du plateau central - Bibliothèque de Clermont Communauté

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du plateau central - Bibliothèque de Clermont Communauté
Ofr.26:
ADMDBSTRATIOU ET RÉDACTIOU
ST Année. — N* 14.SM
1».
T ééfkm t t 1.S3, I .M
X A V nU R .C L D M O irT
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AOUT
ABONNEM ENTS
PUY-DESOME . AXJUBBl
DU PLATEAU CENTRAL
CAWTAL . HAUTE4JQOf,
A V KY BO N . C O M t t Ü
(pM i« phi).
Dbedrica i BP* A. DUMONT
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Q Ü A TÄ B E D ITIO N S Q U O TID IEN N ES
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m v u m t . utac o m b e ,
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Le PebldB •* mçm du* ee* BUREAUX.
tS , n e d m Pert, et » (AGENCE HA VAS.
42. av. des ÉUU-UnU, Clem et F—r— 4
Le PubBâlf ertre tégioeih k rA gence H m i ,
S i n e de Ricfrsli—. Perte.
iJUs
LA JOURNÉE
En l’honneur d’un aviateur
Une barque a chaviré non loin ëe SaintSébastien. Treize pereonnee ont péri,
Une barque chavire
au large de Saint-Sébastien
Lee Inoendlee de forête continuent dans
le Gard et le Var.
La République d'A ndorre a changé ea
constitution.
DU NOUVEAU
dans l'armée allemande
La m achine législative h itlérien n e fonc­
tionne à une cadence accélérée.
P a rm i les textes très divers qu i en sont
sortis à la veille du d e rn ie r w eek-end, les
rem an iem en ts à la loi m ilita ire allem an d e
de 1921 m é rite n t to u t p a rtic u liè re m e n t de
re te n ir no tre atten tio n . Comme le so u li­
g n en t les agences, H itle r et ses m in istre s
en se décid an t à d ’im p o rta n tes réform es
d ’ordre m ilitaire, p o u rsu iv en t l’ap p licatio n
de leur p rogram m e qui vise essentiellem ent
A la B aule, a u m o m en t de l'a rrivée d u
à « su p p rim e r ju s q u ’au x d e rn ie rs restes de T our de France aérien, a été in a u g u ré -u n
la révolution de 1918 ».
m o n u m e n t élevé à la m ém o ire de M aurice
Ja m ais em barassés lo rsq u ’il s ’a g it p o u r M orin, p re m ier pilote récep tio n n a ire des
eux d ’accom plir des actes de portée n a tio ­ C hantiers de la L oire qui s'est tué a u cours
nale, les natio n au x -so cialistes au pouvoir des essais d 'u n gros appareil, il y a quel­
viennent de pousser u n peu plus loin l’œ u­ ques m ois, au cam p d ’Escoublac-La B a u le
vre bism arck ien n e de l ’U nité allem ande. qui porte a u jo u rd 'h u i son nom . Voici le
m o n u m en t en to u ré d 'u n p etit ja rd m .
Une fois de plus, les questions q u i to u ­
chent aux rev en d icatio n s sociales du peu­
ple, sont rem isées à l ’arrière-p la n . E t les
jo u rn a u x se félicitent de voir a d o p ter le
sta tu t m ilita ire à la nouvelle stru c tu re du
' Reich, qui a trouvé récem m ent son expres­
sion d an s la créatio n des S ta tth a lte r, ces
rep rése n tan ts quasi-om nipotents de B erlin
N îm es, 31 ju illet.
in stallés a u cœ u r de chaque « p ays ».
Le b i-cen ten aire d u C hevalier d ’A ssas a
En de nom breux a rticle s de la nouvelle été célébré a u V igan d ev an t u ne fuule con­
loi, le g ouvernem ent n aziste m anifeste sa sid érab le. L a m u n ic ip a lité a reçu les visi­
volonté de ren fo rc er la discipline de la te u rs officiels d a n s la g ra n d e salle de
R eichsw ehr et de te n ir plu s que ja m a is l ’H ôtel de Ville d ’où est p a r ti u n cortège
celle-ci à l’é c a rt de to u te activité politi­ qui a déposé des gerbes et des couro n n es
aux m o n u m e n ts des m o rts de la g u erre, d u
que qui ne se ra it p a s stric tem en t conform e se rg e n t T ria ire et de d ’A ssas.
aux vues de la d ic tatu re .
U ne p la q u e com m ém orative a été en ­
C’est a in si que se tro u v e n t su pprim ées su ite apposée s u r le m u r de clô tu re du
l ’élection des hom m es de confiance ain si couvent des s œ u rs de Saint-Vincei>t-cleque l ’élection de la C ham bre de l'A rm ée P a u l, m aiso n n a ta le d u ch ev alier. Un
et de la M arine, qui a v a it p o u r m ission de b an q u e t et u ne re p ré se n ta tio n th é â tra le
o n t a ttiré u n e n o m b reu se affluenc?» Des
conseiller le m inistre.
Nous som rçes bien en présence de m esu­ d isco u rs d ev a n t le m o n u m en t o n t été p ro ­
res qui te n d en t à s u p p rim e r les d ern ie rs noncés p a r MM. G ay, m a ire du V igan, le
lie u te n a n t M antey, au nom de la fam ille,
vestiges du systèm e dém ocratique des et p a r le colonel P ic h e ra l,.
conseils de soldats.
On com prend d ’aille u rs fort bien le souci
qui a guidé le gouvernem ent h itlérien.
L ’arm ée d oit re n o n c er à la jo u issan ce de
toute in stitu tio n d ’ap p a ren ce rép u b licain e
T a llin n , 31 juillet.et « w eim arien n e », afin de red ev en ir la
Le so u s-m arin soviétique « R ab o tch i »
g ran d e m uette. L a nouvelle loi, à cet ég ard
correspond à la sa in e tra d itio n m ilitaire. qui, il y a quelques années, a som bré corps
Elle se m ontre, d ’a u tre p a rt, favorable aux et bien (Vine les eaux de W rangellholm , a u
cours de m an œ u v res de la flotte soviétique,
d irig e an ts actuels du Reich, p u isq u ’elle ex­ vien t d ’être ren flo u é p a r le rem o rq u eu r
c lu t toute a u tre influence que celle du « Com m une ». Le sous m a rin s e ra rem o r­
com m andem ent... e t que le com m ande­ qué ju s q u ’à C ro n stad t.
m e n t semble, sinon dévoué à H itler, du
m oins disposé à le so u te n ir loyalem ent,
p o u r des raiso n s de principe e t d ’o p p o rtu ­
n ité aussi.
E n tre a u tre s m odifications que le gou­
C a sab lan ca, 31 ju illet.
vernem ent du Reich vient d ’ap p o rte r, au
Ä la su ite des b rilla n te s o p éra tio n s qui
s ta tu t de l’arm ée, nous relevons quelques o n t p erm is l ’o ccupation du m assif Djebel
dispositions fo rt in té ressa n tes, q u i tendent S arro , le g én é ral c o m m an d a n t su p é rie u r
h effacer ju s q u ’a u souvenir du p a rtic u la ­ des tro u p es d u M aroc a cité à l’o rd re de
rism e et de la souveraineté, q u i fa isa ie n t l ’arm ée le g én é ral de b rig ad e C atroux,
l ’orgueil des E ta ts fédérés. C’est ain si, p a r co m m an d a n t la région de M arrak ech , qui
exem ple q u ’en 1921, dea d ro its spéciaux a d irig é ces o p éra tio n s :
Officier général de grande valeur, qui a
av a ie n t été accordés à la B avière concer­
conçu et conduit personnellement l’opération
n a n t l ’usage de sa division de R e ic h sw e h r qui
nous a rendus m aîtres de la plus grande
Le m a in tie n de dispositions a u s si lib érales partie du Sagho et a abouti à l’investissement
p ouvait, à la p rem ière occasion, te n ir en de la région t’as aiguilles où étaient réfugiés
les groupements de dissidents. P ar ufte ac­
échec le pouvoir ce n tral...
tion de chaqu- jour tan t m ilitaire que poli­
Q u’a donc fa it H itle r 1 II a entièrem en t tique, a contribué pour une très large part
aboli la souveraineté m ilita ire des E ta ts à ébranler Ie>moral de l’adversaire et à dis­
fédérés. Aux term es de l ’a rticle 17 de la socier les derniers groupements insoumis
nouvelle loi, les gouvernem ents de ces dont les délégués se sont présentés le 23 ja n ­
vier aux avant-postes de son groupe d ’opéra­
E ta ts perd en t to u t pouvoir de rec o u rir, en tions-pour dem ander l’am an.
cas de troubles, à la force arm ée. Celle-ci
d e v ra re ste r sourde à to u t appel q u i ne
que -la m a u v aise volonté in te rn a tio n a le
v ie n d ra pas du S ta tth a lte r de la circons­
v ien t d ’av o ir ra iso n dès efforts déployés
crip tio n te rrito ria le . Cette disposition
p a r elle à la Conférence de L ondres. Voici
prouve que la R eichsw ehr est inv itée à re­
la*conclusion de l’a rticle publié p a r n o tre
co n n a ître, elle au ssi, ce renforcem ent pro­ confrère allem an d :
gressif de l ’u nité allem an d e dont les H itlé­
Dans un désir de paix, notre pays ose se
rie n s se so n t faits les plus zélés e t au ssi
dispenser des grandes manœuvres d ’automne
les plus heureux a rtisa n s.
qui- seraient pourtant si nécessai­
D’a u tre s article s de l’o rd o n n an ce berli- annuelles,
res à une armée beaucoup trop faible et ne
noise rec o n n aissen t au m in istre de la répondant aucunem ent aux besoins.de la dé­
R eichsw ehr le d ro it de soum ettre, q u an d fense nationale.
Il le ju g e ra o pportun, to u t civil tra v a illa n t
Considérons m aintenant la France. Elle ne
p o u r l ’arm ée aux règlem ents qui rég issen t laissera Jam ais passer une année sans habi­
la vie des soldats. « E t il en se ra ain si, tuer sqn armée à manœuvrer, en masses for­
lisons-nous, chaque fois, et a u s si long­ midables et compactes, dans un but non dis­
tem ps que les nécessités m ilita ire s l’exige­ simulé de guerre.
L’Allemagne ne pouvait mieux que p a r ce
ro n t ».
contraste prouver l ’extraordinaire am our pour
Nous devons voir, d an s ce texte, ur\e ga­ la paix qui l’anime.
ran tie su p p lé m e n taire prise p a r le pouvoir
Là-dessus, il y a u r a it beaucoup à écrire
exécutif ce n tra l, et q u i se ra égalem ent
laissée entre les m a in s du pouvoir m ilita ire à n o tre tour. C ar la volonté de paix de
central. De plus en plus, B erlin s ’affirm e, l’A llem agne n ’a rien à v o ir en cette af­
effectivem ent, com me la ca p ita le de l ’Alle­ faire.
magne.
L a decision de ren o n cer -aux m anœ uvre«
Afin de d éto u rn e r l ’opinion m ondiale des nous p a r a it bien p lu tô t co rrespondre aux
cra in tes que p o u rra it lu i in sp ire r le ren fo r­ In stru ctio n s que les jo u rn a u x , o nt reçues
cem ent de l ’au to rité à l’in té rie u r de la ces tem ps d ern iers, et aux term es desR eichsw ehr — ré su lta t n écessaire de ces quelles « il est rigo u reu sem en t in te rd it de
progrès dans la c e n tra lisa tio n — la presse fo u rn ir le m oindre renseignem ent su r les
allem ande s ’efforce d ’a ttr ib u e r une im p o r­ déplacem ents de troupes. » On nous per­
tance politique sensationnelle à la nouvelle m e ttra enfin de so u rire de cette publicité
suiv an te : les grandes m anœ uvres n'au- a in si faite a u to u r de la « politique d ’éco­
ont pas lieu cette année. La raiso n q u ’elle nom ies », alo rs que le budget de la Reichs­
M
0US 8u rPrend p lu tô t ; le Reich w eh r p o u r 1933 accuse de nouveaux bonds
entend réaliser des économies.
d a n s cette course — bien allem an d e — aux
»„T^erî-în 0tre la D eutsch« A llgem eine Zei- dépenses san s cesse accru es et engagées
ag, 1 A llem agne donne au m onde une le­ d an s un esp rit non dissim ulé de revanche.
çon adm irable et d ’a u ta n t plus in a tte n d u e
Jacques LAFOND.
LE BI-CENTENAIRE
DU CHEVALIER D’ASSAS
Un sous-marin soviétique renfloué
L’avance de nos troupes au Maroc
-M V
Une camionnette se renverse !
trois morts
LES CASQUES D'ACIER
Saint-D ié, 31 J u i l l e t
V ers 3 h eu res, u n e cam io n n ette v e n a n t
ae M an d ra y s’est ren v ersée p rès de S a u lcyS ain t-S éb astien , 31 ju ille t
sur-M eurthe. T ro is je u n es g ens de S ain tUne b arq u e à fh o teu r à bord de laq u elle Dié o n t été tués. Ce so n t : R aym ond Infe
av a ie n t p ris p la ce u n e v in g ta in e de per­ zenger, Germain. M aurice e t R o b e rt F r a n ­
sonnes, p o u r fa ire u n e p ro m en a d e en m er, çois. Un q u atrièm e, nom m é AndreoletU ,
a ch av iré à la so rtie du p e tit p o rt de Deva. q u i co n d u isait, a été grièv em en t blessé.
Le nom b re des victim es s ’élèv erait à 13. Les six a u tre s o cc u p an ts du véhicule o n t
En effet, o u a repêché 7 cad av res et 6 p e r­ reçu des b lessu res légères.
sonnes so n t po rtées d isp aru es. Il est p o ssi­
Une auto heurte un pylône :
ble q u ’il y a it d ’a u tre s victim es d o n t on
ig n o re m êm e les nom s.
sept blessés
P a rm i les m o rts identifiés, fig u re n t MM.
Lim oges, 31 Juillet.,
A g u irre, m éd ecin -d irecteu r de l ’I n s titu t
L a n u it d ern ière, d an s la b an lieu e de
a n titu b e rc u le u x d ’E ib a r ; J u lia n ‘G arate,
Lim og°s, une au to m o b i'e a h eu rté u n py­
in d u strie l à E ib a r. *
D’a p fè s les h a b ita n ts d u p ay s, le nom bre lône. Les se p t p erso n n es q u i se tro u v a ie n t
des victim es s ’élèv e ra it à 16. Q uelques-oc- d an s le véhicule o n t été blessées. Cinq
c u p a n ts de la b arq u e o n t ré u ssi à sè s a u ­ d ’en tre elles o n t été tra n sp o rté e s à l'h ô p i­
ver, n o ta m m e n t le p atro n . Ce d e rn ie r a ta l d a n s ’u n état.g ra v e*
d ’aille u rs été a rrê té . L a cause d-* l'a évi­
d en t n ’est pas- eqcore trè s c la ire m e p t é ta ­
blie. P o u rta n t on pense que c’est u ne lam e
trè s forte q u i a - s o u le v é .la b arq u e par. la
poupe, lu i fa is a n t p e rd re sa sta b ilité et
e n le v a n t a u p a tro n to u t m oyen <Jfi%gouver­
N îm es, .31 "Ju illetn er. A cé Tfï’d itieht ’u tie a u tre v a g u e ’ est
Les incendies de forêts'.continuent.- P lu s
venue faire, çhaiviner com plètem ent le' b a ­ de 200 h ectares de bojs situ és d o n s les
te a u q u i é ta it peut-être trop, ch arg e.
com m unes d e .G a ja n ; S a in t-B a u z e ly ■et Ja
Ç ajniette o n t été dévastés. Les pom piers
S ain t-S éb astien , 31 - juillet.
Q u atre nouvelles victim es de l ’accid en t de Nîmes e t d.es p iq u ets de tro u p es d in fa n ­
su rv en u à l ’eqtrée d u p o rt .de, Deva o n t te rie coloniale et d e l ’a rtille rie sprit s u r les
été rejetées p a r la m er, ce qui p o rte offi­ lieux des sin istres. ' ' ' .
. .T o u lo n , 31 juillet.
ciellem ent le n o m b re des m o rts à. onze.
Deux incendies de forêts se so n t p ro ­
Les rech erch es c o n tin u e n t p o u r re tro u v e r
les dispdçùs.
,!
d u its h ie r so ir à H yères. ’Lie p rem ier, qui
s ’e&t d éclaré a u bois de la N au d ière, a été
m a îtrisé s u r l a crête de! l'a-colline; g râce
AU concours d es h a b ita n t", des services
m u n icip au x et d ’u'ii piqu'et du 3® rég im en t
d e .lig n e .
,
.. .. ,
Le deuxièm e sVst déclaré à ’ la T o u r
F.ondue, à Giens, d a n s une p r o irié té a p ­
p a r te n a n t à M. Lion. Il a p u être , étein t
g râce au x h a b ita n ts ain si j u a u piq
d ’incendie du C entre d ’a v iatio n de T ouIon. Les d ég âts-f o n t assez Im p o rtan ts.
B ucarest, 31 juillet.
L ’incendie de fo rêt qui s’é ta it d éciaré à
On m ande de C etatea Alba, en B essara­
bie, q u ’une m anifestation hitlérienne a eu B andol a été m a îtrisé cette n u it.
lieu hier dans le village de T arutino, où la
population est en m ajeure partie com posée
de colons allem ands.
Une cinquantaine de jeunes gens o n t p ar­
couru les ru es du vilage au x cris de « Heil
H itler ». L a g endarm erie a dû in te rv en ir
pour disp erser les m anifestantsi
Les au to rités bessarab ien n es o n t reçu
.l’ord re de s ’opposer avec la dernière rig u ee r
à toute m anifestation de propagande natio­
nale socialiste, plusieurs d ém o n stratio n s h it­
lériennes ay a n t déjà, eu lieu çes dernières
sem ain es dans les centres h ab ités p a r des
colonies allem andes.
fly a 13 morts
Dane l'Inde, G andhi, q u i re o o m m e n e o son
a é té d s n o u v e a u a r r ê t é .
• C ita tio n ,
LES ACCIDENTS DE LA ROUTE | EN ALLEMAGNE | QUERELLES ENTRE SOCttUSHS
■
ont arboré la croix gammée
LES INCENDIES DE FORETS
LES MINORITÉS ALLEMANDES
PROVOQUENT DES INCIDENTS
EN BESSARABIE
FOUR ENSEIGNER LA NATATION
'. '
.
' .
•.
/
_ H,
L’enlèvement des trois Sarrois
■ par des nazis
V inh, 31 ju ille t
Un violent ty p h o n s ’est a b a ttu s u r V inh,
d a n s la n u it d u 30 a u 31 ju illet. Les d ég âts
m a térie ls so n t trè s im p o rta n ts, m a is ju s ­
q u ’à p ré se n t on ne sig n ale au c u n accid en t
de personne. T outes les co m m unications
so n t in te rro m p u e s dar.3 le nord*
La croisade d’Hitler
contre Inintelligence
B erlin, 31 ju illet.
L a 15® fête de g y m n astiq u e allem an d e
s’ést term inée à S tu ttg a rt p a r u n e m a n i­
festatio n m o n stre à laquelle a s sista ie n t le
ch an celier H itler, le vice-chancelier von
P ap en et le d o cteur Goebbels, m in istre de
la. p ro p ag a n d e natio n ale.
Cent cin q u an te m ille je u n e s gens e t je u ­
nes femm ee se so n t liv rés à des exercice»
sportifs, acclam és p a r u n e foule de tro is
ce n t mille sp e c ta te u rs environ.
F rén étiq u em en t a p p lau d i, H itler a p ro ­
noncé u n d iscours d an s, lequel il a décla­
ré n o tam m en t ;
— Il faut que ceux qui, comme moi, dési­
rent un Reich fort, tiennent à une généra­
tion forte. La prétendue époque intellectuelle
« t de caractère libère! était en vote de form er
une génération absolum ent débile... L’entrafnem ent physique de t , l ’homme de fer et de
la femme de fer » conduit la nation à la
force et à la sar.té physique. Un peuple qui
dans son entier, est sain,, ne se laissera pas
aller aux erreurs intellectuelles auxquelles
ne succombent que trop facilement les cer­
veaux surchargés. Les peuples sans courage
et sans force se trouveront toujours réduits
à jouer le rôle de « conseilleurs » auprès des
races plus saines.
Fougueux discours de disciples
d’Hitler
S a rre b ru c k , 31 juillet.
On cro it sav o ir que le g o u v ern em en t al
le m an d v ien t de rép o n d re à la p ro te sta ­
tion que lui a ad ressée la com m ission du
g o u v ern em en t du te rrito ire de la S a rre re­
lative à l ’enlèvem ent de tro is h a b ita n ts en
te rrito ire sa rro is, le 25 ju illet.
Cette réponse se b o rn e ra it à u n sim{>le accusé de réception avec p ro b ab lem en t
a prom esse d ’étu d ier l ’affaire.
UN CYCLONE EN ANNAM
Voici de la politique étrangère p a r l'im a ­
ge. H itler gagne chaque jo u r d u terra in et
il a posé son estam pille à droite d u casque
ta n d is q u 'à gauche les arm es de la P russe
fig u ren t encore discrètem ent.
E n présence d u colonel Lecoq, directeur
de l'E d u ca tio n p h ysiq u e a u m in istère de
la Guerre, M. L effond, m a ire a d jo in t de
Choisy, vie n t de présenter u n in g én ieu x
appareil dont il est l'in ven teu r, destiné d
fa c iliter l'en seig n em en t de la n a ta tio n .
Voici l'a p p a reil qui consiste en u n ra il
su r lequel glisse u n p etit charriot d 'o ù
p en d en t u n contre poids et u n solide filin
m u n i d 'u n e ceinture. L 'élève peu t s'exercer
seu l sans a u cu n risque.
- (Mondial Photo Prêta).
Detmold, 31 Juillet.
a décIaré Que le soulèvement
national était en somme un grand miracle
1*? D ie u ». Ainsi s’est exprimé le pasteur mi­
litaire Muller, délégué du chancelier H itler
pour la question du protestantisme et futur
ivêque de 1 église protestante unie du Reich,
aux étudiants de l’Association Kiffhauser
« Votre devoir, s’est-il écrié, est de vous
comporter en com battants fanatiques pour
Dieu et pour la patrie allemande. »
un ,service religieux en campagne.
ti „ r t f pat? Ie pastA
euü ^ uller* un autre ora­
teur, M. Kube, président supérieur du Kvffhauser, a déclaré fougueusement : • le s
anciens étudiants affirm aient leur cermap^ r iia d®v*se • * Avec Dieu pour le
Kaiser et 1 empire ». La notre est m ainte­
n an t : avec Dieu pour Adolf Hitler et le national-socialisme allemand. L’Allemacne est
v lC
r ^ u î c ° haIPé® au traité lgnominœux de
«miais
eu Iui a €1>v°yé en Hitler
un chef qui la sauvera. Combattons avec lui
en Germains fidèles. »
Une lettre de M. Marquet
à M. Léon Blum
B ordeaux, 31 ju il le t
L a C om m ission a d m in istra tiv e du p a r ti
socialiste de la G ironde a ad ressé à MM.
M arquet, C ayrel, L afaye, C azalet, Las?
se rre et M ucquot, députés, l ’expression de
sa sy m p a th ie et les a a ssu ré s de son e n tiè re
solidarité. D evant le suffrage universel bo r­
d elais et G irondin, elle affirm e que ses élue
o n t agi a u P a rle m e n t en conform ité des
en8 a gem ents q u ’ils av a ie n t p ris d e v a n t le
suffrage universel.
N O T R E T E M P S J«
PE SSIM ISTE S
Hier mes voisins disaient .
— Quel temps ! On ne peut ni travailler ni
L’ex-Kronprinz voudrait visiter
se reposer Cette chaleur effroyable qui noua
F Amérique
paralyse durant le jour, nous agite pendant la
nuit, et chasse le sommeil comme el% a
P o rtla n d (Orégon), 91 ju illet.
chassé l appétit. S'il fallait vivre ainsi toute
L ’ex-K ronprinz a u r a it l ’in ten tio n de vi­ l année, mieux voudrait mourir.
P a ris , 31 J u ille t
site r l’A m érique p ro ch ain em en t, d’ap rè s
Le Père Eternel entend leurs lamentations .
Ce m a tin , à 17 h eu res, d a n s u n café si­
les d é c la ra tio n s q u ’il a u r a it fa ite s au cor­ cache derrière les nuages son grand soled
V ald ep en as (Espagne), 31 Juillet.,
tu é rue de l’O uest, M. Je an -B ap tiste Ja ilre sp o n d a n t en A llem agne d u « P o rtla n d et a même la bienveillance de faire tomber
Une ch a u d ière a fa it explosion d a n s une O
lot, r e s ta u ra te u r, âgé de 45 a n s ,a été bles­
regonian ».
,
. ,
une pluie rafraîchissante.
b
o
u
lan
g
erie
m
écanique,
p
a
r
suite
de
la
sé de p lu sieu rs b alles de revolver p a r R ay ­
Sur quoi mes voisins reprennent :
•Le K ronprinz, à q u i le -J o u rn a lis te de­
b
ru
sq
u
e
in
tro
d
u
ctio
n
d
’eau
froide
p
a
r
l’ou­
m ond L ucas, 25 an s, d e m e u ra n t 83, boule­
Allons, bon ! Déjà on se croirait en
v rie r ch arg é de son fonottom m m ent. Celui- m a n d a it quel fac teu r décisif m it fin à la
v a rd V oltaire, à A snières.
g u erre m ondiale, a u ra it' rép o n d u : <« L ’a r ­ automne. Nos vacances sont perdues. Que
Le m e u rtrie r s ’est en su ite tiré p lu sieu rs
rivée des A m éricains et rien d ’au tre . E t ce c est triste, la pluie ! El puis cet changements
balles de revolver d a n s la tête. Les deux
fq t u n e sottise de les la isse r e n tre r en brusques sont périlleux pour la santé. Vous
blessés, d ont i ’é ta t p a r a ît g rav e , o n t été m o rt p eu ap rè s des suites Je ses blessures g u erre. Le ch an celier eu t g ra n d to rt de ne sentez pas une fièvre lourde que cetto
tran sp o rté e à l’H ô p ital B ro u ssaisn av o ir p a s fa jt im m éd iatem en t le néces­ humidité engendre ? Vous n'avez pas mal 4
T rois a u tre s o u v rie rs o n t été blf.ssé •..
sa ire p o u r p ré v e n ir l ’in te rv en tio n am éri­ la tète ? Alors vous pouvez vous vanter
ca in e ».,.
d'avoir de la chance.
Plus ils se mettent à penser aux agriculm
leurs, et d les plaindre de tout leur cœur géné­
reux. Les blés étaient beaux, et les voilà qui
vont pourrir. Quant à la vendange, ne comp­
tons pas sur une bonne vendange.
J'écoute, et Je me demande s'il existe quel­
que part un seul homme qui sache prendre la
temps comme il vient, et s’il demeure en
Il y a plusieurs victimes
France quelqu’un qui ne prenne pas un amer,
/
P ra g u e, 31 Juillet.
plaisir d te lamenter, et d prédire perpétuelle­
Une violente explosion a d é tru it ce m a­ ment le pire.
tin un hôtel à B rno et causé d ’im p o rtâ n ts
On voudrait prendre d part chacun de ces
dég âts d an s les Immeubles av o isln an ts. pleureurs et chacune de ces pleureuses. On
L ’o rig in e de l ’explosion n ’est p as encore leur dirait : « Oui, monsieur, oui, madame,
établie. Elle p a r a ît av o ir été causée p a r il est certain que tout ne va pas exactement
une ca rteu ch e d ’écrasite.
pour le mieux. Mais vous, personnellement, de
'D eux cad av res, celui d ’u n e femm e e t quoi vous plaignez-vous ? •
d ’un en fa n t o n t d éjà été retiré s des dé­
Et l'on trouverait, bien sûr, comme dans
com bres et je b ru it court- que ce s e ra it ju s­ tous les temps et dans tous les paus, des
tem en t cette femme qui en se s u ic id a n t a u ­ gens qui ont des raisons légitimes de s’affli­
r a it provoqué la ca tastro p h e. On s 'a tte n d ger. Mais ils seraient en très faible propor­
à tro u v er d ’a u tre s victim es sous ies r u i­ tion : environ un sur mille, et deux tout au
nes de l ’hôteL
plus. Les autres sont simplement victimes
d'une angoisse vague, et injustifiée. Hs
devraient se soigner. Leur maladie est de cel­
LA FOUDRE ENDOMMAGE les
qui guérissent aisément. L'optimisme t'ap­
le monument aux soldats anglais prend comme toute çhose au monde. Et J'en­
tends bien qu’il ne doit pas être systématique
de Lillers
et irréfléchi. Mais si les Français voulaient
méditer sur toutes les raisons qui t'offrent à
B éthune, 31 ju ille t
eux d'avoir confiance dans leur destin, ils
On vien t d'inaugurer à Vitry-sur-Seiéik un banc d'essai perm ettan t aux Compa­
L a foudre est tombée a u cim etière de Lil­ s'apercevraient qu'avec un peu d'énergie et
lers, p rès de B éthune, s u r le m o n u m en t de courage ils échapperont d tout tes maux
gnies de chem in de fer d'étudier et rég ler a van t de les m ettre en service, les nou­
élevé à la m ém oire des so ld ats brit&nni- qu'ils redoutent. Mais its ont vraiment trop
velles locomotives. C'est là prem ière in sta lla tio n en Europe qui perm et d'étudier
ues m o rts p e n d a n t la g u erre, e t a causé (Tinclination à se contenter de gémir.
l'appareil m oteur d'une locom otive.
, w ____ . k u
___________
e sérieux dégâts.
gallub.
Un drame dans un café parisien
UN BA N C D ’ESSA I P O U R L O C O M O T IV E S
Upe explosion détruit on hôtel
en
3
«
P a ris , 31 julllêf.
M. A drien M arquet, d ép u té-m aire d4
B ordeaux, a ad ressé le 27 ju ille t à M«
Léon Blum une le ttre d o n t voici ies prin«
cipaux passag es
D epuis plus d ’une semaine, au nom sans
aoute de 1 am itié que vous nous avez offerte
d 4 congÄe, vous vous eîforcez de
dém ontrer dans le Populaire que je suis daveuu fasciste. Selon vous J’au ra is ^.ancbii
?
es frontières du socialisme et de
la démocratie.
les Journaux français et étranfu tt i.
les m o ts « National socia*
Né°-fa scisme . ils ont simplemen«
reproduit vos paroles. Responsable de cette
iu ÏÏP ? 8?6' ,V0U8 prétendez en être 1e béné­
ficiaire .- c’est excessif.
Montagnon a parlé le sam edi.’ moi le dl«
m anche Déat le lundi. Le succès de nos inét£ AEA0gI? Mif’ Ain9i devanl
frîLîîn!
,?,es *‘édérations de la section!
riançoise de 1 Internationale ouvrière et 2.000
m ilitants de la Seine, trois fascistes auraienfl
ire écoutes et applaudis durant troie
jours î Bien mieux, quand L)éat regagna se>
Fe'a rrX u n if»?c,j?liste ,îallen exilé. Modigliani
, donna 1 accolade. Avouez que
n»
^seraient troublantes, si voque ^tait sincère en ses moyens et
véridique en ses éléments.
*
vous tentez en vain d'am ortir !e choc pr<*
au it su r le congrès, su r Je parti et su r le
flayA p ar nPs d îsco,jrs. La classe ouvrière e t
mio:^^I'10craLé ont senti que les d éc la re ro n s
ï'° dS, C0J}damnez venaient à temps pour
éviter à la I-mnce un sort identique à celui
que connurent l’Italie et l'Allemagne, c a r
nous en étions là. Subtilement, à fore« de
cisme
e’ V0US I10US conduisiez a u îa»®
/..« « « mH? ét,ez M Pable d® désorganiser l’état
capitaliste pour un temps prévisible et de le
renverser, votre tactique éiayée p ar sa logique interne, serait attractive. .Mais vous êtes
incapable d obtenir ce résultat.
Installé dans le capitalism e, vous Je conk/U d c , Vutre doctrine lmm uoble,
et \ ous bénéficiez des avantages qu’il accorde
n - î î „P
11 ï a une Quinzaine d ’an5 „ r ^ Uî ^ e,.a dl,re et si rien ne change, cet«
i n
*°nKt emps encore. D’ailleurs vous le
laissez entendre. « Qu’importe avez-vous dit.
iLH?. s.e ,ont Jes, a g îm e s transitoires entre
le capitalism e et le socialisme ; ne leur prê­
tons pas notre caution m orale, dussions*
nous en pâtir, pendant des années •.
Les congressistes n ’ont pu cacher leur in »
laise devant cette déclaration im prégnée
d une passivité toute orientale. .
Pour moi qui vous connais, il est plu« q u ’é»
vident que 1action est exactement votre con»
i
APour* cette rais°h qu’elle voue
inspire la même épouvante que le fascism e.
« a * QUéllè source un mouvement ouvrier
Ft« * r»Pu f.r i . ?0,rce de réaliser ses objeci
^ exaltation, de l’instinct populaire,
par la dém onstration de son aptitude & gouï?,cn?r ;
les circonstances n ’ont ét#
aussi favorables.
A -l’inverse de ce que laisse supposer votre
fa” dra désormais réaliser le'
socialisme dans chaque nation avant de lei
transporter sur le plan international.
f i qne ^ aul Faure nous fasse par­
venir rapidem ent la sténographie de nos d iv
Smirront0lf f J eSiiPUblier0n!- LeS m ,l,tftnU le«
se rendront compte alor»
qu emporté par votre m anière, vous vous
™.*!ca Une« j
Plus égaré dans une entredev:eb t paradoxale à force d ’êtr*
nn.« fh«
un* dém onstration éclatante et
nouvelle que vous employez votre talent e
des œuvres toujours vaines.
VAVENI^Dü_FLATEAU CENTRAL
LES ONDES ULTRA-COURTES A l’Auberge de la Grande-Chartreuse
REMPLACERONT-ELLES
M algré les p ro testatio n s venues de tou»
côtés, m a lg ré n o tam m en t le récent té­
LE TELEPHONE ACTUE ? les
légram m e de» cetholiques de Genève si-
L’AGITATION- W DANS
LÜDE
' —
Gandhi est arrêté
A hm edabad, 31 Juillet:
G andhi et sa fem m e o n t été a rrê té s à
1 h. 40 (h eu re locale)«
Un message de Gandhi
au peuple anglais
A hm edabad, 31 Juillet.
A la veille d u jo u r où il d o it rep ren d re
sa cam pagne de désobéissance civile, G an ­
dhi a ad ressé le m essage su iv a n t a u p eu ­
ple a n g la is :
r
r i vous voulez la paix dans l'Inde, vous
l’obtiendrez non pas en gouvernant par or­
donnances, mais en faisant confiance au Con­
grès. Je suis un ami üu peuple anglais et je
parle comme tel. Certains d entre vous peu­
vent me considérer comme un ennemi, mais
J’ose prévoir qu’un jour leurs yeux s ’ouvriront et qu'ils adm ettront le bien fondé de la
requête.
