RENAULT GRAND-COURONNE Comité d`Etablissement Séance
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RENAULT GRAND-COURONNE Comité d`Etablissement Séance
RENAULT GRAND-COURONNE Comité d’Etablissement Séance du mercredi 27 février 2008 Etaient présents : Pour la Direction : M. JOLY Didier M. GALLIER Janick Pour les membres du CE : 1er Collège CGT – Titulaire CGT – Suppléant FO – Suppléante SUD – Titulaire SUD – Suppléant M. EUDE Sylvain M. GRIMOIN Jacky Mme LUCAS Monique M. PARIS Jean-Pierre M. ROZE Roger CFE/CGC – Titulaire CGT – Titulaire M. LEITE DE ARAUJO José M. HALM Gilles CFE/CGC – Suppléant M. ZULIANI Bernard 2ème Collège 3ème Collège Pour les représentants syndicaux : SUD FO CFDT CFTC CGT M. FOMBERTASSE Franck M. GIRAULT Daniel M. Alain DELAS M. DUVAL Fabien M. SAINT MARTIN Didier Invités : M. MARTIN (Questions techniques Point I) M. CHAZAL (Questions techniques Point III) Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 1 Ordre du jour QUESTIONS TECHNIQUES I. Qualité a) Résultats du mois de janvier 2008 : commentaires. II. Présentation des tableaux techniques III. Projets I.L.N. a) Evolution des projets depuis le dernier CE IV. Activité a) Programme ferme et prévisionnel 2008 V. Synergies entre G.C. et Sofrastock a) Y a-t-il de nouvelles décisions prises depuis le dernier CE ? b) Point sur les nouvelles nominations. VI. Questions diverses QUESTIONS SOCIALES I. Approbation des minutes des CE - CE ordinaire : 31-01-2008 - CE extra : 25-01-2008 II. Présentation des tableaux sociaux III. Situation économique du CE au 31-01-08 a) Information et consultation sur le bilan économique 2007 du CE ainsi que le budget 2008 IV. Information sur les dates de congés 2008 Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 2 V. Information sur la déclaration annuelle 2007 relative au personnel handicapé VI. Information sur la transmission des documents des CCE par courrier électronique VII. Questions diverses a) Traitement du lundi de Pentecôte Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 3 La séance est ouverte à 9 heures 10 sous la présidence de M. JOLY. Questions techniques I. Qualité a) Résultats du mois de janvier 2008 : commentaires. M. MARTIN commente les résultats du mois de janvier 2008. Résultats PPM techniques M. MARTIN : S’agissant des résultats PPM, nous avons confirmé, au mois de janvier, les excellents résultats atteints au cours des derniers mois de 2007, puisque le résultat de janvier a été de 26 PPM. Notre moyenne reste donc stable, à 32 PPM sur 6 mois glissants. Je rappelle la tendance : le résultat 2006 était de 163 PPM. Nous avons donc pratiquement divisé ce résultat par 4 entre 2006 et 2007, avec une très forte diminution des résultats PPM relevant de la responsabilité ILN, ce qui va dans le bon sens, d’autant plus que nous démarrons l’année sous de bons auspices, avec une très belle performance à 26 PPM. Je rappelle que notre objectif, pour cette année, est de 50 PPM, avec une cible à 35 PPM. M. JOLY : J’en profite pour répéter ce que j’ai indiqué lors de la réunion qui s’est tenue la semaine dernière : à présent que nous maîtrisons la qualité, nous allons pouvoir commencer à diminuer le coût de conditionnement, en particulier pour les protections anti-oxydation, s’il advenait que certaines d’entre elles soient en surplus. Nous allons donc entrer dans une nouvelle phase consistant à maintenir notre niveau de qualité, tout en diminuant le coût des matières, qui représente 10 millions d’euros pour l’année 2008. Résultats PPDM Logistiques M. MARTIN : S’agissant de la Qualité Logistique, le début d’année s’est avéré difficile, confirmant la tendance observée fin 2007. De nombreuses actions ont été engagées et il faut attendre qu’elles portent leurs fruits. L’une des actions majeures a été le regroupement des actions liées aux non-conformités logistiques sous la responsabilité directe de l’UET SQF, créée en début d’année sous la responsabilité de M. METIVIER. