Les causeries

Transcription

Les causeries
F CRÉATIONS F
Les causeries
par David Wahl
À mi-chemin entre récit théâtral
et relation de voyage extraordinaire, les causeries tentent de
faire surgir une dimension inattendue du monde en cheminant
depuis ses périphéries ou ses àcôtés.
Histoires oubliées, audaces philosophiques ignorées, découvertes scientifiques encore confidentielles, faits inconnus, amusants,
surprenants voire incroyables :
à partir d’un thème allègrement
distendu en tous les sens, au fil de
digressions qui s’avèrent finalement n’en être pas, d’étonnements
en surprises, peut alors émerger
ce qui se dissimule en cette sorte de cabinet de curiosités : une
odyssée de l’émerveillement…
© Philippe Savoir
les 18 et 25 mars, et 1er avril 2015 Traité de la boule de cristal
Maison de la Poésie, Paris 3
les 8, 15 et 22 avril 2015
La Visite curieuse et secrète
Maison de la Poésie, Paris 3
les 9 et 10 avril 2015
Traité de la boule de cristal
Rennes, lieu tenu secret
dans le cadre de Mythos, festival des arts de la parole
les 10 et 11 avril 2015
La Visite curieuse et secrète
Rennes, lieu tenu secret
dans le cadre de Mythos, festival des arts de la parole
informations pratiques
en page 5
Diffusion : Incipit - Mariène Affou & Caroline de Saint-Pastou
01 48 06 32 36 / [email protected]
Relations presse : Plan Bey - Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias
01 48 06 52 27 / [email protected]
Notes d’intentions
Tout part du désir de raconter des histoires. Des histoires vraies. Mais des histoires vraies si peu connues et assemblées de
telle manière que le doute sera toujours permis. Puis, de les raconter à haute voix. Et que, se répondant entre elles, toutes
ces histoires parviennent à évoquer notre monde d’une curieuse mais tout aussi valable façon.
Les causeries tiennent à la fois des veillées et des ‘‘mirabilia’’, ces vieux récits se plaisant à narrer aux hommes lassés par
l’habitude, les prodiges de la nature. S’y ressent aussi sans doute une fascination pour un temps éloigné où l’on pouvait
encore penser que le savoir universel pût être embrassé, et qu’à qui savait le lire en son entier était livré le secret du monde.
Or, c’est toujours sur cette promesse que se joue l’union du raconteur et de l’auditeur, le premier cherchant la révélation,
le second rêvant de la recevoir. Et c’est sur cette relation que se fonde ce travail d’écriture et de jeu.
Ces causeries cherchent ainsi à tisser un lien particulier avec l’auditeur. Notre primo-culture s’est élaborée sur ce rapport,
quand, enfant, l’on ne vivait que pour ce moment fameux où l’on nous lirait une histoire. Nous la recevions alors de deux
manières, soit en ne la comprenant pas en son entier : les bribes et surtout l’être qui nous la racontait suffisaient au voyage
et à la surprise ; soit nous la connaissions par cœur : la répétition seule en la bouche du raconteur parvenait à rénover notre
plaisir et abandon. Dans les deux cas, que le texte demeure en partie obscur ou, au contraire, qu’il soit connu jusqu’au
moindre mot, le lien passe par le raconteur et sa capacité à pouvoir transmettre son émerveillement. D’où l’intérêt de fonder
son récit sur ces ‘‘mirabilia’’ qui, en ce qui me concerne, une fois découvertes, continuent encore et toujours de m’émerveiller, même après les avoir raconté mille fois.
La causerie se présente donc comme le récit d’une quête, plus justement : d’une épopée ; et prend, de fait, la forme d’une
relation de voyage. Pas seulement un voyage géographique, qui nous ferait passer d’un territoire physique à un autre,
comme ce que l’on entend couramment par ‘‘voyage’’, mais au sens d’un ‘‘voyage’’ qui relierait plusieurs époques, plusieurs
sciences ou disciplines, plusieurs dimensions, plusieurs strates de langage et domaines d’appréhensions du monde qui
nous entoure...
