Afficher - Lettres et TICE

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Aurélius était un jeune homme très vaillant : il ne reculait jamais. Il était bon et capable de
risquer sa vie pour les plus faibles, comme le lui avait enseigné son père, lui même issu d'une longue
lignée de chevaliers.
Il avait un air noble avec sa belle carrure et sa peau bronzée. Ses yeux fascinaient à cause de leur
bleu turquoise surnaturel.
Son écu s'en inspirait avec ses rayures turquoises et blanches, il portait sa devise d'azur pour l'infini'.
Ses armoiries éclatantes rehaussaient encore la blancheur de son destrier. Sa lame, forgée par le
meilleur artisan du pays, avait pour nom VICTOIRE.
Il était au service de Zaius, un roi généreux qui partageait le fruit de ses victoires avec son peuple.
Il menait le plus souvent une vie simple, cultivait ses champs et chassait pour conserver sa dextérité.
Les villageois l'admiraient, les enfants voulaient l'imiter.
Un jour, il assistait à un tournoi quand il vit Dame Sophie d’une beauté à couper le souffle,
ses longs cheveux bouclés bruns, sa peau bronzée, ses yeux d’un vert extraordinaire, elle était
devenue le centre d’attention de nombreux hommes. Aurélius fut conquis. Il se demanda qui pouvait
être cette ravissante jeune fille…Dame Sophie était la fille d’un roi nommé Hagbard invité du roi
Zaius. Hagbard, puissant roi qui avait vaincu mille ennemis et qui organisait les plus grands tournois
du pays. Les chevaliers commencèrent à s’affronter, les chevaux hennissaient les armures scintillaient
et s’entrechoquaient… Aurelius ne posa alors plus ses yeux sur la jeune Sophie.
A la fin du tournoi le roi annonça que le gagnant du prochain tournoi remporterait la main de la
princesse. Aurélius n’écouta alors que sa flamme pour la belle, il était prêt à tout, même à risquer sa
vie pour la jeune Sophie qui semblait elle aussi conquise par le jeune guerrier. Il alla de ce pas
s’inscrire.
Le soir un grand banquet était donné à la cour du roi Zaius pour célébrer la venue de ses
invités Hagbard et Sophie. Aurélius profita de ce moment pour faire sa cour à la princesse. La jeune
damoiselle, séduite par les charmes d’’Aurélius, espérait de tout son cœur qu’il serait le gagnant de
ces joutes.
Mais cela ne s’avérerait pas si facile, de nombreux prétendants y participeraient, et tous dévorés par
une seule ambition : conquérir la main de Sophie. Parmi ceux-ci, un terrifiant barbare redouté par de
nombreux hommes allait lui aussi combattre. Ce barbare répondait au nom de Falko. Le tournoi
approchait à grands pas et Aurélius était de plus en plus impatient. Enfin Le jour arriva.
Les chevaliers devaient d'abord s'affronter à l'épée, puis en joutant.
Aurélius affronta le plus vaillant des chevaliers, Falko. Celui-ci qui ouvrit le combat et le premier coup
d'épée atterrit à un millimètre de l'épaule d'Aurélius qui l'esquiva aussitôt. C'était au tour d'Auréluis
1 d'attaquer : il donna un coup d'épée très puissant qui fit vaciller son adversaire. Les lames
s’entrechoquèrent pendant un long moment puis Nathan tenta de porter un coup d'estoc à Auréluis
qui fit un bon en arrière. Aurélius lança son épée dans les airs et attendit que celle-ci soit au moins à
deux mètres de hauteur au dessus de Nathan pour se propulser d'un bond puissant et vigoureux qui
lui permit d'arriver sur les épaules de Nathan. Aurélius prit appui sur les épaules de Nathan et se
rebondit encore plus haut pour rattraper son épée. Il avait appuyé tellement fort que Nathan était
tombé par terre. Aurélius saisit son épée en plein vol, la dirigea vers le bas, et, en à peine deux
secondes, avait modifié sa trajectoire pour retomber les deux pieds et la pointe de son épée devant
Nathan. Il avait réussit. Il avait gagné le combat ! Il fut applaudi et ovationné par une multitude de cris
de joie.
Puis, les joutes s’enchainèrent : Aurélius, d’un seul coup de lance, désarçonnait l’un après l’autre ses
adversaires. Sophie en était bouleversée de bonheur ! Cependant, Falko remportait lui aussi chaque
combat. Tous deux finirent vainqueurs.
Falko, bouillant de rage, dit au roi qu’il était l’unique vainqueur du tournoi. Aurélius déterminé,
plaida sa cause en disant que ce serait à Dame Sophie de choisir son époux. Hagbard embarrassé et
ne sachant plus quoi faire s’en remit à la sagesse du roi Zaius auquel il demanda conseil.
Zaius réfléchit un instant… Il prit alors la parole et rappela à toute l’assistance que jadis les
parchemins de guérison avaient été au cœur d’une lutte sanglante, qui avait mobilisé tous les
royaumes. Dérobés par la sorcière Ragna, depuis aucun chevalier qui s’était aventuré sur les terres
sombres de l’Est n’avaiet pu ramener les précieux rouleaux. Zaius lui-même, avait perdu dans cette
quête plusieurs fils et neveux aussi preux les uns que les autres. A l’issue de ce jour Zaius déclara
qu’il ne voyait d’autre solution pour départager Aurélius et Falko que de leur donner pour mission de
ramener les parchemins de guérison !
Hagbard approuva. Face à l’assistance, il ordonna aux deux chevaliers de se mettre en route sur le
champ ! Sophie, folle de désespoir, ne pouvait retenir ses larmes. La quête commençait ! Nul ne savait
s’il en reviendrait !
PLUSIEURS FINS POSSIBLES
Lis les, remplis le tableau, et termine la dernière version
Ennemis rencontrés Moyens
utilisés Quelle fin ?
pendant la quête
pour vaincre
Fin 1
FIN 1 Le voyage fut long avant qu'ils arrivent à leurs destination . Falko qui voulait lui absolument
rapporter les parchemins au rois était presser (pressé) d'aller courir , d'aller le plus rapidement possible
avant Aurélius qui lui n'était pas presser , au contraire il prenait son temps .
2 Falko arriva devant la grande grotte sombre , il alluma une torche pour mieux voir , et Aurélius le
rejoignis d'un coup qu'il le fit sauter. Falko lui dit «Alors tu cherche à me faire peur ? »
-- Non , je veux juste éviter que tu meurt(meure) pour rien ! Dit Aurélius .
