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Technologies web et multimedia - O.Gomel Technologies web et multimedia cours de Licence professionnelle Multimedia Oct 2006 intervenant : Olivier Gomel page 1 Technologies web et multimedia - O.Gomel Technologies web et multimedia cours de Licence professionnelle Multimedia Oct 2006 1 1 La veille technologique Multimédia En gros Utilité Moyens Méthodologie Exercice de recherche documentaire 3 3 3 3 4 4 Etapes de la veille Surveillance Exploitation 5 5 6 langage > format > technologie Qu’est-ce qu’un format ? Les formats ouverts: Les formats propriétaires: Qu’est-ce qu’un langage informatique ? Et une technologie ? 7 7 7 8 8 8 Petit inventaire du statique Les pages : le texte, l’HTML, le PDF statique, L’encodage de texte 9 9 10 Statique multimedia : les images, la vidéo, l’animation, la 3d... 11 L’image 11 L’animation 11 La Vidéo 12 Le son 12 La 3D ? 13 Exercice 13 Les contenus traités par un programme tiers (technologies serveur et bases de données...) 14 le web dynamique : 14 Un petit tour sur le problème des noms de domaine 15 Serveur informatique: 15 Langage de programmation 16 Les protocoles de streaming video 17 le «semi-dynamique» XML 17 Notions transversales 18 Technologies cumulées : Le cas des CMS 19 Exercice 19 Références les formats les standards du web Images Multimedia Noms de domaine : Informatique générale MacOs Graphisme Mise en page web : CSS Flash Outils logiciels, technologies 21 21 21 21 21 21 22 22 22 22 22 23 page 2 Technologies web et multimedia - O.Gomel La veille technologique Multimédia En gros Par veille technologique, on dénomme une démarche qui consiste à s’informer sur un sujet donné, en relation avec des technologies : - un produit - langage, - format, - logiciel - matériel... - un procédé ou une méthode - l’évolution d’un environnement - scientifique, - technique - et parfois socioculturel On parle aussi de veille stratégique, concept qui englobe généralement la veille technologique. Mais la veille technologique est aussi considérée comme stratégique. Utilité La finalité de la veille pour un professionnel du multimedia est la même que pour une entreprise : garantir sa compatibilité avec la demande, garantir que ce qu’il sait faire évolue dans le sens de ce qu’il peut vendre (et qu’il ne va pas se retrouver à essayer de vendre trop cher des savoirs dépassés). la veille technologique est aujourd’hui un support indispensable dans la prise de décision à moyen et long terme. Moyens La veille implique le développement des savoirs dans ces métiers du multimedia qui évoluent vite et dont de nouvelles disciplines naissent tous les jours. En outre, la convergence des outils amène une tendance à la fusion entre problématiques artistiques / ergonomiques / techniques (le webdesigner doit désormais connaitre les css, l’html, et d’autres technologies loin de la pure illustration, le développeur doit connaitre l’accessibilité et la hiérarchie de l’information). Le développement des savoirs permet d’anticiper des évolutions, de s’y préparer, et en même temps de découvrir des nouvelles compétences et élargir son profil, comme une société diversifie peu à peu ses champs d’expertise (si elle fait ce qu’il faut pour cela). page 3 Technologies web et multimedia - O.Gomel Méthodologie Elle se décompose en deux parties principales : -> la surveillance de l’environnement -> l’exploitation des informations fournies. Plusieurs questions sont posées par l’activité de veille : - Où chercher ? - Comment analyser intelligement les informations recueillies ? Qu’est-ce qui a de la valeur pour moi ? - Comment les classer en évitant la saturation ? Mais la veille implique aussi une réflexion sur l’intégration de nouvelles technologies dans une activité, ce qui peut se traduire par cette question terre-à-terre : - à quel moment puis-je commencer à vendre des services et des prestations autour d’une technologie que je suis en train d’apprendre ? En effet : accepter par exemple de réaliser un site flash alors que l’on en n’a jamais fait représente un risque important. En même temps, ne pas le faire alors qu’on s’entraine dessus vous prive d’une raison légitime d’approffondir vos connaissances. La veille aide à peser ce choix pour chaque situation car vous finirez par savoir de plus en plus précisément le temps dont vous avez besoin pour intégrer tel ou tel type de technologie selon sa proximité de vos compétences à ce moment. Exercice de recherche documentaire En fonction de vos centres d’intéret techniques (graphisme, animation, développement, gestion de projet, video..), trouvez : - Dix mots-clefs sur le web qui reviennent à beaucoup de vos recherches - Dix sites web proposant des contenus intéressants et fiables sur ce sujet. Effectuer un classement hiérarchique subjectif des deux listes, mmotivé par une mini-description Stockez le tout sur une page web, en ligne. page 4 Technologies web et multimedia - O.Gomel Etapes de la veille Surveillance Recherche - travail introspectif (vaut pour une société