Bonnet Pierre - UMR Lire
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Bonnet Pierre Courriel académique : [email protected] I - Références et rattachements institutionnels — Agrégé de lettres modernes (1990) et certifié de lettres modernes (1988). — Docteur en littérature française de l’Université François-Rabelais de Tours (2006). — Qualifié (2008) et requalifié (2013) aux fonctions de Maître de conférences dans la 9e section. — Enseignant dans l’enseignement secondaire, en lycée et en collège, depuis 1990 (Académies d’Orléans-Tours et de Lyon). — Chargé de cours à l’Université François-Rabelais de Tours (1996-1998) et à l’Université Lumière Lyon 2 (2011-2014). — Coresponsable des TD « lecture et expression françaises » et « méthodologie universitaire » dans le département LEA de l’Université Lumière Lyon 2 (depuis 2011). — Membre associé de l’équipe XVIIIe siècle de l’UMR LIRE (CNRS - Lyon 2) (depuis 2006) : participation à deux colloques internationaux. — Membre de l’équipe ICD (« Interactions culturelles et discursives ») de l’Université FrançoisRabelais de Tours (depuis 2006) : organisation de deux journées d’études, participation à deux journées d’études, participation à un colloque international. — Adhérent et intervenant du Centre International de Rencontres sur le XVIIe siècle (CIR-17) (depuis 2009) : deux participations (Washington en 2010, Durham en 2012). — Membre du conseil d’administration de la Société d’histoire de Lyon (depuis 2010). II - Champs et thèmes de recherche — Littérature pamphlétaire et satirique entre 1650 et 1750 — Questions transséculaires et généalogie des idées entre le XVIIe et le XVIIIe siècles — Questions théologico-politiques : discours fondateurs du tolérantisme à l’aube des Lumières, discours sur l’autorité politique, réévaluation de l’œuvre de Pierre Jurieu (1637-1713) — Publicistes protestants et naissance d’un journalisme politique européen (1680-1720) — Philosophie politique et représentations de l’Europe de Campanella à Montesquieu — Polygraphie entre histoire et roman : le cas Courtilz de Sandras (1644-1712) — Écriture de l’histoire et des Mémoires de l’Âge classique aux Lumières III - Thèse de doctorat « L’opposition à Louis XIV à travers les pamphlets en langue française (1661-1715). Étude thématique et mise en perspective d’une formation discursive » (1079 p.). Thèse soutenue à l’Université François-Rabelais de Tours le 17 novembre 2006, sous la direction de Jean-Jacques Tatin-Gourier et Jean Goulemot (Mention très honorable avec les félicitations du jury, à l’unanimité). Jury de thèse : Jean GOULEMOT (U. Tours), Jean-Jacques TATIN-GOURIER (U. Tours), Bronislaw BACZKO (U. Genève), Joël CORNETTE (U. Paris 8, pré-rapporteur), Willem FRIJHOFF (U. Amsterdam), Didier MASSEAU (U. Tours), Dominique MONCOND’HUY, (U. Poitiers, président, pré-rapporteur). — Présentation : Si le règne personnel de Louis XIV n’eut pas à affronter, dans le temps court, un déluge de libelles comparable à celui des cinq années de la Fronde, il fut dans la durée la cible croissante de pamphlets beaucoup plus nombreux : ouvrages écrits ou traduits en français et pas seulement brochures étrangères destinées à un public étranger. Or ces imprimés, souvent volumineux, où voisinent la chronique politique, la veine burlesque, l’histoire galante, le livre licencieux, la controverse calviniste, occupent une place prépondérante dans la production du livre interdit, mais ont été traités jusque là comme une évidence anecdotique, conjoncturelle : on leur a dénié toute valeur littéraire et, faute de les considérer dans leur ensemble foisonnant, l’on n’a pas pris la mesure de leur virtuosité polygraphique ; surtout, on a minimisé leur rôle dans le champ des idées politiques, la façon dont, inspirés par les milieux sceptiques, orthodoxes ou libéraux du Refuge protestant, ils ont pu, en eux-mêmes, par leur mode de diffusion sans précédent (périodiques, gazettes, contrefaçons, réemplois incessants, transferts culturels) modifier les représentations, élargir les publics, participer au premier chef à la crise de la conscience européenne. Il