telecharger le dossier de presse et la fiche technique

Transcription

telecharger le dossier de presse et la fiche technique
Au cœur de l’été, la chaleur se fait accablante, les corps s’alanguissent et les esprits s’échauffent ; sous un soleil de
plomb, une graine musicale brave vaillamment la sécheresse et l’apathie ambiante en attendant son heure…
C’est à peu près ainsi que le groupe essonnien HAUTE FIDELITE voit le jour sous la forme d'un power trio (aussi
power que trio) avec les inséparables compères (non pas les pères cons) JB Bienvenu, alias IRON WELCOME, Olivier Bône,
que les femmes chuchoteront dans leurs rêves fantasmatiques sous le sobriquet de SLIM 'OL BONE et enfin Nathan Bedel,
qui du coup, pour ne pas avoir l'air ridicule par rapport à ses charmants collègues, se laisse pousser les cheveux et se
rebaptise NATHAN BEEDLE (prononcer NAÏFAN BIDEUL).
Ainsi rassemblé, le trio s’affuble du sobriquet élégant de HAUTE FIDELITE, en hommage au film High Fidelity,
pierre angulaire de la culture des trois acolyte, et emprunte bientôt la longue et sinueuse route de la composition
instrumentale, improvisée et alcoolisée, pour ne pas aller plus loin dans les détails dignes d’un tabloïd bon marché.
Bientôt, les premiers titres sont jetés en pâture à un public fauve et chamarré lors d'un premier concert à Saulx-LesChartreux en Juin 2005.
Mais le loup rôde déjà dans la bergerie du Frigo Studio. Grégory Erb, qui suit les trois amis de près sur d'autres
projets (studio et scène avec Aden en tant qu'ingénieur du son, association musicale et soirées mémorables) commence à
être alléché par l'histoire HAUTE FIDELITE. Suite à un vil traquenard, il se retrouve derrière un micro et n'a depuis de
cesse de chanter son désespoir sur tous les tons, majeurs ou mineurs voire même myxolydien augmenté (NDR : Je
trouve que tu fais carrément ton crâneur, là).
Ainsi armé de 8 pieds, 8 mains, 8 oreilles et 3 zigounettes (qui se sent visé?...) haute Fidélité
accouche durant l'été 2006 de sa première galette musicale (pour les autres galettes, nous
laisserons ça à la portée des colporteurs de ragots malfaisants), BOULEVARD DU ROCK. Outre
quelques reprises bien senties des maîtres du genre, ce premier album studio renferme quelques
plages aujourd’hui cultes que le groupe (et son public) prennent plaisir à réinterpréter au détour
d’un concert.
Dès le mois de septembre 2006 l'album commence à circuler et les ventes décollent (au moins
10 cm du sol, heureusement on a de la moquette). Le groupe ne s'attarde pas sur ces lauriers
vaniteux et déjà, de nouvelles compositions voient le jour, amorçant une évolution lente mais
rigoureuse du style HF. Morceaux plus longs, plus techniques, plus progressifs aussi, le
nouveau HF émerge et transforme l'essai en septembre 2007 avec le live "GRINDING THE
STAGE", que le groupe dédicace à Patrick Fiori et Annie Cordi. L'album rapidement mixé et
quelques "parties alternatives" nettoyées, le premier live de Haute Fidelite sort le bout de son
nez, en téléchargement gratuit et officiel sur le site du groupe.
Armé de ces deux disques le groupe entame une tournée monumentale de zéro dates dans le monde entier, le
GOING NOWHERE TOUR 2007-2008 est lancé, le public est bien évidemment au rendez-vous !
Le temps passe, la tournée s'achève et le groupe entame l'enregistrement de son nouvel opus (enfin, cd, quoi...). Les
morceaux, en pré-production depuis des mois et pour certains déjà étrennés en live, commencent à prendre vie dès le
mois de décembre 2007. Une fois les batteries enregistrées en 3 jours, commence le long processus d'empilage des 60
pistes de guitares et des 2000 pistes de choeurs durant de longs mois de labeur acharné.
Septembre 2008 : le compte à rebours est lancé, les fans guettent attentivement la moindre bride d’information sur
le nouvel album du groupe, que l’on sait maintenant s’appeler WILLINGLY VICTIMIZED. Quelques retards dans
l’artwork et le pressage des CD ne viennent pas entamer la résolution des fans qui se jettent sur l’album dès sa sortie
définitive et publique en novembre 2008.
