CCE 10 Avril 2014 - CR CFDT

Transcription

CCE 10 Avril 2014 - CR CFDT
CCE Extraordinaire du 10 avril 2014
Président : Hervé Dufoix
Intervenant : Yves Barou, Président de l’AFPA.
Membres de la Direction présents :
Christophe Donon, Directeur de la stratégie
Françoise Tirilly, Florence Menu, DRHDS
Début de la séance : jeudi 10 avril 14h30
Introduction de la secrétaire du CCE Catherine Ribot :
• Lecture d’une déclaration du personnel de NICE à l’adresse du Président Barou, sur le
climat général et le manque de reconnaissance.
Toutes les OS s’associent à cette déclaration.
Point 1 – point de situation sur le Plan de Refondation et la Nouvelle Offre :
Yves Barou : le président s’interroge sur les raisons réelles de cette lettre d’humeur.
Explications du collègue de Nice (FO).
Le président précise que la qualité, ce n’est pas la conformité à des procédures
technocratiques. Il s’interroge sur le paragraphe relatif à la division du personnel car il n’a
jamais cautionné cela.
Le travail est difficile et si un geste de reconnaissance doit être fait, il sera uniforme (pas en
pourcentage mais en Euros). Ensemble regardons la situation sociale de l’AFPA et décidons des
solutions à produire. Nous sommes encore en hémorragie financière.
Nous sommes dans un combat de 18 mois nous sommes à la tête de 4 fronts (comme deux
hydres) :
• Financement : la situation est à peu près en situation stabilisée, à 90%.
•
Immobilier : sur ce point on est perdant, ce chantier n’est réalisé qu’à 10% (un seul
BEA signé à ce jour). L’Etat propriétaire est cupide et irrespectueux de l’histoire. Ce
sujet est encore à revoir avec la gouvernance.
CCE 10 Avril 2014 - CR CFDT
Mis à jour le 15 avril 2014
•
Activité : C’est le plus important. Les centres ne sont pas plein, avec seulement 40000
stagiaires au lieu de 60000, tous les matins nous sommes en sous activité, c’est un
gâchis social, un scandale public !
il existe deux champs pour augmenter cette activité :
o 1) augmenter le marché Entreprise (résultat insuffisant à ce jour)
o 2) grands espoirs sur le CPF, avec théoriquement un pouvoir plus important des
salariés sur leur formation.
A l’heure actuelle c’est le plan 30 000/100 000 qui remplit les centres. Cela peut être la
raison de l’inversion de courbe. Cela est suivi de près par les banquiers :
o Pôle Emploi fait son travail,
o Les OPCA commencent à s’y atteler,
o Les régions ne font rien.
Demande de prolongation de cette mesure par YB auprès du nouveau gouvernement
sur les années 2015 et 2016.
•
Modèle pédagogique en trois approches :
o Plus flexible, plus modulaire.
o Plus innovant (numérique).
o Plus en rapport avec les métiers.
Des formations (aussi) plus courtes :
Le modèle pédagogique, c’est notre garantie pour le moyen terme. Que notre
pédagogie soit reconnue, pour tous dans le cadre d‘utilité sociale (égalité H/F, TH,
DE,…). Les fondamentaux de l’AFPA sont pertinents, toujours d’actualité et reconnus,
mais il faut s’adapter aux demandes des financeurs et de certains stagiaires (parcours
personnalisés), en proposant des formations plus courtes, tout en assurant la continuité
des formations qualifiantes sur les durées habituelles pour les publics de DE.
Nous sommes armés pour y répondre avec la qualité qui nous caractérise.
Le numérique :
L’autre défi à venir est amené par la percée du numérique. Le numérique amène une
révolution dans le champ de la formation. On est encore à la veille de cette apparition
dans le domaine de la formation. Le numérique permet du collectif, du lien social, de la
mise en situation. L’AFPA n’est pas prise à contre-pied, nous avons plusieurs
expérimentations en cours. Il s’agit de Pédagogie multimodale*. L’AFPA est la mieux
placée, mais il y a une révolution à faire. Nous sommes prêts à faire cette révolution.
Des expériences (comme en Limousin) sont encourageantes, malgré certaines
approches (le tout à distance), certains choix critiquables (Google). Il y a eu une
certaine innocence à se mettre dans les bras de Google.
