Accès au Savoir - Consumers International
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Accès au Savoir - Consumers International
Accès au Savoir Un Guide pour tous Accès au Savoir Un Guide pour tous C ONSUMERS I NTERNATIONAL K UALA L UMPUR 2010 A propos de Consumers International Consumers International (CI) est la seul voix protestataire indépendante des consommateurs du monde. Avec plus de 220 membres dans 115 pays, nous construisons un puissant mouvement de consommateurs international afin de les protéger et de leurs donner du pouvoir dans n’importe quel domaine. Publié et produit par Consumers International Regional Office for Asia Pacific and the Middle East Lot 5-1 Wisma WIM, 7 Jalan Abang Haji Openg, TTDI, 60000 Kuala Lumpur, Malaysia Tel : (603) 7726 1599 Fax : (603) 7726 8599 Accès au Savoir: Un Guide pour tous Editer par Frederick Noronha et Jeremy Malcolm Couverture conçue par Andrea Carter Traduit par b-lingo.com Production par Jeremy Malcolm © 2010 Consumers International. Certains droits reserves. Creative Commons Paternité - Partage des Conditions Initiales à l’Identique 3.0 Contrat <creativecommons.org/licences/by-sa/3.0/> ISBN : 978-0-9566117-2-7 Préface Les Consommateurs Internationaux (CI),1 la fédération mondial du groupe des consommateurs créée en 1960, exerce comme la seule voix de campagne mondiale indépendante pour les consommateurs. Avec plus de 220 organismes membres dans 115 pays, elle constitue un mouvement de consommateur international puissant qui protège et autorise les consommateurs partout. Le programme global du CI sur A2K (accès à la connaissance) a été établi en 2008 pour garantir que les intérêts des consommateurs sont convenablement représentés lors des débats nationaux et internationaux sur les droits de la propriété intéllectuelle (IP) et celles de la communication. Ceci inclut la reconnaissance de la création des marchandises publiques et augmenter le domaine public, favoriser un système plus propice de gestion de la propriété intellectuelles dans les accords de commerce et des traités internationaux et bilatéraux. Les trois principaux objectifs du programme sont : • Faire campagne pour des lois de propriété intellectuelle et pratiques de mise en application qui tiennent compte des intérêts des consommateurs. • Favoriser la capacité de formation à tous les dépositaires sur les problèmes de consommateurs liés à la propriété intellectuelle et l’accès à la connaissance. 1 http://www.consumersinternational.org/ v • Promouvoir les droits de l’homme dans les rapports avec la société, surtout dans les secteurs de la communication, l’éducation et de la santé. En armant la la voix et l’éfficacité collecives des groupes de consommateurs travaillant à travers le monde et traverser les questions de secteurs, CI vise à servir de catalyseur pour un changement de tactique, faisant pression sur des gouvernements et organismes internationaux pour développer la PI et des traités de communications plus équilibrés. Ce manuel, Accès au Savoir : Un Guide pour tous, est une partie de ce plus vaste programme. Son but est de donner une introduction sans spécialiste et concise aux questions de la propriéte intellectuelle et à A2K et choisir des questions relatives aux droits à la communication et aux technologies de l’information et de la communication (ICTs). Son lectorat prévu comprend les ONG (Organisation Non-gouvernementale) qui souhaitent devenir plus bien informés dans ce secteur, les universitaires individuels et les activistes qui pourraient employer un guide de référence simple aux nombreuses questions relatives à A2K, et des consommateurs dans leur ensemble qui sont affectés de façon déloyale par les lois et pratiques de la Propriété Intellectuelle. Sur cette remarque, tandis que A2K n’a pas été important sur le programme mondial du consommateur, Le CI croit que c’est infiniment un problème de consommateur qui va de pair avec ls problèmes de consommateur plus traditionnels tels que la nourriture et la sécurité, la consommation de subsistance, et la commercialisation qui manque de probité. Après tout, beaucoup d’activités qui font parties de la vie quotidienne des consommateurs, telles que l’accès au matériel d’apprentissage, de transfert musique, de videos ou d’e-book d’un dispositif à un autre, et le partage de leurs intérêts sont encastrées par les lois et politiques de la Propriété intéllectuelle. Ce manuel est autorisé sous le permis de Licence Creatives Commons paternité partage à l’identique (CC BY-SA), ainsi vous êtes encouragé à le partager largement. Vous pouvez également copier et adapter, à condition que vous l’utilisiez avec une licence similaire et que vous reconnaissiez la provenance dudit dispositif. C’est pratiquement pareil comme nous avions fait en compilant ce guide, qui est tiré des efforts de plusieurs auteurs qui sont venus avant et dont leurs contributions sont mentionnées dans le texte. vi Table des matières Préface v 1 Fond 1.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 Questions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Les acteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1 5 13 2 Des lois plus équitables et leur mise en application 2.1 Le copyright . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Les brévets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 L’application de l’IP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 32 42 51 3 Les manières alternatives du partage de la connaissance 3.1 Le domaine public . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Libre autorisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 L’autorisatio collective . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.4 Les bibliothèques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.5 Faciliter de normes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.6 Ouverture de données . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 65 67 75 81 86 89 4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . Promouvoir les droits de l’homme dans la société de l’information 4.1 Les droits de la communication . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2 L’accès à l’information et communication des technologies 4.3 Gouvernance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 93 106 109 vii TABLE DES MATIÈRES 5 viii Les ressources 115 5.1 Questions fréquemment posées . . . . . . . . . . . . . . . . 115 5.2 Glossaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118 5.3 Les citations de A2K . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125 Bibliographie 129 Rémerciements 141 C HAPITRE Fond 1.1 Introduction Ceux qui sont nouveaux à A2K affrontent absolument une haute courbe d’étude, et une partie de cette raison s’explique par un concept hybride. Bien que la discussion semble tourner autour du copyright, elle comprend aussi des questions totalement différentes telles que la neutralité de réseau, des normes libres et la liberté d’expression. Ce qui relie ces questions ensemble est qu’elles rendent le niveau d’accès apprécié par les consommateurs à travers le monde aux matériaux culturel et éducatif et aux médias. 1.1.1 Plan Ce livre a l’intention de guider un lecteur à travers plusieurs domaines du paysage de A2K. Il commence par expliquer l’intérêt des consommateurs internationaux dans cette publication, et dans ce chapitre donne une vue d’ensemble rapide de ce qu’est A2K, et pourquoi est devenu un concept si important pour le mouvement du consommateur et pour une large coalition des groupes de la société civile. Les trois prochains chapitres du livre suivent la même structure comme les objectifs principaux du programme A2K de CI, conformément à la Préface. Ainsi le chapitre 2 du livre s’articule sur le premier des objectifs de CI, la promotion des lois et de la mise en application–qui renferment un plan des questions surgissant en vertu du droit d’auteur, brévet, et mise en application. 1 1 1. F OND A partir de là, dans le chapitre 3, nous nous déplaçons de manières alternatives de partage d’informations. On y trouve les explications du secteur public, logiciel libre, le mouvement Creative Commons, les ressources educatives ouvertes (OER), et les normes libres. Le chapitre 4 vise à promouvoir les droits de l’homme dans les rapports avec la société. Cette partie du livre parle brièvement des droits de la communications et d’autres aspects relatives, y compris la liberté de législation d’information, la neutralité de réseau, la vie privée, et l’accès aux technologies de l’information et de la communication. Le livre s’achève avec un chapitre contenant des ressources utiles sur A2K comprenant un glossaire, et une bibliographie. 1.1.2 Qu’est-ce que A2K ? L’accès à la connaissance (A2K) est la limite de parapluie pour un mouvement qui vise à créer un accès public plus équitable aux fruits de la culture humaine et de l’étude. Les domaines de la recommandation qu’il englobe incluent plus principallement le droit d’auteur et la réforme du droit des brévets, l’ouverture d’accès, l’ouverture de données, et l’ouverture des normes, mais accèdent également aux informations publiques, de plus vaste droits à la communication telle que la liberté d’expression, et questions sur la propriété de et la participation aux médias publics. Des déclarations et d’autres textes sur l’accès à la connaissance, qui donnent une saveur du centre et de la largeur du mouvement, ont été ébauchés par une variété de coalitions de société civile et du secteur privé. Celles-ci renferment : • La déclaration de Génève sur le futur de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle.1 • La charte d’Adelphi sur la créativité, l’innovation et la propriété intellectuelle.2 • Un project de traité sur l’accès à la connaissance.3 • Le traité de Paris (un accord entre les consommateurs et les communautés créatrices et inventives).4 1 http://www.cptech.org/ip/wipo/futureofwipodeclaration.pdf 2 http://www.sitoc.biz/adelphicharter/pdfs/adelphi_charter2.pdf 3 http://www.cptech.org/a2k/a2k_treaty_may9.pdf 4 http://www.cptech.org/a2k/pa/ParisAccord-june17draft.pdf 2 1.1. Introduction • La déclaration de Munich sur les restrictions et exceptions du droit d’auteur.5 • La charte du forum libre culturel pour l’innovation, la Créativité et l’Accès à la Connaissance.6 • Copyright la créativité (une déclaration pour l’Europe).7 1.1.3 Une campagne décisif, et ses origines L’accès à la campagne de connaissance est décisif qui émerge d’un réseau des mouvements sociaux, et leurs réactions aux ”changements de l’économie et de la société produites par les nouvelles technologies de l’information.”8 Wikipedia – le projet libre, enchainement-basé, de collaboration, multilingue d’encyclopédie – décrit ainsi le mouvement : L’accès au mouvement de la connaissance (A2K) est un rassemblement libre de groupes de la société civile, de gouvernements, et d’individus convergeant sur l’idée que l’accès à la connaissance devrait être liée aux principes fondamentaux de la justice, de la liberté, et du développement économique.9 Un concept d’unification pour une grande partie du mouvement est “franchise” ; par exemple, la source ouvert, les normes ouvertes, l’accès libre, le contenu ouvert, les données ouvertes sont tous favorisés dans le mouvement. Il y amême un terme “La Connaissance Ouverte” qui recherche à incorporer tout ceci en une seule définition. Comme présenté dans la définition de la connaissance ouverte, la connaissance est ouverte si “on est libre pour l’employer, réutilisé, et restituer sans restriction légal, sociale ou technologique.” La connaissance est largement interprétée pour inclure : • Données – scientifiques, historiques, géographiques ou différemment ; 5 http://www.ip.mpg.de/shared/data/pdf/declaration_three_step_test_final_english. pdf 6 http://fcforum.net/ 7 http://www.copyright4creativity.eu. Voir aussi le Code Européen de Copyright http:// www.copyrightcode.eu/. 8 Balkin, Jack, What is Access to Knowledge ? 2006 〈URL: http://balkin.blogspot.com/ 2006/04/what-is-access-to-knowledge.html〉. 9 http://en.wikipedia.org/wiki/Access_to_knowledge_movement 3 1. F OND • Contenu tel quel la musique, les films ou les livres ; et • Informations générales par exemple qui ont été produit par des gouvernements et d’autres corps administratifs.10 Les premiers objectifs de l’accès au mouvement de la connaissance sont incorporés dans un project de traité, qui a été prévu pour faciliter le transfert de la connaissance aux pays en voie de développement, et pour fixer la viabilité des systèmes ouverts d’innovation partout dans le monde. 11 Comme expliquer par un des réalisateurs de l’ébauche, (Consumer Project on Technology, à présent Knowledge Ecology International) : La connaissance est primordiale pour d’activités et de valeurs humaines, y compris, l’exercice de la puissance politique, et le développement économique, social et personnel. Le mouvement de l’A2K (Accès à la connaissance) adopte les intérêts avec les droits d’auteur et d’autres réglements qui affectent la connaissance et les met dans une plate-forme sociale compréhensible au besoin et de politique : accéder aux marchandises de la connaissance.12 Bien que le traité lui-même ne soit allé plus loin, il demeure une expression valable aux aspirations de A2K, et continue d’encapsuler plusieurs de ses éventuels soucis. 1.1.4 Pourquoi A2K ? La fourniture de A2K est parution publique pour chaque pays dans le monde. Le bien-être des citoyens dépend de l’accès aux vastes quantités de la connaissance tenues par des gouvernements. Les réformes légales devraient donc favoriser l’accès aux informations de gouvernement, la liberté d’expression et l’accès universel aux réseaux de télécommunications. C’est également une publication privée. L’accès à la connaissance augmente la créativité, le développement et l’utilité. L’ouverture de logiciel source, par opposition au logiciel de propriété industrielle, est un exemple d’un environnement de connaissance” où la protection modérée de propriété intellectuelle peut mener à une plus grande production 10 http://en.wikipedia.org/wiki/Open_knowledge 11 http://en.wikipedia.org/wiki/Access_to_knowledge_movement 12 http://www.cptech.org/a2k/ 4 1.2. Questions de l’information, aussi bien que des occasions pour rémunérateur de corporation par la fourniture de services et le développement des réseaux de soutien. Enfin, A2K est une publication de développement. Le développement commun est plus important que la richesse privée. Puisque la connaissance joue un rôle capital dans la croissance économique, n’importe quelle tentative soutenable de réduction de pauvreté doit découler de la connaissance. La responsabilité et la transparence doivent être favoriser au plan national.13 Un rapport de 2006 relatif à CI a indiqué que l’espace pour l’accès à la connaissance est réduit non seulement en raison de la forte pression pour plus de droits venant des détenteurs de droits d’auteurs mais également parce que les pays en voie de développement accordent des droits publics.14 L’emphase accablante sur la protection des droits des détenteurs du droit d’auteurs a conduit à la notion mal orientée parmi le public (notamment étudiants, professeurs et bibliothécaires), qu’il n’ y a aucun libre accès à l’information. Ils craignent qu’ils puissent enfreindre le droit d’auteur de quelqu’un et par conséquent n’exercent pas leurs propres droits vis-à-vis des détenteurs de droit d’auteur. Les gouvernements doivent s’engager à l’expansion, ni réduire l’accès à l’information et à la connaissance dans le secteur public. Ils devraient reformer leurs lois de droit d’auteur pour tenir compte de toutes les restrictions et exceptions auxquelle ils sont autoriser. Ils devraient également donner des ressources vers l’éveille de conscience parmi le public sur la manière dont ils (étudiants, professeeurs, archivistes, érudits et bibliothécaires) peuvent influencer et profiter du libre accès aux matériaux garantis par le droit d’auteur auxquelles ils sont autorisés.15 1.2 Questions Comme déjà remarquable, le mouvement de A2K est large. Dans ce chapitre d’introduction nous n’attaquerons pas dans les détails aucune simple question, mais donnons place à une vue d’ensemble des ques13 Panos London, Common Knowledge : How Access to Information and Ideas Can Drive Development. 2007 〈URL: http://www.panos.org.uk/download.php?id=5〉. 14 Consumers International, Copyright and Access to Knowledge. Kuala Lumpur: Consu- mers International, 2006. 15 Kanniah, Rajeswari, CI Study on Copyright and Access to Knowledge. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 17. 5 1. F OND tions les plus importantes. Ces questions substantives que le mouvement A2K traite se classent approximativement en sept catégories : • Le droit d’auteur. • Brévets. • Mise en application de l’IP. • Solution de rechange de l’IP. • Accéder à l’information du gouvernment. • Réglement d’Internet. • Diversité de médias. Le terme droits de propriété intellectuelle” est employé ici comme sténographie pour deux droits particuliers légaux au-dessus de l’information : Les droits d’auteurs et brévets. Cependant, les restrictions de cette limite sont reconnues, depuis que le copyright et les droits de brévet changent nettement l’un de l’autre, et des droits jusqu’aux autres formes de propriétés, surtout que leur utilisation est “sans concurrent” C’est-à-dire, leur utilisation d’une partie n’a pas besoin d’exclure leur utilisation par d’autres.16 D’autres formes de prétendue propriété intellectuelle, telles que les droits de marque déposée, de secrets commerciaux, de conceptions enregistrées, de droits de base de données, de droits de disposition de circuit et de droits d’horticulteurs ne seront pas ici dues à leur non importance dans l’accès au mouvement de la connaissance. 1.2.1 Le droit d’auteur Le Copyright est un droit monopole limité accordé par le gouvernment aux auteurs des travaux littéraires, artistiques, dramatic et musicaux. On alloue aux interprètes, producteurs de disques et animateurs de tels travaux des droits relatifs (également appellés “les droits voisins” – mais souvent librement considérées comme forme de copyright). Tandis que le copyright est une forme de propriété intangible qui peut être assigné, des droits morals sont identifiés dans beaucoup de pays 16 Menell, Peter S ; Bouckaert, Boudewijn et Gees, Gerrit de (éd.), Chap. Intellectual Pro- perty : General Theories In Encyclopedia of Law and Economics. Cheltenham, UK: Edward Elgar, 2000. 6 1.2. Questions comme une classe séparée qui s’observe seulement dans l’auteur, tels que le droit à l’attribution et à la conservation de l’intégrité du travail. Le monopole alloué par le copyright est le droit au control de diverses utilités de travail. Dans le récent réglement de copyright, ce droit a seulement couvert la copie du travail, et a duré pendant 4 ans. Mais depuis lors, le copyright a été prolongé pour donner aux détenteurs des droits d’auteur des droits exclusives au-dessus de l’adaptation et de l’exécution du travail, ou une partie substancielle de cela, et ce – depuis les Traités d’Internet de OMPI de 1996 – pour la rendre publiquement disponible. La limite de la protection a été également rallongée, avec beaucoup de pays protégeant maintenant le copyright pendant 70 ans après la mort de l’auteur ou même plus longtemps. La convention de Berne pour les travaux littéraires et artistiques, auxquels presque tout les pays sont des signataires, établi le niveau et la durée minimum de la protection du copright (ses pairs pour des droits relatifs est la convention de Rome pour la protection des artistes, producteurs de disque et organisations d’émissions). La convention s’assure que la protection du copyright subsiste automatiquement dans tous les travaux protégés, sans besoin d’enregistrement, et qu’il dure pendant au moins 50 années de la mort de l’auteur (ou 50 années de publication, pour les auteurs de corporation). Des questions du copyright seront débattus avec plus de détails dans le chpitre suivant à 2.1. 1.2.2 Brévets Les brévets diffèrent du copyright du fait que le copyright peut limiter l’utilisation d’une forme particulière d’expression d’une idée, tandis que les brévets peuvent protéger l’idée fondamentale. Naturellment, toutes les idées ne sont pas protégées. L’idée doit : • Protéger des thèmes patentable (être un processus ou un travail synthétique utile). • Etre un roman (non connu du public au préalable). • Impliquer une étape inventive (ou être non-évident). Comme exemple des différences pratiques entre le brevet et la protection du copyright, si un travail de copyright est indépendamment conçu par deux auteurs différents, donc aucune infraction a ét commis bien que les deux travaux puissent être très similaires. Mais si une invention qui est 7 1. F OND protégée par un brévet est indépendamment conçue par un autre inventeur, le deuxième inventeur est encore lié par le brévet en dépit peut-être de n’avoir eu aucune connaissance d’elle. Les traités qui fixent des normes minimum pour le droit des brevets sont la convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, et l’accord de WTO sur les Aspect commercial des droits de la propriéte intellectuelles (TRIPS). Sous le sigle TRIPS, faire breveter la protection doit être disponible dans tous les domaines de la technologie, et dure pendant une période minimum de 20 ans. Une autre différence significative entre le copyright et le droit des brevets est qu’il n’y a (pourtant) aucune disposition équivalente comme la Convention de Berne par lequel un brevet enregistré dans un pays reçoit automatiquement la protection d’autres pays. En général, un brévet doit être plutôt enregistré dans chaque juridiction dans laquelle la protection est recherchée. Il n’y a aucune condition que le détenteur du brévet doit en réalité utiliser les brévets eux-même, qui est une estime dans laquelle le système du brévet a chuté. Cela a conduit beaucoup détenteurs de brévets dans une situation dont ils ne créent réellement rien d’utiles eux-memes, mais utilisent leurs brévets pour gagner de l’argent des autres qui veulent effectuer le travail dans le même secteur. Si leurs brévets sont larges et assez nombreux, ils peuvent également les utiliser pour avertir des concurrents d’essayer de concurrencer avec eux dans un certain domaine, ou ils peuvent utiliser leur brochure de brévet comme morceau de négociation pour partager avec leurs concurrents, permettant à chacun d’eux de partager le marché tout en évinçant de petits concurrents. Les problèmes avec le système de brévet seront discutés avec plus de détails à 2.2.1. 1.2.3 La mise en application de la Propriété Intellectuelle Peut être l’avant le plus actif dans l’accès au mouvement de la connaissance n’est pas positif, tel que la promotion de nouvelles souplesses du copyright ou de modélès d’autorisation alternatives, mais réactif, contre une gamme des mécanismes intrusifs et le mécanisme des consommateurs moins amicaux pour l’application de l’IP, qui sont poussés par des propriétaires de IP en particulier des industries de divertissement. 8 1.2. Questions Réaction graduée Un des articles sur les listes de souhait des intrigants d’industrie de musique et de film cinématographique a été pour l’ISPs de mettre en application un code “trois grèves” pour les détenteurs de dossiers – avec le support législatif, si elles peuvent l’obtenir. Un tel code, qui sous sa forme généralisée est devenu notoire comme mécanisme “réaction gradué,” exigerait des Fournisseurs de Services Internet d’avertir leurs clients quand ils sont accusés par un propriétaire de copyright d’avoir téléchargé un dossier d’infraction du copyright. Un deuxième avertissement serait donnée si l’offense est alléguée pour avoir été répétée, et suivant une troisième offense alléguée, l’accès à l’internet du client serait terminé pendant un an. Ce problème sera profondément discuté sur 2.3.3. Les mesures de frontières Les diverses initiatives sont en place pour renforcer le rôle des douaniers en imposant des lois de propriété intellectuelle. Le projet de traité d’ACTA, discuté ci-dessous à 2.3.1, fournir un nouveau repère, plus élevé pour mesures à être prises au frontières nationales contre les infractions. Les dispositions s’appliqueront probablement à l’importation, à l’exportation, et au passage des marchandises à travers les frontières, bien qu’il y ait probablement une certaine sorte d’exception de minimis qui sauvera des passagers de ligne aérienne de faire saisir leurs ordinateurs portables ou lecteur MP3 parce qu’ils contiennent des dossiers d’infraction du copyright. Néanmoins, lorsque les expéditions commerciales sont seulement appliquées, L’application de ce type de mésure a engendré une inquietude. Par exemple en 2008, des consommateurs ont été placés en danger de maladie ou de mort quand le service des douanes hollandais a saisi une expédition légitime de médicaments génériques en partance de l’Inde au Brésil parce qu’ils ont été incorrectement suspectés d’être une contrefaçon. Application criminelle Une autre tendance dans l’application de l’IP est l’expansion de la gamme des infractions de l’IP qui constituent les offenses criminelles, qui formeront le sujet de la section 2.3.4 ci-dessous. Le rapport special de USTR301 critique régulièrement des pays de crainte de criminaliser 9 1. F OND les violations de l’IPR, et même quelques actes qui ne sont pas intrinsèquement des violations – comme introduire un enregistreur de video un théatre de film. Les accords de libre-échange des USA exigent également d’autres pays pour criminaliser plus loin des infractions ; par exemple, l’Australie a été exigée de criminaliser avec détermination les infracttion à l’échelle commercial, le déchiffrage de transfert de programme par les signaux satellites, et la possession et l’utilisation des dispositifs pour éviter le TPM, et pour élever le niveau des pénalités. La gestion des droits numériques La gestion des droits numériques (DRM) est la pratique de commander les utilisations que les consommateurs font du matériel numérique du copyright, en utilisant les mécanismes technologiques de protection (TPMs). Elle inclut l’utilisation des formats de propriété industrielle de dossier qui ne fonctionneront pas quand vous essayez de les décaler d’un dispositif à un autre (par exemple, les dossiers médias de WMV de microsoft), l’équipement qui refuse de permettre au contenu d’être copié (par exemple, tout équipement visuel à haute définition avec un branchement de HDMI), et les médias qui ont été conçu pour la rendre impossible pour que des consommateurs tirent des copies pour l’utilisation ou à des fins privés (tel que Blu-Ray discs). Pire, souvent des systèmes DRM sont utilisés pour des buts qui sont complètement étrangers à la loi du copyright. Par exemple, presque tout les DVD viennent avec un code de région qui les interdit d’être jouer sur les lecteurs DVD d’une autre région. Ce n’est pas une infraction de jouer les DVD d’une région à une autre, pourtant pour des raisons anticompétitives, l’industrie du film utilise la technologie, en même temps qu’un caprice de loi de copyright, pour empêcher les consommateurs de faire ainsi. 1.2.4 Solution de rechange d’IP “Les solutions de rechange d’IP” est un autre concept hybride, qui est employé ici pour se rapporter à une gamme de différentes stratégies pour assurer un accès proportionné à la connaissance pour la communauté, par des mécanismes qui ne sont pas basés sur le marché. En effet, dans un sens strict, elles ne sont pas vraiment des solutions au système de propriété intellectuelle, comme certaines d’entre elles – par exemple libérer et ouvrir le logiciel de source autorisant, et le Creative Commons – elles 10 1.2. Questions dependent réellement de la loi de copyright afin de fonctionner. De tels arrangements d’autorisations alternatifs sont le premier ensemble de solutions de rechange d’IP à examiner dans plus de détails, dans la section 3.2. Un autre mécanisme pour disséminer la connaissance est l’autorisation collective, dont il y a diverses formes, certains sont basés sur le marché et les autres ne le sont pas ; par example, la législation peut prévoir un permis forcé à publier pour le copyright ou le matériel de brévet protéger, permettant au public d’accéder à ce matériel sans nécessité d’être en pourparler avec le support de l’IP sur un marché. Ces mécanismes sont discutés sur 3.3. D’autres pratiques et établissements qui tendent à augmenter l’accéssibilité aux consommateurs des marchandises de la connaissance et les médias incluent des bibliothèques, ouverture de normes, et ouvertude de données, qui sont tous à considérer aussi dans le chapitre 3. Creative Commons Creative Commons (CC) is a non-profit organisation headquartered in San Francisco, California, United States devoted to expanding the range of creative works available for others to build upon legally and to share. The organisation has released several copyright-licenses known as Creative Commons licenses for free to the public. These licenses allow creators to communicate which rights they reserve, and which rights they waive for the benefit of recipients or other creators. Wikipedia is one of the notable web-based projects using one of its licenses. The organisation was founded in 2001 with support of the Center for the Public Domain. The first set of copyright licenses were released in December 2002. – http://en.wikipedia.org/wiki/Creative_Commons 1.2.5 Accéder à l’information gouvernementale L’Accès à l’information gouvernementale est important non seulement pour la valeur de l’information elle-même (comme dans le cas des données de recensement semblables), mais aussi comme une garantie de la démocratie transparente (dans le cas d’information qui forme une partie du processus politique) . Parmi les principaux moyens par lesquels l’accès à l’information est aussuré sont la liberté d’expression, réglement ou politique prévoyant la publication ouverte et accessible des documents publics, et des règles qui permettent l’accès aux forums parlementaires, exécutifs et juridiques de la délibération. Les garanties institutionnelles de l’indépendance des 11 1. F OND médias, tels que la liberté de la presse, sont également importantes. Nous examinerons plus loin ce sujet dans cette section 4.1.4. 1.2.6 Réglement d’Internet L’internet est complet pour assurer l’accès à la connaissance, et donc le réglement d’internet à un poids sur les objectifs du mouvement. Une partie de la tactique employée par les détenteurs de droits pour interférer l’accès à la connaissance au-dessus de l’internet la réponse graduée (voir 2.3.3), remarquer et prendre les procédures telles que l’acte du copyright du millénium digital américain (ou le DMCA, quelque chose comme cela qui sera exigé par l’ACTA, voir 2.3.1), et DRM (par exemple sur des videos téléchargés du magazin d’iTunes). La nécessité de régler l’Internet pour restreindre son utilisation dans des activités terroristes, ou dans la production et de la diffusion de la pornographie enfantile, est souvent utilisée comme un prétexte pour l’introduction des mesures plus loin de filtrage et de censure, aussi bien que (et souvent reservé) la surveillance d’infraction d’intimité des activités des utilisateurs d’Internet. A ce niveau, voir la discussion de l’intimité et la liberté d’expression sur 4.1.2 et 4.1.3, et sur l’autre Internet les questions réglementaires telles que la neutralité de réseau voir 4.1.5. 1.2.7 Diversité de médias Une des institutions internationales les plus importants pour la promotion de la diversité de médias a été l’UNESCO (L’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la science et la culture). L’UNESCO est noté pour le rapport 1980 de MacBride17 qui a visé à établir ce qui a été double d’un nouvel ordre de l’information et de communications du monde (NWICO) qui fournir une assurance plus équilibrée du monde en voie de développement par des mass média. Ce rapport a été vu comme préconisant l’interférence avec la liberté de la presse par les Etats-Unis, le Royaume Uni et Singapour, qui se sont temporairement retirés de l’UNESCO dans la protection ; un coup que l’organisation récupère toujours. Cette question sera discutée en profondeur sur 4.1.1. 17 http://unesdoc.unesco.org/images/0004/000400/040066eb.pdf 12 1.3. Les acteurs 1.3 Les acteurs Une variété d’acteurs jouent un rôle influent en modelant la discussion de A2K, pour les deux positivement et négativement. Ceux-ci incluent les organismes intergouvernementaux, les organismes de la société civile, le secteur privé, et le gouvernement. Certains des acteurs les plus importants seront présentés ici, plus loin dans le fond pour la discussion qui doit suivre dans les chapitre 2 et 3. 1.3.1 Les organismes intergouvernementaux OMPI L’ Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) a été créé en 1970 pour succéder le rôle de son prédécesseur, le bureau international uni basé à Berne pour la protection de la Propriété Intellectuelle ou BIRPI. Les Français pour les Bureaux Internationaux Réunis de la Propriété Intellectuelle, le BIRPI a été installé in 1983 pour administrer les Conventions de Berne et de Paris. Il était la signature de la convention établissant l’organisation de la propriété intellectuelle mondial à Stockholm le 14 juillet, 1967 cela a entrainé la naissance de OMPI trois plus après. En 1974, le OMPI est devenu une institution spécialisée des Nations Unies, avec un mandat pour “gérer les problèmes de la propriété intellectuelle identifiés par les Etats menbres de l’ONU.” L’article 4 de la convention décrit le rôle de OMPI – “favoriser le développement des mesures conçues pour faciliter la protection efficace de la propriété intellectuelle dans le monde entier et pour harmoniser la législation nationale dans ce domaine.” L’article mentionne également que le OMPI est “d’encourager la conclusion des accords internationaux conçue pour favoriser la protection de la propriété intellectuelle.” Situé à Genève, le OMPI apprécie une source de revenu différente que d’autres succursales de l’ONU. Au lieu de dépendre des contributions des Etats membres, plus de 90 pour cent de son revenu relève de la collection des cotisations par le bureau international des systèmes d’application et d’enregistrement de la propriété intellectuel, qu’il gère. Ceci inclut le Traité de coopération de brévet, le système de Madrid pour les marques déposées et le système de la Haye pour les conception industrielles.18 L’agence actuellement a 183 Etats menbres et gère 23 traités internationaux traitant de divers aspects de la propriété intellectuelle, y com18 http://en.wikipedia.org/wiki/WIPO 13 1. F OND pris la convention de Berne sur le copyright, la convention de Paris sur les brévets, les marques déposées et les conception enregistrées, et la convention de Rome sur le copyright and les droits relatifs. Les traités d’internet de OMPI C’est-à-dire, le traité de copyright de OMPI (WCT) et les exécutions de OMPI et le traité de Phonograms (WPPT)), qui sont entrés en vigueur en 2002, prolongent ces instruments plus à la lumière des nouvelles technologies numériques y compris l’internet. Le OMPI effectue la majeur partie de son travail par des comités spécifiques. Certains de ces comités incluent le Comité actif sur les brévets (SCP), le Comité actif sur le Copyright et les droits relatifs (SCCR), le Comité Consultatif sur l’ application (ACE), le Comité Intergouvernemental (IGC) sur l’accès aux ressources génétiques, la connaissance traditionnelle and Folklore, et le groupe de travail pour la réforme du Traité de coopération de brévet (PCT). Le OMPI prend des décisions par concensus. Chaque Etat membre a une seule voix sans tenir compte de la population ou de la contribution au financement. Ceci a eu pour résultat les pays en voie de développement pouvant bloquer des plans par leurs équivalents développés pour étendre les traités de propriété intellectuelle par le OMPI. Cette résistance était manifeste dans les années 60 et 70 lorsque les pays en voie de développement ont bloqués des plans d’expansion tels que des brévets phamarceutiques universels. Le WTO Pour venir à bout de cette impasse, les pays développés conduits par les Etats-Unis dans les années 80 ont déplacé la discussion sur la propriété intellectuelle de référence hors de OMPI et dans un forum où les pays développés peuvent conduire leur direction – l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT). Le GATT s’est par la suite transformé en organisation mondiale du commerce la stratégie américaine du forum de décalage conduites à la disposition de l’accord sur les aspects de commerce-connexe des droits de la Propriété intellectuelle (TRIPS). L’inclusion des normes de l’IP dans un accord de commerce mondial a résulté de la tournée de l’Uruguay des négociations de GATT entre 1986 et 1994, suite à une forte incitation de lobbying par les groupes multinationaux pharmaceutiques, de logiciels et des industries de divertissement. La convention de TRIPS comporte en grande partie le contenu substantif des conventions géréés du OMPI, mais avec l’importante différence qu’il traite le manque deconformitécomme une entrave aux 14 1.3. Les acteurs échanges, et permet au WTO d’imposer des sanctions aux pays menbres dans l’infraction. Elle prévoit aussi la résolution des conflits entre les nations par le WTO. Plan d’action de l’OMPI pour le développement D’ici à 2001, la réaction violente contre le TRIPS le monde en voie de développement, avait eu la traction, et en cette année La Déclaration de Doha sur le TRIPS et la Santé Publique ont confirmé l’existence des flexibilités de TRIPS qui permettent les pays en voie de développement de délivrer les permis obligatoires pour que les brévets phamarceutiques abordent des soucis de santé publique. L’adoption de la Déclaration de Doha était une autre étape de contribution vers l’apparition d’un mouvement coordonné contre le programme de maximaliste des pays développés, comme poussé par des industries d’exportations de l’IP. C’est également le commencement d’un lien d’un lien étroit entre les programmes de l’IP de l’accès au mouvement des medecines et au mouvement de l’A2K. The dilemma for developing countries . . . lies in the fact that in the majority of cases these countries are net importers of knowledge and technology. This has increasingly set the alarm bells about the importance and need for reforming the underperforming educational regimes prevailing in these countries, whereby the cycle of knowledge production and development often commences. Notably, the production of knowledge in today’s environment is mainly governed and codified by legal rules referred to as Intellectual Property Rights (IPRs). – Mohammed El Said (Biblioteca Alexandria (2009), 53) Une autre point tournant dans ce processus était l’ultime adoption en Septembre 2007 d’un “Programme de développement” pour le OMPI.19 Le programme de développement a eu sa genèse dans une proposition offerte par l’Argentine et le Brésil sur “L’établissement d’un programme de développement pour le OMPI.” Cette proposition est sortie de la Déclaration de Genève sur le futur de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle a été commanditée par la Bolivie, le Cuba, la République Dominicaine, l’Equateur, l’Egypte, l’Iran, le Kenya, la Sierra Leone, l’Afrique du Sud, la Tanzanie et le Venezuela. 