La Route Vers Sorbonne C2

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La Route Vers Sorbonne C2
Table des matières
Table des matières ........................................................................... 3 Préface ............................................................................................ 7 A. Civilisation ................................................................................ 9 L’Europe .............................................................................................. 11 La civilisation et la culture francophones contemporaines ................... 19 B. Littérature .............................................................................. 25 Jean Anouilh «Antigone» ................................................................... 27 Jean Anouilh – Le dramaturge d’Antigone contemporaine ............................. 29 La classification des pièces théâtrales de Jean Anouilh .............................. 31 Le résumé de la pièce «Antigone» .................................................................. 39 Partie 1: «Un décor neutre…puni de mort.» ............................................... 41 Partie 2: «D’où viens‐tu ?…Elle sort vite.» .................................................. 44 Partie 3: «Tu es malade?…Pauvre Ismène!» ............................................... 51 Partie 4: «Tiens, te voilà un bon…La nourrice sort.» ................................... 58 Partie 5: «Pardon, Hémon,…pour Hémon, Antigone.» ............................... 62 Partie 6: «Antigone !…Ah, tu es la!...Antigone !»........................................ 67 Partie 7: «Dès qu’Ismène…Un enfant...» .................................................... 70 Partie 8: «Et voilà.…pour la première fois.» ................................................ 75 Partie 9: «Le Chœur disparaît…C’est une folle, oui!» ................................. 78 Partie 10: «J’en ai arrêté…lâchez pas, vous autres.» .................................. 82 Partie 11: «Créon entre,…Non.» ................................................................. 84 Partie 12: «Les Gardes sont sortis,…Le comprends‐tu ?» ........................... 88 Partie 13: «Il faut que j’aille…plus de bras.» ............................................... 93 Partie 14: «Dieu sait pourtant…payer maintenant!» .................................. 96 Partie 15: «Mais, bon Dieu !…et pour mourir.» ........................................ 100 Partie 16: «C’est facile…nom sanglant?» .................................................. 102 Partie 17: «Quelle histoire?…Oui, c’est vrai!» ........................................... 105 Partie 18: «C’était après…cela m’est égal.» .............................................. 108 Partie 19: «Il y a un long silence…ou mourir.» .......................................... 110 Partie 20: «Allez, commence…tes gardes!» .............................................. 114 Partie 21: «La porte s’ouvre… Antigone ! Antigone !» .............................. 117 Partie 22: «Tu es fou,…à vivre ?» .............................................................. 120 3 La route vers Sorbonne C2 - Littérature
Partie 3: «Tu es malade?…Pauvre Ismène!»
 Le résumé
Antigone et Ismène restent seules sans la nourrice et elles parlent de
l’enterrement de leur frère Polynice. Antigone présente sa décision de
l’enterrer quoique cela signifie sa désobéissance aux lois de Créon. Ismène
ne peut pas aider sa sœur vu que le roi est très fort et qu’elle ne veut pas
souffrir. La partie arrive à sa fin quand Ismène part afin de dormir en suivant
le conseil d’Antigone.
 Dramatis Personae
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
Antigone
Ismène
 Les éléments de la scène
 Les éléments culturels
1. «Il faut que tu dormes. Tu seras moins belle demain.»: Selon
l’opinion publique, le sommeil était très nécessaire au repos du corps
et à la beauté des personnes. En ce qui concerne le sommeil des
personnes royales, il n’était pas seulement nécessaire, mais
obligatoire aussi.
2. «…nous devons aller enterrer notre frère.»: Selon la conception de
cette époque-là, l’enterrement du mort constituait le signe de respect
pour lui ; de plus, il pouvait passer le portail d’Hadès, du dieu qui
régnait sous la terre, afin que son âme ait trouvé la paix sans errer.
 Les éléments idéologiques
1. «C’est bon pour les hommes de croire aux idées et de mourir pour
elles.»: Les hommes, d’habitude, croient aux idées qui définissent
leur attitude et qui font partie de leur caractère. Ils les soutiennent
lors des discussions, ils recherchent des informations afin d’encadrer
leur argumentation quand ils les exposent et en général, ils essaient
de comprendre si elles correspondent à la vie réelle. Néanmoins,
quelquefois ils sont prêts à sacrifier leur vie pour elles ; cela se passe
surtout quand leurs idées sont liées à la liberté, à la paix, au respect.