s’agit d’explorer et d’éclairer ces textes de l’envers du règne, sources méconnues de l’histoire des idées. Leurs représentations et leurs enjeux ne sont pas seulement réinscrits dans leur propre système de référence, mais dans une histoire plus longue de la pensée politique, de l’Europe de la Réforme et de la Contre-Réforme à celle des Lumières. En effet, ces textes, allant de l’histoire galante au traité politique en passant par l’entretien satirique aux Enfers, ne valent pas seulement par leur inventivité, leur diversité générique et formelle : ils sont un des lieux où affleurent le mieux les ruptures politico-religieuses et juridico-politiques de l’Europe du temps, le lieu de constitution d’une véritable « histoire critique », en marge de l’histoire officielle, d’une contre-histoire du règne ou, comme l’a souligné Joël Cornette, d’un anti-Siècle de Louis XIV. Nous tâchons de ressaisir, à travers ce vaste corpus, l’image globale de la littérature clandestine ou officieuse, à connotation politique, publiée sous le règne personnel de Louis XIV, et de donner à voir celle d’un autre XVIIe siècle, anticipant, à certains égards, le siècle suivant. La ligne directrice : montrer que cette étonnante configuration pamphlétaire constitue une véritable « formation discursive », transcendant genres et formes, suffisamment massive pour en étudier la textualité, l’intertextualité et les différentes dimensions successives : 1°- une dimension macropolitique se cristallise autour du concept de monarchie universelle : de nombreux auteurs anonymes, à côté de figures notoires (Lisola, Leti, Leibniz, l’abbé de Saint-Pierre, Montesquieu), effectuent sur le dos de Louis XIV un véritable travail de conjuration du concept ; 2°- une dimension théologico-politique est liée à la critique de l’idolâtrie royale, mais aussi à la question de la tolérance et des débats qu’elle suscite (Jurieu, Jean Claude, Bayle) ; 3°- une dimension juridico-politique pose la question de la place relative du roi et de la loi et, à travers celle de la fiscalité, celle du roi et du patrimoine de ses sujets (Le Vassor) ; 4°- une dimension historico-burlesque parodie l’histoire galante satirique et s’attaque aux deux corps du roi, charnel et spirituel, en le représentant comme un concupiscent devenu impuissant et comme un bigot inepte et sans élévation. Cette nébuleuse de textes représente une « masse critique » trop négligée, modifiant la perception trop atone que l'on peut se faire du dernier XVIIe siècle et du premier XVIIIe siècle. Par un effet de masse plus considérable que les textes fondateurs de l'économie politique ou du jusnaturalisme, elle constitue un moment inaperçu de la pensée et des imaginaires politiques, cristallisant des idées et des modes de représentation nouveaux, diffusant un certain nombre d'évolutions et de changements de perspectives, bien au-delà du champ politique : au sein même de la littérature pamphlétaire et satirique, qu’elle investit et transforme (Trois volumes, 1021 p., plus un volume de bibliographie, 58 p). IV - Publications d’ouvrages — Littérature de contestation : Pamphlets et polémiques du règne de Louis XIV aux Lumières, Paris, Le Manuscrit Recherche-Université, coll. « Réseau Lumières », 2011, 427 p. (disponible en ligne sur Manuscrit.com). Ouvrage collectif dirigé par Pierre Bonnet, Actes du colloque de Tours, 5-6 novembre 2009 : « Littérature pamphlétaire et littérature politique clandestine (1650-1750) ». Présentation : Au cours du règne de Louis XIV, émerge une « histoire critique », histoire du présent ou du passé le plus récent, qui s’affranchit totalement de l’histoire officielle pour juger et critiquer la politique du roi à l’aune de celle des autres princes de l’Europe. Littérature de dissidence, cohérente et très réactive, publiée généralement dans les Provinces-Unies et relayée par les gazettes, elle se fait d’abord diplomaticopolitique (Lisola et ses suiveurs), puis théologico-politique (liée à la Révocation et à la question de la tolérance), enfin centrée sur la politique intérieure du royaume, en lien à la fois avec la critique aristocratique