Les 12 titres de l’album panachent à présent le rock lourd et puissant des débuts avec des ambiances plus sombres et
progressives. Haute Fidélité a commencé sa mutation et le résultat est surprenant, intense et d’une densité qu’on ne
connaissait pas au groupe auparavant.
Contact :
[email protected]
www.hf-music.com
www.myspace.com/hautefideliteband
JEAN-BAPTISTE BIENVENU
JB commence la guitare très tôt, à un age ou il est encore normal d'avoir un besoin de faire du bruit en toute
impunité. Ses parents d’ailleurs n’auront de cesse de lui laisser la bride sur le cou, donnant ainsi à JB le moyen de
s’exprimer dans tous les modes de saturation possibles et imaginables. Les années passant il se forge un petit bagage
technique grâce à la partie « métallique » de sa culture, Megadeth, trust et consort rythment ses premiers pas vers le
meulage professionnel...
Ce n'est que vers 15 ans qu'il se met au death metal, au prog et aux rythmes funky, (le tout d’une traite sans même
prendre le temps de mâcher). Naturellement doué pour la musique, le VRAI grand challenge de JB fut de se doter d'un
immense sens de l’humour tellement décalé qu’on dirait qu’il est parti bien, bien loin (ce n'est rien de le dire, les
cadavres de comiques troupiers jonchent sa déjà longue route). Le Jaib concentre son énergie dans le fait de pourrir les
répètes grâce à son sens aigu de la farce du mot d'esprit et de la connerie pure et simple. Mais la musique, dans tout ça ?
Il joue ensuite dans Koydt, groupe mythique et néanmoins bruitiste pour ne pas le citer (mais qu'on citera quand
même, ne serait-ce que pour se cultiver). Retrouvant ses amis Olivier et Nathan pour simplement jouer et faire un peu
plus de bruit au départ, c'est avec l'arrivée de Greg que HF prend son envol dans et réveille ainsi la bête qui sommeille
en vous.
Le mot de la fin par JB : « Nous espérons sincèrement vous faire plaisir lors de nos concert. La meilleure des
récompenses étant un petit message de vos impressions sur notre site (surtout si elles sont bonnes). Et surtout n'oubliez
pas que souvent un bon vieux solo de guitare et des riff tronçonneuse valent mieux qu'un énième mélange de rap funk
soul et deathmet... »
à bon entendeur...
OLIVIER BONE
Olivier, le plus grand des trolls, mesurant 1m94.5 pour 245kg (et oui, je suis en plein régime aussi)
est un passionné de musique avant tout! Fan de Flea, le bassiste des red hot chili peppers, mais d'abord de groupes
"métals" (System Of A Down, Metallica, Nirvana...), c’est sous l’influence de JB que le futur Slim Ol’ Bone en vient à
taquiner la quatre cordes. La légende prétend que JB, faute d’avoir trouvé un bassiste pour jouer avec lui, décida d’en
fabriquer un à partir de bouts de bassistes morts et de lui donner la vie. La vérité est toute autre, Olivier s’est fait greffer
un gros orteil ayant appartenu à Jaco Pastorius (si vous me suivez bien, ça ne l’aide en rien à jouer de la basse).
Parallèlement à son aventure musicale avec Iron Welcome, il traverse un passage plus "punk californien" (avec
Offspring, Blink182, Sum41, …). Initié ensuite par son professeur de conservatoire, il redécouvre les Blues Brothers,
Stevie Wonder, Jamiroquai et bien d'autres au travers de morceaux tels que Soul man, Sir Duke, too Young to die,
Green Ognions.... Et là, il se dit : « wouhaaa ça grOOve ça …. Faut que je continue la musique pour jouer avec kool and
the Gang et Stevie!!!!! ». Dont acte.
Il découvre ensuite deux groupes très importants pour son avenir et la suite de son évolution musicale : Led
Zeppelin et Deep Purple ! C’est ainsi que commença pour lui le Rock’n’roll.
Fan de Quentin Tarantino, il aime la "jouer moyenâgeuse" et conduire comme Winston Wolf dans les rues de Saulx
les chartreux et d'ailleurs : Attention aux radars quand même. A noter qu'il voulait s'inscrire dans un cours de danse
classique mais qu'il a été refusé pour cause de pieds trop grands !! (on va dire que c'est pour ça....).