2. «Ton bonheur est là devant toi et tu n’as qu’à le prendre.»: Assez
d’hommes recherchent quotidiennement le bonheur. Ils croient qu’il
est synonyme de la puissance financière, de la bonne santé ou d’une
haute place sociale. Cependant, il y a des hommes qui affirment que
le bonheur est lié à la vie quotidienne, aux choses simples de la vie.
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 Les techniques
 Des didascalies sont utilisées qui nous montrent les gestes des
personnages, leurs mouvements, leur ton, leurs mimiques et qui
décrivent le silence.
 Pendant l’évolution de la partie, trois tirades dites d’Antigone et
d’Ismène donnent des informations sur des états précis. En
particulier:
 La tirade du verbe «comprendre» («Comprendre…Pas
maintenant.»): Ismène veut que sa sœur «essaie de comprendre».
Cependant, Antigone ne l’accepte pas et présente tous ses
arguments. Elle réfère que ce verbe provient de la bouche de tous les
hommes et qu’il dirige la vie de chaque personne. En particulier, elle
dit que depuis son enfance, il faut comprendre qu’elle:
- ne doit pas «toucher à l’eau fuyante et froide» afin de ne pas
mouiller les dalles.
- ne doit pas «toucher à la terre» afin de ne pas salir ses robes.
- ne doit pas «manger tout à la fois».
- ne doit pas donner d’argent à un mendiant.
- ne doit pas «courir dans le vent».
- ne doit pas boire quand elle «a chaud».
- ne doit pas se baigner quand elle en a envie, mais «quand il est trop
tôt ou tard».
Maintenant, elle choisit de ne pas comprendre puisqu’elle n’est pas
vieille.
 La tirade des raisons du refus d’Ismène («Ils nous hueront,…je ne
peux pas…): Ismène n’accepte pas de participer à l’enterrement du
corps de Polynice, mais Antigone ne veut pas écouter ses excuses.
Malgré ça, Ismène lui explique toutes les raisons qui ne lui
permettent pas de faire une action contre les lois du roi. En
particulier, elle affirme qu’en cas d’enterrement, les deux sœurs:
- seront huées par les habitants de la ville.
- seront prises par les «mille bras», les «mille visages» et l’«unique
regard» des habitants.
- seront crachées à la figure.
- seront obligées d’«avancer dans la haine, l’odeur et les rires des
habitants sur la charrette».
- seront obligées de supporter les gardes qu’ils feront ce qu’il faut en
suivant des règles «sans savoir si c’est bien ou mal».
Elle ajoute aussi qu’il est impossible pour elle de souffrir et en général
de supporter la douleur.
 La tirade de vivre («Pas envie de vivre…les prendre?»): Antigone
est demandée par sa sœur si elle n’a pas envie de vivre et Antigone
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ne le refuse pas. Cependant, elle murmure quelques mots qui
prouvent que cette fille voudrait vivre vu qu’elle a tant de choses à
faire encore. En outre, c’est elle qui se lève toujours la première afin
de «sentir l’air froid sur sa peau nue». Elle ajoute aussi que quand
elle n’est pas fatiguée, elle choisit de ne pas dormir afin de «vivre
encore un peu la nuit». À la fin de sa tirade, il paraît qu’elle se
souvient aussi de son enfance pendant laquelle elle pleurait
puisqu’elle pensait que personne ne pouvait prendre toutes les bêtes
et les «brins d’herbes» qui existaient dans le pré.
 Les figures de style
Cette partie contient des figures de style pour la description des
situations, des idées et des sentiments. En particulier:
1. «Tu sais, j’ai bien pensé, … / J’ai bien pensé…»: La double
répétition de cette phrase fortifie le fait qu’Ismène a pensé.
2. «Je réfléchis plus que toi. Je réfléchis.»: Cette répétition dévoile
l’essai d’Ismène de persuader Antigone qu’elle réfléchit plus qu’elle.
3. «Ismène: Il est le roi, il faut qu’il donne l’exemple. / Antigone:
Moi, je ne suis pas le roi. Il ne faut pas que je donne l’exemple.»:
Antigone montre sa différence du roi Créon à travers cette antithèse.
4. «Allez ! Allez !»: Cette épizeuxe met en évidence l’incapacité
d’Ismène d’accepter la désobéissance d’Antigone.
5. «…courir, courir dans le vent…»: Cette épizeuxe fait la description
dite d’Antigone plus intense.
6. «Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas
comprendre.»: La triple répétition de l’infinitif «comprendre»
présente la décision d’Antigone de ne pas suivre les ordres précis qui
l’aideront à comprendre.
