DOSSIER DE PRESSE Biennale de danse du Val-de

Transcription

DOSSIER DE PRESSE Biennale de danse du Val-de
danses
exposées
-
alabriqueterie.com
01 46 86 70 70
19e
biennale
de danse
du Val-de-Marne
1er mars
1er avril
danses
exposées
-
2017
alabriqueterie.com
01 46 86 70 70
19e
bienn
de da
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se
rne
rs
il
du Val-de
2017
s
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0 70
19
biennale
de danse
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1er m
1er a
dan
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-
alabri
01 46
DOSSIER DE PRESSE
19ème Biennale de danse du Val-de-Marne
1er mars au 1er avril 2017
Réservation / Billetterie 01 46 86 70 70
www.alabriqueterie.com
Cédric Chaory – relations presse
06 63 65 24 85
[email protected] / www.cedricchaory-relationspresse.com
Conférence de presse
jeudi 19 janvier à 16h00
La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne (Vitry-sur-Seine)
ÉDITO
Danses exposées
Danses exposées, la Biennale de Danse du Valde-Marne s’expose durant cinq semaines, du 1er
mars au 1er avril, dans une vingtaine de lieux partenaires, en Val-de-Marne mais aussi cette année
dans tous les départements d’Ile-de-France. C’est
la danse sous diverses formes qui va s’exposer, ouvrir ses gestes, envahir les théâtres, mais aussi les
autres scènes, les musées, l’espace public, les halls
et les coulisses, elle se glisse, s’immisce, dans un
corps à corps avec les arts, dans un tête-à-tête avec
les œuvres plastiques pour le plus grand plaisir
des publics, spectateurs, passants ou autres habitants… Elle se donne à voir, à penser, elle dialogue
avec l’histoire, archive vivante, elle questionne le
patrimoine, elle se manifeste, elle est manifeste.
La Biennale s’ouvrira avec les maîtres anciens,
Jeronimus Bosch, qui a inspiré Marie Chouinard,
Gustav Klimt et Egon Schiele revisités par Christian Ubl, nouvel artiste associé. Danses exposées
avec l’accueil de Boris Charmatz et du Musée de la
danse avec 20 danseurs pour le xxe siècle. Danses
exposées en regard du projet européen Dancing
Museums qui viendra clôturer la Biennale. La revue
Repères, cahier de danse, quant à elle, se penche
sur les relations Danse et/au Musée, un numéro
double coordonné par Marisa Hayes, nouvelle rédactrice en chef.
Cette Biennale opère de nouvelles collaborations entre les lieux et les artistes, une attention
aux œuvres, au patrimoine muséal, une édition ouverte sur l’Europe et engagée vers le déploiement
de nouvelles expériences de médiation entre les
œuvres et les publics.
33 spectacles, 25 lieux, 1 symposium au Louvre,
des parcours au MAC VAL, dans les Théâtres, une
Biennale de créations, de premières en France ou
en Ile-de-France, de reprises d’œuvres du répertoire, des complicités avec les artistes associés, en
résidence longue, ou de nouvelles présences.
Les « danses exposées » ici sont à vif, décidément bien vivantes.
Daniel Favier
CALENDRIER
1 et et 2 mars
20h00
JÉRÔME BOSCH : LE JARDIN DES DÉLICES
Marie Chouinard
Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine)
3 mars
20h30
Le tour du monde des danses urbaines en 10 villes
Ana Pi, Cecilia Bengolea et François Chaignaud
Le plus petit cirque du monde (Bagneux)
3 mars
20h30
Tu, el cielo y tu
Catherine Berbessou
Théâtre de Rungis
4 mars
20h30
Prélude à l'après-midi d'un faune et Le Sacre du Printemps
Marie Chouinard
Théâtre Paul Eluard (Bezons)
4 mars
20h30
CONCRETE
Maud Le Pladec
Pôle Culturel (Alfortville)
4 mars
17h00
EXPOSURE
Anne Collod
Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois)
4 mars
19h00
EXPOSURE
Anne Collod
Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois)
4 mars
21h00
EXPOSURE
Anne Collod
Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois)
5 mars
15h00
EXPOSURE
Anne Collod
Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois)
5 mars
17h00
EXPOSURE
Anne Collod
Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois)
5 mars
19h00
EXPOSURE
Anne Collod
Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois)
7 mars
19h30
Conférence dansée N°2
Marie Chouinard
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
7 mars
20h30
STIL
Christian Ubl
Théâtre de Châtillon
8 mars
19h30
Concordan(s)e: Autoportraits (titre provisoire)
Maud le Pladec & Pierre Ducrozet
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
8 mars
21h00
À mon père, une dernière danse et un premier baiser
Radhouane El Meddeb
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
9 mars
20h45
Tu, el cielo y tu
Catherine Berbessou
Théâtre Claude Debussy (Maisons-Alfort)
10 mars
20h30
Prélude à l'après-midi d'un faune et Le Sacre du Printemps
Marie Chouinard
Théâtre Romain Rolland (Villejuif)
11 mars
20h30
Albertine, Hector et Charles
Denis Plassard
Auditorium Jean-Pierre Miquel (Vincennes)
12 mars
14h30
Souffle rit/ Souffle danse
Salia Sanou et Laurent Blondiau
Centre Culturel Aragon Triolet (Orly)
12 mars
15h30
Tentatives d'approches d'un point de suspension
Yoann Bourgeois
Centre Culturel Aragon Triolet (Orly)
16 mars
20h30
SOLI.DES
Sébastien Laurent
CDC Atelier de Paris - Carolyn Carlson (Paris)
17 mars
20h30
SOLI.DES
Sébastien Laurent
CDC Atelier de Paris - Carolyn Carlson (Paris)
17 mars
20h30
KAWRAL
Salia Sanou et Laurent Blondiau
Théâtre de Saint-Maur
18 mars
16h00
Gula
Vincent Mantsoe
Château de Morsang-sur-Orge
18 mars
20h30
Le Cri de la Chair
Seydou Boro
Théâtre des 2 Rives (Charenton-le-Pont)
19 mars
14h30
Souffle rit/Souffle danse
Salia Sanou et Laurent Blondiau
Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine)
19 mars
15h00
Fignito, l'œil troué
Salia Sanou et Seydou Boro
Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine)
19 mars
16h00
KAWRAL
Salia Sanou et Laurent Blondiau
Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine)
19 mars
17h30
Métamorphose
Judith Olivia Manantenasoa
Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine)
20 mars
20h30
Gula
Vincent Mantsoe
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
20 mars
20h30
Le Kombi
Jeannot Kumbonyeki
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
20 mars
20h30
Ti Chèlbè
Kettly Noël
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
21 mars
20h00
Tschägg
Lucie Eidenbenz
Théâtre Paul Eluard (Choisy-le-Roi)
21 mars
20h00
Vice Versa
Patrick Bonté
Théâtre Paul Eluard (Choisy-le-Roi)
21 mars
20h00
La Colline
Roy Asaf
Théâtre Paul Eluard (Choisy-le-Roi)
23 mars
20h30
We almost forgot
Qudus Onikeku
Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois)
24 mars
20h30
A Taste of Poison
Nicole Mossoux et Patrick Bonté
Théâtre de Châtillon
24 mars
19h30
Deep Dish - The Perfect Garden Series
Chris Haring
Maison des Arts (Créteil)
24 mars
21h00
Brûlent nos cœurs insoumis
Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf
Maison des Arts (Créteil)
25 mars
19h30
Deep Dish - The Perfect Garden Series
Chris Haring
Maison des Arts (Créteil)
25 mars
21h00
Brûlent nos cœurs insoumis
Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf
Maison des Arts (Créteil)
25 mars
20h00
We almost forgot
Qudus Onikeku
Théâtre Antoine Vitez (Ivry-sur-Seine)
25 mars
18h00
Tentatives d'approches d'un point de suspension
Yoann Bourgeois
Théâtre Louis Aragon (Tremblay-en-France)
26 mars
15h00-18h00
20 danseurs pour le XXe siècle
Boris Charmatz
MAC/VAL (Vitry-sur-Seine)
26 mars
16h00
Le Cri de la Chair
Seydou Boro
Théâtre Gérard Philipe (Champigny-sur-Marne)
26 mars
16h00
Souffle rit/ Souffle danse
Salia Sanou et Laurent Blondiau
La Villette – Péristyle de la Grande Halle (Paris)
28-31 mars
14h00-18h00
Dancing Museums : la cité éphémère de la danse
Tatiana Julien et les chorégraphes du projet
MAC/VAL (Vitry-sur-Seine)
28 mars
19h00
À Bras le Corps
Boris Charmatz
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
28 mars
20h30
Brûlent nos cœurs insoumis
Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf
Centre des Bords de Marne (Le Perreux-sur-Marne)
28 mars
21h00
Au temps où les arabes dansaient
Radhouane El Meddeb
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
30 mars
19h30
Concordan(s)e: The Spleen
Frank Micheletti et Charles Robinson
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
30 mars
21h00
Moto-cross
Maud Le Pladec
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
31 mars
21h00
Moto-cross
Maud Le Pladec
La Briqueterie (Vitry-sur-Seine)
1 avril
20h30
Brûlent nos cœurs insoumis
Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf
Salle Lino Ventura (Athis Mons)
Sommaire
spectacles
JEROME BOSCH, LE JARDIN DES DÉLICES – Marie Chouinard......................................................................................7
Le tour du monde des danses urbaines en 10 villes – Ana Pi, Cecilia Bengolea et François Chaignaud ...... 8
Tu, el cielo y tu – Catherine Berbessou.................................................................................................................................................... 9
Prélude à l’après-midi d’un faune / Le Sacre du printemps - Marie Chouinard...........................................................10
CONCRETE – Maud Le Pladec...................................................................................................................................................................11
EXPOSURE – Anne Collod.......................................................................................................................................................................... 12
Conférence dansée n°2: Présence et espace – Marie Chouinard............................................................................................ 14
S T I L – Christian Ubl..................................................................................................................................................................................... 15
Concordan(s)e: Autoportraits (titre provisoire) : Maud Le Pladec et Pierre Ducrozet............................................16
À mon père , une dernière danse et un premier baiser – Radhouane El Meddeb........................................................ 17
Albertine, Hector et Charles – Denis Plassard................................................................................................................................. 18
Tentatives d’approches d’un point de suspension – Yoann Bourgeois..............................................................................19
SOLI.DES – Sébastien Laurent................................................................................................................................................................... 21
KAWRAL – Laurent Blondiau et Salia Sanou....................................................................................................................................22
Gula – Vincent Mantsoe................................................................................................................................................................................23
Le Cri de la Chair – Seydou Boro..............................................................................................................................................................24
Figninto (l’œil troué) – Seydou Boro et Salia Sanou......................................................................................................................25
Métamorphose – Judith Olivia Manantenasoa...............................................................................................................................26
Le Kombi – Jeannot Kumbonyeki............................................................................................................................................................27
Ti Chèlbè – Kettly Noël...................................................................................................................................................................................29
Tshägg – Lucie Eidenbenz........................................................................................................................................................................... 30
Vice Versa – Patrick Bonté........................................................................................................................................................................... 31
La Colline – Roy Asaf.......................................................................................................................................................................................32
We almost forgot – Qudus Onikeku........................................................................................................................................................33
A Taste of Poison – Nicole Mossoux et Patrick Bonté.................................................................................................................34
Deep Dish – The Perfect Garden Series - Chris Haring...............................................................................................................35
Brûlent nos cœurs insoumis – Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf...................................................36
20 danseurs pour le 20ème siècle – Boris Charmatz.........................................................................................................................37
Dancing Museums, La Cité éphémère de la danse........................................................................................................................39
À bras-le-corps – Boris Charmatz et Dimitri Chamblas............................................................................................................ 40
Au temps où les arabes dansaient… – Radhouane El Meddeb................................................................................................ 41
Concordan(s)e - The Spleen – Frank Micheletti et Charles Robinson...............................................................................42
MOTO-CROSS – Maud Le Pladec............................................................................................................................................................43
Tu, el cielo y tu -Catherine Berbessou
©Dan Aucante
Jérôme Bosch, le Jardin des délices - Marie Chouinard
©Nicolas Ruel
Exposure - Anne Collod
©Anne Collod
6
Vitry-sur-seine
Théâtre Jean-Vilar
mer 1er mars 20h
jeu 2 mars 20h
-- Compagnie Marie Chouinard
Québec
-- Créé au Theaterfestival
Boulevard, Bois-le-Duc,
Pays-Bas, le 4 août 2016
-- Durée : 75 minutes
(sans entracte)
-- Tarif Pass : 8€
-- Tarif plein : 24€
-- Tarif réduit : 15€ / 8€
Interprètes lors de la première
mondiale : Sébastien CossetteMasse, Paige Culley, Valeria
Galluccio, Leon Kupferschmid,
Morgane Le Tiec, Lucy M. May, Scott
McCabe, Sacha Ouellette-Deguire,
Carol Prieur, Megan Walbaum
Une production de la COMPAGNIE
MARIE CHOUINARD en
coproduction avec la Jheronimus
Bosch 500 Foundation (PaysBas), qui commémore le 500e
anniversaire de la mort du peintre.
La COMPAGNIE MARIE CHOUINARD
remercie chaleureusement le
Conseil des arts et des lettres du
Québec, le Conseil des arts du
Canada et le Conseil des arts de
Montréal.
Chorégraphie : Marie Chouinard
Musique originale : Louis Dufort
Scénographie et vidéo : Marie
Chouinard
Interprètes : Charles CardinBourbeau, Sébastien CossetteMasse, Catherine Dagenais-Savard,
Valeria Galluccio, Morgane Le Tiec,
Scott McCabe, Sacha OuelletteDeguire, Carol Prieur, Clémentine
Schindler, Megan Walbaum
Lumières : Marie Chouinard
Costumes et accessoires : Marie
Chouinard
Maquillage : Jacques-Lee Pelletier
Équipe de tournage (acte 3)
Scénariste et réalisatrice : Marie
Chouinard
Directeur photo : Jean-François
Gratton
Assistant réalisateur et monteur :
Miguel Raymond
Interprète : Lucie Mongrain
Consultant vidéo : Jimmy Lakatos
Assistant vidéo : Sylvain Robert
Fabrication des accessoires et
éléments de scénographie : Isabelle
Gauthier, Cédric Lord
Fabrication des costumes : Zdravka
Tchakaloff
Équipe de tournée
Directeur des répétitions en
tournée : Jean-Hugues Rochette
Directeur technique, régisseur
vidéo et sonorisateur :
Régisseur lumière : Benoît Dubord
Régisseur de scène : Jérémie
Boucher
-- C’est en solo que Marie Chouinard commence sa carrière de danseuse
en 1978. Pendant douze ans, la chorégraphe née à Québec, aujourd’hui
installée dans son propre espace à Montréal, expérimente les multiples
dimensions de son corps, de sa relation à l’esprit et à la matière.
Une période au cours de laquelle elle signe près de 30 pièces dont
Cristallisation (1978), Marie Chien Noir (1982), S.T.A.B. (Space, Time and
Beyond) (1986) et L’Après-midi d’un faune (1987). En 1990, alors qu’elle
est internationalement reconnue comme une artiste singulière, elle
décide d’interroger en groupe « cette pulsion vitale du corps » qui
la fascine avec Les Trous du ciel, premier spectacle de sa compagnie.
Suivront des oeuvres marquantes du répertoire contemporain comme
Le Sacre du printemps (1993), Les 24 Préludes de Chopin (1999),
Le Cri du monde (2000) ou encore bODY_rEMIX/les_vARIATIONS_
gODLBERG (2005). La recherche de Marie Chouinard, qu’elle définit
comme « un point de fuite vers l’innommable », revêt des formes aussi
diverses que la poésie, le dessin, la photographie, le cinéma,
l’installation plastique ou la virtualité des nouvelles technologies.
Marie
Chouinard
-
Jerome
Bosch,
le Jardin
des délices
1ère en France
À l’occasion du 500ème anniversaire de la mort de
Jérôme Bosch, peintre le plus important du bas
moyen-âge, la chorégraphe québécoise Marie
Chouinard revisite son Jardin des délices daté de
1505. Corps désirant à la blancheur immaculée,
gueule hurlante et âmes torturées, incarnation d’Adam
et Eve peuplent cette illustration du triptyque halluciné du maître qui dresse l’état des lieux de l’humanité avant la faute initiale.
Stupéfiante et hypnotique, la peinture de l’inclassable
Hollandais a toujours fait l’unanimité. Projeté ici en
fond de scène, agrandi jusque dans ses détails les
plus effrayants Le Jardin des délices sert de cadre
à une mise en scène en trois actes pour 10
danseurs.
« De la même manière qu’un chorégraphe peut
partir d’une musique pour créer, je pars du tableau
de Bosch. Et de la même manière qu’un chorégraphe
peut se « coller » (ou pas) à une partition musicale,
j’ai choisi de me « coller » au tableau de Bosch, à son
esprit. Face à un chef-d’œuvre, le bonheur de s’incliner ! » confiait la chorégraphe, en août dernier, au
moment de la création de la pièce à Bois-le-Duc, ville
natale du peintre.
Un spectacle en coréalisation avec
le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine
7
Bagneux
Le plus petit
cirque du monde
ven 3 mars
20h30
[tout public]
-- Cie Vlovajob Pru
France
-- Durée : 40 min
-- Tarif Pass : 7€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 7€ / 5€
-- Tournée : 7 mars Festival
Kidanse (Roye), 9 mars
Espace Culturel Picasso,
Longueau - Festival Kidanse,
10 mars Centre Culturel Léo
Lagrange, Amiens - Festival
Kidanse, 13 et 14 mars CND
Pantin, 16 mars Théâtre de
Beauvaisis - Festival Kidanse,
16 et 17 mars Théâtre
d’Angoulême, 20 et 22 mars
Flixécourt - Festival Kidanse,
21 et 22 mars Théâtre de
Vanves, 24 mars Ville de Saint
Jean de Braye, 27 mars CND
Pantin, 28 et 29 mars Le
Manège Mons Maubeuge,
Belgique, 28 mars Plateau
Picard - Festival Kidanse, 30
mars CND Pantin, 3 avril
Festival Cinévoyageur,
Aiguillon, 5-6 avril CDC Art
Danse Dijon-Bourgogne, 18
et19 avril Théâtre du
Kremlin-Bicêtre, 20 avril
Espace 93, Clichy-sous-Bois,
21 et 22 avril Théâtre de
Saint-Quentin-en-Yvelines
Scène Nationale, 25 avril
Maison de la Musique de
Nanterre, 26-27 avril Théâtre
de Lorient, 2-4 mai 2017
Théâtre de L’onde, Vélizy
Conception et recherche :
Ana Pi, Cecilia Bengolea,
François Chaignaud
Interprétation : Dalila Cortes
Montage vidéo : Ana Pi
Illustrations : Juan Saenz Valiente.
Production : Association des
Centres de Développement
Chorégraphique avec l’aide de la
Direction Générale de la Création
Artistique (Le Gymnase – CDC
Roubaix Nord / Pas-de-Calais ;
Le Cuvier – CDC d’Aquitaine ; le
Pacifique | CDC – Grenoble ; Uzès
danse, CDC de l’Uzège , du Gard
et du Languedoc-Roussillon ; Art
Danse – CDC Dijon Bourgogne ;
La Briqueterie – CDC du Valde-Marne ; L’échangeur – CDC
Picardie ; CDC Paris Réseau –
Atelier de Paris – Carolyn Carlson)
sur une proposition du CDC
Toulouse/Midi-Pyrénées et d’Annie
Bozzini.
Production déléguée Vlovajob Pru.
Vlovajob Pru a reçu l’aide de la
DRAC Poitou-Charentes pour ce
projet.
-- Depuis leur première et sulfureuse pièce ensemble, intitulée Pâquerette
(2008), François Chaignaud et Cecilia Bengolea ne cessent de
surprendre. Explorateurs infatigables, ils tentent d’ouvrir le champ de la
danse contemporaine à d’autres pratiques : acrobaties aériennes, chants
géorgiens, danses urbaines… Capables de revisiter les pièces
chorégraphiées dans les années 1920 par le méconnu François
Malkovski (Danses libres – 2011) comme de réunir sur une même scène
le dub jamaïcain et la danse sur pointes comme dans Dub Love en 2013,
ils ont récemment fait partie des rares chorégraphes invités à créer une
pièce pour le ballet de Wuppertal après la disparition de Pina Bausch. Ils
sont ici accompagnés d’Ana Pi, interprète et créatrice en danse
contemporaine, Ana Pi est également une artiste de l’image, aimant
expérimenter du vjing à la photographie argentique.
