dossier spectacle

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dossier spectacle
PRODUCTION / REPERTOIRE
ARLEQUIN
POLI PAR L’AMOUR
de Marivaux
mise en scène Thomas Jolly
reprise du 7 au 12 janvier 2013
au Centre dramatique régional de Haute-Normandie/
Théâtre des deux rives
tournée de janvier à mai 2013
spectacle disponible saison 2013-2014
PRODUCTION / REPERTOIRE
du 7 au 12 janvier 2013
au Centre dramatique
régional de Haute-Normandie
Théâtre des deux rives
ARLEQUIN
POLI PAR L’AMOUR
lundi 7 janvier
à 14h00 et 19h30
mardi 8 janvier
à 14h00 et 20h30
de Marivaux
mise en scène Thomas Jolly
mercredi 9 janvier
à 19h30
jeudi 10 janvier
à 10h00 et 14h00
vendredi 11 janvier
avec : Julie Bouriche, Rémi Dessenoix, Charlotte Ravinet, Taya Skorokhodova
Romain Tamisier, Guillaume Yvon
à 10h00 et 14h00
samedi 12 janvier
scénographie Thomas Jolly
à 20h30
lumière Thomas Jolly, Jean-François Lelong
durée 1h30
TOURNÉE
costumes Jane Avezou
assistant mise en scène Benjamin Charlery
direction technique Patrick Delacroix
et l’équipe technique du Centre dramatique
mardi 15 janvier 2013 à 20h30
mercredi 16 janvier 2013 à 20h30
au Théâtre La Piscine
Chatenay-Malabry (92)
jeudi 24 janvier 2013 à 14h00
vendredi 25 janvier 2013 à 20h15
au Centre Neufchatelois des Arts
Vivants / Arc en Scènes
La Chaux-de-Fonds (Suisse)
vendredi 1er février 2013
à 20h30
à l’Espace Philippe Auguste
Vernon (27)
jeudi 7 février 2013 à 14h30
et 20h30
au Splendid
Saint-Quentin (02)
vendredi 22 février 2013 à 21h00
au Théâtre Jean Marais
Centre culturel du Forum
à Saint Gratien (95)
mercredi 17 avril 2013 à 19h30
jeudi 18 avril 2013 à 20h30
au Grand Logis à Bruz (35)
samedi 6 juillet 2013 à 20h30
60ème Festival national de Bellac
Théâtre du Cloître (87)
production Centre dramatique régional de Haute-Normandie / Théâtre des deux rives
coproduction Compagnie La Piccola Familia.
Le Centre dramatique régional de Haute-Normandie / Théâtre des deux rives est
subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC HauteNormandie, la Ville de Rouen, la Région Haute-Normandie, le Département de SeineMaritime.
Le journal Paris-Normandie et La Chaîne Normande sont partenaires du Centre
dramatique pour la saison 2012-2013.
ARLEQUIN
POLI PAR L’AMOUR
Dans ce manifeste qui célèbre en forme de conte de fées l’innocence de la
jeunesse, Marivaux autorisait, par convention, toutes les fantaisies. Avec son
Arlequin, Thomas Jolly se fait un plaisir de répondre aux encouragements de
l’auteur…
Arlequin est retenu prisonnier par une fée, tombée amoureuse de ce jeune et
bel homme qui se révèle pourtant bien rustre et peu futé. Arlequin rencontre
Silvia, une jeune bergère. Ils tombent amoureux et voilà notre imbécile devenu
sensible, fin, courtois, « poli » par l’amour. Mais la fée n’a pas dit son dernier mot.
La jalousie lui inspire un plan machiavélique pour séparer les jeunes amants.
En vain. L’Amour finira par triompher et Arlequin pourra vivre son destin avec
sa dulcinée.
CRÉER A NOUVEAU
En 2006, Arlequin poli par l’amour est bien plus, pour moi, qu’une pièce courte de Marivaux. C’est une
entrée. C’est une idée, un projet, un espoir qui se pose. L’idée d’une colère, le projet d’une lutte, l’espoir
d’une ambition autre.