Un émule d’Alain Gerbanlt
Paris, 31 juillet.
Emule d ’Alain Gerbault, le comte MarinMarie de Saint-Front, autre navigateur so­
litaire, vient d'accom plir une perform ance
qui mérite d ’être relatée. P arti de Douarnenez le 11 mai dernier, seul a bord d ’un côtre de 11 mètres, baptisé « VVmibelle II • et
construit p ar les chantiers de la Loire, le
comte de Saint-Front arriv ait A Madère le
25 mal. Reparti le 9 ju in de Madère, il arri­
vait le 8 juillet à Tort-de-France.
La distance de Douarnenez à Madère est
de 2.000 kilomètres en viron. De Madère ft
Fort-de-France (Martinfque) la distance est
de 2.000 kilomètres environ. De Madère à
franchie en moins d’un mois. Ml de SaintFront avait déjà navigué à bord du « Pour­
quoi-Pas ? » du docteur Charcot.
LA REPUBLIQUE D’ANDORRE
CHANGE SA CONSTITUTION
UN GOUVERNEMENT PROVISOIRE
EST NOMME
M. Marconi Tcffirme
à la suite de ses expériences
R ap p alo , 31 ju illet.
Lea expériences de tra n sm issio n p a r T.
S. F ., s u r ondes ex tra-co u rtes effectuées
p a r l ’illu stre physicien s é n a te u r M arconi,
en tre deux p o in ts q u i ne so n t p as sép arés
p a r d e s. m o n tag n es o n t si bien réu ssi, a u
co u rs de ces deux d e rn ie rs Jours, q u 'il a
été décidé de p ro céd er à d ’a u tre s essais,
m ais s u r une d istan c e plu s g ra n d e que
celle q u i sé p are son y a c h t <« E le ttra » de la
côte ita lie n n e à R ap p allo . D ans ce b ut, il
f a u d r a é ta b lir, en S a rd a ig n e , u n poste
spécial de tran sm issio n p o u r co u rtes lon­
g u e u rs d 'o n d es qui co m m u n iq u era avec
celui de Rocca dt P a p a , à 25 kilom ètres
de R o n e . L a d istan ce e n tre ces deux postes
s e ra d ’en v iro n 450 kilom ètres.
M. M arconi p ré d it com m e ré s u lta t de
ses expériences s u r les ondes u ltra -c o u rte s’
q u e celles-vd rem p lacero n t, a v a n t long­
tem ps, les réseaux télép h o n iq u es actuels.
Il a d it n o tam m en t :
« D éjà les ré su lta ts o b ten u s so n t in té­
re ssa n ts ; les co m m u n icatio n s so n t e x trê­
m em en t claires et ia voix est en ten d u e plu s
n ettem en t q ue s u r les téléphones o rd in a i­
res.
i P lu s ta rd , n o u s allo n s ex p érim en ter
avec les ondes u ltra -c o u rte s en ligne d i­
recte, c'est-à-d ire, e n tre un tra n s m e tte u r
e t u n récep teu r, sé p arés p a r a u c u n o b sta­
cle, tels que colline ou b â tim e n t E n second
lieu, nous ch erch o n s à éten d re le ray o n de
tran sm issio n en s u p p rim a n t s u r les d is­
ta n ce s a u m oins doubles q ue celle de 260
k ilo m ètres essayée l ’an n é e d ern iè re , et,
finalem ent, nous te n tero n s de tra n sm e ttre
à tra v e rs des ch a în e s da m o n tag n es.
« Les deux d e rn i.re s expériences a u ro n t
lieu ta n d is que le y a c h t cro ise ra en M édi­
te rra n é e et, à cet effet, une sta tio n sp é­
ciale a été co n stru ite. »
L ’in v e n teu r a ajo u té que, é ta n t donné
qv3 les o ndes co u rtes a s s u re n t le secret
des co m m u n icatio n s, il est co n v ain cu que
ce n o u v eau systèm e, g râce a u p rix ex trê­
m em en t ré d u it des in sta lla tio n s et a u peu
d ’énergie q u ’il req u ie rt, est ap p elé à rem ­
p la c e r to u s les a u tre s m oyens de télé­
phonie^
f
Strasbourg menacé d’une grève
générale
Deux individus qui se battaient
tembent dans le Rhône et se noient
UNE PERISSOIRE
ayant à bord deux personnes
disparaît en mer
H yères, 31 Juillet,
On apprend de la Capte q u ’une périssoire
dans laquelle avaient pris place une jeune
femme et son enfant de 4 ans a disparu.
L’em barcation, poussée p a r le vent, a rapi­
dem ent gagné le large, où peu après o n l ’a
perdue de vue.
Des recherches faites poi
pour retro u v er la
rissoire et ses occupants, dont on ignore
Fiidentité, n ’ont ju sq u ’à présent donné aucun
résultat.
Une jeune femme tue son mari
qui la séquestrait
M. ANDRÉ TARDIEU
a quitté Royat
Faux monnayeurs arrêtés en Italie
Rom e, 31 ju illet.
Les Jo u rn au x a p p re n n e n t de B a ri que
les c a ra b in ie rs o n t s u rp ris à A cquav.va un
m écanicien et son fils qui fa b riq u a ie n t deuis quelque tem ps de fau sses pièces de
), 10 et 5 lires. T o u t le m a tériel a été
saisi. Les deux coupables o n t été écrouès
S
Fin tragique d'un gangster
New-York, 31 Ju ille t
Ja m es D olan, an cien g a rd e du corps
d ’Alice D iam ond, femm e du fam eux b an ­
d it Ja ck D iam ond, a été tu é à coups de
feu d a n s u n café de Brooklyn. Le moi»
d ern ie r, Alice D iam ond av a it été trouvée
assassin ée d a n s son ap p artem en t« *
N antes, 31 juillet.
Une Jeune m ère ‘de fam ille, M arie Bertin. 24 ans, née à A igrefeuille, a tué d 'u n
coup de revolver, p e n d a n t q u 'il d o rm ait,
son m a ri, A lbert P e rra u d , r é à JJam gan
(M orbihan), o u v rie r boulanger.
De3 d é c la ra tio n s de l’en to u ra g e de la
m e u rtriè re , il résu lte que l'o u v rie r b oulan­
Lyon, 31 ju ille t
g er é ta it violent et extrêm em ent jaloux.
L a 4# C ham bre du T rib u n a l correctionnel
Des scènes de b ru ta lité a v a ie n t lieu conti­
n uellem ent. P e rra u d défendait ft sa fem­ a ren d u a u jo u rd ’h u i »on ju g e m en t dan»
me. de so rtir, la te n a it enferm ée p e n d a n t l’affaire do» g ro u p em en ts d ’a c h a ts en c< mson absence et co llait des tiuihrc»-posie m un co u tre le Com ité c e n tra l de défense
« u r la s e rru re , à l’ex térieu r pour v érifier dos co m m erçan ts et d é ta illa n ts de Lyon et
de la région.
1
si la po rte n 'a v a it pas été ouverte.
Les com m erçan ts a v a ie n t in te rd it à le u rs
fo u rn isseu rs g ro ssistes de se rv ir les g ro u ­
Agression contre une sentinelle
pem ents d ’achat».
à Bône
L e»-com m erçants so n t relaxés p o u r en­
trav e à la lib erté d u t i avail.
C onstantine, 31 Juillet.
Dix com m erçant», re p ré s e n ta n t le u rs cor­
Dan» la n u it du 29 au 30 ju illet, vers mi- p o ratio n s, é ta ie n t prévenus. Ils o n t été
n u it et dem i, des coups de feu fu re n t tiré s condam nés, ,m ur h au sse artifleieila de«
»ur la sentinelle de la p o udrière de l’Àc- prix : M. Jacq u et, se créta ire g én é ral du
queduc. à Bône. p a r de» indigènes. Ceux-ci, Comité, h 2000 fra n cs d 'am e n d e ; MM.
au qom bre de frois. s'é ta n t av e n tu rés d ans Thier», F orest, F esto r, R am b au d à 1.500
la zone in te rd ite, ln sentinelle fjt les som ­ f ^ n c s , les a u tre s à 500 fra n cs d ’am ende.
m ations d ’usage. Les tro is inconnus ré­ Le G roupem ent d ’a c h a ts en com m un ob­
p o n d iren t en tir a u t 4 coups de revolver tie n t 1.000 fra n cs de dom m ages-intérêts.
d a n s la direction de la sentinelle, 6an» L a M aison de» p ro d u its a lim e n taire s qui
l'a tte in d re . Celle-ci rip o sta ainsi q u u n ti* fo u rn issa it le» G roupem ent« d ’ac h at, qui
ra ille u r de g ard e qui blessa un des ag re s­ a v a it été lésée p a r l'ac tio n des com m er­
seu rs. C ependant ce d e rn ie r p u t s enfujr. çan ts, o b tien t 50.000 fra n c s de dommage«La police a o u v ert u ne enquête et fait re­ lntérêts. •
ch e rch er le blessé.
Les co m m erçan ts fo n t appel..
les droits des groupements d’achats
en commun
L’OUVERTURE DE LA CHASSE
M, A ndré T ard ieu , d o n t n o u s avons a n ­
n a ia n t à M. P a u l Boncour l’im pression noncé le sé jo u r à R o y at, a q uitté, h ier m a­
eplorable p ro d u ite à l’é tra n g e r p a r la su r tin , n o tre belle statio n .
M. T ard ie u n ’é ta it p as ivcnu à R o y at «n
tvtvanc# a la G ran d e-C h artreu se d 'u n sec­
ta rism e périm é, en co n trad ictio n avec le» b aig n eu r, m a is sim p lem en t en to u riste . Il
p ro testatio n s de ia F ra n ce co n tre les ex1" I av a it depuis longtem ps le d ésir de conuaicès h itlérien s, l’au b e rg e dite des « Cou * tre l ’A uvergne o ù . il se p la it à eiiu er le
s a -.,ainilJÂ
fam ille el
et q u ’il n 'a v a it fa it
cous »» a été ro u v erte au .m o ts de ju ille t au I berceau de *a
m o n a stè re qui reste étro item en t ferm é au x Tue tra v e rs e r a u cours de voyages h âtifs ;
rh
a r tr e n v
!R
a consacré cette an n ée ses vacances.
C hartreux.
t
A y an t fa it à la G rande-C hartreuse) un« 11 a v a it été p a rtic u liè re m e n t bien in sp iré
enquête m in u tieu se la «< R épublique de en ch o isissa n t R oyat non seulem ent p o u r
l ’Isère e t du S ud-E st », publie de sav o u reu x la b eau té de son site et la fra îch e u r déli­
détails s u r ce qui se pass« a u couvent où cieuse de s a vallée, m ais p o u r sa situ a ­
l ’on v ien t d 'in sta lle r u n ten n is, u n ping- tion a u cœ u r de l’A uvergne, aux p o rtes
pong et où l ’on am énage une sali« de ban de C lerm ont, n œ u d des route« qui ra y o n ­
Elle donne en m êm e tem ps la liste des n en t d a n s to u tes les d irectio n s de n o tre
douze u n iv e rsita ire s qui o n t accepté, p en­ belle province. P o u r u n g ra n d tra v a ille u r
M. T ard ieu , il n ’y a ja m a is dè
d an t le moi» de ju ille t, de jo u e r a.v«c le u rs comme
repos com plet ; levé tô t, l'an cien p résid e n t
famille« le rôle de fig u ra n ts.
du Conseil tr a v a illa it ju sq u ’à m idi d an s
Le G ouvernem ent, qui n ’est p as insen
son a p p a rte m e n t du R o y at-P alace ; l ’aprèssible à ce qui oonstitue la d ig n ité f r a n ­ m idi il ex c u rsjo n n ait, à «a fan taisie. 11 a
çaise, d ev ra it bien se h â te r de m e ttre fin ain si p a rc o u ru en to u s sens le Puy-de-D ô­
à cette com édie san s h o n n eu r, que le sec­ me, visité to u s ses sites, to u s ses m onuta
n t * ^°üer
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n f î eî m a ç o n n isa n t seul. itie
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Le beau tem ps a favorisé son sé7
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plus belles pages de la vie religieuse de | Jo
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é.porte de l ’A uvergne un soun o tre pays.
M. A n d ré T ard ie u est r e p a rti pia r la
ro u te en d irectio n de ....
M u râ t et du Li o ran .
Nous croyons sa v o ir q u ’il se propose «1e
L E G IO N D ’H O N N E U R
co n sac re r q u elques jo u rs à la visite de la
H aute-A uvergne.
Paris, 31 Juillet.
•
Ministère de la r*a«Ine m arohande
Est promu au grade d ’officier : M. Noël
CHAUSSURES I"* marquis et tous prix,
Schoofs, capitaine au lonj; cours ; très belle
conduite lors de l’incendie ùe 1’ « Atlantique ».
AUX V ILLES DU C EN TR E I
titre posthume, a été nommé au grade de
chevalier --------------
N O U V E L L E S M IL IT A IR E S
devoir.
M. Belingard, lieutenant, 92« R.I., est mie
à la disposition du général com mandant su­
périeur des troupes du Maroc e t rejoindra
p ar Oudjda.
P E T IT E S N O U V E L L E S
...
Paris, 31 Juillet.
NIMES. — Une jeune fille de 15 ans, Mlle
Valette, s'est noyée eu se baignant au Graudu-Roi.
COLOGNE. — Le 25« Congrès m ondial de
l’Espéranto s’est ouvert à Cologne. P rès demille délégués représentant 32 pays y pren­
nent part.
LA HAVANE. — Les conducteurs d ’omni­
bus de La Havane, Mariano, Jamainitas-San-,
José, qui s’étaient mis en grève, ont renver­
sé et brûlé des omnibus et des taxis.
BRUXELLES. — On annonce la m ort ino­
pinée à Spa de M. Maurice Desipret, ancien
250 anciens combattants français sénateur, président de la Compagnie inter­
nationale des wagons-lits, ancien conseiller
se rendent en Amérique
de la délégation belge à la Conférence de ia
paix.
Le H av re, 31 ju illet.
LE CAIRE. — Au cours d ’une querelle en­
Un g ro u p e de 250 an c ie n s c o m b attan ts tre deux familles, à Elayat (Hte-Egypte) 6
persqnnes ont été tuées et une trentaine ont
fra n ç a is se so n t em b arq u és a u jo u rd ’h u i été
blessées.
s u r le « P a r is »> p o u r N ew-York où ils
LONDRES. — D’après le » Daily Herald
vont ren d re aux an c ie n s co m b attan ts am é­
ric a in s la visite que ceux-ci fire n t en le gouvernem ent chinois au rait décidé de
F ra n c e en septem bre 1927. Le « P a r is » a m ettre en vente les Joyaux de la couronne
À?y£r,.Ial€ dont la valeur totale »’élèverait à
ap p a reillé à 13 h. 30.
2o0.000.000 de livres sterling.
Toulouse, 31 Juillet
Il y a quelques mois, un m ouvem ent
Insu rrectio n n el é ta it sig n a lé d a n s la R ép u ­
blique d ’A ndorre. Ce m ouvem ent, o rganisé
au printem ps d ern ie r p ar la jeunesse an d o r­
rane, a v a it pour cause le m écontentem ent
occasionné d an s le pays p a r les m éthodes
ad m inistratives du Conseil général des com­
m unes, auquel on reproche d ’avoir livré le
pays à ce rtain s élém ents internationaux susiects. Il y a quelques sem aines, une délégaion som m a le Conseil général d ’accorder
les réform es exigées et n otam m ent le suf­
frage universel. Après un tim ide essai de
résistance, le Conseil finit p ar se soum et­
tre et un décret signé p ar les deux coprinces d ’A ndorre, le président de la République
et l’évêque d'U rgel, M gr R icard F arnes,
vient d’établir le nouveau régim e constitu­
tionnel.
Ce décret, qui a été publié d an s les six
paroisses an d o rran e s, com prend trois a rti­
cles : «(Article prem ier : le régim e électoral
se ra modifié su r une base plus large et de
nouvelles élections sont à fixer p a r une
délégation perm anente ; le Conseil général
est dissous ; article 2 : un G ouvernem ent
S tra sb o u rg , 31 juillet.
provisoire est nom m é p a r les coprinces ;
A l'in s tig a tio n de la S ection Strasbourg
article 3 : les sessions du G ouvernem ent
seront publiques ; tout A ndorran de vingt- geoise de la C. G. T. U., les S y n d icats ou­
v riers de B tra sb o u rg à l’exception de quel­
cinq a n s peut assiste r aux débats.
ques-uns o n t décidé de d écréter m a rd i pro­
ch ain la grève g én érale. Cette décision a
été p rise a la su ite de la p ro lo n g atio n de
Vague de chaleur aux Etats>Unis la
grève des o u v riers du b âtim en t auxquels
v ie n d ro n t s’a d jo in d re m a rd i m a tin , à p a r­
N ew -York, 31 Juillet.
t i r de 9 h eu res, les o u v riers d u gaz, d«
U ne violente vag u e de c h a le u r sévit ; îx l’électricité, des tra m w a y s e t d u p o rt de
E tats-U nis. Le th e rm o m ètre a a tte in t à S tra sb o u rg .
New-York 100 deg rés F a h re n h e it, so it 37°4
centigrades, la p lu s h a u te te m p é ra tu re
U N A V IO N -C O U C H E T T E S
depuis 1918 p o u r cette époque de l’année.
On a en re g istré p lu sie u rs décès d û s à la
Le Bourget, 31 Juillet.
chaleur..
Le monoplan métallique am énagé en avion
couchettes, venant de Toulouse qu’ii avait
quitté à 8 h. 10 est arrivé a u Bourget à
10 h. 37, piloté par Doret. A bord de 1 appa­
reil qui porte su r son fuselage l’inscription
» Air-France », se trouvaient six personnes.
L’avion, du type à ailes surbaissées, est m u­
——vvv——
ni de trois m oteurs à refroidissem ent par
air d» 575 CV. Il a réalisé de Toulouse au
L yon, 31 ju ille t
Bourget une moyenne h o raire'd e 247 kilomè­
Cet après-m idi, u n in d iv id u que l’on tres. Huit personnes allongées et très confor­
croit être Louis B ressan, fo ra in , se b a tta it tablem ent installées trouvent place dans ia
s u r les bords du R hône, vers le p ont du cabine d ’où ia visibilité vers l’extérieur est
chem in de fer de P e rra c h e , avec u n A rabe parfaite.
vagabond. S oud ain , on vit les deux ad v e r­
sa ire s p erd re F équilibre e t tom ber d a n s le
fleuve, où ils d is p a ru re n t em portés p a r le Attentat contre une église espagnole
c o u r a n t L eu rs corps n ’o n t p u ê tre re tro u ­
vés.
Le F e rro l, 31 ju illet.
Des in c o n n u s o n t a rro sé d ’essence la
po rte de l ’église de N otre-D am e aes Nei­
ges. L a prom pte in terv en tio n des pom piers
a évité la d e stru c tio n de l’édifice q u i a
un e ce rtain e v a le u r artistique»
M ARDI 1» A O U T 1933
F A C U L T E D E DROIT,
Un bienfaiteur de» montagne»
Paris, 31 Juillet.
L’ouverture générale de la chasse au ra lieu
en 1933 aux dates ci-après :
Le dimanche 20 août, dans la première zone
formée des départements suivants : Aude.
Bouches du-Rhône. Corse, Gard, Hérault, Pyrênées-Orientales, Var.
Le dimanche 27 août dans la deuxième zone
formée des départements suivants : Hautes
Alpes, Basses Alpes, Alpes-Maritimes. Ardèche (partie sud-est), Arlège, Charente (sauf
1 arrondissem ent de Confoiens), Charente-lnférieure, Dordogne. Drôme. Gironde, Gers,
Haute-Garonne, Isère. Landes, Lot-et-Garonne,
Basses-Pyrénées, -Hautes-Pyrénées, Rhône.
Savoie, Haute-Savoie. Tarn-et-Garonne (sauf
partie est), Vaucluse.
Le dimanche 3 septembre dans la troisième
zone formée par les départements suivants :
Ain, .’.isne, Allier, Ardèche (sauf partie sudest), Ardennes, Aube. Aveyron, Belrort. Calva­
dos (sauf partie sud-ouest), Cantal, Charente
(arrondissement de Confoiens), Cher. Oorrèze,
Creuse, Côte-d’Or, Doubs, Eure, Eure-et-Loir,
Indre. Indre-et-Loire, Loire, Haute-Lolre* Loiret-Cher, Loiret, Lot. Lozère, Marne. HauteMarne, Meurthe-et-Moselle. Meuse, Nièvre,
Nord, Oise. Orne (sauf partie ouest), Pas-deCaJats, Puy de-DAme, Haute-Saône, Saône-etLoire. Sarthe, Seine, Seine-etOise. Seine-Infé­
rieure, Seine-et-Mame. «Deux-Sèvres, Somme,
Tarn, Tarn-et-Goronne (partie est). Vienne,
liaute-Vienne, Vosges, Yonne.
f AITS DIVERS
A CLERMONT,
’
Piqué par une vipire
M. S ervita« B aptiste, âgé de 53 an s, su r­
v eillan t h la C om pagnie P.-O., o rig in a ire
de C eyssat, d e m e u ra n t ru e a u ’lo.-ac», a
C lerm ont, a été piqué p a r u ne Vipère. Il
a été h o sp italisé a 1 Hôtel-Dieu.
DANS LAJ3EGION
Accident mortel d’automobile
ANTO INE R O USSEL
Sous le patronage :
Des Coopératives «t Industriels laitières
d'Auvergne, de la Fédération des Syndicats
agricoles du Puy-de-Dôme, de la Chambre
d Agriculture du Puy-de-Dôme, de l’Office ’
Agricole départem ental, de l'Union des Syn­
dicats d'Elevage de la race Ferrandaise, de
la M unicipalité de Laqueuille sera inauguré,
le 13 août, à Laqueuille, un buste à la mé­
moire d ’Antoine Roussel. Ce geste de recon­
naissance et de gratitude était Dien dû à celui
qui a été le créateur du fromage bleu d ’Au­
vergne. Cette industrie a pris un grand déve­
loppement et la production peut-être évaluée
à un minimum de ÎO.UOO tonnes de fromage
p ar an. C’ert donc une somme im portante de
revenus et un débouché très avantageux pour
le lait. Elle intéresse Je Puy-de-Dôn»e, Je Can­
tal. et... tous les consom m ateurs de bon fro­
mage.
Antoin« Roussel né à Villevialle, commune
de Laqueuille en 1820. Il était l’aîné d’une
nombreuse famille, dont il devint le soutien,
à la mort prém aturée du père.
Chadun sait combien ô cette époque les
temps étaient durs pour tout ie monde, maitr
1
particulièrem ent dans ces montagnes où le
'
seigle même venait quelquefois à m anquer.
Alors, c’était la misère, sinon Ja famine. Le
lait était utilisé à la fabrication d ’une petite
fourme dite de Rochefort qui se vendait au
chef-lieu de canton dix. douze francs le quin­
tal.
Roussel, étreint p a r le souci de subvenir
aux besoins d'une famille nombreuse, se con­
vainquit vite qu. des am éliorations pouvaient
être apportées.
Très observateur, il avait rem arqué que les
petites fourmes bleuissaient à certains en9
droits, tels que cassures, crevasses, trous de
rats et que ces parties ou le bleu se dévelop­
pait étaient meilleures au goût, plus fines ;
il fallait donc chercher à faire au fromage
« bleu ».
Il modifia d'abord la forme, en utilisant des
moules en terre cuite, m ais ils étaient trop
fragiles ; il les rem plaça par des moules en
bois qui ont eux-mêmes disparu, remplacés
*
p ar la tôle étamée.
Si la forme éjptt trouvée, 1e • bleu » ne s«
développait qu'en surface et non à l’intérieur,
comme Roussel l ’eut voulu. Il continua avec
acharnem ent les essais sans arriver à un
r
résultat satisfaisant, mais ces tâtonnem ents
lui abîm aient beaucoup de fromages, sa situa­
tion devenait difficile angoissante même.
Qu importe, il travaillerait un peu plus encore
il voulait aboutir.
Si le fromage ne bleuissait pas suffisam ­
ment, trop souvent hélas, la tourte de pain
de seigle bleuissait trop. Roussel fit un rap*
prochement. Est-ce que le bleu du pain ne se
développerait pas dans le fromage ? Nouveaux
essais ; Je caillé fut parsemé de poudre da
pain moisi. Les résultats furent concluants,
le fromage bleuissait dans toute son épais­
seur. le principe du bleu d ’Auvergne était
trouvé.
*
Cependant, U y avait encore un Inconvé­
nient : les fromages ensemencés m ettaient
trop longtemps à bleuir, ce qui nuisait au bon
goût et à leur qualité. Là encore, Roussel
observa. Il rem arqua qu’aussi bien sur les
fromages que sur la tourte, la moisissure com­
m ençait toujours aux fentes, aux trous de
rats ; il en conclut que l’air était nécessaire
au développement du champignon ; il fallait
donc aérer. Il se servit d ’abord d'une simple
aiguille â tricoter, emmanchée dans un hou»
de bois. A ujourd'hui, on utilise des machines
automatiques dont une des premières a été
construites et inventée par M. Clermont,
mécanicien à Rochefort.
*
Le succès était complet, la fabrication était
au point. En un mois, les from ages bleui«"
saient ; c ’était en 1854.
Roussel fit alors une installation qui lui
permit de traiter Je lait de son exploitation :
il en fit profiter les agriculteurs de son village, de toute Ja région ensuite, car il s’em­
pressa de vulgariser sa découverte.
Des échantillons du fromage ainsi fabriqué
furent envoyés à Clermont, Lyon, SaintÉtienne. Ils furent très appréciés. les dem an­
des devinrent actives ; ils se vendit 50 francs
le quintal, cinq fois Je prix de Ja petite
fourme. Quelle révolution I L'opiniàireté de
Roussel avait procuré nlus de bien-être à sa
famille et à toute la région. Les débouché»
s é endant. il fallait produire davantage ; l ’ac­
tivité d’Antoine Roussel se porta de ce côté
Le premier, il conseilla l’abandon de la cultqre du ^eigle, par trop aléatoire et déce­
vante ; il préconisa la création de prairies e»
de pâturages, un emploi plus normal du
fumier, ia construction de plate-forme et de
fosses à purin. Je drainage des 6ols humides.
! irrigation chaque fois que la chose était pos- Ä
sible, 1 amélioration du logement des anlmaux, de leur nourriture, des laitières en Durticulier, etc...
L’évolution — résultat de toutes ces réali­
sations — a été immense ; Je cheptel a aug.
menté de 100 pour 100 en nombre et en qua­
lité.
r
Antoine Roussel a été vraim ent un précur­
seur. 11 a passé une partie de sa vie sacrifiant
son te m p , et ses intérêts à la création, à la
mise au point d ’une Industrie qui a apport«
dans des régions particulièrem ent déshéritées
le bien-être et l’aisance. Ses conceptions culturales sont venues parfaire son œuvre.
Pour tout cela, il a droit à la reconnais­
sance de tous et particulièrem ent de ses con­
citoyens et l’érection de son buste ri’est qu’un
Juste hommage rendu à cet homme de bien.
A ROUSSEL Antoine
Créateur du fromage bleu d ’Auvergne
*■
les agriculteurs reconnaissants
1820-1854-1886
Le P u y , 31 ju illet.
8ES8ION DE JUILLET 1934
'
H
ier
dim
anche,
vers
l a fin de la ooiré»,
DOCTORAT
A obtenu le diplôm e de docteur en droit : u n accid en t d autom obile s est p ro tiu u au
q u a rtie r de la R en aissan ce flans deB cir­
M. Jean Heynauu.
Ont obtenu le second diplôme d ’études su­ co nstances encore im précise« en l ’é ta t
périeures de droit rom ain et histoire du droit actu el de l’enquête.
Un v ieillard de 78 an s, M. F o u rn e t B ap ­
et de droit privé : MM. Jean Fourmoux, jean
iMazaud.
tiste, qui tr a v e rs a it la .ro u te , a été h eu rté
Ont obtenu le prem ier diplôme d ’études su­ et ren v ersé p a r u n e au to que co n d u isait
périeures de droit rom ain et histoire du drbit M. G ibert Célestin, fa b ric a n t de dentelles,
et de droit privé : Mlle Madeleine Père (men­ ru e Vibert. L a victim e, tra n sp o rté e à l ’hô­
tion bien) ; M. Marcel Berthon, Mlle Margue­ p ita l, y e st décédée d an s la n u it.
rite Maliet.
Ont obtenu le diplôme d ’études supérieu­
res d ’économie politique : MM. Mari us LeUne auto capote
peix, François Roche.
LICENCE EN DROIT
et tombe dans mwuisseau
Troisième année
A urillac, 30 ju illet.
Ont obtenu le diplôme de licencié en droit :
D im anche, vers 18 heures, M. Félix M al­
MM. P au l Divol (mention bien) ; François ler, 25 an s, de P a ris , actu ellem en t en villé­
Teissier (mention bien) ; Pierre Borie (men­
tion assez bien) ; Claude Pivot (mention as­ g ia tu re d a n s le C an tal, rev e n ait en au to
sez bien) ; Paul Prouzat (mention assez bien); de S ain t-P au l-d es -L an d e s et se re n d a it à
M ontsalvy. Il a v a it avec lui sa m ère, Mme
Joseph earlier, Gaston Malet.
Ju lie M aller, 45 an s, non fils, M, A ntoine
Admissible ; Mlle Marie Bravard.
M aller e t u n neveu, M. Jeun Luoa&sagiie,
Deuxième année
Ont obtenu le diplôme de bachelier en droit: 20 ans. Au lie u d it E sp in a t, s u r le te rr i­
MM. P aul Calamy (mention assez bien) ; P aul to ire de la com m une d ’Y trac où la route
Chassagne (mention assez bien) ; Paul Piollet n a tio n a le fa it u ne légère courbe, l ’a u to ­
(mention assez bien) ; Jean Boyer, Fernand m obile a capoté, s’est reto u rn ée, et, ap rèe
Chauveau, René Défradas, Henri Fournier, av o ir fau ch é u n p o teau télég rap h iq u e, a
Pierre Gauthier, Charles Kappeiin, Henri de fra n c h i le p a r a p e t p o u r aller tom ber d an s
Lachapelle, Mile Marie-Louise Lèbre, MM. le ru isse a u d ’E sp in at.
A U JO U R D 'H U I
Georges Ma«, André Moncelon, Henri Rochut,
Les tém o in s de l ’accid en t se précipitè­
Fête à souhaiter : S a in t Alphonse.
Andre Sohin ; Mlle Marie Tantôt, M. Léon Vire n t au secours des victim es q u i fu re n t
— Lever du soleil, 4 h. 24 ; coucher, gier.
Admissibles : MM. Gaston Bizot, Albert au ssitô t tiré es de le u r fâcheuse position.
19 h. 29. Lever, de la lune, 16 h. 18 : cou­
Mme Ju lie M aller e t M. Je an L aeassaBonamour, Jean Brunei, Léon Chapuis, Mlle.
cher, 23 h. 37.
Catherine Gourdlat, MM. Jean Horn, François gne é ta ie n t blessés à la tête. Les deux a u ­
Manigand, Jean Roudaire, Mlle Geneviève tre s v o y ag eu rs n ’av a ie n t au c u n m al.
AU CASINO DE ROYAT : A 20 h. 45. gala de Thibaudin, (M. Gaston Tournaire.
L ’au to est en piteux état..
comédie : Echec à la Heine, avec la tournée
Première année
LedrazaL.
Ont été adm is définitivem ent : Mlle ElisaEn rentrant du bols
b e th jie Lescure (mention bien) ; M. Adrien
Le Dooteur FOURNIOUX, spécialiste des Touniaire (mention bien) ; Mlle Marie Déun
instituteur est tué
(mention assez bien) ; M. P au l Doupeux
oreille«, nez, gorge, eera abeent du 30 bizé
(mention assez bien) ; Mlles Marcelle Musçiier
Saint-C hély-d’A pcher, 31 Juillet.
Juillet au 20 Août.
(mention assez bien) ; Aimée Perroton (men­
D im anche m a tin , 30 ju illet, vers 10 h eu ­
tion assez bien) ; MM. Jean Arnaud, Jean
res, M. T rocellier A lphonse, o u v rie r p ein ­
Boutonnet,
Raymond
Brossel,
Mlles
Lucienne
Dooteur Q U IY 88A O eet rentré
Brun, Jeanne Chassaing, M. Henri Communal tre à S aint-C hély-d’A pcher, r e n tr a it qu el­
Mlles Suzanne Comte, Suzanne Delèstrade, ques b ûches de bois d a n s son g aletas, a u
iMM. Bertrand Douët, Hippolyte Gamelcy, Ro­ m oyen d ’une corde et d ’une poulie. M.
N A I8SA N C E
ger Héritier, Marcel Jalin, Robert Jette, Geor- B onnet, in s titu te u r en re tra ite , q u i p a s ­
Le Docteur et Mme Louis Giraud »ont heu­
e» Lemerle, Maurice de Longevialie, Paul s a it à ce m om ent, s ’o ffrit n o u r lui aid er,
reux de faire p art de la naissance de leur
lercier. Antonin Montel-Mozat, Maurice Plas- f o u s deux tir a ie n t s u r la corde lo rsq u e
tille Marie-Françoise.
6at, René Roche, Paul Sauty de Chajon, Mlles cette d ern iè re se ro m p it b ru sq u em en t, M.
Jacqueline Tabcum el, Marie Teissier, M. René
.Clinique Sainte-Madeleine,
T rocellier qui é ta it a u g aletas, à en v iro n
Vigier
le 23 juillet 1933.
Admissibles • MM. Pierre Baud, Lucien 10 m ètres de h a u te u r, e n tra în é p a r son
Bar*se, P au l Chassaing, Mlle Marguerite De- effort, fu t précipité en b as e t v in t s ’effon­
guilhem, MM. Louis Deçeix, Pierre Félix, Jac­ d re r s u r M. Bonnet, ce d e rn ie r qui ne p a ­
NÉC R O LO G IE
ques Fournet, Henry Hamonic, Adrien Hosta- ra is s a it p as av o ir de blessu res a p p a ren te s
lier, Mlle Paule Plane, M. Henri Tridon.
fu t tu é s u r le coup. On suppose q u ’il y a
M. Joseph Qard. — On annonce la m ort de
eu fra c tu re de la colonne vertébrale. M.
CAPACITE EN DROIT
M. Joseph Dard, adm inistrateur du « Moni­
T rocellier, quoique sérieu sem en t blessé à
Deuxième année
teur », officier de la Légion d ’honneur, dé­
Ont obtenu le diplôme de capacitaire en la m âch o ire et s u r diverses p a rtie s du
cédé hier en son domicile des Roches.
: MM. René Buiseon (mention bien) ; corps ne p a r a it p a s en d an g er.