Quel bonheur si cette cartographie fantaisiste, pourtant tissée de réalités, pouvait un temps dévier la vision désenchantée
dont notre époque décolore le monde ! Et donner à penser, malgré les difficultés immenses que celui-ci traverse en notre
temps, qu’il est loin de s’être rétréci...
Il reste tant de choses à découvrir. Le temps des grandes explorations est loin d’être fini.
David Wahl
Les Causeries de David Wahl, traversées vertigineuses.
Lorsqu’en 2012 nous avons demandé à David Wahl d’écrire pour le Quartz, nous souhaitions enrichir la saison artistique
de la scène nationale d’une matière littéraire. Une approche différente, un autre endroit d’expression, là où les mots et les
idées peuvent rejoindre autrement les enjeux du plateau. Il s’agissait à ce moment-là de tenter une étude sur la magie,
discipline nouvellement présente sur les scènes de théâtre. Ainsi voyait jour le Traité de la boule de cristal…
Nous n’imaginions pas alors que David Wahl nous entrainerait si loin ! Engageant ses fulgurantes digressions sur un terrain d’investigation à la fois historique, scientifique et philosophique, voilà qu’il transportait l’auditoire dans des sphères
inattendues de la connaissance. Traversées vertigineuses.
Depuis, nous sommes tombés en passion pour ces Causeries au point de l’inciter à poursuivre. Et le public, de Brest
d’abord, et aujourd’hui de partout ailleurs, semble tout autant épris de ces élucubrations savantes.
À Brest, nous avons vécu l’expérience inouïe d’entendre La Visite curieuse et secrète in situ. À savoir dans les confins de
l’Aquarium brestois, Océanopolis, merveilleux parc de découverte des océans. Parmi les manchots, les phoques et les
méduses, nous partions en voyage dans ce cabinet des curiosités marines…
De la faconde de David Wahl peuvent encore naitre bien des traités. Le Quartz n’en a pas fini d’explorer à ses côtés les
territoires de la pensée, qui inlassablement nous renvoient à l’homme et aux humanités, éclairant délicatement notre rapport au monde.
Quelle jubilation d’entendre ainsi l’auteur nous conter son cheminement intérieur, et réinventer si singulièrement l’art du
récit et de la parole.
Matthieu Banvillet
Directeur du Quartz - Scène nationale de Brest
Diffusion : Incipit - Mariène Affou & Caroline de Saint-Pastou
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Relations presse : Plan Bey - Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias
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Les causeries
Traité de la boule de cristal
55 minutes
sous la forme d’une dissertation savante au cours de laquelle on tentera de découvrir les formes, usages, origines et nature d’un
objet si mystérieux et tant secret qu’avant ce livre, personne n’avait jamais songé à en écrire un.
Tout le monde a déjà entendu parler de la boule de cristal, et tout le monde
sait à quoi elle ressemble. Hélas ! Tout le monde se trompe, car la boule de
cristal n’est pas forcément en cristal, et la boule de cristal n’a pas toujours la
forme d’une boule. D’où vient- elle, quand est-elle apparue, quels sont ses
pouvoirs et usages différents ? Cela reste désespérément caché, voire confus,
quoiqu’il en soit peu clair.
C’est là le premier paradoxe : jamais on ne croirait un savoir aussi trouble
assorti à la transparence d’un objet qu’on dit si visionnaire…
C’est assurément la raison pour laquelle, jusqu’à ce jour et ce traité, personne
ne s’est jamais risqué à en raconter l’histoire et l’origine.
créé en janvier 2014 au Quartz - scène nationale de Brest
texte paru en septembre 2014 aux éditions Archimbaud / Riveneuve
© Philippe Savoir
les 18 et 25 mars, et le 1er avril 2015 - Maison de la Poésie, Paris 3
les 9 et 10 avril 2015 - Festival Mythos, Rennes
La Visite curieuse et secrète ou relation véritable des choses inouïes se passant en la mer et ses abysses.
