Références de commande cobas c pack(s) utilisable(s)
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Références de commande cobas c pack(s) utilisable(s)
0004490754190c501V10.0 BARB Barbiturates Plus Références de commande 04490754 190 03304671 190 03304698 190 04590856 190 ONLINE DAT Barbiturates Plus 200 tests Calibrateurs Preciset DAT Plus I CAL 1 à 6 (6 x 5 mL) C.f.a.s. DAT Qualitative Plus (6 x 5 mL) C.f.a.s. DAT Qualitative Plus Clinical (3 x 5 mL) Control Set DAT I PreciPos DAT Set I (2 x 10 mL) 03312950 190 Control Set DAT I PreciNeg DAT Set I (2 x 10 mL) Control Set DAT Clinical PreciPos DAT Clinical (2 x 10 mL) 04500873 190 Control Set DAT Clinical PreciNeg DAT Clinical (2 x 10 mL) Français Informations techniques Pour les analyseurs cobas c 311/501: BA2QP: ACN 572: pour les déterminations qualitatives BA2SP: ACN 573: pour les déterminations semi-quantitatives BA2QC: ACN 788: pour la détermination qualitative avec C.f.a.s. DAT Qualitative Plus Clinical Pour l'analyseur cobas c 502: BA2QP: ACN 8572: pour les déterminations qualitatives BA2SP: ACN 8573: pour les déterminations semi-quantitatives BA2QC: ACN 8788: pour la détermination qualitative avec C.f.a.s. DAT Qualitative Plus Clinical Domaine d'utilisation Barbiturates Plus (BARB) est un test pour la détermination qualitative et semi‑quantitative in vitro des barbituriques dans l'urine humaine sur les systèmes Roche/Hitachi cobas c à un seuil de 200 ng/mL. Des résultats semi-quantitatifs peuvent être obtenus, ce qui permet aux laboratoires d’évaluer les performances du test dans le cadre d’un programme de contrôle de qualité. Les tests semi‑quantitatifs sont prévus pour déterminer une dilution appropriée de l'échantillon en vue d'une vérification par une méthode de confirmation comme la chromatographie en phase gazeuse‑spectrométrie de masse (GC/MS). Le test Barbiturates Plus ne fournit qu’un résultat préliminaire. Les résultats doivent être confirmés par une méthode plus spécifique. Utiliser de préférence la GC/MS comme méthode de confirmation.1 Tous les tests de dépistage pour abus de drogue, et surtout si le test initial est positif, doivent être interprétés en tenant compte du tableau clinique et de l’avis d’un professionnel. Caractéristiques Les barbituriques, famille de médicaments dérivés de l’acide barbiturique (malonylurée), sont des hypnotiques sédatifs dépresseurs du système nerveux central (SNC).1,2,3,4,5,6 Ils sont classés en fonction de leur durée d’action (action très brève, brève, intermédiaire et prolongée). Les barbituriques sont utilisés en médecine comme sédatifs pour réduire la tension émotionnelle et induire le sommeil; par ailleurs, dans certaines formes d'épilepsie, ils réduisent la fréquence des convulsions en élevant le seuil convulsif. A doses excessives, ils peuvent entraîner des troubles de la coordination (troubles de l’élocution, perte de l’équilibre), une altération des perceptions (erreurs de jugement, perception exagérée des performances) et une euphorie par désinhibition. Les surdoses peuvent provoquer la stupeur, le coma et la mort. L’absorption simultanée de barbituriques et d’alcool, d’opiacés et d’autres dépresseurs du système nerveux central peut déclencher une dépression respiratoire qui peut être fatale. Bien que l'utilisation de leur pouvoir sédatif et hypnotique ait été largement remplacée par les benzodiazépines, les barbituriques conservent une place importante comme anesthésiques ou anticonvulsivants. L’administration des barbituriques se fait habituellement par voie orale, mais ils peuvent également être injectés par voie intraveineuse ou intramusculaire. Après ingestion, ils sont facilement absorbés dans l’estomac et pénètrent rapidement dans le sang. La distribution et la concentration des barbituriques dans les différents tissus dépend beaucoup de leurs propriétés de fixation aux protéines et de liposolubilité. Les concentrations les plus hautes sont atteintes dans les dépôts adipeux et les tissus riches en protéines. La plupart des barbituriques sont métabolisés dans le foie par oxydation et