LATOILEFILANTECOURS D` ANALYSEDEFI LMS Octobre 2015 à

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LATOILEFILANTECOURS D` ANALYSEDEFI LMS Octobre 2015 à
LA TOILE FILANTE
C O U R S D’ A N A L Y S E D E F I LMS
FORMATEUR
Licencié en philosophie, critique pendant vingt ans à
(Télé)Moustique, Olivier Lecomte a dirigé le supplément belge
du magazine Studio, collaboré à l’émission Télécinéma de La Une
et a écrit pour Cinergie, L’événement, Dimanche Matin, Le journal
du mardi, Gaël… Il a assuré le cours d’esthétique du cinéma à
l’école de photo et vidéo Agnès Varda de la Ville de Bruxelles.
Ayant fondé le cours d’analyse de films La Toile filante, il donne
actuellement une série de formations à l’Université des Aînés
(UCL), à PointCulture ULB, à l’Espace Delvaux… Il anime
régulièrement des rencontres publiques avec des cinéastes
(Agnès Varda, Bertrand Tavernier, Claude Lelouch, Fernando
Arrabal, Tony Gatlif, Jonathan Nossiter, les frères Dardenne,
Frédéric Sojcher, Stephan Streker, Jean-Jacques Andrien, Philippe
de Pierpont…) et a obtenu en 2005 le Prix de la critique décerné
par la Communauté française.
Site: www.latoilefilante.be
Octobre 2015 à Janvier 2016
ORSON WELLES, LE MAGICIEN DU CINEMA (7 séances)
BRUSSELS IN LOVE : RENCONTRE AVEC ALEX STOCKMAN
Tourné à vingt-cinq ans par Welles, qui avait déjà acquis une
expérience solide comme acteur et metteur en scène au théâtre,
Citizen Kane révolutionna le cinéma par sa construction narrative
complexe et ses audaces stylistiques. Mais l’univers de Welles
s’enrichit encore avec ses adaptations de Shakespeare (Othello,
Macbeth), ses films noirs (Lady of Shanghai, Touch of Evil) et des
œuvres plus expérimentales comme F for Fake. Réfractaire aux
diktats des studios qui mutileront ses films, éternel nomade,
antifasciste de la première heure, Welles a fait souffler un vent de
liberté à Hollywood et s’est même permis, en passionné de
magie, de découper Marlène Dietrich en deux dans un sketch
appelant à soutenir l’engagement américain durant la seconde
guerre mondiale.
Jadis critique cinéma pour l’hebdomadaire Humo, Alex Stockman
est passé à la réalisation en 2000. Dans ses deux longs métrages
(Verboden te zuchten et Pulsar avec Matthias Schoenaerts), mais
aussi dans une poignée de courts, il montre Bruxelles avec un
humour décalé et une poésie omniprésente.
A l’ESPACE PAUL DELVAUX
Rue Gratès, 3 (Place Keym) à 1170 Bruxelles.
En 7 séances, les samedis 24/10, 31/10, 14/11, 21/11,
5/12/2015, 9/1, 23/1/2016, de 11h à 13h.
Info : 02 663 85 50
www.lavenerie.be
A l’ESPACE PAUL DELVAUX
Rue Gratès, 3 (Place Keym) à 1170 Bruxelles.
Une séance, le samedi 28/11/2015, de 11h à 13h.
PERSONNE N’EST PARFAIT… SAUF BILLY WILDER ? (6
séances plus les bonus habituels en soirée)
Il a fait voler la jupe de Marilyn Monroe au-dessus de la bouche
de métro de Sept ans de réflexion. Il a transformé Jack Lemmon,
l’employé soumis de La Garçonnière, en mensch. On lui doit l’une
des répliques finales les plus célèbres d’un film hollywoodien:
« Personne n’est parfait !». Mais Wilder est aussi un maître du
film noir et un critique acerbe des mœurs américaines.
Trois jours en résidentiel à l’Hôtel des Roses *** à Libin,
les 17-18-19/10/2015.
Info: 061 65 65 26
www.lesroses.be
SCARFACE, LES INCORRUPTIBLES… ET LES AUTRES
LES GRANDS CINEASTES (7 séances)
(4 séances)
Ils viennent des quatre coins de la planète, de la France aux
Etats-Unis, de la Corée du sud à l’Allemagne, de la Belgique à
l’Angleterre. Ils ont marqué l’histoire du cinéma à tout jamais.