aussi) : - qu’est-ce j’aime faire ? - qu’est-ce que je sais faire ? - ai-je envie de faire plus, mieux, différemment - quelles sont mes lacunes ? - quelles sont les lacunes de mon réseau ? - Etude du marché : qu’est-ce qui manque à mon public ? - Consultation d’encyclopédies, de forums, de sites pédagogiques - Culture transversale (contextes sociologiques, économiques, activité des medias, décisions politiques liées au TIC ou à la culture, recherche artistique ou scientifique, cognition, esthétique... Collecte - Abonnement à des flux RSS - Abonnement à des podcast - Inscrption à des listes de discussion - participation à des rencontres professionnelles - Information sur la concurrence (prestataires, produits...) Diffusion (et échange) - publication sur le web des analyses effectuées (à travers des petits articles, des listings de liens...) - démarche d’identification d’un réseau d’utilisateurs - participation à des rencontres d’utilisateurs - Création de forums et d’outils de collecte et d’analyse participatifs page 5 Technologies web et multimedia - O.Gomel Exploitation Traitement - Création de prototypes - Petits rapports prospectifs - si je savais comment, je pourrais faire ci ou ça) - Contribution collective - Session de travail collectif autour d’une technologie, - Ateliers d’échanges de compétences et d’entre-aide Analyse validation - Fiabilité : est-ce que ça marche ? (exemples externes !) - Viabilité : - est-ce que ça va marcher longtemps ? - est-ce que ça va marcher de mieux en mieux ? - Interopérabilité : - quelle est la compatibilité entre cette technologie et celles que j’utilise actuellement ? - Représente t-elle une progression douce ou une révolution ? - Cette technologie se rapprche t’elle d’une approche standard ou s’en éloigne t’elle ? (ai-je des chances de truver d’autres personnes qui l’utilisent ?) - L’utilisation de cette technologie est-elle rentable ? - Dans quelle mesure elle l’est ou peut le devenir ? (si certaines décisions entrainent une perte d’argent pendant un certain temps, il faut justifier la façon dont cette perte sera compensée). - Mon public actuel sera t-il disposé et en capacité de l’acheter ? - Sinon, vais-je pouvoir solliciter un public plus adapté. - Evaluation de la pertinence d’une intégration à court terme / long terme dans l’activité : - est-ce à moi de l’intégrer ou vaut-il mieux trouver une ressource externe pour travailler avec moi (prévoir un moyen dans ce cas d’identifier et d’évaluer les compétences d’un collaborrateur) ? Utilisation - Je me lance. Selon l’état d’avancement des travaux : - je le vends, - diffusion gratuite d’un prototype (version beta) sexy pour le faire tester et avoir des retours sur la façon d’améliorer. page 6 Technologies web et multimedia - O.Gomel Notre base de réflexion est l’internet car ses contraintes illusrent bien l’ensemble des problèmes technologiques qui se posent à nous, tout en exigeant des réponses très standards pour des contenus très disparates, que ce soit pour la production ou la diffusion des contenus. langage > format > technologie Qu’est-ce qu’un format ? Que vous écriviez un article, modifiez une image, construisiez une page web, écoutiez un morceau de musique ou regardiez un film sur votre ordinateur, vous avez à faire à des fichiers. Pour que ces fichiers puissent être ouverts, lus ou modifiés par vos logiciels préférés, il faut qu’ils aient un format. Un format est ce qui permet à un logiciel d’interpréter les données brutes d’un fichier. C’est, autrement dit, le mode de représentation de ces données. Souvent, les formats des fichiers sont indiqués par leur extension : le suffixe (souvent trois lettres) attaché au nom de fichier. Par exemple : mapageweb.htm est un fichier en format HTML. Il existe des formats spécifiques pour les images (par exemple JPEG, PNG, GIF, TIF, BMP), pour les textes sans mise en forme (ASCII, souvent indiqué comme TXT), pour les textes avec mise en forme (HTML, RTF, DOC), pour les pages prêtes à l’impression (PDF, PS) etc. Les formats ouverts: On dira que le format d’un fichier est ouvert si le mode de représentation de ses données est transparent et/ou sa spécification appartient au domaine public. Il s’agit principalement de standards établis par des autorités publiques ou des institutions internationales, dont le but est de fixer des normes assurant l’interopérabilité entre logiciels. Il existe pourtant plusieurs cas de formats ouverts promus par des entreprises ayant décidé de rendre publique la spécification de leurs formats. Il est à noter qu’un format ouvert peut être codé de manière transparente (lisible dans n’importe quel éditeur texte: c’est le cas des langages de markup) ou bien en format binaire (illisible dans un éditeur texte, mais complètement déchiffrable par la spécification publique fournie par le producteur). Le Journal Officiel n°143 du 22 juin 2004 publie la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique (référence NOR: ECOX0200175L) - voir encadré. Cet article de loi devrait éviter l’utilisation