Stéphanie Area, Wiltcher\`s, Conrad Hotel, Hôtel Godefroy, Hôtel

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Stéphanie Area, Wiltcher\`s, Conrad Hotel, Hôtel Godefroy, Hôtel
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Avenue Louise 69, 71, 77 et 79. Le Wiltcher's, vue depuis l'avenue Louise (photo 2005).
1001
Stéphanie Area, Wiltcher\'s,
Conrad Hotel, Hôtel
Godefroy, Hôtel Lunden
Région de Bruxelles-Capitale
INVENTAIRE DU PATRIMOINE
ARCHITECTURAL
ÉMILE JANLET - 1871-1876
PAUL SAINTENOY - 1896-1898
GEORGES DELCOIGNE - 1911-1912
ATELIER D'ARCHITECTURE DE
GENVAL - 1973-1993
ATELIER DU SART-TILMAN - 1984
Avenue Louise 54-56-58-58a
Place Stéphanie 1-3
Avenue Louise 59-61-61a-63-65-67-67a-67b-67c-69, 71, 77, 79,
79a, 81, 83-83a
DescriptionCompris entre les communes de Saint-Gilles (voir
chaussée de Charleroi 10-22) et de Bruxelles, ponctuant de part et
d'autre le départ de l'avenue Louise, le Stéphanie Area est un
complexe monumental de bureaux, commerces et hôtel, comprenant
quatre ensembles architecturaux distincts, conçus en style
postmoderne par l'Atelier d'Architecture de Genval, secondé suivant
les projets par d'autres bureaux d'architectes.
Il s'agit de l'un des ensembles de ce style les plus aboutis et les plus
luxueux de la capitale, intégrant par ailleurs certaines façades
anciennes et deux hôtels particuliers classés (voir infra, n° 77, 81).
BUREAU SRZ - 1984
JEAN-NOËL CAPART - 1984
POSTMODERNISME
NÉOCLASSICISME
ÉCLECTISME
BEAUX-ARTS
ART NOUVEAU
HÔTEL
Les 1ers projets remontent à 1973. Stéphanie I est achevé en 1983,
suivi par Stéphanie Square en 1989, le complexe Wiltcher's et le
Conrad Hotel Brussels en 1993. Cet ensemble marque, pour ses
concepteurs, les « retrouvailles entre la façade et l'ornement », en
rupture avec le fonctionnalisme sec des décennies précédentes. Les
façades sont conçues comme des « broderies de pierre », un « tissu
» tendu sur une armature rationnelle.
HÔTEL PARTICULIER
REZ-DE-CHAUSSÉE COMMERCIAL
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Historique
En 1862, pour ponctuer l'entrée de l'avenue qu'elle projette, la Ville
impose la construction de deux bâtiments d'angle. D'abord confiés à
l'architecte Henri Beyaert (1864-1866), ces deux pavillons seront
conçus en 1872-1874 par l'architecte Henri Maquet, pour le compte
de particuliers.
Les deux bâtiments, construits en symétrie et présentant une même
tourelle d'angle sous dôme, n'ont cependant pas le même gabarit : le
pavillon à gauche de l'avenue est plus développé, celui de droite est
complété, côté avenue, par cinq maisons, dont deux hôtels
particuliers remarquables, conçus par l'architecte Wynand Janssens
en 1882 (n° 61, démoli) et en 1884 (n° 63, démoli).
À gauche, on trouvait encore une maison et un hôtel particulier,
respectivement dessinés par les architectes J. De Vestel (vers 1888)
et Henri Maquet (vers 1908).
Les pavillons d'entrée connaîtront au cours du temps des
modifications, dont la plus importante est une surhausse en 1925.
En 1970, un plan particulier d'aménagement, le PPA Louise,
envisage leur remplacement par, à gauche, une tour de 40 m et, à
droite, une tour de 60 m de haut. Le 17.10.1974, la Ville délivre le
permis pour démolir le pavillon gauche de Maquet à la SA
Immobilière de la place Stéphanie, qui se propose d'implanter à sa
place un immeuble conçu par l'Atelier de Genval, secondé par les
architectes Raoul J. Brunswyck et Odon Wathelet.
En 1975, suite à une campagne de protestations, ce permis est
annulé par l'arrêté royal du 16.06.1975 ; le pavillon gauche de
Maquet est classé par l'arrêté royal du 15.12.1975. Le 25.11.1977,
un arrêt du Conseil d'État annule toutes ces décisions et impose une
lourde amende à l'État belge. Stéphanie I sort de terre et la symétrie
voulue jadis pour l'entrée de l'avenue est temporairement brisée.
