Gazette n°14 - Ecole Louis HACHETTE Le Plessis Robinson

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Gazette n°14 - Ecole Louis HACHETTE Le Plessis Robinson
La gazette de Louis Hachette
Numéro 14
jeudi 4 décembre 2003
Une nouvelle naissance...
L’école Louis Hachette est heureuse de vous
faire part d’une nouvelle naissance. En effet,
elle vient de mettre au monde son site
internet ! Vous pouvez le consulter à
l’adresse suivante :
www.ec-hachette-plessis.ac-versailles.fr
Inutile de dire qu’avec une adresse pareille,
il faut vite le mettre dans ses favoris
(signets).
A l’intérieur de ce site, vous trouverez des
informations sur la vie de l’école et les
différents projets auxquels les élèves sont
associés. N’hésitez donc pas à nous rendre
visite de temps en temps, le contenu de ce
site évoluera avec l’actualité de l’école. Bon
surf !
Le Bateau
Pendant ce temps là, le bateau continue à
évoluer. Maintenant, il commence à prendre
forme et nous nous prenons à rêver de
grands espaces.
Mardi 18 novembre
Les élèves de l’école Joliot- Curie étaient à
l’œuvre. Voici leur reportage :
Pose des premiers clins* sur le Robinson, les
galbords* sont en place ce qui donne déjà
l'allure et la taille du bateau. Hervé nous
distribue le travail : une équipe fabrique des
canaps* pendant que l'autre prépare les clins
droits et gauche qui seront peut-être posés
en fin de journée. Avant de fixer chaque
clin, il faut l'ajuster, tracer très précisément
l'endroit où l'on va percer pour ensuite les
visser sur les membrures*. Les canaps nous
aideront à soutenir le tout pendant que la
colle séchera. Il faut
être précis à chaque
étape : pour mesurer,
Dans cette
pour percer, pour
Edition
fixer…. Les outils
aussi ne sont pas
faciles à manier : La
scie par exemple, il •Une nouvelle naissance
ne faut pas appuyer •Le bateau
trop fort, ni dévier du
trait tracé ! La •Fête de Noël
perceuse électrique, il •Les bancs
faut bien centrer la •Débat sur l’école
mèche pour que le
trou soit au bon
endroit, puis la retirer
délicatement
sinon
elle se casse…
Mardi 18 novembre
Fête de Noël
Aujourd'hui, les élèves, accompagnés par
Gaspard et Hervé, ont continué le montage
du "squelette"..
Il s'agissait de poser et fixer les clins sur les
couples et les galbords. Il faut passer à la
"cuisine" pour préparer la résine, bien
badigeonner et ensuite, maintenir les clins
sur la structure.
Tout le monde met la main à la pâte et notre
yole de Ness commence à avoir l'allure d'un
vrai bateau sur lequel on s'imagine déjà en
train de naviguer.
Le samedi 13 décembre 2003, vous êtes tous
attendus par les élèves de Louis Hachette
qui ont préparé des petits cadeaux de Noël,
qui seront vendus dans l'entrée de l'école.
Simultanément des animations de Noël
gratuites seront proposées dans les classes
durant cette matinée exceptionnelle.
Les enfants vous proposent :
Des confitures pour les gourmands .
Des chaussons pour accrocher dans le sapin .
Des magnets pour décorer la cuisine .
Des pommes de pin décoratives pour mettre
dans le sapin ou sur
une table.
Des jeux de société
pour occuper les
soirées.
Des couronnes pour
placer sur la table ou
devant la porte .
Des photophores pour
éclairer vos tables .
Des sets de table pour décrorer les tables .
Des cartes de voeux pour envoyer à vos
amis
.
Les bancs
Le débat national sur l’école
Cette semaine, les derniers bancs demandés
par le conseil des élèves ont été fixés dans la
cour, ce qui en porte le nombre total à 5.
Maintenant, les élèves qui le souhaitent ont
de quoi s’asseoir pendant les récréations.