des formats (ou protocoles) fermés et permettre ainsi le libre accès aux informations. C’est une première : il est donc désormais possible d’avancer un argument de droit en faveur des standards ouverts. loi 2004-575 du 21 juin 2004 Titre Ier (De la liberté de communication en ligne), Chapitre Ier (La communication au public en ligne), Article 4 : On entend par standard ouvert tout protocole de communication, d’interconnexion ou d’échange et tout format de données interopérable et dont les spécifications techniques sont publiques et sans restriction d’accès ni de mise en œuvre. Version en ligne http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTex teDeJorf?numjo=ECOX0200175L Cela signifie donc : - des protocoles et des formats de données indépendants d’un logiciel particulier, d’un système d’exploitation ou d’une société - des spécifications techniques documentées, publiées, non payantes, sans brevet dessus, sans royalties dessus. page 7 Technologies web et multimedia - O.Gomel Les formats propriétaires: On dira qu’un format est propriétaire si le mode de représentation de ses données est opaque et sa spécification n’appartient pas au domaine public. Il s’agit de formats devéloppés par des entreprises afin de coder les données d’une application qu’elle produit : seuls les logiciels produits par cette entreprise seront capables de lire correctement et complètement les données contenues dans un fichier à format propriétaire. Les formats propriétaires peuvent être légalement protégés par des brevets et imposer le versement de royalties à tous ceux qui les utilisent. Qu’est-ce qu’un langage informatique ? Un langage recouvre ces notions : - Un univers sémantique - Une syntaxe, une grammaire - Des champs d’application (travail, execution, accès)... - D’innombrables caractéristiques techniques (interprété/ compilé/source) Et une technologie ? Egalement un ensemble de notions, dont les langages : publics (jeunes, professionnels, français, célibataires...) champs d'application (le web, la vidéo, les téléphones portables 3G...) formats (xhtml, mp3,flv...) outils de développement (Dreamweaver, JDK, Photoshop, Blender...) technologie outils de diffusion (Navigateur web, Plugins, lecteurs, matériel...) langages (HTML, C,etc...) Néanmoins, leurs relations ne sont pas systématiques et constituent un grand nombre de particularités. page 8 Technologies web et multimedia - O.Gomel Tous les formats évoqués ici sont listés avec liens vers des définitions claires sur cette page : http://vibrisse.marsnet. org/spip/article.php3?id_article=65 Petit inventaire du statique Les pages : le texte, l’HTML, le PDF statique, HTML et hypertexte Définition Pages web prédéfinies, créées une fois pour toutes à l’aide d’un éditeur HTML. Le contenu des pages est fixe. Mises à jour Ces mises à jour demandent un minimum de compétences techniques (maîtrise du langage de programmation et du webdesign). Un principe : plus un site statique est volumineux et plus sa mise à jour est fréquente, plus celle-ci sera lourde à gérer. Le site statique implique également un risque de dépendance forte vis-à-vis du webmaster (problème de transmission des compétences et de goulot d’étranglement lié à sa charge de travail). Fonctionnalités Limitées en terme d’interactivité. Il est par exemple difficile d’utiliser des fonctionnalités liées à des bases de données. Hébergement Pas de contraintes particulières, les sites statiques représentent la forme élémentaire du Net à laquelle les hébergeurs sont habitués. Prix de revient et coûts de maintenance Le coût de développement initial est moins élevé, sauf si le site est particulièrement volumineux. Mais la mise à jour revient plus cher à la longue (recours à un prestataire si les compétences ne sont pas présentes en interne, et si elles le sont, le webmaster met plus de temps à réaliser les mises à jour qu’avec un outil de gestion de contenus). PDF Le Portable Document Format (qui se traduit de l’anglais en « format de document portable »), généralement abrégé PDF. L’avantage du format PDF est qu’il préserve les polices, les images, les objets graphiques et la mise en forme de tout document source, quelles que soient l’application et la plate-forme utilisées pour le lire. Les fichiers PDF peuvent être créés avec des options personnalisées, tant pour la compression des images et des textes, la qualité d’impression du fichier, que le verrouillage (interdiction d’impression, de modification...). Le PDF est dérivé du format PostScript et contient des données au format XML. page 9 Technologies web et multimedia - O.Gomel Généralement statique, le format PDF peut aussi être interactif : il est en effet possible (grâce à Acrobat Pro) d’incorporer des champs de textes, des menus déroulants, des choix, des calculs (on parle alors de formulaire PDF), des vidéos... sur un document universel PDF. Pour les webmaster, il est possible de générer du PDF de façon dynamique grace à PHP. Il existe pour cela des bibliothèques, telles que FPDF class. Il n’y a rien à installer, mais