Chrome gagne des outils d`administration pour entreprise Endpoint
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Chrome gagne des outils d`administration pour entreprise Endpoint
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI N° 10/5 10/52 27 décembre 2010 La pensée de la semaine J'avais mis mes souliers devant la cheminée, le père Noël m'a apporté des pieds. Philippe Geluck Joyeux Noël Chrome gagne des outils d’administration pour entreprise http://www.lemagit.fr/article/google-navigateur-chrome/7712/1/chrome-gagne-des-outils-administration-pour-entreprise/ Google a décidé de positionner un peu mieux son navigateur Chrome dans les entreprises. Mountain View, qui mène une stratégie agressive pour pousser ses Google Apps dans les environnements professionnels, annonce avoir développé des outils d’administration facilitant le déploiement de son navigateur sur les postes de travail en entreprise, Windows, Mac et Linux. La firme de Mountain View indique sur son blog avoir développé un fichier d’installation MSI qui permet de déployer et de désinstaller les applications automatiquement dans un parc. Dans cette même idée, Google permet également d’intégrer son navigateur dans des politiques de groupe, en ligne avec celles mises en place dans l’entreprise (autorisation d’accès ou l’installation d’extension par exemple). Le groupe tient également à disposition des templates permettant aux administrateurs de personnaliser le navigateur selon leurs desiderata. Enfin, Google Chrome Frame, le plug-in pour IE qui émule le rendu de Chrome dans le navigateur de Microsoft, supporte désormais les politiques de groupe, pour répondre aux problématiques de compatibilité. Le fonctionnement de nombreuses applications d’entreprises reposent en effet sur le navigateur de Microsoft. Une façon pour Google de préparer également une éventuelle migration. Chrome, s’il poursuit sa progression sur le marché des navigateurs, restent nettement en retrait dans les environnements professionnels, derrière Internet Explorer et Firefox, le navigateur de Mozilla - qui ont déjà encadré leurs navigateurs respectifs d’outils de déploiement et d’administration. Selon le baromètre StatCounter, Chrome détient 13,06% de parts de marché en France en novembre, contre 36,74% pour Firefox et 42,01% pour IE (toutes versions confondues). Google affirme que ces nouveaux outils sont accessibles aux abonnés payants de la version entreprise des Google Apps. Endpoint Protector’s Guide to the 2011 Top Data and Network Security Threats http://www.prlog.org/11149565-endpoint-protectors-guide-to-the-2011-top-data-and-network-security-threats.html The guide highlights the 2011 top threats for business and small office data and network security Endpoint Protector has released its Guide to Identifying and Preventing the Top Data and Network Security Threats of 2011, an eBook aiming to help IT professionals, business owners, employees and private users create a secure digital environment in both business and personal life. To provide such a secure working environment, the first step is to properly identify the biggest, most common and most damaging threats and then learn what can be done to prevent them. Based on the frequent security breach news, the many reports and surveys published throughout 2010 and their own expertise and ability to identify security trends, the Endpoint Protector team has determined the biggest data and network security threats companies will have to face in the year to come and outline the best way to approach them. The biggest threat to face in the next year is the insider threat, which through its various flavors - employees with malicious intent, untrained and careless staffers or social engineering - will still cause most of the data breaches of 2011. Other security risks to watch out for are portable devices, malware infections spread through USB ports and other connection interfaces, cyber attacks, hackers and more such threatening security breaching activities. “The best way to effectively manage and prevent the top data and network security threats of 2011 is to combine a complex yet easy to manage endpoint security, device control and data loss prevention solution with training session to educate employees and with a constant effort to keep IT and security professionals up to date with the latest risks and best prevention methods”, explained Roman Foeckl, CoSoSys CEO. “The Endpoint Protector range of device control, data and endpoint security solution for Windows and Mac OS is extremely flexible and able to accommodate the needs of any type of company as well as those of home users.” Endpoint Protector backs its range of security solutions with a constant effort to educate the business world and home users in the field of endpoint security and data protection. The newly released eBook comes to complement past educational efforts that have mixed training and awareness with humor to create a very popular set of comics inspired by device control and data loss prevention issues. To download Endpoint Protector’s Guide to Identifying and Preventing the Top Data and Network Security Threats of 2011, please visit : http://www.endpointprotector.com/en/index.php/resources/ebooks Orange compte déployer de nouvelles cartes SIM permettant le paiement sans contact http://www.businessmobile.fr/actualites/orange-compte-deployer-de-nouvelles-cartes-sim-permettant-le-paiement-sans-contact-39756924.htm#xtor=EPR-8 Ces nouvelles cartes SIM, qui seront lancées au 2 S, intégreront la technologie NFC (Near Field Communication). Le paiement sans contact semble enfin devenir une priorité pour les opérateurs mobiles européens alors que ce service cartonne déjà depuis plusieurs années en Asie. Ainsi, alors que Nice vient de lancer une offre de ce type (Cityzi avec Orange et un terminal Samsung), l'opérateur annonce que ses prochaines cartes SIM intègreront la technologie NFC (Near Field Communication) utilisée pour les paiements sans contact à travers un mobile. Cette technologie peut être utilisée pour valider des billets de transport, payer des billets de concert ou faire des achats dans les magasins en présentant simplement son téléphone portable devant un lecteur électronique. Suite à une réunion avec les équipementiers tenue à Paris le 15 décembre, Orange a annoncé qu'il allait lancer les nouvelles cartes SIM à partir du 2S 2011, dans le cadre d'offres par abonnement, dans la majorité des pays européens dans lesquels le Groupe est présent". "Nous saisissons cette opportunité pour simplifier les opérations de paiement quotidiennes," explique Stéphane Richard, DG d’Orange. "Pour que ces services deviennent accessibles à nos clients, Orange travaille avec d'autres opérateurs, des sociétés de transport, des banques, des commerçants et des prestataires de services afin de créer un écosystème qui stimulera le développement de services adaptés aux besoins de chacun." Objectif, équiper au moins 500 000 de ses clients en France avec des mobiles compatibles d'ici fin 2011. D'après Juniper Research, le marché du paiement mobile devrait représenter près de 27 milliards de dollars en Europe avant 2014. Les fabricants de mobiles et les éditeurs d'OS mobiles accélèrent également sur le terrain du NFC en intégrant cette technologie dans leurs produits. Exemple avec Samsung Nexus S Android 2.3, Nokia qui va l'inclure dans tous ses smartphones, et RIM (BlackBerry). Aux Etats-Unis, les trois principaux opérateurs AT&T Mobility, T-Mobile et Verizon viennent de s'allier dans une joint-venture pour développer un service de paiement électronique sur mobiles via NFC. Le P-DG d'HTC confirme l'adoption de la norme NFC dans ses futurs smartphones http://www.businessmobile.fr/actualites/le-p-dg-d-htc-confirme-l-adoption-de-la-norme-nfc-dans-ses-futurs-modeles-de-smartphones-39756938.htm#xtor=EPR-10010 Dans une interview, Peter Chou a indiqué que la technologie NFC représentait l’avenir du paiement mobile. Il n’a cependant pas donné de détails ni de date sur les futurs smartphones concernés. Lors d'un entretien avec Mobile World Live, Peter Chou, le patron d'HTC, a répondu par l'affirmative à la question de savoir si la marque comptait adopter la technologie NFC pour ses modèles. « Oui. Les paiements mobiles - sans fil et sécurisés depuis un terminal tel qu'un smartphone - sont certainement la tendance du futur et nous soutiendrons cela ». Il ne s'est toutefois engagé sur aucune échéance concrète. Mais cela ne devrait pas trop tarder étant donné que de nombreux concurrents ont déjà annoncé des smartphones équipés NFC pour l'année prochaine. Le Nexus S de Google possède une puce NFC (supporté nativement par Android 2.3), Nokia a prévu d'en intégrer dans tous ses smartphones dès 2011, RIM a déclaré qu'il serait « stupide » de ne pas adopter cette norme et Apple y penserait pour l'iPhone 5. On entendra probablement beaucoup parler de NFC