19 http://www.wipo.int/documents/en/document/govbody/wo_gb_ga/pdf/wo_ga_31_ 11.pdf 15 1. F OND Associé à l’Argentine et le Brésil, ces pays ont argué du fait que les divers degrés de protection des droits de la propriété intellectuelle devraint refléter le niveau de développement de n’importe quel pays indiqué. La proposition, souvent désignée sous le nom de “Article 12” dû à son rang sur la liste du programme de la réunion, a été également appuyée par l’Inde bien que séparé dans un rapport mais similaire. “Le terme ‘développement’ comme employé par ces pays (développés), incorporé dans le OMPI, signife tout à fait l’opposé de ce que les pays en voie de développement comprennent quand ils se réfèrent à ‘dimension de développement’,” a dit le représentant de l’Inde à OMPI, Debabrata Saha se prononce sur la proposition du programme de développement. Saha renchéri : “Si vous partagez les perspectives des pays développés, ‘le développement’ signifie accroître la capacité du pays en voie de développemnt de favoriser incroyablement la protection des propriétaires des pays développés des droits de l’IP.” Le 4 Octobre 2004, l’Assemblée général de OMPI a accepté d’adopter la proposition de l’Argentine et du Brésil. Les groupes de la société civile se sont rapidement rassemblés autour de cette proposition, rédigeant leur Déclaration de Genève sur le Futur de l’Organisation Mondial de la Propriété Intellectuelle cette année, suivi de projet du traité sur l’accès à la Connaissance en 2005. Le programme de développement contient en son sein 45 recommendations en six faisceaux, qui incluent la promotion d’un développement orientée sur la culture de l’IP, la conservation du domaine public, et l’échange des expériences des projets de collaboration ouverts. Jusqu’à ce jour, 5 réunions du Comité de OMPI sur le Développement et la Propriété Intellectuelle (CDIP) ont été tenues, et un certains nombre de rapports ont été produits vers l’exécution des recommandations du programme de développement. Une partie de ce travail continu comporte des projets de recherche sur l’,20 IP et le domaine public, l’IP et la politique de concurrence21 et l’IP, l’information et l’ ICTs, la fracture numérique et l’ A2K.22 Peut-être les résultats les plus significatifs du programme de Développement de OMPI jusqu’ici ont été la discussion de nouvelles restrictions et exception mininum du Copyright par son Comité Actif et des droits relatifs (SCCR). L’addition de cette initiative à l’ordre du jour du comité 20 http://www.wipo.int/edocs/mdocs/mdocs/en/cdip_4/cdip_4_3_rev.pdf 21 http://www.wipo.int/edocs/mdocs/mdocs/en/cdip_5/cdip_5_ref_cdip_4_4_rev.pdf 22 http://www.wipo.int/edocs/mdocs/mdocs/en/cdip_4/cdip_4_5_rev.pdf 16 1.3. Les acteurs a été déplacée par le Chili, le Brésil, l’Uruguay et le Nicaragua en 2008, élaborant sur une proposition chilienne plus tôt. Les limitations et les exceptions à étudier par le SCCR incluent ceux pour l’éducation, les bibliothèques, les archives, les services innovateurs et les personnes avec des incapacités. La première proposition concrète dans ce secteur est un Traité pour aveugle, visuellement altéré et autre les personnes handicapées par lecture, ajournées par le Brésil, l’Equateur et le Paraguay en mai 2009.23 1.3.2 La société civile Cette section est prévue pour fournir une vue d’ensemble de certains des groupes de la société civile transnationale organisée qui sont en activité dans diverses sections du mouvement d’A2K. Elle ne vise pas à être complète, mais juste à accentuer certains des acteurs centraux et à suggérer comment ils peuvent utilement être classés par catégorie. Parmi les groupes plus loin à la périphérie du mouvement d’A2K, qui ont été omis de cette section, se trouvent les groupes des fermiers (préconisant pour la droite aux graines), l’accès des groupes de médecines à mouvement, d’utilisateur d’ICT, des libertés civiles et des organismes de droit de l’homme, des médias indépendants, des groupes d’intimité, des pirates et des pirates informatiques, et ICT pour des activistes de développement. Groupes des droits numériques Le mouvement d’A2K implique aussi le mouvement numérique des droits, bien que les deux mouvements demeurent distincts. Le mouvement d’A2K se préoccupe de la diffusion de la connaissance en ligne et en différé. Les manuels tirage papiers traditionnels (ou photocopies d’eux) sont toujours la source principale de matériel d’étude pour la grande majorité du monde, et ceci est un domaine important pour l’activisme de A2K mais tombe en dehors du souci du mouvement numérique de droits. De la même façon, il y a quelques soucis du mouvement numérique des droits, tels que la surveillance numérique et le chiffrage, qui sont la plupart du temps périphériques au mouvement d’A2K. Les groupes numériques notables de recommandation de droites au niveau régional et mondial incluent : 23 http://www.wipo.int/edocs/mdocs/copyright/en/sccr_18/sccr_18_5.pdf 17 1. F OND • Electronic Frontiers Foundation24 • European Digital Rights Initiative25 • Open Rights Group26 • L’Association pour une infrastructure informationnelle libre27 • Public Knowledge28 • Foundation for Peer to Peer Alternatives29 • Association for Progressive Communiations30 • Students for Free Culture31 • Center for Democracy and Technology32 Ouvrir la source et ouvrir le contenu des communautés La source ouverte et l’ouverture de contenu des communautés sont centrales au mouvement d’A2K, cependant de nouveau les vues et les objectifs des communautés ne coïncident pas entièrement. Un des points de divergence principaux entre eux est que quelques activistes de la source ouverte et ouverture du contenu des communautés s’opposent à des mesures de rendre les travaux de propriété industrielle-autorisés de copyright plus largement disponibles, sur la base que ceci réduit l’avantage comparatif des travaux libre-autorisés dans le marché Par exemple, Jimmy Wales de Wikipedia s’est plaint que compter sur l’exception juste de copyright d’utilisation “nous décourage de rechercher créativement une manière d’agrandir les terrains communaux.”33 Le mouvement le plus large d’A2K d’autre part fait bon accueil à des mesures d’améliorer l’accessibilité des travaux de propriété industrielle et ouvertement-autorisés. 24 http://www.eff.org/ 25 http://www.edri.org/ 26 http://www.openrightsgroup.org/ 27 http://www.ffii.org/ 28 http://www.publicknowledge.org/ 29 http://www.p2pfoundation.net/ 30 http://www.apc.org/ 31 http://freeculture.org/ 32 http://www.cdt.org/ 33 http://en.wikipedia.org/wiki/Wikipedia_talk:Publicity_photos#This_page_is_ dangerous 18 1.3. Les acteurs Ayant dit cela, A2K dépend du contenu autorisé sous la source ouverte et les permis de contenu ouverts comme plateforme principale en élargissant l’accès accessible. En tant que tels, les établissements suivants sont les dépositaires principaux dans le mouvement d’A2K : • Creative Commons34 • Open Source Institute35 • Free Software Foundation36 • Open Knowledge Foundation37 • Wikimédia Foundation38 Le groupe des consommateurs La grand majorité du mouvement de consommateur plus récemment est devenu activement occupé dans le mouvement d’A2K. Les objectifs des deux mouvements en promouvant l’accès à la connaissance pour des consommateurs sont en général étroitement aligné, toutefois il y a quelques tensions. Le principal parmi ces derniers est qu’il y a eu une longue histoire de recommandation du consommateur contre la contrefaçon, en raison du gros risque des défauts dans les biens de consommation contrefaits. Tandis que ceci reste une bonne politique, il est important qu’il ne mène pas des groupes de consommateurs d’ internaliser les valeurs de l’industrie en vue de l’application de la propriété intellectuelle dans d’autres secteurs, comme contre la piraterie des marchandises culturelles et de la connaissance, qui n’est pas un tel problème de noyau pour des consommateurs. Une autre raison pour laquelle le mouvement du consommateur n’a pas historiquement été entièrement conforme avec le mouvement d’A2K est que quelques les organismes du consommateur exigent une capacité d’acceuil pour les aider à remettre en cause la dynamique de puissance des médias de propriété industrielle et du contenu des industries, et pour 34 http://www.creativecommons.org/ 35 http://www.opensource.org/ 36 http://www.fsf.org/ 37 http://www.okfn.org/ 38 http://www.wikimedia.org/ 19 1. F OND favoriser des solutions de rechange telles que le logiciel libre et pour le contenu de libre accès. À cet égard, le programme international des consommateurs A2K aide à réunir le consommateur mondial et le mouvement d’A2K plus étroitement. Sans déroger au contravention des membres de CI’s à un niveau national, voici quelques uns de ses membres avec une longue expérience professionnelle de recommandation pour A2K à un niveau mondial et régional : • Knowledge Ecology International39 • Dialogue Transatlantique du Consommateur40 • BEUC – l’Organisation des Consommateur Européens41 Bibliothèques et archives Les bibliothèques et les archives sont également les contribuants essentiels au mouvement d’A2K, cependant avec leur propre ensemble particulier de priorités avec lesquelles ils recouvrent, mais n’entourent pas entièrement, ceux du mouvement le plus vaste. Parmi les questions spécifiques auxquelles les activités de recommandation des bibliothèques et des archives sont visés sont des restrictions de copyright et les exceptions pour le prêt et les mesures archivistiques et technologiques de protection (TPMs), limites contractuelles déloyales attachées aux ressources électroniques, les droits de prêt public (qui sont les honoraires spéciaux payés dans quelques pays pour compenser des auteurs le revenu de ventes perdu en raison du public prêtant),42 droits des bases de données, les oeuvres orphélines, et libre accès. Les principaux acteurs représentant des bibliothèques et les archives qui participent au mouvement d’A2K incluent : • eIFL.net (Information électronique pour des bibliothèques)43 • IFLA (Fédération internationale des associations de bibliothèque)44 39 http://www.keionline.org/ 40 http://www.tacd.org/ 41 http://www.beuc.eu/ 42 Voir 3.4.3. 43 http://www.eifl.net/ 44 http://www.ifla.org/ 20 1.3. Les acteurs • Bibliotheca Alexandrina45 • Les Archives d’Internet46 • Projet Gutenberg47 Le monde universitaire Définitivement, il n’y aurait aucun mouvement d’A2K du tout sans participation du monde universitaire. Bien que les lignes du mouvement d’A2K aient été tracées quelques années plus tôt, parce que pour beaucoup c’était la première conférence internationale sur l’accès à la connaissance à l’université de Yale en 2006 qui a marqué la naissance du mouvement. Cette conférence annuelle depuis est restée un montage pour des activistes d’A2K et des disciples de la même manière. Les centres scolaires importants pour le mouvement d’A2K sont : • Projet de Société De l’Information De Yale48 • Centre de Berkman pour l’Internet et société à l’université de Harvard49 • Le projet d’A2K Brésil à l’école de droit de Fundação Getúlio Vargas Rio De Janeiro50 • ACA2K (Copyright et l’accès africains au projet de la connaissance) contrôlé par l’université Wits LINK centre51 1.3.3 Le secteur privé Bien que les intérêts commerciaux du secteur privé soient généralement en faveur de la protection forte de propriété intellectuelle, le secteur entier ne peut pas être caractérisé en tant qu’accès d’opposition à la connaissance. Beaucoup sont également les alliés stratégiques du mouvement. 45 http://www.bibalex.org/ 46 http://www.archive.org/ 47 http://www.gutenberg.org/ 48 http://isp.law.yale.edu/ 49 http://cyber.law.harvard.edu/ 50 http://a2kbrasil.org.br/ 51 http://www.aca2k.org/ 21 1. F OND Par exemple, la communauté libre et logiciel libre seront considérablement plus petit si non pour l’appui des sociétés commerciales telles qu’IBM, l’oracle et le Novell. D’ailleurs, la recherche a indiqué que le secteur privé bénéficie énormément des flexibilités de copyright, tels que l’exception “d’utilisation juste” en vertu de la loi de copyright des USA.52 Ainsi, quelques coalitions de secteur privé, comme l’ordinateur et l’association d’industrie de communications (CCIA),53 ont les défenseurs fermes devenus du mouvement d’A2K. Cette section fournit une vue d’ensemble très brève de certains des acteurs les plus centraux de secteur privé des deux côtés du mouvement. IIPA L’IIPA, ou l’alliance internationale de propriété intellectuelle, est une coalition des associations commerciales basée des USA représentant les intérêts des supports de copyright. Il a été formé en 1984 et ses membres sont l’association des éditeurs américains, l’alliance de logiciel d’affaires, l’association de logiciel de divertissement, le film et l’alliance indépendante de télévision, l’association de film cinématographique de l’Amérique (MPAA), l’association des éditeurs nationaux de musique et l’association d’industrie d’enregistrement de l’Amérique (RIAA). Chacune de ces derniers est lui-même une organisation adhésion-basée des participants d’industrie tels que des éditeurs des livres, le logiciel et la musique, et les studios de film. L’IIPA représente les intérêts de ses membres dans les établissements intergouvernementaux internationaux et régionaux tels que OMPI telles qu’entre, le WTO et APEC, comme dans des activités deréglage domestiques les 301 de processus spéciaux de rapport décrits à 1.3.4, et le développement de FTAs (accords de libre-échange) les Etats-Unis et d’autres pays. C’était en grande partie par les efforts de l’IIPA que les traités d’Internet de OMPI ont été établis tellement tôt dans l’âge d’Internet, en 1996. Les membres d’IIPA tels que le RIAA et MPAA, et leurs filiales ou filiales locales, sont également en activité en formant la politique d’IP. Le RIAA est particulièrement notoire pour sa campagne du dossier fini de procès partageant, non seulement contre des compagnies telles que les 52 CCIA, Fair Use in the US Economy : Economic Contribution of Industries Relying on Fair Use. 2010 〈URL: http://www.ccianet.org/CCIA/files/ccLibraryFiles/Filename/ 000000000354/fair-use-study-final.pdf〉. 53 http://www.ccianet.org/ 22 1.3. Les acteurs éditeurs du dossier partageant le logiciel,54 mais également contre beaucoup de milliers de dossier-sharers allégué individuel. Cette campagne inpopulaire et généralement non réussie de litige a été officiellement discontinuée en 2008,55 en faveur d’un foyer sur “l’application graduée de response”-modèle (voir 2.3.3). Microsoft Microsoft, en tant qu’éditeur dominant du logiciel du monde depuis le début des années 90, est notable pour son histoire de l’opposition à certaines des mesures employées pour avancer l’accès à la connaissance, y compris le logiciel libre et ouvert de source et pour ouvrir des normes. Sur l’ancien compte, Microsoft a couru une campagne “obtiennent faits” de 2004 à 2007 qui ont directement attaqué la plateforme de logiciel d’exploitation de GNU/Linux, et ont poursuivi des fournisseurs des solutions libres et ouvertes de source pour la contrefaçon, y compris la compagnie de TomTom GPS pour son usage de l’exécution de grain de Linux du filesystem du FAT de Microsoft (le procès a été arrangé en 2009).56 D’autres distributeurs ouverts de source, y compris Novell, qui lance SuSE sur le marché Linux, sont entrés dans des affaires d’autorisation avec Microsoft afin d’éviter un procès. Par rapport à la position de Microsoft sur des normes ouvertes, la compagnie est connue pour sa politique de “embrassent, se prolongent et s’éteignent,” par lequel elle semble embrasser une norme ouverte, mais puis présentent ses propres prolongements de propriété industrielle à la norme avec laquelle d’autres réalisations ne seraient pas interoperable, ayant pour résultat l’exécution de Microsoft s’éteignant ceux des concurrents en raison de l’ancienne dominance sur le marché.57 D’autres distributeurs ouverts de source, y compris Novell, qui lance SuSE sur le marché Linux, sont entrés dans des affaires d’autorisation avec Microsoft afin d’éviter un procès. Par rapport à la position de Microsoft sur des normes ouvertes, la compagnie est connue pour sa politique de “embrassent, se prolongent 54 Le plus récemment contre Limewire: Sandoval, Greg, RIAA wins big in LimeWire law- suit. 2010 〈URL: http://news.cnet.com/8301-31001_3-20004811-261.html〉. 55 McBride, Sarah et Smith, Ethan, Music Industry to Abandon Mass Suits. 2008 〈URL: http: //online.wsj.com/article/SB122966038836021137.html〉. 56 Fried, Ina, Microsoft, TomTom settle patent dispute. 2009 〈URL: http://news.cnet.com/ 8301-13860_3-10206988-56.html〉. 57 Rodger, Will, Intel exec : MS wanted to ‘extend, embrace and extinguish’ competition. 1998 〈URL: http://www.zdnet.com/news/intel-exec-ms-wanted-to-extend-embraceand-extinguish-competition/100925〉. 23 1. F OND et s’éteignent,” par lequel elle semble embrasser une norme ouverte, mais puis présentent ses propres prolongements de propriété industrielle à la norme avec laquelle d’autres réalisations ne seraient pas interoperable, ayant pour résultat l’exécution de Microsoft s’éteignant ceux des concurrents en raison de l’ancienne dominance sur le marché.58 Google Un autre acteur transnational important dans ce secteur d’issue est Google, qu’en octobre 2008 a conclu un accord du règlement $125 millions avec des éditeurs au-dessus de son service de recherche de livre de Google, pour lequel Google partnered avec des bibliothèques pour balayer des millions de livres dans un index à texte intégral.59 Le règlement initial a été rejeté par la cour face aux objections formulées par certains groupes, parmi eux le chien de garde Nous-basé du consommateur, que les limites du règlement ont à l’excès favorisé à Google au-dessus d’autres intermédiaires de l’information dans son accès aux livres digitalisés. Un nouvel accord proposé a été proposé en novembre 2009, dont l’approbation finale demeure en suspens. Google est généralement considéré un ami de l’accès au mouvement de la connaissance. Il a donné $2m à l’université américaine de Washington pour sa recherche dans l’ordre du jour industrie-conduit pour renforcer des pratiques en matière d’application d’IP, et régulièrement les commanditaires ouvrent le développement de logiciel de source par son “été de code.”60 D’autre part, Google a été critiqué pour ses pratiques en matière d’intimité. La compagnie était “hostile rangé à l’intimité” dans le rapport 2007 international de consultation d’intimité (qui a mené à une guerre amère des mots entre les parties),61 et en mai 2010, Google avait lieu embarassed par la révélation qu’il avait rassemblé des données de charge utile de réseau (snippets y compris des email privés) des réseaux sans fil privés sans garantie tout en rassemblant des données pour son service de StreetView.62 58 http://www.browserchoice.eu/ 59 http://books.google.com 60 http://code.google.com/soc/ 61 http://www.privacyinternational.org/article.shtml?cmd%5B347%5D=x-347-564075 62 http://googleblog.blogspot.com/2010/05/wifi-data-Collection-update.html 24 1.3. Les acteurs 1.3.4 Gouvernements Avec près de 200 pays dans le monde, seulement quelques uns du plus central aux soucis du mouvement d’A2K seront mentionnés ici. Ceux-ci incluent deux qui sont généralement antagoniques aux objectifs du mouvement, et un qui sont un défenseur fort. Les Etats Unis Cependant, c’est de la manière dont il pousse les niveaux les plus élevés la protection propriété intellectuelle et l’application sur d’autres pays, y compris les pays en voie de développement, qui lui fait un adversaire régulier du mouvement d’A2K. Les deux mécanismes principaux par lesquels il fait ceci sont les accords de libre-échange qu’il signe avec d’autres pays, et son rapport 301 spécial annuel. Tous les deux sont la province du représentant de commerce des Etats-Unis (USTR), et seront discutées en plus détail ci-dessous à 2.3.2. Par les les deux les mécanismes ci-dessus, les Etats-Unis imposent “TRIPS+” des engagements pour des engagements de protection et d’application d’IP – c’est-à-dire, les engagements qui excèdent les niveaux minimum de l’accord de TRIPS. L’Union Européenne Domestiquement, les lois de copyright des pays d’EU sont exigées pour être conformes à un certain nombre de directives, telles qu’on (93/98/EEC) exigeant une limite minimum de la protection de 70 ans après la mort de l’auteur, des autres (2001/29/EC) qui limitent les exceptions permises et des limitations, et la directive d’IPRED (2004/48/EC) qui fixe des normes minimum pour des procédures civiles pour l’application de propriété intellectuelle. La politique étrangère de l’union européenne sur des questions d’A2K n’est pas beaucoup plus favorable que celle des Etats-Unis. Elle, aussi, conclut le TRIPS des accords de libre-échange avec d’autres pays. C’est également l’adversaire le plus fort d’un traité plaçant des exceptions minimum de copyright pour l’abat-jour, visuellement altérées et lisant les utilisateurs handicapés à OMPI. Regardant au delà de la loi de copyright, le paquet de Telecoms d’EU, finalement passé en 2009, effectuera également lors de l’accès à la connaissance en Europe. C’est un paquet des réformes de télécommunications qui inclut des dispositions sur des libertés d’Internet. Un amendement proposé 138 au paquet de Telecoms aurait fourni : 25 1. F OND qu’aucune restriction ne peut être imposée les droits fondamentals et des libertés des utilisateurs, sans régner antérieurieurement par les autorités juridiques, notamment conformément à l’article 11 de la charte des droites fondamentales de l’union européenne sur la liberté expression et information, économiser si la sécurité publique est menacée derrière cela dans ce cas régner peut être suivi. Cette disposition, qui a été conçue pour limiter l’introduction des mesures graduées de réponse sans inadvertance juridique (voir 2.3.3), a été arrosée vers le bas dans le texte final, omettant n’importe quelle référence “à régner antérieurement par les autorités juridiques.”63 Le Brésil Le Brésil a été l’un des pays favorisant le plus fortement l’accès à l’ordre du jour de la connaissance à un niveau intergovermental. C’était un membre des “amis de grouper de développement” des pays à OMPI qui était responsable de la proposition de l’ordre du jour de développement de OMPI, et fait partie du groupe ad-hoc le plus petit (aussi comprenant l’Equateur et le Paraguay) qui a ajourné un Traité proposé de OMPI pour d’accès amélioré pour aveugle, visuellement altéré et autre les personnes handicapées par lecture en mai 2009. À un niveau domestique, le Brésil a pris une position contre l’industrie pharmaceutique mondial en exigeant sur sa droite d’émettre des permis forcés pour des médicaments de SIDA conformément 2001 à la déclaration TRIPS de Doha et santé publique.64 Cela également été un défenseur fort des solutions de rechange à l’autorisation contente de propriété industrielle, telle que le logiciel libre et ouvert de source et le Creative Commons. Une directive 2003 de gouvernement exige du secteur public d’adopter le logiciel libre,65 et puisque 2008 le format d’ouverture de document est également une norme brésilienne (NBRISO/IEC26300). Ironiquement la loi de copyright actuelle du Brésil est pas du tout favorable aux consommateurs, mais elle est actuellement à l’étude, avec 63 http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:337:0037:0069:EN: PDF 64 Murphy, Bryan, Brazil’s Anuencia Previa : How Brazil’s Unique Pharmaceutical Patent Law Illustrates That the United States and Brazil Continue to Disagree on TRIPS’ Flexibilities to Protect Access to Essential Medications. 2005 〈URL: http://www.ssc.wisc.edu/ ~munia/467/BrazilMurphy.pdf〉. 65 http://www.planalto.gov.br/ccivil_03/DNN/2003/Dnn10007.htm 26 1.3. Les acteurs une nouvelle et beaucoup plus favorable facture subissant actuellement la consultation publique à l’heure de la publication. Useful links for this chapter Background information • A good starting point is the Wikipedia page with its pointers to other pages on A2K. You can also add useful links and information you find here. http://en.wikipedia.org/wiki/Access_to_knowledge_movement • Consumers International’s A2Knetwork.org. The hub of CI’s global consumer dialogue on Access to Knowledge and communications issues, it contains blog posts, links to upcoming events, and outputs from the A2K programme including CI’s IP Watchlist, A2K film and access barrier survey. http://a2knetwork.org/ • Of historical interest are the archived resources of the Consumer Project on Technology (now Knowledge Ecology International). This includes information on the draft A2K Treaty ; the Paris Accord ; the WIPO Development Agenda ; the Geneva Declaration on the Future of WIPO ; Broad/Web and Cablecasting Protection ; Open Document Format and more. http://www.cptech.org/a2k • Intellectual Property Watch is an independent reporting service on international IP policymaking, available online and in hard copy by subscription. http://ip-watch.ch/ • Useful background on the WIPO Development Agenda can be found in these statements from eIFL. http://www.eifl.net/services/wipo_da.html • Bibliotheca Alexandrina’s A2K Portal (English/Arabic) is a platform to promote awareness about the importance of A2K in accelerating development efforts around the world, and in the Arab region in particular. It offers news and information about international developments, articles on the topic, and some translations into Arabic. http://www.bibalex.org/a2k/home/home.aspx • The Access to Knowledge (A2K) Blog from the United Nations University’s joint research and training center with Maastricht University, UNU-MERIT. Categories include : biotech ; conference ; development ; education ; FOSS ; general ; innovation ; IPR ; medicine ; publications : science ; and WIPO. http://www.merit.unu.edu/a2k/ 27 1. F OND • A2K Brazil is the focal point of the A2K movement in Brazil, including reference material, updates, event promotion, and past and future activities. The official sites are : http://www.direitodeacesso.org.br and http://www.a2kbrasil.org.br See also http://www.a2kbrasil.org. br/ENG/-Weblog-ENGLISH-. • Various links on A2K can also be found via the Del.icio.us bookmar- king network. Currently, over a thousand bookmarks are marked with this tag. http://del.icio.us/tag/a2k Organisations • A2K Global Academy. The A2K Global Academy is a network of academic centers dedicated to research, education, and policy analysis promoting access to knowledge. It includes as partners academic institutions in Brazil, China, Egypt, India South Africa, and the United States. http://www.law.yale.edu/intellectuallife/6987.htm • Alternative Law Forum (Bangalore). ALF was started in March, 2000, by a collective of lawyers “with the belief that there was a need for an alternative practice of law.” This site offers links to articles such as Who Owns Your Information ; Intellectual Property and the Knowledge Culture Commons ; Piracy_Infrastructure ; Affordable Medicines And Treatment Campaign, etc. http://www.altlawforum.org • Derechos Digitales (Spanish). A2K is one of the focus areas of this NGO from Chile, which provides on its Web site a communication channel about copyright, human rights monitoring, research and strengthening civil society. This project’s idea is to enhance access to knowledge from informed sections of civil society, over copyright. http://www.derechosdigitales.org/a2k/ • EFF on Intellectual Property : ”You’d like to move the tracks you bought from Rhapsody to a personal stereo like Apple’s iPod, but the copy protection prevents you. Creating or using the software necessary to make the switch could put you behind bars. You want to distribute your band’s music, but the P2P system that’s revolutionized your ability to reach listeners is being sued out of existence, a company claiming to own a patent to all streaming media technology is demanding licensing fees, and record labels are breathing down your neck over the samples you’ve looped. . . . EFF fights to preserve balance and ensure that the Internet and digital technologies continue to empower you as a consumer, creator, innovator, scholar, and citizen.” http://www.eff.org/issues/intellectual-property 28 1.3. Les acteurs • IP Justice “is an international civil liberties organisation that pro- motes balanced intellectual property law. The organisation’s focus is on international treaties, directives, and other trade agreements that address intellectual property rights or impact freedom of expression guarantees.” http://www.ipjustice.org • Yale Law School Information Society Project. The Information Society Project at Yale Law School calls itself “an intellectual center addressing the implications of the Internet and new information technologies for law and society, guided by the values of democracy, human development, and social justice.” http://www.law.yale.edu/intellectuallife/ informationsocietyproject.htm Listserves (mailing lists) • Simply called A2K, the primary listserve for the A2K movement, offers archives of discussions held on the A2K subject right from 2005 onwards. (From 2010) http://lists.keionline.org/mailman/listinfo/a2k_lists. keionline.org ; (earlier) http://lists.essential.org/mailman/listinfo/a2k • Consumers International’s A2K list is for planning, capacity building and information exchange amongst consumer groups and likeminded NGOs. http://ip.consumersinternational.org/wws/info/a2k • iCommons is a registered UK charity that promotes collaboration among proponents of open education, access to knowledge, free software, open access publishing and free culture communities around the world. Its listserve is open to all. http://lists.ibiblio.org/mailman/listinfo/icommons • Communia is a list intended for general discussion about the digital public domain and related issues. https://lists.communia-project.eu/cgi-bin/mailman/listinfo/ communia • Denise Nicholson’s Information Service is a news bulletin rather than a discussion list, but an excellent way of keeping in touch. http://lists.wits.ac.za/mailman/listinfo/copyrightanda2kinfo • Commons-Law is an open platform on the law and the public domain. http://www.sarai.net/mailing-lists/mailing-lists/commons-law-1 29 C HAPITRE Des lois plus équitables et leur mise en application En termes simples, le programme du mouvement d’A2K peut être divisé en deux parties. Le premier est un programme réactif ou sensible, par lequel celui des avocats pour des lois plus justes et des politiques affectant l’accès à la connaissance. Un exemple de ce premier programme est quand les combats de mouvement d’A2K contre l’abus de l’industrie de DRM fermer en dehors des utilisations loyales de matériel de copyright, et s’oppose aux lois qui soutiennent les tentatives de l’industrie de faire ainsi. La seconde est un programme proactif ou positif, de par lequel elle propose des solutions de rechange aux modèles industrie-menés traditionnels le contenu du développement et la distribution. Un exemple de ceci est la promotion de l’autorisation du contenu du Creatives Commons et de la distribution légale de pair-à-pair. Ce chapitre traite le premier des deux programmes du mouvement d’A2K décrit ci-dessus, et spécifiquement avec des droits de la propriété intellectuelle (notamment copyright et des brevets). Le créscendo de la protection d’IP effectue défavorablement presque toutes les droits des consommateurs. Le droit des marchandises et les services, particulièrement l’accès à l’éducation, au soin de santé et à nourriture de base sont réduites par la protection d’IP. Le droit au choix est réduit quand les lois d’IP créent des monopoles ; permettre la segmentation des marchés, et l’évaluation différentielle. Les droits du consommateur d’accéder à l’information et à l’éducation sont sévèrement réduits quand à l’information et à la connaissance sont transfor31 2 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION mées en la propriété privée qui rapporte à ses propriétaires le droit de chercher le loyer. Le droit à un environnement sain est compromis quand il y a une perte de variétés de biodiversité et de récolte parce que les sociétés qui le trouvent plus profitable pour s’éloigner de la variété riche d’espèces agricoles à une gamme limitée commandant la chaîne alimentaire.1 Ce chapitre commence en fournissant un contour de droit des brevets de copyright et, et en décrivant certaines des manières desquelles ces lois et les manières dans lesquelles elles sont imposées peuvent empêcher l’accès à la connaissance. Le chapitre continue alors pour veillersur les pratiques en matière d’application de propriété intellectuelle, qui peuvent couper à travers copyright et des brevets. 2.1 Le copyright La convention de Berne pour la protection des travaux littéraires et artistiques 1886 est le premier traité international sur copyright. Le R-U mooted l’idée de la coopération internationale et les premiers membres étaient principalement les pays d’Europe occidentale (la Belgique, Allemagne, France, Espagne, Suisse, Tunisie et R-U sont alliés à des membres en 1887). Les USA sont seulement alliés à un membre de la convention de Berne en 1989. Le premier pays asiatique pour s’allier à un membre était le Japon en 1899. La majorité des pays en voie de développement officiellement a bien adopté la convention de Berne dans le 20ème siècle. Le Copyright à l’origine a protégé seulement le travail qui était en texte littéral. La convention de Berne a augmenté les travaux couverts par copyright pour inclure beaucoup de nouveaux secteurs tels que la cinématographie, les schémas, les peintures, l’architecture, la sculpture, les gravures, la lithographie, les cartes, les plans, les croquis, les illustrations, les photographies, les travaux d’art et la musique. Les TRIPS en 1995 et le Traité de copyright de OMPI dans 1996 ont augmenté la protection le logiciel et les bases de données. La portée de la droite elle-même a été également augmentée. Au 19ème siècle, le propriétaire de copyright a apprécié peu plus que la protection contre copier in extenso du travail. La convention de Berne a augmenté ceci en accordant par au support de copyright la droite d’autoriser la reproduction, la traduction, l’adaptation et la communication au public l’annonce ou le haut-parleur. Les TRIPS se sont ajoutés ceci, la 1 Rachagan, Sothi, Intellectual Property : A Balance of Rights. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 10. 32 2.1. Le copyright droite d’autoriser la location commerciale en ce qui concerne à des programmes machine et à des travaux cinématographiques.Le Traité de copyright de OMPI a augmenté le droit de la communication au public d’inclure la communication par l’Internet. La protection de copyright est donnée seulement pendant une période fixe. Sur l’échéance, la création cesse d’être protégée et tombe dans le public domain. Pour les travaux littéraires, la durée de la protection au commencement accordée par la convention de Berne était la vie de l’auteur plus 7 ans. En 1908, ceci a été prolongé à la vie de l’auteur de plus 50 ans. Les TRIPS et le Traité de copyright de OMPI ont adopté ceci, mais ont placé ceci comme condition minimum. Les pays étaient donc libres pour placer une durée plus élevée que ces conditions minimum. Les USA et l’EU ont augmenté la protection de copyright à la vie de l’auteur plus 70 ans. Dans le cas du Mexique, la durée de copyright est la vie de l’auteur plus 100 ans.2 2.1.1 Les lois du copyright et pays en voie de développement La seule tentative d’améliorer la convention de Berne pour tenir compte des besoins des pays en voie de développement a été faite à la conférence de Stockholm en 1967. La tentative a par la suite échouée et le seul accord à cet égard a été conclu à Paris en 1971, où arrosé en bas de l’ensemble d’exemptions pour les pays en voie de développement ont été inclus comme annexe à la convention de Berne. En raison de la raideur des conditions attachées à elles, peu de pays en voie de développement se sont servis de cette annexe. Les pays développés en utilisant leur influence au OMPI et par des accords commerciaux bilatéraux et régionaux à autre leur commerce et intérêts commerciaux ont plus loin augmenté la protection de copyright pour des propriétaires. L’espace disponible aux pays en voie de développement pour adopter des options de politique convenues à leurs besoins de développement ont été par conséquent réduits. Chacun des traités internationaux et FTAs a servi à réduire plus loin les options qui peuvent être employées ’pour augmenter l’accès à la connaissance et pour faciliter l’éducation. En particulier, l’accord de TRIP a engagé tous les pays membres de l’organisation de commerce mondial pour adhérer à la convention de Berne et à l’annexe (excepté la morale redresse des dispositions de la 2 Rachagan, Sothi, Intellectual Property : A Balance of Rights. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 6. 33 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION convention de Berne) et à ceci indépendamment de si elles étaient une partie à la convention de Berne. La convention de Berne, l’accord de TRIP et les WCT chacun fournis un ensemble différent de flexibilités pour les pays en voie de développement. Le mélange exact des flexibilités disponibles à un pays dépend donc des traités auxquels c’est devenu une partie. Un pays d’une des parties des traités internationaux est libre de façonner sa loi de copyright de n’importe quelle façon qu’elle choisit. Cependant, la grande majorité des pays en voie de développement dans le monde ont signé dessus au moins à un des traités internationaux. Au total, 80 pays ont signé tandis que la convention de Berne et des TRIPS 52 sont des parties à chacun des trois.3 2.1.2 Les flexibilités du copyright Les exceptions à copyright sont des classes particulières de travail qui sont inéligibles pour la protection de copyright, et les limitations à garantir les droits d’auteur sont des utilisations particulières auxquelles des travaux peuvent être mis sans violer les droites exclusives du propriétaire de copyright. Ensemble, des exceptions et les limitations désigné sous le nom des flexibilities. Elles sont meilleures connues aux Etats-Unis en tant que droites “d’utilisation juste” (cependant strictement ceci décrit seulement un de la loi de dessous disponible des USA d’exceptions), au R-U et d’autres pays de droit coutoumier en tant que “des droites s’occupantes” justes, et dans une grande partie du reste de l’Europe et d’autres pays de loi civile en tant que droites “d’utilisation privée.” Une meilleure limite collective pour toutes ces droites peut être “utilisateur redresse” ou “des droites publiques.” Ni la convention de Berne ni l’accord de TRIPS n’a visé des flexibilités en détail (excepté cursif à une exception obligatoire pour des citations en article 10(1) de Berne). Au lieu de cela, tous les deux ont visé un ensemble de critères que tous les flexibilities présentés à un niveau national doivent rencontrer, connu sous le nom de “le step-test trois.” Cet essai exige que les flexibilities de copyright doivent : 1. Soit confiné à certains cas spéciaux. 2. Pas de conflits avec une exploitation normale du travail. 3. Les intérêts légitimes du support des droits. 3 Kanniah, Rajeswari, CI Study on Copyright and Access to Knowledge. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 14. 34 2.1. Le copyright Dans le cas telle que la convention de Berne, ces conditions s’appliquent seulement aux exceptions à la droite de la reproduction, mais sous des TRIPS elles s’appliquent également vers d’autres droites exclusives du droit-suppo l’exécution et l’émission. Si une loi du pays membre de WTO prévoit les flexibilités qui ne répondent pas à ces normes, elles peuvent être sujettes à des sanctions commerciales sous des TRIPS. Dans par exemple, une plainte de WTO a été apportée par l’EU contre les Etats-Unis au-dessus d’une exception qui a tenu compte pour que des émissions d’libre-à-air soient jouées les restaurants et les magasins. L’exception a été trouvée non conforme avec le step-test trois.4 L’UE garantissent les droits d’auteur des flexibilité permises de copyright d’autres de limites de la directive (2001/29/EC) à une liste définie de limitations étroites présentées en article 5 (avec une clause d’affranchissement pour permettre à d’autres flexibilité existantes en 2001 de rester allumées les livres). Seulement un des flexibilité énumérées est obligatoire, à savoir copie passagère ou fortuite en tant qu’élément d’une transmission de réseau ou d’une utilisation légale. L’utilisation loyale Pour telles que la plupart des pays ont mis en application l’essai en trois étapes en décrétant des exceptions fragmentaires de copyright des buts spécifiques ou des classes spécifiques de consommateur, l’éducatif, bibliothèque et exceptions d’incapacité décrites ci-dessus. Sur mais il y a une approche alternative, d’abord et le plus célèbre trouvé dans la loi de copyright des Etats-Unis, qui tiennent compte de n’importe quel usage d’un travail garanti les droits d’auteur qui peut être décrit en tant que “loyalement,” vu le but et caractère de l’utilisation, la nature du travail, quantité et substantiality de la partie utilisée, et l’effet de l’utilisation le marché potentiel pour ou valeur du travail. Il y a beaucoup d’utilisations des matériaux de copyright qui sont permis en vertu de la loi des USA en tant que “utilisation juste,” celui ne serait pas permis sous les exceptions plus spécifiques d’autres pays. À ces derniers inclure nouveau et les utilisations innovatrices des travaux de copyright, tels que la production des collages audio et visuels ou “mâchese lève,” aussi bien que des utilisations plus prosaïques telles que la musique de transfert un joueur MP3, ou enregistrement de votre exposition 4 Sauf dans le cas limité où l’émission était reçu par un seul télévision ou radio résiden- tiel : voir http://www.wto.org/english/tratop_e/dispu_e/1234da.pdf. 35 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION de télévision de favori pour observer plus tard. Des des des entreprises, aussi, peut tirer bénéfice l’utilisation juste – par exemple, la manière dont un Moteur de recherche internet fonctionne, de fournir des extraits de short d’enchaînement des des emplacements et des images de thumbnail des images, compte sur cette exception. L’exception juste d’utilisation de la loi des USA n’est pas parfaite. Puisqu’elle est de nature si imprécise, il est difficile d’être certain si une utilisation donnée fasse partie de l’exception ou pas (en fait, des droites justes d’utilisation plus cynique ont été décrites comme “droite de consulter un avocat”). Toutefois l’utilisation juste peut utilement fonctionner comme “tout prendre” exception, pour s’assurer que les consommateurs ne deviennent pas des empiéteur inconscient quand les lois de copyright tombent derrière. Parmi les autres pays qui ont adopté une exception juste d’utilisation modelée sur celle des USA sont l’Israel et les Philippines, avec la Malaisie étant prévue pour adopter un de 2010. 2.1.3 La critique Une vue populaire est de que le but de copyright est de maximiser des revenus pour des industries de copyright telles que des éditeurs, des maisons de film et des détaillants, qui a du sens pour des régulateurs comme source croissance et devises étrangères. Mais, en fait, le but de copyright est d’encourager la créativité et la diffusion des travaux créateurs. Copyright devrait ne pas être donc une subvention industrielle, mais un outil pour l’accès à la connaissance. De si la loi de copyright obtient de la manière la créativité et l’accès, elle frustre ce but. Lea Shaver du projet de société de l’information d’université de Yale, argue du fait qu’en évaluant la loi de copyright nos touchstones devraient être accès, accessibilité et participation. Nos outils pour confirmer ces valeurs peuvent être encadrés en termes de protection des consommateurs, développement humain et droits de l’homme. Copyright forme l’accessibilité et l’accès parce que pendant que la portée des droites augmente, plus de commande est centralisée et moins de concurrence. Il forme également la participation, parce qu’en vertu de loi courante l’amateur qui veut construire sur les travaux existants est dans une position défavorable, et les risques courant l’afoul de d’autres redresse. La distribution des matériaux de copyright, entre et la capacité de les décaler les médias et les dispositifs, est maintenant beaucoup plus facile et meilleur marché qu’avant. Pourtant la protection de copyright est 36 2.1. Le copyright toujours croissante, et ceci ne peut pas être justifié par le besoin d’incitations additionnelles pour la créativité. Plutôt, il reflète le problème de loyer-chercher (“l’effet de Disney” – ainsi nommé pour la prolongation de la limite de copyright pour éviter la perte de Disney de ses capitaux tôt de souris de Mickey).5 Ces impacts négatifs tombent le plus fortement de tous sur les pays en voie de développement. Les pays en voie de développement sont les importateurs nets du matériel de copyright. Ils sont en aucune position à être magnanimous en protégeant les droites des propriétaires de copyright. Cependant, ils cintrent pour pressuriser et accordent plus de protection et droites de garantir les droits d’auteur des propriétaires qu’ils ont besoin par leurs engagements de traité. Ceci a des implications graves pour l’accès à la connaissance de leurs personnes. En augmentant les restrictions et en excluant les limitations et des exceptions, elles tiennent compte pour que de moins en moins l’information soit librement disponible dans le public domain. Une telle terminaison sert les intérêts favorisés d’un peu aux dépens des millions dans le besoin.6 Norme plaçant à WSIS Le sommet du monde sur de l’information société de la limitée (WSIS), tenue en 2003 et 2005, acteurs de société civile rassemblée et de secteur privé pour observer (et à sur d’ampleur, influence) le développement d’une entente intergouvernementale de principes et actions nécessaires pour établir une société incluse de l’information. La forme dans laquelle le thème de l’accès la connaissance et l’information a été adressé dans les documents de rendement de WSIS était à à pendant qu’une d’onze lignes de fonction principales dans le plan d’action de Genève, dans lequel on lui a déclaré en 2003 que “ICTs [ des technologies de l’information et de communications ] permettent à des personnes, n’importe où dans le monde, d’accéder l’information et la connaissance presque instantanément. Les individus, les organismes et les communautés devraient tirer bénéfice de l’accès la connaissance et l’information.”7 La force et la spécificité des recommandations découlant de ce principe à bien des égards ont été diluées par l’impératif pour les convenir par consensus intergouvernemental ; ainsi par exemple tandis qu’un texte de 5 http://a2knetwork.org/access-knowledge-internet-governance-forum 6 Kanniah, Rajeswari, CI Study on Copyright and Access to Knowledge. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 17. 7 http://www.itu.int/wsis/docs/geneva/official/poa.html#c3 37 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION négociation plus tôt avait glorifié les avantages du logiciel libre et ouvert de source (FOSS) pour favoriser l’accès à l’information, des objections des USA et d’EU a vu cette référence enlevé du texte de Genève en faveur d’une direction cette une variété de doux enlevé du texte de Genève en faveur d’une direction qu’une variété de logiciel modèle, y compris le logiciel de propriété industrielle, devrait être favorisé. Frustré avec les limitations des documents de rendement du fonctionnaire WSIS, la société civile a produit son propre papier alternatif de sommet, avec des recommandations plus fortes concernant la promotion de l’accès à l’information et à la connaissance.8 On s’attend à ce qu’un troisième sommet de WSIS soit tenu en 2015. Norme plaçant à OMPI Étant donné que copyright d’est prévu pour heurter un équilibre entre les intérêts et des supports de droites et des utilisateurs, il y a une disparité marquée entre les spécifications détaillées dans le droit international des droites exclusives d’être accordé aux supports de copyright, et l’omission d’des telles spécifications des flexibilities à réserver au public. Ceci a mené à la proposition du Brésil, du Chili, du Nicaragua et de l’Uruguay d’un large programme de travail sur pour le Comité permanent de OMPI copyright et des droites reliées des limitations de copyright et des exceptions traitant : 1. L’éducation. 2. Bibliothèques et archives. 3. Services innovateurs. 4. Personnes avec des incapacités. 8 http://www.worldsummit2003.de/download_en/WSIS-CS-summit-statement-rev1- 23-12-2005-en.pdf 38 2.1. Le copyright Dans chacun de ces secteurs, OMPI a commissionné des études,9 et dans l’un secteur le travail a procédé à une norme plaçant l’étape. C’est avec le cas les limitations et des exceptions pour des personnes les incapacités, en ce qui concerne lesquelles une proposition a été ajournée en mai 2009 par du Brésil, de l’Equateur et du Paraguay pour un Traité de OMPI pour aveugle, visuellement altéré et autre les personnes handicapées par lecture, basées sur le texte rédigé par l’union d’abat-jour du monde. Ce serait le premier instrument international pour placer de nouvelles limitations minimum et exceptions à la loi de copyright, de ce fait présentant une nouvelle note de l’équilibre dans le norme-réglage international d’IP qui avait douloureusement manqué jusqu’ici. Le traité atteindrait deux objectifs : placer premièrement un niveau minimum pour des exceptions de copyright dans ce secteur pour tous les membres de OMPI, et légaliser deuxièmement le transfert frontalier de copyright adapté fonctionne. En tant que pays prévus et en voie de développement ont été les plus favorables à cette proposition, avec d’EU le plus fortement opposée. L’EU propose à la place une recommandation non contraignante de satisfaire les besoins des utilisateurs aveugle. Les activistes d’A2K ont mis la position qu’elle est injuste et non équilibrée pour que les supports de droites soient favorisés pour avoir des normes minimum de la protection de copyright confirmées dans le droit international, où le public est nié ce même niveau de la protection pour ses intérêts dans le système de copyright, par des flexibilities minimum. Les serrures numériques Un des plus grands obstacles à l’accès à la connaissance qui a été présentée par le Traité de copyright de OMPI était en article 11, pour lequel exige des signataires d’apporter les remèdes légaux contre de le circumvention des mesures technologiques de protection (TPMs) ou des systèmes “gestion numérique de droites” (DRM). TPMs et DRM peuvent être 9 Ricketson, Sam, WIPO Study on Limitations and Exceptions of Copyright and Rela- ted Rights in the Digital Environment. 2003 〈URL: http://www.wipo.int/edocs/mdocs/ copyright/en/sccr_9/sccr_9_7.doc〉; idem, WIPO Study on Copyright Limitations and Exceptions for the Visually Impaired. 2006 〈URL: http://www.wipo.int/edocs/mdocs/ copyright/en/sccr_15/sccr_15_7.pdf〉; idem, Study on Copyright Limitations and Exceptions for Libraries and Archives. 2008 〈URL: http://www.wipo.int/meetings/en/ doc_details.jsp?doc_id=109192〉; idem, Study on the Limitations and Exceptions to Copyright and Related Rights for the Purposes of Educational and Research Activities in Latin America and the Caribbean. 2009 〈URL: http://www.wipo.int/edocs/mdocs/ copyright/en/sccr_19/sccr_19_4.pdf〉. 39 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION colloqially décrits comme “les serrures numériques,” depuis cela est essentiellement ce qui sont elles : serrures sur la connaissance en forme numérique. Problèmes de pose de serrures de Digital. Ils sont employés non seulement pour empêcher l’accès non autorisé au matériel garanti les droits d’auteur mais pour nier également l’accès au matériel qui appartient légitime dans le public domain. Par exemple, l’accord de TRIPS et les WCT fournissent que la protection de copyright ne se prolonge pas aux données ou à matériel contenu en compilations de telles données ou au matériel, mais TPMs et DRM sont employés par exemple pour commander l’accès à un tel matériel seulement aux utilisateurs qui payent des honoraires. Ils peuvent également être employés pour nier l’accès au matériel éducatif qui en fait est permis par des exceptions de copyright.10 Ce ne doit pas dire qu’il n’y a aucun endroit du tout pour les serrures numériques. Il y a des cas limités dans pour lesquels ces technologies peuvent s’avérer utile des utilisateurs et des propriétaires de contenu de même, comme laisser pour la location numérique de film. Toutefois plutôt que d’étant soutenu par additionnel Voyage-plus des protections législatives, de telles utilisations devraient se tenir ou tomber dans le marché à côté des solutions de rechange non-encombrées, et ne devraient pas être laissées empêcher des utilisateurs d’exercer leurs droits d’utilisateur ou des travaux d’accès qui sont dans le public domain.11 Il y a les signes tôt d’un consensus international que l’utilisation des serrures numériques est allée trop loin. Un papier OMPI-commissionné de portée sur le public domain a recommandé que le WCT soit modifié pour interdire un empêchement technique pour se reproduire, communiquent publiquement ou faisant disponible un travail qui est tombé dans le public domain. Le Brésil a présenté une telle disposition dans sa nouvelle facture de copyright, cela pénaliserait n’importe qui que “gêne ou empêche” des droites justes d’utilisation ou obstrue l’utilisation du travail qui est déjà tombé dans le public domain. Mais il est allé une étape plus loin parce qu’il exigerait également que n’importe quel système des serrures numériques ont “des effets temps-limités qui correspondent à la période des droites économiques au-dessus du travail, de l’exécution, du phonogram 10 Kanniah, Rajeswari, CI Study on Copyright and Access to Knowledge. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 14. 11 Dusollier, Séverine, Scoping Study on Copyright and Related Rights and the Public Domain. 2010 〈URL: http://www.wipo.int/ip-development/en/agenda/pdf/scoping_ study_cr.pdf〉. 40 2.1. Le copyright ou de l’émission.”12 La disposition brésilienne, comme avec une modification indienne semblable a également présenté cette année, permettra également aux serrures numériques d’être dévié au faciliate que l’exercice de l’utilisateur juste comme l’utilisation juste ou la foire s’occupant en vertu de la loi de copyright. Ces nouvelles, consommateur-amicales limites aux effets surmontants des serrures numériques se conforment à une série de recommandations que le dialogue transatlantique du consommateur (TACD) fait en 2005,13 et aux recommandations semblables a faites par CI cette année.14 Légalité des copies provisoires La convention de Berne n’a pas besoin de la protection pour copyright travaille “en tant qu’élément d’à moins qu’elles aient été fixées sous une certaine forme matérielle,” et même la directive de copyright d’EU exempte expressément copier passager ou fortuit une transmission de réseau ou utilisation légale. Néanmoins, les Etats-Unis avaient poussé pour que d’autres pays incluent la protection pour des copies tirées dans la mémoire provisoire d’un ordinateur. Des dispositions exigeant la protection de telles copies provisoires ont été incluses dans tous ses accords de libre-échange récents, y compris ceux avec l’Australie, le Bahrain, la Colombie, le Maroc, l’Oman, le Pérou, le Singapour et la Corée du Sud. C’est fortement problématique pour des activistes d’A2K, parce que la lecture rapide de n’importe quel contenu sur l’Internet crée automatiquement une copie provisoire de ce contenu dans la mémoire de l’ordinateur par lequel elle est consultée. Il est impossible à concevoir que des utilisateurs d’Internet devraient être prévus à dégager le statut de copyright de tout le contenu qu’ils accèdent en ligne avant qu’une copie provisoire d’elle soit tirée dans leur mémoire d’ordinateur. Plus ironiquement, la disposition peut ne pas être en conformité avec la loi des USA après tous. Le cas de Cablevision II (décidé après que la langue de FTA déjà ait été promulguée loin et au loin) dévie des précédents précédents qui ont suggéré qu’une droite protégée par copyright 12 Anderson, Nate, US could learn from Brazilian penalty for hindering fair use. 2010 〈URL: http://arstechnica.com/tech-policy/news/2010/07/us-could-learn-frombrazilian-penalty-for-hindering-fair-use.ars〉. 13 Trans-Atlantic Consumer Dialogue, Resolution on Digital Rights Management. 2005 〈URL: http://tacd.org/index2.php?option=com_docman&task=doc_view&gid= 76&Itemid=〉. 14 Consumers International, 2010 IP Watchlist. 2010 〈URL: http://a2knetwork.org/sites/ default/files/IPWatchList-2010-ENG.pdf〉, p. 9. 41 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION soit violée quand une copie est tirée dans la mémoire temporaire d’un ordinateur.15 La décision est en attendant un appel à la cour suprême. 2.2 Les brévets Cette section aborde certains des problèmes inhérents au système des brevets. Elle cible essentiellement trois domaines de la brevetabilité des “inventions” qui ont fait obstacle à A2K, mettant aussi en difficulté les intérêts des consommateurs cibles : les brevets de logiciels, brevets pharmaceutiques, brevets dans l’agriculture. Un problème commun à chacun de ces domaines est qu’il n’y a aucune condition que l’utilisation de titulaire de brevet réellement le brevet eux-mêmes. Il a mené à une situation dans laquelle beaucoup de titulaires de brevet ne créent réellement rien utile eux-mêmes, mais emploie simplement leurs brevets pour gagner l’argent de d’autres qui veulent effectuer le travail utile dans le même secteur. Si leurs brevets sont larges ou assez nombreux, ils peuvent également les employer pour avertir outre des concurrents d’essayer de concurrencer eux dans un certain domaine, ou ils peuvent employer leur brochure de brevet comme morceau de négociation croix-autorisent avec leurs concurrents, permettant à chacun d’eux de partager le marché tout en se serrant hors de plus petits concurrents. 2.2.1 Les brévets de logiciel Bien que les brevets aient existé pendant des siècles, ils seulement plus récemment sont devenus applicables au logiciel d’ordinateur. Ceci a provoqué la discussion intense au-dessus du point auquel on devrait accorder des brevets de logiciel, le cas échéant. Les questions importantes au sujet des brevets de logiciel incluent : • Là où la frontière entre le logiciel patentable et non-patentable devrait se trouver. • Si la condition inventive d’étape et d’non-évidence est appliquée trop lâchement au logiciel. • Si les brevets couvrant le logiciel découragent, plutôt qu’encouragent, innovation. 15 Cartoon Network LP v CSC Holdings, Inc 536 F.3d 121 (2d Cir. 2008) 42 2.2. Les brévets Les effets négatifs du brevetage de logiciel incluent le risque de quelques normes fondamentales le calcul et l’Internet devenant encombré, et du développement libre du logiciel ouvert de source étant suffoqué. Le premier de ces effets négatifs a été accentué par les tentatives opportunistic de beaucoup de titulaires de brevet d’étendre la réclamation à certains des modules fondamentaux de l’infrastructure de l’Internet. Unisys, par exemple, a seulement commencé à imposer son brevet pour l’algorithme de compression de LZW utilisé dans les dossiers graphiques de format de GIF après que ces dossiers soient devenus un format standard de fait d’image pour le World Wide Web (ce brevet a depuis lors expiré aux Etats-Unis en juin 2003). British Telecom a disparu encore autre, essayant d’étendre la réclamation au concept des hyperliens qui sont fondamentaux à l’enchaînement sa réclamation, basé sur des 1989 que le brevet qui a été à l’origine appliqué pour en 1976, a été rejeté par une cour de zone de New York en 2003. Mais la plupart des réclamations de brevet n’obtiennent jamais de aller au devant, et sont arrangées. Dans le cas de libre et ouvrir les projets de logiciel de source qui n’ont pas les ressources à arranger aux conditions monétaires, le résultat habituel est que le projet est simplement arrêté.16 La seconde des effets négatifs ci-dessus est illustrée par se fermer au loin de certaines avenues du développement de logiciel de l’écosystème ouvert de logiciel de source ; par exemple, la police rendant sur Linux est généralement inférieure à celle sur les logiciels d’exploitation de propriété industrielle pas pour des raisons techniques, mais parce que les algorithmes les plus efficaces pour le rendu de police brevet-sont encombrés.17 En fait on a accordé tant de brevets pour le logiciel d’ordinateur, en particulier aux Etats-Unis, cela développant une application sans violer des brevets de logiciel est devenus très un coup et une affaire de manque. Il y a un certain nombre d’exemples élevés de profil où le brevetage d’une norme d’échange de données a forcé un autre groupe de programmation à présenter un format alternatif. Par exemple, le format de PNG a été en grande partie présenté pour éviter les problèmes de brevet de GIF, et Ogg Vorbis pour éviter MP3. Si on le découvre que ces nouveaux formats suggérés eux-mêmes sont couverts par des brevets existants, le résultat final peut être un grand nombre de formats incompatibles. Créant 16 http://www.gnu.org/patent-examp/patent-examples.html 17 Paul, Ryan, First look : new Ubuntu font boosts Linux typography. 2010 〈URL: http://arstechnica.com/open-source/news/2010/07/first-look-new-ubuntu-fontboosts-linux-typography.ars〉. 43 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION de tels formats et les soutenant l’argent de coûts, crée le dérangement aux utilisateurs et menace même de couper l’Internet en plusieurs sousréseaux partiellement incompatibles.18 Logiciel de contrôle parental Le plus grand nombre de brevets de logiciel sont ceux enregistrés aux Etats-Unis. En vertu de la loi des Etats-Unis, on l’a décidé en 199819 qu’une méthode de faire des affaires (ou un programme de logiciel) sera patentable à condition qu’elle produise un résultat utile, concret et réel, plutôt que juste étant une idée abstraite. Cependant en juin 2010, la décision de Bilsky v Kappos remise vers le bas par la cour suprême des USA a rejeté ce large essai, tout en laissant la place exacte pour le patentability du logiciel peu claire. L’essai maintenant employé par des examinateurs de marque déposée des USA à regarde en si l’invention est attachée une machine particulière ou appareil, ou au au transformation un article particulier état différent ou chose. Beaucoup si non la plupart des inventions de logiciel avant lesquelles pourrait être fait breveter, peuvent probablement encore être faites breveter à cet essai. La convention européenne de brevet, un instrument d’pré-Eu datant de 1974, exclut réellement expressément des “programmes machine. . . en tant que tels” les classes des thèmes patentable, pour la raison que des brevets sont orientés sur des inventions techniques, méthodes non commerciales. Néanmoins, on accorderait l’Office européen des brevets (OEB) est parvenu à interpréter le qualificateur “en tant que tels” d’une manière si étroite, des brevets de ce logiciel à condition qu’elles aient contenu une étape inventive avec “un effet technique.” Un tel brevet est décrit par l’OEB pas comme “brevet de logiciel” mais comme “invention ordinateur-mise en application” : une invention dont l’exécution comporte l’utilisation d’un ordinateur, du réseau informatique ou de tout autre appareil programmable, l’invention ayant un ou plusieurs dispositifs qui sont réalisés en tout ou en partie ou au moyen d’un programme machine. Dans quelques juridictions, le logiciel d’ordinateur ne peut pas sans équivoque être fait breveter. Le plus récemment, en 2010, Nouvelle Zélande a 18 http://en.wikipedia.org/wiki/Software_patent 19 State Street Bank v Signature Financial Group, 149 F.3d 1368, 1373 44 2.2. Les brévets pris des mesures pour rendre le logiciel unpatentable.20 Plusieurs titulaires de brevet ont offert les permis redevance-libres de brevet de libérer et ouvrir des réalisateurs de logiciel de source. Les compagnies qui ont fait ceci incluent IBM, Microsoft, Nokia, Novell, chapeau rouge, microsystèmes du soleil et Unisys. Cependant de telles actions ont rarement apaisé les communautés libres et ouvertes de logiciel de source pour des raisons telles que la crainte du titulaire de brevet changeant leur esprit, ou problèmes avec certaines des limites de permis.21 2.2.2 Les brévets phamarceutiques Les brevets sur des pharmaceutiques sont également problématiques pour le mouvement du consommateur et d’autres activistes civils de société, pas mineurs de toutes les ONGs de santé telles que Médecins Sans Frontières (MSF).22 Les titulaires de brevet tirent profit de leurs juste de monopole en pratiquant des prix élevés des médecines incluant pour les maladies qui affectent un grand nombre de personnes. Ils pressurisent les pays en voie de développement pour empêcher la fabrication locale ou l’importation parallèle des versions génériques meilleur marché des drogues des pays où ils ne sont pas faits breveter.23 Les problèmes avec le système de brevet ont des années récentes devenues d’excédent évident : • Les millions de pauvres, tous les ans, meurent – souvent des maladies évitables – dans différentes parties du globe car ils ne peuvent pas se permettre d’acheter des médecines qu’ils ont besoin mal. “Pourquoi sont les millions mourant dans le sud global des maladies il y a médecine pour ?” demande le site Web de Changemaker.Org.24 • Un tiers de la population du monde manque de l’accès aux médecines essentielles.25 On lui a discuté qu’une grande partie la mort prématurée et incapacité liée à la maladie infectieuse pourrait être 20 Wilson, Dean, New Zealand to make software unpatentable. 2010 〈URL: http://www. techeye.net/software/new-zealand-to-make-software-unpatentable〉. 21 http://en.wikipedia.org/wiki/Software_patent 22 http://www.msfaccess.org/ 23 Rachagan, Sothi, Intellectual Property : A Balance of Rights. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 8. 24 http://www.changemaker.no/English/Global-health/ 25 http://essentialmedicine.org/issues/access-gap 45 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION évitée de si les pauvres personnes avaient accès aux médecines accessibles. Pourtant ceux les la plupart dans le besoin peuvent moins avoir les moyens le traitement. Une vue sur l’abus des brevets pharmaceutiques est que peut-être les brevets étaient le mécanisme faux pour placer la production pharmaceutique toute le long. Pour l’écologie de la connaissance internationale (KEI), une pour des principales ONGs du consommateur faisant campagne activement sur l’accès aux médecines, le plus grand souci en 2010 crée un encourageant alternatif la recherche et le développement dans le développement de drogue. Ceci actuellement est discuté à l’organisation mondiale de la santé. Les membres du Parlement européen ont pris cette issue et ont établi un nouveau groupe de travail sur l’innovation, l’accès aux médecines et les maladies Pauvreté-Connexes. Access to medicine Access to medicine is an essential part of the human right to health. But about one third of the world’s population has poor access to necessary medical treatment. High prices, low quality and inaccurate treatment means that patients in poor countries often get little or no health benefits. Essential medicines should be accessible to all people, and that requires a functioning health care system and good infrastructure. The drug industry is also at fault for lack of access to medicine. Patent legislation stemming from the WTO’s TRIPS Agreement of 1994 states that there must be a patent on the drug product, rather than just the production process. This gives the patent holder sole manufacturing rights for 20 years, during which time the price skyrockets, making it unavailable to the world’s poor. The World Health Organisation’s Doha Declaration of 2001 ensured that governments may issue compulsory licenses on patents for medicines, or take other steps to protect public health. However, parallel imports from other countries often are met with strong trade sanctions, making this instrument ineffective in practice. Another problem is that the drug industry is incentivised to research drugs that will sell in western countries, because that will earn the most money. In the United States, only about 10% of the research funds are used to investigate 90% of the world’s health problems. This “10/90 gap” is a huge source of injustice. – http://www.changemaker.no/English/Global-health/ Un autre avant dans le combat contre le proprietisation de la santé, dans lequel le progrès a été réalisé en mars 2010, était le frappement vers le bas des ordres humains de gène d’isolement par excédent de brevets des USA. Les brevets outrepassés ont autrefois empêché des patients de 46 2.2. Les brévets subir les essais accessibles de pour les problèmes génétiques qui pourraient les exposer aux dangers le sein et le cancer ovarian. La décision est sous l’appel.26 Tandis que d’une part l’accès à la campagne de médecines est tangentiel au mouvement d’A2K, de l’autre on le voit comme après avoir été exemple réussi de recommandation du consommateur avec de plus larges leçons pour le mouvement, parce qu’il a uni une conceptualisation d’A2K du problème, au cadre de droits de l’homme de la responsabilité d’état, qui s’est dirigé vers une solution. 2.2.3 Les brévets d’agriculture La graine est l’unité de base la production agricole et la base de la vie elle-même. Sa qualité individu-se reproduisante l’a longtemps empêchée étant vendue sur une échelle industrielle : pourquoi des graines d’un achat de fermier quand elle peut juste replanter ceux moissonnés de la récolte précédente ? En effet, pendant des milléniums, les fermiers ont sauvé les graines moissonnées pour l’re-encemencement et les échangent. Des graines sont soigneusement choisies sur la base que les usines les produisant possèdent des traits souhaitables – tels que les rendements, la résistance de la maladie ou la tolérance élevée de sécheresse. Ceci permet le développement continu des récoltes adaptées aux conditions locales. Dans la majeure partie du monde en voie de développement, la multiplication de graine continue à être effectuée par des fermiers. Cependant, les progrès scientifiques et technologiques en début du 20ème siècle ont ouvert la manière pour que les entreprises privées anonymes deviennent les joueurs principaux sur les marchés industrialisés de graine de pays.27 Les fermiers maintenant doivent acheter les graines qu’ils souhaitent planter. De même, les graines finies de brevets et le brevet ou la protection de variété de plante pour de nouvelles variétés de plante ont eu comme conséquence les fermiers devant payer des prix élevés les graines proptietary. On ne permet pas à des des fermiers de sauver et replanter les graines qu’ils produisent ; ils doivent acheter les graines fraîches pour chaque nouvelle saison de plantation. Ceci a créé une nouvelle dépendance. Les sociétés commandent maintenant la chaîne alimentaire. Ces 26 Schwartz, John et Pollack, Andrew, Judge Invalidates Human Gene Patent. 2010 〈URL: http://www.nytimes.com/2010/03/30/business/30gene.html?_r=1〉. 27 Goodman, Zoë, Seeds of hunger : intellectual property rights on seeds and the human rights response. 2009 〈URL: http://www.3dthree.org/pdf_3D/3D_THREAD2seeds.pdf〉, p. 4. 47 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION sociétés sont également seulement intéressées à quelques variétés commerciales et par conséquent il y a immense perte de biodiversité.28 Un facteur de contribution significatif à la dominance de corporation progressive de la multiplication de graine était le développement des hybrides. Les hybrides offrent à des fermiers les récoltes uniformes (bien adaptées l’agriculture à mécanisée et industrielle) et – souvent – les plus grands rendements. Crucialement, car les hybrides produisent seulement de véritables récoltes hybrides une fois, un fermier voulant continuer de produire ces récoltes doit acheter nouvel assurer de ce fait de graines tous les ans – un marché relativement stable pour les producteurs hybrides commerciaux. Des droites de propriété intellectuelle sur des graines sont accusés de l’interférence l’affermage (IPRs) traditionnel et les pratiques culturelles, femmes disempowering et des fermiers de rendre plus vulnérable aux fluctuations du marché. On dit qu’iPRs sur des graines contribue à la perte de diversité génétique et culturelle et à la concentration de corporation accrue, qui pourrait avoir comme conséquence la dégradation environnementale et miner le sustainability à long terme des approvisionnements alimentaires.29 Brévets agricoles et de sécurité alimentaire En octobre 2009, l’ONU expert en nourriture a indiqué que “le régime courant de droites de propriété intellectuelle (est) suboptimal pour la sécurité globale de nourriture.” Retournant d’une mission de pays au Brésil, le rapporteur spécial de l’ONU entre du côté droit à la nourriture, prof. Olivier De Schutter, a présenté à New York son rapport sur les rapports les droites de la propriété intellectuelle (IP) et la droite avec la nourriture.Il a appelé Members de l’Assemblée générale de l’ONU pour développer les politiques de graine qui encouragent l’innovation, favorisent la sécurité de nourriture et augmentent l’agrobiodiversity en même temps. “Le régime courant de droites de propriété intellectuelle est suboptimal pour assurer la sécurité globale de nourriture aujourd’hui. Il est incapable de favoriser le genre d’innovation que nous devons faire face au changement de climat,” a dit De Schutter, qui a souligné l’importance des 28 Rachagan, Sothi, Intellectual Property : A Balance of Rights. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 9. 29 Goodman, Zoë, Seeds of hunger : intellectual property rights on seeds and the human rights response. 2009 〈URL: http://www.3dthree.org/pdf_3D/3D_THREAD2seeds.pdf〉, p. 4. 48 2.2. Les brévets politiques de graine que “respecter, protéger et accomplir” la droite à la nourriture des groupes les plus vulnérables. C’était la première fois des analyses indépendantes d’un expert en matière de l’ONU le régime de propriété intellectuelle sous la droite au cadre de nourriture, une partie de droit international de droits de l’homme. Le “changement de climat signifie des événements climatiques plus extrêmes et plus fréquents. Ceci effectuera sévèrement les systèmes agricoles.” Dans ce contexte, a dit De Schutter, les “politiques de graine ne devraient pas simplement viser à améliorer des rendements. Elles devraient également augmenter les revenus des plus pauvres fermiers travaillant dans les environnements les plus difficiles. Elles devraient aider à établir la résilience au changement de climat. Et elles devraient refouler la perte de diversité génétique de récolte.” Selon l’expert en matière de nourriture de l’ONU, il y a actuellement deux manières pour que les fermiers accèdent à des graines : systèmes sans cérémonie de graine où des graines sont stockées d’un an à l’autre et localement échangées ; et la vente commerciale de systèmes a amélioré les graines qui sont certifiées par des services publics. De plus en plus, les anciens disparaissent en raison de leur négligence dans des politiques agricoles, alors que la globalisation et le régime courant de droites d’IP renforcent la seconde à un rythme accéléré. Les “experts que je rencontre journalier – dans des établissements de recherches du Brésil par exemple – m’avertis au sujet du fait que les droites excessives d’IP deviennent un obstacle plutôt qu’une incitation pour l’innovation. Ils disent qu’elle devient plus dur et plus dur pour que les scientifiques publics accèdent et pour échangent au matériel génétique.” Et la recherche est principalement orientée vers les besoins des pays riches, plutôt qu’à ceux de petits fermiers dans les pays pauvres. “Les communautés indigènes locales de l’Amazone ont un moment difficile de convaincre des établissements de recherches d’avoir l’association significative de recherches sur leurs graines.” Le pari sur des fermiers comme innovateurs semble également raisonnable économique.les “vraies améliorations pour les groupes les plus vulnérables – ceux qui ont faim – peuvent être parfois meilleur marché que de multi-million des programmes de recherche et des biotechnologies de pointe. L’investissement des efforts de recherches dans les récoltes orphelines – récoltes qui ont été négligées dans la recherche pendant des décennies – s’avère avoir des retours exceptionnels sur l’investissement.” Avec $10.000 seulement, un chercheur Péruvien a pu améliorer l’oca, un tubercule andine qui est la vivrière de base pour neuf mil49 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION lions de personnes, mais que les scientifiques avaient négligé. Dans les deux ans, il a pu produire des plantes exemptes de virus, entraînant un doublement de la productivité.30 La bio-piraterie Biopiracy a émergé pendant qu’une limite pour décrire les manières que les sociétés du monde développé réclament allégué la propriété de ou profitent autrement injuste de, les ressources génétiques et la connaissance traditionnelle et les technologies des pays en voie de développement. Biopiracy contribue allégué à l’inégalité entre les pays en voie de développement riches en biodiversité, et aux pays développés servis par l’industrie pharmaceutique exploitant ces ressources. Beaucoup de pays en voie de développement ont dessiné des analogies politiques et morales entre le biopiracy perçu et la piraterie intellectuelle, réclamant cela tandis que le monde en voie de développement est souvent coupable de traiter sans respect copyright, les brevets et toute autre propriété intellectuelle, le monde développé est souvent coupable de traiter sans respect la propriété des ressources biologiques indigènes.31 Le manque d’aborder des issues s’est rapporté à la connaissance traditionnelle et aux bio-ressources même tout en ratcheting vers le haut la protection accordée à de nouvelles inventions compromet soubly les pays en voie de développement. Les questions évidentes sont : si une compagnie prend une graine d’un farmer ; est-ce que champ de s, un gène et la graine résulter à vendre à un bénéfice, quelle raison est là ajoute brevette pour ne pas compenser la graine originale ? Si la connaissance traditionnelle d’une communauté particulière sert de base à un développement qui est accordé le statut et la protection de propriété intellectuelle, que la compensation est-elle pour accorder la communauté qui est la source de connaissance traditionnelle ou ressource ?32 30 De Schutter, Olivier, “Current intellectual property rights regime suboptimal for global food security”, according to UN expert on food. 2009 〈URL: http://www.srfood.org/images/stories/pdf/medias/20091021_press-release_currentintellectual-property-rights-regime-suboptimal_en.pdf〉. 31 http://en.wikipedia.org/wiki/Commercialization_of_traditional_medicines 32 Rachagan, Sothi, Intellectual Property : A Balance of Rights. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2, p. 11. 50 2.3. L’application de l’IP 2.3 L’application de l’IP Une poussée croissante vers une application plus stricte des lois d’IP pénalise injustement des consommateurs dans beaucoup de pays. Ce programme, mené par des gouvernements développés de pays à la demande des intrigants d’industrie de copyright, est poursuivi dans divers et recouvrement globaux, régionaux et national fora. Ceux-ci incluent l’ACTA, aussi bien que des initiatives dans l’organisation mondiale de la santé, l’organisation mondiale des douanes, APEC, G8 et la contrefaçon de combat et la piraterie du congrès global. La législation domestique a été présentée dans les nations aussi diverses que les USA et le Kenya, et les initiatives d’industrie qui complimentent ces plus larges efforts. Cette section examinera comment des lois de propriété intellectuelle sont imposées par quatre mécanismes complémentaires : lois d’anti-piraterie, mesures de commerce international, application par des intermédiaires, et application par le droit pénal.33 Nous ne considérerons pas spécifiquement en ce chapitre on pourrait, jusque récemment, raisonnablement avoir assumé que ce qui est le mécanisme primaire de l’application des droites privées d’IP : action judiciaire civile. Tandis que ceci reste un mécanisme principal de l’application pour certaines droites d’IP (par exemple, brevets de logiciel), les droit-supports exclusifs invitent de plus en plus le secteur public et les intermédiaires pour effectuer leur travail d’application pour eux, évitant de ce fait le coût et pour gêner associé à la nécessité d’imposer leurs droites en privé par le système légal.34 2.3.1 L’application par les lois de la piraterie L’ accord commercial de l’anti-contrefaçon L’accord commercial de Contrefaçon (ACTA) est un accord plurilateral (impliquant plus de deux côtés ou parties) actuellement sous la négociation par un nombre restreint de pays en dehors de OMPI et le WTO. deIl créerait un nouveau cadre institutionnel global pour l’application de propriété intellectuelle. L’ACTA n’est pas vraiment un traité contre la contrefaçon. Lui les utilisations qui appellent, mais en fait les aspects les plus problématiques de l’accord sous la négociation n’ont rien à faire avec les marchandises 33 http://www.wcl.american.edu/pijip/go/enforcement 34 McBride, Sarah et Smith, Ethan, Music Industry to Abandon Mass Suits. 2008 〈URL: http: //online.wsj.com/article/SB122966038836021137.html〉. 51 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION contrefaites. Plutôt, ils sont conçus pour fendre vers le bas sur le transfert d’information numérique, facilitant elle pour des intermédiaires (tels que des douaniers, ISPs ou des Internet Service Provider, et des propriétaires de copyright) au snoop sur des consommateurs échangeant une telle information, et de nouvelles pénalités criminelles imposantes au cas où ils ouvriraient une brèche quelqu’un copyright en faisant ainsi. Les dispositions d’ACTA’s vont trop loin. Elles permettraient une pratique qui existe déjà dans quelques pays appelés les “trois grèves” ou “a reçu un diplôme la réponse,” qui signifie interdire des utilisateurs de l’Internet s’ils sont allégués avoir partagé des dossiers de copyright (voir la section 2.3.3). Elles peuvent également permettre à des douaniers d’aller s’enraciner par permettent l’ordinateur portable d’un voyageur ou le joueur le MP3 recherchant les dossiers d’copyright-infraction, et à ISPs de révéler l’information de leurs utilisateurs pour garantir les droits d’auteur des propriétaires sans besoin d’une garantie ; dispositions qui violent le droit de l’homme des consommateurs à l’intimité. Et ce sont justes le bout de l’iceberg. Around the world, the antiquated assumptions of copyright law and ideology are again being questioned and new conflicts are breaking out. In Brazil, for example, more than 500 musicians, writers, academics and others signed an open letter in late May calling on their government to reform its copyright laws so that users can have more access to music and books. Meanwhile, the well-financed campaign against so-called copyright “piracy” has become even more vocal and threatens us all, except large corporations. Although three of the most important countries in the global South – China, India and Brazil – were not even invited to the talks, a new anti-piracy treaty called ACTA is about to be signed by rich nations in North America and Europe, as well as Japan and a few smaller countries. – http://copysouth.org/portal/rio L’ACTA a été controversé non seulement pour son contenu, mais pour la façon réservée de laquelle il a été négocié. Après pression publique considérable comprenant de nombreuses pétitions publiques,35 la première ébauche publique du texte a été libérée en avril 2010, seulement après cinq ans de négociations de fermé-porte. Au delà de ce texte simple, quel peu nous savons de la teneur du traité a été fui, ou est venu de quelques papiers très laconiques de briefing préparés par certains des pays de négociation plus amicaux. Même une li35 Par exemple, le ’Wellington Declaration’ àhttp://publicacta.org.nz/wellingtondeclaration/ et le ’joint declaration’ à http://A2Knetwork.org/joint-declaration-acta. 52 2.3. L’application de l’IP berté de demande de l’information aux Etats-Unis a été niée pour la raison que les négociations étaient une question de sécurité nationale ! En revanche, alors que des groupes de consommateurs (et même le Parlement européen) ont été laissés dans le foncé, des initiés privilégiés d’industrie ont été donnés des instructions sur les négociations par le gouvernement des Etats-Unis. Il y a quatre sous-chapitres au chapitre du cadre juridique intitulé par texte d’ACTA d’ébauche pour l’application des droites de propriété intellectuelle qui indiquent les domaines substantifs principaux à couvrir : • Application Civile • Mesures De Frontière • Application Criminelle • Application de droites de propriété intellectuelle dans l’environnement de Digital Il y a également un chapitre sur des arrangements institutionnels, qui a visé des plans pour établir un nouveau Comité d’ACTA, à se réunir une fois par an, qui pourrait devenir un corps de concurrence à OMPI et le rôle de WTO. Its inclurait l’implemention surveillé de l’accord, et des conflits de résolution qui surgissent sous lui. On a largement speculé le dans de que la raison des pays de négociation d’ACTA établissant un nouveau corps est en raison de la difficulté à la laquelle ces pays feraient face en soulevant la barre de la protection d’IP OMPI ou le WTO, due à la puissance les nombres que les pays en voie de développement tiennent dans ces organismes, et l’application de croix-découpage de l’ordre du jour du développement de OMPI de toutes ses activités deréglage. [A]cquisition of IP rights is of little economic value if these rights cannot be enforced effectively. The credibility of the IP system depends to a considerable extent on the enforceability of IP rights conferred thereby. Wellfunctioning IP enforcement mechanisms are the best means to limit the number of violations of IP rights and to ensure that right holders and the society as a whole can reap the benefits from the IP system. – http://www.wipo.int/enforcement/en/ Une fois les pays les plus puissants – tels que les USA, EU et le Japon – signent l’ACTA, ils peuvent forcer ses dispositions sur de plus petits pays en voie de développement en l’employant comme morceau de 53 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION négociation en échange des concessions commerciales sur les marchandises agricoles. C’a été une tactique notoire, en particulier des USA et de l’EU, qui ont forcé des pays plus pauvres à signer des accords de libreéchange (FTAs) comprenant les nouvelles dispositions onéreuses de copyright et de brevet qui excèdent les minimum de TRIPS. On a également dit que l’ACTA fournit un exemple courant de l’“politique blanchissant,”36 parce que l’application d’IP le mesure exige serait probablement politiquement inpopulaire s’ils étaient présentés la première fois à un niveau domestique, et leur négociation pendant qu’un traité évite la nécessité de faire ainsi. Puisqu’elles sont convenues à un niveau intergouvernemental d’abord, chaque déclarer qui signe la réclamation postérieure de bidon d’accord que l’exécution de ses dispositions dans la loi nationale était simplement une question d’engagement international. Anti-Contrefaçon de la législation dans la Communauté africaine est (EAC) Les militants en Afrique avertissent qu’un certain nombre de mesures récentes – la Loi d’Anti-Contrefaçon de 2008 au Kenya, la facture contrefaite de marchandises en Ouganda et maintenant la facture d’AntiContrefaçons d’EAC – poseraient des problèmes de santé publique en limitant la production locale et l’importation des médecines génériques. Sangeeta Shashikant, un conseiller juridique avec le réseau international sans but lucratif du tiers monde de réseau (TWN), a été rapporté en tant qu’ayant dit le service inter-Press que la facture d’EAC semble traiter chaque produit médical générique comme contrefaçon. “Les états de définition (contrefaçons) sont les copies essentiellement identiques des marchandises protégées (produites) sans autorité du propriétaire des juste de propriété intellectuelle des marchandises protégées. C’est dangereux pour les pays qui dépendent du generics dans le système de santé,” elle a dit.37 Les pays africains est faisaient face au risque n’atteignant pas le but de développement de millénium (MDG) sur le traitement universel des personnes vivant avec HIV et SIDA, malaria et d’autres maladies si les parlements de la région adoptaient la politique d’anti-contrefaçons et facture à l’étude dans la région, le rapport d’IPS ont également noté. 36 Kravets, David, Copyright Treaty is Policy Laundering at its Finest. 2009 〈URL: http:// www.wired.com/threatlevel/2009/11/policy-laundering/〉. 37 Wambi, Michael, Anti-Counterfeit Laws Threaten Universal Access to ARVs. 2010 〈URL: http://ipsnews.net/news.asp?idnews=50887〉. 54 2.3. L’application de l’IP Les mesures des frontières L’utilisation du service des douanes comme agents d’imposer des droites d’IP remonte seulement 1978 aux Etats-Unis et 198638 dans l’EU, à le moment où ces pays ont présenté la première fois des lois pour permettre la saisie des marchandises piratées sur l’importation. Ces dispositions ont été depuis prolongées de permettre la saisie non seulement les marchandises qui violent des marques déposées, mais également ceux qui violent copyright ou des brevets, si les marchandises “sont piratées” dans le sens de qu’elles réclament une origine fallacieuse.39 Cette tendance a depuis lors escaladé au niveau global. Une initiative maladroite du WCO a appelé SECURE, qui a été conçu pour fixer des normes globales de douane pour parer des infractions d’IPR, y compris un mandat pour renforcer des lois nationales, a été congédiée en 2009 en faveur d’un mécanisme de dialogue qui n’inclurait pas politique-placer des activités.40 Toutefois ceci a seulement soulevé le profil d’un taskforce semblable appelé IMPACT (Anti-Contrefaçon médicale internationale Taskforce de produit), pour lequel l’organisation mondiale de la santé (OMS) fonctionne comme secrétariat, et lequel cause les soucis semblables.41 Ceci continue un modèle des achats de forum par des droit-supports qui ont été évidents dans toute l’histoire du mouvement d’A2K – par exemple le passage de OMPI au WTO, et encore à l’ACTA. Pourquoi sont les saisies de frontière par problème ? En grande partie c’est parce que les autorités de frontière sont incompétentes pour évaluer des réclamations d’IP, et cela qu’elles font tellement loin de l’inadvertance publique du système légal. Considérant qu’une cour entend un IP contester en présence des deux parties et peut délibérer sur les facteurs difficiles tels que l’interprétation une utilité juste et foire s’occupant les défenses, un douanier peut du du saisir et du du détenir des marchandises sans un tel processus dû. 38 Lanham (Trademark) Act (15 USC), Section 1526(e) 39 Ebert-Weidenfeller, Andreas et McCulloch, Alastair J, European Union : Border Control Measures in the European Union : A Strong Weapon Against Product Piracy and Patent Infringement. 2010 〈URL: http://www.mondaq.com/unitedstates/article.asp? articleid=100276〉. 40 New, William, WCO Kills "SECURE" Group, But Creates Health Enforcement Mandate. 2009 〈URL: http://www.ip-watch.org/weblog/2009/07/09/wco-kills-%e2%80% 9csecure%e2%80%9d-group-but-creates-health-enforcement-mandate/〉. 41 Raja, Kanaga, NGOs concerned over WHO’s role in “counterfeit” drugs, IMPACT. 2010 〈URL: http://www.twnside.org.sg/title2/health.info/2010/health20100504.htm〉. 55 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION Un exemple s’est produit en 2008 quand le service des douanes hollandais a saisi une expédition légitime des médecines génériques en route d’Inde au Brésil, malgré cela que les médecines étaient brevet protégé dans ni l’un ni l’autre pays. Cette saisie, qui a potentiellement mis en danger la santé des consommateurs brésiliens, est maintenant le sujet d’un conflit de WTO. 2.3.2 L’application par les mesures commerciales Une des manières principales desquelles ont développé la poussée de pays leurs niveaux élevés de la protection d’IP sur les pays en voie de développement est par des accords de libre-échange bilatéraux. Un accord de libre-échange (FTA) est un traité commercial entre deux pays ou plus. Habituellement ces accords sont entre deux pays et sont censés ramener ou enlever complètement des tarifs au commerce. Selon l’organisation de commerce mondial il y a plus de de 200 FTAs en vigueur.42 What is called free trade looks to the maintenance of foreign monopoly for supplying us with cloth and iron ; and international copyright looks to continuing the monopoly which Britain has so long enjoyed of furnishing us with books ; and both tend towards centralization. – Henry Charles Carey, American free trade advocate, 1853 Trade Agreements can create opportunities for Americans and help to grow the U.S. economy. – Office of the United States Trade Representative, 2010 Les Etats-Unis ont FTAs en effet avec 17 pays,43 avec et l’EU 11 pays et blocs.44 Par son FTAs, les USA en particulier ont uniformément imposé Voyage-plus des niveaux de la protection à d’autres pays tels que l’Australie, le Chili, la Jordanie, le Maroc, le Pérou, le Singapour et la Corée du Sud, le plus notamment la prolongation de la limite de copyright de défaut contre 50 ans à 70 ans, comme l’exécution de Nous-modèle des engagements du Traité de copyright de OMPI,45 de la protection pour les copies provisoires, et d’une plus large gamme des offenses civiles et criminelles d’IP. 42 http://en.wikipedia.org/wiki/Free_trade_agreement 43 http://www.ustr.gov/trade-agreements/free-trade-agreements 44 http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_bilateral_free_trade_agreements 45 Voir 2.1.3. 56 2.3. L’application de l’IP Le rapport spécial 301 Un autre mécanisme par lequel le gouvernement des USA pousse Voyage-plus des normes de l’application d’IP sur d’autres pays est par son rapport 301 spécial. C’est un aperçu global, conduit par le représentant de commerce des USA (USTR) conformément à la section 182 de la Loi commerciale de 1974 des Etats-Unis, ce prises la nature d’une “carte de rapport,” estimation d’autres pays sur de la façon dont étroitement à eux adhérer aux normes de l’USTR la protection et l’application de la loi de propriété intellectuelle. Ces pays que l’USTR considère échouer ses normes le plus insigne sont accentués sur “une liste de montre prioritaire.” Dans la liste 2010 de montre prioritaire il y a les pays comme l’Argentine, le Canada, le Chili, le Costa Rica, l’Inde, l’Indonésie, le Mexique, la République populaire de Chine, les Philippines, et la fédération russe. Effective action under Special 301 by USTR has been essential in stemming the tidal wave of losses in U.S. jobs and competitiveness that have threatened one of our country’s most productive and fastest growing economic sectors. Special 301 and its leverage are a full-time process for the copyright industries which work with local private sector representatives, U.S. government officials, and U.S. Embassy officials to address and resolve copyright problems in scores of countries. – http://www.iipa.com/special301.html Les normes de l’USTR ne sont pas basées sur les engagements de traité des pays concernés. Parmi les critiques prélevées contre des pays dans le rapport 2010 301 spécial sont les efforts de la Chine de favoriser “l’innovation indigène” et sa fourniture d’accès électronique aux journaux par les bibliothèques publiques, le refus du Canada de mettre en application les Traités controversés d’Internet de OMPI qui incluent la protection légale pour les serrures numériques (DRM) sur les marchandises de la connaissance, l’Inde pour “la perception par que les offenses d’IPR sont des crimes faible priorité,” la Malaisie pour échouer au criminalise l’utilisation des caméscopes dans des théâtres de film, Espagne pour permettre le dossier de pair-à-pair partageant en échange d’un prélèvement copiant privé payé des consommateurs, et de nombreux pays n’accordent pas des droites supplémentaires aux supports des brevets pharmaceutiques de protéger les résultats du leuressais de santé. Ces normes ont été formées par les soumissions écrites des groupes de l’entrée les plus puissants du monde de propriétaires de copyright et 57 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION de brevet – la recherche et les fabricants pharmaceutiques l’Amérique (PhRMA) et l’alliance internationale de propriété intellectuelle (IIPA). Leurs soumissions étaient respectivement 224 et 496 pages longues en 2010, et dans le passé, des réclamations de ces soumissions ont été souvent adoptées par l’USTR pour l’inclusion directe dans son rapport. Comme réponse aux 301 spéciaux rapporter, ci a édité son IP Watchlist, examinant 34 pays pour l’édition la plus récente et rangeant eux pas par à quel point leurs lois d’IP et pratiques en matière d’application servent les supports des droites exclusives de l’IP, mais près à quel point eux servir les intérêts des consommateurs, y compris ceux des pays en voie de développement. Aucun des pays examinés par CI dans 2010 n’a marqué la marque supérieure, pour avoir les moyens leur traitement juste des consommateurs dans la combinaison de loi de copyright. Les intérêts particuliers ont inclus les pratiques en matière d’application qui violent sur des droits du consommateur, et les prélèvements copiants forcés qui offrent la valeur faible pour l’argent. Cependant, le rapport de ci a également indiqué quelques meilleures pratiques qui pourraient tourner la situation autour pour des consommateurs, si seulement elles plus largement étaient mises en application.46 Conséquences sur les pays en voie de développement En conséquence condamnation et pression des Etats-Unis par les 301 spéciaux rapporter et par les canaux bilatéraux, les consommateurs en particulier dans les pays en voie de développement ont souffert de pendant que ces pays ont été forcés pour abréger les dispositions de leur loi domestique qui avaient été passées pour l’avantage des consommateurs, ou pour réorienter des ressources d’autres secteurs dans la protection d’intérêts des supports US-basés de droites. Une étude 2006 par CI, couvrant 11 pays dans la région AsiePacifique, constatée que chacun des 11 pays étudiés a eu l’un ou l’autre augmenté la portée au delà de ce qu’ils sont exigés pour faire ou donnés garantir les droits d’auteur les propriétaires plus de droites que nécessaires sous les instruments internationaux appropriés.47 Citant cette étude et d’autres, un traité 2010 a trouvé cela : 46 Consumers International, 2010 IP Watchlist. 2010 〈URL: http://a2knetwork.org/sites/ default/files/IPWatchList-2010-ENG.pdf〉. 47 Idem, Copyright and Access to Knowledge. Kuala Lumpur: Consumers International, 2006. 58 2.3. L’application de l’IP Quelques pays ont fait face à la pression avant leurs premiers efforts de rédiger, la discutent et réformes Voyageconnexes d’IP d’instrument. Une fois que les réformes reliées par TRIPS étaient en place, beaucoup de pays ont plus tard fait face à des pressions additionnelles d’abroger, modifient ou renforcent des dispositions dans leurs lois. La plupart des pays ont également fait face à des pressions internationales dans le domaine l’administration et l’application des lois, incluant concernant l’utilisation pratique des flexibilities inclus dans leurs lois nationales.48 2.3.3 L’application par des intermédiaires Comme remarquable plus tôt, est une tendance croissante pour des pays à adopter ce que s’appellent les “trois programmes de grèves” ou “de réponse graduée,” qui s’élèvent à l’arrêt de l’accès de l’Internet d’un utilisateur en réponse à une allégation répétée contre elles qu’ils avaient partagé des dossiers de copyright sans autorisation. Des systèmes gradués de réponse peuvent être légiférés à travers l’industrie entière, ou ils peuvent être volontaires, basé sur l’accord entre les propriétaires contents et l’ISPs (comme par exemple en Irlande).49 La France était le premier pays pour présenter un régime gradué légal-soutenu de réponse, en dépit d’un défi constitutionnel réussi à une version précédente de la loi qui aurait permis à des sanctions d’être appliquées contre des infringers allégués de copyright, avant que n’importe quelle autorité juridique ait régné sur de telles allégations.50 La version révisée de cette loi de HADOPI, qui exige tel régner, demeure en vigueur. D’autres pays qui ont adopté des lois graduées de réponse, ou sont en cours de faire ainsi, sont la Nouvelle Zélande, la Corée du Sud, le Taiwan et le Royaume-Uni. La réponse graduée est problématique en partie parce que la pénalité qu’il fournit est complètement disproportionnée à l’offense alléguée, car il signifie que l’utilisateur est également coupé de leurs réseaux sociaux, leur gouvernement, leurs opérations bancaires, leur famille. . . c’est, en 48 Deere, Carolyn, The Implementation Game : The TRIPS Agreement and the Global Poli- tics of Intellectual Property Reform in Developing Countries. New York: Oxford University Press, 2009, p. 18. 49 Collins, John, Eircom to cut broadband over illegal downloads. 2010 〈URL: http://www. irishtimes.com/newspaper/frontpage/2010/0524/1224271013389.html〉. 50 Pfanner, Eric, France Approves Wide Crackdown on Net Piracy. 2009 〈URL: http://www. nytimes.com/2009/10/23/technology/23net.html?_r=1〉. 59 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION bref, une infraction brute à leur droit de l’homme de communiquer. En effet, les résultats d’un BBC global examinent, libéré en 2010, indiquent que presque quatre dans cinq personnes autour du monde croient que l’accès à l’Internet est un juste de principe fondamental.51 C’est également aveugle, parce que la mesure prise affecte non seulement le contrevenant allégué, mais souvent un ménage entier (ou en cas d’une offense commise en utilisant un raccordement public d’Internet, un nombre encore plus grand d’utilisateurs peut-être indépendants). Dans le cas des régimes gradués privés de réponse, cette sanction est appliquée sans sauvegardes de processus dû que la loi fournirait sous un système légiféré. Les programmes gradués de réponse peuvent également soulever des questions d’intimité, dans cela hormis terminer le raccordement d’Internet d’un abonné, l’ISP peuvent également être invités par le propriétaire content à révéler l’information personnelle du contrevenant allégué. Dans un certain nombre de pays européens essaye de mettre en application un programme gradué de réponse ont mené aux affaires en jugement pour établir dans quelles circonstances une ISP peut fournir des données d’abonné à l’industrie contente. En utilisant une telle information d’abonné d’ISP l’industrie contente a cherché à juger l’utilisateur responsable de toute l’activité illégale reliée à son adresse IP (un adresse IP est assigné à tous les ordinateurs Internet-reliés, mais changera souvent autant d’ISPs les assignent d’une piscine des adresses comme nécessaire). En 2005 une cour de Néerlandais a commandé ISPs en Hollandes ne pas divulguer l’information d’abonné en raison de la manière que le groupe content hollandais d’industrie avait rassemblé les adresses d’IP. Cependant en avril 2008, le Bundestag (le parlement allemand) a approuvé une nouvelle loi exigeant d’ISPs de divulguer l’identité des infringers suspectés qui violent sur une échelle commerciale.52 2.3.4 L’application par le droit pénal Un autre moyen par lequel des lois d’IP plus agressivement sont imposées est en augmentant la gamme des infractions qui attirent des pénalités criminelles. En effet, quelques actes qui ne sont pas des infractions d’IP du tout sont targetted avec des sanctions criminelles. 51 British Broadcasting Corporation, Four in Five Regard Internet Access as a Fundamen- tal Right : Global Poll. 2010 〈URL: http://news.bbc.co.uk/2/shared/bsp/hi/pdfs/08_ 03_10_BBC_internet_poll.pdf〉. 52 http://en.wikipedia.org/wiki/Graduated_response 60 2.3. L’application de l’IP Cet ordre du jour est poussé par une variété de mécanismes parallèles comprenant l’ACTA, FTAs, et les 301 spéciaux rapportent, aussi bien qu’à un niveau national et régional. En Europe La deuxième directive d’application de droites de propriété intellectuelle de l’union européenne, ou IPRED2, aurait augmenté l’IPRED existant pour inclure de nouvelles mesures criminelles visées assurant l’application des droites de propriété intellectuelle.53 L’ébauche IPRED2 a été largement critiquée sur la base que sa portée était bien plus large que la norme internationale courante pour l’application criminelle d’IP dans l’accord de voyages.À la fin la directive proposée a échoué, en grande partie parce que la sujet-matière de la directive proposée est tombée en dehors de la compétence de la Communauté européenne (comme défini dans les traités d’EU).54 Toutefois avec l’expansion des puissances d’EU aux termes du Traité nouvellement ratifié de Lisbonne,55 IPRED2 pourrait bientôt être resoumis par la Commission d’EU. La langue d’IPRED2 sur la complicité l’infraction a également transformé sa manière en le texte courant d’ACTA. Aux Etats-Unis Dans la connaissance de public de mars 2010, le Electronic Frontier Foundation, l’association américaine des bibliothèques de loi, l’association médicale de bibliothèque, l’association spéciale de bibliothèques, et les USA PIRG ont argué du fait que le gouvernement des ETATS-UNIS devrait limiter ses actions imposant la loi d’intellectuel-propriété à ces “violations qui causent le plus grand mal dans des secteurs clairement arrangés de loi.” En outre, les groupes ont dit de que l’application d’IP outre-mer devrait être conformée à d’autres objectifs de politique étrangère, comme ceux liés à la liberté la parole et développement économique. “L’application excessivement large” “des lois expansibles d’IP” a pu nuire à ces autres buts, les groupes dits.56 53 http://en.wikipedia.org/wiki/Proposed_directive_on_criminal_measures_aimed_at_ ensuring_the_enforcement_of_intellectual_property_rights 54 http://en.wikipedia.org/wiki/Proposed_directive_on_criminal_measures_aimed_at_ ensuring_the_enforcement_of_intellectual_property_rights 55 http://en.wikipedia.org/wiki/Treaty_of_Lisbon 56 http://www.publicknowledge.org/node/2969 61 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION En Asie-pacifique et en Océanie Sur l’amendement de la loi de copyright de l’Australie conformément aux Etats-Unis – l’Australie FTA pour soulever des pénalités criminelles pour différentes infractions de copyright, un juge australien de cour fédérale a observé : La détermination des pénalités appropriées pour des offenses criminelles est une question sur laquelle les vues diffèrent. Dans un climat politique dans lequel les issues de “loi et d’ordre” jouent bien, des parlementaires sont souvent influencés pour augmenter des pénalités maximum par sentiment de la communauté. Il est, cependant, peu probable qu’il y a une vue accablante ou même substantielle de la communauté qui les pirates de copyright devraient être exposés, sur une conviction récapitulative dans une cour locale, à l’emprisonnement pour une limite trois ans plus long que cela applicable à presque n’importe quelle conviction récapitulative dans la même cour en vertu de la loi d’état. L’explication la plus plausible pour ces arrangements extrêmement peu communs est qu’ils sont conçus pour adapter aux arguments des propriétaires de copyright que les pénalités criminelles graves sont nécessaires pour décourager la piraterie.57 Bien que pas sous la pression directe d’un accord de libre-échange, la Malaisie ait présenté des amendements à sa loi de copyright en 2010 qui présenterait un certain nombre de nouvelles offenses. Celles-ci incluent des dispositions au criminalise la possession simple d’un article d’copyrightinfraction simple, et le fonctionnement d’un caméscope dans un théâtre de film, et imposeraient même le liablity pour les propriétaires des lieux dans lesquels violant des articles sont vendus.58 Des dispositions statutaires de dommages de nouveau Nous-modèle sont également projetées. 57 Sackville, Ronald, Monopoly Versus Freedom of Ideas : The Expansion of Intellectual Property. 2004 〈URL: http://www.fedcourt.gov.au/aboutct/judges_papers/speeches_ sackvillej15.rtf〉, p. 13. 58 Alhadjri, Alyaa, "Don’t punish landlords". 2010 〈URL: http://www.thesundaily.com/ article.cfm?id=48767〉. 62 2.3. L’application de l’IP Useful links for this chapter Copyright • Commonwealth of Learning’s Copyright Resources. By gathering experiences from developing countries and synthesising this for WIPO, the Commonwealth aims “to help countries implement education-friendly legislation that makes access to learning content affordable for more people.” http://www.col.org/resources/knowServices/copyright/Pages/ default.aspx • TeachingCopyright.org by EFF is designed to give teachers a com- prehensive set of tools to educate students about copyright while incorporating activities that exercise a variety of learning skills. Lesson topics include : the history of copyright law ; the relationship between copyright and innovation ; fair use and its relationship to remix culture ; and peer-to-peer file sharing. http://www.teachingcopyright.org/curriculum/hs • Wits Copyright Portal provides links to copyright legislation around the world, international intellectual property agreements and conventions, WIPO documents, position papers, reports, articles, newsletters and much more. http://web.wits.ac.za/Library/ResearchResources/SubjectPortals/ Copyright+and+Related+Issues.htm • The Electronic Frontier Foundation hosts many very interesting white papers, including : – Fair Use and Digital Rights Management : Preliminary Thoughts on the (Irreconcilable ?) Tension between Them, arguing that “copyright owners now have the ability to write their own intellectual property regime in computer code, secure in the knowledge that the DMCA will back the regime with the force of law”. – When Push Comes to Shove : A Hype-Free Guide to Evalua- ting Technical Solutions to Copyright Infringement on Campus Networks. This paper is intended to help institutions of higher education critically evaluate the principal technological tools and policies being used to enforce copyright on campus networks. – Digital Rights Management : A failure in the developed world, a danger to the developing world. This paper discusses the failure of DRM, which has produced no benefit for artists but substantial costs to the public and to due process, free speech and other civil society fundamentals. http://www.eff.org/wp/ 63 2. D ES LOIS PLUS ÉQUITABLES ET LEUR MISE EN APPLICATION Organisations • The African Copyright & Access to Knowledge Project (ACA2K). The project is probing the relationship between national copyright environments and access to knowledge in African countries within an access to knowledge (A2K) framework – a framework which regards the protection/promotion of user access as one of the central objectives of copyright law. http://www.aca2k.org/ • CopyNight is a monthly social gathering of people interested in restoring balance in copyright law. They meet over drinks once a month in many cities to discuss new developments and build social ties between artists, engineers, filmmakers, academics, lawyers, and many others. http://copynight.org/ • GRAIN is a small international non-profit organisation that works to support small farmers and social movements in their struggles for community-controlled and biodiversity-based food systems. http://www.grain.org/ • Union for the Public Domain. This is a non-profit citizens group, es- tablished in 1996. Its mission is to protect and enhance the public domain in matters concerning intellectual property. It is a membership organisation, acting as an independent voice on intellectual property issues. http://www.public-domain.org • World Blind Union. The WBU works to lobby governments to enact copyright exceptions for the visually impaired people in the 120 countries that currently do not have them. “Such legislation would facilitate the production of accessible formats, such as audio, braille and large print without the need to re-clear copyright,” says the WBU. http://www.wbu.org Listserves (mailing lists) • CopySouth looks at copyright issues from the perspective of the global South. http://copysouth.org/mailman/listinfo/copysouth_copysouth.org 64 C HAPITRE Les manières alternatives du partage de la connaissance Comme expliqué dans l’introduction au dernier chapitre, le mouvement d’A2K combine ordre du jour réactif ou sensible, et un ordre du jour également proactif ou positif. Jusqu’ici, les la plupart ont été écrites au sujet de l’ordre du jour sensible, qui inclut ajouter les nouvelles exceptions à la loi de copyright qui tiennent compte de plus “d’usages justes,” s’opposant à des pratiques en matière d’application telles que les utilisateurs accusés par découpage au loin de l’Internet, et combattant la prolongation des juste du propriétaire content par le stealth en utilisant la technologie comme DRM. La section suivante se tournera vers l’ordre du jour positif qui implique la promotion des solutions de rechange aux modèles basés sur le marché de copyright ou de brevet-protection, telle que le mouvement ouvert de source, d’accès ouvert éditant, et les terrains communaux créateurs, aussi bien que des arrangements d’autorisation collectifs et des bibliothèques. 