Ana Pi, Cecilia
Bengolea et
François
Chaignaud
-
Le Tour
du monde des
danses
urbaines
en dix villes
Du hip-hop de New York au Kuduro de Luanda
en passant par le Dubstep de Londres, partons
pour un tour du monde des danses urbaines ! C’est
un voyage de l’Asie aux États-Unis en passant par
l’Amérique latine, l’Europe et bien sûr l’Afrique à
laquelle nous convie cette forme de quarante
minutes créée au CDC de Toulouse en février 2014
et qui depuis a été jouée plus de 160 fois.
Conférence dansée conçue par Ana Pi, Cecilia
Bengolea et François Chaignaud, ce Tour du
monde propose une forme « live » à la fois
spectaculaire et pédagogique autour des danses
urbaines à travers le monde. À l’aide de
projections vidéo qu’elle commente, ainsi que
quelques tenues bien choisies, l’interprète Dalila
Cortes évoque, sans prétendre être exhaustive,
l’immense variété des danses pratiquées dans les
rues de dix villes du monde : Krump à Los
Angeles, Dancehall à Kingston, Pantsula à
Johannesburg, Voguing à New York… Pour chaque
danse, l’artiste nous donne des informations sur
l’origine de ces pratiques chorégraphiques, le
contexte sociologique qui les a vu naître, les styles
musicaux associés, mais aussi sur le sens qu’elles
ont pris et leur éventuelle évolution. À l’issue de la
conférence chacun peut s’initier à ces danses,
guidé par l’excentrique danseuse francocolombienne.
Un spectacle en coréalisation avec
Le plus petit cirque du monde à Bagneux
8
Théâtre de Rungis
vend 3 mars
20h30
-- Tarif Pass : 8€
Tarif Pass : 10€
Tarif plein : 18€
Tarif réduit : 15€/5€
Théâtre Claude
Debussy Maisons Alfort
jeu 9 mars
20h45
-- Tarif Pass : 14€
-- Tarif plein : 22€
-- Tarif réduit : 19€ /14€
-- Cie Catherine Berbessou France
Chorégraphie : Catherine
Berbessou
Assistante : Claire Richard
Interprètes : Carmela Acuyo,
Stéphane Bourgeois, Rémi
Esterle, Noémi Ettlin, Claire
Meguerditchian, Willem Meul,
Marion Métais, Sabine Novel,
Federico Rodriguez Moreno,
Isabelle Teruel
Scénographie et lumières : Marc
Oliviero
Son : Antisten
Costumes : Myriam Drosne
Régie générale : Christophe Velay
Régie lumière : Julien Pichard
Production : Françoise Empio
Diffusion : Anne-Lise Ourmières
Coproduction : La Briqueterie –
CDC du Val-de-Marne, le Théâtre
de Rungis, le Théâtre - scène
nationale de Mâcon, le Dôme
Théâtre d’Albertville, La Filature
- Scène nationale de Mulhouse, la
Mcna de Nevers
Accueil studio : partenariat
avec la compagnie 29x27 – sept
cent quatre vingt trois – Nantes,
accompagnement spécifique à
micadanse – Paris
-- Durée : 1h30
-- Tournée : vendredi 17
mars Maison de la Culture
(Nevers) ; mardi 21 mars
Le Parvis, Scène Nationale
Tarbes Pyrénées ; vendredi
7 avril Le Théâtre Scène
Nationale (Macon) ; mardi
25 avril Théâtre Jean Arp
(Clamart) ; mercredi 3
mai Théâtre de Charleville
Mezieres; mardi 9 mai
Théâtre Paul Eluard (Bezons) ;
vendredi 12 mai Le Dome
Théâtre (Albertville) ; samedi
10 juin La Filature, Scène
Nationale (Muhlouse)
-- Catherine Berbessou commence la danse avec Françoise et Dominique
Dupuy. Interprète de la compagnie L’Esquisse, elle rejoint ensuite
Claude Brumachon. En 1990, elle fonde sa propre compagnie et
s’enflamme pour le tango argentin qu’elle pratique à Buenos Aires avec
de grands maîtres. En 1996, elle crée A Fuego Lento, spectacle sur
l’univers du tango à travers une dramaturgie contemporaine. En 1999,
elle crée Valser repris en 2014 par le Ballet du Capitole sous la direction
de Kader Belarbi En 2000, elle travaille avec le réalisateur Sébastien
Jaudeau sur Intrusion et présente Rencontre exceptionnelle. En 2002
elle monte Fleur de Cactus. Si depuis 2003, elle se consacre
essentiellement à l’enseignement du tango et créé plusieurs
chorégraphies pour des festivals de tango, elle chorégraphie
ponctuellement pour la scène : In I d’Akram Khan et Juliette Binoche
sur la partie tango ou la TV : Argentin (2009), solo pour la comédienne
Armelle Deutsch dans Pigalle la nuit de Hervé Hadmar (2010).
Tu, el cielo y tu signe le retour de sa compagnie.
Catherine
Berbessou
-
Tu, el cielo y tu
Création Biennale 2017
Que serait le sentiment amoureux sans l’attirance
des corps, l’alchimie étrange, jouisseuse et ravissante
qui en émanent ? Sans cette avalanche de regards,
de touchers, d’étreintes et de sentiments qui nous
assaillent ? Le rouge et le noir, la vitalité et la destruction, la force et la douleur… S’il est une expérience
commune qui nous éloigne des interprétations univoques, c’est bien celle du sentiment amoureux.
Dans la filiation de la voie ouverte en 1996 avec A
Fuego lento puis Valser (1999), la chorégraphe
Catherine Berbessou poursuit sa route sur les chemins tortueux du tango mélangés à la gestuelle du
contemporain pour traiter du discours amoureux.
Elle prend le parti d’explorer les contours et les affres
de la passion amoureuse en ce qu’ils s’inscrivent
d’abord dans un rapport corporel à l’autre. Comment
les hommes et les femmes s’y prennent-ils pour se
laisser à désirer ? Quel corps mettent-ils en avant
et quelles manières ont-ils de s’en servir pour élaborer leur intégrité face à l’autre sexe ? Les rapports
sensuels entre les hommes et les femmes sont au
cœur de cette création toute en puissance et fragilité
pour 10 danseurs. Rythmes, pulsations, vibrations,
c’est un chœur au service du cœur qui laisse s’exprimer l’émotion.
Un bal milonga, organisé avec la complicité de
Catherine Berbessou, suivra la pièce.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre de Rungis
et avec le Théâtre Claude Debussy de Maisons-Alfort
9
Théâtre
Paul Éluard - Bezons
sam 4 mars 20h30
-- Tarif Pass : 7€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 7€ / 5€
Théâtre Romain
Rolland - Villejuif
ven 10 mars 20h30
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 19€
-- Tarif réduit : 15,50€ /12€
-- Compagnie Marie Chouinard
France
Prélude à l’après-midi
d’un faune Solo
Durée : 10 minutes
Direction artistique et
chorégraphie : Marie Chouinard
Musique : Prélude à l’après-midi
d’un faune, Claude Debussy, 1894
Interprètes : Megan Walbaum
Lumières : Alain Lortie
Costumes : Louis Montpetit et
Marie Chouinard
Maquillages : Jacques Lee Pelletier
-- Prélude à l’après-midi
d’un faune :
Créé au Festival international
de Taipei, Taïwan, le 21 octobre
1994 | Interprète lors de la
première mondiale : Dominique
Porte.
Le Sacre du printemps
Ballet en un acte
Durée : 50 minutes
Créé au Centre national des Arts à
Ottawa, Canada, le 18 juin 1993*
Conception, direction artistique et
chorégraphie : Marie Chouinard
Musiques : Signatures sonores,
Rober Racine, 1992, 12 minutes ; Le
Sacre du printemps, Igor Stravinsky,
1913 – avec la permission de
Boosey & Hawkes, Inc., éditeur
et détenteur des droits de
reproduction, 35 minutes
Interprètes : Sébastien CossetteMasse, Paige Culley, Valeria
Galluccio, Leon Kupferschmid,
Morgane Le Tiec, Lucy M. May, Scott
McCabe, Sacha Ouellette-Deguire,
Carol Prieur, Megan Walbaum
Lumières : Marie Chouinard
Costumes : Liz Vandal
Accessoires : Zaven Paré
Maquillages : Jacques Lee Pelletier
Coiffure : Daniel Éthier
-- Interprètes lors de la première
mondiale : Marie-Josée Paradis,
Mathilde Monnard, Daniel
Éthier, Dominique Porte,
Pamela Newell, José Navas,
Jeremy Weichsel
Une production de la
COMPAGNIE MARIE
CHOUINARD en coproduction
avec le Centre national des Arts
(Canada) et la Fondation Laidlaw
(Canada)
Une production de la
COMPAGNIE MARIE
CHOUINARD en coproduction
avec le Centre national des Arts
(Ottawa, Canada), le Festival
international de nouvelle danse
(Montréal, Canada) et le
Kunstentrum Vooruit (Gand,
Belgique).
La COMPAGNIE MARIE
CHOUINARD remercie
chaleureusement le Conseil des
arts et des lettres du Québec, le
Conseil des arts du Canada, le
Conseil des arts de Montréal.
www.mariechouinard.com
Marie
Chouinard
-
Prélude à
l’après-midi
d’un faune
Le Sacre du
printemps
Avec Prélude à l’après-midi d’un faune (1994) et
Le Sacre du printemps (1993), Marie Chouinard
revisite deux monuments de la danse qui fascinèrent,
avant elle, Serge Lifar, Martha Graham, Maurice
Béjart, Pina Bausch… Elle-même habituée aux
scandales, elle se réapproprie ces deux œuvres «
scandaleuses » dans une écriture intuitive et
personnelle. Sa manière formelle d’aborder le Prélude
à l’après-midi d’un faune exalte au plus près le
répertoire de Nijinsky (s’imprégnant des photographies
du Faune prises par Adolphe Meyer plutôt que des
notations chorégraphiques de l’époque) tout en
interrogeant le rapport scénique à l’érotisme, à
l’obscène et à la question du genre. À la suite de ce
subtil érotisme, un Sacre du printemps reconnaissable
entre tous avec ses protubérances phalliques qui se
déploient sur le sol et les costumes des danseurs.
Au nombre de 10, ils effectuent sous les rais de
lumière une multiplicité de solos. Marie Chouinard
dit « partir à la quête des ancêtres, et retrouver par
eux des pulsions, qui tirant leur origine de la nuit des
temps, parcourent l’humanité. C’est comme si j’avais
abordé la première seconde suivant l’instant de
l’apparition de la vie dans la matière, explique-telle.
Le spectacle, c’est le déploiement de cette seconde.
J’ai l’impression qu’avant cette seconde, il y a eu
l’intervention extraordinaire d’une lumière, d’un
éclair. ».
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard de
Bezons et avec le Théâtre Romain Rolland de Villejuif
10
Pôle culturel
Alfortville
sam 4 mars
20h30
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 17€
-- Centre chorégraphique
national d’Orléans - France
-- Durée : 1h00
-- Tournée : 24 mai 2017 Maison
de la Culture (Bourges)
Conception et chorégraphie : Maud
Le Pladec
Musique : Michael Gordon (Trance)
Scénographie lumières : Sylvie Mélis
assistée de Nicolas Marc
Interprètes : Régis Badel, Olga
Dukovnaya, Julien Gallée-Ferré,
Corinne Garcia, Maria Ferreira Silva
Musique live : Ensemble ICTUS :
Dirk Descheemaeker, clarinette,
Carlos Galvez Taroncher, clarinette,
Gerrit Nulens, percussions, clavier,
Nico Couck, guitare électrique,
Caroline Peeters, flûte, Jean-Luc
Plouvier, clavier, Herwig Scheck,
basse électrique, Tomonori Takeda,
clarinette, Ine Vanoeveren, flûte
Arrangement et composition voix :
Pete Harden
Assistant musical : Tom Pauwels
R
Répétition voix : Dalila Khatir
Costumes : Alexandra Bertaut
Scénographie : Vincent Gadras
Documentation : Youness Anzane
Régie générale : Fabrice Le
Fur
Régie ou Max Potiron
Lumières : Nicolas Marc
Régie son : Vincent Le Meur,
Alexandre Fostier
Coproduction : Théâtre National
de Bretagne/Rennes, CCN Ballet
de Lorraine – Accueil Studio
2015/2016, CCN Grenoble dans
le cadre de l’Accueil Studio 2015,
The Point/Eastleigh, Fondation
Royaumont/Asnières sur Oise.
Avec l’aide de : Adami, Spedidam,
DanSCe Dialogues 2
Remerciements : au Musée de la
danse/CCNRB (Rennes) pour le prêt
de studio, à la Raffinerie (Bruxelles).
Le Centre Chorégraphique National
d’Orléans est subventionné par
le Ministère de la Culture et de la
Communication - D.G.C.A - D.R.A.C
du Centre Val de Loire, la Ville
d’Orléans, la Région Centre Val de
Loire, le Conseil Départemental du
Loiret.
-- Après avoir suivi la formation Ex.e.r.ce au CCN de Montpellier, Maud Le
Pladec, d’abord interprète pour de nombreux chorégraphes, créé depuis
2009 ses propres projets dans lesquels la musique tient une place
centrale. En 2010, elle crée Professor qui obtient le prix de la Révélation
Chorégraphique 2010 par le Syndicat de la Critique Française, puis en
2011, Poetry qui forme avec Professor un diptyque autour de l’oeuvre de
Fausto Romitelli. En 2012, Maud Le Pladec amorce son projet au long
cours To Bang on a can (2012-2015) dont Concrete est le troisième et
dernier volet après Ominous Funk et Democracy. Maud Le Pladec a par
ailleurs été lauréate du programme « Hors les Murs » de l’Institut
Français en 2013 pour une recherche autour du collectif de musique
contemporaine Bang on a can. En parallèle, elle collabore sur des projets
d’envergure comme la création de l’opéra Xerse (Cavalli/Lully) avec
l’Opéra de Lille et ouvre depuis 2015 un nouveau chantier de recherche
et de création autour du texte avec sa pièce Hunted co-créée avec la
performeuse Okwui Okpokwasilli (2015). Nouvelle directrice du CCN
d’Orléans, Moto-cross une nouvelle création Biennale de danse du Valde-Marne.
MAUD
LE PLADEC
-
CONCRETE
Dernier volet de la trilogie « TO BANG ON A
CAN » que Maud Le Pladec a construite à partir de
la musique post-minimaliste, CONCRETE est une
pièce chorégraphique qui se construit à partir de
Trance, œuvre culte du compositeur américain
Michael Gordon, créée en 1994. Véritable kaléidoscope musical, Trance s’inspire tant de musique
classique que de culture populaire. Maud Le Pladec
imagine ainsi CONCRETE comme une rencontre
entre pièce chorégraphique minimaliste, light show
et concert de musique contemporaine.
Sur scène, les neuf musiciens de l’Ensemble Ictus,
dirigé par Tom Pauwels et Jean-Luc Plouvier, interprètent en direct Trance, tandis que cinq danseurs
explorent le langage chorégraphique que suscite
cette musique puissante et rythmique. La mise en
jeu des relations entre musique, danse et lumière
est ainsi l’occasion de sonder, d’ausculter l’espace
concret ouvert par l’œuvre musicale. Sylvie Mélis
signe une création originale en écrivant une partition lumière à interpréter, qui dialogue avec celle
de la danse et de la musique. Et puis CONCRETE,
c’est aussi et surtout un prétexte à la danse. Façon
in fine de libérer le corps dansant sur une musique
intense et intarissable.
Un spectacle en coréalisation avec le Pôle culturel
d’Alfortville et la Muse en circuit,
Centre national de création musicale
11
Salle Jacques Brel,
Fontenay-sous-Bois
sam 4 mars
17h00, 19h00 et
21h00
dim 5 mars
15h00, 17h00 et
19h00
Conception, direction artistique et
performance : Anne Collod
Lumières : Caty Olive
Environnement sonore : Francisco
Lopez
Environnement scénique : Alexis
Bertrand
Accompagnement artistique : Marie
Roche
Conseil artistique : Jennifer Lacey,
Cécile Proust
Administration, production,
diffusion : Grand Ensemble
-- Tarif Pass : 8€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 8€
-- … & alters - France
-- Durée : 1h45
-- Diplômée en biologie et en environnement, elle danse pour différents
chorégraphes (Pierre Deloche, Philippe Découflé, Stéphanie Aubin,
Hélène Cathala et Fabrice Ramalingom), puis co-fonde le Quatuor
Albrecht Knust (1993-2001), collectif d’interprètes dédié à la recréation
d’œuvres chorégraphiques du début du XXe siècle. A partir de 2001, tout
en collaborant avec divers chorégraphes (Boris Charmatz, Cécile
Proust, Alain Michard, Laurent Pichaud), elle débute un travail de
recherche sur la notion d’« être-ensemble » en danse, qui la conduit en
2003 à rencontrer Anna Halprin à San Francisco, puis à danser pour
elle. Elle participe depuis aux performances européennes de la
chorégraphe. En 2005, elle fonde l’association… & alters, et lance le
projet «empreintes», qui interroge les notions de partition et de
processus comme supports de création et d’interprétation. En 2007
(faire)cabane, en collaboration avec le designer et performeur Mathias
Poisson, et présente en 2008 Parades & changes, replays, recréation in
extenso d’une pièce majeure d’Anna Halprin de 1965, Parades &
changes, replays, qui fera le tour du monde.
ANNE COLLOD
-
EXPOSURE
Création Biennale 2017
Exposure est une proposition immersive pour un
public, un site industriel et une performeuse, qui
articule à part égale trois matières, chorégraphique,
sonore et lumineuse. Exposure interroge la notion
d‘énergie en lien avec les questionnements actuels
sur le changement climatique et les bouleversements
qu’il génère. Comment inventer une prise qui mette
la dimension sensible au cœur de ces problématiques ? Comment créer une autre perception et prise
en compte de ces enjeux, abordées généralement
uniquement du point de vue technologique, économique ou géopolitique ? Exposure convie les spectateurs à parcours sensoriel et réflexif de perception
des énergies à travers une visite guidée et performée
d’un site de production d’énergie. Le travail du mouvement se nourrira des énergies cinétiques et artistiques développées par plusieurs figures puissantes
de femmes chorégraphes (Anna Halprin, Simone
Forti, Trisha Brown, Meg Stuart ou Jennifer Lacey),
et s’appuiera également sur différentes approches
énergétiques, notamment celle du chorégraphe de
butô Akira Kasaï. Flux, ondulations, vibrations,
tremblements, frottements composeront la matière
de mouvement d’une série d’actions et de gestes
ritualisés d’une femme agissante, au coeur d’un environnement instable, traversés de pulsations lumineuses et de bourrasques d’ondes sonores. Mouvement,
son, lumière seront autant sources d’énergie que
matières potentiellement inquiétantes, activées de
façon inhabituelle autour d’un public.
Le public, invité à s’asseoir au coeur de la scénographie et à s’effacer derrière des masques abstraits,
composera une communauté humaine témoin des
vibrations et des soubresauts de ce micro-monde.
Un spectacle en coréalisation avec Fontenay-en-Scènes.
12
À mon père, une première danse et un dernier baiser Radhouane El Meddeb
©Agathe Poupeney
STIL-Christian Ubl
©Fabrice Cattalano
Albertine, Hector et Charles - Denis Plassard
©Viola Berlanda
13
La Briqueterie
Vitry-sur-seine
mar 7 mars
19h30
-- Tarif unique : 6€
-- Durée : 1h00
Conception et mise en scène :
Marie Chouinard
Interprètes : Valeria Galluccio,
Morgane Le Tiec, Sacha OuelletteDeguire, Carol Prieur
MARIE
CHOUINARD
-
PRÉSENCE
ET ESPACE :
CONFÉRENCE
DANSÉE N°2
Pour cette conférence dansée, Marie Chouinard
a choisi de travailler autour des souvenirs liés au
corps, au corps dansant aussi bien qu’au corps intime
de ses interprètes. Voilà que les moments charnières
d’une vie, les lieux de passage, se réactualisent sous
nos yeux, reprenant Présence et Espace. Partagées
à travers la parole, le silence, les gestes, l’humour et
la tragédie, les réminiscences des corps des danseurs
sont offertes comme vie partagée.
14
Théâtre de Châtillon
mar 7 mars
20h30
-- Tarif Pass : 8€
-- Tarif plein : 16€
-- Tarif réduit : 13€/10€/8€
-- CUBe association - France
-- Durée : 1h10
-- Tournee : 16 mars 2017 Lux
(Valence) ; 7 et 8 novembre
Haxagone (Meylan).
