DOSSIER DE PRESSE Biennale de danse du Val-de
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DOSSIER DE PRESSE Biennale de danse du Val-de
danses exposées - alabriqueterie.com 01 46 86 70 70 19e biennale de danse du Val-de-Marne 1er mars 1er avril danses exposées - 2017 alabriqueterie.com 01 46 86 70 70 19e bienn de da ale se rne rs il du Val-de 2017 s ées erie.com 0 70 19 biennale de danse e 1er m 1er a dan exp - alabri 01 46 DOSSIER DE PRESSE 19ème Biennale de danse du Val-de-Marne 1er mars au 1er avril 2017 Réservation / Billetterie 01 46 86 70 70 www.alabriqueterie.com Cédric Chaory – relations presse 06 63 65 24 85 [email protected] / www.cedricchaory-relationspresse.com Conférence de presse jeudi 19 janvier à 16h00 La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne (Vitry-sur-Seine) ÉDITO Danses exposées Danses exposées, la Biennale de Danse du Valde-Marne s’expose durant cinq semaines, du 1er mars au 1er avril, dans une vingtaine de lieux partenaires, en Val-de-Marne mais aussi cette année dans tous les départements d’Ile-de-France. C’est la danse sous diverses formes qui va s’exposer, ouvrir ses gestes, envahir les théâtres, mais aussi les autres scènes, les musées, l’espace public, les halls et les coulisses, elle se glisse, s’immisce, dans un corps à corps avec les arts, dans un tête-à-tête avec les œuvres plastiques pour le plus grand plaisir des publics, spectateurs, passants ou autres habitants… Elle se donne à voir, à penser, elle dialogue avec l’histoire, archive vivante, elle questionne le patrimoine, elle se manifeste, elle est manifeste. La Biennale s’ouvrira avec les maîtres anciens, Jeronimus Bosch, qui a inspiré Marie Chouinard, Gustav Klimt et Egon Schiele revisités par Christian Ubl, nouvel artiste associé. Danses exposées avec l’accueil de Boris Charmatz et du Musée de la danse avec 20 danseurs pour le xxe siècle. Danses exposées en regard du projet européen Dancing Museums qui viendra clôturer la Biennale. La revue Repères, cahier de danse, quant à elle, se penche sur les relations Danse et/au Musée, un numéro double coordonné par Marisa Hayes, nouvelle rédactrice en chef. Cette Biennale opère de nouvelles collaborations entre les lieux et les artistes, une attention aux œuvres, au patrimoine muséal, une édition ouverte sur l’Europe et engagée vers le déploiement de nouvelles expériences de médiation entre les œuvres et les publics. 33 spectacles, 25 lieux, 1 symposium au Louvre, des parcours au MAC VAL, dans les Théâtres, une Biennale de créations, de premières en France ou en Ile-de-France, de reprises d’œuvres du répertoire, des complicités avec les artistes associés, en résidence longue, ou de nouvelles présences. Les « danses exposées » ici sont à vif, décidément bien vivantes. Daniel Favier CALENDRIER 1 et et 2 mars 20h00 JÉRÔME BOSCH : LE JARDIN DES DÉLICES Marie Chouinard Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine) 3 mars 20h30 Le tour du monde des danses urbaines en 10 villes Ana Pi, Cecilia Bengolea et François Chaignaud Le plus petit cirque du monde (Bagneux) 3 mars 20h30 Tu, el cielo y tu Catherine Berbessou Théâtre de Rungis 4 mars 20h30 Prélude à l'après-midi d'un faune et Le Sacre du Printemps Marie Chouinard Théâtre Paul Eluard (Bezons) 4 mars 20h30 CONCRETE Maud Le Pladec Pôle Culturel (Alfortville) 4 mars 17h00 EXPOSURE Anne Collod Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois) 4 mars 19h00 EXPOSURE Anne Collod Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois) 4 mars 21h00 EXPOSURE Anne Collod Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois) 5 mars 15h00 EXPOSURE Anne Collod Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois) 5 mars 17h00 EXPOSURE Anne Collod Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois) 5 mars 19h00 EXPOSURE Anne Collod Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois) 7 mars 19h30 Conférence dansée N°2 Marie Chouinard La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 7 mars 20h30 STIL Christian Ubl Théâtre de Châtillon 8 mars 19h30 Concordan(s)e: Autoportraits (titre provisoire) Maud le Pladec & Pierre Ducrozet La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 8 mars 21h00 À mon père, une dernière danse et un premier baiser Radhouane El Meddeb La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 9 mars 20h45 Tu, el cielo y tu Catherine Berbessou Théâtre Claude Debussy (Maisons-Alfort) 10 mars 20h30 Prélude à l'après-midi d'un faune et Le Sacre du Printemps Marie Chouinard Théâtre Romain Rolland (Villejuif) 11 mars 20h30 Albertine, Hector et Charles Denis Plassard Auditorium Jean-Pierre Miquel (Vincennes) 12 mars 14h30 Souffle rit/ Souffle danse Salia Sanou et Laurent Blondiau Centre Culturel Aragon Triolet (Orly) 12 mars 15h30 Tentatives d'approches d'un point de suspension Yoann Bourgeois Centre Culturel Aragon Triolet (Orly) 16 mars 20h30 SOLI.DES Sébastien Laurent CDC Atelier de Paris - Carolyn Carlson (Paris) 17 mars 20h30 SOLI.DES Sébastien Laurent CDC Atelier de Paris - Carolyn Carlson (Paris) 17 mars 20h30 KAWRAL Salia Sanou et Laurent Blondiau Théâtre de Saint-Maur 18 mars 16h00 Gula Vincent Mantsoe Château de Morsang-sur-Orge 18 mars 20h30 Le Cri de la Chair Seydou Boro Théâtre des 2 Rives (Charenton-le-Pont) 19 mars 14h30 Souffle rit/Souffle danse Salia Sanou et Laurent Blondiau Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine) 19 mars 15h00 Fignito, l'œil troué Salia Sanou et Seydou Boro Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine) 19 mars 16h00 KAWRAL Salia Sanou et Laurent Blondiau Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine) 19 mars 17h30 Métamorphose Judith Olivia Manantenasoa Théâtre Jean-Vilar (Vitry-sur-Seine) 20 mars 20h30 Gula Vincent Mantsoe La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 20 mars 20h30 Le Kombi Jeannot Kumbonyeki La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 20 mars 20h30 Ti Chèlbè Kettly Noël La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 21 mars 20h00 Tschägg Lucie Eidenbenz Théâtre Paul Eluard (Choisy-le-Roi) 21 mars 20h00 Vice Versa Patrick Bonté Théâtre Paul Eluard (Choisy-le-Roi) 21 mars 20h00 La Colline Roy Asaf Théâtre Paul Eluard (Choisy-le-Roi) 23 mars 20h30 We almost forgot Qudus Onikeku Salle Jacques Brel (Fontenay-sous-Bois) 24 mars 20h30 A Taste of Poison Nicole Mossoux et Patrick Bonté Théâtre de Châtillon 24 mars 19h30 Deep Dish - The Perfect Garden Series Chris Haring Maison des Arts (Créteil) 24 mars 21h00 Brûlent nos cœurs insoumis Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf Maison des Arts (Créteil) 25 mars 19h30 Deep Dish - The Perfect Garden Series Chris Haring Maison des Arts (Créteil) 25 mars 21h00 Brûlent nos cœurs insoumis Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf Maison des Arts (Créteil) 25 mars 20h00 We almost forgot Qudus Onikeku Théâtre Antoine Vitez (Ivry-sur-Seine) 25 mars 18h00 Tentatives d'approches d'un point de suspension Yoann Bourgeois Théâtre Louis Aragon (Tremblay-en-France) 26 mars 15h00-18h00 20 danseurs pour le XXe siècle Boris Charmatz MAC/VAL (Vitry-sur-Seine) 26 mars 16h00 Le Cri de la Chair Seydou Boro Théâtre Gérard Philipe (Champigny-sur-Marne) 26 mars 16h00 Souffle rit/ Souffle danse Salia Sanou et Laurent Blondiau La Villette – Péristyle de la Grande Halle (Paris) 28-31 mars 14h00-18h00 Dancing Museums : la cité éphémère de la danse Tatiana Julien et les chorégraphes du projet MAC/VAL (Vitry-sur-Seine) 28 mars 19h00 À Bras le Corps Boris Charmatz La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 28 mars 20h30 Brûlent nos cœurs insoumis Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf Centre des Bords de Marne (Le Perreux-sur-Marne) 28 mars 21h00 Au temps où les arabes dansaient Radhouane El Meddeb La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 30 mars 19h30 Concordan(s)e: The Spleen Frank Micheletti et Charles Robinson La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 30 mars 21h00 Moto-cross Maud Le Pladec La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 31 mars 21h00 Moto-cross Maud Le Pladec La Briqueterie (Vitry-sur-Seine) 1 avril 20h30 Brûlent nos cœurs insoumis Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf Salle Lino Ventura (Athis Mons) Sommaire spectacles JEROME BOSCH, LE JARDIN DES DÉLICES – Marie Chouinard......................................................................................7 Le tour du monde des danses urbaines en 10 villes – Ana Pi, Cecilia Bengolea et François Chaignaud ...... 8 Tu, el cielo y tu – Catherine Berbessou.................................................................................................................................................... 9 Prélude à l’après-midi d’un faune / Le Sacre du printemps - Marie Chouinard...........................................................10 CONCRETE – Maud Le Pladec...................................................................................................................................................................11 EXPOSURE – Anne Collod.......................................................................................................................................................................... 12 Conférence dansée n°2: Présence et espace – Marie Chouinard............................................................................................ 14 S T I L – Christian Ubl..................................................................................................................................................................................... 15 Concordan(s)e: Autoportraits (titre provisoire) : Maud Le Pladec et Pierre Ducrozet............................................16 À mon père , une dernière danse et un premier baiser – Radhouane El Meddeb........................................................ 17 Albertine, Hector et Charles – Denis Plassard................................................................................................................................. 18 Tentatives d’approches d’un point de suspension – Yoann Bourgeois..............................................................................19 SOLI.DES – Sébastien Laurent................................................................................................................................................................... 21 KAWRAL – Laurent Blondiau et Salia Sanou....................................................................................................................................22 Gula – Vincent Mantsoe................................................................................................................................................................................23 Le Cri de la Chair – Seydou Boro..............................................................................................................................................................24 Figninto (l’œil troué) – Seydou Boro et Salia Sanou......................................................................................................................25 Métamorphose – Judith Olivia Manantenasoa...............................................................................................................................26 Le Kombi – Jeannot Kumbonyeki............................................................................................................................................................27 Ti Chèlbè – Kettly Noël...................................................................................................................................................................................29 Tshägg – Lucie Eidenbenz........................................................................................................................................................................... 30 Vice Versa – Patrick Bonté........................................................................................................................................................................... 31 La Colline – Roy Asaf.......................................................................................................................................................................................32 We almost forgot – Qudus Onikeku........................................................................................................................................................33 A Taste of Poison – Nicole Mossoux et Patrick Bonté.................................................................................................................34 Deep Dish – The Perfect Garden Series - Chris Haring...............................................................................................................35 Brûlent nos cœurs insoumis – Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf...................................................36 20 danseurs pour le 20ème siècle – Boris Charmatz.........................................................................................................................37 Dancing Museums, La Cité éphémère de la danse........................................................................................................................39 À bras-le-corps – Boris Charmatz et Dimitri Chamblas............................................................................................................ 40 Au temps où les arabes dansaient… – Radhouane El Meddeb................................................................................................ 41 Concordan(s)e - The Spleen – Frank Micheletti et Charles Robinson...............................................................................42 MOTO-CROSS – Maud Le Pladec............................................................................................................................................................43 Tu, el cielo y tu -Catherine Berbessou ©Dan Aucante Jérôme Bosch, le Jardin des délices - Marie Chouinard ©Nicolas Ruel Exposure - Anne Collod ©Anne Collod 6 Vitry-sur-seine Théâtre Jean-Vilar mer 1er mars 20h jeu 2 mars 20h -- Compagnie Marie Chouinard Québec -- Créé au Theaterfestival Boulevard, Bois-le-Duc, Pays-Bas, le 4 août 2016 -- Durée : 75 minutes (sans entracte) -- Tarif Pass : 8€ -- Tarif plein : 24€ -- Tarif réduit : 15€ / 8€ Interprètes lors de la première mondiale : Sébastien CossetteMasse, Paige Culley, Valeria Galluccio, Leon Kupferschmid, Morgane Le Tiec, Lucy M. May, Scott McCabe, Sacha Ouellette-Deguire, Carol Prieur, Megan Walbaum Une production de la COMPAGNIE MARIE CHOUINARD en coproduction avec la Jheronimus Bosch 500 Foundation (PaysBas), qui commémore le 500e anniversaire de la mort du peintre. La COMPAGNIE MARIE CHOUINARD remercie chaleureusement le Conseil des arts et des lettres du Québec, le Conseil des arts du Canada et le Conseil des arts de Montréal. Chorégraphie : Marie Chouinard Musique originale : Louis Dufort Scénographie et vidéo : Marie Chouinard Interprètes : Charles CardinBourbeau, Sébastien CossetteMasse, Catherine Dagenais-Savard, Valeria Galluccio, Morgane Le Tiec, Scott McCabe, Sacha OuelletteDeguire, Carol Prieur, Clémentine Schindler, Megan Walbaum Lumières : Marie Chouinard Costumes et accessoires : Marie Chouinard Maquillage : Jacques-Lee Pelletier Équipe de tournage (acte 3) Scénariste et réalisatrice : Marie Chouinard Directeur photo : Jean-François Gratton Assistant réalisateur et monteur : Miguel Raymond Interprète : Lucie Mongrain Consultant vidéo : Jimmy Lakatos Assistant vidéo : Sylvain Robert Fabrication des accessoires et éléments de scénographie : Isabelle Gauthier, Cédric Lord Fabrication des costumes : Zdravka Tchakaloff Équipe de tournée Directeur des répétitions en tournée : Jean-Hugues Rochette Directeur technique, régisseur vidéo et sonorisateur : Régisseur lumière : Benoît Dubord Régisseur de scène : Jérémie Boucher -- C’est en solo que Marie Chouinard commence sa carrière de danseuse en 1978. Pendant douze ans, la chorégraphe née à Québec, aujourd’hui installée dans son propre espace à Montréal, expérimente les multiples dimensions de son corps, de sa relation à l’esprit et à la matière. Une période au cours de laquelle elle signe près de 30 pièces dont Cristallisation (1978), Marie Chien Noir (1982), S.T.A.B. (Space, Time and Beyond) (1986) et L’Après-midi d’un faune (1987). En 1990, alors qu’elle est internationalement reconnue comme une artiste singulière, elle décide d’interroger en groupe « cette pulsion vitale du corps » qui la fascine avec Les Trous du ciel, premier spectacle de sa compagnie. Suivront des oeuvres marquantes du répertoire contemporain comme Le Sacre du printemps (1993), Les 24 Préludes de Chopin (1999), Le Cri du monde (2000) ou encore bODY_rEMIX/les_vARIATIONS_ gODLBERG (2005). La recherche de Marie Chouinard, qu’elle définit comme « un point de fuite vers l’innommable », revêt des formes aussi diverses que la poésie, le dessin, la photographie, le cinéma, l’installation plastique ou la virtualité des nouvelles technologies. Marie Chouinard - Jerome Bosch, le Jardin des délices 1ère en France À l’occasion du 500ème anniversaire de la mort de Jérôme Bosch, peintre le plus important du bas moyen-âge, la chorégraphe québécoise Marie Chouinard revisite son Jardin des délices daté de 1505. Corps désirant à la blancheur immaculée, gueule hurlante et âmes torturées, incarnation d’Adam et Eve peuplent cette illustration du triptyque halluciné du maître qui dresse l’état des lieux de l’humanité avant la faute initiale. Stupéfiante et hypnotique, la peinture de l’inclassable Hollandais a toujours fait l’unanimité. Projeté ici en fond de scène, agrandi jusque dans ses détails les plus effrayants Le Jardin des délices sert de cadre à une mise en scène en trois actes pour 10 danseurs. « De la même manière qu’un chorégraphe peut partir d’une musique pour créer, je pars du tableau de Bosch. Et de la même manière qu’un chorégraphe peut se « coller » (ou pas) à une partition musicale, j’ai choisi de me « coller » au tableau de Bosch, à son esprit. Face à un chef-d’œuvre, le bonheur de s’incliner ! » confiait la chorégraphe, en août dernier, au moment de la création de la pièce à Bois-le-Duc, ville natale du peintre. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine 7 Bagneux Le plus petit cirque du monde ven 3 mars 20h30 [tout public] -- Cie Vlovajob Pru France -- Durée : 40 min -- Tarif Pass : 7€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 7€ / 5€ -- Tournée : 7 mars Festival Kidanse (Roye), 9 mars Espace Culturel Picasso, Longueau - Festival Kidanse, 10 mars Centre Culturel Léo Lagrange, Amiens - Festival Kidanse, 13 et 14 mars CND Pantin, 16 mars Théâtre de Beauvaisis - Festival Kidanse, 16 et 17 mars Théâtre d’Angoulême, 20 et 22 mars Flixécourt - Festival Kidanse, 21 et 22 mars Théâtre de Vanves, 24 mars Ville de Saint Jean de Braye, 27 mars CND Pantin, 28 et 29 mars Le Manège Mons Maubeuge, Belgique, 28 mars Plateau Picard - Festival Kidanse, 30 mars CND Pantin, 3 avril Festival Cinévoyageur, Aiguillon, 5-6 avril CDC Art Danse Dijon-Bourgogne, 18 et19 avril Théâtre du Kremlin-Bicêtre, 20 avril Espace 93, Clichy-sous-Bois, 21 et 22 avril Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines Scène Nationale, 25 avril Maison de la Musique de Nanterre, 26-27 avril Théâtre de Lorient, 2-4 mai 2017 Théâtre de L’onde, Vélizy Conception et recherche : Ana Pi, Cecilia Bengolea, François Chaignaud Interprétation : Dalila Cortes Montage vidéo : Ana Pi Illustrations : Juan Saenz Valiente. Production : Association des Centres de Développement Chorégraphique avec l’aide de la Direction Générale de la Création Artistique (Le Gymnase – CDC Roubaix Nord / Pas-de-Calais ; Le Cuvier – CDC d’Aquitaine ; le Pacifique | CDC – Grenoble ; Uzès danse, CDC de l’Uzège , du Gard et du Languedoc-Roussillon ; Art Danse – CDC Dijon Bourgogne ; La Briqueterie – CDC du Valde-Marne ; L’échangeur – CDC Picardie ; CDC Paris Réseau – Atelier de Paris – Carolyn Carlson) sur une proposition du CDC Toulouse/Midi-Pyrénées et d’Annie Bozzini. Production déléguée Vlovajob Pru. Vlovajob Pru a reçu l’aide de la DRAC Poitou-Charentes pour ce projet. -- Depuis leur première et sulfureuse pièce ensemble, intitulée Pâquerette (2008), François Chaignaud et Cecilia Bengolea ne cessent de surprendre. Explorateurs infatigables, ils tentent d’ouvrir le champ de la danse contemporaine à d’autres pratiques : acrobaties aériennes, chants géorgiens, danses urbaines… Capables de revisiter les pièces chorégraphiées dans les années 1920 par le méconnu François Malkovski (Danses libres – 2011) comme de réunir sur une même scène le dub jamaïcain et la danse sur pointes comme dans Dub Love en 2013, ils ont récemment fait partie des rares chorégraphes invités à créer une pièce pour le ballet de Wuppertal après la disparition de Pina Bausch. Ils sont ici accompagnés d’Ana Pi, interprète et créatrice en danse contemporaine, Ana Pi est également une artiste de l’image, aimant expérimenter du vjing à la photographie argentique. Ana Pi, Cecilia Bengolea et François Chaignaud - Le Tour du monde des danses urbaines en dix villes Du hip-hop de New York au Kuduro de Luanda en passant par le Dubstep de Londres, partons pour un tour du monde des danses urbaines ! C’est un voyage de l’Asie aux États-Unis en passant par l’Amérique latine, l’Europe et bien sûr l’Afrique à laquelle nous convie cette forme de quarante minutes créée au CDC de Toulouse en février 2014 et qui depuis a été jouée plus de 160 fois. Conférence dansée conçue par Ana Pi, Cecilia Bengolea et François Chaignaud, ce Tour du monde propose une forme « live » à la fois spectaculaire et pédagogique autour des danses urbaines à travers le monde. À l’aide de projections vidéo qu’elle commente, ainsi que quelques tenues bien choisies, l’interprète Dalila Cortes évoque, sans prétendre être exhaustive, l’immense variété des danses pratiquées dans les rues de dix villes du monde : Krump à Los Angeles, Dancehall à Kingston, Pantsula à Johannesburg, Voguing à New York… Pour chaque danse, l’artiste nous donne des informations sur l’origine de ces pratiques chorégraphiques, le contexte sociologique qui les a vu naître, les styles musicaux associés, mais aussi sur le sens qu’elles ont pris et leur éventuelle évolution. À l’issue de la conférence chacun peut s’initier à ces danses, guidé par l’excentrique danseuse francocolombienne. Un spectacle en coréalisation avec Le plus petit cirque du monde à Bagneux 8 Théâtre de Rungis vend 3 mars 20h30 -- Tarif Pass : 8€ Tarif Pass : 10€ Tarif plein : 18€ Tarif réduit : 15€/5€ Théâtre Claude Debussy Maisons Alfort jeu 9 mars 20h45 -- Tarif Pass : 14€ -- Tarif plein : 22€ -- Tarif réduit : 19€ /14€ -- Cie Catherine Berbessou France Chorégraphie : Catherine Berbessou Assistante : Claire Richard Interprètes : Carmela Acuyo, Stéphane Bourgeois, Rémi Esterle, Noémi Ettlin, Claire Meguerditchian, Willem Meul, Marion Métais, Sabine Novel, Federico Rodriguez Moreno, Isabelle Teruel Scénographie et lumières : Marc Oliviero Son : Antisten Costumes : Myriam Drosne Régie générale : Christophe Velay Régie lumière : Julien Pichard Production : Françoise Empio Diffusion : Anne-Lise Ourmières Coproduction : La Briqueterie – CDC du Val-de-Marne, le Théâtre de Rungis, le Théâtre - scène nationale de Mâcon, le Dôme Théâtre d’Albertville, La Filature - Scène nationale de Mulhouse, la Mcna de Nevers Accueil studio : partenariat avec la compagnie 29x27 – sept cent quatre vingt trois – Nantes, accompagnement spécifique à micadanse – Paris -- Durée : 1h30 -- Tournée : vendredi 17 mars Maison de la Culture (Nevers) ; mardi 21 mars Le Parvis, Scène Nationale Tarbes Pyrénées ; vendredi 7 avril Le Théâtre Scène Nationale (Macon) ; mardi 25 avril Théâtre Jean Arp (Clamart) ; mercredi 3 mai Théâtre de Charleville Mezieres; mardi 9 mai Théâtre Paul Eluard (Bezons) ; vendredi 12 mai Le Dome Théâtre (Albertville) ; samedi 10 juin La Filature, Scène Nationale (Muhlouse) -- Catherine Berbessou commence la danse avec Françoise et Dominique Dupuy. Interprète de la compagnie L’Esquisse, elle rejoint ensuite Claude Brumachon. En 1990, elle fonde sa propre compagnie et s’enflamme pour le tango argentin qu’elle pratique à Buenos Aires avec de grands maîtres. En 1996, elle crée A Fuego Lento, spectacle sur l’univers du tango à travers une dramaturgie contemporaine. En 1999, elle crée Valser repris en 2014 par le Ballet du Capitole sous la direction de Kader Belarbi En 2000, elle travaille avec le réalisateur Sébastien Jaudeau sur Intrusion et présente Rencontre exceptionnelle. En 2002 elle monte Fleur de Cactus. Si depuis 2003, elle se consacre essentiellement à l’enseignement du tango et créé plusieurs chorégraphies pour des festivals de tango, elle chorégraphie ponctuellement pour la scène : In I d’Akram Khan et Juliette Binoche sur la partie tango ou la TV : Argentin (2009), solo pour la comédienne Armelle Deutsch dans Pigalle la nuit de Hervé Hadmar (2010). Tu, el cielo y tu signe le retour de sa compagnie. Catherine Berbessou - Tu, el cielo y tu Création Biennale 2017 Que serait le sentiment amoureux sans l’attirance des corps, l’alchimie étrange, jouisseuse et ravissante qui en émanent ? Sans cette avalanche de regards, de touchers, d’étreintes et de sentiments qui nous assaillent ? Le rouge et le noir, la vitalité et la destruction, la force et la douleur… S’il est une expérience commune qui nous éloigne des interprétations univoques, c’est bien celle du sentiment amoureux. Dans la filiation de la voie ouverte en 1996 avec A Fuego lento puis Valser (1999), la chorégraphe Catherine Berbessou poursuit sa route sur les chemins tortueux du tango mélangés à la gestuelle du contemporain pour traiter du discours amoureux. Elle prend le parti d’explorer les contours et les affres de la passion amoureuse en ce qu’ils s’inscrivent d’abord dans un rapport corporel à l’autre. Comment les hommes et les femmes s’y prennent-ils pour se laisser à désirer ? Quel corps mettent-ils en avant et quelles manières ont-ils de s’en servir pour élaborer leur intégrité face à l’autre sexe ? Les rapports sensuels entre les hommes et les femmes sont au cœur de cette création toute en puissance et fragilité pour 10 danseurs. Rythmes, pulsations, vibrations, c’est un chœur au service du cœur qui laisse s’exprimer l’émotion. Un bal milonga, organisé avec la complicité de Catherine Berbessou, suivra la pièce. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre de Rungis et avec le Théâtre Claude Debussy de Maisons-Alfort 9 Théâtre Paul Éluard - Bezons sam 4 mars 20h30 -- Tarif Pass : 7€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 7€ / 5€ Théâtre Romain Rolland - Villejuif ven 10 mars 20h30 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 19€ -- Tarif réduit : 15,50€ /12€ -- Compagnie Marie Chouinard France Prélude à l’après-midi d’un faune Solo Durée : 10 minutes Direction artistique et chorégraphie : Marie Chouinard Musique : Prélude à l’après-midi d’un faune, Claude Debussy, 1894 Interprètes : Megan Walbaum Lumières : Alain Lortie Costumes : Louis Montpetit et Marie Chouinard Maquillages : Jacques Lee Pelletier -- Prélude à l’après-midi d’un faune : Créé au Festival international de Taipei, Taïwan, le 21 octobre 1994 | Interprète lors de la première mondiale : Dominique Porte. Le Sacre du printemps Ballet en un acte Durée : 50 minutes Créé au Centre national des Arts à Ottawa, Canada, le 18 juin 1993* Conception, direction artistique et chorégraphie : Marie Chouinard Musiques : Signatures sonores, Rober Racine, 1992, 12 minutes ; Le Sacre du printemps, Igor Stravinsky, 1913 – avec la permission de Boosey & Hawkes, Inc., éditeur et détenteur des droits de reproduction, 35 minutes Interprètes : Sébastien CossetteMasse, Paige Culley, Valeria Galluccio, Leon Kupferschmid, Morgane Le Tiec, Lucy M. May, Scott McCabe, Sacha Ouellette-Deguire, Carol Prieur, Megan Walbaum Lumières : Marie Chouinard Costumes : Liz Vandal Accessoires : Zaven Paré Maquillages : Jacques Lee Pelletier Coiffure : Daniel Éthier -- Interprètes lors de la première mondiale : Marie-Josée Paradis, Mathilde Monnard, Daniel Éthier, Dominique Porte, Pamela Newell, José Navas, Jeremy Weichsel Une production de la COMPAGNIE MARIE CHOUINARD en coproduction avec le Centre national des Arts (Canada) et la Fondation Laidlaw (Canada) Une production de la COMPAGNIE MARIE CHOUINARD en coproduction avec le Centre national des Arts (Ottawa, Canada), le Festival international de nouvelle danse (Montréal, Canada) et le Kunstentrum Vooruit (Gand, Belgique). La COMPAGNIE MARIE CHOUINARD remercie chaleureusement le Conseil des arts et des lettres du Québec, le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts de Montréal. www.mariechouinard.com Marie Chouinard - Prélude à l’après-midi d’un faune Le Sacre du printemps Avec Prélude à l’après-midi d’un faune (1994) et Le Sacre du printemps (1993), Marie Chouinard revisite deux monuments de la danse qui fascinèrent, avant elle, Serge Lifar, Martha Graham, Maurice Béjart, Pina Bausch… Elle-même habituée aux scandales, elle se réapproprie ces deux œuvres « scandaleuses » dans une écriture intuitive et personnelle. Sa manière formelle d’aborder le Prélude à l’après-midi d’un faune exalte au plus près le répertoire de Nijinsky (s’imprégnant des photographies du Faune prises par Adolphe Meyer plutôt que des notations chorégraphiques de l’époque) tout en interrogeant le rapport scénique à l’érotisme, à l’obscène et à la question du genre. À la suite de ce subtil érotisme, un Sacre du printemps reconnaissable entre tous avec ses protubérances phalliques qui se déploient sur le sol et les costumes des danseurs. Au nombre de 10, ils effectuent sous les rais de lumière une multiplicité de solos. Marie Chouinard dit « partir à la quête des ancêtres, et retrouver par eux des pulsions, qui tirant leur origine de la nuit des temps, parcourent l’humanité. C’est comme si j’avais abordé la première seconde suivant l’instant de l’apparition de la vie dans la matière, explique-telle. Le spectacle, c’est le déploiement de cette seconde. J’ai l’impression qu’avant cette seconde, il y a eu l’intervention extraordinaire d’une lumière, d’un éclair. ». Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard de Bezons et avec le Théâtre Romain Rolland de Villejuif 10 Pôle culturel Alfortville sam 4 mars 20h30 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 17€ -- Centre chorégraphique national d’Orléans - France -- Durée : 1h00 -- Tournée : 24 mai 2017 Maison de la Culture (Bourges) Conception et chorégraphie : Maud Le Pladec Musique : Michael Gordon (Trance) Scénographie lumières : Sylvie Mélis assistée de Nicolas Marc Interprètes : Régis Badel, Olga Dukovnaya, Julien Gallée-Ferré, Corinne Garcia, Maria Ferreira Silva Musique live : Ensemble ICTUS : Dirk Descheemaeker, clarinette, Carlos Galvez Taroncher, clarinette, Gerrit Nulens, percussions, clavier, Nico Couck, guitare électrique, Caroline Peeters, flûte, Jean-Luc Plouvier, clavier, Herwig Scheck, basse électrique, Tomonori Takeda, clarinette, Ine Vanoeveren, flûte Arrangement et composition voix : Pete Harden Assistant musical : Tom Pauwels R Répétition voix : Dalila Khatir Costumes : Alexandra Bertaut Scénographie : Vincent Gadras Documentation : Youness Anzane Régie générale : Fabrice Le Fur Régie ou Max Potiron Lumières : Nicolas Marc Régie son : Vincent Le Meur, Alexandre Fostier Coproduction : Théâtre National de Bretagne/Rennes, CCN Ballet de Lorraine – Accueil Studio 2015/2016, CCN Grenoble dans le cadre de l’Accueil Studio 2015, The Point/Eastleigh, Fondation Royaumont/Asnières sur Oise. Avec l’aide de : Adami, Spedidam, DanSCe Dialogues 2 Remerciements : au Musée de la danse/CCNRB (Rennes) pour le prêt de studio, à la Raffinerie (Bruxelles). Le Centre Chorégraphique National d’Orléans est subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication - D.G.C.A - D.R.A.C du Centre Val de Loire, la Ville d’Orléans, la Région Centre Val de Loire, le Conseil Départemental du Loiret. -- Après avoir suivi la formation Ex.e.r.ce au CCN de Montpellier, Maud Le Pladec, d’abord interprète pour de nombreux chorégraphes, créé depuis 2009 ses propres projets dans lesquels la musique tient une place centrale. En 2010, elle crée Professor qui obtient le prix de la Révélation Chorégraphique 2010 par le Syndicat de la Critique Française, puis en 2011, Poetry qui forme avec Professor un diptyque autour de l’oeuvre de Fausto Romitelli. En 2012, Maud Le Pladec amorce son projet au long cours To Bang on a can (2012-2015) dont Concrete est le troisième et dernier volet après Ominous Funk et Democracy. Maud Le Pladec a par ailleurs été lauréate du programme « Hors les Murs » de l’Institut Français en 2013 pour une recherche autour du collectif de musique contemporaine Bang on a can. En parallèle, elle collabore sur des projets d’envergure comme la création de l’opéra Xerse (Cavalli/Lully) avec l’Opéra de Lille et ouvre depuis 2015 un nouveau chantier de recherche et de création autour du texte avec sa pièce Hunted co-créée avec la performeuse Okwui Okpokwasilli (2015). Nouvelle directrice du CCN d’Orléans, Moto-cross une nouvelle création Biennale de danse du Valde-Marne. MAUD LE PLADEC - CONCRETE Dernier volet de la trilogie « TO BANG ON A CAN » que Maud Le Pladec a construite à partir de la musique post-minimaliste, CONCRETE est une pièce chorégraphique qui se construit à partir de Trance, œuvre culte du compositeur américain Michael Gordon, créée en 1994. Véritable kaléidoscope musical, Trance s’inspire tant de musique classique que de culture populaire. Maud Le Pladec imagine ainsi CONCRETE comme une rencontre entre pièce chorégraphique minimaliste, light show et concert de musique contemporaine. Sur scène, les neuf musiciens de l’Ensemble Ictus, dirigé par Tom Pauwels et Jean-Luc Plouvier, interprètent en direct Trance, tandis que cinq danseurs explorent le langage chorégraphique que suscite cette musique puissante et rythmique. La mise en jeu des relations entre musique, danse et lumière est ainsi l’occasion de sonder, d’ausculter l’espace concret ouvert par l’œuvre musicale. Sylvie Mélis signe une création originale en écrivant une partition lumière à interpréter, qui dialogue avec celle de la danse et de la musique. Et puis CONCRETE, c’est aussi et surtout un prétexte à la danse. Façon in fine de libérer le corps dansant sur une musique intense et intarissable. Un spectacle en coréalisation avec le Pôle culturel d’Alfortville et la Muse en circuit, Centre national de création musicale 11 Salle Jacques Brel, Fontenay-sous-Bois sam 4 mars 17h00, 19h00 et 21h00 dim 5 mars 15h00, 17h00 et 19h00 Conception, direction artistique et performance : Anne Collod Lumières : Caty Olive Environnement sonore : Francisco Lopez Environnement scénique : Alexis Bertrand Accompagnement artistique : Marie Roche Conseil artistique : Jennifer Lacey, Cécile Proust Administration, production, diffusion : Grand Ensemble -- Tarif Pass : 8€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 8€ -- … & alters - France -- Durée : 1h45 -- Diplômée en biologie et en environnement, elle danse pour différents chorégraphes (Pierre Deloche, Philippe Découflé, Stéphanie Aubin, Hélène Cathala et Fabrice Ramalingom), puis co-fonde le Quatuor Albrecht Knust (1993-2001), collectif d’interprètes dédié à la recréation d’œuvres chorégraphiques du début du XXe siècle. A partir de 2001, tout en collaborant avec divers chorégraphes (Boris Charmatz, Cécile Proust, Alain Michard, Laurent Pichaud), elle débute un travail de recherche sur la notion d’« être-ensemble » en danse, qui la conduit en 2003 à rencontrer Anna Halprin à San Francisco, puis à danser pour elle. Elle participe depuis aux performances européennes de la chorégraphe. En 2005, elle fonde l’association… & alters, et lance le projet «empreintes», qui interroge les notions de partition et de processus comme supports de création et d’interprétation. En 2007 (faire)cabane, en collaboration avec le designer et performeur Mathias Poisson, et présente en 2008 Parades & changes, replays, recréation in extenso d’une pièce majeure d’Anna Halprin de 1965, Parades & changes, replays, qui fera le tour du monde. ANNE COLLOD - EXPOSURE Création Biennale 2017 Exposure est une proposition immersive pour un public, un site industriel et une performeuse, qui articule à part égale trois matières, chorégraphique, sonore et lumineuse. Exposure interroge la notion d‘énergie en lien avec les questionnements actuels sur le changement climatique et les bouleversements qu’il génère. Comment inventer une prise qui mette la dimension sensible au cœur de ces problématiques ? Comment créer une autre perception et prise en compte de ces enjeux, abordées généralement uniquement du point de vue technologique, économique ou géopolitique ? Exposure convie les spectateurs à parcours sensoriel et réflexif de perception des énergies à travers une visite guidée et performée d’un site de production d’énergie. Le travail du mouvement se nourrira des énergies cinétiques et artistiques développées par plusieurs figures puissantes de femmes chorégraphes (Anna Halprin, Simone Forti, Trisha Brown, Meg Stuart ou Jennifer Lacey), et s’appuiera également sur différentes approches énergétiques, notamment celle du chorégraphe de butô Akira Kasaï. Flux, ondulations, vibrations, tremblements, frottements composeront la matière de mouvement d’une série d’actions et de gestes ritualisés d’une femme agissante, au coeur d’un environnement instable, traversés de pulsations lumineuses et de bourrasques d’ondes sonores. Mouvement, son, lumière seront autant sources d’énergie que matières potentiellement inquiétantes, activées de façon inhabituelle autour d’un public. Le public, invité à s’asseoir au coeur de la scénographie et à s’effacer derrière des masques abstraits, composera une communauté humaine témoin des vibrations et des soubresauts de ce micro-monde. Un spectacle en coréalisation avec Fontenay-en-Scènes. 