3.1 Le domaine public Le domaine public est une désignation de propriété intellectuelle pour la gamme du contenu qui n’est pas possédé ou n’est pas commandé par n’importe qui. Ces matériaux sont “propriété publique,” et disponible pour n’importe qui à employer librement pour n’importe quel but. 65 3 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE Le domaine public le plus souvent est discuté contrairement aux travaux dont l’utilisation est limitée par copyright. En vertu la loi, la plupart des oeuvres d’art originales, la littérature, la musique, etc. modernes sont couverts par copyright dès leur création pendant une période limitée (qui change par pays). Quand copyright expire, le travail écrit le domaine public. On l’estime qu’actuellement, de tous les livres trouvés dans les bibliothèques du monde, seulement environ 15% sont dans le domaine public, quoique seulement 10% de tous les livres soient toujours dedans copie ; les 75% restants sont des livres qui restent indisponibles parce qu’ils sont toujours sous la protection de copyright. Le domaine public diffère également des brevets. De nouvelles inventions peuvent être enregistrées et ont accordé des brevets limitant d’autres d’employer les inventions sans permission de l’inventeur.1 Comme copyright, les brevets durent pendant une période limitée, après quoi les inventions couvertes par eux écrivent le domaine public et peuvent être employées par n’importe qui. L’effet d’un travail passant dans le domaine public est que l’ancien propriétaire de copyright ne tient plus aucune des droites économiques qui ont autrefois attaché à copyright (cependant les droites morales immobile s’appliquent dans certaines juridictions). En d’autres termes, il n’y a plus n’importe quel empêchement au travail étant copié, partagé ou remélangé. Il y a quelques issues qui entourent le domaine public qui sont une préoccupation du mouvement d’A2K – indépendamment des la plupart concerner de tous : que le domaine public n’est plus extension, due à la prolongation répétée des limites de copyright. Une des autres questions du souci est celle dans quelques juridictions, il n’est pas légalement possible pour qu’un auteur consacre un travail au domaine public en avant de l’échéance de la limite de copyright. De ceci amoindrit ironiquement la liberté l’auteur et le public immédiatement. Un rapport récent à OMPI a recommandé que cette issue soit réparée par tous les pays membres de OMPI.2 Une autre issue est celle de l’accès aux travaux de public domain. Souvent, des travaux de domaine public sont tenus par des bibliothèques ou des archives qui peuvent ne pas être disposées à fournir le libre accès au public, indépendamment du statut de copyright du travail. Pour les 1 http://en.wikipedia.org/wiki/Public_domain 2 Dusollier, Séverine, Scoping Study on Copyright and Related Rights and the Public Domain. 2010 〈URL: http://www.wipo.int/ip-development/en/agenda/pdf/scoping_ study_cr.pdf〉. 66 3.2. Libre autorisation travaux visuels, ceci est parfois justifié sur la base qu’une reproduction fidèle d’une image bidimensionnelle attire sa propre protection de copyright. Ce principe se tient discutablement au R-U et probablement dans d’autres juridictions de droit coutoumier telles que l’Australie, mais n’est pas bonne loi aux Etats-Unis.3 La position de la base de Wikimedia selon ce principe incertain a été fortement exprimée : Pour ce mettre simplement, la position de WMF a toujours été que les reproductions fidèles des oeuvres d’art de public domain bidimensionnelles sont domaine public, et que les réclamations représentent à l’effet contraire un assaut sur le concept même d’un public domain. Si les musées et les galeries réclament non seulement copyright sur des reproductions, mais commandent également l’accès à la capacité de reproduire des images (en interdisant des photos, etc), les travaux historiques importants qui sont légalement dans le domaine public peuvent être rendus inaccessible au public excepté par des portiers.4 Un autre assaut bien plus réprehensible sur le public domain est trouvé en Egypte, où on doit verser des honoraires de permis sur le ministère de la culture au matériel de domaine public d’utilisation commercialement.5 L’Italie a récemment présenté une disposition semblable.6 Même le Royaume-Uni a a comme la disposition qui accorde essentiellement une limite perpétuelle de copyright, mais, irrégulièrement, ceci est limité à un travail simple – de Peter Pan.7 3.2 Libre autorisation 3.2.1 Libérer et ouvrir le logiciel d’origine (FOSS) FOSS est un acronyme pour “libère et ouvre le logiciel de source,” entourant toutes les deux limites communes pour ce qui a été à l’origine connu en tant que “logiciel libre” avant le terme “source ouverte” étant inventée 3 Bridgeman Art Library v Corel Corp, 36 F Supp 2d 191 (SDNY 1999) 4 http://commons.wikimedia.org/wiki/Commons_talk:When_to_use_the_PD-Art_tag/ Archive_1 5 Intellectual Property Law, 2002, No 82, Article 183 6 http://it.wikipedia.org/wiki/Wikipedia:Bar/Discussioni/Diritto_d’autore,_diritto_di_ panorama,_soprintendenze,_varie_ed_eventuali 7 Copyright, Designs and Patents Act 1988, s.301 67 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE en 1998.8 D’une manière primordiale, le logiciel est libre dans plus d’un sens. Libérer ou ouvrir le logiciel de source est dans les mots du FSF non seulement libres dans le sens “de la bière libre,” mais également dans le sens de la “liberté,” en entourant : • La liberté pour exécuter le programme, pour tout but (liberté 0). • La liberté pour étudier comment le programme fonctionne, et l’adapte à vos besoins (liberté 1). L’accès au code source est une condition préalable pour ceci. • La liberté pour redistribuer les copies ainsi toi peut aider votre voisin (liberté 2). • La liberté pour améliorer le programme, et pour libérer vos améliorations au public, de sorte que la communauté entière bénéficie (liberté 3). L’accès au code source est une condition préalable pour ceci.9 Bien qu’on ne l’exige pas afin de satisfaire cette définition, certains permis ouverts de logiciel de source, le plus notamment le permis de grand public de GNU (GPL) qui est employé à une majorité de tous logiciel ouvert de source, exigent n’importe quel travail copié ou dérivé du logiciel couvert par le GPL à distribuer sous la même chose des limites de permis.10 Cette caractéristique désigné par le FSF en tant que “copyleft,” sous le nom d’un jeu sur “copyright,” parce qu’elle exige ceux qui basent leurs propres travaux sur le logiciel copyleft-autorisé pour renoncer aux droites exclusives que la loi de copyright leur donne à la copie et modifie leurs travaux, et pour partager ces droites librement avec la communauté. Plus significatifs que les freedoms s’est associé au logiciel ouvert de source sont les conséquences culturelles et d’organisation plus grandes auxquelles leur exercice donne lieu. Celles-ci incluent le service volontaire répandu que les membres de la communauté ouverte de source 8 Raymond, Eric S, Goodbye, "Free Software" ; Hello, "Open Source". 1998 〈URL: http: //www.catb.org/~esr/open-source.html〉. Le premier terme est celui qu’utilise exclusivement le Free Software Foundation (FSF) ; see http://www.fsf.org/. On se sert parfois de l’acronym alternatif FLOSS en ajoutant le mot français libre. 9 http://www.fsf.org/licensing/essays/free-sw.html. A similar but more comprehensive list of ten requirements of open source software was first published by the Open Source Institute in 1998 in its Open Source Definition (see http://www.opensource.org/docs/ osd). 10 http://www.gnu.org/licenses/gpl.html 68 3.2. Libre autorisation fournissent le codage et en documentant les projets de logiciel auxquels ils contribuent,11 et la haute qualité, l’opportunité et l’innovation typiques de leur rendement.12 The GNU General Public License and other copyleft licenses use copyright law in order to assure freedom for every user. The GPL permits everyone to publish modified works, but only under the same license. Redistribution of the unmodified work must also preserve the license. And all redistributors must give users access to the software’s source code. – Richard Stallman, FSF Eric Raymond, un intrus lui-même, a célèbre décrit la différence entre la méthodologie de développement pour le logiciel de propriété industrielle et celui pour le logiciel ouvert de source comme qui entre “la cathédrale et le bazar,” dans son essai de ce nom.Être construit comme une cathédrale, dans ce contexte, est “être soigneusement ouvré par différents magiciens ou de petites bandes des mages fonctionnant dans l’isolement splendide, sans bêta à libérer avant son temps,” tandis que le modèle de bazar du développement était epitomised par le procédé de développement de grain de Linux, qui a semblé ressembler à un grand bazar le babillage des ordres du jour différents et des approches (dont convenablement symbolisées par les emplacements d’archives de Linux, des soumissions de prise de who’d de n’importe qui) hors un système logique et stable pourrait apparemment émerger seulement par d’une succession des miracles.13 Le même phénomène de la “production de pair” a commencé à propager au delà du développement de logiciel dans d’autres champs. Par exemple, les centaines de contribuants ont mis en beaucoup d’heures chaque semaine au projet de Wikipedia, produisant l’encyclopædia le plus complet jamais écrit. Le modèle d’autorisation utilisé par Wikipedia est équivalent à celui du logiciel ouvert de source, bien que le matériel autorisé puisse plus exactement être décrit en tant que “contenu 11 Hertel, Guido, Niedner, Sven et Herrmann, Stefanie, Motivation of Software Developers in Open Source Projects : An Internet-based Survey of Contributors to the Linux Kernel. 2003 〈URL: http://opensource.mit.edu/papers/rp-hertelniednerherrmann.pdf〉. 12 Feller, Joseph et Fitzgerald, Brian, Understanding Open Source Software Development. Harlow, England: Pearson Education, 2002, p. 131. 13 Raymond, Eric S, The Cathedral and the Bazaar : Musings on Linux and Open Source by an Accidental Revolutionary. Revised édition. Sebastopol, CA: O’Reilly & Associates, 2001, p. 21. 69 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE ouvert,” et le permis utilisé est des terrains communaux créateurs, vers lesquels nous nous tournons après. 3.2.2 Creative Commons Creative Commons14 une organisation formée en 2001, qui a été inspiré par le mouvement libre et ouvert de logiciel de source, pour créer et favoriser une série de permis pour favoriser l’utilisation libre des travaux créateurs. Ces permis ont prouvé particulièrement populaire, avec des millions de pages de contenu d’enchaînement étant autorisé sous un permis créateur de terrains communaux, aussi bien que des milliers de livres,15 des photographies,16 des videos,17 la musique,18 et des bandes dessinées.19 L’autorisation créatrice de terrain communal est également utilisé par le projet de Wikipedia,20 par le gouvernement australien pour la plupart de ses nouvelles publications,21 et par le gouvernement des USA pour les matériaux non gouvernementaux.22 Il y a non seulement un les terrains communaux que créateurs autorisent, mais plusieurs formés de la combinaison des conditions suivantes : • L’attribution – tu laisses d’autres copier, distribuer, montrer, et effectuer votre travail garanti les droits d’auteur – et des travaux de dérivé basés sur elle – mais seulement si elles donnent à crédit la manière tu demandent. • Part-Semblable – tu permets à d’autres de distribuer les travaux dérivés seulement sous un permis identique au permis qui régit votre travail. • Aucuns dérivés – tu as laissé d’autres copier, distribuer, montrer, et exécuter seulement les copies in extenso de votre travail, travaux non dérivés basés sur lui. 14 http://www.creativecommons.org/ 15 http://books.google.com/ 16 http://www.flickr.com/ 17 http://www.youtube.com/ 18 http://www.jamendo.com/ 19 http://xkcd.org/ 20 http://www.wikipedia.org/ 21 http://www.abs.gov.au/websitedbs/D3310114.nsf/4a256353001af3ed4b2562bb00121564/ 8b2bdbc1d45a10b1ca25751d000d9b03?opendocument?utm_id=HPI 22 http://www.whitehouse.gov/copyright 70 3.2. Libre autorisation • Non-Commercial – tu as laissé d’autres copier, distribuer, montrer, et effectuer votre travail – et travaux de dérivé basés sur lui – mais pour des buts noncommercial seulement. La combinaison de ces limites crée six permis principaux : Cc d’attribution, part d’attribution de cc de même, cc d’attribution aucuns dérivés, cc d’attribution non-commerciale, part non-commerciale d’attribution de cc de même, et cc d’attribution non-commerciale aucuns dérivés. Les activistes d’A2K voudraient voir plus de gouvernements présenter des politiques pour favoriser l’utilisation des terrains communaux créateurs autorisant, en particulier pour des matériaux produits par l’administration publique (dans les juridictions où copyright subsiste en de tels matériaux du tout). Il y a également des soucis à adresser au sujet de l’intersection entre les terrains communaux créateurs autorisant et la gestion collective de copyright. Certaines de ces derniers sont adressées ci-dessous à 3.3.3. Une autre de ce genre issue est que quelques collectives de copyright (par exemple en Australie et l’Allemagne) rassemblent réellement l’argent pour l’usage du contenu Terrain-autorisé libre et créateur (tel que des articles de Wikipedia). Les différents activistes ont différentes approches à cette anomalie : Wikipedia préférerait que le prélèvement à travers tous les travaux autorisés soit réduit a basé sur la proportion d’eux qui sont les terrains communaux créateurs autorisés, tandis que d’autres ont préconisé l’exclusion des travaux créateurs de terrains communaux de l’arrangement d’autorisation collectif.23 Un tournant important pour Wikipedia s’est produit en juin 2009 avec sa transition à un modèle d’duel-autorisation. Ceci a été facilité par l’accord de la base libre de logiciel d’inclure une clause travaillée à cette fin dans la version 1.3 du permis de documentation de GNU librement, sous lequel Wikipedia a été à l’origine autorisé. En conséquence tout le contenu précédemment écrit pour Wikipedia, et tous les futurs articles, seront également autorisés sous le permis semblable de terrains communaux de part créatrice plus flexible d’attribution. Ceci permettent au contenu d’être partagé plus facilement entre Wikipedia et d’autres publications Terrain-autorisées pareillement créatrices (telles que ce livre). 23 Browne, Delia, Educational Use and the Internet – Does Australian Copyright Law Work in the Web Environment ? ScriptED, 6 2009, Nr. 2 〈URL: http://www.law.ed.ac.uk/ahrc/ script-ed/vol6-2/browne.doc〉. 71 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE 3.2.3 L’ouverture des ressources éducatives Ouvrir les ressources éducatives (OER) apprennent les matériaux qui sont librement disponibles pour l’utilisation, le remélange et la redistribution. Ainsi, OER est une application spécifique des terrains communaux créateurs (et semblable) autorisant. Le terme “ressources éducatives ouvertes” a été adopté la première fois au forum 2002 d’UNESCO’s sur l’impact du courseware ouvert pour une éducation plus élevée dans les pays en voie de développement financés par la William and Flora Hewlett Foundation. Ouvrir les ressources éducatives incluent : • Contenu d’étude : Pleins cours, matériaux de cours, modules contents, objets d’étude, collections, et journaux. • Outils : Logiciel pour soutenir la création, la livraison, l’utilisation et l’amélioration du contenu d’étude ouvert comprenant la recherche et l’organisation du contenu, du contenu et des systèmes de gestion d’étude, des outils de développement contents, et des communautés d’étude en ligne. • Ressources d’exécution : Permis de propriété intellectuelle de favoriser l’édition ouverte des matériaux, des concevoir-principes, et de la localisation du contenu.24 Ouvrir l’accès à l’édition “L’accès ouvert” est parfois employé pour dénoter que les matériaux sont libres pour accéder en ligne, mais pour ne pas le modifier. C’est typiquement une condition de l’édition scolaire, dans laquelle il est habituel pour garder statique content d’un article et pour l’associer à un auteur fixe.25 Elle peut être ainsi distinguée “du contenu ouvert,” qui se rapporte aux matériaux qui sont libres pour accéder, copier et modifier, sous quelque chose comme un permis semblable de part d’attribution de CC.26 Quelques publications décrites en tant que “accès ouvert” ne pourraient pas en fait vraiment ouvrir être autorisées, parce qu’il ne peut être 24 http://en.wikipedia.org/wiki/Open_educational_resources 25 http://en.wikipedia.org/wiki/Open_access_(publishing) 26 Il est confusant qu’ open access a une autre signification au royaume de l’infrastructure de la télécommunication : voir, par exemple http://infopolitics.net/2010/02/openaccess-public-investment-can-drive-broadband-development/. 72 3.2. Libre autorisation autorisé à redistribuer plus loin les copies non modifiées des travaux, qui est une condition minimum de même le permis de terrains communaux créateur le plus restrictif. Il est préférable de décrire un tel contenu comme “le libre accès” plutôt que “l’accès ouvert,” indiquant simplement que le contenu peut être consulté sans frais des restrictions ou de mot de passe. La popularité croissante de la publication ouverte d’accès des articles de journal a accompagné le confluent de deux facteurs. D’abord, le coût de journaux d’abonnement avait augmenté exponentiellement, près autour trois fois le taux d’inflation depuis 2000 : un aperçu 2010 a trouvé l’échelle de prix moyenne pour l’abonnement d’une année s’étendant de $1094 à $3792, selon la discipline.27 En second lieu, ceci ne reflète pas les coûts fondamentaux, qui sont bas. Les auteurs ne deviennent pas payés pour des articles de journal d’écriture – les la plupart sont les disciples public-placés. Ni l’un ni l’autre ne font des arbitres obtiennent typiquement payés pour les articles synoptiques pour la publication. D’ailleurs, des articles peuvent être distribués en ligne pour pratiquement aucun coût. Par conséquent là a été un mouvement grandissant28 plaçant la pression sur des éditeurs de journal de laisser, au minimum, pour des individu-archives d’auteurs leurs propres articles sur leurs propres emplacements d’enchaînement ou sur les archives institutionnelles ou communales. Quelques corps de placement de recherches exigent maintenant que la recherche qu’ils placent soit éditée dans de telles archives. Au delà de ceci, une gamme des nouveaux journaux ont émergé qui éditent tout leur contenu sur une base ouverte d’accès.29 Les coûts de courir de tels journaux sont dans certains cas Bourne par l’institution, et dans d’autres caisses subventionnées par des auteurs. Dans les pays en voie de développement L’amélioration de l’accès aux journaux d’abonnement-seulement est maintenant traversante possible, par exemple, qui accès d’interréseau de santé à l’initiative de recherches (HINARI), qui travaille avec les éditeurs principaux pour permettre aux pays en voie de développement d’accéder à la littérature biomédicale et de santé. Plus de 6.400 journaux sont dis27 Henderson, Kittie S et Bosch, Stephen, Periodicals Price Survey 2010 : Seeking the New Normal. 2010 〈URL: http://www.libraryjournal.com/article/CA6725256.html〉. 28 Voir, par exemple, les déclarations à http://www.soros.org/openaccess et à http://oa. mpg.de/openaccess-berlin/berlindeclaration.html. 29 Pour une directoire de beaucoup d’entre eux, voir http://www.doaj.org/. 73 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE ponibles librement aux établissements, aux ouvriers et aux chercheurs de santé dans 108 pays. De même, l’accès à la recherche en ligne globale dans le programme d’agriculture (AGORA), installation par l’organisation de nourriture et d’agriculture de l’ONU, a enrôlé les éditeurs principaux pour fournir à 107 pays en voie de développement l’accès à plus de 1.200 journaux en nourriture, agriculture, la science environnementale et a relié les sciences sociales. Il y a également beaucoup de journaux ouverts d’accès, y compris ceux dans la bibliothèque publique de la Science (PLoS), comme d’autres énumérés dans l’annuaire des journaux ouverts d’accès (DOAJ), un projet installé par des bibliothèques d’université de Lund en Suède. Les établissements africains peuvent contribuer les journaux électroniques à ces emplacements pour favoriser et disséminer leur recherche.30 Ouvrir les matériaux de cours Les facteurs semblables ont conduit le développement des matériaux ouverts de cours. Recherche conduite internationale des consommateurs en 2006 qui a indiqué qu’un manuel $81 coûte l’équivalent de $913 à un étudiant indonésien (basé sur le PIB per capita ajusté à la parité de pouvoir d’achat).31 Ceci a comme conséquence une forte présence naturellement des matériaux de photocopiage non autorisés, auxquels le mouvement d’OER offre une alternative. Un projet notable pour le développement des matériaux ouverts de cours est le projet d’OpenCourseWare,32 qui a été inauguré par MIT mais a depuis prolongé à d’autres établissements.33 La Wikimédia Foundation offre son propre Wikiversity34 et Wikibooks,35 et il y a maintenant (mais unaccredited) les universités honoraire-libres égales qui se sert d’OER pour l’instruction : University of the People36 et de P2P University.37 30 Musakali, Joseph Juma, Bridging the digital divide through open access. 2010 〈URL: 31 32 33 34 35 36 37 74 http://www.scidev.net/en/opinions/bridging-the-digital-divide-through-openaccess.html〉. Consumers International, Final report of the Project on Copyright and Access to Knowledge. 2008, p. 43. http://ocw.mit.edu/ http://www.ocwconsortium.org/ http://www.wikiversity.org/ http://www.wikibooks.org/ http://www.uopeople.org/ http://p2pu.org/ 3.3. L’autorisatio collective L’académie libre de technologie est une tentative d’établir le lien entre tels unaccredited les établissements d’étude en utilisant OER, et a officiellement accrédité des cours d’université. C’est un consortium constitué par l’université ouverte de la Catalogne (Espagne), l’université ouverte des Hollandes et l’université d’Agder (Norvège) et mené par l’institut libre de la connaissance (FKI). En janvier 2010 il a commencé à placer ses matériaux éducatifs en ligne, et fournir l’instruction peu coûteuse a basé sur ces ressources, qui pourraient être employées pour le crédit dans un plein cours d’université : L’utilisation du logiciel libre (également désigné sous le nom du logiciel ouvert de source ou du logiciel de Libre) augmente rapidement dans des organismes gouvernementaux et privés. Cependant, toujours seulement un nombre limité de professionnels, de professeurs et de décideurs d’ICT ont la connaissance suffisante et expertise dans ces nouveaux domaines. L’académie libre de technologie vise à adresser cet espace en dispensant les cours de niveau élevé qui s’adaptent dans de plus grands programmes principaux aux universités participantes.38 3.3 L’autorisatio collective Un propriétaire intellectuel qui tient la droite exclusive de commander copier et les utilisations reliées du travail peuvent l’un ou l’autre exercice ces droites personnellement, ou les autoriser à d’autres par des contrats. Dans beaucoup de cas, c’est impraticable que les supports de droites concluent différents contacts avec des utilisateurs de leurs travaux, l’un ou l’autre parce qu’il y a trop d’utilisateurs (comme dans le cas d’un rendez-vous de karaoke dans lequel les centaines de patrons exécutent publiquement des chansons), ou trop de travaux à autoriser de trop de supports de droites (comme dans le cas d’une station par radio qui pourrait jouer des milliers de différentes voies par semaine). Dans ces caisses, de diverses formes d’autorisation collective sont employées. Cette section examinera certains des cas les plus importants. 3.3.1 Les oeuvres d’orphelins Les travaux d’orphelin sont ceux qui sont encore protégés par copyright, mais pour ce qui la propriété de copyright ne peut pas être assurée, peut38 http://www.ftacademy.org 75 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE être parce que le travail a été édité anonyme, ou l’auteur est mort sans héritier, ou ils simplement ne peuvent pas être trouvés. En vertu de la loi de copyright, de tels travaux continuent à être protégés pour 50 ans au minimum après que la mort de l’auteur (plus longtemps, dans beaucoup de pays), qui signifie qu’il n’y a aucune manière dans laquelle elles peuvent être légalement employées. Ceci ferme loin beaucoup de longueur historiquement significative de film d’actualités, de photographies, d’enregistrements sonores et de documents qui pourraient être d’immense valeur culturelle et éducative. Très souvent, les travaux orphelins deviennent obscurs n’importe comment l’objet de valeur que le matériel a contenu dans eux peut être. Aucun futur créateur n’est disposé à employer le travail orphelin pour la crainte qu’ils devront payer un montant énorme d’argent dans les dommages si le propriétaire émerge. Une compréhension de l’importance du bidon orphelin de problème de travaux près gagné en passant en revue les études suivantes et commentaires : • Une histoire par radio publique nationale sur la façon dont la musique devient inaccessible parce que les compagnies ne réviseront pas des enregistrements.39 • Le centre pour le public domain à l’étude de l’école de duc droit sur les films orphelins.40 • Le commentaire de l’alliance de copyright de bibliothèque en réponse à la notification du bureau de copyright de l’enquête sur les travaux orphelins.41 • Le commentaire de l’association d’arts d’université en réponse à cette même notification d’enquête.42 La solution à ce problème n’est pas franche, parce qu’on doit équilibrer la valeur publique dans la disponibilité de ces derniers les travaux orphelins, contre le fait qu’il y ait inévitablement des cas dans lesquels des travaux sont traités comme perdu ses parents, bien que le propriétaire de copyright soit toujours autour et pourrait avoir autorisé l’utilisation de leur travail. La complexité de cette issue a eu comme conséquence une 39 http://www.npr.org/templates/story/story.php?storyId=5139522&ft=1&f=2 40 http://www.law.duke.edu/cspd/pdf/cspdorphanfilm.pdf 41 http://www.copyright.gov/orphan/comments/OW0658-LCA.pdf 42 http://www.collegeart.org/pdf/caa_orphan_letter.pdf 76 3.3. L’autorisatio collective pléthore de différentes approches pour perdre ses parents des travaux, s’étendant de les traiter simplement comme si ils étaient dans le public domain (comme au Brésil), à l’établissement d’un enregistrement central duquel ces travaux peuvent être autorisés, et duquel vomit les honoraires de permis si le support de droites plus tard pas en avant (comme au Canada). Depuis 2005, les efforts ont dû en cours résoudre le problème orphelin de travaux aux Etats-Unis. La connaissance publique et beaucoup d’autres organismes ont proposé que la loi devrait permettre l’utilisation d’un travail orphelin si l’utilisateur recherchait le propriétaire de copyright en bonne foi et avec la diligence raisonnable mais n’ait pas trouvé le propriétaire pour demander la permission. Le bureau de copyright recommande une solution semblable, différant seulement dans la façon dont les remèdes seraient limités. Groupes des supports de copyright, principalement les photographes, illustrateurs, artistes graphiques de, et concepteurs de textile, se sont opposés aux deux aspects spécifiques ces propositions et toutes les tentatives de permettre l’utilisation sans consentement.43 La législation a été présentée dans le congrès des USA en 2008 qui aurait limité les remèdes disponibles à un propriétaire de copyright pour l’infraction de copyright où le défendeur avait entrepris une recherche raisonnable mais ne pouvait pas néanmoins localiser le propriétaire. Cette législation a manqué et n’a pas été encore réintroduite. En attendant le Google réserve le règlement (visé à 1.3.3) est, d’une certaine manière, une version privatisée de la législation perdue ses parents de travaux pour les Etats-Unis, dans cette volonté permettre aux livres épuisés (comprenant, mais non limité à, travaux d’orphelin) d’être redistribué par Google en forme électronique, en échange des honoraires de permis à administrer par un enregistrement de droites de livre de indépendant. 3.3.2 Les patent pool Les communautés de brevets sont utiles dans les cas où il y a tant de brevets couvrant un certain champ d’industrie (un “thicket de brevet”) qui les coûts de innovation dans ce domaine devient unaffordable. Redresse dans ces cas-ci des supports avec des brevets couvrant un champ particulier peut mettre leurs brevets ensemble et convenir en commun sur 43 http://www.publicknowledge.org/issues/ow 77 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE une formule simple pour autoriser l’utilisation de ces brevets par un intermédiaire central. Les communautés de brevet suscitent l’attention croissante comme les outils possibles pour améliorer le transfert de technologie aux pays en voie de développement. Elles offrent un grand avantage : elles peuvent couper font breveter à travers des thickets pour permettre d’accéder aux innovations technologiques critiques. Mais les communautés de brevet sont également risquées : l’accord de partager des technologies peut courir l’afoul des issues anti-trust. Et il y a l’autres pour et contre : • Les communautés de brevet tiennent compte du transfert de la propriété intellectuelle, pas le transfert de la technologie. Des secrets de savoir-faire et de commerce peuvent également être exigés pour employer la propriété intellectuelle. • Les communautés de brevet se sont généralement épanouies quand toutes les compagnies dans un secteur sont stymied par des restrictions à l’accès à la propriété intellectuelle. Ceci les fait voulant compromettre. Il est peu clair si les compagnies non pharmaceutiques sentent les inclinations semblables. • Les communautés de brevet ont été les plus réussies dans l’industrie d’électronique, puisqu’elles facilitent les normes à l’échelle industrielle qui créent de plus grands marchés. Encore, ceci peut ne pas s’appliquer aux compagnies de drogue. • Les communautés de brevet sont également chères de créer et maintenir. En dépit de ces réservations, les avantages des communautés de brevet être fort. Ils créent “un magasin one-stop” efficace pour la propriété intellectuelle, éliminent empiler des permis, évitent le litige, la recherche de diminution et les coûts administratifs, et peuvent considérablement améliorer la vitesse et efficacité du développement technologique.44 Les exemples des communautés réussies de brevet (au moins pour l’industrie) incluent ceux au-dessus du Mpeg-2 et les normes visuelles 44 Krattiger, A et Kowalski, S P ; Krattiger, A et al. (éd.), Chap. Facilitating Assembly of and Access to Intellectual Property : Focus on Patent Pools and a Review of Other Mechanisms In Intellectual Property Management in Health and Agricultural Innovation : A Handbook of Best Practices. Volume 1, Oxford: MIHR, 2007 〈URL: http: //www.iphandbook.org/handbook/ch02/p08/eo/〉, p. 137-138. 78 3.3. L’autorisatio collective de la compression Mpeg-4, les télécommunications 3G proclament un protocole, et le milieu de DVD.45 Le plus récemment, des activistes civils de société ont été impliqués dans le développement d’une communauté de brevet de médecines pour être administrée par UNITAID, qui est espéré pour améliorer l’accès à de plus nouvelles médecines anti-retroviral pour le monde en voie de développement.46 Cependant, parce que la participation à la communauté de brevet serait volontaire il y a excédent de doute si les compagnies pharmaceutiques contribueront leurs brevets plus profitables à la communauté. 3.3.3 Les copyright collectifs Les collectives de copyright (ou le “rassemblement des sociétés”) travaillent un principe semblable aux au pour faire breveter des communautés, sauf qu’eux tiennent compte typiquement de l’autorisation d’un catalogue entier des travaux de copyright pour des honoraires qui sont plats ou basés sur une formule simple. Les collectives de copyright fonctionnent habituellement à un niveau national, mais peuvent avoir des filiales dans d’autres pays qui tiennent compte également pour que des travaux d’outre-mer de copyright soient autorisés. Des collectives de copyright peuvent être en privé établis, ou peuvent être établis par la législation. Chacun collectif administre typiquement seulement un à droite particulier ou réglé les droites. Pour quelques travaux, ceci signifie que plusieurs collectives peuvent être impliqués. Par exemple, autoriser les travaux musicaux pour l’exécution publique peut exiger d’un utilisateur d’obtenir un permis du collectif collectif qui administre les droites dans la composition, et séparé qui administre les droites dans l’enregistrement. L’autorisation collective de copyright peut offrir une position de compromis dans la différence difficile entre fournir des incitations aux auteurs et permettre l’accès répandu et sans entrave. L’autorisation collective de la musique, par exemple pour transmettre par radio des stations et des rendez-vous d’exécution, a été banale dans beaucoup de pays pour la majeure partie du 20ème siècle. Dans quelques pays garantir les droits d’auteur dans les travaux écrits est également collectivement administré : 45 Aoki, Reiko et Schiff, Adam, Promoting Access to Intellectual Property : Patent Pools, Copyright Collectives and Clearinghouses. 2007 〈URL: http://papers.ssrn.com/sol3/ papers.cfm?abstract_id=976852〉. 46 http://www.unitaid.eu/en/The-Medicines-Patent-Pool-Initiative.html 79 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE par exemple, aux établissements éducatifs en Australie, sous un arrangement d’autorisation statutaire forcé. 3.3.4 Les questions concurrencielles Faire breveter les communautés et les soucis de concurrence d’augmenter de collectives de copyright, en particulier si la communauté ou la société de rassemblement exige des membres d’abandonner toutes leurs droites dans leurs travaux pour l’administration collective. Ainsi les critiques tels qu’ariel Katz de l’université de la faculté de Toronto de la loi arguent du fait que “à des exceptions rares, les diverses justifications pour l’administration collective sont trop faibles pour justifier le départ au paradigme concurrentiel qui est à la base des économies de marché de marché.” Katz propose que “dans la plupart des cas connivence et loyerchercher principalement la commande la formation des collectives de copyright.” Katz suspecte que “seulement rarement un tel loyer-chercher puisse être justifié comme question de la politique, l’un ou l’autre comme manière d’améliorer les incitations pour créer les travaux socialement valables ou pour les raisons distributionnelles.”47 Pour des activistes d’A2K, c’est un intérêt particulier que le rassemblement des sociétés empêchera typiquement des droit-supports de libérer leurs travaux sous un permis créateur de terrains communaux, même si les limites de ce permis excluent l’utilisation commerciale. Cependant, le progrès est accompli dans ce secteur. Des accords ont été conclus avec rassembler des sociétés dans les pays tels que le Danemark et les Hollandes pour permettre à des membres de libérer leurs travaux sous des permis créateurs de terrains communaux tandis que la société rassemble toujours des redevances pour des usages commerciaux. Ceci a désirent ardemment également été possible aux Etats-Unis. En 2010, la Commission australienne de concurrence et de consommateur (ACCC) a remplacé le permis d’un des collectives australiens de copyright, l’Australasian exécutant la bonne association (APRA), à condition que lui libéralisent ses états d’adhésion pour permettre à des membres d’autoriser leurs travaux directement au public.48 Ceci fournissent la possibilité pour que les interprètes australiens libèrent leur musique sous des permis libres s’ils souhaitent ainsi. 