NATHAN BEDEL
Nathan est le plus jeune, le moins drôle et le plus petit du groupe, cependant il est le seul à pouvoir gérer les
injonctions d’humour de bas étages ininterrompues de ses chers camarades ! C’est également celui qu’on voit le moins,
puisque toujours caché derrière sa batterie tout au fond de la scène ! Toutefois il semble bien le vivre, et, dit-il:
« heureusement que je reste assis tout le concert, ma condition physique ne me permettrait pas de sauter partout
comme les autres ! »
C’est donc confortablement installé derrière son instrument qu’il passe le plus clair de son temps, soit à jouer avec
ses compères, soit à travailler. Fervent défenseur de la batterie en tant qu’instrument à part entière, c’est sans relâche
qu’il besogne pour hisser sa batterie hors de la catégorie des instruments dits « mineurs »! Et la musique, dans tout ça ?
C’est un adepte de Led zeppelin, de King crimson et des Red Hot Chili Peppers, dont il s’inspire majoritairement,
mais c’est aussi un grand amateur de jazz et de blues. Après des débuts très rock’n roll et metal, tout en se donnant un
look de fan de Hiphop, il s’est naturellement dirigé au fil de ses études et de ses rencontres vers des styles musicaux
plus éloignés.
Le jazz et surtout les percussions d’orchestre, ainsi que les percussions à clavier (vibraphone, marimbas) permettent
à ce talentueux jeune homme de proposer régulièrement une alternative rafraichissante aux rythmiques lourdes et
complexes du groupe.
GREGORY ERB
Greg (ça y est, ça commence), naît au fond d’un ruisseau en l’an de grâce 1763. Je me rappelle, cette année-là, le vin
avait un goût de prune et la Seine était montée de 20 centimètres au moment des giboulées de Mars. C’est vous dire si
l’arrivée de cet homme fut pour le moins providentielle. Nourri par les loups et les belettes de la région, notre jeune ami
se découvre très tôt une passion pour les arts et la musique en particulier ; en effet, le premier homme à le bastonner
dans la boue n’est autre que le neveu du fils de la bonne de la femme de W. A. Mozart, un artiste en devenir signé à
l’époque sur le label du Vatican, avant que son back catalogue ne soit racheté par la Prusse Inc. De rencontres en
révélations, notre héros forgera sa réputation d’homme stable (il avoisine le quintal et peut regarder Michael Jordan de
haut) et affable (comme celles de La Fontaine).
Armé d’un solide sens de l’humour (les blagues au calibre 12, ça fait mal), il parvient sans mal à s’attirer les faveurs
du Roi Jean-Baptiste 1er, qui le juge assez bon humoriste pour faire partie de sa Cour, déjà composée de grands noms
de la poésie comme le prince Bône ou encore l’homme qu’on nommera plus tard Nathan Bedel (mais qui pour l’heure
se faisait appeler… Nathan Bedel, on se demande encore pourquoi). Cette promiscuité insoutenable pour le commun
des mortels entraîne en fait un effet salvateur sur nos compagnons, puisque après avoir usé la blague jusqu’à la corde,
ils décident de l’utiliser pour leurs guitares (vous avez vu le jeu de mot ?).
Après quelques centaines d’années passées à peaufiner un style que certains jugeront en suite à la fois précurseur et
sédentariste (nous en cultivons le paradoxe), notre homme est enfin prêt à affronter l’ennemi (vous, quoi…) face à face
sur les plus hideux champs de bataille que la terre ait portée : Chateauneuf, Etampes et même le charnier d’Epinay Sur
Orge. Les femmes se lamentent aujourd’hui devant la dépouille de leur homme mort au combat, face à une déferlante
sonore et visuelle que n’aurait pas renié Max Pecas dans « on se calme et on boit frais à St Tropez ».
De simple chanteur invité au sein de HAUTE FIDELITE, Greg a gravi les échelons pour terminer à la très peu
enviable place de « Consultant à titre honoraire en blague et jeux de mots laids » et d’empêcheur de gratter en rond du
groupe. Et la musique dans tout ça ?
La face métallique et violente côtoie la pop la plus entraînante, l’arrangement contemporain se mêle à la bonne
vieille soupe rock’n roll et tout se petit monde copule agréablement au sein du groupe, pour votre petit bonheur.