conjugaison, désalkylation/hydroxylation de 2016-05, V 10.0 Français System‑ID 07 6917 7 Codes 431‑436 cobas c pack(s) utilisable(s) sur les analyseurs suivants Roche/Hitachi cobas c 311, cobas c 501/502 Code 699 l’azote et/ou désulfuration des thiobarbituriques. Le taux de métabolisation hépatique dépend du médicament: le sécobarbital est largement oxydé en une série de métabolites pharmacologiquement inactifs, alors que le phénobarbital et le barbital sont essentiellement excrétés dans l’urine sous forme inchangée. Les barbituriques sont excrétés sous forme de mélanges principe actif/métabolites dont les proportions et les concentrations varient en fonction du médicament. Principe Le test repose sur l'interaction cinétique de microparticules en solution (KIMS)7,8 dont on mesure les variations du signal lumineux. Si la molécule n’est pas présente dans l’échantillon, les anticorps libres se fixent sur les conjugués microparticule‑molécule, donnant lieu ainsi à la formation d’amas de particules. Comme la réaction d’agrégation a lieu lorsque la molécule recherchée n’est pas présente, la variation de la densité optique (absorbance) augmente. Si l’échantillon d’urine analysé contient la molécule recherchée, la molécule entre en compétition avec le dérivé de la molécule lié à la microparticule pour les anticorps libres. Les anticorps étant liés à la molécule de l’échantillon ne peuvent plus favoriser la formation d’amas de particules, ce qui empêche la formation d’un réseau de particules. Lorsque la molécule recherchée est présente, l’augmentation de l'absorbance diminue proportionnellement à la concentration de la molécule dans l’échantillon. La concentration de la molécule dans l’échantillon est déterminée en fonction de la valeur obtenue pour une concentration seuil connue d'analyte. Réactifs - composition et concentrations R1 Tampon, azide de sodium (0.09 %) R2 Anticorps (polyclonal de mouton) anti‑sécobarbital, tampon, sérumalbumine bovine, azide de sodium (0.09 %) R3 Dérivé de sécobarbital conjugué, tampon, sérumalbumine bovine, azide de sodium (0.09 %) R1 est en position B, R2 en position C et R3 en position A. Précautions d’emploi et mises en garde Pour diagnostic in vitro. Observer les précautions habituelles de manipulation en laboratoire. L’élimination de tous les déchets doit être effectuée conformément aux dispositions légales. Fiche de données de sécurité disponible sur demande pour les professionnels. Préparation des réactifs Prêt à l'emploi. Pour garantir le mélange des constituants du réactif, retourner le flacon de réactif plusieurs fois avec précaution avant emploi. Conservation et stabilité Avant ouverture, entre 2 et 8 °C: Voir date de péremption sur l'étiquette du cobas c pack. A bord, en cours d'utilisation et réfrigéré sur 8 semaines l'analyseur: Ne pas congeler. 1/5 0004490754190c501V10.0 BARB Barbiturates Plus Prélèvement et préparation des échantillons Seuls les types d'échantillons indiqués ci‑dessous ont été testés et peuvent être utilisés. Urine: Recueillir l’urine dans des récipients propres en verre ou en plastique. Les échantillons d’urine fraîchement prélevés ne nécessitent aucun traitement ou prétraitement particulier. Il convient néanmoins d’éviter la présence de fragments dans les échantillons pipetés. Le pH des échantillons doit se situer entre 5 et 8 (pH physiologique). L'utilisation d'additifs ou de conservateurs n'est pas nécessaire. Il est recommandé de conserver les échantillons d’urine entre 2 et 8 °C et d’effectuer le dosage dans les 5 jours qui suivent le recueil.9 Pour une conservation prolongée, il est recommandé de congeler les échantillons. Centrifuger les échantillons présentant une forte turbidité avant l'analyse. L'adultération ou la dilution de l’échantillon peut conduire à l’obtention de résultats erronés. Si l’on suspecte une adultération de l’échantillon, prélever un nouvel échantillon. Pour les échantillons recueillis selon les Mandatory Guidelines for Federal Workplace Drug Testing Programs, un test de validité de l'échantillon est requis.10 ATTENTION: Les dilutions