47 Katz, Ariel, Copyright Collectives : Good Solution But for Which Problem ? 2010 〈URL: http://ssrn.com/abstract=1416798〉. 48 http://www.accc.gov.au/content/index.phtml/itemId/924027 80 3.4. Les bibliothèques Les TRIPS permet à des pays de passer des mesures d’empêcher l’abus des juste de propriété intellectuelle par la loi de concurrence. Par exemple, des abus des droites de propriété intellectuelle ont été plaidés sous les articles 81 et 82 du Traité établissant le Communauté européen.49 Dans un cas, trois réseaux britanniques de télévision, qui ont produit un guide de télévision contenant les listes de leurs programmes de TV, ont refusé de permettre à l’éditeur d’un guide de concurrence de TV d’autoriser l’utilisation de ces listes. Ceci a été tenu pour pour un abus de leur copyright dans les listes, par raison pour laquelle le but et l’effet de la reproduction exclusive du demandeur de ses listes de programme étaient d’exclure n’importe quelle concurrence potentielle. . . afin de maintenir le monopole apprécié. . . par le demandeur sur ce marché. Les facteurs affectant cette décision étaient que la publication d’un guide de TV était seulement un marché secondaire pour les réseaux de télévision en question, et qu’il n’y avait aucune autre source pour l’information de listes qu’en les autorisant des réseaux. Il devrait également noter que dans beaucoup d’autres juridictions, les listes de télévision n’attireraient pas la protection de copyright du tout.50 3.4 Les bibliothèques Les bibliothèques de tous les types sont le point de départ dont les citoyens peuvent avoir accès à l’information sur une base égale et dans un environnement de confiance et neutre. La bibliothèque et les services d’information sont les “universités des personnes.”51 Par leurs vastes collections, ils permettent l’accès pour tous les membres de la communauté aux ressources, aux idées globales et aux avis de la connaissance stimulant de ce fait une société créatrice et innovatrice. Une infrastructure forte de bibliothèque est intégrale au développement d’une nation comme démontré par les pays qui ont rangé le numéro un dans l’index humain de développement de l’ONU au cours des dix dernières années, IE Norvège et Canada.52 49 Case T-69/89 Radio Telefis Eireann v EC Commission (Magill TV Guide Litd intervening) [1991] ECR II-485, [1991] 4 CMLR 586 50 IceTV Pty Ltd v Nine Network Pty Ltd [2009] HCA 14 51 La source de cet extrait est Hackett, Teresa, Libraries : The People’s Universities. Asia Pacific Consumer, 43 & 44 2006, Nr. 1 & 2 52 http://en.wikipedia.org/wiki/Human_Development_Index 81 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE Dans les pays développés, les bibliothèques accompagnent des citoyens par toutes les étapes de la vie, par exemple, “Bookstart des programmes pour bébés” dans la bibliothèque publique locale ;53 “aider des clubs avec travail” dans la bibliothèque d’école ; en tant qu’étudiant, notant dans la bibliothèque d’université de la maison pour cours-travailler le matériel ; en tant que professionnel, l’accès de la dernière recherche de marché rapporte de la bibliothèque interne de compagnie sur votre dessus de bureau. Les bibliothèques rassemblent, organisent et préservent notre héritage culturel et scientifique global : la mémoire de l’humanité. La richesse du contenu est reflétée dans la diversité des médias : livres, journaux, journaux, matériel audiovisuel, cartes, images, et musique. Le d’etre de raison des bibliothèques doit rassembler et préserver notre connaissance pour les buts de la rendre disponible aux générations actuelles et futures. Libraries are essential to the free flow of ideas and to maintaining, increasing and spreading knowledge. As repositories of books and other printed material, they are key to promote reading and writing. – UNESCO and Libraries portal 3.4.1 Effronder les barrières dans les pays en voie de développement L’information électronique pour des bibliothèques, connue sous le nom d’eIFL.net,54 identifie le rôle principal que les bibliothèques jouent dans l’échange des idées, de la connaissance et de l’information et du développement des sociétés ouvertes. L’arrivée des technologies numériques a annoncé une nouvelle ère et de nouvelles occasions pendant que les journaux traditionnels d’impression devenaient disponibles électroniquement. Dans une décennie, le paysage de l’information a été transformé particulièrement pour les ressources scolaires et savantes. Cependant, dans les pays pauvres ou ceux qui subissent la transition à une économie de marché de marché, les barrières à accéder étaient formidables : peu d’argent à payer les ressources électroniques chères ; infrastructure et manque technologiques faibles de capacité ;"murs à l’épreuve du feu” politiques et légaux ; peu d’occasions de joindre les experts internationaux où la connaissance convenable est partagée et discutée. 53 Eg. en Australie http://www.library.act.gov.au/kids/babies 54 http://www.eifl.net/ 82 3.4. Les bibliothèques eIFL.net a vu une occasion d’aider des bibliothèques et leurs utilisateurs en réalisant l’accès accessible aux ressources savantes électroniques. Avec car l’accès au matériel numérique Internet-basé peut être augmenté au coût marginal au fournisseur, l’idée était influencer le pouvoir d’achat des clients différent “pauvres” et d’être en pourparlers avec les producteurs de base de données sur une base consortial de multipays des prix fortement escomptés et des modèles alternatifs d’affaires. De cette façon, eIFL.net vise non seulement à diminuer le numérique se divise entre le nord et le sud, mais à assurer également l’accès équitable dans différents pays aux établissements meilleur-placés par couverture, aussi bien que de plus petites bibliothèques manquant du placement pour de nouvelles acquisitions. Avec la bibliothèque d’eIFL.net achetant des consortiums fonctionnant maintenant dans 50 pays de se développer et de transition servant des milliers de bibliothèques, l’accès à la recherche globale et l’information est devenu une réalité pour des millions d’utilisateurs. Quand les premières e-ressources d’accès ont fourni par eIFL.net, professeur Hamlet Isaxanli, recteur de l’université de Khazar dans Azerbeijan hurlée : “il est fantastique. Hier j’ai eu un rêve, maintenant il est une réalité.” Les membres d’eIFL.net sont des millions d’économie de dollars employant tous les ans des permis négociés par eIFL.net. La coopération et la ressource partageant entre les bibliothèques se développe assurant le sustainability à long terme et les membres tirent bénéfice de l’expertise dans l’information de tranchant et des politiques et des pratiques en matière de technologie. 3.4.2 Etendre un équilibre Cependant, comme en ce qui concerne juste chercheurs et étudiants dans les pays membres d’eIFL tirent bénéfice de l’accès à ces nouvelles ressources, ils sont également devenus exposés à l’environnement international de prise de décision politique copyright et les issues commerciales reliées. Particulièrement au cours pour des dix dernières années, la tendance globale est vers plus de droites des droit-supports et des lois plus strictes d’application. La propriété intellectuelle appartient maintenant au système marchand global. Le public domain du, l’héritage culturel et intellectuel commun l’humanité et une ressource riche pour davantage de créativité, est érodé. Copyright de soutien de bibliothèques contre parce qu’il identifie le besoin des créateurs d’être récompensé de leur travail et pour que les travaux créateurs soient protégés la piraterie et toute autre exploitation in83 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE juste. Mais copyright n’est pas simplement au sujet de la protection pour des droit-supports. Copyright avait lieu de ses jours tôt censés pour équilibrer la nécessité de protéger des créateurs avec le droit de l’utilisateur d’accéder à l’information pour l’enseignement, l’étude et encore d’autres efforts créateurs. Le mécanisme qui fait le travail de copyright est en fait les exceptions et les limitations combinées avec à protection proportionnée de copyright. Ainsi s’il n’y a aucune exception ou seulement exceptions étroites, comment peut il y a un équilibre ? S’il n’y a aucun équilibre, garantir les droits d’auteur alors les travaux contre des bibliothèques, en apprenant et accès à la connaissance. Les utilisateurs de la trouvaille matérielle de copyright dans qu’ils ont moins de droits dans l’environnement numérique que du monde d’impression les exceptions traditionnelles par exemple et des limitations accordées au matériel d’impression souvent ne s’appliquent pas aux travaux numériques ; des bibliothèques sont forcées de signer loin leurs droites dans des permis non-négociables afin d’accéder aux ressources essentielles ; les serrures numériques empêchent des bibliothèques de faire l’utilisation légale d’un travail. Ceci place des restrictions sur les services fournis par des bibliothèques et empêche de nouveaux services innovateurs d’être par exemple des services développés d’éducation de distance aux gens vivant dans des régions rurales ou éloignées, ironiquement ceux qui se tiennent pour bénéficier les la plupart des nouvelles technologies. Les buts de développement de millénium sont l’un des grands défis se posant à la communauté internationale. À l’atteinte de ces buts, Kofi Annan indique : Nous ne pouvons pas gagner durant la nuit. . . Cela prend du temps de former les professeurs, les infirmières et les ingénieurs ; pour construire les routes, écoles et les hôpitaux ; accroître les petites et grandes entreprises capables pour créer les travaux et revenu a eu besoin. Les professeurs, les infirmières et les ingénieurs d’étudiant dans les pays pauvres comptent souvent entièrement sur la bibliothèque d’université pour fournir le matériel d’étude et de recherches pour leurs cours. Les pays en voie de développement doivent assurer à cela le contenu d’étude est rendus disponible à la base la plus large possible en tant qu’élément de leur foyer en réalisant les buts de développement de millénium. 84 3.4. Les bibliothèques 3.4.3 Droits de prêt public Une issue parmi d’intérêt particulier aux bibliothèques, mais autrement un peu connu différents même des activistes de copyright et des praticiens, est celle des droits de prêt de public (PLR). Ce sont un juste de compensation accordé aux auteurs pour la perte “potentielle” de ventes de leurs travaux, qui sont disponibles sur le prêt dans les bibliothèques publiques, dont la majorité sont des travaux de fiction. En d’autres termes, un PLR est une “subvention” payée sur les fonds publics aux auteurs dont les livres sont prêtés des bibliothèques publiques.55 Le calcul du prélèvement de PLR est a fait sur la base de combien de fois les travaux d’un auteur sont prêtés dehors, ou paiement par copie du travail d’un auteur tenu dans les bibliothèques, si lui est emprunté, IE sur des possessions de bibliothèque. Environ 41 pays développés jusqu’ici ont identifié un public prêtant bien dans leur législation, par leur législation de copyright ou par la législation bibliothèque-connexe. Le R-U a un public séparé prêter bien l’acte. Les USA n’ont pas un droit de prêt, qui prouve qu’il n’est pas nécessaire pour une culture créatrice prospérée. Puisque des bibliothèques publiques sont placées par le public par leurs impôts, elles sont exigées pour permettre d’accéder à leurs collections au public et pour fournir des équipements de prêt pour faciliter l’accès à la connaissance. En tant que comité d’IFLA copyright et d’autres états des sujets légaux (CLM) en son exposé introductif sur le public prêtant bien, la prétention souvent tenue de que des ventes primaires des travaux des auteurs peuvent être perdues par l’utilisation de bibliothèque est confondue. Il n’y a aucune évidence empirique à montrer n’importe quel lien entre l’utilisation des travaux dans des collections de bibliothèque publique et perte possible par des auteurs. Sont non seulement les bibliothèques elles-mêmes les acheteurs principaux des travaux des auteurs, mais les utilisateurs de bibliothèque rencontrent souvent les auteurs travaille pour la première fois dans une bibliothèque publique, qui peut mener encore d’autres à ventes primaires, ou des références à d’autres pour acheter les travaux. En fait, les bibliothèques et les auteurs apprécient un rapport symbiotique positif. Les auteurs reçoivent le marketing libre des bibliothèques, en particulier dans les pays en voie de développement, d’un certain nombre de ma55 Masango, Charles et Nicholson, Denise Rosemary, Public Lending Right : Prospects in South Africa’s Public Libraries ? South African Journal of Libraries and Information Science, 74 2008, Nr. 1. 85 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE nières, par exemple par des listes de nouvelle acquisition, de nouveaux stands de livres, des services courants de conscience, des heures de la lecture des enfants, des clubs de livre d’adulte, des lectures par des auteurs ou des poèts, le livre ou l’auteur les promotions de mois, des expositions, choisies lisant des listes, de circulation des brochures promotionnelles, etc. . . Et, d’une manière primordiale, la publicité des noms des auteurs et travaux dans la copie et les catalogues de catalogue de bibliothèque et nationaux électroniques, par exemple, SABINET et catalogues des éditeurs. Les bibliothèques sont également les acheteurs principaux des travaux de référence importants dans des formats analogues et numériques. Ces travaux sont généralement très chers et leur cible est des bibliothèques, pas le public. Indépendamment des dictionnaires de base, cartes et encyclopédie-type travaux, peu, si des travaux de référence seraient achetés ou même employés, s’il n’étaient pas pour eux étant logés dans les bibliothèques. Les auteurs ne sont pas susceptibles de souffrir la perte de ventes de ces travaux du prêt public. En fait, les bibliothèques fournissent “un auditoire intéressé” pour ces travaux, car elles sont généralement seulement pour l’“usage de dans-bibliothèque” et pas pour le prêt.56 3.5 Faciliter de normes Une norme ouverte est une norme qui est publiquement disponible et a de divers droits à l’utilisation liée à elle, et peut également avoir de diverses propriétés de la façon dont elle a été conçue (par exemple processus ouvert). Les termes “s’ouvrent” et l’“norme” ont un éventail de significations liées à leur utilisation. Le terme “ouvert” est habituellement des technologies redevance-libres limitées tandis que le terme “norme” est parfois limité aux technologies approuvées par les comités formalisés qui sont ouverts de participation par tous les ayants droit et opèrent une base de consensus. Les définitions du terme “norme ouverte” employée par academics, l’union européenne et une partie de ses gouvernements de membre ou parlements tels que du Danemark, de la France et de l’Espagne excluent des normes ouvertes exigeant des honoraires pour l’usage, de même que 56 Nicholson, Denise Rosemary, Does South Africa need a Public Lending Right ? 2009 〈URL: http://kim.wits.ac.za/index.php?module=blog&action=viewsingle&postid= gen11Srv0Nme53_4234_1246874412&userid=8988090205〉. 86 3.5. Faciliter de normes la Nouvelle Zélande et les gouvernements vénézuéliens. Du côté d’organisme de normalisation, le W3C s’assure que ses caractéristiques peuvent être mises en application sur une base (rf) Redevance-Libre. Beaucoup de définitions de terme de laiss de brevet derrière les des titulaires “standard” pour imposer les honoraires “raisonnables et non discriminatoires” de redevance (de COUCHE-POINT) et d’autres limites d’autorisation d’applicateurs ou utilisateurs de la norme. Le terme “norme ouverte” est parfois couplé “à la source ouverte” avec l’idée qui une norme n’est pas vraiment ouverte si elle n’a pas une exécution complète de référence de source de free/open disponible. Ouvrir les normes qui indiquent des formats désigné parfois sous le nom des formats ouverts. Beaucoup de caractéristiques qui sont parfois mentionnées car les normes sont de propriété industrielle et seulement contrat restrictif de dessous disponible nomme (si elles peuvent être obtenues du tout) de l’organisation qui possède copyright sur les spécifications. Car de telles ces caractéristiques ne sont pas considérées comme entièrement “s’ouvrir.”57 Ouvrir les normes, en particulier par rapport à l’information et les technologies de communication (ICTs), effectuent également lors de l’accès à la connaissance. C’est telles que parce qu’elles stimulent le développement d’un écosystème concurrentiel et interoperable d’ICT, qui est inclus des technologies non-de propriété industrielle le World Wide Web et logiciel libre et ouvert de source. En revanche, les normes de propriété industrielle peuvent avoir comme conséquence “serrure-dans,” par lequel le client d’un certain fournisseur d’ICT investisse tellement du fait mettant en application la solution de ce fournisseur, que les coûts plus tard de se déplacer à un concurrent ou d’interoperating avec les produits d’un concurrent deviennent prohibitifs. L’architecture de l’Internet a été établie autour des normes ouvertes. L’IETF (Internet Engineering Task Force) est responsable de presque toutes les normes d’Internet autres que ceux pour l’enchaînement, qu’il a délégué au W3C plus spécialisé (consortium de World Wide Web). Le Internet Protocol employé par tous les ordinateurs Internet-reliés est une norme ouverte d’IETF (RFC 791), de même que le smtp de protocole d’email (RFC 821), et le protocole de HTTP utilisé pour la communication entre les browsers d’enchaînement et les serveurs d’enchaînement (RFC 2616). HTML, la langue de l’enchaînement, est un niveau du W3C. 57 http://en.wikipedia.org/wiki/Open_standard 87 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE Un au sol important de bataille dans des normes ouvertes a été celui des formats visuels. La plus nouvelle version des spécifications de HTML, HTML5, exigera des browsers de soutenir à la façon des indigènes la vidéo d’Internet. Puisque le W3C a une politique stricte que ses caractéristiques doivent être exemptes de réclamations de brevet, une occasion s’est présentée pour le format visuel ouvert et brevet-libre, Ogg/Theora, pour être incorporée aux spécifications de HTML. Cependant, ceci a été bloqué par de logiciel tels que les fournisseurs de propriété industrielle de Apple et Nokia, qui à la place ont incorporé le soutien (mais techniquement supérieur) du H.264 standard brevet-encombré en leurs browsers.58 En mai 2010, un développement dramatique dans cette impasse s’est produit quand Google a acquis une norme visuelle de propriété industrielle de haute qualité, VP8, et a donné son code et a associé des brevets à la communauté ouverte de source, comme projet appelé WebM. Ceci peut mener la manière pour l’adoption de WebM comme norme ouverte et libre-implantable pour la vidéo d’Internet dans HTML5. 3.5.1 Jour de liberté de document Le jour de liberté de document est un jour international pour soulever la conscience des normes ouvertes et des formats de document libres. Il a été organisé mars 31, 2010 (pendant la troisième année) ; le foyer précédent sur le format d’OpenDocument (ODF) élargit pour inclure d’autres formats libres tels qu’Ogg Vorbis, et pour ouvrir des normes en général. Le jour de liberté de document inspire beaucoup passion et créativité autour du monde. Les groupes volontaires de la scène libre de logiciel emploient ce jour international pour appeler l’attention des leurs communautés sur une matière au lequel la plupart des personnes en dehors du monde de technologie pensent à peine jamais, selon Karsten Gerloff, écrivant à Opensource. Com.59 La campagne est coordonnée par la base libre l’Europe de logiciel, mais la passion et l’effort dans les villes autour du monde sont locaux. Dans la capitale de la Roumanie, Bucarest, un groupe d’activistes a visité un certain nombre de bâtiments de gouvernement, chaque fois que disant les autorités que “je ne peux pas lire vos documents."En Afrique du 58 McLean, Prince, Ogg Theory, H.264 and the HTML 5 Browser Squabble. 2010 〈URL: http://www.appleinsider.com/articles/09/07/06/ogg_theora_h_264_and_the_html_ 5_browser_squabble.html〉. 59 http://opensource.com/government/10/3/document-freedom-day-passion-andpolitics 88 3.6. Ouverture de données Sud, le département les arts et la culture tient une heure célébratoire. À Buenos Aires, l’Argentine, huit organismes organisent une soirée. Les informations et la discussion sur des normes ouvertes. Dans beaucoup de pays, comme au Vietnam, les groupes locaux sont des campagnes de l’information d’établissement aux universités et ailleurs. Au cours des dernières années, les nombreux pays ont adopté des politiques sur des normes ouvertes. Le fil des Hollandes la manière, en exigeant que les organismes publics emploient le logiciel libre et ouvrent des normes à partir de mai 2008. Beaucoup d’autres ont suivi, comme l’Afrique du Sud, le Japon, le Brésil et un certain nombre de pays européens. Le Danemark est la dernière nation pour joindre le groupe, exigeant de ses organismes publics de commencer à employer ODF pour ses documents à partir d’avril 2011. Il y a des différences entre toutes ces politiques, et ils sont mis en application avec des degrés variables de succès. Mais la direction est claire : Le secteur public se déplace aux normes ouvertes. Pas sans combat, bien que.60 3.6 Ouverture de données Le transfert de données ouvert prend le même principe de la franchise aux données brutes, y compris des données scientifiques, aux cartes et à l’information statistique. Les exemples des Modem en avant qui ont rendu librement disponible pour inclure le génome humain en tant qu’élément du projet humain de génome,61 cartes de route par le StreetMap ouvert projettent,62 et les données de recensement des divers pays.63 Science Commons64 est une organisation analogue aux terrains communaux créateurs qui préconise pour l’autorisation ouverte des données. Il y a une tension dans la loi de copyright au-dessus de la protection des données. La convention de Berne fournit (en article 2(8)) que les faits ne sont pas sujets à copyright, mais ce principe graduellement est érodé. Par exemple, l’accord de TRIPS fournit expressément (en article 10(2)) que copyright devrait être identifié en “compilations les données ou tout autre matériel, dans de si sous forme compréhensible par une machine 60 Voir http://documentfreedom.org/. 61 http://www.ornl.gov/sci/techresources/Human_Genome/home.shtml 62 http://www.openstreetmap.org/ 63 http://www2.census.gov/census_2000/datasets/ 64 http://sciencecommons.org/ 89 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE ou autre,” selon l’effort intellectuel qui est entré leur choix et arrangement. Il y a également des juridictions dans lesquelles des bases de données sont protégées par la législation sui generis (telle que les bases de données 96/9/EC directif d’EU), et d’autres dans laquelle garantissent les droits d’auteur est étiré pour couvrir des bases de données par l’application “sueur d’une doctrine de front.”65 Cette doctrine, cependant, a été sensiblement limitée par un cas de 2010 Australiens qui a refusé d’identifier copyright dans les données comportées dans un annuaire de téléphone.66 Une décision semblable plus tôt avait été prise aux Etats-Unis.67 Le passage d’un nouveau traité pour la protection des bases de données a été proposé à OMPI en 1996, mais n’a pas gagné l’acceptation, en grande partie parce qu’une telle droite n’a pas encore existé dans certains des pays membres principaux de OMPI comprenant les Etats-Unis. Cependant les discussions à OMPI sont continues, et un traité de base de données peut encore émerger. Useful links for this chapter Open access • Peter Suber’s introduction to Open Access is a succinct briefing on open access that expands upon the treatment given in this book. http://www.earlham.edu/~peters/fos/overview.htm • 7 Things You Should Know About Open Educational Resources. From EDUCAUSE, a nonprofit membership association for using information technology to benefit higher education. http://net.educause.edu/ir/library/pdf/ELI7061.pdf • Open Journal Systems is an open source journal software platform being used to produce more than 6,600 online journals, about half of them in developing countries. Here are a survey of 998 of those journals, and an interview with the developer. http://pkp.sfu.ca/node/2773 and http://chronicle.com/article/ Open-Access-Journals-Break-/64143/ • The American Educational Research Associaton Special Interest Group is developing a wiki-based tool for an annotated list of open access journals in the field of education. They have tried to include only links to electronic journals that are scholarly, peer-reviewed, 65 University of London Press Limited v University Tutorial Press Limited [1916] 2 Ch 601 66 Telstra Corporation Limited v Phone Directories Company Pty Ltd [2010] FCA 44 67 Feist Publications, Inc v Rural Telephone Service (1991) 499 U.S. 340 90 3.6. Ouverture de données full text and accessible without cost. http://aera-cr.asu.edu/ejournals/ • Open Research Online is the Open University’s repository of research publications and other research outputs. It is an open access resource that can be searched and browsed freely by the public. http://oro.open.ac.uk/ • The Open Access Tracking Project is a social tagging project for open access resources. http://oad.simmons.edu/oadwiki/OA_tracking_project Open content • Remixable textbooks : Textbooks are “free online, affordable offline, open license and customisable by editors”. According to this network, “educators choose the book – students choose format and price. Everybody wins.” http://www.flatworldknowledge.com/ • Wikisource is an online library of free content publications, collected and maintained by its community. It contains almost 150,000 texts in the English language library. http://en.wikisource.org/wiki/Main_Page Libraries • A plea for African digital libraries. The author argues that “African countries are falling behind in building digital libraries and archives to provide continent-wide access to local knowledge — and the poorest are likely to bear the brunt of this”. http://www.scidev.net/en/news/plea-for-african-digital-libraries. html Organisations • Electronic Information for Libraries (eIFL.net) is a not for profit orga- nisation that supports and advocates for the wide availability of electronic resources by library users in transitional and developing countries. eFIL.net has this useful page of A2K links to reading material and resources. http://plip.eifl.net/eifl-ip/issues/access-to-knowledge-a2k • International Federation of Library Associations. IFLA’s Committee on Copyright and other Legal Matters (CLM) was created to advise IFLA and represents the voice of the international library community in copyright and intellectual property concerns, and makes regular submissions to WIPO. http://www.ifla.org/en/clm 91 3. L ES MANIÈRES ALTERNATIVES DU PARTAGE DE LA CONNAISSANCE • Open Knowledge Forum. Founded in 2004, is a not-for-profit organisation promoting open knowledge : sonnets to statistics, genes to geodata that can be freely used, reused, and redistributed. http://www.okfn.org • The Foundation for P2P Alternatives, led by Michael Bauwens, believes that peer-to-peer networking, on which the Internet is based, also offers a foundation for many other realms of human ordering including commons-based peer production. http://p2pfoundation.net/A2K_Access_to_Knowledge • Free Knowledge EU. A self-description : “Inspired by the Free Soft- ware movement, the FKI promotes freedom of use, modification, copying and distribution of knowledge in four different but highly related fields : education, technology, culture and science.” http://freeknowledge.eu • Science Commons works to promote “the continuous production and reuse of knowledge that is at the heart of the scientific method,” which forms “the building blocks of a new collaborative infrastructure to make scientific discovery easier by design.” http://sciencecommons.org/projects/publishing/backgroundbriefing Mailing lists • Bibliotheca Alexandrina, the new Library of Alexandria based in Egypt, provides this newsletter on library and A2K news. http://www.bibalex.org/AllNewsletters/Subscribe.aspx?id= KHS6QDfxvRqCbYdABX7ANA== • OADL : Open Access Digital Libraries is a community supporting and promoting open access to scholarly literature and developing Digital Libraries for Open Access. http://groups.yahoo.com/group/oadl/ 92 C HAPITRE Promouvoir les droits de l’homme dans la société de l’information Ce chapitre regarde le contexte plus large du mouvement d’A2K, au delà de la discussion de propriété intellectuelle. D’autres issues qui effectuent lors de l’accès à la connaissance incluent des droites de communications (qui est elle-même des choses entourer d’une limite hybride comme la liberté d’expression, de censure et d’intimité, qui effectuent la capacité des consommateurs d’envoyer et recevoir l’information), accéder à la protection des consommateurs de télécommunications (téléphones y compris, l’Internet, la radio de la communauté, et spectre sans fil) et de télécommunications. Ici nous aborderons les deux premiers de ces plus grandes questions, avant de regarder brièvement la question de plus haut niveau du gouvernement : ce qui publie le visage le mouvement global du consommateur à participer à l’accès à la connaissance discute ? 4.1 Les droits de la communication Le concept de la droite de communiquer a commencé en 1969 par Jean D’Arcy et a évolué dans la droite de communiquer le groupe, les nombreux organismes non gouvernementaux et civils de société qui ont composé la plateforme pour la coopération sur la communication et la démocratisation, et les juste de communication dans la campagne de la société de l’information (CRIS). 93 4 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION La première discussion offrante tout l’éventail de produits sur des médias et communication globalement, limité principalement aux gouvernements, a fonctionné pendant une décennie du milieu des années 70. Les gouvernements du sud, d’ici là une majorité dans l’ONU, ont commencé à exprimer des demandes dans l’UNESCO au sujet de la concentration en médias, de l’écoulement des nouvelles, et “de l’impérialisme culturel.” Le MacBride Report (1981) a étudié le problème, articulant un général “droit de communiquer."La discussion a été compromise, cependant, par la rhétorique de guerre froide, et a tombé en morceaux après les USA et le R-U retiré de l’UNESCO, comme décrit en plus détail ci-dessous. Communication rights go beyond mere freedom of opinion and expression, to include areas such as democratic media governance, participation in one’s own culture, linguistic rights, rights to enjoy the fruits of human creativity, to education, privacy, peaceful assembly, and selfdetermination. These are questions of inclusion and exclusion, of quality and accessibility. In short, they are questions of human dignity. – No-Nonsense guide to Communication Rights La deuxième phase du mouvement de droites de communications s’est dessinée à partir des années 90, quand les ONGs et les activistes sont devenus de plus en plus actifs dans une variété d’issues de communication, des médias de la communauté, vers des droites de langue, de garantir les droits d’auteur, à la disposition d’Internet et le logiciel libre et ouvert de source. Ceux-ci ont fusionné dans un certain nombre de groupes de parapluie abordant les issues en corrélation dont la notion pluraliste des droites de communication a commencé à se dessiner, cette fois de la terre vers le haut.1 Selon l’évaluation un cadre s’est développé par la campagne de CRIS, les quatre piliers des droites de communication sont : • Communiquer dans la sphère publique : Le rôle de la communication et des médias en exerçant la participation politique démocratique dans la société. • La Connaissance De Communication : Les limites et les moyens par lesquels la connaissance produite par la société est communiquée, ou bloqué, à l’usage de différents groupes. 1 http://en.wikipedia.org/wiki/Communication_Rights 94 4.1. Les droits de la communication • Droits civiques dans la communication : L’exercice des droits civiques concernant les processus de communication dans la société. • Droites culturelles dans la communication : La communication des cultures diverses, des formes culturelles et des identités aux différents et sociaux niveaux.2 Un “droit à communiquer” et des “droites de communication” sont étroitement liés, mais non identique, dans leur histoire et utilisation. L’ancien davantage est associé les discussions intergouvernementales qu’à cela a menées au rapport de MacBride, et des points au besoin de reconnaissance légale formelle d’une telle droite, comme cadre global pour une exécution plus efficace. Il rend également intuitif sens comme droit de l’homme de base. Le dernier souligne le fait qu’un choix de droites internationales soutenant la communication existe déjà, mais beaucoup sont trop souvent ignorés et exigent la mobilisation active et l’affirmation. L’utilisation du terme “communication redresse,” sous la forme plurielle, se dirige implicitement vers les droits de l’homme existants qui se relient à la communication, et loin de favoriser une nouvelle droite formelle de communiquer (dans le singulier) dans le droit international. L’emphase décale subtilement vers réaliser des juste existants de communication sur la terre.3 L’équilibre de cette section examinera certains des aspects des juste de communications dans ce plus large sens. 4.1.1 Les médias public démocratiques La discussion de droites de communication a été formée par différentes forces et poussées aux moments divers. Comme remarquable ci-dessus, le rapport de MacBride à l’UNESCO a articulé le plus largement une droite de communiquer en 1981, mais ses appels pour tels qu’un “nouvel ordre de l’information et de communication du monde” (NWICO), comportant la démocratisation des médias et un accès plus égalitaire à l’information a été condamné par pays les USA et le R-U comme essaye 2 Communication Rights in the Information Society, Assessing Communications Rights : A Handbook. 2005 〈URL: http://www.crisinfo.org/pdf/ggpen.pdf〉, p. 40-41. 3 Lee, Philip, Turley, Anna et Thomas, Pradip, The No-Nonsense Guide to Communication Rights. 2005 〈URL: http://www.centreforcommunicationrights.org/images/stories/ database/building_and_recognising_com_rights/communication%20rights.pdf〉. 95 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION pour limiter la liberté de la pression.4 En 1984, les Etats-Unis ont retenu ses contributions et se sont retirés de l’organisation dans la protestation, suivie du Royaume-Uni en 1985 et de Singapour en 1986. Après un changement de gouvernement en 1997, le R-U a rejoint. Les Etats-Unis ont rejoint en 2003, suivi de Singapour 8 octobre 2007.5 Néanmoins, la “communication et l’information” est aujourd’hui l’un de cinq programmes principaux de l’UNESCO,6 et son programme international pour le développement de communication (IPDC) est des résultats durables du rapport de MacBride. Un deuxième programme de l’UNESCO avec la pertinence avec l’accès au mouvement de la connaissance est son information pour tout le projet (IFAP), établie en 2000, qui vise à favoriser l’accès à l’information par ICTs. La fédération internationale des associations de bibliothèque et des établissements (IFLA) et de sa information électronique de membre pour des bibliothèques (eIFL) sont d’autres établissements internationaux qui favorisent cette vision. 4.1.2 La confidentialité L’intimité (du privatus latin “séparé du repos, privé de quelque chose,” et du privo “priver”) est la capacité un individu ou groupe de de l’de s’isoler ou des informations sur elles-mêmes et de de l’de s’indiquer de ce fait sélectivement.7 Il y a des différences dans le traitement légal de l’intimité dans différentes juridictions, avec de l’EU en particulier ayant des normes beaucoup plus strictes que les USA de même, il y a une différence entre l’intimité et la sécurité. Ces dernières années, le terrorisme, la piraterie et la pornographie d’enfant ont été de plus en plus employés pour justifier des intrusions d’intimité. L’intimité en ligne en tant que telle est un domaine beaucoup plus large que peut être en juste proportion couvert ici, couvrant des issues aussi diverses que calcul de nuage, intimité en ligne des childrens, Facebook, le règlement de livre de Google, intimité record médicale, identifications nationales, gouvernement ouvert, intimité de Search Engine, la grille futée, intimité sociale de nework et même formation image de 4 Lee, Philip, Turley, Anna et Thomas, Pradip, The No-Nonsense Guide to Communication Rights. 2005 〈URL: http://www.centreforcommunicationrights.org/images/stories/ database/building_and_recognising_com_rights/communication%20rights.pdf〉. 