L`histoire des Molas

Les Molas, Son Histoire Et Son Évolution
Un produit fait tradition
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Montréal, le 20 février 2007
Tableau de contenu
1. LE MOLA ET SON ORIGEN
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2. LES FEMMES DANS L’ARTE DES MOLAS
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3. LES KUNAS
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4. Ressources consultées
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Les Molas, Son Histoire et Son Évolution
1. La Mola Et Son Origen
La Mola est art textile. La Mola est élaborée par les indiens Kuna de la Colombie et de
Panama et fait une partie de la tenue qui identifie à la femme. La technique de
confection consiste la superposition de couches de toile cousues entre eux, le long de
coupes qui définissent des designs où on partage des espaces entre des silhouettes et
des couleurs, en produisant une pièce de grande richesse, non seulement technique,
mais aussi significative et de grande valeur culturelle.
La MOLA développe plusieurs contrastes des designs et des couleurs, lesquels peuvent
être de multiples couleurs ou bicolore. Les motifs sont abstraits et représentent l'esprit
de la nature d'aujourd'hui et d'hier de la femme Kuna. La mola apporte divers motifs et
designs géométriques inspirées dans le soleil, l'arc arc-en-ciel et les étoiles. Les figures
géométriques frappantes et colorées peignent des scènes mythologiques, la création du
monde, scènes de coutumes, flore et faune de la région qu'habitent les Indiens Kuna.
La représentation de la faune, la dualité de l'être et les labyrinthes
L'origine des molas provient de la peinture du corps (Les tatouages) qui a été ensuite
transféré à la toile. L'origine des molas est le mélange d'élaborations artisanales
ancestrales, où on combine les tissus, l'orfèvrerie, la céramique et le design
géographique.
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Selon la mythologie kuna, la déesse Kabayaí a enseigné aux femmes de la
communauté à tisser leurs vêtements afin de créer un article unique et différent. Après
ça, les femmes kuna conservent la tradition des molas lesquelles représentent la
pensée cosmogonique, une vision graphique du monde et portent dans son intérieur
une signification anthropomorphe et zoomorphe de cette culture indienne.
La dualité et le croisement des multiples chemins
Un des éléments de plus grand signification des molas est sa dualité - deux phases.
Selon les croyances des Kuna, tous les êtres ont une essence occulte : les êtres
humains, les animaux, les plantes, les objets, etc.. Le même mot mola indique la paire
de phases, les deux phases de la toile peuvent changer du motif principal, de couleur ou
de fond.
Los caminos del arte Kuna, los caminos de la vida
Le sujet qui est constantement répété dans les conceptions des molas, est l'image du
labyrinthe. Les Kuna croient que l'homme, la végétation tropicale et les animaux
continuellement sont réuni à travers des chemins complexes.
Les MOLAS se tissées manuellement dans des toiles de coton de structure carrée ou
rectangulare et de plusieurs couleurs. Les toiles sont perforées et sont superposées et
son résultat est un produit de signification spéciale et symbolique. L'élaboration d'une
MOLA peut prendre 30 heures et jusqu'au le double ou le triple du temps, selon le degré
de complexité, le design et de la quantité de couches de toile qu'elle possède.
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2. Les Femmes Dans L’Art Des Molas
Les femmes KUNA ont beaucoup des habilités pour la confection des Molas, en
combinant des couleurs et des figures géométriques. Les femmes KUNA portent le
boucle de nez (narigueras) depuis très petites, utilisent les molas dans leurs blouses,
une jupe trop serrée à la hanche. On couvre la tête avec un manteau, dans les oreilles
ils portent les boucles d'oreille sous forme de plaques ou lames et on décore les pieds
et les bras avec de multiples bracelets.
La MOLA est confectionnée communément par la femme qui va l'utiliser, ce pourquoi
ses caractéristiques dépendent du goût de l'auteur tout comme leur structure et taille.