11 était né le 26 décembre 1862, à Saint- droit
Edmond Millet (mention bien) ; Jean Bour
-—
<
fia e m T i^ C o n ^ e rv a to îr^ d e ^ è tte ^ v ill^ ^ u i «a I na* <m ent’on assez bien) ; Antoi’ne ThiouîounreDare à fêter son centenaire
’^
60 (mention assez bién) ; Jean Caton. Jean
Eglise Sainte*Jeanne*d'Arc
L e C o m i t é d e P a t r o .i a g « .
Après de brillantes études à Saint-Étienne te^x ^^ à r ^ ^ 1
îvir He nr?ZF cmiVinn^ r it kp rt
—"
" "— - »
— «
et à la Faculté de Droit, il vint s ’installer Laciôîre* Alexandre Lautier
Franco?*«
TOMBOLA KT 00NC0UR8 0 8 BALLON!
comme avoué à Clermont, où il succéda à M* | k allard A n n Ä r c e p Ä
Service
des
Poids
et
Mesures
Voici
la
liste
des
numéros
gagnants
de
la
Boyer. La confiance de ses collègues 1« plaça Robert Mouroux, Jean Oilier, Antonin f a r ­
tornoola et le résultat au concours de ballons
à la tête de leur chambre.
Il épousa alors la fill« de M. Monttouls, di­ rier, Mlles Aurélie Prunayre, Georgette Quey- de la kerme»6e du 30 juillet :
BURKAU DB ÔLERMONT-FERRAND
riaux,
MJean
Serindat.
». N®
S. N*
recteur du « Moniteur » et de ses imprim eries,
S. N»
S. N*
S. N°
Le bureau de vérification sera ferm« do
Première année
et, à la m ort d-e son beau-père, en 1910, lui
96 20
122 10 101 13
66
19
110
7
4 au 24 août 1933.
(Ancien régime). — A été adm ise : Mlle 116 15
succéda dans la direction du Journal.
98 2
60 13
6
6
9 J0
Le Vérificateur ; Lethuaire.
Sans être un journalist« professionnel, 11 François» Perceau.
2 21
118 3
107 12
16
17
40
19
(Nouveau régime). — Ont 8té adm is : Mlle
ne devait plus cesser, dès lors, de s ’oocujfir
68 1?
3 3
42 17
50
22
22
5
*
—
des affaires de presse. Il déploya dans ses Jeanne Lachaud (mention bien) ; M. Marcel
36 15
S3 17
72 7
62
15
61 23
15 7
nouvelles fonctions ses qualités a ’adm inistra- Laroche (mention assez bien) ; Mile Marie
103 7
25 23
LA
C
C
U
PE
D
U
P
R
E
S
ID
E
N
T
11
21
65
6
teur et se fit apprécier d-e ses confrères de ia Morange (mention assez bien) ; M. Georges 82 24
61 15
10 25
l
11 51 26
•u
GoU-Cluh
de
Royat
Bellon,
Mlles
Georgette
Bernard,
MiM.
Robert
120 20
presse régionale par la cordialité de ses rap­
28 9
47 25
20
15 P.) 25
63 7
ports. 11 y com ptait de nombreux amis, qui, Blanc, Jean Bonnefoy, Laurent Brun, Marcel
77 22
4 20
39
15 J4 3
85,
27 10
comme nous, s ’associent au deuil du journal. Clémentei, Henri Ducrohet, Mlle Jeannette
54 10 124
19 75 II
Nous avons assisté, dimanche après-midi,
13' 3
41 10
11 collabora à diverses œuvres d'assistance Fournier, MM. Jean Jeanneret, Jean Martel,
52 24
102
2 92 13 ft du très beau golf. La partie, cependant,
pendant la guerre, où ia m ort de son beau- Jean Meya, Mlle Jeanne Nény, MM. Georges 30 13
26 21
21 10
37
22
87
9
ne
fut pas très disputée, et la gagnante, beau- *
riel Rongier,
Rongier Mlle 108 13
Gabriel
121 7
frère, tué aux Armées, endeuilla douloureu­ Porte, René Poukhon, ^jab
86 5
32
20 58 ?o coup trop forte pour ses ailverbulres. ne fut
Madeleine
Roustan,
MM,
Alain
SacTier,
Mar18
16
23
*
55
sement la famille Montloui«. En 1924, la trans­
73 13
104
23 23 10 pas inquiétée un instant. Mme l'iherghien
19 25
111 9
74 9
form ation du » Moniteur » en société fit d« cel Suchet, Mlle Emilie Vidal.
49
15 »8 11 d'Assonville, du Golf de Saint Germain, ter­
Admissibles • Mlie Andrée Chabrand, MM.
Cl 12
48 19
117 7
M. Joseph Dard l’adm inistrateur du Journal
115
15 81 u mina le parcours avec le score écrasant de
46 13
113 13
et des imprimeries. Depuis quelque temps, «on P ierre Decombre, Pierre Domazon, Michel
12 10
71
18
5 18 9 up 6ur le bogey, H faut s’incliner devant
60 4
43 17
53 25
état de santé le tenait éloigné de ses occu­ Mallet, M ie Denise Mialet, M, Michel Per38
19 45 18 un pareil résultat, car il démontre, en plus
ceau,
Mlle
Marie
Rousseau,
'MM.
Alphonse
76
7
126
12
34
pations professionnelles. Il y était remplacé
16
80
25 59 é de la haute valeur sportive de Mme Tiber17 II
7 12
125 4 114
par son fils, M. René Dard, qui su t »« fa.ra Sabadel. Charte» Virolie, George» vigier.
19 123 25 g|ueu, l'excellente condition de notre par­
35 13
91 10
100 12
apprécier par l’am énité et la distinction de
Lauréats des concours de fin d ’année
cours, qu'une petite averse de la uiatine«
son caractère, où l’on ratrouv« celles d« son
avait rafraîchi à souhait.
Prem
ière
année
:
Histoire
du
droit.
—
jw
Tombola
du
bazar,
—
Le
n*
Il
gagne
une
grand-père, journalist« do classe. Bien que irix, M. Maurice Chassot ; 2* prix, M. Ber- amphore grès flammé
MM. Henri Rochut, du G. C. R., et Edwards,
nous n’ayons jam ais eu les mêmes idé«« que rand Douét : mention, Mil« Marie Beauia,,du Golf-Club de Nice, égalisèrent ensuite pour
Le n* 56 gagne un plat Strasbourg.
le • M oniteur >, nous tenons, eu cette dou­
deuxième place, avec 5 up. et partagèrent
Oenoours de ballons. — l»r prix, Raymond la
loureuse circonstance où s'évoque le passé do
le deuxième prix Ensuite. 3 up. Mme P av
ECOLE DE NOTARIAT
Besse ; 2« prix, Georges Adnot ; 3» prix. Bri- Cault,
notre confrère, à rendre Justice aux qualités lUt1’
trois cinquièmes, M.M. i.yonel Pasgltte Hauvette ; 4« prix. Yves Erard ; 5* prix cault, et
Diplôme de fin d'études
de son fondateur «t à celles aes im mores de
Léon Cohendy et Henri Fraisot. Ht
Paul
Erard
;
6*
prix,
Lucien
Prelle
sa famille qui lui succédèrent,
Les examens de l'Ecole de Notariat ont eu
notons enfin, a la tête des non classés,
Les lots pourront être retirés au' preebv- nous
Adm inistrateur des Hospices en 1908, M, Jo­ lieu, «u siege d» l'Ecole, ie« jeudi 13 «t sa­
M, Bohat, 1 up.
i
tère de l église Sairite-jeanne-d'Arc, Jusqu'au
seph Dard devintw ice-présldent du comité di­ medi 15 juillet 1933.
+
----------------------recteur. Il fut h deux reprises vie«-président
Le jury, constitué conformément au décret 12 août Inclus, de 11 à 12 h. et de 18 à 19 il.
du Comité directeur d« l'U nion Hospitalier« d u
NOTA — Les lots non retiré» à cette dsté
m al 1905, était composé de MM. Mazel,
du Centr«.
•président du tribunal civil, président ; Rous­ resteront acquis à l'oeuvre
N O V fl.1 V . — T o u s les so irs. * *0 0. M. M stlpS»
Chevaiier d« la Légion d ’honneur du 8 avril seau, professeur à la Faculté de Droit de Poi­
.tes j«p<Ms d in is n .-h e s s t fê U M . S IB u s u re s
1913, au titre de l'Intérieur, il fut nromu offh tiers ; Juilhard, directeur de l’Ecole, doyen
U c élèb re filiu c a ’ tn ttir r » « rs c C o o ra d V enu «s
cie en 1932, au titre
de
.
. la S. snté
.
ublique.
de la Faculté de Droit de Clermont ; Vlalatte,
Its th e r fla ls to o : « s m s f spr«M Au o m a r s u intt ;
Nous p rio r» Mme M ontions, Ame Jo u i
directeur de l ’Enregistrement «t Bothe, pré­
S
y
» u m * 0 , t r e e BolUn si C M rM a v L 'o rc b o str«
Dard, MM. René et Gabriel Dard,
sident de la Chambre des Notaires de Cler­
D sjo s IU IU - Los d é r o u te s A ctualité*
mille« j 1« pérsonnel an * Moniteur
__ m ont-Ferrand.
• —
.1.
Pierre
de
Féllce.
avocat
ft
la
Cour
d’«Dimprim erie* Montloul», d* ro u v e r tel l’tx«IN SM A O A M IO. — Tous I«- tour*, sotré» *
(
Ont été adm is «t ont obtenu le diplôme de
pression de nos très sympathique* condo- l’Ecol« de Notariat dans l'ordr« de classement pe. de Paris, fit purnltr-î récemment, avec *0 ft. *A D im a n rb e e t leuril m atin * * a I« 6 **
une
préface
de
-M.
Henri
QuoulJle,
m
inistre
léancé*.
lé
L a T e rr e u r o s la « a m p a . avec I« c o m ti|it« K tS
suivant MM. François Manigand, de Rocha- de 1 Agriculture, un .ivre sur la révision des
fort-Mbntagne (Puy-de-Dôme) : Georges Serin- b a u x jru ra u x dont le succès fut des plus n a o d e i. - S e e n e c * a * « a i* !'* ), f e m o u n n s m a i e
uo de» plu» g ro s succe» d e la n 'tS * av ec P a u l M uni
dat, de» M«rtres-d«-Veyre JPuy-de-Dônre)
e j t Usson
D A N S LA M A G ISTR A T U R E Mlle Anne Marce^oilj de St-E tlennejur-“
Aujourd’hui, U publlo un ouvrage exact«- et A nn D v n rsk .
René C h a v lg n i« de l’Hô- ment
(Puy-de-Dôme)
O A PITO L«. — R elâche.
mime genre, expliquant d ’une maSont nommés t juge au tribunal d'Aurlilac, oltai-Yd
*-|!« Marie D
T)alle,
_ . de mère du
ital-Yde» (Cantal)., ; Ml’«
a iA L T O - M L * « « . - R elâch e.
simple et vivante, avec des exemples
M. Vernazobre*. Juge suppléant du ressort d* pi_________
M.
Gilbert
Laclôtre,
"(L
o
zère
Prlnsuélols
(Lozère)
é
Hfl**
** VI« p ratiq u e,.la loi du 12 Juillet
Montpellier.
(Ailler).
d ’Arfeufll««...........
la « permettant aux coinrnvrmMt* nuv fn***.
P rocureur de ]& République à Chaumont,
l p _____attribué à ces candidat» réduit
Le diplôme
M. Laroze, substitut du Procureur d« la Répu­ le stage notarial et le porte ‘de six à quatre triels «t aux artisans ia révision de leur*
baux.
blique à Saint-Étienne.
années.
.
tour, ce livre est sûr d'un accueil
Le prix de la Chambre des Notoires de Cler­ emAprson
ssé du public.
Nous rappelons à nos alxinnét
mont-Ferrand a été décerné à M. François
Quiconque — commerçant. Industriel ou
Manigand, avec la médaille de bronze; don artisan
ue
toute demande de changement
faire réduire son bail et s«
d« l’Association nationale de» notaires de patente, —envoudra
fera son g u id r
d'adresse
doit être accompagnée d e A
VQYAOKUR S P d O I A M S *
v e n t « Auto» France
Prix t 4 fr-j franco i 4 ,0 0
Le prix de la Chambr« des notaires de
la
dernière
bande et de la somme
mobil««. » Curriculum v it»
EN VENTE : Selles des DènAches d« “âvnitlr,
Rjom a été décerné à M. Htppoiyte Gamelcy,
E crire HAVAS, G U r m o n t .
4, rue Blatin, et 15, rue du Port, Olerment-Ptf. de un franc.
d« Clermont, étudiant de première année.
Cfirooique Locale
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DANS L E S CINEMAS
La révision des baux commerciaux
CHANGEMENTS D’ADRESSE
ON D E M A N D E «I
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Sans doutj
tes parent«
écarté les jol
c laratio n s a i
p ro m ettan te s
d i M. O'Conl
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MARDI 1" AOUT 1933
C A V B N IR
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llllliaM M IIIM IIIIN N N IlN IIN tN I
SSEL
isM iiitiiiiiiM iH H H a n iiia ïA M i
L’ENLÈVEMENT
DE M. O’CONNELL JUNIOR
A lb a n y ( N .- Y .) , 31 J u i l l e t
S a n s d o u t e p a r c r a i n t e d e r e p r é s a i ll e s ,
te s p a r e n t s d e M . O ’C o n n e ll J u n i o r o n t
é c a r t é le s j o u r n a l i s t e s o u o n t f a i t d e s d é ­
c la r a tio n s a u s s i b rè v es e t a u s s i p e u co m ­
p r o m e t t a n t e s q u e p o s s ib le s u r l ’e n lè v e m e n t
d t M . O ’C o n n e ll J u n io r ., .C elui-ci a d i t q u e
q u a t r e o u c in q h o m m e s a r m é s l ’a v a i e n t
a b a t t u à c o u p s d e p o in g a l o r s q u ’il d e s c e n ­
d a i t d e s o n a u to m o b ile , v e r s u n e h e u r e d u
m a t i n , le 7 j u il l e t . T o m b é s a n s c o n n a i s ­
s a n c e , il se r é v e i ll a d a n s u n a p p a r t e m e n t
c o n f o r t a b le s i t u é p e u t- ê tr e à N e w -Y o rk ;
il f u t c o n v e n a b le m e n t n o u r r i e t n ’e u t à
s u b ir a u c u n m a u v a is tra ite m e n t. L es b a n ­
d i t s d e m a n d è r e n t d ’a b o r d & 1 ^ f a m i l le u n e
r a n ç o n d e 250.000 d o lla rs .,
P u i s , e f f r a y é s , c r o it- o n , p a r la s e n te n c e
d e m o r t p r o n o n c é e d a n s le M is s o u r i c o n tr e
le b a n d i t J V a l t e r M e G ee, q u i a v a i t e n le v é
M lle M a r y M c e lb o y , ils c o n s e n t i r e n t f i n a ­
l e m e n t à l i b é r e r le p r i s o n n i e r c o n tr e 40.000
d o lla rs .?
L a ra n ç o n le u r fu t p a y é e v e n d re d i d e r­
n i e r . L e s b ille ts a v a i e n t é té m a r q u é s fet le s
n u m é r o s r e le v é s p o u r ê tr e c o m m u n i q u é s à
l a p o lic e f é d é ra le .. P o u r e f f a c e r le s t r a c e s
d e c e tte o p é r a t i o n , le s b a n d i t s d é p o s è r e n t
i m m é d ia t e m e n t l ’a r g e n t d a n s u n e b a n q u e
«le N c w -Y o rk e t v i n r e n t q u e lq u e s h e u r e s
a p r è s p r é s e n t e r u n c h è q u e d ’u n m o n t a n t
é q u iv a le n t à c e lu i d u d é p ô t ; m a is la b a n ­
q u e e u t s o in d e r e m e t t r e a u x é m i s s a i r e s
d e s b a n d i t s le s m ê m e s b i ll e ts q u e c e u x
q u ’ils . a v a i e n t d é p o s é s .
L e s ' a s s e m b lé e s d e l ’E t a t d e N e w -Y o rk
re c e v ro n t d e m a in u n m e s sa g e d u g o u v e r­
n e u r, M. L e h m a n n , d e m a n d a n t u n e a g g ra y a t i o n d e s p e in e s f r a p p a n t le r a p t , q u e
d é j à six E t a t , ( W y o m in g , F l o r i d e , Ï J ta h ,
M o n t a n a , C o lo r a d o , lo v v a) p u n i s s e n t d e
m o rt.
Æ
^
époque le s
m o n d e, m a i?
ta g n e s où le
à m a n q u e r,
a fam in e. Le
d ’u n e p e tite
v e n d a it a u
u n e s le q u in -
\U
de s u b v e n ir
re u se, se co n ­
n s p o u v a ie n t
a rq u é que le s
c e rta in s enses, tro u s d e
u se développ lu s fin e s ;
d u fro m a g e
u tilis a n t d e s
é ta ie n t tr o p
e s m oules e n
u, re m p la c é s
bleu » n e se
à l'in té rie u r ,
o n tin u a a v ec
rriv e r à u n
tâ to n n e m e n ts
iges, sa situ a sa n te m êm e,
u p lu s e n co re
p a s su ffisa m x irre de p a in
el fit u n ra p du p a in ne se
îfe ? N ouveaux
de p o u d re de
ît c o n c lu a n ts,
te son é p aisu v e rg n e é ta it
Deux arrestations
A l b a n y , 31 J u i l le t .
O n a p p r e n d q u e l a p o lic e a a r r ê t é d e u x
in d iv i d u s c o m p r o m is d a n s l ’e n lè v e m e n t d e
M . O ’C o n n e l. O n i g n o r e l e u r id e n tité » U s
s o n t s o u m is à u n i n t e r r o g a t o i r e .
u n inconvé'é s m e tta ie n t
■uisait a u bon
c o re, R oussel
b ien s u r les
-isissu re comiux tro u s de
ait n é ce ssa ire
on ; il fa lla it
d 'u n e sim p le
d a n s un bout
des m a c h in e s
m iè re s a été
1. C lerm o n t,
LES VOLS DE BESTIAUX
aux Etats-Unis
S a n -F ra n c is c o , 31 Ju ille .t
Le r a p t n ’e s t p a s le s e u l a s p e c t d e l a v a ­
g u e c r im i n e l le q u i s é v i t a u x E ta t s - U n i s .
L e s v o ls d e b e s t ia u x se d é v e lo p p e n t d a n »
.’es E t a t s d e l ’o u e s t , l a C a lif o r n ie , l ’U t a h ,
i ’I d a h o e t l ’O re g o n . U s s o n t e f fe c tu é s n u i ­
ta m m e n t . L e s a n i m a u x s o n t c h a r g é s d a n s
d e s c a m io n s e m m e n é s d a n s le s m o n ta g n e s
e t re v e n d u s p lu s ta rd .
R é c e m m e n t, d e u x j e u n e s f ille s d e l ’E ta t
d e W a s h in g t o n o n t é té c o n d a m n é e s à u n
a n d e p r i s o n p o u r v o l d e c h e v a u x , c r im e
q u e le s p i o n n ie r s d u v ie u x F a r - W e s t p u n i s ­
s a i e n t d e l a p e n d a i s o n im m é d ia te »
C
ric a tio n é ta it
n a g e s bleu;«*
stion q u i Jul
e x p lo ita tio n ;
de son vilc a r il s'e m rte.
in si fa b riq u é
L yon, S a in t. les d e rn an d it 50 fra n c s
de l a p e tite
p in iâ tre té de
jie n -ètre à s a
ss d é b o u c h é s
a n ta g e ; la c *
de ce cô té,
on de la c uliire e t décee p r a ir ie s e t
n o rm a l d u
-fo rm e e t d e
o is h u m id e s,
ose é ta i t pose n t d e s a nitiè re s e n p u r- ^
Lycéens français en Allemagne
e
es ces ré a lltieptel a au g e et e n q u at u n p ré c u rvie s a c rif ia n t
ré a tio n , à la
ni a a p p o rté
î t d é sh é rité e s
c e p tio n s cul*
il œ u v re,
la reco n n a ist de ses cone n ’est q u ’un
m e de bien.
A LA FRONTIERE AFGHANE
)ulaissants
P
a tr o n a g e .
lesures
ERRAND
fe rm é d a
L ethuaire .
S ID E N T
oyat
a p rè s-m id i,
c ep en d an t»
;n a n te , beuua tre s . ne fu t
l’ib e rg h ie n
je r m a in , te ré cra sa n t de
B in a r d e v a n t
aire. e n p lu s
M m e T ib e rn o tre p a r .
la m a tin é e
, et E d w a rd s ,
e n s u ite p o u r
t p a r ta g è r e n t
p, M m e P ast.yrm el P «sF ra iso t.
El
n o n c la sse s.
ÉMAS
n us. Matinee
heure»
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Urogramm* t
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S 14 0
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coiiiii|ii« K*rrsiou originale
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abonnés
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pagnée de|
la somme
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LE VRAI PRO BLEM E
F ig a ro . — D é fla tio n , ja m a is , p ro c la m e n t
le» so c ia liste s . E t les e m p lo y é s de l ’E ta t s ’in ­
s u r g e n t d 'a v a n c e c o n tre to u t p ro je t de ré d u c
tio n de tra ite m e n ts , c o n tre to u te a tte in te à
le u r s itu a tio n . C o m m e n t d o n c M. D a la d ie r,
M. [.a m o u re u x , c o m p te n t-ils fa ire a c c e p te r
le s m e s u re s q u 'ils e n v is a g e n t si e lle s s o n t
c o n fo rm e s a u b o n se n s e t à l ’in té r ê t p u b lic
bien e n te n d u ?
D o riatio n o u In fla tio n , tel e s t le d ile m m e .
Si le g o u v e rn e m e n t e st ré s o lu m e n t h o stile a
l ’in f la tio n , c o m m e n t c o n c ilie ra -t-tl so n a t t i ­
tu d e avec la p o litiq u e d u so u tie n ? Ce p r o ­
b lèm e de m a th é m a tiq u e s p a rle m e n ta ir e s s u ­
p é rie u re s lu i d o n n e r a d u n i a re to rd re .
M. R E N A U D E L
J o u r n a l des D ébats. — Les n é o -so c ia liste s
re p ré s e n ta ie n t u n e te n ta tiv e in é d ite e t h a r ­
die. ou iis n 'é ta ie n t rie n . Us n o tifia ie n t a u
p a r ti so c ia liste q u 'ils r o m p a ie n t avec se s m é­
th o d e s e t rê v a ie n t d ’un fa sc ism e d ic ta to ria l
a le u r p ro fit, ou b ien ils p a r la ie n t p o u r n e
rie n d ire. Si M. R e n a u d e l e st m a rx is te â la
fa ç o n de M. B lum , r é v o lu tio n n a ire à la fa ço n
de M. Z y ro m sk i, a n tif a s c is te à la fa ç o n de
M. P a u l F a u re , p o u rq u o i s ’élo ig n e-t-il d ’e u x ,
et p o u rq u o i se ra p p ro c h e -t-il de M. M a rq u e t,
qui e st u n ir r é g u lie r du p a r ti ? N ous n e s u p ­
p o so n s p a s q u e ce so it p o u r le v a in p la is ir
de d e v e n ir s o u s -se c ré ta ire d ’E ta t. O u M. Hen a u d e l a eu u n In s ta n t de v e rtig e , ou 11 e st
h é ré tiq u e . E n a tte n d a n t de s a v o ir q u e lle est,
de ces d e u x h y p o th è se s, c e lle q u i e st e x ac te ,
#>11 n o u s d o n n e lu i-m ê m e le té m o ig n a g e de
\ eon e m b a r ra s e t de sa tris te ss e .
UNE MONNAIE SAINE
L’in tr a n s ig e a n t (G eorges M a u s). — Le re
sum ê de ces fa its, c ’e st q u e la d é p ré c ia tio n
de ta m o n n a ie c o n s titu e p o u r le c o m m e rc e
u n e c a ta s tro p h e : e lle r u in e la c o n fia n c e ,
n>et o b stacle a u c ré d it, im m o b ilise le s a f ­
fa ire s.
Nous n ’e n te n d o n s p a s é m e ttre là u n e th é o ­
rie - n o u s v o u lo n s s e u le m e n t, a y a n t o b se rv é
la ré a lité , d o n n e r le r é s u lta t d e c e tte o b s e r ­
v a tio n . Tous nos c o n frè re s s o n t e n m e s u re
. 59 1 vre/ à ce sim p le e x a m e n .
La v e n té d 'e x p é rie n c e e s t q u ’a v e c la dêp ré c ia t.o n de la m o n n a ie , o n to u rn e le dos
è la g u é ris o n .
P o u r ré ta b lir la sé c u rité , a s s u r e r la m a r«ll1 n ?^rnî ai e i ^ e . l a c t,v ité c o m m e rc ia le , à F in t é .ie u r et à I e x té rie u r, p o u r r e s ta u r e r le crêa r r -*e r la d a n g e re u s e thé• o r’ 1 e x iste u n m o y e n e t il
n e.i e x iste q u u n : la sta b ilis a tio n de l a m o n ­
n a ie .
£'
- 0US 807lm es d a ° s 1« c h a o s.
^ «-'l à i i î ! la l*Çon é c la ta n te d e s
s irnp_.se ra p id e m e n t à - to u s les p ay e
cor m u e elle s e st Im posée A la F ra n c e e t a u x
n »11 j i : s a tta c h é e s a i é ta lo n or.
Au .Théâtre de .verdure
S i m la , 31 j u i l l e t .
D e s c o u p s d e f u s i l o n t a c c u e illi le s
a v io n s b r i t a n n i q u e s q u i o n t .s u n v o lé à
K h a r le q u a r t i e r ( g é n é r a l d e s B a j a u r l ,
p o u r a v i s e r c e s d e r n i e r s q u ’ils s e r a i e n t
b o m b a r d é s d e m a i n à l ’a u b e s ’ils n e ’ se
c o n f o r m a ie n t p a s a u x c o n d it i o n s d e l ’u l t i ­
m a tu m b rita n n iq u e .
O n s a i t q u e le g o u v e r n e m e n t d e l ’I n d e
a d e m a n d é q u e t r o i s a g i t a t e u r s l u i s o ie n t
r e m is , m a i s j u s q u ’à p r é s e n t a u c u n e s a t i s ­
f a c tio n n ’a é té d o n n é e à c e tte r e q u ê te .
L es fo rce s b r ita n n iq u e s o n t re ç u u n a c ­
c u e il e n t h o u s i a s t e d e l a p a r t d e s t r i b u s
a m ie s , à l ’o c c a s io n d ’u n e r é u n i o n à l a ­
q u e lle o n t p r i s p a r t p l u s d e t r o i s c e n ts
c h efs in d ie n s à S h a b k a d a r.
Les interventions des nazis
en Autriche
préoccupent l’Angleterre
L o n d r e s , 31 ju ille t.O n s o u l i g n e l ’e x tr ê m e g r a v i t é d e s i n t e r ­
v e n tio n s d e e N a z is d a n s l a p o litiq u e i n t é ­
r i e u r e a u t r i c h i e n n e , s o u s l a fo r m e d ’i n ­
c u r s i o n s a é r i e n n e s à f in s d e p r o p a g a n d e
n a t i o n a l e s o c ia lis te , e t 'le g o u v e r n e m e n t
b r i t a n n i q u e s u i t , d ç t r è s p r è s , c e tte a c ­
tiv ité . M a lg r é l a r é s e r v e q u ’o n o b s e rv e o f ­
f ic ie lle m e n t, l ’a c t i o n d e s h i t l é r i e n s e s t r e ­
c o n n u e d a n s le s m ilie u x r e s p o n s a b l e s p o u r
u n e d é r o g a t io n s a n s é q u iv o q u e a u x t r a i ­
té s d e S a i n t- G e r m a i n e t d e V e r s a ille s .
II a p p a r a î t d ’a i l l e u r s q u e L o n d r e s n ’a ss i ß t e r a p a s e n s im p le s p e c t a t e u r a u x m e ­
n é e s d e s N a z is d a n s u n p a y s d o n t l ’i n ­
t é g r i t é a é té p r o c la m é e p a r d e s d o c u m e n t s
d o n t l ’A n g l e te r r e e s t s i g n a t a i r e e t o n r a p ­
p e lle e n c o r e q u e t o u te p o litiq u e q u i p e u t
r e m e t t r e e n c a u s e le s t a t u t é c o n o m iq u e e t
p o l it i q u e d e l ’A u tr ic h e n e s a u r a i t l a i s s e r
i n a c t i f le c a b i n e t d e L o n d re s .,
Congrès syndical international
L es a m a te u r s d e m u s iq u e c h a n té e , d is o n s
s im p le m e n t d u c h a n t p o u r le c h a n t, o n t é té ,
h ie r so ir, « e rv ls à s o u h a it : rie n q u e d e s
m a îtr e s d u c h a n t : V erdi e t A. T h o m a s. C’e s t
à p e in e si u n e é lé g a n te n o te d e m o d e rn is m e
a p a ru d a n s l a f a n ta is ie s u r La T ra v ia ta
q u e R a y n a ld o H a h n a h a rm o n is é e p o u r l ’o r­
c h e s tre .
A p rè s u n e o u v e rtu re de Jeanne d'A rc, d e
V erdi, e t q u e lq u e s e x tr a ite d e s Vêpres S ic i­
lie n n es d u m êm e V erdi, p a r l ’o rc h e s tre , M m e
Boy e r e t M. M ah leu x o n t f a it a p p la u d ir tr è s
c h a le u re u s e m e n t le 2« a c te d e M ign on , to u t
r a je u n i d a n s la f r a îc h e u r d u so ir. M. M a h le u x
a fa it v a lo ir les b e lle s so n o rité s d e s a b a sse
d a n s la b e rce u se d e M ignon.
M lle Y v o n n e B a rr e a u f u t to u r à t o u r u n e
s p iritu e lle e t to u c h a n te V io letta. E lle a »u
g a r d e r a u p e rs o n n a g e to u te s a fo rc e d r a m a ­
tiq u e e t d o n n e r a u x v o c alises to u te l e u r lé g è ­
re té c r is ta llin e .
M. Ja u z e , q u i c h a n t a d im a n c h e a v e c u n e
s i b o n n e e x p re s s io n r o m a n tiq u e le • R êve »
d e Des G rie u x , a d o n n é a u p e rs o n n a g e d e
R o d o lp h e, l a q u a lité d ’u n e tr è s Jo lie v o ix d e
t é n o r e t a jo u é a v e c u n e é m o u v a n te sin c é ­
rité .
’•
M. D eloger, d o n t le n o m s u r le p ro g ra m m e
e st d é jà u n e a ttr a c tio n , a d o n n é u n e a llu r e
tr è s n o b le a u rô le d ’O rb e l q u ’il a c h a n té e n
a rtis te de g r a n d e c la sse .
T o u s e t to u te s o n t e n c h a n té l ’a u d ito ir e tr è s
n o m b re u x .
O n p e u t d ire q u e le th é â tr e se m e u r t, m a ts
c ’e s t in e x a c t ; le th é â tre n e se m e u r t p a s, o n
l ’a im e to u jo u rs , th é â tr e d ’a u tr e f o is e t th é â tre
d ’a u jo u r d ’h u i, t h é â tr e de m u s iq u e a n c ie n n e
e t th é â tre de m u s iq u e m o d e rn e , le s u n s e t le s
a u tr e s o n t d e s a d m i r a t e u r s ; le th é â tre n ’e s t
p a s m o rt, m a is o n le tu e p a r le c h o ix tr o p
s o u v e n t m a l f a it d e s v e d e tte s ; p a r le c h o ix
e n c o re p lu s m a l fa it, so u v e n t, d e s p iè c e s a
c r é e r ; e t e n fin , e t s u r to u t, p a r le s im p ô ts
e t d ro its d e to u te s s o r te s e t to u t à fa it p ro h lb iitfs q u e l ’E ta t e t le s c o m m u n e s p r e n n e n t
s u r les th é â tre s .
M ais le p u b lic re ste fid è le à u n e d is tra c tio n ,
q u i e st à la fo is p o p u la ire e t In te lle c tu e lle ;
in te lle c tu e lle se m b le a lle r de sot, e t popua ir e ?... il n ’e s t q u e de s a v o ir ce q u e les So­
viets, e n R u ssie , f o n t p o u r le u r s th é â tre s ,
e t d e v o ir le s fo u les q u i a s s iè g e n t les s u s d its
th é â tre s p o u r le c o m p re n d re .
M a is v o ilà . 11 fa u t a u p u b lic d e n o tre ép o ­
q u e q u ’il s o it b ien in s ta llé e t q u ’il ne p a te
p a s a e s p r ix te lle m e n t e x a g é ré s ; U n ’y a
q u e le s m illio n n a ir e s q u i p e u v e n t a ll e r à
c e r ta in s th é â tr e s d e P a r is , p a r e x em p le, en
fa m ille .
Le J o u r o ù le th é â tr e a u r a d e s p r i x ra is o n ­
n a b le s, o ù le s f a u te u ils s e r o n t c o n fo rta b le s,
o n n e p a r le r a p lu s d e l a c rise d u th é â tre .
H ie r so ir, o n é ta i t c o n fo rta b le m e n t in s ta llé ;
l’a i r é ta i t fra is , le s c o n s o m m a tio n s e x c e lle n ­
tes, e t il y a v a i t fo u le a u to u r d u th é â tre de
v e rd u re .
Nos re m e rc ie m e n t et n o s c o m p lim e n ts à
M. G en til ; il a tro u v é , lu i, la b o n n e fo rm u le .
B r u x e lle s , 31 j u il l e t .
L e 6 ix iè m e c o n g r è s s y n d i c a l i n t e r n a t i o ­
n a l s ’e s t o u v e r t, ce m a t i n , a u p a l a i s d e s
B e a u x - A r ts , s o u s l a p r é s i d e n c e d e M . C i­
trin e (G ra n d e -B re ta g n e ). Au b u re a u a v a it
p ris
p la c e
n o ta m m e n t
M.
Jo u h au x
(F ra n c e ).
M . B u t le r , d i r e c t e u r d u B .I .T ., a s a l u é
l e ; c o n g r e s s i s t e s a u n o m d e l ’o r g a n is m e
AUJOURD’HUI
de G enève.
A 13 h. 90, sur la T errasse, concert par le
L e s e c r é t a i r e d e l a F é d é r a t i o n , M . S c h e - se x tu o r D e lsa u x .
A 16 h e u re s e t à 80 h . 30, C o n c erts p a r le
v e n e ls , c o m m e n te ensA iite le r a p p o r t m o r a l
s u r l ’a c t i v it é d e l ’o r g a n is m e s y n d i c a l p e n ­ g r a n d o rc h e stre .
d a n t le s tr o is d e rn iè re s a n n é e s . A u c o u rs
CE SOIR
do l a d i s c u s s i o n d e c e r a p p o r t , M . K u p e r s
A M h. 45 : G ala d e com édie
( H o lla n d e ) a p r é c o n i s é u n e a c t i o n d e m a s ­
(T ournée L edrezal)
s e p o u r la ré a lis a tio n d u d é s a rm e m e n t.
