du plateau central - Bibliothèque de Clermont Communauté
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Ofr.26: ADMDBSTRATIOU ET RÉDACTIOU ST Année. — N* 14.SM 1». T ééfkm t t 1.S3, I .M X A V nU R .C L D M O irT BAULKS OB MARDI D ts C O M K B 4 M l BUTIN, nWMOWTW T B » , « s a AOUT ABONNEM ENTS PUY-DESOME . AXJUBBl DU PLATEAU CENTRAL CAWTAL . HAUTE4JQOf, A V KY BO N . C O M t t Ü (pM i« phi). Dbedrica i BP* A. DUMONT ' _ Q Ü A TÄ B E D ITIO N S Q U O TID IEN N ES jjJ. _______ M n :M U * .C aH U E .U )IK -M I» M TM raE.CM TU.ltZfiE.mnH m v u m t . utac o m b e , T a fe ta : - VALLCT a owor « m m Le PebldB •* mçm du* ee* BUREAUX. tS , n e d m Pert, et » (AGENCE HA VAS. 42. av. des ÉUU-UnU, Clem et F—r— 4 Le PubBâlf ertre tégioeih k rA gence H m i , S i n e de Ricfrsli—. Perte. iJUs LA JOURNÉE En l’honneur d’un aviateur Une barque a chaviré non loin ëe SaintSébastien. Treize pereonnee ont péri, Une barque chavire au large de Saint-Sébastien Lee Inoendlee de forête continuent dans le Gard et le Var. La République d'A ndorre a changé ea constitution. DU NOUVEAU dans l'armée allemande La m achine législative h itlérien n e fonc tionne à une cadence accélérée. P a rm i les textes très divers qu i en sont sortis à la veille du d e rn ie r w eek-end, les rem an iem en ts à la loi m ilita ire allem an d e de 1921 m é rite n t to u t p a rtic u liè re m e n t de re te n ir no tre atten tio n . Comme le so u li g n en t les agences, H itle r et ses m in istre s en se décid an t à d ’im p o rta n tes réform es d ’ordre m ilitaire, p o u rsu iv en t l’ap p licatio n de leur p rogram m e qui vise essentiellem ent A la B aule, a u m o m en t de l'a rrivée d u à « su p p rim e r ju s q u ’au x d e rn ie rs restes de T our de France aérien, a été in a u g u ré -u n la révolution de 1918 ». m o n u m e n t élevé à la m ém o ire de M aurice Ja m ais em barassés lo rsq u ’il s ’a g it p o u r M orin, p re m ier pilote récep tio n n a ire des eux d ’accom plir des actes de portée n a tio C hantiers de la L oire qui s'est tué a u cours nale, les natio n au x -so cialistes au pouvoir des essais d 'u n gros appareil, il y a quel viennent de pousser u n peu plus loin l’œ u ques m ois, au cam p d ’Escoublac-La B a u le vre bism arck ien n e de l ’U nité allem ande. qui porte a u jo u rd 'h u i son nom . Voici le m o n u m en t en to u ré d 'u n p etit ja rd m . Une fois de plus, les questions q u i to u chent aux rev en d icatio n s sociales du peu ple, sont rem isées à l ’arrière-p la n . E t les jo u rn a u x se félicitent de voir a d o p ter le sta tu t m ilita ire à la nouvelle stru c tu re du ' Reich, qui a trouvé récem m ent son expres sion d an s la créatio n des S ta tth a lte r, ces rep rése n tan ts quasi-om nipotents de B erlin N îm es, 31 ju illet. in stallés a u cœ u r de chaque « p ays ». Le b i-cen ten aire d u C hevalier d ’A ssas a En de nom breux a rticle s de la nouvelle été célébré a u V igan d ev an t u ne fuule con loi, le g ouvernem ent n aziste m anifeste sa sid érab le. L a m u n ic ip a lité a reçu les visi volonté de ren fo rc er la discipline de la te u rs officiels d a n s la g ra n d e salle de R eichsw ehr et de te n ir plu s que ja m a is l ’H ôtel de Ville d ’où est p a r ti u n cortège celle-ci à l’é c a rt de to u te activité politi qui a déposé des gerbes et des couro n n es aux m o n u m e n ts des m o rts de la g u erre, d u que qui ne se ra it p a s stric tem en t conform e se rg e n t T ria ire et de d ’A ssas. aux vues de la d ic tatu re . U ne p la q u e com m ém orative a été en C’est a in si que se tro u v e n t su pprim ées su ite apposée s u r le m u r de clô tu re du l ’élection des hom m es de confiance ain si couvent des s œ u rs de Saint-Vincei>t-cleque l ’élection de la C ham bre de l'A rm ée P a u l, m aiso n n a ta le d u ch ev alier. Un et de la M arine, qui a v a it p o u r m ission de b an q u e t et u ne re p ré se n ta tio n th é â tra le o n t a ttiré u n e n o m b reu se affluenc?» Des conseiller le m inistre. Nous som rçes bien en présence de m esu d isco u rs d ev a n t le m o n u m en t o n t été p ro res qui te n d en t à s u p p rim e r les d ern ie rs noncés p a r MM. G ay, m a ire du V igan, le lie u te n a n t M antey, au nom de la fam ille, vestiges du systèm e dém ocratique des et p a r le colonel P ic h e ra l,. conseils de soldats. On com prend d ’aille u rs fort bien le souci qui a guidé le gouvernem ent h itlérien. L ’arm ée d oit re n o n c er à la jo u issan ce de toute in stitu tio n d ’ap p a ren ce rép u b licain e T a llin n , 31 juillet.et « w eim arien n e », afin de red ev en ir la Le so u s-m arin soviétique « R ab o tch i » g ran d e m uette. L a nouvelle loi, à cet ég ard correspond à la sa in e tra d itio n m ilitaire. qui, il y a quelques années, a som bré corps Elle se m ontre, d ’a u tre p a rt, favorable aux et bien (Vine les eaux de W rangellholm , a u cours de m an œ u v res de la flotte soviétique, d irig e an ts actuels du Reich, p u isq u ’elle ex vien t d ’être ren flo u é p a r le rem o rq u eu r c lu t toute a u tre influence que celle du « Com m une ». Le sous m a rin s e ra rem o r com m andem ent... e t que le com m ande qué ju s q u ’à C ro n stad t. m e n t semble, sinon dévoué à H itler, du m oins disposé à le so u te n ir loyalem ent, p o u r des raiso n s de principe e t d ’o p p o rtu n ité aussi. E n tre a u tre s m odifications que le gou C a sab lan ca, 31 ju illet. vernem ent du Reich vient d ’ap p o rte r, au Ä la su ite des b rilla n te s o p éra tio n s qui s ta tu t de l’arm ée, nous relevons quelques o n t p erm is l ’o ccupation du m assif Djebel dispositions fo rt in té ressa n tes, q u i tendent S arro , le g én é ral c o m m an d a n t su p é rie u r h effacer ju s q u ’a u souvenir du p a rtic u la des tro u p es d u M aroc a cité à l’o rd re de rism e et de la souveraineté, q u i fa isa ie n t l ’arm ée le g én é ral de b rig ad e C atroux, l ’orgueil des E ta ts fédérés. C’est ain si, p a r co m m an d a n t la région de M arrak ech , qui exem ple q u ’en 1921, dea d ro its spéciaux a d irig é ces o p éra tio n s : Officier général de grande valeur, qui a av a ie n t été accordés à la B avière concer conçu et conduit personnellement l’opération n a n t l ’usage de sa division de R e ic h sw e h r qui nous a rendus m aîtres de la plus grande Le m a in tie n de dispositions a u s si lib érales partie du Sagho et a abouti à l’investissement p ouvait, à la p rem ière occasion, te n ir en de la région t’as aiguilles où étaient réfugiés les groupements de dissidents. P ar ufte ac échec le pouvoir ce n tral... tion de chaqu- jour tan t m ilitaire que poli Q u’a donc fa it H itle r 1 II a entièrem en t tique, a contribué pour une très large part aboli la souveraineté m ilita ire des E ta ts à ébranler Ie>moral de l’adversaire et à dis fédérés. Aux term es de l ’a rticle 17 de la socier les derniers groupements insoumis nouvelle loi, les gouvernem ents de ces dont les délégués se sont présentés le 23 ja n vier aux avant-postes de son groupe d ’opéra E ta ts perd en t to u t pouvoir de rec o u rir, en tions-pour dem ander l’am an. cas de troubles, à la force arm ée. Celle-ci d e v ra re ste r sourde à to u t appel q u i ne que -la m a u v aise volonté in te rn a tio n a le v ie n d ra pas du S ta tth a lte r de la circons v ien t d ’av o ir ra iso n dès efforts déployés crip tio n te rrito ria le . Cette disposition p a r elle à la Conférence de L ondres. Voici prouve que la R eichsw ehr est inv itée à re la*conclusion de l’a rticle publié p a r n o tre co n n a ître, elle au ssi, ce renforcem ent pro confrère allem an d : gressif de l ’u nité allem an d e dont les H itlé Dans un désir de paix, notre pays ose se rie n s se so n t faits les plus zélés e t au ssi dispenser des grandes manœuvres d ’automne les plus heureux a rtisa n s. qui- seraient pourtant si nécessai D’a u tre s article s de l’o rd o n n an ce berli- annuelles, res à une armée beaucoup trop faible et ne noise rec o n n aissen t au m in istre de la répondant aucunem ent aux besoins.de la dé R eichsw ehr le d ro it de soum ettre, q u an d fense nationale. Il le ju g e ra o pportun, to u t civil tra v a illa n t Considérons m aintenant la France. Elle ne p o u r l ’arm ée aux règlem ents qui rég issen t laissera Jam ais passer une année sans habi la vie des soldats. « E t il en se ra ain si, tuer sqn armée à manœuvrer, en masses for lisons-nous, chaque fois, et a u s si long midables et compactes, dans un but non dis tem ps que les nécessités m ilita ire s l’exige simulé de guerre. L’Allemagne ne pouvait mieux que p a r ce ro n t ». contraste prouver l ’extraordinaire am our pour Nous devons voir, d an s ce texte, ur\e ga la paix qui l’anime. ran tie su p p lé m e n taire prise p a r le pouvoir Là-dessus, il y a u r a it beaucoup à écrire exécutif ce n tra l, et q u i se ra égalem ent laissée entre les m a in s du pouvoir m ilita ire à n o tre tour. C ar la volonté de paix de central. De plus en plus, B erlin s ’affirm e, l’A llem agne n ’a rien à v o ir en cette af effectivem ent, com me la ca p ita le de l ’Alle faire. magne. L a decision de ren o n cer -aux m anœ uvre« Afin de d éto u rn e r l ’opinion m ondiale des nous p a r a it bien p lu tô t co rrespondre aux cra in tes que p o u rra it lu i in sp ire r le ren fo r In stru ctio n s que les jo u rn a u x , o nt reçues cem ent de l ’au to rité à l’in té rie u r de la ces tem ps d ern iers, et aux term es desR eichsw ehr — ré su lta t n écessaire de ces quelles « il est rigo u reu sem en t in te rd it de progrès dans la c e n tra lisa tio n — la presse fo u rn ir le m oindre renseignem ent su r les allem ande s ’efforce d ’a ttr ib u e r une im p o r déplacem ents de troupes. » On nous per tance politique sensationnelle à la nouvelle m e ttra enfin de so u rire de cette publicité suiv an te : les grandes m anœ uvres n'au- a in si faite a u to u r de la « politique d ’éco ont pas lieu cette année. La raiso n q u ’elle nom ies », alo rs que le budget de la Reichs M 0US 8u rPrend p lu tô t ; le Reich w eh r p o u r 1933 accuse de nouveaux bonds entend réaliser des économies. d a n s cette course — bien allem an d e — aux »„T^erî-în 0tre la D eutsch« A llgem eine Zei- dépenses san s cesse accru es et engagées ag, 1 A llem agne donne au m onde une le d an s un esp rit non dissim ulé de revanche. çon adm irable et d ’a u ta n t plus in a tte n d u e Jacques LAFOND. LE BI-CENTENAIRE DU CHEVALIER D’ASSAS Un sous-marin soviétique renfloué L’avance de nos troupes au Maroc -M V Une camionnette se renverse ! trois morts LES CASQUES D'ACIER Saint-D ié, 31 J u i l l e t V ers 3 h eu res, u n e cam io n n ette v e n a n t ae M an d ra y s’est ren v ersée p rès de S a u lcyS ain t-S éb astien , 31 ju ille t sur-M eurthe. T ro is je u n es g ens de S ain tUne b arq u e à fh o teu r à bord de laq u elle Dié o n t été tués. Ce so n t : R aym ond Infe av a ie n t p ris p la ce u n e v in g ta in e de per zenger, Germain. M aurice e t R o b e rt F r a n sonnes, p o u r fa ire u n e p ro m en a d e en m er, çois. Un q u atrièm e, nom m é AndreoletU , a ch av iré à la so rtie du p e tit p o rt de Deva. q u i co n d u isait, a été grièv em en t blessé. Le nom b re des victim es s ’élèv erait à 13. Les six a u tre s o cc u p an ts du véhicule o n t En effet, o u a repêché 7 cad av res et 6 p e r reçu des b lessu res légères. sonnes so n t po rtées d isp aru es. Il est p o ssi Une auto heurte un pylône : ble q u ’il y a it d ’a u tre s victim es d o n t on ig n o re m êm e les nom s. sept blessés P a rm i les m o rts identifiés, fig u re n t MM. Lim oges, 31 Juillet., A g u irre, m éd ecin -d irecteu r de l ’I n s titu t L a n u it d ern ière, d an s la b an lieu e de a n titu b e rc u le u x d ’E ib a r ; J u lia n ‘G arate, Lim og°s, une au to m o b i'e a h eu rté u n py in d u strie l à E ib a r. * D’a p fè s les h a b ita n ts d u p ay s, le nom bre lône. Les se p t p erso n n es q u i se tro u v a ie n t des victim es s ’élèv e ra it à 16. Q uelques-oc- d an s le véhicule o n t été blessées. Cinq c u p a n ts de la b arq u e o n t ré u ssi à sè s a u d ’en tre elles o n t été tra n sp o rté e s à l'h ô p i ver, n o ta m m e n t le p atro n . Ce d e rn ie r a ta l d a n s ’u n état.g ra v e* d ’aille u rs été a rrê té . L a cause d-* l'a évi d en t n ’est pas- eqcore trè s c la ire m e p t é ta blie. P o u rta n t on pense que c’est u ne lam e trè s forte q u i a - s o u le v é .la b arq u e par. la poupe, lu i fa is a n t p e rd re sa sta b ilité et e n le v a n t a u p a tro n to u t m oyen <Jfi%gouver N îm es, .31 "Ju illetn er. A cé Tfï’d itieht ’u tie a u tre v a g u e ’ est Les incendies de forêts'.continuent.- P lu s venue faire, çhaiviner com plètem ent le' b a de 200 h ectares de bojs situ és d o n s les te a u q u i é ta it peut-être trop, ch arg e. com m unes d e .G a ja n ; S a in t-B a u z e ly ■et Ja Ç ajniette o n t été dévastés. Les pom piers S ain t-S éb astien , 31 - juillet. Q u atre nouvelles victim es de l ’accid en t de Nîmes e t d.es p iq u ets de tro u p es d in fa n su rv en u à l ’eqtrée d u p o rt .de, Deva o n t te rie coloniale et d e l ’a rtille rie sprit s u r les été rejetées p a r la m er, ce qui p o rte offi lieux des sin istres. ' ' ' . . .T o u lo n , 31 juillet. ciellem ent le n o m b re des m o rts à. onze. Deux incendies de forêts se so n t p ro Les rech erch es c o n tin u e n t p o u r re tro u v e r les dispdçùs. ,! d u its h ie r so ir à H yères. ’Lie p rem ier, qui s ’e&t d éclaré a u bois de la N au d ière, a été m a îtrisé s u r l a crête de! l'a-colline; g râce AU concours d es h a b ita n t", des services m u n icip au x et d ’u'ii piqu'et du 3® rég im en t d e .lig n e . , .. .. , Le deuxièm e sVst déclaré à ’ la T o u r F.ondue, à Giens, d a n s une p r o irié té a p p a r te n a n t à M. Lion. Il a p u être , étein t g râce au x h a b ita n ts ain si j u a u piq d ’incendie du C entre d ’a v iatio n de T ouIon. Les d ég âts-f o n t assez Im p o rtan ts. B ucarest, 31 juillet. L ’incendie de fo rêt qui s’é ta it d éciaré à On m ande de C etatea Alba, en B essara bie, q u ’une m anifestation hitlérienne a eu B andol a été m a îtrisé cette n u it. lieu hier dans le village de T arutino, où la population est en m ajeure partie com posée de colons allem ands. Une cinquantaine de jeunes gens o n t p ar couru les ru es du vilage au x cris de « Heil H itler ». L a g endarm erie a dû in te rv en ir pour disp erser les m anifestantsi Les au to rités bessarab ien n es o n t reçu .l’ord re de s ’opposer avec la dernière rig u ee r à toute m anifestation de propagande natio nale socialiste, plusieurs d ém o n stratio n s h it lériennes ay a n t déjà, eu lieu çes dernières sem ain es dans les centres h ab ités p a r des colonies allem andes. fly a 13 morts Dane l'Inde, G andhi, q u i re o o m m e n e o son a é té d s n o u v e a u a r r ê t é . • C ita tio n , LES ACCIDENTS DE LA ROUTE | EN ALLEMAGNE | QUERELLES ENTRE SOCttUSHS ■ ont arboré la croix gammée LES INCENDIES DE FORETS LES MINORITÉS ALLEMANDES PROVOQUENT DES INCIDENTS EN BESSARABIE FOUR ENSEIGNER LA NATATION '. ' . ' . •. / _ H, L’enlèvement des trois Sarrois ■ par des nazis V inh, 31 ju ille t Un violent ty p h o n s ’est a b a ttu s u r V inh, d a n s la n u it d u 30 a u 31 ju illet. Les d ég âts m a térie ls so n t trè s im p o rta n ts, m a is ju s q u ’à p ré se n t on ne sig n ale au c u n accid en t de personne. T outes les co m m unications so n t in te rro m p u e s dar.3 le nord* La croisade d’Hitler contre Inintelligence B erlin, 31 ju illet. L a 15® fête de g y m n astiq u e allem an d e s’ést term inée à S tu ttg a rt p a r u n e m a n i festatio n m o n stre à laquelle a s sista ie n t le ch an celier H itler, le vice-chancelier von P ap en et le d o cteur Goebbels, m in istre de la. p ro p ag a n d e natio n ale. Cent cin q u an te m ille je u n e s gens e t je u nes femm ee se so n t liv rés à des exercice» sportifs, acclam és p a r u n e foule de tro is ce n t mille sp e c ta te u rs environ. F rén étiq u em en t a p p lau d i, H itler a p ro noncé u n d iscours d an s, lequel il a décla ré n o tam m en t ; — Il faut que ceux qui, comme moi, dési rent un Reich fort, tiennent à une généra tion forte. La prétendue époque intellectuelle « t de caractère libère! était en vote de form er une génération absolum ent débile... L’entrafnem ent physique de t , l ’homme de fer et de la femme de fer » conduit la nation à la force et à la sar.té physique. Un peuple qui dans son entier, est sain,, ne se laissera pas aller aux erreurs intellectuelles auxquelles ne succombent que trop facilement les cer veaux surchargés. Les peuples sans courage et sans force se trouveront toujours réduits à jouer le rôle de « conseilleurs » auprès des races plus saines. Fougueux discours de disciples d’Hitler S a rre b ru c k , 31 juillet. On cro it sav o ir que le g o u v ern em en t al le m an d v ien t de rép o n d re à la p ro te sta tion que lui a ad ressée la com m ission du g o u v ern em en t du te rrito ire de la S a rre re lative à l ’enlèvem ent de tro is h a b ita n ts en te rrito ire sa rro is, le 25 ju illet. Cette réponse se b o rn e ra it à u n sim{>le accusé de réception avec p ro b ab lem en t a prom esse d ’étu d ier l ’affaire. UN CYCLONE EN ANNAM Voici de la politique étrangère p a r l'im a ge. H itler gagne chaque jo u r d u terra in et il a posé son estam pille à droite d u casque ta n d is q u 'à gauche les arm es de la P russe fig u ren t encore discrètem ent. E n présence d u colonel Lecoq, directeur de l'E d u ca tio n p h ysiq u e a u m in istère de la Guerre, M. L effond, m a ire a d jo in t de Choisy, vie n t de présenter u n in g én ieu x appareil dont il est l'in ven teu r, destiné d fa c iliter l'en seig n em en t de la n a ta tio n . Voici l'a p p a reil qui consiste en u n ra il su r lequel glisse u n p etit charriot d 'o ù p en d en t u n contre poids et u n solide filin m u n i d 'u n e ceinture. L 'élève peu t s'exercer seu l sans a u cu n risque. - (Mondial Photo Prêta). Detmold, 31 Juillet. a décIaré Que le soulèvement national était en somme un grand miracle 1*? D ie u ». Ainsi s’est exprimé le pasteur mi litaire Muller, délégué du chancelier H itler pour la question du protestantisme et futur ivêque de 1 église protestante unie du Reich, aux étudiants de l’Association Kiffhauser « Votre devoir, s’est-il écrié, est de vous comporter en com battants fanatiques pour Dieu et pour la patrie allemande. » un ,service religieux en campagne. ti „ r t f pat? Ie pastA euü ^ uller* un autre ora teur, M. Kube, président supérieur du Kvffhauser, a déclaré fougueusement : • le s anciens étudiants affirm aient leur cermap^ r iia d®v*se • * Avec Dieu pour le Kaiser et 1 empire ». La notre est m ainte n an t : avec Dieu pour Adolf Hitler et le national-socialisme allemand. L’Allemacne est v lC r ^ u î c ° haIPé® au traité lgnominœux de «miais eu Iui a €1>v°yé en Hitler un chef qui la sauvera. Combattons avec lui en Germains fidèles. » Une lettre de M. Marquet à M. Léon Blum B ordeaux, 31 ju il le t L a C om m ission a d m in istra tiv e du p a r ti socialiste de la G ironde a ad ressé à MM. M arquet, C ayrel, L afaye, C azalet, Las? se rre et M ucquot, députés, l ’expression de sa sy m p a th ie et les a a ssu ré s de son e n tiè re solidarité. D evant le suffrage universel bo r d elais et G irondin, elle affirm e que ses élue o n t agi a u P a rle m e n t en conform ité des en8 a gem ents q u ’ils av a ie n t p ris d e v a n t le suffrage universel. N O T R E T E M P S J« PE SSIM ISTE S Hier mes voisins disaient . — Quel temps ! On ne peut ni travailler ni L’ex-Kronprinz voudrait visiter se reposer Cette chaleur effroyable qui noua F Amérique paralyse durant le jour, nous agite pendant la nuit, et chasse le sommeil comme el% a P o rtla n d (Orégon), 91 ju illet. chassé l appétit. S'il fallait vivre ainsi toute L ’ex-K ronprinz a u r a it l ’in ten tio n de vi l année, mieux voudrait mourir. P a ris , 31 J u ille t site r l’A m érique p ro ch ain em en t, d’ap rè s Le Père Eternel entend leurs lamentations . Ce m a tin , à 17 h eu res, d a n s u n café si les d é c la ra tio n s q u ’il a u r a it fa ite s au cor cache derrière les nuages son grand soled V ald ep en as (Espagne), 31 Juillet., tu é rue de l’O uest, M. Je an -B ap tiste Ja ilre sp o n d a n t en A llem agne d u « P o rtla n d et a même la bienveillance de faire tomber Une ch a u d ière a fa it explosion d a n s une O lot, r e s ta u ra te u r, âgé de 45 a n s ,a été bles regonian ». , . , une pluie rafraîchissante. b o u lan g erie m écanique, p a r suite de la sé de p lu sieu rs b alles de revolver p a r R ay Sur quoi mes voisins reprennent : •Le K ronprinz, à q u i le -J o u rn a lis te de b ru sq u e in tro d u ctio n d ’eau froide p a r l’ou m ond L ucas, 25 an s, d e m e u ra n t 83, boule Allons, bon ! Déjà on se croirait en v rie r ch arg é de son fonottom m m ent. Celui- m a n d a it quel fac teu r décisif m it fin à la v a rd V oltaire, à A snières. g u erre m ondiale, a u ra it' rép o n d u : <« L ’a r automne. Nos vacances sont perdues. Que Le m e u rtrie r s ’est en su ite tiré p lu sieu rs rivée des A m éricains et rien d ’au tre . E t ce c est triste, la pluie ! El puis cet changements balles de revolver d a n s la tête. Les deux fq t u n e sottise de les la isse r e n tre r en brusques sont périlleux pour la santé. Vous blessés, d ont i ’é ta t p a r a ît g rav e , o n t été m o rt p eu ap rè s des suites Je ses blessures g u erre. Le ch an celier eu t g ra n d to rt de ne sentez pas une fièvre lourde que cetto tran sp o rté e à l’H ô p ital B ro u ssaisn av o ir p a s fa jt im m éd iatem en t le néces humidité engendre ? Vous n'avez pas mal 4 T rois a u tre s o u v rie rs o n t été blf.ssé •.. sa ire p o u r p ré v e n ir l ’in te rv en tio n am éri la tète ? Alors vous pouvez vous vanter ca in e ».,. d'avoir de la chance. Plus ils se mettent à penser aux agriculm leurs, et d les plaindre de tout leur cœur géné reux. Les blés étaient beaux, et les voilà qui vont pourrir. Quant à la vendange, ne comp tons pas sur une bonne vendange. J'écoute, et Je me demande s'il existe quel que part un seul homme qui sache prendre la temps comme il vient, et s’il demeure en Il y a plusieurs victimes France quelqu’un qui ne prenne pas un amer, / P ra g u e, 31 Juillet. plaisir d te lamenter, et d prédire perpétuelle Une violente explosion a d é tru it ce m a ment le pire. tin un hôtel à B rno et causé d ’im p o rtâ n ts On voudrait prendre d part chacun de ces dég âts d an s les Immeubles av o isln an ts. pleureurs et chacune de ces pleureuses. On L ’o rig in e de l ’explosion n ’est p as encore leur dirait : « Oui, monsieur, oui, madame, établie. Elle p a r a ît av o ir été causée p a r il est certain que tout ne va pas exactement une ca rteu ch e d ’écrasite. pour le mieux. Mais vous, personnellement, de 'D eux cad av res, celui d ’u n e femm e e t quoi vous plaignez-vous ? • d ’un en fa n t o n t d éjà été retiré s des dé Et l'on trouverait, bien sûr, comme dans com bres et je b ru it court- que ce s e ra it ju s tous les temps et dans tous les paus, des tem en t cette femme qui en se s u ic id a n t a u gens qui ont des raisons légitimes de s’affli r a it provoqué la ca tastro p h e. On s 'a tte n d ger. Mais ils seraient en très faible propor à tro u v er d ’a u tre s victim es sous ies r u i tion : environ un sur mille, et deux tout au nes de l ’hôteL plus. Les autres sont simplement victimes d'une angoisse vague, et injustifiée. Hs devraient se soigner. Leur maladie est de cel LA FOUDRE ENDOMMAGE les qui guérissent aisément. L'optimisme t'ap le monument aux soldats anglais prend comme toute çhose au monde. Et J'en tends bien qu’il ne doit pas être systématique de Lillers et irréfléchi. Mais si les Français voulaient méditer sur toutes les raisons qui t'offrent à B éthune, 31 ju ille t eux d'avoir confiance dans leur destin, ils On vien t d'inaugurer à Vitry-sur-Seiéik un banc d'essai perm ettan t aux Compa L a foudre est tombée a u cim etière de Lil s'apercevraient qu'avec un peu d'énergie et lers, p rès de B éthune, s u r le m o n u m en t de courage ils échapperont d tout tes maux gnies de chem in de fer d'étudier et rég ler a van t de les m ettre en service, les nou élevé à la m ém oire des so ld ats brit&nni- qu'ils redoutent. Mais its ont vraiment trop velles locomotives. C'est là prem ière in sta lla tio n en Europe qui perm et d'étudier ues m o rts p e n d a n t la g u erre, e t a causé (Tinclination à se contenter de gémir. l'appareil m oteur d'une locom otive. , w ____ . k u ___________ e sérieux dégâts. gallub. Un drame dans un café parisien UN BA N C D ’ESSA I P O U R L O C O M O T IV E S Upe explosion détruit on hôtel en 3 « P a ris , 31 julllêf. M. A drien M arquet, d ép u té-m aire d4 B ordeaux, a ad ressé le 27 ju ille t à M« Léon Blum une le ttre d o n t voici ies prin« cipaux passag es D epuis plus d ’une semaine, au nom sans aoute de 1 am itié que vous nous avez offerte d 4 congÄe, vous vous eîforcez de dém ontrer dans le Populaire que je suis daveuu fasciste. Selon vous J’au ra is ^.ancbii ? es frontières du socialisme et de la démocratie. les Journaux français et étranfu tt i. les m o ts « National socia* Né°-fa scisme . ils ont simplemen« reproduit vos paroles. Responsable de cette iu ÏÏP ? 