12 À mon père, une première danse et un dernier baiser Radhouane El Meddeb ©Agathe Poupeney STIL-Christian Ubl ©Fabrice Cattalano Albertine, Hector et Charles - Denis Plassard ©Viola Berlanda 13 La Briqueterie Vitry-sur-seine mar 7 mars 19h30 -- Tarif unique : 6€ -- Durée : 1h00 Conception et mise en scène : Marie Chouinard Interprètes : Valeria Galluccio, Morgane Le Tiec, Sacha OuelletteDeguire, Carol Prieur MARIE CHOUINARD - PRÉSENCE ET ESPACE : CONFÉRENCE DANSÉE N°2 Pour cette conférence dansée, Marie Chouinard a choisi de travailler autour des souvenirs liés au corps, au corps dansant aussi bien qu’au corps intime de ses interprètes. Voilà que les moments charnières d’une vie, les lieux de passage, se réactualisent sous nos yeux, reprenant Présence et Espace. Partagées à travers la parole, le silence, les gestes, l’humour et la tragédie, les réminiscences des corps des danseurs sont offertes comme vie partagée. 14 Théâtre de Châtillon mar 7 mars 20h30 -- Tarif Pass : 8€ -- Tarif plein : 16€ -- Tarif réduit : 13€/10€/8€ -- CUBe association - France -- Durée : 1h10 -- Tournee : 16 mars 2017 Lux (Valence) ; 7 et 8 novembre Haxagone (Meylan). Conception et chorégraphe : Christian Ubl En collaboration avec les interprètes : Séverine Bauvais, Aniol Busquets, Marianne Descamps, Bastien Lefèvre, Joachim Lorca, Marion Peuta Conception des costumes : Pierre Canitrot Composition et musiques : Fabrice Cattalano et Hélène Breschand Dramaturgie : Fabienne Gras Lumière : Jean-Bastien Nehr Production : CUBe association Partenariats : Leopold Museum(Vienne) collection et archives de Schiele et Klimt Sammulung – accès aux archives pour la recherche et la documentation. Co-production et soutiens : Ballet Preljocaj / Pavillon Noir, CCN Aix-en-Provence - Klap Maison pour la danse de MarseilleLa Briqueterie/CDC du Val de Marne, Vitry-sur-Seine - Chorège / Relais culturel régional du Pays de Falaise - Fondation ECART- POMARET 3bisf d’Aix-en-Provence - Soutien du Centre Chorégraphique National d’Aquitaine en PyrénéesAtlantiques – Malandain Ballet Biarritz – CDC Le Pacifique de Grenoble - Fonds SACD Musique de scène - LA SPEDIDAM Soutien : DRAC Provence-AlpesCôte d’azur (aide à la compagnie) - Région Provence-Alpes-Côte d’azur (CAC danse) - Conseil départemental des Bouches-duRhône - Ville de Marseille -- Originaire d’Autriche, Christian Ubl aborde la danse à travers un parcours professionnel très éclectique et de haut niveau tels le patinage artistique et les danses latino-sportives. À partir de 1993, il s’intéresse à la danse contemporaine et suit de nombreux stages.En 1997, il intègre Coline à Istres pour deux ans et y rencontre Luc Trembley, Robert Seyfried, Serge Ricci, Mirjam Berns, Fabrice Ramalingom, Hélène Cathala, Françoise Murcia. À l’issue de cette formation, il poursuit son parcours auprès de Robert Seyfried et Abou Lagraa. Entre 2000 et 2009 il participe aux pièces de Michel Kelemenis puis il est choisi par Les Carnets Bagouet pour danser Meublé Sommairement de Dominique Bagouet. En 2001, il est interprète pour Christiane Blaise, Daniel Dobbels et Delphine Gaud. À partir de 2003, il danse sur les projets de Thomas Lebrun et interprète une reprise de rôle pour la Cie Linga (Lausanne) et l’Irland Dance Theater (Dublin). En 2005, il prend la direction artistique de CUBe et inscrit cinq pièces au répertoire. Actuellement, il poursuit sa collaboration avec Thomas Lebrun et David Wampach en tant qu’interprète et assistant. CHRISTIAN UBL - STIL 1ère en Île-de-France Après un cycle de création sur l’identité et le vivre ailleurs, la nouvelle création de Christian Ubl trouve sa source dans le courant esthétique « jugendstil ». Courant artistique assez méconnu nommé aussi Sezessionstil (à Vienne) ou Art Nouveau (en France), le jugendstil est né en réaction aux dérives de l’industrialisation forcenée et face à la reproduction sclérosante des odes du classicisme. Klimt versus Schiele : à eux deux, l’aîné et son orfèvrerie, le cadet et sa crudité, ils résument la fameuse Sécession viennoise, ce mouvement pour un art nouveau qui, avant 1914, secoua le cœur de l’Empire et de l’Europe, et leur lourde civilité bourgeoise. Rien d’étonnant si, viennois lui-même, Christian Ubl retourne à ces deux figures, frères d’art sinon d’âme, pour cette nouvelle création. Face aux rudesses du temps présent, peut-être faut-il se rappeler la stratégie qu’avait osée le Jugendstil dans le pressentiment des horreurs qui venaient, recourir aux confins de l’Homme, là où sacralité et pornographie se mêlent, pour opposer à Thanatos la souveraineté de la Vie. Le style futur ne sera pas forme mais désir. Si ce spectacle est un hommage à tous les gestes artistiques en général que l’amour de l’amour porte à leur comble, la danse, comme on sait depuis la grande Loïe Fuller, a ce privilège, par le « ralenti » des corps dont parle Rilke, d’ouvrir nos yeux à « la vue des astres rapides ». Un spectacle en co-réalisation avec le Théâtre de Châtillon 15 La Briqueterie Vitry-sur-seine mer 8 mars 19h30 -- Tarif unique : 6€ -- Durée : 30 min concordan(s)e est soutenu par le Département de la Seine-SaintDenis, le Conseil Régional d’Ile-deFrance, la Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France / Ministère de la Culture et de la Communication, BeaumarchaisSACD, La Mairie de Paris, La Sofia, Le Phare - Centre Chorégraphique National du Havre HauteNormandie, Théâtre du Beauvaisis, la CCAS Anglet, Le Centre national de la danse - Pantin, micadanses Paris. L’association indisciplinaire(s) bénéficie de la permanence artistique et culturelle de la Région Ile-de-France. Coproduction : festival concordan(s)e, CCN d’Orléans - avec le soutien du Musée de la danse CCNRB/ Rennes, du Triangle à Rennes Le Centre Chorégraphique National d’Orléans est subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication - D.G.C.A - D.R.A.C du Centre Val de Loire, la Ville d’Orléans, la Région Centre Val de Loire, le Conseil Départemental du Loiret. MAUD LE PLADEC ET PIERRE DUCROZET - Autoportrait(s) (titre provisoire) CONCORDAN(S)E 1ère en Île-de-France Concordan(s)e s’offre une soirée à La Briqueterie à l’occasion de la Biennale. Le principe du festival est désormais bien connu : une commande est passée à un chorégraphe et un écrivain qui ne se connaissent pas au préalable. Ils vont découvrir leurs expériences respectives, cheminer ensemble pour nous dévoiller le fruit de leurs échanges, de ces croisements entre le geste et le mot. Le chorégraphe et l’écrivain interprètent ensuite face au public une chorégraphie et un texte inédits. Ces rencontres offrent à chaque fois des formes inattendues, des créations inédites qui donnent à cette expérience toute sa richesse, son originalité. L’intention de ces rencontres est de découvrir, sur un même espace, le chorégraphe et l’écrivain dans cet acte artistique commun. Maud Le Pladec, récemment nommée à la direction du Centre chorégraphique d’Orléans et artiste associée à La Briqueterie recontre ici Pierre Ducrozet romancier qui a publié en 2010 son premier roman, Requiem pour Lola rouge Prix de la Vocation, La vie qu’on voulait (2013). Son troisième roman, Eroica (Grasset, 2015) est une fiction biographique autour du peintre Jean-Michel Basquiat. 16 La Briqueterie / CDC du val-de-marne – vitry-sur-seine mer 8 mars 21h00 -- Tarif Pass : 9€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 9€/6€ -- Compagnie de Soi - France -- Durée : 1h00 -- 14 et 15 mars Théâtre Pôle Sud – CDC avec le Maillon Théâtre (Strasbourg) ; 18 mars – La Ferme du Buisson (Noisiel) Conception, chorégraphie, interprétation : Radhouane El Meddeb Collaborateur artistique : Moustapha Ziane Plasticien : Malek Gnaoui Scénographie : Annie Tolleter Réalisation sonore : Olivier renouf, extraits des Variations Goldberg de Johan-Sebastian Bach, interprétées par Glenn Gould. Lumières : Xavier Lazarini Costumes : Cidalia Da Costa Régisseur général : Bruno Moinard Régisseur son : Jonathan reig Administration-production : Bruno Viguier Diffusion-production : Michel Chialvo Production : La Compagnie de SoI Coproduction : Festival montpellier Danse 2016, La Briqueterie CDC du Val-de-Marne (Vitry-sur-Seine), Pôle Sud - CDC de Strasbourg. avec le soutien du CND, un centre d’art pour la danse, accueil en résidence. Radhouane El Meddeb est artiste associé au Cent-Quatre (Paris). La Compagnie de sOi est subventionnée par la draC Île-de-France / Ministère de la Culture et de la Communication au titre de l’aide aux compagnies chorégraphiques. -- Formé à l’Institut Supérieur d’Art Dramatique de Tunis, Radhouane El Meddeb est ensuite recruté comme comédien dans le cadre de l’atelier de formation et de recherche du Théâtre National de Toulouse. Durant ces années consacrées au théâtre, il travaille ponctuellement avec des chorégraphes tunisiens en tant qu’interprète et collaborateur artistique. En 2005, il signe sa première création, un solo pour en finir avec MOI, comme une introspection intime, une expérience vitale. Il multiplie ensuite les créations en France : le solo Hûwà, Ce lui, 1000 Départs de Muscles d’Héla Fattoumi et Éric Lamoureux. En 2008, il présente sa création Quelqu’un va danser… et conçoit au Centre National de la Danse la performance Je danse et je vous en donne à bouffer. En 2010, il crée, toujours au CND, sa première pièce de groupe Ce que nous sommes, avec cinq danseurs. Deux ans plus tard au festival Montpellier Danse, il crée et danse le solo Sous leurs pieds, le paradis co-écrit avec Thomas Lebrun. Même année et autres collaborations : Matias Pilet et Alexandre Fournier pour un duo de nouveau cirque Nos limites. Récemment il a signé deux nouvelles pièces de groupe Au temps où les Arabes dansaient… et Heroes, une pièce avec 10 jeunes danseurs. RADHOUANE EL MEDDEB - À MON PÈRE, UNE DERNIÈRE DANSE ET UN PREMIER BAISER 1ère en Île-de-France Des nappes blanchâtres sur un sol noir, une sculpture animale mystérieuse. Et cet homme qui danse, Radhouane El Meddeb. À son père, il confie son énigme, murmure sa peine et hurle son désarroi. Il lui raconte ce qui a eu lieu depuis cinq ans, depuis sa mort : le printemps tunisien, l’espoir d’un renouveau et l’angoisse du chaos. Son corps écrit des phrases suspendues, hésitations et déclamations, sur les intensités d’une musique, vive et pleine comme une étreinte. Il y a eu un rêve une nuit, où il est face à son père. Il y a eu une vidéo un jour, où il voit Steve Paxton, chorégraphe mythique américain, danser seul sur Les Variations Goldberg, partition pianistique de Johann-Sebastian Bach. Une déflagration : cette confidence intime sera ainsi ce dernier baiser qui lui a été défendu, cette danse qui aurait pu être la première partagée avec son père. Figure singulière de la danse contemporaine, Radhouane El Meddeb crée des œuvres délicates et renversantes. De son solo Je danse et je vous en donne à bouffer à l’une de ses plus récentes pièces de groupe, Au temps où les Arabes dansaient Radhouane El Meddeb ne cesse de délier les fils de sa culture pour les tisser à la trame du monde. En collaboration avec Malek Gnaoui, jeune céramiste Tunisien œuvrant sur l’idée du sacrifice, le chorégraphe crée ce solo pour le Festival Montpellier Danse 2016. 17 Auditorium JeanPierre Miquel Fontenay-aux-Roses sam 11 mars 20h30 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 15€/12€ -- Compagnie Propos - France -- Durée : 1h10 Conception, chorégraphie et mise en scène : Denis Plassard Marionnettes : Émilie Valantin Interprètes – manipulateurs : Sonia Delbost-Henry, Annette Labry, Denis Plassard Voix (interprétation et composition) : Florent Clergial, Nicolas Giemza, Jessica MartinMaresco Création costumes : Julie Lascoumes Création lumières : Dominique Ryo Régie générale et régie son : Éric Dutrivoz Avec le soutien de L’Adami Production : Compagnie Propos Coproduction : ONYX-La Carrière Scène conventionnée danse de Saint-Herblain, Biennale de la danse de Lyon 2016 Avec le soutien de l’Adami Résidences ONYX- La Carrière Scène conventionnée danse de Saint- Herblain, Théâtre de Givors – direction : Yves Neff La Compagnie Propos est conventionnée par le minist.re de la Culture et de la Communication / DRAC Auvergne-Rhône-Alpes et la Région Auvergne- Rhône-Alpes, et subventionnée par la Ville de Lyon. -- Denis Plassard se forme au Conservatoire National de Région puis au CNSMD de Lyon, en danse classique et contemporaine. Puis, durant deux années il danse dans la Compagnie de la Place Blanche de Josette Baïz. Avec l’envie de s’essayer à la chorégraphie, il crée en 1990 son premier solo, Propos, qui donnera le nom à sa compagnie, montée l’année suivante. Denis Plassard aime se plonger dans divers univers artistiques et confronter la danse avec les autres formes d’arts : la vidéo dans mes Têtes de Sardines (2009), la magie avec Encore quelques illusions (2012), le théâtre dans Terrier (mise en scène d’un texte de Kafka en 1998 puis repris en 2010) ou encore Chalet 1 (2012, mise en scène d’un texte d’André Baillon) et les marionnettes. En 2008, il réunit des interprètes issus de la danse contemporaine, du cirque et du hip-hop pour la création DéBaTailles. Avec Rites (2013) il prolonge ses recherches sur la parole. DENIS PLASSARD - ALBERTINE, HECTOR ET CHARLES 1ère en Île-de-France Avec Albertine, Hector et Charles, Denis Plassard signe une folle partition dansée pour 3 marionnettes imaginées par Emilie Valantin, 3 danseurs manipulateurs et 3 voix. Albertine, Hector et Charles sont les réincarnations, sous forme de marionnettes, des personnages de Suivez les instructions, création jeune public 2015 de Denis Plassard. Albertine, Hector et Charles se réveillent en enfer, réincarnés en pantins inertes. Les 3 damnés sont pris en charge par 6 démons (3 danseurs manipulateurs et 3 voix). Comme dans La Divine Comédie de Dante, ils sont soumis à des châtiments personnalisés et adaptés aux fautes qui les ont conduits là : les prétentieux doivent danser sur la tête et les couples désunis s’affrontent sans répit dans une danse de couple manipulée... Les 9 cercles infernaux (9 châtiments successifs) baignent dans une lumière caverneuse au son des transes envoûtantes de deux beatboxers démoniaques et d’une chanteuse diabolique. Albertine, Hector et Charles est un jeu de manipulation en 3 dimensions. Les plans et les niveaux de lectures se superposent pour créer des illusions infernales, des ersatz de vies manipulées : les démons grouillent, les têtes volent, les morts prennent vie, les damnés voltigent et l’enfer continue... Un spectacle en coréalisation avec la ville de Vincennes 18 Centre culturel Aragon Triolet – Orly dim 12 mars 15h30 devant le théâtre puis 15h30 pour parcours extérieur Yoann Bourgeois. Théâtre Louis Aragon Tremblay-en-France sam 25 mars 18h00 -- Yoann Bourgeois - CCN2 Centre chorégraphique de Grenoble -- Accès libre DEVANT l’ECOLE JOLIOT CURIE durée 25mn Le programme de courtes pièces est composé de : Dialogue Conception, mise en scène et scénographie : Yoann Bourgeois Interprétation : Estelle ClémentBealem et Raphaël Defour FUGUE / TABLE – VARIATION TOURNANTE Conception : Yoann Bourgeois et Marie Fonte Interprétation : Yoann Bourgeois et Marie Fonte SUR LA PLACE DU MARCHE durée 20 mn Trois dispositifs physiques pour mettre un corps en apesanteur : Noustube – Autoportrait Mise en scène : Yoann Bourgeois dans le cadre de Noustubes de Jörg Müller La Balance de Lévité Conception : Yoann Bourgeois et Marie Fonte Scénographie : Goury Escalier Conception : Yoann Bourgeois Interprétation : Yoann Bourgeois, Mathieu Bleton, Estelle Clément- Bealem, Raphaël Defour, Marie Fonte ESPLANADE DU THEATRE LOUIS ARAGON – TREMBLAY-EN-France durée 45mn Le programme de courtes pièces est composé de : Fugue / Trampoline Conception et interprétation : Yoann Bourgeois assisté de Marie Fonte Musique : Metamorphosis n° 2 de Philip Glass, interprété en live par Laure Brisa. Interprété par Yoann Bourgeois FUGUE / TABLE + HOURVARI Conception : Yoann Bourgois Interprétation : distribution en cours Dialogue, Conception, mise en scène et scénographie : Yoann Bourgeois Interprétation : Estelle ClémentBealem et Raphaël Defour Son : Antoine Garry Costumes : Sigolène Petey Réalisation scénographie : David Hanse et Nicolas Picot (C3 Sud Est) Régie générale : Audrey Carrot Maîtrise d’œuvre et construction : Amethys, C3 Sud Est. Production CCN2 Centre chorégraphique national de Grenoble - direction Yoann Bourgeois et Rachid Ouramdane. Coproduction Compagnie Yoann Bourgeois ; MCB° Maison de la culture de Bourges ; Théâtre National de Bretagne/Rennes ; Théâtre de la Ville/Paris ; MédicisClichy-Montfermeil, CAPI-Théâtre du Vellein Yoann Bourgeois bénéficie du soutien de la Fondation BNP Paribas pour le développement de ses projets et est en résidence territoriale à la Capi-Théâtre du Vellein. Le Centre chorégraphique national de Grenoble est financé par la Drac Auvergne - RhôneAlpes/Ministère de la Culture et de la Communication, la Ville de Grenoble, le Département de l’Isère, la Région AuvergneRhône-Alpes et soutenu par l’Institut français pour les tournées internationales. -- Acrobate, acteur, jongleur, danseur, Yoann Bourgeois est avant tout joueur. Il évolue dans le cirque, le théâtre, la danse, l’opéra, la musique ou le cinéma. Diplômé du Centre national