Co lab oup d borat d`œil toire pass du f sionn utur nant dans s le

Mutte
enz/Lausan
nne, le 21.0
05.2013
Co
oup d’œil
d
pass
sionn
nant dans
s le
lab
borattoire du futur
Le tro
oisième sa
alon LABO
OTEC Suis
sse 2013 d’easyFair
d
rs® s’est tterminé su
ur un bilan
n
positiif pour les
s visiteurs
s et les exp
posants
Techn
niques de laboratoire les plus ré
écentes, po
ossibilité d’échanges
d
s intensifs et
e contacts
s
intére
essants: lorrs du 2e salon spécia lisé pour la
a technolog
gie de labo
oratoire et le secteur
ogies en Su
uisse roma nde, il n'y avait pas seulement
s
ation des
des biiotechnolo
la présenta
derniè
ères innova
ations au programme
p
e, une place de choix était égaleement rése
ervée au
réseau
utage. Les visiteurs et
e exposan
nts se sont exprimés positivemeent au suje
et du salon..
755 viisiteurs se sont rendu
us à la hallle du parc d’expositio
d
on de Beau
ulieu Lausa
anne pour
s’informer directement aup
près des 90
0 exposantts du secte
eur des lab
boratoires, des
chnologies
s, des techn
nologies m
médicales et
e des techn
niques de m
es derniers
s
biotec
mesure. Ce
ont prrésenté les
s évolutions
s, les techn
nologies ett les tendances les pllus récente
es, ainsi
que le
es possibilités qui existent pourr l’exploitattion et la vie quotidieenne des la
aboratoires
s.
La gra
ande offre de LearnShops a été activemen
nt utilisée par
p de nom
mbreux visiteurs. Lors
s
de la ttable ronde
e sur le lab
boratoire du
u futur (Laboratoire 4.0),
4
les exp
ploitants ett
respo
onsables de
e laboratoires reçuren
nt d’excelle
ents conse
eils pour see positionn
ner et se
prépa
arer aux déffis à venir dans le ma
arché globa
al des labo
oratoires.
Un pro
ogramme se
erré avec beaucoup de
e temps fortts: c’est ainsi que les vvisiteurs véc
curent cette
e
année
e le salon LA
ABOTEC d’easyFairs. Directemen
nt à l’entrée, l’Institut F raunhofer pour
p
le
Génie Biomédica
al IBMT prés
sentait son laboratoire de l’avenir de 30 tonnees. Un gran
nd
amme cadre
e sur un esp
pace conce
entré complé
était les attrraits de la ssurface d’ex
xposition.
progra
Daniell Piquet, de
e l’«Associattion Vaudoiise des Lab
borantins et Laborantinees»(AVLL) fit un
exposé lors des le
earnShops sur le nivea
au scientifiq
que actuel de
d la formattion de labo
orantin. Ce
L
furent surtout les jeunes visitteurs du sa lon qui s’infformèrent par ce biais sur cette prrofession. Le
ble-shooting
g des culturres cellulairres» de Mm
me Liliana La
ayer de ProomoCell Gm
mbH ainsi
«Troub
que le
e «Nano laboratoire 4.0
0» de M. Ch
hristoph Meili de Die Innovationsgeesellschaft furent
égalem
ment des exxposés extrrêmement in
nformatifs. Entre
E
les stands comp acts des ex
xposants
dans la grande ha
alle de Beaulieu, les no
ombreuses nouveautés et les mulltiples services tournan
nt
Page 1
autourr de l’équipe
ement de la
aboratoire, d
des discuss
sions animées eurent liieu entre vis
siteurs et
exposants. Dans l’ensemble
e, les associiations parte
enaires com
mme FLB, S
SWISS BIOTECH et
bioalps étaient ég
galement ra
avies de l’évvénement de cette année.
Peter A
A. Cologna
a, PDG d’easyFairs Sch
hweiz GmbH se montra
ait satisfait du déroulem
ment du
salon de cette année: «Nous
s avions un bon mélange d’exposants venantt de secteurs différentss
avec d
des produitss et des serrvices qui on
nt été très bien
b
accueilllis par les vvisiteurs. Le
es visiteurs
du salon provena
aient de sec
cteurs très d
divers de l’in
ndustrie, que ce soit dee l’industrie chimique,
aceutique ou
o alimentaiire. Un large
e spectre de
e charges eet de fonctio
ons était
médicale, pharma
ment représsenté.» Qua
ant au choixx du site de Lausanne, Cologna sooulignait qu
u’«en Suisse
e
égalem
roman
nde se trouvvent de nom
mbreuses en
ntreprises trravaillant da
ans le domaaine de la re
echerche ett
de la p
production pharmaceut
p
tique ou bio
ochimique, comme
c
dan
ns le secteuur de l’alime
entaire. Avec
nos exxposants de
e la LABOTEC Suisse, nous appro
ochons don
nc de très prrès ce grou
upe cible.