au Mobile World Congress qui se tient du 14 au 17 février à Barcelone. La NASA voit l'avenir de l'exploration martienne dans le "nuage" http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/65403.htm Depuis les débuts de l'exploration spatiale, chaque génération d'appareils - télescope, satellite ou rover - permet d'obtenir des clichés avec un niveau de détail surpassant de loin leurs illustres prédécesseurs. On se souvient ainsi qu'une face humanoïde avait été observée à la surface de Mars en 1976 par la sonde Viking alors que la sonde Mars Global Surveyor a démontré en 2001 qu'il ne s'agissait que d'ombres dues au relief accidenté de la planète rouge. Ces progrès techniques se traduisent concrètement par une inflation des données numériques à transmettre, traiter et archiver. C'est ainsi que les sciences de l'information ont toujours accompagné les avancées dans ce domaine. C'est donc tout naturellement que la NASA cherche à s'appuyer sur la nouvelle grande révolution que représente le "cloud computing" ou informatique dans le nuage. La NASA dans le nuage Le "Jet Propulsion Laboratory" (JPL), qui a conçu et gère au quotidien les rovers Spirit et Opportunity chargés de l'exploration martienne depuis 2004, a récemment annoncé [2] être le premier laboratoire à s'appuyer sur le cloud computing pour les opérations courantes d'une mission spatiale. L'équipe a développé un logiciel de planification de tâches (activity planning software), nommé "projet Maestro", qui sert à distribuer le traitement des images en haute définition reçues par les rovers. Cette application fait appel aux services "Cloud Computing" de la société Amazon, l'un des leaders de ce marché avec son offre AWS (Amazon Web Services). Selon John Callas, responsable du projet Rover à la NASA, "le cloud computing permet d'éviter d'installer de nouveaux serveurs. Lorsque l'on a besoin de plus de capacité, on la loue simplement sur le cloud juste pour le temps nécessaire. Ainsi, nous ne gaspillons pas d'électricité (...) pour des serveurs non utilisés, et nous n'avons pas à gérer la maintenance et le renouvellement." Khawaja Shams, ingénieur au JPL, ajoute que "le cloud computing est une solution parfaitement adaptée au projet Rover qui fait intervenir une communauté dispersée devant travailler de manière collaborative. Le Cloud permet (...) d'améliorer le temps de réaction." L'objectif de ce projet est d'augmenter la réactivité de l'observation provenant de Mars, en réduisant à seulement quelques heures le délai nécessaire entre la capture et la mise à disposition de la totalité des images acquises par les rovers. En plus de ce projet, le JPL a expérimenté le cloud computing un an plus tôt en développant avec l'équipe cloud computing de Microsoft et dans le cadre de l'initiative fédérale "Open Government", la plateforme "Be a Martian" qui invite les citoyens à analyser les images en provenance de Mars. La NASA a également développé une plate-forme de cloud computing interne de plus grande envergure. Le projet Nebula, qui s'appuie encore en partie sur les services d'Amazon, va ainsi permettre de partager les ressources informatiques (IaaS) des centres de données répartis à travers les dix-huit centres de l'agence spatiale américaine. Cet investissement de 10 millions de dollars se distingue particulièrement en alliant cloud computing et une technologie de centre de données modulaire. En effet, en reprenant la tendance lancée par Microsoft en 2008 [5], les nouveaux centres de données proposés par la NASA sont constitués de modules indépendants aux dimensions standards des containers de fret. Cette architecture offre plus de souplesse et réduit le temps nécessaire à l'installation de nouvelles infrastructures. Mais cet investissement d'envergure profitera également à d'autres institutions gouvernementales et compagnies privées. L'interface logicielle entre les ressources informatiques et les utilisateurs développée par la NASA doit beaucoup à OpenStack, un projet qui rassemble les logiciels open source dans le domaine du cloud computing. En retour, la NASA a promis de contribuer au projet, ce qui pourrait se traduire par la mise à disposition publique des sources. Il semble que les futurs projets de la NASA ne se conçoivent désormais plus sans le cloud computing : le prochain rover MSL qui devrait fouler le sol martien en 2012 et qui engendrera de nouveaux besoins en traitement de l'information en profitera sûrement. De plus, la NASA peut compter sur un allié de taille dans ce domaine avec Amazon qui s'impose comme le leader de cette nouvelle technologie. Son PDG est en effet passionné par l'espace et a fondé sur ses fonds privés il y a dix ans Blue Origin, une compagnie qui développe des capsules pour le tourisme spatial. Cette alliance de circonstance Amazon/NASA laisse donc prévoir de beaux projets dans les années à venir. 24 logiciels libres et gratuits pour tous vos besoins http://www.01net.com/editorial/525104/24-logiciels-libres-et-gratuits-pour-tous-vos-besoins/ 01net. vous propose de découvrir et de télécharger les 24 logiciels sélectionnés par l'April dans la première édition de son « catalogue libre ». Début décembre, l’April a publié un catalogue baptisé « 26 logiciels libres à découvrir », qui détaille, usage par usage, des solutions gratuites et ouvertes à même de remplacer des logiciels commerciaux. Disponible en version PDF à cette adresse, il a été conçu pour « faire la promotion des logiciels libres auprès des personnes qui ne les connaissent pas ou mal », indiquait François Poulain, de l’April, à 01net. voici quelques jours. Nous vous proposons de découvrir en images ces programmes, pour certains célèbres, comme Firefox, pour d’autres plus obscurs… mais potentiellement tout aussi pratiques. Ici au nombre de 24, nous présentons les logiciels OpenOffice.org sous forme de suite et non séparément. Mais que fait Google dans l'énergie ? http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/65408.htm C'est la question que beaucoup de gens se posent à l'heure actuelle. Malgré la bataille qui fait rage entre Google et Facebook sur le front du contrôle d'internet, il ne se passe pas une semaine sans que l'on entende le nom de la célèbre société de Mountain View associé à une initiative ou un investissement dans le domaine des technologies propres ou du réseau intelligent. Cela peut se comprendre lorsque le sujet est celui des centres de données qui est le corps de métier de la société. Mais d'autres sujets peuvent surprendre, de part leur absence totale de modèle d'affaire associé. […] Body Browser : un Google Earth du corps humain ? http://www.clubic.com/internet/google/actualite-386304-body-browser-google-earth-corps-humain.html Google lance Body Browser, une application web permettant d'explorer le corps humain directement via son navigateur Web, si ce dernier prend en charge WebGL. Après la Terre, la mer ou encore l'espace, c'est donc le corps humain que Google entreprend de cartographier. Google Body Browser offre une vision en 3D de l'anatomie, permettant d'explorer très facilement et avec précision l'intérieur du corps humain via un système de molettes. Squelette, organes ou encore système nerveux peuvent être passés au crible par l'utilisateur. Il est également possible d'effectuer une recherche via un moteur intégré. Au-delà de l'intérêt que peut avoir un service comme Google Body Browser au quotidien – limité pour l'internaute moyen, mais passionnant pour les curieux – la performance de cette application se trouve dans le fait qu'elle fonctionne sans aucun besoin de télécharger un plugin. Un pré-requis existe néanmoins, puisque pour y accéder, il faut utiliser un navigateur intégrant par défaut WebGL : c'est le cas des versions beta de Chrome 9 et Firefox 4. Technology of the Year: Apple's iPad http://www.zdnet.com/blog/perlow/technology-of-the-year-apples-ipad/15230?tag=nl.e539 The year’s most significant new technology was a disruptive product made by Apple. This year, the editors of TIME Magazine chose for its Person of the Year award a young, enterprising 27-year old male who built a social networking website that has 500 million users and now has a net worth of $30 billion. Man, that’s so 2006. I mean, was 2010 so crappy that the only real choice was between an obnoxious, ethically-challenged egotistic Web 2.0 billionaire Wunderkind or an Information Technology terrorist pretending to be a journalist and Internet activist? Couldn’t they come up with someone who did something legitimately decent for the planet? I’m sorry TIME, but you could have done better. Frankly, I’m personally having trouble coming up with a person that should be awarded Man or Woman of the Year. However, I can certainly come up with people. On that list I’d probably include the trapped Chilean miners who endured 60 days of subterranean hell, and the engineers and workers who worked tirelessly to get them