étuDiANSE OP. 3 - Conservatoire de Paris

Transcription

étuDiANSE OP. 3 - Conservatoire de Paris
étuDiANSE
OP. 3
LUNDI 30 NOVEMBRE — 19H
MARDI 1ER ET JEUDI 3 DÉCEMBRE — 19H
MERCREDI 2 DÉCEMBRE — 14H30
SALLE D'ART LYRIQUE ÉLÈVES DES CURSUS
étuDiANSE CLASSIQUE ET
étuDiANSE CONTEMPORAIN
CONSERVATOIRE
NATIONAL SUPÉRIEUR
DE MUSIQUE ET
DE DANSE DE PARIS
PROGRAMME 2015-16
DIRECTION
DES ÉTUDES
CHORÉGRAPHIQUES
La direction des études chorégraphiques est soutenue pour la saison 2015-16
par la Fondation Cléo Thiberge Edrom, sous l'égide de la Fondation de France
LE PARTAGE
DU TEMPS
Avec ce nouvel opus du parcours « Étudianse »,
les chorégraphes réunis invitent le spectateur
à se déplacer dans les relations danse-musique.
Entre le corps, l’œil et l’oreille, la respiration et
le cœur, en autant de modes de coopérations
multi-sensorielles, se jouent toutes les alliances,
se dessinent toutes les inventions de dialogues.
Les écritures chorégraphiques et musicales se
cisèlent, interfèrent, s’enveloppent et s’interprètent
mutuellement au grès des aventures de reconnaissance, entre sons, présences, notes, gestes,
phrasés, structures…
George Balanchine avec Paul Hindemith et Igor
Stravinsky, Trisha Brown avec Laurie Anderson,
Sébastien Bertaud et Simon Valastro avec Johann
Sebastian Bach, Pedro Pauwels avec Anton Dvorák
sont ici les explorateurs synesthètes que sont les
chorégraphes et les compositeurs embarqués dans
le désir d’un même voyage à l’entre-deux des sensations. Là où le mouvement et la note se rejoignent
en musicalité, où s’écrit le partage du temps.
Jean-Christophe Paré
DURÉE: 1 H 30
AV E C E N T R A C T E
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PREMIÈRE PARTIE
Four temperaments (1946), extraits
Chorégraphie : George Balanchine
Reconstruction : Diana White
Musique : Paul Hindemith, The Four temperaments :
Theme with four variations, pour piano et cordes.
Lumière : d’après John B. Read
Costumes : reconstruction Catherine Garnier
Agon (1957), extraits
Chorégraphie : George Balanchine
Reconstruction : Diana White
Musique : Igor Stravinski
Lumière : d’après Nananne Porcher
Costumes : reconstruction Catherine Garnier
Avec l’aimable autorisation
du George Balanchine Trust.
Durée : 12'
Danseurs :
Marie Breuilles, Manon Kolanowski, Francesca
Masutti, Hortense Quentin de Gromard, Léa
Pougheon, Léa Salomon, François Doré, Robin
Chaput, Donovan Delis-Mc Carthy
Set and Reset/Reset (1983)
Remise en chorégraphie par la Trisha Brown Dance
Company pour le Conservatoire de Paris
Chorégraphie : Trisha Brown
Reconstruction 2015 : Judith Sanchez
Musique : Laurie Anderson
Costumes : d’après le design original
de Robert Rauschenberg en 1983
Durée : 15'
Danseurs :
Manon de Matauco, Marie Hanna Klemm,
Justine Lebas, Marie Leblanc, Elsa Proudhon,
Antoine Arbeit, Baptiste Martinez
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Esquisse
Chorégraphie : Sébastien Bertaud
Musique : Johann Sebastian Bach,
Le clavier tempéré, extraits
Lumière : Yann Divet
Costume : Cathy Garnier
Durée : 14’
Danseurs :
Marie Breuilles, Manon Kolanowski, Francesca Masutti,
Hortense Quentin de Gromard, Léa Pougheon,
Léa Salomon, Cyprien Bouvier, Robin Chaput, François
Doré, Jean-Baptiste de Gimel, Donovan Delis-McCarthy
DEUXIÈRE PARTIE
Rumspringa
Chorégraphie : Simon Valastro
