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Association Loi 1901
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Prochain rendez-vous:
Samedi 12 janvier 2013
à
20h 30
Né le 29 septembre 1948 à Paris, Guy KONOPNICKI dit « Konop », est un journaliste et romancier français.
Après avoir été militant communiste de 68 à 72, Guy KONOPNICKI commence sa carrière de journaliste à
l'hebdomadaire culturel communiste France-Nouvelle. Il s'occupe ensuite d'une association culturelle,
collabore à Libération, au Matin de Paris et à France-Culture. Il développe en parallèle une carrière de
romancier. En 1979, il publie son premier ouvrage 'Au chic ouvrier', tout en travaillant comme scénariste et
dialoguiste pour le cinéma. Sous le pseudonyme « Konop », il écrit des romans policiers pour Série Noire. En
1999, il rejoint le journal Marianne en tant que chroniqueur. Il publie une vingtaine de romans, qui traitent le
plus souvent du communisme, de l'histoire et des milieux populaires. En 2012, son roman 'Le jour où De
Gaulle est parti, 27 avril 1969' est la première publication de la maison d'édition Eybalin.
( http://www.evene.fr/celebre/biographie/guy-konopnicki-11979.php )
nous présente son dernier livre :
Editeur :
Nicolas EYBALIN
Au référendum proposé par le général de Gaulle, le 27 avril 1969, les Français votent "non". Peu après minuit, il annonce
qu'il cesse d'exercer ses fonctions. Ce jour-là, Guy KONOPNICKI, trop jeune encore, n'a pas voté. Mais, exerçant des
responsabilités au sein des étudiants communistes, il a été averti de la consigne pour happy few, à rebours de la position
officielle: mieux valait voter "oui" pour le de Gaulle de la Résistance que "non" avec les tenants de la droite atlantiste. C'est
un bon choix que de retenir cette date pour inaugurer une collection d'histoire, « Au vif de l’Histoire », qui se propose de
repérer des dates clés dans notre histoire toute contemporaine. Et c'est une bonne idée d'avoir sollicité Guy KONOPNICKI
pour s'en faire, à la fois, le témoin et l'historien. Ce que ce 27 avril 1969 condense, en effet, ce n'est pas seulement la fin du
gaullisme -car que pouvait bien être un gaullisme sans de Gaulle? -mais c'est aussi la fin d'une configuration politique
singulière et à beaucoup d'égards baroque: le gaullo-communisme. Car il y a dans ces deux grandes forces adverses, non
seulement des options politiques communes -le rôle de l'Etat, la planification, l'industrialisme, l'anti-impérialisme...- mais
aussi une forme de considération mutuelle née de l'épreuve partagée qu'est la Résistance. Avec Georges Marchais, ouvrier
en Allemagne pendant la guerre succédant à Waldeck Rochet, représentant du PCF à Londres, et Georges Pompidou,
sans état de service entre 1940 et 1944, succédant à de Gaulle, c'est une autre époque qui commence. Guy
KONOPNICKI, issu lui-même d'une famille communiste résistante, évoque avec rigueur et sensibilité ce moment de
basculement. Avec drôlerie aussi, car on n'est pas impunément l'immortel auteur (avec Brice Couturier) de Réflexions sur la
question goy (Lieu commun, 1988) !
(Source : http://www.lexpress.fr/culture/livre/le-jour-ou-de-gaulle-est-parti-27-avril-1969_1112299.html)
N’oubliez pas de participer au buffet en apportant gâteaux, boissons, fruits ou gourmandises à
partager en fin de soirée !
PROCHAINEMENT … VOS ACTIVITES
Samedi 26 janvier 2013 à 20h30
Assemblée Générale du Cercle TABENKIN
Cordial Shalom …