Derrière ce personnage que le théâtre a hissé en symbole, c’est le droit à l’existence qui s’exprime.
Crier qu’on est vivant, qu’on est là et qu’on entend être libre. Laisser parler cette insolence parce qu’on
se souvient que c’est Dante, dans son “enfer” qui brosse les premiers traits de ce personnage, et qu’on
devine en lui les démons qu’il a pour ancêtres.
Il est jeune, et fou, et bête encore et déraisonné. Ce que nous étions alors : penser se réunir pour faire
du théâtre sans autre volonté que celle-ci, qui est la seule qui vaille, et se foutre des cadres, et de la
profession, et de notre avenir - et l’argent ? et son loyer ? et son couple ? et son plan de vie ? et sa
carrière ? - juste faire du théâtre et s’étonner de trouver en ces personnages le souffle qu’il nous fallait,
les mots que nous voulions, les questions qui nous agitaient - l’auteur était jeune alors, comme eux,
comme nous, tant de jeunesse devait créer quelque chose.
C’est ce qui se passa.
Une aventure de 4 années de tournée partout, dans toutes sortes de lieux, pour tous les publics, en
France, à l’étranger, sous un soleil d’insouciance luxueuse ou de désolation politique.
En même temps que grandissait ce spectacle, que nous rencontrions les publics, c’est le projet d’un
théâtre de vie (ou d’une vie de théâtre) qui s’affinait. Un théâtre populaire, intelligent et festif, pour et
avec les gens. Tous les gens. La pensée d’une compagnie.
Et puis de jeunes, fous, bêtes et déraisonnés, nous sommes devenus - pouvait-on y couper ? - moins
jeunes, fous mais avertis... et déraisonnables (c’est-à-dire déraisonnés mais avec intelligence) pour
nous tourner vers d’autres aventures.
Ce que nous racontions de nous avec ce spectacle n’était plus, et le théâtre ne doit pas mentir :
toujours il m’a semblé primordial de faire coïncider les histoires que nous racontions avec celles que
nous vivions.
J’entendais souvent : “le théâtre est un art éphémère” et je le comprenais par sa dissolution une fois
le rideau tombé... mais ce n’est pas seulement cela. C’est que... ça passe, ça existe et un jour ça n’existe
plus. Et il faut avoir l’honnêteté et le courage de le constater : nous ne pouvions plus raconter ces
choses-là, parce que d’autres choses nous agitaient alors...
En 2010, malgré les demandes et un enthousiasme constant, nous décidions de mettre un terme à ce
spectacle.
Arlequin poli par l’amour.
Joué 4 années.
On ne sait plus combien de fois (aucun de nous n’était d’accord).
Merci.
Et on dit au-revoir parce qu’on trouve ça trop dur de dire Adieu... oui mais, il faut faire attention à ce
qu’on dit.
Marivaux convoque la jeunesse, sa fougue, son insolence, sa bêtise splendide, sa maladresse, son
enchantement. L’endroit des ambitions sans bornes et de la foi en un autre monde. Oui, cet endroit
que chacun a connu, connaît ou connaîtra, le moment de nos vies où l’on veut/peut/croit/espère
changer le monde. Arlequin et Silvia sont à cet endroit. L’endroit de tous les possibles. Le croisement
de tous les chemins, cette période où il s’agit de choisir parmi toutes les vies qui s’offrent à nous...
Choisir ou se laisser choisir : la volonté ici est toute relative - et on le comprend plus tard. (C’est la
vieille histoire du débat nature/culture...). Cette période - celle de l’éveil de la conscience - de soi, des
autres, du monde - ne se joue pas. On est dedans ou on ne l’est plus (avec soulagement ou nostalgie,
parfois - méandre - les deux ensemble).
Les six «acteurs-compagnons» sont à cet endroit-là. Un passage entre l’apprenti-acteur/trice et
l’acteur/trice professionel(le). Ce sont aussi 3 jeunes hommes et 3 jeunes femmes sur le chemin de
leurs identités d’hommes et de femmes.