(t ECHEO A LA REINS a
I i a d é p lo r é l a p a s s i v i t é d e l ’e x é c u tif d e
B a ctes de M. P a u l NIvoise
l a F .S .I . e n p ré se n c e d e s m e n é e s h itlé r ie n ­
a v ec P ierre S teph en
n e s e t p r é c o n i s é u n e a c t i o n c o n tr e le f a s ­ dan s le rô le q u ’il a créé au th éâtre D aunou,
c is m e e t le c o m m u n is m e . L a s é a n c e a é té L ucienne G ivry, E m ile de T ram m ont, M ireille
e n s u i te le v é e .
,Yvon, e tc.o
B e r li n , 31 ju ille t.M. H E N D E R S O N C A N D ID A T
I » je u n e s ly c é e n s f r a n ç a is q u i v ie n n e n t
i une élection partielle
d e p a s s e r q u in z e j o u r s e n c o m p a g n i e d e
L o n d r e s , 31 ju ille t.j e u n e s ly c é e n s a l l e m a n d s d a n s l a c o lo n ie
d e v a c a n c e s de H o h e n ly c h e n , o n t d é p o sé
B a t t u a u x é le c tio n s g é n é r a l e s d e 1931
a u j o u r d ’h u i u n e c o u r o n n e a u x c o u le u r s d a n s l a c ir c o n s c r i p t i o n d o n t il é t a i t l ’é lu
b le u , b la n c , r o u g o a u p i e d d u m o n u m e n t d e p u i s d e l o n g u e s a n n é e s , M. H e n d e r s o n
a u x m o r ts d e l a g u e r r e .
v i e n t d ’ê tr e c h o is i c o m m e c a n d i d a t d u
P a n s le s m ilie u x a ll e m a n d s , o n a é té P a r t i t r a v a i l l i s t e d a n s l a c ir c o n s c r ip t i o n
.r è s to u c h é p a r ce g e s te d e s é c o lie r s f r a n ­d e C la y C ro s s , d o n t le »siège a é té r e n d u
ç a is . Ce g e s te c h e v a le r e s q u e e x p r im e l a v a c a n t p a r le d é c è s d e M . D u n c a n , é g a le ­
s a t i s f a c t i o n d e s j e u n e s é c o lie r s p o u r l ’a c ­ m e n t t r a v a i l l i s t e .
c u e il r e ç u e n A lle m a g n e e t i l a é té a c ­
c o m p li p a r c e q u e s e s a u t e u r s se s o n t Ten­
d u c o m p te q u e l a n o u v e lle A ü e m a g n e
Magasin de bonneterie cambriolé
iv eu t i g n o r e r to u te p r o p a g a n d e d e h a i n e
à Paris
c o n tr e s o n a n c i e n n e e n n e m ie , c o n t r a i r e ­
m e n t à c e q u i a é té p a r f o i s p r é t e n d u à
P a r i s , 31 j u i l l e t
l ’é t r a n g e r . L e s ly c é e n s f r a n ç a i s v i s i te r o n t
A u c o u rs de la n u it, u n m a g a s in de
B e r lin a u j o u r d ’h u i e t d e m a i n , a p r è s q u o i b o n n e te r ie s i t u é , 42, f a u b o u r g S à in t- H o i l s i r o n t à B rè m e s 'e m b a r q u e r p o u r B o u ­ n o r é , a é té c a m b r io lé . L e s m a l f a i t e u r s o n t
lo g n e -s u r-M e r.
e m p o r t é 50.000 f r a n c s d e m a r c h a n d i s e s ..
REVUE DE LA PRESSE
ROYAT
Coups de feu sur des avions anglais
toine
u d'A uvergne
Une sciatique
le condamnait
à l'immobilité
■■•■••Mil«
NOS STATIONS THERMALES
le is la itiè re s
s S y n d ic a ts
la C h a m b re
d e l'O tfic e
on des Synrr a n d a is e , de
îr a in a u g u ré ,
ste à la m éste de re co n e n dil d c e lu i
re b leu d'A u g ra n d déve-ètre é v a lu é e
de fro m ag e
m p o rta n te de
n ta g e u x p o u r
ïônte, le Cande bon fro ­
lic. co m m u n e
rainé d ’u n e
n t le so u tie n ,
••N IM N IIIIIU II
x ECHOS
k
VERS DE BIBLIOTHEQUES.
N ous a v o n s, ch ez n o u s, d e s r a t s d-e b ib lio ­
th è q u e s, a u s e n s p ro p re d u m o t. M ais le u r s
ra v a g e s n e c o m p te n t p a s, à c ô té d e c eu x
ex erc és, e n A m é riq u e d u S u d , p a r le s v e rs
e t le s in se c te s.
Le d ir e c te u r d e la B ib lio th è q u e m u n ic ip a le
h?,«
J a n e ir °. d a n s des d o lé a n c e s re n ­
d u e s p u b liq u e s, v ie n t d e d é n o n c e r a v ec e ffro i
le s e n n e m is d u liv r e a u B ré sil.
h ifJ l, ^ a ’ a u
a d é c la ré l ’in fo rtu n é b i­
b lio th é c a ire , d ix -h u it e sp è ce s d iffé re n te s de
vers s a tta q u a n t a u bois, a u m é ta l, a u p a ­
p ie r, a u c u ir, to u s a u s s i d a n g e re u x p o u r les
liv re s, to u s im p o s sib le s à e x te rm in e r. V ous
o u v re z u n liv re q u e v o u s a v ez c o n s u lté 11 v a
h u it jo u r s e t v o u s le tro u v e z vide, vide côinUfne*
*
b o n b o n s e t â C ig are tte s q u e
i o n fa it a v ec d a n c ie n n e s re liu re s . »
En e .fe t, n o u s o u b lio n s q u ’il v a chez n o u s
d e s a m a te u r s q u i v id e n t les liv re s d e le u r
c o n te n u p o u r e n fa ire d e s b o ite s â c ig a re s .
NOS PETITS
Voici P o u c e tte . E lle a v o y a g é to u te la n u it.
P o u c e tte , elle a é té tr è s sa g e . E lle n ’a p a s
d o rm i b e a u c o u p , oh ! n o n , m a is e lle s ’e st
te n u e tr a n q u ille m e n t d a n s so n c o in
san s
re m u e r, o u p re sq u e la is s a n t p a tie m m en t" dcfile r les s ta tio n s . E lle e st e n fin a rriv é e chez
g ra n d -p è re . Les e m b ra s s a d e s fin ie s, e lle je tte
Wut ^leuri^puls*;œil a“,0Ur du grand Jardm
— M a m an , q u a n d est-ce q u ’o n D art T ’
pèTe. a ttr is té .
r e p a rtir T q u e s tio n n e g ra n d .
Oh l le b e a u s o u r ire de P o u c e tte I C a n e
c o m p re n d j a m a is r ie n , ces g ra n d e s person*
„ ~ . M al8 u o n , g ra n d -p è re , a u c o n tr a ir e • je
v o u d ra is re s te r e n c o re p lu s I
*
UNE BIBLE GIGANTESQUE
On a so u v e n te s rots p a rlé d e liv re s m in u s ­
c u le s et. q u i s o u s u n v o lu m e e x tra o r d in a ir e ­
m e n t ré d u it, c o n tie n n e n t d e s œ u v re s c o n sid é ­
ra b le s.
O r. v oici q u ’u n é d ite u r d e L os A ngelès a
so n g é à é ta b lir u n re c o rd — m a is d a n s u n
se n s to u t à fa it opposé.
P o u r c ela 11 a fa it im p rim e r u n e B ible qui
c o m p o rte 8.048 p a g e s, e t q u i pèse u n e dem ito n n e s I
•
Une p e rso n n e d o u é e d ’u n e vu e n o rm a le est
c a p a b le de lire c ette B ible à u n e d istan p p
de 50 m è tre s I
D u p o in t de v u e ty p o g ra p h iq u e , c ette In i­
tia tiv e e st p e u t-ê tre in té re s s a n te il e s t c e r­
ta in q u ’elle le s e r a b e a u c o u p m o in s a u p o in t
de v u e é d itio n . R a res e n e ffe t se ro n t les p e r­
so n n e s q u i c o n s e n tire n t â e m p o rte r avec elles
ju liv re de 500 kilos î
DEMAIN
A’ 13 h . 90, séan ce d e m u siq u e tte cham bre
par M. Grleard, flû tiste, so liste d es C oncerts
C olonne, l«r p rix d u C on servatoire de P aris,
et M. D elsaux, p lan iste, lau réat d u Conser­
vatoire R oyal de B ru x elles
A 20 h. 30 : C in ém a
I SILENCE ON TOURNE »
a v e c Harold L loyd
JEUDI 3 AOUT
A 20 h. 45 : G ala d e com édie
(T ournée Baret)
a CINQ A SE P T >
a v e c M adeleine L ély
VENDREDI 4 AOUT
A 80 h . 30, su r la T errasse
GALA MUSICAL AVEC CHANTS
A udition de M lle S u zy V ernadet, pian iste
A 22 heures, sa lle des F ôtes
BAL DE LA SANTE
Au p rofit d e s œ u v res a n titu b ercu leu ses d u
départem ent so u s la présidence d e Mme
T rouillot et de M. le P réfet d u Puy-de-D ôm e
C oncours de d an ees — G rande tom bola
DANGINQ
M. V. d e B e n ed e tti, l ’e x c e lle n t p ro fe s s e u r
de d a n s e s d u C a sin o a re p ris se s c o u rs jo u r ­
n a lie rs (d ’e n se m b le e t p a r tic u lie rs ). C es c o u rs
trè s su iv is o n t lie u le m a tin d e 10 h , à m id i,
e t i ’a p rè s -m id i s u r re n d e z -v o u s,
L a P o tin iè re e st o u v e rte .
C o n so m m a tio n s d e p r e m ie r c h o ix . Le re n ­
dez-vous d u T o u t-R o y a t th e r m a l.
M. G iu p la rls, d ire c te u r c o n ce s6 lo n n alr$ .
LE COIN DES ENFANTS
T o u s les jo u rs , à 15 h ., s u r la T e rra s s e , e n
fa ce d e l ’a n c ie n n e R e s ta u ra tio n .
K e rm esse e n fa n tin e
M anège a é rie n . — Je u x d iv e rs . — T o m b o la
C in é m a 10* % p a r la n t e t s o n o re
SERVICE DES TRAMWAYS
Le se rv ic e de tra m w a v ß e s t a s s u r é ré g u liè ­
re m e n t e n tre R o y a t e t C le rm o n t j u s q u ’à
23 h. 15 (d e rn ie r d é p a r t d e R o y a t). L es Jo u rs
de re p ré s e n ta tio n a u th é â tre le tra m w a y a t ­
ten d la fin d u sp e c ta c le .
LA BOURBioULE
T ous les fou rs : A 10 h , 30 : C o n c ert a u
s q u a re Joffre.
A 14 h. : C in é m a p a r la n t p e r m a n e n t d e 14 h.
à 18 h.
A 15 h. : G uig n o l L y o n n a is.
A 17 h. : T h é d a n s a n t.
A 20 h. : C o n c ert sy m p h o n iq u e p a r l’o rc h e s­
tre A zeina, s u r la te rra s s e du C a sin o .
A 21 n. : T h é â tre o u c in é m a .
A 21 h .-: D a n c in g a v ec le c éléb ré Jazz « T y­
p ic a l O rc h e s tra »,
S a lo n d e le c tu re . — C afé. — B ar.
B oule e t B a c c a ra .
AUJOURD’HUI
De 14 h, à 18 h ., c in é m a p e r m a n e n t
On
Fils d'A m ériqu e.A 21 h . a u th é â tre : C inq à sep t, a v e c M a­
d e le in e L ely.
J S a lo n de le c tu re , c afé , b a t, b o u le e t bac­
c a ra .
L E M O N T -PO R E
AU CASINO
T ous les Jours, con certs sy m p h o n iq u es
D e 13 h. à 14 h ., à l a te rr a s s e .
De 15 h . à 16 h ., a u k io sq u e d u p aie.
De 18 h. à 19 h ., à la te rra s s e .
De 21 h. à 23 h ., a u g ra n d C afé G lacier.
(Ces h e u re s et e m p la c e m e n ts p o u rr o n t ê tre
c h a n g é s s u iv a n t le s c irc o n sta n c e s).
D ancing, a v e c le • R ed P la y e r s Ja z z », dan s
le G ra n d H all. M atin ée d e 17 h. à 19 b . S o iré e
de 21 h. ô 24 h.
Au G rand Café G lacier .- S alle d e billard*.
°.r.dg6. J e u x id lv e r s .
A u B ar A m éric a in : On d a n se o n s ’a m u se...
A u B ar d u S o le il : M ario fait dégu ster ses
n o u v ea u x cock tails.
AUJOURD'HUI
A 80 h. 30, c in é m a p arlan t : La m e r v e ille u ­
se Journée, a v e c A lerm e, M ona G oya, L ucien
B rûlé, A quistapace, F lorelle, e tc,..
VICHY
GRANO CASINO
A 15 h. 30. a u kiosque du sq uare d e l ’Hôp lia i, con cert par l ’H arm onie m u n icip ale,
so u s la d irection d e M. Bourbié.
A 17 heures, d a n s le restau ran t et su r le s
terra sses fleu ries du C asino, to u s le s Jours
a u cou rs du T hé d e g a la , con cou rs de P r o ­
nostics. E lim in atoires d u T ournoi in tern atio­
n al d e d an se.
A 20 h. 30 très p r é cise s a u théâtre :
G ala de com éd ie, a v ec le ooncours d e : Mme
Cécile Sorel, p en sio n n a ire h on oraire de la Co­
m éd ie-F ran çaise ; M lle Jeanne S u lly , d e la
C om édie-F rançaise e t M. L ucien Duboscq, de
la C om édie-F rançaise, d a n s : Le M ariage de
F igaro, co m éd ie en 5 a c te s d e B eaum arch ais.
A 22 heu res. G rande S oirée d e g a la pour
l’in au gu ration du T ou rn oi in te r n a tio n a l de
d a n se e t du C oncours d 'élé g a n c e fé m in in e .
(V oir l ’a ffich e sp écia le).
Au c o u r s d u th é e t d u B a l d e g ala, le s cé­
lè b re s M a rc y a e t G u n s e tt, c h a m p io n s d u m o n ­
d e d e d a n s e s s c é n iq u e s , a p p o r te r o n t le u r
c o n c o u rs.
DEMAIN M ERCRED I 2 AOUT
A 20 h. 15 : Le B a rb ier d e S é v ille , o p é ra
c o m iq u e e n 4 a c te s d ’a p r è s B e a u m a rc h a is ,
m u siq u e d e G. R o ssin i. V ersio n fra n ç a is e
d e C a stil B laze, a v e c M lle C la ra C la irb e rt,
a u T h é â tr e R o y a l de la M o n n a ie : M. A ridré
B au g é, de l ’O p é ra-C o m iq u e ; MM. J. C alb et
e t B e rn a s c o n i, d u G ra n d T h é â tr e d e B o rd e a u x ,
S a lo n s d e lecture e t d e correspon dance.
B oule e t B accara.
I
AVIS D’OBSEQUES
,o s ?ph DARD ; Mme Gabriel MONT. :
et Mme Ren* DARD et leu rs
en fa n ts ; M. et Mme Gabriel DARD et leu rs
e n f a n t e ; M. et Mme G eorges DARD ; Mme
Jules PRO UST ; M. et Mme P. MONT-LOUIS ;
K i n n Mï ï e ? Ie. 7 e PASCAL ; M. C harles
DARD ; M. et Mme R oger AMBLARD ; M.
G eorges PASCAL ; Mlle M adeleine AMBLARDm p ?f n r r ^ 1
? DJARD> CLEMENT - JANIN|
MELRGEY, on t la dou leu r de vou s faire part
de la perte cru elle qu 'ils v ien n e n t d'éprouver
en la person n e de
A u jo u r d ’h u i, m a lg r é aea 64 a n s ,
Il m a r c h e a v e o a is a n c e
« «le n ’a i
qu avec
p u o b te n ir u n s o u la g e m e n t
i f s S e ls K r u s c h e n », d IM I
Monsieur Joseph DA R D
« E ta n t a tte in t d e p u is lo n g te m p s d é jà d ’u n e
c o n s tip a tio n o p in iâ tre , d ’u n e p a rt, e t d e d o u ­
le u r s rh u m a tis m a le s d u g e n re s c ia tiq u e , d ’autm p a r t. J’é ta is o b lig é , à c e r ta in s m o m e n ts,
de g a r d e r u n e Im m o b ilité p re sq u e a b so lu e.
Je n a i p u o b te n ir u n s o u la g e m e n t ré el â ces
m a u x q u ’a p rè s u n u s a g e ré g u lie r de vos
m e rv e ille u x S e ls K ru s c h e n . M a in te n a n t, Je
p u is m a r c h e r a v ec a is a n o e t j ’e sp è re b ien
ê f r i e n fin d é fin itiv e m e n t d é b a rr a s s é d e ces
in firm ité s, m a lg ré m es 64 a n s, e n c o n tin u a n t
le tr a ite m e n t p a r le s S e ls K ru s c h e n , efficaces
e n tr e to u s. >
M. E- K ..., C le rm o n t-F e rra n d .
L a p lu p a r t d e s m a la is e e i m a u x d o n t n o u s
so u ffro n s o n t le u r c a u s e p re m iè re d a n s la
c o n s tip a tio n o p in iâ tre o u p a rtie lle : m a l in ­
s id ie u x q u i s a tu r e l ’o rg a n is m e d e p o iso n s,
ir r it e le s n e r fs — le n e r f sc ia tiq u e e n tre
a u tr e s — e t n o u s e n lè v e to u te é n e rg ie . Non
se u le m e n t K ru sc h e n stim u le l ’in te s tin e t e m ­
p ê ch e la c o n s tip a tio n , m a is se s d iv e rs sels
n a tu r e ls o b lig e n t d o u c e m e n t les re in s, le foie,
a r e m p lir le u r rô le de « n e tto y e u rs t. L es
to x in e s, les ré s id u s d e la n u tr itio n s o n t é li­
m in é s a u j o u r le jo u r. Le s a n g d e v ie n t p u r
et ro rt ; c ’e st p o u rq u o i la « p e tite d o se q u o ti­
d ie n n e > ra m è n e in fa illib le m e n t — e t to u t
n a tu re lle m e n t — la g a ie té , l 'e n tr a in , reflets
d u n e b o n n e sa n té . S e ls K ru s c h e n to u te s p h a r ­
m a c ie s : 9 fr. 75 le flacon ; IG fr. 80 le g r a n d
flaco n (su ffisa n t p o u r 120 Jo u rs ).
L’o r ig in a l de la lettre ci-d essu s — qui n ’a
ôte n u llem en t so llic itée — est visib le au x
bureaux de K ruschen, a : -si que des m illiers
d attestation s sim ila ir es.
O fficier de la L égion d ’H onneur
Anolen Avoué
V ice-P résident de la C om m ission
d es H ospices o iv iis de G lermont-Fd
A d m in istrateur du « M oniteur »
leu r époux, gendre, père, beau-père, frère,
beau-frère, o n cle, c ou sin et parent, décédé
e n son d o m ic ile des R oches, à C ham allères,
le 31 j u ille t 1933, d a n s sa 71* ann ée, m uni des
S a c re m e n ts de l ’E glise.
E t vo u s p r ie n t d a s s is te r a u x obsèq ues, qui
s e ro n t c é lé b ré e s d em ain m ercredi t aoû t, à
dix heures, e n l ’é g lise Saln te-Jeanne-d’Arc.
La levée du corp s aura lie u * n eu f heure*
q uarante-cinq.
AVIS D’OBSEQUES
M. G eorges RAMA DE ; M m e e t M. Marc*l
NEYRIAL, g ra in e tie r, ru e des Ja c o b in s , e t leu r
fils G eorges ; les fa m ille s MADUBOST. S ïMONNET, P R O S T ,
NEYRIAL,
RAMADE.
ROUGER, VED ILLE e t SEBELEN . on t la dou­
le u r de v o u s fa ire p a r t d e la p e rte c ru e lle
qu ils v ie n n e n t d ’é p ro u v e r en la p e rs o n n e dé
Madame RAM ADE
Née Jeanne M ADU B08T
le u r é p o u se , m ère , b elle-m ère, g r a n d 'm è r t,
sœ u r, b e lle -sœ u r, ta n te , n iè c e e t p a re n te , d é ­
cédée d a n s s a 57« a n n é e , le 30 ju ille t.
E t vous p r ie n t d ’a s s is te r a u x o b sè q u e s, qui
a u r o n t lie u aujou rd’hui mardi 1«r aoû t, à d ix
heures, e n l ’é g lise N otre-D am e d u P o rt.
R é u n io n m a is o n m o rtu a ire , 41, rue* des
J a c o b in s, à n euf heures quarante-olnq pré­
c ise s.
*
E N F A N T S A LA M O N TA G NE
QUATRIEME LISTE DE SOUSCRIPTION
GA8INO D E8 FLEURS
AVIS D’OBSEQUES
. E£9ie , . F im a ire su p é rie u re , p ro fe s sio n n e lle
(Chaque Jour trois sp ectacles)
e t h ô te liè re de je u n e s fille s : M lles Com beM. P a u l D E SF L E U R S ; M. e t Mme SALON :
Voici la liste d e s g r a n d e s v e d e tte s de la ro le, 4ü fr. ; M a d e le in e , 50 fr. ; Jo u v e, 25 fr. : M. e t M m e H e n ri D E SFLE U R S ; M et Mme
scèn e fr a n ç a is e a v e c le s q u e lle s le C a sin o d es P ie rr e B o u rz eix , 50 fr. ; M lle C aillo t, 20 fr. : L ouis D E SFLE U R S ; M. E m ile D ESFLEU RS.
F le u rs a tr a ité p o u r le s re p ré s e n ta tio n s de M m e L au d o u z e , 25 fr. ; M m e L en o ir, 30 fr. ; e t le u r fa m ille , v o u s fo n t p a r t de la perte
c o m éd ie d u m o is d ’a o û t : B e rth e B ovy, socié­ M lle P é rs a t, 30 fr. ; M lle P lu m a n d o n , 10 fr. : c ru e lle q u ’ils v ie n n e n t d 'é p ro u v e r en la p er
ta ire d e la C o m é d ie -F ra n ç a ise ; S im o n e : M m e B a c h a u d ,G a rd e , 20 fr. ; M lle L a c a n , so n n e de
t r ' J A n d ré B o u ra sse t, 20 fr. ; M lle TlioM a u ric e E scande» e x -p e n s io n n a ire d e la Co­
m as, 20 fr. ; M m e R oux, 20 fr. ; M lle R o b ert,
Madame veuve D E S F L E U R S
m é d ie -F ra n ç a is e ; G a b rie lle D o rz ia t ; Léon
B e rn a rd , s o c ié ta ire de la C o m é d ie -F ra n ç a ise ; on f ' ’ wm e B o ste- 20 f r - : M m e D e sa rm é n ie n ,
Née A u gustin e DEBRET
A lb e rt L a m b e rt, s o c ié ta ire de la Com édie- 20 fr. ; M m e B aisse, 30 fr. ; M lle M asset. 20 fr :
P en sion n ée du P.-L.-M.
M m e R ivoire. 20 fr. ; M lle B a rg e o t, 20 f r . ‘;
F ra n ç a is e .
U ne te lle lis te , a v e c d e te ls n o m s, se p a sse M m e F a u c o n n ie r. 20 fr. ; M lle N o rm a n d , 20 fr.: le u r m ère , b elle-m ère, g r a n d ’m ê re et parente,
M m e Toux, 15 fr. ; M lle Y zorche, 20 fr. ; Jea- d écédée en s a 81® a n n é e .
d e to u t c o m m e n ta ire 1
E t v o u s p r ie n t de b ien vo u lo ir a ssister A
A u jo u b d ’h u i :
î îw e et..M le £r o t' 10 f r - : M m e B a c h a u d A..
’ î?! e E y r °fie. 15 fr. ; H é lèn e e t S u z a n n e ses o b sèq u es, qui a u r o n t lie u dem ain mer»
Au Ja rd in , e n m a tin é e , à 13 h. 30 : Le T zafr. ; G inette, A n d ré e t C h a rle s, 30 fr. ; J e a ­ credi 2 août, à huit heures, en l'é g lise du
re v itc h , l ’o p é re tte n o u v e lle de F ra n z L e h a r, JO
n in e et H e n ri, 10 fr. ; J e a n in e e t J e a n , 20 fr. : S acré-C œ u r.
p o u r le s r e p ré s e n ta tio n s de M. R en é G e rb ert.
R é u n io n m a iso n m o rtu a ire , 69, r u e de la
de la G a îté -L y riq u e , a v e c M lle J e n n y S t-C lair; f i e " « e t b ?rltJ ? r . 20 fr. : P ie r r e B e rtra n d ,
P ra d e lle .
!r‘ ; M lle G lra u d ie r, 15 fr. ; M lle G a u d in ,
MM. Q u e rta n t, P la is a n t, D alb ert, R e g ia n e e t on
20 fr. ; A h o n y m e s, 30, 21, 20, 10 fr. ; A sso c ia ­
M lle D enise Yon. (T ro is d é c o rs n o u v e a u x . tio n d e s A n c ien n e s élèv es, 550 fr
T ro ts d iv e rtis s e m e n ts d a n s é s p a r le c o rp s de
C. P ., 64 fr. ; 1 « a , 45 fr. ; 1 « B, r>8 fr. ;
b a lle t),
■
*
AVIS D'OBSEQUES
Au th é â tre , en so iré e , à 20 h. 45 : le g r a n d
M m e e t M. BLANCHON-ASTTER et leu r
n’
, r’ 5o :
Ia 20 fr- ? 2* A. 26 fr. ; fille
su c c è s c o m iq u e d e l ’A th én ée : C œ ur de MoL
; Mme e t M. ASTIER-VERGNOL et leur«
neau, 4 a c te s de M. L ouis A rtu s, a v e c MM. Il S ’V r ’ :„2\ C- 19 fr- 5 2# ° . 27 Ir. 50 ; e n fa n ts, à P o n ta u m u r ; M. A lexis A STIE R ,
£
£ rP’
5 fr- 50
: 3* A.29 fr.50
;
M arcel-V ergne, P ie r re A lm ette, T a v o la . M lles 3«
B, 27 fr. 80 ; 3« C. 43 fr. ; 3« D,28 fr 70 • et to u te la fa m ille , o n t la d o u le u r de voue
G e rm ain e G e ra n n e , M ich èle Jo ly n e , G e rm a in e 3! H. 20 fr ; 3« I, 5 fr. 50 ; 4» A, 85 fr. ; 4« B,’ fa ire p a r t d u d écès de
M a tta n , E m m a L y o n n e l, L u c ie n n e P re v a l.
61 fr. j 0 ; 5®, 67 fr. 50 ; 6®, 51 fr. ; 7®, 23 fr 15
Au Jardin, e n so irée, à 20 h. 45 : VarlétésMonsieur A ST IE R Pierre
M usic-Hall. Im m ense su ccès du célèb re ténor U è T e ^ 2 d3ei7 f r a ) 5 " P ro fe s s io n n e lle e t H ôte'
le u r p è re, g ra n d -p è re , frè re e t beau-frère d*Enrlco di M azzeï, de l ’O péra-C om ique ; Henri
M lle B e rg e r, 20 fr. ; M. F a u r e , 20 fr. ; M. cédé le 31 ju ille t, à l'â g e de 71 a n s.
B radley, le ca rica tu riste h u m oristiq u e ; M ax
E t v o u s p rie n t d 'a s s is te r a u x obsèquee, qui
et se s n a in s ru sses, d a n s la d an se so u s la nei­ B a u d in , 20 fr. ; M a d e le in e F o u ro t, 20 f r •
M.
et M m e B o u g n o u x , 20 fr. ; M. e t Mme’ a u r o n t lieu dem ain m ercredi 2 août IMS, t
ge. avec les 12 F low er’s G irls ; Frakson,
l’hom m e a u x m ille cigarettes ; L es F rères
ArtYnH m f
:
P o u g n e t, 10 fr. ; M m e neuf heures quarante-cinq, e n la ch ap elle de
M oustier, cascad eu rs com iq u es, etc., e tc... A rta u d , 10 fr. ; M m e D a u g e, 10 fr. ; M m e B er­ l'H ô p ita l G é n éra l.
tr a n d , 10 fr. ; E lle B rtin, 10 fr. ; M. M a rtin 12 attractions.
F a b re , 20 fr. ; M. B ru n e i. 10 fr. ; M lle D u ra n AVIS DE DECES
- , £ e p ro c h a in G a la des P a ris-T o u m ée s
gheard, 10 f V . ^ 6 Labbé* 10 fr’ ; Mlle Ran'
M. J e a n LHERM ET, p ro fe s s e u r a g ré g é : M .
B e rth e BOVY
H y d ro -E le c triq u e , 100 fr. ; M m e G eorges LH E R M E T ; M lle J e a n n e L H E k M E T ;
sociéta ire d e la C o m é d ie -F ra n ç a ise , d a n s
G érin-M on tel, 10 fr. ; J a c q u e s e t J e a n P itio t. M m e veuve SAUVANNOT e t le u r fa m ille , ont
SCAM POLO
20 fr. ; S o c iété d e s A n c ien s E lè v es de l ’E cole la d o u le u r de v o u s fa ire p a r t d e la perte
Au c o u rs d e la s o iré e de g a la q u ’o rg a n is e n t N o rm a le d In s titu tric e , 100 fr. ; d ’in s titu te u rs , c ru e lle q u ’ils v ie n n e n t d ’é p ro u v e r en la per­
p o u r v e n d re d i p ro c h a in les « P a rîs -T o u rn é e s » 100 fr. ; S a n a to r iu m de D u rto l, 100 fr. ; C olette so n n e de
M lle B e rth e B ovy, la célèb re e t s p iritu e lle so­ B v ltia u w , 150 fr. ; M m e B e n d ac ite , 50 fr. •
c ié ta ire de l a C o m éd le -F ran ç a i6 e jo u e r a
M m e Lecoq, 20 fr. ; M m e D u rin , 10 fr. ; Mlle*
Madame Jean L H E R M E T
S ca m p o lo . C’e s t u n e c o m é d ie d e D a rio Nico- M an h es, 10 fr. ; M m e L io n n e t, 10 fr. : L oulou
m e Marthe SAUVANNOT
d é m i, c ré é e e n F r a n c e p a r B e rth e B ovy, d o n t
B onnet, 10 fr. ; M m e M onteil, 10 fr. ; M J.
c ’e st l ’œ u v re d e p ré d ile c tio n . Elle l ’a Jouée
B a u d ie r, 10 fr. ; M. e t M m e B o u rn a u d , 20 f r • le u r é p o u se , m ère, fille e t p a re n te , décédée
trio m p h a le m e n t d a n s to u s les p a y s de la n g u e
M. e t M m e C oncordei, 20 fr. ; M. FYéval 10 f r .’ le 31 ju ille t, d a n s sa 42® a n n é e .
I.a d a te des o b sè q u e s s e ra fix ée u ltérieu ­
Mme
fra n ç a is e . T o u t e s t n o u v e a u d a n s c e tte p ièce, M. G a lla n d , 10 fr. ; M. P o u z e t, 10 f r
le m ilie u , le s p e rs o n n a g e s e t s u r to u t le d é li­ v eu v e C h ib ret, 100 fr. ; M® V ig n a n c o u rt, 20 fr ®- re m e n t.
c ie u x rô le d e S c a m p o lo , s o r te de g a v ro c h e
T a ille rie d ’A u v e rg n e. 50 fr. ; M lle A u d ib e rtf
30 fr. ; M lle V illa, 30 fr. ; M m e B o u rg in 50 f r •
ro m a in d o n t la g r a n d e a r tis te a fa it u n e
AVIS D'OBSEQUES
c ré a tio n in im ita b le d e v e rv e, de g a m in e rie et M ichel G o u rin a t, 50 fr. ; U nion a n tig u e rriè re
A PONT-DU-CHATEAU
d ’e s p rit. Sca m p o lo , c ’est u n e a v e n tu re c h a r ­ de C h a m a llè re s , 50 fr. ; A n o n y m e s, 60 15
•
M m e G ilb ert HENRY, à P o n t-d u -C h â t* a a »
m a n te , u n tr è s Joli ro m a n e t le s « P a ris-T o u r- et 20 fr
M. e t M m e MKUNIER-HENRY ; MM. M arcel
n é es » e n n o u s o ff r a n t cette c o m é d ie e t so n
Ä
1
,
r
“
•
T
o
ta
i
d
e
s
->u
a
tr
e
e
t
R ené M EUNIER, à C !erm ont-F d • M. e t Mm*
in c o m p a ra b le In te rp rè te , n o u s c o n v ie n t à un
ré g a l e x c e p tio n n e l 1
PA L1SSO N-PRESSOUA RAT, à P o n t-d u -C h â tea u . e t le u rs e n fa n ts ; M et M m e MASFRANDPA LISSON , à N euiily, et le u rs e n fa n ts ; M,
B accara. — Jeu d e la Boula.
et M m e CO STE-PA LISSO N , à S a in t-G ra tl* n .
et le u rs e n fa n ts , e t to u te la fa m ille , ont la
ELYSEE-PALACE
d o u le u r de vo u s fa ire p a rt de la p e rte c ru a ll*
D eu x n o u ve lle s v e d e tte s d a n s la g ra n d e R evu e
D E M A IN M E R C R E D I 2 A O U T
q u ’ils v ie n n e n t d ’é p ro u v e r e n la p e rso n n e d*
L a trio m p h a le re v u e : Allo, M arseille ?... Ici,
PL A T et OBSTACLES
Monsieur Gilbert HENRY.
P aris i s ’e n r ic h it a u jo u r d ’h u i de d e u x n o u
v elles v e d ettes, Ja n e A rès, Ja d iv e tte a p p la u
R etraité de la C om pagnie P.*L.*M.
d ie à l ’E m p ire , a u M oulin-R ouge, à l ’A iham
le u r ép o u x , père, g ra n d -p è re , b e au -frè re, o n ­
b ra , a u ssi a g ré a b le c h a n te u s e q u e s p iritu e lle
cle e t p a re n t, décédé d 4 n s 6a 71® a n n é e , m uni
c o m é d ie n n e e ; E u g èn e R ou g et, le b e a u c h a n ­
des S a c re m e n ts de l'E g lise .
te u r à l a voix g é n é re u se , a p p la u d i d é jà d a n s
E t vous p rie n t d 'a s s is te r a u x obsèques, qui
v in g t re v u e s à succèè, v ie n d ro n t b r ille r a u x
a u r o n t lie u dem ain m ercredi 2 aoû t, à o lx
côtés du g ra n d fa n ta is is te A libert, d u Joyeux
heures, e n ‘ l'é g lis e S a in te M artine.
m a r s e illa is ’ G orlett, de R oels, l ’in é n a r ra b le
R é u n io n m a iso n m o rtu a ire , ru e du Nord,
c o m iq u e e t d u célèb re B a lle t K o m a ro v a , d e s
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A l a B ra s s e rie : tr o is c o n ce rt« q u o tid ie n s
p a r l ’o rc h e s tre D a rd an y -L e v eillé e t se s c in q
v irtu o se s in s tru m e n tis te s e t c h a n te u r s e t p a r
le q u in te tte R o g e r P o u y le a u .
