Voir - Espace presse - Centre des monuments nationaux

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Communiqué de presse, 21 juin 2016
Théâtre :
« Rire jaune avec le diable ou les larmes de Cluny »
à l’abbaye de Cluny
les 20, 22, 27, 29 juillet, 3 et 5 août 2016 à 18h
Le Centre des monuments nationaux est heureux d’accueillir à l’abbaye de
Cluny « Rire jaune avec le diable ou les larmes de Cluny », un spectacle complet
liant de façon organique l'art de l'acteur, l'art du peintre et l'art du chanteur. Le
récit est centré sur la destruction de l'Abbaye de Cluny.
L'auteur descend au cœur de cette désolation qu'a été la démolition de la Maior Ecclesia,
l’église Cluny III pendant la période révolutionnaire, à partir de 1793. Il en extrait les
multiples significations en jouant de l'opposition de l'ombre du Diable et de la lumière d'une
communauté humaine dévolue à la louange perpétuelle et au service des pauvres.
L’auteur, Pierre Molimard se demande si le complot mené par trois médiocres marchands
n'a pas été inspiré par la Fatalité antique. Ce n'est pas le moindre des défis de ce texte
poétique et philosophique que d'essayer de nous faire sentir la dimension de cette
apocalypse locale, qui eut lieu dans l'indifférence générale. Une catastrophe qui préfigure des
bouleversements dans l'ordre cosmique. C'est notre humble ambition de tenter de dire
cette lumière que Cluny faisait rayonner dans le monde et qu'on a voulu éteindre par esprit
de profit, que cette lumière a quelque chose d'essentiel à nous raconter aujourd'hui.
Philippe Borrini et Marie Galle adaptent ce texte pour le mettre en scène et plonger le
spectateur dans la démolition de ce chef d’œuvre architectural…
Osera-t-on rire avec le Diable ?
Tarifs : 14€ / 10€ (-25 ans et demandeurs d’emplois)
Vente des billets : Accueil de l’abbaye : 03 85 59 15 93
Office de tourisme de Cluny : 03 85 59 05 34
Contact presse :
Philippe Borrini : 03 85 50 19 49 / [email protected]
Charles Feyeux : 03 85 59 82 75 / [email protected]
Pour retrouver l’ensemble des communiqués du CMN : www.presse.monuments-nationaux.fr
Le Théâtre 5, Compagnie Philippe Borrini
Faisant suite à l'aventure pionnière du Théâtre de Flagy et de son "plus petit festival du
monde", qu'il a dirigé pendant dix ans - un théâtre qu'il a construit lui-même à Flagy, dans un
village du Clunisois, en 1992 Philippe Borrini fonde sa compagnie indépendante « Théâtre 5
Cie Philippe Borrini » à Chapaize en Saône et Loire.
Ses productions provenant soit de son écriture, soit de dramaturges, associent souvent le
texte, la musique, la danse, la peinture, la vidéo. De collaborations successives naîtront des
spectacles de contes, des récits joués avec orchestre symphonique ou de musique
contemporaine, ou des musiciennes et musiciens d’univers et d’instruments différents.
Théâtre et territoire
Tombé littéralement amoureux du Clunisois, de ses paysages, de son habitat, de sa densité
artistique, Philippe Borrini a centré l'essentiel de sa création théâtrale dans ce territoire
autour de Cluny.
On ne sait jamais pourquoi on reste et pourquoi on résiste à la tentation de laisser tomber.
Il vit ici, travaille et joue, quelque part dans une campagne fort agréable et pleine de
promesses, mais si loin de Paris, de LA VILLE hors de laquelle il n'y a pas de salut pour un
artiste de la scène. Sans moyens économiques et sans la reconnaissance de ses pairs, c'est
risqué. Un risque assumé. Cela vous enracine dans la douleur et la joie souveraine du
découvreur. Au début, on est préoccupé par la recherche intérieure et par son style pour
avancer dans son art et trouver des amis, des partenaires et du public, le vrai, celui qui paie
pour venir au théâtre. Et puis, au fil des années et des créations, c'est le territoire qui se met
à vous parler, ce sont les âmes des grands vivants qui ont façonné ce pays qui vous appellent
à l'aide. Un pays ouvert et qui retient. C'est pourquoi, depuis quelques années, le Théâtre 5,
dans une pauvreté glorieuse, donne à voir et à ressentir ce que fut le projet inouï des moines
de Cluny, celui d'accueillir et de transcender la création toute entière.
