4,3 % en 2001 Développement économique Le virage à droite politique effectué par le Danemark lors des dernières élections législatives de novembre 2001, aura sans doute des conséquences économiques qu’il est trop tôt pour évaluer. Comme un peu partout en Europe, les sociaux-démocrates danois, au pouvoir depuis une dizaine d’années ont été remplacés par une coalition libérale – conservatrice bien décidée à entamer des réformes en profondeur. Le commerce extérieur correspond aux deux tiers du PIB danois et la plupart des partenaires commerciaux étrangers du Danemark sont membres de l’UE. Son principal partenaire commercial est l’Allemagne, mais la Suède et la Grande-Bretagne sont aussi très importants. Alors qu’autrefois, les produits agricoles dominaient le commerce extérieur, ce sont les produits industriels qui constituent aujourd’hui l’essentiel des exportations danoises. Le Danemark exporte en premier lieu des machines et des outils et instruments destinés à la production industrielle, en second lieu des produits chimiques (industrie pharmaceutique – insuline…) et des produits alimentaires transformés. En raison de l’importance extrême de son commerce extérieur, la politique économique danoise a toujours accordé la priorité maximum à la stabilité de sa monnaie. Le Danemark, par conséquent, a été membre des principaux organismes internationaux de collaboration monétaire créés depuis la Deuxième Guerre mondiale. Cependant, le Danemark ne fait pas partie de l’UEM à la suite de deux référendums : le premier datant de 1993, le second de septembre 2000, où 53,1 % de la population danoise a voté contre une 7 Source : www2.jp.dk/dbp/internetavisen/bors/nogletal 6 participation du Danemark à la troisième phase de l’UEM, qui impliquait notamment l’adoption de l’euro, la monnaie commune européenne, à la place de la monnaie nationale : la couronne danoise. Bien que le Danemark ne fasse pas partie de l’UEM, sa politique économique reste inchangée. Immédiatement après la publication des résultats du référendum de 2000, le gouvernement danois et la Banque nationale ont publié une déclaration commune assurant que l’objectif de la politique monétaire danoise resterait la stabilité de la monnaie danoise par rapport à l’euro. Le Danemark respecte donc toujours le MCE2, c’est-à-dire l’accord de collaboration conclu par la Banque nationale du Danemark avec la BCE, la Banque centrale européenne, lors de l’entrée en vigueur de l’UEM. Cela veut dire que la politique budgétaire et la politique économique en général continueront de réguler l’activité économique et l’évolution de l’inflation, afin qu’elles soient compatibles avec les exigences de la politique de la parité fixe. En outre, la politique économique continuera d’être asservie à une série de facteurs dus au fait que le Danemark est membre de l’UE. Le Danemark doit donc toujours s’efforcer de respecter les critères dits de convergence du traité de Maastricht, qui fixent un plafond au taux de l’inflation et au taux d’intérêt, contraignent les finances publiques à remplir des exigences données et interdisent le financement d’un déficit du budget public par l’émission de nouveaux billets En vertu de cet accord, la couronne danoise est liée à l’euro. Le taux de change (ou parité) dit central de la DKK est de 7,46038 DKK/1 Euro mais l’écart autorisé du taux de change de la DKK est de 2,25 % de part et d’autre du taux central. En pratique, depuis 1995 env., la couronne est demeurée très proche de la parité centrale. La dépendance de la couronne danoise vis-à-vis de l’euro signifie que sa parité avec les autres devises principales : le dollar américain et le yen japonais, dépend de la parité de l’euro avec ces devises. La valeur de l’euro ayant baissé d’env. 30 % par rapport au dollar et