des arts du cirque de Châlonsen-Champagne qu’il aura traversé en alternance avec le Centre national de danse contemporaine d’Angers, il devient artiste permanent du CCN de Rillieux-la-Pape de Maguy Marin, où il œuvre pendant quatre années. Après les reprises de May B et Umwelt et deux créations, Turba (2007) et Description d’un combat (2009). L’année suivante il entame son propre processus de création à Grenoble avec l’intention d’approfondir dans un travail de recherche permanente les liens secrets entre jeux de simulacre et jeux de vertige. À Cavale, premier duo sensuit dès 2010 un premier cycle de créations autour de grandes œuvres musicales pour travailler la « figure » : Les Fugues (2010), L’Art de la Fugue (2011) et Wu-Wei (2012). En 2014, un second cycle de créations vise à radicaliser son geste artistique. Par une écriture singulière du cirque, s’affirme en lui un intérêt tout particulier pour la relation corps/force comme source inépuisable de drame. Cette recherche fait naître Celui qui tombe, pièce pour six interprètes créée en septembre 2014. YOANN BOURGEOIS - TENTATIVES D’APPROCHES D’UN POINT DE SUSPENSION (courtes pièces) Jeune artiste passé par la danse et le cirque, Yoann Bourgeois poursuit son ascension fulgurante. Après avoir créé sa compagnie en 2010, il a été récemment nommé à la codirection du Centre chorégraphique national de Grenoble. À chaque nouvelle pièce, cet artiste exigeant et pluridisciplinaire se donne des contraintes physiques et rythmiques qui l’emmènent plus loin dans la recherche de ce qu’il nomme le « point de suspension », ce moment qui suit l’élan et précède la chute. Avec Tentatives d’approches d’un point de suspension (courtes pièces), le chorégraphe vient transformer notre regard sur les corps et les objets dans notre environnement. Prises de risque, avec l’objet qui devient agrès ou simplement avec l’autre, dans l’abandon de soi ou la maîtrise. Un plaisir vertigineux pour celui qui regarde et écoute ce parcours composé de quatre courtes pièces pour tout public, jonglant entre virtuosité, prouesses et poésie spécialement conçu pour l’endroit où il se déroule. Un spectacle en coréalisation avec la ville d’Orly et le Théâtre Louis Aragon de Tremblay-en-France 19 Figninto, l’oeil troué - Seydou Boro et Salia Sanou ©Margo Tamizé SOLI.DES - Sébastien Laurent ©Frédéric Hocké20 CDC Atelier de Paris Carolyn Carlson, Paris jeu 16 mars 20h30 ven 17 mars 20h30 -- Tarif Pass : 10€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 14€/10€ -- Compagnie Moi Peau – France -- Durée : 40 min -- Tournee : 22 mars 2017, Théâtre les 7 Collines (Tulle) Conception et choregraphie : Sébastien Laurent Composition musicale : Claudine Simon Interprètes : Claudine Simon et Sébastien Laurent Collaboration artistique : Stéfany Ganachaud Lumières : Frédéric Hocké Scénographie : Frédéric Hocké, Violaine decazenove et Sébastien Laurent Costumes : Violaine Decazenove Production : compagnie moi peau Coproduction : CDC Atelier de Paris-Carolyn Carlson, La Briqueterie – CDC du Val-de -Marne, Théâtre du casino Barrière de Deauville, Chorège Relais culturel régional du pays de Falaise, 2Angles Relais Culturel de Flers Accueil en résidences : La Briqueterie – CDC du Val-deMarne, Les Brigittines, centre d’art contemporain pour le mouvement de Bruxelles, Théâtre du casino de Deauville, Forum de falaise, CDC Atelier de Paris-Carolyn Carlson, Chorège Relais culturel régional du pays de Falaise, 2Angles Relais Culturel de Flers Soutien : Région Normandie, Conseil Général du Calvados, Ville de Caen, DRAC Normandie moi peau a bénéficié pour ses deux premières créations des soutiens de la Drac Basse Normandie, le Conseil Régional de BasseNormandie, le Conseil Général du Calvados, la Ville de Caen, la Ville de Paris, l’Odia (pour les diffusions d’Avis contraires et de Contagion à l’Étoile du Nord, l’Onyx de SaintHerblain, le Mac Orlan de brest, la Rampe d’échirolles), l’Adami. -- Danseur depuis plus de vingt ans dans différentes compagnies, Sébastien Laurent créé la compagnie MOI PEAU en 2013. Il danse encore dans la compagnie de Tomeo Vergès (notamment dans son récent tryptique) et a travaillé avec Nathalie Pernette, Jean-Claude Gallotta, Christiane Blaise, Jean François Duroure, Silenda, Heddy Maalem, Doug Elkins (New-York), Jean Pascal Gilly, Editta Braun (Salsbourg), Evelyne Castelino (Genève), Gisèle Greau, Emmanuel Grivet, Laurent Falguiéras, Le Clair Obscur, Sans Soucis (théâtre d’objet) et Sophie Quenon. En 2016 il est assistant pour la compagnie de théâtre Toutito Teatro et artiste associé à la 14ème édition du festival de Falaise « La danse de tous les sens ». Auteur photographe, il questionne l’engagement physique dans le processus photographique et réalise des projets associant exposition, performances et ateliers de danse. Avec SOL.IDES, présentée à la Biennale de danse du Val-de-Marne, il signe sa troisième création. SÉBASTIEN LAURENT - SOLI.DES Création Biennale 2017 Ingrédients de base : un plateau instable, un piano, des guindes, et deux corps – musicienne et danseur. Quelle relation se joue là ? Pas seulement abstraite, comme pourrait l’être un dialogue entre danse et musique. Il y a du corps, et même du corps-à-corps, physicalité s’éprouvant face à la masse du piano, à sa mécanique complexe et artisanale. Avec SOLI.DES, Sébastien Laurent, danseur remarqué de Toméo Vergès et jeune directeur de la compagnie Moi Peau, et la pianiste Claudine Simon inventent un terrain de jeu qui affirme l’expérience de l’incarnation, quand les environnements numériques où nous baignons peuvent rendre évanescente l’idée même de solidité et de matière. Il s’agit ici de ne pas craindre l’affrontement, d’interroger le rapport que l’être humain entretient avec les machines et les mécanismes : un rapport de forces en présences réciproques. « Susciter un mode d’agencement », disent Claudine Simon et Sébastien Laurent, « où le joueur devient machine en formant un “ couple ”, comme on pourrait dire en physique, de forces indissociables dans la production d’énergie sonore et gestuelle. » Un spectacle en coréalisation avec le CDC Atelier de Paris 21 Théâtre de Saint-Maur ven 17 mars 20h30 Théâtre Jean-Vilar Vitry-sur-Seine dim 19 mars 16h00 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 22€ -- Tarif réduit : 8€ -- Collectif Mâäk - Belgique / Cie Mouvement perpétuels – Burkina Faso -- Durée : 1h00 Chorégraphie : Salia Sanou Direction musicale : Laurent Blondiau Avec le collectif Mâäk : Lynn Cassiers (voix- électro) , Laurent Blondiau (trompette-électro) , Giovanni Di Domenico (Fender Rhodes) , Manolo Cabras (basse) , João Lobo (batterie) Interprètes : Michael Nana , Mariam Traore , Daouda Zerbo , Lucie Ouédraogo , Ibrahim Zongo Lumières : Sam Mary Photographe : Tom Blaton Design sonore : Vincent De Bast Assistant son : Renaud Houben Costumes : Silvia Hassenclever Production : MET-X Coproduction : MET-X (Be), Théâtre 140 (Be), Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine (Fr), La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne (Vitry-surSeine, Fr) Soutiens : Centre WallonieBruxelles (Paris), Vlaamse Gemeenschap, Vlaamse Gemenschapscommissie, WallonieBruxelles Internationale -- Tournee : 24 mars De Kriekelaar (Belgique) -- Pionnier de la danse contemporaine en Afrique, Salia Sanou, d’abord formé au théâtre et à la danse africaine, notamment auprès d’Irène Tassembedo, intègre en 1993 la compagnie Mathilde Monnier au Centre chorégraphique national de Montpellier. Il y rencontre Seydou Boro avec lequel il fonde la compagnie Salia nï Seydou en 1995 et crée plusieurs pièces dont Taagalà, le voyageur et Poussières de sang. Ensemble, ils dirigent la biennale Dialogues de Corps à Ouagadougou et sont directeurs du Centre de Développement Chorégraphique La Termitière de Ouagadougou, le premier du genre en Afrique. En 2011, Salia Sanou fonde la compagnie Mouvements Perpétuels et crée, seul, Au-delà des frontières en 2012, Doubaley, le miroir avec la musicienne japonaise Takumi Fukushima. Plus récemment, il crée Clameur des arènes pour le Festival Montpellier Danse 2014 avec 5 lutteurs sénégalais, 3 danseurs du Burkina Faso et 4 musiciens chanteurs. De nombreux prix jalonnent son parcours et saluent son implication pour le développement de la danse dans le monde. LAURENT BLONDIAU ET SALIA SANOU - KAWRAL Depuis qu’existe le collectif Mâäk, son directeur artistique, le trompettiste Laurent Blondiau se rend souvent au Burkina, là où Salia Sanou a créé à Ouagadougou le premier centre de développement chorégraphique en Afrique : la Termitière. « En voyant ce bouillonnement, on a vite imaginé de croiser le Mâäk Electro Project - l’un des nombreux visages de ce collectif polymorphe - avec des danseurs.” De là est né Kawral qui signifie la rencontre en peul, soit cinq musiciens, cinq danseurs et un créateur lumières qui déployent leurs énergies et frottent leurs personnalités. Fruit d’improvisations, pour certaines décantées et écrites, Kawral est un temps de chaos organique. Dans la pièce, les rencontres physiques s’enchaînent entre les corps des danseurs et les instruments de musique, chaque univers faisant un pas vers l’autre. L’espace scénique, lui-même se trouve transformé au gré des rencontres. Les corps et les instruments se rapprochent, s’éloignent, se séduisent puis se confrontent. Ainsi chaque son s’égare dans le geste et chaque mouvement se perd dans le rythme des basses. En somme, audace d’une improbable rencontre, Kawral est un pêle-mêle musico-chorégraphique. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre de Saint-Maur et le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine 22 Château Morsang-sur-Orge sam 18 mars 16h00 -- Gratuit La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne – Vitry-sur-Seine lun 20 mars 20h30 Chorégraphie : Vincent Sekwati Koko Mantsoe Interprète : Phumlani Nyanga Musique : Gabrielle Roth Costumes : Vincent Sekwati Koko Mantsoe Avec le soutien de l’Institut Français dans le cadre du programme « Danse l’Afrique danse ! » et le partenariat officiel de Total. VINCENT MANTSOE - GULA -- Tarif Pass : 9€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 9€ / 6€ -- Compagnie Vincent Mantsoe - France -- Durée : 10 min Création multi-primée à sa création en 1993 (FNB VITA Choregraphy Award ; Premier prix lors de la première rencontre de danse africaine contemporaine, à Luanda en Angola ; Prix du Conseil Général de Seine-Saint Denis, lors des 5èmes Rencontres Internationales de Seine – Saint Denis), Gula, solo d’une grande délicatesse déployée en partie sur des sifflements live imitant des chants d’oiseau, est depuis considéré comme une des plus importances pièces du répertoire de Vincent Mantsoe. Il est aujourd’hui repris par le danseur sud-africain Phumlani Nyanga, issu du Vuyani Dance Theatre dirigé par Gregory Maqoma. À noter que Gula fut crée il y a 14 ans en Afrique du Sud avec Moving into Dance Mophatong. Gregory Maqoma, lui-même, avait dansé Gula Matari de Vincent Mantsoe, pièce de groupe inspiré du solo présenté à la Biennale. Dans le cadre d’une après-midi colloque – plus d’informations page 44 -- Chorégraphe, interprète et professeur de danse, Vincent Mantsoe est né à Soweto, en Afrique du Sud. En 1990, il obtient une bourse pour suivre un stage de formation au sein de la Moving Into Dance Company (MID), compagnie créée par Sylvia Glasser, creuset de l’innovation artistique de la nouvelle génération des artistes noirs de la fin de l’apartheid. C’est à cette époque qu’il commence à explorer la possibilité de fusionner la danse de rue et la danse traditionnelle. De 1997 à 2001, il oeuvre comme directeur artistique associé de la compagnie MID. Interprète soliste avant tout, il a aussi créé des œuvres d’ensemble, notamment pour le Dance Theatre of Harlem à New York et pour le Collective of Black Artists à Toronto (Canada). L’art chorégraphique de Vincent Mantsoe marie la danse traditionnelle africaine à des influences contemporaines, autochtones et asiatiques, et à des éléments de ballet, pour forger un style interculturel unique d’afro-fusion. Il reconnait l’action de la spiritualié dans sa démarche créatrice, qu’il décrit comme un processus d’« emprunt » aux « ancêtres », soulignant l’importance de comprendre et d’apprécier les sources de ses mouvements traditionnels. 23 Théâtre des Deux-Rives Charenton-le-Pont sam 18 mars 20h30 Chorégraphie : Seydou Boro Interprètes : Laurianne Madelaine, Boukson Séré, Bienvenue Bazié Seydou Boro, Ousseni Sako Musiciens : Tom Diakité Chanteuse : Perrine Fifadji Compositeur : Khalil Hentati Création Lumières : Anne Dutoya Création Son & Direction Technique : Eric Da Graça Neves -- Tarif Pass : 13€ -- Tarif plein : 19€ -- Tarif réduit : 13€ Coproduction : La BriqueterieCDC du Val de Marne, Centre des Bords de Marne/Le Perreux sur Marne, Théâtre Jean Lurçat/ Scène nationale d’Aubusson, Dansstationen- Malmö. Soutiens : ADAMI, Conseil Départemental du Val-de-Marne. Théâtre Gérard Philipe Champigny-surMarne dim 26 mars 16h00 SEYDOU BORO - LE CRI DE LA CHAIR -- Tarif Pass : 10€ -- Tarif plein : 15€ -- Tarif réduit : 10€ / 6€ -- Compagnie Seydou Boro – France -- Durée : 1h30 -- Né en 1968 à Ouagadougou, Seydou Boro a suivi des cours de théâtre au Burkina Faso. Après sa rencontre avec Salia Sanou et sa collaboration avec Mathilde Monnier, ils vont co-fonder leur compagnie SALIA NÏ SEYDOU, dont le premier spectacle sera lauréat des Rencontres Chorégraphiques de L’Afrique et de l’Océan Indien et recevra le prix « Découverte » R.F.I. Parallèlement à la création des spectacles, il réalise des films documentaires sur la danse créative africaine. Enfin, Salia Sanou et lui ont été nommés pour trois ans directeurs artistiques du Centre de Développement Chorégraphique de Ouagadougou (Burkina Faso), projet d’envergure internationale et première du genre en Afrique dont ils sont les porteurs depuis huit ans. Seydou Boro a été élu artiste de l’année 2003 par l’Organisation internationale de la francophonie. Seydou Boro a les talents d’un homme-orchestre. Devenu danseur après une formation d’acteur, puis chorégraphe qui a su plonger les danses africaines dans un bain contemporain mixant aussi bien le butô japonais que le flamenco, il réalise des films documentaires et court-métrages de fiction, a enregistré un album, dirige un centre de développement chorégraphique à Ouagadougou. Il est un peu poète aussi. Avec Le cri de la Chair, le chorégraphe entend questionner le cri d’un corps qui trébuche, comme si ce cri pouvait l’éloigner de l’effondrement. Inspiré par les corps penchés à la Giacometti, il réunit 5 musiciens autour de 6 danseurs en costumes de ville et masques d’argile, qui tomberont, nécessairement, mais se relèveront, immanquablement, et iront chercher dans un souffle à l’unisson la manifestation d’une percée collective. Un corps « matière brute » amené vers la transe dans ses douleurs et ses jouissances, que Seydou Boro a toujours mis en mouvement dans un geste contemporain imprégné de traditions africaines. Suivi d’un bal poussière. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre des 2 Rives de Charenton et le Théâtre Gérard Philipe de Champigny 24 Théâtre Jean-Vilar Vitry-sur-Seine dim 19 mars 15h00 -- Tarif : 5€ -- Burkina Faso -- Durée : 45 min Chorégraphes : Salia Sanou et Seydou Boro Interprètes : Ousséni Dabaré, Robert Kiki Koudogbo, Marius Sawadogo Musiciens : Dramane Diabaté, Timbiri Winsey Scénographie : Fousséni Comaporé Lumière / Son : Mohamed Boro/ Jean-Paul Sari Costumes : Seg-Taaba SARL Production déléguée : Djeli/ Compagnie salia nï seydou Coproduction : Atelier Théâtre Burkinabè – ATB, Centre chorégraphique national de Montpellier Languedoc-Roussillon, Centre culturel français de Ouagadougou, compagnie salia nï seydou, Ministère de la Culture et des Arts – Burkina-Faso, OdasAfrica. SEYDOU BORO - FIGNINTO, L’ŒIL TROUÉ Avec le soutien de l’Institut Français dans le cadre du programme « Danse l’Afrique danse ! » et le partenariat officiel de Total. 1ère en Île-de-France Figninto, c’est celui qui ne voit pas, l’aveugle en langue bambara. Voit-on seulement avec les yeux ? Dans ce monde où le temps insensible nous montre notre impuissance par son irréversibilité, prend-on le temps de voir, de regarder ? « L’homme pressé » ne communique plus. Chaque seconde brûlée par notre angoisse du temps qui passe nous éloigne de nous-mêmes avant de nous éloigner des autres. Que vaut l’amitié, s’il ne lui est consacré un temps d’amour, un temps d’attention, un temps de relation… La mort. Quand la mort vient, le vide est là, tenace, laid et froid. On ne peut que dire, il n’est plus, il fut, il est mort. Or, c’est en l’autre, dans l’ami disparu, que nous vivions. Alors restent étalées au sol, notre vulnérabilité, notre altérité, notre solitude. Des traces sont là devant notre regard profond, notre œil troué qui ne voyait pas. Tout n’est pas emporté par cet anéantissement. Le temps n’a jamais été maîtrisé et la course vers notre fin n’a pas besoin d’être aussi effrénée comme elle l’est. Elle peut être ponctuée de pauses, d’escales et d’arrêts bien mérités et sans pression aucune. Le temps de la rencontre, le temps de l’amitié, le temps de l’amour ne se comptabilise pas, il se prend, il se vit. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine 25 Théâtre Jean-Vilar Vitry-sur-Seine dim 19 mars 17h30 -- Tarif unique : 5€ -- Madagascar -- Durée : 45 min Chorégraphie : Judith Olivia Manantenasoa Interprète : Judith Olivia Manantenasoa Création lumière : Volahasiniaina Linda Angelica Dossier photographique : Bary Malandemongolod Production : Compagnie Lovatiana de Madagascar, Compagnie Aléa des possibles de Madagascar, École de cirque à Madagascar Remerciements spéciaux : La compagnie Rary de Madagascar Production : YODINE Produções Avec le soutien de l’Institut Français dans le cadre du programme « Danse l’Afrique danse ! » et le partenariat officiel de Total. JUDITH OLIVIA MANANTENASOA - MÉTAMORPHOSE Lauréate du programme Visas pour la création 2014, la chorégraphe malgache Judith Olivia Manantenasoa a développé au fil de ses résidences un solo autour du déséquilibre psychique que peuvent rencontrer les artistes au cours de leur carrière, « la crise artistique » comme elle l’a surnommée et qui peut susciter la peur chez le créateur. Corps apparaît dans la pénombre constellée de pinces à linge comme un totem africain chargé de fétiches. Métamorphose est un voyage. Celui d’un double déséquilibre physique autant que psychique : une crise incontrôlable. Calme puis tempête, le corps de Judith Olivia Manantenasoa se dissous dans la masse au fur et à mesureque la pièce avance pour disparaître complètement. -- Judith Olivia Manantenaso fait ses premiers pas en danse contemporaine aux côtés d’Ariry Andriamoratsiresy au sein de l’école et de musique RARY. A partir de l’année 2003, elle intègre la compagnie RARY dans laquelle elle assure dès lors les cours de danse contemporaine, danse avec percussion, danse en couple. Rapidement Judith Olivia devient une interprète de choix pour les compagnies de danse malgaches puis internationales. Elle rejoint ainsi les projets de Karine Saporta (Juliette et les motards), Bernardo Montet (Margueritte de l’oubli), Taoufiq Izzediou (Aataba). En 2010 , elle travaille avec des musiciens pour créer son propre langage. Elle créée alors ses solos Aloka, une tranche de vie et Le Fil. En 2013, elle participe à une résidence de création au Mozambique dans le cadre du projet « Casa ». En 2014, elle est Lauréate du programme Visas pour la création. De ses diverses résidences naît Métamorphose. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine 26 La Briqueterie / CDC du Val-de- Marne – Vitry-sur-Seine lun 20 mars 20h30 Direction, interprétation et vidéo : Jeannot Kumbonyeki Création lumière : Jean-Pierre Legout Regard extérieur : Faustin Linyekula Production : Studios KabakoVirginie Dupray Coproduction : Institut Français / Danse l’Afrique danse avec le soutien de la Fondation Total. -- Tarif Pass : 9€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 9€ / 6€ Avec le soutien de l’Institut Français dans le cadre du programme « Danse l’Afrique danse ! » et le partenariat officiel de Total. -- Congo -- Durée : 20 min JEANNOT KUMBONYEKI - LE KOMBI Comment faire un parallèle entre les réalités quotidiennes du Congo et le kombi, ce moyen de transport collectif, inconfortable et cahotant du Kinois où il passe de longues heures, chaque matin et chaque soir, serré, coincé, courbaturé et en sueur ? Comment faire un parallèle entre la position de ces passagers victimes de l’absence de toute politique publique depuis deux décennies et la position de l’artiste en RDC ? On surveille ses poches à cause des voleurs, on échange, on plaisante, on commente la politique, la vie trop chère ou la jupe trop serrée de la fille qui vient de sortir, on avance tant bien que mal, comme ou en dépit du pays... Jeannot Kumbonyeki, danseur virtuose remarqué dans le Kinshasa Electric d’Ula Sickles et dans les pièces de Faustin Linyekula, présente dans le cadre de la Biennale son premier solo. -- Jeannot Kumbonyeki vit et travaille à Kinshasa. Né et grandi à Kisangani, il entre dans le monde artistique en 2008 comme acrobate du groupe de danse urbaine, Lil Saint. De 2009 à 2011, il suit tous les ateliers de danse organisés par les studios Kabako et se forme auprès de Faustin Linyekula, Papy Ebotani, Hafiz Dhaou, Ula Sickle ou Clara Bauer (théâtre)… En 2010, Jeannot quitte Lil Saint et crée les Keep Quiet accompagné par quelques amis du quartier et se produit régulièrement à Kisangani et en Province Orientale. Un an plus tard, il est sélectionné par Vodacom et remporte le prix du jury du meilleur danseur congolais de la Vodacom Kata Dance. Depuis 2014, il est l’un des trois danseurs de Kinshasa Electric, une création de Ula Sickle, qui a depuis tourné dans le monde entier. Depuis 2014, Jeannot est aussi l’un des 9 danseurs Congolais et sud-africains du laboratoire Redefining... home‐work, un laboratoire qui l’a conduit à Kisangani, puis Durban sous la direction conjointe de Boyzie Cekwana et Faustin Linyekula. Le Kombi est sa première création. 27 A Taste of poison - Mossoux-Bonté ©Thibault Grégoire Ti Chèlbè - Kettly Noël ©Antoine Tempe We almost forgot - Qudus Onikeku ©Adeyinka Yusuf 28 La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne – Vitry-sur-Seine lun 20 mars 20h30 -- Tarif Pass : 9€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 9€ / 6€ Chorégraphie et mise en scène : Kettly Noël Interprète : Oumaïma Manaï Musique : Patrick et Louise Marty Lumière : Cyril Monteil Avec le soutien de l’Institut Français dans le cadre du programme « Danse l’Afrique danse ! » et le partenariat officiel de Total. -- Donko Seko – Mali KETTLY NOËL - TI CHÈLBÈ -- Durée : 30 min Ti Chèlbè - dont le titre en créole fait référence au mâle macho - conte l’errance d’une femme. Dans ce duo crée en 2002 par la chorégraphe native de Portau-Prince exécute, le danseur représente à la fois l’homme et le système dominant. Huis clos circonscrit par une palissade de tôles ondulées, corps à corps écartelé entre pulsion et répulsion, violence et soif effrénée d’amour. Solitude, jeu de séduction, violence des relations, abandon, revanche féminine… autant de thèmes qui font de cette pièce narrative une métaphore de la très contemporaine guerre des sexes. Résolument contemporain, le langage chorégraphique forgé par Kettly Noël échappe à tout formatage. Il n’est pas sans rappeler l’intériorité de la danse japonaise butô, avec sa quête de la sensation extrême, allant jusqu’à la crispation des membres, la brutale mobilisation du corps et de l’esprit, le frôlement de la folie. Installé depuis 13 ans au Mali, après un passage au Bénin, Kettly Noël intègre des éléments du vaudou, avec lequel elle a frayé dès son enfance en Haïti. -- Kettly Noël est née à Port-au-Prince en Haïti où elle s’est d’abord initiée aux danses traditionnelles locales auprès de Viviane Gauthier. Kettly Noël a reçu une formation de danseuse et de comédienne. Sa première création, Dans la cour, présentée à la Maison des cultures du Monde à Paris en 1996, fait date. A Cotonou, Kettly Noël entame un travail de recherche chorégraphique avec de jeunes danseurs béninois. Mais c’est à Bamako que cet engagement se développe pleinement. Après avoir mené plusieurs ateliers chorégraphiques au Centre culturel français, elle crée avec quelques danseurs la Jeune compagnie malienne. En 2001, Kettly Noël crée Cousin, Cousine. Un an plus tard, Tichelbe remporte le 3ème Prix des Rencontres chorégraphiques interafricaines organisées par l’Afaa et le Prix RFI Découvertes Danse. En 2003, Kettly Noël lance le festival international de danse contemporaine de Bamako «Dense Bamako Danse». Elle ouvre également un espace de formation et de création chorégraphique. Elle présente ses dernières pièces, Gaou ou un solo intitulé Errance dans de nombreux festivals internationaux. Prix RFI-danse 2003 et 3ème Prix aux 5ème Rencontres chorégraphiques et de l’Océan Indien. 29 Théâtre Paul Éluard Choisy-le-Roi mar 21 mars 20h00 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 14€ /12 € / 8€ -- Association Brøcøliwald – Suisse -- Durée : 30 min -- Tournée : 23 mars 2017 Scène nationale de Vandoeuvresles-Nancy Direction artistique, réalisation, chorégraphie : Lucie Eidenbenz en concertation avec Cosima Grand, Luce Goutelle et les habitants du Lötschental Interprètes : Cosima Grand, Lucie Eidenbenz, Hélène Rocheteau Création son : Manuel Oberholzer Ingénieur son : Raphaël Raccuia administration, production et diffusion : Anna Ladeira production : Oh!Festival, Association Brøcøliwald soutiens : Canton de Genève, Canton du Valais, Ville de Genève Pro Helvetia, Corodis, Fonds culturel de la Société Suisse des Auteurs (SSA), Fondation Corymbo Remerciements : Denis Alber, les habitants de la vallée du Lötschental en particulier Bruno Ritler LUCIE EIDENBENZ - TSCHÄGG Avec le soutien : Canton de Genève, Canton du Valais, Ville de Genève, Pro Helvetia, Corodis, Fonds culturel de la Société Suisse des Auteurs (SSA), Fondation Corymbo Cachés dans les plis de l’Europe, les Tschäggätta font figure de miroir de notre société et de notre rapport à l’ordre des choses. En dialogue avec les habitants du Lötschental (Suisse), Tschägg est une performance qui fait se rencontrer une tradition du Haut-Valais avec le monde actuel. Elle interroge notre perception de l’étranger, ou l’étrange, à travers les notions d’authenticité, de tourisme et de globalisation. La tradition Tschäggättä a toutes les qualités d’une performance contemporaine pratiquée depuis des siècles dans un contexte traditionnel. Avons-nous besoin de nous camoufler, de devenir monstrueux pour pouvoir être nous-mêmes au sein d’une société policée ? Qui est l’étranger ? Celui derrière lequel on se cache, celui que l’on rejette, ou l’étranger que l’on est, tout d’abord, à soi-même ? Entre le Haut-Valais, l’Afrique, la Bulgarie ou certaines modes vestimentaires contemporaines, on retrouve les signes d’une performance de l’identité, d’un renversement des valeurs, et de profondes contradictions. -- Le travail de Lucie Eidenbenz développe un langage chorégraphique et performatif, avec une approche qui pose la question du public, du contexte, et des interactions entre des questions d’ordre à la fois sociales, politiques et artistiques. En 2005, elle suit la formation pour artiste chorégraphique Exerce dirigée par Mathilde Monnier au CCN de Montpellier. Boursière à Danceweb, Impulstanz Festival, elle suit la formation Transforme dirigée par la chorégraphe Myriam Gourfink. En 2015, Tschägg reçoit la mention spéciale du jury au Concours Reconnaissance. En tant qu’interprète elle travaille avec Marco Berrettini, Mathilde Monnier et Olivier Dubois. Elle fait partie du réseau d’artistes Sweet&Tender Collaborations, dont elle est curatrice de l’édition 2012 à la Dampfzentrale à Berne. En 2015 elle rejoint le programme de Master en Expérimentation Arts et Politique à Sciences po Paris, dirigé par Bruno Latour. Elle participe en 2016 au séminaire «Art&Dissent, Negociating Space» à la ZHDK, Zürich. Mention spéciale du jury lors du Concours Reconnaissance 2015. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard de Choisy-le-Roi 30 Théâtre Paul Éluard Choisy-le-Roi mar 21 mars 20h00 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 14€ /12 € / 8€ -- Compagnie Mossoux-Bonté Belgique -- Durée : 18 min -- Tournée : 23 mars 2017 L’Avant-Scène (Cognac) Conception et chorégraphie : Nicole Mossoux Mise en scène : Nicole Mossoux en collaboration avec Patrick Bonté Interprètes et collaboration à la chorégraphie : Frauke Mariën, Shantala Pèpe Musique : Les anneaux de Marianson, interpretation Michel Faubert - orchestration Jérôme Minière Montage son : Thomas Turine Lumière : Patrick Bonté Assistanat : Julie Goldsteinas Régie générale : David Jans Collaborations/remerciements : Patricia Eggerickx, Fédra, Foty, Leslie Mannès, Mikha Wajnrych Une production de la Compagnie Mossoux-Bonté, avec le soutien des Brigittines - Centre d’Art contemporain du Mouvement de la Ville de Bruxelles, de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service de la danse et de Wallonie-Bruxelles International. CIE MOSSOUXBONTÉ - VICE VERSA Deux femmes se balancent, intriquées dans une intimité complice. Elles nous racontent la violence du monde et comment, soudées, elles tentent de s’en protéger. Leurs gestes fusionnels se découpent au rythme des quatrains d’une chanson ancienne : une complainte qui conte la cruauté de la jalousie et la cécité de la vengeance. Mais l’histoire se perd dans la lancinance hallucinée des corps, et le déploiement du geste rend caduque sa trame de violence. Vice Versa est le premier volet d’une série de courts récits dansés, les Miniatures, que la Compagnie Mossoux-Bonté met en chantier, ici avec deux de ses interprètes emblématiques, Frauke Mariën et Shantala Pèpe. -- Depuis leur rencontre en 1985, Nicole Mossoux et Patrick Bonté élaborent des spectacles aux frontières de la danse et du théâtre. La recherche qu’ils mènent, dans la diversité de ses réalisations, tend un miroir à notre inquiétante étrangeté, à nos fantasmes obscurs et interroge les incohérences de notre rapport au monde. Le duo qu’ils forment a cette force qui le fait durer, quand chacun prend tour à tour l’initiative d’un projet et que l’autre l’accompagne pour le pousser dans ses derniers retranchements. Ils s’entourent aussi d’interprètes capables de proposer des matières gestuelles qui alimenteront l’écriture des spectacles, ainsi que de musiciens, scénographes, costumiers, dont l’apport se fond inextricablement dans la réalisation des œuvres. Durant toutes ces années, les spectacles de la Compagnie ont été présentés un peu partout dans le monde. Parmi les plus célèbres : Simulation, Les petites morts, Les dernières hallucinations de Lucas Cranach l’Ancien, Twin Houses, Hurricane, Light ! ou plus récemment Histoire de l’imposture sont des oeuvres de suggestion qui tentent une exploration des zones troubles de la sensibilité afin de donner à voir et à penser autrement le rapport au monde : à travers une étrange familiarité, un humour, une intimité froide. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard de Choisy-le-Roi 31 Théâtre Paul Éluard Choisy-le-Roi mar 21 mars 20h00 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 14€ /12 € / 8€ -- Compagnie Roy Assaf Dance – Israël -- Durée : 25 min -- Tournée : 23 mars 2017 Centre Culturel André Malraux (Vandoeuvre) ; 25 mars 2015 – Théâtre de Brétigny ; 31 mars 2017 Théâtre en Dracénies (Draguignan) Chorégraphie : Roy Assaf Interprètes : Roy Assaf, Igal Furman, Avshalom Latucha Création costumes : Doron Ashkenazi Création lumières : Dani Fishof, Omer Sheizaf Musique originale et édition : Shlomi Bitton et Reut Yehudai Musique The Israeli Army March (The Israeli Army Band conducted de I.Graziani), Giv’at HaTahmoshet de Yoram Taharlev, I Started a Joke des Bee Gees Conseiller artistique : Ronit Ziv Production : Roy Assaf Dance Avec le soutien de The Choreographers association (Israël), Curtain Up Festival (Israël), The Israeli Festival, Le ministère de la Culture d’Israël. ROY ASSAF - LA COLLINE Danseur virtuose aux côtés d’Emanuel Gat, Roy Assaf fait aujourd’hui partie des chorégraphes israéliens qui comptent. Avec La Colline, il livre un trio directement inspiré par l’histoire israélienne. Sur scène, les trois interprètes livrent une danse virtuose, et souvent drôle, dans laquelle leurs gestes, fraternels et gamins, ponctuent une musique militaire israélienne qui semble trop grande pour eux. Quand se fait entendre le chant Givat Hatahmoshet une référence directe à l’un des sommets stratégiques de la Guerre des Six Jours de 1967, remportée par Israël – puis I started a joke des Bee Gees, on saisit pleinement la vision de Roy Assaf d’une jeunesse israélienne embarquée malgré elle dans un conflit territorial démesuré, condamnée à stationner absurdement sur une colline où il ne se passe rien. Prix du public et du jury au dernier concours (Re)connaissance. -- Roy Assaf, danseur et chorégraphe d’origine israëlienne, a suivi l’enseignement chorégraphique de Regba Gilboa, qui dirigeait un groupe de danseurs à Tel Aviv. Après sa rencontre avec Emanuel Gat, il danse aux États-Unis dans deux de ses créations : Winter Voyage et The Rite of Spring. Interprète virtuose de la compagnie d’Emanuel Gat, il devient son assistant chorégraphique en 2006. En 2005 Roy Assaf écrit sa première pièce, un duo We Came for the Wings à Tel Aviv. En 2010 Roy Assaf est nommé Artiste Associé de la compagnie de danse Nederlands Dans Theater (Pays-Bas), pour qui il crée la pièce Rock. Cette même année il signe le duo Six Years Later puis The Hill (2013) qui obtient la première place du Concours de chorégraphie à Hanovre puis un titre au Concours (Re)Connaissane deux ans plus tard. Ces récompenses lui permettent de se faire connaître auprès du public et du monde de l’art. Figure montante de la danse contemporaine israélienne, Roy Assaf a une réelle vitalité créative. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre Paul Éluard de Choisy-le-Roi 32 Salle Jacques Brel – Fontenay-sous-Bois jeu 23 mars 20h30 -- Tarif Pass : 12€ -- Tarif plein : 19€ -- Tarif réduit : 12 € / 8€ Théâtre Antoine Vitez Ivry-sur-Seine sam 25 mars 20h00 -- Tarif Pass : 10€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 15€ /10 € / 6€ -- Compagnie Nigeria -- Durée : 1h20 -- Tournée : 23 mars 2017 Centre Culturel André Malraux (Vandoeuvre) ; 25 mars 2015 – Théâtre de Brétigny ; 31 mars 2017 Théâtre en Dracénies (Draguignan) Chorégraphie : Qudus Onikeku Interprètes : Deborah Aiyegbeni, Sonia Al-Khadir, Gaëlle Ikonda, Tidiani N’Diaye, Qudus Onikeku, Gwen Rakotovao et Ese Brume (comédienne-conteuse) Texte : Ese Brume Création lumière : Matthew Yusuf Costumes et scénographie : Abolore Sobayo Coproduction : Parc de la Villette – Paris, Ballhaus Naunynstrasse – Berlin, CCN de Créteil et du Val-de-Marne / Cie Käfig, Collectif Culture Essonne, Fontenayen-Scènes – Fontenay-sousBois, Goethe Institute – Lagos, Théâtre de Choisy-le-Roi – Scène conventionnée pour la diversité linguistique, La Briqueterie/CDC du Val-de-Marne, Association BlonBa – Théâtre de L’Arlequin – Morsangsur-Orge Accueils en résidence : Association BlonBa – Théâtre de l’Arlequin – Morsang-sur-Orge, Parc de la Villette – Paris, CCN de Créteil et du Val-de-Marne / Cie Käfig, La Briqueterie/CDC du Val-de-Marne, Ballhaus Naunynstrasse – Berlin, Théâtre de Choisy-le-Roi – Scène conventionnée pour la diversité linguistique, Fontenay-en-Scènes – Fontenay-sous-Bois Mécènes Air France, Bank of Industry – Nigéria . Avec l’aide d’ARCADI Île-de-France La création We almost forgot est soutenue par l’Institut Français, Fonds Transfabrik – Fonds francoallemand pour le spectacle vivant. -- Né et grandi à Lagos en 1984. Diplômé du Centre National des Arts du Cirque en 2009, Qudus Onikeku voit son parcours influencé par les danses traditionnelles nigérienne, le hip hop, la capoeira, les vocabulaires contemporains et acrobatiques. Depuis plus de 10 ans, il a maintenu une présence remarquable sur la scène chorégraphique nigérienne, et fait partie de cette nouvelle génération montante de créateurs en Afrique. Il a participé, en tant qu’interprète, aux travaux de chorégraphes reconnus, comme Heddy Maalem, Sidi Larbi Cherkaoui, Georges Lavaudant et Jean-Claude Gallota. Depuis 2007, Qudus développe son art au plus près du public. Il a été nommé lauréat du programme « Envie d’agir / Défi jeune 2007 et Jeunesse Action » dirigé par la commission européenne. Le projet a également été récompensé par une bourse de la fondation Prince Claus Funds au PaysBas. Élu Danseur de l’année par le Future Awards (Nigéria) et il a gagné le premier prix solo au concours Danse l’Afrique Danse 2010 à Bamako avec la création My Exile is in my head. En Juillet 2011, il participe au Sujet à Vif du Festival d’Avignon avec sa création intitulée STILL / life. Il rejouera, en première et en 2013, au Festival Avignon Qaddish. QUDUS ONIKEKU - WE ALMOST FORGOT 1ère en Île-de-France Quelles traces garde notre corps des douleurs et traumatismes passés ? Comment parler de ces blessures lorsque l’on ne trouve pas les mots ? Avec We almost forgot, le chorégraphe nigérian Qudus Onikeku poursuit ses recherches autour de la capacité de stockage émotionnelle du corps. Il interroge notre mémoire charnelle et la façon dont nos corps s’expriment en gardant le souvenir des traumatismes passés que l’on s’est efforcé d’oublier. Il construit une fiction pour six danseurs-interprètes et une conteuse, entre narration, chants et mouvements. La puissance de la chorégraphie est rythmée par le récit d’histoires personnelles, des témoignages brefs et incisifs. Dans un décor qui gomme tout contexte temporel et géographique, les corps transforment les souvenirs lourds et étouffants en une danse brute et incandescente. Rencontre du présent et du passé, We almost forgot est une expérience de catharsis qui transcende par le geste la douleur inexprimée dans un élan libérateur d’une grande intensité. Un spectacle en coréalisation avec Fontenay-en-Scènes et le Théâtre Antoine Vitez d’Ivry-sur-Seine 33 Théâtre de Chatillon ven 24 mars 20h30 -- Tarif Pass : 8€ -- Tarif plein : 16€ -- Tarif réduit : 13€ /10 € / 6€ -- Compagnie Mossoux-Bonté Belgique -- Durée : 1h05 -- Tournée : 28 mars 2017 – La Rose des Vents (Villeneuve d’Ascq) Conception : Patrick Bonté Mise en scène et chorégraphie : Nicole Mossoux et Patrick Bonté Interprétation : Sébastien Jacobs, Leslie Mannès, Frauke Mariën, Maxence Rey, Marco Torrice Musique originale : Thomas Turine Scénographie : Didier Payen Costumes : Colette Huchard Lumière : Patrick Bonté Direction technique : Jean-Jacques Deneumoustier Régie générale : David Jans Production : Compagnie MossouxBonté Coproduction avec les Brigittines (Bruxelles). Avec le soutien du Phare (Centre Chorégraphique National du Havre et de Haute Normandie), du Théâtre Paul Eluard (Scène Conventionnée - Bezons), du DSN (Scène Nationale de Dieppe), de la Rose des Vents (Scène Nationale Lille Métropole Villeneuve d’Ascq), du Théâtre de Châtillon et de la Biennale Nationale de Danse du Val de Marne (CDC La Briqueterie). CIE MOSSOUXBONTÉ - A TASTE OF POISON Cinq individus se mettent en tête de prendre au pied de la lettre le formatage des personnes préconisé de nos jours. Ils adoptent un ensemble de conduites qui semblent libérer les nerfs : addictions, passages à l’acte, jeux de pouvoir, profits sans gêne, comportements pervers, pulsions libérées de leur frein moral et qui se transforment assez rapidement en tristes passions. Ils expérimentent avec grand soin et sérieux : ils veulent éprouver ce que « ça leur fait ». Mais la machine s’emballe, les gestes délirent et détournent le sens, dans une sensation d’étrangeté qui vacille entre rire et larmes. Avec les cinq interprètes d’Histoire de l’imposture créé en 2013 les chorégraphes bruxellois Nicole Mossoux et Patrick Bonté poursuivent une lecture fantasmatique de l’univers contemporain, usant du mouvement et de la présence comme de clés d’interprétation et d’invention. Entre théâtre et danse, ils tendent à nouveau un miroir à notre inquiétante étrangeté, à nos fantasmes obscurs et interroge les incohérences de notre rapport au monde. Un spectacle en coréalisation avec le Théâtre de Châtillon 34 Maison des Arts Créteil ven 24 mars 19h30 sam 25 mars 19h30 -- Tarif Pass : 10€ -- Tarif plein : 20€ -- Tarif réduit : 10€ -- Compagnie Chris Haring Liquid Loft -- Durée : 1h10 Chorégraphie et direction artistique : Chris Haring Liquid Loft Interprètes : Luke Baio, Stephanie Cumming, Katharina Meves, Anna Maria Nowak Sculptures végétales / Regard extérieur : Michel Blazy Conception sonore et composition : Andreas Berger Conception design plateau et dramaturgie : Thomas Jelinek Responsable scène : Roman Harrer Theory : Thomas Edlinger Documentation : Michael Loizenbauer Internationale Représentation : Line Rousseau, A PROPIC Production : Marlies Pucher Coproduction : Tanzquartier Wien and Liquid Loft. En coopération avec Korzo Den Haag et Le Centquartre Paris. Liquid Loft est soutenu par City of Vienna (MA7 -Kulturabteilung der Stadt Wien) et the Austrian Federal Ministry for Education, Arts & Culture (BMUKK) -- Le chorégraphe autrichien, Chris Haring, a travaillé avec des chorégraphes et des compagnies tels que DV8 Physical Theatre, Nikolais/Luis Dance Cie, man act (GB), Nigel Charnock. En coopération avec l’artiste et compositeur multimédia Klaus Obermaier, il a développé les performances de danse-vidéo D.A.V.E. et VIVISECTOR qui ont eu un grand succès dans le monde entier. L’une des principales influences pour ces performances, telles que Fremdkörper (Meilleure Performance à la Biennale de La Danse à Lyon en 2004), est la science-fiction et le corps humain en tant que paysage cyber- nétique. Depuis 2005, il est le directeur artistique de Liquid Loft. Il a chorégraphié des performances telles que Kind of Heroes, Running Sushi, Talking Head et The Perfect Garden Series. En 2007, Posing Project Series a été créé et Posing Project B – The Art of Seduction a remporté le Lion d’Or pour la meilleure performance à Biennale de Venise. En 2010, Chris Haring a reçu l’“Outstanding Artists Award” pour les arts du spectacle du Ministère Fédéral des Arts autrichien (BMUKK). Avec Liquid Loft, il a été en charge de la représentation d’ouverture pour le Pavillon autrichien au EXPO à Saragosse (2008). Dernièrement, il a également chorégraphié des pièces pour des groupes internationaux tels que le Jin Xing Dance Theatre Shanghai, Les Ballets de Monte-Carlo, Dialogue Dance, le Staatstheater Kassel, les ballets de Moscou et le Ballet de Rome. CHRIS HARING - DEEP DISH – THE PERFECT GARDEN SERIES Un dîner se transforme en un parcours aventureux à travers les dimensions des macrocosmes et des microcosmes. Les images diffusées en direct par une caméra portative, mises en scène par les interprètes, mènent vers des mondes parallèles bizarres d’objets organiques. Les méthodes de tournage, conjuguées aux contorsions acoustiques, évoquent les métaphores des jardins baroques, des plaisirs terrestres et de leur disparition inévitable. Une société, mue par le désir et la curiosité, qui célèbre avec extravagance, mais aussi cynisme, sa propre éphémérité dans les dimensions multiples de la réalité, projetée sur un grand écran. Dans cette nature morte, tout mouvement et comportement humain est inexorablement absorbé par l’opulence de la Nature. Dans la série Perfect Garden de Liquid Loft, créée en collaboration avec le remarquable artiste Michel Blazy, le motif du jardin est une expression de la tentative des hommes de contrôler, et de leurs vains efforts pour échapper à leur propre éphémérité, mais également une image de croissance et de prolifération qui aboutit constamment à l’évolution d’une chose nouvelle. Un spectacle en coréalisation avec la MAC de Créteil 35 Maison des Arts Créteil ven 24 mars 21h00 sam 25 mars 21h00 -- Tarif Pass : 20€ -- Tarif plein : 30€ -- Tarif réduit : 20€ Centre des bords de Marne Le Perreux-surMarne mar 28 mars 20h30 -- Tarif Pass : 20€ -- Tarif plein : 30€ -- Tarif réduit : 20€ Salle Lino Ventura Athis-Mons sam 1er avril 20h30 (version non live) -- Tarif Pass : 8€ -- Tarif plein : 18€ -- Tarif réduit : 16€ Chorégraphie : Christian et François Ben Aïm Ecriture dramaturgique : Guillaume Poix Composition originale et direction musicale : Ibrahim Maalouf Quatuor Voce : Sarah Dayan, violon ; Cécile Roubin, violon ; Guillaume Becker, alto ; Lydia Shelle, violoncelle et un percussionniste. Interprètes : Fabien Almakiewicz, Christian Ben Aïm, François Ben Aïm, Félix Heaulme Musiciens : Ibrahim Maalouf et quartet à cordes Création lumières : Laurent Patissier Production : CFB 451 Coproductions : Théâtre de l’Archipel, scène nationale de Perpignan ; Biennale de danse du Val- de-Marne ; Centre des bords de Marne, scène publique conventionnée du Perreux-surMarne ; Théâtre de Châtillon ; Théâtre Paul Eluard, Bezons ; Le Théâtre des Bergeries, Noisy-leSec Soutien : Théâtre de la Ville d’Aurillac Résidences : La Briqueterie - CDC du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine ; Théâtre de Châtillon ; Théâtre Paul Eluard, Bezons ; Scène nationale de Cavaillon en partenariat avec le CDC - Les Hivernales dans le cadre du Festival Les Hivernales Prêt de studios : CND de Pantin La compagnie reçoit le soutien de la DRAC Île-de-France – Ministère de la Culture et de la Communication, de la Région Île-de-France au titre de la Permanence Artistique et Culturelle et de l’Emploi tremplin, et du Conseil départemental du Val-de-Marne. La compagnie est en résidence au Centre des bords de Marne (94). La compagnie est associée au Théâtre de Châtillon (92) à partir de 2017 -- Compagnie CFB 451 - France -- Durée : 1h00 -- Les frères Ben Aïm, c’est tout cela à la fois : plus d’une vingtaine de créations depuis 1997 qui s’échelonnent sur quinze ans de collaboration en binôme, renforcées par des complicités artistiques venues de tous horizons. Formés à la danse, au théâtre physique, et au cirque, ils commencent, chacun de leur côté, un parcours d’interprète au Canada et en France. Leur réunion a ensuite posé les bases de leur compagnie, duo-tandem fraternel : la réflexion de l’un croise l’instinct de l’autre et vice versa, dans une confrontation qui appelle à des projets artistiques en constante évolution. En 1997, la pièce A l’abri du regard des hommes, avant d’aller mourir ailleurs est un acte fondateur, une pièce hybride où danseurs et comédiens partageaient la même énergie physique et brute. Suivront dans la même veine La Frontera ou Ne vous fiez pas au titre, il peut encore changer, pour une danse non dénuée d’humour et pleine de surprises. Parmi leurs pièces emblématiques, on retient également le diptyque autour de l’univers de Bernard-Marie Koltès, Carcasses, un œil pour deux et En plein cœur où le texte résonne dans une scénographie et une création musicale sur-mesure. L’Ogresse des archives et son chien joue pleinement le croisement entre les disciplines, tandis que Valse en trois temps flirte avec le dépouillement. Sans oublier des œuvres in situ, comme le monumental Mangrove Groove en Chine, ou le tout-terrain Karma dans le Nord-Pas-de-Calais. Récemment, la fratrie a crée La légèreté des tempêtes (2013) et Peuplé, dépeuplé (2016). CHRISTIAN & FRANÇOIS BEN AÏM ET IBRAHIM MAALOUF - BRÛLENT NOS CŒURS INSOUMIS (VERSION LIVE) 1ère en Île-de-France Fruit d’une étroite collaboration entre les chorégraphes Christian et François Ben Aïm, Ibrahim Maalouf pour la composition musicale et Guillaume Poix pour la dramaturgie, Brûlent nos cœurs insoumis interroge avec intensité et dérision ce qui conditionne notre destin et notre extravagance à le déjouer. Quatre hommes, quatre frères, quatre étrangers, quatre corps se partagent le plateau, s’inventent et s’échangent les rôles, se jouent des configurations multiples ; et sont amenés par les circonstances à se livrer corps et âmes. Une oeuvre chorale et composite, tel un kaléidoscope, qui explore la notion de fraternité et la figure de l’insoumis, envisagé comme celle ou celui qui montre une énergie spéciale, un courage insurrectionnel pour opposer sa volonté à l’injustice, à la pression morale, à l’air du temps. Brûlent nos coeurs insoumis révèle la force singulière de l’insoumis qui, par son engagement rend possible la nouveauté et ravive nos appétits d’audace et de liberté. Avec la présence d’Ibrahim Malouf sur scène. Un spectacle en coréalisation avec la MAC de Créteil ; le Centre des bords de Marne, scène publique conventionnée ; Le Collectif Essonne Danse. 36 Mac/Val Vitry-sur-Seine dim 26 mars 15h00 à 18h00 -- Accessible avecun billet d’entrée au musée : 5€ / 2,50€ -- Le Musée de la danse – CCN Rennes -- Durée : 3h00 Un projet proposé par Boris Charmatz / Musée de la danse Interprètes : Mithkal Alzghair, Nadia Beugré, Dimitri Chamblas, Ashley Chen, Raphaëlle Delaunay, Olga Dukhovnaya, Fabrice Mazliah, Yves-Noel Genod, Peggy Grelat Dupont, Samuel Lefeuvre, Mani Mungai, Annabelle Pulcini, Marlène Saldana, Frank Willens (distribution en cours) Production : Musée de la danse / Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne - Direction : Boris Charmatz. Association subventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication (Direction régionale des Affaires culturelles / Bretagne), la Ville de Rennes, le Conseil régional de Bretagne et le Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine. www.museedeladanse.org -- Danseur, chorégraphe et directeur du Musée de la danse / Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, Boris Charmatz soumet la danse à des contraintes formelles qui redéfinissent le champ de ses possibilités. La scène lui sert de brouillon où jeter concepts et concentrés organiques, afin d’observer les réactions chimiques, les intensités et les tensions naissant de leur rencontre. D’Aatt enen tionon (1996) à manger (2014), il a signé une série de pièces qui ont fait date, en parallèle de ses activités d’interprète et d’improvisateur (récemment avec Médéric Collignon, Anne Teresa De Keersmaeker et Tino Sehgal). Artiste associé de l’édition 2011 du Festival d’Avignon, Boris Charmatz crée à la Cour d’honneur du Palais des papes enfant, pièce pour 26 enfants et 9 danseurs. Invité au MoMA (New York) en 2013, il y propose Musée de la danse : Three Collective Gestures, projet décliné en trois volets et visible durant trois semaines dans les espaces du musée. Après une première invitation en 2012, Boris Charmatz a été à nouveau présent en 2015 à la Tate Modern (Londres) avec le projet If Tate Modern was Musée de la danse ? comprenant des versions inédites des projets chorégraphiques À bras-le-corps, Levée des conflits, manger, Roman Photo, expo zéro et 20 danseurs pour le xxe siècle. La même année, il ouvre la saison danse de l’Opéra national de Paris avec 20 danseurs pour le xxe siècle et invite 20 danseurs du Ballet à interpréter des solos du siècle dernier dans les espaces publics du Palais Garnier. À partir de septembre 2017, Boris Charmatz sera également artiste associé à la Volksbühne, Berlin. BORIS CHARMATZ - 20 DANSEURS POUR LE XXÈME SIÈCLE Une histoire de la danse partout autour de nous Comment danser dans une bibliothèque ? Dans un hall d’entrée ? Danser dans un espace public, un espace de lecture, de déambulation - sans s’y fondre ? Rendre visible le corps dansant au milieu d’autres corps en transit ? Pour son invitation au MAC/VAL, le Musée de la danse de Boris Charmatz a choisi de se placer sur le terrain de la transmission et de la dissémination, en proposant un panorama de la danse du xxe siècle. Vingt interprètes tout-terrain ont investi les couloirs, les salles de lecture et les escaliers de ce lieu de savoirs, exposant certains des solos qui ont marqué le xxe siècle : une balade chorégraphique où les moniteurs vidéos diffusant des extraits d’archive, ont joué le rôle de petits cailloux. Au cours de sa promenade, le public a pu découvrir ces étranges visiteurs en mouvement dispersés dans l’architecture. Tomber, au détour d’un rayonnage, sur un solo de Merce Cunningham. Plu loin, sur une danse d’Isadora Duncan. Et recomposer à sa guise une histoire vivante, non-linéaire - où se perdre, s’attarder, naviguer d’écho en écho, de geste en geste… Un spectacle en coréalisation avec le MAC VAL, musée d’art contemporain du Val-de-Marne, conservatrice en chef, Alexia Fabre. 37 Brûlent nos coeurs insoumis - Christian et François Ben Aïm ©Marcus Møller Bitsch MOTOCROSS- Maud Le Pladec ©Eric Soyer - 38 Mac/Val Vitry-sur-Seine 28,29,30,31 mars 14h00 à 18h00 -- Entrée libre avec billet du musée 5€ -- Durée : 4h00 Avec les chorégraphes : Tatiana Julien, Juan Dante Murillo, Fabio Novembrini, Connor Schumacher et Lucy Suggate Vidéastes : Bertrand Guerry et Thibaut Ras Reporter : Marie Pons DANCING MUSEUMS (CITÉ ÉPHÉMÈRE DE LA DANSE) Un projet de Tatiana Julien avec Juan Dante Murillo, Fabio Novembrini, Connor Schumacher et Lucy Suggate. Les artistes de Dancing Museums vous invitent à partager et construire ensemble La Cité éphémère de la danse au Musée MAC VAL à Vitry-sur-Seine. La Cité de la danse est un espace d’incubation de la création chorégraphique, un laboratoire partagé, une installation participative inédite des backstages de la danse. Pendant 4 jours, 5 chorégraphes internationaux répondent à l’utopie d’une écologie de la danse, tous les après-midis. Ils partagent le plus largement possible leur monde, livrent leur démarche, confessent, dialoguent, performent, interagissent, recherchent pour et avec un public placé au cœur du dispositif. Ici s’ouvre un pôle éphémère de ressources dans une cité sans mur : venez vivre l’expérience au Mac Val, à la Briqueterie, au dehors et sur l’espace virtuel. Prenez-en possession et rendez-le massif, sur #dancingmuseums! Dancing Museums est un projet de partenariat mené par La Briqueterie en association avec quatre centres européens dédiés à la danse et huit musées de renommée internationale. 5 chorégraphes internationaux explorent de nouvelles méthodes d’interaction avec le public, il s’agit de Tatiana Julien, Juan Dante Murillo, Fabio Novembrini, Connor Schumacher et Lucy Suggate. Sélectionnés chacun par un centre, ils ont travaillé ensemble pendant les dernières deux ans sous pour mettre en place des nouvelles œuvres participatives et performatives dans chacun des musées des cinq villes européennes. Un spectacle en coréalisation avec le MAC VAL, conservatrice en chef, Alexia Fabre. 