et l’économie politique naissante. L’opposition culmine dans les petits romans historico-burlesques des années 1690, attaquant directement le roi et son entourage, points de convergence de cette « crise de l’histoire» et d’une « crise du roman » qui fait évoluer l’histoire galante vers des formes satiriques jusque là inexplorées. La Régence, libérant un temps les discours de contestation, parvient à récupérer, amortir ou disséminer la virulence des critiques. Et si la veine pamphlétaire cesse d’être diplomatico-politique (la paix) ou juridico-politique (on ne remet plus en cause la monarchie absolue), elle réinvestit du coup la sphère politico-religieuse : les interminables controverses qu’occasionnent la bulle Unigenitus et ses suites jouent un rôle moteur dans le processus de politisation de l’opinion. La contestation épouse la cause des deux partis, cherchant une audience élargie dans des formes variées d’interpellation, les plus susceptibles de caricaturer l’adversaire et de durcir les antagonismes. De la crise de la conscience européenne aux prémices des Lumières, il s’agit de découvrir, à travers la littérature pamphlétaire et polémique, quelques lieux précoces, largement inaperçus, de la constitution d’une opinion publique, mais aussi de la captation de cette opinion par des formes inédites de propagande. — Publication de la thèse en cours. Titre : La littérature en langue française contre Louis XIV. Contribution à une histoire des imaginaires politiques à l’aube des Lumières (1661-1715). V - Publications d’articles . Sur la littérature pamphlétaire et satirique entre 1650 et 1750 : 1. « Peut-on parler d’une légende noire pour Louis XIV comme pour Louis XV ? La question des modalités du genre pamphlétaire dans la constitution d’une leyenda negra ». Communication dans le cadre du colloque international : «Légendes noires, légendes dorées, ou comment la littérature fabrique l’histoire (XVIIe-XIXe siècle)», Université de Nantes, 5-6 décembre 2013, sous la direction de Nathalie Grande, Sylvain Ledda et Chantal Pierre (à paraître aux Presses Universitaires de Rennes). 2. « Des “Vies privées” avant les Vies privées ? Biographies et libelles de la fin du règne de Louis XIV à la Régence », Actes du colloque international « Biographie et politique », Lyon, 17-18 mars 2011, organisé par l’équipe XVIIIe siècle de l’UMR LIRE (CNRS-Lyon 2). Publié dans Biographie et politique. Vie publique, vie privée, de l’Ancien Régime à la Restauration (dir. Olivier Ferret et Anne-Marie Mercier-Faivre), Lyon, Presses universitaires de Lyon, 2014, p. 27-43. 3. « Figures et configurations de la littérature politique clandestine du règne personnel de Louis XIV au premier XVIIIe siècle », Littérature de contestation : Pamphlets et polémiques du règne de Louis XIV aux Lumières (ouvrage collectif sous la direction de Pierre Bonnet), Paris, Le Manuscrit, coll. « Réseau Lumières » dirigée par Jean-Jacques Tatin-Gourier, 2011, p. 13-71. Il s’agit de la préface du volume d’actes que j’ai dirigé. 4. « La grande satire historico-burlesque des années 1690 : la privatisation radicale de l’image royale. » Communication dans le cadre du colloque international : « Louis XIV : l’image et le mythe », organisé par le Centre de Recherche du Château de Versailles (CRCV), 21, 22 et 23 janvier 2010. Publié dans : « Louis XIV : l’image et le mythe » (dir. Mathieu da Vinha, Alexandre Maral et Nicolas Milovanovic), coédition Presses Universitaires de Rennes / Centre de recherche du château de Versailles, coll. « Aulica. L’univers de la cour », 2014, p. 229-241. 5. « Du libelle politique à la satire burlesque contre Louis XIV dans les fonds des bibliothèques publiques françaises : champs et lignes de force d’une contre-histoire du règne », Lyon, Bulletin de la Société historique de Lyon, 2011, p. 143-169. 6. « De la critique à la satire : trente années d’opposition pamphlétaire à Louis XIV », Bulletin de la Société de l’Histoire du Protestantisme, n° 157/1, Paris, Droz, 2011, p. 23-61. 