En 1984, la filiale immobilière de la Société générale, UBI, introduit
une nouvelle demande de permis pour la rive droite de l'avenue, qui
conserve encore son pavillon d'origine ; les opinions s'enflamment.
Dans la mouvance, divers projets sont proposés, les uns par les
tenants de la symétrie, les autres par les partisans de la
conservation du Maquet. Finalement, UBI réussit à obtenir le permis
de démolition des anciens bâtiments et celui d'ériger le jumeau de
Stéphanie I : Stéphanie Square, toujours par l'Atelier de Genval,
cette fois secondé par l'Atelier du Sart-Tilman, le bureau SRZ avec la
participation du paysagiste Jean-Noël Capart. Dans cette refonte de
l'entrée de l'avenue, est comprise la conception d'une place en
intérieur d'îlot, la place Wiltcher's, qui sera réalisée dans la
mouvance de l'aménagement de l'hôtel Conrad.
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Description
Stéphanie I et Stéphanie Square. Deux immeubles de bureaux
analogues, avec commerces au r.d.ch., implantés en miroir.
Solennisant l'entrée de la voirie, ils en épousent les angles par un
traitement monumental, articulé en pans concaves. Les immeubles
jouent sur les mêmes matériaux : pierre blanche de Bourgogne,
Limestone grey Vinalmont, et granit noir d'Afrique. Tous deux sont
hauts de dix niveaux, les six 1ers premiers reliés par un traitement
particulier des pleins de travées, les trois derniers en retraits
successifs. Un leitmotiv décoratif ponctue les élévations et certains
détails intérieurs, distinguant les deux « Stéphanie » du reste du
complexe : le carré posé sur la pointe, décliné en divers matériaux.
Huisserie en aluminium.
Au n° 54 à 58a avenue Louise et 1-3 place Stéphanie, Stéphanie I
compte onze travées avenue Louise, douze travées place Stéphanie
et deux travées plus minces rue de la Grosse Tour. L'entrée menant
aux étages se fait dans l'axe. Grand hall octogonal en marbre noir et
marbre beige. Guérite plaquée de diverses essences de bois.
Aux n° 59 à 69 avenue Louise, Stéphanie Square comprend treize
travées avenue Louise et dix-sept travées chaussée de Charleroi,
certaines traitées en retrait. À la 6e travée avenue Louise, entrée
piétonne monumentale, à encadrement métallique mouluré en
quart-de-rond. La liaison avec la cour du Conrad Hotel se fait par la
répétition d'une tour d'angle à pans concaves, à la manière de celle
côté goulot avenue Louise. Hall en marbre blanc et marbre rose,
éclairé par un petit patio.
Wiltcher's. Sur la chaussée de Charleroi, ce vaste complexe intègre
quatre façades d'hôtels particuliers sur le territoire de Saint-Gilles
(voir Inventaire de Saint-Gilles, chaussée de Charleroi 10-22) et cinq
hôtels particuliers (voir infra n° 77 à 81), partiellement ou
complètement façadisés, côté Louise.
Accessible à la fois depuis la chaussée de Charleroi (n° 16) par une
courte galerie commerciale et depuis l'avenue Louise par un
passage monumental à grande arcade, la place Wiltcher's constitue
le cœur de l'ensemble voulu par l'Atelier de Genval.
De plan rectangulaire, elle est entièrement entourée de bâtiments
identiques abritant aux étages des appartements ou les chambres
du Conrad Hotel.
À ses quatre coins, elle est ponctuée de tours d'angle, de plan carré,
couronnées chacune d'un toit en pavillon.
Les bâtiments de la cour présentent une élévation de huit niveaux,
certains partiellement traités en terrasse, de six travées pour les
longs côtés et de quatre pour les petits.
Les couleurs claires de l'ensemble résultent des matériaux utilisés :
pierre bleue reconstituée, verre opaque, aluminium doré des
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châssis, inox…
Le r.d.ch. est occupé par des boutiques de luxe, dont certaines
s'inspirent d'une esthétique 1900 avec vitrines courbes.
2e niveau devancé de logettes. Certaines travées des étages sont
devancées de balcons, à parapet ajouré, reliés entre eux par des
hampes.