au yen au cours de l’année 1999 et des trois premiers trimestres de 2000, la couronne danoise s’est vue fortement affaiblie par rapport aux autres devises principales. Les produits danois sont par conséquent meilleur marché aux États-Unis et au Japon, mais le commerce extérieur danois portant essentiellement sur le secteur de l’euro, cette évolution sur les marchés internationaux n’a pas beaucoup influencé la compétitivité danoise dans son ensemble. L’économie danoise se porte bien malgré une décélération depuis 1999. La croissance intervenue au milieu des années 1990, et qui fut lancée par le gouvernement socialdémocrate de Nyrup Rasmussen en 1993, faisait suite à une succession d’années de quasistagnation. Cette politique des finances fut favorisée par une réforme fiscale et par la suppression de plusieurs mesures de limitation de la consommation instaurées par le régime d’austérité dit «des pommes-de-terre», introduit au Danemark en 1987. Ces mesures, accompagnées d’une baisse notable des taux d’intérêts, entraînèrent une augmentation des prix de l’immobilier et une très forte croissance de la consommation des ménages qui servirent de locomotive au reste de l’économie. Le gouvernement fit aussi voter plusieurs mesures de politique de l’emploi, notamment l’extension de la durée des congés parentaux et des congés de formation professionnelle. Cette croissance de l’activité entraîna une hausse de l’emploi qui, soutenue par l’utilisation généralisée des régimes de congés, résulta en une forte baisse du chômage qui passa d’un peu moins de 12 % en hiver 1993-1994 à env. 7 % en 1997. 7 Cependant, l’aspiration des ménages à la consommation et à l’investissement entraîna également une augmentation des importations qui résulta, en 1998, en un déficit de la balance des paiements, alors que cette dernière avait accusé des recettes importantes en 1993. La situation de l’emploi devenant tendue, le gouvernement se vit contraint, afin d’éviter une surchauffe de l’économie, de favoriser l’épargne privée et de resserrer la politique économique. Pour ce faire, le gouvernement, entre autres méthodes, mit en œuvre, en 1998, une série de mesures qualifiées de «paquet de Pentecôte», qui furent adoptées parle Folketing (le parlement danois) avec le soutien de la gauche. Ces mesures comportent notamment la réduction de la valeur fiscale des intérêts déductibles du revenu, qui passera, en 2001, d’un peu plus de 46% à 32 %, l’augmentation des cotisations de pension, l’augmentation des taxes foncières et une augmentation des taxes «vertes», autrement dit des taxes frappant les produits considérés comme nocifs pour l’environnement. Le paquet de Pentecôte eut les effets désirés : pendant les années 1999 et 2000, la consommation des ménages n’a connu qu’une très faible croissance. Le maintien de la croissance est le résultat d’une part, d’une forte augmentation des exportations et de l’autre, d’investissements importants dans l’immobilier faits en 2000, entre autres pour réparer les dégâts occasionnés par la tempête de décembre 1999. Cette évolution a abouti à une amélioration notable de la balance commerciale et de la balance des paiements, dont l’excédent a été très élevé en 1999 et 2000. Le secteur public est très important pour l’économie danoise. Près de 33 % de la maind’œuvre travaille dans le secteur public, la consommation de ce secteur constitue env. 25 % du PIB et la pression fiscale est d’env. 50 % du PIB, ces chiffres étant tous parmi les plus élevés de tous les pays de l’OCDE. L’évolution des budgets publics dépend donc fortement de celle de l’activité économique; pendant les années de conjoncture favorable, les finances publiques connurent donc une amélioration considérable. Les finances publiques accusaient par exemple, en 2000, un