CONCERTS :
Fête de la Zic Locale, juin 2005 (Association Localzique, Saulx-Les-Chartreux, 91)
Concert Localzique, janvier 2006
Concert Adhoc, mars 2006 (Association Adhoc, Epinay Sur Orge, 91)
Le Petit Bar, avril 2006 (Etampes)
Tremplin Historocks – Selection du festival, avril 2006
Festival Historocks, aout 2006 (Association Mets Du Son, Chateauneuf-la-Foret)
Bar Le Cheyenne – 2 soirées, août 2006
Concert Adhoc, septembre 2006
Le petit Robinson, janvier 2007 (Etampes)
Bar Le Cheyenne, août 2007
Concert Adhoc, septembre 2007 (Palaiseau, 91)
Histotour, mai 2008 (association Historocks, Saint-Meard)
Fete de la musique, juin 2008 (Chevry-Cossigny, 91)
Concert Adhoc, septembre 2008
Sans dates :
Soirée concert au pub « La taverne Gambrinus », St Michel sur Orge
Concert associatif à Chevry-Cossigny
HAUTE FIDELITE – FICHE TECHNIQUE
MUSICIENS :
Jean-Baptiste Bienvenue : guitare/chœurs
Olivier Bône : basse
Nathan Bedel : batterie/chœurs
Grégory Erb : chant/guitare
EQUIPE TECHNIQUE :
Ingénieur du son : Cédric Pereira (06 88 16 74 88)
Contact groupe : Grégory Erb 06 14 94 26 87 / [email protected]
Olivier Bône 06 15 32 50 34
PATCH LIST :
Patch
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
Mic/DI
D112
SM57
SM57
C451
E604
E604
E604
E604
C451
C451
DI active
DI active
DI active
E609 (ou SM57)
DI active
DI active
EW 165
instrument
Kick
Snare top
Snare bottom
Hihat
Tom hi
Tom med
Tom low 1
Tom low 2
Oh left
Oh right
Module Drums L
Module Drums R
Bass
Gtr ampli jardin
Gtr cour rack L
Gtr cour rack R
Lead
18
19
20
21
22
23
24
25
SM58
SM58
SM58
FX 1 reverb L
FX 1 reverb R
FX 2 reverb/delay L
FX 2 reverb/delay R
CD-DAT L (DI)
Ch gtr
Ch drums
Lead spare
PCM 91
PCM 91
SPX 990
SPX 990
26
CD-DAT R (DI)
remarque
Compress
Compress
Compress
Compress
Rack FX complet
Rack FX complet
Compress + FX reverb/delay –
micro HF
Le lecteur est sur scène au niveau
de la batterie
Le lecteur est sur scène au niveau
de la batterie
Console 24 voies : 6 aux (4 pour les retours de scène et 2 pour les FX).
Enregistreur MD.
Périphériques :
-Lexicon PCM 91
-Yamaha SPX990
-Compresseurs BSS DPR402 (x3)
-Egaliseurs graphiques pour façade et retours
GESTION DU RESEAU RETOUR BATTERIE :
-
-
-
Le batteur joue avec un casque ou un système ear-monitor via un ampli casque (fournis par le groupe).
Le casque est sourcé par l’auxiliaire habituel utilisé pour le retour batterie. Le prestataire doit nous
fournir un accès à la ligne audio qui source le circuit retour batterie pour nous permettre d’alimenter
l’ampli casque du batteur. L’entrée de l’ampli casque est au format Jack 6.35.
Un lecteur CD ou DAT (fourni par le groupe) sera disposé au niveau de la batterie. Le régisseur devra
prévoir une petite table ou un support pour pouvoir poser le lecteur, ainsi qu’une lampe d’appoint. Les
sorties GAUCHE et DROITE seront récupérées à la console. La sortie gauche devra partir
UNIQUEMENT dans le retour casque batterie (métronome et calage des séquences), la sortie droite
sera mixée dans la façade et les différents circuits retours (séquences et ajouts audios).
En cas de doute, merci de nous contacter pour de plus amples informations.
REMARQUES :
-
Le placement des musiciens est indicatif et peut être modifié selon la taille de la scène ou le placement
des amplis.
Le groupe peut apporter tout son matériel (amplis, batterie, etc…) selon disponibilité ou non du
matériel lors de la manifestation.
pour le micro HF, le récepteur sera placé à la console à porté du technicien et un connecteur XLRXLR devra être prévu pour assurer le câblage du récepteur dans la console.
Le nombre d’éléments batterie et de micros associés (en particulier pour les toms) pourra être sujet à
modification selon la batterie en place lors de l’événement.
POUR TOUTES CES REMARQUES, PRIERE DE NOUS CONTACTER AVANT TOUTE
MODIFICATION.