Il y a donc une pédagogie à inventer, mais pas avec Google. C’est la survie de l’AFPA
pour les 5 à 10 ans à venir. La première génération du e-Learning a été un échec
cuisant.
Le sujet du multimodal est encore plus important que la question du modulaire. L’AFPA
est au début de cette histoire ; La dimension territoriale de l’AFPA apporte un plus.
On a repris le flambeau de l’innovation pédagogique. Le travail du formateur est devenu
plus difficile, il y a un rebond pédagogique à faire.
La prospective Métier :
Le 3ème défi, c’est le travail de prospective sur l’évolution de l’offre par métier. L’utilité
sociale c’est aussi çà, derrière une formation, il doit il y avoir un job. L’utilité sociale,
c’est faire les bons choix sur les formations utiles socialement. Avec notamment une
réflexion sur les niveaux 3 et une incursion sur le niveau 2
*multimodale : formation dont le cadre peut-être réalisé :
o Seule ou collectif,
o Synchrone ou asynchrone,
o A distance ou en présentiel,
o A domicile, en Centre, en Entreprise ou sur un Point d’Accès Internet.
CCE du 10 avril 2014 – Compte rendu CFDT
2
En conclusion :
Est-ce que notre Offre est bien dimensionnée en durée ? Est-ce qu’elle est suffisamment
innovante pédagogiquement ? Est ce qu’elle forme aux bons métiers ?
Tous ces efforts ne seront pas vain fin 2014, si avec ces projets mis en œuvre, les résultats
financiers sont corrects.
Donc on doit commencer à construire l’avenir dès maintenant.
Si le concept de centres nationaux est défendu, les formations nationales sont elles
complètement orphelines.
Au même titre que le FPSPP fédère les OPCA, YB demande la même organisation au niveau des
PE pour remettre de la cohérence sur les formations à dimension nationale. D’autant plus que
maintenant PE doit demander un conventionnement à la région s’il veut faire un AO sur un
domaine donné, d’où un blocage complet.
L’acte III de la régionalisation n’est toujours pas fait et il risque d’être retardé par le nouveau
projet de redistribution des régions.
Déclaration de la CFDT N°1 :
Ce document envoyé au président avant le CCE fait suite aux travaux du groupe de travail
CFDT « Pédagogie – Métier de formateur et Ingénierie », piloté par le BN.
« Lettre au Président Yves BAROU sur la Nouvelle Offre
Monsieur le Président,
L’environnement de la formation professionnelle des adultes change et oblige l’Afpa à s’adapter.
La Nouvelle offre, que vous nous avez présentée, constitue votre réponse et celle de la Direction
générale à ce changement. Une re-modularisation des parcours a d'ores et déjà été entreprise et
une campagne de communication lancée.
Pour aboutir, il nous apparaît indispensable que ce projet soit partagé par les salariés. Il
conviendrait donc d’établir un véritable dialogue avec les représentants du personnel afin que vous
puissiez entendre ce que les principaux acteurs ont à dire sur ce projet. En effet, tout n’a pas été
prévu pour assurer la conduite et la réussite du projet. Dans ce cadre, la CFDT vous interpelle sur
les problématiques que cela soulève :
Pour les formateurs :
1. absence d’appropriation, en interne, de la nouvelle architecture des formations et
d’adaptation de la formation des formateurs en amont du lancement du projet…
2. quelle Implication des formateurs dans l’ingénierie pédagogique, alors qu’ils sont de moins
en moins disponibles pour les détachements pour études et que nos besoins en production de
ressources de qualité augmentent pour assurer des formations multimodales, diversifiées et
personnalisées ?
3. pas de généralisation des collectifs pédagogiques (censés rompre l’isolement du formateur
unique)
4. insuffisance de l’adaptation des organisations pédagogiques (pour la mise en œuvre des
nouveaux scénarios, la personnalisation des parcours, les formations multimodales…)
5. dégradation des conditions de travail : pas d’analyse des impacts de la Nouvelle Offre sur
le métier de formateur et ses prestations, et des conséquences en termes de mobilité
géographique et fonctionnelle
Pour les Ingénieurs de formation :
6. quelle articulation entre le Bureau d’Etudes, les Ingénieurs de formation région, les
manageurs de formation, les Formateurs dans la mise en place de la Nouvelle offre et son
accompagnement
7. le plan de production des ressources : Quels moyens humains et financiers affectés à ce
plan ? Faisabilité des échéanciers ?