8?6' ,V0U8 prétendez en être 1e béné ficiaire .- c’est excessif. Montagnon a parlé le sam edi.’ moi le dl« m anche Déat le lundi. Le succès de nos inét£ AEA0gI? Mif’ Ain9i devanl frîLîîn! ,?,es *‘édérations de la section! riançoise de 1 Internationale ouvrière et 2.000 m ilitants de la Seine, trois fascistes auraienfl ire écoutes et applaudis durant troie jours î Bien mieux, quand L)éat regagna se> Fe'a rrX u n if»?c,j?liste ,îallen exilé. Modigliani , donna 1 accolade. Avouez que n» ^seraient troublantes, si voque ^tait sincère en ses moyens et véridique en ses éléments. * vous tentez en vain d'am ortir !e choc pr<* au it su r le congrès, su r Je parti et su r le flayA p ar nPs d îsco,jrs. La classe ouvrière e t mio:^^I'10craLé ont senti que les d éc la re ro n s ï'° dS, C0J}damnez venaient à temps pour éviter à la I-mnce un sort identique à celui que connurent l’Italie et l'Allemagne, c a r nous en étions là. Subtilement, à fore« de cisme e’ V0US I10US conduisiez a u îa»® /..« « « mH? ét,ez M Pable d® désorganiser l’état capitaliste pour un temps prévisible et de le renverser, votre tactique éiayée p ar sa logique interne, serait attractive. .Mais vous êtes incapable d obtenir ce résultat. Installé dans le capitalism e, vous Je conk/U d c , Vutre doctrine lmm uoble, et \ ous bénéficiez des avantages qu’il accorde n - î î „P 11 ï a une Quinzaine d ’an5 „ r ^ Uî ^ e,.a dl,re et si rien ne change, cet« i n *°nKt emps encore. D’ailleurs vous le laissez entendre. « Qu’importe avez-vous dit. iLH?. s.e ,ont Jes, a g îm e s transitoires entre le capitalism e et le socialisme ; ne leur prê tons pas notre caution m orale, dussions* nous en pâtir, pendant des années •. Les congressistes n ’ont pu cacher leur in » laise devant cette déclaration im prégnée d une passivité toute orientale. . Pour moi qui vous connais, il est plu« q u ’é» vident que 1action est exactement votre con» i APour* cette rais°h qu’elle voue inspire la même épouvante que le fascism e. « a * QUéllè source un mouvement ouvrier Ft« * r»Pu f.r i . ?0,rce de réaliser ses objeci ^ exaltation, de l’instinct populaire, par la dém onstration de son aptitude & gouï?,cn?r ; les circonstances n ’ont ét# aussi favorables. A -l’inverse de ce que laisse supposer votre fa” dra désormais réaliser le' socialisme dans chaque nation avant de lei transporter sur le plan international. f i qne ^ aul Faure nous fasse par venir rapidem ent la sténographie de nos d iv Smirront0lf f J eSiiPUblier0n!- LeS m ,l,tftnU le« se rendront compte alor» qu emporté par votre m anière, vous vous ™.*!ca Une« j Plus égaré dans une entredev:eb t paradoxale à force d ’êtr* nn.« fh« un* dém onstration éclatante et nouvelle que vous employez votre talent e des œuvres toujours vaines. VAVENI^Dü_FLATEAU CENTRAL LES ONDES ULTRA-COURTES A l’Auberge de la Grande-Chartreuse REMPLACERONT-ELLES M algré les p ro testatio n s venues de tou» côtés, m a lg ré n o tam m en t le récent té LE TELEPHONE ACTUE ? les légram m e de» cetholiques de Genève si- L’AGITATION- W DANS LÜDE ' — Gandhi est arrêté A hm edabad, 31 Juillet: G andhi et sa fem m e o n t été a rrê té s à 1 h. 40 (h eu re locale)« Un message de Gandhi au peuple anglais A hm edabad, 31 Juillet. A la veille d u jo u r où il d o it rep ren d re sa cam pagne de désobéissance civile, G an dhi a ad ressé le m essage su iv a n t a u p eu ple a n g la is : r r i vous voulez la paix dans l'Inde, vous l’obtiendrez non pas en gouvernant par or donnances, mais en faisant confiance au Con grès. Je suis un ami üu peuple anglais et je parle comme tel. Certains d entre vous peu vent me considérer comme un ennemi, mais J’ose prévoir qu’un jour leurs yeux s ’ouvriront et qu'ils adm ettront le bien fondé de la requête. Un émule d’Alain Gerbanlt Paris, 31 juillet. Emule d ’Alain Gerbault, le comte MarinMarie de Saint-Front, autre navigateur so litaire, vient d'accom plir une perform ance qui mérite d ’être relatée. P arti de Douarnenez le 11 mai dernier, seul a bord d ’un côtre de 11 mètres, baptisé « VVmibelle II • et construit p ar les chantiers de la Loire, le comte de Saint-Front arriv ait A Madère le 25 mal. Reparti le 9 ju in de Madère, il arri vait le 8 juillet à Tort-de-France. La distance de Douarnenez à Madère est de 2.000 kilomètres en viron. De Madère ft Fort-de-France (Martinfque) la distance est de 2.000 kilomètres environ. De Madère à franchie en moins d’un mois. Ml de SaintFront avait déjà navigué à bord du « Pour quoi-Pas ? » du docteur Charcot. LA REPUBLIQUE D’ANDORRE CHANGE SA CONSTITUTION UN GOUVERNEMENT PROVISOIRE EST NOMME M. Marconi Tcffirme à la suite de ses expériences R ap p alo , 31 ju illet. Lea expériences de tra n sm issio n p a r T. S. F ., s u r ondes ex tra-co u rtes effectuées p a r l ’illu stre physicien s é n a te u r M arconi, en tre deux p o in ts q u i ne so n t p as sép arés p a r d e s. m o n tag n es o n t si bien réu ssi, a u co u rs de ces deux d e rn ie rs Jours, q u 'il a été décidé de p ro céd er à d ’a u tre s essais, m ais s u r une d istan c e plu s g ra n d e que celle q u i sé p are son y a c h t <« E le ttra » de la côte ita lie n n e à R ap p allo . D ans ce b ut, il f a u d r a é ta b lir, en S a rd a ig n e , u n poste spécial de tran sm issio n p o u r co u rtes lon g u e u rs d 'o n d es qui co m m u n iq u era avec celui de Rocca dt P a p a , à 25 kilom ètres de R o n e . L a d istan ce e n tre ces deux postes s e ra d ’en v iro n 450 kilom ètres. M. M arconi p ré d it com m e ré s u lta t de ses expériences s u r les ondes u ltra -c o u rte s’ q u e celles-vd rem p lacero n t, a v a n t long tem ps, les réseaux télép h o n iq u es actuels. Il a d it n o tam m en t : « D éjà les ré su lta ts o b ten u s so n t in té re ssa n ts ; les co m m u n icatio n s so n t e x trê m em en t claires et ia voix est en ten d u e plu s n ettem en t q ue s u r les téléphones o rd in a i res. i P lu s ta rd , n o u s allo n s ex p érim en ter avec les ondes u ltra -c o u rte s en ligne d i recte, c'est-à-d ire, e n tre un tra n s m e tte u r e t u n récep teu r, sé p arés p a r a u c u n o b sta cle, tels que colline ou b â tim e n t E n second lieu, nous ch erch o n s à éten d re le ray o n de tran sm issio n en s u p p rim a n t s u r les d is ta n ce s a u m oins doubles q ue celle de 260 k ilo m ètres essayée l ’an n é e d ern iè re , et, finalem ent, nous te n tero n s de tra n sm e ttre à tra v e rs des ch a în e s da m o n tag n es. « Les deux d e rn i.re s expériences a u ro n t lieu ta n d is que le y a c h t cro ise ra en M édi te rra n é e et, à cet effet, une sta tio n sp é ciale a été co n stru ite. » L ’in v e n teu r a ajo u té que, é ta n t donné qv3 les o ndes co u rtes a s s u re n t le secret des co m m u n icatio n s, il est co n v ain cu que ce n o u v eau systèm e, g râce a u p rix ex trê m em en t ré d u it des in sta lla tio n s et a u peu d ’énergie q u ’il req u ie rt, est ap p elé à rem p la c e r to u s les a u tre s m oyens de télé phonie^ f Strasbourg menacé d’une grève générale Deux individus qui se battaient tembent dans le Rhône et se noient UNE PERISSOIRE ayant à bord deux personnes disparaît en mer H yères, 31 Juillet, On apprend de la Capte q u ’une périssoire dans laquelle avaient pris place une jeune femme et son enfant de 4 ans a disparu. L’em barcation, poussée p a r le vent, a rapi dem ent gagné le large, où peu après o n l ’a perdue de vue. Des recherches faites poi pour retro u v er la rissoire et ses occupants, dont on ignore Fiidentité, n ’ont ju sq u ’à présent donné aucun résultat. Une jeune femme tue son mari qui la séquestrait M. ANDRÉ TARDIEU a quitté Royat Faux monnayeurs arrêtés en Italie Rom e, 31 ju illet. Les Jo u rn au x a p p re n n e n t de B a ri que les c a ra b in ie rs o n t s u rp ris à A cquav.va un m écanicien et son fils qui fa b riq u a ie n t deuis quelque tem ps de fau sses pièces de ), 10 et 5 lires. T o u t le m a tériel a été saisi. Les deux coupables o n t été écrouès S Fin tragique d'un gangster New-York, 31 Ju ille t Ja m es D olan, an cien g a rd e du corps d ’Alice D iam ond, femm e du fam eux b an d it Ja ck D iam ond, a été tu é à coups de feu d a n s u n café de Brooklyn. Le moi» d ern ie r, Alice D iam ond av a it été trouvée assassin ée d a n s son ap p artem en t« * N antes, 31 juillet. Une Jeune m ère ‘de fam ille, M arie Bertin. 24 ans, née à A igrefeuille, a tué d 'u n coup de revolver, p e n d a n t q u 'il d o rm ait, son m a ri, A lbert P e rra u d , r é à JJam gan (M orbihan), o u v rie r boulanger. De3 d é c la ra tio n s de l’en to u ra g e de la m e u rtriè re , il résu lte que l'o u v rie r b oulan Lyon, 31 ju ille t g er é ta it violent et extrêm em ent jaloux. L a 4# C ham bre du T rib u n a l correctionnel Des scènes de b ru ta lité a v a ie n t lieu conti n uellem ent. P e rra u d défendait ft sa fem a ren d u a u jo u rd ’h u i »on ju g e m en t dan» me. de so rtir, la te n a it enferm ée p e n d a n t l’affaire do» g ro u p em en ts d ’a c h a ts en c< mson absence et co llait des tiuihrc»-posie m un co u tre le Com ité c e n tra l de défense « u r la s e rru re , à l’ex térieu r pour v érifier dos co m m erçan ts et d é ta illa n ts de Lyon et de la région. 1 si la po rte n 'a v a it pas été ouverte. Les com m erçan ts a v a ie n t in te rd it à le u rs fo u rn isseu rs g ro ssistes de se rv ir les g ro u Agression contre une sentinelle pem ents d ’achat». à Bône L e»-com m erçants so n t relaxés p o u r en trav e à la lib erté d u t i avail. C onstantine, 31 Juillet. Dix com m erçant», re p ré s e n ta n t le u rs cor Dan» la n u it du 29 au 30 ju illet, vers mi- p o ratio n s, é ta ie n t prévenus. Ils o n t été n u it et dem i, des coups de feu fu re n t tiré s condam nés, ,m ur h au sse artifleieila de« »ur la sentinelle de la p o udrière de l’Àc- prix : M. Jacq u et, se créta ire g én é ral du queduc. à Bône. p a r de» indigènes. Ceux-ci, Comité, h 2000 fra n cs d 'am e n d e ; MM. au qom bre de frois. s'é ta n t av e n tu rés d ans Thier», F orest, F esto r, R am b au d à 1.500 la zone in te rd ite, ln sentinelle fjt les som f ^ n c s , les a u tre s à 500 fra n cs d ’am ende. m ations d ’usage. Les tro is inconnus ré Le G roupem ent d ’a c h a ts en com m un ob p o n d iren t en tir a u t 4 coups de revolver tie n t 1.000 fra n cs de dom m ages-intérêts. d a n s la direction de la sentinelle, 6an» L a M aison de» p ro d u its a lim e n taire s qui l'a tte in d re . Celle-ci rip o sta ainsi q u u n ti* fo u rn issa it le» G roupem ent« d ’ac h at, qui ra ille u r de g ard e qui blessa un des ag re s a v a it été lésée p a r l'ac tio n des com m er seu rs. C ependant ce d e rn ie r p u t s enfujr. çan ts, o b tien t 50.000 fra n c s de dommage«La police a o u v ert u ne enquête et fait re lntérêts. • ch e rch er le blessé. Les co m m erçan ts fo n t appel.. les droits des groupements d’achats en commun L’OUVERTURE DE LA CHASSE M, A ndré T ard ieu , d o n t n o u s avons a n n a ia n t à M. P a u l Boncour l’im pression noncé le sé jo u r à R o y at, a q uitté, h ier m a eplorable p ro d u ite à l’é tra n g e r p a r la su r tin , n o tre belle statio n . M. T ard ie u n ’é ta it p as ivcnu à R o y at «n tvtvanc# a la G ran d e-C h artreu se d 'u n sec ta rism e périm é, en co n trad ictio n avec le» b aig n eu r, m a is sim p lem en t en to u riste . Il p ro testatio n s de ia F ra n ce co n tre les ex1" I av a it depuis longtem ps le d ésir de conuaicès h itlérien s, l’au b e rg e dite des « Cou * tre l ’A uvergne o ù . il se p la it à eiiu er le s a -.,ainilJ fam ille el et q u ’il n 'a v a it fa it cous »» a été ro u v erte au .m o ts de ju ille t au I berceau de *a m o n a stè re qui reste étro item en t ferm é au x Tue tra v e rs e r a u cours de voyages h âtifs ; rh a r tr e n v !R a consacré cette an n ée ses vacances. C hartreux. t A y an t fa it à la G rande-C hartreuse) un« 11 a v a it été p a rtic u liè re m e n t bien in sp iré enquête m in u tieu se la «< R épublique de en ch o isissa n t R oyat non seulem ent p o u r l ’Isère e t du S ud-E st », publie de sav o u reu x la b eau té de son site et la fra îch e u r déli détails s u r ce qui se pass« a u couvent où cieuse de s a vallée, m ais p o u r sa situ a l ’on v ien t d 'in sta lle r u n ten n is, u n ping- tion a u cœ u r de l’A uvergne, aux p o rtes pong et où l ’on am énage une sali« de ban de C lerm ont, n œ u d des route« qui ra y o n Elle donne en m êm e tem ps la liste des n en t d a n s to u tes les d irectio n s de n o tre douze u n iv e rsita ire s qui o n t accepté, p en belle province. P o u r u n g ra n d tra v a ille u r M. T ard ieu , il n ’y a ja m a is dè d an t le moi» de ju ille t, de jo u e r a.v«c le u rs comme repos com plet ; levé tô t, l'an cien p résid e n t famille« le rôle de fig u ra n ts. du Conseil tr a v a illa it ju sq u ’à m idi d an s Le G ouvernem ent, qui n ’est p as insen son a p p a rte m e n t du R o y at-P alace ; l ’aprèssible à ce qui oonstitue la d ig n ité f r a n m idi il ex c u rsjo n n ait, à «a fan taisie. 11 a çaise, d ev ra it bien se h â te r de m e ttre fin ain si p a rc o u ru en to u s sens le Puy-de-D ô à cette com édie san s h o n n eu r, que le sec me, visité to u s ses sites, to u s ses m onuta n t * ^°üer A rism n f î eî m a ç o n n isa n t seul. itie Ie?A Le beau tem ps a favorisé son sé7 nins i^ ® trB ri011 16 eS< écr tl üne u rir etcharm 11 em plus belles pages de la vie religieuse de | Jo ven é.porte de l ’A uvergne un soun o tre pays. M. A n d ré T ard ie u est r e p a rti pia r la ro u te en d irectio n de .... M u râ t et du Li o ran . Nous croyons sa v o ir q u ’il se propose «1e L E G IO N D ’H O N N E U R co n sac re r q u elques jo u rs à la visite de la H aute-A uvergne. Paris, 31 Juillet. • Ministère de la r*a«Ine m arohande Est promu au grade d ’officier : M. Noël CHAUSSURES I"* marquis et tous prix, Schoofs, capitaine au lonj; cours ; très belle conduite lors de l’incendie ùe 1’ « Atlantique ». AUX V ILLES DU C EN TR E I titre posthume, a été nommé au grade de chevalier -------------- N O U V E L L E S M IL IT A IR E S devoir. M. Belingard, lieutenant, 92« R.I., est mie à la disposition du général com mandant su périeur des troupes du Maroc e t rejoindra p ar Oudjda. P E T IT E S N O U V E L L E S ... Paris, 31 Juillet. NIMES. — Une jeune fille de 15 ans, Mlle Valette, s'est noyée eu se baignant au Graudu-Roi. COLOGNE. — Le 25« Congrès m ondial de l’Espéranto s’est ouvert à Cologne. P rès demille délégués représentant 32 pays y pren nent part. LA HAVANE. — Les conducteurs d ’omni bus de La Havane, Mariano, Jamainitas-San-, José, qui s’étaient mis en grève, ont renver sé et brûlé des omnibus et des taxis. BRUXELLES. — On annonce la m ort ino pinée à Spa de M. Maurice Desipret, ancien 250 anciens combattants français sénateur, président de la Compagnie inter nationale des wagons-lits, ancien conseiller se rendent en Amérique de la délégation belge à la Conférence de ia paix. Le H av re, 31 ju illet. LE CAIRE. — Au cours d ’une querelle en Un g ro u p e de 250 an c ie n s c o m b attan ts tre deux familles, à Elayat (Hte-Egypte) 6 persqnnes ont été tuées et une trentaine ont fra n ç a is se so n t em b arq u és a u jo u rd ’h u i été blessées. s u r le « P a r is »> p o u r N ew-York où ils LONDRES. — D’après le » Daily Herald vont ren d re aux an c ie n s co m b attan ts am é ric a in s la visite que ceux-ci fire n t en le gouvernem ent chinois au rait décidé de F ra n c e en septem bre 1927. Le « P a r is » a m ettre en vente les Joyaux de la couronne À?y£r,.Ial€ dont la valeur totale »’élèverait à ap p a reillé à 13 h. 30. 2o0.000.000 de livres sterling. Toulouse, 31 Juillet Il y a quelques mois, un m ouvem ent Insu rrectio n n el é ta it sig n a lé d a n s la R ép u blique d ’A ndorre. Ce m ouvem ent, o rganisé au printem ps d ern ie r p ar la jeunesse an d o r rane, a v a it pour cause le m écontentem ent occasionné d an s le pays p a r les m éthodes ad m inistratives du Conseil général des com m unes, auquel on reproche d ’avoir livré le pays à ce rtain s élém ents internationaux susiects. Il y a quelques sem aines, une délégaion som m a le Conseil général d ’accorder les réform es exigées et n otam m ent le suf frage universel. Après un tim ide essai de résistance, le Conseil finit p ar se soum et tre et un décret signé p ar les deux coprinces d ’A ndorre, le président de la République et l’évêque d'U rgel, M gr R icard F arnes, vient d’établir le nouveau régim e constitu tionnel. Ce décret, qui a été publié d an s les six paroisses an d o rran e s, com prend trois a rti cles : «(Article prem ier : le régim e électoral se ra modifié su r une base plus large et de nouvelles élections sont à fixer p a r une délégation perm anente ; le Conseil général est dissous ; article 2 : un G ouvernem ent S tra sb o u rg , 31 juillet. provisoire est nom m é p a r les coprinces ; A l'in s tig a tio n de la S ection Strasbourg article 3 : les sessions du G ouvernem ent seront publiques ; tout A ndorran de vingt- geoise de la C. G. T. U., les S y n d icats ou v riers de B tra sb o u rg à l’exception de quel cinq a n s peut assiste r aux débats. ques-uns o n t décidé de d écréter m a rd i pro ch ain la grève g én érale. Cette décision a été p rise a la su ite de la p ro lo n g atio n de Vague de chaleur aux Etats>Unis la grève des o u v riers du b âtim en t auxquels v ie n d ro n t s’a d jo in d re m a rd i m a tin , à p a r N ew -York, 31 Juillet. t i r de 9 h eu res, les o u v riers d u gaz, d« U ne violente vag u e de c h a le u r sévit ; îx l’électricité, des tra m w a y s e t d u p o rt de E tats-U nis. Le th e rm o m ètre a a tte in t à S tra sb o u rg . New-York 100 deg rés F a h re n h e it, so it 37°4 centigrades, la p lu s h a u te te m p é ra tu re U N A V IO N -C O U C H E T T E S depuis 1918 p o u r cette époque de l’année. On a en re g istré p lu sie u rs décès d û s à la Le Bourget, 31 Juillet. chaleur.. Le monoplan métallique am énagé en avion couchettes, venant de Toulouse qu’ii avait quitté à 8 h. 10 est arrivé a u Bourget à 10 h. 37, piloté par Doret. A bord de 1 appa reil qui porte su r son fuselage l’inscription » Air-France », se trouvaient six personnes. L’avion, du type à ailes surbaissées, est m u ——vvv—— ni de trois m oteurs à refroidissem ent par air d» 575 CV. Il a réalisé de Toulouse au L yon, 31 ju ille t Bourget une moyenne h o raire'd e 247 kilomè Cet après-m idi, u n in d iv id u que l’on tres. Huit personnes allongées et très confor croit être Louis B ressan, fo ra in , se b a tta it tablem ent installées trouvent place dans ia s u r les bords du R hône, vers le p ont du cabine d ’où ia visibilité vers l’extérieur est chem in de fer de P e rra c h e , avec u n A rabe parfaite. vagabond. S oud ain , on vit les deux ad v e r sa ire s p erd re F équilibre e t tom ber d a n s le fleuve, où ils d is p a ru re n t em portés p a r le Attentat contre une église espagnole c o u r a n t L eu rs corps n ’o n t p u ê tre re tro u vés. Le F e rro l, 31 ju illet. Des in c o n n u s o n t a rro sé d ’essence la po rte de l ’église de N otre-D am e aes Nei ges. L a prom pte in terv en tio n des pom piers a évité la d e stru c tio n de l’édifice q u i a un e ce rtain e v a le u r artistique» M ARDI 1» A O U T 1933 F A C U L T E D E DROIT, Un bienfaiteur de» montagne» Paris, 31 Juillet. L’ouverture générale de la chasse au ra lieu en 1933 aux dates ci-après : Le dimanche 20 août, dans la première zone formée des départements suivants : Aude. Bouches du-Rhône. Corse, Gard, Hérault, Pyrênées-Orientales, Var. Le dimanche 27 août dans la deuxième zone formée des départements suivants : Hautes Alpes, Basses Alpes, Alpes-Maritimes. Ardèche (partie sud-est), Arlège, Charente (sauf 1 arrondissem ent de Confoiens), Charente-lnférieure, Dordogne. Drôme. Gironde, Gers, Haute-Garonne, Isère. Landes, Lot-et-Garonne, Basses-Pyrénées, -Hautes-Pyrénées, Rhône. Savoie, Haute-Savoie. Tarn-et-Garonne (sauf partie est), Vaucluse. Le dimanche 3 septembre dans la troisième zone formée par les départements suivants : Ain, .’.isne, Allier, Ardèche (sauf partie sudest), Ardennes, Aube. Aveyron, Belrort. Calva dos (sauf partie sud-ouest), Cantal, Charente (arrondissement de Confoiens), Cher. Oorrèze, Creuse, Côte-d’Or, Doubs, Eure, Eure-et-Loir, Indre. Indre-et-Loire, Loire, Haute-Lolre* Loiret-Cher, Loiret, Lot. Lozère, Marne. HauteMarne, Meurthe-et-Moselle. Meuse, Nièvre, Nord, Oise. Orne (sauf partie ouest), Pas-deCaJats, Puy de-DAme, Haute-Saône, Saône-etLoire. Sarthe, Seine, Seine-etOise. Seine-Infé rieure, Seine-et-Mame. «Deux-Sèvres, Somme, Tarn, Tarn-et-Goronne (partie est). Vienne, liaute-Vienne, Vosges, Yonne. f AITS DIVERS A CLERMONT, ’ Piqué par une vipire M. S ervita« B aptiste, âgé de 53 an s, su r v eillan t h la C om pagnie P.-O., o rig in a ire de C eyssat, d e m e u ra n t ru e a u ’lo.