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 4 Les résultats font ressortir 5,9 PPDM sur le mois de janvier, ce qui correspond à 57 RAN non conformes. Si l’on avait ramené ces RAN au nombre d’incidents, cela aurait donné 44 incidents. Cela signifie que nous avons eu un fournisseur, pour un incident, qui a pesé très lourd dans la balance, car sur une seule non-conformité, il a généré 21 RAN non conformes. Cela signifie que le même colis est arrivé 21 fois sur la même palette avec la même référence erronée. Cet incident a pesé lourd dans nos résultats car, sans lui, nous aurions eu, sur six mois glissants, 3,42 PPDM. Mais selon la règle de calcul utilisée, ce RAN a pesé pour 1,5 dans la balance. Il convient cependant de souligner un fait notable : la partie ILN Fab est toujours relativement faible. Je tiens à signaler que nous sommes à 0 non-conformité sur le tapis depuis deux mois consécutifs, grâce notamment aux pistolets. Leur mise en place a donc eu un réel effet. Elle a commencé, depuis le lundi 18 février, sur les postes au sol. La prochaine étape sera la réception, puis l’expédition. Une fois que nous les aurons déployés partout, le nombre de non-conformités sera négligeable. D’ailleurs, l’engagement pris par l’exploitation pour cette année est de 1 PPDM. Mais nous pouvons penser qu’il se situera en deçà. M. JOLY : Il nous est demandé d’étendre cette solution aux autres ILN. Comme M. Martin est l’animateur du métier Qualité au sein de toutes les ILN de par le monde, ce sujet va bientôt devenir officiellement un sujet commun. Par conséquent, les solutions développées ici serviront dans le monde entier. Grand-Couronne joue là, typiquement, son rôle d’entraînement du progrès en matière de qualité pour l’ensemble des plates-formes ILN. Critères d’intéressement M. MARTIN : Passons maintenant aux deux indicateurs qualité directement liés à l’intéressement et, premièrement, les PPM techniques de responsabilité ILN Fab et Ingénierie. L’objectif avait été fixé, pour cette année, à 5 PPDM. Au mois de janvier, nous n’avons eu aucun PPM de responsabilité ILN Ingénierie et 3 PPM de responsabilité ILN Fab. Sur ce critère, le versement sur l’intéressement est donc maximal. Le deuxième indicateur lié à l’intéressement a trait aux PPDM Logistiques. Le mois de janvier est à l’objectif, avec 0,98 PPDM, pour un objectif fixé à 1. Sachant que, dans le cadre de l’intéressement, nous mesurons la valeur sur 6 mois glissants, la tendance est bonne, puisque nous étions, à fin janvier, à 1,04 PPDM. Eu égard aux bons résultats du mois de février, que je ne peux encore vous communiquer, je pense que nous serons repassés en dessous de l’objectif dès ce mois. M. JOLY : Je souhaiterais que l’on présente au CE les tâches qui ont été confiées à la personne venue de Colombie pour traiter les problèmes qualité. Vous n’êtes pas sans savoir que nous avons fait venir un Colombien pour travailler sur la baisse des coûts et sur le compactage, avec des essais qui se sont avérés positifs. Depuis quelques semaines, nous avons accueilli une autre personne pour régler nos problèmes de réclamations, puisque, l’année dernière, la moitié d’entre elles venaient de la Colombie. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 5 M. MARTIN : Il s’agit d’Ivan RAMIREZ. Il est arrivé à Grand-Couronne au début du mois de janvier. Je présenterai ses missions lors du prochain CE. Il travaille essentiellement sur les réclamations techniques et logistiques concernant la Colombie. Ce pays étant l’un de nos principaux clients générateurs de nonconformités, le sujet est relativement vaste. Nous avons ciblé ses actions sur les fournisseurs qui nous pénalisent, sur le plan technique, mais essentiellement sur les problèmes logistiques, sur lesquels nous allons fournir, cette année, les efforts les plus importants. II. Présentation des tableaux techniques Ces tableaux ont été transmis aux membres du CE et n’appellent aucun commentaire en séance. III. Projets ILN. a) Evolution des projets depuis le dernier CE M. CHAZAL : Je ne vais pas réexaminer l’ensemble des projets : je m’attarderai seulement sur les nouveautés. Projet X76 : Kangoo Long Life A court terme, nous allons voir arriver le Kangoo Long Life (X76), avec 400 références. Nous avons commencé à réceptionner les premières navettes. Les premières expressions de besoins tomberont, chez nous, en semaine 17. Cela va nous amener une activité non négligeable côté IPO, notamment sur la période avrilmai où, en plus du volume habituel, nous aurons à gérer une crise d’avance afin que les transferts d’outils puissent se faire de Maubeuge vers d’autres fournisseurs de pièces. Le projet est donc en cours. Projet L35 Argentine Le besoin client, au deuxième semestre, sera de 40 à 50 véhicules par jour. Nous devrons traduire ces chiffres en termes de conteneurs d’expéditions, qui sont, pour nous, un indicateur d’activité plus pertinent. L’enjeu est toujours positionné en semaine 20. Projets L38, L43 et L47 Corée Trois nouveaux projets importants viennent d’arriver concernant l’usine Samsung, en Corée. Le premier est le projet L38, qui concerne un véhicule de la gamme M1. J’ai récemment été nommé chef de projet. En 2009, il devrait représenter 27 000 exemplaires par an. L’Envu est positionné en semaine 43. Nous avons calculé que cela représenterait, pour nous, 5 à 6 conteneurs à expédier chaque semaine. Les premières commandes fermes sont positionnées en semaine 32. Les premières expéditions devraient donc avoir lieu dans la foulée. