Urban Dive: l`alternative Google Street View lancée par les Pages

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Urban Dive: l`alternative Google Street View lancée par les Pages
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 11/
11/14 4 Avril 2011
La pensée de la semaine
«Les grandes nations ont toujours agi en gangsters, les petites en prostituées.»
Stanley Kubrick
Urban Dive: l’alternative Google Street View lancée par les Pages Jaunes
http://www.itespresso.fr/urban-dive-alternative-google-street-view-lancee-pages-jaunes-41953.html
Urban Dive, concurrent français de Google Street View édité par le groupe PagesJaunes, est désormais disponible. Grâce
à ses nombreux partenaires, il offre une alternative intéressante en misant davantage sur l'aspect communautaire.
Urban Dive, service Web du groupe PagesJaunes, a ouvert au public son projet développé depuis septembre 2010.
Grâce à des photos panoramiques haute définition, Urban Dive permet de découvrir de l’intérieur 26 villes en France, parmi lesquelles on
retrouve Paris et sa première couronne ainsi que Marseille. Urban Dive est donc le Google Street View français mais possède de
nombreux atouts face à son concurrent américain en misant plus sur l’aspect communautaire. Grâce à ses partenaires, le site apporte un
complément d’informations à propos de chaque lieu, aussi bien sur son histoire que sur ses coordonnées. Parmi les contributeurs on
retrouve ainsi la Mairie de Paris, Allociné, Expedia.fr, Evene.fr, Le Figaroscope, Fnac.com, Les PagesJaunes, Qype et Relaxnews.
Il est donc possible de connaitre la programmation d’un cinéma, de réserver une chambre d’hôtel, ou encore de consulter les avis à
propos d’un restaurant ou d’un café. Tous les lieux ne bénéficient pas pour l’instant de ces fonctionnalités, mais ce projet pourrait
rapidement faire de l’ombre au géant américain en enrichissant sa base de données.
Par ailleurs, Urban Dive mise sur le partage et sur l’aspect communautaire. Puisqu’il est possible de créer des lieux et d’y ajouter des
messages personnels et également de joindre la photo d’un lieu dans un e-mail.
Urban Dive devrait progressivement s’inviter dans plusieurs grandes villes de France, les photos sont en cours de collecte. Mais il est
possible de demander, comme sur Google Street View, le brouillage d’un visage d’une plaque d’immatriculation et même de son domicile.
Yahoo se lance à son tour dans la recherche instantanée
http://www.itespresso.fr/yahoo-se-lance-son-tour-recherche-instantanee-41963.html
Si Yahoo continue d’utiliser les technologies de Microsoft Bing sur son moteur de recherche, il vient tout de même de
lancer sa fonctionnalité de recherche instantanée Search Direct.
Yahoo a encore quelques ressources dans le domaine de la recherche en ligne, malgré l’accord technologique et commercial signé avec
Microsoft (Bing) à l’été 2009. Pour répliquer à Google et à son outil de recherche rapide Google Instant, la firme de Sunnyvale vient de
mettre à disposition des internautes sa fonctionnalité Yahoo Search Direct. Intégrée au moteur de recherche de Yahoo, qui affiche des
résultats issus du moteur Bing via la mention « Powered by Bing », cette fonctionnalité de recherche instantanée permet d’afficher des
suggestions de réponses lors que l’on tape la requête dans le champ moteur. Les réponses arrivent ainsi plus rapidement sur l’écran.
Ces suggestions de résultats s’affichent dans une fenêtre pop up et se complètent au fur et à mesure de l’avancée de la requête
exprimée dans la barre de recherche par l’internaute. Dans un premier temps, Yahoo Search Direct sera mis en place sur la version
américaine du moteur de recherche, avant d’être déployé dans le reste du monde dans le courant de l’année.
Selon la firme de Sunnyvale, l’ajout de cette nouvelle fonctionnalité de recherche devrait lui permettre de trouver des annonceurs pour
leur proposer de nouveaux formats de publicité. Car même si Yahoo utilise les technologies de Bing sur son moteur de recherche, il ne
compte pas se laisser distancer sur ce secteur, même si c’est loin d’être gagné. En effet, selon le cabinet ComScore, la part de marché de
Yahoo sur le secteur des moteurs de recherche est passée de plus de 20% en mars 2009 à seulement 16,1% en février 2011.
Apple pourrait dépasser HP et IBM d'ici deux ans, selon Forrester
http://www.zdnet.fr/actualites/apple-pourrait-depasser-hp-et-ibm-d-ici-deux-ans-selon-forrester-39759409.htm
Le P-DG de Forrester prédit que les ventes d'Apple vont croître de 50% par an durant les deux prochaines années. De
son côté, IDC estime qu’Apple conserverait entre 70 et 80% du marché des tablettes avec l’iPad 2 qui sort en Europe.
Si l'on en croit George Colony, le fondateur et P-DG de Forrester, Apple n'a pas fini de "grandir", loin s'en faut. « Ils vont être plus grand
qu'IBM l'année prochaine, et ils seront plus grands qu'HP l'année d'après », a-t-il déclaré à Bloomberg.
Colony pense que les ventes d'Apple pourraient continuer de croître de 50% par an au cours des 2 prochaines années. À ce rythme, la
la pomme pourrait atteindre les $200 Bn de CA. Apple est déjà devant HP et IBM en termes de capitalisation boursière (avec $317,8 Bn).
Un plan de continuité prévu en cas de départ de Steve Jobs
Pour le P-DG de Forrester, la plus grosse difficulté à laquelle l'entreprise pourrait avoir à faire face est le départ de Steve Jobs. Mais il
pense qu'Apple a constitué une stratégie produit qui devrait lui permettre de tenir 3 à 4 ans s'il venait à partir pour raison de santé.
D'après les prévisions d'analystes consultés par Bloomberg, les ventes d'Apple pourraient croître de 54% sur l'année fiscale en cours qui
se termine en septembre. L'iPad 2 qui sort aujourd'hui dans 25 pays dont la France, devrait largement contribuer à ce succès.
Des tablettes Android Honeycomb surpuissantes chez Archos en juin
http://www.01net.com/editorial/530588/des-tablettes-android-honeycomb-surpuissantes-chez-archos-en-juin/
Le fabricant français Archos proposera ses Gen 9, des tablettes avec processeur double cœur cadencé à 1,6 GHz et
connectivité 3G pour le mois de juin.
Lors d'une conférence pour les analystes financiers, Archos a donné un bref aperçu de sa nouvelle gamme de tablettes, Gen 9 (neuvième
génération), dont les premiers modèles arriveront au mois de juin. L'information a filtré sur plusieurs sites ces derniers jours. Des
tablettes équipées d’un processeur particulièrement puissant, un double cœur ARM A9 cadencé à 1,6 GHz. Pour l’instant, seule
l'iPad 2 est équipée d’un processeur double cœur à plus de 1 GHz (soit une puce Apple A5 à 1,2 GHz).
Archos affirme que ses tablettes seront dotées d’un boîtier fin et solide, intégrant un vrai disque dur magnétique. Une solution qui
permettra d’offrir jusqu’à 250 Go de capacité de stockage au prix de 32 Go de mémoire flash. Ces tablettes tourneront avec la
dernière version d’Android, la 3.0 (Honeycomb), spécifiquement destinée aux tablettes. Autre nouveauté, ces tablettes pourront intégrer
un modem 3G, ce qui pourrait donner le droit au fabricant français d’inclure Android Market, le magasin d’applications de Google. En
attendant, les Gen 9 peuvent toujours compter sur le propre magasin d'Archos, AppsLib, déjà bien fourni en logiciels pour Android.
Projets IT : IBM Business Analytics séduit les supermarchés PriceChopper aux Etats-Unis
http://www.lemagit.fr/article/ibm-decisionnel/8393/1/projets-ibm-business-analytics-seduit-les-supermarches-pricechopper-aux-etats-unis/
Succès important pour l’offre Business Analytics d’IBM aux Etats-Unis dans le secteur de la grande distribution avec le choix par Price
Chopper, l’une des plus grandes chaînes de supermarchés et de pharmacies du Nord Est des Etats-Unis, d’utiliser Netezza pour obtenir
une meilleure compréhension des comportements d’achat de ses consommateurs. La plate-forme – issue de l’un des nombreux rachats
de Big Blue dans cette branche - aide Price Chopper à analyser les données issues de ses ventes, du merchandising, de sa chaine
logistique et de son système d’inventaire.