1h05
D’où vient la haine que les hommes ont longtemps portée aux manchots ?
Et sait-on que ces derniers ont bien failli disparaître dans d’horribles circonstances ? Que cherchons-nous par delà les flots, alors que nous savons
à peine nager ?
La Visite curieuse et secrète nous embarque en un voyage marin à la recherche
du lien mystérieux qui rattache l’homme à l’Océan. Des légendes ancestrales
aux dernières et invraisemblables découvertes scientifiques, pour la plupart
encore confidentielles, nous traverserons les frontières du monde connu pour
une exploration aux limites de l’imaginable.
créé en avril 2014 dans le cadre d’une collaboration du Quartz et de l’Océanopolis de Brest
texte à paraître en mai 2015 aux éditions Archimbaud / Riveneuve
parution en avant-première le 8 avril 2015, à la Maison de la Poésie
© Thierry Joyeux
les 8, 15 et 22 avril 2015 - Maison de la Poésie, Paris 3
les 10 et 11 avril 2015 - Festival Mythos, Rennes
Histoire spirituelle de la danse 1h
à l’intérieur de laquelle on s’efforcera de découvrir le mystérieux mouvement des fins dernières, afin de parvenir à la connaissance, si toutefois telle chose peut s’entrevoir, des raisons oeuvrant à la chorophobie.
« Je ne puis me dispenser de mentionner que l’Eglise chrétienne, qui a reçu dans
son giron et mis à profit tous les arts, ne sut cependant rien faire de l’art de la
danse... « La danse est maudite » dit une pieuse chanson populaire ; « quand tu
vois danser, ajoute le chansonnier, pense à la tête coupée de saint Jean-Baptiste
sur le plat sanglant, et la tentation infernale n’aura pas de puissance sur ton âme ».
Ce constat que dresse Heinrich Heine dans Lutèce sera le point de départ
de notre enquête.
© Alain Monot
D’où vient cette surprenante méfiance ? Et si, au lieu de les attribuer à l’ordre
moral ou à la pudeur, si souvent invoqués, les causes à une telle exception
spirituelle étaient d’une tout autre nature ? Car après tout il n’est aucune
époque ou aucun lieu en Occident où l’on n’ait pas dansé... Les raisons en
seraient donc assurément religieuses ? Mais selon des auteurs très savants
c’est au paradis que l’on trouve les chorégraphies les plus excellentes ; et
comme on le verra, rares sont les mystiques qui n’aient pas fait parler leur
corps à en rendre jaloux les plus grands performeurs de notre temps.
N’y aurait-il pas quelque chose, un évènement formidable, des faits méconnus
que l’on aurait oubliés, ou encore des héritages mal digérés, qui, assurément,
nous aiderait à pénétrer les mystères de cet obscur paradoxe ? Serait-il possible de s’engager dans la toute première exploration d’une histoire spirituelle
de la danse ?
créé en février 2015 au Quartz - scène nationale de Brest dans le cadre du festival DañsFabrik
du 24 au 28 février 2015 - Le Quartz, scène nationale de Brest
Diffusion : Incipit - Mariène Affou & Caroline de Saint-Pastou
01 48 06 32 36 / [email protected]
Relations presse : Plan Bey - Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias
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Processus
En amont de l’écriture, les causeries nécessitent un travail préparatoire de prospection, de glanage et de maturation.
Si elles se fondent sur un sujet inexploré, mystérieux ou ambivalent, il s’agit ensuite d’ériger autour de ce dernier comme un
kaléïdoscope de faits, de théories, d’histoires, de découvertes qui devront entrer en dialogue les uns avec les autres ; le lien entre
eux ne devant pas être tout de suite apparent. Comme les pièces d’un puzzle révélant peu à peu une image, un sens nouveau,
inattendu, surgit au fur et à mesure du récit, prenant le spectateur comme par surprise et à rebours.