7. «…et monte encore, comme une voix aiguë…»: Ismène emploie
cette comparaison afin de décrire la douleur dont elle éprouvera en
cas de désobéissance.
8. «Tu es fiancée, tu es jeune, tu es belle…»: Ismène essaie de
persuader Antigone que son bonheur est devant elle en employant
cette accumulation d’adjectifs.
9. «…à l’heure à Hémon : Hémon sera…»: Cette anadiplose sert
Antigone à assurer Ismène qu’Hémon apprendra ce qu’il faut.
10. «Va te recoucher, Ismène…Va te recoucher.»: La double répétition
de cette phrase témoigne l’intérêt d’Antigone pour sa sœur.
11. «Je te convaincrai, n’est-ce pas ? je te convaincrai ?»: Cette
anaphore dévoile le désir d’Ismène de changer l’avis de sa sœur.
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 Les registres
1. Le registre pathétique
Ismène craint les conséquences suivies après l’enterrement de son frère
et elle souligne le fait qu’elle ne supporte pas cette situation. D’une part, elle
veut aider sa sœur et d’autre part, elle ne fait rien afin d’affronter ses peurs.
Elle dit seulement: «je ne peux pas, je ne peux pas…»
Ismène connaît que le courage n’est pas le trait de son caractère. Au lieu
de trouver la force nécessaire pour qu’elle réponde à cet appel d’Antigone,
elle dit: «…je ne suis pas très courageuse.»
 La description des caractères
 Antigone
Au début, Antigone ne veut pas perturber sa sœur quand elle l’interroge
si elle est malade et elle réfère que tout simplement «elle s’est levée tôt». Ses
paroles dévoilent son effort de ne pas provoquer de problèmes à l’état
psychologique d’Ismène.
Ensuite, elle adopte un style de protection puisqu’elle lui conseille de
dormir afin qu’elle ne soit pas «moins belle demain». Elle souligne le fait
qu’elle ne se moque pas d’elle puisqu’elle a remarqué que lors du matin
passé, sa sœur était belle grâce au sommeil. Puis, elle change le thème de
discussion en déployant des souvenirs du passé. En particulier, elle rappelle
à Ismène les fois qu’elle la «barbouillait de terre», qu’elle lui «mettait des
vers dans le cou». Elle continue en lui rappelant aussi qu’auparavant elle
«l’a attachée à un arbre» afin de lui couper les cheveux.
Pour quelle raison Antigone se réfère-t-elle au passé ? Essaie-t-elle de
faire revivre quelques sentiments ou a-t-elle besoin de revivre ces moments ?
On pourrait supposer qu’Antigone veut communiquer avec sa sœur d’une
façon simple comme si elles étaient petites. De plus, on pourrait affirmer
qu’Antigone ne veut pas parler d’une chose précise. De toute façon, elle dit
qu’elle «ne parle pas d’autre chose», mais Ismène a une opinion différente.
Au fur et à mesure que la conversation évolue, Antigone écoute
attentivement le refus de sa sœur d’enterrer leur frère et en même temps
toutes ses appellations comme «tu es folle». Pourtant, Antigone a décidé de
suivre ses idées, d’aider l’âme de son frère à trouver sa tranquillité. Elle se
comporte comme un héros qui ne craint pas le pouvoir du roi et qui «ne veut
pas comprendre» en croyant qu’elle aura la possibilité de comprendre
«quand elle sera vieille». Maintenant, c’est la passion qui parle, c’est la
force de la jeunesse qui dirige l’action, c’est la puissance intérieure de
défendre ses croyances qui conduisent Antigone à cette décision. Elle se sent
très forte dirigée par son amour pour Polynice et elle ne change pas
d’opinion puisque son but n’est pas de donner un exemple vu qu’elle «n’est
pas le roi». Il s’agit d’une sœur qui a une obligation ; enterrer son frère. En
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outre, Antigone croit que tous les rôles sont distribués ; l’enterrement de
Polynice peut «les faire mourir», mais elle ne peut pas changer cette
situation.
Antigone continue la présentation de ses arguments sans aucune
hésitation, sans aucune crainte malgré qu’elle soit accusée par sa sœur de ne
pas réfléchir. Elle ne perd pas son courage et bien sûr elle n’abandonne pas
sa croyance. Elle veut protéger le corps de son frère et de cette façon elle
prouve qu’elle veut protéger sa famille des lois impropres étant donné que
«la douleur et la peur de mourir» n’ont pas de sens pour elle-même. De
plus, elle ne s’intéresse pas aux commentaires, aux regards et à la haine des
hommes si elle n’obéit pas aux règles du roi. Elle est prête à affronter la
douleur, à être moquée ou punie en montrant de cette manière son courage.