Conception et chorégraphe :
Christian Ubl
En collaboration avec les
interprètes : Séverine Bauvais, Aniol
Busquets, Marianne Descamps,
Bastien Lefèvre, Joachim Lorca,
Marion Peuta
Conception des costumes : Pierre
Canitrot
Composition et musiques : Fabrice
Cattalano et Hélène Breschand
Dramaturgie : Fabienne Gras
Lumière : Jean-Bastien Nehr
Production : CUBe association
Partenariats : Leopold
Museum(Vienne) collection
et archives de Schiele et
Klimt Sammulung – accès aux
archives pour la recherche et la
documentation.
Co-production et soutiens : Ballet
Preljocaj / Pavillon Noir, CCN
Aix-en-Provence - Klap Maison
pour la danse de MarseilleLa
Briqueterie/CDC du Val de Marne,
Vitry-sur-Seine - Chorège / Relais
culturel régional du Pays de Falaise
- Fondation ECART- POMARET 3bisf d’Aix-en-Provence - Soutien
du Centre Chorégraphique
National d’Aquitaine en PyrénéesAtlantiques – Malandain Ballet
Biarritz – CDC Le Pacifique de
Grenoble - Fonds SACD Musique de
scène - LA SPEDIDAM
Soutien : DRAC Provence-AlpesCôte d’azur (aide à la compagnie)
- Région Provence-Alpes-Côte
d’azur (CAC danse) - Conseil
départemental des Bouches-duRhône - Ville de Marseille
-- Originaire d’Autriche, Christian Ubl aborde la danse à travers un
parcours professionnel très éclectique et de haut niveau tels le patinage
artistique et les danses latino-sportives. À partir de 1993, il s’intéresse à
la danse contemporaine et suit de nombreux stages.En 1997, il intègre
Coline à Istres pour deux ans et y rencontre Luc Trembley, Robert
Seyfried, Serge Ricci, Mirjam Berns, Fabrice Ramalingom, Hélène
Cathala, Françoise Murcia. À l’issue de cette formation, il poursuit son
parcours auprès de Robert Seyfried et Abou Lagraa. Entre 2000 et 2009
il participe aux pièces de Michel Kelemenis puis il est choisi par Les
Carnets Bagouet pour danser Meublé Sommairement de Dominique
Bagouet. En 2001, il est interprète pour Christiane Blaise, Daniel
Dobbels et Delphine Gaud. À partir de 2003, il danse sur les projets de
Thomas Lebrun et interprète une reprise de rôle pour la Cie Linga
(Lausanne) et l’Irland Dance Theater (Dublin). En 2005, il prend la
direction artistique de CUBe et inscrit cinq pièces au répertoire.
Actuellement, il poursuit sa collaboration avec Thomas Lebrun et David
Wampach en tant qu’interprète et assistant.
CHRISTIAN
UBL
-
STIL
1ère en Île-de-France
Après un cycle de création sur l’identité et le vivre
ailleurs, la nouvelle création de Christian Ubl trouve
sa source dans le courant esthétique « jugendstil ».
Courant artistique assez méconnu nommé aussi
Sezessionstil (à Vienne) ou Art Nouveau (en France),
le jugendstil est né en réaction aux dérives de l’industrialisation forcenée et face à la reproduction
sclérosante des odes du classicisme. Klimt versus
Schiele : à eux deux, l’aîné et son orfèvrerie, le cadet
et sa crudité, ils résument la fameuse Sécession
viennoise, ce mouvement pour un art nouveau qui,
avant 1914, secoua le cœur de l’Empire et de l’Europe, et leur lourde civilité bourgeoise. Rien d’étonnant si, viennois lui-même, Christian Ubl retourne
à ces deux figures, frères d’art sinon d’âme, pour
cette nouvelle création. Face aux rudesses du temps
présent, peut-être faut-il se rappeler la stratégie
qu’avait osée le Jugendstil dans le pressentiment
des horreurs qui venaient, recourir aux confins de
l’Homme, là où sacralité et pornographie se mêlent,
pour opposer à Thanatos la souveraineté de la Vie.
Le style futur ne sera pas forme mais désir. Si ce
spectacle est un hommage à tous les gestes artistiques en général que l’amour de l’amour porte à leur
comble, la danse, comme on sait depuis la grande
Loïe Fuller, a ce privilège, par le « ralenti » des corps
dont parle Rilke, d’ouvrir nos yeux à « la vue des
astres rapides ».
Un spectacle en co-réalisation avec le Théâtre de Châtillon
15
La Briqueterie
Vitry-sur-seine
mer 8 mars
19h30
-- Tarif unique : 6€
-- Durée : 30 min
concordan(s)e est soutenu par le
Département de la Seine-SaintDenis, le Conseil Régional d’Ile-deFrance, la Direction régionale des
affaires culturelles d’Ile-de-France
/ Ministère de la Culture et de la
Communication, BeaumarchaisSACD, La Mairie de Paris, La Sofia,
Le Phare - Centre Chorégraphique
National du Havre HauteNormandie, Théâtre du Beauvaisis,
la CCAS Anglet, Le Centre national
de la danse - Pantin, micadanses Paris. L’association indisciplinaire(s)
bénéficie de la permanence
artistique et culturelle de la Région
Ile-de-France.
Coproduction : festival
concordan(s)e, CCN d’Orléans
- avec le soutien du Musée de la
danse CCNRB/ Rennes, du Triangle
à Rennes
Le Centre Chorégraphique National
d’Orléans est subventionné par
le Ministère de la Culture et de la
Communication - D.G.C.A - D.R.A.C
du Centre Val de Loire, la Ville
d’Orléans, la Région Centre Val de
Loire, le Conseil Départemental du
Loiret.
MAUD LE
PLADEC ET
PIERRE
DUCROZET
-
Autoportrait(s)
(titre provisoire)
CONCORDAN(S)E
1ère en Île-de-France
Concordan(s)e s’offre une soirée à La Briqueterie
à l’occasion de la Biennale. Le principe du festival
est désormais bien connu : une commande est passée à un chorégraphe et un écrivain qui ne se
connaissent pas au préalable. Ils vont découvrir
leurs expériences respectives, cheminer ensemble
pour nous dévoiller le fruit de leurs échanges, de
ces croisements entre le geste et le mot. Le chorégraphe et l’écrivain interprètent ensuite face au
public une chorégraphie et un texte inédits. Ces
rencontres offrent à chaque fois des formes inattendues, des créations inédites qui donnent à cette
expérience toute sa richesse, son originalité. L’intention
de ces rencontres est de découvrir, sur un même
espace, le chorégraphe et l’écrivain dans cet acte
artistique commun. Maud Le Pladec, récemment
nommée à la direction du Centre chorégraphique
d’Orléans et artiste associée à La Briqueterie recontre
ici Pierre Ducrozet romancier qui a publié en 2010
son premier roman, Requiem pour Lola rouge Prix
de la Vocation, La vie qu’on voulait (2013). Son troisième roman, Eroica (Grasset, 2015) est une fiction
biographique autour du peintre Jean-Michel Basquiat.
16
La Briqueterie / CDC
du val-de-marne –
vitry-sur-seine
mer 8 mars
21h00
-- Tarif Pass : 9€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 9€/6€
-- Compagnie de Soi - France
-- Durée : 1h00
-- 14 et 15 mars Théâtre Pôle
Sud – CDC avec le Maillon
Théâtre (Strasbourg) ; 18
mars – La Ferme du Buisson
(Noisiel)
Conception, chorégraphie,
interprétation : Radhouane El
Meddeb
Collaborateur artistique :
Moustapha Ziane
Plasticien : Malek Gnaoui
Scénographie : Annie Tolleter
Réalisation sonore : Olivier renouf,
extraits des Variations Goldberg
de Johan-Sebastian Bach,
interprétées par Glenn Gould.
Lumières : Xavier Lazarini
Costumes : Cidalia Da Costa
Régisseur général : Bruno Moinard
Régisseur son : Jonathan reig
Administration-production : Bruno
Viguier
Diffusion-production : Michel
Chialvo
Production : La Compagnie de SoI
Coproduction : Festival montpellier
Danse 2016, La Briqueterie CDC du
Val-de-Marne (Vitry-sur-Seine),
Pôle Sud - CDC de Strasbourg.
avec le soutien du CND, un centre
d’art pour la danse, accueil en
résidence.
Radhouane El Meddeb est
artiste associé au Cent-Quatre
(Paris). La Compagnie de sOi
est subventionnée par la draC
Île-de-France / Ministère de la
Culture et de la Communication
au titre de l’aide aux compagnies
chorégraphiques.
-- Formé à l’Institut Supérieur d’Art Dramatique de Tunis, Radhouane El
Meddeb est ensuite recruté comme comédien dans le cadre de l’atelier
de formation et de recherche du Théâtre National de Toulouse. Durant
ces années consacrées au théâtre, il travaille ponctuellement avec des
chorégraphes tunisiens en tant qu’interprète et collaborateur artistique.
En 2005, il signe sa première création, un solo pour en finir avec MOI,
comme une introspection intime, une expérience vitale. Il multiplie
ensuite les créations en France : le solo Hûwà, Ce lui, 1000 Départs de
Muscles d’Héla Fattoumi et Éric Lamoureux. En 2008, il présente sa
création Quelqu’un va danser… et conçoit au Centre National de la
Danse la performance Je danse et je vous en donne à bouffer. En 2010, il
crée, toujours au CND, sa première pièce de groupe Ce que nous
sommes, avec cinq danseurs. Deux ans plus tard au festival Montpellier
Danse, il crée et danse le solo Sous leurs pieds, le paradis co-écrit avec
Thomas Lebrun. Même année et autres collaborations : Matias Pilet et
Alexandre Fournier pour un duo de nouveau cirque Nos limites.
Récemment il a signé deux nouvelles pièces de groupe Au temps où les
Arabes dansaient… et Heroes, une pièce avec 10 jeunes danseurs.
RADHOUANE
EL MEDDEB
-
À MON PÈRE,
UNE DERNIÈRE
DANSE ET
UN PREMIER
BAISER
1ère en Île-de-France
Des nappes blanchâtres sur un sol noir, une sculpture animale mystérieuse. Et cet homme qui danse,
Radhouane El Meddeb. À son père, il confie son
énigme, murmure sa peine et hurle son désarroi. Il
lui raconte ce qui a eu lieu depuis cinq ans, depuis
sa mort : le printemps tunisien, l’espoir d’un renouveau et l’angoisse du chaos. Son corps écrit des
phrases suspendues, hésitations et déclamations,
sur les intensités d’une musique, vive et pleine comme
une étreinte.
Il y a eu un rêve une nuit, où il est face à son père.
Il y a eu une vidéo un jour, où il voit Steve Paxton,
chorégraphe mythique américain, danser seul sur
Les Variations Goldberg, partition pianistique de
Johann-Sebastian Bach. Une déflagration : cette
confidence intime sera ainsi ce dernier baiser qui
lui a été défendu, cette danse qui aurait pu être la
première partagée avec son père.
Figure singulière de la danse contemporaine,
Radhouane El Meddeb crée des œuvres délicates et
renversantes. De son solo Je danse et je vous en
donne à bouffer à l’une de ses plus récentes pièces
de groupe, Au temps où les Arabes dansaient
Radhouane El Meddeb ne cesse de délier les fils de
sa culture pour les tisser à la trame du monde. En
collaboration avec Malek Gnaoui, jeune céramiste
Tunisien œuvrant sur l’idée du sacrifice, le chorégraphe crée ce solo pour le Festival Montpellier
Danse 2016.
17
Auditorium JeanPierre Miquel
Fontenay-aux-Roses
sam 11 mars
20h30
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 15€/12€
-- Compagnie Propos - France
-- Durée : 1h10
Conception, chorégraphie et mise
en scène : Denis Plassard
Marionnettes : Émilie Valantin
Interprètes – manipulateurs : Sonia
Delbost-Henry, Annette Labry,
Denis Plassard
Voix (interprétation et
composition) : Florent Clergial,
Nicolas Giemza, Jessica MartinMaresco
Création costumes : Julie
Lascoumes
Création lumières : Dominique Ryo
Régie générale et régie son : Éric
Dutrivoz
Avec le soutien de L’Adami
Production : Compagnie Propos
Coproduction : ONYX-La Carrière
Scène conventionnée danse de
Saint-Herblain, Biennale de la
danse de Lyon 2016
Avec le soutien de l’Adami
Résidences ONYX- La Carrière
Scène conventionnée danse de
Saint- Herblain, Théâtre de Givors –
direction : Yves Neff
La Compagnie Propos est
conventionnée par le minist.re de la
Culture et de la
Communication / DRAC
Auvergne-Rhône-Alpes et la
Région Auvergne- Rhône-Alpes, et
subventionnée par la Ville de Lyon.
-- Denis Plassard se forme au Conservatoire National de Région puis au
CNSMD de Lyon, en danse classique et contemporaine. Puis, durant
deux années il danse dans la Compagnie de la Place Blanche de Josette
Baïz. Avec l’envie de s’essayer à la chorégraphie, il crée en 1990 son
premier solo, Propos, qui donnera le nom à sa compagnie, montée
l’année suivante. Denis Plassard aime se plonger dans divers univers
artistiques et confronter la danse avec les autres formes d’arts :
la vidéo dans mes Têtes de Sardines (2009), la magie avec Encore
quelques illusions (2012), le théâtre dans Terrier (mise en scène d’un
texte de Kafka en 1998 puis repris en 2010) ou encore Chalet 1 (2012,
mise en scène d’un texte d’André Baillon) et les marionnettes.
En 2008, il réunit des interprètes issus de la danse contemporaine, du
cirque et du hip-hop pour la création DéBaTailles. Avec Rites (2013) il
prolonge ses recherches sur la parole.
DENIS
PLASSARD
-
ALBERTINE,
HECTOR ET
CHARLES
1ère en Île-de-France
Avec Albertine, Hector et Charles, Denis Plassard
signe une folle partition dansée pour 3 marionnettes
imaginées par Emilie Valantin, 3 danseurs manipulateurs et 3 voix.
Albertine, Hector et Charles sont les réincarnations, sous forme de marionnettes, des personnages
de Suivez les instructions, création jeune public 2015
de Denis Plassard. Albertine, Hector et Charles se
réveillent en enfer, réincarnés en pantins inertes.
Les 3 damnés sont pris en charge par 6 démons (3
danseurs manipulateurs et 3 voix). Comme dans La
Divine Comédie de Dante, ils sont soumis à des
châtiments personnalisés et adaptés aux fautes qui
les ont conduits là : les prétentieux doivent danser
sur la tête et les couples désunis s’affrontent sans
répit dans une danse de couple manipulée... Les 9
cercles infernaux (9 châtiments successifs) baignent
dans une lumière caverneuse au son des transes
envoûtantes de deux beatboxers démoniaques et
d’une chanteuse diabolique.
Albertine, Hector et Charles est un jeu de manipulation en 3 dimensions. Les plans et les niveaux
de lectures se superposent pour créer des illusions
infernales, des ersatz de vies manipulées : les démons grouillent, les têtes volent, les morts prennent
vie, les damnés voltigent et l’enfer continue...
Un spectacle en coréalisation avec la ville de Vincennes
18
Centre culturel
Aragon Triolet – Orly
dim 12 mars
15h30
devant le théâtre puis 15h30
pour parcours extérieur
Yoann Bourgeois.
Théâtre Louis Aragon
Tremblay-en-France
sam 25 mars
18h00
-- Yoann Bourgeois - CCN2
Centre chorégraphique de
Grenoble
-- Accès libre
DEVANT l’ECOLE JOLIOT CURIE
durée 25mn
Le programme de courtes pièces
est composé de :
Dialogue Conception, mise en
scène et scénographie : Yoann
Bourgeois
Interprétation : Estelle ClémentBealem et Raphaël Defour
FUGUE / TABLE – VARIATION
TOURNANTE
Conception : Yoann Bourgeois et
Marie Fonte
Interprétation : Yoann Bourgeois et
Marie Fonte
SUR LA PLACE DU MARCHE
durée 20 mn
Trois dispositifs physiques pour
mettre un corps en apesanteur :
Noustube – Autoportrait
Mise en scène : Yoann Bourgeois
dans le cadre de Noustubes de Jörg
Müller
La Balance de Lévité
Conception : Yoann Bourgeois et
Marie Fonte
Scénographie : Goury Escalier
Conception : Yoann Bourgeois
Interprétation : Yoann Bourgeois,
Mathieu Bleton, Estelle Clément-
Bealem, Raphaël Defour, Marie
Fonte
ESPLANADE DU THEATRE LOUIS
ARAGON – TREMBLAY-EN-France
durée 45mn
Le programme de courtes pièces
est composé de :
Fugue / Trampoline
Conception et interprétation :
Yoann Bourgeois assisté de Marie
Fonte
Musique : Metamorphosis n° 2 de
Philip Glass, interprété en live par
Laure Brisa.
Interprété par Yoann Bourgeois
FUGUE / TABLE + HOURVARI
Conception : Yoann Bourgois
Interprétation : distribution en
cours
Dialogue, Conception, mise en
scène et scénographie : Yoann
Bourgeois
Interprétation : Estelle ClémentBealem et Raphaël Defour
Son : Antoine Garry
Costumes : Sigolène Petey
Réalisation scénographie : David
Hanse et Nicolas Picot (C3 Sud Est)
Régie générale : Audrey Carrot
Maîtrise d’œuvre et construction :
Amethys, C3 Sud Est.
Production CCN2 Centre
chorégraphique national de
Grenoble - direction Yoann
Bourgeois et Rachid Ouramdane.
Coproduction Compagnie Yoann
Bourgeois ; MCB° Maison de la
culture de Bourges ; Théâtre
National de Bretagne/Rennes ;
Théâtre de la Ville/Paris ; MédicisClichy-Montfermeil, CAPI-Théâtre
du Vellein
Yoann Bourgeois bénéficie du
soutien de la Fondation BNP
Paribas pour le développement
de ses projets et est en résidence
territoriale à la Capi-Théâtre du
Vellein. Le Centre chorégraphique
national de Grenoble est financé
par la Drac Auvergne - RhôneAlpes/Ministère de la Culture
et de la Communication, la Ville
de Grenoble, le Département
de l’Isère, la Région AuvergneRhône-Alpes et soutenu par
l’Institut français pour les tournées
internationales.
-- Acrobate, acteur, jongleur, danseur, Yoann Bourgeois est avant tout
joueur. Il évolue dans le cirque, le théâtre, la danse, l’opéra, la musique
ou le cinéma. Diplômé du Centre national des arts du cirque de Châlonsen-Champagne qu’il aura traversé en alternance avec le Centre national
de danse contemporaine d’Angers, il devient artiste permanent du CCN
de Rillieux-la-Pape de Maguy Marin, où il œuvre pendant quatre années.
Après les reprises de May B et Umwelt et deux créations, Turba (2007) et
Description d’un combat (2009). L’année suivante il entame son propre
processus de création à Grenoble avec l’intention d’approfondir dans un
travail de recherche permanente les liens secrets entre jeux de simulacre
et jeux de vertige. À Cavale, premier duo sensuit dès 2010 un premier
cycle de créations autour de grandes œuvres musicales pour travailler
la « figure » : Les Fugues (2010), L’Art de la Fugue (2011) et Wu-Wei
(2012). En 2014, un second cycle de créations vise à radicaliser son geste
artistique. Par une écriture singulière du cirque, s’affirme en lui un
intérêt tout particulier pour la relation corps/force comme source
inépuisable de drame. Cette recherche fait naître Celui qui tombe, pièce
pour six interprètes créée en septembre 2014.
YOANN
BOURGEOIS
-
TENTATIVES
D’APPROCHES
D’UN POINT
DE
SUSPENSION
(courtes pièces)
Jeune artiste passé par la danse et le cirque, Yoann
Bourgeois poursuit son ascension fulgurante. Après
avoir créé sa compagnie en 2010, il a été récemment
nommé à la codirection du Centre chorégraphique
national de Grenoble. À chaque nouvelle pièce, cet
artiste exigeant et pluridisciplinaire se donne des
contraintes physiques et rythmiques qui l’emmènent
plus loin dans la recherche de ce qu’il nomme le
« point de suspension », ce moment qui suit l’élan
et précède la chute. Avec Tentatives d’approches
d’un point de suspension (courtes pièces), le chorégraphe vient transformer notre regard sur les corps
et les objets dans notre environnement. Prises de
risque, avec l’objet qui devient agrès ou simplement
avec l’autre, dans l’abandon de soi ou la maîtrise.
Un plaisir vertigineux pour celui qui regarde et
écoute ce parcours composé de quatre courtes pièces
pour tout public, jonglant entre virtuosité, prouesses
et poésie spécialement conçu pour l’endroit où il se
déroule.
