ANNEXE 4_COMPTE RENDU REUNION SKYPE 1 - INP-HB

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ANNEXE 4_COMPTE RENDU REUNION SKYPE 1 - INP-HB
MAGRINN
COMPTE RENDU CONFERENCE PAR SKYPE
DATE : 10 AVRIL 2014
PARTICIPANTS
SUPAGRO - FRANCE : Jacques MAILLET, Christine MORETTI.
INP-HB – COTE D’IVOIRE : Prof. YAO Benjamin, Prof. AKAKI K. David, Prof. KAMA
Berthé et Eric ELLEINGAND
FAUAM - NIGER : Prof. BARRAGE Moussa.
ORDRE DU JOUR :
1.
2.
3.
4.
Bref compte rendu de la rencontre de Bruxelles
Point de l’état d’avancement des activités
Elaboration d’un chronogramme de suivi
Divers
1°) POINT DE LA RENCONTRE A BRUXELLES
Du 1er au 4 Avril 2014 s’est tenu à Bruxelles un atelier de formation sur la gestion
administrative et financières des projets EDULINK II et Sciences et Technologies.
Cette rencontre a vu la participation de Prof. YAO Benjamin, coordonnateur du projet
Magrinn, Mme KOFFI épse N’GORAN Jeanne, Agent Comptable Principal de l’INPHB et Mme Christine MORETTI de SupAgro Montpellier, membre du Comité de
pilotage du projet Magrinn.
La session qui a duré 2 jours a porté sur la présentation des objectifs du programme
EDULINK II et Sciences et Technologies d’une part et les règles de gestion
administratives et financières d’autre part. Un accent particulier a été mis sur le
respect scrupuleux des procédures indiquées dans le contrat.
En conclusion, nous retenons qu’il est important:
- d’avoir une bonne tenue de la comptabilité en passant les écritures
comptables correctement et dans le temps,
- de rester dans la limite stricte des dépenses éligibles,
- de fournir des pièces justificatives cohérentes pour toutes les dépenses,
- de créer les comptes de tous les intervenants,
- de saisir les Times Sheet et calculer le coût avec les copies scannées des
bulletins de salaire de chaque intervenant dans le temps.
er
Un 1 bilan financier informel est prévu pour fin juin
2°) POINT DES ACTIVITES DANS CHAQUE PAYS
Il a été demandé à chaque point focal local de faire un petit point des activités à son
niveau. Il ressort de ces points que les stagiaires ont été recrutés à tous les niveaux
et que le travail a démarré. Les transferts de fonds sont en cours et devront parvenir
incessamment dans les comptes de chacun des partenaires.
a) Cartographie des formations existantes
Les échanges ont porté ensuite sur la stratégie d’élaboration de la cartographie des
formations existantes dans le domaine des sciences agronomiques dans chaque
pays. L’on peut retenir que cette cartographie devrait prendre en compte l’ensemble
des niveaux de formation, depuis les CAP jusqu’aux masters en passant par les
licences.
Pour la Côte d’Ivoire, le Pr Kama Berté, ancien Dr de l’ESA, se charge d’établir la
cartographie de l’ensemble des formations jusqu’au niveau M.
Au Niger et au Bénin les cartographies sont en cours.
b) Analyse sectorielle
Concernant le point sur les analyses sectorielles, les participants se sont accordés
sur l’intérêt de se limiter aux grandes organisations notamment les
interprofessionnelles pour une question d’efficacité (trop grand nombre de petites
organisations) et de faire une incursion au bas de l’échelle si cela s’avérait
nécessaire. Les résultats devront être présentés de manière à faire ressortir :
- une analyse sectorielle par pays,
- des documents permettant d’orienter les enquêtes :
- Il a été proposé que, suite à l’étude sectorielle, une orientation préliminaire
thématique soit choisie pour approfondir les besoins de formation au niveau
Master. Ce choix devra également tenir compte des projets des Universités et
des capacités des équipes locales en termes de ressources humaines. Par
ailleurs il faut conserver l’objectif de mobilité inter-établissements en visant
une complémentarité et une absence de redondance entre chaque M2 à créer
et les M2 déjà existants (cf cartographie).
Un chronogramme pour ces actions a été élaboré :
- 15 Mai : Relance des personnes concernées par les résultats,
- 20 Mai 2014 : Partage des documents
- Fin Mai 2014 : 1er partage et discussion, vidéo conférence sur Skype.
3) – DIVERS
a) La proposition de Thomas Michel pour l’organisation d’un séminaire, a été
jugée très intéressante mais non prévue dans les lignes budgétaires du projet.
Il a été suggéré que chaque pays le fasse à son niveau. Aussi, le Professeur
KAMA Berté pourrait-il aider les autres partenaires dans l’élaboration des
questionnaires.
b) Il a été proposé que Mme Carole LAMBERT et le prof. KAMA Berté soient mis
en contact pour travailler à l’élaboration du questionnaire.
c) Le prof. Jacques Maillet s’est proposé pour transmettre au prof. AMADJI, un
Guide d’enquête homme/femme à titre d’exemple dont il pourrait s’inspirer.
d) Un Compte rendu de la rencontre devra être envoyé à chacun des
partenaires.
FIN REUNION : 11 H 35