Musique : Johann Sebastian Bach,
Le clavier tempéré, extraits
Lumière : Yann Divet
Costume : Cathy Garnier
Durée : 14’
Danseurs :
Marie Breuilles, Manon Kolanowski, Francesca Masutti,
Léa Pougheon, Cyprien Bouvier, Robin Chaput,
Jean-Baptiste de Gimel, Donovan Delis-McCarthy
Music visualization 1
Chorégraphie : Pedro Pauwels
Musique : Anton Dvorák, Quintette en fa majeur,
transcription de David Walter du Quatuor à cordes
n° 12 op.96 dit « Américain »
Costume : Cathy Garnier
Durée : 15’
Danseurs :
Justine Lebas, Marie Leblanc,
Elsa Proudhon, Baptiste Martinez,
en alternance : Marie Hanna Klemm / Antoine Arbeit
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Musiciens :
Artem Naumenko, flûte
Ariane Bacquet, hautbois
Blandine Delangle, basson
Joë Christophe, clarinette
Jean Wagner, cor
Avec la complicité
de Francesca Bonato,
de la compagnie Pedro Pauwels
ENCADREMENT
ARTISTIQUE
Céline Talon
Maître de ballet,
étuDiANSE classique
Silvia Bidegain
Maître de ballet,
étuDiANSE contemporain
ÉQUIPE
TECHNIQUE
Patrick Buisson,
responsable technique salle
Yann Divet et
Bruno Bescheron, régie lumière
Sami Ayed, régie plateau
Nicolas Thelliez, régie son
Cathy Garnier, costumière
Sylvie Le Fur, maquillage
Marie Huon et
Karine Wehner, habilleuses
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GEORGE BALANCHINE
FOUR TEMPERAMENTS / AGON
Nous devons à George
Balanchine, exceptionnel héritier
de la double culture chorégraphique et musicale, d’avoir
été l’un des inventeurs les plus
importants du 20e siècle. Avec
lui, s’épanouit une nouvelle danse
classique, innovante, audacieuse,
profonde qui influencera jusqu’à
aujourd’hui de nombreux chorégraphes. Ses collaborations,
notamment avec Igor Stravinski
et Paul Hindemith révèlent toute
la pertinence de sa recherche
d’une épure du geste dansé,
soustrait à toute narration et
figuration. Jouant l’abstraction,
il ouvre la voie d’une autre danse
ou l’on peut, comme il aimait à le
dire « voir la musique et entendre
la danse ».
Agon et Les quatre tempéraments, ces ballets « en noir et
blanc », explorent véritablement
la structure profonde des œuvres
musicales avec lesquelles ils
dialoguent. Quelques extraits
suffisent à eux-seuls à poser
les conditions d’une danse qui
s’interprète, au plus près de la
réalité physique du geste dansé,
où l’écriture balanchinienne
oblige à être soi, profondément.
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D’origine géorgienne né à St
Petersbourg, Balanchine débute
en Russie au théâtre du Kirov
et est engagé par Diaghilev en
1924. Il y devient maître de ballet
en 1925 et chorégraphie pour les
Ballets russes en étroite collaboration avec Igor Stravinsky.
Balanchine collabore aux Ballets
russes de Monte-Carlo en 19311932 puis fonde sa propre compagnie à Paris, les Ballets 1933. Il se
fixe à New York en 1933 où après
avoir fondé en 1934 la School
of American Ballet, il dirige
l’école de l’American Ballet. Il
assure la direction de plusieurs
compagnies indépendantes aux
Etats-Unis mais c’est surtout à
la tête du Ballet Society puis, à
partir de 1948, du New York City
Ballet qu’il mène sa féconde et
prestigieuse carrière. Naturalisé
américain en 1939 il effectue de
nombreuses tournées en Europe
où la musique et son interprétation sont la clef de voûte de son
travail.
