La masse de Planck offre deux solutions Résumé
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La masse de Planck offre deux solutions Résumé
La masse de Planck offre deux solutions Dominique Mareau Ingénieur-Chercheur France Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 [email protected] Résumé La masse de Planck est donnée par un argument dimensionnel existant entre la constante de Newton G, la constante de Planck ℏ et la constante de célérité c. Le modèle standard considère ces trois constantes comme fondamentales. Nous montrons que les véritables constantes se rapportent aux paramètres de l'électron. En ajoutant le ratio qui reflète les échelles de cet univers, permet de retrouver toutes les constantes fondamentales. Nous montrons que l'argument dimensionnel offre une seconde intensité de masse. Cette seconde masse reçoit, dans le modèle OSCAR, une signification physique, alors que la première n'en a pas. Cette signification vient renforcer le déroulement du modèle OSCAR et explique la naissance de la gravitation. Mot clés masse de Planck ; naissance de la gravitation ; échelles structurelles de l'univers ; constante de Planck ; Constante de Newton ; constante de célérité ; dualité ; causalité réciproque ; universalité de l'électron ; tachyon. 1 Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 1. Masse de Planck et constante de Planck La masse de Planck est donnée par un argument dimensionnel existant entre la constante de Newton G, la constante de Planck ℏ et la constante de célérité c. Le modèle standard considère ces trois constantes comme fondamentales. mP = (√ ℏGc ) (1) Nous avons largement montré [1, 2, 3, 4, 5, 6, 7] que les véritables constantes se rapportent aux paramètres de l'électron. Avec le ratio ξ qui reflète les échelles de cet univers, on retrouve toutes les constantes fondamentales. Les trois constantes réputées fondamentales, sont en réalité, des facettes des paramètres [M, L, T] de l'électron (m e , ƛ e ,t e ) : ℏ≡ me ƛ 2e te (2) ƛe te (3) c≡ 3 ƛ G≡ 4 e 2 ξ me t e 2≡10 7 me ƛ e α (4) (5) On voit bien que les constantes du modèle standard sont toutes des reflets des paramètres de la paire électron-positron. Elles sont des raccourcis pratiques mais qui cachent les fondements de l'univers. Le facteur ξ est détaillé ci-après. La (5) est souvent écrite avec le rayon classique de l'électron qui est α fois plus petit que l'intervalle élémentaire, ƛe . Selon le modèle [5], α = f(ξ). 2. Le facteur d'échelle, ξ On a montré en détail que ce facteur d'échelle était déterminé par plusieurs voies indépendantes. Il correspond au nombre de mitoses du condensat de Bose Einstein primordial. Par définition, il signe le taux d'élargissement de l'intervalle élémentaire quantique intervenant dans (2, 3, 4, 5). Il détermine le ratio grave/coulombien pour une paire électron-positron. Il détermine la constante de structure fine (α = f(ξ)) et il détermine l'anomalie du moment magnétique de l'électron. La (1) peut s écrire : mP = √( me ƛ3e G t 2e ) (6) Mais également d'une manière plus simple qui donne un résultat plus grand : 3 m P ξ2 = ƛe = m0 = me ξ 4 2 G te (7) On constante que le simple argument dimensionnel offre deux valeurs numériques différentes. Cela vient 2 conforter la position de prudence du modèle OSCAR en face du seul argument dimensionnel. Devant un tel dilemme, il apparaît sage de retenir la formule la plus simple (principe du rasoir d'Occam). Cependant rien n'interdit que la masse de Planck puisse prendre plusieurs valeurs numériques. Il faut cependant noter que le modèle Oscar est contraint par la formulation (7) concernant le proton [8]. 3. La naissance de la gravitation Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 Chacun peut vérifier le ratio entre le champ coulombien et le champ gravitationnel entre un électron et un positron en prenant, ξ = 1,54582057656786.1011 et G = 6,67240825529415.10-11 m3 s-2 kg-1, de la (4) : ξ4 e2 = α 4 π ϵ 0 G me2 (8) Dans laquelle on retrouve le facteur ξ4 de la (7). Le modèle Oscar considère que la gravitation est née d'une séparation causale survenu entre ξ8 paires électron-positrons formant un front 2D sphérique du condensat de Bose Einstein primordial, en violente extension [1, 2, 3, 4, 5, 6, 7]. Cette séparation causale survient en même temps qu'une immense annihilation laissant des trous dans l'intervalle élémentaire fossile. En 2D sur le front, le ratio : nombre initial / nombre de trous, est donné par la constante de structure fine, α2. En 1D, l'intervalle élémentaire est donc élargi d'un facteur α. Le nombre de paires électron-positrons sur une géodésique (1D) est donc représenté par le premier terme de la (8). La masse rescapée de l'annihilation en 3D est donc : 8 MU= me ξ = 1,154 .1053 kg 3 α (9) Cela est en accord avec les estimations les plus récentes de la masse totale de l'univers, toutes formes confondues. 