Quand, à l’invitation du Centre dramatique de Haute-Normandie, j’ai eu à réfléchir à un projet pour la
3e promotion des acteurs-compagnons, il m’a semblé cohérent de ré-ouvrir le travail sur cette pièce
qui avait accompagné mes premiers pas dans la réalité de ce métier.
Voici qu’en 2011 s’amorce la re-création d’Arlequin poli par l’amour.
Pour eux d’abord
Leur offrir un espace à investir, une pièce à défricher, un propos à creuser. Penser et construire leur
acteur - par là-même s’interroger sur eux-mêmes. Questionner qui ils sont, ce qu’ils veulent et ce qu’ils
font là.Et leur donner l’espace de proposer, d’envahir ce texte avec leurs univers, leurs envies.
Arlequin et Silvia ne sont pas loin de ces 6 acteurs : entrant dans l’âge adulte, ils butent ensemble
contre un monde dont ils ne tarderont pas à mesurer la violence et dont la fée, figure de pouvoir
absolu, leur fera comprendre les règles.
Pour autant, jouer Marivaux c’est aussi se mesurer à une langue redoutable et d’autant plus acérée
dans cette pièce : Arlequin poli par l’amour est née de la rencontre de Marivaux avec les comédiens
italiens en 1720. Fasciné par leur approche du plateau il leur écrit un texte court car les comédiens
italiens parlaient encore peu français. Cette économie de mots, cette sécheresse du langage génère
dans ses fulgurances d’autant plus de violence. Pour l’acteur elle est une partition exigente : chaque
réplique devient une arme brève et incisive. Pas de longueurs, pas de déploiement : un concentré de
brutalité.
Pour moi aussi
Car jamais il n’a été question de plaquer intégralement une mise en scène sur une nouvelle équipe. Je
fais du spectacle... vivant - et c’est bien dans ce mot de “vivant” que sont enfermés les secrets -infinisde mon métier. J’ai avancé aussi. Et grandi - arrive un temps où l’on dit vieilli - et je suis maintenant
dehors. Je ne dirige plus le travail de l’intérieur. C’est une double distance spatiale et temporelle. Dans
cet écart s’est glissée l’existence... parler d’amour (en fait-on un jour le tour ?), évoquer le monde (en
faire un jour le tour), mais vu d’aujourd’hui.
Je retrouve dans cette nouvelle version du spectacle des images et des réminiscences de son
ancêtre, des citations qui sont autant d’hommages au temps, au public d’alors et aux acteurs qui
m’accompagnent encore, ailleurs sur d’autres contrées...
C’est une jolie histoire.
Une histoire de spectacle... vivant.
Thomas Jolly. Septembre 2011
ÉQUIPE ARTISTIQUE
Thomas Jolly
Thomas Jolly est né le 1er février 1982.
Il commence le théâtre dès 1993 à Rouen et intègre la compagnie «théâtre d’enfants»
dirigée par Nathalie Barrabé. Il entre ensuite au Lycée Jeanne d’Arc en classe théâtre et
travaille sous la direction des comédiens du Théâtre des 2 rives/Centre dramatique régional
de Haute-Normandie.
Parallèlement à une licence d’études théâtrales à l’université de Caen, il crée une compagnie
de théâtre étudiant et joue dans plusieurs festivals de la région.
En 2001, il intègre la formation professionnelle de l’ACTEA à Caen et travaille avec Olivier
Lopez, Sophie Quesnon, René Pareja...
En 2003, il entre à l’Ecole Nationale Supérieure du Théâtre National de Bretagne à Rennes
dirigée par Stanislas Nordey. Il y travaille sous la direction de Jean-François Sivadier, Claude
Régy, Hubert Colas, Robert Cantarella, J-C Saïs, Bruno Meyssat, Anton Kouznetsov...
Parallèlement à sa formation il met en scène ses deux premiers spectacles : en 2004,
Mariana, une adaptation des lettres de la religieuse portugaise et en 2005 La photographie
de Jean-Luc Lagarce dans le cadre d’un atelier carte blanche de l’école du TNB.