out. Or the many thousands of rescue and aid workers that flew into Haiti to help salvage a nation destroyed by a devastating earthquake. Or even the workers at British Petroleum and other contractors and offshore drilling specialists who toiled countless hours to cap the Gulf oil spill, in the face of public outrage and thankless scrutiny. If there were ever people that truly deserved to be on the cover of that magazine, it would be them. But at the end of the day, ZDNet is a technology website. And if I had to name a single technology that made the greatest impact in 2010, it was without a doubt Apple’s iPad. The iPad? So shouldn’t Man of the Year be Steve Jobs? Well, no. I mean, Steve is a very important ingredient in the iPad’s creation and overall vision. Much of the iPad’s DNA has to be credited to him, without question. But we can’t give him credit for its engineering and design — that distinction must go to the corps of Apple software and hardware engineers that created what is almost certainly going to be the product which changes the face of computing for the next two decades. When the iPad was first introduced to the public in late January, there was immediate derision of the product by naysayers that felt that it was nothing more than an oversized iPhone or iPod Touch. The mainstream technology press questioned whether or not the product would even catch on. They were proven wrong. Very. Very. Very. Wrong. In the 4th quarter of 2010 alone, Apple sold 4.2 million iPads, with estimated yearly sales topping 9 million units worldwide. The holiday shopping season isn’t over yet, so it might go as high as even 10 or 12 million to finish off CY 2010. The iPad is, without any doubt, the most successful product that Apple has launched since the iPhone or even the iPod. In terms of cultural significance and impact to the technology industry, it has in one short year changed the way we view the entire future of personal computing. Instead of being tied to our desks in order to access our critical productivity applications, we now have the ability to enjoy a full, rich Internet browsing experience from the couch or from our bedside. We can enjoy rich multimedia applications, read books, play games, all from one easy-to-use, effectively maintenance-free 26-ounce hand-held device. The iPad was certainly not the first computing tablet and nor did the idea originate at Apple or in Steve Jobs’ mind. Its legacy started in popular Science Fiction novels and television shows such as Star Trek, and it represents the combined achievement from over 40 years of advancements in computing and miniaturization, which will ultimately lead towards a transparent and ubiquitous computing experience which I call “The Screen”. But we must give the credit where the credit is due. Apple and its engineers have changed the game. Forever. The iPad is certainly a very transformative, disruptive technology. It has in such a short period of time caused every single company in our industry to completely re-think the end-user computing experience and how to best enable their applications and infrastructure to support it and other “thin” technologies that are similar to it or compete with it altogether. These include the current and forthcoming Android Tablets, Windows 7 and HP Palm Slates, RIM’s BlackBerry PlayBook and also Google’s Chrome OS netbooks and tablets. It has not only changed the technology industry, but it has also changed how media will be consumed, be it web sites, books and other traditional print media such as newspapers and magazines. It is a giant leap forward in bringing about a truly paperless society where access to information is instantaneous and from everywhere, as long as you have the means to afford it. 2010 will be remembered as difficult year, with numerous challenges that everyone had to face, be it economically, sociologically, politically and emotionally. But in our industry it will be marked by the introduction of the device that changed everything — the iPad. 10 things I hate about the iPad http://www.zdnet.com/blog/hardware/10-things-i-hate-about-the-ipad/10741?tag=nl.e539 I love my iPad. A lot. It goes with me pretty much everywhere I go. But despite finding the device incredibly useful, there are aspects of the device, OS and associated software that I thoroughly hate. 1. Endless software updates 2. Tinny speakers 3. Glossy screen 4. Developers chiseling iPad owners for “HD” apps 5. No way to delete content directly from the iPad 6. There are too many apps that still don’t support multitasking properly 7. No Flash support is a pain sometimes 8. Keyboard needs to be customizable 9. No password manager 10. Push notifications are a mess Étude : les smartphones à écran tactile sont devenus le « format dominant » http://www.businessmobile.fr/actualites/etude-les-smartphones-a-ecran-tactile-sont-devenus-le-format-dominant-39756933.htm#xtor=EPR-10010 Le cabinet d’analyse Strategy Analytics a produit une étude qui confirme que les smartphones à écran tactile sans clavier physique ont dépassé, en 2010, les autres formats. Ils représenteront 60% du marché dans 5 ans. Selon une étude réalisée par Strategy Analytics, le segment des smartphones à écran tactile sans clavier physique (les « slate ») atteindra les 355 millions d'unités en 2015 alors qu'il n'était que de 46 millions en 2009. Selon le commentaire que nous a livré Martin Bradley chez Strategy Analytics, cela représentera environ 60% du marché. Les 40% restant se partageront entre les modèles à clavier physique monobloc, les modèles à clavier coulissant (slider) et le format « clamshell ». Mais, la bascule a déjà eu lieu dès cette année. Les smartphones clavier coulissant progresseront plus rapidement Cependant, l'étude Strategy Analytics étant avant tout destinée à être vendue à des clients du secteur, aucun chiffre n'a été rendu public. Mais Martin Bradley a confirmé que les smartphones à écran tactile « vont légèrement dépasser les modèles à clavier dès cette année pour devenir le format dominant ». Pour les 5 ans à venir, il voit le segment des smartphones à clavier coulissant « progresser plus rapidement que celui des modèles monobloc qui est déjà bien établi », les deux arrivant à peu près à égalité en 2015. 40 ans du Cigref : quelles stratégies pour 2015 ? http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-40-ans-du-cigref-quelles-strategies-pour-2015-32455-page-1.html http://www.dailymotion.com/video/xf48ci_entretien-avec-yves-bamberger_tech Le Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises fêtait jeudi 16 décembre 2010 ses 40 ans. Il en profite pour changer de logo, de signature et de slogan. Le 6 août 1970 est né officiellement le Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises (Cigref) dont l'objet a toujours été de favoriser la création de valeur grâce à l'informatique ou aux systèmes d'information. Le 16 décembre 2010, avec six mois de retard donc, l'association phare des utilisateurs de technologies de l'information a fêté son 40ème anniversaire à la Bibliothèque Nationale de France. A l'âge du numérique omniprésent, le Cigref en a profité pour présenter un nouveau logo, une nouvelle signature (« réseau de grandes entreprises » au lieu de « association de grandes entreprises ») et un nouveau slogan (« promouvoir la culture numérique comme source d'innovation et de performance »). Il faut remarquer que, au contraire d'autres associations comme le Coter-Club ou l'ANDSI, le Cigref est une association d'entreprises et pas de DSI, même si, en général, le DSI représente son employeur dans les instances du club. Les groupes de travail sur des sujets un peu techniques réunissent d'ailleurs en général plutôt des chefs de projets ou des spécialistes. A l'inverse, de nombreux DG ou vice-présidents prennent part aux réunions plus « stratégiques ». La seule bonne expérience est celle qui se partage La soirée, co-animée par Bruno Ménard, président du Cigref, et Marie-Odile Monchicourt, chroniqueuse de France Infos, était placée sous le signe d'un passage « du pari informatique au défi numérique ». « Le Pari Informatique », c'était le titre de l'ouvrage de Pierre Lhermitte, premier président et l'un des cinq fondateurs du Cigref, et qui faisait suite à une réflexion menée par le Conseil Economique et Social. Cet ouvrage va d'ailleurs être en téléchargement sur le site web de l'association. Il s'agissait à l'époque de comprendre comment tirer parti de l'informatique de gestion pour améliorer la performance des entreprises par l'automatisation des processus. « L'idée était de pouvoir résoudre ensemble des problèmes que l'on ne savait pas résoudre seuls, y compris dans les relations avec le fournisseur majeur de l'époque IBM, avec l'administration et avec les directions métiers » s'est souvenu Pierre Lhermitte. Comme l'a rappelé Bruno Ménard, finalement, sur ces questions, rien n'a vraiment changé