CCE du 10 avril 2014 – Compte rendu CFDT
3
8. la stratégie numérique de l’Afpa : quels choix d’’outillage de la production et de dispositifs
de diffusion auprès des formateurs et des stagiaires ?
9. les repères pédagogiques de l’AFPA : Quel modèle pédagogique de la Nouvelle Offre ?
Quel appui aux réponses aux appels d’offre ?
10. Quelle articulation entre modularisation, qualification et accès au titre ?
Pour les Directions régionales et les Centres AFPA :
11. Quels investissements sur les équipements nécessaires (environnements numériques,
plateaux techniques…) ?
12. Quelle ingénierie financière ?
13. Quelles analyses de la transformation de l’environnement de la formation (marché de la
formation professionnelle, nouveau dispositif CPF, SSIG, financements par les Conseils
Régionaux…) ?
14. Quels plans d’accompagnement du changement pour les formateurs, les manageurs de
formation… ?
15. Quelles seront les implications de cette nouvelle offre sur les activités des assistantes, des
agents d'accueil, des animateurs socioéducatifs, les animateurs d'Espaces Ressources
Emploi…?
Pour la CFDT, les étapes suivantes sont incontournables pour la réussite de la Nouvelle offre :
l’expérimentation des nouveaux parcours par les formateurs et les stagiaires (il faudrait
repousser les échéances de généralisation afin de tirer parti des expérimentations),
la mise en œuvre d’un plan d’accompagnement du changement,
l’ouverture préalable de négociations (« Conditions de Travail », « Métier de formateur »,
« GPEC ») en lien avec la mise en œuvre de la nouvelle offre.
Depuis les séminaires de Lardy 1 et Lardy 2, les changements sont imposés aux salariés de façon
descendante, sans expérimentation, concertation ou implication des différents acteurs de l’Afpa. De
plus, les échéances de quelques mois nous paraissent intenables et la communication privilégiée à
une production de qualité, ce qui risque de pénaliser le développement de notre offre et
l’amélioration de la qualité de nos prestations.
La CFDT vous alerte sur les risques de « burn-out » que génèreront la dégradation des conditions
de travail et des échéances intenables, pour les formateurs, les assistantes, les ingénieurs de
formation et l'encadrement intermédiaire dans les centres.
Le secrétaire général de la CFDT FPA »
Déclaration de la CFDT N°2 : « L’AFPA et le Numérique »
« Pour la CFDT, le développement du numérique à l’Afpa passe par :
- le développement des compétences numériques des formateurs de l’Afpa (utilisation du
numérique en formation initiale et continue des formateurs, utilisation du numérique
pour capitaliser les ressources et travailler en communautés professionnelles, utilisation
du numérique pour les formations…).
- la production, la capitalisation et la mise à disposition de ressources pédagogiques
interactives,
- l’utilisation de postes de travail adéquats et de réseaux informatiques performants,
- la mise en place d’outils de diffusion des ressources et de travail coopératif à distance,
- la mise en œuvre d’une ingénierie pédagogique multimodale permettant de définir pour,
chaque phase de formation, les modalités pédagogiques associées (seul/collectif,
synchrone/asynchrone, en présentiel /à domicile/ en entreprise ou dans un lieu
intermédiaire).
Des outils numériques ont été mis en place depuis les années 90 (BBS, plateformes FOAD,
ressources interactives…) sans analyse de leurs impacts et souvent indépendamment de la DSI.
CCE du 10 avril 2014 – Compte rendu CFDT
4
Depuis quelques années, la DSI est en charge également de la maîtrise d’œuvre du SIP sans,
toutefois, arrêter les expérimentations locales ou sectorielles.
A ce propos qu’en-est-il de la « degoogleisation » annoncée ?Les outils numériques doivent être
abordés en tant qu’outils de travail, d’apprentissage et de formation.