En 2005, il joue dans Splendid’s de Jean Genet, mis en scène par Cédric Gourmelon et en
2006, sous la direction de Stanislas Nordey, il joue dans Peanuts de Fausto Paravidino.
A l’issue de sa formation, il fonde La Piccola Familia avec une partie des comédiens qui ont
accompagné ses années d’apprentissage.
Il met en scène et joue dans Arlequin poli par l’amour de Marivaux de 2007 à 2010 et Toâ de
Sacha Guitry en 2009 et 2010 (Prix du public, festival Impatience, Théâtre de l’Odéon, Paris).
Parallèlement aux créations de sa compagnie, il travaille avec l’ensemble baroque “les
cyclopes” sur divers projets musicaux dont Pontormo en 2008 et la version scénique du
concert Musica Poetica autour de L’œuvre de M. Weckmann.
En 2009 et 2010, à l’invitation du Trident/Scène Nationale de Cherbourg-Octeville, il conçoit
et crée Une Nuit chez les Ravalet, un spectacle déambulatoire et crépusculaire réunissant
La Piccola Familia et la première promotion des acteurs compagnons du GEIQ Théâtre en
Haute-Normandie..
Avec La Piccola Familia, il crée Piscine (pas d’eau) de Mark Ravenhill en Janvier 2011. Le
spectacle est actuellement en tournée...
Janvier 2012 voit la création du cycle 1 d’Henry VI de William Shakespeare. Un projet vaste
dont il a présenté plusieurs étapes au cours des deux dernières saisons à Rouen, Caen et
Argentan et dont la création intégrale devrait courir sur les deux prochaines saisons.
Il intervient régulièrement auprès de jeunes acteurs en formation : ACTEA, GEIQ-Théâtre en
Haute-Normandie (promotions 1, 2 et 3), Conservatoire de Rouen, Ecole du TNB.
En Juin 2012, il s’est vu confier la mise en scène d’un spectacle pour la 7e promotion des
élèves de l’école du TNB.
Les acteurs issus de la troisième promotion du GEIQ Théâtre en
Haute-Normandie
Julie Bouriche
Après une formation à l’ACTEA, Julie Bourriche travaille sous la direction
d’Annie Pican. Elle intégre en 2011 la troisième promotion du GEIQ Théâtre
en Haute-Normandie. Dans le cadre de cette formation, elle travaille sous la
direction de Claude Alice Peyrottes pour la création de Rue de l’arrivée, rue
du départ, extraits de textes de Charlotte Delbo, et d’Elizabeth Macocco pour
la création de Du Côté d’Alice 3 / La Course aux chansons, de Marie Nimier.
Elle participe au Laboratoire Théâtre obligatoire ?! dirigé par Catherine Dewitt,
au Laboratoire Les Années 80 dirigé par Pauline Bureau et au Laboratoire Le
Grand jeu des idées dirigé par Jérôme Hankins.
Le GEIQ Théâtre
en Haute-Normandie
Créé en 2008, à l’initiative d’Elizabeth
Macocco, par le Centre dramatique
régional de Haute-Normandie /
Théâtre des deux rives, le GEIQ
Théâtre en Haute-Normandie est
un Groupement d’Employeurs qui
a pour spécificité de proposer des
emplois à de jeunes comédiens
en voie de professionnalisation.
En parallèle, ils bénéficient d’une
formation complémentaire et d’un
accompagnement personnalisé vers
l’insertion.
Rémi Dessenoix
Formé à l’Ecole Claude Mathieu, il travaille sous la direction de Patrick Mohr et
d’Alexandre Zloto. Il intégre en 2011 la troisième promotion du GEIQ Théâtre
en Haute-Normandie. Dans le cadre de cette formation, il travaille sous la
direction de Claude Alice Peyrottes pour la création de Rue de l’arrivée, rue
du départ, extraits de textes de Charlotte Delbo, et d’Elizabeth Macocco pour
la création de Du Côté d’Alice 3 / La Course aux chansons, de Marie Nimier.