Le leitmotiv décoratif est ici la palmette, déclinée en divers matériaux
et couleurs. La cour est pavée en damier.
Sur le côté est, un grand escalier courbe, à garde-corps en
ferronnerie, la relie directement au 1er étage de l'hôtel.
Au n° 71, Conrad Hotel Brussels. Ce palace moderne s'implante
dans des bâtiments datant de 1911, intégralement rénovés par
l'Atelier de Genval (architecte Éric Philippe) et Graham design pour
l'architecture intérieure. Dès sa conception, ce bâtiment sert d'hôtel
pour voyageurs. Dû à l'architecte Georges Delcoigne, il est conçu en
style Beaux-Arts pour le baron de Crawhez, en 1911-1912.
L'élévation en retrait de la voirie est particulièrement originale,
intégrant au sein de l'hôtel une avant-cour affectant la forme d'un
pentagone irrégulier, dont les grands côtés comptent cinq travées, et
incorporant dès l'origine le « petit » hôtel particulier conçu par
l'architecte Beyaert (voir infra n° 77). La travée axiale est ponctuée
d'une tourelle sous dôme octogonal remplaçant le dôme initial. Les
six niveaux d'origine sont aujourd'hui enrichis de deux niveaux
d'attique en retrait d'une balustrade. Élévation enduite et peinte,
percée de baies à arc en anse de panier ou rectangulaires jumelées,
chacune devancée d'un balconnet à garde-corps en fer forgé
d'origine. Encadrements à gorge, agrafes en médaillons
caractéristiques du style Beaux-Arts.
Au n° 77, hôtel Godefroy. Hôtel particulier faisant la transition entre
l'avant-cour du Conrad et l'avenue. Conçu en 1874 par l'architecte
Henri Beyaert, cet hôtel, non attenant à droite, était autrefois accosté
d'une grille et d'un mur de clôture. En 1911, lors de la construction
de l'hôtel pour voyageurs (voir n° 71), il est intégré dans ce
complexe.
Construction inspirée du style Louis XVI, caractérisée par une
élévation latérale soignée, traitée en décrochement. Élévation
enduite et scandée de bossages, de trois travées côté Louise et de
trois travées situées dans des plans différents donnant sur
l'avant-cour. Les façades comptent deux niveaux sous mansarde,
sauf du côté de l'avenue où les deux 1res travées comptent un
niveau supplémentaire. Originale loggia, côté avenue, devancée d'un
balcon à parapet ajouré d'entrelacs. Côté cour, balcon muni d'un
garde-corps en fer forgé. Entablement final scandé de pointes de
diamant.
Garde-corps et porte d'origine. Châssis partiellement remplacés.
Classement 08.08.1988 (façades et toitures).
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Entre les actuels n° 77 et 79, se trouve un hôtel particulier qui,
n'ayant plus d'entrée propre, ne porte plus de numéro. Il est conçu
par l'architecte Henri Beyaert en 1872-1873.
Élévation de style néoclassique, de quatre niveaux de taille
dégressive et de quatre travées, celles du centre jumelées aux
étages et devancées de balcons de taille dégressive, à balustrade.
Élévation enduite couronnée d'une corniche et d'un fronton, dont le
motif se retrouve dans un édicule ajouté lors de son intégration dans
le complexe Wiltcher's. Châssis remplacés.
Au n° 79, ancien hôtel particulier, actuellement façadisé, de style
éclectique, conçu par l'architecte Janlet en 1876.
Élévation enduite, de quatre travées et de cinq niveaux sous
mansardes, les deux derniers niveaux résultant d'une surhausse
postérieure. R.d.ch. et travées axiales à bossages. Baies axiales du
1er étage sous fronton courbe brisé, devancées d'un balcon continu
à garde-corps pansu en fonte.
Au n° 79a, ancien hôtel particulier, entièrement façadisé, de style
éclectique, conçu par l'architecte Janlet en 1871.
Élévation en pierre bleue, de quatre travées et de quatre niveaux le
dernier en attique, sous double registre de mansardes, résultant de
l'intégration du bâtiment dans le complexe Wiltcher's. R.d.ch. à
bossages, percé de baies à arc surbaissé, abaissées en vitrine lors
de la rénovation récente. Étages scandés de pilastres et devancés
dans l'axe de balcons continus, de taille dégressive, à garde-corps
en fer forgé. Huisserie remplacée.