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 6 Le deuxième projet est le véhicule L43, qui concerne un véhicule de la gamme M2S. L’Envu client est planifié, pour l’instant, sur la semaine 6 de 2009, les premières expéditions de Grand-Couronne devant intervenir à partir de la semaine 43. Lorsque ce véhicule aura atteint ses pleines cadences de production chez Samsung, il représentera 25 conteneurs par semaine, ce qui n’est pas neutre pour nous en termes d’activité. Le troisième projet est le L47. Il est plus lointain dans le temps, en 2009. Il n’a donc pas encore été jalonné. Nous devrons nommer un chef de projet usine le concernant. Projet X70 phase 3 Brésil L’Envu est toujours positionné en semaine 25. Je n’ai pas calculé l’équivalent en conteneurs, mais ce projet concerne tout de même 350 références, qui vont transiter par Grand-Couronne, pour une cadence client estimée à 30 ou 35 véhicules par jour au Brésil : elle est donc supérieure à la cadence actuelle. M. JOLY : Pour votre information, j’ai demandé à Bertrand GUIGUEN d’étudier ce que signifierait, sur ce projet, le retour à la collection. En effet, le Master a été lancé en collection il y a quelques années, mais il se situe très en deçà du seuil existant habituellement pour les collections. Or nous voulons maintenir la PPC et utiliser les espaces vides pour y stocker des emballages standards. J’ai demandé cela car nous avons diminué les coûts de la collection et je voudrais regarder l’équilibre économique, avec les dernières conditions qui sont aujourd’hui remplies, sachant que l’usine brésilienne sera de plus en plus chargée avec des véhicules Nissan, puisqu’elle va passer de 100 à pratiquement 200 véhicules par jour, si bien que l’espace disponible en magasins viendra bientôt à manquer. Cela ne veut pas dire que nous allons aller vers de la collection, mais je souhaite néanmoins que l’on se pose à nouveau la question. Je serais satisfait que l’on démontre qu’à des cadences de 20 à 30 véhicules par jour, ce projet est compétitif et intéressant pour Grand-Couronne. Donc, ne vous étonnez pas si vous voyez se dérouler, à un certain moment, des essais de mise en place d’emballages standards dans les pièces de tôlerie couverte. Pour autant, la collection n’est pas morte : il s’agit d’un bon processus, qui correspond à certains types de productions, de marchés, de véhicules. Et s’il y a bien un véhicule pour lequel la collection a de l’avenir, c’est le VU, car il s’agit d’un grand véhicule, avec de grandes ouvertures, qui est sourcé en France, pour une grande partie, pour la tôlerie, et sur lequel Renault se trouve moins contraint en termes de marges. Donc, le coût logistique se trouve moins sous surveillance que dans d’autres cas. Pour moi, le VU est donc l’avenir de la collection à long terme. Emballages Colombie M. CHAZAL : Il s’agit de la dernière ligne ouverte. Ce sujet rejoint celui que nous avons évoqué en matière de qualité. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 7 M. JOLY : Je voudrais faire un petit commentaire, pour vous permettre de bien suivre nos propos. La L38 est un véhicule M1, de type Mégane tricorps (la lettre « L » signifie « tricorps »). Il s’agit de l’équivalent LCC, donc à bas coût, de la nouvelle Mégane tricorps. En fait, deux études ont été menées en parallèle sur une même plate-forme, avec une version destinée à l’Europe de l’Ouest et aux pays « riches » et une version destinée aux pays moins développés. Ce projet correspond à la L95, mais pour des marchés non occidentaux. La L43, quant à elle, est un grand véhicule tricorps, plutôt positionné sur le haut de gamme. Elle ne correspond à aucun véhicule connu chez Renault. Il s’agit d’un nouveau véhicule tricorps, destiné à la grande exportation, puisque la base coréenne servira à cela. Quant à la L47, je ne sais pas encore de quoi il s’agit. M. CHAZAL : Il se situe à un horizon temporel plus lointain, vers la fin 2009 ou le début 2010. Par ailleurs, il n’y a aucune nouveauté à vous communiquer s’agissant du projet PFI par rapport à ce que nous vous avons présenté lors du dernier CE. DLPA Sur ce point, 3 projets sont en cours de jalonnement. Le premier est un projet d’import DLPA Vauxhall, en Grande-Bretagne : il s’agit des pièces du Trafic modèle 83, qui est le véhicule badgé Nissan, GM, etc. Le projet est en cours. Il n’est pas encore jalonné, car il nous reste un point à traiter