7. « L’énigmatique recueil satirique Les Héros de la Ligue ou la procession monacale (1691) : critique cryptée de la présence réelle et des deux corps du Roi », Ridiculosa, « Caricature et littérature » n°16, décembre 2009 (sous la direction d'Alain Deligne, Margarethe Potocki et Marie Delépine), p. 141-159. . Sur la question de l’autorité politique et les discours fondateurs de la tolérance de l’Âge classique aux Lumières : 8. « Le positionnement spécifique et problématique de Diderot dans l’article “Autorité politique“ de l’Encyclopédie ». Communication dans le cadre du colloque international interdisciplinaire : « Les paradigmes de l’autorité », Université François-Rabelais de Tours, 29, 30 et 31 janvier 2014 (à paraître). 9. « Tolérantisme et anti-catholicisme chez les polémistes protestants à l’aube des Lumières : le cas Basnage de Beauval (1657-1710). » Communication dans le cadre du XIIe colloque du Centre International de Rencontres sur le XVIIe siècle : « La France et l’Europe du Nord au XVIIe siècle : de L’Irlande à la Russie », Université de Durham, Angleterre, 26-30 mars 2012 (à paraître : Tübingen, Éditions Gunter Narr Verlag, coll. « Biblio 17 »). 10. « La pensée théologico-politique de Pierre Jurieu (1637-1713) : évolution ou involution ? », Entre Calvinistes et Catholiques. Les relations religieuses entre la France et les Pays-Bas du Nord (XVIe - XVIIIe siècle), sous la direction d’Yves Krumenacker avec la collaboration d’Olivier Christin, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2010, p. 275-293. . Sur la vision de l’Europe et la naissance d’un journalisme politique européen (1680-1720) : 11. « La naissance d’un journalisme politique européen et d’une nouvelle raison interétatique ? L’exemplarité du Mercure historique et politique de Courtilz de Sandras. » Communication dans le cadre du 13e Congrès international d’études du XVIIIe siècle, Graz, Autriche, 25-29 juillet 2011, Section B, Atelier BSO41 : « L’Europe dans les journaux d’expression française » (à paraître ultérieurement). 12. « Quand la France agressait le monde : la “Monarchie universelle” de Louis XIV, une notion clé de la pensée politique, de Campanella à Montesquieu », Échos du Grand Siècle, Paris, Littératures classiques, n° 76, 2011 (dir. Guy Spielman), pp. 133-146. Actes du XIe colloque du Centre International de Rencontres sur le XVIIe siècle : Le Rayonnement de la France à l’âge classique, Université de Georgetown, Washington D. C., 24-27 mars 2010. 13. « De la “Monarchie Universelle” de Louis XIV aux “Intérêts des Princes” : concepts polémiques constitutifs de la pensée politique à la fin du XVIIe siècle », Littérature de contestation : Pamphlets et polémiques du règne de Louis XIV aux Lumières (dir. Pierre Bonnet), Paris, Le Manuscrit Recherche-Université, coll. « Réseau Lumières », 2011, p. 117-136. 14. « L'exil d’Henri de Rohan et le devoir d’écrire : la recherche d'une légitimation, entre désir de réhabilitation et poursuite cryptée du combat », Le bannissement et l’exil en Europe aux XVIe et XVIIe siècles, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, « La Licorne », n° 94, 2010, p. 231-259. . Sur les Mémoires de l’Ancien Régime : historicisation et mise en scène de soi : 15. « Les Mémoires (1724) de Gourville entre Mémoires aristocratiques et Mémoires bourgeois : une logique d'interface ? » Communication dans le cadre des journées d’étude : « Les minores des mémoires sous l’Ancien Régime : un territoire oublié ? », Tours, 31 mai - 1er juin 2012, organisées par Marie-Paule de Weerdt-Pilorge (Équipe « Histoire des représentations » de l’Université François-Rabelais de Tours, en lien avec le groupe de recherche « Mémorialistes de l’Ancien Régime » de Nantes (à paraître aux Éditions Le Manuscrit, coll. « Réseau Lumières », dirigée par Jean-Jacques Tatin-Gourier). 