Venez découvrir le nouveau spectacle de la compagnie : « Rire jaune avec le Diable ou les
larmes de Cluny » d'après le texte de Pierre Molimard.
Partenaires :
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Scénographie, visuels et chants
L'adaptation :
Ce texte, qui n'a pas été écrit pour la scène, a été adapté par Philippe Borrini et Marie Galle.
Trois personnages se répartissent le texte :
L'homme seul figure le poète.
La Sibylle, tel le Chœur antique, représente la voix qui nous exhorte et appelle les esprits
divins sur la scène du crime.
Le jeune moine, comme symbole vivant de l'oraison perpétuelle qui était la vocation des
Moines noirs de Cluny.
A cela s'ajouteront des textes décalés, comme autant d'attentats au poème.
Une servante, dévolue au déplacement des toiles du décor et aux chants polyphoniques,
incarne le mouvement angélique qui traverse le spectacle.
Les peintures de Marie Galle
Pour ce spectacle, l'artiste peintre et graveur a réalisé une fresque qui se déroule en
quarante tableaux sur toile de 220 cm sur 82 cm chacun. Ce triptyque évolutif illustrera et
complètera la réflexion du poète. La cohérence des couleurs et les traits du dessin
s'inspirent librement des couleurs naturelles et des polychromies tant romanes que
grecques. Les images peintes nous viennent, entre autres, des chapiteaux et tympan romans
de Cluny et de Vézelay, des fresques de Berzé, et des enluminures médiévales.
Les chants de Noé Mercier
Le programme musical va d'un pur grégorien augmenté d'organum aux polyphonies
populaires du XVIIème siècle. Noé s'accompagne d'une harpe celtique.
Nous entendrons entre autres : un « Kyriale » : Kyrie, Sanctus, Agnus Dei, Requiem, et
d'autres pièces sacrées.
Des chants de fêtes ou de bacchanales : Le Satyre cornu et Le vin clairet.
Noé sera accompagné au chant par Livia Borrini.
L'art du diseur de textes
Philippe Borrini mobilise pour ce spectacle son art de réveilleur de textes et son sens de la
mise en scène. Une création dont la simplicité révèlera le talent d'artistes vivant et travaillant
en Saône-et-Loire.
Un spectacle qui, tout en faisant œuvre de mémoire, n'oublie pas d'émerveiller le public.
Manipulation et danse
Livia Borrini, tout au long du spectacle sera la servante silencieuse de l'évolution des
quarante toiles de la fresque de Marie Galle, qui vont se découvrir au fur et à mesure de
l'avancement du drame.
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Equipe artistique
Philippe Borrini
Son compagnonnage d'interprète avec des auteurs comme Dario Fo,
Charlotte Delbo, Charles Péguy, Torgny Lindgren, Tennessee Williams,
Jacob et Wilhelm Grimm, les correspondances des Mozart ont permis à de
nombreux publics de rencontrer la langue et l’esprit de ces écrivains. Il a la
réputation d’être un « réveilleur de textes ». Dans un colloque récent à
l’Université d’Aix Marseille (Le Médiéval sur la scène contemporaine), il a
été qualifié de « Militant du théâtre ». Philippe Borrini a concentré le cœur
de sa créativité au Clunisois, on se souvient de son Festival de Flagy, "Le plus petit festival du
monde" et des "Oriflammes de Pierre le Vénérable".
Noé Mercier
Le programme musical va d'un pur grégorien augmenté d'organum aux
polyphonies populaires du XVIIème siècle. Noé s'accompagne d'une harpe
celtique.