excédent d’env. 35 milliards de DKK, ou près de 3 % du PIB, et la dette du secteur public se réduisait à moins de 50 % du PIB, l’une des plus faibles de celles des pays de l’Union européenne. Malgré la décélération économique, la situation est restée favorable dans le domaine de l’emploi. Le risque de problèmes de pénurie de l’emploi a augmenté ces dernières années, compte tenu en particulier de l’évolution démographique qui prévoit l’augmentation du nombre des personnes âgées et la diminution de celui des jeunes, facteur qui réduira encore la main-d’œuvre pendant les années à venir. Il a donc été nécessaire, ces dernières années, de trouver des solutions nouvelles à ces problèmes. Alors que dans les années 1970, le gouvernement avait pour objectif de réduire le chômage en diminuant le nombre des actifs par le moyen de la préretraite et des régimes d’allocations postsalariales, il s’efforce au contraire, à l’heure actuelle, de multiplier les incitations visant à maintenir les travailleurs en activité jusqu’à l’âge légal de la retraite, fixé à 65 ans au Danemark. Le marché du travail danois obéit davantage aux conventions collectives qu’il ne le fait dans la plupart des autres pays. Près de 80 % des salariés et env. la moitié des employeurs privés sont syndiqués dans des organisations regroupées respectivement au sein de la Fédération nationale des travailleurs du Danemark (Landsorganisationen i Danmark, LO), et de l’Association des employeurs danois (Dansk Arbejdsgiverforening, DA). Depuis la fin des années 1980, un pourcentage toujours croissant des salaires dépend de négociations locales, tandis que les grandes organisations, outre la réglementation par exemple du taux du salaire minimum, se chargent de problèmes plus généraux, comme les vacances, les conditions de travail et la retraite. 8 En 2000, le salaire horaire, dans le secteur réglementé par DA et LO, a augmenté de 3,9 % contre 4,2 % l’année précédente ; mais malgré la baisse du chômage qui s’est poursuivie pendant toute l’année 1999, les hausses des salaires ont atteint leur taux maximum au début de cette année-là. On pourrait donc en déduire que les réformes concernant l’emploi ont modifié le rapport historique entre le chômage et la hausse des salaires, et qu’il serait possible, désormais, de réduire davantage que par le passé le taux d’inflation des salaires pour un niveau de chômage donné. Les conventions collectives du printemps 2000 ont concerné, avant tout, le secteur réglementé par DA et LO, les autres grandes fédérations, notamment celles du secteur financier et des employés du secteur public, ayant négocié des contrats de deux et de trois ans en 1999. Les conventions collectives actuelles présentent la nouveauté d’être valables pour 4 ans, c’est-à-dire qu’elles ne pourront être renégociées qu’en 2004. Elles comprennent, entre autres, l’attribution d’une sixième semaine de congé, une augmentation des cotisations de retraite, la hausse des salaires et des améliorations générales, comme l’extension du droit au salaire pendant les congés de maternité ou de maladie. En revanche, elles permettent aux employeurs de fixer des horaires de travail moins rigides sans avoir à verser de supplément salarial pour l’incommodité des heures de travail. Après s’être maintenue à env. 2 % de 1996 à 1998, l’inflation s’est accrue pendant les années 1999-2000, la hausse des prix des biens de consommation ayant respectivement été de 2,5 % et de 3,0 %. Cette évolution était principalement due à l’envolée des prix du pétrole, renforcée par un raffermissement marquant du dollar vis-à-vis de la couronne, puisque le baril de pétrole se paie en dollars. Le taux de l’inflation sous-jacente, purgé de l’augmentation des taxes, des produits énergétiques et alimentaires ainsi que des prix réglementés par le secteur public, était de 1,1 % en 1999 et de 0,1 % en 2000. 