Il participe au Laboratoire Théâtre obligatoire ?! dirigé par Catherine Dewitt,
au Laboratoire Les Années 80 dirigé par Pauline Bureau et au Laboratoire Le
Grand jeu des idées dirigé par Jérôme Hankins.
Charlotte Ravinet
Après une formation à l’Ecole Les Enfants terribles et à l’Ecole Béatrice
Brout, Charlotte Ravinet joue au théâtre sous la direction de Sylvain Herry
et Stéphanie Gontry, au cinéma et à la télévision, sous la direction de GeraldHustache-Mathieu, Sylvain Giannetto, Bruno Detante, Martin Salmon, Pauline
Royo, Gregory Turbellier et Maria Baraz.
Elle intégre en 2011 la troisième promotion du GEIQ Théâtre en HauteNormandie. Dans le cadre de cette formation, il travaille sous la direction de
Claude Alice Peyrottes pour la création de Rue de l’arrivée, rue du départ,
extraits de textes de Charlotte Delbo, et d’Elizabeth Macocco pour la création
de Du Côté d’Alice 3 / La Course aux chansons, de Marie Nimier. Elle participe au
Laboratoire Théâtre obligatoire ?! dirigé par Catherine Dewitt, au Laboratoire
Les Années 80 dirigé par Pauline Bureau et au Laboratoire Le Grand jeu des
idées dirigé par Jérôme Hankins.
Taya Skorokhodova
Elle intégre en 2011 la troisième promotion du GEIQ Théâtre en Haute-Normandie
après une formation au Conservatoire du Havre. Dans le cadre de cette formation,
elle travaille sous la direction de Claude Alice Peyrottes pour la création de Rue
de l’arrivée, rue du départ, extraits de textes de Charlotte Delbo, et d’Elizabeth
Macocco pour la création de Du Côté d’Alice 3 / La Course aux chansons, de Marie
Nimier. Elle participe au Laboratoire Théâtre obligatoire ?! dirigé par Catherine
Dewitt, au Laboratoire Les Années 80 dirigé par Pauline Bureau et au Laboratoire
Le Grand jeu des idées dirigé par Jérôme Hankins.
Romain Tamisier
Après un parcours de formation au cours Florent, au cours privé Fanny Laudicina
puis au Conservatoire de Bobigny, Romain Tamisier intégre en 2011 la troisième
promotion du GEIQ Théâtre en Haute-Normandie. Dans le cadre de cette formation,
il travaille sous la direction de Claude Alice Peyrottes pour la création de Rue
de l’arrivée, rue du départ, extraits de textes de Charlotte Delbo, et d’Elizabeth
Macocco pour la création de Du Côté d’Alice 3 / La Course aux chansons, de Marie
Nimier. Il participe au Laboratoire Théâtre obligatoire ?! dirigé par Catherine
Dewitt, au Laboratoire Les Années 80 dirigé par Pauline Bureau et au Laboratoire
Le Grand jeu des idées dirigé par Jérôme Hankins.
Au cinéma et à la télévision, il tourne sous la direction de Jean-Pierre Sinapi et de
Rémi Bigot.
Guillaume Yvon
Formé au Conservatoire à Rayonnement régional de Rouen, Guillaume Yvon
travaille sous la direction de Maurice Attias puis de Thomas Jolly. Il intégre en
2011 la troisième promotion du GEIQ Théâtre en Haute-Normandie. Dans le cadre
de cette formation, il travaille sous la direction de Claude Alice Peyrottes pour la
création de Rue de l’arrivée, rue du départ, extraits de textes de Charlotte Delbo,
et d’Elizabeth Macocco pour la création de Du Côté d’Alice 3 / La Course aux
chansons, de Marie Nimier. Il participe au Laboratoire Théâtre obligatoire ?! dirigé
par Catherine Dewitt, au Laboratoire Les Années 80 dirigé par Pauline Bureau et au
Laboratoire Le Grand jeu des idées dirigé par Jérôme Hankins.