Doctorant en anthropologie, Noé Mercier est également chanteur et
musicien. Ses recherches ethnographiques l’ont conduit au Chili où il s’est
imprégné de musique latino-américaine. Ses expériences parmi les indiens
Mapuche développent en lui ce « regard éloigné » dont parle Lévi-Strauss,
un regard qu’il porte, dès lors, sur nos racines partagées, notre pays et notre patrimoine
musical. Ici et ailleurs, avant et maintenant, que dévoilent les expressions artistiques sur
notre rapport au monde, et à l’au-delà du monde ? Noé Mercier trouve dans les répertoires
traditionnels et sacrés l’inspiration d’un chemin artistique, mais également un sens de
l’existence qui interroge notre présent. Par sa voix, les cordes de sa harpe, sa guitare et son
charango, Noé cherche dans ses récitals à restituer un peu de la vie des hommes qui nous
ont précédés, nos ancêtres qui chantaient les collines, les oiseaux, l’amour.
Marie Galle
Marie Galle dessine et peint depuis toujours.
Après avoir enseigné à l’École des Beaux-Arts de Genève et à l’École des
Arts Décoratifs, elle revient en France, à Cluny, où elle vit et travaille
actuellement. A côté du dessin et la peinture, elle y a repris la gravure. Elle
pratique également, à titre d’amateur, l’art du conte.
Les sources de son inspiration se trouvent dans la littérature, les contes et
les grands mythes de l’humanité. A travers la symbolique des choses, elle
interroge la vie, le sacré, la personne humaine, les animaux et la nature.
Elle aime aussi regarder les choses dites « petites », celles devant lesquelles on passe souvent
sans les voir … un citron, une théière, un chat qui dort … Quelques-unes de ses œuvres ont
trouvé domicile, dans diverses collections privées, en France, en Suisse, en Angleterre, au
Danemark et aux États-Unis.
Livia Borrini
Jeune musicienne et comédienne, Livia continue sa formation d'artiste de
la scène, tout en terminant ses études au lycée.
Elle a tenu des rôles avec des professionnels et des amateurs au théâtre
comme au cinéma.
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Pierre Molimard, l'auteur du texte
Quatrième de couverture du livre du texte intégral publié avec une préface de Jo
Martynciow
Si l’on écoute les historiens, c’est parce qu’elle semblait de trop que la Grande Abbatiale de
Cluny fut transformée en une rentable carrière de pierres. De trop à une époque où les
Lumières de la raison semblaient avoir définitivement éclipsé la lumière de la foi chrétienne.
Pour l’auteur de Rire jaune avec le Diable, cette explication, évidemment fondée, n’est
pourtant pas suffisante.
Si l’on s’est acharné au-delà de toute raison contre la Maior Ecclesia, c’est parce qu’elle était
trop et pas seulement de trop - trop belle, trop inouïe, trop grande, trop admirée, trop
vénérée, trop magnétique - et que tout ce qui est trop finit par attirer la colère des hommes
et des dieux : notamment des dieux grecs qui firent appel au Diable, ne pouvant tolérer que
resplendisse à Cluny la huitième merveille du monde alors que leurs propres temples
s’étaient écroulés.
Si l’on écoute son intuition, on en arrive nécessairement à cette terrible conclusion : dans la
destruction de Cluny, du début à la fin, c’est le Diable qui était à la manœuvre et qui se
tordait de rire.
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Visuels à disposition de la presse
© Théâtre 5, compagnie Philippe Borrini
© Théâtre 5, compagnie Philippe Borrini
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Informations pratiques
Droits d’entrée :
Plein tarif : 9€50
Tarif groupes (20 pers. Mini) : 7€50
Gratuit pour 18-25 ans ressortissants de l’UE
Gratuit pour les moins de 18 ans
Ouvert tous les jours sauf le 1er/01, 1er/05, 1er et 11/11, 25/12
Avril, mai, juin, septembre de 9h30 à 18h
Juillet et août de 9h30 à 19h
D’octobre à mars de 9h30 à 17h
Centre des monuments nationaux
Abbaye de Cluny
Rue Porte de Paris
71250 Cluny
03 85 59 15 93
[email protected]
www.monuments-nationaux.fr
www.cluny-abbaye.fr
Retrouvez notre actualité sur :
https://www.facebook.com/abbayedeCluny
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Abbaye de Cluny
L'abbaye de Cluny fut fondée en 910 par Guillaume le Pieux, duc d'Aquitaine. Il donne ses
terres de Cluny aux apôtres Pierre et Paul, soustrayant ainsi l'abbaye du pouvoir de l'évêque
et des seigneurs laïcs. Il choisit Bernon comme premier abbé. Les moines doivent suivre la
règle bénédictine.