Un spectacle en coréalisation avec la ville d’Orly et le Théâtre
Louis Aragon de Tremblay-en-France
19
Figninto, l’oeil troué - Seydou Boro et Salia Sanou
©Margo Tamizé
SOLI.DES - Sébastien Laurent
©Frédéric Hocké20
CDC Atelier de Paris
Carolyn Carlson,
Paris
jeu 16 mars
20h30
ven 17 mars
20h30
-- Tarif Pass : 10€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 14€/10€
-- Compagnie Moi Peau –
France
-- Durée : 40 min
-- Tournee : 22 mars 2017,
Théâtre les 7 Collines (Tulle)
Conception et choregraphie :
Sébastien Laurent
Composition musicale : Claudine
Simon
Interprètes : Claudine Simon et
Sébastien Laurent
Collaboration artistique : Stéfany
Ganachaud
Lumières : Frédéric Hocké
Scénographie : Frédéric Hocké,
Violaine decazenove et Sébastien
Laurent
Costumes : Violaine Decazenove
Production : compagnie moi peau
Coproduction : CDC Atelier
de Paris-Carolyn Carlson, La
Briqueterie – CDC du Val-de
-Marne, Théâtre du casino Barrière
de Deauville, Chorège Relais
culturel régional du pays de Falaise,
2Angles Relais Culturel de Flers
Accueil en résidences : La
Briqueterie – CDC du Val-deMarne, Les Brigittines, centre d’art
contemporain pour le mouvement
de Bruxelles, Théâtre du casino de
Deauville, Forum de falaise, CDC
Atelier de Paris-Carolyn Carlson,
Chorège Relais culturel régional
du pays de Falaise, 2Angles Relais
Culturel de Flers
Soutien : Région Normandie,
Conseil Général du Calvados, Ville
de Caen, DRAC Normandie
moi peau a bénéficié pour ses deux
premières créations des soutiens
de la Drac Basse Normandie,
le Conseil Régional de BasseNormandie, le Conseil Général du
Calvados, la Ville de Caen, la Ville
de Paris, l’Odia (pour les diffusions
d’Avis contraires et de Contagion
à l’Étoile du Nord, l’Onyx de SaintHerblain, le Mac Orlan de brest, la
Rampe d’échirolles), l’Adami.
-- Danseur depuis plus de vingt ans dans différentes compagnies,
Sébastien Laurent créé la compagnie MOI PEAU en 2013. Il danse
encore dans la compagnie de Tomeo Vergès (notamment dans son
récent tryptique) et a travaillé avec Nathalie Pernette, Jean-Claude
Gallotta, Christiane Blaise, Jean François Duroure, Silenda, Heddy
Maalem, Doug Elkins (New-York), Jean Pascal Gilly, Editta Braun
(Salsbourg), Evelyne Castelino (Genève), Gisèle Greau, Emmanuel
Grivet, Laurent Falguiéras, Le Clair Obscur, Sans Soucis (théâtre
d’objet) et Sophie Quenon. En 2016 il est assistant pour la compagnie de
théâtre Toutito Teatro et artiste associé à la 14ème édition du festival de
Falaise « La danse de tous les sens ». Auteur photographe, il questionne
l’engagement physique dans le processus photographique et réalise des
projets associant exposition, performances et ateliers de danse. Avec
SOL.IDES, présentée à la Biennale de danse du Val-de-Marne, il signe sa
troisième création.
SÉBASTIEN
LAURENT
-
SOLI.DES
Création Biennale 2017
Ingrédients de base : un plateau instable, un piano,
des guindes, et deux corps – musicienne et danseur.
Quelle relation se joue là ? Pas seulement abstraite,
comme pourrait l’être un dialogue entre danse et
musique. Il y a du corps, et même du corps-à-corps,
physicalité s’éprouvant face à la masse du piano, à
sa mécanique complexe et artisanale.
Avec SOLI.DES, Sébastien Laurent, danseur remarqué de Toméo Vergès et jeune directeur de la
compagnie Moi Peau, et la pianiste Claudine Simon
inventent un terrain de jeu qui affirme l’expérience
de l’incarnation, quand les environnements numériques où nous baignons peuvent rendre évanescente
l’idée même de solidité et de matière. Il s’agit ici de
ne pas craindre l’affrontement, d’interroger le rapport
que l’être humain entretient avec les machines et
les mécanismes : un rapport de forces en présences
réciproques. « Susciter un mode d’agencement »,
disent Claudine Simon et Sébastien Laurent, « où le
joueur devient machine en formant un “ couple ”,
comme on pourrait dire en physique, de forces indissociables dans la production d’énergie sonore et
gestuelle. »
Un spectacle en coréalisation avec le CDC Atelier de Paris
21
Théâtre de
Saint-Maur
ven 17 mars
20h30
Théâtre Jean-Vilar
Vitry-sur-Seine
dim 19 mars
16h00
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 22€
-- Tarif réduit : 8€
-- Collectif Mâäk - Belgique /
Cie Mouvement perpétuels –
Burkina Faso
-- Durée : 1h00
Chorégraphie : Salia Sanou
Direction musicale : Laurent
Blondiau
Avec le collectif Mâäk : Lynn
Cassiers (voix- électro) , Laurent
Blondiau (trompette-électro) ,
Giovanni Di Domenico (Fender
Rhodes) , Manolo Cabras (basse) ,
João Lobo (batterie)
Interprètes : Michael Nana , Mariam
Traore , Daouda Zerbo , Lucie
Ouédraogo , Ibrahim Zongo
Lumières : Sam Mary
Photographe : Tom Blaton
Design sonore : Vincent De Bast
Assistant son : Renaud Houben
Costumes : Silvia Hassenclever
Production : MET-X
Coproduction : MET-X (Be), Théâtre
140 (Be), Théâtre Jean-Vilar de
Vitry-sur-Seine (Fr), La Briqueterie
/ CDC du Val-de-Marne (Vitry-surSeine, Fr)
Soutiens : Centre WallonieBruxelles (Paris), Vlaamse
Gemeenschap, Vlaamse
Gemenschapscommissie, WallonieBruxelles Internationale
-- Tournee : 24 mars De
Kriekelaar (Belgique)
-- Pionnier de la danse contemporaine en Afrique, Salia Sanou, d’abord
formé au théâtre et à la danse africaine, notamment auprès d’Irène
Tassembedo, intègre en 1993 la compagnie Mathilde Monnier au Centre
chorégraphique national de Montpellier. Il y rencontre Seydou Boro
avec lequel il fonde la compagnie Salia nï Seydou en 1995 et crée
plusieurs pièces dont Taagalà, le voyageur et Poussières de sang.
Ensemble, ils dirigent la biennale Dialogues de Corps à Ouagadougou
et sont directeurs du Centre de Développement Chorégraphique La
Termitière de Ouagadougou, le premier du genre en Afrique.
En 2011, Salia Sanou fonde la compagnie Mouvements Perpétuels et
crée, seul, Au-delà des frontières en 2012, Doubaley, le miroir avec la
musicienne japonaise Takumi Fukushima. Plus récemment, il crée
Clameur des arènes pour le Festival Montpellier Danse 2014 avec 5
lutteurs sénégalais, 3 danseurs du Burkina Faso et 4 musiciens
chanteurs. De nombreux prix jalonnent son parcours et saluent son
implication pour le développement de la danse dans le monde.
LAURENT
BLONDIAU ET
SALIA SANOU
-
KAWRAL
Depuis qu’existe le collectif Mâäk, son directeur
artistique, le trompettiste Laurent Blondiau se rend
souvent au Burkina, là où Salia Sanou a créé à
Ouagadougou le premier centre de développement
chorégraphique en Afrique : la Termitière.
« En voyant ce bouillonnement, on a vite imaginé de
croiser le Mâäk Electro Project - l’un des nombreux
visages de ce collectif polymorphe - avec des danseurs.” De là est né Kawral qui signifie la rencontre
en peul, soit cinq musiciens, cinq danseurs et un
créateur lumières qui déployent leurs énergies et
frottent leurs personnalités. Fruit d’improvisations,
pour certaines décantées et écrites, Kawral est un
temps de chaos organique. Dans la pièce, les rencontres physiques s’enchaînent entre les corps des
danseurs et les instruments de musique, chaque
univers faisant un pas vers l’autre. L’espace scénique,
lui-même se trouve transformé au gré des rencontres.
Les corps et les instruments se rapprochent, s’éloignent,
se séduisent puis se confrontent. Ainsi chaque son
s’égare dans le geste et chaque mouvement se perd
dans le rythme des basses. En somme, audace d’une
improbable rencontre, Kawral est un pêle-mêle
musico-chorégraphique.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre de Saint-Maur
et le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine
22
Château
Morsang-sur-Orge
sam 18 mars
16h00
-- Gratuit
La Briqueterie / CDC
du Val-de-Marne –
Vitry-sur-Seine
lun 20 mars
20h30
Chorégraphie : Vincent Sekwati
Koko Mantsoe
Interprète : Phumlani Nyanga
Musique : Gabrielle Roth
Costumes : Vincent Sekwati Koko
Mantsoe
Avec le soutien de l’Institut
Français dans le cadre du
programme « Danse l’Afrique
danse ! » et le partenariat officiel
de Total.
VINCENT
MANTSOE
-
GULA
-- Tarif Pass : 9€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 9€ / 6€
-- Compagnie Vincent Mantsoe
- France
-- Durée : 10 min
Création multi-primée à sa création en 1993 (FNB
VITA Choregraphy Award ; Premier prix lors de la
première rencontre de danse africaine contemporaine, à Luanda en Angola ; Prix du Conseil Général
de Seine-Saint Denis, lors des 5èmes Rencontres
Internationales de Seine – Saint Denis), Gula, solo
d’une grande délicatesse déployée en partie sur des
sifflements live imitant des chants d’oiseau, est depuis considéré comme une des plus importances
pièces du répertoire de Vincent Mantsoe. Il est aujourd’hui repris par le danseur sud-africain Phumlani
Nyanga, issu du Vuyani Dance Theatre dirigé par
Gregory Maqoma. À noter que Gula fut crée il y a
14 ans en Afrique du Sud avec Moving into Dance
Mophatong. Gregory Maqoma, lui-même, avait dansé
Gula Matari de Vincent Mantsoe, pièce de groupe
inspiré du solo présenté à la Biennale.
Dans le cadre d’une après-midi colloque – plus d’informations page 44
-- Chorégraphe, interprète et professeur de danse, Vincent Mantsoe est né
à Soweto, en Afrique du Sud. En 1990, il obtient une bourse pour suivre
un stage de formation au sein de la Moving Into Dance Company (MID),
compagnie créée par Sylvia Glasser, creuset de l’innovation artistique
de la nouvelle génération des artistes noirs de la fin de l’apartheid. C’est
à cette époque qu’il commence à explorer la possibilité de fusionner la
danse de rue et la danse traditionnelle. De 1997 à 2001, il oeuvre comme
directeur artistique associé de la compagnie MID. Interprète soliste
avant tout, il a aussi créé des œuvres d’ensemble, notamment pour le
Dance Theatre of Harlem à New York et pour le Collective of Black
Artists à Toronto (Canada). L’art chorégraphique de Vincent Mantsoe
marie la danse traditionnelle africaine à des influences contemporaines,
autochtones et asiatiques, et à des éléments de ballet, pour forger un
style interculturel unique d’afro-fusion. Il reconnait l’action de la
spiritualié dans sa démarche créatrice, qu’il décrit comme un processus
d’« emprunt » aux « ancêtres », soulignant l’importance de comprendre
et d’apprécier les sources de ses mouvements traditionnels.
23
Théâtre des
Deux-Rives
Charenton-le-Pont
sam 18 mars
20h30
Chorégraphie : Seydou Boro
Interprètes : Laurianne Madelaine,
Boukson Séré, Bienvenue
Bazié
Seydou Boro, Ousseni Sako
Musiciens : Tom Diakité
Chanteuse :
Perrine Fifadji
Compositeur : Khalil Hentati
Création Lumières : Anne Dutoya
Création Son & Direction
Technique : Eric Da Graça Neves
-- Tarif Pass : 13€
-- Tarif plein : 19€
-- Tarif réduit : 13€
Coproduction : La BriqueterieCDC du Val de Marne, Centre
des Bords de Marne/Le Perreux
sur Marne, Théâtre Jean Lurçat/
Scène nationale d’Aubusson,
Dansstationen- Malmö.
Soutiens : ADAMI, Conseil
Départemental du Val-de-Marne.
Théâtre
Gérard Philipe
Champigny-surMarne
dim 26 mars
16h00
SEYDOU BORO
-
LE CRI
DE LA CHAIR
-- Tarif Pass : 10€
-- Tarif plein : 15€
-- Tarif réduit : 10€ / 6€
-- Compagnie Seydou Boro –
France
-- Durée : 1h30
-- Né en 1968 à Ouagadougou, Seydou Boro a suivi des cours de théâtre au
Burkina Faso. Après sa rencontre avec Salia Sanou et sa collaboration
avec Mathilde Monnier, ils vont co-fonder leur compagnie SALIA NÏ
SEYDOU, dont le premier spectacle sera lauréat des Rencontres
Chorégraphiques de L’Afrique et de l’Océan Indien et recevra le prix
« Découverte » R.F.I. Parallèlement à la création des spectacles, il réalise
des films documentaires sur la danse créative africaine. Enfin, Salia
Sanou et lui ont été nommés pour trois ans directeurs artistiques du
Centre de Développement Chorégraphique de Ouagadougou (Burkina
Faso), projet d’envergure internationale et première du genre en Afrique
dont ils sont les porteurs depuis huit ans. Seydou Boro a été élu artiste
de l’année 2003 par l’Organisation internationale de la francophonie.
Seydou Boro a les talents d’un homme-orchestre.
Devenu danseur après une formation d’acteur, puis
chorégraphe qui a su plonger les danses africaines
dans un bain contemporain mixant aussi bien le
butô japonais que le flamenco, il réalise des films
documentaires et court-métrages de fiction, a enregistré un album, dirige un centre de développement
chorégraphique à Ouagadougou. Il est un peu poète
aussi.
Avec Le cri de la Chair, le chorégraphe entend
questionner le cri d’un corps qui trébuche, comme
si ce cri pouvait l’éloigner de l’effondrement. Inspiré
par les corps penchés à la Giacometti, il réunit 5
musiciens autour de 6 danseurs en costumes de ville
et masques d’argile, qui tomberont, nécessairement,
mais se relèveront, immanquablement, et iront chercher dans un souffle à l’unisson la manifestation
d’une percée collective. Un corps « matière brute »
amené vers la transe dans ses douleurs et ses jouissances, que Seydou Boro a toujours mis en mouvement dans un geste contemporain imprégné de
traditions africaines. Suivi d’un bal poussière.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre des 2 Rives
de Charenton et le Théâtre Gérard Philipe de Champigny
24
Théâtre Jean-Vilar
Vitry-sur-Seine
dim 19 mars
15h00
-- Tarif : 5€
-- Burkina Faso
-- Durée : 45 min
Chorégraphes : Salia Sanou et
Seydou Boro
Interprètes : Ousséni Dabaré,
Robert Kiki Koudogbo, Marius
Sawadogo
Musiciens : Dramane Diabaté,
Timbiri Winsey
Scénographie : Fousséni Comaporé
Lumière / Son : Mohamed Boro/
Jean-Paul Sari
Costumes : Seg-Taaba SARL
Production déléguée : Djeli/
Compagnie salia nï seydou
Coproduction : Atelier Théâtre
Burkinabè – ATB, Centre
chorégraphique national de
Montpellier Languedoc-Roussillon,
Centre culturel français de
Ouagadougou, compagnie salia nï
seydou, Ministère de la Culture et
des Arts – Burkina-Faso, OdasAfrica.
SEYDOU BORO
-
FIGNINTO,
L’ŒIL TROUÉ
Avec le soutien de l’Institut
Français dans le cadre du
programme « Danse l’Afrique
danse ! » et le partenariat officiel
de Total.
1ère en Île-de-France
Figninto, c’est celui qui ne voit pas, l’aveugle en
langue bambara. Voit-on seulement avec les yeux ?
Dans ce monde où le temps insensible nous montre
notre impuissance par son irréversibilité, prend-on
le temps de voir, de regarder ? « L’homme pressé »
ne communique plus. Chaque seconde brûlée par
notre angoisse du temps qui passe nous éloigne de
nous-mêmes avant de nous éloigner des autres.
Que vaut l’amitié, s’il ne lui est consacré un temps
d’amour, un temps d’attention, un temps de relation…
La mort. Quand la mort vient, le vide est là, tenace,
laid et froid. On ne peut que dire, il n’est plus, il fut,
il est mort. Or, c’est en l’autre, dans l’ami disparu,
que nous vivions.
Alors restent étalées au sol, notre vulnérabilité,
notre altérité, notre solitude. Des traces sont là devant notre regard profond, notre œil troué qui ne
voyait pas. Tout n’est pas emporté par cet anéantissement. Le temps n’a jamais été maîtrisé et la course
vers notre fin n’a pas besoin d’être aussi effrénée
comme elle l’est. Elle peut être ponctuée de pauses,
d’escales et d’arrêts bien mérités et sans pression
aucune.
Le temps de la rencontre, le temps de l’amitié, le
temps de l’amour ne se comptabilise pas, il se prend,
il se vit.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Jean-Vilar
de Vitry-sur-Seine
25
Théâtre Jean-Vilar
Vitry-sur-Seine
dim 19 mars
17h30
-- Tarif unique : 5€
-- Madagascar
-- Durée : 45 min
Chorégraphie : Judith Olivia
Manantenasoa
Interprète : Judith Olivia
Manantenasoa
Création lumière : Volahasiniaina
Linda Angelica
Dossier photographique : Bary
Malandemongolod
Production : Compagnie Lovatiana
de Madagascar, Compagnie Aléa
des possibles de Madagascar, École
de cirque à Madagascar
Remerciements spéciaux : La
compagnie Rary de Madagascar
Production : YODINE Produções
Avec le soutien de l’Institut
Français dans le cadre du
programme « Danse l’Afrique
danse ! » et le partenariat officiel
de Total.
JUDITH OLIVIA
MANANTENASOA
-
MÉTAMORPHOSE
Lauréate du programme Visas pour la création
2014, la chorégraphe malgache Judith Olivia
Manantenasoa a développé au fil de ses résidences
un solo autour du déséquilibre psychique que
peuvent rencontrer les artistes au cours de leur
carrière, « la crise artistique » comme elle l’a
surnommée et qui peut susciter la peur chez le
créateur. Corps apparaît dans la pénombre
constellée de pinces à linge comme un totem
africain chargé de fétiches. Métamorphose est un
voyage. Celui d’un double déséquilibre physique
autant que psychique : une crise incontrôlable.
Calme puis tempête, le corps de Judith Olivia
Manantenasoa se dissous dans la masse au fur et à
mesureque la pièce avance pour disparaître
complètement.
-- Judith Olivia Manantenaso fait ses premiers pas en danse contemporaine
aux côtés d’Ariry Andriamoratsiresy au sein de l’école et de musique
RARY. A partir de l’année 2003, elle intègre la compagnie RARY dans
laquelle elle assure dès lors les cours de danse contemporaine, danse
avec percussion, danse en couple. Rapidement Judith Olivia devient
une interprète de choix pour les compagnies de danse malgaches puis
internationales. Elle rejoint ainsi les projets de Karine Saporta (Juliette
et les motards), Bernardo Montet (Margueritte de l’oubli), Taoufiq
Izzediou (Aataba). En 2010 , elle travaille avec des musiciens pour créer
son propre langage. Elle créée alors ses solos Aloka, une tranche de vie
et Le Fil. En 2013, elle participe à une résidence de création au
Mozambique dans le cadre du projet « Casa ». En 2014, elle est Lauréate
du programme Visas pour la création. De ses diverses résidences naît
Métamorphose.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Jean-Vilar
de Vitry-sur-Seine
26
La Briqueterie / CDC
du Val-de- Marne –
Vitry-sur-Seine
lun 20 mars
20h30
Direction, interprétation et vidéo :
Jeannot Kumbonyeki
Création lumière : Jean-Pierre
Legout
Regard extérieur : Faustin Linyekula
Production : Studios KabakoVirginie Dupray
Coproduction : Institut Français /
Danse l’Afrique danse avec le
soutien de la Fondation Total.
-- Tarif Pass : 9€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 9€ / 6€
Avec le soutien de l’Institut
Français dans le cadre du
programme « Danse l’Afrique
danse ! » et le partenariat officiel
de Total.
-- Congo
-- Durée : 20 min
JEANNOT
KUMBONYEKI
-
LE KOMBI
Comment faire un parallèle entre les réalités quotidiennes du Congo et le kombi, ce moyen de transport collectif, inconfortable et cahotant du Kinois
où il passe de longues heures, chaque matin et
chaque soir, serré, coincé, courbaturé et en sueur ?