Un travail d’immersion et de recherche
Ces textes sont tissés de ce que l’on pourrait appeler des ‘‘mirabilia’’, c’est-à-dire des faits prodigieux, semblant peu probables.
Or — et c’est toute la difficulté de la prospection de tels faits — tous ceux-ci, bien que situés à la limite du concevable, doivent
être empruntés au réel, attestés par la science, retenus par l’histoire ou la philosophie. Les anecdotes, les découvertes, les théories
sont toutes issues d’évènements advenus ou consignés. Rien n’est inventé pour les besoins du récit. Tout sort d’un livre, d’une
rencontre, d’un laboratoire. Bien sûr, certaines anecdotes ou théories ayant trait à l’histoire des sciences ou des idées sont bien
souvent dépassées, les conclusions n’en sont plus valables : cela n’est pas caché, mais l’on s’en sert pour montrer le cheminement d’une pensée ou d’une impression dans ses différentes incarnations.
À la manière des traités de la Renaissance, les éléments nécessaires à l’écriture se cherchent en tous les domaines d’études
explorés par les hommes, tant dans la littérature que la biologie, la médecine que l’histoire, la théologie que la physique, l’histoire
des sciences que la poésie. Durant de nombreux mois, David Wahl se laisse ainsi entrainer dans une immense chasse au trésor
qui l’amène à lire, à rencontrer et interviewer Processus des scientifiques, historiens, philosophes, théologiens, médecins ; et ce
afin d’amasser des centaines de faits pour au final ne garder que ceux qui semblent résonner entre eux, et puissent servir à bâtir
un récit du monde à la fois crédible et merveilleux.
Une architecture ludique et labyrinthique
David Wahl joue ainsi sur la confidentialité des faits retenus et sur le résultat inattendu que produit leur mise en dialogue. Entre
familiarité et étrangeté, souvent à la limite du croyable, ils attisent l’attention et la surprise du spectateur. Qui se demandera toujours si ce qu’il entend est vrai ou faux, ou encore si ce qu’on lui raconte appartient à la fiction ou à l’histoire.
On saute en apparence d’un sujet à un autre en ne s’y attardant que le juste nécessaire. L’articulation des digressions permet un
certain ludisme et laisse le spectateur dans l’ignorance absolu de ce qui va suivre. On sent bien une logique, mais bizarrement
celle-ci échappe sans cesse à l’entendement.
L’art du récit vise alors à épaissir ce lien oral entre auditeur et raconteur autour de l’amusement d’une narration semblant si libre,
et tant faite d’apparentes digressions, voire de confusion, que l’histoire semble échapper à celui qui la raconte. Comme l’écrit
Walter Benjamin « Plus l’auditeur est absorbé dans ses pensées, plus ce qu’il a entendu s’imprime en lui ».
Une forme simple, une valorisation de lieux atypiques
Dispositif
Ces causeries se prêtent particulièrement aux lieux singuliers. Le sentiment d’être convié à un événement mystérieux, tout autant
que le sujet et la forme de la causerie, participe à l’émotion et au lâcher prise du spectateur, qui se retrouve ainsi hors d’un temps
et d’un espace habituels.
Cette forme est conçue pour s’adapter à n’importe quel endroit et les causeries peuvent être programmées dans des lieux que
les théâtres veulent ou doivent parfois mettre en valeur. La Visite curieuse et secrète, par exemple, a pris la forme d’une « itinérance » à Océanopolis dans le cadre d’une programmation commune Le Quartz - scène nationale de Brest et le Centre de Culture
Scientifique et Technique dedié aux Océans, de Brest.
Dispositif d’une extrême légèreté
Jauge entre 40 et 80 personnes.