Concernant la plateforme, la CFDT propose de ne pas mettre à l’écart les logiciels libres et
d’intégrer dans le cahier de charge les besoins des formateurs (à partir des expérimentations
passées) et des différents secteurs (BTP, industrie, Tertiaire) pour en faciliter l’adhésion. Il est
également important de travailler sur l’interface avec les autres applications du SI de l’Afpa
(Annuaires, Portail, SIP…) pour assurer la traçabilité.
Pour les ressources, il est important de mettre en place un véritable processus éditorial de
production des ressources pour en maitriser les coûts, d’adapter les ressources selon leur
utilisation en formation (présentiel, multimodale…) ou pour les rendre accessibles à des stagiaires
en situation d’handicap.
Aujourd’hui il est difficile à un formateur de repérer l’ensemble des outils dont il dispose.
Quelques questions :
- Pouvez-vous préciser qui sera « formateur expert national » et quels seront ses activités ?
- Quelle est la différence entre centres sectoriels, centres d’ingénierie et centres nationaux ?
- Quelles seront les activités d’ingénierie confiées aux Centres nationaux ?
- Qu’en-est-il du financement de ce chantier ?
- Qui est en charge de la production de ressources ?
- Quelle est la répartition et le partage des responsabilités entre les directions DIIP, DF, DSI,
DSN et DFDC ?
- Comment sera piloté ce chantier, quelles en-sont les étapes et les échéances ?
La CFDT propose de programmer rapidement les commissions SI et Evolution des formations afin
d’analyser le cahier de charges fonctionnel de la plateforme. »
Déclaration de la CGT : « …votre présentation reste virtuelle, pourra-t-elle sortir de votre
imaginaire ?… »
Déclaration de SUD.
Déclaration de FO.
YB :
Il réexplique sa posture : il n’est pas la Direction. En tant que président de l’AFPA, il essaye de
gérer l’équilibre entre la gouvernance, le CCE et le comité de direction. Pour lui la Nouvelle
Offre n’est pas un changement d’orientation de l’AFPA. il n’a pas de plan caché. Il faut aussi
tenir compte de ce qui se dit autour de nous. « Ne me rendez pas responsable unique de la
situation de l’AFPA ». La régionalisation est une catastrophe et le rend fou. Mais nous devons
nous battre. Je n’aurais pas des réponses à toutes les questions qui ont été posées. Nous
sommes dans une période de transition et nous devons quand même nous projeter pour éviter
un réveil difficile.
La modularisation était en train de se décider en 22 régions, je suis pour une Nouvelle Offre
faîte ensemble au niveau national. Il n’est pas question de faire du tout modulaire, notamment
pour les DE, pour lesquels il faut des formations complètes. Exception du Limousin pour lequel
le CR a demandé le tout modularisé, et où on a répondu.
CCE du 10 avril 2014 – Compte rendu CFDT
5
La « dégoogleisation » complète de l’AFPA ne se fera que quand les nouveaux outils seront
disponibles, par contre il n’y aura plus de nouveau contrat pour GoogleApps.
La numérisation souffre de multiples problèmes opérationnels.
Le président a une confiance totale dans Christophe Saddok qui porte cette numérisation et
cette mutualisation des données. La validation de ces données devra être faite environ à 30%
des documents de formations pour cette année et le reste sera traité en 2015.
Les CRE et le CCE ont un rôle important dans cette transition. Notamment parce que cela
occasionnera des changements de conditions de travail, par exemple par un accord sur le
nouveau métier de formateur.
Le CIF est amené à s’accroitre avec la nouvelle loi sur la FP, et ce public apprécie la démarche
modulaire, d’autre part beaucoup de DE ont eux aussi déjà une qualification.
On ne veut pas vendre des Séances et des Séquences à l’extérieur, cela relève du domaine
pédagogique. Ce qui sera vendu se situe au niveau minimum du module, conclusions :
• Le sur mesure sera pour les grandes commandes du Marché Entreprise.
• La Modulaire sera plus orienté sur les CIF,
• Quant aux autres (plutôt les DE) ils auront des parcours complets.
A l’heure actuelle, on donne une qualification au stagiaire puis on l’oublie. Le président pense
que toute personne qui passe chez nous, devrait avoir un suivi.