leur programmation reste assez complexe pour un débutant. Les autres formats - ODT : Un format texte ouvert pour le traitement de texte, le web ET la mise en page (OpenOffice2) - RTF : Préservation relative de la mise en page - DOC : Le format texte de microsoft - TXT : le texte pur L’encodage de texte ISO et UTF Les différences entre alphabets pose des problèmes au niveau international car il existe plusieurs standards pour encoder ces caractères. Sur le web on trouve essentiellement l’ISO-8859-1 (occidental), l’UTF (unicode, universel, en version 8 ou 16). Le sale caractère des polices voir http://www.adobe.com/fr/type/topics/info9.html pour la définition claire de chaque format de police. seules les polices OTF, Open Type Fonts, sont compatibles entre plusieurs systèmes dans les deux sens. les polices True Type le sont de façon aléatoire. page 10 Technologies web et multimedia - O.Gomel Statique multimedia : les images, la vidéo, l’animation, la 3d... L’image Sur le web, l’utilisation des images est soumise à des règles précises : - Formats Gif, Jpeg, Png... SVG bientôt - Résolution 72 dpi obligatoire (sauf pour des images contenues dans des animations flash). Attebtion ; les mesures en cm sont inopérantes sur le web. seule compte la quantité de pixels. - Compression pour alléger l’image (pas plus de 20k pour une illustration, 100k pour une phot de bonne qualité, 300k si elle est en plein écran et en qualité maximum). autre paramètre, la taille d’un écran peut aller de 800 à 2400 pixels affichés, 1024 en moyenne. prévoir les dimensions d’images en conséquence. - Colorimetrie RVB - Rouge Vert Bleu et non CMJN - Couche alpha (transparente) possible sur Gif et Png à l’opposé des images transmises pour l’édition : - En Format Tiff ou EPS (ou PDF) - En Haute résolution (>300 dpi) - Non compressées - Colorimetrie CMJN-Cyan Magenta Jaune Noir / PANTONE - Aplaties L’une ou l’autre des exploitations provennant des mêmes formats de travail comme PSD, AI... PNG multicalques. Le Jpeg peut aussi être généré dynamiquement par PHP. L’observation du web nous permet d’associer l’attribution des formats d’export d’image à différentes utilités (shémas et logos en gif, photos en jpeg, etc...). L’animation Les outils d’animation ne sont pas très nombreux mais demeurent répandus : Flash, essentiellement... qui permet de créer des animations interactives (capable d’assembler des images, des sons, des textes extérieurs, n’importe quelle police de caractère, des programmes puissants). Notez bien que les animations exportées au format Flash 8 ne sont pas lisibles sur Linux avant le printemps 2007. Adobe fait peu d’efforts pour cette plateforme, à ses risques et périls... exportez donc en flash 7 quand c’est possible. Les applets Java présentent des caractéristiques approchantes mais leur environnement de développement est moins soigné. Cela devrait êrte résolu progressivement avec l’association SVG/EcmaScript. Quicktime propose également un envirronnement intéressant pour la vidéo et même les programmes interactifs, mais la documentation de développement n’est franchement pas bien gérée par Apple. page 11 Technologies web et multimedia - O.Gomel La Vidéo La video statique est essentiellement proposée sous forme de films Real (fichiers .rm), Quicktime (.mov, .mpg), en WindowsMedia (.wmw), et Oog Tarkin plus récemment. Toutes ces technologies requièrent un plug-in pour fonctionner : un petit applicatif qui se greffe au navigateur web. le format d’une video ou d’un son n’est pas leu seul élément discriminant : l’encodage est une donnée primordiale (H.264 ou divx par exemple, influent sur les outils de lecteure et nécessitent le téléchargement d’un codec, en plus deu plug-in de base) Les acteurs de la vidéo restent ceux du son au niveau des lecteurs. Le cas Flash Video - FLV Publier une vidéo dans une page web n’est pas toujours évident : selon le format (AVI, MPG, MOV...) tout le monde ne possède pas forcément le bon plugin et le bon codec. En revanche, la quasi-totalité des navigateurs possèdent le plugin Flash (lecteur SWF). Flash est capable de faire de la vidéo en streaming. Le paramétrage du streaming et de l’affichage de la vidéo y est très souple et autorise l’interactivité. La facade de lecture (boutons play pause, barres...) peut être entièrement redessinée / reprogrammée. De plus, le démarrage de l’affichage des vidéos Flash est nettement plus rapide que pour Real ou WMV. Le logiciel Flash video encoder, fourni avec Flash 8 permet de transformer une video en fichier FLV mais il existe aussi des encodeurs gratuits. Le son Les problèmatiques du son sont celles de la vidéo et des images : l’obention d’un meilleur rapport qualité/poids possible. le son compressé est devenu une norme pour des raisons de convergence technique (musique mp3) mais la guerre des DRM (microprogrammes de «surveillance» installé par le vendeur dans le fichier de musique), qui nuit à l’interopérabilité des morceaux (et à la liberté du public !) a redéfini l’échiquier ds technolgies en