Comment faire un parallèle entre la position de ces
passagers victimes de l’absence de toute politique
publique depuis deux décennies et la position de
l’artiste en RDC ?
On surveille ses poches à cause des voleurs, on
échange, on plaisante, on commente la politique, la
vie trop chère ou la jupe trop serrée de la fille qui
vient de sortir, on avance tant bien que mal, comme
ou en dépit du pays... Jeannot Kumbonyeki, danseur
virtuose remarqué dans le Kinshasa Electric d’Ula
Sickles et dans les pièces de Faustin Linyekula, présente dans le cadre de la Biennale son premier solo.
-- Jeannot Kumbonyeki vit et travaille à Kinshasa. Né et grandi à
Kisangani, il entre dans le monde artistique en 2008 comme acrobate du
groupe de danse urbaine, Lil Saint. De 2009 à 2011, il suit tous les ateliers
de danse organisés par les studios Kabako et se forme auprès de Faustin
Linyekula, Papy Ebotani, Hafiz Dhaou, Ula Sickle ou Clara Bauer
(théâtre)… En 2010, Jeannot quitte Lil Saint et crée les Keep Quiet
accompagné par quelques amis du quartier et se produit régulièrement
à Kisangani et en Province Orientale. Un an plus tard, il est sélectionné
par Vodacom et remporte le prix du jury du meilleur danseur congolais
de la Vodacom Kata Dance. Depuis 2014, il est l’un des trois danseurs de
Kinshasa Electric, une création de Ula Sickle, qui a depuis tourné dans
le monde entier. Depuis 2014, Jeannot est aussi l’un des 9 danseurs
Congolais et sud-africains du laboratoire Redefining... home‐work, un
laboratoire qui l’a conduit à Kisangani, puis Durban sous la direction
conjointe de Boyzie Cekwana et Faustin Linyekula. Le Kombi est sa
première création.
27
A Taste of poison - Mossoux-Bonté
©Thibault Grégoire
Ti Chèlbè - Kettly Noël
©Antoine Tempe
We almost forgot - Qudus Onikeku
©Adeyinka Yusuf
28
La Briqueterie / CDC
du Val-de-Marne –
Vitry-sur-Seine
lun 20 mars
20h30
-- Tarif Pass : 9€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 9€ / 6€
Chorégraphie et mise en scène :
Kettly Noël
Interprète : Oumaïma Manaï
Musique : Patrick et Louise Marty
Lumière : Cyril Monteil
Avec le soutien de l’Institut
Français dans le cadre du
programme « Danse l’Afrique
danse ! » et le partenariat officiel
de Total.
-- Donko Seko – Mali
KETTLY NOËL
-
TI CHÈLBÈ
-- Durée : 30 min
Ti Chèlbè - dont le titre en créole fait référence au
mâle macho - conte l’errance d’une femme. Dans ce
duo crée en 2002 par la chorégraphe native de Portau-Prince exécute, le danseur représente à la fois
l’homme et le système dominant. Huis clos circonscrit par une palissade de tôles ondulées, corps à
corps écartelé entre pulsion et répulsion, violence
et soif effrénée d’amour. Solitude, jeu de séduction,
violence des relations, abandon, revanche féminine…
autant de thèmes qui font de cette pièce narrative
une métaphore de la très contemporaine guerre des
sexes. Résolument contemporain, le langage chorégraphique forgé par Kettly Noël échappe à tout
formatage. Il n’est pas sans rappeler l’intériorité de
la danse japonaise butô, avec sa quête de la sensation extrême, allant jusqu’à la crispation des membres,
la brutale mobilisation du corps et de l’esprit, le
frôlement de la folie. Installé depuis 13 ans au Mali,
après un passage au Bénin, Kettly Noël intègre des
éléments du vaudou, avec lequel elle a frayé dès son
enfance en Haïti.
-- Kettly Noël est née à Port-au-Prince en Haïti où elle s’est d’abord
initiée aux danses traditionnelles locales auprès de Viviane Gauthier.
Kettly Noël a reçu une formation de danseuse et de comédienne.
Sa première création, Dans la cour, présentée à la Maison des cultures
du Monde à Paris en 1996, fait date.
A Cotonou, Kettly Noël entame
un travail de recherche chorégraphique avec de jeunes danseurs
béninois. Mais c’est à Bamako que cet engagement se développe
pleinement. Après avoir mené plusieurs ateliers chorégraphiques
au Centre culturel français, elle crée avec quelques danseurs la Jeune
compagnie malienne.
En 2001, Kettly Noël crée Cousin, Cousine.
Un an plus tard, Tichelbe remporte le 3ème Prix des Rencontres
chorégraphiques interafricaines organisées par l’Afaa et le Prix RFI
Découvertes Danse.
En 2003, Kettly Noël lance le festival international
de danse contemporaine de Bamako «Dense Bamako Danse». Elle ouvre
également un espace de formation et de création chorégraphique.
Elle présente ses dernières pièces, Gaou ou un solo intitulé Errance dans
de nombreux festivals internationaux.
Prix RFI-danse 2003 et 3ème Prix aux 5ème Rencontres
chorégraphiques et de l’Océan Indien.
29
Théâtre Paul Éluard
Choisy-le-Roi
mar 21 mars
20h00
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 14€ /12 € / 8€
-- Association Brøcøliwald –
Suisse
-- Durée : 30 min
-- Tournée : 23 mars 2017 Scène
nationale de Vandoeuvresles-Nancy
Direction artistique, réalisation,
chorégraphie : Lucie Eidenbenz
en concertation avec Cosima
Grand, Luce Goutelle et les
habitants du Lötschental
Interprètes : Cosima Grand, Lucie
Eidenbenz, Hélène Rocheteau
Création son : Manuel Oberholzer
Ingénieur son : Raphaël
Raccuia administration,
production et diffusion : Anna
Ladeira
production : Oh!Festival,
Association Brøcøliwald
soutiens :
Canton de Genève, Canton du
Valais, Ville de Genève Pro Helvetia,
Corodis, Fonds culturel de la
Société Suisse des Auteurs (SSA),
Fondation Corymbo
Remerciements : Denis Alber,
les habitants de la vallée du
Lötschental en particulier Bruno
Ritler
LUCIE
EIDENBENZ
-
TSCHÄGG
Avec le soutien : Canton de Genève,
Canton du Valais, Ville de Genève,
Pro Helvetia, Corodis, Fonds
culturel de la Société Suisse des
Auteurs (SSA), Fondation Corymbo
Cachés dans les plis de l’Europe, les Tschäggätta
font figure de miroir de notre société et de notre
rapport à l’ordre des choses.
En dialogue avec les habitants du Lötschental
(Suisse), Tschägg est une performance qui fait se
rencontrer une tradition du Haut-Valais avec le
monde actuel. Elle interroge notre perception de
l’étranger, ou l’étrange, à travers les notions d’authenticité, de tourisme et de globalisation. La tradition Tschäggättä a toutes les qualités d’une performance contemporaine pratiquée depuis des siècles
dans un contexte traditionnel.
Avons-nous besoin de nous camoufler, de devenir
monstrueux pour pouvoir être nous-mêmes au sein
d’une société policée ? Qui est l’étranger ? Celui
derrière lequel on se cache, celui que l’on rejette, ou
l’étranger que l’on est, tout d’abord, à soi-même ?
Entre le Haut-Valais, l’Afrique, la Bulgarie ou certaines modes vestimentaires contemporaines, on
retrouve les signes d’une performance de l’identité,
d’un renversement des valeurs, et de profondes
contradictions.
-- Le travail de Lucie Eidenbenz développe un langage chorégraphique
et performatif, avec une approche qui pose la question du public,
du contexte, et des interactions entre des questions d’ordre à la fois
sociales, politiques et artistiques. En 2005, elle suit la formation pour
artiste chorégraphique Exerce dirigée par Mathilde Monnier au CCN de
Montpellier. Boursière à Danceweb, Impulstanz Festival, elle suit
la formation Transforme dirigée par la chorégraphe Myriam Gourfink.
En 2015, Tschägg reçoit la mention spéciale du jury au Concours
Reconnaissance. En tant qu’interprète elle travaille avec Marco
Berrettini, Mathilde Monnier et Olivier Dubois. Elle fait partie
du réseau d’artistes Sweet&Tender Collaborations, dont elle est curatrice
de l’édition 2012 à la Dampfzentrale à Berne. En 2015 elle rejoint le
programme de Master en Expérimentation Arts et Politique
à Sciences po Paris, dirigé par Bruno Latour. Elle participe en 2016
au séminaire «Art&Dissent, Negociating Space» à la ZHDK, Zürich.
Mention spéciale du jury lors du Concours
Reconnaissance 2015.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard
de Choisy-le-Roi
30
Théâtre Paul Éluard
Choisy-le-Roi
mar 21 mars
20h00
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 14€ /12 € / 8€
-- Compagnie Mossoux-Bonté Belgique
-- Durée : 18 min
-- Tournée : 23 mars 2017
L’Avant-Scène (Cognac)
Conception et chorégraphie :
Nicole Mossoux
Mise en scène : Nicole Mossoux en
collaboration avec Patrick Bonté
Interprètes et collaboration à la
chorégraphie : Frauke Mariën,
Shantala Pèpe
Musique : Les anneaux de
Marianson, interpretation Michel
Faubert - orchestration Jérôme
Minière
Montage son : Thomas Turine
Lumière : Patrick Bonté
Assistanat : Julie Goldsteinas
Régie générale : David Jans
Collaborations/remerciements :
Patricia Eggerickx, Fédra, Foty,
Leslie Mannès, Mikha Wajnrych
Une production de la Compagnie
Mossoux-Bonté, avec le soutien
des Brigittines - Centre d’Art
contemporain du Mouvement de la
Ville de Bruxelles, de la Fédération
Wallonie-Bruxelles, service de la
danse et de Wallonie-Bruxelles
International.
CIE
MOSSOUXBONTÉ
-
VICE VERSA
Deux femmes se balancent, intriquées dans une
intimité complice. Elles nous racontent la violence
du monde et comment, soudées, elles tentent de s’en
protéger. Leurs gestes fusionnels se découpent au
rythme des quatrains d’une chanson ancienne : une
complainte qui conte la cruauté de la jalousie et la
cécité de la vengeance. Mais l’histoire se perd dans
la lancinance hallucinée des corps, et le déploiement
du geste rend caduque sa trame de violence.
Vice Versa est le premier volet d’une série de
courts récits dansés, les Miniatures, que la Compagnie
Mossoux-Bonté met en chantier, ici avec deux de
ses interprètes emblématiques, Frauke Mariën et
Shantala Pèpe.
-- Depuis leur rencontre en 1985, Nicole Mossoux et Patrick Bonté
élaborent des spectacles aux frontières de la danse et du théâtre.
La recherche qu’ils mènent, dans la diversité de ses réalisations, tend un
miroir à notre inquiétante étrangeté, à nos fantasmes obscurs
et interroge les incohérences de notre rapport au monde. Le duo qu’ils
forment a cette force qui le fait durer, quand chacun prend tour à tour
l’initiative d’un projet et que l’autre l’accompagne pour le pousser
dans ses derniers retranchements. Ils s’entourent aussi d’interprètes
capables de proposer des matières gestuelles qui alimenteront l’écriture
des spectacles, ainsi que de musiciens, scénographes, costumiers, dont
l’apport se fond inextricablement dans la réalisation des œuvres. Durant
toutes ces années, les spectacles de la Compagnie ont été présentés un
peu partout dans le monde. Parmi les plus célèbres : Simulation, Les
petites morts, Les dernières hallucinations de Lucas Cranach l’Ancien,
Twin Houses, Hurricane, Light ! ou plus récemment Histoire de
l’imposture sont des oeuvres de suggestion qui tentent une exploration
des zones troubles de la sensibilité afin de donner à voir et à penser
autrement le rapport au monde : à travers une étrange familiarité, un
humour, une intimité froide.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard
de Choisy-le-Roi
31
Théâtre Paul Éluard
Choisy-le-Roi
mar 21 mars
20h00
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 14€ /12 € / 8€
-- Compagnie Roy Assaf Dance
– Israël
-- Durée : 25 min
-- Tournée : 23 mars 2017
Centre Culturel André
Malraux (Vandoeuvre) ;
25 mars 2015 – Théâtre
de Brétigny ; 31 mars 2017
Théâtre en Dracénies
(Draguignan)
Chorégraphie : Roy Assaf
Interprètes : Roy Assaf, Igal
Furman, Avshalom Latucha
Création costumes : Doron
Ashkenazi
Création lumières : Dani Fishof,
Omer Sheizaf
Musique originale et édition :
Shlomi Bitton et Reut Yehudai
Musique The Israeli Army March
(The Israeli Army Band conducted
de I.Graziani), Giv’at HaTahmoshet
de Yoram Taharlev, I Started a Joke
des Bee Gees
Conseiller artistique : Ronit Ziv
Production : Roy Assaf Dance
Avec le soutien de The
Choreographers association
(Israël), Curtain Up Festival (Israël),
The Israeli Festival, Le ministère de
la Culture d’Israël.
ROY ASSAF
-
LA COLLINE
Danseur virtuose aux côtés d’Emanuel Gat, Roy
Assaf fait aujourd’hui partie des chorégraphes
israéliens qui comptent. Avec La Colline, il livre un
trio directement inspiré par l’histoire israélienne.
Sur scène, les trois interprètes livrent une danse
virtuose, et souvent drôle, dans laquelle leurs gestes,
fraternels et gamins, ponctuent une musique militaire israélienne qui semble trop grande pour eux.
Quand se fait entendre le chant Givat Hatahmoshet une référence directe à l’un des sommets stratégiques
de la Guerre des Six Jours de 1967, remportée par
Israël – puis I started a joke des Bee Gees, on saisit
pleinement la vision de Roy Assaf d’une jeunesse
israélienne embarquée malgré elle dans un conflit
territorial démesuré, condamnée à stationner absurdement sur une colline où il ne se passe rien.
Prix du public et du jury au dernier concours
(Re)connaissance.
-- Roy Assaf, danseur et chorégraphe d’origine israëlienne, a suivi
l’enseignement chorégraphique de Regba Gilboa, qui dirigeait un
groupe de danseurs à Tel Aviv. Après sa rencontre avec Emanuel Gat,
il danse aux États-Unis dans deux de ses créations : Winter Voyage
et The Rite of Spring. Interprète virtuose de la compagnie d’Emanuel
Gat, il devient son assistant chorégraphique en 2006. En 2005 Roy Assaf
écrit sa première pièce, un duo We Came for the Wings à Tel Aviv. En
2010 Roy Assaf est nommé Artiste Associé de la compagnie
de danse Nederlands Dans Theater (Pays-Bas), pour qui il crée la pièce
Rock. Cette même année il signe le duo Six Years Later puis The Hill
(2013) qui obtient la première place du Concours de chorégraphie
à Hanovre puis un titre au Concours (Re)Connaissane deux ans plus
tard. Ces récompenses lui permettent de se faire connaître auprès
du public et du monde de l’art. Figure montante de la danse
contemporaine israélienne, Roy Assaf a une réelle vitalité créative.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard
de Choisy-le-Roi
32
Salle Jacques Brel –
Fontenay-sous-Bois
jeu 23 mars
20h30
-- Tarif Pass : 12€
-- Tarif plein : 19€
-- Tarif réduit : 12 € / 8€
Théâtre
Antoine Vitez
Ivry-sur-Seine
sam 25 mars
20h00
-- Tarif Pass : 10€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 15€ /10 € / 6€
-- Compagnie Nigeria
-- Durée : 1h20
-- Tournée : 23 mars 2017
Centre Culturel André
Malraux (Vandoeuvre) ;
25 mars 2015 – Théâtre
de Brétigny ; 31 mars 2017
Théâtre en Dracénies
(Draguignan)
Chorégraphie : Qudus Onikeku
Interprètes : Deborah Aiyegbeni,
Sonia Al-Khadir, Gaëlle Ikonda,
Tidiani N’Diaye, Qudus Onikeku,
Gwen Rakotovao et Ese Brume
(comédienne-conteuse)
Texte : Ese Brume
Création lumière : Matthew Yusuf
Costumes et scénographie :
Abolore Sobayo
Coproduction : Parc de la Villette
– Paris, Ballhaus Naunynstrasse
– Berlin, CCN de Créteil et du
Val-de-Marne / Cie Käfig, Collectif
Culture Essonne, Fontenayen-Scènes – Fontenay-sousBois, Goethe Institute – Lagos,
Théâtre de Choisy-le-Roi – Scène
conventionnée pour la diversité
linguistique, La Briqueterie/CDC du
Val-de-Marne, Association BlonBa
– Théâtre de L’Arlequin – Morsangsur-Orge
Accueils en résidence : Association
BlonBa – Théâtre de l’Arlequin
– Morsang-sur-Orge, Parc de la
Villette – Paris, CCN de Créteil et
du Val-de-Marne / Cie Käfig, La
Briqueterie/CDC du Val-de-Marne,
Ballhaus Naunynstrasse – Berlin,
Théâtre de Choisy-le-Roi – Scène
conventionnée pour la diversité
linguistique, Fontenay-en-Scènes –
Fontenay-sous-Bois
Mécènes Air France, Bank of
Industry – Nigéria . Avec l’aide
d’ARCADI Île-de-France
La création We almost forgot est
soutenue par l’Institut Français,
Fonds Transfabrik – Fonds francoallemand pour le spectacle vivant.
-- Né et grandi à Lagos en 1984. Diplômé du Centre National des Arts
du Cirque en 2009, Qudus Onikeku voit son parcours influencé par
les danses traditionnelles nigérienne, le hip hop, la capoeira,
les vocabulaires contemporains et acrobatiques. Depuis plus de 10 ans,
il a maintenu une présence remarquable sur la scène chorégraphique
nigérienne, et fait partie de cette nouvelle génération montante
de créateurs en Afrique. Il a participé, en tant qu’interprète, aux travaux
de chorégraphes reconnus, comme Heddy Maalem, Sidi Larbi
Cherkaoui, Georges Lavaudant et Jean-Claude Gallota. Depuis 2007,
Qudus développe son art au plus près du public. Il a été nommé lauréat
du programme « Envie d’agir / Défi jeune 2007 et Jeunesse Action »
dirigé par la commission européenne. Le projet a également été
récompensé par une bourse de la fondation Prince Claus Funds au PaysBas. Élu Danseur de l’année par le Future Awards (Nigéria)
et il a gagné le premier prix solo au concours Danse l’Afrique Danse
2010 à Bamako avec la création My Exile is in my head. En Juillet 2011, il
participe au Sujet à Vif du Festival d’Avignon avec sa création intitulée
STILL / life. Il rejouera, en première et en 2013, au Festival Avignon
Qaddish.
QUDUS
ONIKEKU
-
WE ALMOST
FORGOT
1ère en Île-de-France
Quelles traces garde notre corps des douleurs et
traumatismes passés ? Comment parler de ces blessures lorsque l’on ne trouve pas les mots ?
Avec We almost forgot, le chorégraphe nigérian
Qudus Onikeku poursuit ses recherches autour de
la capacité de stockage émotionnelle du corps. Il
interroge notre mémoire charnelle et la façon dont
nos corps s’expriment en gardant le souvenir des
traumatismes passés que l’on s’est efforcé
d’oublier.
Il construit une fiction pour six danseurs-interprètes et une conteuse, entre narration, chants et
mouvements. La puissance de la chorégraphie est
rythmée par le récit d’histoires personnelles, des
témoignages brefs et incisifs. Dans un décor qui
gomme tout contexte temporel et géographique, les
corps transforment les souvenirs lourds et étouffants
en une danse brute et incandescente.
Rencontre du présent et du passé, We almost forgot
est une expérience de catharsis qui transcende par
le geste la douleur inexprimée dans un élan libérateur d’une grande intensité.
Un spectacle en coréalisation avec Fontenay-en-Scènes
et le Théâtre Antoine Vitez d’Ivry-sur-Seine
33
Théâtre de Chatillon
ven 24 mars
20h30
-- Tarif Pass : 8€
-- Tarif plein : 16€
-- Tarif réduit : 13€ /10 € / 6€
-- Compagnie Mossoux-Bonté Belgique
-- Durée : 1h05
-- Tournée : 28 mars 2017 – La
Rose des Vents (Villeneuve
d’Ascq)
Conception : Patrick Bonté
Mise en scène et chorégraphie :
Nicole Mossoux et Patrick Bonté
Interprétation : Sébastien Jacobs,
Leslie Mannès, Frauke Mariën,
Maxence Rey, Marco Torrice
Musique originale : Thomas Turine
Scénographie : Didier Payen
Costumes : Colette Huchard
Lumière : Patrick Bonté
Direction technique : Jean-Jacques
Deneumoustier
Régie générale : David Jans
Production : Compagnie MossouxBonté
Coproduction avec les Brigittines
(Bruxelles).