concernant les systèmes d’information. Le deuxième projet concerne le reconditionnement de boîtes de vitesses et de pièces mécaniques, ainsi que l’importation H45 après-vente. M. JOLY : Pour les boîtes de vitesses, une date précise a été fixée : le 1er avril. M. CHAZAL : Effectivement. Le H45 est un véhicule fabriqué également en Corée. M. JOLY : Il s’agit du Koléos. M. CHAZAL : Oui. D’ailleurs, sur les sujets précédents, comme les L38 et L43, il pourrait peut-être y avoir, à terme, des sujets concernant l’après-vente, l’importation, etc. Nous avons encore à démontrer notre professionnalisme sur ces sujets. M. JOLY : La Corée va devenir, pour nous, un client important, ainsi qu’un gros producteur. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 8 M. CHAZAL : Tout à fait. Les flux Corée – Europe sont appelés à augmenter dans les mois et années à venir. M. ZULIANI : A quelle date les importations du H45 sont-elles prévues sur GrandCouronne ? M. CHAZAL : Cela fait partie des sujets restant à jalonner. M. JOLY : Les conteneurs arrivent déjà sur Cergy, notamment. L’importation a donc déjà été lancée. IV. Activité a) Programme ferme et prévisionnel 2008 M. JOLY : Le Comité de Programme se tenant en même temps que la présente réunion du CE, je ne peux vous communiquer maintenant les informations qui y seront données. Je ferai des commentaires plus généraux sur l’année 2008. Région Amériques Les prévisions de ventes sur l’année, pour l’Argentine, sont toujours orientées à la hausse, avec +15 %. Santa Isabel est donc toujours l’un de nos plus gros clients. Sur le Brésil, en revanche, nous prévoyons une baisse, qui concerne surtout la Logan Mexique, mais beaucoup moins les véhicules vendus au Brésil même. Nous sommes donc, pour notre part, très peu affectés, puisque nous ne traitons qu’une partie très restreinte de la Logan fabriquée au Brésil et vendue au Mexique. Sur la partie utilitaire, les programmes se maintiennent comme prévu. En revanche, une baisse très importante est prévue cette année sur la Colombie, avec la chute des ventes au Venezuela, qui représente un quart de volume en moins : la production passerait de 64 000 à 44 000 véhicules. Nous sommes d’ailleurs entrés dans une période basse vis-à-vis de ce pays. Renault est en négociations avec le Venezuela pour augmenter le quota d’importations, mais son effet ne se fera éventuellement sentir que dans la deuxième partie de l’année. Le Mexique, pour sa part, se maintient au niveau prévu. Reste du monde Je n’ai pas d’informations particulières à vous donner par rapport au précédent CE. En particulier, je n’ai pas eu confirmation des 20 000 L84 supplémentaires sur l’Iran, qui reste un client très aléatoire pour nous. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 9 Sur la Malaisie, l’arrêt de la production du Kangoo tendrait à se confirmer. Si nous faisons une poignée de collection cette année, ce sera tout. Nous avions 500 véhicules prévus au budget : si nous en faisons la moitié, nous pourrons être satisfaits. De fait, nous ne parlerons bientôt plus de la Malaisie. Voilà pourquoi nous avons libéré les surfaces correspondant aux tôles de caisses, qui prenaient beaucoup de place. DLPA Je n’ai pas d’autres nouvelles à vous donner, si ce n’est un arrêt progressif entre mai et juillet. V. Synergies entre G.C. et Sofrastock a) Y a-t-il de nouvelles décisions prises depuis le dernier CE M. JOLY : Une décision a été annoncée depuis le dernier CE : Didier DOUARD prend la responsabilité de la Maintenance pour les deux sites. A cette occasion, je voudrais vous présenter le schéma d’organisation qui a été mis en place. Sur chaque site, l’on trouve un responsable opérationnel de terrain. A Grand-Couronne, il s’agit de Franck WATTIER. Là-bas, ce sera Jean-Claude MAIRESSE. L’on trouve également une petite équipe de chargés d’affaires, comportant trois à quatre personnes, qui pourra travailler sur les deux sites, en fonction des projets envisagés. Le mois prochain, je pense que l’on pourra parler de développement, d’informatique et peut-être, aussi, de qualité. Pierre-Yves MARTIN a commencé à étudier de près l’organisation qualité sur place. Des décisions seront probablement prises d’ici le mois prochain. b) Point sur les nouvelles nominations Ce point n’appelle aucun commentaire en séance. VI. Questions diverses M. HALM : Quid de la création d’un Comité de Respect des Règles, avec un numéro de téléphone où les salariés pourraient appeler ? JOLY : Il a été créé et a pris la dénomination anglaise de « Compliance ». Je ne sais comment traduire ce terme. Il s’agit d’un Comité présidé par Thierry MOULONGUET. Son