Vers une spéculation sur les adresses IPv4 ? Peut-être, à cause de Nortel et Microsoft...
http://www.zdnet.fr/blogs/infra-net/vers-une-speculation-sur-les-adresses-ipv4-peut-etre-a-cause-de-nortel-et-microsoft-39759420.htm
Nortel, équipementier canadien en liquidation judiciaire, a vendu à Microsoft un bloc de 666 624 adresses pour un
montant de $7,5 M. Va-t-on vers une spéculation sur les adresses IPv4 ? Peut-être...
Nortel, l'équipementier télécoms canadien, a été placé en faillite il y a plus de 2 ans et se trouve depuis engagé dans un long processus
de liquidation. Les administrateurs chargé de valoriser au mieux ses actifs ont découvert que, du fait des nombreux rachats d'entreprises
effectuées durant son histoire, Nortel possédait des blocs d'adresses IPv4 inutilisés. Ils ont donc décidé de les proposer à la vente. Plus
de 80 offres auraient été reçues de la part d'acquéreurs potentiels, et c'est finalement Microsoft qui s'en est finalement porté acquéreur.
A ceux qui s'étonneraient de cette transaction, dans la mesure où les adresses IP sont « allouées » et non pas « vendues » par les RIR
au terme d'un contrat qui en limite l'usage, on peut expliquer que leurs détenteurs d'origine, ont probablement obtenu ces adresses à
une époque lointaine où il n'y avait pas encore de contrat formalisé, ni même de RIR constitués... de sorte que, si une instance comme
l'IANA ou l'ICANN voulait faire annuler cette transaction, elle ne serait pas en bonne position face aux avocats de Microsoft et de Nortel.
Cette cession fixe un premier « cours de référence », pour parler le langage de la bourse : l'acquisition de 666 624 adresses s'étant faite
pour un montant de $7,5 M, l'adresse IP vaut 11,25 $. Pour ceux d'entre vous qui auraient de gros blocs d'adresses IP
inutilisés, et à qui cette opération a donné des idées, sachez que cela représente une valorisation de €8 par adresse IPv4.
Il est encore un peu tôt pour savoir ce qui va se passer, pour autant je m'attends à ce que d'autres transactions de ce
genre aient lieu, et je pense que le cours de l'adresse IPv4 ne baissera pas…
Google sort déjà une bêta 12 de Chrome
http://www.cnetfrance.fr/news/google-sort-deja-une-beta-12-de-chrome-39759444.htm
Il s’agit de la version de développement du navigateur de Google qui intègre notamment une nouvelle fonction
permettant d’agir sur plusieurs onglets à la fois.
Quelques jours après la sortie de Chrome 10, Google sortait une version bêta 11 de son navigateur. C’était la semaine dernière et
on pensait qu’avec ça, le géant de l’Internet avait de quoi occuper les utilisateurs de Chrome pour quelques semaines. C’était sans
compter sur la branche de développement (Dev Channel) de son logiciel, qui met déjà à disposition des plus aventureux sa bêta 12.
Sa disponibilité pour Windows, Mac OS et Linux à la fois prouve qu’il s’agit d’une version déjà bien avancée. Par rapport à Chrome 10 et
Chrome 11 bêta, cette Chrome 12 bêta corrige quelques bugs et procède à un nettoyage du code. Mais surtout, elle inaugure une
nouvelle fonction : la sélection multiple d’onglets. Cela permet, lorsque plusieurs onglets sont ouverts, d’en sélectionner un certain
nombre (mais pas tous) à la souris et de leur appliquer une action commune, par exemple la recharge du contenu.
La version Mac OS reçoit quant à elle deux améliorations supplémentaires : une barre de favoris animée et le déplacement de l’option
de confirmation pour quitter le navigateur dans le menu de réglage.
Cette version 12 est encore en développement et qu’elle n’est donc pas conseillée pour un usage au quotidien.
Google avance avec Mastercard et Citigroup sur le dossier NFC
http://www.cnetfrance.fr/news/google-avance-avec-mastercard-et-citigroup-sur-le-dossier-nfc-39759446.htm
D’après le Wall Street Journal, Google mène actuellement des tests de paiement sans contact NFC avec les groupes
bancaires Mastercard et Citygroup. Google déposerait aussi actuellement plusieurs brevets concernant un système de
transaction commerciale allant de l’enregistrement des achats à leur paiement.
Google avance sur le dossier du paiement par NFC (Near Field Communication) et pour cela aurait fait alliance avec deux mastodontes du
secteur financier, la société de cartes de crédit Mastercard et la banque Citigroup, rapporte le Wall Street Journal. Les trois firmes
mènent ensemble des tests de paiement via mobile et, d’après le quotidien, pourraient lancer commercialement leur système dès
cette année. Dans le même temps, Google dépose aussi de nombreux brevets concernant un système de vérification des achats, allant
du listing des emplettes à leurs paiements. Plus besoin de scanner ou de cartes de crédit, votre mobile devra s’occuper de tout.
En France, des expérimentations autours des technologies NFC ont déjà été lancées dans la région niçoise en 2010 et des
constructeurs comme Sagem, Samsung avec le Nexus S ou Nokia proposent déjà des téléphones équipés de puces NFC. Google a
également implanté le support de cette technologie dansAndroid.
LibreOffice bientôt disponible sous Android ?
http://www.silicon.fr/libreoffice-bientot-disponible-sous-android-48489.html
Les étudiants du GSoC qui opteront pour LibreOffice auront l’opportunité de travailler sur plusieurs projets, dont un
portage de l’application sous Android.
Le Google Summer of Code 2011 (GSoC 2011) est en cours d’organisation. Il permettra à des étudiants œuvrant dans le secteur de la
programmation d’être payés pour travailler cet été sur divers projets open source. La suite bureautique LibreOffice a – fort
logiquement – été sélectionnée par le géant de la recherche Internet. Les responsables de la Document Foundation viennent de
mettre en ligne des idées de projets pour le GSoC 2011.
Portabilité… Un d’entre eux a retenu notre attention ; l’adaptation du logiciel à la plate-forme mobile Android. La présence d’une suite
bureautique sur un smartphone n’a guère de sens (les visionneuses livrées sur l’Android Market, dont certaines sont gratuites, seront ici
largement suffisantes). Android est toutefois également employé sur des tablettes et des ultraportables. L’absence d’une suite
bureautique sur de tels produits est bien plus gênante. L’idée d’une adaptation de LibreOffice prend donc ici tout son sens. En fait, sa
mise au point ne sera pas très complexe : Android accepte du code natif en C/C++ et LibreOffice dispose d’un frontend spécifique, où
l’application gère elle-même l’affichage des composants graphiques.
Les responsables de la Document Foundation suggèrent d’utiliser ce même procédé dans le cadre d’un second projet, qui consistera à
déporter l’affichage de LibreOffice sur un navigateur web (l’application s’exécutant alors sur un serveur).
The first great Android Tablet: Nook Color
http://www.zdnet.com/blog/open-source/the-first-great-android-tablet-nook-color/8570?tag=nl.e539
Let’s get real. There are only two great tablets out there today: Apple’s iPad and the iPad 2.Android has always
had the potential to be a wonderful tablet operating system,, but most Android tablets have been non-starters
and, even the best of them, the Samsung Galaxy Tab aren’t as good as an iPad. But, the iPad may soon have a
serious Android opponent: Barnes & Noble’s Nook Color.
I know what you’re thinking: The Nook Color!? It’s an e-reader, sure you can root the Nook Color into being a full
scale Android tablet, but you don’t want to hack my e-reader and void my warranty just to get a cheap tablet that
might, or might not, work.