5 http://en.wikipedia.org/wiki/UNESCO 6 http://www.unesco.org/webworld 7 http://en.wikipedia.org/wiki/Privacy 96 4.1. Les droits de la communication corps entier.8 Cependant quelques cas d’importance particulière pour la discussion d’A2K seront discutés à leur tour. L’anonymat en ligne Pour longtemps, la signalisation sur l’Internet pourrait être faite anonyme, ou en utilisant les pseudonymes qui n’identifiaient pas personnellement. Ceci a offert à des utilisateurs plus de liberté d’expression, si moins de responsabilité. Un exemple est de l’encyclopédie en ligne de collaboration-ouvrée de Wikipedia avec, écrit la plupart du temps par des auteurs les pseudonymes non identifiables ou les adresses d’IP. Ces derniers temps, il est devenu de plus en plus difficile de maintenir l’anonymat en ligne. Des adresses d’IP peuvent être dépistées, permettant de pour dépister quel ordinateur ou réseau un certain poteau a été fait – cependant pas l’utilisateur réel. Quelques pays ont serré leurs lois sur l’utilisation d’Internet, aggravant le problème. Par exemple, en juillet 2010 la Chine a indiqué ses plans pour exiger des utilisateurs d’Internet d’inscrire leurs vrais noms avant de signaler en ligne.9 Tor Tor is free software and an open network that helps you defend against a form of network surveillance that threatens personal freedom and privacy, confidential business activities and relationships, and state security known as traffic analysis. Tor protects you by bouncing your communications around a distributed network of relays run by volunteers all around the world : it prevents somebody watching your Internet connection from learning what sites you visit, and it prevents the sites you visit from learning your physical location. Tor works with many of your existing applications, including web browsers, instant messaging clients, remote login, and other applications based on the TCP protocol. Hundreds of thousands of people around the world use Tor for a wide variety of reasons : journalists and bloggers, human rights workers, law enforcement officers, soldiers, corporations, citizens of repressive regimes, and just ordinary citizens. – Excerpted from http ://www.torproject.org/ Il y en a cependant “qui anonymizing entretient” comme I2P et massif de roche qui sont conçus pour dévier des technologies de chemine8 http://epic.org/ 9 Chang, Anita, China seeks to reduce Internet users’ anonymity. 2010 〈URL: http://news. yahoo.com/s/ap/20100713/ap_on_re_as/as_china_internet〉. 97 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION ment d’IP. On le croit que leur approche distribuée de technologie pourrait offrir une meilleure sécurité que des services anonymising centralisés, où un point central existe et pourrait révéler son identité.10 Rétention de données La conservation des données concernant les activités en ligne des utilisateurs est un secteur dans lequel les principes d’intimité se heurtent d’une part les désirs des autorités d’application de loi, et de l’autre avec les plans de vente du secteur privé. En ce qui concerne l’application de loi, beaucoup de pays ont légiféré ou des recueils d’instructions “volontaires” présentés d’exiger d’ISPs de maintenir une variété les activités de leurs utilisateurs de données d’enregistrement sur l’Internet. La directive de conservation de données d’EU (2006/24/EC) s’applique aux communications de voix et de données. En ce qui concerne l’accès d’Internet, est exige de l’ISP de maintenir l’identification de l’utilisateur des utilisateurs, des adresses d’email les expéditeurs et les destinataires, de la date et du temps que les utilisateurs ont entré et au loin d’un service, et du adresse IP (si dynamique ou statique) appliqué à leur identification de l’utilisateur. Cette directive est mise en application au R-U sous forme de recueil d’instructions volontaire sur la conservation des communications est entré en vigueur en 2009,11 et lesquelles exige pour dont des notations les email et les emplacements d’enchaînement visités pour être maintenu entre quatre jours et six mois. En février 2010, on a rapporté que le FBI cherche les conditions semblables des USA ISPs.12 On propose un régime également rigoureux de conservation de données pour l’Australie.13 La conservation de données est également pratiquée par le secteur privé pour leurs propres buts, qui incluent le marketing en ligne. Sur ce compte, plusieurs des grandes entreprises d’Internet ont eu un disque faible sur l’intimité. Par exemple, Facebook a soulevé l’inquiétude par ses changements répétés de son politique d’intimité. En mars 2009 on l’a noté comme après avoir été annoncé un “autre ensemble de révisions” à cette politique, qui a été vue en tant que le faciliter pour Facebook pour recueillir des données localisées sur des utilisateurs et pour révé10 http://en.wikipedia.org/wiki/Anonymity 11 http://www.opsi.gov.uk/si/si2003/draft/5b.pdf 12 McCullagh, Declan, FBI wants records kept of Web sites visited. 2010 〈URL: http://news. cnet.com/8301-13578_3-10448060-38.html〉. 13 Grubb, Ben, Inside Australia’s data retention proposal. 2010 〈URL: http://www.zdnet. com.au/inside-australia-s-data-retention-proposal-339303862.htm〉. 98 4.1. Les droits de la communication ler des données d’utilisateur à de tiers emplacements d’enchaînement."il s’avère également que Facebook fera à plus d’utilisation de Modem au ‘chacun’,” a dit l’emplacement d’epic.org.14 Surveillance et l’application de l’IP Une en particulier application s’inquiétante de la pratique de la conservation de surveillance et de données par ISPs est afin d’identifier des utilisateurs suspectés de l’infraction de propriété intellectuelle. Il est tout à fait simple pour que les supports de droites obtiennent le adresse IP de ceux qui participent au dossier partageant au-dessus de l’Internet. Il est également relativement simple pour l’ISP qui commande ce adresse IP pour fournir les petits groupes personnels du client qui l’employait à l’heure d’une infraction alléguée. Tandis que presque tout l’ISPs exigera d’un ordre de citation ou de cour de libérer des petits groupes de client, il y a des manières que les droit-supports peuvent venir à bout ceci. En avril 2010, la cour élevée irlandaise a déterminé qu’un régime privé “a reçu un diplôme réponse” qui a fait partie d’un accord de règlement entre l’association enregistrée irlandaise de musique (IRMA) et sa plus grande ISP, Eircom, n’a pas violé l’intimité de ses utilisateurs, malgré le fait que IRMA et Eircom s’occuperaient des adresses de l’IP des utilisateurs. La raison est que les détails personnels liés à un adresse IP donné ne seraient pas révélés à IRMA, et seul un adresse IP ne constitue pas “l’information personnelle.” En mois suivant le jugement, Eircom a débuté sa politique de débrancher des utilisateurs.15 Un autre souci d’intimité pour le mouvement d’A2K est l’inspection profonde de paquet (DPI), une technologie par laquelle le trafic d’Internet s’est produit par un utilisateur est surveillé pour certaines caractéristiques : par exemple, pour détecter si le raccordement est employé pour le partage de dossier. Depuis l’ISP Britannique de novembre 2009 les médias de Vierge avait employé DPI pour mesurer le matériel garanti les droits d’auteur passant par son réseau, sans informer ses utilisateurs. Ceci a mené à une plainte à partir Privacy International16 à la Commission européenne, qui demeure en suspens.17 14 http://epic.org/2010/03/facebook-announces-changes-to.html 15 Collins, John, Eircom to cut broadband over illegal downloads. 2010 〈URL: http://www. irishtimes.com/newspaper/frontpage/2010/0524/1224271013389.html〉. 16 http://www.privacyinternational.org/ 17 Anderson, Nate, EU has doubts as ISP rolls out DPI for copyright enforce- ment. 2010 〈URL: http://arstechnica.com/tech-policy/news/2010/01/eu-has-doubts- 99 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION 4.1.3 La liberté d’expression La liberté de la parole implique pouvoir sans parler censure ou limitation. La liberté d’expression dépasse le discours libre et implique également la capacité de chercher, de recevoir et donner l’information ou des idées dans n’importe quel milieu. La plupart des pays imposent certaines limites à l’exercice de l’expression libre – par exemple raccourcissant le détester-discours et la fomentation des différends inter-religieux. Tandis que l’intimité plus fortement est protégée en Europe qu’aux Etats-Unis, de la liberté d’expression l’opposé est le cas : les Etats-Unis protègent constitutionnellement beaucoup de discours qui serait rejeté dans les parties de l’Europe, telles que le démenti de holocaust. Le haut commissaire des Nations Unies pour les droits de l’homme (OHCHR) a abordé la question de la liberté d’expression sur l’Internet en invitant tous les états : s’abstenir aux restrictions imposantes qui ne sont pas conformées aux dispositions de l’article 19, le paragraphe 3, de l’engagement international sur des droites civiles et politiques, incluant dessus : . . . (c) Accéder à ou utilisation des technologies de télécommunications modernes, y compris la radio, la télévision et l’Internet.18 Sensibilités culturelles de côté, il y a un rapport évident entre la liberté d’expression et d’accès à la connaissance. La liberté d’expression protège la capacité de communiquer la connaissance existante à de nouvelles parties et permet la collaboration pour le développement de nouvelles connaissances. Par conséquent, la confirmation de la liberté d’expression est importante en favorisant l’accès à la connaissance.19 Des politiques qui empêchent la liberté d’expression, telle que la censure, d’arrestations, de livre brûlant, ou de propagande, sont opposées par des activistes d’A2K comme barrages de route à la connaissance. Lea Bishop Shaver argue du fait que l’accès à la connaissance “est formé par une variété de facteurs, incluant mais pas limité : accéder à l’éducation, au soutien de l’innovation, à la diffusion technologique, à la liberté d’expression, et au règlement de propriété intellectuelle.” Le rasoir as-isp-rolls-out-dpi-for-copyright-enforcement.ars〉. 18 United Nations High Commissioner for Human Rights, The right to freedom of opinion and expression. 2002 〈URL: http://www.unhchr.ch/huridocda/huridoca.nsf/(Symbol) /E.CN.4.RES.2002.48.En〉. 19 Shaver, Lea, Defining and Measuring A2K : A Blueprint for an Index of Access to Knowledge. I/S : A Journal of Law and Policy for the Information Society, 4 2008, Nr. 2. 100 4.1. Les droits de la communication argue du fait de que “le consensus politique et scientifique substantiel existe” respect d’excédent pour la liberté expression et un régime équilibré de propriété intellectuelle.20 La coalition de dynamique d’A2K@IGF du forum de gouvernement d’Internet a plaidé pour le besoin A2K et liberté d’expression dans le royaume des technologies de l’information et de communication.21 Il y a sur pour également une coalition dynamique séparée des droites d’Internet et des principes, formés de la fusion des anciennes “cadre des principes l’Internet” et “déclaration des droits d’Internet coalitions dynamiques.” Une de ses activités courantes doit passer en revue la charte de droites d’Internet de RPA qui a été pour la dernière fois mise à jour en 2006,22 qui inclut la “liberté d’expression et d’association” et d’“accès à la connaissance” respectivement en tant que ses deuxièmes et troisième thèmes principaux. Un autre nouvel établissement dans cette arène, bien que moins de multi-dépositaire en composition étant donné qu’elle manque de l’adhésion gouvernementale, est l’initiative de réseau global (GNI).23 Le GNI, qui inclut Microsoft, Google et Yahoo tels que pour du du du secteur privé, à côté des groupes civils de société la base électronique de frontières (EFF) et centre la démocratie et la technologie (CDT), a libéré un ensemble de principes sur la liberté expression et intimité en octobre 2008 qui est prévu pour tracer le degré auquel le secteur privé coopérera avec les gouvernements qui cherchent son aide dans l’interférence la liberté expression ou intimité de leurs clients. 4.1.4 La liberté d’information La liberté de législation de l’information garantit l’accès aux données contenues par l’état. Elle établit “droit-à-connaissent” le processus légal par lequel des demandes peuvent être faites pour l’information gouvernement-tenue, à recevoir librement ou au coût minimal, excepté des exceptions standard. En outre différemment désigné sous le nom des disques ou (particulièrement aux Etats-Unis) des lois ouverts de soleil, gouvernements sont également typiquement liés par un devoir pour éditer et favoriser la franchise. Dans beaucoup de pays il y a des garanties constitutionnelles pour 20 Shaver, Lea, Defining and Measuring A2K : A Blueprint for an Index of Access to Know- ledge. I/S : A Journal of Law and Policy for the Information Society, 4 2008, Nr. 2. 21 http://www.intgovforum.org/cms/dynamic-coalitions/74-a2k 22 http://rights.apc.org/charter.shtml 23 http://www.globalnetworkinitiative.org 101 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION la droite de l’accès à l’information, mais habituellement ce sont inutilisés si la législation spécifique pour les soutenir n’existe pas. Plus de 85 pays autour du monde ont mis en application une certaine forme d’une telle législation. La liberté de la Suède de la Loi de pression de 1766 est la plus vieille. D’autres pays travaillent vers présenter de telles lois, et beaucoup de régions des pays avec la législation nationale ont des lois locales. Par exemple, tous les états des Etats-Unis ont des lois régir l’accès aux documents publics l’état et les gens du pays imposant des entités du, en plus de la liberté de ce pays de Loi de l’information qui régit la gestion des registres des documents dans la possession du gouvernement fédéral. Un concept relatif est une législation ouverte de réunions, qui permet l’accès aux réunions de gouvernement, pas simplement aux disques d’eux. Dans beaucoup de pays, l’intimité ou les lois de protection de données peut faire partie de la liberté de législation de l’information ; les concepts souvent sont étroitement attachés ensemble dans le discours politique. Un principe de base derrière la plupart de liberté de législation de l’information est que le fardeau de la preuve tombe sur le corps demandé l’information, pas la personne demandant ce. Le demandeur pas habituellement doivent donner une explication pour leur demande, mais si l’information n’est pas révélée une raison valide doit être donnée.24 Une des recommandations faites au sommet de WSIS en 2003 était que des gouvernements si “fournir à accès proportionné par de diverses ressources de communication, notamment l’Internet, à l’information de fonctionnaire public.” Le développement récent le plus important dans ce secteur était la signature en juin 2009 d’une convention sur l’accès aux documents officiels par douze de forty-seven des membres du Conseil de l’Europe, qui a pour la première fois établi un repère intergouvernemental pour l’accès aux documents officiels tenus par des services publics.25 La société civile joue un rôle fort comme chien de garde dans ce secteur. Parmi la clef les organismes sont le Sunlight Foundation,26 Transparency International (concentré sur la corruption),27 Reporters Sans Frontières,28 et Freedom House29 (concentrée sur la liberté de la pression). 24 http://en.wikipedia.org/wiki/Freedom_of_information_legislation 25 http://wcd.coe.int/ViewDoc.jsp?id=1377737&Site=CM 26 http://sunlightfoundation.com/ 27 http://www.transparency.org/ 28 http://rsf.org/ 29 http://www.freedomhouse.org/ 102 4.1. Les droits de la communication Dans le monde en voie de développement Comme exemple du monde en voie de développement, la droite à l’acte de l’information est une loi décrétée par le Parlement de l’Inde permettant à des citoyens de l’Inde d’accéder aux disques des gouvernements de gouvernement central et d’état. Sous les dispositions de la Loi, un citoyen de peut demander l’information “d’un service public” (un corps gouvernement ou “entremise d’état") qui est exigé pour répondre expéditivement ou dans les trente jours. La Loi exige également de chaque service public d’informatiser leurs disques pour la diffusion large et d’éditer proactivement certaines catégories d’information de sorte que les citoyens aient besoin de recours minimum pour demander pour information formellement. Cette loi a été passée par le Parlement juin 15, 2005 et est venue entièrement dans la force octobre 13, 2005. La révélation de l’information en Inde a été jusqu’ici limitée par la Loi 1923 et diverses autres lois spéciales de secrets officiels, que le nouvel acte de RTI détend maintenant. Que la loi a fixé l’information liée à la sécurité de l’état, de la souveraineté du pays et des relations amicales avec les états étrangers, et a contenu les dispositions qui ont interdit la révélation d’information non-classifiée.30 Il y a cependant d’autres pays dans tout le monde en voie de développement, tel que la Malaisie, qui manquent toujours d’une droite à l’acte de l’information et dans ce qui les secrets officiels d’une colonialère agissent les restes en vigueur.31 4.1.5 La neutralité de réseau La neutralité de réseau (aussi neutralité nette, neutralité d’Internet) est un principe proposé pour des réseaux d’accès d’utilisateur participant dans l’Internet qui ne préconise aucune restriction par les emplacements des Internet Service Provider ou des gouvernements sur le contenu, ou les plateformes, sur les genres d’équipement qui peuvent être joints, et sur les modes de communication permis. Le principe déclare que si un utilisateur donné paye un certain niveau de l’accès d’Internet, et un autre utilisateur paye le même niveau de l’accès, que les deux utilisateurs devraient pouvoir se relier entre eux au niveau souscrit de l’accès. 30 http://en.wikipedia.org/wiki/Right_to_Information 31 http://en.wikipedia.org/wiki/Official_Secrets_Act_(Malaysia) 103 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION Bien que la limite n’ait pas écrit l’utilisation populaire jusque à plusieurs ans après, puisque les premiers avocats 2000s la neutralité et les règles associées ont soulevé des inquiétudes concernant la capacité des fournisseurs à bande large d’employer leur dernière infrastructure de mille pour bloquer de services nets les applications d’Internet et le contenu (par exemple de sites Web, de protocoles), en particulier ceux des concurrents. Aux USA en particulier, mais ailleurs aussi bien, la possibilité de règlements conçus pour exiger la neutralité de l’Internet a été sujette à la discussion féroce. Les partisans de neutralité réclament que les compagnies de télécommunication cherchent à imposer un modèle à gradins de service afin de commander la canalisation et de ce fait enlever la concurrence, créer la pénurie artificielle, et obliger des abonnés à acheter leurs services autrement uncompetitive. Beaucoup pensent la neutralité nette pour être principalement importante comme conservation des freedoms courants. Vinton Cerf, considéré un “père de l’Internet” et d’Co-inventeur du Internet Protocol, de Berners-Lie de Tim, de créateur de l’enchaînement, et de beaucoup d’autres ont préconisé dehors la neutralité de réseau. Les adversaires de la neutralité nette caractérisent ses règlements comme “solution à la recherche d’un problème,” arguant du fait que les fournisseurs de service à bande large n’ont aucun plan pour bloquer le contenu ou pour dégrader l’exécution de réseau. Malgré cette réclamation, certains Internet Service Provider ont intentionnellement ralenti des communications du pair-à-pair (P2P). D’autres compagnies ont agi contrairement à ces affirmations du comportement de mains-au loin et ont commencé toujours à employer l’inspection profonde de paquet pour distinguer contre le P2P, le ftp et les jeux en ligne, instituant un système de facturation de modèle de cellule-téléphone des overages, services “à valeur ajoutée” de libre-à-free-to-telecom, et empaquetant. Les critiques de la neutralité nette arguent du fait également que la discrimination de données de quelques sortes, en particulier à la qualité de garantie du service, n’est pas problématique, mais sont réellement fortement souhaitables. Bob Kahn a appelé la neutralité de filet de limite un “slogan” et déclare qu’il s’oppose l’établir, toutefois il admet qu’il est contre la fragmentation du filet toutes les fois que ceci devient excluant à d’autres participants.32 32 http://en.wikipedia.org/wiki/Net_neutrality 104 4.1. Les droits de la communication FCC des USA sur “l’Internet ouvert” Les communications fédérales que la Commission (FCC) a proposé des règles plus strictes à, “s’assurent que les fournisseurs Internet ne bloquent pas ou ne ralentissent pas le trafic au-dessus de leurs réseaux.” La FCC a également lancé un site Web qu’il indique est spécifiquement conçu pour encourager des pensées et des idées sur un Internet ouvert. OpenInternet.gov “continuera à s’adapter pour faciliter mieux l’entrée et la participation aux démarches de commission pendant que cette discussion évolue,” indique l’emplacement.33 En 2007, la pression associée a signalé que le fournisseur de réseau Comcast interférait activement des tentatives par certains de ses abonnés à grande vitesse d’Internet de partager des dossiers en ligne.l’"interférence de Comcast affecte tous les types de contenu, signifiant que, par exemple, un producteur indépendant de film qui a voulu distribuer son travail en utilisant BitTorrent et son raccordement de Comcast pourrait trouver cela difficile ou impossible."AP a constaté que la conduite de Comcast a eu “un effet énergique. . . sur un type de trafic – dans certains cas le bloquant plutôt que de le ralentir vers le bas.” Plus de vingt mille Américains s’est pareillement plaint “du blocage flagrant et trompeur de Comcast des communications de pair-à-pair” et a invité la FCC “à prendre une mesure immédiate pour mettre un terme brusque à cette pratique nuisible."La FCC étudiée et régnée contre Comcast, la demandant pour révéler aux abonnés à l’avenir comment elle projette contrôler le trafic. Comcast avait indiqué que ses mesures de ralentir les transferts de BitTorrent, qu’il a volontairement finis en mars, étaient nécessaires pour empêcher son réseau d’être débordé.34 Dans un ordre d’avril 2010, la cour des USA des lancer un appel pour la zone du circuit de Colombie a évacué le FCC’s régnant plus tôt contre Comcast, sur la base que la FCC a manqué de l’autorité pour imposer la neutralité nette règne. La FCC a depuis lors cherché la prolongation de sa autorité de normalisation pour imposer les principes nets de neutralité contre les USA ISPs. 33 http://www.shareconnector.com/fcc-launches-open-internet-website 34 http://www.katonda.com/blog/990/net-neutrality-dead-us-comcast-defeats-fcc- court 105 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION 4.2 L’accès à l’information et communication des technologies Dans le meilleur des cas, l’accès à l’information et les technologies de communication permet à des utilisateurs de participer à un monde changeant rapidement en lequel le travail et d’autres activités sont de plus en plus transformés par l’accès aux technologies diverses et se développantes. Des outils d’ICT peuvent être utilisés pour trouver, explorer, analyser, échanger et présenter l’information de façon responsable et sans discrimination. ICTs peut être utilisé pour donner à des utilisateurs l’accès rapide les idées et les expériences d’un éventail derrière personnes, derrière communautés et derrière cultures.35 Dans la pratique cependant, le numérique divisent des marques ceci un rêve pour beaucoup. Le terme “numérique se divisent” se rapporte à l’espace entre les personnes avec l’accès efficace à ICTs et ceux avec très limité ou aucun accès du tout. Il inclut les déséquilibres dans l’accès physique à la technologie aussi bien que les déséquilibres dans les ressources et les qualifications requises pour participer efficacement en tant que citoyen numérique. La limite est étroitement liée à la connaissance se divisent de comme le manque de manque de causes de technologie l’information utile et la connaissance – par conséquent la pertinence profonde de l’accès à ICTs avec le mouvement d’A2K. Le terme “numérique que global se divisent” se rapporte à des différences entre dans l’accès de technologie les pays ou les régions du monde.36 Le numérique global se divisent entre développé et le monde en voie de développement est un aspect d’un problème social beaucoup plus large de l’inégalité économique. Les buts de développement du millénium des Nations Unies (MDG) sont dans un programme de parapluie pour aborder de telles questions au plus large niveau,37 y compris le besoin d’investissement l’infrastructure Internet et les services dans les régions souffrant du numérique se divisent. 4.2.1 Accéder à l’internet L’accès aux services d’ICT comprenant l’Internet dépend d’un certain nombre de facteurs, y compris l’infrastructure, qui sont contraints dans 35 http://en.wikipedia.org/wiki/Information_and_communication_technologies 36 http://en.wikipedia.org/wiki/Digital_divide 37 Voir http://www.un.org/millenniumgoals/. 106 4.2. L’accès à l’information et communication des technologies la plupart des pays en voie de développement. David Souter, un spécialiste dans ICTs pour le développement, note sur que les établissements globaux continuent à se concentrer la politique et le changement de normalisation, plutôt qu’investissement direct, en adressant des déficits d’infrastructure de communications. On s’attend à ce que l’investissement de secteur privé demeure haut et continue à se développer, avec des entreprises mobiles de communications semblant de plus en plus probablement mener la fourniture d’accès à bande large dans les pays de faible revenu, comme ils ont précédemment mené la fourniture de téléphonie.38 L’union internationale de Telecommuniations maintient un index régulièrement à jour de l’accès à l’Internet autour du monde. Ses 2009 statistiques prouvent que plus de 90% de la population des pays de Scandanavian de la Suède, la Norvège et l’Islande étaient des utilisateurs d’Internet, par comparaison avec près de 0% dans les pays en voie de développement tels que le Bangladesh, le Timor-Leste, le Myanmar et la Sierra Leone.39 Pour l’Internet à bande large, le pourcentage le plus élevé des utilisateurs était en Liechtenstein à 75%, avec un grand beaucoup plus de pays plus près de 0%. Avoir dit ceci, les statistiques prouvent que l’espace dans l’accès entre les pays développés et en voie de développement se rétrécit avec le temps. En Afrique La plupart des établissements éducatifs ont peu ou pas d’accès au l’Internet et des réseaux, et la largeur de bande est limitée. La gestion de réseau d’extension encouragerait des établissements et des éditeurs locaux de journal à établir des sites Web et à fournir les utilisateurs en ligne et aidants ainsi contents d’accéder à des matériaux de recherches – en particulier s’ils étaient rendus disponibles gratuitement. À cet effet, l’arrivée des câbles à fibres optiques dans les pays africains est très opportune. En juillet l’année dernière, le premier de quatre câbles à fibres optiques sous-marins est devenu disponible, reliant des Africains le long de la côte est à l’Internet à bande large à grande vitesse. Les lignes contact ont rectifié au Kenya, en Tanzanie, en Mozambique et en Afrique du Sud. Développant ICT des politiques fortes n’est pas simplement au sujet d’améliorer l’assurance d’Internet – il inclut également les établisse38 Souter, David ; Finlay, Alan (éd.), Chap. Institutional Overview In Global Information Society Watch 2008. Uruguay: APC and Hivos, 2008, p. 43. 39 http://www.itu.int/ITU-D/ict/statistics/ 107 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION ments de support pour contrôler des intranets, des dépôts et des projets de gestion de réseau. Par exemple, la confiance de réseau d’éducation du Kenya (KENET) favorise l’utilisation d’ICT dans l’enseignement, l’étude et la recherche dans des établissements d’enseignement supérieur. KENET vise à relier tous les universités du Kenya, universités et établissements de recherches par un réseau privé qui a également accès à grande vitesse d’Internet. Il permet la communication électronique parmi des établissements d’étudiants et corps enseignant dans de membre et le partage des ressources d’étude et d’enseignement par la collaboration sur le développement du contenu éducatif. Les chercheurs africains peuvent également se servir des réseaux externes, en particulier ceux des organisations nonnes gouvernemental qui sont investies dans diffuser l’information. L’université de l’ONU, par exemple, offre les matériaux libres de soutien, de conseils et de cours aux universités dans le monde en voie de développement qui veulent partager des cours et développent leurs propres sites Web ouverts d’accès.40 4.2.2 Calcul à prix réduit Puisque les ordinateurs sont devenus un outil de plus en plus indispensable pour accéder et écarter à l’information, le coût de calcul est une question cruciale qui décide à la façon dont efficacement nous pouvons accéder l’information et la connaissance. Car le coût de matériel diminue, le type de logiciel a employé – si de propriété industrielle ou libère – est un souci important. (“Libre” se rapporte à la “liberté” et pas nécessairement “zéro-prix,” bien que le logiciel “libre” puisse également être copié librement.) Dit l’Appropedia : “en employant Linux, nous encourageons et branchons sur une communauté de programmeurs d’utilisateurs et d’ouvrir-source qui sont susceptibles de soutenir nos efforts. Windows est également ressource-affamé, moins fiable et écurie que Linux.”41 Des tentatives ont été faites d’abaisser le prix du matériel aussi. Il y a plusieurs projets pour développer et vendre un ordinateur à prix réduit pour le monde en voie de développement. Certains ont été plus réussis que d’autres. Beaucoup n’ont pas vécu jusqu’à leur potentiel promis. Quelques tels projets incluent le XO-1 (autrefois connu sous le nom de les $100 ordinateur portatif ou la machine des enfants), et étant dé40 Musakali, Joseph Juma, Bridging the digital divide through open access. 2010 〈URL: http://www.scidev.net/en/opinions/bridging-the-digital-divide-through-openaccess.html〉. 41 http://www.appropedia.org/Low_cost_computer_guide 108 4.3. Gouvernance veloppé par l’un ordinateur portatif par association de l’enfant (OLPC) ; la tentative de Simputer d’Inde (du calcul en commun) ; Camarade de classe PCW développé par Intel ; Ordinateur portatif bon marché d’Eee PCW développé par ASUS ; Le travail de la base de Jhai au Laos ; le projet nigérien pour construire cependant un ordinateur (US$1100) coûteux très vigoureux et poussière-résistant ; l’ordinateur simplifié d’Inveneo (un ordinateur pour des secteurs ruraux) conçu à San Francisco par Inveneo (les coûts environ d’US$300 à US$470, est petit, fonctionne 12VDC d’une batterie, et utilisations une fraction de la puissance d’un ordinateur régulier) ; avec de nombreux projets non concentrés sur le monde en voie de développement, cela a pu être facilement mis en communication. D’autres tentatives ont été faites en déployant les ordinateurs d’occasion, travaillant à Computerbanks, et semblables. Pendant quelques années des ordinateurs ont été suffisamment puissants pour être employés par plus d’un utilisateur (employant même une interface graphique). Ce qui est nécessaire pour taper ces possibilités sont équipent des ordinateurs d’une ou plusieurs cartes graphiques soutenant plus d’un moniteur, et plusieurs claviers et des souris d’USB. 4.3 Gouvernance La classe finale des issues à décrire brièvement sous la rubrique de favoriser des droits de l’homme dans la société de l’information sont des issues de gouvernement. C’est un souci overarching pour le mouvement global du consommateur qui se relie à la capacité de la société civile de participer au développement de l’ordre public global pour la société de l’information. Un certain nombre d’établissements de gouvernement se sont ouverts permettent la participation civile de société à une certaine forme, mais les barrières le coût et la capacité empêchent toujours des représentants du consommateur de participer entièrement de à ces établissements. Il est particulièrement difficile de s’assurer que les vues des consommateurs dans le sud global sont en juste proportion représentées dans des procédés de développement de politique à un niveau global et régional.42 42 Panos Institute, Louder Voices : Strengthening developing country participation in in- ternational ICT decision-making. 2002 〈URL: http://www.panos.org.uk/?lid=324〉. 109 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION 4.3.1 La participation Parmi les établissements globaux dont les décisions concernent l’accès à la connaissance être : • Institutions spécialisées d’IP telles que OMPI et le Conseil de TRIPS du WTO. • D’autres agences de l’ONU telles que le Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC). • Des organismes plurilateral plus étroits de traité tels que le comité d’ACTA. • Groupes régionaux tels que l’EU, l’organisation pour la coopération économique et le développement (OCDE), le conseil économique transatlantique, la coopération économique Asie-Pacifique (APEC), l’association asiatique du sud pour la coopération régionale (SAARC), le Mercusor, et l’association des nations asiatiques du sud-est (ASEAN). • Organismes de normalisation tels que l’IETF, le W3C, l’ITU et l’organisme de normalisation international (OIN). • Corps impliqués dans la distribution critique de ressource d’Internet telle qu’Internet Corporation pour des noms assignés et des nombres (ICANN) et des enregistrements régionaux d’Internet. • Forum de discussion de multi-dépositaire tels que le forum de gouvernement d’Internet (IGF). Le niveau de la participation que la société civile est permis dans de tels établissements change considérablement, de aucun (comme dans l’ACTA fini de négociations), à un rôle actif d’observateur (comme au sein des Comités permanents de OMPI), aux groupes consultatifs formels (comme au sein des Comités consultatifs d’OCDE), à l’égalité avec des gouvernements (comme au forum de gouvernement d’Internet). Évidemment, la société civile souhaite avoir le niveau possible maximum de l’entrée dans la prise de décision sur des questions d’A2K. Mais ceci est compliqué par le manque de normes pour la participation civile de société aux forum internationaux traitant ces issues. Le plus étroit qui existe au tel une norme vient du sommet du monde sur la société de l’information, qui a reconnu que “la gestion internationale de l’Internet devrait être multilatérale, transparente et démocratique, avec la pleine 110 4.3. Gouvernance participation des gouvernements, le secteur privé, la société civile et les organismes internationaux.” Suivant de ceci, le sommet a fait deux recommandations : premièrement par la réclamation l’établissement “d’un processus de la coopération augmentée” par quels gouvernements doivent mener le développement des principes globalement applicables d’ordre public pour l’Internet, et deuxièmement (mais comme partie de ce plus large processus) en établissant d’Internet forum un égal de gouvernement (IGF) comme nouveau forum pour le dialogue de politique de multi-dépositaire dans lequel les gouvernements peuvent prendre de rôle et responsabilité pour le gouvernement d’Internet et prise de décision politique en consultation avec tous autres dépositaires.43 À cet égard, l’IGF marque une progression significative, parce qu’il est ouvert de tous les dépositaires, incluant (uniquement pour un corps de l’ONU) des individus non-affiliés, avec l’objet de permettre à société civile une égalité des chances de participer à la discussion de politique avec tous autres groupes dans un forum non-ségrégé. Jusqu’ici cependant, cet éthique du multi-stakeholderism n’a pas imprégné très bien à travers à d’autres établissements de gouvernement global qui traitent des issues d’A2K. 4.3.2 La transparence Le transparent est des moyens de juger les fonctionnaires publics corruption responsable et combattante. Quand les réunions de gouvernement sont ouvertes presse et public, quand des budgets et de relevés des compte financier peuvent être passés en revue par n’importe qui, quand les lois, les règles et les décisions sont ouvertes de discussion, elles sont vues car transparent et il y a moins d’occasion pour que les autorités maltraitent le système dans leur propre intérêt.44 Comme dans le cas des occasions pour la participation, le niveau du transparent qui existe dans A2K définissant la politique change considérablement entre les établissements. On a déjà observé le manque de transparent dans les négociations d’ACTA. Dans la comparaison, à OMPI, les organismes civils de société ont accès relativement facile aux négociations plénières (cependant pas aux négociations privées de bloc), et des textes de négociation sont distribués et édités sur l’Internet. 