ne doivent être utilisées que pour interpréter les résultats comportant les alarmes Calc.? ou Echant.? ou pour estimer une concentration en vue d’une analyse par CG/SM. Les résultats de ces dilutions ne sont pas destinés à la détermination des taux de patients. Les procédures de dilution utilisées doivent être validées. Matériel fourni Voir paragraphe « Réactifs - composition et concentrations ». Matériel auxiliaire nécessaire Voir paragraphe « Références de commande ». Equipement habituel de laboratoire cobas c 501/502 Définition du test Mode de mesure Qualitatif Point Final 2 Point Final 2 Temps de dosage/points 10 / 40‑65 de mesure 10 / 40‑65 Longueur d'ondes (sec/princ) – /505 nm – /505 nm Sens de la réaction Croissant Croissant Unité ng/mL mAbs Pipetage des réactifs Diluant (H2O) R1 59 µL – R2 59 µL – R3 52 µL – Volumes échantillon Echantillon Dilution échantillon Echantillon Diluant (NaCl) Normal 2.5 µL – – Diminué 2.5 µL – – Augmenté 2.5 µL – – Calibration Réalisation du test Pour garantir le bon fonctionnement du test, se conformer aux instructions relatives à l’analyseur utilisé indiquées dans le présent document. Pour les instructions spécifiques de l’analyseur, se référer au manuel d’utilisation approprié. En cas d’utilisation de tests non validés par Roche, les performances analytiques ne sont pas garanties et doivent être définies par l’utilisateur. Calibrateurs 0, 100, 200, 400 ng/mL Application qualitative S1: C.f.a.s. DAT Qualitative Plus, C.f.a.s. DAT Qualitative Plus Clinical ou Calibrateur Preciset DAT Plus I ‑CAL 3 200 ng/mL La concentration en drogue des calibrateurs a été vérifiée par CG/SM. cobas c 311 Définition du test Semi-quantitatif Qualitatif Point Final 2 Point Final 2 Temps de dosage/points 10 / 26‑53 de mesure 10 / 26‑53 Longueur d'ondes (sec/princ) – /505 nm – /505 nm Sens de la réaction Croissant Croissant Unité ng/mL mAbs Application semi-quantitative S1‑4: Calibrateurs Preciset DAT Plus I, CAL 1‑4 Application pour l'urine Pour ces applications, désélectionner la réanalyse automatique dans le menu Maint/Prog, Application, onglet Limites. Mode de mesure Semi-quantitatif Facteur K de calibration Pour l'application qualitative, entrer le facteur K -1000 dans le menu Calibration, Status screen, Calibration Result window. Type calibration Application semi-quantitative Mode de calcul des résultats (RCM)a Application qualitative Pipetage des réactifs Linéaire Fréquence des calibrations Calibration initiale (test semi-quantitatif) ou calibration blanc (test qualitatif) Diluant (H2O) - à chaque nouveau lot de réactifs - si le contrôle de qualité l'exige R1 59 µL – R2 59 µL – a) Voir paragraphe Résultats. R3 52 µL – Traçabilité: La méthode a été standardisée par rapport à une méthode de référence primaire (GC/MS). Volumes échantillon Echantillon Dilution échantillon Echantillon Diluant (NaCl) Normal 2.5 µL – – Diminué 2.5 µL – – Augmenté 2.5 µL – – Contrôle de qualité Pour le contrôle de qualité, utiliser les matériaux de contrôle indiqués dans la section « Références de commande ». D’autres contrôles appropriés peuvent également être utilisés. La fréquence des contrôles et les limites de confiance doivent être adaptées aux exigences du laboratoire. Les résultats doivent se situer dans les limites de confiance définies. Chaque laboratoire devra établir la procédure à suivre si les résultats se situent en dehors des limites définies. 2/5 2016-05, V 10.0 Français 0004490754190c501V10.0 BARB Barbiturates Plus Les concentrations en drogue de Control Set DAT I et Clinical ont été vérifiées par CG/SM. Se conformer à la réglementation gouvernementale et aux directives locales en vigueur relatives au contrôle de qualité. Acétone Bilirubine 0.25 mg/mL 98 Résultats Pour les tests qualitatifs, le calibrateur seuil est utilisé en référence pour distinguer les échantillons initialement positifs des échantillons négatifs. Les échantillons donnant une valeur d'absorbance positive ou égale à «0» sont considérés comme initialement positifs. Les échantillons initialement positifs sont affichés avec l'alarme >Test. Les échantillons induisant une valeur d'absorbance négative sont considérés comme négatifs. Les échantillons négatifs sont précédés du signe moins. La détermination semi-quantitative des résultats initialement positifs doit uniquement être effectuée par le laboratoire afin de déterminer une dilution appropriée de l'échantillon en vue d'un test de confirmation par une autre méthode telle que la GC/MS. Elle permet également au laboratoire d'établir des procédures de contrôle de qualité et d'évaluer les performances de contrôle. Pour un test semi-quantitatif, l’ordinateur de l’analyseur établit une courbe de calibration à partir des mesures d'absorbance des calibrateurs en utilisant une fonction d’adéquation log‑logit à 4 paramètres (RCM). La fonction logit‑log trace une droite entre les points obtenus. L’ordinateur de l’analyseur utilise les valeurs d'absorbance des échantillons pour calculer les concentrations en drogue ou métabolites de drogue par interpolation de la fonction log‑logit. REMARQUE: si l’on obtient des résultats présentant les alarmes Calc.? ou Echant.?, vérifier le résultat de la courbe réactionnelle obtenue pour l’échantillon et le comparer avec le résultat de la courbe réactionnelle obtenue pour le calibrateur le plus élevé. La cause d'erreur la plus probable est une concentration élevée en analyte dans l’échantillon. Dans ce cas, la valeur de l’absorbance est inférieure à celle du calibrateur le plus élevé. Effectuer une dilution appropriée de l’échantillon à l’aide du calibrateur 0 ng/mL et réanalyser l’échantillon. Le calibrateur 0 ng/mL peut être remplacé par de l'urine exempte de drogue si l'urine et la procédure ont auparavant été validées par le laboratoire. Pour être sûr que l’échantillon n’a pas été trop dilué, vérifier, avant de multiplier le résultat par le facteur de dilution, si la valeur obtenue après dilution est au moins égale à la moitié de la valeur seuil de l’analyte. Si la valeur obtenue après dilution est inférieure à cette dernière, effectuer une réanalyse avec une dilution moins importante de l’échantillon. Une dilution qui conduit à l’obtention d’un résultat se rapprochant le plus de la valeur seuil de l’analyte conduit à l’estimation la plus précise. Pour obtenir la concentration d’un échantillon initialement positif, multiplier le résultat par le facteur de dilution approprié. Les dilutions ne doivent être utilisées que pour interpréter les résultats comportant les alarmes Calc.? ou Echant.? ou pour estimer une concentration en vue d’une analyse par CG/SM. Le rendu des résultats doit tenir compte des différents facteurs pouvant influencer les résultats de tests urinaires tels que la quantité de liquide absorbée ou autres facteurs biologiques. Comme pour tout test sensible de dépistage de drogues effectué sur automate de chimie clinique, il peut arriver que l’analyte d’un échantillon présentant une concentration extrêmement élevée contamine un échantillon normal (négatif) analysé immédiatement après. Tout résultat initialement positif devra être confirmé par une autre méthode. Limites d’utilisation - interférences11 Pour les différentes substances testées, se référer au paragraphe « Spécificité analytique » du présent document. D’autres substances et/ou facteurs peuvent interférer avec le test et conduire à des résultats erronés (erreurs techniques ou de procédure par ex.). Un résultat initialement positif indique la présence de barbituriques et/ou de leurs métabolites dans l’urine. Il ne mesure pas le degré d’intoxication. Des substances interférentes ont été ajoutées à de l’urine exempte de drogue à la concentration indiquée ci-dessous. Par addition d’une solution surchargée de sécobarbital, la concentration en sécobarbital de ces échantillons a été portée à 200 ng/mL. Les échantillons ont été dosés en triple détermination (n = 3) sur un analyseur Roche/Hitachi cobas c 501. La médiane (en %) des taux de récupération a été calculée. Les résultats sont indiqués ci-dessous. Créatinine 5 mg/mL 100 Ethanol 1 % 100 Glucose 2 % 100 Hémoglobine 7.5 g/L 101 Albumine humaine 