Who said anything about rooting it? While rooting a Nook Color is quite easy–watch huskermania’s YouTube video
on how to do it if you don’t believe me–Barnes & Noble will be upgrading the Color Nook to being a real Android
tablet in mid-April. In its press release, the book store giant states only that, “NOOK Color will get even better this
Spring when a major update to the device’s firmware will offer customers access to explore exciting new
applications, e-mail and many other requested features.” The Color Nook will be upgraded from Android 2.1 to
Android 2.2 (Froyo), be given Flash video support, and have its own version of the Google Android Apps Market.
As reported by ZDNet’s sister network, CNET, the Home Shopping Network, of all places, has been advertising the Color Nook’s
forthcoming firmware upgrade. This news comes as no surprise. I’ve been predicting that it was only a matter of time before the Android
Linux-based e-readers, like the Nook and Android’s Kindle, were upgraded into tablets.
Now you may be thinking, sure the Nook Color is nice, but how can it compete with an iPad? It only has a 7″ display, 8GBs of internal
storage, a micro-SD card slot for up to 32GBs of additional storage, 802.11 b/g/n Wi-Fi, and an 800MHz ARM Cortex A8-processor. You’re
right, that’s smaller and slower than an iPad and a good deal slower than an iPad 2.
So what? Here’s the important point: You can pick up a new Nook Color for $249. The cheapest new iPad2? $499.
I’ve said it before, I’ll say it again, Apple is the Mercedes-Benz, the Rolls-Royce, of computing hardware. That’s fine, but it still leaves lots
of room for the mid and low-end market users and now, with this update to the Nook Color coming down the road we’re finally going to
have a compelling, inexpensive Android tablet for the Toyota or Ford “drivers.”
Tabula raises $108M, in largest round “in a decade” for a chip company
http://venturebeat.com/2011/03/27/tabula-108m-largest-chip/
Chip company Tabula, which has developed a semiconductor architecture that it boasts gives it a significant advantage over competitors,
has just announced one of the largest rounds in a decade for a chip company. It has raised $108 million in a fourth round of funding,
from venture capital firms including DAG, Benchmark, Greylock, NEA and Crosslink. The company makes programmable chips that it says
can support almost any electronic device, from HDTVs, to MRI machines to Internet routers.
The company says its competitors Altera and Xilinx serve a $5 billion market. But it says it can create programmable logic devices for
$200, compared to a cost of more than $1,000 offered by these competitors (and as Georgi points out in the comments below, Tabula
has apparently poached key people from those competitors). The company boasts a “3D chip architecture” that is called Spacetime, with
“time” being the third dimension of the 3D architecture. Heady stuff. Tabula’s product has between “2x to 4x the advantages over 40nm
Xilinx and Altera high-end FPGAs and will target the sweet spot of the communications infrastructure market (Cisco, Alcatel, Juniper,
Huawei, Etc.),” the company said in a statement. The company, based in the heart of Silicon Valley, where silicon-based chip companies
have traditionally been based (Santa Clara, Calif.), has now raised a total of $214 M.
The company says it was able to raise such a large round because programmable logic device (PLD) chips are the most profitable sector
in the semiconductor market, with gross margins of 65 %. It says it can take market share from ASIC suppliers such as IBM and NEC and
ASSP suppliers like Broadcom and Marvell, which it says account for a “$105 billion opportunity.”
The company cites data from the Global Semiconductor Alliance to claim the round is the largest in a decade,however the WSJ reports
calls its bluff, noting that one chip company, Cortina Systems, raised $132 million in 2006. (Update: Tabula responds by saying Cortina
was a “special case as they raised capital to fund a $100M purchase of the Intel optical components business.”)
The company also announced that Cisco Systems is a customer.
Google préparerait un service de musique en ligne
http://hightech.nouvelobs.com/actualites/depeche/20110328.OBS0394/google-preparerait-un-service-de-musique-en-ligne.html
Le géant testerait un concurrent de l'iTunes d'Apple, permettant d'acheter et d'écouter ses morceaux en mobilité, selon Cnet.
Google testerait auprès de ses employés un futur service de musique en ligne, rapporte Cnet le 28 mars.
Baptisé "Google Music", ce service permettrait d'acheter de la musique, mais aussi de stocker ses propres morceauxsur un espace en
ligne afin d'y accéder en streaming depuis n'importe quel appareil connecté.
Ce concurrent de l'iTunes d'Apple serait "finalisé", et il ne resterait plus qu'à négocier les conditions avec les ayants droit.
"Music" pourrait être dévoilé en mai prochain, estime Cnet, à l'occasion de la conférence I/O de Google pour les développeurs.
Contacté par Nouvelobs.com, Google ne fait "aucun commentaire" sur "une rumeur qui traîne depuis plusieurs mois". En 2009, des
rumeurs faisaient déjà d'un futur service de streaming made in Google.
€72 pour fabriquer une Nintendo 3DS, €239 pour un iPad 2
http://hightech.nouvelobs.com/actualites/depeche/20110328.OBS0390/72-euros-pour-fabriquer-une-nintendo-3ds-239-euros-pour-un-ipad-2.html
Les coûts de fabrication des deux gadgets high-tech dernier cri sont bien loin de leur prix de vente.
€72 pour une Nintendo 3DS, €239 pour un iPad 2... Ce sont les coûts de fabrication des deux gadgets high-tech, sortis vendredi 25
mars, pour des prix de ventes respectifs de €249 et €711. Ainsi, la 3DS coûterait environ €72 euros à Nintendo pour l'élaboration du
système et la fabrication, selon une estimation de TechInsights UBM pour le site Eurogarmer. Un prix auquel il convient d'ajouter "le
marketing, l'emballage et la distribution", précise le site sans chiffrer ces coûts. Selon une source anonyme d'Eurogamer, les revendeurs
achèteraient la console environ €194, pour un prix de vente final de €249.
De son côté, la version 32 Go Wi-Fi + 3G de l'iPad 2 coûterait environ €239 euros à Apple, pour un prix de vente de €711, selon le
cabinet IHS iSuppli, cité par eWeek. En comparaison, l'iPad 1 coûtait €227 à fabriquer, tandis que l'iPhone 4 revient à €152.
L'app store Android d'Amazon se dote de fonctions exclusives
http://www.businessmobile.fr/actualites/l-app-store-android-d-amazon-se-dote-de-fonctions-exclusives-39759456.htm#xtor=EPR-10010
Il sera en effet possible de tester une application sur son ordinateur avant de la télécharger et/ou de la payer. Malin.
Amazon entend bien différencier Amazon Appstore, sa boutique d'applications pour Android de celle de Google (Android Market). On
savait déjà que ce service lancé par le géant américain du commerce en ligne allait proposer des contenus exclusifs.
Ainsi, la prochaine version du jeu Angry Birds RIO sera disponible en exclusivité sur l'Amazon Appstore. Par ailleurs, si la plupart des
applications proposés sont aussi disponibles sur l'Android Market, sur certains outils et programmes, Amazon parvient à être moins cher
(Scan2PDF Mobile 2.0 proposé à €3,99 contre €6,44 sur l'Android Market).
On retiendra aussi que chaque jour, une application habituellement payante sera offerte gratuitement sur la plate-forme du cybercommerçant. Mais Amazon entend aller plus loin. Il sera également possible de tester certaines applications avant de la télécharger ou
de l'acheter, à travers la fonction 'Test Drive Now'. Ce test, limité à 30 minutes, est rendu possible grâce à l'infrastructure cloud
d'Amazon et à l'utilisation d'une machine virtuelle Android qui permet de reproduire sur son écran l'OS..
Rappelons que la boutique d'Amazon est pour le moment réservée aux utilisateurs américains d'Android. Rappelons également qu'Apple a
déposé une plainte le 18 mars auprès d'un tribunal californien contre Amazon pour contrefaçon de marque et concurrence déloyale.
En jeu, le terme App Store dont Apple a déposé la marque depuis 2008 et qu'Amazon emploie pour son portail dédié aux développeurs
d'applications Android ainsi que pour son « Amazon Appstore ».