laissant une large brèche pour l’implentation de formats ouverts (vu qu’on ne peut pas écouter avec iTunes de la musique achetée chez Sony par exemple, alors que le format Oog Vorbis, après avoir fait la preuve de sa supériorité sonore, est lisible sur de plus en plus de lecteurs). page 12 Technologies web et multimedia - O.Gomel La 3D ? La 3D sur internet est une histoire passionnelle d’amourhaine depuis des années. Actuellement on peut considérer que la technologie 3D la plus standard est celle de Adobe Director : Shockwave, le «grand frère» de Flash qui tourne dans un dialecte particulier : le LINGO. Il faut un plug-in pour la lire et je ne crois pas qu’il soit possible d’en fabriquer sans Director, logiciel coûteux et sans concurrence. VRML Le VRML est un format qui a nourri beaucoup d’espoirs : un fichier 3D en langage de Markup (type XML) interprété. L’échec de cette technologie est elle-même un roman mais a abouti récemment à la naissance d’un nouveau standard qui ravive l’espoir d’un internet en 3D pour bientôt : X3D. Accessible, ouvert, simple, prometteur. Seul problème pour le moment : il faut un navigateur spécifique ! Pseudo-3D ? Il existe en outre des technologies de Pseudo-3D comme le Quicktime VR : panormama en perspective et navigable, manipultion d’un bjet sous tous les angles basé sur une successsion de photos... Flash peut aussi s’avérer efficace en pseudo-3D, notamment avec l’appui d’outils comme Swift3D qui préparet des objets 3DS ou Maya vers SWF. Exercice -Trouver quel est le format multimedia le plus utilisé. en citer trois autres existants sur le web. -Touver un outil de traitement du son et de la vidéo baséé sur des formats ouverts. page 13 Technologies web et multimedia - O.Gomel Les contenus traités par un programme tiers (technologies serveur et bases de données...) le web dynamique : Sites web dont les pages HTML se construisent lors de sa consultation par un internaute, en sollicitant des bases de données filtrées par des outils logiciels de mise en forme. Evolutivité Si la majorité des paramètres du site sont destinés à être pérennes, la solution dynamique est à privilégier. La solution est également préférée pour des sites à forte volumétrie ou intégrant de flux d’origine diverses. Mises à jour Elles sont facilitées, tant sur le fond que sur la forme, grâce aux outils d’administration et à une meilleure séparation entre le fond et la forme. Ces mises à jour ne demandent pas de compétences techniques particulières et se font via un outil de gestion de contenus. La formule est notamment beaucoup plus adaptée en cas de contributeurs multiples (boucles de workflow possibles), et de mises à jour très fréquentes. Fonctionnalités Plus avancées grâce à l’utilisation de bases de données (moteur de recherche, interactivité, personnalisation...). Elles deiennet inopérantes avec des données sur CD_ROM, support interditsant la modification et l’écriture. Référencement Le référencement des sites dynamiques ne nécessite pas forcément de recourir à des artifices tels que les pages alias ou les pages satellites. Il suffit que le référencement soit pris en compte dès la conception du site. Un bon référencement dépendra de la façon dont le site aura été développé. Hébergement Plus de contraintes en théorie, car l’hébergeur doit permettre la mise en place de scripts et de bases de données correspondant aux technologies utilisées. Prix de revient et coûts de maintenance Le coût de développement initial est en général plus élevé, sauf si le site est particulièrement volumineux. Mais ce surcoût est amorti en raison des économies réalisées sur la mise à jour. En revanche, une refonte plus globale que des simples mises à jour sera souvent plus coûteuse : elle nécessite de reparamétrer l’outil de gestion de contenus. page 14 Technologies web et multimedia - O.Gomel Un petit tour sur le problème des noms de domaine Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nom_de_domaine Serveur informatique: L’architecture client serveur désigne un mode de communication entre des logiciels. Un logiciel envoie une requête à un logiciel serveur qui lui répond, le tout suivant un protocole de communication. Par abus de langage, on appelle serveur informatique une machine qui fait tourner un programme serveur. Un serveur informatique, appelé serveur lorsque le contexte s’y prête, est donc un ordinateur ou un programme informatique qui rend service aux ordinateurs et logiciels qui s’y connectent à travers un réseau informatique, les clients. Ce service peut consister à stocker des fichiers, transférer le courrier électronique, héberger un site Web, etc... Il est possible pour un ordinateur d’être client et serveur en même temps. Serveur HTTP Un serveur HTTP ou démon HTTP ou HTTPd (HTTP daemon) ou (moins précisément) serveur Web, est un logiciel servant des requêtes respectant le protocole de communication client-serveur HyperText Transfer Protocol (HTTP), qui a été développé pour le World Wide Web. D’autres ressources du Web comme les fichiers à télécharger ou