39 La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne – Vitry-sur-Seine mar 28 mars 19h00 -- Tarif Pass : 9€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 9€ / 6€ Chorégraphie : Boris Charmatz et Dimitri Chamblas Lumière : Renaud Lapperousaz Régie lumière : Yves Godin ou Madjid Hakimi Musique : Paganini Caprices, n°1, 10 et 16, Itzhak Perlman, violon Emi Classics CDC 7 471 71 2 Production : Musée de la danse Coproduction : Villa Gillet-Lyon À bras-le-corps a été créé le 13 janvier 1993 à La Villa Gillet-Lyon. -- Musée de la danse Centre chorégraphique de Bretagne - France -- Durée : 40 min BORIS CHARMATZ ET DIMITRI CHAMBLAS À-BRAS-LECORPS Compagnons de route depuis leurs études au Conservatoire, Boris Charmatz et Dimitri Chamblas ont imaginé au début des années 1990 une chorégraphie guidée par la sensation de fatigue, de masse rampante, de chute, de corps à l’énergie mourante. Le martèlement des pieds, le souffle tour à tour lourd ou léger rythment cette danse dont la proximité avec le spectateur empêche toute échappatoire, tant pour les danseurs que pour le public mis au cœur du spectacle. Cette proximité avec les corps permet au spectateur d’apprécier la physicalité de leurs soli. Sur la musique de Paganini, les exercices physiques impressionnent. Ils se manipulent avec rudesse, se roulent, luttent comme des frères siamois, puis se détachent, pour faire, seuls, l’expérience de leurs propres limites. Ensemble, ils semblent dire l’extraordinaire résistance de l’esprit autant que du corps humain. Avec le temps, cette chorégraphie a évolué, l’expérience du danseur laissant place à plus de légèreté, d’ironie, d’énergie, et accueillant la maturité des deux hommes. La nature du projet l’engage à investir des lieux multiples, à frapper des terres et des sols infiniment divers, comme l’Opéra Garnier qui intègre dans son répertoire cette saison ce duo devenu classique de la danse contemporaine. -- Diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon, Dimitri Chamblas participe à la création de Sentiers de Bernard Glandier avant d’être engagé comme danseur permanent par Régine Chopinot en 1993. À partir de 1997, il s’engage aux côtés de Mathilde Monnier au CCN de Montpellier et interprète le duo Tout Contre d’Emmanuelle Huynh. Au début des années 2000, il développe un travail dans le domaine de l’audiovisuel et réalise successivement Horace-Benedict (en collaboration avec Aldo Lee), La Clé des Lieux et À nos endroits. En 2002, il commence à travailler comme 1er assistant réalisateur dans le milieu de la publicité. Il collabore entre autres avec Tranh anh Hung, Jacques Audiard, César Vayssié et les Zoo. Depuis 2005, il est producteur associé de Same Production et accompagne le développement de jeunes réalisateurs. 40 La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne – Vitry-sur-Seine mar 28 mars 21h00 -- Tarif Pass : 9€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 9€ / 6€ -- Compagnie de Soi – France -- Durée : 1h00 -- Les 10, 11 et 12 mai 2017 – Le Grand T (Nantes) Conception, chorégraphie : Radhouane El Meddeb Assistant à la création : Moustapha Ziane Interprètes : Youness Aboulakoul, Rémi Leblanc-Messager, Philippe Lebhar, Arthur Perole Scénographie : Annie Tolleter Lumières : Xavier Lazarini Sonographie : Stéphane Gombert Vidéo : Cécile Perraut en collaboration avec Feriel Ben Mahmoud Régie générale : Bruno Moinard Production : La compagnie de SOI Coproduction : le CENTQUATRE Paris / le Centre Chorégraphique National de Montpellier Languedoc-Roussillon Programme Résidences / Centre de Développement Chorégraphique Toulouse - Midi-Pyrenées Accueil en résidence / La Filature Scène nationale de Mulhouse / la Ferme du Buisson Scène nationale de Marne la Vallée / Le WIP Villette. RADHOUANE EL MEDDEB AU TEMPS OÙ LES ARABES DANSAIENT… Avec l’aide à la production d’Arcadi Île-de-France et le soutien à la création de la DRAC Île-de-France, la Fondation Beaumarchais et le Centre National du Théâtre. La danse de Radhouane El Meddeb, artiste tunisien, est parfois critique ou humoristique. Elle est aussi source et lieu de mémoire. Selon lui, « les Arabes ont longtemps vécu sur des rythmes magiques, ceux des films des années 40, 50, 60 et 70… avec leur féerie, leur décor de carton pâte et leur atmosphère toute faite de faux et de clinquant.». Aussi dans sa création 2014, Au temps où les Arabes dansaient, l’artiste chorégraphie pour quatre interprètes masculins une sorte de paysage documentaire qui allie la magie du factice à la nostalgie d’une époque. Le spectacle chemine sur la mémoire des mots et des musiques des grands artistes orientaux de l’Egypte, du Liban et de la Tunisie. Entre images d’archives, ambiances issues de l’âge d’or du cinéma arabe, danses traditionnelles (dont la danse du ventre) et music-hall, Radhouane El Meddeb s’attache à montrer combien ces formes populaires sont l’expression festive et généreuse d’un peuple qui aime la vie et la liberté. Il conte un rêve éveillé qui est aussi un acte politique face aux menaces que les extrémismes religieux font peser sur les femmes, la culture et les artistes. 41 La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne – Vitry-sur-Seine jeu 30 mars 19h30 -- Tarif unique : 6€ -- Durée : 30 min Conception, chorégraphie : Radhouane El Meddeb Assistant à la création : Moustapha Ziane Interprètes : Youness Aboulakoul, Rémi Leblanc-Messager, Philippe Lebhar, Arthur Perole Scénographie : Annie Tolleter Lumières : Xavier Lazarini Sonographie : Stéphane Gombert Vidéo : Cécile Perraut en collaboration avec Feriel Ben Mahmoud Régie générale : Bruno Moinard Production : La compagnie de SOI Coproduction : le CENTQUATRE Paris / le Centre Chorégraphique National de Montpellier Languedoc-Roussillon Programme Résidences / Centre de Développement Chorégraphique Toulouse - Midi-Pyrenées Accueil en résidence / La Filature Scène nationale de Mulhouse / la Ferme du Buisson Scène nationale de Marne la Vallée / Le WIP Villette. Avec l’aide à la production d’Arcadi Île-de-France et le soutien à la création de la DRAC Île-de-France, la Fondation Beaumarchais et le Centre National du Théâtre. -- Frank Micheletti reçoit une formation de théâtre avec Jean-Pierre Raffaelli, travaille avec Hubert Colas et Isabelle Pousseur, puis décide de s’orienter vers la danse. Avant de créer la compagnie Kubilai Khan investigations, Frank Micheletti a accompagné Joseph Nadj sur plusieurs créations en tant que danseur et en tant qu’assistant à la mise en scène pour Le Cri du caméléon réalisé pour le Centre National des Arts du Cirque. D’autres collaborations parallèles se construisent : participation au Crash Landing, séries d’improvisations initiées par Meg Stuart au Théâtre de la Ville. En 1996, il fonde avec Cynthia Phung-Ngoc, Ivan Mathis et Laurent Letourneur, la compagnie Kubilai Khan Investigations et signe comme directeur artistique une vingtaine de pièces du groupe dont les plus récentes sont : Bien sûr que les choses tournent mal (2015), Your Ghost is not enough (2014) Mexican Corner (2013), Tiger Tiger Burning Bright (2012), tous témoins de la raison d’être de sa troupe : croiser les regards, échanger les savoir-faire, qu’il aille es chercher en Afrique ou en Amérique latine. FRANK MICHELETTI ET CHARLES ROBINSON THE SPLEEN CONCORDAN(S)E Entre mot et geste : une rencontre inédite entre une écrivain et un chorégraphe The spleen : Nous ne sommes pas tranquilles avec les malheurs du monde. Nos corps incorporent des toxiques. Ils grouillent, râlent, protestent et craquent. Nos symptômes chantent avec les humiliés. Nous avons pourtant l’intuition d’autres possibles, où jouent les écosystèmes, les entrailles, les liens souples, les formes de vie, les escapades et les raccourcis. Alors, imaginons une science : la spleenologie, qui devrait autant à l’étude des ruses primitives qu’à la lecture de très anciens traités chinois. Une science qui serait à la fois une méthode archéologique, un art martial, une hypothèse thérapeutique. En usant des arts spleenétiques, nous ploieront et déplieront des voix, des corps, des aventures proches ou lointaines, des récits parallèles et méconnus, pour exsuder le Spleen qui empoisonne nos existences. Concordan(s)e, commande est passée à un chorégraphe et un écrivain qui ne se connaissent pas au préalable. Ils vont découvrir leurs expériences respectives, cheminer ensemble pour nous dévoiller le fruit de leurs échanges, de ces croisements entre le geste et le mot. Le chorégraphe et l’écrivain interprètent ensuite face au public une chorégraphie et un texte inédits. Franck Micheletti, directeur de la compagnie Kubilai Khan Invesitgations qui ne cesse depuis 1996 de croiser les regards, échanger les savoir-faire, en Afrique ou en Amérique latine, rencontre ici Charles Robinson est un écrivain français, explorateur des marges. Il est l’auteur de trois livres publiés chez Fiction & Cie (Seuil) : Génie du proxénétisme (2008) et Dans les Cités (2011) et récemment Fabrication de la guerre civile (2016). 42 La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne – Vitry-sur-Seine jeu 30 mars 21h00 ven 31 mars 21h00 Conception, chorégraphie, interprétation : Maud Le Pladec Discographie, DJ : Julien Tiné Texte : Maud Le Pladec, Vincent Thomasset Scénographie et création lumières : Eric Soyer Création costumes : Alexandra Bertaut -- Tarif Pass : 9€ -- Tarif plein : 12€ -- Tarif réduit : 9€ / 6€ Aide à la chorégraphie pour les parties d’inspiration Funkstyle, Boogstyle & House : Alice Liss Funk Regard extérieur : Julien Gallée Ferré Régie générale : Max Potiron et Fabrice Le Fur Régie lumières : Nicolas Marc Régie son : Vincent Le Meur -- Centre chorégraphique national d’Orléans -- Durée : 50 min Conception dispositif musical : Pete Harden Documentation : Youness Anzane Répétition voix : Dalila Khatir Production : Association Léda et Centre Chorégraphique National d’Orléans Coproduction : La Briqueterie/ CDC, Théâtre National de Chaillot (en cours), Les Subsistances-Lyon, Pole Culturel d’Alfortville Avec le soutien de : Conseil départemental du Val-de-Marne dans le cadre de l’aide à la création MAUD LE PLADEC MOTO-CROSS Création Biennale 2017 « Enfant, je danse sur les musiques pop de la disco-mobile de mon père, je suis peinte en tutu rose sur la portière de sa camionnette, je cours de galas en compétitions de moto-cross, mon père aime la danseuse qu’il a fait peindre sur sa camionnette et j’aime que mon père l’aime. Mais je sais déjà que je ne deviendrai jamais la danseuse en tutu rose peinte sur le C35 et pourtant c’est bien grâce à elle que je suis devenue l’interprète que je suis aujourd’hui ». Maud Le Pladec Le projet Moto-Cross trouve sa source dans cette parabole - cette danseuse en tutu que la chorégraphe n’est jamais devenue – pour mieux interroger des questions liées à la transmission, l’héritage et la construction sociale. Maud Le Pladec interprète un solo partant de son propre récit de vie et de danseuse. Cette autofiction traite ainsi de la question de la mémoire, de la disparition et de l’émancipation sociale et intellectuelle. Mais aussi de la «culture pop» (ou «pop culture») terme désignant un courant contestataire de la fin des années 50 dans l’art et dans la musique. Auto-fiction mettant en perspective ces questions à partir de souvenirs, d’expériences, de récits de vie qui constitueront le sous-texte de cette « légende » personnelle, prélevant des échantillons du réel et en les confrontant au monde d’aujourd’hui, Vincent Thomasset travaille un texte qui mettra en relation la construction personnelle et les normes culturelles. Une façon d’ausculter les symptômes contemporains d’une société. 43 LAURENT BLONDIAU & SALIA SANOU SOUFFLE RIT SOUFFLE DANSE ORLY - CENTRE CULTUREL ARAGON TRIOLET dimanche 12 mars 14h30 VITRY-SUR-SEINETHÉÂTRE JEAN-VILAR samedi 19 mars – 14h30 PARIS – GRANDE HALLE DE LA VILLETTE dimanche 26 mars – 16h AUTOUR DES SPECTACLES Un spectacle performance qui investit la place publique avec 60 musiciens et danseurs amateurs conduits par Salia Sanou et Laurent Blondiau. Souffle rit / Souffle danse réunit des danseurs et musiciens amateurs qui, le temps d’une performance en extérieur, vous invitent à partager l’univers de Laurent Blondiau et Salia Sanou. Souffle rit / Souffle danse ou l’occasion de danser, jouer, rencontrer, inventer, déambuler. Un projet né de la rencontre de Salia Sanou, chorégraphe originaire du Burkina Faso, et de Laurent Blondiau, trompettiste du collectif belge Mâäk pour la création du spectacle Kawral . Un projet qui se joue des frontières entre danse et musique, entre dedans et dehors, entre ceux qui pratiquent musique ou danse depuis longtemps et ceux qui se lancent, un projet de partage pour dépasser les frontières, quelles qu’elles soient ! Un projet de Salia Sanou et Laurent Blondiau, initié par la Briqueterie-CDC du Val-de-Marne et coréalisé en partenariat avec MET-X (BE), Compagnie Mouvements Perpétuels (FR), Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine (FR), Centre culturel communal d’Orly (FR), La Villette (FR) et La Briqueterie-CDC du Val-de-Marne (FR). En partenariat avec l’ADIAM 94. ATELIERS POUR ADOS ET ADULTES # # Ateliers Kaléidoscope Depuis son inauguration, la Briqueterie propose des ateliers - ouverts à tous - avec ses artistes en résidence. Elle donne ainsi la possibilité à chacun de découvrir des écritures chorégraphiques très différentes. Tout le long de sa saison 2016-17, elle a demandé aux artistes programmés à sa Biennale de danse de vous faire découvrir leur univers de création. Profitez-en ! Mardi 28 février avec Radhouane El Meddeb » 19h30 à 22h00 Peut-on partir d’un geste simple, un mouvement… Une danse… une présence quelque part sur scène… Peut-on s’y cacher pour dire un dernier mot, avouer un secret… une révélation… s’abandonner par pudeur pour un ailleurs… Seul… en évitant le regard de l’autre… s’écarter de tous… Comment révéler cette charge émotionnelle si intense et la faire vibrer ? Expérience traversée par Radhouane El Meddeb pour sa création, A mon père, une dernière danse et un premier baiser, et qu’il se propose de vous faire partager… Mardi 14 mars avec Denis Plassard » 19h30 à 22h L’atelier se développera autour de la notion de manipulation en lien avec la pièce Albertine, Hector et Charles. Ici pas de marionnette (contrairement au spectacle), ce sont les corps vivants qui seront manipulés. L’atelier commencera avec des jeux simples et enfantins pour aboutir à des mécanismes complexes d’interaction en duo ou par groupes. Les participants seront tour à tour ou simultanément, manipulés et manipulateurs pour ouvrir de multiples champs d’exploration et de composition du mouvement. Tarifs et inscription Plein Tarif: 18€ Tarif Réduit : 14€ (pour les demandeurs d’emploi, étudiants et retraités) PassDécouverte : 30€ qui inclut votre 1er atelier à 10€ puis tous les autres de la saison au même tarif privilégie + 1 place pour un spectacle de la Biennale (sauf soirées spécifiques) + le PassBrique qui vous donne accès à tous les spectacles de la Biennale à des tarifs préférentiels. + d’Infos au 01 46 86 17 61 ou [email protected] EXPOSITION PHOTO # # Hors Sol de Denis Plassard du 22 février au 9 mars - Vincennes, Place Pierre Sémard le 11 mars (jour du spectacle) - Vincennes, Auditorium Jean-Pierre Miquel Depuis le début de ma carrière de danseur et de chorégraphe, je nourris une passion secrète pour la photographie que je pratique en amateur. Un workshop avec la photographe Claudine Doury aux Rencontres d’Arles 2015 m’a permis de réunir ces deux recherches dans un même projet : Hors Sol. Le principe de la performance est simple : comme photographe je choisis un endroit, un cadre, une lumière, des réglages et comme danseur je me propose de porter des volontaires pour réaliser une série originale de portraits. Depuis la première série à Arles, je m’impose deux règles : le sujet porté doit regarder l’appareil et mon visage doit toujours être caché. EXPOSITION PHOTO # # Brûlent nos coeurs insoumis Patrick Berger du 22 au 31 mars - Créteil, Maison des Arts mardi au samedi de 13h à 18h30 + soirs de représentation RENCONTRES & DISCUSSIONS ## Colloque dansé : « Danse contemporaine : questions d’Afrique » Dans le cadre du festival Rencontres Essonne Danse 2017 Samedi 18 mars 2017de 14h30 à 19h à Morsang-sur-Orge, Salons du Château avec Qudus Onikeku, Vincent Mantsoé*, Souleymane Sanogo, Salah Keïta, Michel Onomo… » 14h30 – Vincent Mantsoe, GULA programme présenté avec la Briqueterie-CDC du Val-de-Marne » 20h30 : Représentation de S/T/R/A/T/E/S Quartet de Bintou Dembélé Cie Rualité Le colloque dansé donnera la première place à ce que dit la danse, à travers de courtes pièces ouvrants chacune sur une problématique, notamment autour de l’Histoire de la conjonction entre la danse contemporaine en Occident et en Afrique, et autour des lignées qui ne procèdent pas des pratiques « savantes » telles que le hip-hop. Après chaque moment dansé, un débat s’engagera avec les artistes et des personnalités concernés. Choix des intervenants en cours de programmation. *Organisé par le Collectif Essonne Danse, en partenariat avec la ville de Morsang-sur-Orge * Vincent Mantsoe, GULA avec le soutien de l’Institut français dans le cadre du programme « Danse l’Afrique danse ! « et le partenariat officiel de Total. + d’Infos : www.rencontresessonnedanse.com ## COLLOQUE INTERNATIONAL « Dancing Museums » Samedi 25 mars 2017 au Musée du Louvre – Paris avec Tatiana Julien, Juan Dante Murillo, Fabio Novembrini, Connor Schumacher et Lucy Suggate » de 10h à 12h et de 14h à 16h : à l’Auditorium du Louvre Le projet Dancing Museums a permis à 5 chorégraphes de travailler pendant deux ans au contact avec les responsables de la médiation de 8 musées internationaux, dans différentes villes européennes. Cette table ronde est une occasion pour partager avec le public 2 années de recherche et plus encore sur un laboratoire de recherche inclassable et non spectaculaire comme Dancing Museums. Ça sera aussi l’occasion pour réfléchir à la danse en tant qu’outil de médiation et d’engagement avec le public dans un contexte hors la ‘boite noire’. Intervenants : Betsy Gregory (mentor), Gill Hart (Responsable Service Education, National Gallery), les artistes de Dancing Museums ainsi que d’autres artistes et responsable de la médiation et la démocratisation dans les musées. ## Vidéo-danses Croisements entre les arts plastiques et la danse À la Briqueterie - en accès libre - durant toute la Biennale. Si la vidéo-danse est une discipline artistique hybride - aux croisements de la danse, du son et des arts de l’image - cette sélection met en valeur des œuvres plus spécifiquement axées autour de la rencontre entre la danse et des pratiques issues des arts plastiques. Ces films internationaux sont en résonance avec les projets interdisciplinaires de la biennale, tel « Dancing Museums », et démontrent la diversité de la vidéo-danse contemporaine ainsi que la richesse des pratiques qui influent sa production, qui permettent de ré-imaginer la danse pour l’écran. Sélectionnées par Franck Boulègue et Marisa Hayes, les vidéo-danses retenues proviennent des archives du Centre de Vidéo Danse de Bourgogne/Festival International de Vidéo Danse de Bourgogne, une association qui vise à promouvoir l’étude et la création en vidéo-danse sous toutes leurs formes. www.videodansebourgogne.com 44 CHOISIR ET RÉSERVER INFORMATIONS ET RÉSERVATIONS 01 46 86 70 70 [email protected] Pour faciliter vos réservations, la Briqueterie vend des places pour tous les spectacles de la Biennale. Comment réserver et régler ? • par téléphone règlement sécurisé par carte bancaire > du 16 janvier au 24 février du lundi au vendredi de 13h30 à 17h30 > du 27 février au 1er avril du mardi au samedi de 13h à 18h • par email [email protected] • par courrier en nous retournant le bulletin de réservation à l’adresse : La Briqueterie / Billetterie 17, rue Robert Degert - 94407 Vitry-sur-Seine Cedex également en téléchargement sur notre site www.alabriqueterie.com ATTENTION ! Tout règlement est définitif, les billets ne sont ni repris ni échangés. Des tarifs spécifiques sont proposés aux groupes et aux scolaires, contactez : Cécile Vernadat [email protected] 01 46 86 17 61 Laurence Moreau [email protected] 01 46 86 17 61 Un renseignement ? Nous sommes à votre disposition pour vous apporter plus d’informations sur le festival ou sur la saison de la Briqueterie ; • par téléphone : 01 46 86 17 61 du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 14h à 17h30 • par email : [email protected] Suivez l’actualité de la 19e Biennale sur Facebook www.facebook.com/alabriqueterie La Briqueterie est accessible aux personnes à mobilité réduite. Le bar de la Briqueterie propose une restauration légère les soirs de spectacle. 