Cendrillon et la vieille femme DING DONG

Transcription

Cendrillon et la vieille femme DING DONG
Cendrillon et la vieille femme
Il était une fois une jeune fille qui s’appelait Cendrillon. Elle était malheureuse parce qu’elle était
esclave pour sa belle-mère. La pauvre fille nettoya partout. Elle passa la serpillère, fit les lits. La bellefille nettoya la vaisselle et ses belles sœurs se moquèrent d’elle. Quand la pauvre africaine avait finit
son travail, elle s’asseyait près de la cheminée, quand tout à coup…
Les sœurs débarquèrent dans la chambre de Cendrillon.
Javotte lança :
« - Regarde-moi cette vieille fille près de cette cheminée.
Anastasie accorda :
-
Tu as raison chère jumelle, elle est pauvre.
La belle-mère parla :
-
Les filles, laissez-la, elle travaille ! »
Javotte, en chuchotant, dit à sa sœur :
« Regarde, elle est pleine de cendres sur le visage. »
DING DONG
Cendrillon alla ouvrir la porte, puis demanda en souriant :
« - Bonjour cher monsieur, que puis-je faire pour vous ?
Le messager déclara (trompette) :
-
Bonjour, j’ai un message pour vous, de la part du prince. Il organise un bal pour toutes les
jeunes femmes.
La belle-mère (en poussant Cendrillon qui tomba par terre) répondit :
-
Merci monsieur, mes filles iront avec plaisir. Au revoir. »
La belle-mère cria :
« - Mes filles, venez-là. Il ya un messager qui est venu, de la part du prince.
Anastasie questionna, en souriant :
-
Que demande t-il ?
La belle –mère répondit avec un air hautain :
-
Il invite toutes les jeunes filles au bal. »
La marâtre s’exclama en criant :
« - Cendrillon, viens repasser mes habits !
Cendrillon s’exprima en pleurant :
-
Oui belle-mère.
Anastasie ordonna en ricanant :
-
Viens me faire un chignon !!!
Cendrillon dit :
-
D’accord Anastasie.
Javotte ordonna en dansant :
-
Viens me mettre une robe ! »
Anastasie, Javotte et la belle-mère allèrent au bal.
Cendrillon chuchota tristement :
« Je voudrais tellement aller au bal moi aussi. »
POOF !
Une vieille femme apparut. La femme âgée demanda en pitié :
« - Qu’y a-t-il ma pauvre fille ?
Cendrillon s’exprima en pleurant :
-
Je ne peux pas aller au bal.
La grande dame la rassura :
-
Je vais t’aider ma pauvre. Va me chercher une citrouille, six souris, un gros rat, six lézards.
Cendrillon acquiesça, en souriant :
-
D’accord, je vais chercher tout ça. »
Elle alla chercher toutes les choses et quand elle revint, elle posa toutes les affaires par terre.
La vieille dame chanta :
« Salga doo la menchika boo-la bibbidi boo, mélangez tout ça et vous aurez quoi ? Bibbi di bibbidi
boo ! »
La citrouille devint un carrosse. Les six souris devinrent des chevaux. Le gros rat devint un cochet. Les
six rats devinrent des laquais.
Cendrillon était bouche bée.
Elle s’exprima tristement :
« Je ne peux pas aller au bal avec cette tenue. »
La vieille femme la coiffa avec un peigne magique et elle devint une belle princesse.
Elle monta dans le carrosse. Mais la vieille dame lui confia que le sortilège cesserait aux douze coups
de minuit.
Cendrillon confirma :
« Je ne l’oublierai pas ! Promit-elle. »
Et le bel attelage s’élança à vive allure vers le château. Elle arriva au bal. Elle descendit du carrosse
puis le prince l’accueillit.
Le prince dit à la jeune fille :
« - Venez, on rentre au bal.
Cendrillon s’inclina, en riant :
-
D’accord, on y va.
Le prince demanda :
-
M’accorderiez-vous cette danse ?
Cendrillon répondit, avec engouement :
-
Avec plaisir. »
Le jeune couple dansa très longtemps. Ils étaient très heureux. Quand, tout à coup, les douze coups
de minuit sonnèrent. Cendrillon courut et laissa tomber sa pantoufle de verre. Le prince ramassa la
précieuse chaussure.
Il chercha la jeune femme mais il ne la trouva pas. Les sœurs rentrèrent à la maison.
Javotte déclara, en étant fatiguée :
« - Il était fabuleux ce bal.
Anastasie confirma :
-
C’est vrai ! »
Le prince ordonna au duc de faire essayer la pantoufle à toutes les jeunes femmes du village. Quand
il fit essayer aux deux sœurs, le pied de Javotte était trop grand, et le pied d’Anastasie était trop
petit.
Cendrillon demanda timidement :
« - Puis-je essayer la pantoufle ?
Le prince répondit :
-
Oui, bien sur. »
Le prince lui fit essayer la chaussure. Elle était pile poil à sa taille.
L’homme s’exclama :
« - Est-ce vous qui dansiez à mon bras hier soir ?
-
Oui mon cher prince, c’était bien moi. Répondit-elle.
-
Voulez-vous m’épouser ? »
La belle dame et le prince vécurent heureux jusqu’à la fin des temps.
« Mon amour et ton amour sont nés le même jour, d’un regard très court mais qui nous charme pour
toujours. Mon amour et ton amour se disent tour à tour : Je t’aime bien, tu m’aimes bien, le reste
n’est plus rien ».
Les deux amoureux partirent dans la forêt d’Afrique.
FIN