WATT et XXX sont des Cloud français qui seront choisi au lieu de Google. Le cahier des charges
doit être débattu.
La plupart des outils libres sont d’origine universitaire et donc n’ont pas les mêmes objectifs
que ce que l’on pourrait avoir, de plus nous n’aurions pas la main sur les développements.
Le président affirme que l’AFPA a la taille critique pour développer ses propres outils. Un
groupe d’étude recherche actuellement le meilleur modèle.
Mise en concurrence et régionalisation sont les raisons essentielles de notre chute.
Il y aura une trentaine de centres nationaux avec une spécificité dans un domaine donné qui
pourrait représenter au moins 20% de l’offre de ce centre. Le centre national de formation
porte la meilleure expertise, peut être pilote, expérimenter des choses …On recherche des
financements
Maintenant le CPF existe, l’AFPA doit faire avec. Le choix du salarié va être beaucoup plus fort.
Le salarié devra allez chercher des abondements (OPCA, Entreprise,…) l’écart entre les 150 H
et le qualifiant ne doit pas être l’ouverture au Low-Cost avec le risque corollaire de la perte de
la certification. Aucune ambigüité ne doit persister sur ce sujet. Pourtant pour les DE il n’y pas
de perspectives d’augmentation des financements des CR. Donc les salariés d’entreprises
doivent être au cœur de nos préoccupations.
Il y aura une redistribution des cartes pour les élections régionales en 2015. Ceci ne risque pas
de changer les choses pour l’AFPA, peut être même au contraire. L’ARF ne peut que mieux
fonctionner (puisque l’on ne peut pas faire pire qu’aujourd’hui), et malgré tout, les budgets
seront plus serrés. Donc en 2015, avec les élections régionales, on ne verra pas de grand
changement sur le champ de la FP.
Déclaration de la Commission Conditions de travail du CCE
Pour le président, les salariés soufrent de ne pas pouvoir faire bien leur travail. C’est un
problème très important qui ne se règle pas par un coup de baguette magique.
Concernant les CHSCT, l’émiettement des instances n’est pas une garantie d’efficacité.
CFDT :
Alain fait un rappel sur l’ambigüité des propos parfois rassurant et parfois sans détour
(discours de situation rassurant et puis « moins de centre » comme une des conclusions sur la
présentation de la Nouvelle Offre).
CCE du 10 avril 2014 – Compte rendu CFDT
6
Rappel des observations du président sur le fait que cette instance pose toujours de bonnes
questions, mais que les réponses apportées ne sont pas toujours à la hauteur de nos
espérances.
Rappel sur le SSIG et la sanctuarisation de la Formation Professionnelle dans le cadre de la loi
FP.
Découverte de l’activité du conseil scientifique.
Puis pour finir sur un point plus pragmatique et sans stigmatiser, nous voulons témoigner des
retours de nos collègues sur deux types de défaillances :
• Des défaillances du management de haut niveau ce qui implique en cascade des
défaillances sur les managements dans les régions.
• Des défaillances sur le pilotage des process occasionnent des trous systèmes
provoquant des ruptures dans le traitement des commandes, des facturations, des
programmations,…
La CFDT demande la mise en place de plans d’action avec des suivis des résultats pour
redonner confiance aux personnels.
YB :
Ok sur les financements. Historiquement le management n’est pas le point fort de l’AFPA. il y a
beaucoup de choses qui sont faites en ce moment. Les effets ne se sont pas encore fait
connaître.
Conclusions du président :
Les éléments de réponse plus précis doivent être fourni au CCE dès qu’un sujet est abordé.
Banque de ressources partagées : sur chaque métier, la DIIP réunira les formateurs concernés
pour réunir les ressources.
Relancer une dynamique repartant de la base paraît une problématique sur laquelle tout le
monde est d’accord.
Le président envisage de mener une réflexion avec la gouvernance sur une vision 2020 pour
l’AFPA. L’objectif est de se projeter dans l’avenir en se détachant des contraintes de la gestion
quotidienne. Il est prévu d’en faire un retour au CCE au cours d’un prochain CCE.
Point 2 - Info-Consult orientations stratégiques et situation économique
(Suite) :
Point non traité
CCE du 10 avril 2014 – Compte rendu CFDT
7