-ac», a C lerm ont, a été piqué p a r u ne Vipère. Il a été h o sp italisé a 1 Hôtel-Dieu. DANS LAJ3EGION Accident mortel d’automobile ANTO INE R O USSEL Sous le patronage : Des Coopératives «t Industriels laitières d'Auvergne, de la Fédération des Syndicats agricoles du Puy-de-Dôme, de la Chambre d Agriculture du Puy-de-Dôme, de l’Office ’ Agricole départem ental, de l'Union des Syn dicats d'Elevage de la race Ferrandaise, de la M unicipalité de Laqueuille sera inauguré, le 13 août, à Laqueuille, un buste à la mé moire d ’Antoine Roussel. Ce geste de recon naissance et de gratitude était Dien dû à celui qui a été le créateur du fromage bleu d ’Au vergne. Cette industrie a pris un grand déve loppement et la production peut-être évaluée à un minimum de ÎO.UOO tonnes de fromage p ar an. C’ert donc une somme im portante de revenus et un débouché très avantageux pour le lait. Elle intéresse Je Puy-de-Dôn»e, Je Can tal. et... tous les consom m ateurs de bon fro mage. Antoin« Roussel né à Villevialle, commune de Laqueuille en 1820. Il était l’aîné d’une nombreuse famille, dont il devint le soutien, à la mort prém aturée du père. Chadun sait combien ô cette époque les temps étaient durs pour tout ie monde, maitr 1 particulièrem ent dans ces montagnes où le ' seigle même venait quelquefois à m anquer. Alors, c’était la misère, sinon Ja famine. Le lait était utilisé à la fabrication d ’une petite fourme dite de Rochefort qui se vendait au chef-lieu de canton dix. douze francs le quin tal. Roussel, étreint p a r le souci de subvenir aux besoins d'une famille nombreuse, se con vainquit vite qu. des am éliorations pouvaient être apportées. Très observateur, il avait rem arqué que les petites fourmes bleuissaient à certains en9 droits, tels que cassures, crevasses, trous de rats et que ces parties ou le bleu se dévelop pait étaient meilleures au goût, plus fines ; il fallait donc chercher à faire au fromage « bleu ». Il modifia d'abord la forme, en utilisant des moules en terre cuite, m ais ils étaient trop fragiles ; il les rem plaça par des moules en bois qui ont eux-mêmes disparu, remplacés * p ar la tôle étamée. Si la forme éjptt trouvée, 1e • bleu » ne s« développait qu'en surface et non à l’intérieur, comme Roussel l ’eut voulu. Il continua avec acharnem ent les essais sans arriver à un r résultat satisfaisant, mais ces tâtonnem ents lui abîm aient beaucoup de fromages, sa situa tion devenait difficile angoissante même. Qu importe, il travaillerait un peu plus encore il voulait aboutir. Si le fromage ne bleuissait pas suffisam ment, trop souvent hélas, la tourte de pain de seigle bleuissait trop. Roussel fit un rap* prochement. Est-ce que le bleu du pain ne se développerait pas dans le fromage ? Nouveaux essais ; Je caillé fut parsemé de poudre da pain moisi. Les résultats furent concluants, le fromage bleuissait dans toute son épais seur. le principe du bleu d ’Auvergne était trouvé. * Cependant, U y avait encore un Inconvé nient : les fromages ensemencés m ettaient trop longtemps à bleuir, ce qui nuisait au bon goût et à leur qualité. Là encore, Roussel observa. Il rem arqua qu’aussi bien sur les fromages que sur la tourte, la moisissure com m ençait toujours aux fentes, aux trous de rats ; il en conclut que l’air était nécessaire au développement du champignon ; il fallait donc aérer. Il se servit d ’abord d'une simple aiguille â tricoter, emmanchée dans un hou» de bois. A ujourd'hui, on utilise des machines automatiques dont une des premières a été construites et inventée par M. Clermont, mécanicien à Rochefort. * Le succès était complet, la fabrication était au point. En un mois, les from ages bleui«" saient ; c ’était en 1854. Roussel fit alors une installation qui lui permit de traiter Je lait de son exploitation : il en fit profiter les agriculteurs de son village, de toute Ja région ensuite, car il s’em pressa de vulgariser sa découverte. Des échantillons du fromage ainsi fabriqué furent envoyés à Clermont, Lyon, SaintÉtienne. Ils furent très appréciés. les dem an des devinrent actives ; ils se vendit 50 francs le quintal, cinq fois Je prix de Ja petite fourme. Quelle révolution I L'opiniàireté de Roussel avait procuré nlus de bien-être à sa famille et à toute la région. Les débouché» s é endant. il fallait produire davantage ; l ’ac tivité d’Antoine Roussel se porta de ce côté Le premier, il conseilla l’abandon de la cultqre du ^eigle, par trop aléatoire et déce vante ; il préconisa la création de prairies e» de pâturages, un emploi plus normal du fumier, ia construction de plate-forme et de fosses à purin. Je drainage des 6ols humides. ! irrigation chaque fois que la chose était pos- Ä sible, 1 amélioration du logement des anlmaux, de leur nourriture, des laitières en Durticulier, etc... L’évolution — résultat de toutes ces réali sations — a été immense ; Je cheptel a aug. menté de 100 pour 100 en nombre et en qua lité. r Antoine Roussel a été vraim ent un précur seur. 11 a passé une partie de sa vie sacrifiant son te m p , et ses intérêts à la création, à la mise au point d ’une Industrie qui a apport« dans des régions particulièrem ent déshéritées le bien-être et l’aisance. Ses conceptions culturales sont venues parfaire son œuvre. Pour tout cela, il a droit à la reconnais sance de tous et particulièrem ent de ses con citoyens et l’érection de son buste ri’est qu’un Juste hommage rendu à cet homme de bien. A ROUSSEL Antoine Créateur du fromage bleu d ’Auvergne *■ les agriculteurs reconnaissants 1820-1854-1886 Le P u y , 31 ju illet. 8ES8ION DE JUILLET 1934 ' H ier dim anche, vers l a fin de la ooiré», DOCTORAT A obtenu le diplôm e de docteur en droit : u n accid en t d autom obile s est p ro tiu u au q u a rtie r de la R en aissan ce flans deB cir M. Jean Heynauu. Ont obtenu le second diplôme d ’études su co nstances encore im précise« en l ’é ta t périeures de droit rom ain et histoire du droit actu el de l’enquête. Un v ieillard de 78 an s, M. F o u rn e t B ap et de droit privé : MM. Jean Fourmoux, jean iMazaud. tiste, qui tr a v e rs a it la .ro u te , a été h eu rté Ont obtenu le prem ier diplôme d ’études su et ren v ersé p a r u n e au to que co n d u isait périeures de droit rom ain et histoire du drbit M. G ibert Célestin, fa b ric a n t de dentelles, et de droit privé : Mlle Madeleine Père (men ru e Vibert. L a victim e, tra n sp o rté e à l ’hô tion bien) ; M. Marcel Berthon, Mlle Margue p ita l, y e st décédée d an s la n u it. rite Maliet. Ont obtenu le diplôme d ’études supérieu res d ’économie politique : MM. Mari us LeUne auto capote peix, François Roche. LICENCE EN DROIT et tombe dans mwuisseau Troisième année A urillac, 30 ju illet. Ont obtenu le diplôme de licencié en droit : D im anche, vers 18 heures, M. Félix M al MM. P au l Divol (mention bien) ; François ler, 25 an s, de P a ris , actu ellem en t en villé Teissier (mention bien) ; Pierre Borie (men tion assez bien) ; Claude Pivot (mention as g ia tu re d a n s le C an tal, rev e n ait en au to sez bien) ; Paul Prouzat (mention assez bien); de S ain t-P au l-d es -L an d e s et se re n d a it à M ontsalvy. Il a v a it avec lui sa m ère, Mme Joseph earlier, Gaston Malet. Ju lie M aller, 45 an s, non fils, M, A ntoine Admissible ; Mlle Marie Bravard. M aller e t u n neveu, M. Jeun Luoa&sagiie, Deuxième année Ont obtenu le diplôme de bachelier en droit: 20 ans. Au lie u d it E sp in a t, s u r le te rr i MM. P aul Calamy (mention assez bien) ; P aul to ire de la com m une d ’Y trac où la route Chassagne (mention assez bien) ; Paul Piollet n a tio n a le fa it u ne légère courbe, l ’a u to (mention assez bien) ; Jean Boyer, Fernand m obile a capoté, s’est reto u rn ée, et, ap rèe Chauveau, René Défradas, Henri Fournier, av o ir fau ch é u n p o teau télég rap h iq u e, a Pierre Gauthier, Charles Kappeiin, Henri de fra n c h i le p a r a p e t p o u r aller tom ber d an s Lachapelle, Mile Marie-Louise Lèbre, MM. le ru isse a u d ’E sp in at. A U JO U R D 'H U I Georges Ma«, André Moncelon, Henri Rochut, Les tém o in s de l ’accid en t se précipitè Fête à souhaiter : S a in t Alphonse. Andre Sohin ; Mlle Marie Tantôt, M. Léon Vire n t au secours des victim es q u i fu re n t — Lever du soleil, 4 h. 24 ; coucher, gier. Admissibles : MM. Gaston Bizot, Albert au ssitô t tiré es de le u r fâcheuse position. 19 h. 29. Lever, de la lune, 16 h. 18 : cou Mme Ju lie M aller e t M. Je an L aeassaBonamour, Jean Brunei, Léon Chapuis, Mlle. cher, 23 h. 37. Catherine Gourdlat, MM. Jean Horn, François gne é ta ie n t blessés à la tête. Les deux a u Manigand, Jean Roudaire, Mlle Geneviève tre s v o y ag eu rs n ’av a ie n t au c u n m al. AU CASINO DE ROYAT : A 20 h. 45. gala de Thibaudin, (M. Gaston Tournaire. L ’au to est en piteux état.. comédie : Echec à la Heine, avec la tournée Première année LedrazaL. Ont été adm is définitivem ent : Mlle ElisaEn rentrant du bols b e th jie Lescure (mention bien) ; M. Adrien Le Dooteur FOURNIOUX, spécialiste des Touniaire (mention bien) ; Mlle Marie Déun instituteur est tué (mention assez bien) ; M. P au l Doupeux oreille«, nez, gorge, eera abeent du 30 bizé (mention assez bien) ; Mlles Marcelle Musçiier Saint-C hély-d’A pcher, 31 Juillet. Juillet au 20 Août. (mention assez bien) ; Aimée Perroton (men D im anche m a tin , 30 ju illet, vers 10 h eu tion assez bien) ; MM. Jean Arnaud, Jean res, M. T rocellier A lphonse, o u v rie r p ein Boutonnet, Raymond Brossel, Mlles Lucienne Dooteur Q U IY 88A O eet rentré Brun, Jeanne Chassaing, M. Henri Communal tre à S aint-C hély-d’A pcher, r e n tr a it qu el Mlles Suzanne Comte, Suzanne Delèstrade, ques b ûches de bois d a n s son g aletas, a u iMM. Bertrand Douët, Hippolyte Gamelcy, Ro m oyen d ’une corde et d ’une poulie. M. N A I8SA N C E ger Héritier, Marcel Jalin, Robert Jette, Geor- B onnet, in s titu te u r en re tra ite , q u i p a s Le Docteur et Mme Louis Giraud »ont heu e» Lemerle, Maurice de Longevialie, Paul s a it à ce m om ent, s ’o ffrit n o u r lui aid er, reux de faire p art de la naissance de leur lercier. Antonin Montel-Mozat, Maurice Plas- f o u s deux tir a ie n t s u r la corde lo rsq u e tille Marie-Françoise. 6at, René Roche, Paul Sauty de Chajon, Mlles cette d ern iè re se ro m p it b ru sq u em en t, M. Jacqueline Tabcum el, Marie Teissier, M. René .Clinique Sainte-Madeleine, T rocellier qui é ta it a u g aletas, à en v iro n Vigier le 23 juillet 1933. Admissibles • MM. Pierre Baud, Lucien 10 m ètres de h a u te u r, e n tra în é p a r son Bar*se, P au l Chassaing, Mlle Marguerite De- effort, fu t précipité en b as e t v in t s ’effon guilhem, MM. Louis Deçeix, Pierre Félix, Jac d re r s u r M. Bonnet, ce d e rn ie r qui ne p a NÉC R O LO G IE ques Fournet, Henry Hamonic, Adrien Hosta- ra is s a it p as av o ir de blessu res a p p a ren te s lier, Mlle Paule Plane, M. Henri Tridon. fu t tu é s u r le coup. On suppose q u ’il y a M. Joseph Qard. — On annonce la m ort de eu fra c tu re de la colonne vertébrale. M. CAPACITE EN DROIT M. Joseph Dard, adm inistrateur du « Moni T rocellier, quoique sérieu sem en t blessé à Deuxième année teur », officier de la Légion d ’honneur, dé Ont obtenu le diplôme de capacitaire en la m âch o ire et s u r diverses p a rtie s du cédé hier en son domicile des Roches. : MM. René Buiseon (mention bien) ; corps ne p a r a it p a s en d an g er. 11 était né le 26 décembre 1862, à Saint- droit Edmond Millet (mention bien) ; Jean Bour -— < fia e m T i^ C o n ^ e rv a to îr^ d e ^ è tte ^ v ill^ ^ u i «a I na* <m ent’on assez bien) ; Antoi’ne ThiouîounreDare à fêter son centenaire ’^ 60 (mention assez bién) ; Jean Caton. Jean Eglise Sainte*Jeanne*d'Arc L e C o m i t é d e P a t r o .i a g « . Après de brillantes études à Saint-Étienne te^x ^^ à r ^ ^ 1 îvir He nr?ZF cmiVinn^ r it kp rt —" " "— - » — « et à la Faculté de Droit, il vint s ’installer Laciôîre* Alexandre Lautier Franco?*« TOMBOLA KT 00NC0UR8 0 8 BALLON! comme avoué à Clermont, où il succéda à M* | k allard A n n Ä r c e p Ä Service des Poids et Mesures Voici la liste des numéros gagnants de la Boyer. La confiance de ses collègues 1« plaça Robert Mouroux, Jean Oilier, Antonin f a r tornoola et le résultat au concours de ballons à la tête de leur chambre. Il épousa alors la fill« de M. Monttouls, di rier, Mlles Aurélie Prunayre, Georgette Quey- de la kerme»6e du 30 juillet : BURKAU DB ÔLERMONT-FERRAND riaux, MJean Serindat. ». N® S. N* recteur du « Moniteur » et de ses imprim eries, S. N» S. N* S. N° Le bureau de vérification sera ferm« do Première année et, à la m ort d-e son beau-père, en 1910, lui 96 20 122 10 101 13 66 19 110 7 4 au 24 août 1933. (Ancien régime). — A été adm ise : Mlle 116 15 succéda dans la direction du Journal. 98 2 60 13 6 6 9 J0 Le Vérificateur ; Lethuaire. Sans être un journalist« professionnel, 11 François» Perceau. 2 21 118 3 107 12 16 17 40 19 (Nouveau régime). — Ont 8té adm is : Mlle ne devait plus cesser, dès lors, de s ’oocujfir 68 1? 3 3 42 17 50 22 22 5 * — des affaires de presse. Il déploya dans ses Jeanne Lachaud (mention bien) ; M. Marcel 36 15 S3 17 72 7 62 15 61 23 15 7 nouvelles fonctions ses qualités a ’adm inistra- Laroche (mention assez bien) ; Mile Marie 103 7 25 23 LA C C U PE D U P R E S ID E N T 11 21 65 6 teur et se fit apprécier d-e ses confrères de ia Morange (mention assez bien) ; M. Georges 82 24 61 15 10 25 l 11 51 26 •u GoU-Cluh de Royat Bellon, Mlles Georgette Bernard, MiM. Robert 120 20 presse régionale par la cordialité de ses rap 28 9 47 25 20 15 P.) 25 63 7 ports. 11 y com ptait de nombreux amis, qui, Blanc, Jean Bonnefoy, Laurent Brun, Marcel 77 22 4 20 39 15 J4 3 85, 27 10 comme nous, s ’associent au deuil du journal. Clémentei, Henri Ducrohet, Mlle Jeannette 54 10 124 19 75 II Nous avons assisté, dimanche après-midi, 13' 3 41 10 11 collabora à diverses œuvres d'assistance Fournier, MM. Jean Jeanneret, Jean Martel, 52 24 102 2 92 13 ft du très beau golf. La partie, cependant, pendant la guerre, où ia m ort de son beau- Jean Meya, Mlle Jeanne Nény, MM. Georges 30 13 26 21 21 10 37 22 87 9 ne fut pas très disputée, et la gagnante, beau- * riel Rongier, Rongier Mlle 108 13 Gabriel 121 7 frère, tué aux Armées, endeuilla douloureu Porte, René Poukhon, ^jab 86 5 32 20 58 ?o coup trop forte pour ses ailverbulres. ne fut Madeleine Roustan, MM, Alain SacTier, Mar18 16 23 * 55 sement la famille Montloui«. En 1924, la trans 73 13 104 23 23 10 pas inquiétée un instant. Mme l'iherghien 19 25 111 9 74 9 form ation du » Moniteur » en société fit d« cel Suchet, Mlle Emilie Vidal. 49 15 »8 11 d'Assonville, du Golf de Saint Germain, ter Admissibles • Mlie Andrée Chabrand, MM. Cl 12 48 19 117 7 M. Joseph Dard l’adm inistrateur du Journal 115 15 81 u mina le parcours avec le score écrasant de 46 13 113 13 et des imprimeries. Depuis quelque temps, «on P ierre Decombre, Pierre Domazon, Michel 12 10 71 18 5 18 9 up 6ur le bogey, H faut s’incliner devant 60 4 43 17 53 25 état de santé le tenait éloigné de ses occu Mallet, M ie Denise Mialet, M, Michel Per38 19 45 18 un pareil résultat, car il démontre, en plus ceau, Mlle Marie Rousseau, 'MM. Alphonse 76 7 126 12 34 pations professionnelles. Il y était remplacé 16 80 25 59 é de la haute valeur sportive de Mme Tiber17 II 7 12 125 4 114 par son fils, M. René Dard, qui su t »« fa.ra Sabadel. Charte» Virolie, George» vigier. 19 123 25 g|ueu, l'excellente condition de notre par 35 13 91 10 100 12 apprécier par l’am énité et la distinction de Lauréats des concours de fin d ’année cours, qu'une petite averse de la uiatine« son caractère, où l’on ratrouv« celles d« son avait rafraîchi à souhait. Prem ière année : Histoire du droit. — jw Tombola du bazar, — Le n* Il gagne une grand-père, journalist« do classe. Bien que irix, M. Maurice Chassot ; 2* prix, M. Ber- amphore grès flammé MM. Henri Rochut, du G. C. R., et Edwards, nous n’ayons jam ais eu les mêmes idé«« que rand Douét : mention, Mil« Marie Beauia,,du Golf-Club de Nice, égalisèrent ensuite pour Le n* 56 gagne un plat Strasbourg. le • M oniteur >, nous tenons, eu cette dou deuxième place, avec 5 up. et partagèrent Oenoours de ballons. — l»r prix, Raymond la loureuse circonstance où s'évoque le passé do le deuxième prix Ensuite. 3 up. Mme P av ECOLE DE NOTARIAT Besse ; 2« prix, Georges Adnot ; 3» prix. Bri- Cault, notre confrère, à rendre Justice aux qualités lUt1’ trois cinquièmes, M.M. i.yonel Pasgltte Hauvette ; 4« prix. Yves Erard ; 5* prix cault, et Diplôme de fin d'études de son fondateur «t à celles aes im mores de Léon Cohendy et Henri Fraisot. Ht Paul Erard ; 6* prix, Lucien Prelle sa famille qui lui succédèrent, Les examens de l'Ecole de Notariat ont eu notons enfin, a la tête des non classés, Les lots pourront être retirés au' preebv- nous Adm inistrateur des Hospices en 1908, M, Jo lieu, «u siege d» l'Ecole, ie« jeudi 13 «t sa M, Bohat, 1 up. i tère de l église Sairite-jeanne-d'Arc, Jusqu'au seph Dard devintw ice-présldent du comité di medi 15 juillet 1933. + ----------------------recteur. Il fut h deux reprises vie«-président Le jury, constitué conformément au décret 12 août Inclus, de 11 à 12 h. et de 18 à 19 il. du Comité directeur d« l'U nion Hospitalier« d u NOTA — Les lots non retiré» à cette dsté m al 1905, était composé de MM. Mazel, du Centr«. •président du tribunal civil, président ; Rous resteront acquis à l'oeuvre N O V fl.1 V . — T o u s les so irs. * *0 0. M. M stlpS» Chevaiier d« la Légion d ’honneur du 8 avril seau, professeur à la Faculté de Droit de Poi .tes j«p<Ms d in is n .-h e s s t fê U M . S IB u s u re s 1913, au titre de l'Intérieur, il fut nromu offh tiers ; Juilhard, directeur de l’Ecole, doyen U c élèb re filiu c a ’ tn ttir r » « rs c C o o ra d V enu «s cie en 1932, au titre de . . la S. snté . ublique. de la Faculté de Droit de Clermont ; Vlalatte, Its th e r fla ls to o : « s m s f spr«M Au o m a r s u intt ; Nous p rio r» Mme M ontions, Ame Jo u i directeur de l ’Enregistrement «t Bothe, pré S y » u m * 0 , t r e e BolUn si C M rM a v L 'o rc b o str« Dard, MM. René et Gabriel Dard, sident de la Chambre des Notaires de Cler D sjo s IU IU - Los d é r o u te s A ctualité* mille« j 1« pérsonnel an * Moniteur __ m ont-Ferrand. • — .1. Pierre de Féllce. avocat ft la Cour d’«Dimprim erie* Montloul», d* ro u v e r tel l’tx«IN SM A O A M IO. — Tous I«- tour*, sotré» * ( Ont été adm is «t ont obtenu le diplôme de pression de nos très sympathique* condo- l’Ecol« de Notariat dans l'ordr« de classement pe. de Paris, fit purnltr-î récemment, avec *0 ft. *A D im a n rb e e t leuril m atin * * a I« 6 ** une préface de -M. Henri QuoulJle, m inistre léancé*. lé L a T e rr e u r o s la « a m p a . avec I« c o m ti|it« K tS suivant MM. François Manigand, de Rocha- de 1 Agriculture, un .ivre sur la révision des fort-Mbntagne (Puy-de-Dôme) : Georges Serin- b a u x jru ra u x dont le succès fut des plus n a o d e i. - S e e n e c * a * « a i* !'* ), f e m o u n n s m a i e uo de» plu» g ro s succe» d e la n 'tS * av ec P a u l M uni dat, de» M«rtres-d«-Veyre JPuy-de-Dônre) e j t Usson D A N S LA M A G ISTR A T U R E Mlle Anne Marce^oilj de St-E tlennejur-“ Aujourd’hui, U publlo un ouvrage exact«- et A nn D v n rsk . René C h a v lg n i« de l’Hô- ment (Puy-de-Dôme) O A PITO L«. — R elâche. mime genre, expliquant d ’une maSont nommés t juge au tribunal d'Aurlilac, oltai-Yd *-|!« Marie D T)alle, _ . de mère du ital-Yde» (Cantal)., ; Ml’« a iA L T O - M L * « « . - R elâch e. simple et vivante, avec des exemples M. Vernazobre*. Juge suppléant du ressort d* pi_________ M. Gilbert Laclôtre, "(L o zère Prlnsuélols (Lozère) é Hfl** ** VI« p ratiq u e,.la loi du 12 Juillet Montpellier. (Ailler). d ’Arfeufll««........... la « permettant aux coinrnvrmMt* nuv fn***. P rocureur de ]& République à Chaumont, l p _____attribué à ces candidat» réduit Le diplôme M. Laroze, substitut du Procureur d« la Répu le stage notarial et le porte ‘de six à quatre triels «t aux artisans ia révision de leur* baux. blique à Saint-Étienne. années. . tour, ce livre est sûr d'un accueil Le prix de la Chambre des Notoires de Cler emAprson ssé du public. Nous rappelons à nos alxinnét mont-Ferrand a été décerné à M. François Quiconque — commerçant. Industriel ou Manigand, avec la médaille de bronze; don artisan ue toute demande de changement faire réduire son bail et s« d« l’Association nationale de» notaires de patente, —envoudra fera son g u id r d'adresse doit être accompagnée d e A VQYAOKUR S P d O I A M S * v e n t « Auto» France Prix t 4 fr-j franco i 4 ,0 0 Le prix de la Chambr« des notaires de la dernière bande et de la somme mobil««. » Curriculum v it» EN VENTE : Selles des DènAches d« “âvnitlr, Rjom a été décerné à M. Htppoiyte Gamelcy, E crire HAVAS, G U r m o n t . 4, rue Blatin, et 15, rue du Port, Olerment-Ptf. de un franc. d« Clermont, étudiant de première année. Cfirooique Locale f { DANS L E S CINEMAS La révision des baux commerciaux CHANGEMENTS D’ADRESSE ON D E M A N D E «I 4 Sans doutj tes parent« écarté les jol c laratio n s a i p ro m ettan te s d i M. O'Conl ^ q u a t r e ou cil < R a b a ttu à coul ’d a it de son f m a tin , le 7 sance, il se confortable I Il fu t convd su b ir aucun] d its dem and! ran ç o n de 21 P u is, effrij de m o rt pro f le b a n d it jv j (Mlle M ary 1 lem en t à liL dollarsjf I L a ra n ç o n n ie r. Les hill n u m é ro s relj la police féd de cette opé iinm édiatem l de Ncw-Yorl ap rè s préseij éq u iv alen t à que eu t soiil dos ban d its I q u ’ils^avaierl Les assend recevront dol n eu r, M. Lel[ yatio n des I d é jà six E L i M on tan a, Cl m o rt. U On apprenl Individus coi M. O’C onnej «ont soum is LES II Le ro p t n ’<j ue crim inel es vols de «Hfes E ta ts d el ^ f l 'l d a h o et l’I ta m m e n t. L<| des cam ions e t revendus Récem m ent de W a sh in g ( an, de prison que les pionil • a ie n t de J&l E Lycéens l e jcnne«| de p a sse r q je u n e s lycéei do v ac an c es' a u jo u rd ’hui bleu, blanc, aux m o rts dj æ u D ans les o ^ r è a touché ;| çaJs. Ce ge;J sa tisfac tio n <1 cueil reçu e l com pli p a rc e l du com pte J iveut ig n o re r] co ntre son J m e n t à ce cr| l ’étra n g er. L ] B erlin a u jo u l Ils iro n t à B| logne-sur-M eq REVUE LB| Figaro. • le» bu»;i,ilistes pm gent d ’avad lion üe traite I leur situation.l M l.am oureuJ les mesures d conformes au bien entendu Deflation oui Si le gouverml l'inflation, corl tude avec la || hlètne de mat If périeures lui Journal des 11 représentaient die. ou ils n < Iiurtt socialist, hodes et rôv e leur profit, rien dire. Si N façon de M. Bll de M. Zyrom s| M. Paul Faur« et pourquoi e< I qui est un IrrH posons pas qui de devenir s o i naudel a eu u| hérétique. En de ces deux M 0 1! nous donn<i ton embarras UN1 L'!ntransigea| sumé de ces :1 de ia monnalel une catastropf m et obstacle faires. Nous n ’enteni rie ; nous vouj la réalité, doriî "atlon. Tous de se livrer ft La vérité d . prédation de j| ft la guérison. Pour rétablir ehe normale de| térieur et ft l’e> dit et aussi poj saurisation de n'eri existe qu ’t naie. _ Hors de lft. ni m ) Il faut désiref r tho«es s Impose contins elle s'e--| ti iii •:: j .mache« MARDI 1" AOUT 1933 C A V B N IR OU tagnes L llllliaM M IIIM IIIIN N N IlN IIN tN I SSEL isM iiitiiiiiiM iH H H a n iiia ïA M i L’ENLÈVEMENT DE M. O’CONNELL JUNIOR A lb a n y ( N .