La firme de Cupertino demande à la justice d'interdire à Amazon d'utiliser ce terme et réclame des dommages et intérêts
Facebook ouvre son service Questions à tous
http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-facebook-ouvre-son-service-questions-a-tous-3761.html
Facebook Questions permet aux utilisateurs du réseau social créé par Mark Zuckerberg de poser des questions et de
créer des sondages pour connaître les opinions de leurs amis.
« Les amis sont souvent ceux qui donnent les meilleurs conseils lorsqu'on se pose la question de savoir où aller au restaurant, comment
on achète une voiture ou quel groupe de musique on devrait écouter. Vos amis connaissent vos goûts et vous leur faites confiance »,
relève Adrian Graham, manager en charge de Facebook Questions, dans un billet de blog daté du 24 mars.
Mais Facebook Questions ne se limitera pas à demander leur opinion à vos amis. La question posée apparaîtra sur le mur de vos amis et
s'ils y répondent, leurs amis pourront aussi la voir et y répondre à leur tour.
Une réponse à Quora Facebook avait testé une première mouture de Questions en juillet 2010, mais, d'après le blog TechCrunch,
l'application n'avait pas « rencontré le succès ». Cette version adoptait le même principe que celui du site Quora où l'on peut poser des
questions aux autres utilisateurs et rechercher une question parmi une liste de sujets. Sur le site, des experts donnent également leurs
conseils. Facebook a choisi cette fois-ci de se concentrer sur le cercle d'amis des utilisateurs. La fonctionnalité Questions sera bientôt
disponible sur tous les profils, mais on peut aussi l'activer manuellement en se rendant sur https://www.facebook.com/questions.
Google pourrait dégainer une tablette Nexus durant l’été
http://www.gizmodo.fr/2011/03/28/google-pourrait-degainer-une-tablette-nexus-durant-lete.html
Où l’on reparle du prolixe mais souvent très bien informé blogueur russe Eldar Murtazin.
C’est d’ailleurs plutôt lui qui parle et révèle que LG travaillerait main dans la main
avec Google à l’élaboration d’une tablette Android 3.0 sous la marque Google.
Google a développé l’OS Android et le succès a été au rendez-vous en très peu de temps.
Mais Google a aussi proposé deux smartphones Android, le Nexus One puis le Nexus S.
Quoi de plus logique donc que d’avoir sa tablette sous son propre OS.
La tablette Nexus (elle pourrait logiquement porter ce nom) sortirait durant l’été ou bien
au début de l’automne. Elle pourrait être vendue directement par Google sans passer par
les opérateurs (à la manière du Nexus One).
LG tient déjà sa propre tablette Honeycomb avec l’Optimus Pad. La Nexus pourrait donc
s’en inspirer. Rappelons que l’Optimus Pad embarque un SoC Tegra 2 (base officieuse pour
Honeycomb) avec CPU dual core, un écran de 8.9″ et deux APN synchronisés pour la 3D.
Acer bridges gap between laptops, tablet PCs with dual touch-screen Iconia-6120
http://www.zdnet.com/blog/computers/acer-bridges-gap-between-laptops-tablet-pcs-with-dual-touch-screen-iconia-6120/5341?tag=nl.e539
We’ve known about Acer’s Iconia portable device for a while now, but the
company has finally announced specs, pricing, and availability for the dual
touch-screen tablet. Known officially as the Iconia-6120 Dual-Screen Touchbook,
it combines a pair of 14-inch LED-backlit LCD screens and layers a unique
interface over Windows 7. While Acer refers to the Iconia as a tablet, its specs
resemble those of a more traditional laptop, including an Intel Core i5 processor,
4GB of RAM, and a 640GB hard drive. With its 14-inch displays, it also weighs
nearly six pounds, so it’s far bulkier than any tablet PC out there.
Then again, the Iconia puts that second screen to work as either a virtual
keyboard, an extension of the top screen (so you can span a Web page or
document across the two LCDs), or a secondary screen that displays something
different than the top LCD. Acer provides what it calls a “Ring Control Interface”
that gives you easy access to your applications and Web sites through touch
gestures and “AppCards,” which let you log into Flickr, Facebook, and YouTube simultaneously (why no Twitter?) or collect Web clippings
and content that’s updated whenever you open it. Given all this, it shouldn’t come as a surprise that the Iconia is priced more like a
laptop than a tablet, though it doesn’t come with an astronomical price tag: It’s available in April for $1,199.99. Is that the right price for
an innovative device that could either pave the road for future laptop design or be an interesting dead end?
Violation de brevets : Kodak marque des points contre Apple et RIM
http://www.zdnet.fr/actualites/violation-de-brevets-kodak-marque-des-points-contre-apple-et-rim-39759433.htm#xtor=EPR-100
L’International Trade Commission a accepté d’examiner le dossier dans lequel Kodak accuse Apple et RIM d'enfreindre
des brevets liés à la prévisualisation des images.
Kodak vient d'obtenir une victoire importante dans la bataille qui l'oppose àApple et RIM. L'International Trade Commission (ITC) a
accepté d'examiner sa plainte pour violation de brevets. En janvier dernier, un juge de l'ITC avait invalidé la plainte de Kodak dans un
avis préliminaire. L'entreprise avait saisi l'instance un an auparavant en accusant Apple et RIM d'enfreindre plusieurs de ses brevets,
avec des fonctions de prévisualisation des images utilisées par tous leurs modèles de mobiles.
Kodak estime pouvoir obtenir plus de $1 Bn Si l'ITC n'a pas le pouvoir d'imposer des sanctions financières, elle peut décréter des
interdictions d'importation des produits. Une perspective qui obligerait Apple et RIM à négocier avec Kodak qui estime pouvoir obtenir
plus de $1 Bn en royalties. Un scénario identique s'est déjà produit avec LG et Samsung qui après avoir été jugés responsables par
l'ITC avaient accepté de verser respectivement $414 et $550 M à Kodak.
Condor, le supercalculateur PS3, fonctionne
http://www.presence-pc.com/actualite/condor-playstation3-43070/
Si le Cell était prévu pour contenir 8 SPE, seuls 7 sont disponibles réellement dans les versions vendues, Sony ayant voulu obtenir des
rendements élevés et donc un SPE défectueux est devenu « acceptable ». Sous Linux ou l’OS d'origine, seuls 6 SPE sont accessibles.
Zoom Le Condor, un nouveau supercalculateur, fonctionne. Pourquoi en parler ? Parce qu'il ne contient ni Xeon, ni Itanium ou SPARC
mais bien... des processeurs Cell. Et pas ceux qu'IBM utilise dans certains de ses serveurs, ceux que Sony utilise dans ses consoles. En
effet, le Condor, déployé par l'US Air Force, est composé de 1 716 PlayStation 3.
Le cluster fonctionne sous Linux, ce qui était permis avec les anciens modèles de PlayStation 3, et tout l'intérêt vient des SPE du
processeur : chaque processeur contient six de ces DSP programmables et l'ensemble du cluster dispose donc de plus de 10 000 SPE
disponibles pour 500 téraflops de puissance de calcul. Pour traiter des images très rapidement, les SPE du Cell sont très efficaces et
permettent d'obtenir des résultats remarquables pour un coût assez faible, environ $2,5 M pour le cluster.
Google fait la nique à Oracle en embauchant James Gosling
http://pro.01net.com/editorial/530762/google-fait-la-nique-a-oracle-en-embauchant-james-gosling/
Un an après avoir quitté Oracle, James Gosling, le créateur de Java, rejoint Google. La firme de Mountain View est
toujours sous le coup d’une poursuite judiciaire concernant l’utilisation de Java dans Android.
Dans un billet sur son blog, James Gosling a annoncé hier qu’il rejoignait Google : « J’ai eu du mal à dire non à tout un tas
d’excellentes opportunités. C’est un peu bizarre de prendre cette fois-ci une route plus fréquentée, mais ça me semble fun, avec un
énorme effet de levier. Je ne sais pas sur quoi je vais travailler, peut-être sur un peu de tout. »
En 1984, James Gosling travaille chez Sun Microsystems. Il y crée le langage Java en 1994. Quelques mois après le rachat en janvier
2010 de Sun par Oracle, il démissionne, laissant sous-entendre un profond désaccord avec la firme de Larry Ellison. « Tout ce que je
pourrais dire de juste et d’honnête ferait plus de mal que de bien », déclare-t-il sur son blog.