Avec le soutien du Phare (Centre
Chorégraphique National du Havre
et de Haute Normandie), du Théâtre
Paul Eluard (Scène Conventionnée
- Bezons), du DSN (Scène Nationale
de Dieppe), de la Rose des Vents
(Scène Nationale Lille Métropole
Villeneuve d’Ascq), du Théâtre
de Châtillon et de la Biennale
Nationale de Danse du Val de Marne
(CDC La Briqueterie).
CIE
MOSSOUXBONTÉ
-
A TASTE OF
POISON
Cinq individus se mettent en tête de prendre au
pied de la lettre le formatage des personnes préconisé de nos jours. Ils adoptent un ensemble de
conduites qui semblent libérer les nerfs : addictions,
passages à l’acte, jeux de pouvoir, profits sans gêne,
comportements pervers, pulsions libérées de leur
frein moral et qui se transforment assez rapidement
en tristes passions. Ils expérimentent avec grand
soin et sérieux : ils veulent éprouver ce que « ça leur
fait ».
Mais la machine s’emballe, les gestes délirent et
détournent le sens, dans une sensation d’étrangeté
qui vacille entre rire et larmes.
Avec les cinq interprètes d’Histoire de l’imposture
créé en 2013 les chorégraphes bruxellois Nicole
Mossoux et Patrick Bonté poursuivent une lecture
fantasmatique de l’univers contemporain, usant du
mouvement et de la présence comme de clés d’interprétation et d’invention. Entre théâtre et danse,
ils tendent à nouveau un miroir à notre inquiétante
étrangeté, à nos fantasmes obscurs et interroge les
incohérences de notre rapport au monde.
Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre de Châtillon
34
Maison des Arts
Créteil
ven 24 mars
19h30
sam 25 mars
19h30
-- Tarif Pass : 10€
-- Tarif plein : 20€
-- Tarif réduit : 10€
-- Compagnie Chris Haring
Liquid Loft
-- Durée : 1h10
Chorégraphie et direction
artistique : Chris Haring Liquid Loft
Interprètes : Luke Baio, Stephanie
Cumming, Katharina Meves, Anna
Maria Nowak
Sculptures végétales / Regard
extérieur : Michel Blazy
Conception sonore et
composition : Andreas Berger
Conception design plateau et
dramaturgie : Thomas Jelinek
Responsable scène : Roman Harrer
Theory : Thomas Edlinger
Documentation : Michael
Loizenbauer
Internationale Représentation :
Line Rousseau, A PROPIC
Production : Marlies Pucher
Coproduction : Tanzquartier Wien
and Liquid Loft. En coopération
avec Korzo Den Haag et Le
Centquartre Paris.
Liquid Loft est soutenu par City of
Vienna (MA7 -Kulturabteilung der
Stadt Wien) et the Austrian Federal
Ministry for Education, Arts &
Culture (BMUKK)
-- Le chorégraphe autrichien, Chris Haring, a travaillé avec des
chorégraphes et des compagnies tels que DV8 Physical Theatre,
Nikolais/Luis Dance Cie, man act (GB), Nigel Charnock. En coopération
avec l’artiste et compositeur multimédia Klaus Obermaier, il a développé
les
performances
de
danse-vidéo
D.A.V.E.
et VIVISECTOR qui ont eu un grand succès dans le monde entier.
L’une des principales influences pour ces performances, telles que
Fremdkörper (Meilleure Performance à la Biennale de La Danse à Lyon
en 2004), est la science-fiction et le corps humain en tant que paysage
cyber- nétique. Depuis 2005, il est le directeur artistique de Liquid Loft.
Il a chorégraphié des performances telles que Kind of Heroes, Running
Sushi, Talking Head et The Perfect Garden Series.
En 2007, Posing Project Series a été créé et Posing Project B – The Art of
Seduction a remporté le Lion d’Or pour la meilleure performance
à Biennale de Venise. En 2010, Chris Haring a reçu l’“Outstanding
Artists Award” pour les arts du spectacle du Ministère Fédéral
des Arts autrichien (BMUKK). Avec Liquid Loft, il a été en charge
de la représentation d’ouverture pour le Pavillon autrichien au EXPO
à Saragosse (2008). Dernièrement, il a également chorégraphié
des pièces pour des groupes internationaux tels que le Jin Xing Dance
Theatre Shanghai, Les Ballets de Monte-Carlo, Dialogue Dance,
le Staatstheater Kassel, les ballets de Moscou et le Ballet de Rome.
CHRIS HARING
-
DEEP DISH –
THE PERFECT
GARDEN
SERIES
Un dîner se transforme en un parcours aventureux
à travers les dimensions des macrocosmes et des
microcosmes. Les images diffusées en direct par
une caméra portative, mises en scène par les interprètes, mènent vers des mondes parallèles bizarres
d’objets organiques.
Les méthodes de tournage, conjuguées aux contorsions acoustiques, évoquent les métaphores des
jardins baroques, des plaisirs terrestres et de leur
disparition inévitable. Une société, mue par le désir
et la curiosité, qui célèbre avec extravagance, mais
aussi cynisme, sa propre éphémérité dans les dimensions multiples de la réalité, projetée sur un
grand écran.
Dans cette nature morte, tout mouvement et comportement humain est inexorablement absorbé par
l’opulence de la Nature.
Dans la série Perfect Garden de Liquid Loft, créée
en collaboration avec le remarquable artiste Michel
Blazy, le motif du jardin est une expression de la
tentative des hommes de contrôler, et de leurs vains
efforts pour échapper à leur propre éphémérité, mais
également une image de croissance et de prolifération qui aboutit constamment à l’évolution d’une
chose nouvelle.
Un spectacle en coréalisation avec la MAC de Créteil
35
Maison des Arts
Créteil
ven 24 mars
21h00
sam 25 mars
21h00
-- Tarif Pass : 20€
-- Tarif plein : 30€
-- Tarif réduit : 20€
Centre des bords
de Marne Le Perreux-surMarne
mar 28 mars
20h30
-- Tarif Pass : 20€
-- Tarif plein : 30€
-- Tarif réduit : 20€
Salle Lino Ventura
Athis-Mons
sam 1er avril
20h30
(version non live)
-- Tarif Pass : 8€
-- Tarif plein : 18€
-- Tarif réduit : 16€
Chorégraphie : Christian et
François Ben Aïm
Ecriture dramaturgique : Guillaume
Poix
Composition originale et direction
musicale : Ibrahim Maalouf
Quatuor Voce : Sarah Dayan, violon
; Cécile Roubin, violon ; Guillaume
Becker, alto ; Lydia Shelle,
violoncelle et un percussionniste.
Interprètes : Fabien Almakiewicz,
Christian Ben Aïm, François Ben
Aïm, Félix Heaulme
Musiciens : Ibrahim Maalouf et
quartet à cordes
Création lumières : Laurent
Patissier
Production : CFB 451
Coproductions : Théâtre de
l’Archipel, scène nationale de
Perpignan ; Biennale de danse
du Val- de-Marne ; Centre des
bords de Marne, scène publique
conventionnée du Perreux-surMarne ; Théâtre de Châtillon ;
Théâtre Paul Eluard, Bezons ; Le
Théâtre des Bergeries, Noisy-leSec
Soutien : Théâtre de la Ville
d’Aurillac
Résidences : La Briqueterie - CDC
du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine ;
Théâtre de Châtillon ; Théâtre Paul
Eluard, Bezons ; Scène nationale
de Cavaillon en partenariat avec le
CDC - Les Hivernales dans le cadre
du Festival Les Hivernales
Prêt de studios : CND de Pantin
La compagnie reçoit le soutien de la
DRAC Île-de-France – Ministère de
la Culture et de la Communication,
de la Région Île-de-France au titre
de la Permanence Artistique et
Culturelle et de l’Emploi tremplin,
et du Conseil départemental du
Val-de-Marne. La compagnie est
en résidence au Centre des bords
de Marne (94). La compagnie est
associée au Théâtre de Châtillon
(92) à partir de 2017
-- Compagnie CFB 451 - France
-- Durée : 1h00
-- Les frères Ben Aïm, c’est tout cela à la fois : plus d’une vingtaine
de créations depuis 1997 qui s’échelonnent sur quinze ans
de collaboration en binôme, renforcées par des complicités artistiques
venues de tous horizons. Formés à la danse, au théâtre physique,
et au cirque, ils commencent, chacun de leur côté, un parcours
d’interprète au Canada et en France. Leur réunion a ensuite posé
les bases de leur compagnie, duo-tandem fraternel : la réflexion
de l’un croise l’instinct de l’autre et vice versa, dans une confrontation
qui appelle à des projets artistiques en constante évolution.
En 1997, la pièce A l’abri du regard des hommes, avant d’aller mourir
ailleurs est un acte fondateur, une pièce hybride où danseurs
et comédiens partageaient la même énergie physique et brute.
Suivront dans la même veine La Frontera ou Ne vous fiez pas au titre,
il peut encore changer, pour une danse non dénuée d’humour et pleine
de surprises. Parmi leurs pièces emblématiques, on retient également le
diptyque autour de l’univers de Bernard-Marie Koltès, Carcasses,
un œil pour deux et En plein cœur où le texte résonne dans
une scénographie et une création musicale sur-mesure. L’Ogresse
des archives et son chien joue pleinement le croisement entre
les disciplines, tandis que Valse en trois temps flirte avec
le dépouillement. Sans oublier des œuvres in situ, comme
le monumental Mangrove Groove en Chine, ou le tout-terrain Karma
dans le Nord-Pas-de-Calais. Récemment, la fratrie a crée La légèreté des
tempêtes (2013) et Peuplé, dépeuplé (2016).
CHRISTIAN &
FRANÇOIS
BEN AÏM ET
IBRAHIM
MAALOUF
-
BRÛLENT NOS
CŒURS
INSOUMIS
(VERSION LIVE)
1ère en Île-de-France
Fruit d’une étroite collaboration entre les chorégraphes Christian et François Ben Aïm, Ibrahim
Maalouf pour la composition musicale et Guillaume
Poix pour la dramaturgie, Brûlent nos cœurs insoumis interroge avec intensité et dérision ce qui conditionne notre destin et notre extravagance à le
déjouer.
Quatre hommes, quatre frères, quatre étrangers,
quatre corps se partagent le plateau, s’inventent et
s’échangent les rôles, se jouent des configurations
multiples ; et sont amenés par les circonstances à
se livrer corps et âmes.
Une oeuvre chorale et composite, tel un kaléidoscope, qui explore la notion de fraternité et la figure
de l’insoumis, envisagé comme celle ou celui qui
montre une énergie spéciale, un courage insurrectionnel pour opposer sa volonté à l’injustice, à la
pression morale, à l’air du temps.
Brûlent nos coeurs insoumis révèle la force singulière de l’insoumis qui, par son engagement rend
possible la nouveauté et ravive nos appétits d’audace
et de liberté.
Avec la présence d’Ibrahim Malouf sur scène.
Un spectacle en coréalisation avec la MAC de Créteil ;
le Centre des bords de Marne, scène publique conventionnée ;
Le Collectif Essonne Danse.
36
Mac/Val
Vitry-sur-Seine
dim 26 mars
15h00 à 18h00
-- Accessible avecun billet
d’entrée au musée : 5€ /
2,50€
-- Le Musée de la danse – CCN
Rennes
-- Durée : 3h00
Un projet proposé par Boris
Charmatz / Musée de la danse
Interprètes : Mithkal Alzghair,
Nadia Beugré, Dimitri Chamblas,
Ashley Chen, Raphaëlle Delaunay,
Olga Dukhovnaya, Fabrice Mazliah,
Yves-Noel Genod, Peggy Grelat
Dupont, Samuel Lefeuvre, Mani
Mungai, Annabelle Pulcini, Marlène
Saldana, Frank Willens (distribution
en cours)
Production : Musée de la danse /
Centre chorégraphique national de
Rennes et de Bretagne - Direction :
Boris Charmatz. Association
subventionnée par le ministère de
la Culture et de la Communication
(Direction régionale des Affaires
culturelles / Bretagne), la Ville
de Rennes, le Conseil régional
de Bretagne et le Conseil
départemental d’Ille-et-Vilaine.
www.museedeladanse.org
-- Danseur, chorégraphe et directeur du Musée de la danse / Centre
chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, Boris Charmatz
soumet la danse à des contraintes formelles qui redéfinissent le champ
de ses possibilités. La scène lui sert de brouillon où jeter concepts et
concentrés organiques, afin d’observer les réactions chimiques, les
intensités et les tensions naissant de leur rencontre. D’Aatt enen tionon
(1996) à manger (2014), il a signé une série de pièces qui ont fait date, en
parallèle de ses activités d’interprète et d’improvisateur (récemment
avec Médéric Collignon, Anne Teresa De Keersmaeker
et Tino Sehgal). Artiste associé de l’édition 2011 du Festival d’Avignon,
Boris Charmatz crée à la Cour d’honneur du Palais des papes enfant,
pièce pour 26 enfants et 9 danseurs. Invité au MoMA (New York) en
2013, il y propose Musée de la danse : Three Collective Gestures, projet
décliné en trois volets et visible durant trois semaines dans les espaces
du musée. Après une première invitation en 2012, Boris Charmatz
a été à nouveau présent en 2015 à la Tate Modern (Londres) avec
le projet If Tate Modern was Musée de la danse ? comprenant des
versions inédites des projets chorégraphiques À bras-le-corps, Levée
des conflits, manger, Roman Photo, expo zéro et 20 danseurs pour
le xxe siècle. La même année, il ouvre la saison danse de l’Opéra national
de Paris avec 20 danseurs pour le xxe siècle et invite 20 danseurs du
Ballet à interpréter des solos du siècle dernier dans
les espaces publics du Palais Garnier. À partir de septembre 2017,
Boris Charmatz sera également artiste associé à la Volksbühne, Berlin.
BORIS
CHARMATZ
-
20 DANSEURS
POUR LE XXÈME
SIÈCLE
Une histoire de la danse partout autour de nous
Comment danser dans une bibliothèque ? Dans
un hall d’entrée ? Danser dans un espace public, un
espace de lecture, de déambulation - sans s’y fondre ?
Rendre visible le corps dansant au milieu d’autres
corps en transit ?
Pour son invitation au MAC/VAL, le Musée de
la danse de Boris Charmatz a choisi de se placer sur
le terrain de la transmission et de la dissémination,
en proposant un panorama de la danse du xxe siècle.
Vingt interprètes tout-terrain ont investi les couloirs,
les salles de lecture et les escaliers de ce lieu de
savoirs, exposant certains des solos qui ont marqué
le xxe siècle : une balade chorégraphique où les
moniteurs vidéos diffusant des extraits d’archive,
ont joué le rôle de petits cailloux. Au cours de sa
promenade, le public a pu découvrir ces étranges
visiteurs en mouvement dispersés dans l’architecture. Tomber, au détour d’un rayonnage, sur un solo
de Merce Cunningham. Plu loin, sur une danse
d’Isadora Duncan. Et recomposer à sa guise une
histoire vivante, non-linéaire - où se perdre, s’attarder, naviguer d’écho en écho, de geste en geste…
Un spectacle en coréalisation avec le MAC VAL, musée d’art
contemporain du Val-de-Marne, conservatrice en chef, Alexia
Fabre.
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Brûlent nos coeurs insoumis - Christian et François Ben Aïm
©Marcus Møller Bitsch
MOTOCROSS- Maud Le Pladec
©Eric Soyer -
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Mac/Val
Vitry-sur-Seine
28,29,30,31 mars
14h00 à 18h00
-- Entrée libre avec billet du
musée 5€
-- Durée : 4h00
Avec les chorégraphes : Tatiana
Julien, Juan Dante Murillo, Fabio
Novembrini, Connor Schumacher
et Lucy Suggate
Vidéastes : Bertrand Guerry et
Thibaut Ras
Reporter : Marie Pons
DANCING
MUSEUMS
(CITÉ
ÉPHÉMÈRE
DE LA DANSE)
Un projet de Tatiana Julien avec Juan Dante
Murillo, Fabio Novembrini, Connor Schumacher et
Lucy Suggate.
Les artistes de Dancing Museums vous invitent
à partager et construire ensemble La Cité éphémère
de la danse au Musée MAC VAL à Vitry-sur-Seine.
La Cité de la danse est un espace d’incubation de
la création chorégraphique, un laboratoire partagé,
une installation participative inédite des backstages
de la danse. Pendant 4 jours, 5 chorégraphes internationaux répondent à l’utopie d’une écologie de la
danse, tous les après-midis. Ils partagent le plus
largement possible leur monde, livrent leur démarche,
confessent, dialoguent, performent, interagissent,
recherchent pour et avec un public placé au cœur
du dispositif. Ici s’ouvre un pôle éphémère de ressources dans une cité sans mur : venez vivre l’expérience au Mac Val, à la Briqueterie, au dehors et sur
l’espace virtuel. Prenez-en possession et rendez-le
massif, sur #dancingmuseums!
Dancing Museums est un projet de partenariat
mené par La Briqueterie en association avec quatre
centres européens dédiés à la danse et huit musées
de renommée internationale. 5 chorégraphes internationaux explorent de nouvelles méthodes d’interaction avec le public, il s’agit de Tatiana Julien,
Juan Dante Murillo, Fabio Novembrini, Connor
Schumacher et Lucy Suggate. Sélectionnés chacun
par un centre, ils ont travaillé ensemble pendant les
dernières deux ans sous pour mettre en place des
nouvelles œuvres participatives et performatives
dans chacun des musées des cinq villes
européennes.
Un spectacle en coréalisation avec le MAC VAL, conservatrice
en chef, Alexia Fabre.
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La Briqueterie / CDC
du Val-de-Marne –
Vitry-sur-Seine
mar 28 mars
19h00
-- Tarif Pass : 9€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 9€ / 6€
Chorégraphie : Boris Charmatz et
Dimitri Chamblas
Lumière : Renaud Lapperousaz
Régie lumière : Yves Godin ou
Madjid Hakimi
Musique : Paganini Caprices, n°1,
10 et 16, Itzhak Perlman, violon Emi
Classics CDC 7 471 71 2
Production : Musée de la danse
Coproduction : Villa Gillet-Lyon
À bras-le-corps a été créé le 13
janvier 1993 à La Villa Gillet-Lyon.
-- Musée de la danse Centre
chorégraphique de Bretagne
- France
-- Durée : 40 min
BORIS
CHARMATZ ET
DIMITRI
CHAMBLAS
À-BRAS-LECORPS
Compagnons de route depuis leurs études au
Conservatoire, Boris Charmatz et Dimitri Chamblas
ont imaginé au début des années 1990 une chorégraphie guidée par la sensation de fatigue, de masse
rampante, de chute, de corps à l’énergie mourante.
Le martèlement des pieds, le souffle tour à tour lourd
ou léger rythment cette danse dont la proximité
avec le spectateur empêche toute échappatoire, tant
pour les danseurs que pour le public mis au cœur
du spectacle. Cette proximité avec les corps permet
au spectateur d’apprécier la physicalité de leurs soli.
Sur la musique de Paganini, les exercices physiques
impressionnent. Ils se manipulent avec rudesse, se
roulent, luttent comme des frères siamois, puis se
détachent, pour faire, seuls, l’expérience de leurs
propres limites. Ensemble, ils semblent dire l’extraordinaire résistance de l’esprit autant que du
corps humain. Avec le temps, cette chorégraphie a
évolué, l’expérience du danseur laissant place à plus
de légèreté, d’ironie, d’énergie, et accueillant la maturité des deux hommes. La nature du projet l’engage
à investir des lieux multiples, à frapper des terres
et des sols infiniment divers, comme l’Opéra Garnier
qui intègre dans son répertoire cette saison ce duo
devenu classique de la danse contemporaine.
-- Diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse
de Lyon, Dimitri Chamblas participe à la création de Sentiers
de Bernard Glandier avant d’être engagé comme danseur permanent
par Régine Chopinot en 1993. À partir de 1997, il s’engage aux côtés
de Mathilde Monnier au CCN de Montpellier et interprète le duo
Tout Contre d’Emmanuelle Huynh. Au début des années 2000,
il développe un travail dans le domaine de l’audiovisuel et réalise
successivement Horace-Benedict (en collaboration avec Aldo Lee),
La Clé des Lieux et À nos endroits. En 2002, il commence à travailler
comme 1er assistant réalisateur dans le milieu de la publicité.