en 40 ans, sauf à ajouter Microsoft, Oracle, HP et quelques autres à IBM. Cependant, « l'informatique » est devenue « système d'information ». Le treizième président du Cigref a présenté des ouvrages retraçant cette évolution : de l'ouvrage de Milad Doueihi « La grande conversion numérique » à celui que Bruno Ménard lui-même signe en coédition Nuvis/Cigref « L'entreprise numérique : quelles stratégies pour 2015 ? » en passant par le numéro spécial de la revue « Entreprises et Histoire » sur « de l'informatique aux systèmes d'information dans les grandes entreprises ». « 40 ans, ce n'est pas anodin, atteindre cet âge est la preuve que le dispositif était bien pensé dès le départ » a jugé Jean-Paul Bailly, président de La Poste et membre du Conseil Economique, Social et Environnemental. Pour lui, les deux clés de la performance des entreprises sont la prospective et la bonne GRH. Le numérique bouleverse l'environnement de chacun, sur le plan personnel comme professionnel et La Poste a été particulièrement concernée dans le cœur de son activité. Mais il a tenu à préciser : « je bataille sans cesse contre l'idée de concurrence d'Internet. Nous ne sommes pas plus concurrents d'Internet qu'un voilier l'est des vents dominants. Il nous faut juste utiliser et nous adapter à ce qui constitue notre environnement. » En plus des nombreux orateurs universitaires ou chercheurs, un autre grand témoin d'entreprise est intervenu : Maurice Lévy, président de Publicis après en avoir été DSI. « Il y a 40 ans, j'étais un informaticien à cheveux longs » s'est-il souvenu avec nostalgie. Revenant sur quarante ans de numérisation universelle de la vie quotidienne, sur la disparition de la scission temps personnel/temps professionnel qui en est induite, il a conclu : « l'outil informatique de gestion est devenu un outil numérique de partage ». Christophe Boitiaux (Nerim): “Les équipements compatibles IPv6 sont encore trop onéreux” http://www.itespresso.fr/christophe-boitiaux-nerim-les-equipements-compatibles-ipv6-sont-encore-trop-onereux-39562.html Selon Nerim, les pouvoirs publics devraient encourager les opérateurs et constructeurs télécoms à adopter l'IPv6 sous forme de subventions plutôt qu'une loi contraignante. En marge de la question au gouvernement français sur le risque de pénurie d’adresses IPv4, Nerim revient sur le déploiement d’IPv6. Cet opérateur-hébergeur commercialise des offres télécoms à destination des entreprises (ADSL, SDSL, Hébergeur Internet, VoIP) Il se se targue d’être le premier opérateur européen à avoir basculé son réseau sous le protocole IPv6dès 2002. Christophe Boitiaux, responsable marketing et communication de Nerim, revient sur cette lente adoption et l’implication des décideurs politiques dans ce processus transitoire. (Interview réalisée le 15/12/2010) ITespresso.fr : A votre avis, la pénurie d’adresses IPv4 sera-t-elle perceptible en 2011 ? Cela implique quoi pour Nerim et ses clients ? Christophe Boitiaux : La pénurie est bien réelle et une prise de conscience est indispensable par les acteurs concernés : politiques, économiques, technologiques. Cela se traduira par l’impossibilité de distribuer des adresses IPv4 et donc l’obligation de basculer de façon brutale à l’IPv6. Sans préparation, les entreprises et opérateurs se verront confronter à des difficultés de communication entre les structures (sites Web, individus, équipements…) en IPv4 et celles en IPv6. ITespresso.fr : Le monde politique s’empare de ce débat. Considérez-vous qu’une loi est nécessaire pour encourager l’adoption d’IPv6 ? Christophe Boitiaux : Nous sommes très satisfaits de la prise de conscience de la sphère politique, sans pour autant aller à la création d’un texte de loi. Nous sommes plutôt pour une incitation, par des subventions par exemple. En tout état de cause, il faut absolument éviter la mise en place de nouvelles taxes. Les mesures coercitives doivent arriver en dernier lieu. ITespresso.fr : Serait-il judicieux d’imposer par la loi une obligation pour les équipementiers/constructeurs de vendre des terminaux compatibles IPv6 ? Christophe Boitiaux : Nous y sommes plutôt favorables car c’est un problème que l’on rencontre souvent. Les appareils compatibles IPv6 sont pour la plupart encore trop chers pour une adoption massive de ce protocole par les entreprises. C’est un moyen d’accélérer le développement de l’iPv6. Petit papa techno http://www.zdnet.fr/blogs/hardware-mania/petit-papa-techno-partie-3-39756960.htm#xtor=EPR-100 Si offrir un adaptateur CPL pour Noël n’est peut être pas du plus glamour ou exotique, ce genre d’appareil peut néanmoins s’avérer fort pratique et rendre de grands services pour établir un réseau local stable. Mais la plupart des adaptateurs présentent le gros défaut de ne proposer qu’un seul port Ethernet, alors que parfois on aurait besoin de 2 ou 3 ports sur un même adaptateur pour brancher sa console de jeux, son décodeur connecté et son téléviseur par exemple. J’utilise à la maison des XE104 de Netgear, qui offrent 4 ports par adaptateurs mais ceux-ci plafonnent en débits théoriques à 85 mbits/s (35 mbits/s réels sur mon installation électrique) et commencent à montrer leurs limites quand il s’agit de streamer des contenus HD lourds coté bitrate depuis un ordinateur vers un périphérique. C’est pourquoi l’arrivée d’un matériel similaire chez Sweex en CPL 200 Mbits/s est pour moi une agréable surprise. L’adaptateur LC206 comporte 3 ports Ethernet (10/100 mbits/s) et est compatible avec la norme HomePlug 2.0 AV coté CPL. Il dispose de 5 diodes lumineuses pour indiquer son fonctionnement et embarque un système de protection par clé AES 128 bits pour encrypter vos communications réseaux. Coté distance de fonctionnement, Sweex annonce 200 mètres de portée, largement suffisant pour la plupart des habitations. Enfin son fabricant le garantit 12 ans. Seul lui manque une prise secteur en sortie, afin de ne pas immobiliser une prise de courant uniquement pour la liaison CPL. Disponible à partir du 22 décembre chez des revendeurs comme Neox, il est proposé à un prix officiel de €89,95, mais comme la fiche du revendeur le prouve on peut déjà le trouver un peu moins cher. Yahoo rétrécit encore, sacrifie Altavista et pourrait également éteindre Delicious http://www.lemagit.fr/article/yahoo-licenciements/7725/1/yahoo-retrecit-encore-sacrifie-altavista-pourrait-egalement-eteindre-delicious/ Dans un dernier effort pour se recentrer sur son activité de portail, Yahoo a laissé filtrer tout au long de la semaine des informations sur les mois à venir. Quelque 600 salariés – 4% des effectifs du groupe historique de la première vague d’outils internet – quitteront le portail qui s’ajoute au plus de 2000 postes déjà supprimés en 2008, au temps des premiers tourments. Par ailleurs nombre de services de Yahoo devraient disparaître. Parmi ces derniers, on dénombre des noms prestigieux qui auront marqué la courte vie du Web. Notons notamment le moteur de recherche Altavista – écrasé par l’arrivée de Google mais très populaire dans les années 90 – Yahoo Buzz, un pur produit maison qui permet de partager des contenus par popularité, et enfin – selon la rumeur Delicious, service de favoris en ligne, l’une des premières applications web 2.0 collaboratives, écrasée par Facebook et surtout Twitter. Chrome 9.0 disponible en bêta : Flash isolé et arrivée de WebGL http://www.pcinpact.com/actu/news/60944-chrome-9-beta-webgl-google-instant-flash-sandbox.htm?vc=1 Google fait avancer son navigateur Chrome à une vitesse que certains jugeront sans doute comme trop élevée en regard des numéros de versions. En effet, environ deux ans après l’apparition de la mouture 1.0, nous en sommes déjà à la version 9.0. L’éditeur a lancé récemment une bêta de cet opus, et si la version 8.0 n’avait pas spécialement brillé par le nombre de ses nouveautés, Chrome 9.0 introduit des apports importants. Le premier ajout important est la technologie maison de sandboxing appliquée au plug-in Flash. Cette dernière avait été proposée en test à travers une version « dev » mais la bêta permet de la roder à plus large échelle. Réservée uniquement à la version Windows pour l’instant, elle permet d’isoler complètement le lecteur Flash dans une zone mémoire qui lui est dédiée et qui l’empêche d’ouvrir le reste du système à une faille éventuelle. Google explique d’ailleurs les principes généraux de sa technologie dans une vidéo, en anglais. Les deux principaux bénéfices de cette technique sont la sécurité, ainsi que la stabilité. Si le plug-in vient à planter pour une raison ou une autre, il le fera « dans son coin » sans toucher au reste du navigateur. À noter que dans les cas des versions Mac OS X et Linux de Chrome, il faudra attendre de futures mises à jour pour que la Flash isolé soit présent. L’autre ajout important est la prise en charge de WebGL. Cette API, basée sur OpenGL ES 2.0, permet de dessiner dans un élément