16. « Les Mémoires (1696) de Bussy-Rabutin entre Mémoires et journal : indocilité, servitude volontaire et construction du ressentiment », Communication dans le cadre des journées d’étude : « Mémoires-journaux et journaux sous l’Ancien Régime », Tours, 3-4 juin 2010, organisées par Marie-Paule de Weerdt-Pilorge (Équipe « Histoire des représentations » de l’Université François-Rabelais de Tours, en lien avec le groupe de recherche « Mémorialistes de l’Ancien Régime » de Nantes. Article paru dans Mémoires et journaux sous l'Ancien Régime, Paris, Éditions Le Manuscrit, coll. « Réseau Lumières », dirigée par Jean-Jacques Tatin-Gourier, 2013, p. 125-161. VI - Participations à des colloques 1°- Colloque international : « Entre Calvinistes et Catholiques. Les relations religieuses entre la France et les Pays-Bas du Nord (XVIe - XVIIIe siècle) », Lyon, 27, 28 et 29 septembre 2007, organisé par Yves Krumenacker et Olivier Christin. 2°- Journée d’étude : « Le bannissement aux 16e et 17e siècles en Europe », Université de Paris X - Nanterre, 2 octobre 2009, organisée par l'équipe FORELL (EA 3816) et le CREA (EA 370). 3°- Organisation d’un colloque : « Littérature pamphlétaire et littérature politique clandestine (1650-1750) », Tours, 5-6 novembre 2009, avec Jean-Jacques Tatin-Gourier (Équipe « Histoire des représentations » de l’Université François-Rabelais de Tours). Seize intervenants : Olivia Ayme, Samy Ben Messaoud, Pierre Bonnet, Sébastien Drouin, Henri Duranton, Fadi El Hage, Didier Gambert, Stéphane Haffemayer, Laurent Lemarchand, Florence Lotterie, Antony McKenna, Stanis Perez, Solange Rameix, Jean Schillinger, Jean-Jacques Tatin-Gourier, Mylène Tremblay. 4°- Colloque international : « Louis XIV : l’image et le mythe », Château de Versailles, organisé par le Centre de Recherche du Château de Versailles (CRCV), 21, 22 et 23 janvier 2010. Colloque lié à l'exposition « Louis XIV : l'homme et le roi » (château de Versailles, 19 octobre 2009 7 février 2010). 5°- Colloque international : « Le Rayonnement de la France à l’âge classique », Université de Georgetown, Washington D. C., 24-27 mars 2010, XIe colloque du Centre International de Rencontres sur le XVIIe siècle (CIR 17), organisé par Guy Spielman. 6°- Journées d’étude : « Mémoires-journaux et journaux sous l’Ancien Régime », Tours, 3-4 juin 2010, organisées par Marie-Paule de Weerdt-Pilorge (Equipe « Histoire des représentations » de l’Université François-Rabelais de Tours, en lien avec le groupe de recherche « Mémorialistes de l’Ancien Régime » de l’Université de Nantes, responsables : Jean Garapon, Christian Zonza et Philippe Hourcade). 7°- Colloque international : « Bayle et la pensée politique de son temps », Bordeaux, 24, 25 et 26 novembre 2011, organisé par l’Université Montesquieu-Bordeaux IV, en partenariat avec l’Institut Claude Longeon, Université Jean-Monnet de Saint-Etienne, et coordonné par Philippe Fréchet [Participation sans communication]. 8°- Colloque international : « Biographie et politique 1700-1830 », Lyon, 17-18 mars 2011, organisé par l’équipe XVIIIe siècle de l’UMR LIRE (CNRS - Lyon 2) (Olivier Ferret, Anne-Marie Mercier-Faivre, Denis Reynaud et Pascale Ferrand). 9°- Congrès international d’études du XVIIIe siècle, Graz, Autriche, 25-29 juillet 2011, Section B, Atelier BSO41 : « L’Europe dans les journaux d’expression française » (présenté par l’équipe XVIIIe siècle de l’ UMR LIRE (CNRS - Lyon 2)). 10°- Colloque international : « La France et l’Europe du Nord au XVIIe siècle : de L’Irlande à la Russie », Université de Durham, Angleterre, 26-30 mars 2012, XIIe colloque du Centre International de Rencontres sur le XVIIe siècle (CIR 17), responsable : Richard Maber. 11°- Journées d’étude : « Les minores des Mémoires sous l’Ancien Régime : un territoire oublié ? », Tours, 31 mai-1er juin 2012, organisées par Marie-Paule de Weerdt-Pilorge (Equipe « Histoire des représentations » de l’Université François-Rabelais de Tours, en lien avec le groupe de recherche « Mémorialistes de l’Ancien Régime » de l’Université de Nantes, responsables : Jean Garapon, Christian Zonza et Philippe Hourcade). 12°- Colloque international : « Légendes noires, légendes dorées, ou comment la littérature fabrique l’histoire (XVIIe-XIXe siècle) », Université de Nantes, 5-6 décembre 2013, sous la direction de Nathalie Grande, Sylvain Ledda et Chantal Pierre. 13°- Colloque international : « Paradigmes de l’autorité », Université François-Rabelais de Tours, 29, 30 et 31 janvier 2014.