- Y .) , 31 J u i l l e t S a n s d o u t e p a r c r a i n t e d e r e p r é s a i ll e s , te s p a r e n t s d e M . O ’C o n n e ll J u n i o r o n t é c a r t é le s j o u r n a l i s t e s o u o n t f a i t d e s d é c la r a tio n s a u s s i b rè v es e t a u s s i p e u co m p r o m e t t a n t e s q u e p o s s ib le s u r l ’e n lè v e m e n t d t M . O ’C o n n e ll J u n io r ., .C elui-ci a d i t q u e q u a t r e o u c in q h o m m e s a r m é s l ’a v a i e n t a b a t t u à c o u p s d e p o in g a l o r s q u ’il d e s c e n d a i t d e s o n a u to m o b ile , v e r s u n e h e u r e d u m a t i n , le 7 j u il l e t . T o m b é s a n s c o n n a i s s a n c e , il se r é v e i ll a d a n s u n a p p a r t e m e n t c o n f o r t a b le s i t u é p e u t- ê tr e à N e w -Y o rk ; il f u t c o n v e n a b le m e n t n o u r r i e t n ’e u t à s u b ir a u c u n m a u v a is tra ite m e n t. L es b a n d i t s d e m a n d è r e n t d ’a b o r d & 1 ^ f a m i l le u n e r a n ç o n d e 250.000 d o lla rs ., P u i s , e f f r a y é s , c r o it- o n , p a r la s e n te n c e d e m o r t p r o n o n c é e d a n s le M is s o u r i c o n tr e le b a n d i t J V a l t e r M e G ee, q u i a v a i t e n le v é M lle M a r y M c e lb o y , ils c o n s e n t i r e n t f i n a l e m e n t à l i b é r e r le p r i s o n n i e r c o n tr e 40.000 d o lla rs .? L a ra n ç o n le u r fu t p a y é e v e n d re d i d e r n i e r . L e s b ille ts a v a i e n t é té m a r q u é s fet le s n u m é r o s r e le v é s p o u r ê tr e c o m m u n i q u é s à l a p o lic e f é d é ra le .. P o u r e f f a c e r le s t r a c e s d e c e tte o p é r a t i o n , le s b a n d i t s d é p o s è r e n t i m m é d ia t e m e n t l ’a r g e n t d a n s u n e b a n q u e «le N c w -Y o rk e t v i n r e n t q u e lq u e s h e u r e s a p r è s p r é s e n t e r u n c h è q u e d ’u n m o n t a n t é q u iv a le n t à c e lu i d u d é p ô t ; m a is la b a n q u e e u t s o in d e r e m e t t r e a u x é m i s s a i r e s d e s b a n d i t s le s m ê m e s b i ll e ts q u e c e u x q u ’ils . a v a i e n t d é p o s é s . L e s ' a s s e m b lé e s d e l ’E t a t d e N e w -Y o rk re c e v ro n t d e m a in u n m e s sa g e d u g o u v e r n e u r, M. L e h m a n n , d e m a n d a n t u n e a g g ra y a t i o n d e s p e in e s f r a p p a n t le r a p t , q u e d é j à six E t a t , ( W y o m in g , F l o r i d e , Ï J ta h , M o n t a n a , C o lo r a d o , lo v v a) p u n i s s e n t d e m o rt. Æ ^ époque le s m o n d e, m a i? ta g n e s où le à m a n q u e r, a fam in e. Le d ’u n e p e tite v e n d a it a u u n e s le q u in - \U de s u b v e n ir re u se, se co n n s p o u v a ie n t a rq u é que le s c e rta in s enses, tro u s d e u se développ lu s fin e s ; d u fro m a g e u tilis a n t d e s é ta ie n t tr o p e s m oules e n u, re m p la c é s bleu » n e se à l'in té rie u r , o n tin u a a v ec rriv e r à u n tâ to n n e m e n ts iges, sa situ a sa n te m êm e, u p lu s e n co re p a s su ffisa m x irre de p a in el fit u n ra p du p a in ne se îfe ? N ouveaux de p o u d re de ît c o n c lu a n ts, te son é p aisu v e rg n e é ta it Deux arrestations A l b a n y , 31 J u i l le t . O n a p p r e n d q u e l a p o lic e a a r r ê t é d e u x in d iv i d u s c o m p r o m is d a n s l ’e n lè v e m e n t d e M . O ’C o n n e l. O n i g n o r e l e u r id e n tité » U s s o n t s o u m is à u n i n t e r r o g a t o i r e . u n inconvé'é s m e tta ie n t ■uisait a u bon c o re, R oussel b ien s u r les -isissu re comiux tro u s de ait n é ce ssa ire on ; il fa lla it d 'u n e sim p le d a n s un bout des m a c h in e s m iè re s a été 1. C lerm o n t, LES VOLS DE BESTIAUX aux Etats-Unis S a n -F ra n c is c o , 31 Ju ille .t Le r a p t n ’e s t p a s le s e u l a s p e c t d e l a v a g u e c r im i n e l le q u i s é v i t a u x E ta t s - U n i s . L e s v o ls d e b e s t ia u x se d é v e lo p p e n t d a n » .’es E t a t s d e l ’o u e s t , l a C a lif o r n ie , l ’U t a h , i ’I d a h o e t l ’O re g o n . U s s o n t e f fe c tu é s n u i ta m m e n t . L e s a n i m a u x s o n t c h a r g é s d a n s d e s c a m io n s e m m e n é s d a n s le s m o n ta g n e s e t re v e n d u s p lu s ta rd . R é c e m m e n t, d e u x j e u n e s f ille s d e l ’E ta t d e W a s h in g t o n o n t é té c o n d a m n é e s à u n a n d e p r i s o n p o u r v o l d e c h e v a u x , c r im e q u e le s p i o n n ie r s d u v ie u x F a r - W e s t p u n i s s a i e n t d e l a p e n d a i s o n im m é d ia te » C ric a tio n é ta it n a g e s bleu;«* stion q u i Jul e x p lo ita tio n ; de son vilc a r il s'e m rte. in si fa b riq u é L yon, S a in t. les d e rn an d it 50 fra n c s de l a p e tite p in iâ tre té de jie n -ètre à s a ss d é b o u c h é s a n ta g e ; la c * de ce cô té, on de la c uliire e t décee p r a ir ie s e t n o rm a l d u -fo rm e e t d e o is h u m id e s, ose é ta i t pose n t d e s a nitiè re s e n p u r- ^ Lycéens français en Allemagne e es ces ré a lltieptel a au g e et e n q u at u n p ré c u rvie s a c rif ia n t ré a tio n , à la ni a a p p o rté î t d é sh é rité e s c e p tio n s cul* il œ u v re, la reco n n a ist de ses cone n ’est q u ’un m e de bien. A LA FRONTIERE AFGHANE )ulaissants P a tr o n a g e . lesures ERRAND fe rm é d a L ethuaire . S ID E N T oyat a p rè s-m id i, c ep en d an t» ;n a n te , beuua tre s . ne fu t l’ib e rg h ie n je r m a in , te ré cra sa n t de B in a r d e v a n t aire. e n p lu s M m e T ib e rn o tre p a r . la m a tin é e , et E d w a rd s , e n s u ite p o u r t p a r ta g è r e n t p, M m e P ast.yrm el P «sF ra iso t. El n o n c la sse s. ÉMAS n us. Matinee heure» urad V rid t as Urogramm* t ? L'orcheMr# I t'tr urs, »otree % S 14 0 AS coiiiii|ii« K*rrsiou originale • oc Faut Muai RESSE abonnés haogem ent pagnée de| la somme « LE VRAI PRO BLEM E F ig a ro . — D é fla tio n , ja m a is , p ro c la m e n t le» so c ia liste s . E t les e m p lo y é s de l ’E ta t s ’in s u r g e n t d 'a v a n c e c o n tre to u t p ro je t de ré d u c tio n de tra ite m e n ts , c o n tre to u te a tte in te à le u r s itu a tio n . C o m m e n t d o n c M. D a la d ie r, M. [.a m o u re u x , c o m p te n t-ils fa ire a c c e p te r le s m e s u re s q u 'ils e n v is a g e n t si e lle s s o n t c o n fo rm e s a u b o n se n s e t à l ’in té r ê t p u b lic bien e n te n d u ? D o riatio n o u In fla tio n , tel e s t le d ile m m e . Si le g o u v e rn e m e n t e st ré s o lu m e n t h o stile a l ’in f la tio n , c o m m e n t c o n c ilie ra -t-tl so n a t t i tu d e avec la p o litiq u e d u so u tie n ? Ce p r o b lèm e de m a th é m a tiq u e s p a rle m e n ta ir e s s u p é rie u re s lu i d o n n e r a d u n i a re to rd re . M. R E N A U D E L J o u r n a l des D ébats. — Les n é o -so c ia liste s re p ré s e n ta ie n t u n e te n ta tiv e in é d ite e t h a r die. ou iis n 'é ta ie n t rie n . Us n o tifia ie n t a u p a r ti so c ia liste q u 'ils r o m p a ie n t avec se s m é th o d e s e t rê v a ie n t d ’un fa sc ism e d ic ta to ria l a le u r p ro fit, ou b ien ils p a r la ie n t p o u r n e rie n d ire. Si M. R e n a u d e l e st m a rx is te â la fa ç o n de M. B lum , r é v o lu tio n n a ire à la fa ço n de M. Z y ro m sk i, a n tif a s c is te à la fa ç o n de M. P a u l F a u re , p o u rq u o i s ’élo ig n e-t-il d ’e u x , et p o u rq u o i se ra p p ro c h e -t-il de M. M a rq u e t, qui e st u n ir r é g u lie r du p a r ti ? N ous n e s u p p o so n s p a s q u e ce so it p o u r le v a in p la is ir de d e v e n ir s o u s -se c ré ta ire d ’E ta t. O u M. Hen a u d e l a eu u n In s ta n t de v e rtig e , ou 11 e st h é ré tiq u e . E n a tte n d a n t de s a v o ir q u e lle est, de ces d e u x h y p o th è se s, c e lle q u i e st e x ac te , #>11 n o u s d o n n e lu i-m ê m e le té m o ig n a g e de \ eon e m b a r ra s e t de sa tris te ss e . UNE MONNAIE SAINE L’in tr a n s ig e a n t (G eorges M a u s). — Le re sum ê de ces fa its, c ’e st q u e la d é p ré c ia tio n de ta m o n n a ie c o n s titu e p o u r le c o m m e rc e u n e c a ta s tro p h e : e lle r u in e la c o n fia n c e , n>et o b stacle a u c ré d it, im m o b ilise le s a f fa ire s. Nous n ’e n te n d o n s p a s é m e ttre là u n e th é o rie - n o u s v o u lo n s s e u le m e n t, a y a n t o b se rv é la ré a lité , d o n n e r le r é s u lta t d e c e tte o b s e r v a tio n . Tous nos c o n frè re s s o n t e n m e s u re . 59 1 vre/ à ce sim p le e x a m e n . La v e n té d 'e x p é rie n c e e s t q u ’a v e c la dêp ré c ia t.o n de la m o n n a ie , o n to u rn e le dos è la g u é ris o n . P o u r ré ta b lir la sé c u rité , a s s u r e r la m a r«ll1 n ?^rnî ai e i ^ e . l a c t,v ité c o m m e rc ia le , à F in t é .ie u r et à I e x té rie u r, p o u r r e s ta u r e r le crêa r r -*e r la d a n g e re u s e thé• o r’ 1 e x iste u n m o y e n e t il n e.i e x iste q u u n : la sta b ilis a tio n de l a m o n n a ie . £' - 0US 807lm es d a ° s 1« c h a o s. ^ «-'l à i i î ! la l*Çon é c la ta n te d e s s irnp_.se ra p id e m e n t à - to u s les p ay e cor m u e elle s e st Im posée A la F ra n c e e t a u x n »11 j i : s a tta c h é e s a i é ta lo n or. Au .Théâtre de .verdure S i m la , 31 j u i l l e t . D e s c o u p s d e f u s i l o n t a c c u e illi le s a v io n s b r i t a n n i q u e s q u i o n t .s u n v o lé à K h a r le q u a r t i e r ( g é n é r a l d e s B a j a u r l , p o u r a v i s e r c e s d e r n i e r s q u ’ils s e r a i e n t b o m b a r d é s d e m a i n à l ’a u b e s ’ils n e ’ se c o n f o r m a ie n t p a s a u x c o n d it i o n s d e l ’u l t i m a tu m b rita n n iq u e . O n s a i t q u e le g o u v e r n e m e n t d e l ’I n d e a d e m a n d é q u e t r o i s a g i t a t e u r s l u i s o ie n t r e m is , m a i s j u s q u ’à p r é s e n t a u c u n e s a t i s f a c tio n n ’a é té d o n n é e à c e tte r e q u ê te . L es fo rce s b r ita n n iq u e s o n t re ç u u n a c c u e il e n t h o u s i a s t e d e l a p a r t d e s t r i b u s a m ie s , à l ’o c c a s io n d ’u n e r é u n i o n à l a q u e lle o n t p r i s p a r t p l u s d e t r o i s c e n ts c h efs in d ie n s à S h a b k a d a r. Les interventions des nazis en Autriche préoccupent l’Angleterre L o n d r e s , 31 ju ille t.O n s o u l i g n e l ’e x tr ê m e g r a v i t é d e s i n t e r v e n tio n s d e e N a z is d a n s l a p o litiq u e i n t é r i e u r e a u t r i c h i e n n e , s o u s l a fo r m e d ’i n c u r s i o n s a é r i e n n e s à f in s d e p r o p a g a n d e n a t i o n a l e s o c ia lis te , e t 'le g o u v e r n e m e n t b r i t a n n i q u e s u i t , d ç t r è s p r è s , c e tte a c tiv ité . M a lg r é l a r é s e r v e q u ’o n o b s e rv e o f f ic ie lle m e n t, l ’a c t i o n d e s h i t l é r i e n s e s t r e c o n n u e d a n s le s m ilie u x r e s p o n s a b l e s p o u r u n e d é r o g a t io n s a n s é q u iv o q u e a u x t r a i té s d e S a i n t- G e r m a i n e t d e V e r s a ille s . II a p p a r a î t d ’a i l l e u r s q u e L o n d r e s n ’a ss i ß t e r a p a s e n s im p le s p e c t a t e u r a u x m e n é e s d e s N a z is d a n s u n p a y s d o n t l ’i n t é g r i t é a é té p r o c la m é e p a r d e s d o c u m e n t s d o n t l ’A n g l e te r r e e s t s i g n a t a i r e e t o n r a p p e lle e n c o r e q u e t o u te p o litiq u e q u i p e u t r e m e t t r e e n c a u s e le s t a t u t é c o n o m iq u e e t p o l it i q u e d e l ’A u tr ic h e n e s a u r a i t l a i s s e r i n a c t i f le c a b i n e t d e L o n d re s ., Congrès syndical international L es a m a te u r s d e m u s iq u e c h a n té e , d is o n s s im p le m e n t d u c h a n t p o u r le c h a n t, o n t é té , h ie r so ir, « e rv ls à s o u h a it : rie n q u e d e s m a îtr e s d u c h a n t : V erdi e t A. T h o m a s. C’e s t à p e in e si u n e é lé g a n te n o te d e m o d e rn is m e a p a ru d a n s l a f a n ta is ie s u r La T ra v ia ta q u e R a y n a ld o H a h n a h a rm o n is é e p o u r l ’o r c h e s tre . A p rè s u n e o u v e rtu re de Jeanne d'A rc, d e V erdi, e t q u e lq u e s e x tr a ite d e s Vêpres S ic i lie n n es d u m êm e V erdi, p a r l ’o rc h e s tre , M m e Boy e r e t M. M ah leu x o n t f a it a p p la u d ir tr è s c h a le u re u s e m e n t le 2« a c te d e M ign on , to u t r a je u n i d a n s la f r a îc h e u r d u so ir. M. M a h le u x a fa it v a lo ir les b e lle s so n o rité s d e s a b a sse d a n s la b e rce u se d e M ignon. M lle Y v o n n e B a rr e a u f u t to u r à t o u r u n e s p iritu e lle e t to u c h a n te V io letta. E lle a »u g a r d e r a u p e rs o n n a g e to u te s a fo rc e d r a m a tiq u e e t d o n n e r a u x v o c alises to u te l e u r lé g è re té c r is ta llin e . M. Ja u z e , q u i c h a n t a d im a n c h e a v e c u n e s i b o n n e e x p re s s io n r o m a n tiq u e le • R êve » d e Des G rie u x , a d o n n é a u p e rs o n n a g e d e R o d o lp h e, l a q u a lité d ’u n e tr è s Jo lie v o ix d e t é n o r e t a jo u é a v e c u n e é m o u v a n te sin c é rité . ’• M. D eloger, d o n t le n o m s u r le p ro g ra m m e e st d é jà u n e a ttr a c tio n , a d o n n é u n e a llu r e tr è s n o b le a u rô le d ’O rb e l q u ’il a c h a n té e n a rtis te de g r a n d e c la sse . T o u s e t to u te s o n t e n c h a n té l ’a u d ito ir e tr è s n o m b re u x . O n p e u t d ire q u e le th é â tr e se m e u r t, m a ts c ’e s t in e x a c t ; le th é â tre n e se m e u r t p a s, o n l ’a im e to u jo u rs , th é â tr e d ’a u tr e f o is e t th é â tre d ’a u jo u r d ’h u i, t h é â tr e de m u s iq u e a n c ie n n e e t th é â tre de m u s iq u e m o d e rn e , le s u n s e t le s a u tr e s o n t d e s a d m i r a t e u r s ; le th é â tre n ’e s t p a s m o rt, m a is o n le tu e p a r le c h o ix tr o p s o u v e n t m a l f a it d e s v e d e tte s ; p a r le c h o ix e n c o re p lu s m a l fa it, so u v e n t, d e s p iè c e s a c r é e r ; e t e n fin , e t s u r to u t, p a r le s im p ô ts e t d ro its d e to u te s s o r te s e t to u t à fa it p ro h lb iitfs q u e l ’E ta t e t le s c o m m u n e s p r e n n e n t s u r les th é â tre s . M ais le p u b lic re ste fid è le à u n e d is tra c tio n , q u i e st à la fo is p o p u la ire e t In te lle c tu e lle ; in te lle c tu e lle se m b le a lle r de sot, e t popua ir e ?... il n ’e s t q u e de s a v o ir ce q u e les So viets, e n R u ssie , f o n t p o u r le u r s th é â tre s , e t d e v o ir le s fo u les q u i a s s iè g e n t les s u s d its th é â tre s p o u r le c o m p re n d re . M a is v o ilà . 11 fa u t a u p u b lic d e n o tre ép o q u e q u ’il s o it b ien in s ta llé e t q u ’il ne p a te p a s a e s p r ix te lle m e n t e x a g é ré s ; U n ’y a q u e le s m illio n n a ir e s q u i p e u v e n t a ll e r à c e r ta in s th é â tr e s d e P a r is , p a r e x em p le, en fa m ille . Le J o u r o ù le th é â tr e a u r a d e s p r i x ra is o n n a b le s, o ù le s f a u te u ils s e r o n t c o n fo rta b le s, o n n e p a r le r a p lu s d e l a c rise d u th é â tre . H ie r so ir, o n é ta i t c o n fo rta b le m e n t in s ta llé ; l’a i r é ta i t fra is , le s c o n s o m m a tio n s e x c e lle n tes, e t il y a v a i t fo u le a u to u r d u th é â tre de v e rd u re . Nos re m e rc ie m e n t et n o s c o m p lim e n ts à M. G en til ; il a tro u v é , lu i, la b o n n e fo rm u le . B r u x e lle s , 31 j u il l e t . L e 6 ix iè m e c o n g r è s s y n d i c a l i n t e r n a t i o n a l s ’e s t o u v e r t, ce m a t i n , a u p a l a i s d e s B e a u x - A r ts , s o u s l a p r é s i d e n c e d e M . C i trin e (G ra n d e -B re ta g n e ). Au b u re a u a v a it p ris p la c e n o ta m m e n t M. Jo u h au x (F ra n c e ). M . B u t le r , d i r e c t e u r d u B .I .T ., a s a l u é l e ; c o n g r e s s i s t e s a u n o m d e l ’o r g a n is m e AUJOURD’HUI de G enève. A 13 h. 90, sur la T errasse, concert par le L e s e c r é t a i r e d e l a F é d é r a t i o n , M . S c h e - se x tu o r D e lsa u x . A 16 h e u re s e t à 80 h . 30, C o n c erts p a r le v e n e ls , c o m m e n te ensA iite le r a p p o r t m o r a l s u r l ’a c t i v it é d e l ’o r g a n is m e s y n d i c a l p e n g r a n d o rc h e stre . d a n t le s tr o is d e rn iè re s a n n é e s . A u c o u rs CE SOIR do l a d i s c u s s i o n d e c e r a p p o r t , M . K u p e r s A M h. 45 : G ala d e com édie ( H o lla n d e ) a p r é c o n i s é u n e a c t i o n d e m a s (T ournée L edrezal) s e p o u r la ré a lis a tio n d u d é s a rm e m e n t. (t ECHEO A LA REINS a I i a d é p lo r é l a p a s s i v i t é d e l ’e x é c u tif d e B a ctes de M. P a u l NIvoise l a F .S .I . e n p ré se n c e d e s m e n é e s h itlé r ie n a v ec P ierre S teph en n e s e t p r é c o n i s é u n e a c t i o n c o n tr e le f a s dan s le rô le q u ’il a créé au th éâtre D aunou, c is m e e t le c o m m u n is m e . L a s é a n c e a é té L ucienne G ivry, E m ile de T ram m ont, M ireille e n s u i te le v é e . ,Yvon, e tc.o B e r li n , 31 ju ille t.M. H E N D E R S O N C A N D ID A T I » je u n e s ly c é e n s f r a n ç a is q u i v ie n n e n t i une élection partielle d e p a s s e r q u in z e j o u r s e n c o m p a g n i e d e L o n d r e s , 31 ju ille t.j e u n e s ly c é e n s a l l e m a n d s d a n s l a c o lo n ie d e v a c a n c e s de H o h e n ly c h e n , o n t d é p o sé B a t t u a u x é le c tio n s g é n é r a l e s d e 1931 a u j o u r d ’h u i u n e c o u r o n n e a u x c o u le u r s d a n s l a c ir c o n s c r i p t i o n d o n t il é t a i t l ’é lu b le u , b la n c , r o u g o a u p i e d d u m o n u m e n t d e p u i s d e l o n g u e s a n n é e s , M. H e n d e r s o n a u x m o r ts d e l a g u e r r e . v i e n t d ’ê tr e c h o is i c o m m e c a n d i d a t d u P a n s le s m ilie u x a ll e m a n d s , o n a é té P a r t i t r a v a i l l i s t e d a n s l a c ir c o n s c r ip t i o n .r è s to u c h é p a r ce g e s te d e s é c o lie r s f r a n d e C la y C ro s s , d o n t le »siège a é té r e n d u ç a is . Ce g e s te c h e v a le r e s q u e e x p r im e l a v a c a n t p a r le d é c è s d e M . D u n c a n , é g a le s a t i s f a c t i o n d e s j e u n e s é c o lie r s p o u r l ’a c m e n t t r a v a i l l i s t e . c u e il r e ç u e n A lle m a g n e e t i l a é té a c c o m p li p a r c e q u e s e s a u t e u r s se s o n t Ten d u c o m p te q u e l a n o u v e lle A ü e m a g n e Magasin de bonneterie cambriolé iv eu t i g n o r e r to u te p r o p a g a n d e d e h a i n e à Paris c o n tr e s o n a n c i e n n e e n n e m ie , c o n t r a i r e m e n t à c e q u i a é té p a r f o i s p r é t e n d u à P a r i s , 31 j u i l l e t l ’é t r a n g e r . L e s ly c é e n s f r a n ç a i s v i s i te r o n t A u c o u rs de la n u it, u n m a g a s in de B e r lin a u j o u r d ’h u i e t d e m a i n , a p r è s q u o i b o n n e te r ie s i t u é , 42, f a u b o u r g S à in t- H o i l s i r o n t à B rè m e s 'e m b a r q u e r p o u r B o u n o r é , a é té c a m b r io lé . L e s m a l f a i t e u r s o n t lo g n e -s u r-M e r. e m p o r t é 50.000 f r a n c s d e m a r c h a n d i s e s .. REVUE DE LA PRESSE ROYAT Coups de feu sur des avions anglais toine u d'A uvergne Une sciatique le condamnait à l'immobilité ■■•■••Mil« NOS STATIONS THERMALES le is la itiè re s s S y n d ic a ts la C h a m b re d e l'O tfic e on des Synrr a n d a is e , de îr a in a u g u ré , ste à la m éste de re co n e n dil d c e lu i re b leu d'A u g ra n d déve-ètre é v a lu é e de fro m ag e m p o rta n te de n ta g e u x p o u r ïônte, le Cande bon fro lic. co m m u n e rainé d ’u n e n t le so u tie n , ••N IM N IIIIIU II x ECHOS k VERS DE BIBLIOTHEQUES. N ous a v o n s, ch ez n o u s, d e s r a t s d-e b ib lio th è q u e s, a u s e n s p ro p re d u m o t. M ais le u r s ra v a g e s n e c o m p te n t p a s, à c ô té d e c eu x ex erc és, e n A m é riq u e d u S u d , p a r le s v e rs e t le s in se c te s. Le d ir e c te u r d e la B ib lio th è q u e m u n ic ip a le h?,« J a n e ir °. d a n s des d o lé a n c e s re n d u e s p u b liq u e s, v ie n t d e d é n o n c e r a v ec e ffro i le s e n n e m is d u liv r e a u B ré sil. h ifJ l, ^ a ’ a u a d é c la ré l ’in fo rtu n é b i b lio th é c a ire , d ix -h u it e sp è ce s d iffé re n te s de vers s a tta q u a n t a u bois, a u m é ta l, a u p a p ie r, a u c u ir, to u s a u s s i d a n g e re u x p o u r les liv re s, to u s im p o s sib le s à e x te rm in e r. V ous o u v re z u n liv re q u e v o u s a v ez c o n s u lté 11 v a h u it jo u r s e t v o u s le tro u v e z vide, vide côinUfne* * b o n b o n s e t â C ig are tte s q u e i o n fa it a v ec d a n c ie n n e s re liu re s . » En e .fe t, n o u s o u b lio n s q u ’il v a chez n o u s d e s a m a te u r s q u i v id e n t les liv re s d e le u r c o n te n u p o u r e n fa ire d e s b o ite s â c ig a re s . NOS PETITS Voici P o u c e tte . E lle a v o y a g é to u te la n u it. P o u c e tte , elle a é té tr è s sa g e . E lle n ’a p a s d o rm i b e a u c o u p , oh ! n o n , m a is e lle s ’e st te n u e tr a n q u ille m e n t d a n s so n c o in san s re m u e r, o u p re sq u e la is s a n t p a tie m m en t" dcfile r les s ta tio n s . E lle e st e n fin a rriv é e chez g ra n d -p è re . Les e m b ra s s a d e s fin ie s, e lle je tte Wut ^leuri^puls*;œil a“,0Ur du grand Jardm — M a m an , q u a n d est-ce q u ’o n D art T ’ pèTe. a ttr is té . r e p a rtir T q u e s tio n n e g ra n d . Oh l le b e a u s o u r ire de P o u c e tte I C a n e c o m p re n d j a m a is r ie n , ces g ra n d e s person* „ ~ . M al8 u o n , g ra n d -p è re , a u c o n tr a ir e • je v o u d ra is re s te r e n c o re p lu s I * UNE BIBLE GIGANTESQUE On a so u v e n te s rots p a rlé d e liv re s m in u s c u le s et. q u i s o u s u n v o lu m e e x tra o r d in a ir e m e n t ré d u it, c o n tie n n e n t d e s œ u v re s c o n sid é ra b le s. O r. v oici q u ’u n é d ite u r d e L os A ngelès a so n g é à é ta b lir u n re c o rd — m a is d a n s u n se n s to u t à fa it opposé. P o u r c ela 11 a fa it im p rim e r u n e B ible qui c o m p o rte 8.048 p a g e s, e t q u i pèse u n e dem ito n n e s I • Une p e rso n n e d o u é e d ’u n e vu e n o rm a le est c a p a b le de lire c ette B ible à u n e d istan p p de 50 m è tre s I D u p o in t de v u e ty p o g ra p h iq u e , c ette In i tia tiv e e st p e u t-ê tre in té re s s a n te il e s t c e r ta in q u ’elle le s e r a b e a u c o u p m o in s a u p o in t de v u e é d itio n . R a res e n e ffe t se ro n t les p e r so n n e s q u i c o n s e n tire n t â e m p o rte r avec elles ju liv re de 500 kilos î DEMAIN A’ 13 h . 90, séan ce d e m u siq u e tte cham bre par M. Grleard, flû tiste, so liste d es C oncerts C olonne, l«r p rix d u C on servatoire de P aris, et M. D elsaux, p lan iste, lau réat d u Conser vatoire R oyal de B ru x elles A 20 h. 30 : C in ém a I SILENCE ON TOURNE » a v e c Harold L loyd JEUDI 3 AOUT A 20 h. 45 : G ala d e com édie (T ournée Baret) a CINQ A SE P T > a v e c M adeleine L ély VENDREDI 4 AOUT A 80 h . 30, su r la T errasse GALA MUSICAL AVEC CHANTS A udition de M lle S u zy V ernadet, pian iste A 22 heures, sa lle des F ôtes BAL DE LA SANTE Au p rofit d e s œ u v res a n titu b ercu leu ses d u départem ent so u s la présidence d e Mme T rouillot et de M. le P réfet d u Puy-de-D ôm e C oncours de d an ees — G rande tom bola DANGINQ M. V. d e B e n ed e tti, l ’e x c e lle n t p ro fe s s e u r de d a n s e s d u C a sin o a re p ris se s c o u rs jo u r n a lie rs (d ’e n se m b le e t p a r tic u lie rs ). C es c o u rs trè s su iv is o n t lie u le m a tin d e 10 h , à m id i, e t i ’a p rè s -m id i s u r re n d e z -v o u s, L a P o tin iè re e st o u v e rte . C o n so m m a tio n s d e p r e m ie r c h o ix . Le re n dez-vous d u T o u t-R o y a t th e r m a l. M. G iu p la rls, d ire c te u r c o n ce s6 lo n n alr$ . LE COIN DES ENFANTS T o u s les jo u rs , à 15 h ., s u r la T e rra s s e , e n fa ce d e l ’a n c ie n n e R e s ta u ra tio n . K e rm esse e n fa n tin e M anège a é rie n . — Je u x d iv e rs . — T o m b o la C in é m a 10* % p a r la n t e t s o n o re SERVICE DES TRAMWAYS Le se rv ic e de tra m w a v ß e s t a s s u r é ré g u liè re m e n t e n tre R o y a t e t C le rm o n t j u s q u ’à 23 h. 15 (d e rn ie r d é p a r t d e R o y a t). L es Jo u rs de re p ré s e n ta tio n a u th é â tre le tra m w a y a t ten d la fin d u sp e c ta c le . LA BOURBioULE T ous les fou rs : A 10 h , 30 : C o n c ert a u s q u a re Joffre. A 14 h. : C in é m a p a r la n t p e r m a n e n t d e 14 h. à 18 h. A 15 h. : G uig n o l L y o n n a is. A 17 h. : T h é d a n s a n t. A 20 h. : C o n c ert sy m p h o n iq u e p a r l’o rc h e s tre A zeina, s u r la te rra s s e du C a sin o . A 21 n. : T h é â tre o u c in é m a . A 21 h .-: D a n c in g a v ec le c éléb ré Jazz « T y p ic a l O rc h e s tra », S a lo n d e le c tu re . — C afé. — B ar. B oule e t B a c c a ra . AUJOURD’HUI De 14 h, à 18 h ., c in é m a p e r m a n e n t On Fils d'A m ériqu e.A 21 h . a u th é â tre : C inq à sep t, a v e c M a d e le in e L ely. J S a lo n de le c tu re , c afé , b a t, b o u le e t bac c a ra . L E M O N T -PO R E AU CASINO T ous les Jours, con certs sy m p h o n iq u es D e 13 h. à 14 h ., à l a te rr a s s e . De 15 h . à 16 h ., a u k io sq u e d u p aie. De 18 h. à 19 h ., à la te rra s s e . De 21 h. à 23 h ., a u g ra n d C afé G lacier. (Ces h e u re s et e m p la c e m e n ts p o u rr o n t ê tre c h a n g é s s u iv a n t le s c irc o n sta n c e s). D ancing, a v e c le • R ed P la y e r s Ja z z », dan s le G ra n d H all. M atin ée d e 17 h. à 19 b . S o iré e de 21 h. ô 24 h. Au G rand Café G lacier .