Lorsqu’en août 2010, Oracle attaque Google pour son utilisation de Java dans la machine virtuelle d’Android, cela n’étonne pas Gosling,
comme il l’explique dans un billet au titre sans équivoque The shit finally hits the fan... (La merde frappe finalement le ventilateur).
L’embauche de James Gosling par Google est un pied de nez à Larry Ellison, que Gosling traite de « Prince des Ténèbres ».
Le rôle de Gosling chez Google Gosling jouera-t-il un rôle dans le procès qui oppose Google à Oracle ? Etre l’inventeur d’une
technologie et en être le propriétaire sont deux choses bien différentes. En revanche, Gosling est au courant des arrangements et des
petits secrets échangés par Sun et Oracle, ce qui pourrait aider la stratégie de défense de Google. En tous cas, pour ce dernier, c'est idéal
d’avoir comme expert technique Java le concepteur même du langage.
Il est plus probable que Gosling fera avancer la technologie Java. Google reste l’acteur le plus actif et le plus innovant dans le monde
Java, que ce soit dans le cloud avec Google App Engine for Java, dans le mobile avec Android, dans le RIA avec GWTou encore dans la
simplification du langage avec Noop, moult domaines dans lesquels Sun-Oracle n’a jamais réussi à s’imposer.
L’arrivée de Gosling arrive à point pour redonner un coup de fouet à Java, alors que la communauté Java reste encore dans l’expectative
quant à son avenir. Cela promet de beaux développements du côté de chez Google.
Poubelles 2.0 à La Rochelle avec les conteneurs à puce électronique de Citec Environnement
http://www.smartplanet.fr/smart-business/poubelles-2-0-a-la-rochelle-avec-les-conteneurs-a-puce-electronique-de-citec-environnement-1732/
Citec Environnement a remporté l’appel d’offres de la communauté d’agglomération de La Rochelle et va équiper ses 18
communes en conteneurs à déchets, qui pourront comptabiliser les ramassages et le poids collecté. Ces poubelles haut
de gamme équipées d’une puce électronique représentent un marché de €4 M.
La communauté d’agglomération de La Rochelle (Charente-Maritime), qui réunit 18 communes et 146.000 habitants, a choisi après un
appel d’offres Citec Environnement pour équiper de 110.000 conteneurs, avec puces électroniques, les communes. Ce partenariat de plus
de 4 millions d’euros a été conclu pour quatre ans. La période d’enquête et de distribution ira jusqu’à la fin de 2012.
Citec Environnement a deux usines pour fabriquer ses produits, destinés à la pré-collecte des déchets pour les collectivités locales et les
entreprises, et 14 agences. L’entreprise distille du numérique dans ses produits et services, en y intégrant la gestion de base de données,
la géolocalisation et l’identification électronique. Ses enquêteurs dans l’agglomération rochelaise seront munis d’une tablette numérique
interfacée au logiciel Ci-Web de Citec Environnement. La communauté d’agglomération et le chef d’équipe peuvent suivre en temps réels
l’avancée des équipes sur le terrain, souligne l’entreprise.
Des conteneurs « à puce » pour chaque foyer A terme, chaque foyer sera doté d’un bac destiné aux déchets ménagers résiduels et
d’un bac pour la collecte sélective des emballages. Chaque conteneur sera équipé d’une puce électronique.
La puce électronique installée sur chaque bac roulant permet d’identifier le foyer auquel la poubelle high tech a été remise. D’autre part,
elle permet de lui rattacher des informations. Les lois Grenelle Environnement 1 et 2demandent aux collectivités de mettre en place une
tarification incitative, poussant les gens à produire moins de déchets et à trier plus, rappelle Citec Environnement. L’incitation tiendra
dans une facturation en partie variable pour la collecte – ce qui (voir ci-dessous) n’est pas ou pas encore décidé à La Rochelle.
Lors de la tournée des camions ramasseurs, équipés d’un système de pesée embarquée et d’une antenne d’identification, le camion va
lire la puce et donc identifier le foyer. Il comptabilisera une levée, ou le poids des déchets, le tout aboutissant en fin de tournée à un
fichier de données transmis à Citec Environnement, qui le transfère vers son logiciel de gestion de base de données Ci-Web.
« Une gestion plus durable de nos déchets » L’entreprise note que la puce électronique « est une technologie incontournable dans
la mise en œuvre de la tarification incitative dès lors que les conteneurs concernés sont des bacs roulants. Dans ce cadre, elle se révèle
donc être une technologie au service d’une gestion plus durable de nos déchets. »
Elle fait cependant remarquer que « la communauté d’agglomération de La Rochelle a fait le choix de mettre en place des puces
électroniques mais n’a pas, pour autant et à ce jour, exprimé le projet de mettre en place la tarification incitative. »
Disons qu’elle en aura les moyens dès qu’elle souhaitera la mettre en œuvre. On retrouve au passage ici une question récurrente avec
l’informatisation croissante de la vie quotidienne: à qui appartiennent ensuite les données et pour quels usages?
BlackBerry Desktop Manager 6.1 en approche
http://www.businessmobile.fr/actualites/blackberry-desktop-manager-61-en-approche-39759473.htm#xtor=EPR-8
La nouvelle version du logiciel de synchronisation des terminaux RIM pourrait arriver sous peu. Elle préfigure la sortie de
nouveaux modèles.
Le site Boy Genius Report s'est procuré les premières captures d'écran du BlackBerry Desktop Manager 6.1, le logiciel de
synchronisation et de gestion des smartphones canadiens. À en juger par les premières informations, cette nouvelle mouture ne va pas
apporter un grand nombre de nouveautés.
Nouveaux modèles On note par exemple la présence d'une option qui lance automatiquement le logiciel lorsque l'on connecte un
terminal. L'existence de ce BlackBerry Desktop Manager 6.1 prouve en tout cas que la sortie des nouveaux modèles se rapproche.
Selon les fuites largement documentées et non démenties, on devrait voir apparaître un Torch 2 avec un processeur plus puissant, un
nouveau Curve ainsi qu'un Bold avec clavier physique et écran tactile. Ils seront tous dotés de puces NFC et de BlackBerry OS 6.1.
2011 - Maturité et gouvernance de l'Open Source : la vision des grandes entreprises
http://www.cigref.fr/cigref_publications/2011/03/maturite-gouvernance-open-source-vision-grandes-entreprises.html
Le niveau de maturité des entreprises vis-à-vis de l’Open Source a beaucoup évolué ces deux dernières années. Les conséquences
économiques de la crise, l’évolution des relations DSI-Métiers de l’entreprise, celle des stratégies des acteurs du marché IT ont participé à
cette prise de conscience des enjeux et des possibilités de l’Open Source. Avant, il fallait convaincre que l’Open Source n’était pas une «
sous-solution ». Aujourd’hui il faut justifier sa non-prise en compte. Le groupe de travail s’est donc intéressé à :
• la gouvernance de l’Open Source,
• la migration des entreprises vers Open Office,
• la perception de la maturité de l’Open Source dans les grandes entreprises.
Une gouvernance particulière pour l’Open Source ?
Plusieurs entreprises membres du CIGREF ont mis en place une gouvernance propre
à l’Open Source, d’autres ont identifié et intégré dans leurs gouvernances SI
existantes, des éléments propres à l’Open Source.
Processus concernés par l'Open Source voir schéma.
Ces éléments de gouvernance s’appliquent à toute la chaine de la gestion des
projets : dans les phases techniques et opérationnelles du projet, mais aussi dans les
phases amont (définition, achats, gestion des talents), ainsi que dans les phases
transverses et aval (support interne et/ou client).
Stratégie de déploiement d’Open Office Pour illustrer ces éléments de gouvernance, en s’appuyant sur les témoignages des grandes
entreprises membres, le CIGREF a exploré les différentes phases d’un projet de migration vers Open Office.