Antigone affirme aussi qu’elle «n’a pas envie de vivre» sous telles
conditions quoique son bonheur soit devant elle vu que, d’après sa sœur,
«elle est fiancée, jeune et belle». Mais, en réalité, elle voudrait vivre afin de
«sentir l’air froid sur sa peau» le matin, de rester éveillée encore une nuit.
Mais, ce désir disparaît devant la force de faire ce qu’il faut pour la famille.
Quand elle se rend compte qu’Ismène ne la comprend pas, Antigone lui
conseille de se recoucher afin qu’elle soit belle le jour suivant. Encore une
fois, elle parle d’une façon calme à sa sœur quand elle lui dit qu’«elle la
laissera lui parler». On pourrait dire qu’elle sous-entend qu’elle acceptera
d’écouter les «prétextes» de sa sœur quoiqu’elle fasse ce qu’elle veut.
À la fin de la partie, il est évident qu’Antigone a pitié de l’ignorance de
sa sœur puisqu’après le départ d’Ismène, elle dit: «Pauvre Ismène !». Mais,
elle n’essaie pas d’influencer sa sœur ; au contraire elle la laisse faire dont
elle a besoin et tout simplement elle exprime son opinion sur elle sans être
entendue.
 Ismène
Lors de cette partie, Ismène va présenter en même temps ses pensées et
ses doutes concernant l’enterrement de son frère. Elle va expliquer les
raisons qui la conduisent à prendre une décision précise et elle va essayer de
persuader Antigone de faire la même chose qu’elle.
Au début, elle interroge Antigone si elle est malade afin de comprendre
pourquoi sa sœur ne dort pas. Ensuite, elle veut parler de son frère Polynice,
mais elle se réfère à ce sujet d’une façon indirecte puisqu’elle dit deux fois
qu’ «elle a bien pensé».
Puis, elle réfère que l’action d’enterrement sera coupable de sa mort et
de celle de sa sœur ; elle est absolue puisque selon son opinion, elle est
capable de réfléchir au lieu de faire «ce qui lui passe par la tête» comme sa
sœur. En conséquence, elle décide de ne pas aider Antigone à l’enterrement
du corps de Polynice vu que Créon est un roi fort qui dirige la pensée des
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hommes de la ville. Ainsi, après la fin de cette action, elle serait obligée de
tolérer les «mille visages», les «regards» et la «haine» de ces personnes. Elle
ajoute qu’il y a aussi les gardes avec le «regard de bœuf» qui ne
comprendraient pas les raisons de l’enterrement de Polynice. En même
temps, elle n’hésite pas à admettre qu’elle ne veut pas «souffrir» et «sentir la
douleur».
On remarque qu’Ismène se comporte comme chaque princesse de cette
époque-là qui suit les lois, qui reste dans la maison en s’occupant du soin de
son physique et qui ne se bat pas pour des idées. Ismène n’a pas la force de
défendre la mémoire de son frère et de faire ce que les dieux permettent. Elle
est frêle devant la force d’un mortel, du roi Créon et elle ne pense pas à ce
qu’il est propre pour sa famille.
Ensuite, elle essaie de persuader Antigone de ne pas faire une action qui
est interdite par le roi, de ne pas risquer de perdre sa vie en raison d’une
idée. En outre, pour elle, Antigone est simplement «une fille» qui ne peut pas
«croire aux idées et mourir pour elles» comme les hommes. Pendant son
effort, elle parle du bonheur et de la beauté d’Antigone, mais sans réussir à
accomplir son but. Elle le comprend et pour cette raison, elle se réfère à
Hémon qui est une personne très importante pour Antigone. Mais, encore
une fois ses mots ne sont pas suffisants afin qu’Antigone quitte son plan.
Vers la fin de la partie, elle donne l’impression d’une fille naïve qui est
persuadée d’Antigone d’aller dormir sans s’occuper du fait que sa sœur n’a
pas dit qu’elle allait oublier ce qu’elle devait faire. Avant de partir, elle croit
simplement qu’elle va convaincre Antigone sans savoir ce qui se passera.
Cette partie dévoile les grandes différences entre Antigone et Ismène. Ce
sont deux sœurs qui n’ont pas de points communs et elles donnent
l’impression que seulement le sang de leurs vains est celui qui les lie.