rôle est de veiller au respect des règles de fonctionnement et d’éthique existant au sein de l’Entreprise. Vous savez qu’un code de déontologie a été publié. L’une des règles éthiques, très claire, est le refus absolu de recevoir des cadeaux de la part des fournisseurs, pratique ancienne, qui a disparu chez Renault, mais qui existe encore ailleurs. Très clairement, celui qui, dans notre entreprise, accepte un cadeau d’un fournisseur n’est pas en règle. Ce Comité a également été créé pour servir de recours. Je n’ai pas vu de texte précis sur ce point, Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 10 mais si quelqu’un constate des actes et comportements contraires aux règles de l’Entreprise, il peut les dénoncer. Je pense qu’il ne faut pas exagérer l’importance de cette instance. Dans le monde industriel actuel, il y a déjà un bon niveau de respect des règles. Simplement, l’Entreprise, qui se développe très rapidement sur l’ensemble de la planète, a besoin de s’assurer qu’elle dispose de tous les moyens pouvant permettre de mettre fin aux dérives. J’en ai moi-même vécu : au Brésil, par exemple, les douaniers peuvent demander un bakchich pour laisser passer les conteneurs. Or une règle de l’Entreprise est extrêmement claire sur le sujet : il ne faut absolument rien leur donner, car cela implique d’entrer dans le jeu de la corruption, duquel il est ensuite impossible de s’extraire. De même, en Iran ou en Inde, les tentatives de corruption sont fréquentes et il est totalement interdit d’y répondre, même si l’on estime que ce serait souhaitable pour le bien de l’Entreprise. Ce faisant, l’on enfreint les règles déontologiques de Renault. M. GALLIER : Ce Comité n’a pas vraiment été créé pour les pays comme la France ou l’Europe, mais surtout pour les pays où ces pratiques sont en vigueur. Il fallait une instance officielle pour souligner l’importance du respect des règles déontologiques. Prévoyez-vous de faire une information au personnel ? Nous ferons tout d’abord une information au CCE, puis, peut-être, une information officielle lors du prochain CE, avant de la donner au personnel. Comme partout ailleurs, les salariés ont déjà dû recevoir le code de déontologie sous la forme d’un petit livret. Il existe d’autres règles d’entreprise, par exemple contre le travail des enfants. Bien que développant ses fournisseurs dans des pays où les enfants travaillent très tôt, Renault fait partie des entreprises qui refusent d’acheter des pièces fabriquées par des enfants. Pour ma part, j’avais plutôt entendu parler du comité de respect des règles comme d’un appel à la délation anonyme vis-à-vis de collègues. Le but poursuivi n’est pas du tout celui-là. Si tel était le cas, ce comité ne serait pas présidé par un Directeur Général Adjoint. Mais ce n’est pas de la basse police. Votre remarque est cependant intéressante, car elle montre que si l’on n’explique pas bien son rôle, cela ouvre la voie à toutes les interprétations. La séance est suspendue de 9 heures 45 à 10 heures. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 11 Monsieur GALLIER remplace M. JOLY à la présidence de séance. Questions sociales I. Approbation des minutes des CE M. GALLIER : Avez-vous des remarques à formuler concernant ce procès-verbal ? M. PARIS : Nous avions demandé, pour SUD, que les représentants syndicaux puissent recevoir les minutes des réunions. M. GALLIER : Qui les reçoit actuellement ? M. HALM : Seuls les titulaires en sont destinataires. M. GALLIER : D’accord. Je note votre demande. Le procès-verbal est approuvé à l’unanimité sous réserve des compléments apportés en séance. CE extra : 25-01-2008 Le procès-verbal est approuvé à l’unanimité. M. GALLIER : Je note que vous demandez également que l’on envoie un exemplaire de ce document aux représentants syndicaux. II. Présentation des tableaux sociaux M. GALLIER : Avez-vous des remarques sur les tableaux sociaux ? Ces tableaux n’appellent aucune remarque en séance de la part des membres du CE. III. Situation économique du CE au 31-01-2008 a. Information et consultation sur le bilan économique 2007 du CE ainsi que le budget 2008 M. LEITE DE ARAUJO : S’agissant du bilan économique 2007, le Bureau du CE s’est réuni le 25 février et a conclu qu’il n’était pas en mesure de communiquer un bilan définitif aujourd’hui. Nous reportons donc l’examen de ce bilan à la prochaine réunion du CE, au mois de mars, à moins qu’il nous manque encore quelques chiffres. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 12 M. ZULIANI : Il nous manque surtout les chiffres émanant des organismes sociaux, comme les caisses de retraite. Ces données sont difficiles à obtenir. Dès que nous les aurons reçues, nous pourrons présenter le bilan économique 2007. M. GALLIER : Qu’en est-il du budget ? M. LEITE DE ARAUJO : Le Bureau du CE a examiné les trois points qui étaient restés en suspens lors de sa réunion du mois de janvier. Même s’il nous manque encore des éléments relatifs à la section karting et voile, nous avons décidé d’allouer un budget prévisionnel de 2 000 euros à chaque commission, sachant que toutes les commissions devraient pouvoir continuer à exister dans ces conditions sans aucun problème. Nous n’avions prévu aucun budget pour la section de tennis, mais comme il est probable que nous recevions un jour une facture concernant cette activité, du fait des synergies avec Cléon, nous avons affecté la somme de 300 euros, au cas où. M. GALLIER : Sur la forme, souhaitez-vous faire une consultation, organiser un vote, ou bien s’agit-il seulement d’une information ? M. LEITE DE ARAUJO : Habituellement, nous faisons une consultation. M. GALLIER : Les élus du CE ont-ils des questions à poser au Secrétaire et au Trésorier avant de passer à la consultation ? M. HALM : Nous n’avons aucune question à poser aujourd’hui. Toutes les questions ont été posées lors de la dernière réunion du Bureau. M. GALLIER : Les votants titulaires sont M. EUDE, Mme LUCAS, qui remplace Mme LALEU, M. PARIS, M. LEITE DE ARAUJO, M. HALM et M. ZULIANI, qui remplace M. LEVIEZ. Résultat du vote sur le budget 2008 du CE : POUR 6 CFE/CGC SUD CGT FO CFDT CFTC CONTRE 0 ABSTENTIONS 0 Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 13 IV. Information sur les dates de congés 2008 M. GALLIER : L’établissement de Grand-Couronne ne ferme jamais. Il n’y a donc pas de dates de congés, à travers des numéros de semaines, comme l’on peut souvent l’entendre dans les autres établissements, pendant lesquelles l’activité est totalement arrêtée. Faute de fermeture officielle de l’Etablissement, les congés des salariés sont étalés sur les mois de juillet et d’août, avec quelques exceptions aux mois de juin et septembre. Les demandes de congés actuellement faites par les salariés commencent à être analysées, de manière à ce que des réponses soient données le plus rapidement possible. Les critères d’acceptation et de refus sont basés sur la « polyvalence » : il faut effectivement s’assurer que les postes sensibles, sur lesquels les remplacements sont difficiles, sont bien pourvus. Il en est ainsi des caristes, par exemple, car il serait difficile d’envisager une activité sur Grand-Couronne si tous les caristes partaient en congés en même temps. Certaines réponses ont déjà été données. V. Information sur la déclaration annuelle 2007 relative au personnel handicapé M. GALLIER : Je vais vous présenter une synthèse des modifications qui ont été apportées au formulaire de déclaration. Je vous rappelle que les travailleurs dits « RQTH », c’est-à-dire ayant la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé – il s’agit du nouveau sigle officiellement utilisé – sont : - les victimes d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle ayant entraîné une IPP égale, au moins, à 10 % ; - les titulaires d’une pension d’invalidité ; - les mutilés de guerre ou assimilés ; - les titulaires de l’allocation adulte handicapé ; - les titulaires de la carte d’invalidité. Les catégories sont donc restées inchangées. Le décompte a, lui, été légèrement modifié. En effet, désormais, une « unité » est valable pour tout handicapé, en CDI ou en CDD, à temps complet ou à temps partiel, quelle que soit la nature du contrat. La seule exigence a trait à l’ancienneté : il faut effectivement avoir été présent 6 mois dans l’Entreprise sur les 12 mois de référence. Cette nouvelle définition des « unités » me paraît beaucoup plus sage car, jusqu’ici, une unité ne comptait pas forcément pour une personne handicapée. A présent, tel est le cas. Je vais maintenant vous présenter un rappel des chiffres, qui figureront d’ailleurs au Bilan Social qui sera examiné lors du prochain CE. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 14 En 2006, il y avait, au total, 69 personnes handicapées. Au 31 décembre 2007, il y en avait 58. S’agissant des travailleurs reconnus handicapés à la suite d’accidents du travail, 2 l’ont été en 2005, 2 en 2006 et 3 en 2007. Je vous dirai de qui il s’agit lorsque nous examinerons le Bilan Social. Pour en venir à l’intitulé de ce point de l’ordre du jour, je vous transmets en séance une copie du document CERFA, que nous devons envoyer à l’Administration, au plus tard, à la fin du mois de février pour les déclarations annuelles faisant état du nombre de travailleurs handicapés au sein de notre établissement. La première question posée sur ce formulaire est la suivante : « L’Etablissement a-t-il moins de 20 salariés ou ETP ? » Nous répondons « non » à cette question. « L’Etablissement a-t-il fermé définitivement ? » Non. « L’Etablissement a-t-il été créé en 2005, 2006 ou 2007 ? » Non. « L’Etablissement a-t-il passé pour la première fois le seuil des 20 salariés en 2005, 2006 ou 2007 ? » Une nouvelle fois, nous répondons négativement à cette question. Ces quatre premières questions peuvent paraître évidentes, mais le document administratif CERFA est identique pour les très petites et très grandes entreprises. Sur la deuxième page, qui est également envoyée à l’Administration, très peu d’éléments nous concernent, sinon le calcul. Pour calculer le taux d’assujettissement, nous prenons l’effectif de l’Etablissement au 31 décembre de l’année, multiplié par 6 pour cent, qui est le taux d’emploi de personnes handicapées imposé par l’Administration. Sachant que Renault Grand-Couronne comptait 446 personnes au 31 décembre 2007, en multipliant ce chiffre par 6 pour cent, nous trouvons 26 personnes. Il s’agit là du nombre minimum de personnes handicapées que nous devrions employer. Comme nous en avons beaucoup plus, nous n’avons pas à payer d’indemnité à l’AGEFIPH. Il faut également savoir que ce quota d’un établissement Renault est également examiné, au niveau national, sur la totalité du personnel de Renault. En effet, nous pourrions parfaitement dépasser les quotas localement, mais avoir un chiffre inférieur en consolidant les effectifs du Groupe. Mais chez Renault, nous sommes plutôt cités comme un bon exemple en matière d’emploi de personnes handicapées, que ce soit au niveau des établissements ou du Groupe. La troisième page du document CERFA ne nous concerne pas : elle détaille le calcul permettant de déterminer la somme que nous aurions à payer si nous ne dépassions pas le quota de 6 pour cent. Ainsi, vous avez maintenant la certitude que nous avons bien répondu à l’obligation de déclaration annuelle du personnel handicapé de l’établissement de GrandCouronne. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 15 M. PARIS : Les salariés qui seraient à la fois handicapés et mutilés de guerre verraient-ils leurs avantages se cumuler ? M. GALLIER : Ce n’est pas un cumul, mais une appréciation. En règle générale, la détermination du taux d’invalidité est réalisée par un même médecin. Lorsque celui-ci examine une personne et qu’il constate des handicaps, il ne fait pas la différence entre la cause de ceux-ci. Le praticien examine une personne et évalue son degré d’invalidité. Dans son analyse, il peut préciser les causes, mais cela n’est pas pris en compte dans le résultat. VI. Information sur la transmission des documents des CCE par courrier électronique M. GALLIER : Le Comité d’Etablissement de Grand-Couronne compte 2 élus siégeant au Comité Central d’Entreprise. Les CCE sont programmés sur 2 journées. A l’ordre du jour, sont parfois inscrites 5, 6, 7 consultations, ou davantage. Pour chacune, les membres titulaires et suppléants reçoivent des documents afin de forger leur avis. Lorsqu’il s’agit d’une consultation sur un projet de création de filiale à l’étranger, par exemple, le dossier peut atteindre 150 pages. Par souci écologique, il a été proposé à chacun des élus du CCE, qui bénéficient d’une adresse électronique, de recevoir tous ces documents par e-mail, pour qu’ils puissent les imprimer localement. Les plus anciens d’entre nous, autour de cette table, ont le souvenir des kilos de papier qui étaient imprimés en central, puis acheminés par des coursiers jusqu’aux délégués. Par souci d’économie et d’écologie, le CCE a proposé de transmettre tous les documents par voie électronique. Il nous a été demandé de transmettre cette information au CE et de vous indiquer que les 2 membres du CE de Grand-Couronne siégeant au CCE ont accepté de recevoir dorénavant les documents de consultation par voie électronique. M. PARIS : Notre organisation syndicale, SUD, est toujours favorable à une transmission sur support papier. Les transmissions par courrier électronique peuvent selon nous s’ajouter, mais en aucun cas se substituer aux documents papier. En effet, la lecture de documents papier de 150 pages peut être fastidieuse, mais leur lecture sur écran l’est encore davantage. Et quant au souci écologique, s’il n’y avait que cela… M. GALLIER : C’est peut-être une goutte d’eau de ce point de vue, mais c’est ainsi que l’on arrive à faire des progrès. Pour vous répondre, cette solution ne supprime pas