Perception de la maturité de l’Open Source par les grandes entreprises Aujourd’hui, seul l’écosystème IT s’exprime sur l’Open
Source, et sa vision en est essentiellement technologique. Les divergences et les incompréhensions sont nombreuses avec les utilisateurs
qui considèrent souvent qu’il faut décorréler le Business de l’usage des solutions Open Source.
Le CIGREF a enquêté sur la perception de la maturité des solutions Open Source par ses grandes entreprises membres. Au-delà de la
simple évaluation de la maturité technologique, il s’est intéressé à la maturité d’usage et à la maturité des moyens déployés dans
l’entreprise pour les projets Open Source.
Cette enquête tend à démontrer l’intérêt grandissant des entreprises pour l’Open Source : 270 outils testés ou mis en œuvre dans les
entreprises, répartis selon 13 familles de solutions. De plus, cette enquête met en évidence que l’intérêt des entreprises n’est pas
seulement tiré par la maturité technologique, mais également par la maturité d’usage, et celle des moyens.
Télécharger le rapport "Gouvernance et maturité de l'Open Source : la vision des Grandes Entreprises" [pdf, 2,8 Mo]
Avec m2o city, Orange et Veolia Eau veulent standardiser les réseaux de télé relève
http://www.lemagit.fr/article/m2m-m-m-orange-business-services-veolia/8420/1/avec-m2o-city-orange-veolia-eau-veulent-standardiser-les-reseaux-telereleve/
Orange Business Services et Veolia Eau ont annoncé la création de m2o city, un opérateur de télé relève de compteurs
d’eau à destination des collectivités territoriales. La co-entreprise entend également faire office de standard en matière
de réseau de télé relève et espère attirer des services tiers. Un moyen de faire passer le M2M dans l’ère de
l’industrialisation en France.
La télé relève est une application du M2M qui viendra démocratiser le concept, nous avait déclaré un responsable d’Orange Business
Services, à l’occasion du salon M2M 2010. Voilà aujourd’hui que cela se concrétise un peu plus : Orange et Veolia Eau ont décidé d’unir
leurs forces sur ce domaine et de créer ensemble m2o city, “un opérateur spécialisé dans la télérelève des compteurs d’eau et des
données environnementales”, expliquent les deux partenaires dans un communiqué.
Cette co-entreprise, “dont le métier est de financer, concevoir, exploiter et maintenir les infrastructures de télé relève pour les villes”,
comme le souligne Taisei Miura, Pdg de m2o city, entend ainsi proposer des solutions M2M clé en main associées à un réseau optimisé
pour la relève automatisée de compteurs, à destination des collectivités territoriales. Outre les compteurs d’eau, racontent les deux
associés, la solution vise également la collecte des données environnementales, notamment issues de capteurs disséminés dans une
municipalité. Ces capteurs peuvent par exemple mesurer la pollution, le trafic, le bruit, ou encore la lumière - pour y ajuster le degré de
luminosité souhaité. La télé relève de compteurs, électriques ou d’eau, est le gros projet en France qui doit démocratiser la notion de
M2M auprès du grand public. ERDF entend déployer un vaste parc de compteurs électriques intelligents dont l’objectif est de faciliter le
contrôle de la consommation électrique, tant par les organismes que par les consommateurs. Sur le terrain, le projet, Linky, soulève
encore quelques questions quant à son prix ou encore la gestion des données personnelles - question qu’a posé la Cnil en août 2010.
Faire émerger un standard de réseau de télé relève Pour les deux partenaires, m2o s’inscrit bien dans un passage du Machine-toMachine à “une échelle industrielle”. “L’un des enjeux pour M2o est d’industrialiser son offre”, commente d'ailleurs Taisei Miura, Pdg de
m2o. Orange et Veolia Eau entendent bien s'en servir de socle de base pour des services et des applications de fournisseurs tiers. La
société propose aujourd’hui des services portant sur le segment de l’eau, en essayant de capitaliser sur l’expérience de Veolia Eau en la
matière - le groupe opère déjà 200 000 télé relèves de compteurs d’eau. Taisei Miura parle alors de services comme l’historisation de la
consommation ou encore des systèmes d’alertes en cas de consommation anormale. Mais m2o prône également l’ouverture et parle
d’interopérabilité de services. Dans cette perspective, M2o city compte devenir la norme et “contribuer ainsi à faire émerger un standard
européen en matière de réseau de collecte de télé relève”, soulignent-ils. Orange Business Services est par ailleurs un acteur fortement
présent dans les organismes de standardisation liés au M2M - à l’image de l’Etsi (European Telecommunications Standards Institute) où
l’opérateur dirige les travaux du groupe de travail M2M, comme nous l’avait mentionné Anne-Marie Thiollet, directrice marketing M2M et
fixe chez Orange Business Services, à l’occasion de l’inauguration d’un centre international M2M à Bruxelles en mai 2009.
Le monde du libre renouvelle sa suite d’outils de compilation GCC
http://www.silicon.fr/le-monde-du-libre-renouvelle-sa-suite-d%E2%80%99outils-de-compilation-gcc-48518.html
Le GCC 4.6.0 propose un support de tous les prochains standards en termes de langages de programmation. Moderne, cette offre se veut
également rapide. Pilier du monde GNU, les outils de la suite GCC (GNU Compiler Collection) sont aujourd’hui utilisés pour compiler la
plupart des OS libres, ainsi qu’une multitude de logiciels.
Avec le GCC 4.6.0, un gros ménage a été effectué au sein des architectures processeur ou système jugées obsolètes. Un nouveau mode
d’optimisation–Ofast fait son entrée. Il permettra de créer des exécutables très rapides, au détriment d’un respect strict des standards.
Enfin, une libraire permettant le support des nombres flottants en quadruple précision est ajoutée à cet ensemble.
GCC 4.6.0 supporte les langages de programmation Ada, C, C++, Fortran, Java, Objective-C et – c’est une nouveauté – Go, l’offre
de nouvelle génération de Google. Le support de ces langages a été modernisé, avec une gestion préliminaire des standards (ou futurs
standards), Ada 2012, C1X (C), C++0x (C++), Fortran 2008 et Objective-C 2.0. Côté processeurs, chez ARM nous notons un support des
Cortex-M4, une meilleure gestion des Cortex-A9 et le support expérimental des Cortex-15. Les processeurs LEON (SPARC), z196
(mainframe IBM) et Loongson 3A (MIPS) sont également supportés par cette version du GCC.
Dernier point, le GCC 4.6.0 sera en mesure de créer des applications natives pour le système d’exploitation Android en utilisant la
librairie C Bionic. Une fonctionnalité qui facilitera le travail de ceux désirant adapter des logiciels existants à cet OS mobile.
Smartphones : un danger pour l’entreprise
http://www.indexel.net/actualites/smartphones-un-danger-pour-l-entreprise-3320.html
Neuf utilisateurs sur dix se servent de leur smartphone personnel dans un cadre professionnel. Problème : ils ignorent
totalement les dangers auxquels ils exposent leur entreprise.
Le Ponemon Institute vient de mener une enquête auprès de 734 américains utilisateurs de smartphones – iPhone, Blackberry et
Android – pour le compte de l'éditeur AVG. Elle révèle que plus de 90 % des particuliers comme des professionnels ne sont pas
conscients des risques de sécurité liés à ces terminaux mobiles. 89 % des personnes interrogées ignorent que certaines applications
peuvent transmettre des informations confidentielles – détails des cartes de crédit par exemple – à leur insu. En toute logique, près d'un
utilisateur sur trois reconnaît archiver ces informations et celles concernant leur compte bancaire.
"Cette étude met également en lumière une faille de sécurité souvent négligée par les entreprises : l'utilisation d'un smartphone
personnel dans un cadre professionnel", ajoute Larry Ponemon. En effet, pratiquement toutes les personnes interrogées déclarent faire
un usage à la fois privé et professionnel de leur smartphone. Or, 28 % des utilisateurs ignorent le risque pour l'entreprise lié à ce double
usage de leur smartphone et 35 % admettent avoir conservé des documents "confidentiels" provenant de leur travail.