Canvas des objets 3D à travers JavaScript. WebGL n’est pour le moment pas spécialement rendu, et son support dans Chrome ne fait que commencer. Google propose cependant plusieurs expériences qui permettent aux intéressés de découvrir ses possibilités. L’exploration du corps humain en fait partie. Enfin, Google Instant est désormais activé par défaut dans cette bêta. Pour rappel, Instant permet d’afficher la page au fur et à mesure que l’on écrit quelque chose dans la barre d’adresses (Omnibar). Creative now shipping Android-based 7-inch ZiiO tablet http://www.zdnet.com/blog/gadgetreviews/creative-now-shipping-android-based-7-inch-ziio-tablet/20867?tag=nl.e539 As if there weren’t enough Android tablets crowding the market, Creative’s ZiiO is now ready for the taking. Sporting a 7-‘’ TFT color touch screen, the Android 2.1-based ZiiO is a standard slate without any significant bells and whistles. The most notable feature might be the inclusion of a front-facing VGA camera. Other specs include : • 480 x 800 resolution • ZiiLABS ZMS-08 HD Media-Rich Applications Processor • Bluetooth 2.1 • 802.11 b/g Wi-Fi • microSD card slot (up to 32GB) • Connectivity: mini USB, 3.5mm stereo jack The Creative ZiiO is available now for $249.99 for 8GB of onboard storage or $269.99 for 16GB of storage. Orders are fulfilled by Amazon, thus this one qualifies for some free shipping! Apple concevrait son propre service de navigation pour l’iPhone http://www.businessmobile.fr/actualites/apple-concevrait-son-propre-service-de-navigation-pour-l-iphone-39756966.htm#xtor=EPR-10010 Des offres d’emploi pour des postes d’ingénieurs laissent penser qu’Apple est en train de développer son propre service de navigation pour les terminaux iOS. Pour le moment, Apple a recours à Google Maps. Apple est à la recherche de nouveaux ingénieurs pour renforcer son équipe de développement iOS. Indice crucial, dans les offres d'emploi repérées par Apple Insider, la firme de Cupertino indique que les candidats doivent avoir une expérience du développement de logiciels de navigation et une « connaissance approfondie de la géométrie algorithmique ou la théorie des graphes ». Rappelons qu'Apple a racheté l'été dernier la société canadienne Poly9 spécialisée dans le développement d'applications Internet de cartographie. Tout laisse donc supposer qu'Apple a l'intention de mettre au point son propre service de navigation. A l'heure actuelle, les utilisateurs d'iPhone se servent de Google Maps qui est préinstallé sur le smartphone. Mais la rivalité exacerbée entre les deux géants a probablement incité Apple à ne pas dépendre de son principal concurrent. La navigation est aujourd'hui l'une des applications les plus utilisées par les possesseurs de smartphones. Selon une étude comScore, l'utilisation de « services de cartes et de navigation sur mobile » a bondi de 68% en un an sur les cinq principaux marchés européens. La Chine veut se doter d'un OS national http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-article-32466.html Les développeurs de deux systèmes d'exploitation utilisés en Chine s'associent pour créer un OS national sous une marque commune, NeoKylin qui pourrait défier Windows de Microsoft. China Standard Software (CSS) et l'Université nationale des technologies de défense (NUDT) ont signé un partenariat stratégique pour lancer une marque nationale d'OS connue sous le nom « NeoKylin » qui sera utilisé pour la défense nationale et de tous les secteurs de l'économie du pays. Pour le CSS, l'accord est destiné à ouvrir la voie à une concurrence plus importante en matière d'OS pour la Chine. Aucune information n'a été indiquée sur un calendrier pour le lancement de produits sur cette marque. Le CSS est le développeur de Neoshine Linux pour les postes de travail, qui équipe aussi bien les ordinateurs du gouvernement, ceux des entreprises ainsi que ceux des particuliers. L'UNDT a de son côté, élaboré KylinOS qui se définit comme une alternative sûre aux logiciels étrangers tels que Windows. Si ces OS sont de plus en plus utilisés par les ordinateurs du gouvernement chinois, l'OS de Microsoft domine le marché. Endiguer le piratage Ce dernier est cependant en proie à la piraterie. Dans le cas de Windows, environ la moitié des OS tournant en Chine est issue de copies illégales, a déclaré Matthew Cheung, analyste au cabinet Gartner. De nombreux autres systèmes d'exploitation ont subi le même sort pour finalement choisir la voie de la gratuité, précise l'analyste. Pourtant, le gouvernement chinois tente de favoriser l'achat de systèmes d'exploitation nationaux, pour des considérations de sécurité et comme un moyen de soutenir l'économie local. « Ces systèmes d'exploitation chinois ciblaient déjà le secteur public ou les établissements financiers. Donc nous ne voyons aucune nouvelle proposition de valeur avec l'annonce de la création d'une marque unique », a-t-il ajouté LNA lance une tablette professionnelle http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-article-32448.html Le prestataire et revendeur informatique lance une tablette tactile pour entreprise, hors du champ des terminaux mobiles durcis. Il veut ainsi profiter de l'engouement des professionnels pour ces produits comme l'iPad dont la plupart sont encore conçus pour le grand public. L'industrie du PC est actuellement parcourue par une vague d'annonces et de lancements effectifs de tablettes tactiles. Occupant logiquement le terrain médiatique, les grands fabricants ne sont pas pour autant les seuls à pouvoir pénétrer ce marché prometteur. LNA, une société de services et de distribution informatique (SSDI) qui réalise 60 M€ de CA, vient ainsi de lancer sa propre tablette sans clavier pour entreprise qu'elle fait fabriquer en Asie par l'ODM (Original Design Manufacturer) AFIC. Son nom, le TiPad, s'inspire largement de celui l'iPad d'Apple. Mais la comparaison entre les deux produits s'arrête là, tant leurs différences techniques sont importantes. Dotée d'un écran de 10,1'', la tablette de LNA fonctionne sous Windows 7 Familial Premium ou Professionnel. Elle embarque un processeur Atom d'Intel (1,66 Ghz), 2 Go de DRAM DDR2 et un disque dur SATA de 160 Go. Ses interfaces entrées sorties sont nombreuses : ports USB 2.0 (X2), connexion Ethernet, prise MiniVGA, micro intégré, sortie audio, prise microphone. Le TiPad dispose en outre d'un lecteur de cartes SD / MMC et d'une webcam intégrée (1,3 M pixel). Le wifi et la 3G font aussi partie de sa panoplie. Selon LNA, les prochains modèles devraient être équipés du GPS en standard. Ses points faibles résident dans son poids de 0,9 kg et son autonomie de 5 à 6 heures. Aux vues de ses caractéristiques techniques, son tarif de 590 €ht lui confère un bon rapport qualité prix. "L'iPad d'Apple n'est pas adapté aux entreprises" Si le lancement de ce type de produit par une SSDI peut surprendre, LNA n'en est pourtant pas à son coup d'essai dans le rôle de fabricant. La société proposait déjà un autre produit à sa marque, le PiBook, une tablette convertible durcie destinée aux collaborateurs en cols bleu de sa clientèle traditionnelle de grandes entreprises. Visant aussi le marché professionnel, le TiPad va s'adresser quant à lui aux cols blanc et gris. LNA profite ainsi du fait que l'arrivée des tablettes sur le segment grand public incite les entreprises à élargir l'usage qu’elles en faisaient jusqu'ici et donc le nombre de salariés équipés. « Nous répondons à l'iPad et à ses équivalents avec un produit qui ne limite pas les entreprises », indique Thierry Martin, le président de LNA. La rareté des développeurs compétents dans l'environnement de la tablette d'Apple [l'iOS] rend la création ou l'adaptation d'applications trop coûteuse. En outre, dans le domaine du Wifi, Apple impose ses propres protocoles. Autre exemple, les tablettes tactiles des autres fabricants n'intègrent pas de connexion Ethernet à laquelle les entreprises tiennent pourtant ». Au-delà des aspects techniques, le patron de LNA pointe également le manque d'adéquation de la politique commerciale d'Apple autour de l'iPad avec le monde professionnel : « Même lorsqu'elle passe une commande importante, une entreprise ne peut pas espérer obtenir de rabais vraiment conséquents ». Pour l'heure LNA estime que son TiPad n'a pas encore de réels compétiteurs sur le marché des entreprises. Cela ne devrait durer qu'un temps puisque nombre de fabricants devraient lancer des produits concurrents dans les mois qui viennent. De fait, la SSDI n'a pris pour l'heure qu'un risque limité. Son stock s'élève actuellement à 1000 pièces. A la fin du premier trimestre 2011, elle décidera ou non d'augmenter sa production. Si tel est le cas, elle pourrait alors élargir sa cible de prospections aux grosses PME Le code source d'Android 2.3 Gingerbread disponible en téléchargement http://hightech.nouvelobs.com/actualites/depeche/20101221.ZDN3532/le-code-source-d-android-2-3-gingerbread-disponible-en-telechargement.html