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6olrs, à 20 h. 45, le g ra n d fa n ta l
B e rry e; S u z v P rim d a n s B luff,
3 a c te s d e G- B alance.
A la B ra sse rie , le c é lè b re o rc h e s tre fé m in in
M a rtin e B a rb illo n .
T o u s le s so irs, à 22 h ., D a n cin g Jazz e t
T a n g o . — Jeu d e la B oule.
CINEMAS
LA RESTAURA TIO N. - Ce s o ir, â 80 h . 4û,
le g r a n d film p a r la n t : K ik i, a v ec le s vedett63
l'é c r a n .
E n c o m p lé m e n t : Ces d e m o ise lle s au S tu ­
d io e t V ariétés M agazin e.
CIN E-PA TH E. ru e S o rn ln . — E n m a tin é e e t
so iré e : C œ u r d e L ilas, a v ec M arcelle R om ée.
B ie n tô t : B ach d a n « le C h am pion d u R égi­
m e n t. ■
VICHY-CINE. -
Société Amlcalo do« Médaillé» M ilitaire» de Olerm ont-Fd. — Les m em bres de la Société sont priés
d 'assister aux obsèques du camarac<e Morel Hlalse
q ui a u ro n t lieu a u jo u rd 'h u i 1er aortt, à 8 heu res’
Réunion m alson m o rtu a ire, 87. ru e de Champfleu ri à 7 h. 30.
^
L IR E DEM AIN
N O S P E T IT E S A N N O N C E S
ETAT CIVIL DE CLERMONT-FERRAND
d u 31 ju ille t
N aissance*. — B a rra t Je a n . — V iera M arcel
— C h a rb o n n ie r P ie rre -E m ile . — M o re ira Renée-Josette. — R odde M ich elle-Jeam iin e-E tieu n e tte . — C h a u d M arth e-L o u ise.
D écès. — De Nonl G io v a n n i, m in e u r, 50 a n s
— M orel B iaise, r e tra ité de la g e n d a rm e rie ,
81 a n s , 87, ru e de C h a m p fle u ry . — R im b e rt
M arie, é p o u se A llem an d , 33 a n s. — D ebret
M arie, veuve D esfleu rs, 81 a n s. 69, ru e de la
P r a d e lle . - - M a d u b o st Je a n n e , é p o u se Rntnade, 56 a n s , 41, ru e d e s Ja c o b in s. — A rta u d
F ra n ç o is e , veuve P o m m ie r, 53 a n s. — A stler
P ie rre . J a rd in ie r , 72 a n s.
NOVELTY-CINEMA.
LUNA-PARK, rue d e Pari». — Tou» le s Jours,
e n m atin ée et so irée, le* p lu s récen tes et les
plu» a m u sa n tes attraction». G rande s a lle de
P in g P on g.
Jeux divers* — E ntrée lib re .
JARDIN D’ENFANTS, dan* le s n ou veau x
P a rc s . — De 13 h. 30 à 18 h eure*, jeux et
a m u s e m e n ts d iv e r s o r g a n isé s à l'Intention
d é s e n fa n ts .
A 16 heure*, T héâtre G uignol L yonn ais.
STAND DE TIR AUX PIGEONS. - BailTrapp to u s le s Jo u rs de 9 h. à m idi e t d e
4 h. â 7 h.
Du i l a u 16 aoû t .G rande S em aine. 17,500 fr.
d e p rix .
N E R IS -L E S -B A IN S
AU b A S IN d
T ous le s jours, trot» concerts par l ’orchestre
sym p hon iq ue d irigé altern ativem en t par MM.
M angeret et B onn afé. CiQéma. Théâtre. Dan­
c in g . Boule. B accara. P in g-P on g.
Chaque jour u n e au to particu lière e s t m ise
& la d isp osition d e s loueur* qu i se rendent
l e M ontluçon a u C asm o d e Nérl». E lle part
â 81 heure* du Café N ational, s ’arrête a a Café
d es Sports, Café M oderne, Café du Helder
Café Riche, e t rev ien t à M ontluçon à la On'
d es jeux.
L E 8 CONCERTS
P rogram m es d e l'orchestre sym p b on iau e
pour aujou rd’h u i :
7 F
y
A 13 h. 30 : Concert par le quatuor.
A 16 h. : Vienne, m arche (S c h ra m m e l) ; Si
p e tite, valse (Claret) ; P agan in i, fa n ta is ie
(Lehar) ; S u ite c a rn a va lesq u e (T hom é).
A 17 h. 15 : Concert classiq u e.
A 20 h. 45 : A llian ce, m arche (Sou*a) :Flo­
rian e, valse (F antaplé) ; Coups de roulis, fan­
taisie (M essager) ; La Sou rce, ballet (Dellbes).
AU CINtM A
Au cin ém a, A 15 heures, projection du film
A rsène L upin, aux ép iso d es extraord in aires’
C'est une production parlante, en français.
AU TH tA TR B
Ce so ir, à 50 h. 30, re p ré s e n ta tio n , p a r la
T o u rn é e F e rtin e l-C rém ie u x . d e L es T rois
Coeurs, x o m e d le d e M. A. S om ès. d o n t le p r in ­
c ip a l rô le se ra Joué p a r celte a rtiste lu co m p ara b le , aille F ra n c e Ellys.
AVIS D’OBSEQUES A COMPAIN8
M. P ie rre T A R T IE R E ; M m e e t M. A ntoine
T A B U E R E e t le u rs e n fa n ts ; M m e «t M,
A n a to le T A R T IE R E et le u rs e n fa n ts ; M.
L o u is T A R T IER E e t se s e n fa n ts , o n t 1» dou­
le u r de v o u s fa ire p a r t de la p e rte c ru e ll*
q u 'ils v ie n n e n t d 'é p ro u v e r en la p e rs o n n e d*
Madame Pierre T A R T IE R E
Née Marie FALCOUX
le u r ép o u se, m ère, belle -m ê re et grand’mèrtb
p ie u s e m e n t d écédée à l'â g e de 8 ? a n s.
E t vous p rie n t d 'a s s is te r a u x obsèques.
. 3s, q u i
a u r o n t lieu d e m a i n m e r c r e d i 2 a o û t, A o l x
h e u re s, en l'é g lise de COM PAINS.
f
AVIS D’OBSEQUES A MOISSAT
M. ALLEMAND ; les fa m ille s R IM B E R T H
DELORME, o n t la d o u le u r de vo u s fa ire p ari
de la p e rte c ru e lle q u 'ils v ie n n e n t d 'é p ro u v * «
en la p e rso n n e d e
Madame A LLEM A ND
Née RIMBERT
le u r é p o u se e t p a re n te , décéd ée â C len n o n * .
F e rra n d , le 30 Ju ille t 1933, à l'â g e de 34 an*
Et v o u s p r ie n t d ’a s s is te r au x o b sè q u e s, q u i
a u r o n t lie u a ujou rd’hui m ardi 1" a o û t 1933.
â dix heures, en l ’é g lise de M O ISSA T.
t
OFFICE DE QUARANTAINE
Mme e t M. ROUVET : M lle A n d rée ROUVET
e t to u te la fa m ille , p rie n t le u rs a m is et c o n ­
n a is s a n c e s de b ie n v o u lo ir a s s is te r a l'offlco
de q u a r a n ta in e de
Mademoiselle Lucie R O U V E T
Institutrice
oui sera célébré en l ’é g lise S alnt-G enè*
Carm es, dom ain m ercredi 2 août, à n eu f h *».
fil«
REMERCIEMENTS
Mme G asto n BAZIN : M m e C h a rle s B a z i n •
M. e t M me H e n ri B REV IERE ; M me j u n
SAGET, e t to u te la fa m ille , re m e rc ie n t b ien
s in c è re m e n t to u te s les p e rso n n e s qui le u r o n t
té m o ig n é d e la s y m p a th ie A l'o c c a s io n du
d écès de
M onsieur Gaston B a z in
A gent g é n é ra l
d* la C om pagnie d 'A s s u ra n c e s «La N a tio n a le ,
et les prient de trouver let I exp ression n i
le u r recon n aissan ce.
e
'AVR NIB
n u PLA TEAU C E N T R A L
EDITION DU PUY-DE-DOME
BANLIEUE DE CLERMONT
I ARRONDISSEMENT DE THIERS
ARRONDISSEMENT DE RIOM
ARRONDISSEMENT D’ISSOIRE
MARDI I " AO U T 1933
LES MIETTES DE L’HISTOIRE
DANS LA HAUTE-LOIRE
(29 Juillet 1836)
LO U IS-PH ILIPPE INAUGURE
L'ARC DE TRIOM PHE DE L’ETOILE
C'est en 1806 (ie 12 février) que de son auto­
rité privée, Napoléon
décréta l'érection de
cet Ara de Triom phe, le m o n u m en t le p lu t
considérable qu'il g eut à Paris. L'architecte
C halgrln fu t chargé de dresser les plans. La
h auteur est da 49 m. 55, la largeur de 44 m. 82
Les quatre groupes sont célèbres. C'est
d'abord la Renomm é, de P radler, le T riom ­
phe, de Corte, la P aix , d 'E tex et la M arseil
laise, de B ude. Ce dernier groupe éclipse de
beaucoup les trois autres et il est à ju ste titre
considéré com m e le chef-d'œ uvre de la sculp­
ture m oderne et auquel la statuaire antique
n 'a rien â opposer d 'a u ssi beau.
Sous la <voùte de l'Arc de T riom phe on a
gravé les nom s des principales victoires de la
Dévolution et de l'E m pire et les nom s d e t
386 généraux qui y ont pris part.
L'A rc de Triom phe était loin d'être term iné
quand l'E m pire fu t renversé et la B estaura
tlon sans oser abandonner les tr a va u x les
m ena avec une lenteur concertée ; il fu t des
années où on vo ya it tout ju ste cinq ou six
ouvriers se prom enant à travers les im m enses
échafaudages.
Après la D évolution de 1830, le gouverne
m en t de Louis-P hilippe donna u n e vigoureuse
im p u lsio n et tout fu t fin i en 1836. On décida
alors que le roi en fera it l'inauguration pour
l'anniversaire des trois glorieuses, le 29 ju il
let.
M ais la situation était particulièrem ent d if­
ficile et M, T hiers, président du Conseil
déploya une singulière énergie pour y faire
face. On était entouré de conspirations ; le
25 ju in précédent, l’a tten ta t d'A liband avait
m is les jours du roi en danger. Les rapports
de police sont des plus alarm ants. On signale
de Londres, de B erlin et de Naples le départ
d'assassins pour Paris. L a -fa m ille royale est
très alarm ée et Louis-P hilippe lui-m êm e, dont
le courage est indiscutable, est particulière­
m en t frappé. Il rédige son testam ent.
Thiers qui se m u ltip lie, il dit :
— « Nous nous en tirerons peut-être cette
fois ; m ats nous n 'y échapperons pas u n de
ces quatre m a tin s. »
Le program m e de l’Inauguration com pre
n a ît d'abord une grande revue ; m ais on ac
quit la preuve que les m eurtriers devaient
revêtir des u n ifo rm es de la garde nationale
et tirer sur le roi au passage.
Malgré tous les dangers en persnective, ta
reine et la soeur de Louls-Ph.illppe Mme Adè
laide, exig en t d'assister à la cérém onie dans
les tribunes :
— « Si nous devons sauter, dit la reine très
courageusem ent, nous périrons tous ensem ­
ble, »
v
Les m inistres, M. Thlers en tête, s'exercent
d l'éq u ita tio n .- p endant plusieurs jours, ils
m o n ten t à cheval au Bois de Boulogne et le
jo u r de la lêrérnonie, on vo it ics m inistres
cavalcadant autour d u roi et pressant le u r4
c h eva u x contre celui de Louis Philippe.
La veille, m algré le rot, on décide de sup­
prim er la revue et de h rem placer par u n
dîner officiel ac 300 couverts e u x lu ile r le s
Enfin, le jour est arrivé. Le cortège se form e
et Louis-P hilippe. entouré de ses m inistres à
cheval, de scs enfants caracolant et d ’u n bril­
lant état-m ajor, va saluer de Yépêe le m o ­
n u m en t au m ilieu des acclam ations de la
foule.
T out se passe régulièrem ent, sans hâte,
avec solennité ; il n ’y a pas le m oindre in ­
cident. B cnlré a u x Tuileries, le roi tom be
dans les bras de la reine qui pleure d'ém o
tion et de joie.
Le dîn er officiel a lieu, et à la fin de la
soirée, Louis-P hilippe d it A M. T hlers :
— « Etes-vous content de m ot, m on cher pe­
tit P êsident ? Je ne sais en quel état est vo­
tre chem jse, m ais la m ien n e est m ouillée et
j'e n vais changer. »
JEAN-BEBNABD.
BRIOUDE
Une belle m an ifestatio n gym nique. — L a
soirée de d im an ch e a été m arquée, â B rloude,
p a r une têts g y m n iq u e trè s réussie qui s ’est
en tièrem en t déroulea s u r l'E sp lan ad e de
l’Hôtei-deVille.
Les sections m asculine et fém inine du grou­
pe de g y m n astiq u e de l ’Union Sportive Briv ad o ist ont p résenté avec aisance et habileté
d ifférentes productions, m ouvem ents d ’ensembie, exercice aux agrès, d ém onstrations di­
verses de eaut, course à pied, etc... qui ont
obtenu un fran c succès au p rè s uu public qui
g a rn issa it su r p lu sieu rs ran g s de p ro fo n d eu r
la vaste enceinte réservée à ia m an ifestatio n .
MM. C hatonnier, M orin, D upuy. P o rta i, m o­
n iteu rs, d irig è re n t uvec brto le« evolution«
des g ym nastes. De Jeur côté, M.ia P e rra u t et
Mm» C hâtonnier, secondées p a r Mile N adal,
m o n trèren t des talen ts c e rfu u s de m onitrices
et o b tin ren t un succès très personnel d an s ia
p résentation des divers élém ents de la sec­
tion fém inine et la direction des ballets.
M Georges Pécoil et ses e ltv es, MM. ü lîn dre. D urand, M orillon et G uiiJem ard se fire n t
enfin vivem ent a p p la u d ir d a .'s la production
d ’une leçon de fleu ret et p lu sieu rs assaut*
co u ro n n an t u r i| p résentation d'ensem ble.
Un d ern ier a ss a u t U 'épîe e n tre le pro fes­
seu r Pécoil et un a m a te u r ach ev èren t cetta
exhibition qui p im en ta ag réab lem en t le p ro ­
g ram m e, déjà fort rtttray au t de la soirée.
Un orchestre sym phonique et p lu sieu rs Jeu­
nes filles de la C horale R rlvadoisa p rê ta ie n t
le u r concours à ia fête p o u r l’accçpnpagnem en t des m ouvem ents rythm iques.
Lin buffet, e'égarm nem dé orc et ab o n d am ­
m ent jju r n l, perm it eux innom brables spec­
tateu rs de sa ra fra îc h ir cl do se re s ta u re r 4
volonté. MM. Jïiin Nicolas et R. fearaud en
a ssu rè re n t le .»ervice avec le u r virtuosité coulum ière qui s'accom ode de tous jes em plois,
quels q u 'ils »oient.
Noté parm i le« p erso n n alités p résentes l
MM Cliazuiet, m aire de B rioude ; T biolas,
député ; Voile, chef do b u reau a u m in istè re
de l’A ir ; L apeyrie, sous-prefet ; Dr Dorel, p ré ­
sident d ’h o n n e u r de l’U.S.B.; R obert, p rési­
d ent actif, et A. D urand, vice-président ; Rougheon, président-directeur do la section d*
gym nastique ; Alailet, p résid en t du S y n d icat
d in itia tiv e ; G um et, présid ent de 1 Am icale
Boule ; Cluzel, receveur des P.T .T .; D " de La
lo u r, A rniard et B ayssat ; les représentant*
de la presse régionale et p arieienne, etc.,.
T H IE R S
M O N T F IR R A N D
RIO M
JU M E A U X
Un o oneeurs d e pèche. — 11 est un sport
DISTRIBUTION DES PRIX
E s t u d i a n t i n s M ontferrandal»«. — Les socié­
BRA88A0-LES-MINBS. - M ariage. - Le
taires sont p riés d 'a ssiste r a u x obsèques de p a rtic u liè re m e n t c h e r a l'e n th o u sia sm e des
T
h
iern
o
is
qui
s
’y
a
d
o
n
n
e
n
t
d
u
ra
n
t
une
grosse
25 ju ille t d ern ier, à I I heures, a eu lieu le
Mme R am aae, m ère de n o tre sy m p ath iq u e
ECOLE DU* SACRE-CŒUR '
vice-président, M. M eyrial, qui a u ro n t lieu ce p a rtie de le u r vie : c ’est la pèche,
m ariage de M. Louis-Joeeph C avard, m enui­
11
fa
u
d
ra
it
a
ssister
d
ep
u
is
le
d
im
anch
e
de
m atin , a dix heures, à N otre-D am e-du-Port.
D im anche d ern ier, à 14 heures, la salle sier, de Ju m eau x , avec Mlle Jeunne-M arle
l’o u v e rtu re a u d é p a rt des p rem iers tra in s du Saint-A
m able o u v rait ses portes toutes g ra n ­ B ernadai, la c h arm an te fille de Mme BernaUn nouveau d u b à M ontforrand.
Le m a tin et a u d e rn ie r le so ir, voir a rriv e r en
16 ju in . 21 m em bres se so n t réu n is p o u r p ro ­ g a re de T h iers la foule co n sid érab le des pé­ des p o u r la d istrib u tio n des p rix de l ’école du d«t-Virat, débitante, place du M arché. •
Le m ariage civil a été célébré p a r M. Fabre
H
céder à la form atio n d ’une société de baskett- c h e u rs th ie rn o is et en te n d re le u rs fo rm id a­ Sacré-Cœ ur.
Elle fu t b ientôt rem plie p a r les nom breux m aire, conseiller g énéral. Les tém oins êtaien i
ball et d 'ath létism e. O n t été élus à 1 u n an i- bles h isto ire s de c a p tu re de b rochets et a u ­
M. B enoît C avara, a d jo in t a u m aire de Ju­
tres g en res de poissons p o u r se re n d re com p­ élèves (plus de 180), leu rs p aren ts, les m em ­
mP résid en t : G aitte Em ile ; v ice-président : te de la noto riété d o n t jo u it ce sp o rt d a n s la b res de l’A m icale des an cien s Elèves et les m eaux, oncle d u m arié et M. A lbert Beruadet,
n ég o cian t à Coudes, frère de la m ariée.
a m is de l ’école, v en u s p o u r lui tém o igner le u r
R eduron René ; se crétaire : Jam y M aurice ; cité co utelière.
Une quête faite au p ro fit des oeuvres de b ien­
sy m p ath ie et le u r attachem ent.
tréso rier : C hauvel Jean ; m a n a g e r sp o rtif :
C haque an n ée, de no m b reu x p êch eu rs p a r
M. l’A rch iprêtre de Saint-A m able, qui p ré ­ faisance de n otre ville p ro d u isit la som m e de
G ourgeon P au l.
ticjp en t a u x div ers concours de pêche o rg a ­
La Société a u ra p o u r nom : « Les Ecu­ n isés p a r les sociétés... E t voilà Justem ent sid a it cette fête de fam ille, ra p p e la en quel- 70 francs.
A l ’issue de la bénédiction n u p tia le l ’a ssis­
reu ils » Son siège social sera à M ontferrand, que l ’occasion va se p résen ter à n o u v eau
ues m ots l ’im p o rtan ce cap itale de l ’œ uvre
e l’éducation chrétienne des en fan ts, la tance, très nom breuse ap p o rta aux Jeunes
3 place de la F o n tain e. L a ten u e des m enu p o u r eux de p a rtic ip e r a u g ra n d concours de
époux
ses félicitations et ses vœux d e bon­
bres des équipes sera : .m aillo t n o ir, culotm pêche o rg an isé p a r n o tre société « La P rotec­ beauté de ia tâche, pénible et souvent in g rate
Nous som m es heureux d 'y Joindre les
blanche, b as de lain e b lanc et n o ir. Elle a trice de la Dore », le dim an ch e 6 a o û t p ro ­ m ais si m érito ire aux yeux de Dieu, des m aî­ heur.
tres qui y co n sacren t toute le u r vie et tout nôtres.
p our b u t de p ra tiq u e r l ’ath létism e en g é n é ra i c h ain .
et 1« basket-ball en p articu lier.
Au D ispensaire. — Le D ispensaire d ’HyglèCe concours, doté de no m b reu x prix, rem ­ le u r cœ ur. Il rem ercia égalem ent l’Amicale
Le cam a rad e R eduron a donné lectu re d es p o rte ra cette an n ée un trè s b rilla n t succès, des a n cien s élèves p o u r l ’a id e co n stan te et ne sociale de B rassac sera ferm é du p rem ier
efficace q u ’elle a p p o rte à cette oeuvre. Il au 31 ao û t pro chain. Un avis u lté rie u r fera
6tatuts qui ont été adoptés p a r tous les inern- il a u ra lieu non loin de la g a re de Courty.
Nous p u b liero n s d ’a ille u rs sous peu le rè­ e x h o rta e n fin les élèves à rester to u jo u rs fidè­ co n n aître les jo u rs e t h eu res des diverses
les a u x en seig nem ents et au x exem ples q u ’ils co nsultations pour le m ois de septem bre.
T o i c i les conditions q u ’a u ro n t à re m p lir les g lem en t et les div ers prix.
reço iv en t d a n s le u r école.
Jeunes gens d é sira n t p ra tiq u e r le busket-Lali ;
0 8 U R P IE R E
LA TO U R -D 'A U V ERONE
2 " — Les jo u eu rs dev ro n t v e rse r le u r co­
A m a in tes rep rises les ap p lau d issem en ts de
VOLLORE-VILLE. — La M aison d u P euple. 1 assistan ce tém oignèrent que tous p a rta ­
tisation trim estrielle le p rem ier d im an ch e de
N aissances. — Le 25 ju illet, de C hristiane— Çà y est • n ous a u ro n s n o tre m aiso n du g eaie n t ces pensées et ces sentim ents.
chaque trim estre au tréso rier.
M arie-frrançoise, deuxièm e e n fa n t des époux
peuple, avec un g ra n d d a n cin g Certes, cette
9 « — Le* jeunes gens de m o in s de 18 a n s
E ragne-G atignol, ferm iers de M. Violle, à Bu.
P
u
is
ce
fu
t
la
lecture
du
palm
arès.
P
o
u
r
ir être acceptés, rem ettre a u se- c o n stru ctio n ne sera p as érigée d ’u n seul
ghes. — Le 26, de Edmond-Jacques-Louis-Anau to risa tio n écrite et signée de coup • on pro céd era p a r p etites étapes, et de en a d o u cir l ’au stérité, elle fu t coupée com m e net, p rem ier en fan t des époux Fargeix-D evede coutum e p a r des interm èdes v ariés où les deux, de P ichet, com m une de La T our,
cette
façon
d
’a
g
ir
nos
g
o
u
v
ern
a
n
ts
esp
eren
t
I Ll1CDWi
a rtiste s en herbe de l ’école p u re n t déployer
— Les jeu n es gens acco m p lissan t le u r tire r deux av a n ta g e s :
A n o ter que p e n d an t le m ois de ju illet,
1° F aire a v u le r p lu s facile m e n t la p ilule et faire a p p la u d ir leu rs talen ts.
service m ilitaire sero n t d isp en sés d u verse­
d an s la com m une de La T our-d’A uvergne, Il
-aux
c
o
n
trib
u
ab
les
;
E lèves le p lus sou vent nom m és
a été en reg istré la n aissan ce de q u atre g a r­
m ent de le u r cotisation p e n d a n t ce tem p s e t
2* Ne p as m e ttre le s tra v a u x e n a d ju d ic a ­
pourront jo u e r p e n d a n t le u rs perm issio n s.
A* Classe. — A. G estraud, J. R ouganne, P. çons et de q u atre filles, contre un décès seu­
tion,
ce
qui
laisse
p
lu
s
de
lib
erté
p
o
u
r
é
ta
­
F iliol, P. Jou lia, C. G risonnanche, F. D arcy, lem ent depuis le 25 m ai.
—
+ + +,
■—
b lir les devis et p erm et d ’é c a rte r les in d é si­ F. A rn au d , J. C habanet, E. G ranet, A. Jarles,
rables. Ce sont, en effet, to u jo u rs a u x m êm es M. A aiento, P. Demeuse, J. Jum el, G. P ap ig n v
V A ven ir d u P lateau C entral est la d a n s to u tes
q u ’échouent les tra v a u x m u n ic ip a u x , et p our­ IL P e rrin , P. M artin, G. L avadoux, J. Rochon,
les com m unes de la région. Il p én étre d a n s tous
ta n t il y a à Vollore p lu sieu rs e n tre p re n e u rs J.
A ursaire.
les m ilieux, aussi bien A la ville <ju'A la cam pagne,
de
tra
n
sp
o
rt,
de
m
aço
n
n
erie,
de
m
en
u
iserie,
B ILLO M
etc., to u s p arfa ite m e n t rép u b lic a in s et bons _ 3*[ Classe. — J. Chemy, R. Jan o t, R. B ernard, au c h âteau com m e A la ferm e, chez le patro n
c o n trib u ab les, qu i se ra ie n t h eu reu x , p a r ces J. Nigon, J. C habanet, Y. et H. Le Roy, M. com m e chez l'o u v rier, le re n tie r e t le co m m erçan t t
E tat olvtt du m ois de ju ille t. — N aissances
Morel odette-M arie. — L)ua Sim one-Jeanne- tem p s de crise, d ’a v o ir c h a c u n à le u r to u : L acom bas, G. D um as, B. du Bouchet, A. Co- tl com prend p arm i ses nom breux lecteu rs tous
net, P . Jay , J. O nzon, G. Lefort, M. A rnaud, ceux que les a n n o n ceu rs c h e rc h e n t A a tte in d re
Andrée. — M ylle Jacques. — S e rv a g n a t P aul- le u r p a rt du g âtea u .
. Demeuse, R. B eneyton, J. P aquet.
p ar le u r p u blicité.
Cette d isc rim in a tio n est, p araît-il, d u e a u
G uiilaum e.
M ariage. — Rene G errterm ont, m a ître répé­ m érite professio n n el. Ce n ’est p as fla tte u r
2° Classe. — P. Caille, E. P a ta u d , G Blot
titeu r, et A nne-M arle-EUennette Bœu, p ro fes­ pour les recalés. M ais ce rta in e s m au v aises P. M om pied, R. F aucher, A. Gros, J F aure.
lan g u es, il y en a p arto u t, m ém o à Vollore J. Jaffeu x , R. T ix ier, H. Ju b au lt, M, Fonbonne, tier, à P a u n ia t, 72 an s. — Lesrae P ierre,
seur.
Décès. — F abre Ju lien , célib a ta ire , âg é de p ré te n d e n t que p o u r être « p erso n a g ra ta » A. E nreille, P Cacheux, R. A njubeau, R. Rou- époux P ey rin , a P a u n ia t, 34 ans.
78 ans. — B aiib ra F ran cisca, âgée de 2 an s. a u p rè s de nos édiles, il su ffit d ’a v o ir d a n s sa gey ro n , E. M artin, G. M êm eton, D. Casta.
P rom enade scolaire. — La prom enade of­
— P e rry F rançois-A lphonse, époux B ouchon, poche la c a rte de m em bre d u p a rti socialiste
V erger. A. Chirol, G. M ar­ ferte p a r la com m une aux élèves des écoles
âgé de 50 ans. — Voisse Anne, épouse Chai- s>. F. 1. O. C’est év id em m en t u n e calom nie, tin A. R lqMe,“ F.J *B
F ayet, R. D ufour, H. D uthoit, de C harbonnières, favorisée p a r u n tem ps
lard , âgée de 70 a n s .— Ravel A lphonse-Louis, car, com m e ch acu n sait, le S. F. 1. O. est un J. M oulin, P. R obert, J. S eguin, H. Ribera, splendide,
a obtenu un véritable succès.
g ran d p arti au x idées larg es et g é n é re u s e s .. M. B oissier. R. P ey ro n n y , N. S urre, F. Rous­
époux Jarrig es, âgé de 26 ans.
Dès 7 heures, M. le M aire, m aîtres et élè­
PU Y -D E-D O M E
P u b licatio n s de m a n e g e s. — René-Antoine- b a n issa n t le sectarism e, et n ’a y a n t p o u r but seau, G. B ourdier, G. G arnaud, J. B arniard. ves,
p
rire
n
t
Ja route p o u r effectuer la to u r­
C laude Bosson, in stitu te u r, dom icilié â Vol- que le b ien du peuple.
B R A S S A C - L E S - M I N E S . — Le m arché du 30
R. V aladier.
née
des
lacs
en
su
iv
a
n
t
l’itin
é
ra
ire
ci-après
:
Et p e n d a n t q u ’on c o n stru it d a n s le bourg
lore-Ville (Puy-de-D ôm e), et M arie-Eugéni-i
juillet. — M arché im p o rtan t, bien ap p ro v i­
Riom, C lerm ont, Saint-A m ant-T allende, AyE lèves reçus au C ertificat officiel
F rançoise Olloix, dom iciliée à Billom (Puy- de Vollore salle de fête et d an cin g , ne croye>
sionné ; nom breux étalagés de chaussure*
dat,
M
urols,
lac
C
ham
bon,
col
de
Diane,
làc
de-Dôme). — Louis-Alexis G iron, ébéniste, do­ p as q u ’on vous oublie, vous. M essieurs les
et de bonneterie, m ais tra n sactio n s lentes.
G. M artin (m ention bien) ; F. F a y e t' (m en­
G uéry, tu n n el de la C assière, T heix, Volm icilié â Billom , et G erm aine-M arie-M arguo- c u ltiv a te u rs des h am eau x et villages, qui de tion bien) ; M. B oissier, A. C hirol, R. D ufour. de
Voici un aperçu des cours des denrées :
rite Grollet, dom iciliés a u Besset, com m une R ongeron, L oriile, Le Poux, L oncham p, La H. D uthoit, J. M oulin, II. R ibera, A. Rlque. vie P. O.
D éjeuner au lac Cham bon ; g o û ter à T helx.
B eurre, 7 fr. 50 la livre • œ ufs, 4 îr. la dou­
C haise, Le P oyet, Le M ayet, La B ournêlle, P. R obert, R. V aladier, L. Morge.
d O llie rg u e s (Puy-de-Dôm e).
T out le m onde a été sa tisfa it et de cette
zaine ; from ages du pays'. 2 ir l'u n ; S aintetc., a tte n d a ie n t avec im patience l’eau, l ’élec­
PO N T -O U -C H A T E A U
belie prom enade et en g a rd e ra longtem ps un
N ectaire, 3.50 à 4 fr. la livra ; from age bleu,
Elèves reçus a u C ertificat libre
tric ité et la réfection de vos ch em in s ; vous
2.50 à 3 fr. 50 ; g ruyère, 6 fr.; lait. 1 fr. 30 le
OOURNON-D’AUVERGNE. — S ortie-prom e­ v errez votre feu ille d 'im p ô ts l'a n p ro ch ain
G. M artin (m ention bien), F. F ay et, H Du­ excellent souvenir.
litre.
thoit, R. V aludier, J. B erniard, R. P ey rô n n v .
nade de l’H arm onie. — S u r l ’in v ita tio n du
* M ENAT
B oulets de g rain , 22 â 28 fr. la paire ; pou­
G. G arnaud, J. Boissier.
fils et de son sy m p ath iq u e p résid en t. l ’H ar­
les et coqs, 25 à 36 fr. la p aire ; can a rd s,
m onie se re n d a it en sorlie-prom enude, le 11 h eureux, d an s une crise aiguë, m it fin à ses
SAINT-GAL-SUR-SIOULE. — La m édaille
E lèves reçus au C ertificat supérieur
m
aux.
24
â 32 fr. la p aire ; oies, 4 fr. la livre : pi­
ju illet, a la Côte Saint-A ndré (L oirei.
serbe. — C'est avec p la isir que nous ap p re­
J.-B. V erger (m ention bien).
geons, 9 fr. la p aire ; lapins, 2 fr. 50 la livre.
Cette a u tre v ictim e de la gu erre, in tellig en t
Dès 6 h eu res du m atin , nos m u sicien s et
nons que notre am i V ivier A lexandre vient de
les m em bres h o n o ra ire s q u i les acco m p a­ et tra v a ille u r a v a n t son é ta t m alad if, a v a it
Aux élèves reçus à ces divers exam ens
recevoir la m édaille com m ém orative serbe.
A L L IE R
£
g n en t p re n n e n t place d an s le co n fo rtab le c a r eu p e n d a n t la g u e rre son frère m o rt a u ser­ 1 A m icale a offert un p rix de 30 fr. en espèces
Nos félicitatio n s â ce brave co m b attan t qui
de M. M arqués, de Lem pdes, et p a r le P o n t vice de la F rance.
p o u r ceux qui o n t été reçu s avec m ention a passé trois an s en O rient.
BOURBON-L'ARCHAMBAULT
Marché du
D ans cette triste circonstance, n o u s offrons et de 20 fr. p o u r les au tres.
de C ournon, Mezel, D allet, l ’on p a rtit d an s
29 Juillet. — Activité n orm ale p our la 6alson,
la d irectio n de T h iers, N oirétable, Boén, à sa fam ille, cru e lle m e n t éprouvée, nos c o n ­
Une fois de plus, m erci à l'A m icale to u jo u rs
M O N TA IG U T
Bon
ap
provisionnem
ent.
P
rix
m
oyens
p ra ti­
d oléances ém ues.
si dévouée et si généreuse.
Leurs.
qués :
SAINT-ELOY-LES-M1NES.
—
Le
S
tade
VerB eurre, 7.75 A 8 fr. le dem t-kllo ; œ ufs. 3.25
Acte de probité. — Mme E ugénie B arrier,
L’a bon casse-croûte s u r l ’herbe, a v a n t
nadois au concours d ’issolre. — Le S tade Verâ 3 fr. 50 ia douzaine ; freinages de vache,
S aint-É tienne, lu t le ’b ien v en u et c h ac u n lu i la sy m p ath iq u e p ro p rié ta ire de re s ta u ra n t à
ECOLE
DE
ST-JOSEPH
ET
ST-MAXIME
riadois
p
a
rticip
ait,
le
16
Juillet,
au
21«
Con­
1
fr. 75 l’un ; from ages de chèvre, I fr. 50.
lit le plus g ra n d h o n n eu r. L ’on re p a rtit e n ­ La Miouze et ram asseu se de la it de la m ai­
Poulets, 6 fr. le dem i-kilo ; can a rd s, 3.50 à
D im anche d ern ier, une ch a rm a n te fête sco­ cours des Sociétés de G ym nastique du Puysuite d an s la d irectio n de Suint-C ham ond où son Larny, de C lerm ont, en fa isa n t sa to u r­
de-Dôme
et
d
u
M
assif
C
entral,
o
rganisé
par
4 fr. le dem i-kilo ; lapins, 2.75 à 3 fr. le demiun a rrê t eut iieu p o u r la visite de la ville. née quotid ien n e, a tro u v é, jeu d i 27 ju ille t, laire réu n issa it, d an s la salle p aro issiale de
kilo ; pigeons, de 10 à 12 fr. la paire.