--Tu dois plutôt prendre soin de toi , espèce de fou ! Répondit Falko en grognant .
Tout à coup ils entendirent un gros boom , et tous les deux fut immobiliser par ce gros brouhaha .
Puis, ils virent un gros dragon blanc au yeux bleus qui cracha du feu sur les deux chevaliers. Les
deux jeune (jeunes) hommes prirent leurs écus pour se protéger des flamme . Ils se dispersèrent, mais,
Falko aperçut les parchemins de guérisons entre les pattes du dragon et lui qui est plus presser (pressé)
que tous courut vers les parchemins . Sans s'attendre le dragons le fit (lui donna) un coup de queue que le
fit propulser contre un mur . Aurélius profita de la diversion pour attaquer le dragon . Il monta sur le
dos du dragons (dragon) en s'accrochant aux écailles . Puis le dragon se retourna et voulut s'envoler
quand Aurélius, avec son épée à double tranchant frappa le dragons dans ces aile qui fit tomber le
dragons par terre . De son côté, Falko se réveilla de son étourdissement et il alla prendre les parchemins
pendant que le dragons était à terre . Mais le dragon cracha d'un coup une nuée de flamme avant de
mourir qui brûla tout vif le chevalier Falko . Aurélius reprit son épée et frappa et frappa et frappa
encore le dragons au cou jusqu'à que sa tête tomba , puis Aurélius prit les parchemins et s'en alla fier de
lui mais un peu triste pour la mort de Falko .
Quand il arriva au royaume tout le monde l'acclamait avec des cris des joie et de bonheur,
Aurélius arriva devant le rois avec les parchemins de soin . LA princesse Sophie pleurait de joie en
voyant Aurélius en vit avec les parchemins . Le rois demanda donc : « Alors , où est passé Falko ?
- Il a péri en combattant le dragon blanc aux yeux bleus !" cria Aurélius en levant la pointe de son épée
vers le ciel .
Puis le roi en personne amena la princesse Sophie devant le chevalier et les deux s'embrassèrent et se
marièrent le lendemain .
FIN 2
Aurélius sortit son cheval de son box et partit au triple galop dans la forêt, Falko sur ses talons. Aurélius
savait qu'il risquait de perdre la vie dans ce tournoie (tournoi), car tout le monde racontaient (racontait : sujet
tout le monde) que la maison de la sorcière était dans la partie la plus sombre de la grande forêt des Dragons,
qui devait son nom au trois dragons qui protégeaient la demeure de la sorcière. Falko tourna, prit ce que
Aurélius considéra comme un raccourci. Aurélius préférait être loin de cette brute.
La nuit commençant à tomber, Aurélius décida qu'il était temps de se reposer. Il prépara un feu, sortit sa
couverture, dessella son cheval, l'attacha, puis s'enroula dans sa couverture. Mais en plein milieu de la nuit, un
cri retenti. Aurélius sortit son épée et partit voir d'où venait ce bruit. Il explora la forêt très longtemps avant de
trouver le chevalier Falko qui était en train de se faire attaquer par un dragon. Et là il découvrit l'immense
demeure de la sorcière, elle était faite de briques de pierre avec de nombreux dessins dessus, sur le toit il y avait
une statue représentant un dragon. Aurélius décida que pendant que Falko combattait le dragon, lui, irait
chercher les parchemins.
Dans la maison de la sorcière, des fioles de sortilèges jonchaient le sol, et des étagères étaient remplies de
poudres aux teintes multicolores. Il n'y avait aucune trace ni de parchemins ni de la sorcière. Il monta l'escalier
et arriva dans une salle remplie de livres et au milieu se trouvait les parchemins. Il les avait trouvés! Il essaya
des les prendre mais il se demanda pourquoi la sorcière ne les avaient (sujet singulier : avait) pas cachés. Quand
soudain le sol s'ouvrit, et Aurélius tomba. Il atterrit dans une pièce qui pouvait ressembler à un cachot, quand
plusieurs personnes s'approchèrent de lui. Elles étaient toutes petites et avaient de grandes oreilles pointues. Les
3 Elfes, car c'étaient comme ça qu'ils s'appelaient, expliquèrent à Aurélius qu'ils faisaient partie de l'armée de la
sorcière, qui les exploitaient (exploitait : sujet la sorcière).
La sorcière avait emprisonné tous les elfes de la grande forêt des dragons, car ils possédaient de
nombreux pouvoirs. Elle leur demandait après de nourrir ses dragons, de lui apprendre de nombreux sortilèges,
mais surtout de combattre pour elle. Seulement les Elfes ne voulaient pas être au service d'une personne cruelle,
ils voulaient surtout retrouver leurs enfants et leurs femmes.
A ce moment là, Aurélius décida qu'il devait aider les Elfes, et lui et les Elfes commencèrent à monter un plan.
Il était tard et la sorcière commençait à s'endormir quand elle entendit un de ses Elfes l'appelait. Elle alla le voir
et lui demanda ce qui se passait, l'Elfe lui dit que le prisonnier avait avoué avoir un coéquipier dehors et qu'il
serait préférable d'aller le combattre. La sorcière donna son accord mais ordonna à l'Elfe le plus faible de rester
surveiller leur prisonnier. Pendant que la sorcière regardait le combat que menait ses Elfes. Aurélius et Willow,
l'Elfe s'échappèrent du cachot. Le petit personnage connaissait le code pour récupérer les parchemins. En un
rien de temps les parchemins étaient à eux!
Aurélius se précipita aider Falko à l'extérieur, et les Elfes, en les voyant arriver, se retournèrent et
attaquèrent la sorcière de nombreuses flammes colorées. La sorcière essaya de se défendre, mais, elle n'y
arrivait pas contre une telle force de magie. Mais en vain, elle succomba à ses blessures.
Les Elfes sautèrent de joie mais Aurélius leur rappela que le dragon, lui, étaient (sujet le dragon) toujours en
vie. Falko et Aurélius allièrent leurs forces, et ensemble, après un long moment de lutte contre les flammes
ardentes du monstre, tuèrent le dragons.
Ils étaient exténuer (exténués) face un (après) un si terrible combat mais rentrèrent quand même de ce
pas au château. En voyant arriver Aurélius, les parchemins à la main, Sophie dévala les marches quatre part
quatre. Les deux personnages royaux arrivèrent peu de temps après.