2.2 Ménages : Nombre de ménages au Danemark : Taille moyenne : Dépenses totales par an : 2.436.341 de ménages ³ 2,2 personnes 240.120 DKK en 1997 (32.016 Euro) (11,35 % sur loisir-vogages) 2.3 Revenu mensuel moyen : Revenu mensuel moyen : 195.400 couronnes danoises (DKK) 8 (26053.3 EURO) 2.4 Taux de chômage : Taux de chômage au Danemark : en 2001 ³ 5,8 % (Belgique : 10,6 % 9) 8 9 Source : Statéstique Danemark ( www.dst.dk ) Source : www.leader-city.com/belgique/expat1.htm 9 Le chôm a ge a u Da ne m a rk e n pour ce nt 2002, 1. Trimes tre 2001, 2. Trimes tre 2000, 3.Trimes tre 1999, 4. Trimes tre 1999, 1. Trimes tre 0,00 1,00 2,00 3,00 4,00 5,00 6,00 7,00 % % % % % % % % 2.5 Taux d’inflation : 2,5 % (Belgique en 2001: 1,7 %) 10 Le taux d’inflation en 2001 : 2.6 Taux de change : Le taux de change en septembre 2002 : 1 DKK = 18,467 BEF 1 EURO = 7,426763 DKK (Belgique 1 EURO = 40,3399 en 2000) 11 2.7 Produits/ industries les plus importants 12 : Les produits industriels comme des machines et des outils et instruments destinés à la production industrielle Les produits chimiques Les produits alimentaires transformés 2.8 Pays d’importation et d’exportation les plus importants 13 : Importation : 1) L’Allemagne 2) La Suède 3) La Grande-Bretagne 4) Les Pays-Bas 5) La France Exportation : 1) L’Allemagne 2) La Suède 3) La Grande-Bretagne 4) Les Etats-Unis 5) La Norvège 10 Source : www.leader-city.com/belgique/expat1.htm Source : www.leader-city.com/belgique/expat1.htm 12 Source : Ministère des Affaires Étrangères ( www.um.dk/français/faktaark/fa05/fa05_fr.asp ) 13 Source : Ministère des Affaires Étrangères ( www.um.dk/français/faktaark/fa05/fa05_fr.asp ) 11 10 3 Analyse du marché touristique 3.1 Périodes de vacances 2002-2003 : L’année scolaire normale est la période s’étendant entre début d’août et le 21 juin Fête/ occasion/ congés/ période Noël Le Réveillon Nouvel-An Epiphanie Jeudi Saint Vendredi Saint Lundi de Pâques Fête du travail Store bededag (jour de prières) Ascension Fête nationale Lundi de Pentecôte Date année scolaire 2002-2003 24-26 décembre 31 décembre 1er janvier 6 janvier* 17 avril 18 avril 21 avril 1er mai 16 mai 29 mai 5 juin * 9 juin *L’Epiphanie et la fête nationale ne sont pas jours de congé Nombre de jours de congés payés par an : 6 semaines Vacances scolaires : ➣ Vacances d’hiver : ➣ Vacances de Pâques : ➣ Vacances d’été : ➣ Vacances d’automne : semaine 7 dans le Seeland et semaine 8 du Jutland et en Fionie semaine 16 entre le 21 juin et le 3 août semaine 42 3.2 Taux de départ 14 : Taux de départ en vacances : 60 % (inchangé par rapport à 1999) 15-24 ans : 70% 25-44 ans : 65,5% Taux de départ à l’étranger : 47% (inchangé par rapport à 1999) 15-24 ans : 61% 3.3 Etalement des périodes de vacances : 64% des voyages à l’intérieur du Danemark sont effectués au mois de juin, de juillet et d’août tandis que 43 % des voyages à l’étranger sont effectués au mois de juin, de juillet et d’août.15 14 15 Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) Ferie og forretningsrejser 2000 Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) Ferie og forretningsrejser 2000 11 3.4 Type d’hébergement 16: T ype d'he rbe rge me nt (v oyage s d'affaire s - M ICE) 3% 2% 0% Hôtel et ass im ilé 95% P arent et am is 2% A utre 3% Centre de congrès 0% 95% Type d'herbergement (longues vacances) 11% Hôtel et as s im ilé 71% 11% P arents et am is 16% Cam ping 11% 16% 71% Loc ation 11% Type d'herbergement (courtes vacances) 3,50% Hôtel et ass im ilé 61% 5,60% P arents et am is 30% 30,00% Cam ping 5,6% 61,00% Loc ation 3,5% 16 Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) Ferie og forretningsrejser 2000 12 3.5 Durée moyenne de séjours 17 : La