A Vienne, où l ’on a rriv e peu ap rès, nouvel s u r la route de La M ioute à Gelles, u n p o rte­ N.-D. du M arih u ret, les parents, les élèves et l’isso irien n e.
11
y
a
rem
porté
les
p
rix
su
iv
a
n
ts
:
concours
a rrê t pour v isiter la cath é d ra le , m erveille feuille c o n te n a n t une im p o rtan te som m e d ’a r­ les nom breux am is de l ’école. Les a p p lau d is­
en
sections,
pupilles,
division
su
p
érieu
re
(12
E B R E U I L . — M a r c h é d u 27 j u i l l e t . — Pou­
d 'a rc h ite c tu re ; en fin ce fut la d irectio n de g ent. p erd u p a r un ferm ie r des enviro n s.
sem ent ne fu re n t pas m énagés au x jeunes
lets, 25 à 40 fr. Ja paire ; oies, 3 fr. ; canard*
Celui-ci a été très h eu reu x , on le devine, artiste s qui, to u r à tour, in téressèren t vive­ g ym nastes), prix co u ro n n é ; m ouvem ents
la C ôte-Saint-A ndré où l'o n a rr iv a avec un
avec
engins,
prix
d
’exoelleDce.
3.50 : pigeons, 7 fr ; lapins, 2,50 la livre j
peu de re ta rd . La p lu ie qui to m b ait en ce d e se le voir rem ettre avec son c o n ten u p a r m ent la sy m p ath iq u e assistan ce d an s Je ch an t
Une plaquette a rg e n t a été attrib u ée a u d i­
beurre, 6 fr. ia liv re ; œ u is, 3.50 la douzaine;
m om ent em pêcha de d o n n e r le co n cert p rév u Mme B arrier, q u i n ’a v o u lu accep ter au cu n e m im é des P etites F erm ières, le ballet du P etit
recteur
en
so
u
v
en
ir
do
l
’in
a
u
g
u
ra
tio
n
du
from age, 2 fr. la pièce.
qui fut rem is au len d em ain . L’on se re n d it â récom pense.
Chaperon B ouge, la sp iritu elle com édie de S tade A lbert B uisson.
1 Hôtel de F rance, qui h éb erg ea nos m u si­
Noël O udon, Saint-N icolas et le B oucher et
V EP.TA IZON
NEUILLY-LE-REAL. — M arche d u 27 ju il­
Le tira g e de la tom bola eet fixé a u dim an­
ciens et où un su ccu len t rep a s fu t servi.
enfin le c h œ u r exécuté p a r les élèves dé la
S uocès s c o la ire . — Le c e rtific a t d ’étu d es a
let. — Gros poulet# 37 à 40 Ir. la p aire ; pou­
che 6 août, d a n s la co u r de l'école de filles
Le lendem ain, â 8 heures, eu t lieu le dé­ term in é l ’a n n ée scolaire. Notons le beau suc­ classe e n fan tin e Les P etits Doigts.
lets m oyens. 28 à 34 fr. ; petits poulets, 20 a
de La Y'ernade.
p a rt p our la G rande-C hartreuse ; l^ te m p s rut cès obtenu p ar nos écoles libres.
Au co u rs de la séance fu ren t proclam és les
26 fr. i c a n a rd s 23 à 27 fr. ; pigeons, 8 â 10 fr.;
m aussade au d é p a rt et à l ’e n tré e W u m assif
Une bonne jo u rn ée. — La C onférence de
Ecole de filles, d irectrice Mlle Duché, e n ­ b rilla n ts ré su lta ts des divers exam ens de
poules et cops adultes, 35 à 38 fr. ; pintades,
de la C h artreu se, les m o n tag n es se co u v ri­ fants p résen tés 3. reçus 3 :
♦
l ’an n ée sco laire 1932-33. Nous nous faisons un Saint-V incent-de-Paul. — D im anche d ern ier,
33 â 41 fr. ; oies, 48 à 55 fr. ; dindes, 58 à
rent de brum e.
NOIRÉTABLE
p
la
isir
de
les
rep
ro
d
u
ire
ici.
23 ju illet, Jes C onfrères de la C onférence de
Genestoux S u zan n e (m ention bien) ; T rln 67 fr., le tout à la p aire ; lap in s dom estique«.
A près av o ir longé to rre n ts et précipices, card M arie-Alice (m ention b ien), T a lllan d le D istribution de prix. — D im anche, 23 juillet, 14 à 21 fr. la pièce.
B revet élém entaire (Juillet 1933) — Quatre Saint-V incent-de-Paul fêtaient à le u r to u r le
l’on atteig n it le m o n astère de la G rande-C har­ M ane.
cen
te
n
aire
de
la
fondation
de
celte
œ
uvre
si
ô
15
heures,
a
eu
lieu
salle
du
P
atro
n
ag
e,
la
Beurre, gros pains, 6,50 â 5,75 la liv re ; a
C andidates présentées, 3 reçues" : T hérèse
treuse, qui lu t im m éd iatem en t visité. L’ou
belle en même tem ps si ém inem m ent sociale, d istrib u tio n de prix aux élèves d u P en sio n ­ beurre d étail, u à 6,50 ; œ ufs, 3.25 A 3.50 la 9
Ecole de garçons, 3 présentés, 3 reç u s :
C
ham
bon,
Renée
T
hévenin,
M
icheline
Vacher.
p rit en su ite le chem in, du re to u r et p a r S aintp u isqu’elle ajo u te aux secours m atériels dis­
C h a rrie r Jean, D ubourgnoux Roger, B rlat
douzaine ; from ages de vache, 2,25 à 2.40 la
Certificat d études prim aires. — Dix c an d i­ crètem ent e t délicatem ent donnés, le réconfort n a t de jeu n es filles.
P ierre-de-C hartreuse et le col de P orte, l ’on René.
Cette fête de fam ille était présidée p a r M. pièce ; trom age# de chèvre, 1,50 A 1,75 fro­
d
ates
présentées.
10
reçues
:
Jean
n
e
Cham
bon
d escendit su r la ville de G renoble, q u i fu t
m
oral
de
sa
c
h
a
n
té
v
raim
en
t
chrétienne.
P uisse ce succès être u n en co u rag em en t
l'abbé Suzat, curé-archiprêtre de la paroisse. m ages A la crèm e, 3.50 â 3.80 ; crèm e, 1,15 a
égalem ent visitée.
i
p o u r nos m a ître s et m aîtresses à qui nous M arie-A ntoinette D écousu, Suzanne D ohérier’
A cette occasion, l’église a v a it été ornée de La salie é tait comble (te p aren ts des élèves 1,20 le verre.
Ce fut en su ite le re to u r à la Côte-Saint- adressons, au nom de nos en fan ts, no« bien M arie-Louise F alv ard , Hélène Gisset, Marie- fleurs, e t il y eu t m esse avec diacre et sous- et des am is des écoles libres. Une séance ré­
Pom m es de terre, 0,?n à 0,40 la livre.
A
ntoinette
Jaffeu
x
,
Geneviève
P
h
ilip
p
in
e
A ndré. où à l’a rriv ée un concert, suivi d ’un sincères rem erciem ents.
^
A nna R ellier. M arie R evaillot. Cécile P ataud! diacre, et u n e fols de p lu s les assistan ts eu­ créative dont nous devons féliciter les o rg a­
défilé en ville, eu t lieu et où nos m usiciens
8AI NT- POURÇAI N-SUR-SI OULE. Foire
rent le p la isir d ’en ten d re de nouveau la belle n isatrices et les c h arm an tes actrices, a g ré ­
Fêtes scolaires. — Les fêtes scolaires de
recu eilliren t d ’u n an im es ap p lau d issem en ts.
Certificat d 'études de l'en seig n em en t libre messe «n m usique de « F au ch et ». Elle fut m enta cette belle soirée. Les applaudissem ents el m a r c h é du 29 j u i l l e t . — Vaches grasses de
Le dim anche 16 ju ille t, 1 H arm onie se ren ­ d im an ch e se sont déroulée« avec un plein (degré su p érieu r). — Deux élèves présentées
1.50
à
1,80
Je
kilo
.
vaches
de
trait,
de
2
000 â
très bien exécutée, g râce au concours de la n o u rris et répétés des a ssista n ts m ontrèrent
dit à la m esse où p lu sieu rs m orceaux de c ir­ succès.
2 reçues . Geneviève E spagnol (m ention bien)! C horale des M ines de la Rouble. Des voix bien la satisfaction générale. E ntre chaque saynète
2 500 la pièce ; vaches laitières, de 1.500 à
constance fu ren t exécutés sous la baguette
La coquetté cité a v a it revêtu sa p a ru re des Sim one Jalo u stre (m ention bien).
connues et appréciées v ien n en t à l ’occasion pièce, m onologue, eut heu lu lecture du p a l­ I.WH) la pièce ; porcs gras, de 6,80 A 7 fr. la
au to risée de son dévoué chef, M. l ’abbè Dä­ g ra n d s jo u rs pour recevoir la Jeunesse venue
Certificat d 'étu d es de l'en seig n em en t libre s’u n ir a u x ch an te u ses de la paro isse ; nous m arès. P o u r ne p a s ab u se r de la place ac­ kilo ; n o u rram s, de 8,50 â 9 fr. le kilo ; lai­
cher.
de toutes les écoles publiques du canton
cordée d a n s ce jo u rn a l nous ne donnerons tons, de 9.50 à 10,50 le kilo ; v tau x , de 4 50 â
(degré élém entaire). — Dix élèves présentées
leu r disons n o tre reconnaissance.
5.50 le kilo.
Le cortège rv a it à sa tète MM. Pom ot, 10 reçues : C écilj P atau d (reçue prem ière dé
Après un ban q u et a u ssi bien servi que
S ignalons «n p assan t : « Le C rucifix de sim plem ent que les ré su lta ts des ex am e n s de
B eurre de 11 à 12 fr. le kilo ; œuf* 3.50
choisi et qui fait h o n n eu r à l'H ôtel de F ra n ­ In sp ecteu r d ’Académie ; Fousson, in sp ecteu r la session avec la m ention bien), Jeanne F aure
l’année scolaire 1932-1933 q ue voici :
»,
qui
fut
ad
m
irab
lem
en
t
in
terp
rété
ce, il fallu t so n g er au reto u r, qu i s ’effectua p rim aire, ento u rés des. au to rités locales et C ham bon, M arie-A ntoinette Décousu, Suzanne >ar deux voix qui o n t fa it deouis longtem ps
B revet élém entaire. — Admise définitive­ is douzaine ; from ages, de 2 â 2.50 la pièce ;
poulets, de 10 à 12 fr. Je kilo ; canards, de 7
p a r Lyon où l’on visita la b asiliq u e de Four- can to n a les et des m em bres du Comité d’or- D ohérier, M arie-Louise F alv ard , Hélène Gis­ eurs preuves. L’orgue, très bien tenu p a r M m ent : Mlle M arie-Louise M artin.
g an isatio n . Chaque école a déposé une gerba set, M arie-A ntoinette Jaffeux, Geneviève P h i­
vière et la c ath é d ra le S aint-Jean.
A dm issibles à la session d ’octobre : Mlles » 7.50 le kilo : lapin«, de 5 A 5.50 le kilo.
H
éraut,
m
e
ttait
en
v
aleu
r
ces
différents
m
or­
de
fleurs
a
u
m
on
u
m
en
t
au
x
m
orts
de
la
Blé, 115 fr. ie quintal ; son. de 52 à 58 lr
*
Et l'a rriv é e â C qurnhn eu t lieu â m in u it
M arguerite Coste et M arie-Louise Châtre.
lippine. A nna R ellier, M arie Revaillot.
ceaux.
tren te, où l’on se sé p a ra v raim e n t en ch an tés g ran d e guerre.
D iplôm es de fin d ’études. — 1er degré. — le quintal ; farine de 162 A 165 fr. le q u in tal.
Concours organisé par le • M anuel général »
A l'E vangile, M. l ’abbé Domas, secrétaire de Mlles Josette Issard ; G abrielle Courbe, avec
D errière le cortège su iv aien t de« c h a rs m a­
Pom
m
e
de
terre,
0,90
le
k:lo
i
vin
rouge,
d une si belle prom enade.
entre les m eilleures élèves. - r t p rix , Jeanne
’Evêché, tin t son au d ito ire sous le charm e de m ention.
dé 250 A 300 fr. la pièce de 2 hl. ; vin blanc,
Nous devons ajo u te r que cette m ag n ifiq u e g n ifiq u em en t décorés et p o rta n t les plus jeu- I’a u c h a rd ; m ention honorable, Geneviève
6a parole apostolique. La quête fut faite pour
de 230 à 260 la pièce de 2 hl. ; paille nou­
p rom enade a été film ée p a r M. le cu re doyen nés enfants.
2» degré. — Mlle C laudia B utin.
E spagnol.
les
p
auvres
secourus
p
a
r
les
m
em
bres
de
la
S u r l’E splanade, lieu de rassem blem ent des
de Pont-du-C hâteau, qui a v a it bien v o u lu ac­
C ertificat d'études. — i»r degré. — Mlles velle, 200 fr. la tonne.
Concours organisé par le » Courrier des E xa­ Conférence, s: vivante à Salnt-F.lov e t s; bien­
com pagner l ’H arm onie.
d iscours o n t été prononcés p ar MM, L allig ter
Jeanne Cornet, m ention trè s bien j Emma
Les ennem is de n o tre Société d isen t p arfois p résid en t du Comité d ’o rg an isatio n ; T a illa n ­ m en s ». — 1 « p rix , T hérèse C ham bon, Renée faisante. N ous so u h aito n s ê u ’eUe étende son Gazel, très bien ; Odette D ubouis. bien ; Su­
que l’on s ’ennuie chez nous, q u 'ils p re n n en t dier, m aire de V ertaizon ; Noyer, conseiller rh év e n in , M icheline V acher ; accessit, P a u ­ action p e u r te plus g ra n d bien des déshérités zan n e L arret, bien ; Yvonne D uasupt, bien ;
Marché aux vin.* de Nîmes
de ce m onde.
seulem ent la peine de d em n n ae r â nos m u­ d arro n d issem en t, et G ravière, ph arm acien . lette M adubost.
Jean n e G range, assez bien.
Nîmes, 31 Juillet.
siciens ce q u ’ils p en sen t de cette belle pro­ 'Io n s les o ra te u rs o n t été v igoureusem ent
Secrétariat com m ercial (sténo-dactylogra2» degré. — Mlles M arie-A ntoinette Georges,
PO N T G IB A U D
Cour? officiels de la C ham bre de com m erce;
m enade, et si la noie qui dom ina ce voyage ap p lau d is.
hie et com ptabilité com m erciale). — Nflles
bien ; Jean n e Guette, bien ; Jeanne Gayte, Trolh six bon goût 100 degrés, trois-six m aro
SA INT-PI ER RE-LE-CHASTEL. - La fête pa- bien, e t M arie-A ntoinette Gayte, assez bien.
ne fut pas celle de la p lu s fran ch e g aîté ; il
elller, R ance et V igouroux.
L’n p ro g ram m e v arié de jeu x et de c h an ts
100 degrés, eau de-vie m arc JOü degrés, pas
n ale. — D im anche 6 août, la paroisse de
n 'y a q u ’â se rap p eler les belles p rom enades a suivi les discours. Les diverses écoles se
Nos félicitations les plus sym p ath iq u es aux tro
E nseignem ent m énager. — Mlle Jeanne Cor­ d affaires signalées.
Saint-Plerre-le-C hastei célébrera dignem ent 3 a
que fit l ’H arm onie, en 1930, au Puy-en-Velav; sont signalées p a r le u r .e n tra in , le u r d isci­ la u ré a te s et à leu rs professeurs.
net,
m
ention
très
bien
;
S
uzanne
L
arret,
très
Vins rouges, qualité courante, de 7 degrés
belle
fête
patro
n
ale.
l'an n ée d em iere, où elle p rit p a rt au Con­ pline et le p ittoresque de leurs costum es. La
A la g ra n d ’messe, le serm on sera donné p a r bien ; M arie V iailon, très bien ; O dette Du­ a ? degrés 5, de 38 a 45 fr.; m ontagnes, d«
co u rs de L angeac, p o u r pouvoir d ire en toute rouie a p p la u d it ch aleu reu sem en t les jeu n es
M A NZA T
Mgr C haum ont, am i de la paroisse ; p en d an t bouis, bien ; E m m a Gazel, bien ( Jeanne 7 degrés 5 a » degrés 5. de 50 â 65 fr.; m on­
sincérité que l ’on ne s ’en n u ie pas à l ’H ar­ artistes. P u is M. Pom ot félicita le s o rg a n i­
tagnes supérieur«, de 8 degrés 5 a 9 degré*,
0HARB0NNIERES-LE8-VARENNE3. — E tat cette cérém onie, il b én ira une belle statu e de G range, bien.
m onie.
sateu rs.
9
Ces résu ltats so n t une preuve irréfu tab le de de 65 â 99 rr.; cosiiéres. de 9 â 11 degré*
sain te M adeleine, don d 'u n e généreuse per­
Des g oûters fu re n t en su ite d istrib u é s au x eivll d u deuxièm e ( trim estre. — N aissances
R O O H E F O R T -M O N T A C N E
—
Ja
rz
a
g
u
e
t
Georgette,
à
P
a
u
n
ie
t.
—
Chamde
loo a »60 f r ; blanc de blanc, pas d'af­
sonne
de
la
paroisse.
l
’enseignem
ent
donné
d
an
s
cet
établissem
ent.
en ia n ts, a leurs m aîtres et â le u rs p a re n ts
E nsuite u u ra lieu, s u r le v aste plateau en ­ Nous nous faisons cependant un devoir de faires.
GELLES. — Deces. •— Joseph P aillo u x , âgé
Un vin d ’h o n n e u r ré u n it les p erso n n alités pagnol Elie-Michel, a u Boueix. — B ertrand
Le mut nu pris A la propriété.
to u ra n t la vieille et m ajestueuse église, ia tra ­ féliciter les lau réates ainsi que leurs dévouées
de 52 ans, du village de B anson, com m une ofticielles c h A M. Ju ilh ard , re s ta u ra te u r â Pierre-A ntoine-E ugène, à P a u n ia t.
—
—
j m ~ ---------de Gelles, pensionne de g u erre p a r su ite de V ertaizon.
M ariages. — A stier A ntoine-M arlus %t Je a n ­ ditionnelle procession de Saint-Pierre-ès-lleu. m aîtresses. La rentrée des classes est fixée au . ■ ■■ ■ ■
5
octobre.
com m otion, d o n n ait d epuis q u elque tem ps
P u is une m ontgolfière s’est élevée d a n s ne Barge. — F au re Jean-M arius-A nnet et An­ patron de la paroisse ; la sta tu e du gran ti
de
la
Maison
G
range,
situé
avenue
de la.G aresa in t et sa belle bannière sero n t portées p a r
une vive Inquietude â sa fam ille et d em an ­ les a irs avec aisan ce et le tira g e de la tom ­ toinette V acher.
Un p ro frèe. — La Cham bre d ’in d u strie cli­ O uvert tous les Jours, de 8 heures à 19 heures
les conscrits de la com m une.
’ m atique de N oirétable est heureuse de m ettre
d a it une su rv eillan ce soutenue.
bola, dont n ous p u b liero n s les nu m éro s g aDécès.
—
D
av
ay
at
Anne,
épouse
F
au
re
à
« h
Le soir, u n e belie fêta se ra donnée p o u r la cette année, à la disposition des nom breux Sous des om brages m erveilleux, quelles belle*
T ro m p an t la vig ilan ce des siens, le mal- g n a n ts d apiain, a clô tu ré la fête.
D ouhady, 62 a n s . S a h u t Antoine, veuf Porsoirées en perspective, avec ces tem ps de
eunesse.
v illégiateurs et du public le m agnifique parc canicule.
S
ARRONDISSEMENT DE CLERMONT
6
Ê
1 VEN’IH
L’AMOUR {PROUVE
P«r
S A IN T -D E N IS
W»
M
aussi tout i’attralL Et c'eat si vrai que
souvent, dans les réunions m ondaines, 11
arrive que d es Centraux et des Polytechni­
ciens, — donc trà* doués et très instruits
— y font triste figure et ennuient ceux
qui les approchent, parce qu'il tour m an­
que ce spirituel, 3« piquant, q u 'a u ra n
autre individu, moins calé gu'eux, c’est
entendu, m ais du moine pétillant d'esprit
et de gaîté.
Après avoir parlé é bâtons rom pus, ce
v i d u re s te n 'a rriv e qu'aux enfants, on
is c u ta , et les réflexion d 'u n des garçon­
nets au ton au to ritaire et au sourire m a­
licieux, captivèrent l’attention de Mlle de
S
Certains, — 11 suffisait de les regarder
our s'en convaincre, — étaient incapa
les de raisonner et de discuter quoi que M erla y ,
ce soit. Us p a r la ie n t pour le seul plaisir
discussion avait son im portance, car
de parfer, débitant insanité sur insanité, il La
de savoir si on jouerait au
aussitôt relevée* par un petit blond aux c h es'agissait
v a l rien q u ’e n tr e garçons ou si on ad ­
répliques re m p lie s d’à-propos et pétries m e ttr
d es filles.... t ce mot passait e n ­
d'esprit, dont .a plupart de ses cam arades tre lesa itlèvre«
de l'enfant avec une moue
n ’avaient même pas l ’air de comprendre d é d a ig n e u se vraim
ent am usante.
le sel, m ais oui am usaient au possible Mo­
T o u s fix a ie n t celle qu'ils appelaient
nique, dont la subtilité intellectuelle était » Z
ette », sœ ur de l'u n d'eux, et qui hum ­
extrême. Et en entendant ce petit bon­ b le m e n t, à quelques poe du groupe, atten ­
homme, elle songeait que bien que ses
it son arrêt.
tra its soient irréguliers, il p lairait au tre ­ d aLe
de ia bande parla et gravem ent
ment dans le monde, quand il serait il dit chef
:
grend, q u ’un joli garçon, maie sot. -- Vous m e demandez mon avis t E h
Car s’il est donné, Dieu merci à bon bien I le voici .- JJ ne faut pa» s ’e m b a r r a s ­
nombre d ’enfants d ’avoir une intelligence s e r de fem m es dans nos jeux. Quand un
moyenne, il y en a foi* peu qui v joignent sera m arié, on a bien le temps de les
• I esprit ». C’est lui p ourtant qui fait le avoir à nos trousses. Ne trouvez-voua pas
charm e des jeunes m inois et do leur con qua j ’ai raieon, les am is ?
versation comme chez un homme il en e*t
— Mais tu es grotesque à nous parler de
f
« femmes * quand U s ’agit d’une petite
fille, car tu aaia bien que Suzette
_
n ’a que
7 ans, proteste son frère qui en avait Ô...
— Sept ans ou plue, c’est toujours une
femme.... en herbe, et si on l’accepte, une
fois qu’on a u ra commencé, ça ne s 'a rrê ­
tera plue ; faudra prendre avec elle ses
cousines, ses amies et toute une ribam ­
belle de petites filles. Alors, dit-il avec de
;rand» gestes véhéments, on ne sera plus
es m aîtres. Car les filles, mêmes les tou­
tes petites, il faut toujours que ça com­
mande, que ça fasse m archer les autres,
et c’est pour cela du reste que ie ne joue
Jamais avec elles. On est obligé de fajre
lours trente-six volonté* ou de suite
s
pleurnichent et vont 6e plaindre A leurs
mères, et ça amène des histoires & n'en
plus finir qui gâtent tout plaisir.... On
n’a même pas la ressource de les battre
quand elles nous font enrager, car ca­
serait lâche.... Alors, parce que noua on
est des garçons, U faut tout supporter
d’elles ? Zut 1... « Et comme chef de bande, Je m ’oppose
à l'adm ission de fa sœ ur parm i nous,
Charles. F au t pas t'en fâcher, car r ’eet
pas pour « Zetta » personnellement mais
simplement pour appliquer la règle que
Je vous propote : « Les garçons avec les
garçons, les filles avec le« filles ».
Quelques-uns n'étaient pas de cet avt»,
m ais comme on écoutait ce gam in p ari­
sien comme un oracle et que docilement on
suivait toutes eee directive« «ans forœu-
(
1er d objections, tous se rangèrent à sa dé­ de tricoter pour concentrer toute son atten­
cision et levèrent la m ain en signe d'ac­ tion sur lut.
q u ie sc e m e n t.
Il m a r c h a it à pas com plôs en tr a în a n t un
T o u te p e n a u d e , Suzette m aintenant s ’tn p eu t ch ai lot d an * lequel se tro u v a ie n t une
allait la tête basee, fort ennuyée d’être pelle
e t un seau
obligée d’avouer son échec à see petites
Rien hûll, il p a ra is s a it a v o ir six a n s , m al*
a m ie s, c a r elles r.ussl, comme l ’A valt pré­ p eut-être avait-il d a v a n ta g e . Il a v a it de
vu l ’orateur, espéraient bien a-vec Zette g ra n d s y eux n o irs, un nez a p la ti, aux nas’enrôler d a n s le jeu de*, garçons.
rine* s a n s la m o in d re m obilité, la bouche
— Certainem ent elle* vont me dire que p e u 'e à 1 excès a v a it de g ro s se s lèvre* qui
J e n ’ai pas su plaider ni m a cau*e, ni Ia c o n sta m m e n t re s ta ie n t ouverte* et les oreil­
leur, se diçait la fillette, mais ce Gérard le* é ta ie n t g ra n d e s , la rg e s e t décollées. El
m ’en impose tellement qu'en lace de iui je
xüns £ 2 .v,8aße rien ne
bien qu’il
suis incapable de protester p a r un mot,
é b a u c h â t s a n s a r r ê t un s o u rire flcô. sourire
Et Monique songeait en souriant {
auquel se s yeux ne s ’a ss o c ia ie n t pas
— Qui sait ? C'«it peut-être cette jolie
E t c’e st ce q u i fra p p a le plus la jeu n e fille
Suzette, exclue du jeu si peu galam m ent qui savait si bien analyser les physiono­
aujourd'hui p a r te gam in despote, qu’ib m ies et a v a it ta n t de foi* constaté que chez
épousera un jour ?..Car combien d'enhtntk un enfant bien doué intellectuellement,
se sont dLpute» sa sont détestés même avant m êm * qu’il a it exprimé sa pensée et
dans l ’enfance pour s ’aim er à vingt ans |.. en m êm e tem p s qu’il so u rit, son regard
A présent, lee garçon» en nombre impo­ b rille de malice, de pla!*ir. Et l'expression
sa n t Jpuaient au cheval, très fiers de l’ar­ « sourire des yeux » n’est pa* purement
rêt pris contre le sexe faible... Ils pous­ ro m a n e sq u e , m a is absolument réelle et
sa ie n t l’irtnie, on pourrait dire la méchan- Juste. Mais ce petit ne savait que sourire
ceté, ju s u u ’à frôler le groupe des petits sa­ des lèvres et avec quelle niaiserie L., En
crifices dont Zette faisait partie, et qui, vain d a n s ses g ra n d s yeux cherchait-on un
r o u te s et indignées de leur audace, les r#- réflexe où la gaieté et L’esprit avaient Jeur
gardaient passer sans oser élever une pa­ part : Us restaient vides de toute expres­
role de protestation.
sion.
Du côte qpposé à ces deux groupas, un
Cette constatation se rencontre aussi bien
bambin arrivait. \\ était seul, et par J« bi­ chez un tout jeune enfant que chez un plue
zarrerie de ses manières et l’étrangeté “de âgé, et c'est la caractéristique Indéniable du
sa physionomie, il ressemblait si peu aux manque d’intelligence. Maintes fols, on ne
autres enfante que Mlle d« Merlay s ’arrêta peut plus attentivement, j’ai étudié ce petit
8E 0
Adm lssioi
Métiers de
1932 : Dom
C oncours
épreuves o
pu is, Merg
B revet d
o to iis p a r
G audin. M
D écham p,
n a u d . Van
lade, De.i
ro n . Gourd
que, Chom
'M age. Meu
lo u r, Merq
Maillet. Ra
ban ce, Arc!
E xa m en
(Déflnltivem
L ouis.
i
Concourt
erü te
Înrmtmilhon,
i
C orre, C ur
'L abbe, La
Reverdy,
net.
V
4* séria
T ate.
Certificat
A justeurs :
rau d et, Gu
R oddier, H
Déchamp,
m as.
Tourneur
chauxm e.
M écanicie
G ourdy, Jalj
Forgeron
P o se u rs-r
Chalam et,
lin ier, Nad
Chol.
Electrlcle
Menuisier!
couze.
Ebéniste
Sculpteur
Duple.
C harrons
•4
FOIRES ET MARCHES
LOIRE
K K Itll I F ION
de G
m onde au q u el je m ’in té re sse to u t p articu ­
lièrem en t, e t a p rè s exam en de p lu sie u rs a n ­
n ées, j ’ai ac q u is la c e rtitu d e de «e q u e J’é c ris
en ce m o m e n t
Ce qui im p re ss io n n a aus3i p ro fo n d ém en t
M onique, ce fut l’a ir so m b re el tr is te de c«
yi*age... Ün eu t d it celui d 'u n petit v ie u x ...
Et un e n fa n t triste e st un tris te enfunt.
' Æ
Il s 'a r r ê ta ju ste d e v a n t Mlle de M e rlfy ^
et là ii se liv ra à un a m u s e m e n t d éco n cer­
ta n t, si toutefoi* on p e u t a p p e le r c ela u n
<fmu*ernérit. D ’u n m o u v em en t ra g e u r , q u i
c o n tr a r i a it s in g u liè re m e n t avec la le n te u r
de s a d é m a rc h e , il d é ta c h a les b ra n c a rd »
du lé g e r v éhicule, et il le» la n ç a b ru s q u e ­
m e n t a u loin, .• u risq u e d ’a ltr a p e r e t de
b le sse r q u e lq u ’u n .... P u is , av ec uno force
é to n n a n te p o u r u r si jeu n « e n f a n t e t u u i
re s se m b la it à de la b ru ta lité il a r r a c h a
les ro u e s q u ’il ré d u is it en to u s petit«- m o r­
ceau x .
N on c o n te n t d - ces sim p le s m u tila tio n * ,
à co u p s de p ied I d é m o lit le corn* de la
b ro u e tte , e t, fa tig u é , il s 'a s s it s u r I» sabla et é p o n g e a son v|«Qg e b a ig n é de s u e u r
p a r cet e ffo rt de d e s tru c tio n
M ais ce n ’é ta it p a s fini...*..
Son «eau, son jo li s e a u to u t n e u f, aveo
deux b a m b in s m o n tan » u n e b a rq u e pein t*
de»sus, g is a it a u m ilie u d e s d é b ris.! n —
le vit et tout a u s e itô t se re le v a , c a r rie n
ne devait trouver g ra c e à see y eu x .
W
<A suivrai
a) Ré
P rix Bar^
M enuiserie
S culpture :
— F orge *
A justage
P rix Cha
G h arro n n ag
m aie.
P rix A nte
m eilleu r éle
tion prép ar
tre, de 4» ?
b) Ré
k
P rix d'ho
riat de l'E n
de 3* n o r:
M édaille
des anciens
4« spéciale.
P rix offer
— 100 fr.. â
Rochette, d
P rix offer
E ntrcprenet
50 fr.. à Ur
ru rie rs : 50
— A justeur
trlelle B. —
de 3» électr
M eunier, de
è Rossi Roh
teu rs : 50 fi
P rix offer
fr.. A Charl.
dier, de 3‘
P rix offcr{
D ionnet.ae
P rix offer
pagnol, de
P rix offer,
lants et : i u
électricité.
P rix offer
Un livre, à
P rix offen
Joly, de 3*
P rix offer
— Une règle
P rix offert!
Un livre, à
P rix offer;
baud : Be uz
ue 3* nortnai
P rix Odert
de 2* lnduet
d u strielle B
P rix offerts
3« norm ale ;
3* électricité
tel, de 3« éle
P rix offert
sin, de 3« éi
P rix offert
de 3« électric
P rix offert
a u x élèves n
dier, Hecoqui
Roux, tou* d
in d u strielle
Thévenet, de
norm ale.
P rix o ffert
d ln de 3« no
P rix offert
pagnol de 3«
1« industriell
p r ix o ffert
ganne de 1N
P rix offert
1 porte-foret,
1 pied à cou'
trlelle B.
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III.
Troisièm e
rel, Thom as
A dm ission
Mativet, Do
Déchamp. U
Troisièm e
rln . San vois
Admission
Ku«v Guéri
V annier. Cb
Chot.
Troisième
Joly, Recoq
Champagnol
L bardy. Chaj
1 dier, Guyot.
Deuxième
m inât. Chat
Baubel. Lén
D euxièm e
F o u rn ier. Gi
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n o rm ale :
. •• In d u stri
Jes. Fredet, i
Juvenon, Ga
t* Industri
Admission
2« Industri
leiilan t, U rt
Tate, Combe
2* Industri
•e, Busàièrs,
Rosst Paul,
D upuylolier.
F riau d . Lecli
tul.
Sont autorl
en octobre :
, t* induetm
I R oyannette,
t • Industri-
M ARDI 1 * AOUT 1933
LOIRE
LES DISTRIBUTIONS DE PRIX
à B rioude,
sie qui s'es»!
Jplanade de
(Suite)
8 E 0 T I0 N S IN D U S T R IE L L E S
I« ba leis.
MM. Ul!DJard se fire n t
lu pnadUCttéMI
le u rs a -.-au u
iust-mbie.
I
lia soirée,
ilusieurs jeu-
se prêtaient
uccqmpagne-
».
t t abond un. : . - t p i c*
restaurer a
fa ra u d eu
irtuûsué coules ea.piOi?«
t
présente» i
Ide ; li.io ia s ,
[au m ; xi i !-* ;e
| ) r D u icl. pre-
lot t-rt, préài*
Isid u tit ; l ’ousectioft de
du S ynd ica t
:
] T 1! de La
l
ttanta
chauxme.
i
mue, etc...
ROHES
denrées :
4 tr. la rtoul un ; Ssnnt[r
bleu,
ut. 1 tr.
le
pâtre ; pouî ; eanards,
lu liv re : plL . jl) lu livre.