Hagbard félicita les deux chevaliers pour leur courage et Zaius en fit de même. Puis, voyant les parchemins
dans la main d'Aurélius, le père de Sophie supposa que le chevalier Aurélius était le gagnant de ce tournoi.
Aurélius et Sophie furent ravis mais le chevalier était tout de même triste pour Falko et avoua que Falko avait
tout de même combattu le dragon mais surtout trouver la demeure de la sorcière et qu'il méritait une
récompense pour cela. Hagbard fut d'accord avec Aurélius et accorda à Falko la main de son ainée, Mélissa.
Et depuis se jour Aurlius vit heureux avec Sophie avec qui il eut un magnifique mariage, auquel tout le
royaume fut convié et les Elfes de même. Il a aussi maintenant un formidable compagnon d'arme, Falko qui
depuis est son meilleur ami. Sophie et lui eurent aussi un formidable petit chevalier du nom de Marwan qui suit
tout droit les traces de son père. Aurélius est donc le chevalier le plus heureux du monde!
FIN 3
Et ça leur a pris 3 (trois) jours pour arriver à destination. PONCTUE Au début il y avait des plaines
verdoyantEs (accorde l'adjectif avec plaines, nom féminin pluriel) .Mais après le paysage a changé et c'est là
qu'ils sont arrivés sur le territoire de la sorcière, tout était lugubre. Il y avait des geysers et des cratères empli
(accorde l'adjectif avec geysers, nom masculin pluriel)de lave en fusion .Pour réussir à battre Ragna, le roi a
demandé (demanda : garde ton récit au passé simple) à son magicien, Constantin ,de confier un grand pouvoir
magique à Aurélius et Falko .
Ils s'arrêtèrent devant un dragon gigantesque avec des yeux rouges et tout noir et il parlait et dit :
« Je suis le dragon Lucifer le protecteur de Ragna la sorcière . »
Puis il cracha son feu sur Falko, l'homme courut et son cheval n'était plus qu'un tas de cendre .
4 Falko fonça Aurélius voulut l'arrêter mais n'a pas pu alors il dit :
« Il nous faut un plan d'attaque .Falko!
- J'ai un plan, j'attaque!répondit Falko »
Il fonça ,se téléporta et arriva juste en face de Lucifer, qui d'un coup de griffe ouvra (ouvrit ! tu n'as pas vérifié
le passé simple de ce verbe !) le ventre de Falko.Il retomba ,Aurélius se téléporta ,le prit au vol et se téléporta
près de son cheval .
Falko allait bientôt mourir et Aurélius le sentait et il lui dit :
« Il faut que tu tiennes le coup n'abandonne pas !
- J'ai eu tort d'être inconscient pardonne-moi!lui répondit Falko.
- Oui je te pardonne mais reste en vie!
- Le temps est venu »
Et Falko fit (poussa) son dernier souffle. PONCTUE Enervé et déterminé à se venger, Aurélius fonça vers le
dragon, sortit sa grande épée de son dos et sauta si haut qu'il dépassa le dragon. Puis il prononça des paroles en
hénokien, l'ancienne langue des magiciens ,la lame grandit et il attaqua le dragon.Il planta la lame dans la tête
du dragon et appuya puis la lame descendit le long du corps du dragon.Quand il arriva en bas sa lame reprit une
taille normale et le corps du dragon se sépara en deux et tomba de chaque côté. PONCTUE Puis il partit dans le
donjon du château de Ragna et elle s'y trouvait. C'est une guerre de magie qui éclata ils volèrent tous deux dans
le ciel en faisant des tours de magie puis ils vinrent côte à côte et une grosse explosion a eu (eut : garde ton récit
au passé simple) lieu.Tout à coup le ciel devint bleu, les cratères et geysers transformés (conjugue le verbe : se
transformèrent) en arbre .Le paysage devint gai .
Au château on attendait avec impatience l'arrivée d'un des deux chevaliers puis on vit Aurélius qui arriva en
sang. PONCTUE Il vint devant le roi et dit:
« J'ai réussi ma mission mais Falko et moi y avons laissé notre vie . »
En effet, car ce n'était que l'âme d'Aurélius qui disparu ne pouvant supporter ça Dame Sophie s'est donné (se
donna) la mort et il n'y a eu (eut) aucun vainqueur.
FIN 4
Ils allèrent se reposer et attendirent le lendemain. Il était tout deux, (le sujet et le verbe sont au pluriel,
ne sépare pas le sujet du verbe par une virgule) ILS ETAIENT TOUS DEUX très nerveux. Mais Aurélius revit
le visage de la belle Sophie et se donna du courage. Falko avait un peu peur mais il voulait épouser la princesse
Sophie pour devenir Roi ! Il n'avait que de mauvaises attentions.
5 L'heure de la quête arriva. Il se préparèrent et grimpèrent sur leurs chevaux. Chacun avait un
chemin différent. L'un devait aller à droite, l'autre à gauche. Aurélius galopa très vite car il voulAIT (accorde le
verbe avec son sujet) ramener les parchemins au roi avant Falko. Au bout d'un moment, il vit une petite bête
étrange sur son chemin. Il descendit de son cheval, et s'approcha prudemment pour savoir ce que c'était. La
petite bête sauta sur sa monture et se releva. C'était une fée. Aurélius n'en crut pas ces yeux. Il s'avança et vit
l’emblème de son bouclier sur sa chemise. La fée lui dit qu'elle était là pour le protéger des malheurs qui
pourrait arriver au cours de sa quête, mais Aurélius refusa son aide, car il voulait la réussir, seul. Il était très
solitaire. Mais, la fée insista tellement qu'il finit par accepter mais ne voulait pas qu'elle le dérange.
Ils passèrent trois jours à galoper : il était épuisé, pas la fée, qui était magique et qui ne se fatiguer (conjugue le
verbe : FATIGUAIT) presque jamais. Ils discutèrent un peu, car Aurélius s'était habitué à sa compagnie. Quand
tout à coup, le ciel s'assombrit, les orages grondèrent et la pluie tomba. Il était arriver (on ne peut pas remplacer
par PRENDRE, il y a l'auxiliaire être, DONC : arrivé) près de la forteresse qui contenait les parchemins de
guérison. Il avança mais la fée le prévint que plein de dangers l'attendraiENt (plein de dangers = sujet pluriel) à
l'intérieur. Mais Aurélius ne l'écouta pas, il était préoccuper (on ne peut pas remplacer par PRENDRE, il y a
l'auxiliaire être, DONC : préoccupé) par la grandeur des tours.
