Le vrai choix du Peuple congolais - cdps-rdc
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Le vrai choix du Peuple congolais - cdps-rdc
CDPS Le vrai choix du Peuple congolais Par Joël Asher Lévy Le 28 novembre 2011, le Peuple congolais sera ‘‘vraisemblablement’’ convoqué aux urnes en vue de désigner ses représentants nationaux qui animeront la prochaine législature de cinq ans. Cette échéance électorale s’avère capitale d’autant plus qu’elle déterminera la tangente prise finalement par cet État majestueux et richissime d’Afrique centrale et de la région des Grands Lacs pour les futures années. En effet, elle déterminera si ce pays géant amorcera bien entendu l’étape décisive du changement radical que le Peuple congolais appelle de tous ses vœux ou si la Collectivité publique s’empêtrera, comme à l’accoutumée, dans la fossilisation des esprits et l’aridité des cœurs et, surtout, dans l’immobilisme devenu fort longtemps une tradition bien immuable. Pour ce faire, le Peuple congolais fort de sa résistance pacifique et féru de joute politique se doit d’opérer un choix nécessairement éclairé, éminemment décisif, afin de ne plus sombrer indéfiniment dans le marasme économique, l’anémie industrielle et le démantèlement cette fois-ci accéléré des pans entiers de la République démocratique du Congo, pourtant, promise à un si bel avenir politique et un si brillant destin national. Donc, pour ne pas disparaître en tant que pays, c’est-à-dire groupe politique, et société, c’est-à-dire environnement humain, le Peuple congolais doit voter utile. Il s’agit politiquement et moralement d’un devoir national. En regard des enjeux fondamentaux, cette obligation politique et morale implique et impose le choix pertinent du ‘‘Congrès des démocrates pour le progrès social’’, en sigle CDPS lors de prochaines législatives. Ceci pour maintes raisons primordiales. D’abord, le CDPS se veut fort résolument un parti démocratique. En effet, cette organisation politique s’inscrit, sans conteste et sans concession, dans la mouvance idéologique qui prône, dans l’espace national congolais, la rupture radicale avec le passé tyrannique et la conjoncture despotique dont les effets pathologiques paralysent continuellement l’ensemble de la société. Y compris une partie de l’élite politique qui professe à longueur de journée le changement et la démocratie. En fait, cette formation politique vise à procurer au Peuple congolais plus de volume et de présence dans la bonne marche des institutions de l’État. Elle vise même à lui attribuer plus de place et plus de responsabilité dans le bon fonctionnement de la démocratie. C’est la raison majeure pour laquelle cette entreprise partisane se définit, ou du moins doit être regardée, comme un parti réformiste. Fait éminemment foi son profond attachement à la fameuse Lettre ouverte du 1er novembre 1980 au Maréchal-président Mobutu Sese Seko du Zaïre, d’ailleurs signée par Treize parlementaires du Mouvement populaire de la révolution (MPR), à l’époque Parti-État et parti unique. Ensuite, pour permettre à la République démocratique du Congo de renouer très rapidement avec le lustre perdu par la force de la triade dictatoriale, le CDPS entend concrétiser une série de réformes. Celles-ci sont en réalité de nature aussi bien politique et économique que sociale et culturelle. Elles sont politiques dans la mesure où le CDPS veut nécessairement imprimer la touche de la transparence administrative dans la gestion de l’État pour générer l’adhésion populaire aux politiques publiques et, par conséquent, renforcer la cohésion nationale. Elles sont économiques parce que le leitmotiv du CDPS est incontestablement la génération de la prospérité industrielle au moyen de la création des richesses matérielles pour permettre au pays d’assurer son avenir et à la population de vivre décemment. Elles sont également sociales puisque le CDPS vise à procurer aux citoyens la stabilité et aux ménages la sécurité pour leur épanouissement spirituel et moral, autant que leur essor matériel et intellectuel, par la mise en œuvre de toutes politiques favorisant le bien-être ou la santé, le confort, les loisirs, le sport ou le mieux-être. Elles s’avèrent, enfin, culturelles car le CDPS cherche à démanteler toutes obstructions au génie créateur et toutes entraves à l’éclosion de l’intelligence congolaise par l’éducation et le savoir, le civisme et la morale. Dans l’optique du changement radical qui doit immanquablement prévaloir dans la société congolaise, voter CDPS lors d’échéances électorales du 28 novembre 2011, c’est vraiment voter utile. Voter CDPS, c’est à n’en pas douter voter pour la sécurité et la stabilité. Bref, c’est opter résolument pour un avenir sûr et sans ombre. Voter CDPS, c’est définitivement voter pour des lendemains meilleurs. Le CDPS est le meilleur choix du Peuple congolais. C’est le vrai choix du changement politique et démocratique. Joël Asher Lévy