Google vient de mettre à dispositions des programmeurs et fabricants d'appareils mobiles le code source d'Android 2.3, connu sous le nom de code Gingerbread. Google réclame juste un peu de patience pour ce téléchargement afin de ne pas bloquer ses serveurs. Google vient de mettre à disposition des programmeurs et fabricants d'appareils mobiles le code source d'Android 2.3, nom de code Gingerbread. Google réclame un peu de patience pour ce téléchargement pour épargner ses serveurs. Le Nexus S à peine sur le marché, Google met déjà à disposition des développeurs le code source de son OS, Android 2.3. Comme l?explique Jean-Baptiste Queru, un des ingénieurs logiciel chez Google en charge des projets Open Source, ce travail de mise en ligne va prendre quelques heures voire quelques jours et il conseille à ceux intéressés par ce code source « d’y aller doucement sur les serveurs kernel.org », afin de lui laisser le temps de finir ce travail de mise en ligne. Il déconseille aussi d’utiliser des Nexus S afin de faire du débugging et des tests sur ce code source de Gingerbread, au risque de transformer ces Nexus S en « Nexus B (pour Brick) ». La patience est donc de mise quand bien même la mise en ligne complète du code devrait être achevée dans les jours prochains. Microsoft in Talks with Nokia on Windows Phone 7 ? http://www.enterprisemobiletoday.com/news/article.php/3917916/Microsoft-in-Talks-with-Nokia-on-Windows-Phone-7.htm Rumors flew in September, when Finnish mobile phone giant Nokia hired Stephen Elop, president of Microsoft's Business Division, to be its new CEO, that it might mean another outlet for Windows Phone 7. But how about an entire line of phones? Due to his ties to Microsoft (NASDAQ: MSFT), which is in the process of introducing its Windows Phone 7 smartphone operating system worldwide, the speculation held that the software titan might have a foot in the door at Nokia with Elop in command. Now, a noted Russian wireless blogger claims to have been in touch with anonymous sources who say the two companies are in discussions to put Windows Phone 7 on at least some of Nokia's smartphones. While the original post is in Russian, Microsoft's Bing language translator rendered much of it in quasi-readable English. "During the last month, behind closed doors is a discussion on Nokia and Microsoft enhanced cooperation (bilateral discussions, initiated a new direction of Nokia). Not just the exchange of technology, but a whole line of Windows Phone device that may go under mark Nokia, through the company, and will have the characteristics of its products," Eldar Murtazin said in a post on the Mobile-review.comblog, Monday. The blog post was apparently first spotted by wireless news siteunwiredview.com. "We do not comment on rumors or speculation," a Microsoft spokesperson said in an e-mail toInternetNews.com. Microsoft announced Windows Phone 7 -- the company's attempt to break into the explosive market for smartphones like Apple's iPhone and Google's Android -- last February at the Mobile World Congress (MWC) in Barcelona, Spain. Right on schedule, on Oct. 11, Microsoft rolled out Windows Phone 7in a New York gala that was webcast around the world. However, Microsoft officials have been notably silent about how Windows Phone 7 handsets have been selling since they first became available in the U.S. in early November. Meanwhile, industry observers say that Microsoft remains in a shaky market position with what they view as the company's last best chance to have a share of the mobile client market. Nokia holds some 7.1 % of the U.S. smartphone market, according to a Dec. 3 report from analytics researcher comScore Cloud Office : une suite en nuage signée Oracle sous le sapin de noël http://www.lemagit.fr/article/bureautique-oracle-office-cloud/7741/1/cloud-office-une-suite-nuage-signee-oracle-sous-sapin-noel/ Mieux vaut tard que jamais. Plus de 15 ans après les premiers efforts de Star Division, le développeur original de Star Office, pour développer une suite en nuage, Oracle vient de livrer la première mouture de Cloud Office, la déclinaison cloud d'Open Office. Oracle a annoncé la semaine dernière la disponibilité d'Open Office 3.3, la dernière mouture de sa suite bureautique libre ainsi que celle de d'Oracle Cloud Office sa déclinaison en mode Saas. Cloud Office 1.0 : la réponse d'Oracle aux Google Apps et à Office Live Annoncée à l'origine lors d'OpenWorld à San Francisco en septembre, Oracle Cloud Office 1.0 est présenté comme une suite bureautique Web permettant l'accès en mode connecté ou deconnecté aux principales fonctions d'OpenOffice. Oracle indique que les différents modules de Cloud Office (traitement de texte, présentation et tableur) permettent d'ouvrir et d'éditer des documents au format Microsoft Office (OpenXML) et au format Open Office (ODF). Selon l'éditeur, la suite en cloud permet aux utilisateurs de collaborer sur des documents au travers de "mécanismes de collaboration Web 2.0" et ce, quel que soit le système qu'ils utilisent : Windows, Mac, Linux, navigateurs Web et smartphones (notamment l'iPhone). Oracle n'a toutefois pas précisé quelles fonctions étaient spécifiquement disponibles sur quelle plate-forme et notamment si les mobiles disposaient de fonctions d'édition. La nouvelle suite doit concurrencer les Google Apps ainsi que la déclinaison cloud de Microsoft Office sur le marché des entreprises. Elle y est proposée au prix de 90$ en licence perpétuelle. Une déclinaison pour les particuliers est quant à elle vendue au prix de 40$, mais ne sera disponible que via des opérateurs et fournisseurs d'accès internet tiers. En clair, pour l'instant, Cloud Office n'est pas accessible pour les particuliers ou les PME en direct depuis un site Oracle, ce qui réduit sensiblement la portée de l'annonce. Open Office 3.3 : une intégration renforcée avec les applications Oracle Côté Open Office 3.3, les principales nouveautés sont l'intégration de nouveaux connecteurs d'entreprise pour Oracle Business Intelligence, Oracle E-Business Suite, plusieurs autres modules Oracle Applications ainsi qu'un connecteur avec Microsoft Sharepoint. Oracle reprend les principes d'intégration avec les outils bureautiques chers à Microsoft (Microsoft Office s'intègre avec les fonctions des outils serveurs de l'éditeur ainsi qu'avec ses outils ERP et avec ceux de SAP - via un module optionnel-). Selon Oracle, Open Office est plus stable que Microsoft Office et offre des performances supérieures pour un coût de licence jusqu'à 5 fois plus bas que Microsoft Office. Une licence perpétuelle est proposée au prix de 90$ par utilisateur en entreprise, un prix ramené à 49,95$ pour les particuliers. Google s'intéresserait à deux concurrents de Groupon http://hightech.challenges.fr/actualites/20101221.CHA1530/google_sinteresserait_a_deux_concurrents_de_groupon.html Google est en discussions pour racheter deux petits concurrents du site internet américain de ristournes Groupon, qui a repoussé son offre de rachat au début du mois. Google est en discussions pour racheter deux petits concurrents du site internet américain de ristournes Groupon, qui a repoussé son offre de rachat au début du mois. C'est du moins ce qu'affirme mardi le site du New York Post mardi 21 décembre. LivingSocial, avec une valorisation de $1 Bn, est le deuxième plus gros site de bons de réduction après Groupon. Buywithme.com occupe lui la 3ème ou 4ème place du marché avec $20 M de CA. Selon des informations de presse, le géant de la recherche sur internet avait offert entre $5 et 6 Bn pour l'acquisition de Groupon, la plus grosse somme jamais mise sur la table pour prendre le contrôle d'une entreprise. NEC entre dans la danse des tablettes http://www.itespresso.fr/nec-entre-dans-danse-tablettes-39673.html NEC devrait dévoiler lors du prochain CES de Las Vegas sa tablette numérique sous Android, munie de deux écrans tactiles de 7 pouces. A l’approche de l’événement CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas, programmé en janvier prochain,NEC en profite pour annoncer qu’il prépare lui aussi sa propre tablette numérique, propulsée par Android. La nouvelle tablette du constructeur taïwanais affiche cependant une particularité : elle est équipée de deux écrans tactiles de 7 pouces (environ 18 cms). Compatible 3G et Wi-Fi, comme l’iPadou encore la Samsung Galaxy Tab, et Bluetooth, la tablette numérique de NEC joue aussi la carte du multitâches, permettant ainsi d’utiliser deux applications en même temps. En outre, cette tablette pourrait aussi intégrer un module A-GPS, un lecteur de cartes SD, un port USB (une caractéristique qui fait défaut à l’iPad), ou encore une webcam. NEC en dira sûrement plus lors du CES, notamment sur son prix de vente et sa date de sortie. Will Chrome OS fail or be the next big thing? Depends who you ask