A trois mètres de la grande porte, Aurélius hésita. Mais il finit par l'ouvrir et ne bougea plus, il était face à
un terrible dragon. Il était immense, il avait des pattes aussi grandes qu'une maisonnette et était de la couleur du
feu. Il avait de grandes dents, aussi grandes que ces griffes et sa queue était remplie de piquants aussi tranchants
qu'une lame. Il voulut reculer mais il était paralysé. Il ferma les yeux, pensa très fort à la princesse et les rouvrit.
Il était prêt. Il couruT (accorde le verbe avec son sujet) sur le dragon et lui enfonça sa lame dans sa patte. Le
dragon hurla et cracha du feu sur Aurélius, qui couruT (s'enfuit évite la répétition) le plus vite possible pour
éviter ses attaques. Il sauta sur sa pattes et grimpa pour monter sur son dos, mais le dragon ne se laisser (laissait
! conjugue le verbe) pas faire. Il gesticula tant et si bien qu'Aurélius était sur le point de tomber mais la fée vint
l'aider et mit une force magnétique sur Aurélius pour qu'il puisse voler, un avantage que le dragon n'avait pas
car il n'avait pas d'ailes. Il vola et se posa sur la tête du dragon et lui enfonça son épée le plus fort possible entre
les yeux. Le dragon tomba net et Aurélius sauta avant de se faire écraser. Il avança et remercia la fée pour son
aide. Il vit une autre grande porte, puis il l'ouvrit. Il s'avança prudemment et vit au loin un coffre. Il y couruT
mais la fée l'en empêcha. Ce coffre était ensorceler (on ne peut pas remplacer par PRENDRE, il y a l'auxiliaire
être, DONC : ensorcelé). La fée jeta un sort qui rompit le sortilège et le coffre s'ouvrit. Les parchemins y
étaiENt !
Aurélius était très content. Il les pris (PRIT : accord à la troisième personne du singulier), les mit dans son sac
et alla à la porte principale.
Mais Falko l'attendait. Il était arriver (on ne peut pas remplacer par PRENDRE, il y a l'auxiliaire être, DONC :
arrivé)au moment ou Aurélius était sur la tête du dragon, à ce moment là, il attendit qu'Aurélius sorte avec les
parchemins pour le laisser faire tout le travail et lui voler les parchemins. Falko couruT en direction d'Aurélius
mais il tomba, mort. La fée devait protéger Aurélius et c'est elle qui tua Falko. Aurélius ne put regarder ce
dernier et alla à sa monture.
De retour au château, Aurélius se présenta au roi. Celui-ci en était bouleversé par son retour avec les
parchemins. Aurélius les lui remit et se s'attarda pas pour aller voir la princesse. Il la chercha dans la cour du
château, elle était assise sur un banc en train de pleurer. Quand elle le vit, elle sauta de joie et l'embrassa. Il se
marièrent et vécurent heureux jusqu'à la fin des temps.
FIN 5
Aurelius et Falko prirent la route. Aurelius savait que Falko n’hésiteraiT (accorde le verbe avec son sujet) pas à lui tendre un piège pour qu’il ne soit pas en mesure de remporter l’épreuve. Aurelius se rapprochait chaque jour un peu plus de là ou se trouvaient les parchemins de guérison, il décida de faire 6 une pose (PAUSE = ARRËT) et alla s’installer dans une grotte pour se reposer un peu. Aurelius réfléchissait, il se demandait si Falko était plus avancé que lui ou bien s'il connaissait l’emplacement exact des parchemins de guérison. Lorsque, tout à coup, il aperçut une silhouette se diriger vers lui, elle se rapprochait mais avant qu’il n’eut le temps de parler, il reçut une flèche dans le ventre, la silhouette était en fait Falko. Aurelius, tordu par la douleur, essayait de retirer la flèche de son ventre. Falko se rapprochait encore lorsque un rugissement atroce gronda. Falko se retourna et vit derrière lui un immense dragon d’au moins dix mètres de haut !Il n’eut même pas le temps de dire un mot que le dragon l’avait déjà englouti. Ainsi périt le chevalier Falko. Aurelius, lui, ne s’était pas fait repérer par le dragon mais il savait au plus profond de lui qu’il ne survivraiT (accorde le verbe avec son sujet) pas à une telle blessure. Aurelius s’endormit et, lorsqu’il se réveilla, il n’avait pas la moindre égratignure là où avait frappé la flèche. Il avait été aidé par quelqu’un, quelqu’un qui n’avait rien d’humain. Aurelius se leva d’un bond et se dirigea vers la sortie de la grotte lorsqu’un rugissement identique à celui qu’il avait entendu la veille retentit. Derrière lui se trouvait un dragon, le même dragon qui n’avait fait qu’une bouchée de Falko. Aurelius, ne pensa qu’à la belle Sophie et prit son courage à deux mains : Il courut et fonça tout droit sur le dragon, il sortit son épée mais fut rejeté par un coup de queue du dragon, ce dragon avait une force incroyable. Aurelius, à terre, n’arrivait pas à se relever. Le dragon cracha une flamme gigantesque vers Aurelius. Par réflexe, il plaça son épée devant lui. Son épée, forgée dans l’acier, renvoya la flamme dans l’œil du dragon qui poussa un cri de douleur. Aurelius en profita et planta son épée dans le coeur du dragon, la terrible bête s’effondra. Et tout à coup, Aurelius entendit une masse d’applaudissements et il vit apparaître le roi, suivit de la belle Sophie ainsi qu’une bonne partie du royaume. Aurelius ne comprenait pas pourquoi le roi et sa fille étaient là lorsque le roi prit la parole : « Félicitation vous avez gagné ma confiance et la main de ma fille » Aurelius qui ne comprenait toujours rien répondit : « Mais je ne comprends pas, je n’ai pas trouvé les parchemins ! » On pouvait voir un sourire sur le visage du roi lorsqu’il répondit : « Les parchemins de guérison sont un prétexte pour évaluer le courage des prétendants de ma fille, vous avez réussi à vaincre le grand dragon qui, avait dévoré tout ceux qui avait réussi à aller jusqu’à là. » Aurelius, fier, répondit : « Mais alors, qui m’a sauvé la vie lorsque j’avais une flèche plantée dans le ventre ? » « C’est sans doute le grand magicien de la montagne, tu as eu beaucoup de chance. » Il y avait un grand sourire sur le visage de la belle Sophie, elle savait que Aurelius allait réussir l’épreuve. Plus tard, on allait apprendre qu’ils s’étaient mariés, tout le monde parlait de leur union et de l’exploit qu’avait accompli le chevalier Aurelius. FIN 6
Deux mois étaient passés, Dame Sophie toujours aussi folle d’inquiétude était prête à se lancer
dans l’aventure. Elle alla voir son père déterminer (déterminée) à retrouver les guerriers qui, en
y pensant bien, se battées (conjugue le verbe : BATTAIENT) pour être avec la Dame. Arrivée
devant le roi, (PONCTUE) Sophie lui annonça une nouvelle qui n’allait sûrement pas réjouir le roi.