TRISHA BROWN
SET AND RESET/RESET
La Trisha Brown Dance Company
présenta pour la première fois Set
and Reset en 1983 à la Brooklyn
Academy of Music (BAM). Cette
pièce signature de la Compagnie
a confirmé Trisha Brown en tant
que Leader de la Chorégraphie
abstraite. Composée avec la complicité de Robert Rauschenberg à
la scénographie et aux costumes,
et celle de Laurie Anderson à la
musique, cette pièce marque la
consécration de la gestuelle fluide
de la chorégraphie et de ses trajectoires complexes. Comme si le
corps était la matérialisation d’un
flux continu, l’eau d’une rivière en
mouvement.
Trisha Brown est née en 1936 à
Aberdeen (État de Washington)
sur la côte ouest des États-Unis.
Après une formation en modern
dance notamment, et lors d’un
atelier chez Anna Halprin à San
Francisco, elle rencontre Simone
Forti et découvre les tasks
[tâches], principe d’improvisation et de composition à partir
de consignes de mouvements
ordinaires. En 1960, elle s’installe
à New York, suit l’atelier de composition de Robert Dunn et, aux
côtés de Robert Rauschenberg,
Yvonne Rainer, Steve Paxton,
Deborah Hay, David Gordon
et participe au Judson Dance
Theater, expérimental et pluridisciplinaire creuset de la postmodern dance. Elle fonde sa
compagnie en 1970. Elle pratique
l’improvisation structurée et explore des approches aujourd’hui
qualifiées de « somatiques », qui
favorisent la disponibilité maximale du corps par la conscience
de sa mécanique. Selon des
questionnements successifs,
Trisha Brown évolue d’un cycle de
recherche au suivant : Equipment
Pieces, Accumulations, Unstable
Molecular Structures, Valiant
Works, Back to Zero, Music Cycle.
Elle dépasse « officiellement » le
cadre de la chorégraphie en abordant en 1998 la mise en scène
d’opéras de Claudio Monteverdi à
Jean-Philippe Rameau en passant
par Salvatore Sciarrino. Elle est
aussi reconnue pour son oeuvre
de plasticienne, la Documenta
de Kassel l’invite en 2007 et le
Walker Art Center de Minneapolis
en 2008…
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SÉBASTIEN BERTAUD
ESQUISSE
« Clavier bien tempéré, ou préludes et fugues dans tous les tons
et demi-tons (…). Pour la pratique
et le profit des jeunes musiciens
désireux de s’instruire et pour la
jouissance de ceux qui sont déjà
rompus à cet art. » J.S. Bach
Réalisée dans le cadre de
l’académie chorégraphique de
l’Opéra, à l’invitation et sous le
regard de Benjamin Millepied,
cette création est pour moi
l’occasion d’une incursion dans
cette œuvre de Johann Sébastian
Bach et un premier travail de
groupe. J’ai souhaité proposer
aux élèves du Conservatoire,
une architecture chorégraphique
qui s’appuie sur le vocabulaire
de la danse classique tout en
s’inscrivant dans une perspective contemporaine afin de leur
donner la possibilité d’expérimenter différentes qualités de
mouvements et de déployer leurs
potentialités. Ainsi, différents
mouvements d’ensemble, duo,
trio, quatuor (…) s’entrelacent,
à la recherche de la fluidité et
des contrastes, de l’esquisse et
de l’élan. Pour donner à voir une
interprétation chorégraphique de
la partition, celle de nos moments
de recherche partagés en studio.
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Sujet du Ballet de l’Opéra national de Paris, Sébastien Bertaud
a notamment travaillé avec Pina
Bausch, Sasha Waltz et William
Forsythe. Dernièrement, il collabore avec Wayne McGregor pour
la création de Tree of codes ainsi
qu’avec Jérôme Bel pour son
prochain concept chorégraphique
à l’Opéra de Paris.
Egalement chorégraphe, il crée
Fugitif en 2011 lors des soirées
«Danseurs / Chorégraphes»
à l’amphithéâtre de l’Opéra
Bastille, dont le pas de deux final
sera repris lors des spectacles
« Jeunes danseurs » au Palais
Garnier en 2014. En 2013, il crée
Hors les murs dans le cadre du
programme pédagogique «10
mois d’école et d’Opéra» et Trio
per Uno lors de la première soirée
«Percussions et danse» programmée à l’Opéra Garnier. En 2015,
il chorégraphie Mad Rush pour le
salon musical « Musique et danse
» pour la scène du Palais Garnier.