http://www.zdnet.com/blog/google/will-chrome-os-fail-or-be-the-next-big-thing-depends-who-you-ask/2702?tag=nl.e539 A quick scan of Google News this morning revealed alternating headlines about Chrome OS. Some pundits say “Google Chrome OS Faces Serious Risk of Failure.” Others say “Google’s Chrome notebook will succeed.” I’ve certainly had great impressions of the notebook in educational settings and it works well for a lot of what I do. So which will it be? Is it just too early to predict the success of an entirely new way of interacting with our computers? As Jason Perlow puts it: If you know how to use a web browser, you pretty much already know how to use Chrome OS. That in and of itself, in a time when the PC vs. Mac vs. Linux flame wars can still ignite the Talkbacks on ZDNet, is powerful. If you use Chrome on your OS of choice (particularly if you use Chrome Web Apps), then there’s not really any transition to Chrome OS (and, in fact, you can sync most of Chrome OS with your Chrome browsers across platforms). It’s something of a vindication for those analysts who’ve been talking about the death of the OS or the death of the PC. With Chrome OS, the browser (the web as a platform) is the OS. This, then, is a big part of your answer. Will Chrome OS succeed? Yes it will, in some form or another. Will it succeed right now? Or put another way, is the world ready for Chrome OS? The Cr-48 has its faults, no doubt. The keyboard is awesome by netbook standards, but if I need to type for long periods, I still sit down at my MacBook Pro which has a truly awesome backlit keyboard. The touchpad is, well, incredibly touchy, as are most touchpads on Linux machines until you tweak the drivers. Of course, there’s no tweak capability in a browser (just basic access to touchpad functions). These are minor details, though, compared to working in a Microsoft Office World. I can’t tell my clients that if they want Smart Art or perfect fidelity when they open a presentation I send them that it’s just not going to happen because I use Google Apps. You want that document to have both single and double spacing? Sorry, no can do - I just don’t have time to edit the CSS for the document in Google Docs to get different line spacing in the same document. If you work in an organization that has embraced Google Apps or whose workflows center around wikis and content management systems, then you won’t have a problem and the seamless integration of Google Apps will be a blessing. This is one reason why I’m so excited about the Chrome Notebook in schools: it’s easy to standardize to Google Apps as a platform and fidelity is far less important than content and accessibility. A whole lot of organizations just aren’t there yet. For me, the Chrome Notebook is the machine that goes with me everywhere that I know I’ll just want to write. Most of my writing happens in a browser anyway. If I’m at home, though, I’m on my MacBook, simply because of the keyboard and screen real estate. If I’m with a client, though, I tote my MacBook. How often do you need to quickly crank out a PowerPoint deck? Or work with a heavily formatted document? This approach will pass and apps like SlideRocket will increasingly make PowerPoint less important. Similarly, Docs will continue to mature in capabilities and fidelity. However, until that happens, the reach of Chrome OS in the enterprise will remain somewhat restricted. Similarly, until I can have some choice of the underlying hardware on which I superimpose Chrome OS, the laptop will often play second fiddle to more comfortable hardware. I absolutely understand that the Cr-48 is a prototype and Chrome OS is very much in beta. Ultimately, I believe that Chrome OS will compete across verticals very successfully with Windows, Mac OS, and certainly with Linux. For now, the world still needs to catch up to Chrome OS and Google’s cloud-based approach to getting work done. Watch my nano: An early look at the LunaTik http://www.zdnet.com/photos/watch-my-nano-an-early-look-at-the-lunatik/492657 This is the LunaTik watch kit, assembly involves loosening four screws to separate the frame then putting it all back together with your nano on the inside. The nano is only viable as a watch because of its subtle analog clock app. Unfortunately you can only choose between black and white faces. Apple needs to offer more clock skins and open it up to submissions from users. Il faudra débourser $69,95 pour la Lunatik. Etats-Unis : le régulateur des télécoms adopte des règles sur la neutralité du Net http://www.zdnet.fr/actualites/etats-unis-le-regulateur-des-telecoms-adopte-des-regles-sur-la-neutralite-du-net-39757030.htm#xtor=EPR-100 A trois voix contre deux, les commissaires de la FCC ont adopté des règles relatives à la neutralité des réseaux sur l'Internet fixe et mobile. Mais la neutralité n’est pas garantie et la légitimité de la FCC toujours contestée. Les opérateurs insatisfaits bénéficient donc toujours de recours pour s’y opposer. Au début du mois, le régulateur américain des télécoms a dévoilé des règles destinées à garantir la neutralité des réseaux. Leur adoption était soumise le 21 décembre à un vote au sein de la commission. A trois voix contre deux, ce cadre a été approuvé par les commissaires dela FCC. Les trois représentants démocrates ont voté pour. Les commissaires républicains se sont prononcés contre. Le principe d'une tarification à l'usage posé La ligne définie par la FCC établit une distinction entre l'Internet fixe et mobile, ce dernier bénéficiant d'un cadre moins contraignants pour les opérateurs. Les règles adoptées par le régulateur sont peu ou prou identiques à celles soumises au débat public en 2009. La FCC demande ainsi plus de transparence en considérant comme un droit des consommateurs de disposer d'informations relatives à la gestion des réseaux. Les fournisseurs d'accès ne peuvent appliquer de discrimination sur les flux dits légaux, proscrivant ainsi tout filtrage de contenu, d'application, de service ou de terminal. Si ces règles ne font pas débat, il en va autrement de la possibilité accordée aux FAI d'imposer une facturation à l'usage et d'appliquer (après l'avoir justifié) une qualité de service plus importante à certains services Internet. Concernant la facturation à l'usage, la FCC a cependant prévenu qu'elle serait attentive aux abus. Une décision de justice conteste à la FCC le droit de réguler Internet En ce qui concerne l'Internet mobile, le régulateur se montre moins contraignant puisqu'il laisse aux opérateurs le droit de bloquer certains services et applications. Mais pour préserver la concurrence, la FCC leur interdit expressément d'appliquer ce filtrage à des applications concurrençant directement leurs propres services voix et vidéo. Si les règles sur la neutralité des réseaux sont désormais votées, l'incertitude juridique persiste. Elles pourraient en effet être rapidement contestées devant la justice et frappées de nullité. En avril dernier, un tribunal fédéral avait estimé qu'aucune loi votée par le Congrès américain n'octroyait à la FCC un rôle de régulateur lui permettant d'interdire à un FAI d'intervenir sur son réseau, afin par exemple de bloquer ou réduire l'accès à certains services. La justice reconnaissait ainsi à Comcast le droit de brider le trafic BitTorrent de ses clients comme il l'avait fait en 2007. Une pratique qu'avait contestée la FCC, la jugeant arbitraire. Le câblo-opérateur avait levé cette restriction tout en engageant un recours afin d'évaluer les limites légales du pouvoir du régulateur. Les premiers mobiles 4G bientôt disponibles aux Etats-Unis http://www.businessmobile.fr/actualites/les-premiers-mobiles-4g-bientot-disponibles-aux-etats-unis-39757032.htm#xtor=EPR-8 Alors que les réseaux très haut débit mobile à la norme LTE se multiplient outre-Atlantique, HTC et Motorola préparent le lancement de terminaux compatibles. Le très haut débit mobile (LTE) est désormais une réalité aux Etats-Unis. Après l'ouverture d'un premier réseau commercial opéré par MetroPCS Communications dans la région de Dallas et Fort Worth au Texas, Sprint et Verizon Wireless ont lancé leurs offres. Celui de Verizon couvre 38 grandes villes pour 93 millions d'habitants. Rappelons que le LTE permet le transfert de données à plus longue portée et à plus grande vitesse grâce à l'utilisation simultanée de multiples liens de transmission radio. En débits pratiques, l'offre de Verizon permet de surfer à 12 Mb/s (afin de répondre à l'explosion des usages data). Elle est facturée $50 / mois avec un trafic limité à 5 Go par mois. Chaque Go supplémentaire coûtera $10 de plus. Sans surprise, cette offre est d'abord destinée aux PC portables et aux netbooks équipés d'une clé 4G. Les terminaux compatibles sont en effet encore très rares, les fabricants attendant que les réseaux soient déployés pour accélérer la production. L'Idate table ainsi sur des premiers mobiles en 2012, le gros du