Les tra
ajets d’accè
ès au salon sont courtss et les intérressés y tro
ouvent des iinformations
s fournies
par de
es personne
es compétentes.» Marttina Hofman
nn, direction
n Marketingg et Salon chez
«nous conttinuerons à alterner less
easyFairs Suisse
e, expliquait qu’à l’aven
nir, pour la LABOTEC,
L
ochaine, elle
e aura de n
nouveau lieu
u à Bâle, où
ù nous couvvrirons le se
ecteur suissse
sites. L’année pro
d
aux visiteurs
v
la p
plateforme adéquate pour
p
découvvrir les innovations du
alémanique afin d’offrir
ur des laborratoires.»
secteu
Le lab
boratoire de
e l’avenir à notre port
rte
L’Instiitut Fraunh
hofer pour le Génie biiomédical (IBMT)
(
(ww
ww.ibmt.frauunhofer.de),, dont la
renom
mmée internationale n’e
est plus à fa
aire, est ven
nu à Lausan
nne avec soon «Laborattoire de
l’aveniir» d’une va
aleur d’envirron deux m illions d’eurros. Les visiteurs purennt jeter un œil
œ étonné
sur less dernières techniques de laborato
oire en espace réduit. Ce premierr laboratoire
e mobile au
monde
e se conform
me au nivea
au de prote
ection biolog
gique de niv
veau III et l’IIBMT l’utilis
se avec
succèss depuis 20
011 dans la province du
u Cap-Occidental en Afrique
A
du S
Sud. Daniel Schmitt,
respon
nsable du groupe
g
de trravail Techn
nologies de laboratoire à l’IBMT, sse réjouit tout
particu
ulièrement «d’avoir
«
pu présenter e
en Suisse notre
n
dernier laboratoiree mobile dirrectement
après sa première
e entrée en
n action en A
Allemagne. Il s’agit ici d’une
d
thém atique trans
sversale,
bant tous le
es aspects des
d techniqu
ues de labo
oratoire, en particulier l ’automatisa
ation et
englob
l’inform
matique. Grrâce au labo
oratoire mob
bile, le joya
au de ce pro
ojet, nous prrésentons le
es nouvelle
es
techno
ologies de la
aboratoire sur
s un espa
ace très com
mpact et, po
our la premiière fois, en
n NSB II
(niveau de sécurité biologiqu
ue selon la d
directive eu
uropéenne 2000/54/CE
2
E) avec des salles
d’exam
men corresp
pondantes et
e adaptéess aux missio
ons sur le te
errain.»
Page 2
du «Laborattoire 4.0»
Table ronde émiinente sur le thème d
À la ta
able ronde sur
s le labora
atoire de l’a
avenir – nom
mmé «Laboratoire 4.0»» – M. Micha
ael Matthess
de scie
enceindustrries, Frederrik Decoutte
ere de Geno
ohm SA, Sa
andro Toninni de Metroh
hm Schweizz
AG, aiinsi que Catherine Mon
nfort d’Unicconcept IP Solutions
S
Sà
àrl, ont disccuté sous la modération
n
de Ralf Mayer, ré
édacteur en chef de Ch
hemie Plus. Le thème était
é
les ten dances, perspectives
ostique et au
ux entrepris
ses corresppondantes pour
p
se
et posssibilités se présentant à la diagno
préparrer et répon
ndre avec su
uccès aux e
exigences et
e aux conditions cadree futures au sein de la
concurrence glob
bale. science
eindustries Switzerland
d, l’Association des Inddustries Pha
arma Chimiie
ureau de co
oordination central et im
mportant. Michael
M
Mattthes, memb
bre de la
Biotecch, est un bu
direction et respo
onsable du service
s
Envvironnementt, Sécurité et
e Technoloogie de
sciencceindustriess résume, en s’appuyan
nt sur les prropos tenus
s lors de la ttable ronde
e, ce à quoi
les entreprises do
oivent partic
culièrementt faire attenttion: «Le lab
boratoire duu futur est un
u élément
mportant pour nos entre
eprises, carr elles ont pris
p conscien
nce que c’eest un très fo
ort
très im
stimula
ateur d’inno
ovation pour leurs activvités profess
sionnelles. Pour cela, iil faut un laboratoire qu
ui
perme
ette d’abord une bonne
e approche d
des innovattions et leurr transformaation. C’est pourquoi
nos en
ntreprises membres
m
tie
ennent forte
ement comp
pte de cet éllément. Less aspects ce
entraux, quii
ont été
é discutés icci à cette ta
able ronde, sont la prop
priété intelle
ectuelle, l’innternationaliisation des
labora
atoires. On y a bien vu que les enttreprises pa
articipantes présentaieent une posiition similairre,
car de
es laboratoirres peuventt se constru
uire partout dans le monde. C’est lla raison po
our laquelle
nous d
devons, ici en
e Suisse, maintenir n otre bonne situation au
u sein de laa concurrenc
ce
interna
ationale.»