Il collabore entre autres avec Tranh anh Hung, Jacques Audiard, César
Vayssié et les Zoo. Depuis 2005, il est producteur associé de Same
Production et accompagne le développement de jeunes réalisateurs.
40
La Briqueterie / CDC
du Val-de-Marne –
Vitry-sur-Seine
mar 28 mars
21h00
-- Tarif Pass : 9€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 9€ / 6€
-- Compagnie de Soi – France
-- Durée : 1h00
-- Les 10, 11 et 12 mai 2017 – Le
Grand T (Nantes)
Conception, chorégraphie :
Radhouane El Meddeb
Assistant à la création : Moustapha
Ziane
Interprètes : Youness Aboulakoul,
Rémi Leblanc-Messager,
Philippe Lebhar, Arthur Perole
Scénographie : Annie Tolleter
Lumières : Xavier Lazarini
Sonographie : Stéphane Gombert
Vidéo : Cécile Perraut en
collaboration avec Feriel Ben
Mahmoud
Régie générale : Bruno Moinard
Production : La compagnie de SOI
Coproduction : le CENTQUATRE Paris / le Centre Chorégraphique
National de Montpellier
Languedoc-Roussillon Programme
Résidences / Centre de
Développement Chorégraphique
Toulouse - Midi-Pyrenées Accueil
en résidence / La Filature Scène
nationale de Mulhouse / la Ferme
du Buisson Scène nationale de
Marne la Vallée / Le WIP Villette.
RADHOUANE
EL MEDDEB
AU TEMPS OÙ
LES ARABES
DANSAIENT…
Avec l’aide à la production d’Arcadi
Île-de-France et le soutien à la
création de la DRAC Île-de-France,
la Fondation Beaumarchais et le
Centre National du Théâtre.
La danse de Radhouane El Meddeb, artiste tunisien, est parfois critique ou humoristique. Elle est
aussi source et lieu de mémoire. Selon lui, « les
Arabes ont longtemps vécu sur des rythmes magiques,
ceux des films des années 40, 50, 60 et 70… avec leur
féerie, leur décor de carton pâte et leur atmosphère
toute faite de faux et de clinquant.». Aussi dans sa
création 2014, Au temps où les Arabes dansaient,
l’artiste chorégraphie pour quatre interprètes masculins une sorte de paysage documentaire qui allie
la magie du factice à la nostalgie d’une époque. Le
spectacle chemine sur la mémoire des mots et des
musiques des grands artistes orientaux de l’Egypte,
du Liban et de la Tunisie. Entre images d’archives,
ambiances issues de l’âge d’or du cinéma arabe,
danses traditionnelles (dont la danse du ventre) et
music-hall, Radhouane El Meddeb s’attache à montrer combien ces formes populaires sont l’expression
festive et généreuse d’un peuple qui aime la vie et
la liberté. Il conte un rêve éveillé qui est aussi un
acte politique face aux menaces que les extrémismes
religieux font peser sur les femmes, la culture et les
artistes.
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La Briqueterie / CDC
du Val-de-Marne –
Vitry-sur-Seine
jeu 30 mars
19h30
-- Tarif unique : 6€
-- Durée : 30 min
Conception, chorégraphie :
Radhouane El Meddeb
Assistant à la création : Moustapha
Ziane
Interprètes : Youness Aboulakoul,
Rémi Leblanc-Messager,
Philippe Lebhar, Arthur Perole
Scénographie : Annie Tolleter
Lumières : Xavier Lazarini
Sonographie : Stéphane Gombert
Vidéo : Cécile Perraut en
collaboration avec Feriel Ben
Mahmoud
Régie générale : Bruno Moinard
Production : La compagnie de SOI
Coproduction : le CENTQUATRE Paris / le Centre Chorégraphique
National de Montpellier
Languedoc-Roussillon Programme
Résidences / Centre de
Développement Chorégraphique
Toulouse - Midi-Pyrenées Accueil
en résidence / La Filature Scène
nationale de Mulhouse / la Ferme
du Buisson Scène nationale de
Marne la Vallée / Le WIP Villette.
Avec l’aide à la production d’Arcadi
Île-de-France et le soutien à la
création de la DRAC Île-de-France,
la Fondation Beaumarchais et le
Centre National du Théâtre.
-- Frank Micheletti reçoit une formation de théâtre avec Jean-Pierre
Raffaelli, travaille avec Hubert Colas et Isabelle Pousseur, puis
décide de s’orienter vers la danse. Avant de créer la compagnie
Kubilai Khan investigations, Frank Micheletti a accompagné Joseph
Nadj sur plusieurs créations en tant que danseur et en tant qu’assistant
à la mise en scène pour Le Cri du caméléon réalisé pour le Centre
National des Arts du Cirque. D’autres collaborations parallèles
se construisent : participation au Crash Landing, séries d’improvisations
initiées par Meg Stuart au Théâtre de la Ville. En 1996, il fonde avec
Cynthia Phung-Ngoc, Ivan Mathis et Laurent Letourneur, la compagnie
Kubilai Khan Investigations et signe comme directeur artistique une
vingtaine de pièces du groupe dont les plus récentes sont : Bien sûr que
les choses tournent mal (2015), Your Ghost is not enough (2014) Mexican
Corner (2013), Tiger Tiger Burning Bright (2012), tous témoins de la
raison d’être de sa troupe : croiser les regards, échanger les savoir-faire,
qu’il aille es chercher en Afrique ou en Amérique latine.
FRANK MICHELETTI ET
CHARLES ROBINSON
THE SPLEEN
CONCORDAN(S)E
Entre mot et geste : une rencontre inédite
entre une écrivain et un chorégraphe
The spleen : Nous ne sommes pas tranquilles avec
les malheurs du monde. Nos corps incorporent des
toxiques. Ils grouillent, râlent, protestent et craquent.
Nos symptômes chantent avec les humiliés. Nous
avons pourtant l’intuition d’autres possibles, où
jouent les écosystèmes, les entrailles, les liens souples,
les formes de vie, les escapades et les raccourcis.
Alors, imaginons une science : la spleenologie,
qui devrait autant à l’étude des ruses primitives qu’à
la lecture de très anciens traités chinois. Une science
qui serait à la fois une méthode archéologique, un
art martial, une hypothèse thérapeutique. En usant
des arts spleenétiques, nous ploieront et déplieront
des voix, des corps, des aventures proches ou lointaines, des récits parallèles et méconnus, pour exsuder le Spleen qui empoisonne nos existences.
Concordan(s)e, commande est passée à un chorégraphe et un écrivain qui ne se connaissent pas
au préalable. Ils vont découvrir leurs expériences
respectives, cheminer ensemble pour nous dévoiller
le fruit de leurs échanges, de ces croisements entre
le geste et le mot. Le chorégraphe et l’écrivain interprètent ensuite face au public une chorégraphie
et un texte inédits. Franck Micheletti, directeur de
la compagnie Kubilai Khan Invesitgations qui ne
cesse depuis 1996 de croiser les regards, échanger
les savoir-faire, en Afrique ou en Amérique latine,
rencontre ici Charles Robinson est un écrivain français, explorateur des marges. Il est l’auteur de trois
livres publiés chez Fiction & Cie (Seuil) : Génie du
proxénétisme (2008) et Dans les Cités (2011) et récemment Fabrication de la guerre civile (2016).
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La Briqueterie / CDC
du Val-de-Marne –
Vitry-sur-Seine
jeu 30 mars
21h00
ven 31 mars
21h00
Conception, chorégraphie,
interprétation : Maud Le Pladec
Discographie, DJ : Julien Tiné
Texte : Maud Le Pladec, Vincent
Thomasset
Scénographie et création lumières
: Eric Soyer
Création costumes : Alexandra
Bertaut
-- Tarif Pass : 9€
-- Tarif plein : 12€
-- Tarif réduit : 9€ / 6€
Aide à la chorégraphie pour les
parties d’inspiration Funkstyle,
Boogstyle & House : Alice Liss Funk
Regard extérieur : Julien Gallée
Ferré
Régie générale : Max Potiron et
Fabrice Le Fur
Régie lumières : Nicolas Marc
Régie son : Vincent Le Meur
-- Centre chorégraphique
national d’Orléans
-- Durée : 50 min
Conception dispositif musical :
Pete Harden
Documentation : Youness Anzane
Répétition voix : Dalila Khatir
Production : Association Léda et
Centre Chorégraphique National
d’Orléans
Coproduction : La Briqueterie/
CDC, Théâtre National de Chaillot
(en cours), Les Subsistances-Lyon,
Pole Culturel d’Alfortville
Avec le soutien de : Conseil
départemental du Val-de-Marne
dans le cadre de l’aide à la création
MAUD
LE PLADEC
MOTO-CROSS
Création Biennale 2017
« Enfant, je danse sur les musiques pop de la disco-mobile de mon père, je suis peinte en tutu rose sur
la portière de sa camionnette, je cours de galas en
compétitions de moto-cross, mon père aime la danseuse qu’il a fait peindre sur sa camionnette et j’aime
que mon père l’aime. Mais je sais déjà que je ne deviendrai jamais la danseuse en tutu rose peinte sur
le C35 et pourtant c’est bien grâce à elle que je suis
devenue l’interprète que je suis aujourd’hui ».
Maud Le Pladec
Le projet Moto-Cross trouve sa source dans cette
parabole - cette danseuse en tutu que la chorégraphe
n’est jamais devenue – pour mieux interroger des
questions liées à la transmission, l’héritage et la
construction sociale.
Maud Le Pladec interprète un solo partant de son
propre récit de vie et de danseuse. Cette autofiction
traite ainsi de la question de la mémoire, de la disparition et de l’émancipation sociale et intellectuelle.
Mais aussi de la «culture pop» (ou «pop culture»)
terme désignant un courant contestataire de la fin
des années 50 dans l’art et dans la musique.
Auto-fiction mettant en perspective ces questions
à partir de souvenirs, d’expériences, de récits de vie
qui constitueront le sous-texte de cette « légende »
personnelle, prélevant des échantillons du réel et
en les confrontant au monde d’aujourd’hui, Vincent
Thomasset travaille un texte qui mettra en relation
la construction personnelle et les normes culturelles.
Une façon d’ausculter les symptômes contemporains d’une société.
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LAURENT BLONDIAU & SALIA SANOU
SOUFFLE RIT SOUFFLE DANSE
ORLY - CENTRE CULTUREL ARAGON TRIOLET
dimanche 12 mars 14h30
VITRY-SUR-SEINE­THÉÂTRE JEAN-VILAR
samedi 19 mars – 14h30
PARIS – GRANDE HALLE DE LA VILLETTE
dimanche 26 mars – 16h
AUTOUR DES
SPECTACLES
Un spectacle performance qui investit la place publique avec 60 musiciens
et danseurs amateurs conduits par Salia Sanou et Laurent Blondiau.
Souffle rit / Souffle danse réunit des danseurs et musiciens amateurs qui,
le temps d’une performance en extérieur, vous invitent à partager l’univers
de Laurent Blondiau et Salia Sanou.
Souffle rit / Souffle danse ou l’occasion de danser, jouer, rencontrer,
inventer, déambuler.
Un projet né de la rencontre de Salia Sanou, chorégraphe originaire
du Burkina Faso, et de Laurent Blondiau, trompettiste du collectif belge
Mâäk pour la création du spectacle Kawral .
Un projet qui se joue des frontières entre danse et musique, entre dedans
et dehors, entre ceux qui pratiquent musique ou danse depuis longtemps
et ceux qui se lancent, un projet de partage pour dépasser les frontières,
quelles qu’elles soient !
Un projet de Salia Sanou et Laurent Blondiau, initié par la Briqueterie-CDC
du Val-de-Marne et coréalisé en partenariat avec MET-X (BE), Compagnie
Mouvements Perpétuels (FR), Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine (FR),
Centre culturel communal d’Orly (FR), La Villette (FR) et La Briqueterie-CDC
du Val-de-Marne (FR).
En partenariat avec l’ADIAM 94.
ATELIERS POUR ADOS ET ADULTES
# # Ateliers Kaléidoscope
Depuis son inauguration, la Briqueterie propose des ateliers - ouverts
à tous - avec ses artistes en résidence. Elle donne ainsi la possibilité
à chacun de découvrir des écritures chorégraphiques très différentes.
Tout le long de sa saison 2016-17, elle a demandé aux artistes programmés
à sa Biennale de danse de vous faire découvrir leur univers de création.
Profitez-en !
Mardi 28 février avec Radhouane El Meddeb
» 19h30 à 22h00
Peut-on partir d’un geste simple, un mouvement… Une danse… une
présence quelque part sur scène… Peut-on s’y cacher pour dire un dernier
mot, avouer un secret… une révélation… s’abandonner par pudeur pour
un ailleurs… Seul… en évitant le regard de l’autre… s’écarter de tous…
Comment révéler cette charge émotionnelle si intense et la faire vibrer ?
Expérience traversée par Radhouane El Meddeb pour sa création, A mon
père, une dernière danse et un premier baiser, et qu’il se propose de vous
faire partager…
Mardi 14 mars avec Denis Plassard
» 19h30 à 22h
L’atelier se développera autour de la notion de manipulation en lien
avec la pièce Albertine, Hector et Charles. Ici pas de marionnette
(contrairement au spectacle), ce sont les corps vivants qui seront
manipulés. L’atelier commencera avec des jeux simples et enfantins
pour aboutir à des mécanismes complexes d’interaction en duo ou par
groupes. Les participants seront tour à tour ou simultanément, manipulés
et manipulateurs pour ouvrir de multiples champs d’exploration et de
composition du mouvement.
Tarifs et inscription
Plein Tarif: 18€
Tarif Réduit : 14€ (pour les demandeurs d’emploi, étudiants et retraités)
PassDécouverte : 30€ qui inclut votre 1er atelier à 10€ puis tous les autres de
la saison au même tarif privilégie + 1 place pour un spectacle de la Biennale
(sauf soirées spécifiques) + le PassBrique qui vous donne accès à tous les
spectacles de la Biennale à des tarifs préférentiels.
+ d’Infos au 01 46 86 17 61 ou [email protected]
EXPOSITION PHOTO
# # Hors Sol de Denis Plassard
du 22 février au 9 mars - Vincennes, Place Pierre Sémard
le 11 mars (jour du spectacle) - Vincennes, Auditorium Jean-Pierre Miquel
Depuis le début de ma carrière de danseur et de chorégraphe, je nourris
une passion secrète pour la photographie que je pratique en amateur.
Un workshop avec la photographe Claudine Doury aux Rencontres d’Arles
2015 m’a permis de réunir ces deux recherches dans un même projet :
Hors Sol. Le principe de la performance est simple : comme photographe
je choisis un endroit, un cadre, une lumière, des réglages et comme danseur
je me propose de porter des volontaires pour réaliser une série originale de
portraits. Depuis la première série à Arles, je m’impose deux règles : le sujet
porté doit regarder l’appareil et mon visage doit toujours être caché.
EXPOSITION PHOTO
# # Brûlent nos coeurs insoumis
Patrick Berger
du 22 au 31 mars - Créteil, Maison des Arts
mardi au samedi de 13h à 18h30 + soirs de représentation
RENCONTRES & DISCUSSIONS
## Colloque dansé : « Danse contemporaine :
questions d’Afrique »
Dans le cadre du festival Rencontres Essonne Danse 2017
Samedi 18 mars 2017de 14h30 à 19h à Morsang-sur-Orge, Salons du Château
avec Qudus Onikeku, Vincent Mantsoé*, Souleymane Sanogo, Salah Keïta,
Michel Onomo…
» 14h30 – Vincent Mantsoe, GULA
programme présenté avec la Briqueterie-CDC du Val-de-Marne
» 20h30 : Représentation de S/T/R/A/T/E/S Quartet de Bintou Dembélé Cie Rualité
Le colloque dansé donnera la première place à ce que dit la danse,
à travers de courtes pièces ouvrants chacune sur une problématique,
notamment autour de l’Histoire de la conjonction entre la danse
contemporaine en Occident et en Afrique, et autour des lignées qui
ne procèdent pas des pratiques « savantes » telles que le hip-hop.
Après chaque moment dansé, un débat s’engagera avec les artistes
et des personnalités concernés.
Choix des intervenants en cours de programmation.
*Organisé par le Collectif Essonne Danse, en partenariat avec la ville de
Morsang-sur-Orge
* Vincent Mantsoe, GULA avec le soutien de l’Institut français dans le cadre
du programme « Danse l’Afrique danse ! « et le partenariat officiel de Total.
+ d’Infos : www.rencontresessonnedanse.com
## COLLOQUE INTERNATIONAL
« Dancing Museums »
Samedi 25 mars 2017 au Musée du Louvre – Paris
avec Tatiana Julien, Juan Dante Murillo, Fabio Novembrini, Connor
Schumacher et Lucy Suggate
» de 10h à 12h et de 14h à 16h : à l’Auditorium du Louvre
Le projet Dancing Museums a permis à 5 chorégraphes de travailler pendant
deux ans au contact avec les responsables de la médiation de 8 musées
internationaux, dans différentes villes européennes. Cette table ronde est
une occasion pour partager avec le public 2 années de recherche et plus
encore sur un laboratoire de recherche inclassable et non spectaculaire
comme Dancing Museums. Ça sera aussi l’occasion pour réfléchir à la
danse en tant qu’outil de médiation et d’engagement avec le public dans un
contexte hors la ‘boite noire’.
Intervenants : Betsy Gregory (mentor), Gill Hart (Responsable Service
Education, National Gallery), les artistes de Dancing Museums ainsi que
d’autres artistes et responsable de la médiation et la démocratisation dans
les musées.
## Vidéo-danses
Croisements entre les arts plastiques et la danse
À la Briqueterie - en accès libre - durant toute la Biennale.
Si la vidéo-danse est une discipline artistique hybride - aux croisements
de la danse, du son et des arts de l’image - cette sélection met en valeur
des œuvres plus spécifiquement axées autour de la rencontre entre la danse
et des pratiques issues des arts plastiques. Ces films internationaux sont en
résonance avec les projets interdisciplinaires de la biennale, tel « Dancing
Museums », et démontrent la diversité de la vidéo-danse contemporaine
ainsi que la richesse des pratiques qui influent sa production, qui
permettent de ré-imaginer la danse pour l’écran.
Sélectionnées par Franck Boulègue et Marisa Hayes, les vidéo-danses
retenues proviennent des archives du Centre de Vidéo Danse de
Bourgogne/Festival International de Vidéo Danse de Bourgogne, une
association qui vise à promouvoir l’étude et la création en vidéo-danse sous
toutes leurs formes. www.videodansebourgogne.com
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CHOISIR ET
RÉSERVER
INFORMATIONS ET RÉSERVATIONS
01 46 86 70 70
[email protected]
Pour faciliter vos réservations, la Briqueterie vend
des places pour tous les spectacles de la Biennale.
Comment réserver et régler ?
• par téléphone
règlement sécurisé par carte bancaire
> du 16 janvier au 24 février
du lundi au vendredi de 13h30 à 17h30
> du 27 février au 1er avril
du mardi au samedi de 13h à 18h
• par email
[email protected]
• par courrier en nous retournant le bulletin de
réservation à l’adresse :
La Briqueterie / Billetterie
17, rue Robert Degert - 94407 Vitry-sur-Seine
Cedex
également en téléchargement sur notre site
www.alabriqueterie.com
ATTENTION !
Tout règlement est définitif, les billets ne sont ni
repris ni échangés.
Des tarifs spécifiques sont proposés aux groupes
et aux scolaires, contactez :
Cécile Vernadat
[email protected]
01 46 86 17 61
Laurence Moreau
[email protected]
01 46 86 17 61
Un renseignement ?
Nous sommes à votre disposition
pour vous apporter plus d’informations
sur le festival ou sur la saison de la Briqueterie ;
• par téléphone : 01 46 86 17 61 du lundi
au vendredi de 9h30 à 12h et de 14h à 17h30
• par email : [email protected]
Suivez l’actualité de la 19e Biennale sur Facebook
www.facebook.com/alabriqueterie
La Briqueterie est accessible aux personnes
à mobilité réduite.
Le bar de la Briqueterie propose une restauration
légère les soirs de spectacle.