Dans ces conditions, "les entreprises devraient s'assurer que les règles de sécurité comportent des directives quant à l'utilisation des
portables d'entreprise", estime Larry Ponemon. D'autant que l'exploitation des failles de sécurité des smartphones est en plein boom. Le
mois dernier, une douzaine d'applications Android infectées ont dû être retirées de Google App. "Tous les acteurs de ce secteur doivent
travailler ensemble pour encourager les utilisateurs à se prendre en charge et à télécharger des antivirus spécifiques, gratuits ou peu
chers, pour protéger leurs données. Si l'industrie et les consommateurs n'agissent pas, ce genre d'événement se reproduira fréquemment
à l'avenir", prédit J.R. Smith, président-directeur général d'AVG Technologies.
Paiement mobile : la solution NFC de Gemalto certifiée par MasterCard
http://www.businessmobile.fr/actualites/paiement-mobile-la-solution-nfc-de-gemalto-certifiee-par-mastercard-39759516.htm#xtor=EPR-10010
Cette alliance entre l’entreprise française et MasterCard ouvre la voie au « déploiement massif » de services de paiement
mobile NFC.
Gemalto vient de franchir un cap crucial qui devrait lui permettre de se poser comme l'un des acteurs incontournables sur le marché du
paiement mobile NFC. La solution développée par le groupe français a en effet obtenu la certification de MasterCard.
Elle se compose de l'interface logicielle « Trusted Service Management » et d'une carte UICC (Universal Integrated Circuit Card) qui sont
conformes aux standards MasterCard PayPass.
Gemalto associé également à un "opérateur mobile d'envergure mondiale" Cette solution peut gérer les débits, crédits et le
rechargement de comptes prépayés. « Cette avancée significative ouvre la voie à des lancements commerciaux de paiement mobile NFC
dans le monde entier », estime Gemalto. L'entreprise française a d'ailleurs annoncé s'être associée au Royaume-Uni à « une institution
financière de premier rang et à un opérateur mobile d'envergure mondiale pour déployer cette solution certifiée MasterCard ».
Android : la fin de l'esprit d'aventure ?
http://www.generation-nt.com/android-open-source-strategie-google-fabricants-actualite-1183291.html
La joyeuse ouverture d'Android qui permet de créer de nombreux appareils utilisant cette plate-forme, pourrait bientôt appartenir au
passé, maintenant que la plate-forme est solidement établie.
Avec l'arrivée d'Android Honeycomb, quelque chose a changé dans la stratégie mobile de Google. En s'abtenant de fournir le code
source de la plate-forme dans la foulée de son lancement, et ce officiellement pour éviter de voir l'expérience utilisateur se dégrader sur
des terminaux qui ne sont pas faits pour cette version, le géant de la recherche a porté un coup à l'image de partage et de réutilisation
du code qui avait cours jusque là.
Et il semblerait que ce n'est que le premier temps de ce qui apparaît comme une nouvelle orientation, rapportée par BusinessWeek.
Désormais, pour accéder aux dernières avancées de la plate-forme Android, les projets des fabricants doivent d'abord obtenir l'aval de
Google, agaçant plusieurs grandes marques de l'électronique ou du Web, qui ont l'impression d'avoir perdu la liberté des premiers temps.
Même chose pour les fabricants de puces qui doivent se conformer aux exigences de Google pour pouvoir travailler en amont sur les
prochaines versions d' Android. A tel point qu'il se murmure qu'il y aurait actuellement des négociations entre ARM et Google pour créer
une plate-forme matérielle standardisée. Ce serait un peu comme le cahier des charges imposé par Microsoft pour Windows Phone
7 et qui aligne le développement des terminaux sur des bases communes censées garantir l'expérience utilisateur...avec le risque de se
révéler réductrices et d'affaiblir les possibilités de différenciation pour les fabricants.
Pour l'éditeur de la plate-forme, en revanche, c'est l'assurance de proposer une expérience utilisateur commune sur tous les produits et
de limiter les risques d'incompatibilité, notamment au niveau des applications mobiles, en réduisant le nombre de configurations
matérielles possibles, mais pour les fabricants, c'est l'obligation de se plier à des règles du jeu imposées, sans possibilité de sortir d'un
sentier balisé qui amène à des produits interchangeables où seuls les plus gros acteurs (grâce à leurs partenariats et à leur puissance
marketing) peuvent espérer sortir du lot.
Une nécessaire mutation ? L'euphorie des premiers temps, qui a permis à Android de dominer le marché mobile en l'espace de deux
ans en misant sur les promesses de l'open source, céderait donc maintenant la place à un développement orienté plus terre à terre et
dicté par de nouveaux problèmes tels que la fragmentation et la multiplication désordonnée des appareils.
Google aurait commencé à renforcer ses clauses de " non fragmentation " auprès de ses partenaires, lui permettant de garder un oeil sur
les modifications apportées au code source pour créer de nouvelles interfaces ou services mobiles.
Cela ne ferait pas les affaires de certaines sociétés, à l'image de Facebook, toujours pas décidé à produire son propre Facebook Phone,
mais qui travaille beaucoup à la personnalisation des surcouches posées sur Android pour mettre en avant ses services.
Mais sans doute ce recadrage est-il nécessaire à un point du développement de la plate-forme pour maintenir une certaine cohérence et
canaliser les énergies, obligeant à une certaine fermeté qui fera toujours des mécontents.
Chrome OS : les premiers lancements à partir de mi-2011 ?
http://www.generation-nt.com/chrome-os-ordinateurs-lancement-public-actualite-1182791.html
Le salon Computex 2011 de Taipei, en juin, pourrait donner le coup d'envoi du lancement de Chrome OS pour le marché de masse.
Face à un Android omniprésent sur les nouveaux appareils mobiles et nomades, la stratégie de son cousin Chrome OS, également conçu
par Google et voulant répondre à un concept d'OS-cadre associé à des fonctionnalités tirées du Web, avec la richesse promise par les
services en cloud mais qui nécessitent d'être reliés à Internet, est plus floue quant à ses ambitions et ses objectifs.
Mais tout pourrait s'éclaircir dans les prochains mois avec la mise en avant de plusieurs ordinateurs sous Chrome OS uniquement ou en
dual boot à l'occasion du salon Computex 2011 de Taipei (Taiwan) durant lequel plusieurs fabricants vont présenter des produits.
mi-2011, arrivée de Chrome OS ? Ces netbooks ou petits ordinateurs devraient disposer d'écrans avec des diagonales allant de 10" à
12" et utilisant des processeurs basse consommation fournis par Intel ou Nvidia ( Atom ou Tegra 2, vraisemblablement ).
L'événement 2010 avait laissé espérer quelques annonces (qui ne sont pas venues), de même que la fin d'année, au moins chez les
acteurs les plus impliqués, mais rien n'est venu. Cette fois, des marques comme Acer, Asus, Sony ou Samsung auraient des projets bien
réels à présenter, en vue d'un lancement commercial durant le second semestre 2011. A ces noms asiatiques pourraient s'ajouter les
américains HP et Dell, qui évalueraient toujours les opportunités de lancer des appareils sous Chrome OS. Chez les fabricants OEM
taiwanais, Inventec, Quanta Computer et Compal seraient en mesure de produire des netbooks et ordinateurs utilisant l' OS de Google.
Les prix pourraient se caler autour de $300.
iPv6 : le gouvernement français ne veut pas s’impliquer
http://www.itespresso.fr/ipv6-le-gouvernement-francais-ne-veut-pas-s-impliquer-42058.html
Deux députées avaient posé une question sur les mesures que le gouvernement comptait prendre pour soutenir la
migration IPv4/IPv6. La réponse est décevante.
Les députées Laure de la Raudière (UMP) et Corinne Erhel (PS), qui avaient interpellé fin 2010 le gouvernement à propos des initiatives à
prendre pour favoriser l’adoption du protocole IPv6 (« l’Internet nouvelle génération »), risquent de se montrer déçues de la réponse.
Selon The Inquirer, « le gouvernement français indique que tout va bien pour IPv6 et qu’il ne compte pas soutenir (ou même forcer) la
transition IPv4/IPv6″. Dans sa réponse, le gouvernement considère que « la pénurie d’adresses IPv4 ne signifie pas la fin de ce protocole
d’adressage mais la cohabitation entre les adresses IPv4 et IPv6 au sein des réseaux de communication électroniques. Les opérateurs ont
commencé, selon leurs différents plans stratégiques, à déployer lPv6 au sein de leurs réseaux et gérer la cohabitation avec lPv4″.