Dans le cadre du débat national sur l'avenir
de l'école, un débat se tiendra à l'école Irène
Joliot-Curie le Samedi 6 décembre de 9h à
12h. Les enseignants des écoles Joliot-Curie,
Louis Hachette, Henri Wallon, Anatole
France et La Ferme sont invités à participer
à ce débat. ATTENTION : il n'y aura pas
classe ce jour-là.
Deux énigmes pour passer le temps…
" Le cirque Magnifico " (Christian Souchard)
Marcello Tiropolo, le directeur du cirque Magnifico, est à l'hôpital pour une dizaine de jours. Un énorme bandage lui entoure la
tête. Samedi soir, après la représentation, alors qu'il regagnait sa caravane, il a été assommé à l'aide d'une massue de
jonglage. La mallette qui contenait la recette de la journée a été dérobée. Marcello confie à l'inspecteur Lafouine : " Quand je
suis sorti du chapiteau pour me rendre dans ma caravane, tout était silencieux. Je n'ai même pas entendu les pas de mon
agresseur. Il devait bien connaître mes habitudes ".
Lafouine décide d'interroger tous les artistes de la petite troupe. Il va de roulotte en roulotte à la recherche de renseignements.
Voici ce qu'il a noté sur le petit carnet qui ne le quitte jamais.
A l'heure de l'agression, Rico, le nain, se démaquillait dans sa loge. Il déclare avoir lu le journal jusqu'à ce que la sirène de
l'ambulance le fasse sortir pour aller aux nouvelles.
Groucho, le trapéziste, assure qu'il était sous le chapiteau au moment de l'agression. Il rangeait ses accessoires. C'est lui qui a
découvert Marcello étendu près de la caravane d'Harpo.
Armando, le lanceur de couteaux, affirme qu'il était sous l'auvent de sa caravane en train d'affûter ses outils sur sa meule
électrique. Il fait ce travail tous les jours. Il a besoin que les lames de ses poignards soient pointues et bien aiguisées.
Paulo, le clown, a mis une bonne heure à repriser son costume qui s'était déchiré au cours de son numéro.
Césario, le dompteur, jure qu'il mangeait dans sa caravane avec Filippo, le jongleur. Ce dernier confirme la déclaration de son
compagnon.
Harpo, le magicien, n'a pas pu participer au spectacle. Il est au lit depuis deux jours avec une forte grippe. Trop malade, il
avoue n'avoir rien entendu.
Domino, la femme de Marcello, dit avoir attendu son mari en préparant un potage aux légumes. Elle est sortie quand elle a
entendu les appels de Groucho.
Assis dans les gradins du chapiteau, Lafouine se concentre. Il essaie de trouver la faille dans tous ces alibis. Soudain, il se lève.
" Bon sang, mais c'est bien sûr!" dit-il en frappant violemment son poing droit dans la paume de sa main gauche. "Le coupable
ne peut être que le... "
Quel est le nom du coupable et comment l'inspecteur l'a-t-il découvert ?
" Maxime a la tête dure " (Christian Souchard)
Assis sur son lit d'hôpital, un bandage sur le sommet de la tête, Maxime, le directeur du bowling, explique à l'inspecteur
Lafouine ce qui lui arrive : " Comme chaque soir, je comptais la recette de la journée. Alors que je me levais pour placer les
billets dans le coffre, quelqu'un m'a assommé avec une quille. Quand les pompiers m'ont ranimé, l'argent avait disparu ".
" Qui était présent dans le bâtiment au moment de l'agression ? ", demande Lafouine.
" Ma secrétaire, mon associé, le gardien et la femme de ménage ", répond Maxime.
L'inspecteur vérifie l'alibi de chaque suspect.
La secrétaire, une femme beaucoup trop parfumée, a passé la fin de la journée à taper du courrier en retard.
Le gardien, un ancien militaire, a fermé toutes les pistes du bowling avant de prendre sa place devant les écrans de
surveillance.
Rodolphe, le collaborateur de Maxime, est resté dans son bureau. Avec une jambe et un bras dans le plâtre, il évite de trop se
déplacer.
La femme de ménage, une petite dame à quelques mois de la retraite, a découvert Maxime sans connaissance. C'est elle qui a
prévenu les pompiers.
Qui a assommé Maxime et pris le contenu du coffre ?