Au n° 81, hôtel Lunden, du nom de son 1er propriétaire. Ancien
hôtel particulier de style Art nouveau, conçu par l'architecte Paul
Saintenoy entre 1896 et 1898.
Élévation en pierre blanche de Savonnières, à joints de couleur sang
de bœuf, rehaussée de pierre bleue. Façade de trois travées
inégales et de quatre niveaux, sous mansarde, le 4e niveau ajouté
en 1898 par le même architecte, alors que l'hôtel est acquis par un
nouveau propriétaire. R.d.ch. percé d'une porte cochère à arc brisé,
d'une petite fenêtre à traverse et d'une vaste fenêtre à meneau en
fonte, sous poutrelle métallique affectant la forme d'un arc surbaissé.
Au 1er étage, bow-window de plan cintré, sous poutrelle métallique
et scandé de colonnettes en fonte, servant d'appui à la terrasse du
2e étage. À gauche, portes-fenêtres devancées de balcons, continu
sur console au 1er étage et traités en balconnets sur culot au 2e.
Garde-corps en fer forgé à motif de pavot. Baies du 2e étage
surmontées d'un arc de décharge ; tympan garni d'une plaque
métallique. 3e étage traité en attique, au-dessus de la corniche en
pierre.
Construction remarquable au point de vue du soin apporté à son
décor sculpté dans la pierre, déclinant des fleurs de pavot, l'usage
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élégant du fer en façade et le graphisme souple des garde-corps en
fer forgé. Châssis ayant perdu leurs vitraux originels. Porte d'origine.
Intérieur ayant conservé son décor d'origine dans le vestibule
d'entrée, l'escalier d'honneur et deux pièces en enfilade du r.d.ch. Le
reste du bâtiment, dont la façade arrière, a été fortement transformé
lors de la rénovation de l'ensemble.
Classement 08.08.1988 (totalité).
Au n° 83-83a, bâtiment à usage de parking, commerce et bureau, de
style post-moderne, marquant visuellement côté avenue Louise la fin
du Stéphanie Area et reprenant la même grammaire stylistique que
la place Wiltcher's avec allège à motif de palmette.
Archives
AVB/TP 14563 (1871), 14556 (1872-1873), 487 (1872-1875), 14555 (1874), 14561 (1876), 14551
(1882), 14552 (1884), 1924 (1896-1898), 1823 (1911-1912), 32490 (1925), 88225 (1982), 89852,
91940 (1984), 94026 (1985), 92678 (1987), 91789, 96562 (1988).
AVB/NPP W2 (1864-1866).
Archives de la Direction des Monuments et des Sites.
Ouvrages
Aron, J., Burniat, P., Puttemans, P., Guide d'Architecture Moderne, Bruxelles et environs,
1890-1990, Hatier, Bruxelles, 1990, p. 118.
Bruxelles, Monuments et Sites classés, Région de Bruxelles-Capitale, Service des Monuments et
Sites, Bruxelles, 1994, p. 158.
Declercq, P., De Wit, A., Van Loock, J., Émile Janlet (1839-1918). Monografie over een
negentiende-eeuwse architekt, verhandeling tot het verkrijgen van de graad van architekt,
Sint-Lukas, Bruxelles, 1984, p. 128.
Duquenne, X., L'avenue Louise à Bruxelles, Xavier Duquenne éd., Bruxelles, 2007.
Hanegreefs, K., De architekt Paul Saintenoy, 2 t. (eindverhandeling in de Kunstwetenschappen en
Archeologie), Vrije Universiteit Brussel, Bruxelles, 1989-1990, pp. 71-83.
Loze, P., Scullica, F., Atelier d'architecture de Genval. Designing the city, L'Arcaedizioni, Milan,
2003, pp. 50-59.
Rehme, W., Die architektur der neuen freien schule, Baumgartner's Bauchhandlung, Leipzig,
[1900, 1901, 1902], t. II, pp. 28-34.
Périodiques
L'Émulation, 1890, pl. 45-46.
« Hôtel avenue Louise, 61, à Bruxelles, 1886, architecte Mr. Wynand Janssens », L'Émulation, 11,
1892, col. 171-172, pl. 1-5.
L'Émulation, 1910, pl. VI.
« Conrad, Hôtel de « Luxe », Neuf/Nieuw, 162, 1993, pp. 56-60.
Presse
Frère, M., Loits, A., Conférence de presse, 14 décembre 1987, Centre bruxellois d'archéologie
contemporaine La Pioche d'or asbl.