43 http://www.itu.int/wsis/docs2/tunis/off/6rev1.html 44 http://en.wikipedia.org/wiki/Transparency_(behavior) 111 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION Quelques organismes et réseaux, par exemple, la communauté de GNU/Linux et l’Indymedia, insistent de sur le fait que non seulement l’information ordinaire d’intérêt à la communauté est rendue librement disponible, mais de que tous les (ou presque tous les) métaniveaux l’organisation et la prise de décision eux-mêmes sont également édités. Ceci est connu en tant que transparent radical. Une partie d’activisme d’A2K implique de préconiser pour un plus grand transparent dans des processus de politique, selon les besoins pour maintenir d’une sphère publique dans laquelle la société civile peut avoir l’entrée efficace et la supervision de ces processus. Un des outils que les activistes utilisent dans cet effort est les mass media. Quand cela échoue, ils ont souvent des voies de transmissions de pair-à-pair de recours telles que le “blogosphere,” des emplacements de Twitter, et d’enchaînement tels que Wikileaks.45 Branchissage politique Une antithèse au transparent est la pratique de la politique blanchissant, généralement utilisée comme tactique par des intrigants de maximalist d’IP. La politique de limite blanchissant est employée pour décrire des moyens de déguiser l’origine des décisions politiques, des lois ou des traités internationaux. La limite est basée sur l’argent semblable blanchissant. Une méthode commune pour la politique blanchissant est l’utilisation des traités internationaux qui sont formulés en secret. Après il n’est pas possible de découvrir qui a soutenu qui partie du traité. Chaque partie peut réclamer qu’elle n’était pas eux qui ont exigé un certain paragraphe mais qu’ils ont dû être d’accord sur l’“compromis” global.46 L’ACTA est l’exemple archétypal de la politique blanchissant dans l’action. Une coalition civile de société consacrée à exposer cette tactique est le projet blanchissant de politique,47 qui se concentre sur des questions telles que la surveillance de communications ; surveillance de voyage ; documents d’identité ; listes de montre de terroriste ; commandes de migration et de frontière ; coopération de sécurité et surveillance financière. 45 http://www.wikileaks.org/ 46 http://en.wikipedia.org/wiki/Policy_laundering 47 http://www.policylaundering.org/ 112 4.3. Gouvernance Useful links for this chapter Communications rights • UNESCO’s Information Society Portal is an Internet-based gateway to online resources on ethical, legal, socio-cultural and policy issues of the Information Society. http://www.unesco-ci.org/cgi-bin/portals/information-society/ page.cgi?d=1 Privacy • EFF’s Top 12 Ways to Protect Your Online Privacy http://www.eff.org/wp/effs-top-12-ways-protect-your-onlineprivacy Access to information • Free Government Information is a librarian-launched initiative “to raise public awareness of the importance of government information and create a community with various stakeholders to facilitate an open and critical dialogue.” http://www.freegovinfo.info Organisations • EPIC, the Electronic Privacy Information Centre, is a public interest research center in Washington, D.C., set up in 1994 to focus public attention on emerging civil liberties issues and to protect privacy, the US First Amendment, and constitutional values. http://epic.org/ • Electronic Frontier Finland : EFF’s equivalent body in Finland. Set up to “defend the citizens of electronic rights”. Links to action, publications, more about the association, and online links. http://www.effi.org • European Digital Rights Initiative. Founded in June 2002. Some 27 privacy and civil rights organisations, from 17 countries of Europe, are EDRI members. Members aim to “defend civil rights in the information society.” This group sees growing regulation regarding the Internet, copyright and privacy as originating from European institutions, or from international institutions with a strong impact in Europe. http://www.edri.org 113 4. P ROMOUVOIR LES DROITS DE L’ HOMME DANS LA SOCIÉTÉ DE L’ INFORMATION • Foundation for Information Policy Research : A body that studies the interaction between information technology and society. Its goal is “to identify technical developments with significant social impact, commission and undertake research into public policy alternatives, and promote public understanding and dialogue between technologists and policy-makers in the UK and Europe.” Among its links are those pointing to surveillance, copyright, edemocracy and health privacy. http://www.fipr.org • OpenNet Initiative : The OpenNet Initiative is a collaborative part- nership of four leading academic institutions which aims “to investigate, expose and analyse Internet filtering and surveillance practices in a credible and non-partisan fashion.” It also intends to uncover the potential pitfalls and unintended consequences of these practices, and thus help to inform better public policy and advocacy work in this area. http://opennet.net/about-oni 114 C HAPITRE Les ressources 5.1 Questions fréquemment posées Pourquoi l’A2K est important ? L’accès à la connaissance est le module de n’importe quelle “société de la connaissance.” A2K lie l’idée de l’accès à la connaissance aux principes fondamentaux de la justice, de la liberté, et du développement économique. L’accès à la connaissance est crucial pour des individus, des établissements et des pays qui souhaitent influencer la puissance d’information de se déplacer en avant un monde connaissance-conduit concurrentiel. Les sociétés humaines ont toujours dépendu de l’accumulation de la connaissance et du transfert de la connaissance. Il y a cependant, maintenant une plus grande propension pour que la connaissance soit regardée comme produit en soi, et comme base des configurations économiques et politiques de la société. Une machine sophistiquée peut être achetée par un pays en voie de développement, mais c’est inutile sans savoir-faire sur l’employer. Tandis que plus tôt les barrières sur acquérir un tel savoir-faire devaient faire avec des distances géographiques, maintenant il est plus une question des restrictions artificielles placées par des lois de propriété intellectuelle de copyright, des brevets, des marques déposées, etc. L’accès au mouvement de la connaissance vise “à augmenter la participation de citoyen aux affaires culturelles, civiques, et éducatives, et au partage des avantages de l’avancement scientifique” en cherchant à surmonter les disparités dans la richesse, le développement, et les pos115 5 5. L ES RESSOURCES sibilités participatoires créées par manque d’accès aux ressources de la connaissance. Ainsi, l’accès à la connaissance est, de car Jack Balkin la met, “une demande de justice” des pays en voie de développement pour une distribution plus large et plus équitable de la connaissance et est une issue de développement économique et une issue participation individuelle et liberté humaine. Comment est-ce que A2K m’affecte personnellement ? S’il signifie les livres d’accès en bibliothèque, magasins sur l’enchaînement, ou coût de médecines, l’exécution d’A2K a un impact crucial sur combien d’information nous pouvons obtenir et d’où. L’“accès à la connaissance” n’est pas simplement un concept abstrait mais un qui affectent les vies quotidiennes des consommateurs. Si c’est une issue de pouvoir emprunter librement un VCD à une bibliothèque de location (qui est illégale en Inde), ou une question de logiciel raisonnable-évalué, l’accès à la connaissance affecte des consommateurs dans une variété de façons. Dans une “économie de la connaissance” de telles droites font une différence cruciale quand elle vient à l’infrastructure d’accès, la droite d’accéder à la connaissance pour la santé et la médecine et l’éducation. De telles droites, ou le manque d’elles, peuvent faire une différence cruciale à notre réalité quotidienne. Qu’est ce que A2K comporte ? Les issues d’A2K incluent tout de : • Capacité d’acheter les manuels non-exorbitants, capacité de photocopier des matériaux, capacité de publier des livres d’une bibliothèque. • Capacité de partager la musique et les videos. • Capacité d’accéder à des données gouvernementales, cartes, nouvelles. • Capacité d’accéder des découvertes scientifiques au et des publications scolaires. • La capacité d’accéder aux drogues, au matériel électronique, au logiciel d’ordinateur, et à autre “connaissance-a enfoncé des marchandises.” 116 5.1. Questions fréquemment posées • Capacité d’empêcher empêcher le détournement de la connaissance de traditionnelle, expressions culturelles traditionnelles, moyens de production traditionnels (agriculture et graines, de médecine, etc.) Ceux-ci favorisent non seulement la croissance équitable, mais permettent également la participation démocratique et le plaisir des droits civiques. Le but de l’accès à la connaissance est d’améliorer l’accès à quatre composants de l’économie de la connaissance : accéder à la connaissance humaine, à l’accès à l’information, à l’accès dans des KEGs [marchandises Connaissance-incorporées], et à l’accès aux outils pour produire des KEGs.1 Devrais-je être préoccuper par A2K même si je ne suis pas à l’origine un knowledge-worker ? Premièrement, les distinctions entre tels qui sont des connaissanceouvriers et ceux qui ne sont pas décomposent jusqu’à un degré. Même si tu n’es pas un connaissance-ouvrier, tu pourrais les ordinateurs et le logiciel immobiles d’utilisation, et pourrais immobile écouter la musique et observer des films, ou pourrais le besoin immobile de mettre un enfant par l’école. Quand tellement de ce que nous tourne autour de la connaissance des diverses sortes (la connaissance, l’information, marchandises connaissance-incorporées, et outils pour travailler avec les enfoncer-marchandises de la connaissance). L’accès à l’information est critique à adresser les soucis plus évidents de droits de l’homme tels que la santé, la nourriture, et les droits des femmes, comme discuté par prof. Molly Beutz Land de l’école de droit de New York. Comment puis-je m’impliquer dans la campagne de A2K ? ? Il y a un certain nombre d’organismes fonctionnant autour du monde sur des questions d’A2K, y compris le bibliotheca Alexandrina, l’information électronique pour des bibliothèques, l’UNESCO, projet de société de l’information de Yale, base libre de logiciel, Electronic Frontier Foundation, base de Shuttleworth, écologie de la connaissance internationale, réseau du tiers monde, consommateurs internationaux, IQSensato, centre pour 1 Balkin, Jack, What is Access to Knowledge ? 2006 〈URL: http://balkin.blogspot.com/ 2006/04/what-is-access-to-knowledge.html〉. 117 5. L ES RESSOURCES l’Internet et la société, Escola de Direito font le da Fundação Getulio Vargas, étudiants de Rio De Janeiro pour la culture libre, les terrains communaux créateurs, et un grand beaucoup d’autres organismes. Tu peus souscrire à une des listes d’expédition, informes d’autres au sujet de l’accès aux issues de la connaissance que tu fais face ou te rends compte de, offres pour aider un de ces organismes, conscience de diffusion par de divers médias, y compris de blogs, de réseaux sociaux, lettres aux rédacteurs, etc. . . Tu peus parler aux étudiants et aux bibliothécaires et à d’autres qui sont déjà une partie de la campagne. Comprendre l’issue. Rechercher en ligne les groupes travaillant à elle. Lier vers le haut avec des groupes faisant campagne sur cet avant. Mettre en application les idées globales appropriées à votre niveau local. Si je suis interessé par un seul aspect de A2K, pourquoi essayer de comprendre la campagne dans l’ensemble ? Tu pas dois nécessairement. Certains sont très bien avec le coût élevé d’accès aux publications scientifiques aussi longtemps que les données gouvernementales sont disponibles à l’usage de l’ensemble des habitants. Certains sont corrects avec des lois de copyright inflexibles aussi longtemps que les lois de brevet fournissent à flexibilities proportionnés. Cependant, il y a une tendance alarmante de diverses lois de propriété intellectuelle augmentant tout (de même que le cas quand l’accord de TRIP de l’organisation de commerce mondial est entré en vigueur). Ceci exige une plus grande compréhension de la campagne entière.)D’ailleurs, une réforme peut dépanner les issues multiples, et une issue simple peut a besoin de la réforme des dispositions multiples dans la loi de copyright. Ainsi, alors qu’il n’est pas nécessaire de comprendre la campagne dans l’ensemble, il vaut mieux de faire ainsi. Le charme d’A2K’s a été sa capacité de relier des campagnes diverses dans un entier incontestable. À première vue, là pourrait sembler peu dans la liberté commune de logiciel, copyright, grain, et la médecine accessible, les mouvements d’A2K explique quelles issues communes sont impliquées ici. Ceci aide à établir des stratégies logiques sur les avants apparemment indépendants. 5.2 Glossaire accès ouvert – l’accès ouvert est un mouvement pour la publication des documents, particulièrement les matériaux d’étude, permis libres de 118 5.2. Glossaire dessous en ligne, tels que des permis créateurs de terrains communaux. Voir également : Terrains communaux Créateurs A2K – accéder à la connaissance est un mouvement avec l’objectif d’assurer un accès plus équitable à notre rendement créateur et scientifique de la société. Incluse dans son ordre du jour est la réforme du droit des brevets de copyright et, mais également la promotion des solutions de rechange à la propriété intellectuelle pour la protection la créativité et l’innovation - par exemple, des terrains communaux créateurs autorisant et des prix d’innovation. ACTA – l’accord commercial deContrefaçon est un accord plurilateral dans la négociation, en dehors de de OMPI, entre les nations développées telles que les Etats-Unis, l’EU, le Japon, l’Australie et le Canada qui augmenterait la force de l’application de propriété intellectuelle. Le processus d’ACTA a été fortement critiqué pour son secret. Acte de Sonny Bono – l’acte 1998 de prolongation de limite de copyright était la loi des Etats-Unis qui a prolongé la limite de la protection de la plupart des copyright contre 50 à 70 ans. On le connaît généralement comme acte de Sonny Bono parce qu’il a été présenté par le membre du Congrès et l’ancien interprète Sonny Bono. brevet – un brevet est un monopole statutaire donné à l’inventeur un processus synthétique ou le produit qui d’d’être roman (c’est-à-dire, non connu du public avant) et de de l’impliquer une étape inventive (c’est-à-dire, ne pas être évident à quelqu’un au courant de la situation actuelle existante). À la différence de copyright, un brevet peut être violé involontairement. BSD – le permis de schéma (Berkeley Software Distribution) était le permis original de la variante de schéma d’Unix, mais est maintenant meilleur connu sous le nom d’un permis d’usage universel de FOSS qui ne contient aucune limite de copyleft. Ceci signifie que des travaux dérivés de lui peuvent être autorisés en tant que logiciel de propriété industrielle. CI – les consommateurs internationaux (CI) est la seule voix de campagne globale indépendante pour des consommateurs. Avec plus de 220 organismes de membre dans 115 pays, nous construisons un consommateur international puissant que le mouvement à l’aide protègent et autorisent des consommateurs partout. Pour plus d’information, visite www.consumersinternational.org. copyleft – Copyleft est une limite de permis référée par Creative Commons aussi part-semblable, et parfois de manière péjoratif que l’autorisation “virale,” qui exige ceux qui reçoivent un travail en vertu d’un permis particulier au dégagement tous les travaux de dérivé 119 5. L ES RESSOURCES sous le même permis. Voir également : Terrains communaux Créateurs, GPL. Synonyms : part-semblable copyright – copyright est un monopole statutaire donné à l’auteur d’un travail créateur qui protège la forme d’expression contre de ce travail copier ou modification par d’autres. Le niveau de minimum de la protection de copyright est présenté aux traités tels que la convention de Berne. Voir également : Convention De Berne Convention de Berne – la convention de Berne pour la protection des travaux littéraires et artistiques est le traité global original sur copyright de 1886 qui fixe le standard minimum et la durée pour la protection de littéraire, d’artistique, de dramatique et musical fonctionne. Elle est administrée par OMPI. Voir également : garantir les droits d’auteur, OMPI Convention de Paris – la convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle de 1883 est un traité de propriété intellectuelle administré par OMPI qui donne le plus notamment aux parties contractantes la propriété intellectuelle de recours entre eux pour l’enregistrement des brevets. Voir également : OMPI Convention de Rome – la convention de Rome pour la protection des interprètes, des producteurs de Phonograms et des organismes d’annonce a été convenue en 1961 et protection prolongée de copyright des exécutions et des enregistrements de phase ou annonce en. Il est administré par OMPI. Voir également : OMPI, WPPT domaine public – après que la limite de la protection de copyright expire, ou plus tôt avec l’accord du propriétaire de copyright, on dit qu’un travail passe dans le public domain. Un tel travail n’est sujet plus aux droites exclusives que copyright accorde, et pendant que tels peuvent être librement copiés, modifié et émission par n’importe qui. DRM – la gestion de droites de Digital est un arrangement par lequel un propriétaire de copyright cherche à employer les mécanismes technologiques de protection (TPM) pour commander l’exercice de n’importe laquelle de ses droites exclusives, telles que la droite de copier ou modifier un travail de copyright. DRM inclut des codes de copieprotection et de région. Voir également : TPM eIFL – information électronique pour des bibliothèques, une ONG en avant qui préconise pour les intérêts des bibliothèques et des utilisateurs de bibliothèque. FOSS – libérer et ouvrir le logiciel de source (FOSS), ou le libérer, Libre et logiciel ouvert de source (SOIE) se réfère collectivement le terme plus ancien “logiciel libre au” préféré par la base libre de logiciel (FSF), et 120 5.2. Glossaire le terme plus nouveau “logiciel ouvert de source” préféré par l’initiative ouverte de source (OSI). Tous les deux se rapportent au logiciel autorisé aux conditions que qui lui permettent d’être copié, modifié et distribué librement - pour le quel accès au code source du logiciel est une condition. Synonymes : SOIE FSF – base libre de logiciel, une ONG en avant favorisant l’utilisation et développement du FOSS. FTA – un accord de libre-échange est un accord bilatéral entre deux pays par lesquels ils acceptent d’abaisser les restrictions commerciales en échange de certaines concessions. Dans le cas de FTAs a convenu entre les Etats-Unis et d’autres pays, il est habituel que le FTA exigera de l’autre pays d’intensifier le niveau de sa protection pour la propriété intellectuelle, par exemple en augmentant la longueur de la protection de copyright contre 50 à 70 ans. GNU – GNU (Unix du GNU’s pas) est un projet de la base libre de logiciel (FSF) pour développer un remplacement complet de FOSS pour le logiciel d’exploitation Unix d’ordinateur de propriété industrielle. Le logiciel libéré en tant qu’élément du projet de GNU est généralement trouvé dans les distributions du logiciel d’exploitation de Linux, menant le FSF pour recommander que de tels systèmes désigné sous le nom de GNU/Linux. Voir également : GPL GPL – le permis de grand public de GNU est un permis de FOSS habituellement appliqué au logiciel d’ordinateur. Il contient un “copyleft” parfois visé de disposition (ou dans le parlance créateur de terrains communaux comme part-semblable) qui exige de tous les travaux dérivés d’être libérés sous le même permis que l’original. Voir également : copyleft, GNU ICANN – Internet Corporation pour des noms assignés et des nombres est un corps privé sans but lucratif responsable de développer et d’administrer les politiques pour l’attribution des ressources d’Internet telles que des noms de domaine et des adresses d’IP. ICT – les technologies de l’information et de communication incluent des ordinateurs, des téléphones et des réseaux de transmission tels que l’Internet. IETF – le Internet Engineering Task Force est un organisme de normalisation responsable du développement de la plupart des normes de gestion de réseau pour l’opération de l’Internet. IGF – le forum de gouvernement d’Internet est un forum formé sous les auspices des Nations Unies, pour fournir “un transparent, processus démocratique et et multilatéral, avec la participation des gouvernements, secteur privé, société civile et organismes internationaux, 121 5. L ES RESSOURCES dans leurs rôles respectifs” pour le dialogue sur la politique de gouvernement d’Internet. IP – se rapporte habituellement à la propriété intellectuelle - c.-à-d., principalement copyright, brevets et marques déposées. Elle peut également se rapporter au Internet Protocol qui est un composant de la norme de gestion de réseau de TCP/IP sur laquelle l’Internet est basé. La propriété intellectuelle a été décrite comme terme mal approprié pour deux raisons : premièrement, les différents types de propriété intellectuelle tels que copyright et les brevets sont tout à fait différents légalement. Deuxièmement, aucun d’eux n’a beaucoup en commun avec vraie ou personnelle propriété. Synonymes : IPR ISP – Internet Service Provider logiciel – un système informatique comporte deux parts : matériel et logiciel. Le matériel est le dispositif physique qui inclut une unité centrale de traitement (unité centrale de traitement) avec des périphériques d’entrée et de rendement pour tenir compte de la communication avec le monde extérieur. Le logiciel est un ensemble d’instructions codées ces les utilisateurs d’ordinateur pour accomplir des tâches. Les tâches les plus fondamentales sont accomplies par le logiciel de logiciel d’exploitation, et les tâches plus spécifiques telles que le traitement de texte par le logiciel d’application. Linux – Linux est le grain d’un logiciel d’exploitation d’ordinateur libre libéré sous le GNU GPL. Dans l’utilisation commune, il se rapporte également aux logiciels d’exploitation complets basés sur le grain de Linux et incorporer également l’autre logiciel, y compris le logiciel de GNU. neutralité nette – la neutralité nette est un mouvement préconisant par l’égalité de traitement du contenu d’Internet des fournisseurs télécommunications et ISPs. L’alternative est sur que le traitement différentiel peut être appliqué à différents types de contenu basés sa source ou d’autres critères, y compris le paiement de l’argent par le fournisseur de contenu. Synonymes : neutralité de réseau ODF – le format d’OpenDocument tels qu’est une norme ouverte d’OIN pour des documents de bureau le traitement de texte, le bilan et les dossiers de présentation. Elle a été mise en application la première fois par la suite de bureau de FOSS OpenOffice.org mais est maintenant soutenue par nombreux d’autres produits. OMPI – l’organisation de propriété intellectuelle du monde est une organisation intergouvernementale formée dans 1967 comme institution spécialisée des Nations Unies. Elle est responsable d’administrer les traités principaux de propriété intellectuelle tels que la convention 122 5.2. Glossaire de Berne, convention de Paris et convention de Rome. Plus récemment elle a également commencé à développer de nouveaux traités tels que le Traité de copyright de OMPI (WCT) et les exécutions de OMPI et le Traité de Phonograms (WPPT). Voir également : Convention De Berne, Convention De Paris, Convention De Rome, SCCR, WCT , WPPT OSI – peut se référer l’un ou l’autre à l’initiative ouverte de source, à l’organisation qui promeut l’utilisation et développement de FOSS, ou à l’institut ouvert de société, à une fondation charitable et à un des commanditaires d’A2Knetwork.org. ouvrir la norme – il y a un certain nombre de définitions incompatibles de ce qu’est une norme ouverte, mais la définition de l’initiative ouverte de source (OSI) exige que le standard soit librement et publiquement disponible et qu’elle soit capable d’être mis en application dans FOSS aux conditions redevance-libres. Une autre condition commune (par exemple du W3C) est que la norme a été développée par un corps neutre dans un processus ouvert et transparent. réponse graduée – la réponse graduée est un processus qui garantissent les droits d’auteur des propriétaires ont été en pourparlers avec ISPs, parfois avec le support législatif, pour impliquer ISPs dans l’application de copyright. Typiquement ISPs sont exigés pour donner deux avertissements aux utilisateurs que les propriétaires de copyright allèguent violent copyright, puis après une troisième infraction alléguée pour terminer ou suspendre le raccordement de l’Internet de l’utilisateur. Synonymes : trois grèves s’occuper juste – s’occuper loyalement, pour ne pas être confondu avec la doctrine plus large d’une utilité juste en vertu de la loi des USA, permet au matériel de copyright d’être employé pour certains buts énumérés. Il n’y a aucune liste globale limitations et exceptions qui constituent l’utilisation juste, mais généralement de l’éducation et de la recherche, de la parodie et du satire, de la revue et de la critique et du reportage des nouvelles sont parmi les buts pour lesquels les exceptions s’occupantes justes existent dans la loi nationale. Voir également : utilisation juste SCCR – OMPI Comité de copyright et des droites relatives, qui est le comité responsable de considérer des propositions pour que n’importe quel nouvel accord harmonise ou d’augmente des limitations et des exceptions de copyright à un niveau global. Voir également : OMPI TACD – le dialogue transatlantique du consommateur est un corps filiale avec intéressé international des consommateurs avec la politique 123 5. L ES RESSOURCES européenne et américaine sur des questions de propriété commerciale et intellectuelle affectant des consommateurs. TPM – les mécanismes technologiques de protection sont tous les moyens techniques qu’un propriétaire de copyright peut employer pour mettre en application la gestion de droites de Digital (DRM). Le circumvention de TPMs est interdit par le Traité de copyright de OMPI (WCT) et la législation nationale qui instrument ce traité. Beaucoup d’une telle législation est au-dessus-large et interdit même le circumvention de TPMs pour les buts qui qualifieraient en tant que l’utilisation ou foire juste s’occupant en vertu de la loi nationale. Voir également : DRM, WCT Terrains communaux créateurs – les terrains communaux créateurs est le nom d’un ensemble de permis qui permettent à un propriétaire de copyright d’autoriser son travail au public en vertu des conditions qui sont moins restrictives que ce que lui ou elle pourrait imposer en vertu de la loi de copyright. La protection minimum maintenue par le propriétaire de copyright est le juste de l’attribution, mais l’utilisation commerciale ou la fabrication des travaux dérivés peut également être restreinte, et ceux les travaux dérivés de distribution peuvent être exigés pour faire ainsi sous le même permis que l’original. Voir également : copyleft, accès ouvert travail dérivé – la droite de créer un travail dérivé d’un travail de copyright, tel qu’une adaptation, traduction, arrangement ou raccourcissement, est l’une des droites exclusives d’un propriétaire de copyright. En vertu de la loi des USA, la création d’un travail dérivé peut être autorisée sans permis du propriétaire de copyright sous la doctrine d’une utilité juste si elle est suffisamment transformative. TRIPS – les TRIPS (aspects Commercer-Connexes des droites de propriété intellectuelle) est l’un des accords intergouvernementaux d’accord sur lesquels les membres du WTO doivent être. Il exige des membres d’adhérer à des traités plus tôt de propriété intellectuelle tels que la convention de Berne, mais entre également plus loin en exigeant la protection du logiciel et des bases de données d’ordinateur. Le manque de respecter l’accord de TRIPS peut avoir comme conséquence les sanctions commerciales. utilisation juste – la doctrine d’une utilité juste en vertu de loi des USA permet au matériel de copyright d’être employé librement dans beaucoup de circonstances basées sur le but et caractère de l’utilisation, d’inclure sur si une telle utilisation est à caractère commercial ou est pour les buts éducatifs sans but lucratif, la nature du travail garanti les droits d’auteur, la quantité et le substantiality de la partie 124 5.3. Les citations de A2K utilisée par rapport au travail garanti les droits d’auteur dans l’ensemble, et de l’effet de l’utilisation le marché potentiel pour ou valeur du travail garanti les droits d’auteur. Voir également : s’occuper juste W3C – le consortium de World Wide Web, l’organisme de normalisation responsable de développer les normes qui sous-tendantes le World Wide Web. WBU – l’union d’abat-jour du monde est une ONG représentant les intérêts des personnes visuellement altérées, et est en grande partie responsable de pousser la caisse dans OMPI pour un nouveau traité pour des exceptions et des limitations de copyright pour l’aveugle et les utilisateurs visuellement altérés. WCT – le Traité de copyright de OMPI de 1996 donne à des propriétaires de copyright un nouveau droit de rendre leur travail disponible (par exemple, en le rendant accessible sur l’Internet), et présente une nouvelle prohibition sur le circumvention des mesures technologiques de protection (TPMs) comme l’information de gestion de droites de Digital (DRM). Voir également : TPM, OMPI WPPT – les exécutions de OMPI et le Traité de Phonograms de 1996 mises à jour les droites des interprètes et des animateurs comme présentées dans la convention de Rome en ajoutant de nouvelles droites exclusives telles que la droite de la location et la droite de rendre disponible ou communication au public. Voir également : Convention De Rome, OMPI 5.3 Les citations de A2K • Les marchandises de la connaissance sont également fondamentalement différentes des marchandises physiques et des services. Elles peuvent être copiées. Elles peuvent être partagées. Elles ne doivent pas être rares. – Knowledge Ecology International2 • L’accès à la connaissance est essentiel pour le fonctionnement d’une société en bonne santé et démocratique. Sans ensemble des habitants bien informé, le débat public éclairé ne peut pas avoir lieu sur les questions politiques, sociales, environnementales ou économiques. Sans discussion répandue, le large consensus sur lequel une démocratie saine est basée ne peut pas être réalisé. – eIFL.net3 2 http://www.cptech.org/a2k/ 3 http://plip.eifl.net/news/spotlight/libraries-promoting 125 5. L ES RESSOURCES • Accéder à information/knowledge (est) à un droit de l’homme de base – essentiel pour la survie et le développement humains. – Denise Nicholson, Politique d’ACA2K Et Conseiller De Diffusion4 • L’accès à la connaissance est fondamental à l’éducation et la recherche et la création dont du capital humain lors le développement des sociétés dépendent. C’est particulièrement vrai dans la société de l’information où le progrès économique dépend d’avoir une population instruite et instruite. – eIFL.net5 • Tandis que le mouvement d’A2K est préoccupé par l’equitabilité et l’accès à la connaissance, elle est également de support des communautés créatrices et inventives. Pour réconcilier ces intérêts, nous favorisons de nouveaux paradigmes pour la création et la gestion des ressources de la connaissance. – Knowledge Ecology International6 • Les riches et les pauvres peuvent être plus égaux en ce qui concerne des marchandises de la connaissance qu’à beaucoup d’autres secteurs. – Knowledge Ecology International7 • Si du vingtième les objets primaires siècle du commerce étaient la main-d’oeuvre nonne qualifié d’huile, en acier et ; le vingt et unième siècle s’occupe de l’information, de la technologie et de la connaissance. – Lea Shaver8 • L’accès à la connaissance est important dans beaucoup de différentes dimensions ; incluant mais non limité au développement économique personnel, social et, à l’avancement de la science, à la santé, à la liberté et à l’exercice de la puissance politique. La liberté pour employer des inventions et de nouvelles connaissances est également importante pour l’innovation technologique. – James Love9 4 http://www.aca2k.org/attachments/247_ACA2K%20COPYRIGHT%20FOR% 5 6 7 8 9 126 20SA%20NATIONAL%20DIALOGUE%20NOVEMBER%202009%20(slides%20only) -Nicholson.ppt http://plip.eifl.net/news/spotlight/libraries-promoting http://www.cptech.org/a2k/ http://www.cptech.org/a2k/ Shaver, Lea (éd.), Access to Knowledge in Brazil : New Research on Intellectual Property, Innovation and Development. New Haven, CT: Yale University Information Society Project, 2008, p. 8. Biblioteca Alexandria, Access to Knowledge Toolkit II. 2009 〈URL: www1.bibalex.org/ a2k/attachments/references/reffileu24bkg55ykqwgc55zysxzq45.pdf〉, p. 7. 5.3. Les citations de A2K • A2K, c.-à-d. accès à la connaissance = accès ouvert à la connaissance et outils de la connaissance pour le plus large nombre de personnes. A2K est un meme qui essaye d’unifier de diverses approches telles que l’accès ouvert, le contenu ouvert, la connaissance ouverte, les terrains communaux créateurs, etc. . . au-dessous de un parapluie. C’est également une coalition lâche des groupes qui combattent pour ce but. – P2P Foundation10 • L’accès au mouvement de la connaissance (A2K) est une collection lâche de groupes, de gouvernements, et d’individus civils de société convergeant sur l’idée que l’accès à la connaissance devrait être lié aux principes fondamentaux de la justice, de la liberté et du développement économique. – Wikipedia11 • L’accès à la connaissance est un ensemble de principes qui émergent d’une collection lâche de différents mouvements sociaux. Ces mouvements sociaux, à leur tour, répondent aux changements de l’économie et de la société produites par de nouvelles technologies de l’information. – Jack M Balkin12 • L’accès à la connaissance se rapporte à quatre choses différentes. – la connaissance humaine – éducation, savoir-faire, et la création du capital humain en apprenant de nouvelles qualifications. – l’information – comme des nouvelles, l’information médicale, données, et rapports de temps. – marchandises Connaissance-incorporées (KEGs) – marchandises où les entrées à la production impliquent des quantités significatives de connaissances scientifiques et techniques, souvent mais pas exclusivement protégé par des droites de propriété intellectuelle. Quelques exemples principaux sont les drogues, le matériel électronique, et le logiciel d’ordinateur, mais dans la vie économique contemporaine, l’information et la propriété intellectuelle fournissent une part de plus en plus importante de presque toutes les marchandises valables. 10 http://p2pfoundation.net/A2K_Access_to_Knowledge 11 http://en.wikipedia.org/wiki/Access_to_Knowledge_movement 12 Balkin, Jack, What is Access to Knowledge ? 2006 〈URL: http://balkin.blogspot.com/ 2006/04/what-is-access-to-knowledge.html〉. 127 5. L ES RESSOURCES – outils pour la production des KEGs – les exemples incluent scientifique et recherchent des outils, des matériaux et des composés pour l’expérimentation, des programmes machine et matériel d’ordinateur. – P2P Foundation13 • L’accès à la connaissance est une demande de justice. . .L’accès à la connaissance est une issue de développement économique et une issue de participation individuelle et liberté humaine. . . L’accès à la connaissance est au sujet de propriété intellectuelle, mais il est également au sujet bien de plus que cela. – Jack M Balkin14 • A2K est devenu un mouvement mondial établi, cependant sans structure ou adhésion formelle. Comme les débuts du l mouvement environnemental il y a un demi-siècle, A2K a uni une variété de groupes et individus dans un terrain commun causer-dans des bibliothécaires de ce cas, des organismes du consommateur et d’incapacité, academics, la communauté libre de logiciel et des activistes de santé publique. Ils sont rassemblés par la croyance que l’accès juste à la connaissance est un composant essentiel d’une société ouverte et démocratique, créativité encourageante et innovation de stimulation, culture et développement économique. – Barbara Stratton15 • L’accès à la connaissance (A2K) est essentiel pour favoriser les droits de l’homme, développement économique et culturel, innovation, liberté individuelle et créativité. – Projet De Société De l’Information D’École De Droit De Yale16 13 http://p2pfoundation.net/A2K_Access_to_Knowledge 14 Balkin, Jack, What is Access to Knowledge ? 2006 〈URL: http://balkin.blogspot.com/ 2006/04/what-is-access-to-knowledge.html〉. 15 Biblioteca Alexandria, Access to Knowledge Toolkit II. 2009 〈URL: www1.bibalex.org/ a2k/attachments/references/reffileu24bkg55ykqwgc55zysxzq45.pdf〉, p. 18. 16 http://www.law.yale.edu/intellectuallife/7118.htm 128 Bibliographie ACA2K Project: ACA2K Methodology Guide. 2008 〈URL: http: //www.aca2k.org/images/pdf/ACA2K%20Methodology% 20Guide-April%202008.pdf〉 ACA2K Project: Access to Knowledge in Africa : The Role of Copyright. 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Indépendamment des passages qui sont spécifiquement mis en référence dans une source particulière ci-dessus, une partie du matériel dans cet article a été prise d’un prochain document de référence d’OpenGov sur l’accès à la connaissance conçue par Jeremy Malcolm. La section de FAQ dessine sur le travail de Pranesh Prakash du centre pour l’Internet et la société, Bangalore. Ce livre a été rédigé en utilisant la classe mémoire LATEX respectivement développé par Peter R Wilson et Leslie Lamport, et alternativement construit sur le système TEX de composition fondamental créé par Donald Knuth. L’édition a été faite avec l’éditeur Lyx. Le texte de base est centré sur l’Utopie au point 11 jusqu’au point 13 point conduisant, et le texte principal en Avant Garde, tous les deux provenant d’Adode. Tous ces composants ont été libérés sous des permis libres et sources ouvertes ; démontrant la polyvalence vraie de l’écosystème de source ouverte dans ce livre. 141