Traditionnellement la Mola fait partie de la tenue féminine (à l’avant et en arrière de la
blouse) et constitue un élément d'identité culturelle qui caractérise à ce peuple
La MOLA représente la manière comment la femme Kuna voit et sent le monde, dans
ses représentations de labyrinthes elle montre le chemin difficile vers son Dieu, et les
symétries ou les répétitions reflètent la dualité de la vie... La tradition compte que la
MOLA a été créée dans le début des temps, mais est restée occulte dans un lieu - Kalu
Tuipis - où résident les esprits et on trouve l’origine des choses en rapport avec l'univers
des femmes, jusqu'à ce que la femme prophète soit entrée et elle les a vues et est
retourné à la terre et a enseigné à ses filles comment les faire.
3. Les Kunas1
Les Kuna sont arrivés à l'actuel territoire colombien depuis l’Amérique Centrale, comme
une partie de la dernière migration Chibcha vers l'est. Ils habitaient la région de l'Urabá
et d'autres zones limitées d’Antioquia et de Caldas à l'arrivée des conquérants
espagnols. Les premières expéditions espagnoles de la conquête en Antioquia ont été
celles d'Alonso Ojeda, et de Vasco Núñez de Balboa. Ces expéditionnaires, pendant
1500 et 1501, ont parcouru la Côte des Caraïbes colombienne et le Golfe d'Urabá. Dans
ce dernier lieu on s’est établi pendant assez de temps, et il a été là où ils ont entré en
contact avec les aborigènes KUNA.
Il existe un vaste consensus en ce qui concerne les migrations Kuna à partir de la forêt
du Darién de l’est humide et le nord d'Antioquia de la Colombie envers San Blas,
Panama, étant donné ses guerres avec ses ennemis, les Catíos, mais principalement
étant donné le mauvais traitement que leur offraient les conquérants espagnols,
situation par laquelle l'ethnie Kuna s'allierait ensuite avec les Anglais expéditionnaires,
contre les Espagnols. Ils se sont alliés avec les pirates, en les dissimulant dans les
rivières du secteur pour attaquer aux espagnols, menace que la Couronne répondrait
avec un Ordre Réel pour éteindre aux Kuna.
L'expédition espagnole qui était dirigée à terminer les Kunas (comptait des esclaves
noirs et des Indiens) a pu déplacer aux Kunas vers les têtes des rivières Tuira et
Chucunaque. Le faible cours de la rivière Atrato, en Colombie, a été le canal propice de
cette dispersion vers l'est de Panama de l'ethnie Kuna. Les Kunas seraient développés
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http://es.wikipedia.org/wiki/Kuna_(etnia)
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plus en Panama qu'en Colombie, où ils ont perpétué ses traditions avec succès, et ils se
sont approprié de la technologie
LES KUNAS À SAN BLAS
www.geocities.com/m_a_c_m/mapa.htm
Les kunas vivent spécialement dans le sud-est de Panama dans un vaste rosaire de
villages situés autour de 360 îles et de récifs (en 2000 avec 61.707 habitants), où ils
possèdent collectivement trois secteurs indiens : (Kuna Yala, Madungandí et Wargandí);
dans les provinces de Panama, Columbus et Darién. Ils vivent aussi en Colombie dans
deux réserves indiennes (avec 1.166 habitants), en Arquía (Chocó) et Caimán nuevo,
Necoclí (Antioquia), et le golfe d'Urabá.
4. Ressources consultées
1. Sistema Nacional de Información cultural – Ministerio de Cultura de la República de
Colombia
http://www.sinic.gov.co/SINIC/ColombiaCultural/ColCulturalBusca.aspx?AREID=3&S
ECID=8&IdDep=05&COLTEM=218
2. Page web personnelle de EWA KULAK - http://www.ewakulak.com/colombia/leyendas
3. Wikipedia – l'encyclopédie libre- http://es.wikipedia.org/wiki/Kuna_(etnia)
4. http://www.monografias.com/trabajos11/kunas/kunas.shtml
5. http://www.geocities.com/m_a_c_m/mapa.htm
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