le support papier : en effet, les documents peuvent être imprimés. De plus, elle permet de supprimer les délais de livraison des documents, qui faisaient que certains n’arrivaient pas dans les temps. M. PARIS : Vis-à-vis de ces impressions locales sur support papier, je pense que nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 16 M. GALLIER : Pour compléter cette information, sachez que les élus qui ont accepté de recevoir les documents par courrier électronique devront impérativement imprimer au moins une feuille : l’accusé de réception, qu’ils devront signer manuellement et rapporter à Madame HATTON, de manière à ce que le Bureau du CCE ait la certitude que les élus ont bien été destinataires des documents qui leur ont été envoyés. M. HALM : Il y avait déjà des documents qui parvenaient par courrier électronique à la secrétaire, qui les imprimait ici et les donnait aux élus du CCE. M. GALLIER : Peut-être, mais ce n’était pas officiel. Et puis, cela renvoie au fait que, désormais, les décisions relevant du CCE ont davantage un caractère « extrahexagonal ». Certains membres du CCE peuvent être en mission à l’étranger. Le courrier électronique leur permet de recevoir les documents préparatoires à temps avant chaque séance plénière. M. PARIS : Les textes de loi sont très précis sur ces questions d’envoi de documents. VII. Questions diverses a. Traitement du lundi de Pentecôte M. GALLIER : Le lundi de Pentecôte redevient un jour férié. Le décret de loi est passé. Il reste à déterminer, au sein de Renault, les modalités de la journée de solidarité, qui est toujours en vigueur. Il y aura sans doute une directive donnée au niveau central, dont les établissements auront – ou non – la faculté de « négocier » l’application locale. M. LEITE DE ARAUJO : Eu égard au portefeuille de congés dont disposent les salariés de Grand-Couronne en capital temps collectif, je pense qu’il serait souhaitable d’appliquer une mesure collective à tous les salariés, afin qu’ils puissent profiter de ce jour de congés. M. GALLIER : Voilà pourquoi j’ai évoqué la possibilité d’une directive générale, pour l’ensemble de l’Etablissement. Les établissements n’ayant plus beaucoup de congés collectifs pourraient peut-être, pour leur part, prendre d’autres mesures afin de répondre autrement à cette obligation légale. M. HALM : Je souhaiterais vous faire lecture d’une déclaration au nom des organisations syndicales CGT, SUD et FO : « La réorganisation, avec le compactage des surfaces, nous semble bien mal préparée et réalisée dans la précipitation. Comme nous vous l’avons maintes fois répété, la précipitation ne fait pas bon ménage avec la sécurité. La politique d’ordres et de contre-ordres génère des incompréhensions, des coûts et une détérioration des conditions de travail. Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 17 Tenir un CHSCT et le valider alors que la majorité de ses membres ne sont pas présents, pour des raisons qui vous sont propres, nous semble incorrect et très risqué. Le CHSCT ne doit pas être une simple chambre d’enregistrement et la Direction portera à elle seule la responsabilité en cas d’atteinte à l’intégrité physique et morale des salariés. » M. LEITE DE ARAUJO : Quelque chose m’échappe. Apparemment, un CHSCT a été convoqué, mais tous ses membres n’ont pu être présents. M. PARIS : Cette réunion a été organisée en même temps qu’une réunion des Délégués du Personnel. Voilà ce qui explique leur absence. Un représentant SUD au CHSCT avait d’ailleurs indiqué que cette semaine-là était déjà suffisamment chargée et qu’il ne fallait pas rajouter une réunion de CHSCT. Or ce projet a été examiné dans la précipitation, ce qui n’avait pas lieu d’être. Mme LUCAS : La liste des conseillers prud’homaux de l’Etablissement a été affichée dans le réfectoire, avec leurs coordonnées personnelles. Un salarié m’a fait remarquer que cela n’avait pas lieu d’être. M. GALLIER : Il s’agit d’une obligation légale. Mme LUCAS : Oui, mais il ne faudrait pas l’afficher dans le réfectoire. M. GIRAULT : Dans un autre établissement, il m’a été reproché de ne pas la mettre à la disposition de l’ensemble des salariés en un endroit où elle soit librement consultable. M. HALM : Il faut effectivement la mettre à disposition du personnel, mais il me paraît préférable de l’afficher sur des panneaux au lieu de la laisser simplement sur une table du réfectoire. M. GALLIER : Ce sera fait. En l’absence de questions supplémentaires, la séance est levée à 10 heures 40. Le Président D. JOLY Le Secrétaire de séance J. LEITE DE ARAUJO Renault Grand-Couronne - CE - Réunion ordinaire – 27 février 2008 18