SIMON VALASTRO
RUMSPRINGA
Il entre en 1990 à l’Ecole de
danse du Ballet de la Scala de
Milan et est admis en 1998 dans
le Corps de ballet de l’Opéra
national de Paris. En 2003, il
est promu Coryphée, puis, en
2004, Sujet. Principaux rôles à
l’Opéra de Paris : Pas de trois
d’Emeraudes / Joyaux, Thème
/ Les Quatre tempéraments
(Balanchine), The Vertiginous
Thrill of Exactitude, Artifact
Suite, In the Middle Somewhat
Elevated (Forsythe), Aunis
(Garnier), Pas de trois / Paquita
(Lacotte d’après Mazilier et
Petipa), AndréAuria (Lock),
« J’avais envie de créer une pièce
Genus (McGregor), L’Oiseau bleu
inspirée de la communauté Amish
/ La Belle au bois dormant, Le
et de leur passage à la vie adulte.
Gitan / Don Quichotte, la Danse
Le rapprochement avec la vie de
napolitaine / Le Lac des cygnes,
ces jeunes danseurs m’a paru une
Le Fakir / La Bayadère, Béranger
évidence. Ils ont tous entre dix-sept / Raymonda, La Marâtre /
et vingt ans. C’est l’âge ou l’on
Cendrillon, Fritz / Casse-Noisette
tombe amoureux, mais aussi l’âge (Noureev), Monsieur de Charlus
des complexes, des questionne/ Proust ou les intermittences du
ments et des premières grandes
cœur (Petit), MC 14/22 (Preljocaj),
décisions. Certains d’entre eux sont l’Etudiant timide / The Concert
sur le point d’achever leurs études (Robbins).
et vont passer des auditions dans
des compagnies de danse. Mais
Il participe à plusieurs créaquelle compagnie choisir? Quel est tions : Le Comte de N / La Dame
leur plus grand rêve? Et jusqu’où
aux camélias (Neumeier, 2006),
aller pour tenter de le réaliser?
White Darkness (Duato, 2006),
Peut-être n’auront-ils pas le choix
Alain / La Fille mal gardée
que d’aller là où on les prendra…
(Ashton, 2007), L’Anatomie de la
Et si certains finiront par
sensation (McGregor, 2011).
couronner leur rêve, d’autres
peut-être quitteront la danse,
Simon Valastro est également
par choix ou par dépit. »
chorégraphe : Opus (2007) pour
le musée Picasso de Malaga,
Cette pièce à été réalisée dans le
Stratégie de l’Hippocampe,
cadre de l’académie chorégraSoirée Danseurs chorégraphes
phique de l’Opéra, à l’invitation
2013, Bovary et Nuit Blanche,
et sous le regard de Benjamin
Festival Cadences Arcachon
Millepied.
2014.
Le mot Rumspringa vient du dialecte allemand de Pennsylvanie et
notamment du verbe rumspringen
signifiant « sautiller ». Autrement
dit, l’acte de se déplacer et de
découvrir. Le Rumspringa est un
rite de passage de la communauté
Amish. Il correspond à une période
durant laquelle les adolescents
Amish sont libérés de leur Église
et de ses règles et sont autorisés
à avoir des relations romantiques.
Cette période se termine le plus
souvent par le choix du baptême au
sein de l’église ou de l’abandon de
la communauté. 9
PEDRO PAUWELS
MUSIC VISUALIZATION 1
Music visualization : « … traduction scientifique par l’action du
corps du rythme, de la mélodie
et de la structure harmonique
d’une composition musicale sans
aucune intention d’interprétation
ou volonté de révéler un sens
caché par le danseur. »
Sherman, Jane, Denisshawn ;
The Enduring Influence (Boston :
Twayne Publishers, 1983).
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À une époque où le terme « music
visualization » renvoie essentiellement au numérique, à un écran
d’ordinateur, le projet est de faire
dialoguer musique et danse grâce
au concept mis au point au début
du XXe siècle et qui n’a rien perdu
de sa pertinence.
Par ce projet, je souhaite
à cette étape de mon parcours artistique, revenir à la
musique vivante. Interroger ma
danse, mon écriture à travers
la musique et inversement.