les flux audio ou vidéo sont en revanche fréquemment servies avec d’autres protocoles. Serveur FTP Un serveur FTP (pour File Transfer Protocol) permet, comme son nom l’indique de transférer des fichiers par Internet. Si vous en avez l’autorisation, vous pouvez télécharger et envoyer des fichiers sur un ordinateur distant faisant fonctionner un tel serveur. l’accès FTP d’un site est à l’accès HTTP ce que les coulisses d’un théâtre sont à son entrée principale. Serveur de messagerie électronique Un serveur de messagerie électronique est un logiciel serveur de courrier électronique. Il a pour vocation de transférer les messages électroniques d’un serveur à un autre. Un utilisateur n’est jamais en contact direct avec ce serveur mais utilise soit un client e-mail, soit un webmail, qui se charge de contacter le serveur pour envoyer ou recevoir les messages. Serveur d’applications Des applications interviennent dans toutes les étapes du processus métier, de la création à la comptabilité. Ces applications, qui étaient souvent disposées sur différents postes, sont aujourd’hui de plus en plus centralisées sur des serveurs d’application. Ces serveurs sont de larges systèmes contenant les différentes applications d’une communauté. page 15 Technologies web et multimedia - O.Gomel Langage de programmation Les langages de programmation permettent de définir les ensembles d’instructions effectuées par l’ordinateur lors de l’exécution d’un programme. Il existe des milliers de langages de programmation, la plupart d’entre eux étant réservés à des domaines spécialisés. Ils font l’objet de recherches constantes dans les universités et dans l’industrie. Les langages de programmation peuvent être classifiés de nombreuses manières : - généraliste/spécialisé, - haut niveau/bas niveau, - interprété/compilé, - avec/sans gestion de mémoire automatisée, - avec/sans système de gestion d’exceptions, - à typage fort/typage faible, - à typage statique/typage dynamique, - à syntaxe fixe/extensible ; - non objet/orienté objet/purement objet, - impératif/fonctionnel/déclaratif, - fonctionnel pur/impur, PHP (venant de l’acronyme récursif PHP : Hypertext Preprocessor), est un langage de scripts libre principalement utilisé pour être exécuté par un serveur HTTP, mais il peut fonctionner comme n’importe quel langage interprété de façon locale, en exécutant les programmes en ligne de commande. PHP est un langage procédural disposant en version 5 de fonctionnalités de modèle objet complètes. En raison de la richesse de sa bibliothèque, on désigne parfois PHP comme une plate-forme plus qu’un simple langage. Java (technologie) Java est une technologie développée par Sun Microsystems (la technologie JavaTM). Elle correspond à plusieurs produits et spécifications de logiciels qui, ensemble, constituent un système pour développer et déployer des applications. Java est utilisé dans une grande variété de plates-formes depuis les systèmes embarqués et les téléphones mobiles jusqu’aux serveurs et aux superordinateurs. Java est largement présent dans les téléphones mobiles, les serveurs Web et les applications d’entreprise, et moins utilisé pour les interfaces graphiques, bien que l’on rencontre sur le Web des applets Java. Depuis des années, Sun Microsystems appelle Java la « technologie Java » dans son ensemble. En pratique, beaucoup de programmeurs utilisent le mot « Java » pour désigner le langage de programmation, tandis que la plate-forme d’exécution est appelée « JRE » (Java Runtime Environment) et le système de compilation : « JDK » (Java Development Kit) plutôt que « compilateur Java ». page 16 Technologies web et multimedia - O.Gomel les serveurs java sont de petits programmes capables d’exécuter un serveur virtuel pour différents protocoles (xmlsocket, tcp/udp...) utiles à des applications de communication (chats, visioconf.) ainsi qu’à la liaison avec des éléments physiques (capteurs, instruments...) lorsqu’ils completent un système MIDI, OSC ou des envois de sockets... Les protocoles de streaming video On parle de stream («flux») lorsqu’un flux audio/video est lu sur une interface d’acquisition et non plus sur un disque. Il n’y a plus nécessairement de notion de début et de fin d’enregistrement, la référence de temps est le temps réel. Le media diffusé est celui présent sur l’interface, moyennant un retard constant. La différence fondamentale est qu’on ne peut bien entendu plus télécharger le media dans son intégralité avant de le jouer. Le player doit donc paralléliser la réception des données et leur restitution. Cette capacité est aussi mise en oeuvre pour jouer des media de longue durée (une bande annonce, un titre musical) préalablement enregistrés sur disque. On parle alors de lecture anticipée. On dira aussi qu’on «streame» un fichier. Il existe deux manières de «streamer» un fichier. La première est d’utiliser un streaming server qui met en oeuvre un protocole spécifique au temps-réel (RTSP de l’IETF, MMS de Microsoft, PNM de RealMedia). La seconde est d’utiliser un simple serveur