Antigone est la personne qui se révolte contre la force royale afin de rendre
les devoirs funèbres à son frère Polynice. Cependant, Ismène est la femme
qui ne lutte pas pour les idées puisqu’elle «ne veut pas mourir».
 Des questions
1. Trouvez les points communs ou différents entre Antigone et Ismène.
2. Analysez la phrase dite d’Antigone «Moi, je ne veux pas
comprendre».
3. Croyez-vous qu’Ismène réfléchit plus qu’Antigone ou le contraire?
4. Quels sont les éléments culturels de cette partie? Trouvez-les et
analysez-les.
5. Quels sont les éléments idéologiques de cette partie? Trouvez-les et
analysez-les.
6. Analysez les tirades de cette partie.
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7. Quelles sont les figures de style de cette partie? Trouvez-les et
analysez-les.
8. Commentez le rôle de cette partie dans l’évolution de la pièce. 57 La route vers Sorbonne C2 - Littérature
Partie 23: «Père !…en courant.» ............................................................... 121 Partie 24: «Créon, il est…à mort.» ............................................................ 125 Partie 25: «Antigone entre…avec elle, toi.» .............................................. 126 Partie 26: «Les deux autres Gardes…y passent tous» ............................... 128 Partie 27: «La reine?…Ils ont fini, eux.» .................................................... 133 Partie 28: «Pas toi, Créon…s’appuyant sur le Page.» ................................ 137 Partie 29: «Et voilà…abattent leurs atouts.» ............................................. 140 André Gide «La Symphonie pastorale» ............................................. 143 André Gide – De la «Symphonie pastorale» au Nobel de la Littérature ........ 145 Le résumé de la pièce «La Symphonie pastorale»......................................... 153 Partie 1: «La neige…cette tâche.» ............................................................. 154 Partie 2: «Il y a deux ans…l’affreuse nuit?...» ........................................... 156 Partie 3: «J’ai trop souci…et câlins.» ......................................................... 162 Partie 4: «La neige est…avec Gertrude.» .................................................. 171 Partie 5: «Dès le lendemain…tant de jours.» ............................................ 179 Partie 6: «Le 5 mars…des papillons.» ........................................................ 183 Partie 7: «Je reviens…est boiteuse.» ......................................................... 188 Partie 8: «Tout occupé…jusqu'au retour.» ................................................ 194 Partie 9: «Aussitôt rentrés…de larmes.» ................................................... 199 Partie 10: «Le seul plaisir…J’y reviens.» .................................................... 202 Partie 11: «J’espérais pouvoir…que Neuchâtel.» ...................................... 205 Partie 12: «Oui, ce concert…viens de raconter.» ...................................... 208 Partie 13: «Il me tardait…pour réfléchir.» ................................................. 212 Partie 14: «Quand je retrouvai…m’en affecter.» ...................................... 217 Partie 15: «Notre maison…Gertrude partît.» ............................................ 221 Partie 16: «Je m’étais imposé…chemin du retour.».................................. 227 Partie 17: «J'ai dû laisser…j'ai compris.» ................................................... 234 Partie 18: «Sitôt après le départ…vint éclairer.» ...................................... 237 Partie 19: «L’instruction religieuse…admirable soit‐elle ?» ...................... 240 Partie 20: «Le docteur Martins…pas heureuse ainsi?» ............................. 245 Partie 21: «À Pâques,…propre bonheur ?» ............................................... 247 Partie 22: «Hélas ! certaines âmes…rayons noirs.» .................................. 250 Partie 23: «Lorsque après…en plus souvent.» .......................................... 253 Partie 24: «J’ai pris…l’harmonie.» ............................................................. 256 Partie 25: «Gertrude s’associe…de sa vie.» .............................................. 261 Partie 26: «À présent que les…rouler à terre.» ......................................... 263 4 La route vers Sorbonne C2 - Littérature
Partie 27: «Martins est revenu…le cœur me faut.» .................................. 270 Partie 28: «J’ai revu…rencontrées.» .......................................................... 272 Partie 29: «Est‐ce pour nous…d’ici là.» ..................................................... 274 Partie 30: «Lettre de Martins :…pour vous aimer.» .................................. 277 Partie 31: «Un surcroît de travail…son retour.» ....................................... 279 Partie 32: «Gaspard et Charlotte…les voici !» ........................................... 281 Partie 33: «Dans quelle abominable…et gêné» ........................................ 283 Partie 34: «Mlle Louise m’a fait…s’il empirait.» ........................................ 288 Partie 35: «Hélas ! Je ne devais…que le désert.» ...................................... 295 Bibliographie ............................................................................... 299 5