- S alle d e billard*. °.r.dg6. J e u x id lv e r s . A u B ar A m éric a in : On d a n se o n s ’a m u se... A u B ar d u S o le il : M ario fait dégu ster ses n o u v ea u x cock tails. AUJOURD'HUI A 80 h. 30, c in é m a p arlan t : La m e r v e ille u se Journée, a v e c A lerm e, M ona G oya, L ucien B rûlé, A quistapace, F lorelle, e tc,.. VICHY GRANO CASINO A 15 h. 30. a u kiosque du sq uare d e l ’Hôp lia i, con cert par l ’H arm onie m u n icip ale, so u s la d irection d e M. Bourbié. A 17 heures, d a n s le restau ran t et su r le s terra sses fleu ries du C asino, to u s le s Jours a u cou rs du T hé d e g a la , con cou rs de P r o nostics. E lim in atoires d u T ournoi in tern atio n al d e d an se. A 20 h. 30 très p r é cise s a u théâtre : G ala de com éd ie, a v ec le ooncours d e : Mme Cécile Sorel, p en sio n n a ire h on oraire de la Co m éd ie-F ran çaise ; M lle Jeanne S u lly , d e la C om édie-F rançaise e t M. L ucien Duboscq, de la C om édie-F rançaise, d a n s : Le M ariage de F igaro, co m éd ie en 5 a c te s d e B eaum arch ais. A 22 heu res. G rande S oirée d e g a la pour l’in au gu ration du T ou rn oi in te r n a tio n a l de d a n se e t du C oncours d 'élé g a n c e fé m in in e . (V oir l ’a ffich e sp écia le). Au c o u r s d u th é e t d u B a l d e g ala, le s cé lè b re s M a rc y a e t G u n s e tt, c h a m p io n s d u m o n d e d e d a n s e s s c é n iq u e s , a p p o r te r o n t le u r c o n c o u rs. DEMAIN M ERCRED I 2 AOUT A 20 h. 15 : Le B a rb ier d e S é v ille , o p é ra c o m iq u e e n 4 a c te s d ’a p r è s B e a u m a rc h a is , m u siq u e d e G. R o ssin i. V ersio n fra n ç a is e d e C a stil B laze, a v e c M lle C la ra C la irb e rt, a u T h é â tr e R o y a l de la M o n n a ie : M. A ridré B au g é, de l ’O p é ra-C o m iq u e ; MM. J. C alb et e t B e rn a s c o n i, d u G ra n d T h é â tr e d e B o rd e a u x , S a lo n s d e lecture e t d e correspon dance. B oule e t B accara. I AVIS D’OBSEQUES ,o s ?ph DARD ; Mme Gabriel MONT. : et Mme Ren* DARD et leu rs en fa n ts ; M. et Mme Gabriel DARD et leu rs e n f a n t e ; M. et Mme G eorges DARD ; Mme Jules PRO UST ; M. et Mme P. MONT-LOUIS ; K i n n Mï ï e ? Ie. 7 e PASCAL ; M. C harles DARD ; M. et Mme R oger AMBLARD ; M. G eorges PASCAL ; Mlle M adeleine AMBLARDm p ?f n r r ^ 1 ? DJARD> CLEMENT - JANIN| MELRGEY, on t la dou leu r de vou s faire part de la perte cru elle qu 'ils v ien n e n t d'éprouver en la person n e de A u jo u r d ’h u i, m a lg r é aea 64 a n s , Il m a r c h e a v e o a is a n c e « «le n ’a i qu avec p u o b te n ir u n s o u la g e m e n t i f s S e ls K r u s c h e n », d IM I Monsieur Joseph DA R D « E ta n t a tte in t d e p u is lo n g te m p s d é jà d ’u n e c o n s tip a tio n o p in iâ tre , d ’u n e p a rt, e t d e d o u le u r s rh u m a tis m a le s d u g e n re s c ia tiq u e , d ’autm p a r t. J’é ta is o b lig é , à c e r ta in s m o m e n ts, de g a r d e r u n e Im m o b ilité p re sq u e a b so lu e. Je n a i p u o b te n ir u n s o u la g e m e n t ré el â ces m a u x q u ’a p rè s u n u s a g e ré g u lie r de vos m e rv e ille u x S e ls K ru s c h e n . M a in te n a n t, Je p u is m a r c h e r a v ec a is a n o e t j ’e sp è re b ien ê f r i e n fin d é fin itiv e m e n t d é b a rr a s s é d e ces in firm ité s, m a lg ré m es 64 a n s, e n c o n tin u a n t le tr a ite m e n t p a r le s S e ls K ru s c h e n , efficaces e n tr e to u s. > M. E- K ..., C le rm o n t-F e rra n d . L a p lu p a r t d e s m a la is e e i m a u x d o n t n o u s so u ffro n s o n t le u r c a u s e p re m iè re d a n s la c o n s tip a tio n o p in iâ tre o u p a rtie lle : m a l in s id ie u x q u i s a tu r e l ’o rg a n is m e d e p o iso n s, ir r it e le s n e r fs — le n e r f sc ia tiq u e e n tre a u tr e s — e t n o u s e n lè v e to u te é n e rg ie . Non se u le m e n t K ru sc h e n stim u le l ’in te s tin e t e m p ê ch e la c o n s tip a tio n , m a is se s d iv e rs sels n a tu r e ls o b lig e n t d o u c e m e n t les re in s, le foie, a r e m p lir le u r rô le de « n e tto y e u rs t. L es to x in e s, les ré s id u s d e la n u tr itio n s o n t é li m in é s a u j o u r le jo u r. Le s a n g d e v ie n t p u r et ro rt ; c ’e st p o u rq u o i la « p e tite d o se q u o ti d ie n n e > ra m è n e in fa illib le m e n t — e t to u t n a tu re lle m e n t — la g a ie té , l 'e n tr a in , reflets d u n e b o n n e sa n té . S e ls K ru s c h e n to u te s p h a r m a c ie s : 9 fr. 75 le flacon ; IG fr. 80 le g r a n d flaco n (su ffisa n t p o u r 120 Jo u rs ). L’o r ig in a l de la lettre ci-d essu s — qui n ’a ôte n u llem en t so llic itée — est visib le au x bureaux de K ruschen, a : -si que des m illiers d attestation s sim ila ir es. O fficier de la L égion d ’H onneur Anolen Avoué V ice-P résident de la C om m ission d es H ospices o iv iis de G lermont-Fd A d m in istrateur du « M oniteur » leu r époux, gendre, père, beau-père, frère, beau-frère, o n cle, c ou sin et parent, décédé e n son d o m ic ile des R oches, à C ham allères, le 31 j u ille t 1933, d a n s sa 71* ann ée, m uni des S a c re m e n ts de l ’E glise. E t vo u s p r ie n t d a s s is te r a u x obsèq ues, qui s e ro n t c é lé b ré e s d em ain m ercredi t aoû t, à dix heures, e n l ’é g lise Saln te-Jeanne-d’Arc. La levée du corp s aura lie u * n eu f heure* q uarante-cinq. AVIS D’OBSEQUES M. G eorges RAMA DE ; M m e e t M. Marc*l NEYRIAL, g ra in e tie r, ru e des Ja c o b in s , e t leu r fils G eorges ; les fa m ille s MADUBOST. S ïMONNET, P R O S T , NEYRIAL, RAMADE. ROUGER, VED ILLE e t SEBELEN . on t la dou le u r de v o u s fa ire p a r t d e la p e rte c ru e lle qu ils v ie n n e n t d ’é p ro u v e r en la p e rs o n n e dé Madame RAM ADE Née Jeanne M ADU B08T le u r é p o u se , m ère , b elle-m ère, g r a n d 'm è r t, sœ u r, b e lle -sœ u r, ta n te , n iè c e e t p a re n te , d é cédée d a n s s a 57« a n n é e , le 30 ju ille t. E t vous p r ie n t d ’a s s is te r a u x o b sè q u e s, qui a u r o n t lie u aujou rd’hui mardi 1«r aoû t, à d ix heures, e n l ’é g lise N otre-D am e d u P o rt. R é u n io n m a is o n m o rtu a ire , 41, rue* des J a c o b in s, à n euf heures quarante-olnq pré c ise s. * E N F A N T S A LA M O N TA G NE QUATRIEME LISTE DE SOUSCRIPTION GA8INO D E8 FLEURS AVIS D’OBSEQUES . E£9ie , . F im a ire su p é rie u re , p ro fe s sio n n e lle (Chaque Jour trois sp ectacles) e t h ô te liè re de je u n e s fille s : M lles Com beM. P a u l D E SF L E U R S ; M. e t Mme SALON : Voici la liste d e s g r a n d e s v e d e tte s de la ro le, 4ü fr. ; M a d e le in e , 50 fr. ; Jo u v e, 25 fr. : M. e t M m e H e n ri D E SFLE U R S ; M et Mme scèn e fr a n ç a is e a v e c le s q u e lle s le C a sin o d es P ie rr e B o u rz eix , 50 fr. ; M lle C aillo t, 20 fr. : L ouis D E SFLE U R S ; M. E m ile D ESFLEU RS. F le u rs a tr a ité p o u r le s re p ré s e n ta tio n s de M m e L au d o u z e , 25 fr. ; M m e L en o ir, 30 fr. ; e t le u r fa m ille , v o u s fo n t p a r t de la perte c o m éd ie d u m o is d ’a o û t : B e rth e B ovy, socié M lle P é rs a t, 30 fr. ; M lle P lu m a n d o n , 10 fr. : c ru e lle q u ’ils v ie n n e n t d 'é p ro u v e r en la p er ta ire d e la C o m é d ie -F ra n ç a ise ; S im o n e : M m e B a c h a u d ,G a rd e , 20 fr. ; M lle L a c a n , so n n e de t r ' J A n d ré B o u ra sse t, 20 fr. ; M lle TlioM a u ric e E scande» e x -p e n s io n n a ire d e la Co m as, 20 fr. ; M m e R oux, 20 fr. ; M lle R o b ert, Madame veuve D E S F L E U R S m é d ie -F ra n ç a is e ; G a b rie lle D o rz ia t ; Léon B e rn a rd , s o c ié ta ire de la C o m é d ie -F ra n ç a ise ; on f ' ’ wm e B o ste- 20 f r - : M m e D e sa rm é n ie n , Née A u gustin e DEBRET A lb e rt L a m b e rt, s o c ié ta ire de la Com édie- 20 fr. ; M m e B aisse, 30 fr. ; M lle M asset. 20 fr : P en sion n ée du P.-L.-M. M m e R ivoire. 20 fr. ; M lle B a rg e o t, 20 f r . ‘; F ra n ç a is e . U ne te lle lis te , a v e c d e te ls n o m s, se p a sse M m e F a u c o n n ie r. 20 fr. ; M lle N o rm a n d , 20 fr.: le u r m ère , b elle-m ère, g r a n d ’m ê re et parente, M m e Toux, 15 fr. ; M lle Y zorche, 20 fr. ; Jea- d écédée en s a 81® a n n é e . d e to u t c o m m e n ta ire 1 E t v o u s p r ie n t de b ien vo u lo ir a ssister A A u jo u b d ’h u i : î îw e et..M le £r o t' 10 f r - : M m e B a c h a u d A.. ’ î?! e E y r °fie. 15 fr. ; H é lèn e e t S u z a n n e ses o b sèq u es, qui a u r o n t lie u dem ain mer» Au Ja rd in , e n m a tin é e , à 13 h. 30 : Le T zafr. ; G inette, A n d ré e t C h a rle s, 30 fr. ; J e a credi 2 août, à huit heures, en l'é g lise du re v itc h , l ’o p é re tte n o u v e lle de F ra n z L e h a r, JO n in e et H e n ri, 10 fr. ; J e a n in e e t J e a n , 20 fr. : S acré-C œ u r. p o u r le s r e p ré s e n ta tio n s de M. R en é G e rb ert. R é u n io n m a iso n m o rtu a ire , 69, r u e de la de la G a îté -L y riq u e , a v e c M lle J e n n y S t-C lair; f i e " « e t b ?rltJ ? r . 20 fr. : P ie r r e B e rtra n d , P ra d e lle . !r‘ ; M lle G lra u d ie r, 15 fr. ; M lle G a u d in , MM. Q u e rta n t, P la is a n t, D alb ert, R e g ia n e e t on 20 fr. ; A h o n y m e s, 30, 21, 20, 10 fr. ; A sso c ia M lle D enise Yon. (T ro is d é c o rs n o u v e a u x . tio n d e s A n c ien n e s élèv es, 550 fr T ro ts d iv e rtis s e m e n ts d a n s é s p a r le c o rp s de C. P ., 64 fr. ; 1 « a , 45 fr. ; 1 « B, r>8 fr. ; b a lle t), ■ * AVIS D'OBSEQUES Au th é â tre , en so iré e , à 20 h. 45 : le g r a n d M m e e t M. BLANCHON-ASTTER et leu r n’ , r’ 5o : Ia 20 fr- ? 2* A. 26 fr. ; fille su c c è s c o m iq u e d e l ’A th én ée : C œ ur de MoL ; Mme e t M. ASTIER-VERGNOL et leur« neau, 4 a c te s de M. L ouis A rtu s, a v e c MM. Il S ’V r ’ :„2\ C- 19 fr- 5 2# ° . 27 Ir. 50 ; e n fa n ts, à P o n ta u m u r ; M. A lexis A STIE R , £ £ rP’ 5 fr- 50 : 3* A.29 fr.50 ; M arcel-V ergne, P ie r re A lm ette, T a v o la . M lles 3« B, 27 fr. 80 ; 3« C. 43 fr. ; 3« D,28 fr 70 • et to u te la fa m ille , o n t la d o u le u r de voue G e rm ain e G e ra n n e , M ich èle Jo ly n e , G e rm a in e 3! H. 20 fr ; 3« I, 5 fr. 50 ; 4» A, 85 fr. ; 4« B,’ fa ire p a r t d u d écès de M a tta n , E m m a L y o n n e l, L u c ie n n e P re v a l. 61 fr. j 0 ; 5®, 67 fr. 50 ; 6®, 51 fr. ; 7®, 23 fr 15 Au Jardin, e n so irée, à 20 h. 45 : VarlétésMonsieur A ST IE R Pierre M usic-Hall. Im m ense su ccès du célèb re ténor U è T e ^ 2 d3ei7 f r a ) 5 " P ro fe s s io n n e lle e t H ôte' le u r p è re, g ra n d -p è re , frè re e t beau-frère d*Enrlco di M azzeï, de l ’O péra-C om ique ; Henri M lle B e rg e r, 20 fr. ; M. F a u r e , 20 fr. ; M. cédé le 31 ju ille t, à l'â g e de 71 a n s. B radley, le ca rica tu riste h u m oristiq u e ; M ax E t v o u s p rie n t d 'a s s is te r a u x obsèquee, qui et se s n a in s ru sses, d a n s la d an se so u s la nei B a u d in , 20 fr. ; M a d e le in e F o u ro t, 20 f r • M. et M m e B o u g n o u x , 20 fr. ; M. e t Mme’ a u r o n t lieu dem ain m ercredi 2 août IMS, t ge. avec les 12 F low er’s G irls ; Frakson, l’hom m e a u x m ille cigarettes ; L es F rères ArtYnH m f : P o u g n e t, 10 fr. ; M m e neuf heures quarante-cinq, e n la ch ap elle de M oustier, cascad eu rs com iq u es, etc., e tc... A rta u d , 10 fr. ; M m e D a u g e, 10 fr. ; M m e B er l'H ô p ita l G é n éra l. tr a n d , 10 fr. ; E lle B rtin, 10 fr. ; M. M a rtin 12 attractions. F a b re , 20 fr. ; M. B ru n e i. 10 fr. ; M lle D u ra n AVIS DE DECES - , £ e p ro c h a in G a la des P a ris-T o u m ée s gheard, 10 f V . ^ 6 Labbé* 10 fr’ ; Mlle Ran' M. J e a n LHERM ET, p ro fe s s e u r a g ré g é : M . B e rth e BOVY H y d ro -E le c triq u e , 100 fr. ; M m e G eorges LH E R M E T ; M lle J e a n n e L H E k M E T ; sociéta ire d e la C o m é d ie -F ra n ç a ise , d a n s G érin-M on tel, 10 fr. ; J a c q u e s e t J e a n P itio t. M m e veuve SAUVANNOT e t le u r fa m ille , ont SCAM POLO 20 fr. ; S o c iété d e s A n c ien s E lè v es de l ’E cole la d o u le u r de v o u s fa ire p a r t d e la perte Au c o u rs d e la s o iré e de g a la q u ’o rg a n is e n t N o rm a le d In s titu tric e , 100 fr. ; d ’in s titu te u rs , c ru e lle q u ’ils v ie n n e n t d ’é p ro u v e r en la per p o u r v e n d re d i p ro c h a in les « P a rîs -T o u rn é e s » 100 fr. ; S a n a to r iu m de D u rto l, 100 fr. ; C olette so n n e de M lle B e rth e B ovy, la célèb re e t s p iritu e lle so B v ltia u w , 150 fr. ; M m e B e n d ac ite , 50 fr. • c ié ta ire de l a C o m éd le -F ran ç a i6 e jo u e r a M m e Lecoq, 20 fr. ; M m e D u rin , 10 fr. ; Mlle* Madame Jean L H E R M E T S ca m p o lo . C’e s t u n e c o m é d ie d e D a rio Nico- M an h es, 10 fr. ; M m e L io n n e t, 10 fr. : L oulou m e Marthe SAUVANNOT d é m i, c ré é e e n F r a n c e p a r B e rth e B ovy, d o n t B onnet, 10 fr. ; M m e M onteil, 10 fr. ; M J. c ’e st l ’œ u v re d e p ré d ile c tio n . Elle l ’a Jouée B a u d ie r, 10 fr. ; M. e t M m e B o u rn a u d , 20 f r • le u r é p o u se , m ère, fille e t p a re n te , décédée trio m p h a le m e n t d a n s to u s les p a y s de la n g u e M. e t M m e C oncordei, 20 fr. ; M. FYéval 10 f r .’ le 31 ju ille t, d a n s sa 42® a n n é e . I.a d a te des o b sè q u e s s e ra fix ée u ltérieu Mme fra n ç a is e . T o u t e s t n o u v e a u d a n s c e tte p ièce, M. G a lla n d , 10 fr. ; M. P o u z e t, 10 f r le m ilie u , le s p e rs o n n a g e s e t s u r to u t le d é li v eu v e C h ib ret, 100 fr. ; M® V ig n a n c o u rt, 20 fr ®- re m e n t. c ie u x rô le d e S c a m p o lo , s o r te de g a v ro c h e T a ille rie d ’A u v e rg n e. 50 fr. ; M lle A u d ib e rtf 30 fr. ; M lle V illa, 30 fr. ; M m e B o u rg in 50 f r • ro m a in d o n t la g r a n d e a r tis te a fa it u n e AVIS D'OBSEQUES c ré a tio n in im ita b le d e v e rv e, de g a m in e rie et M ichel G o u rin a t, 50 fr. ; U nion a n tig u e rriè re A PONT-DU-CHATEAU d ’e s p rit. Sca m p o lo , c ’est u n e a v e n tu re c h a r de C h a m a llè re s , 50 fr. ; A n o n y m e s, 60 15 • M m e G ilb ert HENRY, à P o n t-d u -C h â t* a a » m a n te , u n tr è s Joli ro m a n e t le s « P a ris-T o u r- et 20 fr M. e t M m e MKUNIER-HENRY ; MM. M arcel n é es » e n n o u s o ff r a n t cette c o m é d ie e t so n Ä 1 , r “ • T o ta i d e s ->u a tr e e t R ené M EUNIER, à C !erm ont-F d • M. e t Mm* in c o m p a ra b le In te rp rè te , n o u s c o n v ie n t à un ré g a l e x c e p tio n n e l 1 PA L1SSO N-PRESSOUA RAT, à P o n t-d u -C h â tea u . e t le u rs e n fa n ts ; M et M m e MASFRANDPA LISSON , à N euiily, et le u rs e n fa n ts ; M, B accara. — Jeu d e la Boula. et M m e CO STE-PA LISSO N , à S a in t-G ra tl* n . et le u rs e n fa n ts , e t to u te la fa m ille , ont la ELYSEE-PALACE d o u le u r de vo u s fa ire p a rt de la p e rte c ru a ll* D eu x n o u ve lle s v e d e tte s d a n s la g ra n d e R evu e D E M A IN M E R C R E D I 2 A O U T q u ’ils v ie n n e n t d ’é p ro u v e r e n la p e rso n n e d* L a trio m p h a le re v u e : Allo, M arseille ?... Ici, PL A T et OBSTACLES Monsieur Gilbert HENRY. P aris i s ’e n r ic h it a u jo u r d ’h u i de d e u x n o u v elles v e d ettes, Ja n e A rès, Ja d iv e tte a p p la u R etraité de la C om pagnie P.*L.*M. d ie à l ’E m p ire , a u M oulin-R ouge, à l ’A iham le u r ép o u x , père, g ra n d -p è re , b e au -frè re, o n b ra , a u ssi a g ré a b le c h a n te u s e q u e s p iritu e lle cle e t p a re n t, décédé d 4 n s 6a 71® a n n é e , m uni c o m é d ie n n e e ; E u g èn e R ou g et, le b e a u c h a n des S a c re m e n ts de l'E g lise . te u r à l a voix g é n é re u se , a p p la u d i d é jà d a n s E t vous p rie n t d 'a s s is te r a u x obsèques, qui v in g t re v u e s à succèè, v ie n d ro n t b r ille r a u x a u r o n t lie u dem ain m ercredi 2 aoû t, à o lx côtés du g ra n d fa n ta is is te A libert, d u Joyeux heures, e n ‘ l'é g lis e S a in te M artine. m a r s e illa is ’ G orlett, de R oels, l ’in é n a r ra b le R é u n io n m a iso n m o rtu a ire , ru e du Nord, c o m iq u e e t d u célèb re B a lle t K o m a ro v a , d e s A VIS E T CONVOCATIONS â PONT-DU-CHATEAU, a n euf heur** qua» F o lles-B erg è res. rante-cinq. !n ’if Ilîr S’ J r' I™lr-C etlr #H ’27fr-50; L2' l COURSES A VICHY 93.000 francs de Prix P rix de CERES : 3 7 .5 0 0 f. A l a B ra s s e rie : tr o is c o n ce rt« q u o tid ie n s p a r l ’o rc h e s tre D a rd an y -L e v eillé e t se s c in q v irtu o se s in s tru m e n tis te s e t c h a n te u r s e t p a r le q u in te tte R o g e r P o u y le a u . 17, T o u s le s slste Ju le s c o m éd ie en PETIT CASINO r u e d u M a réc h a l-F o ch , 17 6olrs, à 20 h. 45, le g ra n d fa n ta l B e rry e; S u z v P rim d a n s B luff, 3 a c te s d e G- B alance. A la B ra sse rie , le c é lè b re o rc h e s tre fé m in in M a rtin e B a rb illo n . T o u s le s so irs, à 22 h ., D a n cin g Jazz e t T a n g o . — Jeu d e la B oule. CINEMAS LA RESTAURA TIO N. - Ce s o ir, â 80 h . 4û, le g r a n d film p a r la n t : K ik i, a v ec le s vedett63 l'é c r a n . E n c o m p lé m e n t : Ces d e m o ise lle s au S tu d io e t V ariétés M agazin e. CIN E-PA TH E. ru e S o rn ln . — E n m a tin é e e t so iré e : C œ u r d e L ilas, a v ec M arcelle R om ée. B ie n tô t : B ach d a n « le C h am pion d u R égi m e n t. ■ VICHY-CINE. - Société Amlcalo do« Médaillé» M ilitaire» de Olerm ont-Fd. — Les m em bres de la Société sont priés d 'assister aux obsèques du camarac<e Morel Hlalse q ui a u ro n t lieu a u jo u rd 'h u i 1er aortt, à 8 heu res’ Réunion m alson m o rtu a ire, 87. ru e de Champfleu ri à 7 h. 30. ^ L IR E DEM AIN N O S P E T IT E S A N N O N C E S ETAT CIVIL DE CLERMONT-FERRAND d u 31 ju ille t N aissance*. — B a rra t Je a n . — V iera M arcel — C h a rb o n n ie r P ie rre -E m ile . — M o re ira Renée-Josette. — R odde M ich elle-Jeam iin e-E tieu n e tte . — C h a u d M arth e-L o u ise. D écès. — De Nonl G io v a n n i, m in e u r, 50 a n s — M orel B iaise, r e tra ité de la g e n d a rm e rie , 81 a n s , 87, ru e de C h a m p fle u ry . — R im b e rt M arie, é p o u se A llem an d , 33 a n s. — D ebret M arie, veuve D esfleu rs, 81 a n s. 69, ru e de la P r a d e lle . - - M a d u b o st Je a n n e , é p o u se Rntnade, 56 a n s , 41, ru e d e s Ja c o b in s. — A rta u d F ra n ç o is e , veuve P o m m ie r, 53 a n s. — A stler P ie rre . J a rd in ie r , 72 a n s. NOVELTY-CINEMA. LUNA-PARK, rue d e Pari». — Tou» le s Jours, e n m atin ée et so irée, le* p lu s récen tes et les plu» a m u sa n tes attraction». G rande s a lle de P in g P on g. Jeux divers* — E ntrée lib re . JARDIN D’ENFANTS, dan* le s n ou veau x P a rc s . — De 13 h. 30 à 18 h eure*, jeux et a m u s e m e n ts d iv e r s o r g a n isé s à l'Intention d é s e n fa n ts . A 16 heure*, T héâtre G uignol L yonn ais. STAND DE TIR AUX PIGEONS. - BailTrapp to u s le s Jo u rs de 9 h. à m idi e t d e 4 h. â 7 h. Du i l a u 16 aoû t .G rande S em aine. 17,500 fr. d e p rix . N E R IS -L E S -B A IN S AU b A S IN d T ous le s jours, trot» concerts par l ’orchestre sym p hon iq ue d irigé altern ativem en t par MM. M angeret et B onn afé. CiQéma. Théâtre. Dan c in g . Boule. B accara. P in g-P on g. Chaque jour u n e au to particu lière e s t m ise & la d isp osition d e s loueur* qu i se rendent l e M ontluçon a u C asm o d e Nérl». E lle part â 81 heure* du Café N ational, s ’arrête a a Café d es Sports, Café M oderne, Café du Helder Café Riche, e t rev ien t à M ontluçon à la On' d es jeux. L E 8 CONCERTS P rogram m es d e l'orchestre sym p b on iau e pour aujou rd’h u i : 7 F y A 13 h. 30 : Concert par le quatuor. A 16 h. : Vienne, m arche (S c h ra m m e l) ; Si p e tite, valse (Claret) ; P agan in i, fa n ta is ie (Lehar) ; S u ite c a rn a va lesq u e (T hom é). A 17 h. 15 : Concert classiq u e. A 20 h. 45 : A llian ce, m arche (Sou*a) :Flo rian e, valse (F antaplé) ; Coups de roulis, fan taisie (M essager) ; La Sou rce, ballet (Dellbes). AU CINtM A Au cin ém a, A 15 heures, projection du film A rsène L upin, aux ép iso d es extraord in aires’ C'est une production parlante, en français. AU TH tA TR B Ce so ir, à 50 h. 30, re p ré s e n ta tio n , p a r la T o u rn é e F e rtin e l-C rém ie u x . d e L es T rois Coeurs, x o m e d le d e M. A. S om ès. d o n t le p r in c ip a l rô le se ra Joué p a r celte a rtiste lu co m p ara b le , aille F ra n c e Ellys. AVIS D’OBSEQUES A COMPAIN8 M. P ie rre T A R T IE R E ; M m e e t M. A ntoine T A B U E R E e t le u rs e n fa n ts ; M m e «t M, A n a to le T A R T IE R E et le u rs e n fa n ts ; M. L o u is T A R T IER E e t se s e n fa n ts , o n t 1» dou le u r de v o u s fa ire p a r t de la p e rte c ru e ll* q u 'ils v ie n n e n t d 'é p ro u v e r en la p e rs o n n e d* Madame Pierre T A R T IE R E Née Marie FALCOUX le u r ép o u se, m ère, belle -m ê re et grand’mèrtb p ie u s e m e n t d écédée à l'â g e de 8 ? a n s. E t vous p rie n t d 'a s s is te r a u x obsèques. . 3s, q u i a u r o n t lieu d e m a i n m e r c r e d i 2 a o û t, A o l x h e u re s, en l'é g lise de COM PAINS. f AVIS D’OBSEQUES A MOISSAT M. ALLEMAND ; les fa m ille s R IM B E R T H DELORME, o n t la d o u le u r de vo u s fa ire p ari de la p e rte c ru e lle q u 'ils v ie n n e n t d 'é p ro u v * « en la p e rso n n e d e Madame A LLEM A ND Née RIMBERT le u r é p o u se e t p a re n te , décéd ée â C len n o n * . F e rra n d , le 30 Ju ille t 1933, à l'â g e de 34 an* Et v o u s p r ie n t d ’a s s is te r au x o b sè q u e s, q u i a u r o n t lie u a ujou rd’hui m ardi 1" a o û t 1933. â dix heures, en l ’é g lise de M O ISSA T. t OFFICE DE QUARANTAINE Mme e t M. ROUVET : M lle A n d rée ROUVET e t to u te la fa m ille , p rie n t le u rs a m is et c o n n a is s a n c e s de b ie n v o u lo ir a s s is te r a l'offlco de q u a r a n ta in e de Mademoiselle Lucie R O U V E T Institutrice oui sera célébré en l ’é g lise S alnt-G enè* Carm es, dom ain m ercredi 2 août, à n eu f h *». fil« REMERCIEMENTS Mme G asto n BAZIN : M m e C h a rle s B a z i n • M. e t M me H e n ri B REV IERE ; M me j u n SAGET, e t to u te la fa m ille , re m e rc ie n t b ien s in c è re m e n t to u te s les p e rso n n e s qui le u r o n t té m o ig n é d e la s y m p a th ie A l'o c c a s io n du d écès de M onsieur Gaston B a z in A gent g é n é ra l d* la C om pagnie d 'A s s u ra n c e s «La N a tio n a le , et les prient de trouver let I exp ression n i le u r recon n aissan ce. e 'AVR NIB n u PLA TEAU C E N T R A L EDITION DU PUY-DE-DOME BANLIEUE DE CLERMONT I ARRONDISSEMENT DE THIERS ARRONDISSEMENT DE RIOM ARRONDISSEMENT D’ISSOIRE MARDI I " AO U T 1933 LES MIETTES DE L’HISTOIRE DANS LA HAUTE-LOIRE (29 Juillet 1836) LO U IS-PH ILIPPE INAUGURE L'ARC DE TRIOM PHE DE L’ETOILE C'est en 1806 (ie 12 février) que de son auto rité privée, Napoléon décréta l'érection de cet Ara de Triom phe, le m o n u m en t le p lu t considérable qu'il g eut à Paris. L'architecte C halgrln fu t chargé de dresser les plans. La h auteur est da 49 m. 55, la largeur de 44 m. 82 Les quatre groupes sont célèbres. C'est d'abord la Renomm é, de P radler, le T riom phe, de Corte, la P aix , d 'E tex et la M arseil laise, de B ude. Ce dernier groupe éclipse de beaucoup les trois autres et il est à ju ste titre considéré com m e le chef-d'œ uvre de la sculp ture m oderne et auquel la statuaire antique n 'a rien â opposer d 'a u ssi beau. Sous la <voùte de l'Arc de T riom phe on a gravé les nom s des principales victoires de la Dévolution et de l'E m pire et les nom s d e t 386 généraux qui y ont pris part. L'A rc de Triom phe était loin d'être term iné quand l'E m pire fu t renversé et la B estaura tlon sans oser abandonner les tr a va u x les m ena avec une lenteur concertée ; il fu t des années où on vo ya it tout ju ste cinq ou six ouvriers se prom enant à travers les im m enses échafaudages. Après la D évolution de 1830, le gouverne m en t de Louis-P hilippe donna u n e vigoureuse im p u lsio n et tout fu t fin i en 1836. On décida alors que le roi en fera it l'inauguration pour l'anniversaire des trois glorieuses, le 29 ju il let. M ais la situation était particulièrem ent d if ficile et M, T hiers, président du Conseil déploya une singulière énergie pour y faire face. On était entouré de conspirations ; le 25 ju in précédent, l’a tten ta t d'A liband avait m is les jours du roi en danger. Les rapports de police sont des plus alarm ants. On signale de Londres, de B erlin et de Naples le départ d'assassins pour Paris. L a -fa m ille royale est très alarm ée et Louis-P hilippe lui-m êm e, dont le courage est indiscutable, est particulière m en t frappé. Il rédige son testam ent. Thiers qui se m u ltip lie, il dit : — « Nous nous en tirerons peut-être cette fois ; m ats nous n 'y échapperons pas u n de ces quatre m a tin s. » Le program m e de l’Inauguration com pre n a ît d'abord une grande revue ; m ais on ac quit la preuve que les m eurtriers devaient revêtir des u n ifo rm es de la garde nationale et tirer sur le roi au passage. Malgré tous les dangers en persnective, ta reine et la soeur de Louls-Ph.illppe Mme Adè laide, exig en t d'assister à la cérém onie dans les tribunes : — « Si nous devons sauter, dit la reine très courageusem ent, nous périrons tous ensem ble, » v Les m inistres, M. Thlers en tête, s'exercent d l'éq u ita tio n .