Voici sept portraits de réalisateurs incroyablement inventifs et qui
ont fait un long parcours avant d’arriver au firmament du 7e art:
Clint Eastwood, qui a su passer du statut de vedette de feuilleton
télé à celui d’acteur-réalisateur ; Ken Loach, le chef de file du
courant social britannique ; Werner Herzog, le plus mystique des
cinéastes allemands apparus à la fin des années soixante ; les
frères Dardenne, nos compatriotes deux fois palmés au Festival
de Cannes ; John Cassavetes, l’un des pionniers du cinéma
indépendant américain ; Kim Ki-duk, l’électron libre du cinéma
sud-coréen et Eric Rohmer, l’auteur des célèbres « Contes
moraux ».
Plus qu’un autre genre, le film policier des années 30 a témoigné
des soubresauts de la société américaine: les difficultés du
melting pot, la Prohibition, le krach de 29 et la Dépression qui
s’ensuit avant le redressement opéré par Roosevelt avec le New
Deal. Le début de la décennie voit l’âge d’or du film de gangsters
(Little Caesar, Scarface…) avant son retournement avec
l’apologie des agents du FBI, les G-Men. Nous ferons aussi
fréquemment des bonds en avant pour montrer comment les
œuvres marquantes de cette période ont inspiré des classiques
du film criminel comme Bonnie and Clyde, French Connection, Il
était une fois en Amérique, La nuit nous appartient…
A POINTCULTURE ULB IXELLES
Bâtiment U, av. Paul Héger (coin square Servais) à 1000
Bruxelles.
4 séances, les mercredis 18/11, 25/11, 2/12, 9/12/2015,
de 18h30 à 20h30.
A L’UNIVERSITE DES AINES (UCL- BRUXELLES) , Av. de
l’Assomption 73 à 1200 Bruxelles
En 7 séances, les jeudis 1/10, 26/11, 3/12/2015,
21/1, 4/2, 3/3, 14/4/2016 de 18h à 20h.
Réservation souhaitée au 02/737 19 61
Info: 02 764 46 95 ou 02 764 46 96
[email protected]
[email protected]
LA GRANDE GUERRE SUR GRAND ECRAN (6 séances)
INSAISISSABLE LUIS BUNUEL (8 séances)
Pour commémorer le centenaire de la guerre 14-18, nous allons
examiner comment différents cinémas nationaux (français,
américain, anglais, allemand…) ont représenté ce conflit tout au
long du XXe siècle. Car les enjeux changent au fil du temps : la
diabolisation de l’ennemi dans l’immédiat après-guerre fait place
au pacifisme des années 30 puis à l’antimilitarisme des années
50-60. Quant à la période contemporaine, elle stigmatise avant
tout les effets désastreux du conflit sur les corps et les esprits.
Illustré par de nombreux extraits, le cours abordera une poignée
d’œuvre marquantes : Charlot soldat, La grande parade, A
l’Ouest rien de nouveau, Quatre de l’infanterie, Les croix de bois,
Les sentiers de la gloire, Pour exemple, Johnny Got His Gun, Un
long dimanche de fiançailles, Les fragments d’Antonin…
Du coup de tonnerre d’Un chien andalou, qui lui permet d’intégrer
le groupe surréaliste en 29, aux films français de sa dernière
période (Belle de jour, Le charme discret de la bourgeoisie),
Bunuel n’a cessé d’approfondir son entreprise de dynamitage des
conventions cinématographiques. Même dans sa période
mexicaine (Los Olvidados…), où il n’a pas eu la même liberté de
choix, Bunuel s’est montré d’une belle intransigeance. Au fil
d’une carrière marquée par les bouleversements politiques,
notamment la guerre civile espagnole, il n’a jamais perdu de vue
son objectif premier : nous inviter à ouvrir grand les yeux sur la
part de mystère que comporte le réel.
A L’UNIVERSITE DES AINES (UCL- BRUXELLES)
Av. de l’Assomption 73 à 1200 Bruxelles
Au W.Halll, Centre Culturel de Woluwe-Saint-Pierre, salle
Jean Capart, av. Charles Thielemans, 83 à 1150 Bruxelles.
En 8 séances, les jeudis 8/10, 15/10, 22/10, 29/10,
12/11, 19/11, 26/11, 3/12/2015, de 10h à 12h.
En 6 séances, les jeudis 8/10, 15/10, 22/10, 29/10,
12/11, 19/11/2015, de 19h à 21h.
Info: 02 764 46 95 ou 02 764 46 96
Info : 02/773.05.84
[email protected]
A L’UNIVERSITE DES AINES (UCL-LOUVAIN-LA-NEUVE)
Sentier du Goria, 8-10 à 1348 Louvain-la-Neuve
En 8 séances, les vendredis 2/10, 9/10, 16/10, 23/10,
30/10, 13/11, 20/11, 27/11/2015, de 11h15 à 13h15.
Info: 010/47.41.81 ou 010/47.41.96
www.universitedesaines.be