J’ai toujours travaillé en étroite
collaboration avec un compositeur, souvent de musique électro
acoustique, mais la méthode de
travail adoptée était un travail
en parallèle, chacun travaillant
de son côté et l’assemblage se
faisant à la dernière minute. Une
façon peut-être pour moi d’instaurer ainsi et non une illustration
soit de la danse pour la musique
ou de la musique pour la danse.
Permettre de voir la musique
en individualisant corporellement chaque instrument, donner
à voir l’individualité musicale,
rythmique, sonore d’un corps.
Distinguer dans la globalité.
Permettre une meilleure compréhension d’un ensemble par la
mise en valeur des individualités.
Un plateau. Des musiciens.
Des danseurs. Deux espaces
pour une même partition
musicale et corporelle.
Né en Belgique, il étudie d’abord
la danse à l’école Renate Peter
de Bruxelles, puis en France,
au Centre Rosella Hightower
de Cannes. Il mène ensuite une
carrière de danseur au sein de la
Compagnie Karine Saporta au
Centre Chorégraphique national de Caen, dans la compagnie
Alain Marty et dans la compagnie
d’Odile Duboc au Centre chorégraphique national de Belfort.
Poursuivant parallèlement sa
carrière de danseur, il devient
chorégraphe au sein de la compagnie Pepau à partir de 1991, et
crée également des ballets pour
d’autres compagnies ou écoles
internationales. Ses chorégraphies sont souvent en dialogue
avec d’autres disciplines - théâtre,
danse hip-hop, musiques improvisées ou techno.
À partir de 2003, Pedro Pauwels
se tourne vers la science et la
technologie et se lance, à travers le projet du triptyque Sens,
dans l’élaboration d’une écriture
chorégraphique et d’un dispositif
technique permettant de porter
un regard sonore et sensoriel sur
la danse.
En 2009 sort aux éditions du
Centre National de la Danse son
livre J’ai fait le beau au bois dormant, récit autobiographique.
Il chorégraphie entre
autre Sur le Corps du
Monde (2010), Versus (2011)
pour les danseurs de l’Opéra
de Limoges, sur des lieder de
Schubert adaptés par Bernard
Cavanna et interprétés par Pascal
Contet, Sous les feux…(2011) à
l’invitation du Festival d’Avignon
In dans le cadre des Sujets à
vif, Sors (2013) projet à auteurs
multiples, dont il est l’interprète.
Sors, d’après le solo de Mary
Wigman et Solo multiple, chorégraphie de Carlotta Ikeda, Josef
Nadj, Robyn Orlin et Jérôme
Thomas.
En 2013, il créé la première Biennale Nationale de
Photographies de Danse. En
2014, création de Duo avec
Gaspar Claus, violoncelliste.En
2015, plusieurs chantiers sont
aussi mis en route, « Side(s)
Mécaniques du Présent », projet
protéiforme mêlant musique
contemporaine (Alexandre
Lévy) et travail photographique
de (Elisabeth Prouvost), projet
coproduit par le GRAME, Le Cube
et le Métaphone.
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À L'AGENDA DU
CONSERVATOIRE
Programme complet
sur conservatoiredeparis.fr
CE QUI EST
À L'ŒUVRE
#DANSE
vendredi 5 février, 19h
samedi 6 février, 14h30
Espace Maurice-Fleuret
Conservatoire de Paris
Entrée libre sur réservation
à partir du 22 janvier
[email protected]
CONCERT
DU BIG BAND
#JAZZ
Mercredi 2 décembre 2015 à 19h
Espace Maurice-Fleuret
Conservatoire de Paris
Entrée libre sans réservation
COURS PUBLIC
AVEC HORTENSE
CARTIER-BRESSON
#PIANO
vendredi 11 décembre à 19 h
Salle d'orgue
Conservatoire de Paris
Entrée libre sans réservation
CONSERVATOIRE
NATIONAL SUPÉRIEUR
DE MUSIQUE ET
DE DANSE DE PARIS
Bruno Mantovani, directeur
Rémy Pflimlin, président
VOIR ET ENTENDRE SUR
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