Le chemin de la liberté

Le chemin de la liberté
Résumé
Nous sommes à Jigalong en 1931. Trois métisses aborigènes, Molly 14 ans, sa
soeur Daisy 8 ans et leur cousine Gracie 10 ans, vivent en paix avec leurs mères. Un
jour, l'agent de police Riggs vient, sous l'ordre de M.Neville le soi-disant protecteur
des Aborigènes, enlever les trois filles pour les amener au centre de rééducation de
Moore River. Là, Les conditions de vie sont épouvantables. Alors, Molly décide de
s'enfuir de Moore River avec sa sœur et sa cousine.
Critique
Ce film est touchant, beau, sentimental et palpitant.
Il y a des images fortes, comme quand Molly pose sa main sur la barrière à lapins et
que, quelques secondes plus tard sa mère fait la même chose. Cela donne une très
bonne impression de communication entre les deux. La musique (composée par
Peter Gabriel) est aussi formidable car chaque scène palpitante est accompagnée
d'une musique appropriée.
Moi, ce qui ma beaucoup touché, c'est la scène où l'agent de police Riggs vient,
sous l'ordre de M. Neville, enlever les trois filles à leurs mères. Ou encore celle où
Gracie se fait reprendre à la gare de Wilona, car elle croyait que sa mère s'y trouvait.
La scène qui m'a fait peur, c'est celle où M.Evans vient violer sa servante, elle-même
aborigène, et qu' au lieu de la servante, il trouve dans la chambre les trois fugitives. Il
va tout de suite avertir la police. Quand les policiers arrivent, ils croient que les filles
sont parties. Mais Molly leur a échappé grâce à son intelligence.
Ce qui m'a beaucoup choqué, c'est l'argent que dépense M.Neville pour retrouver
trois petites filles pauvres; il a seulement envie de les retrouver pour ne pas être la
risée de tout le monde.
Ce qui m'a encore frappé, c'est l'intelligence que Molly possède pour échapper à
Moodoo le traqueur et aux agents de police.
L'événement heureux de ce film, c'est quand Molly et Daisy retrouvent leur mère,
même si Molly est triste parce qu' elle a perdue Gracie.
Titouan,
Classe de J. Berberat, Bassecourt