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PARTENAIRES
ET ÉQUIPE
L’équipe de La Briqueterie
NAVETTES GRATUITES ALLER/RETOUR
Réservation obligatoire
Directeur : Daniel Favier
Administratrice : Christine Fouilleul
Directeur technique : Frédéric Vannieuwenhuyse
Chargée du développement des partenariats
européens : Elisabetta Bisaro
Communication : Pascale Pommat
Secrétaire de direction : Thomas Godlewski
Chargée de production : Nadia Delcourt
Chargée des relations avec les publics :
Cécile Vernadat
Chargée de médiation : Laurence Moreau
Chargée d’accueil : Clémentine Cintré
Comptabilité : Gilda Lapotaire
Rédactrice en chef de Repères, cahier de danse :
Marisa Hayes
Attaché de presse : Cédric Chaory
Départ et retour de la Place du Châtelet
Avenue Victoria, côté Théâtre de la Ville
• mercredi 1er et jeudi 2 mars à 19h00 | Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine |
Jérôme Bosch : le Jardin des délices, Marie Chouinard
• vendredi 3 mars à 19h30 | Théâtre de Rungis | Tu, el cielo y tu, Catherine Berbessou
• d imanche 12 mars 13h45 | Orly | Souffle rit/Souffle danse, Salia Sanou et Laurent
Blondiau suivi de Tentatives d’approches d’un point de suspension, Yoann Bourgeois
• jeudi 23 mars 19h30 | Salle Jacques Brel de Fontenay-sous-Bois | We almost forgot,
Qudus Onikeku
• d imanche 26 mars 15h00 | Théâtre Gérard Philipe de Champigny-sur-Marne |
Le Cri de la Chair, Seydou Boro
• mardi 28 mars 19h00 | Centre des Bords de Marne du Perreux-sur-Marne Brûlent
nos cœurs insoumis, Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf
• samedi 1er avril 19h00 | Salle Lino Venture d’Athis Mons | Brûlent nos cœurs
insoumis, Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf
Retour Place du Châtelet
Avenue Victoria, côté Théâtre de la Ville
• samedi 4 mars après la représentation | Pôle Culturel d’Alfortville | CONCRETE,
Maud le Pladec
Départ et retour de la Place de l’Étoile
Métro Charles de Gaulle-Étoile, sortie avenue Friedland
• samedi 04 mars à 19h15 | Théâtre Paul Eluard de Bezons | Prélude à l’après-midi
d’un faune et Le Sacre du Printemps, Marie Chouinard
Sous réserve d’inscrits et dans la limite des places disponibles.
Réservations au 01 34 10 20 20.
Départ et retour de la station RER Val-de-Fontenay
RER A direction Marne-la-Vallée Chessy ou Torcy
• samedi 4 à 16h30, 18h30 et 20h30 et dimanche 5 mars à 14h30, 16h30 et 18h30 |
Fontenay-sous-Bois | Exposure, Anne Collod
Autres navettes gratuites − sans réservation
• jeudi 16 et vendredi 17 mars | CDC Atelier de Paris-Carolyn Carlson | SOLI.
DES, Sébastien Laurent. Une navette part de la station de métro Château
de Vincennes, sortie 6 abribus Cartoucherie et fait des A/R environ toutes
les 15 minutes 1h avant et après le spectacle.
• vendredi 24 et samedi 25 mars | Maison des Arts de Créteil | Deep Dish The Perfect Garden Series, Chris Haring & Brûlent nos cœurs insoumis,
Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf. Une navette partira à
l’issue du dernier spectacle pour la place de la Bastille et la place du Châtelet.
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
46
THÉÂTRES
PARTENAIRES
ALFORTVILLE Pôle culturel
Parvis des Arts - 94140 | 01 58 73 29 18
www.pole-culturel.fr
> Métro 8, arrêt École vétérinaire + bus 103, arrêt Raymond Jaclard (10min)
> RER D, arrêt Gare Maisons-Alfort / Alfortville. Prendre la sortie Alfortville
et compter 10min à pied
> En voiture : périphérique sortie porte de Bercy/Nancy Metz puis
autoroute A4, sortie Pont de Charenton puis A86, sortie Carrefour
Pompadour
ATHIS MONS Salle Lino Ventura
4 Rue Samuel Deborde 91200 | 01 69 57 81 10
>RER C ou D arrêt Juvisy-sur-Orge
>Bus 399 direction Massy Palaiseau arrêt Centre Administratif ou Bus 487
abc direction Athis-Mons arrêt place Henri Deudon
BAGNEUX – Le plus petit cirque du monde
Impasse de la renardière 92 220 | 01 46 64 93 62 |
www lepluspetitcirquedumonde.fr
> Métro 4 – Porte d’Orléans puis bus 188 – arrêt Rue des Brugnaults ou
Métro 13 – Chatillon-Montrouge puis bus 391 – arrêt les Blagis
> RER B – Bourg la Reine puis bus 390 et 394 – arrêt les Blagis
> Bus : au départ de Bourg la Reine : ligne 390 et 394 – Arrêt les Blagis, au
départ de Porte d’Orléans : ligne 188 – Arrêt Rue des Brugnaults ou au
départ de Chatillon-Montrouge : ligne 391 – Arrêt les Blagis
BEZONS Théâtre Paul Éluard
162, rue Maurice Berteaux - 95870 | 01 34 10 20 20
www.tpebezons.fr
> Métro 1 ou RER A, arrêt La Défense Grande Arche + bus 272, arrêt Place
des droits de l’homme. Face à l’arrêt, longer l’Intermarché, traverser
le parking et prendre la rue Nicolas Louet, puis à droite rue Maurice
Berteaux
> T2, arrêt pont de Bezons + bus 271, arrêt Place des droits de l’homme ou à
15 min à pied
> En voiture : par Étoile Pont de Neuilly, direction Cergy-Pontoise A14 et A86
(rester sur la file de gauche) - sortie Bezons - direction Bezons centre par
la N192 - Carrefour la Grâce de dieu, tourner à gauche, puis 2ème à droite,
rue Maurice Berteaux.
CHAMPIGNY-SUR-MARNE Théâtre Gérard-Philipe
54 Boulevard du Château - 94500 | 01 48 80 05 95
www.champigny94.fr/theatre-gerard-philipe.html
>R
ER A, arrêt Champigny/St Maur + bus 208a arrêt Rond-point du Château.
Vous arrivez presque devant le théâtre.
>R
ER E jusqu’à Villiers-sur-Marne Le Plessis-Trévise + bus 308 arrêt
Colombe Hardelet et marcher à pied dans la rue Colombe
Hardelet qui démarre du rond-point jusqu’au Boulevard du Château. Le
Théâtre est derrière la Poste.
>E
n voiture : depuis la Porte de Bercy, prendre l’A4 en direction de
l’avenue de la République/D130 à Champigny-sur-Marne. Prendre D145
en direction de Boulevard du Château, prendre à droite sur Avenue de la
République/D130. Au rond-point, prendre la 3e sortie sur Avenue François
Mitterrand/D145. Traverser 2 ronds-points. Au rond-point, prendre la 2e
sortie sur Voie Sonia Delaunay/D145. Au rond-point, prendre la 3e sortie
sur Avenue Maurice Thorez/D233. Prendre à droite sur Rue de Sévigné,
continuer sur Boulevard du Château. Le Théâtre se trouve sur la droite.
CHARENTON-LE-PONT Théâtre des Deux Rives
107 rue de Paris - 94220 | 01 46 76 67 00
www.charentonlepont.fr/lestheatres
> Métro 8, arrêt Charenton-Ecoles
> Bus 111 ou 180, arrêt Théâtre de Charenton
> En voiture : A4, sortie Porte de Bercy ou Porte de Charenton
CHÂTILLON Théâtre de Châtillon
3, rue Sadi Carnot - 92320 | 01 55 48 06 90
www.theatreachatillon.com
> Métro 13, arrêt Châtillon-Montrouge + T6, arrêt Général de Gaulle
puis 5 min à pied
> Bus 388, arrêt Mairie de Châtillon / bus 162/194, arrêt d’Estienne d’Orve
-Division Leclerc / bus 195/295 arrêt J.-P. Timbaud
> En voiture : de la Porte de Châtillon, direction Versailles. Dans Châtillon :
direction Centre-Ville, puis Mairie. 1ère à gauche dans la rue de la Mairie.
CHOISY-LE-ROI Théâtre Paul Éluard
4, avenue Villeneuve-Saint-Georges - 94600 | 01 48 90 89 79
www.theatrecinemachoisy.fr
> Métro 7, arrêt Porte de Choisy + bus 183, arrêt Rouget-de-l’Isle,
puis 10 mn à pied en direction de Créteil. Traverser la Seine,
le théâtre est à droite.
> RER C, arrêt Choisy-le-Roi
> En voiture : depuis la porte de Bercy, prendre l’A4 puis l’A86, direction
Créteil, sortie n° 23, direction Melun -Sénart. Au carrefour Pompadour,
suivre S9, puis Choisy-le-Roi sur N 186, au 7e feu, serrer à droite et
tourner à gauche sous l’auto-pont. Le Théâtre se trouve tout de suite à
droite. Ou sortir du périphérique quai d’Ivry, direction Ivry, puis direction
Alfortville, passer le pont, tourner à droite, suivre la Seine-rive droite
jusqu’à Choisy-le-Roi. Dans Choisy, passer sous l’auto-pont, le Théâtre
est à droite.
CRETEIL Maison des Arts
Place Salvador Allende - 94000 | 01 45 13 19 19
www.maccreteil.com
> Métro 8, arrêt Créteil Préfecture. Traverser le centre commercial,
sortir porte 25 ou 26 et traverser le parvis
> En voiture : au départ de Paris Porte de Bercy, prendre l’A4 direction
Nancy-Metz, bretelle Créteil / Sénart, direction Créteil Centre, puis
Mont-Mesly / Hôtel de Ville. En venant du sud–ouest, prendre l’A86 sortie
Créteil Centre et direction Préfecture / Hôtel de Ville / Maison des Arts.
FONTENAY-SOUS-BOIS Salle Jacques Brel
164, boulevard Gallieni | 01 71 33 53 35
www.fontenayenscenes.fr
> RER A ou RER E, arrêt Val-de-Fontenay ou RER A, arrêt Fontenay-sousBois + bus 124 arrêt Hôtel de Ville ou 15min à pied
> En voiture : depuis Paris Porte de Bagnolet, A3, direction Charles
De Gaulle – Lille + A86, direction Fontenay-sous-Bois sortie n° 19 Fontenay
Centre. Dans Fontenay-sous-Bois : suivre la direction Centre-Ville,
Le Plateau puis Salle Jacques Brel
IVRY-SUR-SEINE Théâtre Antoine Vitez
1, rue Simon Dereure - 94200 | 01 46 70 21 55
www.ivry94.fr/culture/theatre-divry-a-vitez
> Métro 7, arrêt Mairie d’Ivry. Suivre l’itinéraire « chemin du théâtre »
> RER C, arrêt Gare d’Ivry-sur-Seine centre-ville + 15min à pied
> En voiture : périphérique sortie Porte d’Ivry ou de Choisy, direction
Centre-ville
47
LE PERREUX-SUR-MARNE Centre des bords de Marne
2, rue de la Prairie - 94170 | 01 43 24 54 28
www.cdbm.org
> RER A, arrêt Neuilly-Plaisance puis descendre la Marne
> Ligne RATP 114 Château de Vincennes, arrêt Bords de Marne. 47
> En voiture : Depuis la Porte de Bercy ou Metz-Nancy : prendre l’A4 puis
sortie Nogent / Le Perreux. Suivre le fléchage « Centre des Bords de
Marne ». Ou porte de Bagnolet ou Lille : prendre l’A3 puis A86 direction
Fontenay-sous-Bois. Sortie n°18 : Neuilly-Plaisance / Neuilly-sur-Marne /
Le Perreux. Suivre fléchage «Centre des bords de Marne».
MAISONS-ALFORT Théâtre Claude Debussy
116 avenue du Général de Gaulle - 94700 | 01 41 79 17 20
www.theatredemaisons-alfort.org
> Métro 8, arrêt Maisons-Alfort Stade. Sortie de droite, tourner à la 1ère à
droite rue du 11 Novembre 1918, continuer tout droit rue Paul Vaillant
Couturier, puis tourner à gauche avenue du Général de Gaulle.
> RER D, arrêt Maisons-Alfort Alfortville. Sortie Maisons-Alfort, aller en face
puis tourner la 2ème à droite avenue du Général de Gaulle. Le Théâtre se
trouve sur le parvis de la Mairie.
> En voiture, depuis Paris : A4, sortie Maisons-Alfort, tout droit après le
Pont de Charenton. Le théâtre se trouve au carrefour de l’avenue du
Général de Gaulle et de l’avenue de la République.
MORSANG-SUR-ORGE- Théâtre de l’Arlequin
35 Rue Jean Raynal 91390 |01 69 25 49 15
www.theatre-arlequin.fr
> Bus DM21 (A,B ou C) – arrêt Château-le-Morsang. Face au Château, la rue
Jean-Raynal se trouve à gauche et le théâtre à 100m sur la gauche.
> À pied : 20 mn au sortir de la gare de Savigny-sur-Orge., sortie place
Davout. – traverser la place jusqu’au lycée Corot et prendre la rue du Mail,
puis rue de l’église et rue des Rossays. Au premier rond-point prendre la
rue de Morsang., continuer tout droit rue de Savigny. Et rue Jean Raynal.
> En voiture : Sortie 6 (Savigny-sur Orge). Prendre la D257 en direction de
Savigny. Dans la pente qui suit le centre commercial Carrefour, prendre la
D117, tourner de suite à gauche sous le pont, rue de Morsang et continuer
rue Marceau jusqu’à l’église. Prendre à droite rue de l’Eglise, rue JeanRaynal.
ORLY Centre Culturel Aragon Triolet
1 Place du Fer-à-Cheval - 94310 | 01 48 52 40 85
www.centre-culturel-orly.fr
> RER C, trains ROMI ou MONA, arrêt Orly Ville. À droite de la gare
en sortant, 1ère à droite (pont), rue Adrien Raynal et tout droit
(place du Fer à Cheval).
> En voiture : prendre l’A6a ou l’A6b direction Orly Aéroport, sortie OrlyVille. Passer tous les ronds-points et suivre les panneaux Orly-Ville (D64).
Au bout de l’avenue de la Victoire, prendre à droite l’avenue des Martyrsde-Châteaubriant. Le Centre culturel est en face du centre commercial
Leclerc.
PARIS CDC Atelier de Paris-Carolyn Carlson
La Cartoucherie - 75012 | 01 41 74 17 07
www.atelierdeparis.org
> Métro 1, arrêt Château de Vincennes + bus 112 arrêt Cartoucherie
> Bus 46, arrêt Parc Floral
> En voiture : Prendre la Porte de Vincennes, direction Parc Floral, puis
Cartoucherie
PARIS Musée du Louvre
Musée du Louvre - 75001 | 01 40 20 53 17
www.louvre.fr
> Métro 1, arrêt Palais-Royal/musée du Louvre
> Bus n° 21, 24, 27, 39, 48, 68, 69, 72, 81 ou 95 Entrée par la pyramide,
le passage Richelieu ou Les galeries du Carrousel. Le parking du Carrousel
est ouvert de 7h à 23h
RUNGIS Théâtre Arc-en-Ciel
1, Place du Général de Gaulle - 94150 | 01 45 60 79 00
www.theatre-rungis.fr
> T7, arrêt Saarinen
> RER C, arrêt Rungis-La Fraternelle
> Bus 216 à Denfert-Rochereau, arrêt Stade + 6 min à pied / bus 131 à la
porte d’Italie arrêt Mairie + 3 min à pied / bus 396 à Croix-de-Berny arrêt
Mairie + 3 min à pied
> En voiture : des Portes d’Orléans ou d’Italie : A6 Lyon, sortie Rungis puis
« autres directions » avant le péage du MIN
SAINT-MAUR-DES-FOSSES Théâtre
20 rue de la Liberté - 94100 | 01 48 89 99 10
www.theatresaintmaur.com
> RER A, arrêt Parc de Saint-Maur puis 8mn à pied. Prendre à gauche
l’Avenue Foch. Après le Rond-Point du 8 mai 45, tourner à droite dans la
rue de la Réunion, puis à gauche dans la rue Miss Cavell, prendre l’allée,
passer à droite de l’entrée du parking en direction de l’entrée du public à
gauche sur l’esplanade
> En voiture : prendre l’A4, sortie n°4 Joinville, Saint-Maur, et toujours tout
droit. Après Joinville, prendre le boulevard Maurice Bertheaux, la rue de
la Varenne (à gauche après le lycée Marcelin Berthelot), puis le boulevard
Rabelais et l’avenue Foch. Sur l’avenue Foch, au carrefour du 8 mai 1945,
prendre la 2ème sortie : la rue de la Réunion, puis tourner à gauche sur
l’avenue Miss Cavell (en suivant les panneaux). Allée du parking située au
niveau du 47 avenue Miss Cavell.
TREMBLAY – Théâtre Louis Aragon
24, boulevard de l’Hôtel-de-Ville 93 290 | 01 49 63 70 58
www.theatrelouisaragon.fr
> RER B, station Vert-Galant (direction Mitry-Claye en venant de Paris).
Comptez 30 mn depuis la Gare du Nord puis, 10 mn à pied jusqu’au
Théâtre.
> En voiture : Porte de la Chapelle (A1 20 minutes) ou porte de Bagnolet (A3
25 minutes) direction Lille. puis prendre la Francilienne (A104 direction
Soissons/Marne-La-Vallée). Sortie n° 4 : Tremblay-en-France puis
direction Villepinte/Tremblay-Centre.. Dans tous les cas, suivez TremblayCentre Ville/Hôtel-de-Ville. Accédez à pied à l’esplanade de la place des
Droits de l’Homme.
VILLEJUIF – Théâtre Romain Rolland
18 rue Eugène Varlin 94800 | 01 49 58 17 01
www. trr.fr
> Métro Ligne 7 Villejuif Paul Vaillant Couturier puis 7 minutes à pied.
> En voiture Paris Porte d’Italie - N7 direction Villejuif centre-ville. AutoLib’
Une station à 30 mètres du théâtre, rue Eugène Varlin. Parking du Théâtre
Tous les soirs de spectacles le parking public du centre-ville(situé à
l’arrière de la mairie de Villejuif, 42 rue René Hamon) reste ouvert pour
les spectateurs du théâtre (fermeture à 23h30). Pour y accéder, pensez
à télécharger le plan d’accès (plusieurs sens uniques le rendent difficle à
trouver). Le théâtre se rejoint ensuite en 3 minutes à pied.
VINCENNES Auditorium Jean Pierre Miquel
Coeur de ville - 98, rue de Fontenay - 94300 | 01 43 98 68 86
www.vincennes.fr
> Métro 1, arrêt Château de Vincennes
> RER A, arrêt Vincennes
> En voiture : De la place de la Nation, prendre le Cours de Vincennes en
direction de l’avenue de la Porte de Vincennes. Prendre la D120. Prendre
à gauche sur la place Berault, continuer sur l’avenue de la République.
Prendre à droite sur la rue de Fontenay/D143. L’auditorium se trouve sur
la gauche.
VITRY-SUR-SEINE Théâtre Jean-Vilar
1, place du Théâtre - 94400 | 01 55 53 10 60
www.theatrejeanvilar.com
> Métro 7, arrêt Porte de Choisy + bus 183 arrêt Hôtel de Ville
> En voiture : prendre la RD5 à partir de la Porte de Choisy (sorties Bd
Périphérique Porte d’Ivry ou d’Italie). Continuer tout droit jusqu’à l’Hôtel
de Ville, après la place de la Libération (statue Dubuffet). Parking gratuit
sous l’Hôtel de Ville les soirs de spectacle.
VITRY-SUR-SEINE MAC / VAL
Musée d’Art Contemporain du Val-de-Marne
Place de la Libération - 94400 | 0 1 43 91 64 20
www.macval.fr/francais/
> Métro 7, arrêt Villejuif / Louis Aragon + bus 180 ou 172 arrêt MAC/VAL
> En voiture : depuis le périphérique (sortie Porte d’Italie ou Porte d’Ivry),
rejoindre la Porte de Choisy, puis prendre la RN 305 jusqu’à la place la
Libération à Vitry-sur-Seine (sculpture de Jean Dubuffet).
VITRY-SUR-SEINE La Briqueterie
17 rue Robert Degert - 94400 | 01 46 86 17 61
www.alabriqueterie.com
> Métro 7, arrêt Villejuif / Léo Lagrange. Prendre la rue Henri Barbusse puis
à droite la rue Emile Bastard. La rue Robert Degert est sur la gauche.
> Bus 183, arrêt La Briqueterie depuis la Porte de Choisy (itinéraire
conseillé) ou bus 132 arrêt Jean Le Galleu
> En voiture : depuis le périphérique (sortie Porte d’Italie ou Porte d’Ivry),
rejoindre la Porte de Choisy, puis prendre l’avenue de la porte de Choisy.
Continuer tout droit sur l’avenue de Verdun. La rue Robert Degert se
trouve sur la droite après le garage Speedy
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