Laurent Hadjakli, Responsable Tél
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Laurent Hadjakli, Responsable Tél
Publi-rédactionnel Echange entre Hervé Molmy, COO Informatique des Marchés de Capitaux (DIMC), Laurent Hadjakli, Responsable Télécom de l’Organisation & Financing Support (OFS) et Armelle Sciberras, Responsable du Recrutement, sur la thématique de recrutement de profil informatique chez Calyon, Banque de Financement et d’Investissement (BFI) du Groupe Crédit Agricole. Propos recueillis par Annabelle Thébaud, Responsable Communication RH Calyon Quels sont aujourd’hui les enjeux de recrutements dans les métiers de l’informatique chez Calyon ? en phase de construction soutenue par un groupe extrêmement solide, dans lequel ils peuvent évoluer de manière autonome dans un cadre piloté. Hervé Molmy : Depuis sa création en 2004, nous avons été plutôt absents sur les Forums. Notre priorité était alors de mettre en place une infrastructure adaptée aux nouvelles ambitions de Calyon. Nous avons donc plutôt axé nos recrutements sur des profils confirmés en informatique et management. Nous sommes maintenant prêts à recruter des jeunes diplômés (JD) et à les accompagner dans notre organisation. Vous avez parlé d’accompagnement pour aider les JD à s’intégrer ? Que mettez-vous en œuvre en termes de mobilité et d’évolution de carrière ? HM : Les candidats à potentiel grandiront avec la structure et s’ils sont très bons, ils grandiront plus vite. Nous avons identifié des parcours de formation possible avec des courbes d’évolution à la fois au sein de nos métiers mais aussi vers d’autres métiers de la Banque. Laurent Hadjakli : La pyramide des âges nous montre aussi que nous avons besoin de recruter maintenant les managers de demain. Notre démarche s’inscrit donc sur le long terme. Sur quels critères faites-vous votre sélection ? Armelle Sciberras : Nous avons pour cela identifié des écoles cibles composées principalement d’écoles d’ingénieurs, mais aussi de Masters spécialisés en informatique. L’idée est, pour favoriser l’intégration des stagiaires et des JD, de les parrainer par un opérationnel avec un suivi tout particuliers des Ressources Humaines. Cet opérationnel devenu leur référent pourra répondre à toutes leurs questions sur l’entreprise. Nous avons conscience que le processus d’intégration ne se fait pas en une journée et Calyon se doit de fournir les informations nécessaires au bon fonctionnement du quotidien de l’entreprise mais aussi sur la diversité de ses métiers. HM : Nous avons dans l’idée de recruter des profils diversifiés. Nous recherchons des profils créatifs, participatifs, rigoureux et prêts à s’investir. Nous avons besoin d’être challengés et ce nouveau regard ne pourra que nous secouer pour aller encore plus loin ensemble. AS : La principale source de recrutement se fait à travers des stages de longue durée de six mois à un an et des formations en alternance. C’est le meilleur moyen pour les étudiants de se familiariser avec l’ambiance, le rythme de travail et la culture de Calyon. LH : Nous avons conscience qu’il est très difficile d’attirer dans la Banque les JD vers les métiers de l’informatique pourtant très porteurs. Beaucoup préfèrent se frotter aux métiers de Front-Office. Pourtant nous leur proposons un véritable projet en rejoignant une structure AS : Nous encourageons la mobilité. Nous considérons qu’une personne qui reste trop longtemps dans le même poste peut perdre en efficacité. Le fait de bouger relance une nouvelle dynamique. Nous restons aussi convaincus que les profils peuvent évoluer autrement que vers le management. Les métiers d’expertise contribuent aussi à la décision du business. LH : Calyon implanté dans 58 pays peut aussi offrir de véritables perspectives d’évolution vers l’international. n