Marché du
ir la saison,
nojeus pru tiO ; œufs, 3.'35
de vache,
I tr. 50.
lia rds. H.50 à
3 fr. le deiutDalre.
|:es
ie.
|n ie t. — Foutr. ; canards,
BM) la liv re ;
la douzaine;
du 27 JulL
paire ; pou; oulet?, iiü a
ns, » a 10 fr.;
r ; pintades,
d ’n.l-s, 58 a
jdoiuestiq ies,
I
la liv re ;
h 3.50 la W
P.25 à 2,40 la
A 1,75 ; fro*
rème. 1,15 a
liv re .
F oire
grasses, de
it, de 2.000 a
, de i . 5<d a
M a 7 fr. le
le k ilo ; la iux. ae 4.50 a
: œufs, 3,50
,50 la pièce ;
an in ls. de 7
0 le kilo .
« 52 A 58 lr.
r. le q u in ta l,
vin rouge,
: v in blanc,
pa ille nou-
^ î im e s
31 Juille t. ‘
n e commérent
proto-su inaro
|> degrés, pas
de i degrés
l*o magnes, da
65 fr.; mon15 a ü dpgres,
A i l degrés,
|nc. pas d af|ê.
de la GareIxe
s à 1!) heures,
quelles belles
es temps <Jq
to u t p a rticu plusieurs an­
te que j ’éens
rofondément
tris te de en
|p ttil vieux..^
en font,
de M e rlg y
jnt 'l 'Cn’ u v r*
p le r cela un
, ra g e u r, q u i
ic la le n te u r
‘s bra n ca rd s
k a brusquefra p e r et de
une force
fif a n t et q u i
il arracha
petit*, rnor-
Imutlîation»,
corps de la
sur I® sa|né de sueur
t
avec
trq u e p e in ts
d é b ris... 11^ ^
^a, c a r r i e n ^ P
yeux.
'A iv lu re )
l .
SECTIONS COMM ERCIALES
RESULTATS AUX EXAMENS
Examen d'entrée à l ’Ecole supérieure de
Commerce de Clermont : Schuster, Dubessay.
Brevet d'enseignement commercial : Schus­
ter, Noël, B o ivin , Abonnât, Monnet.
Bourses nationales d'enseignement techni­
que : 3® série : Débordé.
Certificat d'aptitude professionnelle : A i­
des-comptables : Avel, B o ivin , Dubessay, M on­
net, M ontagne, Noël, Schuster.
P R IX SPECIAUX
P r ix d'honneur du Sous-Secrétariat de l ’En­
seignement technique : Schuster de 3* com ­
m erciale.
P r i x offert pa r l ’Association des anciens élè­
ves : Une m édaille d ’a rg en t à Schuster de 3®
com m erciale.
P r i x offert p a r les anciens élèves 25 francs
à Abonnât de 3® com m erciale.
P r i x offert pa r M. Bergougnan
une méd a ilie à Noël de 3® com m erciale.
P r i x offert pa r la Chambre de Commerce
50 fr. à M orand do 2e com m erciale ; 50 fr.
à G autier de l r® com m erciale.
P r i x offert par la Maison M ic h eli n : 100 fr.
à Schuster de 3® com m erciale.
P r i x offert p a r la Fédération des Combat­
tants et Mutilés
25 fr. à B o iv in de 3® com ­
m erciale.
P r i x o ffert p a r M. B oiv in au m e ille u r élève
en comptabilité : 50 fr. à Schuster de 3® com ­
m erciale.
P R IX DE M E R ITE
Troisième commerciale .- Schuster, Abonnât,
Noël, B o ivin , M onnet, Dubessay.
Deuxième commerciale : M orand, Gouttebel, Soulier.
Admission en 3® commerciale : M orand,
Gouttebel, S oulier, L e y rit, T o u re ix, M eunier.
Sont autorisés à su b ir l ’examen de passage
en o c to b i 3
B ertran d, G im el.
Premiè'-c année commerciale : G authier,
Mayet, Bonhoure, Randoin, Quément.
Admission en T commerciale : G authier,
M ayet, Bonhoure, Randoin, Quément, V illa dère, Rolle, D um ont, D u fflo , Prévôt, Carbonell.
Mécaniclens-garagistes ; Chatard, G audin,
G ourdy, Jalade, R anvier.
Forgeron : M ativet.
Poseurs-installeurs d ’électricité : Capeille,
C lialam et, C h a rlin , G uérin, Kuss, M ellé, Molln ie r, Nadal, P antel, S anvoisin, Vannier,
Chol.
E le ctricien s : B onhour, B ru n a t, Rochette.
M enuisiers : M eunier, C ham pagnol, Decouze.
béniste : D ufour.
culpteurs su r bois ; Chaput, B a ttu t, Joly,
Dupic.
Charrons : Mage Jean-Marie, Chézet,
P R IX SPECIAUX
a) R ésultant de legs :
P r ix Bargoin, liv re ts d ’épargne de 40 fr. :
M enuiserie : D u fo u r H enri, de 4- norm ale. —
S culpture : D u p u ylo lie r, de 2* in d u s trie lle B.
— Forge : Empis, de 1** in d u s trie lle B. —
Ajustage : Désir, de 2- in d u s trie lle B.
P r ix Chausscgros, u n liv re t de 15 fr. —C harronnage ; Mage Jean-Marie, de 3« n o r­
male.
P r i x Antoine Menât, un liv r e t de 50 fr. au
m e ille u r élève de m athém atiques de la sec­
tio n prépa ratoire a u x A rts et M étiers : Mes­
tre, de 4- spéciale.
b) R ésultant de dons :
P r i x d'honneur vffert pa r le sous-secréta­
r ia t de l Enseignement technique. — M eunier,
de 3- norm ale.
Médaille d'argent offerte p a r l ’Association
des anciens élèves de l ’Ecole, — Mestre, de
4« spéciale.
P r i x offerts par la Chambre de Commerce.
— 100 fr., à Pargue, de 3° spéciale ; 50 fr., à
Rochette, de 4’ électricité.
P r ix offerts pa r la Chambre syndicale des
Entrepreneurs du bâtiment. — Forgerons :
50 fr., à U rbain, de 2* in d u s trie lle A. — Ser­
ru rie rs : 50 fr., à Corre, de l r« in d u s trie lle A.
COURS P R O F E S S IO N N E L S
— A justeurs : 50 fr., à G a illa rd , de 2e in d u s­
A pprentis étrangers à l ’Ecole et y ava n t
trie lle B. — E lectriciens : 50 fr., à M o lin ie r,
de 3« électricité. — M enuisiers : 50 fr., à subi avec succès les épreuves d u c e rtific a t
M eunier, de 3« norm ale. — Ebénistes : 50 fr., d ’ap titude professionnelle
à Rossi Roger, de 2» in d u s trie lle B. — Sculp­
Ajusteurs : M illiro u x , Paris, Désusclade,
teurs ; 50 fr., à Chaput, de 3e année norm ale. Fahre, Agay, Debas, C o urio l, O ttavi, L a ja rP r ix offert pa r la Maison M ichelin. — 100 rije , Albos, Jammes.
fr., à C h arlin, de 3’ é le ctricité ; 50 fr.'; à Rod­
Tourneurs sur m étau x : Bonnet, Carroué,
dier. de 3* norm ale.
C halafie, C hevalier, Cottier, Mazat, M osnier,
P r ix offert p a r M. Bernard. — 50 fr ., à Sauret, Vernet, Lafond, Collange, V erdier.
Dionnet,de 2« in d u s trie lle B.
Poseurs-installateurs d'électricité ; de GuerP r ix offert pa r M. Boyer. — 25 fr., à Cham­ n y
pagnol, de 3« norm ale.
Chaudronniers : P ichot, La val, Chapelle,
P r ix offert par la Fédération de* Combat­ Rabanel, Cohendy, Dam our.
tants et : :u lile s . — 25 fr., à B ru n a t, de 4e
Menuisiers : M ottet, Sancelme, Misson,
électricité.
P r ix offert pa r M. Q ueyriaux, li braire. — Bion
Aides comptables : B ellot, Dupic, Gros, MoUn livre, â Fredet, de 2« in d u s trie lle A.
P r ix offert p a r M . Pracos, — Un liv re , A range, O urceyre, G oigoux, Panem.
Coiffeurs : Pinson, Darquet, Déchaud, Jean.
Joly. de 3* norm ale.
Typographes : Bornât, C harguellon, GimP r ix offert par la Maison Ceofiroy-Delore.
— Une règle à calcul, à Kuss, de 3® électricité. bert, Grassac, Layus.
P r i x offert par M. Virlogeux, de Worn, —
Conducteur d 'im p rim e rie : Staub.
Un liv re , à Z afran , de 2* in d u s trie lle B.
P r ix offerts pa r la Chambre syndicale des
P r ix offerts pa r la Maison Descours et Ca- entrepreneurs de Clermont : 100 fr. ù Bion,
baud : Beuzit, de l r‘ in d u s trie lle C ; G ourdy, m enuisier, de la M aison B ernard ; 50 fr. à
ue 3® norm ale.
Conchon, plornbier-zingueup, de la M aison
P rix offert par la Maison Amiot. : Rideaux, Doucet-Gay ; 50 fr. à G riîfa u d Antoine, cours
de 2* in d u s trie lle A ; Rossi P aul, de 2® In ­ de devis du bâtim ent ; 50 fr. à de L a tour
d u s trie lle B ; G a u tn r, de 2® in d u s trie lle A.
Geoffroy, cours de p lâtrerie -pe intu re, employé
P r i x offerts par l a Maison Baud : Jalade, de à la Société d ’Assainissement ; 20 fr. à Far3® norm ale ; Chézet, de 3® norm ale ; Nadal, de geix, a p p re n ti s e rru rie r ; 20 fr. à Court, ap­
3* électricité ; V an nier, de 3* électricité ; Pan­ p re n ti se rru rie r ; 10 fr. à Laverie, a p p re n ti
se rru rie r.
tel, de 3® électricité.
P r i x offert par la Maison Ducout ; S anvoi­
P r i x offert par M. Prunevieille, entrepre­
sin, de 3® électricité.
neur : 50 fr. à M eunier, adm is au C.A.P., me­
P r ix offert par l'Ele ctro-Industrie : Guérin, nuiserie.
de 3® électricité.
P r ix offert par M. Bernard, entrepreneur :
P r ix offerts p a r l ’Ecole (ils seront rem is 50 fr. à Cham pagnol, adm is a u C.A.P., me­
a u x élèves après l ’exposition) : Guyot, Rod­ nuiserie.
dier, Recoque, M ontret, Delecroix. Lom bardy,
P r i x offerts p a r la Maison Delaunay : 1 l i ­
Roux, tous de 3® norm ale ; M andonnet, de 2® vre â Bion, de la M aison B ernard ; 1* liv re a
in d u s trie lle A ; C uriel, de l r® in d u strie lle C ; de La tour, de la Société d ’Assainissement.
Thévenet, de l r* in d u s trie lle C ; Dupic, de 3’
norm ale.
Concours 1933 (ap pre ntis typographes)
P rix offert pa r M. Gauthter : 50 fr. & Gau­
3® A. — Grassac P aul, 100 fr.; G im bert P ie r­
d in de 3® norm ale.
re, 80 fr.; Charguelon Jean, 70 fr.; B orn ât L u ­
P r ix offert pa r M. Favier : 25 fr., à Cham­ cien, 60 fr.; Layus Guy, 50 fr. (A tous un
pagnol de 3® norm ale ; 25 fr. à C hartoire de B u lle tin des M a itre s-lm p rim e u rs).
1e® in d u strie lle A.
2® A. — Beldon Jean, 70 fr .; Deubelbeiss
P r ix offert par M. Domas .- Un liv re à Rou­ Charles, 60 fr.; Deubelbeiss Robert, 50 fr.;
ganne de 1*® in d u s trie lle A.
G allioz G abriel, 45 fr.; Cessât Raym ond, 35 fr.;
P r ix offerts par la Maison Vve Bernatd : M ontbobier André, 30 fr. (A tous un B u lle tin
1 porte-foret, à C o uturier de 1« in d u strie lle A; des M aitre s-lm p rim e u rs).
l r® A. — M ercier Marcel, 35 fr.; M aucourt
1 pied à coulisse, a F erdina nd de l r® indus-’
Robert, 25 fr.; B ernard Jean, 20 fr.; B allet
trie lle B.
D aniel, 20 fr.; P oum arat M aurice, 10 fr. (A
I I I . — P R IX DE M E R ITE
tous un B u lle tin des Cours professionnels).
Troisième spéciale. — Pargue, M ativet, Do­
C .A P . : Grassac P aul, G im bert Pierre,
re l, Thom as.
Charguelon Jean, B orn ât Lucien, Layus Guy.
Adm ission en 4' année spéciale. — Pargue,
E xposition générale du T ra v a il : Dumas,
M ative t, Dorel, Thomas, Legros, M erquiol, Chabaud, B randely, S oleil, Sergeat, Georget
Oéchamp, Lalue, Brat. Arnaud.
et Bouhin.
Troisième électricité. — C h arlin, Kuss, Gué­
Les d iffé re n ts tra v a u x exécutés ont été en­
rin . S anvoisin. M o lin ie r, Nadal.
voyés à l ’E xposition de Paris. Tous sont
Adm ission en 4« année électricité : C harlin, d anciens élèves des cours professionnels
Les p rix sont offerts p a r les Im p rim e rie s
Kuss, G uérin, Sanvoisin. M o lin ie r, Nadal,
V a n n ie r, Chalamet. Mellé. Pantai, Capeille, G. M ontlouis, la Fédération du L iv re et ie
S
yndicat
des typographes.
Chol.
(A pp ren tis conducteurs)
Troisième normale. — M eunier, Gaudin,
Joly. Recoque. Dupic, Chatard. Delacroix.
3® A. - - Staub Louis, 70 fr. et B u lle tin des
Cham pagnol, G iraudet, Jalade. Gourdy, Lom ­ M aitres-ïm nrim eurs.
b a rd y. Chaput. Mage, B attut, Chézet, Rod­
2* A. — Bongheat M ichel, 70 fr.; Vergne
d ie r. Guyot. M ontret. M a ille t, R aynal.
Louis, 50 fr. et B u lle tin des M aîtres-Im pri*
Deuxième industrielle A. — Bideaux. Che­ meurs,
l r® A. — Bennegent M arcel, 20 fr .; Duboism in â t, Charles. Fredet. Deffarge, Ferrtères,
set Jean. 30 fr . et B u lle tin des Cours profes­
Baubel. Lénat, Juvanon. Gagnon. Bouterige.
sionnels.
*
Deuxième in du strielle B. — Z afran. Désir,
C.A.P. —■ Staub Louis.
Fourn ie r. G aillard . Dionnet, Fraisse. Bessière.
P r ix offert par M. Lucien Malsonier, cor­
Adm ission en 3® spéciale, 3® électricité , 3® recteur aux Im prim eries Mont-Louis, à l ’annorm ale :
p re n ti classé l®r en orthographe ; 20 f r a
2® In d u strie lle A • B ideaux. Chem inât. Char­ M ercier Marcel.
les. Fredet, Deffarge. Ferrières, Baubél, Lénat
P r i x offerts par la Maison Delaunay : Des
Juvenon. Gagnon.
livre s A Grassac, G im bert, Beldon, Staub.
2® Ind ustrielle B : Z afran . Désir. F ourn ie r.
Admission en 3® année norm ale :
2® In d ustrielle A : Bouterige, Huguet, So- Ecole pratique d’industrie hôtelière
le tlla n t, Urbain. F oil, Roussel, iMandopnet, !
de Garçons de Clermont*Ferrand
Tate, Combe. Fraisse. C hem inai. G authier.
2® In d ustrielle B : G a illa rd . Dionnet, Frato«e. a u s tè re . Massey, T u rta u d . Thompson,
Année scolaire 1932*1933
Rosst Paul, Pueyo. Rosst Roger, G uignabert,
RESULTATS AUX EXAMENS
D u p u ylo lie r.
Combre.
Bertrand. M o u lin !?
t u t '1
Leclanché, Bion, P arron, Ravel, BatBrevet d ’enseignement hôtelier
f
marche du 30
en approviehaiis^mes
—
RESU LTATS A U X EXAMENS
A dm issio n à l ’Ecole nationale des Arts et
Métiers de Cluny. —
Exam en d é fin itif de
1932 : Domas, M alterre, M ative t.
Concours de 1933. — A d m is s ib ilité a u x
épreuves orales : A n g la rd, Bec, Claustre, Du­
puis, M ergoil, Mestre, P radat, Robert.
Brevet d'enseignement in dustriel. — Sont
adm is p a r ordre de m érite : Pargue, Dorel,
G audin, M a tive t, C h a rlin , Chaput, Thomas,
Déchamp, Joly, Kuss, G uérin, S anvoisin. A r­
naud, V annier, M on tre t, M o lin ie r, Lalue, Jalade, Delecroix, Lo m ba rdy, G iraudet, Espéro n . G ourdy, Chatard, Nàdal, Dupic, Reco­
que, Cham pagnol. B attut, Legros, Chalam et,
\M age. M eunier, R oddier Chol, P autel, Duio u r , M erq uio l, B rat, M ellé, Roux, Hugon,
M a ille t. R aynal, Capeille, M alsonneuve, Chebance, Archer.
Examen de fin d'études de 4* électricité, —
D é fin itive m e n t adm is ; Rochette Jean, B ru n a t
Lo uis.
Concours des bourses nationales de l'Ensei­
gnement technique. — 3« série in d u s trie lle :
Arm iLhon, Beuzit, Boudot, Brasset, C hartoire,
Corre, Curabet, Em pis, G authier, G ratadelx,
'Labbe, Lagier, M artin roch e, tMas, Meurice,
Reverdy, Rouganne, Salias, V a u ze illts, Vernet.
4» série in d u s trie lle ; C hem inai, Combe,
,Tate.
Certificat d ’aptitude
professionnelle.
A justeurs : A rcher, Chebance, Delecroix, Gi­
raudet, G uyot, L o m ba rdy, M ontret, R aynal,
Roddier. Roux, Recoque, T urgo n, A rnaud,
Déchamp. Desmazeau, Dorel, Pargue, Tho­
mas.
T ourn eu rs s u r m étau x : Espéron, Dela-
Vauzeilles, Ferdinand, Chaasin, G authier,
Barbecot, Taussat, Labbe, B ertrand, T ix ie r.
1™ année Ualus trie Lie C. — Beuzit. Souchal,
C orny, C uriel, M artin roch e, Aubert, Bonnetot,
Vernet, Georges, Coudeyras, Thévenet, Labbeys. Sérange.
Adm ission en 2 -^ n n é e : •
l r* in d u strie lle A. — Arbon, Lagier, Rou­
ganne. MaS, Desgeorges, P lg no l, H autler,
Cohade, C hartoire, SaTlaô, F ayolle t, Bonjean.
Vergne, Bénéton, Brasset, Jouviort, C outurier,
Bellon, F afou rnou x, Corre, Reygondaud.
l r* in d u s trie lle B. — Curabet, Frare, Vau­
zeilles, Ferdinand, Chassin, G authier, Barbe­
cot, Taussat, Labbe, B ertrand, T ix ie r, Degeorge, M arret, Bonnet, Empis, V iva t, Reverdy,
Lapouge, M athieu, Verneret, ga lva n, B ourlet.
1™ In d u s trie lle C. — Beuzit, Souchal, Cor­
ny, Curie!, M a rtin ro ch e , Aubert, Bonnetot,
Vernet, Georges, Coudeyras, Thévenet, Labbeys, Sérange, G ratadeix, Delmas, V ln zlo ,
Bastide, Boudot.
Sont autorisés h s u b ir l ’ examen de passage
en octobre :
l " in d u s trie lle A, — M archand, V ie ille ,
Naudin, P rio u re t.
1« in d u s trie lle B. — Faucher, M o rln , Porte,
G ourdy. Callet, A rm iïh o n .
l r in d u s trie lle C. — Olzeski, Faucon, Ro­
gue, Bourgois, Pradon, Arnaud, Sabrio, Ca­
pelle.
'
i
n n h ? : ° F l5és 4 p a s â e r l ’è x a m e n d e p a s s a g e
enH octobre
2® in d u strie lle A : Mage. Rossignol, Duron,
Royannette. L *rcu ie .
*
2® In d u strie lle B : T alva rd. Veyre.
1 " année in dustrielle A. — Arbon, L a gier
] U e M P ^ d e g r ^ f r r e c e v r ä n U -e-m
d f p ï ô û ^ ssur
îfr
- -- diplôme
résentatlon d un certificat de stage satlsaisant :
Jou
Jouquey André-Louis. de Pomponne (S-etO.) ; Foubert Edmond-Raymond, de Viroflav
'S.-et-O.) ; Lacroix Jean-Marcef. de Seime
Un sang généreux donne
de l'énergie
Paris, 31 juillet.
P- année industrielle B. — Curabet, Frare,
Ecole pratique de Commerce
et d’industrie
de Garçons de Clermont-Ferrand
ine du gTouvportlve B r i­
et habileté
Ets d'ensem îtra ù o n a d i|lc... qm ou t
p u b lic q u i
prnfondeu?
) r ife » ia ü o a .
l'o rta i, m oevo lu tions
\<t perram et
Mlle Nadal,
le ib b tllh C M
Innei dans ln
U de la sec-
BULLETIN FINANCIER
Rouganne. Mas, Desgeorges, P ig n o l, H a utle r.
Cohade, C n artoire, Salias, F ayolle t. Bonjean,
Vergne.
ÉCOLE AMÊDÊE-GASQUET
|iq ue. — L a
rt le profe»vèrent cette
linent le pro*
L'AVENIR DU PLATEAU REMTDAf
AU VELODROME MUNICIPAL
Tennis
SAMEDI (NOCTURNE) ET DIMANCHE
EN ATTENDANT LES ROUTIERS
LA COUPE DAVIS
a pris le cbemin de l’Angleterre
Courses derrière grosses motos
avec Grassin, Maréchal, Raynaud
P aris, 31 J u ille t.
Les jo ue urs a n g la is A ustin , P erry. H.G.N.
Lee, Hughes et le u r cap itaine M. Roper B ar­
rett, a in s i que Mme A ustin, qu i vie nn ent de
rem p orter la Coupe Davis, o n t regagné Lon­
dres à m id i, à la gaTe d u Nord, p a r la Flèche
d ü r . Une cin qu anta ine de personnes de la
P o u r encadrer dignem ent les arrivées du
14® C irc u it des V ille s d ’Eaux, des courses cy­
clistes d e rriè re grosses m otos sero nt o rg a n i­
sées au Vélodrome. Ceux q u i connaissent
l ’a ttra it do ces courses, le succès p o p u la ire
q u ’elles rem p o rte n t dans no tre v ille , seront
satisfaits, car ils n ’ig n o re n t pas que les vas­
tes dim ensions de la piste m u n icip a le , sa ra­
pidité , 6a sécurité se prêtent de façon, par­
fa ite à ce genre de com pétition.
F a u t-il encore rap pe ler que tro is de nos
plus grands cham pions de la spécialité ; Toto
Grassin, Maréclkal, Raynaud, seront aux p ri­
ses sam edi en nocturne, et le lendem ain d i­
manche après-nvdi. N’ou blion s pas que Toto
G rassin est to u jo u rs no tre plus populaire
stayer. I l est «n grande form e actuellem ent ;
sa deuxièm e place dans la fin a le d u cham ­
p io n n a t de France, après une belle lu tte avec
Lacquehay et ses dernières courses le prou­
vent.
Q uant h M aréchal, in con nu à Clerm ont, sa
rép utatio n est venue Juspoo nous. R o utie r de
grande classe, le robuste M aréchal est devenu
u n fam eux stayer. Et que d ire de Raynaud,
sym pathiquem ent connu chez nous ? Le vain­
queur du G rand P rix de la Presse Clerm ontoise a su nous donner un é ch a n tillo n de sa
valeu r, qui est grande, a in s i que de sa vo­
lonté de vaincre et de son dé sir de bien faire .
Par a ille u rs , d ’autres courses réservées aux
fines pédales régionales, nous pe rm ettro nt
d ’assister a u x débuts de de ux Vichyssois dont
on d it grand bien.
A bie n tô t d ’autres détails.
i I 5Ä ' #
S
Aulaye (Dordogne) ; FaverJon A lbert-P ierreAndré, de M on tb riso n (Loire) ; B au dry Jacues-Raphaël, de P a ris ; Vacher Louis, de
lerm ont-F d ; Dupré O liv ie r, de Tours.
P R IX SPECIAUX
P r ix offert par M. le sous-secrétaire d ’Etat
à V Education nationale : Jouquey André.
Médaille d'argent offerte par les Anciens
élèves de l ’Ecole professionnelle : Jouquey
André.
P r ix offert pa r la Chambre de Commerce
de Çlermont-Feirand-lssoire ; 50 f r à Fou­
bert Edmond.
•
P r ix offert par la Maison M ich e lin ; 60 fr.
à L a cro ix Jean.
*
P r ix offert pa r la Fédération des hôteliers,
restaurateurs et limonadiers de Clermont-Fd•
Delesalle Léon-Jean-Clément.
P r i x offerts par le Syndicat des hôteliers
restaurateurs et limonadiers de Clermont-Fd;
T h u rlo n Jean-Maurice. co u rvo isle r Jean.
Deuxième année hôtelière. — P rix de mé­
rite ; T h u rio n Jean-Maurice ; C ourvoisler
Jean, Leniaud Lucien.
Sont admis en s* année ; T h u rio n , Leniaud.
C ourvoisler, Reynet. M onterevm ard. Destruei
Robert, Queno, Destruei Roger.
Première année hôtelière. — P rix de mé­
rite : Delesalle Léon. R anvier René. Débor­
dés Raym ond.
Sonl admis en f® année : Deiesalle, Ran­
v ie r. Débordas. Decombas. M arola. Richard.
S oignai. Roussel, Beau, P laneix. Gutierrez,
Juin, Chassang.
Sont admis après examen en octobre : Pic,
B run, Randoin, Rousseau, Coinbronde.
Clermont-Ferrand, et toutes pharmacies.
L A P IN S
P o u d ra
A U S T R A L IA *
TSaIa^IbS«OséésAi FA^&éfl
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CLERMONT-Fd? Plmbart, herb., pl. Marché ait
Poisson ; Gendre, gr., pl. St-Plerre ; Gaude.
Lachal, Acassat, Mosnier. Audlgier, gr. —
MONTFFRRAND: Bornot, herb., Perronny, gr*
JSSÜ1RE : Gall&nd. gr., Luguet, drog. RIOM»
Boutonnet! gr. AIGUEPERSE
Gendre, gr.
BILLÜM: Soulier, gr. BRIOUDE Berthult gr.
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2
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Le G rand P rix Caserta, organisé p a r lé
C.V. Vichyssois, a été favorisé p a r u n temps
superbe. Cette épreuve fu t disputée avec beau­
coup d ’acharnem ent p a r 30 coureurs q u i p r i­
ren t le départ â 14 h. 30, au pied de :a côte
Saint-A ntoine, à Cusset.
Dès le sig na l, les concurrents fir e n t preuve
dA beaucoup de courage et attaq uère nt à toute
a llu re la cote de Genat. A re m om ent, quel­
ques hommes sont lâchés : Bonnetot, M in a rd ,
Rpy et Godi.net. A va n t Lapalisse, plusieurs
groupes se fo rm e n t et Bœuf et Da Ronch ont
en viro n 300 m ètres d ’avance. D e rrière eux, la
chasse est organisée et à Lapalisse, ils n ’oftt
plus que 60 mètres.
Au Mayet-de-Montagne, d ix hommes passent
en tête. Da Ronch crève a in si que T h e u il, et
on apprend que Cagnal abandonne. La des­
cente d ’A rranes favorise les plus audacieux
q u i au bout de quelque temps ralentissent,
vo u la n t se réserver p o u r la fin du parcours.
D ix hommes resteront en tète ju s q u ’à l ’a rri­
vée, q u i donne les résu ltats suivan ts :
1. Defond (Roanne), en 2 h. 36’ ; 2. Grespan,
à une roue ; 3. Uecorps, à une longueur, ; 4.
Bernard, 5. Goutay, 6 . Bœuf, 7. André M arius,
8 . ex æquo, Quéron, Chatelas, Senicq, 11.
Ebeaupin, â 25” ; 12. Rochet,
----------- +■♦+, - p. .
A in s i que nous l ’avons d é jà annoncé, c ’est
dim anche prochain, 6 août, que la Boule A m i­
cale de Cham alières fera dispu te r, dans le
parc de l ’Hôtel de V ille , son concoure régio­
n a l annuel de pu pille s.
Ce concours, placé sous 1« patronage de la
m u n ic ip a lité do Chamalières, d o it o b te n ir un
p le in succès et, d ’après les échos q u i nous
pa rvie n n e n t s u r la lo rm e do quelques jeunes
quadrettes, cette épreuve nous réserve quel­
ques parties âprem ent disputées. Nous in v i­
tons les am ateurs boulistes à assister en nom ­
bre à ce concours, a fin d ’encourager les je u ­
nes espoirs.
Le règlem ent d u concours sera le s u iv a n t :
I l se jo u e ra en tro is pa rties pa r tira g e au
so rt ; le classement sera éta bli d ’après le
nom bre de points ; les parties gagnées dépar­
tageront* les ex æquo.
Les parties seront prim ées 1 fra n c le p o in t
au gagnant et au perda nt de chaque partie.
P o u r le classement fin a l, la quadrette vic­
torieuse recevra, outre le superbe challenge
(détenu depuis l ’an d e rn ie r p a r la quadrette
Pages, de la Boule M ich e lin ), la somme de
40 francs, au sous-cham pfon 20 fr . et au tr o i­
sième 10 fr.
A joutons q u ’il sera offe rt, dans l ’après-m idi,
u n e*petite c o lla tio n à chaque jo u e u r p a rtic i­
pant à ce concours.
Le tirag e au sort au ra lie u le dim anche
6 août, à 14 heures, dans le parc de l ’Hôtel
de V ille . Les parties com m enceront aussitôt.
Le p rix de l ’in s c rip tio n est fixé à h u it francs
p a r quadrette ; les engagements, avec le u r
m ontant, sont reçus p a r M. Brunei, président,
3, rue des Farges, à Chamalières. Télépho­
ne 20. Les in scrip tio n s seront closes le sam edi
5 août, à 18 heures.
Concours de p o in t et de t jr . — Ces concours,
dotés de nom breux et intéressants lots en na­
ture, sont ouverts à tous les am qteurs de
boules.
La recette in té g ra le devant être versée à la
Caisse des Colonies de vacances des enfants
des Ecoles de Cham alières, il est perm is d ’es­
pérer que no m bre ux seront les jo ue urs qui
to u t en aya n t la po ssib ilité d’em p orter u n Joli
lo t, v ie n d ro n t co n trib u e r pa r le u r obole au dé­
veloppem ent d ’ une œ uvre des plus intéres­
santes.
Les cibles fo n ctio n n e ro n t les samedi 5 août,
de 14 heures à 20 heures, et dim anche 6 août,
de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 19
heures. La série de 4 boules, 1 franc.
M ariage, — C’est avec p la is ir que nous ap­
prenons le m ariage de M. Edouard F urio ,
mem bre a c tif de la Boule Am icale de Chama­
lières, avec M lle Gustine Gubeau.
Nous présentons aux Jeunes époux nos in e il
leurs vœ ux de bonheur.
« lu
ÂgÉ
Le Roannais Defond enlève
l’épreuve
CONCOURS
de la Boule Amicale de Chamalières
r ^ jjp f
i l sag
mmmm
Le Grand Prix Caserta à Vichy
Boulisme
^
, -"» ’ -M m .« '
D is qua la sang s'appauvrit, le coaragé
et Ja force nous abandonnent Pour oonserver un sang généreux, nous vous con­
seillons de prendre du délicieux vin forti­
fiant que l'on fa it soi-même avec un flacon
de Quintonine. A péritif p ar le quinquina,
digestif par la coca, reconstituant par la
La liq u id a tio n s’est fa ite fa c ile m e n t. Le
ta u x de l ’a rg e n t é ta it de 1 1/8 au lie u de
1 1/4, ce q u i indiq u e bien que la s itu a tio n
de n o tre place est to u jo u rs très sa4ne. Des
déports o n t été cotés sur q u a tre valeurs :
2 fra n c s sur le P .-L .-M ., 0,50 sur la S a n ta Fé, 1 fr a n c su r la D is trib u tio n et 2 fra n cs
sur la Young. S ur tro is valeurs, on a coté
le d e m i-ta u x . Dans son ensemble, la B o u r­
se a été encore plus calm e que la semaine
dernière. Toutefois, au m om e nt de la clô ­
tu re , des demandes discrètes o n t amené
u n léger m ouvem ent de recul. L a Banque
de Paris, p a r exemple, q u i p e n d a n t to u te
la séance a coté 1.650 fr ., a te rm in é au
d e rn ie r couns à 1.675. L a Suez, q u i a v a it
o u ve rt d 19.140, te rm in e lu i aussi en haus­
se à 19.400. Les M ines d ’o r dans l ’ensemble
se sont bien tenues et les Caoutchoucs o n t
re p ris après a vo ir débuté dans l ’h é sita tio n .
P rincip ales flu c tu a tio n s des cours à te r­
me ; 4 1/2 %, 83, inchangé ; 3 %, 66JS5—
1,15 ; Banque de France, 12.625—115 ; B a n ­
que de P aris, 1.675+18 ; C ré d it Lyonnais,
2.270—20 ; E le c tric ité de Paris, 1.255—17 ;
C ourrières, 371—3 ; D is trib u tio n , 2.670—
25 ; Cie Gle d ’E le c tric ité , 2.235, inchangé ;
N ord et Est, 613+2 ; C itroën , 550—1 ; A ir
Liquide, 809—19 ; K u h lm a n n , 658—1 ; Péchiney, 1.253—5 ; Azote, 705— 15 ; M é tro ­
p o lita in , 1.326—2 ; C anadian, 311, in c h a n ­
gé ; Suez, 19.400 + 280 ; R io T in to , 1.697+8;
V ie ille M ontagne, 1.640—4 ; P énarroya,
327—2 ; R oyal D u tch , 1.754—6 ; Padang,
375+6 ; C row n M ines, 800+5 ; Geduld,
571+1 ; De Beers, 542 + 4.
colonie anglaise à P aris, auxquelles s ’étaient
mêlés de nom breux s p o rtifs français, ont ac­
compagné à la gare et fé lic ité une de rnière
fois les jo ue urs brita nn iqu es. Ces de rn ie rs
étaient po rte urs de la célèbre « D avis Cup •,
précieuse.ntfcnt emballée dans sa caisse spé­
ciale.
TOURNOI DU STADE CLERMONTOI 8
Résultats du p re m ie r to u r
S im p let Dames. — Mme Beaudonnat bat
M lle H o u rta l ; Mme Coussedière bat M ile Astie r ; M lle F le u ry bat Mme Dadet ; M lle Dnura t bat M lle Bussière ; M lle S andeyron bat
M lle G iu lia n i.
