état ps, la chienlit c`est mainte maintenant

ÉTAT PS, LA CHIENLIT C’EST MAINTE
MAINTENANT
«La réforme oui, la chienlit non !». Cette phrase célèbre prononcée au conseil des ministres en 1968 par le général de Gaulle semble d’une cruelle actualité,
notamment si on en inverse les adverbes : La réforme non, la chienlit oui.
DES RÉFORMES, MAIS LESQUELLES ?
Pour être tout à fait exact, et contrairement à
ce que certains affirment, il serait faux de dire que
le gouvernement s’abstient de réformer. Par
contre, il est intéressant d’observer dans quel sens
vont les réformes entreprises.
Dans la période de crise historique que nous
connaissons (mais dont, selon les termes même
de François Hollande, nous sommes «tout près»
de sortir !),), le gouvernement s’acharne à vouloir
faire voler en éclat les fondements mêmes de la
société et à matraquer les Français
rançais plutôt que de
s’attaquer aux vrais problèmes.
nent des
A l’heure où tous les autres pays prennent
décisions économiques courageuses
geuses et préparent
l’avenir, le président de la République
lique et le
Premier ministre, sous la dictée du PS, des
écologistes et de l’extrême gauche, ont choisi
leurs priorités : le mariage homosexuel et
l’adoption, le droit de vote des étrangers, la légalisation de la drogue, l’inexécution de peines de
prison, l’embauche massive de fonctionnaires et
une explosion des prélèvements sur les ménages
(y compris sur les plus modestes avec la fiscalisation des heures supplémentaires).
FILOCHARD, RIBOULDINGUE, CROQUIGNOL ET LES
ES AUTRES…
Ces personnages, plus connus sous le nom de
Pieds nickelés, semblent avoir inspiré les représentants de l’exécutif français tant on assiste
quotidiennement à une représentation donnée par
des amateurs dirigés par un metteur en scène
surnommé par ses propres «amis» «guimauve le
conquérant» ou «capitaine de pédalo dans la
tempête».
S’il ne s’agissait des plus hauts représentants
de l’Etat, les propos pourraient porter à rire ; malheureusement, ces aventuriers ont en charge le
destin de la nation pour encore près de cinq ans
et sont censés représenter le pays à l’étranger.
Cet amateurisme du président et de ses ministres est aujourd’hui tel que l’on commence à
entendre des voix se demander si Jean-Marc
Ayrault ne va pas battre le record établi en 1992
par Edith Cresson qui ne resta à Matignon que 10
mois.
La presse (toujours bienveillante à l’égard de
la gauche) se contente de parler de «couacs» de
la part de certains membres du gouvernement
alors qu’on assiste en fait à une déliquescence
complète de l’Etat. Les exemples sont si nom
nombreux (en moins de six mois !)) qu’on ne peut en
dresser une liste exhaustive. Citons néanmoins :
- les propos contradictoires de Jean-Marc
Marc Ay
Ayrault qui, dans la même journée déclare à propos
du retour aux 39 heures «pourquoi pas ?» pour
pour,
quelques heures plus tard, affirmer «qu’il n’est pas
question de revenir sur les 35 heures» ;
- l’annonce par ce même Jean-Marc
Marc Ayrault
d’une décision du Conseil constitutionnel avant
Tous ces exemples montrent un état de fait : le président de la République est incapable de donner
une ligne claire et lisible, le premier ministre est incapable d’assurer un minimum de cohérence de
son gouvernement et n’a aucune autorité sur ses ministres, qui, eux, n’en font qu’à leur tête.
EN CONCLUSION, LUI PRÉSIDENT, LA CHIENLIT C’EST MAINTENANT !
MIL : La droite
civique, gaulliste et patriote
Imprimerie spéciale - ne pas jeter sur la voie publique
A PHOTOCOPIER – A DIFFUSER – A DISTRIBUER - A ENVOYER PAR COURRIEL
même qu’elle ne soit prise ;
- les propos de Vincent Peillon et de Cécile
Duflot sur la dépénalisation du cannabis, désavoués par le Premier ministre ;
- le rétropédalage de Manuel Vals sur le droit
de vote des étrangers qui, subitement, cesse
d’être une priorité ;
- le président de l’Assemblée Nationale,
Claude Bartolone, qui juge «absurde» la règle d’un
retour à un déficit de 3 % du PIB défendue par
François Hollande et Jean-Marc Ayrault.