L'abbaye de Cluny a la possibilité de réformer d'autres monastères. Très vite, dans une
Europe en quête de restructuration religieuse, l'abbaye devient un modèle et une multitude
de monastères se placent sous la dépendance de Cluny.
A la fin du XIe siècle, l'abbaye de Cluny est une des plus importantes capitales de l'Europe
chrétienne. Elle est à la tête d'un réseau de près de 1400 dépendances et d'environ 10 000
moines répartis dans l'Europe entière. L'abbé alors en place, Hugues de Semur, décide de
faire construire une église abbatiale qui représentera la puissance de Dieu sur terre, mais
également la puissance de Cluny. En 1088, commence le chantier de la "Maior Ecclesia", la
plus grande église romane jamais construite dont les voûtes culminent à 30 m. Un siècle plus
tard, on construira l'avant-nef. Ainsi, l'église abbatiale de Cluny, la "Maior Ecclesia" ou encore
Cluny III sera la plus grande église de la chrétienté pendant près de 400 ans.
Des abbés illustres se succèderont à la tête de l'abbaye pendant les siècles suivants, comme
Richelieu ou Mazarin mais rien n'arrêtera le déclin progressif de la puissante abbaye.
Pourtant, vers 1750, on reconstruit les bâtiments conventuels et on dote ainsi l'abbaye d'un
vaste complexe de style classique. Les moines n'auront guère le temps d'occuper les lieux
car la Révolution éclate peu de temps après les travaux. Les moines sont alors expulsés et
dispersés dans les paroisses environnantes, les bâtiments sont saisis comme biens nationaux
et mis en vente.
L'immense église est alors achetée par des marchands de matériaux qui l'utiliseront comme
carrière de pierre et démantèleront peu à peu ce chef-d'œuvre de l'art roman.
Aujourd'hui, les vestiges qui nous sont parvenus, le bras sud du grand transept ou encore le
petit transept sud, nous donnent une idée de l'immensité de cet édifice. De nombreux autres
éléments sont parvenus jusqu'à nous : le mur d'enceinte et ses tours, les bâtiments
conventuels du XVIIIe siècle, le Farinier, bâtiment du XIIIe siècle, qui abrite aujourd'hui les
chapiteaux du rond-point du chœur de la "Maior Ecclesia". Le Musée d'art et d'archéologie
présente de nombreux vestiges sculptés de l'église et du bourg monastique.
Un film en 3D ouvre la visite de l'abbaye en faisant découvrir l'église abbatiale restituée au
temps de sa splendeur.
L’abbaye de Cluny est ouverte au public par le Centre des monuments nationaux.
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Le CMN en bref
Sites archéologiques de Glanum et de Carnac, abbayes de Montmajour et du Mont-Saint-Michel, châteaux d’If
et d’Azay-le-Rideau, domaine national de Saint-Cloud, Arc de triomphe ou encore villas Savoye et Cavrois,
constituent quelques-uns des 100 monuments nationaux, propriétés de l’Etat, confiés au Centre des
monuments nationaux.
Premier opérateur public, culturel et touristique avec plus de 9,2 millions de visiteurs par an, le Centre des
monuments nationaux conserve et ouvre à la visite des monuments d’exception ainsi que leurs parcs et
jardins. Ils illustrent, par leur diversité, la richesse du patrimoine français.
S’appuyant sur une politique tarifaire adaptée, le CMN facilite la découverte du patrimoine monumental pour
tous les publics. Son fonctionnement repose à 87 % sur ses ressources propres issues notamment de la
fréquentation, des librairies-boutiques, des locations d’espaces ou encore du mécénat. Fondé sur un système
de péréquation, le Centre des monuments nationaux est un acteur de solidarité patrimoniale. Les monuments
bénéficiaires permettent la réalisation d’actions culturelles et scientifiques sur l’ensemble du réseau.
Après l’ouverture au public du Fort de Brégançon en 2014 et de la Villa Cavrois restaurée en 2015, le CMN
assure désormais la gestion de la Villa Kérylos, propriété de l’Institut de France, et prépare l’ouverture à la
visite de la colonne de Juillet et de l’Hôtel de la Marine à Paris pour 2018.
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