NOUVELLE 5-6 Le temps s`est arrêté à San

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NOUVELLE 5-6 Le temps s`est arrêté à San
NOUVELLE 5-6
Le temps s'est arrêté à San-Miguel de Allende (allende.doc)
L'hisoire se passe à San-Miguel. Je suis sur la grande place de la ville. Nous sommes au début du
soir. Il y a une atmosphère indescriptible qui fait qu'on reste là, sans raison de rester ni de partir.
Une espèce d'ément qui vous retient sans pouvoir en expliquer la raison. Qu'elle est cette force
invisible qui attire et retient tous ces étrangers venus du Nord et qui resent plantés là des heures, des
mois, des années, sans explication, dans ce lieu intéressant sans plus. Décrire la place, le bruit cdes
oiseaux, la lumière qui se réflète sur les parois de la cathédrale, le défilé des jeunes cfilles, le
farniente typiquement mexicain.
Il y a le bar au coin de la place, oû je vais souvent. Il y a là, xxx le moso qui nous reconnait chaque
cfois que nous allons, il y a surtout Lidia, jeune fille au large sourire, comme si ce sourire m'était
destiné à moi seul, l'espèce de timidité provoctcrice, ce sourire à pleine dents, les yeux cfixés sur
moi, comme une provocation sexuelle. Ce soir encore, j'entre dans le bar. Le même accueil de ce
sourire éclatcant. Les habitués du bar sont la, cet homme mur attablé a la même table avec ce bel et
jeune mexicain qui semble planifier sa nuit, ce couple d'américains.
Durant le service, Lidia s'approche de moi avec mon service, elle a toujours ce sourire braqué sur
moi et ces quelques mots d'espagnol à mon endroit. Puis elle s'infiltre entre mes jamber et s'assied à
califorchon sur mes genoux arborant ce même sourire et cette presque timidité. A ce moment, je
visualise chacun des personnages du bar, xxx qui reste figé par l'ébahissement, les autres convives
qui ont porté les yeux sur nous et qui restent là sans broncher comme s'ils étaient transformés en
statue de sel. Lidia entreprent de remonter sa robe, de liberer mon pénis déjà en pleine croissance et
de l'insérer à l'intérieur de son ventre. S'ensuit une scène d'amour courte mais torrentielle sous l'oeil
figé des autres convives, mais qui ne bougent pas comme si le temps s'était arrêté. Après l'ébat
amoureux, elle replace calmement les objets du drame tout en gadant ce mystérieux sourire à mon
intention, puis se relècve et continue le service là oû elle l'avait laissé avant cet arrêt du temps. Les
personnages se défigent et continuent les gestes entrepris avant cetc intermède comme s'il ne s'était
rien passé. C
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