marché est attendu en 2014. Mais visiblement, les choses avancent vite. Samsung propose déjà un modèle, le Crave, qui est proposé par MetroPCS. Selon des rumeurs insistantes, HTC pourrait lancer deux smartphones LTE sous Android dès le début de l'année prochaine. Ils seront destinés aux abonnés de Verizon. Ces derniers pourront également compter sur Motorola. Dans une interview au Wall Street Journal, John Stratton, COO de Verizon lâche l'info : "Nous avons des smartphones LTE dans les cartons et Motorola sera de la partie". C'est donc la première confirmation officielle de la sortie à court terme de terminaux 4G. La LTE est également une réalité en Europe. TeliaSonera en Suède a ouvert un réseau commercial dans la région Stockholm il y a plus d'un an. En France, le régulateur des télécoms a lancéen juillet une nouvelle consultation publique sur les modalités d'attribution des bandes de fréquences 800 MHz et 2,6 GHz. EXCLUSIVE: iPad Competitor Coming Soon From Palm http://www.foxnews.com/scitech/2010/12/21/exclusive-ipad-competitor-palmpad-hp-ces/ FoxNews has obtained images of Palm's forthcoming competitor to the iPad, called the PalmPad, which will debut at the 2011 CES. The Apple iPad has a solid lead in the tablet space. But Steve Jobs had better watch out: the competition is coming. This year at the annual Consumer Electronics Show (CES) in Las Vegas, pundits predict that manufacturers will unveil a host of tabletstyle devices to compete with Apple's funky iPad. But the product that could prove to be the strongest competitor isn't from Blackberrymaker RIM, nor a gizmo from the Windows and Intel crowd. It's from the dark-horse rival, Palm -- and its owner HP. FoxNews.com has obtained spec sheets for HP's forthcoming PalmPad tablet this week from a trusted source. And I’m super excited to see these things debut at the 2011 CES IRL (that's in real life). Here are some of the basic highlights. HP will introduce three models of the PalmPad at CES, with minor hardware differences distinguishing them. All three will run a new iteration of the WebOS operating system, version 2.5.1; they're collectively a spin-off of the never-released HP Slate. A fourth version won't be shown off at CES, I'm told, but it will be custom made for university students to prove how versatile the machines can be. The consumer version of the PalmPad will run on Sprint's fast 4G network, but otherwise it has hardware specs nearly identical to Apple’s iPad. There are minor differences, of course: It has a mini HDMI port, for example, while the iPad requires a special dongle for video output. And there are front- and rear-facing cameras (1.3 megapixel and 3 megapixel, respectively), both with LED flashes. The PalmPad is slightly thinner than the iPad with rounded edges closer to the Amazon Kindle. At 1.25 lbs, the PalmPad also sports a USB 3.0 port and a "multi-switch" just like the one on the Palm Pre. The university version sports an 8.9-inch screen and will have access to a university’s internal educational software; it'll also sport any other specs specifically requested by the institution. Students will start using these in the Fall 2011 semester, HP hopes. The three versions being shown off at CES haven't been finalized yet, but will probably have a larger screen than the university version, one nearly identical to the 9.7-inch LCD on the iPad. Les applications mobiles s’immiscent trop dans la vie privée http://www.01net.com/editorial/525483/les-applications-mobiles-s-immiscent-trop-dans-la-vie-privee/ Le Wall Street Journal a testé une centaine d’applications pour iPhone et Android. Plus de la moitié transmettent des informations personnelles à des régies publicitaires, sans le consentement des utilisateurs. Certaines applications mobiles cachent bien leur jeu : sous couvert d’offrir des services gratuits aux utilisateurs, elles envoient discrètement des informations personnelles à des régies publicitaires qui, en retour, mettent au point des campagnes de publicité ciblées pour des annonceurs. Selon le Wall Street Journal (WSJ), ces pratiques pourraient concerner plus de 50 % de ces programmes. La rédaction a testé 101 applications destinées aux téléphones Android et aux iPhone : elle a sélectionné les 50 plus populaires sur chaque plate-forme, plus celle éditée par son journal (voir le détail de la méthode). Au terme de son enquête, le WSJ a pu établir que 56 d’entres elles transmettaient l’identifiant unique du téléphone (le code Imei), que 47 donnaient la localisation de l’appareil et enfin que 5 révélaient le sexe et l’âge de son propriétaire. Sur l’échantillon testé, il est également apparu que les applications pour iPhone étaient les plus promptes à fournir des données personnelles. Mais le journal se garde bien d’en tirer une conclusion pour l’ensemble du marché des applications. Des campagnes lucratives pour les régies publicitaires La plus intrusive d’entre toutes serait TextPlus4, qui permet d’envoyer des SMS gratuitement, puisqu’elle fournit l’identifiant du téléphone à huit régies publicitaires et la localisation, l’âge et le sexe de ses utilisateurs à deux autres régies. Le WSJ classe dans la catégorie mauvais élèves l’application de musique Pandora, le jeu Paper Toss et le service de rencontres Grindr. Malheureusement, les consommateurs sont mal ou pas informés de l’utilisation qui est faite de leurs données. Le quotidien a constaté qu’environ un éditeur sur deux ne se donnait pas la peine de fournir, sur son site ni dans son programme, une charte concernant la confidentialité des données. Comme le souligne le journal, il est facile de faire le ménage sur un ordinateur en éliminant les cookies responsables du traçage. Sur un mobile, c’est une autre affaire. Les régies publicitaires ont par ailleurs tout intérêt à entretenir le flou autour de la collecte des données si elles veulent continuer profiter de ce marché, qui se révèle très juteux. Une publicité ciblée en fonction du lieu où se trouve l’utilisateur rapporterait 2 à 5 fois plus d'argent qu’une campagne classique. China's Robot Waiters: No Tipping Necessary http://newsfeed.time.com/2010/12/22/china%E2%80%99s-robot-waiters-no-tipping-necessary/?s-robot-waiters-no-tipping-necessary/ A restaurant that opened this month in the eastern Chinese province of Shandong uses robots for waiters, boosting efficiency and providing further proof that human beings are superfluous. Machines don't grumble over tips. And they can't spit in your food. The traditional hotpot eatery is staffed by more than a dozen automated servers, the distant and brightly colored relations of Star Wars' golden droid C-3PO. The robots whir around the room on little bicycles carrying meat and veggies to be dipped by restaurant-goers into bubbling broth. Customers need not shout, weep or make obscene gestures to get their waiter's attention. Every bot is equipped with motion sensors; all you have to do is get in one's way and nab a plate of food. Indeed, patrons of the Dalu Robot restaurant in Jinan, Shandong's capital, seem pleased with the change. “They have a better service attitude than humans,” Li Xiaomei, a newcomer to the place, which can seat 100, told the AP. “Humans can be temperamental or impatient, but [the robo-waiters] don't feel tired, they just keep working and moving round and round the restaurant all night.” Restaurant owner Zhang Yongpei is hoping to put 40 of the machines to work and come out, with the help of the Shandong Dalu Science and Technology Company, with models that can climb stairs. As it is, the droids don't just serve. A female-looking bot with fake fluttering lashes stands at the door to welcome diners—if not warmly, then at least in a soothing monotone. Another, clad in a dress, flails its arms about—sort of—in an effort to entertain the crowd. OK, maybe humans still are good for something. Google Earth : Paris en 3D http://www.generation-nt.com/google-earth-paris-3d-actualite-1134391.html Notre Dame, la Tour Eiffel, le Louvre, le musée d'Orsay ou encore le centre Pompidou, Google a annoncé la semaine dernière que de tels monuments parisiens sont désormais visibles en 3D sur Google Earth. Pour ce faire, il suffit de sélectionner Bâtiments 3D dans l'onglet " Données géo " du logiciel. Google a profité de cette annonce pour lancer un appel à la construction de bâtiments 3D grâce à Google SketchUp : " avec notre modélisateur de bâtiments 3D, vous pourrez créer ou participer à la création d'un bâtiment en 10 mn. " Rappelons par ailleurs qu'un plugin Google Earth existe pour Google Maps. Disponible pour les systèmes d'exploitation Windows et Mac OS X, il peut être téléchargé directement via Google Maps en cliquant sur le bouton de la vue Earth. Il n'y a toutefois pas que Google Earth, et Paris fait par exemple partie des villes couvertes par le service 3D proposé par PagesJaunes
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