4. La masse de Planck bis et la séparation causale Selon [1, 2, 3, 4, 5, 6, 7], les paires électron-positrons sont nées d'autant d'oscillateurs (bosons), après séparation causale réciproque et généralisée. Cela veut dire qu'électrons et positrons voisins sur ce front, portent un gradient élémentaire de la force de rappel de chaque oscillateur. La sommation de ces forces, typiquement coulombiennes est celle du gradient élémentaire multiplié par le nombre présent sur la demi circonférence. Après annihilation, la demi circonférence comporte ξ4/α électrons ou positrons, ce qui explique la relation (9). Ainsi, la masse de Planck bis, donnée par la (7), correspond à la somme des masses élémentaires présentes sur une géodésique du BEC primordial. On retrouve la cohérence avec la phase avant annihilation, en posant la (4) comme suit : ƛ 3e G≡ M 0 t2 Dans laquelle, M0 représente la projection 1D de MU (9), avant annihilation. 3 (10) 5. Conclusion La seconde solution de la masse de Planck reçoit une explication physique cohérente avec l'ensemble du modèle oscar. La naissance de la gravitation est clairement identifiée entre la (8) et la (10). Le ratio {coulombien / grave}, est réduit du facteur α après annihilation, dans sa projection 1D. Cela veut dire que la gravitation unitaire (1D) s'est renforcée car la particule rescapée (1/137 trous) voit son gradient croître d'autant. La notion de séparation causale généralisée, explique parfaitement deux fondements essentiels : Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 5-1 la naissance de la gravitation 5-2 la cause de la matière noire On a vu que les collisions précoces [9] mettaient en relation deux zones du front en expansion, qui présentent entre elles, un angle originel non négligeable. C'est cet angle qui fixe linéairement le taux d'annihilation qui dégénère les baryons. On observe également que l'apparition de la matière noire coïncide avec les collisions. La matière, ainsi dégénérée, perd son lien harmonique avec le niveau subquantique (appelé vide à tort). C'est l'absence des émissions spontanées qui explique la non visibilité directe. Le modèle est cohérent avec 95 % de matière noire et 5 % de matière visible. Ce taux est plus fort que celui que l'on constate dans les halos des galaxies proches. La matière visible forme des galaxies avec des halos très serrés. Les galaxies noires, en revanche, possèdent des halos très étendus. Les galaxies naines sont des cas intermédiaires dont le halo s'étend jusqu'à plus d'un milliard d'années-lumière. Le processus de mitose explique parfaitement l'accélération de l'expansion qui résulte d'un effet retard lié à la haute fréquence des collisions. La haute fréquence précoce des collisions est contrainte par le processus fractal de mitose. 7. Références 1/ gsjournal.net/old/physics/mj; "l'électron un fermion très différent des autres" ; D Mareau; 4481 ; 2013 january 17. 2/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La dualité de l'univers-oscillateur" ; D Mareau; 4533 ; 2013 february 14. 3/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La longueur de Planck, intervalle élémentaire qui mène au proton" ; 4594 ; D Mareau; 2013, march 01. 4/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La vraie-fausse problématique du temps" ; 4622 ; D Mareau; 2013 march, 05. 5/ gsjournal.net/old/physics/mj; "Le paradoxe de la longueur de Planck" ; 4645 ; D Mareau; 2013 march, 05. 6/ D. Mareau (2012) "L'univers miroir, né du rien pré-quantique"; ISBN 978-1-4717-0906-7 7/ site web « modèle OSCAR » ; http://www.cosmologie-oscar.com/ 8/ Pour la science.fr; Maurice MASHAAL « le proton, plus petit que http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-le-proton-plus-petit-que-prevu-25516.php . prévu »; 9/ Pierre-Alain Duc ;CNRS ; « Les collisions dans l'univers » Laboratoire Astrophysique Interactions Multi-Echelles, CEA-Saclay, CNRS, Paris VII ; http://www.aim.univparis7.fr/seminaires/21fevrier/documents/collisions.pdf 4