Une fois les mots dits, son père lui avais (avait : accorde le verbe avec son sujet) dit qu’il ne
voulait pas qu’elle aille chercher ses deux compagnons et c’est pour cela qu’il mettait des
barreaux et grille devant tout accès a (à : on ne peut pas remplacer par AVAIT) l’extérieur du
château. Seul lui et quelques gardes pouvait (lui + les gardes = pluriel : POUVAIENT) les ouvrir.
Dame Sophie était terrifier (on peut remplacer par pris et non prendre : c'est un participe
passé, qui s'accorde avec le sujet quand il y a le verbe être) à l'idée que deux hommes jeuneS
(accorde l'adjectif avec le nom) avec encore toute leur vie devant eux était en train de risquer
leur vie pour elle, elle décida de se déguiser en un garde et alla voir le roi qui tomba dans son
piège. Une fois sortie du château Sophie sella un cheval et pris (PRIT : accorde le verbe avec
son sujet ; Sophie) la route direction cette terre sombre.
7 Au château, l’heure est (était : récit au passé)) venue de prendre le dîner. En allant chercher
sa fille, (PONCTUE) Hagbard réalisa que le garde qu’il n’avait d'ailleurs jamais aperçu dans son
château semblait être sa petite fille à qui il avait formellement interdit de sortir de ce château.
Paniquer (Paniqué) à l'idée que sa petite fille était en route pour aller aux terres les plus
dangereuses et les plus sombres, convoqua sur le champ dix gardes, pour les envoyer a (à : on ne
peut remplacer par avait) la recherche de Dame Sophie. Les gardes partirent immédiatement,
convaincus qu’ils allaient la retrouver. Du côté de Dame Sophie, elle était arrivée dans les terres
sombres, comme plus aucun bruit se faisaitt autour d’elle, l’angoisse lui monta soudainement, et
tout d’un coup, elle entendit des cris de douleur, persuadée que c’était Falko elle alla voir et
trouva Aurélius allonger (allongé) couvert de sang, il porté (conjugue le verbe, accorde le au
sujet : PORTAIT) les parchemins que Zaius leur avait dit de ramener. Dame Sophie descendit de
son cheval et essaya de porter Aurélius pour le mettre en selle, elle leva les yeux au ciel et vit le
corps bleu de Falko qui malheureusement n’avait pas survécu. Une fois en selle elle reprit le
chemin du retour. Sur le chemin les garde du roi avaient aperçu Dame Sophie et allERENT la
chercher immédiatement, il vit le jeune homme sanglant allonger a (allongé) l’avant de la selle.
Un d’eux décida de prendre le jeune homme et de l’amener rapidement au château pour qu’il se
face soigner et chérir par l’infirmière. Les autres arrivèrent au château, en voyant sa fille saine
et sauve Hagbard versa des larmes de soulagement…
Comme le vainqueur était Aurélius, il avait l’autorisation de prendre la main de la belle et
chaleureuse Dame Sophie.
FIN 7
Aurélius était un jeune homme très vaillant : il ne reculait jamais. Il était bon et capable de
risquer sa vie pour les plus faibles, comme le lui avait enseigné son père, lui même issu d'une
longue lignée de chevaliers.
Il avait un air noble avec sa belle carrure et sa peau bronzée. Ses yeux fascinaient à cause de
leur bleu turquoise surnaturel.
Son écu s'en inspirait avec ses rayures turquoises et blanches, il portait sa devise 'd'azur pour
l'infini'. Ses armoiries éclatantes rehaussaient encore la blancheur de son destrier. Sa lame,
forgée par le meilleur artisan du pays, avait pour nom VICTOIRE.
Il était au service de Zaius, un roi généreux qui partageait le fruit de ses victoires avec son
peuple.
8 Il menait le plus souvent une vie simple, cultivait ses champs et chassait pour conserver sa
dextérité. Les villageois l'admiraient, les enfants voulaient l'imiter.
Un jour, il assistait à un tournoi quand il vit Dame Sophie, d’une beauté à couper le
souffle. Ses longs cheveux bouclés bruns, sa peau bronzée, ses yeux d’un vert extraordinaire,
elle était devenue le centre d’attention de nombreux hommes. Aurélius fut conquis. Il se
demanda qui pouvait être cette ravissante jeune fille…Dame Sophie était la fille d’un roi nommé
Hagbard invité du roi Zaius. Hagbard, puissant roi qui avait vaincu mille ennemis et qui
organisait les plus grands tournois du pays. Les chevaliers commencèrent à s’affronter, les
chevaux hennissaient les armures scintillaient et s’entrechoquaient… Aurelius ne posa alors
plus ses yeux sur la jeune Sophie.
A la fin du tournoi le roi annonça que le gagnant du prochain tournoi remporterait la main de la
princesse. Aurélius n’écouta alors que sa flamme pour la belle, il était prêt à tout, même à
risquer sa vie pour la jeune Sophie qui semblait elle aussi conquise par le jeune guerrier. Il alla
de ce pas s’inscrire.
Le soir, un grand banquet était donné à la cour du roi Zaius pour célébrer la venue de ses
invités Hagbard et Sophie. Aurélius profita de ce moment pour faire sa cour à la princesse. La
jeune damoiselle, séduite par les charmes d’’Aurélius, espérait de tout son cœur qu’il serait le
gagnant de ces joutes.