0.5 % 99 2 mg/mL 104 0.5 M 105 Chlorure de sodium 1 M 110 Urée 6 % 103 Concentration testée Substance 2016-05, V 10.0 Français Recouvrement de barbituriques (%) Acide ascorbique Acide oxalique Chlorure de sodium 1 % 97 1.5 % 93 Pour le diagnostic, les résultats doivent toujours être confrontés aux données de l’anamnèse du patient, au tableau clinique et aux résultats d’autres examens. ACTION NÉCESSAIRE Programmation de lavages spéciaux: Sur les analyseurs Roche/Hitachi cobas c, certaines combinaisons de tests nécessitent la programmation d'étapes de lavage spéciales. La dernière version de la liste de prévention des contaminations (Carry over evasion list) figure dans les fiches de méthodes NaOHD/SMS/Multiclean/SCCS ou NaOHD/SMS/SmpCln1+2/SCCS. Pour de plus amples instructions, se référer au manuel de l'utilisateur. Analyseur cobas c 502: Toutes les programmations de lavages spéciaux pour la prévention des contaminations se font via cobas link. Aucune entrée manuelle n'est nécessaire. Le cas échéant, la programmation des lavages spéciaux/de prévention des contaminations doit être implémentée avant d'effectuer le rapport de ce test. Valeurs de référence Test qualitatif Les résultats de ce test permettent uniquement de distinguer les échantillons initialement positifs (≥ 200 ng/mL) des échantillons négatifs. La quantité de drogue contenue dans un échantillon initialement positif ne peut pas être évaluée. Test semi‑quantitatif Les résultats de ce test donnent uniquement la concentration cumulée approximative de la drogue et de ses métabolites (voir paragraphe Spécificité analytique). Performances analytiques Les performances analytiques indiquées ci-dessous sont représentatives et ont été obtenues sur un analyseur Roche/Hitachi. Les résultats obtenus au laboratoire peuvent différer de ceux-ci. Précision La précision a été déterminée dans un protocole interne en dosant une série de calibrateur et de contrôles (répétabilité n = 20, précision intermédiaire n = 100). Les résultats suivants ont été obtenus sur un analyseur Roche/Hitachi cobas c 501. Précision test semi‑quantitatif Répétabilité Moyenne ng/mL SD ng/mL CV % Niveau 1 148 3.1 2.1 Niveau 2 193 4.0 2.1 Niveau 3 252 4.3 1.7 Moyenne ng/mL SD ng/mL CV % Niveau 1 150 3.4 2.3 Niveau 2 194 4.1 2.1 Niveau 3 255 4.5 1.7 Précision intermédiaire 3/5 0004490754190c501V10.0 BARB Barbiturates Plus Précision test qualitatif Nombre testé Résultats corrects Intervalle de confiance 0.75x 100 100 > 95 % résultats négatifs 1.25x 100 100 > 95 % résultats positifs Seuil (200) Limite inférieure de détection du test 5.1 ng/mL La limite inférieure de détection correspond à la plus faible concentration mesurable en analyte pouvant être distinguée de zéro. Elle est obtenue par le calcul et correspond à la valeur située 2 écarts-type au-dessus du taux le plus faible de la gamme de standards (standard 1 + 2s, répétabilité, n = 21). Exactitude 100 échantillons d’urine, provenant d’un laboratoire hospitalier où ils avaient été trouvés négatifs dans un panel de détermination de drogues, ont été déterminés à l’aide du test Barbiturates Plus. 100 % de ces urines normales ont été trouvées négatives au seuil de 200 ng/mL. 54 échantillons provenant d’un laboratoire hospitalier où ils avaient été trouvés initialement positifs à l’aide d’un immunodosage du commerce et confirmés positifs par CG/SM, ont été déterminés à l’aide du test Barbiturates Plus. 100 % de ces échantillons ont été trouvés positifs au seuil de 200 ng/mL. Par ailleurs, 10 échantillons ont été dilués de manière à obtenir une concentration en barbiturique correspondant à 75‑100 % de la valeur seuil et 10 autres échantillons ont été dilués de manière à obtenir une concentration en barbiturique correspondant à 100‑125 % de la valeur seuil. Les résultats situés autour du seuil de positivité dans les études d’exactitude décrites cidessus et ceux obtenus avec les échantillons d’urine positifs dilués ont été regroupés. Les résultats obtenus avec le test Barbiturates Plus sur l’analyseur Roche/Hitachi 917 et par CG/SM sont indiqués