HTTP. Dans ce dernier cas, ne reste du concept de streaming que la lecture anticipée. Plutôt que d’incruster un lien de ce type dans un document HTML, on préfère utiliser une metafile qui n’est autre qu’une référence (pointeur) vers un mediafile. La forme la plus simple de metafile est un fichier texte contenant un URL. Ainsi, les fichiers d’extension .ram ou .rpm de RealMedia sont des metafiles qui pointent sur une mediafile d’extension .ra (audio) ou .rm (audio/video), ces dernières pouvant être streamées ou non. De même, un fichier Quicktime (.mov ou .qt) ou movie peut contenir l’adresse d’un autre media. Elle est alors appellée reference movie. le «semi-dynamique» XML XML pourrait faire partie des supports statiques, dans le sens où son utilisation ne nécessite pas de serveur. en revanche il n’est jamais utilisé seul et sert de source de données à d’autres outils comme par exemple : - Fichiers de syndication RSS, ATOM, RDF... - Données pour des fichiers SWF - Données pour des pages web - Métadonnées pour des fichiers multimedia - Substitut de base de données sur un support figé (DVD) - Langage de base pour d’autres technologies (PDF, X3D...) page 17 Technologies web et multimedia - O.Gomel Notions transversales La syndication les sites actuels proposent souvent des liens «RSS» qui pointent vers des fichiers XML peu flatteurs pour l’oeil humain mais qui permet à un lecteur approprié (aggrégateur, site web, etc...) de récupérer des données épurées de la mise en forme - de le syndiquer - pour lire les aggrégats de façon harmonisée. le syndicateur obtient ainsi sous forme résumée et autoalimentée l’actualité du site syndiqué. Un site dynamique peut produire facilement ce fichier RSS à partir des données d’une base. c’est une spécialité des CMS (Spip, blogs, wikini...) qui révolutionne l’accès aux contenus et démontre la richesse, l’efficacité (et les limites) d’un système d’information décentralisé. Les masochistes peuvent aussi l’écrire et le mettre à jour à la main. Le format de fichier de syndication le plus répandu est le RSS.2 mais il existe d’autres normes offrant chacune des avantages : ATOM, RDF... Les metadonnées Il fut un temps ou le mot «métadonnées» n’évoquait que les balises <META></META> présentes dans une page web. celle-ci permettent à des machines de connaitre le contenu d’une page : son titre, sa decription, ses mots-clés... avant de lire son vrai contenu. Il est vrai que ces balises sont primordiales car elles influent fortement sur le référencement du site dans les moteurs, mais aussi sur son accessibilité. Aujourd’hui tous les medias présents sur le web peuvent inclure des métadonnées. les fichiers vidéos profitent de différents systèmes comme les données SMIL et l’association de balises XML qui peuvent renseigner sur le contenu du fichier (plans, acteurs présents à l’image, instruments utilisés) ou produire des lecteurs RSS vidéos par exemple. De même les images et les séquences Flash peuvent être dotées de métadonnées. Cela ne règle pas toutes les questions d’accessibilité mais garantit qu’un fichier lancé sur internet ne soit plus une bouteille à la mer. Accessibilité L’accessibilité est une précuppation qui allie : - le souci d’aboutir à des standards - le souci de produire des contenus que tout le monde puisse lire. L’accessibilité met sur le même plan handicap physique (cecité, motricité réduite, surdité...) et numérique (connexion bas-débit, équiement désuet, réseau intenet faible dans le pays...) dans une volonté de démocratiser l’accès aux contenus pour tous. Des pratiques de développement allant dans le sens d’un web accessible est de fait devenu un gage de qualité et de compétence. n ne peut plus faire l’impasse sur cette question, même si la réponse en terme de temps et de solutions investies dépend beaucoup du public cible d’un projet. page 18 Technologies web et multimedia - O.Gomel Technologies cumulées : Le cas des CMS Un bon moyen de découvrir les technologies web est d’explorer le contenu d’un CMS récent. Les CMS constituent en effet un concentré de technologies car ils allient des technologies d’interface (JavaScript, CSS, XML, AJAX...) avec des technologies serveur (PHP/SQL) autour d’un espace public et d’un espace restreint dédié à l’administration. En outre, les CMS sont désormais conçus pour évoluer et proposer différents niveaux d’intervention, du plus simple : installation automatique puis saisie et publication de texte, au plus élaboré : adaptation d’une interface totalement personnalisée, amélioration des bases de données. L’intéret suprême du CMS est qu’il est directement opérationnel et permet donc des interventions sur un programme qui fonctionne déjà. En outre les CMS sont souvent des logiciels libres qui bénéficient d’un développement communautaire : des contributeurs proposent bénévolement des améliorations fréquentes. Un CMS qui est très utilisé évolue donc extrèmement vite. Exercice Je veux faire un centre de ressources multimedia, je dois savoir quels sont les documents que je vais accepter