- p endant plusieurs jours, ils m o n ten t à cheval au Bois de Boulogne et le jo u r de la lêrérnonie, on vo it ics m inistres cavalcadant autour d u roi et pressant le u r4 c h eva u x contre celui de Louis Philippe. La veille, m algré le rot, on décide de sup prim er la revue et de h rem placer par u n dîner officiel ac 300 couverts e u x lu ile r le s Enfin, le jour est arrivé. Le cortège se form e et Louis-P hilippe. entouré de ses m inistres à cheval, de scs enfants caracolant et d ’u n bril lant état-m ajor, va saluer de Yépêe le m o n u m en t au m ilieu des acclam ations de la foule. T out se passe régulièrem ent, sans hâte, avec solennité ; il n ’y a pas le m oindre in cident. B cnlré a u x Tuileries, le roi tom be dans les bras de la reine qui pleure d'ém o tion et de joie. Le dîn er officiel a lieu, et à la fin de la soirée, Louis-P hilippe d it A M. T hlers : — « Etes-vous content de m ot, m on cher pe tit P êsident ? Je ne sais en quel état est vo tre chem jse, m ais la m ien n e est m ouillée et j'e n vais changer. » JEAN-BEBNABD. BRIOUDE Une belle m an ifestatio n gym nique. — L a soirée de d im an ch e a été m arquée, â B rloude, p a r une têts g y m n iq u e trè s réussie qui s ’est en tièrem en t déroulea s u r l'E sp lan ad e de l’Hôtei-deVille. Les sections m asculine et fém inine du grou pe de g y m n astiq u e de l ’Union Sportive Briv ad o ist ont p résenté avec aisance et habileté d ifférentes productions, m ouvem ents d ’ensembie, exercice aux agrès, d ém onstrations di verses de eaut, course à pied, etc... qui ont obtenu un fran c succès au p rè s uu public qui g a rn issa it su r p lu sieu rs ran g s de p ro fo n d eu r la vaste enceinte réservée à ia m an ifestatio n . MM. C hatonnier, M orin, D upuy. P o rta i, m o n iteu rs, d irig è re n t uvec brto le« evolution« des g ym nastes. De Jeur côté, M.ia P e rra u t et Mm» C hâtonnier, secondées p a r Mile N adal, m o n trèren t des talen ts c e rfu u s de m onitrices et o b tin ren t un succès très personnel d an s ia p résentation des divers élém ents de la sec tion fém inine et la direction des ballets. M Georges Pécoil et ses e ltv es, MM. ü lîn dre. D urand, M orillon et G uiiJem ard se fire n t enfin vivem ent a p p la u d ir d a .'s la production d ’une leçon de fleu ret et p lu sieu rs assaut* co u ro n n an t u r i| p résentation d'ensem ble. Un d ern ier a ss a u t U 'épîe e n tre le pro fes seu r Pécoil et un a m a te u r ach ev èren t cetta exhibition qui p im en ta ag réab lem en t le p ro g ram m e, déjà fort rtttray au t de la soirée. Un orchestre sym phonique et p lu sieu rs Jeu nes filles de la C horale R rlvadoisa p rê ta ie n t le u r concours à ia fête p o u r l’accçpnpagnem en t des m ouvem ents rythm iques. Lin buffet, e'égarm nem dé orc et ab o n d am m ent jju r n l, perm it eux innom brables spec tateu rs de sa ra fra îc h ir cl do se re s ta u re r 4 volonté. MM. Jïiin Nicolas et R. fearaud en a ssu rè re n t le .»ervice avec le u r virtuosité coulum ière qui s'accom ode de tous jes em plois, quels q u 'ils »oient. Noté parm i le« p erso n n alités p résentes l MM Cliazuiet, m aire de B rioude ; T biolas, député ; Voile, chef do b u reau a u m in istè re de l’A ir ; L apeyrie, sous-prefet ; Dr Dorel, p ré sident d ’h o n n e u r de l’U.S.B.; R obert, p rési d ent actif, et A. D urand, vice-président ; Rougheon, président-directeur do la section d* gym nastique ; Alailet, p résid en t du S y n d icat d in itia tiv e ; G um et, présid ent de 1 Am icale Boule ; Cluzel, receveur des P.T .T .; D " de La lo u r, A rniard et B ayssat ; les représentant* de la presse régionale et p arieienne, etc.,. T H IE R S M O N T F IR R A N D RIO M JU M E A U X Un o oneeurs d e pèche. — 11 est un sport DISTRIBUTION DES PRIX E s t u d i a n t i n s M ontferrandal»«. — Les socié BRA88A0-LES-MINBS. - M ariage. - Le taires sont p riés d 'a ssiste r a u x obsèques de p a rtic u liè re m e n t c h e r a l'e n th o u sia sm e des T h iern o is qui s ’y a d o n n e n t d u ra n t une grosse 25 ju ille t d ern ier, à I I heures, a eu lieu le Mme R am aae, m ère de n o tre sy m p ath iq u e ECOLE DU* SACRE-CŒUR ' vice-président, M. M eyrial, qui a u ro n t lieu ce p a rtie de le u r vie : c ’est la pèche, m ariage de M. Louis-Joeeph C avard, m enui 11 fa u d ra it a ssister d ep u is le d im anch e de m atin , a dix heures, à N otre-D am e-du-Port. D im anche d ern ier, à 14 heures, la salle sier, de Ju m eau x , avec Mlle Jeunne-M arle l’o u v e rtu re a u d é p a rt des p rem iers tra in s du Saint-A m able o u v rait ses portes toutes g ra n B ernadai, la c h arm an te fille de Mme BernaUn nouveau d u b à M ontforrand. Le m a tin et a u d e rn ie r le so ir, voir a rriv e r en 16 ju in . 21 m em bres se so n t réu n is p o u r p ro g a re de T h iers la foule co n sid érab le des pé des p o u r la d istrib u tio n des p rix de l ’école du d«t-Virat, débitante, place du M arché. • Le m ariage civil a été célébré p a r M. Fabre H céder à la form atio n d ’une société de baskett- c h e u rs th ie rn o is et en te n d re le u rs fo rm id a Sacré-Cœ ur. Elle fu t b ientôt rem plie p a r les nom breux m aire, conseiller g énéral. Les tém oins êtaien i ball et d 'ath létism e. O n t été élus à 1 u n an i- bles h isto ire s de c a p tu re de b rochets et a u M. B enoît C avara, a d jo in t a u m aire de Ju tres g en res de poissons p o u r se re n d re com p élèves (plus de 180), leu rs p aren ts, les m em mP résid en t : G aitte Em ile ; v ice-président : te de la noto riété d o n t jo u it ce sp o rt d a n s la b res de l’A m icale des an cien s Elèves et les m eaux, oncle d u m arié et M. A lbert Beruadet, n ég o cian t à Coudes, frère de la m ariée. a m is de l ’école, v en u s p o u r lui tém o igner le u r R eduron René ; se crétaire : Jam y M aurice ; cité co utelière. Une quête faite au p ro fit des oeuvres de b ien sy m p ath ie et le u r attachem ent. tréso rier : C hauvel Jean ; m a n a g e r sp o rtif : C haque an n ée, de no m b reu x p êch eu rs p a r M. l’A rch iprêtre de Saint-A m able, qui p ré faisance de n otre ville p ro d u isit la som m e de G ourgeon P au l. ticjp en t a u x div ers concours de pêche o rg a La Société a u ra p o u r nom : « Les Ecu n isés p a r les sociétés... E t voilà Justem ent sid a it cette fête de fam ille, ra p p e la en quel- 70 francs. A l ’issue de la bénédiction n u p tia le l ’a ssis reu ils » Son siège social sera à M ontferrand, que l ’occasion va se p résen ter à n o u v eau ues m ots l ’im p o rtan ce cap itale de l ’œ uvre e l’éducation chrétienne des en fan ts, la tance, très nom breuse ap p o rta aux Jeunes 3 place de la F o n tain e. L a ten u e des m enu p o u r eux de p a rtic ip e r a u g ra n d concours de époux ses félicitations et ses vœux d e bon bres des équipes sera : .m aillo t n o ir, culotm pêche o rg an isé p a r n o tre société « La P rotec beauté de ia tâche, pénible et souvent in g rate Nous som m es heureux d 'y Joindre les blanche, b as de lain e b lanc et n o ir. Elle a trice de la Dore », le dim an ch e 6 a o û t p ro m ais si m érito ire aux yeux de Dieu, des m aî heur. tres qui y co n sacren t toute le u r vie et tout nôtres. p our b u t de p ra tiq u e r l ’ath létism e en g é n é ra i c h ain . et 1« basket-ball en p articu lier. Au D ispensaire. — Le D ispensaire d ’HyglèCe concours, doté de no m b reu x prix, rem le u r cœ ur. Il rem ercia égalem ent l’Amicale Le cam a rad e R eduron a donné lectu re d es p o rte ra cette an n ée un trè s b rilla n t succès, des a n cien s élèves p o u r l ’a id e co n stan te et ne sociale de B rassac sera ferm é du p rem ier efficace q u ’elle a p p o rte à cette oeuvre. Il au 31 ao û t pro chain. Un avis u lté rie u r fera 6tatuts qui ont été adoptés p a r tous les inern- il a u ra lieu non loin de la g a re de Courty. Nous p u b liero n s d ’a ille u rs sous peu le rè e x h o rta e n fin les élèves à rester to u jo u rs fidè co n n aître les jo u rs e t h eu res des diverses les a u x en seig nem ents et au x exem ples q u ’ils co nsultations pour le m ois de septem bre. T o i c i les conditions q u ’a u ro n t à re m p lir les g lem en t et les div ers prix. reço iv en t d a n s le u r école. Jeunes gens d é sira n t p ra tiq u e r le busket-Lali ; 0 8 U R P IE R E LA TO U R -D 'A U V ERONE 2 " — Les jo u eu rs dev ro n t v e rse r le u r co A m a in tes rep rises les ap p lau d issem en ts de VOLLORE-VILLE. — La M aison d u P euple. 1 assistan ce tém oignèrent que tous p a rta tisation trim estrielle le p rem ier d im an ch e de N aissances. — Le 25 ju illet, de C hristiane— Çà y est • n ous a u ro n s n o tre m aiso n du g eaie n t ces pensées et ces sentim ents. chaque trim estre au tréso rier. M arie-frrançoise, deuxièm e e n fa n t des époux peuple, avec un g ra n d d a n cin g Certes, cette 9 « — Le* jeunes gens de m o in s de 18 a n s E ragne-G atignol, ferm iers de M. Violle, à Bu. P u is ce fu t la lecture du palm arès. P o u r ir être acceptés, rem ettre a u se- c o n stru ctio n ne sera p as érigée d ’u n seul ghes. — Le 26, de Edmond-Jacques-Louis-Anau to risa tio n écrite et signée de coup • on pro céd era p a r p etites étapes, et de en a d o u cir l ’au stérité, elle fu t coupée com m e net, p rem ier en fan t des époux Fargeix-D evede coutum e p a r des interm èdes v ariés où les deux, de P ichet, com m une de La T our, cette façon d ’a g ir nos g o u v ern a n ts esp eren t I Ll1CDWi a rtiste s en herbe de l ’école p u re n t déployer — Les jeu n es gens acco m p lissan t le u r tire r deux av a n ta g e s : A n o ter que p e n d an t le m ois de ju illet, 1° F aire a v u le r p lu s facile m e n t la p ilule et faire a p p la u d ir leu rs talen ts. service m ilitaire sero n t d isp en sés d u verse d an s la com m une de La T our-d’A uvergne, Il -aux c o n trib u ab les ; E lèves le p lus sou vent nom m és a été en reg istré la n aissan ce de q u atre g a r m ent de le u r cotisation p e n d a n t ce tem p s e t 2* Ne p as m e ttre le s tra v a u x e n a d ju d ic a pourront jo u e r p e n d a n t le u rs perm issio n s. A* Classe. — A. G estraud, J. R ouganne, P. çons et de q u atre filles, contre un décès seu tion, ce qui laisse p lu s de lib erté p o u r é ta F iliol, P. Jou lia, C. G risonnanche, F. D arcy, lem ent depuis le 25 m ai. — + + +, ■— b lir les devis et p erm et d ’é c a rte r les in d é si F. A rn au d , J. C habanet, E. G ranet, A. Jarles, rables. Ce sont, en effet, to u jo u rs a u x m êm es M. A aiento, P. Demeuse, J. Jum el, G. P ap ig n v V A ven ir d u P lateau C entral est la d a n s to u tes q u ’échouent les tra v a u x m u n ic ip a u x , et p our IL P e rrin , P. M artin, G. L avadoux, J. Rochon, les com m unes de la région. Il p én étre d a n s tous ta n t il y a à Vollore p lu sieu rs e n tre p re n e u rs J. A ursaire. les m ilieux, aussi bien A la ville <ju'A la cam pagne, de tra n sp o rt, de m aço n n erie, de m en u iserie, B ILLO M etc., to u s p arfa ite m e n t rép u b lic a in s et bons _ 3*[ Classe. — J. Chemy, R. Jan o t, R. B ernard, au c h âteau com m e A la ferm e, chez le patro n c o n trib u ab les, qu i se ra ie n t h eu reu x , p a r ces J. Nigon, J. C habanet, Y. et H. Le Roy, M. com m e chez l'o u v rier, le re n tie r e t le co m m erçan t t E tat olvtt du m ois de ju ille t. — N aissances Morel odette-M arie. — L)ua Sim one-Jeanne- tem p s de crise, d ’a v o ir c h a c u n à le u r to u : L acom bas, G. D um as, B. du Bouchet, A. Co- tl com prend p arm i ses nom breux lecteu rs tous net, P . Jay , J. O nzon, G. Lefort, M. A rnaud, ceux que les a n n o n ceu rs c h e rc h e n t A a tte in d re Andrée. — M ylle Jacques. — S e rv a g n a t P aul- le u r p a rt du g âtea u . . Demeuse, R. B eneyton, J. P aquet. p ar le u r p u blicité. Cette d isc rim in a tio n est, p araît-il, d u e a u G uiilaum e. M ariage. — Rene G errterm ont, m a ître répé m érite professio n n el. Ce n ’est p as fla tte u r 2° Classe. — P. Caille, E. P a ta u d , G Blot titeu r, et A nne-M arle-EUennette Bœu, p ro fes pour les recalés. M ais ce rta in e s m au v aises P. M om pied, R. F aucher, A. Gros, J F aure. lan g u es, il y en a p arto u t, m ém o à Vollore J. Jaffeu x , R. T ix ier, H. Ju b au lt, M, Fonbonne, tier, à P a u n ia t, 72 an s. — Lesrae P ierre, seur. Décès. — F abre Ju lien , célib a ta ire , âg é de p ré te n d e n t que p o u r être « p erso n a g ra ta » A. E nreille, P Cacheux, R. A njubeau, R. Rou- époux P ey rin , a P a u n ia t, 34 ans. 78 ans. — B aiib ra F ran cisca, âgée de 2 an s. a u p rè s de nos édiles, il su ffit d ’a v o ir d a n s sa gey ro n , E. M artin, G. M êm eton, D. Casta. P rom enade scolaire. — La prom enade of — P e rry F rançois-A lphonse, époux B ouchon, poche la c a rte de m em bre d u p a rti socialiste V erger. A. Chirol, G. M ar ferte p a r la com m une aux élèves des écoles âgé de 50 ans. — Voisse Anne, épouse Chai- s>. F. 1. O. C’est év id em m en t u n e calom nie, tin A. R lqMe,“ F.J *B F ayet, R. D ufour, H. D uthoit, de C harbonnières, favorisée p a r u n tem ps lard , âgée de 70 a n s .— Ravel A lphonse-Louis, car, com m e ch acu n sait, le S. F. 1. O. est un J. M oulin, P. R obert, J. S eguin, H. Ribera, splendide, a obtenu un véritable succès. g ran d p arti au x idées larg es et g é n é re u s e s .. M. B oissier. R. P ey ro n n y , N. S urre, F. Rous époux Jarrig es, âgé de 26 ans. Dès 7 heures, M. le M aire, m aîtres et élè PU Y -D E-D O M E P u b licatio n s de m a n e g e s. — René-Antoine- b a n issa n t le sectarism e, et n ’a y a n t p o u r but seau, G. B ourdier, G. G arnaud, J. B arniard. ves, p rire n t Ja route p o u r effectuer la to u r C laude Bosson, in stitu te u r, dom icilié â Vol- que le b ien du peuple. B R A S S A C - L E S - M I N E S . — Le m arché du 30 R. V aladier. née des lacs en su iv a n t l’itin é ra ire ci-après : Et p e n d a n t q u ’on c o n stru it d a n s le bourg lore-Ville (Puy-de-D ôm e), et M arie-Eugéni-i juillet. — M arché im p o rtan t, bien ap p ro v i Riom, C lerm ont, Saint-A m ant-T allende, AyE lèves reçus au C ertificat officiel F rançoise Olloix, dom iciliée à Billom (Puy- de Vollore salle de fête et d an cin g , ne croye> sionné ; nom breux étalagés de chaussure* dat, M urols, lac C ham bon, col de Diane, làc de-Dôme). — Louis-Alexis G iron, ébéniste, do p as q u ’on vous oublie, vous. M essieurs les et de bonneterie, m ais tra n sactio n s lentes. G. M artin (m ention bien) ; F. F a y e t' (m en G uéry, tu n n el de la C assière, T heix, Volm icilié â Billom , et G erm aine-M arie-M arguo- c u ltiv a te u rs des h am eau x et villages, qui de tion bien) ; M. B oissier, A. C hirol, R. D ufour. de Voici un aperçu des cours des denrées : rite Grollet, dom iciliés a u Besset, com m une R ongeron, L oriile, Le Poux, L oncham p, La H. D uthoit, J. M oulin, II. R ibera, A. Rlque. vie P. O. D éjeuner au lac Cham bon ; g o û ter à T helx. B eurre, 7 fr. 50 la livre • œ ufs, 4 îr. la dou C haise, Le P oyet, Le M ayet, La B ournêlle, P. R obert, R. V aladier, L. Morge. d O llie rg u e s (Puy-de-Dôm e). T out le m onde a été sa tisfa it et de cette zaine ; from ages du pays'. 2 ir l'u n ; S aintetc., a tte n d a ie n t avec im patience l’eau, l ’élec PO N T -O U -C H A T E A U belie prom enade et en g a rd e ra longtem ps un N ectaire, 3.50 à 4 fr. la livra ; from age bleu, Elèves reçus a u C ertificat libre tric ité et la réfection de vos ch em in s ; vous 2.50 à 3 fr. 50 ; g ruyère, 6 fr.; lait. 1 fr. 30 le OOURNON-D’AUVERGNE. — S ortie-prom e v errez votre feu ille d 'im p ô ts l'a n p ro ch ain G. M artin (m ention bien), F. F ay et, H Du excellent souvenir. litre. thoit, R. V aludier, J. B erniard, R. P ey rô n n v . nade de l’H arm onie. — S u r l ’in v ita tio n du * M ENAT B oulets de g rain , 22 â 28 fr. la paire ; pou G. G arnaud, J. Boissier. fils et de son sy m p ath iq u e p résid en t. l ’H ar les et coqs, 25 à 36 fr. la p aire ; can a rd s, m onie se re n d a it en sorlie-prom enude, le 11 h eureux, d an s une crise aiguë, m it fin à ses SAINT-GAL-SUR-SIOULE. — La m édaille E lèves reçus au C ertificat supérieur m aux. 24 â 32 fr. la p aire ; oies, 4 fr. la livre : pi ju illet, a la Côte Saint-A ndré (L oirei. serbe. — C'est avec p la isir que nous ap p re J.-B. V erger (m ention bien). geons, 9 fr. la p aire ; lapins, 2 fr. 50 la livre. Cette a u tre v ictim e de la gu erre, in tellig en t Dès 6 h eu res du m atin , nos m u sicien s et nons que notre am i V ivier A lexandre vient de les m em bres h o n o ra ire s q u i les acco m p a et tra v a ille u r a v a n t son é ta t m alad if, a v a it Aux élèves reçus à ces divers exam ens recevoir la m édaille com m ém orative serbe. A L L IE R £ g n en t p re n n e n t place d an s le co n fo rtab le c a r eu p e n d a n t la g u e rre son frère m o rt a u ser 1 A m icale a offert un p rix de 30 fr. en espèces Nos félicitatio n s â ce brave co m b attan t qui de M. M arqués, de Lem pdes, et p a r le P o n t vice de la F rance. p o u r ceux qui o n t été reçu s avec m ention a passé trois an s en O rient. BOURBON-L'ARCHAMBAULT Marché du D ans cette triste circonstance, n o u s offrons et de 20 fr. p o u r les au tres. de C ournon, Mezel, D allet, l ’on p a rtit d an s 29 Juillet. — Activité n orm ale p our la 6alson, la d irectio n de T h iers, N oirétable, Boén, à sa fam ille, cru e lle m e n t éprouvée, nos c o n Une fois de plus, m erci à l'A m icale to u jo u rs M O N TA IG U T Bon ap provisionnem ent. P rix m oyens p ra ti d oléances ém ues. si dévouée et si généreuse. Leurs. qués : SAINT-ELOY-LES-M1NES. — Le S tade VerB eurre, 7.75 A 8 fr. le dem t-kllo ; œ ufs. 3.25 Acte de probité. — Mme E ugénie B arrier, L’a bon casse-croûte s u r l ’herbe, a v a n t nadois au concours d ’issolre. — Le S tade Verâ 3 fr. 50 ia douzaine ; freinages de vache, S aint-É tienne, lu t le ’b ien v en u et c h ac u n lu i la sy m p ath iq u e p ro p rié ta ire de re s ta u ra n t à ECOLE DE ST-JOSEPH ET ST-MAXIME riadois p a rticip ait, le 16 Juillet, au 21« Con 1 fr. 75 l’un ; from ages de chèvre, I fr. 50. lit le plus g ra n d h o n n eu r. L ’on re p a rtit e n La Miouze et ram asseu se de la it de la m ai Poulets, 6 fr. le dem i-kilo ; can a rd s, 3.50 à D im anche d ern ier, une ch a rm a n te fête sco cours des Sociétés de G ym nastique du Puysuite d an s la d irectio n de Suint-C ham ond où son Larny, de C lerm ont, en fa isa n t sa to u r de-Dôme et d u M assif C entral, o rganisé par 4 fr. le dem i-kilo ; lapins, 2.75 à 3 fr. le demiun a rrê t eut iieu p o u r la visite de la ville. née quotid ien n e, a tro u v é, jeu d i 27 ju ille t, laire réu n issa it, d an s la salle p aro issiale de kilo ; pigeons, de 10 à 12 fr. la paire. A Vienne, où l ’on a rriv e peu ap rès, nouvel s u r la route de La M ioute à Gelles, u n p o rte N.-D. du M arih u ret, les parents, les élèves et l’isso irien n e. 11 y a rem porté les p rix su iv a n ts : concours a rrê t pour v isiter la cath é d ra le , m erveille feuille c o n te n a n t une im p o rtan te som m e d ’a r les nom breux am is de l ’école. Les a p p lau d is en sections, pupilles, division su p érieu re (12 E B R E U I L . — M a r c h é d u 27 j u i l l e t . — Pou d 'a rc h ite c tu re ; en fin ce fut la d irectio n de g ent. p erd u p a r un ferm ie r des enviro n s. sem ent ne fu re n t pas m énagés au x jeunes lets, 25 à 40 fr. Ja paire ; oies, 3 fr. ; canard* Celui-ci a été très h eu reu x , on le devine, artiste s qui, to u r à tour, in téressèren t vive g ym nastes), prix co u ro n n é ; m ouvem ents la C ôte-Saint-A ndré où l'o n a rr iv a avec un avec engins, prix d ’exoelleDce. 3.50 : pigeons, 7 fr ; lapins, 2,50 la livre j peu de re ta rd . La p lu ie qui to m b ait en ce d e se le voir rem ettre avec son c o n ten u p a r m ent la sy m p ath iq u e assistan ce d an s Je ch an t Une plaquette a rg e n t a été attrib u ée a u d i beurre, 6 fr. ia liv re ; œ u is, 3.50 la douzaine; m om ent em pêcha de d o n n e r le co n cert p rév u Mme B arrier, q u i n ’a v o u lu accep ter au cu n e m im é des P etites F erm ières, le ballet du P etit recteur en so u v en ir do l ’in a u g u ra tio n du from age, 2 fr. la pièce. qui fut rem is au len d em ain . L’on se re n d it â récom pense. Chaperon B ouge, la sp iritu elle com édie de S tade A lbert B uisson. 1 Hôtel de F rance, qui h éb erg ea nos m u si Noël O udon, Saint-N icolas et le B oucher et V EP.TA IZON NEUILLY-LE-REAL. — M arche d u 27 ju il Le tira g e de la tom bola eet fixé a u dim an ciens et où un su ccu len t rep a s fu t servi. enfin le c h œ u r exécuté p a r les élèves dé la S uocès s c o la ire . — Le c e rtific a t d ’étu d es a let. — Gros poulet# 37 à 40 Ir. la p aire ; pou che 6 août, d a n s la co u r de l'école de filles Le lendem ain, â 8 heures, eu t lieu le dé term in é l ’a n n ée scolaire. Notons le beau suc classe e n fan tin e Les P etits Doigts. lets m oyens. 28 à 34 fr. ; petits poulets, 20 a de La Y'ernade. p a rt p our la G rande-C hartreuse ; l^ te m p s rut cès obtenu p ar nos écoles libres. Au co u rs de la séance fu ren t proclam és les 26 fr. i c a n a rd s 23 à 27 fr. ; pigeons, 8 â 10 fr.; m aussade au d é p a rt et à l ’e n tré e W u m assif Une bonne jo u rn ée. — La C onférence de Ecole de filles, d irectrice Mlle Duché, e n b rilla n ts ré su lta ts des divers exam ens de poules et cops adultes, 35 à 38 fr. ; pintades, de la C h artreu se, les m o n tag n es se co u v ri fants p résen tés 3. reçus 3 : ♦ l ’an n ée sco laire 1932-33. Nous nous faisons un Saint-V incent-de-Paul. — D im anche d ern ier, 33 â 41 fr. ; oies, 48 à 55 fr. ; dindes, 58 à rent de brum e. NOIRÉTABLE p la isir de les rep ro d u ire ici. 23 ju illet, Jes C onfrères de la C onférence de Genestoux S u zan n e (m ention bien) ; T rln 67 fr., le tout à la p aire ; lap in s dom estique«. A près av o ir longé to rre n ts et précipices, card M arie-Alice (m ention b ien), T a lllan d le D istribution de prix. — D im anche, 23 juillet, 14 à 21 fr. la pièce. B revet élém entaire (Juillet 1933) — Quatre Saint-V incent-de-Paul fêtaient à le u r to u r le l’on atteig n it le m o n astère de la G rande-C har M ane. cen te n aire de la fondation de celte œ uvre si ô 15 heures, a eu lieu salle du P atro n ag e, la Beurre, gros pains, 6,50 â 5,75 la liv re ; a C andidates présentées, 3 reçues" : T hérèse treuse, qui lu t im m éd iatem en t visité. L’ou belle en même tem ps si ém inem m ent sociale, d istrib u tio n de prix aux élèves d u P en sio n beurre d étail, u à 6,50 ; œ ufs, 3.25 A 3.50 la 9 Ecole de garçons, 3 présentés, 3 reç u s : C ham bon, Renée T hévenin, M icheline Vacher. p rit en su ite le chem in, du re to u r et p a r S aintp u isqu’elle ajo u te aux secours m atériels dis C h a rrie r Jean, D ubourgnoux Roger, B rlat douzaine ; from ages de vache, 2,25 à 2.40 la Certificat d études prim aires. — Dix c an d i crètem ent e t délicatem ent donnés, le réconfort n a t de jeu n es filles. P ierre-de-C hartreuse et le col de P orte, l ’on René. Cette fête de fam ille était présidée p a r M. pièce ; trom age# de chèvre, 1,50 A 1,75 fro d ates présentées. 