durée moyenne des séjours à l'étranger 65 ans et plus 29 nuitées et plus 45-64 ans 15-28 nuitées 8-14 nuitées 25-44 ans 4-7 nuitées 15-24 ans 0% 20% 40% 60% 80% 3.6 Pays étrangers les plus visités par les Danois : En 2001, les Danois ont effectué 3.102.000 voyages à l’étranger et 1.594.000 à l’intérieur du Danemark. La plupart des voyages de loisir ont été effectués en France et en Espagne. En ce qui concerne le tourisme des jeunes, une enquête récente effectuée pour la compagnie SAS par l’organisme de sondage Gallup révèle que les destinations préférées des jeunes de 15 à 25 ans sont la Grèce, l’Espagne et l’Italie. Néanmoins, c’est vers l’Allemagne qu’ils ont le plus voyagé en 2001, viennent ensuite la France et la Suède. 37 % ont voyagé par charter, 35 % en voiture, 32 % sur des lignes régulières, 20% en autocar, 8% en train et 2 % en bateau.18 P ays étrangers les plus visités par les D anois (longues vacances) 14% 27% Franc e 27% E spagne 27% 16% Grèce 16% Italie 16% S uède 14% 16% 17 18 27% Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) Source : Berlingske Tidende Rejseliv 22/06/2002 13 Pays étrangers les plus visités (voyages d'affaires - MIC E) 9% 11% A utres E urope 42% 42% A llem agne 20% S uède 18% Grande-B retagne 11% 18% Norvège 9% 20% Concernant les courtes vacances 83% des Danois préfèrent rester au Danemark tandis que les derniers 17% voyagent en Allemagne, en Suède, en Grande-Bretagne et en Norvège.19 3.7 Dépenses quotidiennes moyennes 20 : La dépense quotidienne moyenne par personne et par jour à l’étranger : 570 DKK (77 Euro) (des longues vacances) La dépense quotidienne moyenne par personne et par voyage à l’étranger : 2206 DKK (296 Euro) (des courtes vacances) La dépense quotidienne moyenne par personne et par jour à l’étranger : 2284 DKK (307 Euro) (des voyages d’affaires – MICE) 3.8 Mode d’organisation de voyages 21 : La mode d'organisation de voyages à l'étranger V oy ages organis és par le voy ageur 37% 19% 37% 44% V oy ages organis és par une agenc e de voy ages V oy ages organis és partiellem ent par une agenc e de voy ages 19 Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) 21 Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) 20 14 3.9 Composition du groupe de voyageurs 22 : La composition du groupe de v oyage urs par âge 64% 70% 64% 55% 60% 50% 1 pers onne 40% 33% 31% 23% 30% 17% 20% 7% 10% 2 pers onnes 3 pers onnes 14% 13% 11% 0% 0% 15-24 ans 25-44 ans 45-64 ans 65 ans et plus 25% 23% 20% 15% 4 personnes 13% 10% 5 personnes 9% 8% 6 personnes et plus 6% 5% 1% 1% 3% 1% 3% 0%0% 0% 15-24 ans 25-44 ans 45-64 ans 65 ans et plus Avec ou sans enfants 120% 98% 100% 84% 84% 80% voy ages avec enfants 53% 47% 60% voy ages s ans enfants 40% 20% 16% 16% 2% 0% 15-24 ans 25-44 ans 45-64 ans 65 ans et plus 15 3.10 Moyens de transport utilisés 23 : Moyens de transport lors de voyages à l'étranger en % 80 73 70 60 51 40 voiture personelle 31 autoc ar 30 20 10 avion 44 50 21 13 22 18 8 2 train 5 2 0 Longues vac anc es 22 23 Les c ourtes vacances Les voy ages d'affaires Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) Source : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) 16 Liste des sources Source 1 : www.danmark.dk Source 2 : Statistique Danemark ( www.dst.dk ) Source 3 : www.leader-city.com/danemark/expat1.htm Source 4 : L’ambassade danoise à Paris ( www.amb-danemark.fr ) Source 5 : www2.jp.dk/dbp/internetavisen/bors/nogletal Source 6 : www.leader-city.com/belgique/ expat1.htm Source 7 : Ministère des Affaires Étrangères ( www.um.dk/français/faktaark/fa05/fa05_fr.asp ) Sites intéressants : Banque nationale : www.nationalbanken.dk Ministère de l’Economie : www.oem.dk/eng Ministère des Finances : www.fm.dk/uk/default.asp L’office du tourisme du Danemark : www.visitdenmark.dk 17