Mais cela ne s’avérerait pas si facile, de nombreux prétendants y participeraient, et tous
dévorés par une seule ambition : conquérir la main de Sophie. Parmi ceux-ci, un terrifiant
barbare redouté par de nombreux hommes allait lui aussi combattre. Ce barbare répondait au
nom de Falko. Le tournoi approchait à grands pas et Aurélius était de plus en plus
impatient. Enfin Le jour arriva.
Les chevaliers devaient d'abord s'affronter à l'épée, puis en joutant.
Aurélius affronta le plus vaillant des chevaliers, Falko. Celui-ci qui ouvrit le combat et le premier
coup d'épée atterrit à un millimètre de l'épaule d'Aurélius qui l'esquiva aussitôt. C'était au tour
d'Aurélius d'attaquer : il donna un coup d'épée très puissant qui fit vaciller son adversaire. Les
lames s’entrechoquèrent pendant un long moment puis Falko tenta de porter un coup d'estoc à
Aurélius qui fit un bond en arrière. Aurélius lança son épée dans les airs et attendit que celle-ci
soit au moins à deux mètres de hauteur au dessus de Falko pour se propulser d'un bond puissant
9 et vigoureux qui lui permit d'arriver sur les épaules de Falko. Aurélius prit appui sur les épaules
de Nathan et rebondit encore plus haut pour rattraper son épée. Il avait appuyé tellement fort
que Nathan était tombé par terre. Aurélius saisit son épée en plein vol, la dirigea vers le bas, et,
en à peine deux secondes, avait modifié sa trajectoire pour retomber les deux pieds et la pointe
de son épée devant Falko. Il avait réussi. Il avait gagné le combat ! Il fut applaudi et ovationné
par une multitude de cris de joie.
Puis, les joutes s’enchaînèrent : Aurélius, d’un seul coup de lance, désarçonnait l’un après l’autre
ses adversaires. Sophie en était bouleversée de bonheur ! Cependant, Falko remportait lui aussi
chaque combat. Tous deux finirent vainqueurs.
Falko, bouillant de rage, dit au roi qu’il était l’unique vainqueur du tournoi. Aurélius
déterminé, plaida sa cause en disant que ce serait à Dame Sophie de choisir son époux. Hagbard
embarrassé et ne sachant plus quoi faire s’en remit à la sagesse du roi Zaius auquel il demanda
conseil.
Zaius réfléchit un instant… Il prit alors la parole et rappela à toute l’assistance que jadis les
parchemins de guérison avaient été au cœur d’une lutte sanglante, qui avait mobilisé tous les
royaumes. Dérobés par la sorcière Ragna, depuis aucun chevalier qui s’était aventuré sur les
terres sombres de l’Est n’avaient pu ramener, les précieux rouleaux. Zaius lui-même, avait
perdu dans cette quête plusieurs fils et neveux aussi preux les uns que les autres. A l’issue de
ce jour Zaius déclara qu’il ne voyait d’autre solution pour départager Aurélius et Falko que de
leur donner pour mission de ramener les parchemins de guérison !
Hagbard approuva. Face à l’assistance, il ordonna aux deux chevaliers de se mettre en route sur
le champ ! Sophie, folle de désespoir, ne pouvait retenir ses larmes. La quête commençait ! Nul
ne savait s’il en reviendrait !
Le lendemain Aurélius se prépara dès les premières lueurs de l’aube. Falko avait fait la
même chose.
Aurélius commença son périple par un voyage dans les bois sombres de la forêt de yanko. Ces
bois étaient réputés pour contenir toutes les bêtes les plus étranges qui soient. Il y avait
beaucoup de dragons dans ces bois et déjà Aurélius sentait une présence comme si quelqu’un ou
quelque chose le suivait.
Il fit comme si de rien n’était.
10 Le lendemain, il se leva et il repartit pour sa quête. Il vit au coeur de la forêt une cabane. Par
curiosité, il entra et vit un vieux bonhomme qui était aveugle. Il lui demanda son nom. Ce dernier
répondit qu’il s’appelait Ézald.
- Et toi tu dois être Aurélius?
Stupéfait, Aurélius lui demanda comment il connaissait son nom.
- Je suis magicien.
Aurélius en profita pour lui demander de l’aide. Le magicien lui donna une baguette magique
et lui apprit un sort mais ceci à une condition:
-Réponds à mon énigme et tu auras ce que je t’ai promis. Qui est né le premier, la poule ou
l’oeuf?
Aurélius hésita:
-C’est la poule?
-C’est juste, répondit le magicien.
Content d’avoir bien répondu, Aurélius commença son apprentissage de sorcier.
Le soir venu, il dut aller chercher du bois et passa à travers un mur «sans tain». Il trouva
derrière ce mur deux parchemins. Il s’en saisit mais entendit comme un bruit de battement
d’ailes.
- Un dragon! se disait-il.
Il vit apparaitre devant ses yeux ébahis un immense dragon couleur feu. Car il est vrai que
jusqu’alors personne n’avait encore jamais vu un seul dragon. On disait des dragons que c’était un
mythe. Sur le dos du dragon il semblait y avoir un cavalier. Quand le dragon se posa le cavalier
dit d’une voix menaçante:
-Si tu veux ces parchemins, tu devras m’affronter moi et mon dragon. Ailes d’or, jette-toi sur
lui, ordonna la voix.
11 Et d’un coup d’ailes le dragon se retrouva devant Aurélius.
Terrifié, Aurélius se saisit de son arc et alla se cacher derrière un arbre. Il essayait de trouver
une solution. Il décida d’aveugler le dragon.
D’un coup de griffes, le puissant dragon fit voler l’arbre d’une vingtaine de mètres.
Aurélius décocha une flèche et visa l’oeil du dragon. Il fit mouche et recommença pour l’autre
oeil. Il fit mouche à nouveau. Le dragon aveuglé, pouvait toujours sentir.
Aurélius grimpa sur un arbre et sauta sur le dragon mais le dragon le goba au vol.
Le cavalier eut un petit rire démoniaque. Mais ce rire s’arrêta dès qu’il entendit son dragon
hurler de douleur. Le ventre du dragon se fit transpercer de l’intérieur.
Le dragon s’écroula par terre. Aurélius réussit à s’extirper du ventre du dragon. Le casque du
cavalier tomba. Aurélius put, malgré qu’il soit recouvert de sang, voir le visage du cavalier.
C’était une femme ravissante dont le visage était d’une finesse extraordinaire. Ses yeux pleins
de larmes, elle prononça ces mots:
-Tu as tué mon dragon, maintenant tu vas devoir le payer de ta vie.