Parole
es d’expos
sants au su
ujet de l’évé
énement de
e laboratoiire romand
d de l’année
e
Le dép
partement Building
B
Tec
chnologies Division de SIEMENS Suisse préésentait un laboratoire à
son stand de la LABOTEC
L
Suisse
S
2013
3. Roberto Fumagalli,
F
directeur
d
Saales & Mark
ket chez
ENS était trrès satisfait de sa particcipation à l’événementt de la brancche et de so
on stand
SIEME
bien p
placé et reviendra dans
s tous les ca
as en 2014: «C’était un
n salon intérressant et bien
b
enté – comm
me les salon
ns des anné
ées précéde
entes. Avec
c des entrettiens très intéressants
fréque
et dess clients mottivés qui rep
présentaien
nt bien l’ens
semble de l’environnem
ment de la te
echnologie
boratoire.» Chez
C
Sieme
ens, le temp
ps fort de ce
e salon fut la démonstrration de sé
écurité et
de lab
acité des la
aboratoires sur
s un gran
nd laboratoirre d’expérim
mentation een direct. Le
es visiteurs
d’effica
purentt y observerr en détail un
u poste de travail de laboratoire où
o des dérooulements efficaces
e
et
Page 3
sûrs sont atteints grâce à de
es solutions de sécurité
é intégrées, une détecttion de prés
sence et un
bilan d
de ventilatio
on individuels.
L’asso
ociation proffessionnelle
e des professsions de la
aboratoire Fachverban
F
nd für Labo
orberufe
(FLB, www.laborb
berufe.ch) était
é
l’un dess partenaire
es de la LAB
BOTEC Suiisse 2013. Charlotte
C
ésidente de
e la FLB ten
nait absolum
ment à prése
enter les noouveaux dip
plômes de
Rothenbühler, pré
technicien de labo
oratoire (La
aborfachfrau
u/mann): «P
Pour nous, la
l collaboraation avec easyFairs
e
esst
c
en
ncore mieux
x l’associatiion et pour nouer de no
ouveaux
d’une part idéale pour faire connaître
e, nous avo
ons pu gagn
ner des oratteurs pour que
q nos meembres puis
ssent
contaccts. En outre
égalem
ment conna
aître davanta
age d’entre
eprises. Un des thèmes
s proposé éétait la forma
ation
professsionnelle. Et
E plus partiiculièremen
nt l’introducttion d’un examen supéérieur spécia
alisé en
Romandie. Nous avions éga
alement Carrbagas AG comme orateur parten aire, qui a disserté
d
surr
a pratique du
d laboratoirre et sur ce
e qu’il fallait respecter ppour ne pas
s le
le gaz pur dans la
miner.» Sa conclusion est égalem
ment très positive, bien qu’elle ait ppassé beaucoup de
contam
tempss à recherch
her des oratteurs franco
ophones appropriés: «C
C’était un peeu plus difficile ici
qu’ave
ec des orate
eurs anglop
phones ou q
qu’à Bâle. J’espère que
e la prochai ne fois le sa
alon sera
encore
e plus connu et qu’enc
core plus de
e responsab
bles de labo
oratoire vienndront avec leur jeune
relève
e. Nous trouvons la LAB
BOTEC Suiisse très bie
en et on pou
uvait y voir beaucoup sur
s un
espace réduit.»
Judith Hähnlein, Sales
S
Mana
ager pour l’E
Europe cen
ntrale chez Thermo
T
Fissher Scienttific
er.com) était très heure
euse de pouvoir participer cette aannée encorre à la
(www..thermofishe
LABOT
TEC. L’entrreprise prés
sentait certa
aines nouve
eautés dans
s le domainee de la diag
gnostique.
«Nouss avons été positiveme
ent surpris e
et avons eu l’occasion de
d rencontrrer de nomb
breux clients
et parttenaires de coopération ici à la LA
ABOTEC Su
uisse 2013. Il nous impportait égale
ement de
présen
nter le plus petit appare
eil de specttrométrie RM
MN du mon
nde et de bieen profiter de
d cette
occasiion. Le specctromètre picoSpin
p
45 est extrême
ement maniable, encoore plus dan
ns le
domaine de la sp
pectroscopie
e RMN, car on ne conn
naissait jusq
qu’à présennt que de trè
ès grands
eils. Des pe
erspectives nouvelles e
et moins onéreuses s’o
ouvrent pouur utiliser la technique
appare
de spe
ectrométrie RMN, en particulier da
ans le doma
aine de l’apprentissagee et de la fo
ormation.»,
expliqu
uait Judith Hähnlein.