Tout en poursuivant : le gouvernement « s’attache depuis plusieurs années à contrôler que les dernières adresses IPv4 soient allouées de
manière équitable par l’Autorité pour les noms et numéros assignés (IANA) au niveau mondial et par le registre Internet RIPE NCC au
niveau européen ». Selon The Inquirer, la réponse globale n’apporte aucun élément supplémentaire : le gouvernement français ne
compte pas bouger le moindre petit doigt pour encourager l’adoption d’IPv6.
Video: the robot that flies like a bird
http://www.smartplanet.com/technology/blog/thinking-tech/video-the-robot-that-flies-like-a-bird/6676/
Birds may have helped inspire man to take flight, but their particular style of flying–by the power of flapping wings–wasn’t much help to
early aviators. (Or any aviators since, really.) From Kitty Hawk to O’Hare, and for over 100 years, aircraft have gotten along fine with
unmoving wings and separate propulsion systems. We were happy to co-opt the core of birds’ Bernoullian wisdom; they could keep the
rest for themselves. Now, the rise of unmanned drones has led to a surge in interest in alternate ways of taking flight, and a number of
companies have gotten to work onbird-inspired craft, often with the support of DARPA. But none are as immediately impressive and as
uncannily birdlike as the Festo Smartbird, revealed last week: http://www.youtube.com/watch?v=nnR8fDW3Ilo
Exalead et Joshfire à l’assaut de l’Internet des objets
http://www.silicon.fr/exalead-et-joshfire-a-l%E2%80%99assaut-de-l%E2%80%99internet-des-objets-48819.html
Joshfire est un spécialiste de l’Internet des objets, un secteur qui nécessite de savoir collecter et restituer une masse importante
d’informations… un travail confié aux outils d’Exalead.
Le spécialiste des solutions de recherche Exalead (filiale de Dassault Systèmes) vient de signer un accord de partenariat avec Joshfire,
une société spécialisée dans l’accompagnement des entreprises vers l’Internet des objets.
L’Internet des objets, c’est ce mouvement récent qui consiste à connecter au web les objets du quotidien, ainsi que de nouveaux
produits originaux ou innovants. Un poste de radio web est un bon exemple de ce type d’objets reliés au web. Joshfire propose une
plate-forme de développement qui permettra aux entreprises et aux industriels de mettre au point des produits connectés. Grâce à
ce nouvel accord, Joshfire s’appuiera sur la technologie d’Exalead pour collecter l’information… et la restituer par la suite.
« Joshfire a parfaitement saisi l’ampleur de la mutation qui s’est amorcée avec l’Internet mobile et les nouveaux usages de
l’information », explique Michel Lévy-Provencal, PDG de Joshfire. « Tous les objets sont amenés à devenir plus communicants et plus
intelligents. La notion d’Internet des objets n’est plus de la science-fiction. Notre objectif est de permettre à nos clients d’être
précurseurs dans leur approche d’Internet et nous avions pour cela besoin d’être accompagnés par un chantre de l’innovation à la
française. Exalead s’est donc imposé tout naturellement à nous. »
Eric Besson: les énergies renouvelables nécessitent le smart grid
http://www.smartplanet.fr/smart-technology/eric-besson-les-energies-renouvelables-necessitent-le-smart-grid-1894/
Le ministre de l’Industrie a souligné le maintien du nucléaire, tout en rappelant le choix de développer les énergies
renouvelables. Il a exposé les différents soutiens financiers publics au smart grid.
Eric Besson, ministre chargé de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie numérique, a participé mardi 29 mars au Smart Energy Summit
organisé par The Economist, une réunion qui comme son nom l’indique portait sur les réseaux électriques intelligents.
Il a affirmé le maintien du nucléaire prédominant, en déclarant* : « La France a fait le choix historique d’investir massivement dans
l’énergie électronucléaire, qui lui confère un prix de l’électricité en moyenne 40% moins élevé que dans le reste de l’Europe. Elle ne
reviendra pas sur ce choix, qui s’accompagne d’un renforcement continu des exigences de sûreté comme l’a rappelé le Premier ministre.
Mais la France a également fait le choix, à travers le Grenelle de l’environnement, de développer les nouvelles technologies de l’énergie.
Ces technologies concernent la production d’énergies renouvelables, comme l’éolien off shore, mais également la gestion intelligente de
la consommation énergétique des bâtiments, et le déploiement des véhicules électriques.
Chacune de ces nouvelles technologies présente un défi à relever.
Le premier de ces défis, c’est celui de l’intermittence des énergies renouvelables, qui occuperont une place croissante dans notre bouquet
énergétique pour atteindre 23% en 2020. Cette intermittence peut fragiliser le système électrique si elle n’est pas anticipée et pilotée par
un réseau ‘intelligent ‘. »
« Une excellence française dans la micro-électronique et l’informatique »
Le ministre a vanté parmi les atouts de la France pour les futurs réseaux « Une filière électrique performante », « des opérateurs de
réseaux reconnus mondialement pour leurs compétences: RTE, ERDF, France Télécom-Orange, Bouygues Télécom », « des
équipementiers majeurs: Alstom, Schneider Electric, Legrand, Leroy-Somier, Alcatel Lucent », et « une excellence française dans la microélectronique et l’informatique, qui constituent les nouvelles clés des ‘smart energy’.
Ces facteurs clés de succès dans les smart grids sont d’ailleurs reconnus et appréciés par d’autres acteurs mondiaux présents en France,
comme Siemens, General Electric, Emerson, IBM, Toyota et Cisco. »
Eric Besson a souligné les « instruments majeurs du soutien de l’Etat à l’innovation industrielle »:
Le crédit impôt recherche, « qui mobilise plus de €4 Mrd », et les investissements d’avenir (ex-grand emprunt), « dont trois
principaux programmes seront mobilisés au service de la gestion ‘intelligente’ de l’énergie »:
Les Instituts d’excellence en matière d’énergie décarbonée, les IEED, auxquels €1 Mrd sera consacré. L’appel à projet correspondant
a été clôturé le 18 février dernier, et le jury instruit actuellement les dossiers reçus.
Le programme « développement de l’économie numérique » dispose d’un volet dédié aux smart grids, doté de €250M. Un appel à
manifestation d’intérêt sur les réseaux électriques intelligents sera publié à ce titre « dans les tous prochains mois ».
Le programme « véhicule du futur » et son volet infrastructures de recharge du véhicule électrique a donné lieu à un appel à
manifestation d’intérêt pour l’expérimentation d’infrastructures de recharge. Cet appel a été publié le 16 février dernier, et les
industriels peuvent déposer leurs propositions avant le 14 juin.
Fibre : Google choisit Kansas City pour déployer son premier réseau très haut débit
http://www.zdnet.fr/actualites/fibre-google-choisit-kansas-city-pour-deployer-son-premier-reseau-tres-haut-debit-39759560.htm#xtor=EPR-100
Google a porté son choix sur cette ville après avoir reçu plus de 1 000 candidatures de municipalités. Ce réseau fibre
optique sera opérationnel à partir de 2012.
Un peu plus d'un an après avoir annoncé son intention de déployer un réseau très haut débit expérimental, Google a fait savoir qu'il
portait son choix sur la ville de Kansas City (Kansas). Le géant américain va donc y construire un réseau fibre optique à domicile (Fiber
To The Home ou FTTH) à 1 Gbit/s qui sera 100 fois plus rapide qu'une connexion haut débit actuelle.
Google compte commencer à proposer le service en 2012. Quelque 1 100 municipalités s'étaient portées candidates pour accueillir cette
expérience. Dans son communiqué, Google indique qu'il discutera dans les mois qui viennent avec d'autres villes afin d'envisager des
partenariats. Le projet initial prévoyait d'apporter ce réseau très haut débit à au moins 50 000 personnes et jusqu'à 500 000 à terme.