Elle dit dans un charabia que le chevalier ne comprenait pas:
-eliar expermus.
Et une boule bleue sortit des mains de la femme. Aurélius ésquiva et regarda combien de flêches
il lui restait: aucune.
Il décida donc d’utiliser ce que Ézald lui avait enseigné.
-où es tu? criait la femme folle de rage.
Aurélius sortit de derrière elle et dit:
-Ici.
Il prit sa baguette et cria:
12 -Explosus.
Des bouts de cervelles jaillirent sur le sol.
Quand Aurélius fut sur le point de partir, il reçut un coup d’épée dans le ventre: c’était Falko.
La baguette se brisa au contact du sol.
-Je t’emprunte ça. dit-il.
C’était trop tard, Falko l’avait emporté.
Aurélius se disait que ça ne pouvait pas se terminer ainsi et tenta tant bien que mal de se
relever. Il prit une vieille souche qui traînait dans un coin et assomma Falko. Il donna des coups
énervés sur sa tête et le sang jaillit.
Il prit les parchemins et rentra en direction du royaume en pleurant de douleur.
Quand il arriva au royaume, ce fut un énorme soulagement pour Sophie. On le soigna et il
raconta le soir d’un banquet ses exploits. Comme convenu il eut la main de Sophie. Les deux
époux eurent une existence paisible, sans enfants.
FIN 8
Roman de chevalerie 3
… Arrivé au milieu de la forêt, Falko mis (MIT : accorde le verbe avec son sujet) des pièges pour
ralentir Aurélius pour qu’il ne puisse gagner la main de la princesse Sophie. Elle qui pleurer (PLEURAIT) au
royaume, elle avait si peur qu’aucun d’eux ne reviennent vivant. Falko voulait tellement gagner mais Aurélius
aussi. Arrivé devant une grotte sombre qui s’illuminer vers la fin Aurélius ne réfléchit pas et entra. Il arriva à
la fin et vit un monde extraordinaire et au loin un royaume sombre. Dans ce monde vraiment pas agréable à
voir il y avait un dragon immense avec des griffes gigantesques (accorde l'adjectif avec le nom) mais comment
y parvenir? Il vit une lumière étincelante il s’avança jusqu'à elle et c’est qu’il vit une fée, il n’en croyait pas
ses yeux la fée lui dit alors :
-
VeuX (accorde le verbe avec le sujet) -tu de l’aide tu as l’ère (ère = époque - ICI : air) perdu ?
-
Oui, ou suis-je s’il vous plait dit Aurélius.
Tu es à Genova city, le monde des fées, mais il y a quelques années Dénominator Pris les parchemins de
guérison ce qui commença a tué (à - on ne peut remplacer par avait- tuer (on peut remplacer par faire) les
plantes et sur cette terre complètement morte il construiSIt (PASSE SIMPLE)son château avec l’aide de son
dragon.
13 Falko lui chercher (cherchait : conjugue le verbe) encore les parchemins de guérison alors qu’Aurélius les
avait trouvés c’est la (là) qu’il aperçuT une ombre il se dirigea vers elle et il vit un loup il prit ses jambeS a (à)
son coup (cou) et hurla de toute ses forces :
-Au-secours !!
Mais personne ne l’entendit. Pendant ce temps Aurélius se dirigea vers le sombre royaume mais fée Jessie
l’interdit en lui disant :
Est (es : accorde le verbe avec son sujet))-tu fou, c’est (sais : verbe savoir) tu ce qu’il y a là-bas c’est le
monde du diable ! Tous les matins en se levant nous les fées nous n’avons qu’une crainte c’est que
Dénominator viennent nous capturer et toi tu veux y allait (on peut remplacer par faire - ce n'est pas un verbe
conjugué : Aller)!
-
Oui j’ai besoin de ces parchemins il faut que je les ramène au roi Zaius.
-
Le roi Zaius tu dis ?
-
Oui le roi Zaius pourquoi ?
-
Parce-que il y a quelques années il est venu ici et il recherché les parchemins.
-
Pourquoi tu ne lui aS pas dit qu’ils étaient là ? dit Aurélius étonné.
-
Parce-que les sorcières nous l’interdisaiENTt ;
-
Ben tu me l'as bien dit à moi.
-
Oui parce-que c’est ton destin de vaincre Dénominator et de devenir notre roi.
-
Votre roi ? répliqua Aurélius
-
Oui, notre roi.
-
Mais tu viens juste de m’interdire de partir.
-
Parce-que tu n’es pas près avant il faut que je te donne tous mes pouvoirs et que je meure.
-
Non tu ne vas pas mourir pour moi, je te l’interdis.
-
Mais c’est mon destin.
C’est là qu’une fée endormit Aurélius pendant quelques minutes pendant ces quelques minutes fée Jessie donna
tout ses pouvoirs et sa vie à Aurélius. Il se réveilla et vit la fée Jessie sur le sol.
-
Non ! hurla Aurélius. Elle n’a pas pu faire ça je lui ai interdit.
-
Ne t’inquiète pas elle fait maintenant partie de toi, allez, va accomplir ton destin dit l’une des fées ;
Aurélius se dirigea vers le château le dragon l’aperçut et partit vers lui. Il cracha du feu et Aurélius utilisa le
pouvoir de l’eau pour éteindre les flammes. Puis le pouvoir de glace ce qui congela le dragon il s’avança et
utilisa le pouvoir de feu sur Dénominator. il vit les parchemins et courut vers le royaume et donna les
parchemins de guérison au roi Zaius.
14 -
Tenez mon roi.
-
Aurélius je te donne l’honneur d’avoir la main de la princesse Sophie.
Aurélius se trouvait devant un terrible choix !
FIN 9
Le lendemain matin, Zaius donna le départ aux deux concurrents. Aurélius et Falko avaient tous les deux, de magnifiques chevaux, le
roi leur avait donné des vivres.
Celui-ci prit la parole et dit:
- Vous êtes les deux derniers concurrents, je compte sur vous pour me ramener ces
parchemins. Bonne chance!
A ces mots les gardes firent descendre le pont levis, puis des trompettes retentirent. Les chevaliers partirent au galop.
Les deux concurrents galopèrent pendant trois nuits et ils s'arrêtèrent dans une ela.irière le quatrième jour pour dormir et discuter.
Aurélius demanda:
'Tu penses qu'on s'en sortira vivant?