10 reçues : Jean n e Cham bon d escendit su r la ville de G renoble, q u i fu t m oral de sa c h a n té v raim en t chrétienne. P uisse ce succès être u n en co u rag em en t l'abbé Suzat, curé-archiprêtre de la paroisse. m ages A la crèm e, 3.50 â 3.80 ; crèm e, 1,15 a égalem ent visitée. i p o u r nos m a ître s et m aîtresses à qui nous M arie-A ntoinette D écousu, Suzanne D ohérier’ A cette occasion, l’église a v a it été ornée de La salie é tait comble (te p aren ts des élèves 1,20 le verre. Ce fut en su ite le re to u r à la Côte-Saint- adressons, au nom de nos en fan ts, no« bien M arie-Louise F alv ard , Hélène Gisset, Marie- fleurs, e t il y eu t m esse avec diacre et sous- et des am is des écoles libres. Une séance ré Pom m es de terre, 0,?n à 0,40 la livre. A ntoinette Jaffeu x , Geneviève P h ilip p in e A ndré. où à l’a rriv ée un concert, suivi d ’un sincères rem erciem ents. ^ A nna R ellier. M arie R evaillot. Cécile P ataud! diacre, et u n e fols de p lu s les assistan ts eu créative dont nous devons féliciter les o rg a défilé en ville, eu t lieu et où nos m usiciens 8AI NT- POURÇAI N-SUR-SI OULE. Foire rent le p la isir d ’en ten d re de nouveau la belle n isatrices et les c h arm an tes actrices, a g ré Fêtes scolaires. — Les fêtes scolaires de recu eilliren t d ’u n an im es ap p lau d issem en ts. Certificat d 'études de l'en seig n em en t libre messe «n m usique de « F au ch et ». Elle fut m enta cette belle soirée. Les applaudissem ents el m a r c h é du 29 j u i l l e t . — Vaches grasses de Le dim anche 16 ju ille t, 1 H arm onie se ren d im an ch e se sont déroulée« avec un plein (degré su p érieu r). — Deux élèves présentées 1.50 à 1,80 Je kilo . vaches de trait, de 2 000 â très bien exécutée, g râce au concours de la n o u rris et répétés des a ssista n ts m ontrèrent dit à la m esse où p lu sieu rs m orceaux de c ir succès. 2 reçues . Geneviève E spagnol (m ention bien)! C horale des M ines de la Rouble. Des voix bien la satisfaction générale. E ntre chaque saynète 2 500 la pièce ; vaches laitières, de 1.500 à constance fu ren t exécutés sous la baguette La coquetté cité a v a it revêtu sa p a ru re des Sim one Jalo u stre (m ention bien). connues et appréciées v ien n en t à l ’occasion pièce, m onologue, eut heu lu lecture du p a l I.WH) la pièce ; porcs gras, de 6,80 A 7 fr. la au to risée de son dévoué chef, M. l ’abbè Dä g ra n d s jo u rs pour recevoir la Jeunesse venue Certificat d 'étu d es de l'en seig n em en t libre s’u n ir a u x ch an te u ses de la paro isse ; nous m arès. P o u r ne p a s ab u se r de la place ac kilo ; n o u rram s, de 8,50 â 9 fr. le kilo ; lai cher. de toutes les écoles publiques du canton cordée d a n s ce jo u rn a l nous ne donnerons tons, de 9.50 à 10,50 le kilo ; v tau x , de 4 50 â (degré élém entaire). — Dix élèves présentées leu r disons n o tre reconnaissance. 5.50 le kilo. Le cortège rv a it à sa tète MM. Pom ot, 10 reçues : C écilj P atau d (reçue prem ière dé Après un ban q u et a u ssi bien servi que S ignalons «n p assan t : « Le C rucifix de sim plem ent que les ré su lta ts des ex am e n s de B eurre de 11 à 12 fr. le kilo ; œuf* 3.50 choisi et qui fait h o n n eu r à l'H ôtel de F ra n In sp ecteu r d ’Académie ; Fousson, in sp ecteu r la session avec la m ention bien), Jeanne F aure l’année scolaire 1932-1933 q ue voici : », qui fut ad m irab lem en t in terp rété ce, il fallu t so n g er au reto u r, qu i s ’effectua p rim aire, ento u rés des. au to rités locales et C ham bon, M arie-A ntoinette Décousu, Suzanne >ar deux voix qui o n t fa it deouis longtem ps B revet élém entaire. — Admise définitive is douzaine ; from ages, de 2 â 2.50 la pièce ; poulets, de 10 à 12 fr. Je kilo ; canards, de 7 p a r Lyon où l’on visita la b asiliq u e de Four- can to n a les et des m em bres du Comité d’or- D ohérier, M arie-Louise F alv ard , Hélène Gis eurs preuves. L’orgue, très bien tenu p a r M m ent : Mlle M arie-Louise M artin. g an isatio n . Chaque école a déposé une gerba set, M arie-A ntoinette Jaffeux, Geneviève P h i vière et la c ath é d ra le S aint-Jean. A dm issibles à la session d ’octobre : Mlles » 7.50 le kilo : lapin«, de 5 A 5.50 le kilo. H éraut, m e ttait en v aleu r ces différents m or de fleurs a u m on u m en t au x m orts de la Blé, 115 fr. ie quintal ; son. de 52 à 58 lr * Et l'a rriv é e â C qurnhn eu t lieu â m in u it M arguerite Coste et M arie-Louise Châtre. lippine. A nna R ellier, M arie Revaillot. ceaux. tren te, où l’on se sé p a ra v raim e n t en ch an tés g ran d e guerre. D iplôm es de fin d ’études. — 1er degré. — le quintal ; farine de 162 A 165 fr. le q u in tal. Concours organisé par le • M anuel général » A l'E vangile, M. l ’abbé Domas, secrétaire de Mlles Josette Issard ; G abrielle Courbe, avec D errière le cortège su iv aien t de« c h a rs m a Pom m e de terre, 0,90 le k:lo i vin rouge, d une si belle prom enade. entre les m eilleures élèves. - r t p rix , Jeanne ’Evêché, tin t son au d ito ire sous le charm e de m ention. dé 250 A 300 fr. la pièce de 2 hl. ; vin blanc, Nous devons ajo u te r que cette m ag n ifiq u e g n ifiq u em en t décorés et p o rta n t les plus jeu- I’a u c h a rd ; m ention honorable, Geneviève 6a parole apostolique. La quête fut faite pour de 230 à 260 la pièce de 2 hl. ; paille nou p rom enade a été film ée p a r M. le cu re doyen nés enfants. 2» degré. — Mlle C laudia B utin. E spagnol. les p auvres secourus p a r les m em bres de la S u r l’E splanade, lieu de rassem blem ent des de Pont-du-C hâteau, qui a v a it bien v o u lu ac C ertificat d'études. — i»r degré. — Mlles velle, 200 fr. la tonne. Concours organisé par le » Courrier des E xa Conférence, s: vivante à Salnt-F.lov e t s; bien com pagner l ’H arm onie. d iscours o n t été prononcés p ar MM, L allig ter Jeanne Cornet, m ention trè s bien j Emma Les ennem is de n o tre Société d isen t p arfois p résid en t du Comité d ’o rg an isatio n ; T a illa n m en s ». — 1 « p rix , T hérèse C ham bon, Renée faisante. N ous so u h aito n s ê u ’eUe étende son Gazel, très bien ; Odette D ubouis. bien ; Su que l’on s ’ennuie chez nous, q u 'ils p re n n en t dier, m aire de V ertaizon ; Noyer, conseiller rh év e n in , M icheline V acher ; accessit, P a u action p e u r te plus g ra n d bien des déshérités zan n e L arret, bien ; Yvonne D uasupt, bien ; Marché aux vin.* de Nîmes de ce m onde. seulem ent la peine de d em n n ae r â nos m u d arro n d issem en t, et G ravière, ph arm acien . lette M adubost. Jean n e G range, assez bien. Nîmes, 31 Juillet. siciens ce q u ’ils p en sen t de cette belle pro 'Io n s les o ra te u rs o n t été v igoureusem ent Secrétariat com m ercial (sténo-dactylogra2» degré. — Mlles M arie-A ntoinette Georges, PO N T G IB A U D Cour? officiels de la C ham bre de com m erce; m enade, et si la noie qui dom ina ce voyage ap p lau d is. hie et com ptabilité com m erciale). — Nflles bien ; Jean n e Guette, bien ; Jeanne Gayte, Trolh six bon goût 100 degrés, trois-six m aro SA INT-PI ER RE-LE-CHASTEL. - La fête pa- bien, e t M arie-A ntoinette Gayte, assez bien. ne fut pas celle de la p lu s fran ch e g aîté ; il elller, R ance et V igouroux. L’n p ro g ram m e v arié de jeu x et de c h an ts 100 degrés, eau de-vie m arc JOü degrés, pas n ale. — D im anche 6 août, la paroisse de n 'y a q u ’â se rap p eler les belles p rom enades a suivi les discours. Les diverses écoles se Nos félicitations les plus sym p ath iq u es aux tro E nseignem ent m énager. — Mlle Jeanne Cor d affaires signalées. Saint-Plerre-le-C hastei célébrera dignem ent 3 a que fit l ’H arm onie, en 1930, au Puy-en-Velav; sont signalées p a r le u r .e n tra in , le u r d isci la u ré a te s et à leu rs professeurs. net, m ention très bien ; S uzanne L arret, très Vins rouges, qualité courante, de 7 degrés belle fête patro n ale. l'an n ée d em iere, où elle p rit p a rt au Con pline et le p ittoresque de leurs costum es. La A la g ra n d ’messe, le serm on sera donné p a r bien ; M arie V iailon, très bien ; O dette Du a ? degrés 5, de 38 a 45 fr.; m ontagnes, d« co u rs de L angeac, p o u r pouvoir d ire en toute rouie a p p la u d it ch aleu reu sem en t les jeu n es M A NZA T Mgr C haum ont, am i de la paroisse ; p en d an t bouis, bien ; E m m a Gazel, bien ( Jeanne 7 degrés 5 a » degrés 5. de 50 â 65 fr.; m on sincérité que l ’on ne s ’en n u ie pas à l ’H ar artistes. P u is M. Pom ot félicita le s o rg a n i tagnes supérieur«, de 8 degrés 5 a 9 degré*, 0HARB0NNIERES-LE8-VARENNE3. — E tat cette cérém onie, il b én ira une belle statu e de G range, bien. m onie. sateu rs. 9 Ces résu ltats so n t une preuve irréfu tab le de de 65 â 99 rr.; cosiiéres. de 9 â 11 degré* sain te M adeleine, don d 'u n e généreuse per Des g oûters fu re n t en su ite d istrib u é s au x eivll d u deuxièm e ( trim estre. — N aissances R O O H E F O R T -M O N T A C N E — Ja rz a g u e t Georgette, à P a u n ie t. — Chamde loo a »60 f r ; blanc de blanc, pas d'af sonne de la paroisse. l ’enseignem ent donné d an s cet établissem ent. en ia n ts, a leurs m aîtres et â le u rs p a re n ts E nsuite u u ra lieu, s u r le v aste plateau en Nous nous faisons cependant un devoir de faires. GELLES. — Deces. •— Joseph P aillo u x , âgé Un vin d ’h o n n e u r ré u n it les p erso n n alités pagnol Elie-Michel, a u Boueix. — B ertrand Le mut nu pris A la propriété. to u ra n t la vieille et m ajestueuse église, ia tra féliciter les lau réates ainsi que leurs dévouées de 52 ans, du village de B anson, com m une ofticielles c h A M. Ju ilh ard , re s ta u ra te u r â Pierre-A ntoine-E ugène, à P a u n ia t. — — j m ~ ---------de Gelles, pensionne de g u erre p a r su ite de V ertaizon. M ariages. — A stier A ntoine-M arlus %t Je a n ditionnelle procession de Saint-Pierre-ès-lleu. m aîtresses. La rentrée des classes est fixée au . ■ ■■ ■ ■ 5 octobre. com m otion, d o n n ait d epuis q u elque tem ps P u is une m ontgolfière s’est élevée d a n s ne Barge. — F au re Jean-M arius-A nnet et An patron de la paroisse ; la sta tu e du gran ti de la Maison G range, situé avenue de la.G aresa in t et sa belle bannière sero n t portées p a r une vive Inquietude â sa fam ille et d em an les a irs avec aisan ce et le tira g e de la tom toinette V acher. Un p ro frèe. — La Cham bre d ’in d u strie cli O uvert tous les Jours, de 8 heures à 19 heures les conscrits de la com m une. ’ m atique de N oirétable est heureuse de m ettre d a it une su rv eillan ce soutenue. bola, dont n ous p u b liero n s les nu m éro s g aDécès. — D av ay at Anne, épouse F au re à « h Le soir, u n e belie fêta se ra donnée p o u r la cette année, à la disposition des nom breux Sous des om brages m erveilleux, quelles belle* T ro m p an t la vig ilan ce des siens, le mal- g n a n ts d apiain, a clô tu ré la fête. D ouhady, 62 a n s . S a h u t Antoine, veuf Porsoirées en perspective, avec ces tem ps de eunesse. v illégiateurs et du public le m agnifique parc canicule. S ARRONDISSEMENT DE CLERMONT 6 Ê 1 VEN’IH L’AMOUR {PROUVE P«r S A IN T -D E N IS W» M aussi tout i’attralL Et c'eat si vrai que souvent, dans les réunions m ondaines, 11 arrive que d es Centraux et des Polytechni ciens, — donc trà* doués et très instruits — y font triste figure et ennuient ceux qui les approchent, parce qu'il tour m an que ce spirituel, 3« piquant, q u 'a u ra n autre individu, moins calé gu'eux, c’est entendu, m ais du moine pétillant d'esprit et de gaîté. Après avoir parlé é bâtons rom pus, ce v i d u re s te n 'a rriv e qu'aux enfants, on is c u ta , et les réflexion d 'u n des garçon nets au ton au to ritaire et au sourire m a licieux, captivèrent l’attention de Mlle de S Certains, — 11 suffisait de les regarder our s'en convaincre, — étaient incapa les de raisonner et de discuter quoi que M erla y , ce soit. Us p a r la ie n t pour le seul plaisir discussion avait son im portance, car de parfer, débitant insanité sur insanité, il La de savoir si on jouerait au aussitôt relevée* par un petit blond aux c h es'agissait v a l rien q u ’e n tr e garçons ou si on ad répliques re m p lie s d’à-propos et pétries m e ttr d es filles.... t ce mot passait e n d'esprit, dont .a plupart de ses cam arades tre lesa itlèvre« de l'enfant avec une moue n ’avaient même pas l ’air de comprendre d é d a ig n e u se vraim ent am usante. le sel, m ais oui am usaient au possible Mo T o u s fix a ie n t celle qu'ils appelaient nique, dont la subtilité intellectuelle était » Z ette », sœ ur de l'u n d'eux, et qui hum extrême. Et en entendant ce petit bon b le m e n t, à quelques poe du groupe, atten homme, elle songeait que bien que ses it son arrêt. tra its soient irréguliers, il p lairait au tre d aLe de ia bande parla et gravem ent ment dans le monde, quand il serait il dit chef : grend, q u ’un joli garçon, maie sot. -- Vous m e demandez mon avis t E h Car s’il est donné, Dieu merci à bon bien I le voici .- JJ ne faut pa» s ’e m b a r r a s nombre d ’enfants d ’avoir une intelligence s e r de fem m es dans nos jeux. Quand un moyenne, il y en a foi* peu qui v joignent sera m arié, on a bien le temps de les • I esprit ». C’est lui p ourtant qui fait le avoir à nos trousses. Ne trouvez-voua pas charm e des jeunes m inois et do leur con qua j ’ai raieon, les am is ? versation comme chez un homme il en e*t — Mais tu es grotesque à nous parler de f « femmes * quand U s ’agit d’une petite fille, car tu aaia bien que Suzette _ n ’a que 7 ans, proteste son frère qui en avait Ô... — Sept ans ou plue, c’est toujours une femme.... en herbe, et si on l’accepte, une fois qu’on a u ra commencé, ça ne s 'a rrê tera plue ; faudra prendre avec elle ses cousines, ses amies et toute une ribam belle de petites filles. Alors, dit-il avec de ;rand» gestes véhéments, on ne sera plus es m aîtres. Car les filles, mêmes les tou tes petites, il faut toujours que ça com mande, que ça fasse m archer les autres, et c’est pour cela du reste que ie ne joue Jamais avec elles. On est obligé de fajre lours trente-six volonté* ou de suite s pleurnichent et vont 6e plaindre A leurs mères, et ça amène des histoires & n'en plus finir qui gâtent tout plaisir.... On n’a même pas la ressource de les battre quand elles nous font enrager, car ca serait lâche.... Alors, parce que noua on est des garçons, U faut tout supporter d’elles ? Zut 1... « Et comme chef de bande, Je m ’oppose à l'adm ission de fa sœ ur parm i nous, Charles. F au t pas t'en fâcher, car r ’eet pas pour « Zetta » personnellement mais simplement pour appliquer la règle que Je vous propote : « Les garçons avec les garçons, les filles avec le« filles ». Quelques-uns n'étaient pas de cet avt», m ais comme on écoutait ce gam in p ari sien comme un oracle et que docilement on suivait toutes eee directive« «ans forœu- ( 1er d objections, tous se rangèrent à sa dé de tricoter pour concentrer toute son atten cision et levèrent la m ain en signe d'ac tion sur lut. q u ie sc e m e n t. Il m a r c h a it à pas com plôs en tr a în a n t un T o u te p e n a u d e , Suzette m aintenant s ’tn p eu t ch ai lot d an * lequel se tro u v a ie n t une allait la tête basee, fort ennuyée d’être pelle e t un seau obligée d’avouer son échec à see petites Rien hûll, il p a ra is s a it a v o ir six a n s , m al* a m ie s, c a r elles r.ussl, comme l ’A valt pré p eut-être avait-il d a v a n ta g e . Il a v a it de vu l ’orateur, espéraient bien a-vec Zette g ra n d s y eux n o irs, un nez a p la ti, aux nas’enrôler d a n s le jeu de*, garçons. rine* s a n s la m o in d re m obilité, la bouche — Certainem ent elle* vont me dire que p e u 'e à 1 excès a v a it de g ro s se s lèvre* qui J e n ’ai pas su plaider ni m a cau*e, ni Ia c o n sta m m e n t re s ta ie n t ouverte* et les oreil leur, se diçait la fillette, mais ce Gérard le* é ta ie n t g ra n d e s , la rg e s e t décollées. El m ’en impose tellement qu'en lace de iui je xüns £ 2 .v,8aße rien ne bien qu’il suis incapable de protester p a r un mot, é b a u c h â t s a n s a r r ê t un s o u rire flcô. sourire Et Monique songeait en souriant { auquel se s yeux ne s ’a ss o c ia ie n t pas — Qui sait ? C'«it peut-être cette jolie E t c’e st ce q u i fra p p a le plus la jeu n e fille Suzette, exclue du jeu si peu galam m ent qui savait si bien analyser les physiono aujourd'hui p a r te gam in despote, qu’ib m ies et a v a it ta n t de foi* constaté que chez épousera un jour ?..Car combien d'enhtntk un enfant bien doué intellectuellement, se sont dLpute» sa sont détestés même avant m êm * qu’il a it exprimé sa pensée et dans l ’enfance pour s ’aim er à vingt ans |.. en m êm e tem p s qu’il so u rit, son regard A présent, lee garçon» en nombre impo b rille de malice, de pla!*ir. Et l'expression sa n t Jpuaient au cheval, très fiers de l’ar « sourire des yeux » n’est pa* purement rêt pris contre le sexe faible... Ils pous ro m a n e sq u e , m a is absolument réelle et sa ie n t l’irtnie, on pourrait dire la méchan- Juste. Mais ce petit ne savait que sourire ceté, ju s u u ’à frôler le groupe des petits sa des lèvres et avec quelle niaiserie L., En crifices dont Zette faisait partie, et qui, vain d a n s ses g ra n d s yeux cherchait-on un r o u te s et indignées de leur audace, les r#- réflexe où la gaieté et L’esprit avaient Jeur gardaient passer sans oser élever une pa part : Us restaient vides de toute expres role de protestation. sion. Du côte qpposé à ces deux groupas, un Cette constatation se rencontre aussi bien bambin arrivait. \\ était seul, et par J« bi chez un tout jeune enfant que chez un plue zarrerie de ses manières et l’étrangeté “de âgé, et c'est la caractéristique Indéniable du sa physionomie, il ressemblait si peu aux manque d’intelligence. Maintes fols, on ne autres enfante que Mlle d« Merlay s ’arrêta peut plus attentivement, j’ai étudié ce petit 8E 0 Adm lssioi Métiers de 1932 : Dom C oncours épreuves o pu is, Merg B revet d o to iis p a r G audin. M D écham p, n a u d . Van lade, De.i ro n . Gourd que, Chom 'M age. Meu lo u r, Merq Maillet. Ra ban ce, Arc! E xa m en (Déflnltivem L ouis. i Concourt erü te Înrmtmilhon, i C orre, C ur 'L abbe, La Reverdy, net. V 4* séria T ate. Certificat A justeurs : rau d et, Gu R oddier, H Déchamp, m as. Tourneur chauxm e. M écanicie G ourdy, Jalj Forgeron P o se u rs-r Chalam et, lin ier, Nad Chol. Electrlcle Menuisier! couze. Ebéniste Sculpteur Duple. C harrons •4 FOIRES ET MARCHES LOIRE K K Itll I F ION de G m onde au q u el je m ’in té re sse to u t p articu lièrem en t, e t a p rè s exam en de p lu sie u rs a n n ées, j ’ai ac q u is la c e rtitu d e de «e q u e J’é c ris en ce m o m e n t Ce qui im p re ss io n n a aus3i p ro fo n d ém en t M onique, ce fut l’a ir so m b re el tr is te de c« yi*age... Ün eu t d it celui d 'u n petit v ie u x ... Et un e n fa n t triste e st un tris te enfunt. ' Æ Il s 'a r r ê ta ju ste d e v a n t Mlle de M e rlfy ^ et là ii se liv ra à un a m u s e m e n t d éco n cer ta n t, si toutefoi* on p e u t a p p e le r c ela u n <fmu*ernérit. D ’u n m o u v em en t ra g e u r , q u i c o n tr a r i a it s in g u liè re m e n t avec la le n te u r de s a d é m a rc h e , il d é ta c h a les b ra n c a rd » du lé g e r v éhicule, et il le» la n ç a b ru s q u e m e n t a u loin, .• u risq u e d ’a ltr a p e r e t de b le sse r q u e lq u ’u n .... P u is , av ec uno force é to n n a n te p o u r u r si jeu n « e n f a n t e t u u i re s se m b la it à de la b ru ta lité il a r r a c h a les ro u e s q u ’il ré d u is it en to u s petit«- m o r ceau x . N on c o n te n t d - ces sim p le s m u tila tio n * , à co u p s de p ied I d é m o lit le corn* de la b ro u e tte , e t, fa tig u é , il s 'a s s it s u r I» sabla et é p o n g e a son v|«Qg e b a ig n é de s u e u r p a r cet e ffo rt de d e s tru c tio n M ais ce n ’é ta it p a s fini...*.. Son «eau, son jo li s e a u to u t n e u f, aveo deux b a m b in s m o n tan » u n e b a rq u e pein t* de»sus, g is a it a u m ilie u d e s d é b ris.! n — le vit et tout a u s e itô t se re le v a , c a r rie n ne devait trouver g ra c e à see y eu x . W <A suivrai a) Ré P rix Bar^ M enuiserie S culpture : — F orge * A justage P rix Cha G h arro n n ag m aie. P rix A nte m eilleu r éle tion prép ar tre, de 4» ? b) Ré k P rix d'ho riat de l'E n de 3* n o r: M édaille des anciens 4« spéciale. P rix offer — 100 fr.. â Rochette, d P rix offer E ntrcprenet 50 fr.. à Ur ru rie rs : 50 — A justeur trlelle B. — de 3» électr M eunier, de è Rossi Roh teu rs : 50 fi P rix offer fr.. A Charl. dier, de 3‘ P rix offcr{ D ionnet.ae P rix offer pagnol, de P rix offer, lants et : i u électricité. P rix offer Un livre, à P rix offen Joly, de 3* P rix offer — Une règle P rix offert! Un livre, à P rix offer; baud : Be uz ue 3* nortnai P rix Odert de 2* lnduet d u strielle B P rix offerts 3« norm ale ; 3* électricité tel, de 3« éle P rix offert sin, de 3« éi P rix offert de 3« électric P rix offert a u x élèves n dier, Hecoqui Roux, tou* d in d u strielle Thévenet, de norm ale. P rix o ffert d ln de 3« no P rix offert pagnol de 3« 1« industriell p r ix o ffert ganne de 1N P rix offert 1 porte-foret, 1 pied à cou' trlelle B. r III. Troisièm e rel, Thom as A dm ission Mativet, Do Déchamp. U Troisièm e rln . San vois Admission Ku«v Guéri V annier. Cb Chot. Troisième Joly, Recoq Champagnol L bardy. Chaj 1 dier, Guyot. Deuxième m inât. Chat Baubel. Lén D euxièm e F o u rn ier. Gi AdmfsMon n o rm ale : . •• In d u stri Jes. Fredet, i Juvenon, Ga t* Industri Admission 2« Industri leiilan t, U rt Tate, Combe 2* Industri •e, Busàièrs, Rosst Paul, D upuylolier. F riau d . Lecli tul. Sont autorl en octobre : , t* induetm I R oyannette, t • Industri- M ARDI 1 * AOUT 1933 LOIRE LES DISTRIBUTIONS DE PRIX à B rioude, sie qui s'es»! Jplanade de (Suite) 8 E 0 T I0 N S IN D U S T R IE L L E S I« ba leis. MM. Ul!DJard se fire n t lu pnadUCttéMI le u rs a -.-au u iust-mbie. I lia soirée, ilusieurs jeu- se prêtaient uccqmpagne- ». t t abond un. : . - t p i c* restaurer a fa ra u d eu irtuûsué coules ea.piOi?« t présente» i Ide ; li.io ia s , [au m ; xi i !-* ;e | ) r D u icl. pre- lot t-rt, préài* Isid u tit ; l ’ousectioft de du S ynd ica t : ] T 1! de La l ttanta chauxme. i mue, etc... ROHES denrées : 4 tr. la rtoul un ; Ssnnt[r bleu, ut. 1 tr. le pâtre ; pouî ; eanards, lu liv re : plL . jl) lu livre. Marché du ir la saison, nojeus pru tiO ; œufs, 3.'35 de vache, I tr. 50. lia rds. H.50 à 3 fr. le deiutDalre. |:es ie. |n ie t. — Foutr. ; canards, BM) la liv re ; la douzaine; du 27 JulL paire ; pou; oulet?, iiü a ns, » a 10 fr.; r ; pintades, d ’n.l-s, 58 a jdoiuestiq ies, I la liv re ; h 3.50 la W P.25 à 2,40 la A 1,75 ; fro* rème. 1,15 a liv re . F oire grasses, de it, de 2.000 a , de i . 5<d a M a 7 fr. le le k ilo ; la iux. ae 4.50 a : œufs, 3,50 ,50 la pièce ; an in ls. de 7 0 le kilo . « 52 A 58 lr. r. le q u in ta l, vin rouge, : v in blanc, pa ille nou- ^ î im e s 31 Juille t. ‘ n e commérent proto-su inaro |> degrés, pas de i degrés l*o magnes, da 65 fr.; mon15 a ü dpgres, A i l degrés, |nc. pas d af|ê. de la GareIxe s à 1!) heures, quelles belles es temps <Jq to u t p a rticu plusieurs an te que j ’éens rofondément tris te de en |p ttil vieux..^ en font, de M e rlg y jnt 'l 'Cn’ u v r* p le r cela un , ra g e u r, q u i ic la le n te u r ‘s bra n ca rd s k a brusquefra p e r et de une force fif a n t et q u i il arracha petit*, rnor- Imutlîation», corps de la sur I® sa|né de sueur t avec trq u e p e in ts d é b ris... 11^ ^ ^a, c a r r i e n ^ P yeux. 'A iv lu re ) l . SECTIONS COMM ERCIALES RESULTATS AUX EXAMENS Examen d'entrée à l ’Ecole supérieure de Commerce de Clermont : Schuster, Dubessay. Brevet d'enseignement commercial : Schus ter, Noël, B o ivin , Abonnât, Monnet. Bourses nationales d'enseignement techni que : 3® série : Débordé. Certificat d'aptitude professionnelle : A i des-comptables : Avel, B o ivin , Dubessay, M on net, M ontagne, Noël, Schuster. P R IX SPECIAUX P r ix d'honneur du Sous-Secrétariat de l ’En seignement technique : Schuster de 3* com m erciale. P r i x offert pa r l ’Association des anciens élè ves : Une m édaille d ’a rg en t à Schuster de 3® com m erciale. P r i x offert p a r les anciens élèves 25 francs à Abonnât de 3® com m erciale. P r i x offert pa r M. Bergougnan une méd a ilie à Noël de 3® com m erciale. P r i x offert pa r la Chambre de Commerce 50 fr. à M orand do 2e com m erciale ; 50 fr. à G autier de l r® com m erciale. P r i x offert par la Maison M ic h eli n : 100 fr. à Schuster de 3® com m erciale. P r i x offert p a r la Fédération des Combat tants et Mutilés 25 fr. à B o iv in de 3® com m erciale. P r i x o ffert p a r M. B oiv in au m e ille u r élève en comptabilité : 50 fr. à Schuster de 3® com m erciale. P R IX DE M E R ITE Troisième commerciale .