pour rationaliser au maximum la procédure de publication tout en offrant le plus de chances à l’utilisateur final d’avoir accès aux documents : - Texte - Images - Son - Vidéo - Animation interactive C’est un collectif de personnes qui publie les données et je dois expliquer à tous une procédure pour chaqe type de document. page 19 Technologies web et multimedia - O.Gomel Répartition sur un site-type ���������� ���������� �������� ����� ���������� ����� ����������� �������������� �������� ����������� ������� �������� ��� ���������� ��� ������������� ���������������� ���� ���������������� ����������� ��� ��������� ��������������� ������� ��� ����������� ��� ��� ������� - Une page html dynamique (extension.php) de type strict: xhtml 1. Elle peut accueillir des images jpeg, gif et png. - Côté serveur, - une base de données MySQL, - un gestionnaire de bases de données PhpMyAdmin, - un CMS (type Spip, wiki, DotClear...) ...qui fournissent des contenus à la page web via des fichiers divers qui viennent s’y inclure lorsquelle est ouverte : - des scripts php (données issues de la base : texte, image, liens, etc...) - des combinaisons de php avec Javascript pour les cookies - des combinaisons de php avec XML pour les données multimedia, le fichier de syndication (qui est le seul élément à ne pas être dans la page à la fin) - Côté interface, on retrouve : - une séquence flash : un player vidéo qui présente des films FLV - une feuille css pour la mise en forme du texte et des blocs de la page - Une zone cartographique en AJAX page 20 Technologies web et multimedia - O.Gomel Références les formats une liste de définitions http://vibrisse.marsnet.org/spip/article.php3?id_article=65 Pour les formats ouverts: http://formats-ouverts.org/ http://www.openformats.org/fr Polices de caractère http://www.adobe.com/fr/type/topics/info9.html les standards du web Quels sont les standards du Web, et pourquoi dois-je les utiliser ? http://www.webstandards.org/learn/faq/faq_fr/ W3C (site en anglais) le site des «standardidiseurs» : http://www.w3.org/ les pages w3c traduites en français : http://www.w3.org/Consortium/Translation/French Validateurs de pages web : http://validator.w3.org/ Paramètres internationaux HTML http://fr.selfhtml.org/internationalisation/index.htm Images Les formats de fichiers d’images http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/staf13/fiches-mm/formatfichier.htm Multimedia ogg Vorbis mieux qu’MP3 ? http://ptaff.ca/ogg/ http://www.xiph.org/vorbis/listen.html (descendre après le gros texte pour les comparaisons de qualité de format) Streaming URLs et metafiles http://www.pescadoo.net/video/formats.html Noms de domaine http://fr.wikipedia.org/wiki/Nom_de_domaine page 21 Technologies web et multimedia - O.Gomel Informatique générale encyclopédie informatique, à chaque recherche que quelque chose en particulier, on obtient facilement une définition claire. http://www.commentcamarche.net Pour le forum : http://hardware.fr MacOs Trucs et astuces fiable et clair pour tout le Mac http://osxfacile.com : tout sur mac Le site d’un nerd notoire, regroupe des news mac, graphisme, photo.... regroupe les flux rss de mac generation, mac bidouille...etc. http://www.pixellum.com/blog/ Graphisme forum sur des professionnels du graphisme /illustrations/ webdesign... http://www.cfsl.net Un accès à différents sites sur le graphisme ... comme étapes ou creabook http://www.pyramyd.com/ Tutoriaux de techniques graphiques, trucs et astuces ... http://www.netgraphiste.com/ Mise en page web : CSS Site complet pour apprendre différents langages web (CSS, HTML et XHTML), correspondant aux normes W3C, avec un forum, des tutoriels, une FAQ. http://www.alsacreations.com Très inspiré du site openWeb qui est peut-être meilleur : http://www.openweb.eu.org/ Maquettes CSS à télécharger : http://csszengarden.com/ page 22 Technologies web et multimedia - O.Gomel Flash Site consacré essentiellement à flash. Enormément de tutoriaux. http://www.flash-france.com Un forum et des tutoriaux sympas (pas toujours fiables). http://www.flashkod.com Site consacré aussi au flash avec des tutoriaux intéressants. http://www.yazo.net Differents outils de developpement : Dream, Flash.....etc http://www.media-box.net (macromedia) Outils logiciels, technologies Téléchargement de logiciels libres http://sourceforge.net Site informatif permettant de connaitre les dernières nouveautés en matières de logiciels, technologies... Forum très intéressant également. http://www.infos-du-net.com/ Site d’information et de téléchargement de logiciels (open source/ shareware), de programmes. http://www.clubic.com Homo-numéricus http://www.homo-numericus.net/ Journal du net http://www.journaldunet.com/ Projetweb http://www.projetweb.com/ Pescadou http://www.pescadoo.net/ CCM http://www.commentcamarche.net/ Selfhtml http://fr.selfhtml.org/ Incontournable Wikipedia http://fr.wikipedia.org Spip-Zone et Spip-Contrib : les meilleurs sur la question http://www.spip-contrib.net/ http://zone.spip.org/trac/spip-zone/ page 23