Simples Messieurs. — Besson bat B ig a y ;
Coussedière bat La farge ; Dat bat Bellon R.;
G iroud bat P o rte fa ix ; S idou bat G om inon ;
F le u ry J. bat O rlia c ; M angem atin bat F le u ry
R.; Beaudonnat bat T a lla rd ' ; Neige bat Laborie ; T ronchet bat C h a illo u x ; N o ir bat Dadet.
Les rencontres d u deuxièm e to u r a u ro n t
lie u sam edi so ir, à p a r tir d-e dix-sept heures,
su r les courts d u Stade M u n icip a l. Les Joueurs
et joueuses q u a lifié s sont priés de s’y tro u v e r
à l'h e u re exacte.
;
-
D
.VALEURS
Cours
Cours
précéd. du jour
953 . .
-----------
STADE OLERM0NTOI8. — Le Stade Clermontois rappelle 4 tous le» joueurs incorita
que les entraînements ont lieu le mercredi, d#
18 à 20 heures, et le dimanche matin, de 9 A
11 heures.
Les jeunes gens désirant pratiquer le rugby
peuvent se faire inscrire au cours des séances.
P .-L.-M .
Profitez de vos vacances
pour visiter la Côte d'Azur
Quelle plue belle excursion pouvez-voue
faire que
qui de parcourir, en autocar P.-L.-M..
devant la mer et parmi les fleurs, ce mer
vellleux ruban de calanques, de rochers de
plages et de forêts qui se déroule, tout au
long de la Côte, entre Marseille et Nie#. Il
n'est pas de meilleur moyen pour admirer
la Riviera dan» toute sa splendeur.
Les voitures partent tous les matins de la
gare de Marseille-Saint-Charles. Ellea s’arré*
tent, avant de quitter la ville, à l ’Agence P.L.-M.. 7. boulevard Garibaldi, et vous dépo­
sent. après le déjeuner au Lavandou. & Nice,
le soir même. Dans Je sens Nice-MarselJle,
le départ a lieu, le matin, à la gare de Nice,
ou à l ’Agence P.-L.-M., 13. place Masséne.
Le prix du billet de Nice à Marseille ou de
Marseille à Nice est de 85 fr. Des billets d’aller
et retour, valable» huit Jour», sont délivré»
au prix de 150 fr.
Pour des indications plus détaillée», veuil­
lez vous renseigner auprès des gares.
0
3
0
0
12
12
26
23
3
S
3
6
848 b
848 S
848 8
14
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14 7
10 8
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70
S Minima r.im rr.m r.
pm V Maxima
29 2
10 8
S ( Minuit
86
85
8»
2 \ « h. du matin........
E ) Midi
M ld •••••’t OlOf'SOI'fl
du soir
.
I ( 6 h.
97
35
62
OS
87
Pluie ou neige (de midi
m i d i ) eee»»»a»»»âj»»s»s
Ooem
Sud
tr. faible
BO U R SE D E PA R IS d u 31 Ju illet 1 9 3 3
Dans sa réunion du 23 juillet le Comité de
TU.R.H.A. a fixé comme suit le calendrier de
FONDS D 'E T A T
La Division d’honneur. Il est entendu que la
67
rencontre se joue sur le terrain du premier
l^ p w M tw L ..
nommé ;
3 % am ort........
POULE A
4 % 1917........
4 % 1918........
26 novembre. — Sanfloraine-E.S. MarveJols.
10/ 60
5 % 1920 (ara.i.
10 décembre. — E.S. Marvejols-E.S. Allanche.
4 1 /2 % 32. S.A.
31 décembre. — E.S. Allanche-Sanfloraine.
11 /2 % 32. S.B.
21 janvier. — E.S. Allanche-E.S. MarveJols,
102 30
4 février. — Sanfloraine-E.S. Allanche.
» % 1925 en livre:
18 février. — E.S. Marvejols-Sanfloraine,
Son Trtîor6%2<
—
7 % 21
POULE B
DM. Ut. 22-32..
26 novembre. — Géraldienne-E.S. St-Eugène.
Cils,
aul
1929..
10 décembre. - - C.S. Arpajon-E.S. St-Eugène.
Crédit National 1C
31 décembre. — C.S. Arpajon-Géraldienne.
—
20
21 janvier. — E.S. St-Eugène-C.S. Arpajon,
! National 21 (bars;
11 f é v r i e r . E . S . St-Eugène-Géraldienne.
National nouveau.. 523 50
18 février. — Géraldienne-C.S. Arpajon.
— Janvier 2c
POULE C
—
Juin
23
—
Janvier 24
26 novembre, — J. Cahors-Alglons de Brlve.
[ Algérie 4 % I93C
10 décembre. — Brive-Tulle.
Niroc 4 % 1914
31 décembre. — Tulle-Cahors.
flirte 8 % 1911
21 janvier. — Tulle-Brive.
4 février. — Cahors-Tulle.
Inlo-ChlNiStf 1113
18 février. — Brive-Cahors.
Italien...............
Eitiiiiun . . . . . .
Parmi les changements 4 «lgnaler il faut
41
41 26
Portugais............
noter l ’ascension d'Allanche et de Marvejols
Jiptn 1905........
en Division d’honneur dans la Poule A. Dans
— 1910........
la Poule C., Figeac, sur sa demande, des­
cend en Promotion.
Ruatt 1916.......
6 30
6 35
— Consolidé..
Pour garder comme l’an passé l ’intérêt
« 5 ..
qu’offrent demi-finales et finale, force a été
IrésH 1699 (inc.) J?3
304
,
.
3^2
.,
— 1910 —
avec l ’inconvénient de 3 poules, de qualifier
291 . ,
29' ..
les premiers de la poule A et B et les deux
1911 —
1*t> . .
premiers de la poule C. Un matçh sur ter­
Chine 13 rétrg.. 1382
743
735
rain neutre pour qualifier lo premier et le
— 1825........
4 16
second après les éliminatoires des poules A
Suif ni 1910 est
f *•
180
..
176
et B aura lieu le 25 février.
Roumain 1922...
39
26
32
26
Les demi-finales se joueront le 11 mars op­
Serbs M895........
posant le premier des poules A et B contre
150
- - 1908........ 149 . .
le second de la poule C et le deuxième des
148 . .
— 1909........ 136 . .
poules A et B contre le premier de la poule C
31 . .
31
.
.
— 1913........
La finale aura lieu le 25 mars. Ces derniè^ I Turc unifié..........
24 75
24 60
res rencontres se jouent sur terrain neutre.
30 70
31 20
— 1914..........
Le calendrier de la Division de Promotion
66 70
Fgypil uni!«....
qui groupera de son côté une douzaine d«
17 . .
81
Douants ottoman».
clubs sera établi ultérieurement.
P.T.T. 6 % 1928 476 50
CONVOCATIONS
VO(
6 h. du s o lr ..M «.#>
Vent (à m i d i ) » •»•eereea
Le Calendrier de l’U. R. H. A.
UN MATCH DE CLASSEMENT A L’A.S.M*
Un match de water-polo comptant pour le
classement de la Division d’Excellence, de­
vait avoir lieu samedi prochain, à la piscine
de l ’A.S.M., entre le Swlmming-Club de Paris
et l’A.S.M.
La F.F.N.S. nous communique h, l ’instant le
forfait des Parisiens. D^ ce fait, la réunloq
projetée pour samedi n ’aura pas lieu,
.
Mt »
732
732
731
731
modéré
Soyez b/en assuré que si la Publicité
Baromètre 8 midi (nlv, de la prier) ■765 * / * é
n’était pas réellement efficace, son vo­
T EM PS PROBABLE
lume diminuerait. Son augmentation
pour le mardi l®r août
toujours croissante est donc bien la
Un anticyclone »'étend sur nos réglons (787
preuve des services qu’elle rend et des sur le Golfe de Gascogne). Les pressions sont
j basse» en Ecosse (746).
avantages quelle assure.
» Temps doux, ciel nuageux, quelques ondées.
Association
W ater-Polo
U
20 juillet, abords place Gaillard, SOMME
IM P O R T A N T E pour paye ouvriers P .T .T .
P rière rapporter M. B A R R IER E , chef
d ’équipe, 72, avenue d’Aubière, qui est
responsable.. — Récompensa.
------------
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Ville de Parle
Ville de Paris 1871
—
— 1875
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— 1905
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V: deParis SX 1910
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— 1923
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Crédit Babiller...
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Crédit Lyonnais... 2290 . .
Cempteir H. »Esc. 1125 . .
Crédit FMCier. . 49*0 . .
Société (énéreie.. 1 1 0 0 . .
Banque de Paris.. 1667 . .
(anq. nat d’Egypte 2430 . .
618 . .
Bqu»4‘*ûom. in
Crédit Commercial 842 . .
langue Indo-Chine 3125
Crédit Fane. Egypt. 2435 . .
Cr.Ftne. Fr.-Canad 3265 . .
Bangui du Meilgui
2
M ••
tangue Ottomane. 470 . .
Lan» tank.......... • • • ••
Pente lone., act... «25 ..
B O U R SE
696
1326
4. t. T. A,........... 2100
W l % ...............
BW J % .........
Coats C ra n
précéd. do Jour
..1
775
1401
531
718
L-LJL lus. anc
— lus. neu«.
VALEURS
VALEURS notée* en Saneue 1
S ilice ................ 126 60 191 . . I
Esteeiitigue danois 2115
2015 . . 1
365 , .
378 , . 1
Padang............
Hutchinson........... 1950 . . 1980 „ 1
Koyal-Dutch........ 17690.. • ••• a I
216
21» . .
Shell..................
Grssnyt ordinaire.. • as • e aaa ae 1
H Tubiae privilégiée. 180 60 • aa a® 1
U. «. Ketanga prie. 2652 . . 2640 . . 1
—
—
cep. 2680 . . 2708 . . 1
486 . . |
Bines d’AIM........ 487 . .
— de Bruay... 241 . .
298 601
Vlellle-Btntagne.. . 1642 . . 1646 . . |
Tharsis................ 315 , ,
919 60 I
Tanganyika..........
68 601
M ..
Chartered.............
93
99 6 0 1
Crown-Blnis . . . .
798 . .
(00 . . 1
Oa Beers trd........ 541 . .
64 /
l u t Band............ 124 . .
127 6«
(oldfields............
293 60 297 |0
Hotchkiss e tc * ... 1323 . . 1817 . . 1
74 . ,
Huanchaci ..........
72 , . |
Jagsrslontain........ 123 50 1 2 » . I
■tiambique........
29 75
(0 , . |
4*1 . .
BandBiais.........
498 „ 1
Shansl................
33 25
39 . I
Transvaal land... 145 ..
145
Fin. Caoutchoucs,. 119 50 1 * 0 . 1
West Rand..........
»7 76
•6 26
■Ichtlin 1/6 part. 1326
1320 . . I
li.A N i/V i) I» (Actlor-'
722
Eet.................. 722
912
P.-UB... . . . . . . •00
e t t s t f e
..
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655
63 •
738
410
789
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362
179
366
433
789
124
4466'
829
956
* 95
637
63
1860
740
i 1Q •
343 ,
840
615
509 ,
1755
1735 .
642
646 .
1020
1042
I8 6 0 .
1850
1015 .
Energie du Littoral. 1010
1735 .
Pyrénéenne d énir. 1750
2235
Cf* G" »'Electricité. 2236
1260 „
Electricité de Ptris
2200
Chétlllon-Comment 2255
390 „
690 ,
Feurchambault. . .
108 „
Forges d’Alals___ 103 .
4b0 „
Aciéries de la Êer. 451 ,
1680 .,
Creuset.............. 1680 ,
54,
640 .
Jeumont.............
464
,
Trifileries du Hevrt
458 ..
1070
Fivea-Lille............ 1070 ,
2295 . .
Cherhtnneg. Tenldn
HouilléresHte-Loire
• • es
1350
OstricourL.......... I860
601
B e rie t.,..
900
2160
Ptntgihiud........... 2170
2700 . .
Bokte-sUHadid. . . 3 700
»697 . .
Rit-TInte.............. 1689
330
933
Sosnowlct........
646
644 . .
Sucrtrisi d'Egypte
1440 . .
Contrai Mining . , , 1442
96
97 . .
Wagons UtS........
175
Énergie Industrie«! 178
2996
2396
..
Signai» électriques
■(cheville............ 71S
710
Oenain 4 Aniln... 1281
1216 . .
Ciments françeis.. 2 0 6
2690 , .
(Midien Pacific.. 911
411
■entecatinl.......... 148
147 60
(» d u Nord et Est. 2630
2625
Lorraine d Eloctrie. *37
886
Havraise d'énergie 1420 ,
1405
Union » Electricité. m
927
Kuhlmann............ • • • e
b58
Sucrerie» S a y .... 2230 , 2 /2 6
Hydro-Elect Clrt.. »27 .
127
Péchlrey.. . . . . . . 1258 ,
1253
1vonneleo d it Eaux * 9 'a , 2924
305 .
Ounlep . . .
»06
• at état
M * » » p g g tp » t tt
« i ;;
531 . .
747 . .
805 . .
790 . .
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141
855
176
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124
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Orléans 3 % . . . .
Ouest inc.
B M 4 ^ ...;..
E W S % ..........
Als.-Lorrtint 8 % ,
•ud Frtnct • %.
tanta Fé 4 l / t . .
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285
315
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États-Unis..
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368 .
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Halée............ >34 I
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C 'A V C N 'O T ilt Ol I T E l l l
« C M T O A t.
MARDI 1« AOUT 1933
Bonne de Commerce de Paris
—
Cours de clôture du 31 juillet
ALCOOLS. — Calme. Courant, 655-6604555,
payés ; prochain, incoté ; septembre, incoté ;
octobre, incoté ; 3 d’octobre, incoté ; novem­
bre-décembre, incoté ; 3 de novembre, incoté.
HUILE DE LIN et COLZA. — Incotées.
BLES. — Tous incotes. Disponible, cote of­
ficielle, 119 ; base 76 kilos.
FARINES. — Sans affaires. Cote officielle,
incotée. Courant, incoté ; prochain, incoté ;
3 d'août, incoté ; 3 de septembre, incoté ;
3 d’octobre, 165, vendeur ; 3 de novembre,
incoté.
MAIS. — Tous Incoté. Cote officielle, 128.
AVOINES. — Ferme. Disponible, cote of­
ficielle, 55. Courant, 56-55,7o-56, payés ; pro­
chain, 57,75-58 ; 3 d’août, 60 payés ; 3 de
septembre, 62,25, payé ; 3 d’octobre, 64,25,
payé ; 3 d’octobre, 64,25, payé ; 3 de novem­
bre, 65,25-65, payés.
SEIGLES. — Tous incotés. Cote officielle, 78.
ORGES. — Tous incotés. Cote officielle, 80.
Hi
Vy
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Une Révolution dans l’Art d’Habiller
A n d ré
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N ’oubliez pas que le plancher est la partie du logis qui réclam e le
plus de soin et nécessite une grosse dépense physique, car les PAR­
QUETS cirés se salissent aussitôt faits et les TAPIS et CARPETTES
dem andent un entretien constant, très fatig an t et fort peu hygiénique.
Diminuez votre peine, réduisez les heures, parfois si précieuses, que
vous consacrez à ces trav au x pénibles en adoptant le COUVRE-PARQUET IDEAL, le seul résistan t à l ’hum idité et le m eilleur m arché
du monde.,
EXEM PLE : P o u r g a rn ir une pièce norm ale de
3" x 4", la dépense ne s’élèverait q u ’à 1 2 x 10 •
^
JL émmà
Agent général : M . D E S T E U Q U E
1 5 , R ut Ranoux, CLERMONT-FERRAND
fr«
BON
N° 1 5
L’album de tous les dessins est envoyé gratuitement à toute personne
qui adressera le bon ci-contre à l’adresse ci-dessus
nos 3.60 à 4 ; bourbonnaises, nivemaises,
3.70 à 4.10 : gasconnes 3.50 à 3,80 ; mères
usées 3 à 3.50.
PORCS. — Vente très calme en animaux
La Villette, 31 Juillet,
maigres et mauvaise en gras.
ALLURE GENERALE DU MARCHE
On cote au kilo vif : porcs maigres extra
GROS BETAIL. — Vente moins mauvaise, d’environ 100 kilos vifs 6,90 à 7.10 ; bons
«nais en raison de gros arrivages, seuls les maigres de pays 6.50 à 6.80 ; petite marchan­
«res bons sujets sont en reprise.
dise 6.30 à 6.60 ; cochons un peu épais de
l’Ouest et du Centre 6.10 à 6.50 ; porcs de
On cote à la livre nette :
de Corrèze, dd Limousin, du Midi
BŒUFS.- — Les bœufs blancs charollals. l’Aveyron,
(culs-noirs) 6.30 à 6.60.
Hivernais, bourbonnais, berrichons, ont vaiu
Coches 4.30 à 5 ; laitonnes 5 à 6.
en beaux châtrons extra allant jusqu’à 800
Porcelets d ’élevage 200 à 300 la pièce sui­
livres de viande nette 3.40 à 3.75 ; bons ani­ vant
grosseur et qualité.
maux de 800 à 1.200 livres 3.10 à 3.30 ; bœufs
ordinaires 2.80 à 3 fr,
Les Salers du Centre et bœufs rouges di­
ARRIVAGES PAIR DEPARTEMENTS
vers ont été faits en extra 2.60 à 3.10 ; en
durant la semaine :
bons bœufs 2.30 à 2.50 et en ordinaires 2 à
Le Puy-de-Dôme avait envoyé 100 moutons;
1.20.
le Cantal, 90 moutons ; la Haute-Loire, 630
Les bœufs du Midi se sont vendus de 2 à
moutons ; l’Ailier, 45 bœufs, 15 vaches, 200
1.80.
; l’Aveyron, 25 veaux, 520 mou­
VACHES. — Les génisses extra ont été moutons
; la Corrèze, 60 porcs ; la Lozère, 400
traitées en limousines ou blanches 3.30 à 3.90; tons
rouges extras 3 à 3.50 : génisses ordinaires de moutons.
Routes races 3 à 3.20.
C o u rs a p p r o x i m a t i f s c o n s t a t é s
En vaches, les jeunes ont changé de mains
Me 3.10 à 3.25 ; ordinaires 2,70 à 3 fr. ; mé­
p a r kilo « vif »
diocres 2.10 à 2.60 ; viande à saucisson 1 à
l re q- 2« q. 3« q. Ex.
1.75.
Bœufs
.........................
84 2 77 2 00 4 52
TAUREAUX. — Jeunes taureaux de ferme Vaches ......................... 33 84
2 62 1 95 4 92
extras, 2.30 a 2.50 ; ordinaires 2 à 2.20,
Veaux ............................ 5 46 4 33 3 41 6 20
VEAUX. — Les gros arrivages ont à nou­ Taureaux .................... « 3 00 2 40 2 00 3 47
veau rendu la vente mauvaise avec cours Moutons ...................... 7 25 4 87 3 43 7 85
très -faibles, notamment pour les animaux ex­ Porcs ............................ 6 80 6 20 4 80 7 10
tra.
ARRIVAGES. — 3.549 bœufs, 1.775 vaches,
On cote à la livre nette :
348 taureaux, 2.610 veaux, 13.531 moutons.
Les veaux tout à fait extra do 130 à 170 2.406 porcs.
livres de viande des meilleures provenances,
INVENDUS. — 375 bœufs, 260 vaches 40
ont valu par bandes de 4.40 à 4.90 et de 2.90 taureaux, 204 veaux, 260 moutons.
à 3.40 au détail. Veaux plus ordinaires des
bons rayons 4 a 4.30.
En veaux à robe blanche on a fait les
meilleurs de 3,70 à 4.10 et les morvandiaux
de 3.20 à 3.80.
Les veaux de service se sont vendus en
aveyronnais 3.20 à 3.«0 ; limousins 3.30 à 3.90;
Londres, 31 juillet.
auvergnats 2.40 à 2.80.
Oaoutchouo, Para fine Hard, 5 sh. 1/2.
MOUTONS. — Les agneaux ont eu une
Paris, 31 Juillet.
vente relativement facile, mais les autres
Suores. — Lourde. Courant, 226,50-227, payés;
animaux ont été placés avec lenteur,
prochain, 228-228.50, payés ; septembre, 223On cote à la livre nette î
223,50 ; 3 d’octobre, 211-212 ; 3 ae novembre,
Les agneaux extra faisant Jusqu’à 36 li­ 212,50, payé. — Cote officielle : 227 à 227.50.
vres de viande nette ont été traités en SouthLe Havre, 31 Juillet.
down 7.30 à 7.70 ; croisés, 7.10 à 7.60 ; DishGotons. — Calme. Ventes, 4.350 balles. Jan­
leys-mérinos, 6.20 à 6.70 ; bourbonnais, nlvier, 255 ; février, 256 ; mars, 257 ; avril 259 ;
yernais, berrichons 6 90 à 7.40,
En moutons rie ferme on a tenu les Dish- mai, 260 ; juin, 261 ; juillet, incoté ; août, 251 ;
leys-mèrinos 5.50 à 6.20 ; bourbonnais, niver- septembre, 252 ; octobre, 253 ; novembre 254 :
décembre, 254. Juillet (1934), 262.
nais 6.20 à 6.70 ; berrichons 6.20 à 6.60.
Les moutons auvergnats se sont établis de
Cafés. — A peine soutenue. Ventes, nulles
4.70 à 5.10 ; limousins 5.10 à 5.60 : bizets du sacs. Janvier, 124; février, 123,25; mars, 140
Plateau Central 4.80 à 5,30 ; lozérots 4.80 à avril, 138 ; mai, 137,25 ; juin, incoté ; juillet,
5.20 ; gascons 4.60 à 5 ; aveyronnais 4.60 à 126,75 ; août, 127,75 ; septembre, 127,50 ; oc5 ; Puv-de-Dôme 4.80 à 5.10.
tobva, 27.50 ; novembre, 127,50 ; décembre
En brebis on a vendu les Dlshleys-mérl- 124,75.
MARCHÉ AUX BESTIAUX
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Le client. — fi est bleu entendu, monsieur, que maintenant Je n’ai
plus d’essayage a fa're, ni pour ce complet ni pour des commandes
futures. Je pourrai donc à l ’avenir voua commander mes vêtements
par correspondance t
Le vendeur. — c est parfaitement exact puisque nous avons votre
moulage il vous suffira ft chaque nouvelle commande de nous pré­
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à fond. Uni
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L e p lu s jo li c h o ix d e
T O IL E S
C IR É E S
LES AUDITIONS DE T. S. F.
PROGRAMMES DU 1«' AOUT
RADIO -PARIS : 1,724 m . — 7 h. 45 : M usique en ­
registrée. — 12 h. : M usique en r eg istr é e . — 19 h.
10 : M usique e n r eg istr é e . — 20 h . j Opéra en re­
gistr é.
TOUR EIFFEL : 1.445,7 m . — 18 h , 45 : L e q u art
l ’h eu re d u th éâtre. — 19 h. s J o u rn a l parlé. —
19 h. 15 : La M étéo. — 19 h. 25 : L es a c tu a lité s. —
90 h. : Le M agazine. — 20 h. 20 : D ern iers com ­
m u n iq u és. — 20 h. 30 : R adio-concert.
PA R IS P .T .T . : 447 m . — 8 h. : R evu e d e la
presse. — 12 h . : R e la is de L yon. — 14 h. s Con­
cert. — 15 h. : L es g r a n d s fa its m u sica u x . — 18 h. :
L a c tu a lité scie n tifiq u e . — 18 h. 15 : R ad io-Jou rn al.
— 19 h. 45 : M usique e n r eg istr é e . — 20 h. 15 :
Cours d e p h otograp h ie. — 20 h, 23 i C oncert d e
solistes.
POSTE PA R IS IE N : 328.2 m . — 7 h. 10 : R éveil
en fan fare. — 8 h. 45 : Menu d e la m én agère. —
12 h. 10 ; E n registrem en t. — 12 h. 35 : D isques. —
t3 h. 5 s E n tr ’a.’te. — 13 h . 15 : E n registrem en ts.
— 4 h. : F in de l'ém ission . — 19 h. : E xtraits d e
Topaze. — 19 h. 45 : C hansons. — 20 h. : E x tr a its
de T an n h au ser. — 20 h. 15 : E n tr ’acte. — 20 h.
30 : C oncert. — 22 h. 30 : D ern ières In form ation s.
RA'DIO-TOULOUSE : 385,1 m , — 8 h. 15 s In for­
m ations. — 8 h. 20 : C hansonn ettes. — 8 h. 30 :
Les r efra in s d a n sa n ts. — 12 h. 13 : In form ation s.
— 12 h. 30 : M urtque d e dan se. — 12 h. 45 : Le
q u art d 'h eu re des a u d ite u r s de la région du SudOuest. — 13 h. : Le c a le n d r ie r d e s sp ectacles. —
13 h. 05 ; O pérettes. — 13 h. 15 : O rchestre sy m p h o ­
niq ue. — 13 h. 30 : M élodies. — 16 h. 45. 18 h. s
In form ation s. — 18 h, 03 : O rchestre. — 18 h. 15 :
A irs d ’opéras. — 18 h. 30 : O rchestre. — 18 h. 45 :
E xtraits d e film ?. — 19 h. : C auserie m éd icale. —
19 h. 15 : In form ation s. — 19 h. 23 : La Journée
tou lou sain e. — 19 h. 30 : M élodies. — 19 h. 45 .O rchestre sy m p h o n iq u e. — 20 h. : C oncert. —
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m u sic-h a ll. — 21 h. 30 : O rchestre v ie n n o is. —
22 h. .- Q uelques tan gos. — 22 h . 15 : In form ation s.
— 22 h. 30 : C oncert d e s a u d ite u r s m a ro ca in s. —
23 h. 15 : O péras-com iques. — 24 h, s S o ll.
ttes catégories. Henry JORRAND, commiss., Aubusson.
Tél. n° 177. Px de gros (sold.)
Ca qu’il faut entendre aujourd'hui
D e T.S.F. P r o g r a m m e e t d e L u m iè r e e t R a d io
12 h ., L yon-la D oua : C oncert v o cal e t Instru m en­
ta l. — 18 h. 30. L ille : D iction , par M. M onteau—.
— 19 h. 45, T alou se R ad io : O rchestre sym p h o n i­
que. — 20 h ., R ad io-P aris : R ig o le tto ; P oste P a­
risien : E x tr a its d e T an n h au ser. — 20 h. 30 : P a ­
r is P.T .T ., T ou lo u se-P y rén ées : C oncert d e s o lis ­
te s ; L ille : C oncert vocal ; B ord eau x-L afayette :
Le C ap itain e T ic ; T o u r. E iffel : Ooncert ch am p ê­
tre.
JOURNAL PARLE QUOTIDIEN PAR T.8.F.
DES AGRICULTEURS DE FRANCE
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Ma nièce est orgueilleuse au plus hau t de­ jeune fille ? Il n ’y a qu'ace circonstance
— Elle ne veut pas que Vous i’épousiez
gré ; vos soupçons l’au ro n t mise hors q u ’on doive révéler : celle d’un projet ac­ avec une arrière-pensée.
d'elle. Voilà sa fugue et sa Imtre enfin cepté par la famille et ratifié p ar l’inté­
— Elle a raison.
expliquées I
ressée. Ce n ’est pas le cas. J ’ai toujours
— Alors, que dois-je lui dire ?
Il avait donné ces détails brièvement, écarté de Gilberte cet homme indigne
— Voulez-vous me perm etre de lui por­
avec un a ir réel d’impatience. Il était visi­ d ’elle, et je vous affirm e que m a nièce l’a ter moi-mème m a réponse ?
— J ’aim erais mieux pas I Deux orgueil­
ble que la brouille des deux jeunes gens toujours repoussé avec h orreur. Enfin,
Par MAX D U VEUZIT
l’irrita it plus q u ’il ne voulait le laisser P laceraud est mort, et je ne vois pas du leux, comme vous l’êtes tous deux, ne peu­
■■
tout quel besoin vous aviez d ’évoquer ce vent que se heurter m aladroitem ent
paraître.
XV,
—- Mieux vaut que ce soit tout de suite que
Sans se 6 0 ucier de l’énervement de son nom auprès de votre fiancée.
•
4,plus tard.
Rodolphe eut un geste vague.
compagnon, de Fragon réfléchissait à ce
— Pardonnez-m oi d ’in sister ; m ais Je q u ’il venait d ’entendre. Il se rem ém orait,
— Mieux vaudrait que ce ne fût jam ais l
— Ici, les gens disent qu’elle devait l’é­
Voudrais connaître cette au tre cause ?
— Préférez-vous que je me retire ?
aussi ses paroles de la veille que Gilberte pouser l’an dernier, et certains da vos ser­
— Eh 1 bien, voilà l Ce jeune homme avait pu, en effet, interpréter dans le sens viteurs me prennent pour lui et me don­
Ainsi sèchement posée, la question vou­
a péri, sous ses yeux, dans u n accident indiqué p a r son tuteur.
lait presque une réponse affirmative.
nent soq nom.
Le comte eut la tentation de la donner. Il
de m ontagne...
— C’est tout à fait ridicule et, au lieu
— Ce n’est pas invraisem blable, constata
— 11 est m ort ? Interrom pit avidem ent le jeune homme à mi-voix.
d’en parler à Gilberte que vous injuriez se retint pourtant, la pensée de sa nièce ve­
Rodolphe.
Il re p rit la lettre de l’orpheline, et la d’un 6 0 upçon g ratu it — voyez sa lettre ! nant corriger ce que son impétuosité natu­
— Oui.
relut attentivem ent. Evidemment, tout ce — vous eussiez mieux fait de venir m’in­ relle réclamait.
- Il y a longtem ps î
Il se contenta de hausser les épaules et,
q u ’écrivait Gilberte s’expliquait norm ale­ terroger : entre hommes, on remet les
— Quelques mois.
ment. Un seuS point était en désaccord choses au point sans toutes ces exagéra­ bougonna, l’air moitié fâché, moitié indul­
tions féminines qui ne rim ent à rien I gent, il accorda :
— Ah I
avec la vérité.
Il ajo u ta :
*
— Faites comme il vous plaira, je m’en
Sa fiancée p a ra issa it croire qu’il était
De Fragon baissa la tête. En réalité, le
— vous disiez donc if
au courant de ses anciennes relations avec tuteur avait raison, ii avait été extrême­ lave les mains 1 Vous êtes assez grands
— Nous escaladions un coin de l’Ober- M. de P laceraud ; or jam ais, le comte ne m ent m aladroit en ces circonstances.
pour vous débrouiller, tous les deux, sans
land p ar des sentiers de chèvre très es­ lui avait parlé de celui-ci.
Ce fut la conscience d^ ses torts qui l’em­ que je m'en mêle.
carpés, et Gilberte é ta it à coté de PlaceIl lui en fit la rem arque et l'a u tre haussa pêcha de form uler de nouvelles questions.
ra u d lorsqu’il a plissé d ans l’abime. Elle les épaules.
XVI
Le vieax gentilhomme les prévint d’aiifut prise d ’u n e crise de nerfs, et je dus
— Pourquoi voue aurais-je parlé de cet leurs.... en lui m etiant presque le m a r­
Laissant M. de la Saponaire à Jumièges,
la faire tran sp o rter d an s un poste de se­ homme ? Il n ’y a jam ais eu de projet de
Rodolphe partit, à vingt-quatre heures de
cours où elle ee* restée deux jours. En m ariage entre m a nièce et lui I Dois-je aus­ ché à la m ain 1
— Vous avez vu que ma nièce était prê­ différence, p a r le même tra in que sa fian­
vous entendant le nom m er, e t je ne sais si vous parler de tous ceux qui ont sou­
cée avait pris la veille.
en quels term es I —■elle a u ra supposé que haité devenir le m ari de Gilberte ? Est-il te à vous rendre votre parole ?
.— J’ai vu, répondit laconiquement l’ofLe comte n ’avait pas essayé de le retenir
vous lui faisiez un crime de l'émotion, — dans les habitudes d'évoquer à un fiancé
jusqu’au soir,
naturelle pourtan t I — qu'elle eut alors. la liste des prétendants à la m ain d ’une fleler.
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— Arrangez-vous tous deux, lui avait-il
dit, en lui serrant les mains, au départ. Ma
nièce agit comme une petite sotte ; soyez
raisonnable pour deux.
Et, comme si réellement il se désintéres­
sait de la question, cette recommandation
quasi paternelle avait été la seule réflexion
q u’il eût risquée su r la brouille des deux
jeunes gens m aintenant expliquée.
Dès son arrivée à Paris, Rodolphe se ren­
dit avenue d’Iéna.
Voulant voir Gilberte loin de l’influence
conciliatrice de son oncle, il ne prit pas mê­
me la peine de passer chez lui échanger son
costume de voyage contre une tenue plus
soignée, et c’est en feutre souple et souliers
américains qu’il fit son apparition, à la
tombée du Jour, dans le petit salon bleu que
nous avons déjà fait visiter aux lecteurs.
Gilberte eut un mouvement de surprise
à sa vue, et il eut l’intuition qu’elle ne l’a t­
tendait pas, du moins si tôt. Il expliqua,
tout de suite, sa présence à l’hôtel :
— M. de la Saponaire, après avoir cher­
ché à me cacher votre départ, a bien voulu,
ce matin, me communiquer votre lettre.
Elle rougit, brusquem ent
— Ah I vous avez lu... V
— Oui, et cela valait mieux pour nous
deux.
— Non 1 mon oncle n’aurait pas dû.
— Ne lui leprochez pas cette communica­
tion ; c'est mon insistance qui l’y a con­
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traint. Dans l’état d’esprit où J’étais, la
franchise s’imposait
Il y eut un court silence de gêne. Ils. au­
raient voulu ne plus parler, craignant peutêtre les mots qu’ils allaient dire.
— Vous êtes venu à Paris, sans mon on­
cle ? fit Gilberte, rompant la première la
silence pénible qui planait lourdement
— Je désirais vous voir... Votre lettra
m ’autorise à me retirer : m ais avant de . e>
décider, je tiens à m ’assurer que telle eat
bien votre intention.
Le souffle court, Gilberte l’écoulait.
— Vous ferez ce qu’il vous plaira, répon­
dit-elle. la voix enrouée.
— Réponse de Normande I répiiqua-t-il,
en souriant. Votre lettre équivalait à un
ordre de rupture ; est-ce bien ainsi que je
dois la comprendre ?
— Je n ’ai rien à retirer, ni à ajouter à
ce que j ’ai écrit, répondit-elle, plus ferme­
m en t
Elle se ten ait devant lui, très droite,
toute raidie dans sa pose impassible ; maie
elle évitait de le regarder et ses yeux,
obstinément, fixaient -le p a rq u e t
Rodolphe l'exam ina quelques instante,
sans mot dire ; une réelle hésitation se
peignait su r son visage mâle, dont la pâ- _
leur augm entait encore la gravité habi- A
«tuelle..
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PARIS. nommé mini'
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15 ans, a été <•
à Villeurbaniif
La mort a èu
BERLIN. — I
Tient d'être r|
dans les milid
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VARSOVIE. .
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à Stamboul le |
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