H
Sabine
e Glassnegg d’Unico Haberkorn
H
AG était sa
atisfaite du salon de ceette année, même si
elle au
urait souhaité voir dava
antage de vvisiteurs: «C
C’était un sa
alon très intééressant av
vec des
contaccts intéressa
ants. Un de
e nos tempss forts était surement la
a présentatiion de notre
e nouvelle
Page 4
combinaison en Venion
V
avec
c système d
de ventilatio
on spécialem
ment dévelooppé et non
n
contam
minable, qui protège co
ontre différe
entes substances dang
gereuses.»
Frederrik Decoutte
ere, PDG de
e la startup EPFL Gen
nohm SA se montrait trè
rès satisfait: «La
LABOT
TEC Suisse
e 2013 fut une
u bonne ssurprise. No
ous n’avions pas escom
mpté autant de visiteurrs,
mais a
avons eu dixx contacts lead très im
mportants pe
endant les deux
d
jours, cce qui est un
u bon
résulta
at dans notrre professio
on.»
Les occcasions de
e contact dirrects vers la
a Suisse rom
mande ont plu à MM. LLorenz Egli et Otmane
Zerzou
uf de Borerr Chemie AG.
A Lorenz Egli: «Pour nous, la Su
uisse romannde est un marché
m
trèss
importtant et la LA
ABOTEC Su
uisse 2013 ici à Lausan
nne est un excellent
e
treemplin pourr aller vers
de nou
uveaux clients et entretenir les rellations avec
c les clients existants.»»
Les viisites guidé
ées «Guide
ed Tours» ffurent un succès
s
Deux vvisites guidées furent également
é
e
effectuées lors
l
du salo
on LABOTE C Suisse de cette
année
e. Elles perm
mirent d’obtenir en une
e heure des information
ns compactees grâce à un guide ett
à des exposants sélectionné
és. Les entre
é
Boreer Chemie AG,
A
eprises parrticipantes étaient
Laborrial Laborattory Solutions, Beckm
man Coulte
er Internatiional S.A., Thermo Fisher
IBMT. Nonn seulement les
Scienttific et l’Ins
stitut Fraun
nhofer pourr le génie biomédical
b
participants, maiss les entreprises expossantes étaie
ent égaleme
ent satisfaitees, car les participants
p
ansmission d’informatio
d
ons étendue
e et dense.
étaient tout particculièrement intéressés par une tra
ntretiens inttensifs viren
nt le jour grâ
âce à ces visites
v
guidé
ées, qui mennèrent, pou
ur les
Des en
visiteu
urs comme pour
p
les exposants, à d
de nouveau
ux contrats et de bons contacts. Pour
P
M.
Otman
ne Zerzouf, International Sales Ma
anager chez
z Borer Ch
hemie AG, l a participattion aux
visitess guidées fu
ut «un vrai avantage
a
po
our obtenir la possibilité
é de s’entreetenir de ma
anière
intensive avec less visiteurs participants
p
et de prése
enter en pro
ofondeur less nouveauté
és.»
Soirée
e exposantts / VIP con
nviviale ave
ec musique
e live de Pa
ascal Geis er
Lors d
du premier soir
s du salon eut à nou
uveau lieu la
a soirée trad
ditionnelle ddes exposants. Cette
fois-ci, on se retro
ouva tout à côté de la h
halle du parrc d’exposittions à la «C
Cave neuch
hâteloise»,
où dess spécialitéss locales, des vins excclusifs, une ambiance conviviale
c
et des entrettiens
intensifs vinrent compléter
c
de manière h
harmonieus
se le premie
er jour du saalon. Le poiint d’orgue
a montée su
ur scène de Pascal Geiiser, chante
eur de bluess suisse, ac
ccompagné
de la ssoirée fut la
de Sha
anky Wyserr au synthétiseur (www
w.bluespage
e.ch). Le du
uo mit l’ambbiance avec
c des
morce
eaux entraîn
nants et dan
nsants des a
années 40 jusqu’aux
j
classiques
c
dde pop des années 90..
Page 5
Inform
mations au sujet d’eas
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L
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S
20
013, 18 & 19
9 septembre
e 2013, BER
RNEXPO
SCHÜ
ÜTTGUT Scchweiz 2013
3 (VRAC), 1
13 & 14 nov
vembre 201
13, Parc dess exposition
ns de Bâle
de Bâle
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mbre 2013,, Parc des expositions
e
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014, 05 & 06
6 février 2014, Parc de
es expositioons Zurich
Verpackung Zuricch 2014 (Em
mballage), 2
26 & 27 mars 2014, Pa
arc des expoositions Zurich (halles 3 et 4)
Packa
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ations Zuric
ch 2014, 26 & 27 mars 2014, Parc
c des expossitions Zuric
ch (halles 5, 6 et 7)
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