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Date
Signature
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Levallois-Perret Cedex – Site Internet http://www.lemil.org
Conformément à l’article 27 de la Loi n°78-17
17 du 6/1/78 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, les réponses aux différentes rubriques de ce bulletin ssont facultatives. Les informations qu’elles contiennent
Sont à usage strictement interne. Elles fontt l’objet d’un traitement informatique et ne peuvent être communiquées qu’à des responsables désignés par le Bureau National. En application des articles 39
et suivants
vants de la loi du 6 janvier 1978 modifiée, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent sur justification de votre identité.
ÉTAT PS, LA CHIENLIT C’EST MAINTE
MAINTENANT
«La réforme oui, la chienlit non !». Cette phrase célèbre prononcée au conseil des ministres en 1968 par le général de Gaulle semble d’une cruelle actualité,
notamment si on en inverse les adverbes : La réforme non, la chienlit oui.
DES RÉFORMES, MAIS LESQUELLES ?
Pour être tout à fait exact, et contrairement à
ce que certains affirment, il serait faux de dire que
le gouvernement s’abstient de réformer. Par
contre, il est intéressant d’observer dans quel sens
vont les réformes entreprises.
Dans la période de crise historique que nous
connaissons (mais dont, selon les termes même
de François Hollande, nous sommes «tout près»
de sortir !),), le gouvernement s’acharne à vouloir
faire voler en éclat les fondements mêmes de la
société et à matraquer les Français
rançais plutôt que de
s’attaquer aux vrais problèmes.
nent des
A l’heure où tous les autres pays prennent
décisions économiques courageuses
geuses et préparent
l’avenir, le président de la République
lique et le
Premier ministre, sous la dictée du PS, des
écologistes et de l’extrême gauche, ont choisi
leurs priorités : le mariage homosexuel et
l’adoption, le droit de vote des étrangers, la légalisation de la drogue, l’inexécution de peines de
prison, l’embauche massive de fonctionnaires et
une explosion des prélèvements sur les ménages
(y compris sur les plus modestes avec la fiscalisation des heures supplémentaires).
FILOCHARD, RIBOULDINGUE, CROQUIGNOL ET LES
ES AUTRES…
Ces personnages, plus connus sous le nom de
Pieds nickelés, semblent avoir inspiré les représentants de l’exécutif français tant on assiste
quotidiennement à une représentation donnée par
des amateurs dirigés par un metteur en scène
surnommé par ses propres «amis» «guimauve le
conquérant» ou «capitaine de pédalo dans la
tempête».
S’il ne s’agissait des plus hauts représentants
de l’Etat, les propos pourraient porter à rire ; malheureusement, ces aventuriers ont en charge le
destin de la nation pour encore près de cinq ans
et sont censés représenter le pays à l’étranger.
Cet amateurisme du président et de ses ministres est aujourd’hui tel que l’on commence à
entendre des voix se demander si Jean-Marc
Ayrault ne va pas battre le record établi en 1992
par Edith Cresson qui ne resta à Matignon que 10
mois.
La presse (toujours bienveillante à l’égard de
la gauche) se contente de parler de «couacs» de
la part de certains membres du gouvernement
alors qu’on assiste en fait à une déliquescence
complète de l’Etat. Les exemples sont si nom
nombreux (en moins de six mois !)) qu’on ne peut en
dresser une liste exhaustive. Citons néanmoins :
- les propos contradictoires de Jean-Marc
Marc Ay
Ayrault qui, dans la même journée déclare à propos
du retour aux 39 heures «pourquoi pas ?» pour
pour,
quelques heures plus tard, affirmer «qu’il n’est pas
question de revenir sur les 35 heures» ;
- l’annonce par ce même Jean-Marc
Marc Ayrault
d’une décision du Conseil constitutionnel avant
Tous ces exemples montrent un état de fait : le président de la République est incapable de donner
une ligne claire et lisible, le premier ministre est incapable d’assurer un minimum de cohérence de
son gouvernement et n’a aucune autorité sur ses ministres, qui, eux, n’en font qu’à leur tête.
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MIL : La droite
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- les propos de Vincent Peillon et de Cécile
Duflot sur la dépénalisation du cannabis, désavoués par le Premier ministre ;
- le rétropédalage de Manuel Vals sur le droit
de vote des étrangers qui, subitement, cesse
d’être une priorité ;
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Claude Bartolone, qui juge «absurde» la règle d’un
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