- Oui ,on s'en sortira vivant si tu arrêtes de te plaindre!
- Quoi? Tu t'es vu ! C'est toi qui te plaint plains tout le temps, aie mon cheval m'a mâchouiller (mâchouillé : participe passé après
l'auxiliaire avoir) le doigt, aie je me suis prit (pris) une racine d'arbre dans le pied, enfin tu voit (vois : accord sujet verbe) quoi !
- Mais c'est ce n'est pas juste, ton cheval, il t'obéit toi. C'est normal ton cheval ne t'aime pas.
- Quoi ?!
- Bah oui, il a faillit faire une crise cardiaque en te voyant. Hey ! tu va me le payer toi.
Ils se disputèrent jusqu'au coucher du soleil. Puis ils mangèrent tranquillement et ils allèrent se coucher.
Le lendemain matin, ils repartirent au trot sans se presser car au loin, on apercevait le paysage désertique du grand pays de l'Est. Ils
arrivèrent à la lisière du pays dans l'après-midi. Le pays était vraiment aride, rien n'y poussait. Si, juste une gigantesque montagne qui
dominait le paysage. Les deux compatriotes compagnons arrivèrent dans la nuit à peu prés à une demi journée de cheval de la
montagne. Cette demi-journée passée, ils arrivèrent au pied de la majestueuse montagne, au pied de laquelle trônait une énorme
grotte. A côté de la montagne, bizarrement, il y avait un petit village aux toits fait de chaume. Aurélius dit:
- Allons voir!
- Ok c'est parti !
Le petit village abritait des nains. Les nains étaient réputés pour leur fameuse épée très solide et aussi pour fabriquer des armés
enchantées. Pourtant les nains avaient disparu de la surface du globe depuis plus de quinze ans.
Aurélius était sûr qu'il en restaient sur la terre. Les nains les saluèrent et leur dirent que cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas vus
d'humain. Aurélius se souvint d'un ami nain de son père. Aurélius le trouva assis par terre regardant le ciel. Il le salua et lui dit qu'il
était à la recherche des parchemins de guérison. Le nain lui expliqua que dans la grotte que l'on voyait du village, dormait un dragon,
et que s'il devait avoir besoin d'aide il pourrait le contacter grâce à la pierre magique qu'il lui donna.
Aurélius partit rejoindre Falko à l'extérieur du village et lui expliqua tout ce que lui avait dit le nain. Falko était d'accord pour
combattre le dragon. Ils entrèrent ensemble dans la grotte. Le dragon était debout comme s'il attendait leur arrivée. Ils se regardèrent
tous dans les yeux. Le dragon ouvrit le combat et happa le pied de Falko à une vitesse fulgurante. Celui ci hurla de douleur, dégaina
son épée et la planta dans le crâne de l'animal. Ce dernier l'envoya contre un mur. Le dragon eut à peine fini son attaque qu'il chargea
de nouveau et faillit déchiqueter le bras d'Aurélius. Aurélius se servit de la pierre magique, et une quantité extraordinaire de nains
apparurent, arme au poing qui sautèrent sur le dragon, et, en à peine une minute, le dragon était mort.
Aurélius et Falko les remercièrent infiniment. Au fond de la grotte, il y avait une petite issue. Les deux amis entrèrent à l'intérieur et
virent les parchemins. Ils les prirent et sortirent de la petite grotte, puis ils virent un nain tenant une pierre d'un bleu éclatant. Le nain
tendit la pierre à Aurélius qui l'accepta. Le nain lui expliqua qu'il suffisait de penser à un lieu et il serait directement téléporté. Il
15 tendit la main a Falko pour qu'il rentre chez eux, mais Falko dit:
- Aurélius rentre chez toi et épouse la princesse cela ne m'intéresse plus car j'ai envie de vivre avec les nains et d'apprendre à vivre
comme eux. Part (pars), on se reverra bientôt. Aurélius ne dit rien et se téléporta. Il s'était téléporté dans la cour du château. Aurélius
aperçut les rois et leur expliqua le choix de Falko. Aucun des deux rois ne broncha. Ils annoncèrent le mariage pour la semaine
suivante, Aurélius tressaillit de joie et partit en courant rejoindre sa belle.
ECRIS LA FIN DE CE RECIT !
Le jeune commença sa quête et là sur son chemin il vit un drôle d’œuf sur sur le côté de
l'étroite route ou il était entrain de faire son chemin vers les parchemin, il le ramassa et poursuivit son
chemin. Comme il partit directement il nu (n'eut) le temps de préparé (préparer : on peur remplacer
par faire - il n'y a pas être ou avoir à proximité) des provision donc il chercher (conjugue le verbe :
cherchait) de quoi le nourrir. PONCTUE Tout à coup, il vit une petite pancarte au loin sur laquelle il
était écrit auberge. PONCTUE Il s'en alla pour voir si il n'y aurait pas une personne pour l’auberge
gratuitement. Il entra et s’assit a (à : on ne peut pas remplacer par avait)une table, puis il vit une
personne s'approcher de lui et lui dit : "tu as besoin d'aide" PONCTUE, PRESENTE LES PAROLES
AU STYLE DIRECT. Le jeune homme s'interrogea un instant et il suivit le vieillard. PONCTUE Arrivé
devant une petite cabane, le vieillard lui dit : " tu as quelque chose qui a un lien avec de la magie sur
toi". PONCTUE Le jeune homme lui répondit négatif puits que non puis le vieillard lui dit : "vide ton
sac pour que j'en sois sûr". Le jeune vida son sac et dit : "ah oui, j'ai trouver (trouvé : tu peux
remplacer par fait et non faire, et il y a un auxiliaire à côté) ce drôle d’œuf sur la route. PONCTUE Le
vieillard le regarda d'un air étonné et lui dit : "tu ne t'es pas fait attaquer par hasard : c'est un œuf de
lion volant tu estrès chanceux, garde-le avec toi jusqu'à ce qu'il éclose, il t'aimera comme si tu étais
sa propre famille". Le jeune homme fier de lui remercia le vieillard et s'endormit exténué. PONCTUE
Il se réveilla le lendemain, le vieil homme n'était plus là. Le jeune homme reprit donc sa route.
PONCTUE Trois jours plus tard, il entendit un craquement dans sa sacoche et là il ouvrit et vit
ce petit lion sortir de sa coquille le jeune homme fut tellement impressionné qu'il ne put s’empêcher
de prendre la petite bestiole dans sa
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