ci-dessous: Barbiturates Plus Corrélation clinique (seuil = 200 ng/mL) Echant. négatifs Valeurs CG/SM (ng/mL) Proche du seuil 578- > 7500 148-151 248-251 Analyseur Roche/Hitachi 917 Réactions croisées approx. (%) Cyclopentobarbital 197 101 Aprobarbital 215 93 Butalbital 281 71 Allobarbital 282 71 Butabarbital 547 37 Pentobarbital 561 36 Amobarbital 702 29 Phénobarbital 925 22 p‑Hydroxyphénobarbital 1039 19 Barbital 1750 11 Acide 1,3‑diméthylbarbiturique > 100000 0 Méphobarbital > 100000 < 0.1 Acide barbiturique > 100000 < 0.01 Hexobarbital > 100000 < 0.01 Diphénylhydantoïne > 500000 < 0.02 Glutéthimide > 500000 < 0.04 Interférences médicamenteuses Les substances suivantes ont été ajoutées à des aliquotes d’un pool d’urine humaine normale pour atteindre une concentration finale de 100000 ng/mL. Aucune de ces substances n’a montré de réaction croisée supérieure à 0.012 %. Paracétamol Isoprotérénol Acide acétylsalicylique Kétamine Aminopyrine Lidocaïne + 0 6 10 54 Amitriptyline LSD - 100 4 0 0 d‑Amphétamine MDA l‑Amphétamine MDMA Ampicilline Mélanine Acide ascorbique Mépéridine Aspartame Méthadone Atropine d‑Méthamphétamine Benzocaïne l‑Méthamphétamine Benzoylecgonine Méthaqualone (métabolite de la cocaïne) Méthylphénidate Benzphétamine Méthyprylone Caféine Morphine D'autres échantillons cliniques ont été évalués avec ce test sur un analyseur Roche/Hitachi cobas c 501 et un analyseur Roche/Hitachi 917. 100 échantillons d’urine, provenant d’un laboratoire hospitalier où ils avaient été trouvés négatifs dans un panel de détermination de drogues, ont été déterminés à l’aide du test Barbiturates Plus. 100 % de ces échantillons d’urine normaux ont été trouvés négatifs sur l'analyseur Roche/Hitachi 917. 55 échantillons d'urine provenant d’un laboratoire hospitalier où ils avaient été trouvés initialement positifs à l’aide d’un immunodosage du commerce et confirmés positifs par CG/SM, ont été déterminés à l’aide du test Barbiturates Plus. Tous les échantillons (100 %) ont été trouvés positifs sur les analyseurs Roche/Hitachi cobas c 501 et Roche/Hitachi 917. Barbiturates Plus Corrélation (seuil = 200 ng/mL) Analyseur Roche/Hitachi 917 Analyseur cobas c 501 Conc. (ng/mL) équivalant à 200 ng/mL de sécobarbital Substance Hypochlorite de calcium Naloxone + - Chlordiazépoxide Naltréxone + 55 0 Chloroquine Naproxène - 0 100 Chlorphéniramine Niacinamide Chlorpromazine Noréthindrone Cocaïne I‑Norpseudoéphédrine Codéine Nortriptyline Désipramine Oxazépam Dextrométhorphane Pénicilline G Dextropropoxyphène Phéncyclidine Spécificité analytique La spécificité de ce test pour différents barbituriques et des substances de structure apparentée a été déterminée en établissant des courbes d’inhibition pour chaque substance indiquée ci-dessous et en définissant la quantité approximative de chaque substance équivalente au seuil de 200 ng/mL de sécobarbital dans la réactivité du dosage. Les résultats suivants ont été obtenus sur un analyseur Roche/Hitachi 917. 4/5 2016-05, V 10.0 Français 0004490754190c501V10.0 BARB Barbiturates Plus Diazépam ß‑Phénéthylamine Diphénhydramine Phénothiazine Dopamine Phentermine Doxépine Phénylbutazone Ecgonine d‑Phénylpropanolamine Ecgonine méthylester d,I‑Phénylpropanolamine d‑Éphédrine Procaïne d,I‑Éphédrine Prométhazine I‑Éphédrine d‑Pseudoéphédrine Epinéphrine I‑Pseudoéphédrine Érythromycine Quinidine Estriol Quinine Fénoprofène Sulindac Furosémide Tétracycline Acide gentisique Acide Δ9 THC‑9‑ carboxylique Gaïacol glycérol éther Tétrahydrozoline Hydrochlorothiazide Trifluopérazine p‑Hydroxyamphétamine Trimipramine Ibuprofène Tyramine Imipramine Vérapamil Volume après reconstitution ou homogénéisation Les modifications importantes par rapport à la version précédente sont signalées par une barre verticale dans la marge. © 2013, Roche Diagnostics Roche Diagnostics GmbH, Sandhofer Strasse 116, D-68305 Mannheim www.roche.com Distribution aux USA par: Roche Diagnostics, Indianapolis, IN Service clientèle USA 1-800-428-2336 Références bibliographiques 1 Karch SB, ed. 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