J. R., « Wiltchersprojekt eist ruimte op. Slopershamer bedreigt het Saintenoyhuis in Brussel », in
Het Nieuwsblad, 7-8.11.1987.
Vautier, D., « L'avenir de la place Stéphanie : un débat », in Pourquoi pas ?, 22.08.1984, pp.
78-79.
Le Soir, 04.06.1975.
Nicaise, L., « La place Stéphanie sera dissymétrique pendant un temps encore indéterminé », in
Le Soir, 10.05.1978.
R. G., « Permis de bâtir de la Ville de Bruxelles pour l'angle gauche de la place Stéphanie », in Le
Soir, 14.04.1979.
Vantroyen, J. C., « M. Serge Moureaux : on est férocement reparti vers la démolition de Bruxelles !
», in Le Soir, Mai 1982, p. 7.
Errera, M., « Il faut “panser” Bruxelles », in Le Soir, 13.06.1984.
Vantroyen, J. C., « Le point sur l'avenir de la place Stéphanie à la veille de la procédure de
concertation », in Le Soir, 01.09.1984.
M. L., « Quelques réflexions à la disposition de X pour la symétrie de la place Stéphanie », in Le
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Soir, 14-15.08.1984.
Recherches et rédaction : 2005-2006.
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Vue aérienne de l'ensemble du Stéphanie area comprenant
le Stéphanie I, le Stéphanie Square et le complexe du
Wiltcher's, Brussels UrbIS ® © - Distribution : CIRB 20
avenue des Arts, 1000 Bruxelles.
Avant-projet de pavillons d'entrée de l'avenue Louise, conçu
par l'architecte Henri BEYAERT en 1864-1866 (non réalisé),
AVB/NPP W2.
Avant-projet de pavillons d'entrée de l'avenue Louise, conçu
par l'architecte Henri BEYAERT en 1864-1866 (non réalisé),
élévation du pavillon ouest, AVB/NPP W2.
Vue du départ de l'avenue Louise et du pavillon conçu par
l'architecte Henri MAQUET à l'angle de la chaussée de
Charleroi, vers 1900 (Collection cartes postales Dexia
Banque).
Avenue Louise 54-58a et 59-67, avant-projet (A+, 61, 1979,
p. 9).
Avenue Louise 59-69 (Stéphanie Square) et avenue Louise
54-58a - place Stéphanie 1-3 (Stéphanie I). Vue aérienne,
Brussels UrbIS ® © - Distribution : CIRB 20 avenue des Arts,
1000 Bruxelles.
Avenue Louise 54-58a et place Stéphanie 1-3, Stéphanie I
(photo 2005).
Avenue Louise 59-69, Stéphanie Square (photo 2005).
Plan d'implantation du Stéphanie Square (A) et du complexe
du Wiltcher's (B), lui-même constitué du Conrad Hotel
Brussels et de plusieurs façades anciennes, Brussels UrbIS
® © - Distribution : CIRB 20 avenue des Arts, 1000 Bruxelles.
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Avenue Louise 71 et chaussée de Charleroi 16, cour
intérieure du Wiltcher's (photo 2005).
Avenue Louise 69-75, Conrad Hotel Brussels (photo 2005).
Avenue Louise 77, l'hôtel Godefroy, incorporé à l'hôtel pour
voyageurs dès 1911-1912, vue latérale (photo 2005).
Avenue Louise 77, hôtel Godefroy, vue depuis l'avenue
Louise (photo 2005).
Entre les actuels 79 et 77 avenue Louise, hôtel particulier
conçu en 1872-1873 par l'architecte Henri BEYAERT (photo
2005).
Entre les actuels 79 et 77 avenue Louise, hôtel particulier
conçu par l'architecte Henri BEYAERT, AVB/TP 14556
(1873).
Avenue Louise 79 (photo 2005).
Avenue Louise 79, élévation, AVB/TP 14562 (1874).
Avenue Louise 79a (photo 2005).
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Avenue Louise 81, hôtel Lunden (photo 2005).
Avenue Louise 81, hôtel Lunden (photo 2005).
Avenue Louise 81, hôtel Lunden (photo 2005).
Avenue Louise 81, hôtel Lunden, 1er projet (1896), AVB/TP
1924 (1896-1898).
Avenue Louise 81, hôtel Lunden, 2e projet (1898), AVB/TP
1924 (1896-1898).
Avenue Louise 83 (photo 2005).
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