Le dispositif nécessaire à la création du lien intime entre raconteur et auditeur est très simple :
- un bureau de bois
- un micro HF
- un vidéoprojecteur
Un catalogue de causeries existantes
Une possibilité de commande d’écriture pour un lieu ou un événement particulier
Les causeries peuvent faire l’objet d’une commande en amont d’un événement ou de la présence en un lieu particulier qu’une
structure culturelle aurait à valoriser. Le thème de départ à la causerie en question peut alors être discuté avec le commanditaire,
et être particulièrement adapté dans sa forme au lieu ou à l’évènement.
Diffusion : Incipit - Mariène Affou & Caroline de Saint-Pastou
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Biographie
Auteur et dramaturge né en 1978, David Wahl travaille actuellement à l’écriture et interprétation des Causeries créées au Quartz, scène nationale de Brest : J’aimerais me confier davantage (2013), Traité de la boule
de cristal (création janvier 2014), La Visite curieuse ou histoire secrète de la mer et ses abysses... (création mai
2014), Histoire spirituelle de la danse (création février 2015 dans le cadre du festival DañsFabrik).
Il a travaillé avec Julie Berès au sein de la Compagnie les Cambrioleurs (Lendemain de fêtes, 2013, Théâtre de
la Ville ; Notre besoin de consolation, 2010, Théâtre de la Ville ; Sous les visages, 2008, Théâtre de la Ville), avec
Emilio Calcagno (Peau d’âne, 2012, Théâtre de Chaillot), avec Lucas Manganelli (Agrégat, 2013, festival DañsFabrik,
Visages, 2012, festival DañsFabrik), avec Damien Odoul (Méfausti, 2011, Théâtre des Bouffes du Nord), avec
Caterina Gozzi (Le Vertige des animaux avant l’abattage de Dimitris Dimitriadis, 2010, Odéon Théâtre de l’Europe).
Outre ces Causeries éditées chez Archimbaud/Riveneuve, d’autres textes, Le Chant du narcisse et Pampres sont
publiés aux Editions Archimbaud et Anti-Mémoires (81 renoncements, 103 chutes, 4 retours et pas un regard,
de Philippe Savoir) chez Art Book Magazine.
Calendrier
des représentations
les mer.18 et 25 mars, et 1er avril 2015 à 20h
Traité de la boule de cristal
Maison de la Poésie
103, rue Saint-Martin - 75 003 Paris
01 44 54 53 00 / maisondelapoesieparis.com
tarifs : 15€ / adhérent : 10€
le mer. 8 avril 2015, à 20h
La Visite curieuse et secrète
Maison de la Poésie
103, rue Saint-Martin - 75 003 Paris
01 44 54 53 00 / maisondelapoesieparis.com
tarifs : 15€ / adhérent : 10€
le jeu. 9 avril 2015, à 17h30
le ven. 10 avril 2015, à 12h30
Traité de la boule de cristal
le ven. 10 et sam. 11 avril 2015, à 17h30
La Visite curieuse et secrète
Rennes, lieu tenu secret
dans le cadre de Mythos, festival des arts de la parole
02 99 79 76 39 / festival-mythos.com
tarifs : 10€, 8€, 5€ vif / 6€ sortir
Rennes, lieu tenu secret
dans le cadre de Mythos, festival des arts de la parole
02 99 79 76 39 / festival-mythos.com
tarifs : 10€, 8€, 5€ vif / 6€ sortir
les mer. 15 et 22 avril 2015, à 20h
La Visite curieuse et secrète
Maison de la Poésie
103, rue Saint-Martin - 75 003 Paris
01 44 54 53 00 / maisondelapoesieparis.com
tarifs : 15€ / adhérent : 10€
Diffusion : Incipit - Mariène Affou & Caroline de Saint-Pastou
01 48 06 32 36 / [email protected]
Relations presse : Plan Bey - Dorothée Duplan & Flore Guiraud, assistées d’Eva Dias
01 48 06 52 27 / [email protected]
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