45 PARTENAIRES ET ÉQUIPE L’équipe de La Briqueterie NAVETTES GRATUITES ALLER/RETOUR Réservation obligatoire Directeur : Daniel Favier Administratrice : Christine Fouilleul Directeur technique : Frédéric Vannieuwenhuyse Chargée du développement des partenariats européens : Elisabetta Bisaro Communication : Pascale Pommat Secrétaire de direction : Thomas Godlewski Chargée de production : Nadia Delcourt Chargée des relations avec les publics : Cécile Vernadat Chargée de médiation : Laurence Moreau Chargée d’accueil : Clémentine Cintré Comptabilité : Gilda Lapotaire Rédactrice en chef de Repères, cahier de danse : Marisa Hayes Attaché de presse : Cédric Chaory Départ et retour de la Place du Châtelet Avenue Victoria, côté Théâtre de la Ville • mercredi 1er et jeudi 2 mars à 19h00 | Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine | Jérôme Bosch : le Jardin des délices, Marie Chouinard • vendredi 3 mars à 19h30 | Théâtre de Rungis | Tu, el cielo y tu, Catherine Berbessou • d imanche 12 mars 13h45 | Orly | Souffle rit/Souffle danse, Salia Sanou et Laurent Blondiau suivi de Tentatives d’approches d’un point de suspension, Yoann Bourgeois • jeudi 23 mars 19h30 | Salle Jacques Brel de Fontenay-sous-Bois | We almost forgot, Qudus Onikeku • d imanche 26 mars 15h00 | Théâtre Gérard Philipe de Champigny-sur-Marne | Le Cri de la Chair, Seydou Boro • mardi 28 mars 19h00 | Centre des Bords de Marne du Perreux-sur-Marne Brûlent nos cœurs insoumis, Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf • samedi 1er avril 19h00 | Salle Lino Venture d’Athis Mons | Brûlent nos cœurs insoumis, Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf Retour Place du Châtelet Avenue Victoria, côté Théâtre de la Ville • samedi 4 mars après la représentation | Pôle Culturel d’Alfortville | CONCRETE, Maud le Pladec Départ et retour de la Place de l’Étoile Métro Charles de Gaulle-Étoile, sortie avenue Friedland • samedi 04 mars à 19h15 | Théâtre Paul Eluard de Bezons | Prélude à l’après-midi d’un faune et Le Sacre du Printemps, Marie Chouinard Sous réserve d’inscrits et dans la limite des places disponibles. Réservations au 01 34 10 20 20. Départ et retour de la station RER Val-de-Fontenay RER A direction Marne-la-Vallée Chessy ou Torcy • samedi 4 à 16h30, 18h30 et 20h30 et dimanche 5 mars à 14h30, 16h30 et 18h30 | Fontenay-sous-Bois | Exposure, Anne Collod Autres navettes gratuites − sans réservation • jeudi 16 et vendredi 17 mars | CDC Atelier de Paris-Carolyn Carlson | SOLI. DES, Sébastien Laurent. Une navette part de la station de métro Château de Vincennes, sortie 6 abribus Cartoucherie et fait des A/R environ toutes les 15 minutes 1h avant et après le spectacle. • vendredi 24 et samedi 25 mars | Maison des Arts de Créteil | Deep Dish The Perfect Garden Series, Chris Haring & Brûlent nos cœurs insoumis, Christian & François Ben Aïm et Ibrahim Maalouf. Une navette partira à l’issue du dernier spectacle pour la place de la Bastille et la place du Châtelet. Sans réservation, dans la limite des places disponibles. 46 THÉÂTRES PARTENAIRES ALFORTVILLE Pôle culturel Parvis des Arts - 94140 | 01 58 73 29 18 www.pole-culturel.fr > Métro 8, arrêt École vétérinaire + bus 103, arrêt Raymond Jaclard (10min) > RER D, arrêt Gare Maisons-Alfort / Alfortville. Prendre la sortie Alfortville et compter 10min à pied > En voiture : périphérique sortie porte de Bercy/Nancy Metz puis autoroute A4, sortie Pont de Charenton puis A86, sortie Carrefour Pompadour ATHIS MONS Salle Lino Ventura 4 Rue Samuel Deborde 91200 | 01 69 57 81 10 >RER C ou D arrêt Juvisy-sur-Orge >Bus 399 direction Massy Palaiseau arrêt Centre Administratif ou Bus 487 abc direction Athis-Mons arrêt place Henri Deudon BAGNEUX – Le plus petit cirque du monde Impasse de la renardière 92 220 | 01 46 64 93 62 | www lepluspetitcirquedumonde.fr > Métro 4 – Porte d’Orléans puis bus 188 – arrêt Rue des Brugnaults ou Métro 13 – Chatillon-Montrouge puis bus 391 – arrêt les Blagis > RER B – Bourg la Reine puis bus 390 et 394 – arrêt les Blagis > Bus : au départ de Bourg la Reine : ligne 390 et 394 – Arrêt les Blagis, au départ de Porte d’Orléans : ligne 188 – Arrêt Rue des Brugnaults ou au départ de Chatillon-Montrouge : ligne 391 – Arrêt les Blagis BEZONS Théâtre Paul Éluard 162, rue Maurice Berteaux - 95870 | 01 34 10 20 20 www.tpebezons.fr > Métro 1 ou RER A, arrêt La Défense Grande Arche + bus 272, arrêt Place des droits de l’homme. Face à l’arrêt, longer l’Intermarché, traverser le parking et prendre la rue Nicolas Louet, puis à droite rue Maurice Berteaux > T2, arrêt pont de Bezons + bus 271, arrêt Place des droits de l’homme ou à 15 min à pied > En voiture : par Étoile Pont de Neuilly, direction Cergy-Pontoise A14 et A86 (rester sur la file de gauche) - sortie Bezons - direction Bezons centre par la N192 - Carrefour la Grâce de dieu, tourner à gauche, puis 2ème à droite, rue Maurice Berteaux. CHAMPIGNY-SUR-MARNE Théâtre Gérard-Philipe 54 Boulevard du Château - 94500 | 01 48 80 05 95 www.champigny94.fr/theatre-gerard-philipe.html >R ER A, arrêt Champigny/St Maur + bus 208a arrêt Rond-point du Château. Vous arrivez presque devant le théâtre. >R ER E jusqu’à Villiers-sur-Marne Le Plessis-Trévise + bus 308 arrêt Colombe Hardelet et marcher à pied dans la rue Colombe Hardelet qui démarre du rond-point jusqu’au Boulevard du Château. Le Théâtre est derrière la Poste. >E n voiture : depuis la Porte de Bercy, prendre l’A4 en direction de l’avenue de la République/D130 à Champigny-sur-Marne. Prendre D145 en direction de Boulevard du Château, prendre à droite sur Avenue de la République/D130. Au rond-point, prendre la 3e sortie sur Avenue François Mitterrand/D145. Traverser 2 ronds-points. Au rond-point, prendre la 2e sortie sur Voie Sonia Delaunay/D145. Au rond-point, prendre la 3e sortie sur Avenue Maurice Thorez/D233. Prendre à droite sur Rue de Sévigné, continuer sur Boulevard du Château. Le Théâtre se trouve sur la droite. CHARENTON-LE-PONT Théâtre des Deux Rives 107 rue de Paris - 94220 | 01 46 76 67 00 www.charentonlepont.fr/lestheatres > Métro 8, arrêt Charenton-Ecoles > Bus 111 ou 180, arrêt Théâtre de Charenton > En voiture : A4, sortie Porte de Bercy ou Porte de Charenton CHÂTILLON Théâtre de Châtillon 3, rue Sadi Carnot - 92320 | 01 55 48 06 90 www.theatreachatillon.com > Métro 13, arrêt Châtillon-Montrouge + T6, arrêt Général de Gaulle puis 5 min à pied > Bus 388, arrêt Mairie de Châtillon / bus 162/194, arrêt d’Estienne d’Orve -Division Leclerc / bus 195/295 arrêt J.-P. Timbaud > En voiture : de la Porte de Châtillon, direction Versailles. Dans Châtillon : direction Centre-Ville, puis Mairie. 1ère à gauche dans la rue de la Mairie. CHOISY-LE-ROI Théâtre Paul Éluard 4, avenue Villeneuve-Saint-Georges - 94600 | 01 48 90 89 79 www.theatrecinemachoisy.fr > Métro 7, arrêt Porte de Choisy + bus 183, arrêt Rouget-de-l’Isle, puis 10 mn à pied en direction de Créteil. Traverser la Seine, le théâtre est à droite. > RER C, arrêt Choisy-le-Roi > En voiture : depuis la porte de Bercy, prendre l’A4 puis l’A86, direction Créteil, sortie n° 23, direction Melun -Sénart. Au carrefour Pompadour, suivre S9, puis Choisy-le-Roi sur N 186, au 7e feu, serrer à droite et tourner à gauche sous l’auto-pont. Le Théâtre se trouve tout de suite à droite. Ou sortir du périphérique quai d’Ivry, direction Ivry, puis direction Alfortville, passer le pont, tourner à droite, suivre la Seine-rive droite jusqu’à Choisy-le-Roi. Dans Choisy, passer sous l’auto-pont, le Théâtre est à droite. CRETEIL Maison des Arts Place Salvador Allende - 94000 | 01 45 13 19 19 www.maccreteil.com > Métro 8, arrêt Créteil Préfecture. Traverser le centre commercial, sortir porte 25 ou 26 et traverser le parvis > En voiture : au départ de Paris Porte de Bercy, prendre l’A4 direction Nancy-Metz, bretelle Créteil / Sénart, direction Créteil Centre, puis Mont-Mesly / Hôtel de Ville. En venant du sud–ouest, prendre l’A86 sortie Créteil Centre et direction Préfecture / Hôtel de Ville / Maison des Arts. FONTENAY-SOUS-BOIS Salle Jacques Brel 164, boulevard Gallieni | 01 71 33 53 35 www.fontenayenscenes.fr > RER A ou RER E, arrêt Val-de-Fontenay ou RER A, arrêt Fontenay-sousBois + bus 124 arrêt Hôtel de Ville ou 15min à pied > En voiture : depuis Paris Porte de Bagnolet, A3, direction Charles De Gaulle – Lille + A86, direction Fontenay-sous-Bois sortie n° 19 Fontenay Centre. Dans Fontenay-sous-Bois : suivre la direction Centre-Ville, Le Plateau puis Salle Jacques Brel IVRY-SUR-SEINE Théâtre Antoine Vitez 1, rue Simon Dereure - 94200 | 01 46 70 21 55 www.ivry94.fr/culture/theatre-divry-a-vitez > Métro 7, arrêt Mairie d’Ivry. Suivre l’itinéraire « chemin du théâtre » > RER C, arrêt Gare d’Ivry-sur-Seine centre-ville + 15min à pied > En voiture : périphérique sortie Porte d’Ivry ou de Choisy, direction Centre-ville 47 LE PERREUX-SUR-MARNE Centre des bords de Marne 2, rue de la Prairie - 94170 | 01 43 24 54 28 www.cdbm.org > RER A, arrêt Neuilly-Plaisance puis descendre la Marne > Ligne RATP 114 Château de Vincennes, arrêt Bords de Marne. 47 > En voiture : Depuis la Porte de Bercy ou Metz-Nancy : prendre l’A4 puis sortie Nogent / Le Perreux. Suivre le fléchage « Centre des Bords de Marne ». Ou porte de Bagnolet ou Lille : prendre l’A3 puis A86 direction Fontenay-sous-Bois. Sortie n°18 : Neuilly-Plaisance / Neuilly-sur-Marne / Le Perreux. Suivre fléchage «Centre des bords de Marne». MAISONS-ALFORT Théâtre Claude Debussy 116 avenue du Général de Gaulle - 94700 | 01 41 79 17 20 www.theatredemaisons-alfort.org > Métro 8, arrêt Maisons-Alfort Stade. Sortie de droite, tourner à la 1ère à droite rue du 11 Novembre 1918, continuer tout droit rue Paul Vaillant Couturier, puis tourner à gauche avenue du Général de Gaulle. > RER D, arrêt Maisons-Alfort Alfortville. Sortie Maisons-Alfort, aller en face puis tourner la 2ème à droite avenue du Général de Gaulle. Le Théâtre se trouve sur le parvis de la Mairie. > En voiture, depuis Paris : A4, sortie Maisons-Alfort, tout droit après le Pont de Charenton. Le théâtre se trouve au carrefour de l’avenue du Général de Gaulle et de l’avenue de la République. MORSANG-SUR-ORGE- Théâtre de l’Arlequin 35 Rue Jean Raynal 91390 |01 69 25 49 15 www.theatre-arlequin.fr > Bus DM21 (A,B ou C) – arrêt Château-le-Morsang. Face au Château, la rue Jean-Raynal se trouve à gauche et le théâtre à 100m sur la gauche. > À pied : 20 mn au sortir de la gare de Savigny-sur-Orge., sortie place Davout. – traverser la place jusqu’au lycée Corot et prendre la rue du Mail, puis rue de l’église et rue des Rossays. Au premier rond-point prendre la rue de Morsang., continuer tout droit rue de Savigny. Et rue Jean Raynal. > En voiture : Sortie 6 (Savigny-sur Orge). Prendre la D257 en direction de Savigny. Dans la pente qui suit le centre commercial Carrefour, prendre la D117, tourner de suite à gauche sous le pont, rue de Morsang et continuer rue Marceau jusqu’à l’église. Prendre à droite rue de l’Eglise, rue JeanRaynal. ORLY Centre Culturel Aragon Triolet 1 Place du Fer-à-Cheval - 94310 | 01 48 52 40 85 www.centre-culturel-orly.fr > RER C, trains ROMI ou MONA, arrêt Orly Ville. À droite de la gare en sortant, 1ère à droite (pont), rue Adrien Raynal et tout droit (place du Fer à Cheval). > En voiture : prendre l’A6a ou l’A6b direction Orly Aéroport, sortie OrlyVille. Passer tous les ronds-points et suivre les panneaux Orly-Ville (D64). Au bout de l’avenue de la Victoire, prendre à droite l’avenue des Martyrsde-Châteaubriant. Le Centre culturel est en face du centre commercial Leclerc. PARIS CDC Atelier de Paris-Carolyn Carlson La Cartoucherie - 75012 | 01 41 74 17 07 www.atelierdeparis.org > Métro 1, arrêt Château de Vincennes + bus 112 arrêt Cartoucherie > Bus 46, arrêt Parc Floral > En voiture : Prendre la Porte de Vincennes, direction Parc Floral, puis Cartoucherie PARIS Musée du Louvre Musée du Louvre - 75001 | 01 40 20 53 17 www.louvre.fr > Métro 1, arrêt Palais-Royal/musée du Louvre > Bus n° 21, 24, 27, 39, 48, 68, 69, 72, 81 ou 95 Entrée par la pyramide, le passage Richelieu ou Les galeries du Carrousel. Le parking du Carrousel est ouvert de 7h à 23h RUNGIS Théâtre Arc-en-Ciel 1, Place du Général de Gaulle - 94150 | 01 45 60 79 00 www.theatre-rungis.fr > T7, arrêt Saarinen > RER C, arrêt Rungis-La Fraternelle > Bus 216 à Denfert-Rochereau, arrêt Stade + 6 min à pied / bus 131 à la porte d’Italie arrêt Mairie + 3 min à pied / bus 396 à Croix-de-Berny arrêt Mairie + 3 min à pied > En voiture : des Portes d’Orléans ou d’Italie : A6 Lyon, sortie Rungis puis « autres directions » avant le péage du MIN SAINT-MAUR-DES-FOSSES Théâtre 20 rue de la Liberté - 94100 | 01 48 89 99 10 www.theatresaintmaur.com > RER A, arrêt Parc de Saint-Maur puis 8mn à pied. Prendre à gauche l’Avenue Foch. Après le Rond-Point du 8 mai 45, tourner à droite dans la rue de la Réunion, puis à gauche dans la rue Miss Cavell, prendre l’allée, passer à droite de l’entrée du parking en direction de l’entrée du public à gauche sur l’esplanade > En voiture : prendre l’A4, sortie n°4 Joinville, Saint-Maur, et toujours tout droit. Après Joinville, prendre le boulevard Maurice Bertheaux, la rue de la Varenne (à gauche après le lycée Marcelin Berthelot), puis le boulevard Rabelais et l’avenue Foch. Sur l’avenue Foch, au carrefour du 8 mai 1945, prendre la 2ème sortie : la rue de la Réunion, puis tourner à gauche sur l’avenue Miss Cavell (en suivant les panneaux). Allée du parking située au niveau du 47 avenue Miss Cavell. TREMBLAY – Théâtre Louis Aragon 24, boulevard de l’Hôtel-de-Ville 93 290 | 01 49 63 70 58 www.theatrelouisaragon.fr > RER B, station Vert-Galant (direction Mitry-Claye en venant de Paris). Comptez 30 mn depuis la Gare du Nord puis, 10 mn à pied jusqu’au Théâtre. > En voiture : Porte de la Chapelle (A1 20 minutes) ou porte de Bagnolet (A3 25 minutes) direction Lille. puis prendre la Francilienne (A104 direction Soissons/Marne-La-Vallée). Sortie n° 4 : Tremblay-en-France puis direction Villepinte/Tremblay-Centre.. Dans tous les cas, suivez TremblayCentre Ville/Hôtel-de-Ville. Accédez à pied à l’esplanade de la place des Droits de l’Homme. VILLEJUIF – Théâtre Romain Rolland 18 rue Eugène Varlin 94800 | 01 49 58 17 01 www. trr.fr > Métro Ligne 7 Villejuif Paul Vaillant Couturier puis 7 minutes à pied. > En voiture Paris Porte d’Italie - N7 direction Villejuif centre-ville. AutoLib’ Une station à 30 mètres du théâtre, rue Eugène Varlin. Parking du Théâtre Tous les soirs de spectacles le parking public du centre-ville(situé à l’arrière de la mairie de Villejuif, 42 rue René Hamon) reste ouvert pour les spectateurs du théâtre (fermeture à 23h30). Pour y accéder, pensez à télécharger le plan d’accès (plusieurs sens uniques le rendent difficle à trouver). Le théâtre se rejoint ensuite en 3 minutes à pied. VINCENNES Auditorium Jean Pierre Miquel Coeur de ville - 98, rue de Fontenay - 94300 | 01 43 98 68 86 www.vincennes.fr > Métro 1, arrêt Château de Vincennes > RER A, arrêt Vincennes > En voiture : De la place de la Nation, prendre le Cours de Vincennes en direction de l’avenue de la Porte de Vincennes. Prendre la D120. Prendre à gauche sur la place Berault, continuer sur l’avenue de la République. Prendre à droite sur la rue de Fontenay/D143. L’auditorium se trouve sur la gauche. VITRY-SUR-SEINE Théâtre Jean-Vilar 1, place du Théâtre - 94400 | 01 55 53 10 60 www.theatrejeanvilar.com > Métro 7, arrêt Porte de Choisy + bus 183 arrêt Hôtel de Ville > En voiture : prendre la RD5 à partir de la Porte de Choisy (sorties Bd Périphérique Porte d’Ivry ou d’Italie). Continuer tout droit jusqu’à l’Hôtel de Ville, après la place de la Libération (statue Dubuffet). Parking gratuit sous l’Hôtel de Ville les soirs de spectacle. VITRY-SUR-SEINE MAC / VAL Musée d’Art Contemporain du Val-de-Marne Place de la Libération - 94400 | 0 1 43 91 64 20 www.macval.fr/francais/ > Métro 7, arrêt Villejuif / Louis Aragon + bus 180 ou 172 arrêt MAC/VAL > En voiture : depuis le périphérique (sortie Porte d’Italie ou Porte d’Ivry), rejoindre la Porte de Choisy, puis prendre la RN 305 jusqu’à la place la Libération à Vitry-sur-Seine (sculpture de Jean Dubuffet). VITRY-SUR-SEINE La Briqueterie 17 rue Robert Degert - 94400 | 01 46 86 17 61 www.alabriqueterie.com > Métro 7, arrêt Villejuif / Léo Lagrange. Prendre la rue Henri Barbusse puis à droite la rue Emile Bastard. La rue Robert Degert est sur la gauche. > Bus 183, arrêt La Briqueterie depuis la Porte de Choisy (itinéraire conseillé) ou bus 132 arrêt Jean Le Galleu > En voiture : depuis le périphérique (sortie Porte d’Italie ou Porte d’Ivry), rejoindre la Porte de Choisy, puis prendre l’avenue de la porte de Choisy. Continuer tout droit sur l’avenue de Verdun. La rue Robert Degert se trouve sur la droite après le garage Speedy 48