- Schuster, Abonnât, Noël, B o ivin , M onnet, Dubessay. Deuxième commerciale : M orand, Gouttebel, Soulier. Admission en 3® commerciale : M orand, Gouttebel, S oulier, L e y rit, T o u re ix, M eunier. Sont autorisés à su b ir l ’examen de passage en o c to b i 3 B ertran d, G im el. Premiè'-c année commerciale : G authier, Mayet, Bonhoure, Randoin, Quément. Admission en T commerciale : G authier, M ayet, Bonhoure, Randoin, Quément, V illa dère, Rolle, D um ont, D u fflo , Prévôt, Carbonell. Mécaniclens-garagistes ; Chatard, G audin, G ourdy, Jalade, R anvier. Forgeron : M ativet. Poseurs-installeurs d ’électricité : Capeille, C lialam et, C h a rlin , G uérin, Kuss, M ellé, Molln ie r, Nadal, P antel, S anvoisin, Vannier, Chol. E le ctricien s : B onhour, B ru n a t, Rochette. M enuisiers : M eunier, C ham pagnol, Decouze. béniste : D ufour. culpteurs su r bois ; Chaput, B a ttu t, Joly, Dupic. Charrons : Mage Jean-Marie, Chézet, P R IX SPECIAUX a) R ésultant de legs : P r ix Bargoin, liv re ts d ’épargne de 40 fr. : M enuiserie : D u fo u r H enri, de 4- norm ale. — S culpture : D u p u ylo lie r, de 2* in d u s trie lle B. — Forge : Empis, de 1** in d u s trie lle B. — Ajustage : Désir, de 2- in d u s trie lle B. P r ix Chausscgros, u n liv re t de 15 fr. —C harronnage ; Mage Jean-Marie, de 3« n o r male. P r i x Antoine Menât, un liv r e t de 50 fr. au m e ille u r élève de m athém atiques de la sec tio n prépa ratoire a u x A rts et M étiers : Mes tre, de 4- spéciale. b) R ésultant de dons : P r i x d'honneur vffert pa r le sous-secréta r ia t de l Enseignement technique. — M eunier, de 3- norm ale. Médaille d'argent offerte p a r l ’Association des anciens élèves de l ’Ecole, — Mestre, de 4« spéciale. P r i x offerts par la Chambre de Commerce. — 100 fr., à Pargue, de 3° spéciale ; 50 fr., à Rochette, de 4’ électricité. P r ix offerts pa r la Chambre syndicale des Entrepreneurs du bâtiment. — Forgerons : 50 fr., à U rbain, de 2* in d u s trie lle A. — Ser ru rie rs : 50 fr., à Corre, de l r« in d u s trie lle A. COURS P R O F E S S IO N N E L S — A justeurs : 50 fr., à G a illa rd , de 2e in d u s A pprentis étrangers à l ’Ecole et y ava n t trie lle B. — E lectriciens : 50 fr., à M o lin ie r, de 3« électricité. — M enuisiers : 50 fr., à subi avec succès les épreuves d u c e rtific a t M eunier, de 3« norm ale. — Ebénistes : 50 fr., d ’ap titude professionnelle à Rossi Roger, de 2» in d u s trie lle B. — Sculp Ajusteurs : M illiro u x , Paris, Désusclade, teurs ; 50 fr., à Chaput, de 3e année norm ale. Fahre, Agay, Debas, C o urio l, O ttavi, L a ja rP r ix offert pa r la Maison M ichelin. — 100 rije , Albos, Jammes. fr., à C h arlin, de 3’ é le ctricité ; 50 fr.'; à Rod Tourneurs sur m étau x : Bonnet, Carroué, dier. de 3* norm ale. C halafie, C hevalier, Cottier, Mazat, M osnier, P r ix offert p a r M. Bernard. — 50 fr ., à Sauret, Vernet, Lafond, Collange, V erdier. Dionnet,de 2« in d u s trie lle B. Poseurs-installateurs d'électricité ; de GuerP r ix offert pa r M. Boyer. — 25 fr., à Cham n y pagnol, de 3« norm ale. Chaudronniers : P ichot, La val, Chapelle, P r ix offert par la Fédération de* Combat Rabanel, Cohendy, Dam our. tants et : :u lile s . — 25 fr., à B ru n a t, de 4e Menuisiers : M ottet, Sancelme, Misson, électricité. P r ix offert pa r M. Q ueyriaux, li braire. — Bion Aides comptables : B ellot, Dupic, Gros, MoUn livre, â Fredet, de 2« in d u s trie lle A. P r ix offert p a r M . Pracos, — Un liv re , A range, O urceyre, G oigoux, Panem. Coiffeurs : Pinson, Darquet, Déchaud, Jean. Joly. de 3* norm ale. Typographes : Bornât, C harguellon, GimP r ix offert par la Maison Ceofiroy-Delore. — Une règle à calcul, à Kuss, de 3® électricité. bert, Grassac, Layus. P r i x offert par M. Virlogeux, de Worn, — Conducteur d 'im p rim e rie : Staub. Un liv re , à Z afran , de 2* in d u s trie lle B. P r ix offerts pa r la Chambre syndicale des P r ix offerts pa r la Maison Descours et Ca- entrepreneurs de Clermont : 100 fr. ù Bion, baud : Beuzit, de l r‘ in d u s trie lle C ; G ourdy, m enuisier, de la M aison B ernard ; 50 fr. à ue 3® norm ale. Conchon, plornbier-zingueup, de la M aison P rix offert par la Maison Amiot. : Rideaux, Doucet-Gay ; 50 fr. à G riîfa u d Antoine, cours de 2* in d u s trie lle A ; Rossi P aul, de 2® In de devis du bâtim ent ; 50 fr. à de L a tour d u s trie lle B ; G a u tn r, de 2® in d u s trie lle A. Geoffroy, cours de p lâtrerie -pe intu re, employé P r i x offerts par l a Maison Baud : Jalade, de à la Société d ’Assainissement ; 20 fr. à Far3® norm ale ; Chézet, de 3® norm ale ; Nadal, de geix, a p p re n ti s e rru rie r ; 20 fr. à Court, ap 3* électricité ; V an nier, de 3* électricité ; Pan p re n ti se rru rie r ; 10 fr. à Laverie, a p p re n ti se rru rie r. tel, de 3® électricité. P r i x offert par la Maison Ducout ; S anvoi P r i x offert par M. Prunevieille, entrepre sin, de 3® électricité. neur : 50 fr. à M eunier, adm is au C.A.P., me P r ix offert par l'Ele ctro-Industrie : Guérin, nuiserie. de 3® électricité. P r ix offert par M. Bernard, entrepreneur : P r ix offerts p a r l ’Ecole (ils seront rem is 50 fr. à Cham pagnol, adm is a u C.A.P., me a u x élèves après l ’exposition) : Guyot, Rod nuiserie. dier, Recoque, M ontret, Delecroix. Lom bardy, P r i x offerts p a r la Maison Delaunay : 1 l i Roux, tous de 3® norm ale ; M andonnet, de 2® vre â Bion, de la M aison B ernard ; 1* liv re a in d u s trie lle A ; C uriel, de l r® in d u strie lle C ; de La tour, de la Société d ’Assainissement. Thévenet, de l r* in d u s trie lle C ; Dupic, de 3’ norm ale. Concours 1933 (ap pre ntis typographes) P rix offert pa r M. Gauthter : 50 fr. & Gau 3® A. — Grassac P aul, 100 fr.; G im bert P ie r d in de 3® norm ale. re, 80 fr.; Charguelon Jean, 70 fr.; B orn ât L u P r ix offert pa r M. Favier : 25 fr., à Cham cien, 60 fr.; Layus Guy, 50 fr. (A tous un pagnol de 3® norm ale ; 25 fr. à C hartoire de B u lle tin des M a itre s-lm p rim e u rs). 1e® in d u strie lle A. 2® A. — Beldon Jean, 70 fr .; Deubelbeiss P r ix offert par M. Domas .- Un liv re à Rou Charles, 60 fr.; Deubelbeiss Robert, 50 fr.; ganne de 1*® in d u s trie lle A. G allioz G abriel, 45 fr.; Cessât Raym ond, 35 fr.; P r ix offerts par la Maison Vve Bernatd : M ontbobier André, 30 fr. (A tous un B u lle tin 1 porte-foret, à C o uturier de 1« in d u strie lle A; des M aitre s-lm p rim e u rs). l r® A. — M ercier Marcel, 35 fr.; M aucourt 1 pied à coulisse, a F erdina nd de l r® indus-’ Robert, 25 fr.; B ernard Jean, 20 fr.; B allet trie lle B. D aniel, 20 fr.; P oum arat M aurice, 10 fr. (A I I I . — P R IX DE M E R ITE tous un B u lle tin des Cours professionnels). Troisième spéciale. — Pargue, M ativet, Do C .A P . : Grassac P aul, G im bert Pierre, re l, Thom as. Charguelon Jean, B orn ât Lucien, Layus Guy. Adm ission en 4' année spéciale. — Pargue, E xposition générale du T ra v a il : Dumas, M ative t, Dorel, Thomas, Legros, M erquiol, Chabaud, B randely, S oleil, Sergeat, Georget Oéchamp, Lalue, Brat. Arnaud. et Bouhin. Troisième électricité. — C h arlin, Kuss, Gué Les d iffé re n ts tra v a u x exécutés ont été en rin . S anvoisin. M o lin ie r, Nadal. voyés à l ’E xposition de Paris. Tous sont Adm ission en 4« année électricité : C harlin, d anciens élèves des cours professionnels Les p rix sont offerts p a r les Im p rim e rie s Kuss, G uérin, Sanvoisin. M o lin ie r, Nadal, V a n n ie r, Chalamet. Mellé. Pantai, Capeille, G. M ontlouis, la Fédération du L iv re et ie S yndicat des typographes. Chol. (A pp ren tis conducteurs) Troisième normale. — M eunier, Gaudin, Joly. Recoque. Dupic, Chatard. Delacroix. 3® A. - - Staub Louis, 70 fr. et B u lle tin des Cham pagnol, G iraudet, Jalade. Gourdy, Lom M aitres-ïm nrim eurs. b a rd y. Chaput. Mage, B attut, Chézet, Rod 2* A. — Bongheat M ichel, 70 fr.; Vergne d ie r. Guyot. M ontret. M a ille t, R aynal. Louis, 50 fr. et B u lle tin des M aîtres-Im pri* Deuxième industrielle A. — Bideaux. Che meurs, l r® A. — Bennegent M arcel, 20 fr .; Duboism in â t, Charles. Fredet. Deffarge, Ferrtères, set Jean. 30 fr . et B u lle tin des Cours profes Baubel. Lénat, Juvanon. Gagnon. Bouterige. sionnels. * Deuxième in du strielle B. — Z afran. Désir, C.A.P. —■ Staub Louis. Fourn ie r. G aillard . Dionnet, Fraisse. Bessière. P r ix offert par M. Lucien Malsonier, cor Adm ission en 3® spéciale, 3® électricité , 3® recteur aux Im prim eries Mont-Louis, à l ’annorm ale : p re n ti classé l®r en orthographe ; 20 f r a 2® In d u strie lle A • B ideaux. Chem inât. Char M ercier Marcel. les. Fredet, Deffarge. Ferrières, Baubél, Lénat P r i x offerts par la Maison Delaunay : Des Juvenon. Gagnon. livre s A Grassac, G im bert, Beldon, Staub. 2® Ind ustrielle B : Z afran . Désir. F ourn ie r. Admission en 3® année norm ale : 2® In d ustrielle A : Bouterige, Huguet, So- Ecole pratique d’industrie hôtelière le tlla n t, Urbain. F oil, Roussel, iMandopnet, ! de Garçons de Clermont*Ferrand Tate, Combe. Fraisse. C hem inai. G authier. 2® In d ustrielle B : G a illa rd . Dionnet, Frato«e. a u s tè re . Massey, T u rta u d . Thompson, Année scolaire 1932*1933 Rosst Paul, Pueyo. Rosst Roger, G uignabert, RESULTATS AUX EXAMENS D u p u ylo lie r. Combre. Bertrand. M o u lin !? t u t '1 Leclanché, Bion, P arron, Ravel, BatBrevet d ’enseignement hôtelier f marche du 30 en approviehaiis^mes — RESU LTATS A U X EXAMENS A dm issio n à l ’Ecole nationale des Arts et Métiers de Cluny. — Exam en d é fin itif de 1932 : Domas, M alterre, M ative t. Concours de 1933. — A d m is s ib ilité a u x épreuves orales : A n g la rd, Bec, Claustre, Du puis, M ergoil, Mestre, P radat, Robert. Brevet d'enseignement in dustriel. — Sont adm is p a r ordre de m érite : Pargue, Dorel, G audin, M a tive t, C h a rlin , Chaput, Thomas, Déchamp, Joly, Kuss, G uérin, S anvoisin. A r naud, V annier, M on tre t, M o lin ie r, Lalue, Jalade, Delecroix, Lo m ba rdy, G iraudet, Espéro n . G ourdy, Chatard, Nàdal, Dupic, Reco que, Cham pagnol. B attut, Legros, Chalam et, \M age. M eunier, R oddier Chol, P autel, Duio u r , M erq uio l, B rat, M ellé, Roux, Hugon, M a ille t. R aynal, Capeille, M alsonneuve, Chebance, Archer. Examen de fin d'études de 4* électricité, — D é fin itive m e n t adm is ; Rochette Jean, B ru n a t Lo uis. Concours des bourses nationales de l'Ensei gnement technique. — 3« série in d u s trie lle : Arm iLhon, Beuzit, Boudot, Brasset, C hartoire, Corre, Curabet, Em pis, G authier, G ratadelx, 'Labbe, Lagier, M artin roch e, tMas, Meurice, Reverdy, Rouganne, Salias, V a u ze illts, Vernet. 4» série in d u s trie lle ; C hem inai, Combe, ,Tate. Certificat d ’aptitude professionnelle. A justeurs : A rcher, Chebance, Delecroix, Gi raudet, G uyot, L o m ba rdy, M ontret, R aynal, Roddier. Roux, Recoque, T urgo n, A rnaud, Déchamp. Desmazeau, Dorel, Pargue, Tho mas. T ourn eu rs s u r m étau x : Espéron, Dela- Vauzeilles, Ferdinand, Chaasin, G authier, Barbecot, Taussat, Labbe, B ertrand, T ix ie r. 1™ année Ualus trie Lie C. — Beuzit. Souchal, C orny, C uriel, M artin roch e, Aubert, Bonnetot, Vernet, Georges, Coudeyras, Thévenet, Labbeys. Sérange. Adm ission en 2 -^ n n é e : • l r* in d u strie lle A. — Arbon, Lagier, Rou ganne. MaS, Desgeorges, P lg no l, H autler, Cohade, C hartoire, SaTlaô, F ayolle t, Bonjean. Vergne, Bénéton, Brasset, Jouviort, C outurier, Bellon, F afou rnou x, Corre, Reygondaud. l r* in d u s trie lle B. — Curabet, Frare, Vau zeilles, Ferdinand, Chassin, G authier, Barbe cot, Taussat, Labbe, B ertrand, T ix ie r, Degeorge, M arret, Bonnet, Empis, V iva t, Reverdy, Lapouge, M athieu, Verneret, ga lva n, B ourlet. 1™ In d u s trie lle C. — Beuzit, Souchal, Cor ny, Curie!, M a rtin ro ch e , Aubert, Bonnetot, Vernet, Georges, Coudeyras, Thévenet, Labbeys, Sérange, G ratadeix, Delmas, V ln zlo , Bastide, Boudot. Sont autorisés h s u b ir l ’ examen de passage en octobre : l " in d u s trie lle A, — M archand, V ie ille , Naudin, P rio u re t. 1« in d u s trie lle B. — Faucher, M o rln , Porte, G ourdy. Callet, A rm iïh o n . l r in d u s trie lle C. — Olzeski, Faucon, Ro gue, Bourgois, Pradon, Arnaud, Sabrio, Ca pelle. ' i n n h ? : ° F l5és 4 p a s â e r l ’è x a m e n d e p a s s a g e enH octobre 2® in d u strie lle A : Mage. Rossignol, Duron, Royannette. L *rcu ie . * 2® In d u strie lle B : T alva rd. Veyre. 1 " année in dustrielle A. — Arbon, L a gier ] U e M P ^ d e g r ^ f r r e c e v r ä n U -e-m d f p ï ô û ^ ssur îfr - -- diplôme résentatlon d un certificat de stage satlsaisant : Jou Jouquey André-Louis. de Pomponne (S-etO.) ; Foubert Edmond-Raymond, de Viroflav 'S.-et-O.) ; Lacroix Jean-Marcef. de Seime Un sang généreux donne de l'énergie Paris, 31 juillet. P- année industrielle B. — Curabet, Frare, Ecole pratique de Commerce et d’industrie de Garçons de Clermont-Ferrand ine du gTouvportlve B r i et habileté Ets d'ensem îtra ù o n a d i|lc... qm ou t p u b lic q u i prnfondeu? ) r ife » ia ü o a . l'o rta i, m oevo lu tions \<t perram et Mlle Nadal, le ib b tllh C M Innei dans ln U de la sec- BULLETIN FINANCIER Rouganne. Mas, Desgeorges, P ig n o l, H a utle r. Cohade, C n artoire, Salias, F ayolle t. Bonjean, Vergne. ÉCOLE AMÊDÊE-GASQUET |iq ue. — L a rt le profe»vèrent cette linent le pro* L'AVENIR DU PLATEAU REMTDAf AU VELODROME MUNICIPAL Tennis SAMEDI (NOCTURNE) ET DIMANCHE EN ATTENDANT LES ROUTIERS LA COUPE DAVIS a pris le cbemin de l’Angleterre Courses derrière grosses motos avec Grassin, Maréchal, Raynaud P aris, 31 J u ille t. Les jo ue urs a n g la is A ustin , P erry. H.G.N. Lee, Hughes et le u r cap itaine M. Roper B ar rett, a in s i que Mme A ustin, qu i vie nn ent de rem p orter la Coupe Davis, o n t regagné Lon dres à m id i, à la gaTe d u Nord, p a r la Flèche d ü r . Une cin qu anta ine de personnes de la P o u r encadrer dignem ent les arrivées du 14® C irc u it des V ille s d ’Eaux, des courses cy clistes d e rriè re grosses m otos sero nt o rg a n i sées au Vélodrome. Ceux q u i connaissent l ’a ttra it do ces courses, le succès p o p u la ire q u ’elles rem p o rte n t dans no tre v ille , seront satisfaits, car ils n ’ig n o re n t pas que les vas tes dim ensions de la piste m u n icip a le , sa ra pidité , 6a sécurité se prêtent de façon, par fa ite à ce genre de com pétition. F a u t-il encore rap pe ler que tro is de nos plus grands cham pions de la spécialité ; Toto Grassin, Maréclkal, Raynaud, seront aux p ri ses sam edi en nocturne, et le lendem ain d i manche après-nvdi. N’ou blion s pas que Toto G rassin est to u jo u rs no tre plus populaire stayer. I l est «n grande form e actuellem ent ; sa deuxièm e place dans la fin a le d u cham p io n n a t de France, après une belle lu tte avec Lacquehay et ses dernières courses le prou vent. Q uant h M aréchal, in con nu à Clerm ont, sa rép utatio n est venue Juspoo nous. R o utie r de grande classe, le robuste M aréchal est devenu u n fam eux stayer. Et que d ire de Raynaud, sym pathiquem ent connu chez nous ? Le vain queur du G rand P rix de la Presse Clerm ontoise a su nous donner un é ch a n tillo n de sa valeu r, qui est grande, a in s i que de sa vo lonté de vaincre et de son dé sir de bien faire . Par a ille u rs , d ’autres courses réservées aux fines pédales régionales, nous pe rm ettro nt d ’assister a u x débuts de de ux Vichyssois dont on d it grand bien. A bie n tô t d ’autres détails. i I 5Ä ' # S Aulaye (Dordogne) ; FaverJon A lbert-P ierreAndré, de M on tb riso n (Loire) ; B au dry Jacues-Raphaël, de P a ris ; Vacher Louis, de lerm ont-F d ; Dupré O liv ie r, de Tours. P R IX SPECIAUX P r ix offert par M. le sous-secrétaire d ’Etat à V Education nationale : Jouquey André. Médaille d'argent offerte par les Anciens élèves de l ’Ecole professionnelle : Jouquey André. P r ix offert pa r la Chambre de Commerce de Çlermont-Feirand-lssoire ; 50 f r à Fou bert Edmond. • P r ix offert par la Maison M ich e lin ; 60 fr. à L a cro ix Jean. * P r ix offert pa r la Fédération des hôteliers, restaurateurs et limonadiers de Clermont-Fd• Delesalle Léon-Jean-Clément. P r i x offerts par le Syndicat des hôteliers restaurateurs et limonadiers de Clermont-Fd; T h u rlo n Jean-Maurice. co u rvo isle r Jean. Deuxième année hôtelière. — P rix de mé rite ; T h u rio n Jean-Maurice ; C ourvoisler Jean, Leniaud Lucien. Sont admis en s* année ; T h u rio n , Leniaud. C ourvoisler, Reynet. M onterevm ard. Destruei Robert, Queno, Destruei Roger. Première année hôtelière. — P rix de mé rite : Delesalle Léon. R anvier René. Débor dés Raym ond. Sonl admis en f® année : Deiesalle, Ran v ie r. Débordas. Decombas. M arola. Richard. S oignai. Roussel, Beau, P laneix. Gutierrez, Juin, Chassang. Sont admis après examen en octobre : Pic, B run, Randoin, Rousseau, Coinbronde. Clermont-Ferrand, et toutes pharmacies. L A P IN S P o u d ra A U S T R A L IA * TSaIa^IbS«OséésAi FA^&éfl laboratoire A a « t r a l a ^ ^ l ! r t 5 m y p ! S f S 20UIXS PHAÜUCIBS KT OIUJNKi’fikiaS j CLERMONT-Fd? Plmbart, herb., pl. Marché ait Poisson ; Gendre, gr., pl. St-Plerre ; Gaude. Lachal, Acassat, Mosnier. Audlgier, gr. — MONTFFRRAND: Bornot, herb., Perronny, gr* JSSÜ1RE : Gall&nd. gr., Luguet, drog. RIOM» Boutonnet! gr. AIGUEPERSE Gendre, gr. BILLÜM: Soulier, gr. BRIOUDE Berthult gr. PRÊT8 A TOUS PAR PARTICULIER tur simple slfnaturo A PARTIR PC 10.000 FRANCS - TAUX S % L'AN - Consultation gratuite ACTION COMMERCIALE FRANÇAIS« 17, Faubourg Salnt-Martin - PARIS BULLETIN METEOROLOGIQUE M* R A P H A E L du lundi 31 Juillet exerçant «'epuis 30 ans, à Clermont, prévient sa clientèle qu'elle reprend ses consult de rartonmne. Heç„ du 8 & 19 b. 13. r. P ierre-l'Erm ite. J®* é t -• Tél. 11-7« kI f Clermont g ^ Mini Minuit . . atvsWfW So 6 h. du m a tin .......... •« y; « " M ffiW Ë BOROTRA et BRUGNON après le match de double S y M id i . . . . . . . . . . . j , , , . ^ * d h. du aoirM M M , . CAPITAUX sur ronds de Commerce, loduflrtt, , Agrieulluf*, Propriété, Itutaeu bis, iiuaudits A-ancs pour tou» établir ou sehstsr. ® / M iO U lt . » a n n n n . 2 V€*izouicrivit-Examtn rapiii-Hépouugratuité Le G rand P rix Caserta, organisé p a r lé C.V. Vichyssois, a été favorisé p a r u n temps superbe. Cette épreuve fu t disputée avec beau coup d ’acharnem ent p a r 30 coureurs q u i p r i ren t le départ â 14 h. 30, au pied de :a côte Saint-A ntoine, à Cusset. Dès le sig na l, les concurrents fir e n t preuve dA beaucoup de courage et attaq uère nt à toute a llu re la cote de Genat. A re m om ent, quel ques hommes sont lâchés : Bonnetot, M in a rd , Rpy et Godi.net. A va n t Lapalisse, plusieurs groupes se fo rm e n t et Bœuf et Da Ronch ont en viro n 300 m ètres d ’avance. D e rrière eux, la chasse est organisée et à Lapalisse, ils n ’oftt plus que 60 mètres. Au Mayet-de-Montagne, d ix hommes passent en tête. Da Ronch crève a in si que T h e u il, et on apprend que Cagnal abandonne. La des cente d ’A rranes favorise les plus audacieux q u i au bout de quelque temps ralentissent, vo u la n t se réserver p o u r la fin du parcours. D ix hommes resteront en tète ju s q u ’à l ’a rri vée, q u i donne les résu ltats suivan ts : 1. Defond (Roanne), en 2 h. 36’ ; 2. Grespan, à une roue ; 3. Uecorps, à une longueur, ; 4. Bernard, 5. Goutay, 6 . Bœuf, 7. André M arius, 8 . ex æquo, Quéron, Chatelas, Senicq, 11. Ebeaupin, â 25” ; 12. Rochet, ----------- +■♦+, - p. . A in s i que nous l ’avons d é jà annoncé, c ’est dim anche prochain, 6 août, que la Boule A m i cale de Cham alières fera dispu te r, dans le parc de l ’Hôtel de V ille , son concoure régio n a l annuel de pu pille s. Ce concours, placé sous 1« patronage de la m u n ic ip a lité do Chamalières, d o it o b te n ir un p le in succès et, d ’après les échos q u i nous pa rvie n n e n t s u r la lo rm e do quelques jeunes quadrettes, cette épreuve nous réserve quel ques parties âprem ent disputées. Nous in v i tons les am ateurs boulistes à assister en nom bre à ce concours, a fin d ’encourager les je u nes espoirs. Le règlem ent d u concours sera le s u iv a n t : I l se jo u e ra en tro is pa rties pa r tira g e au so rt ; le classement sera éta bli d ’après le nom bre de points ; les parties gagnées dépar tageront* les ex æquo. Les parties seront prim ées 1 fra n c le p o in t au gagnant et au perda nt de chaque partie. P o u r le classement fin a l, la quadrette vic torieuse recevra, outre le superbe challenge (détenu depuis l ’an d e rn ie r p a r la quadrette Pages, de la Boule M ich e lin ), la somme de 40 francs, au sous-cham pfon 20 fr . et au tr o i sième 10 fr. A joutons q u ’il sera offe rt, dans l ’après-m idi, u n e*petite c o lla tio n à chaque jo u e u r p a rtic i pant à ce concours. Le tirag e au sort au ra lie u le dim anche 6 août, à 14 heures, dans le parc de l ’Hôtel de V ille . Les parties com m enceront aussitôt. Le p rix de l ’in s c rip tio n est fixé à h u it francs p a r quadrette ; les engagements, avec le u r m ontant, sont reçus p a r M. Brunei, président, 3, rue des Farges, à Chamalières. Télépho ne 20. Les in scrip tio n s seront closes le sam edi 5 août, à 18 heures. Concours de p o in t et de t jr . — Ces concours, dotés de nom breux et intéressants lots en na ture, sont ouverts à tous les am qteurs de boules. La recette in té g ra le devant être versée à la Caisse des Colonies de vacances des enfants des Ecoles de Cham alières, il est perm is d ’es pérer que no m bre ux seront les jo ue urs qui to u t en aya n t la po ssib ilité d’em p orter u n Joli lo t, v ie n d ro n t co n trib u e r pa r le u r obole au dé veloppem ent d ’ une œ uvre des plus intéres santes. Les cibles fo n ctio n n e ro n t les samedi 5 août, de 14 heures à 20 heures, et dim anche 6 août, de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 19 heures. La série de 4 boules, 1 franc. M ariage, — C’est avec p la is ir que nous ap prenons le m ariage de M. Edouard F urio , mem bre a c tif de la Boule Am icale de Chama lières, avec M lle Gustine Gubeau. Nous présentons aux Jeunes époux nos in e il leurs vœ ux de bonheur. « lu ÂgÉ Le Roannais Defond enlève l’épreuve CONCOURS de la Boule Amicale de Chamalières r ^ jjp f i l sag mmmm Le Grand Prix Caserta à Vichy Boulisme ^ , -"» ’ -M m .« ' D is qua la sang s'appauvrit, le coaragé et Ja force nous abandonnent Pour oonserver un sang généreux, nous vous con seillons de prendre du délicieux vin forti fiant que l'on fa it soi-même avec un flacon de Quintonine. A péritif p ar le quinquina, digestif par la coca, reconstituant par la La liq u id a tio n s’est fa ite fa c ile m e n t. Le ta u x de l ’a rg e n t é ta it de 1 1/8 au lie u de 1 1/4, ce q u i indiq u e bien que la s itu a tio n de n o tre place est to u jo u rs très sa4ne. Des déports o n t été cotés sur q u a tre valeurs : 2 fra n c s sur le P .-L .-M ., 0,50 sur la S a n ta Fé, 1 fr a n c su r la D is trib u tio n et 2 fra n cs sur la Young. S ur tro is valeurs, on a coté le d e m i-ta u x . Dans son ensemble, la B o u r se a été encore plus calm e que la semaine dernière. Toutefois, au m om e nt de la clô tu re , des demandes discrètes o n t amené u n léger m ouvem ent de recul. L a Banque de Paris, p a r exemple, q u i p e n d a n t to u te la séance a coté 1.650 fr ., a te rm in é au d e rn ie r couns à 1.675. L a Suez, q u i a v a it o u ve rt d 19.140, te rm in e lu i aussi en haus se à 19.400. Les M ines d ’o r dans l ’ensemble se sont bien tenues et les Caoutchoucs o n t re p ris après a vo ir débuté dans l ’h é sita tio n . P rincip ales flu c tu a tio n s des cours à te r me ; 4 1/2 %, 83, inchangé ; 3 %, 66JS5— 1,15 ; Banque de France, 12.625—115 ; B a n que de P aris, 1.675+18 ; C ré d it Lyonnais, 2.270—20 ; E le c tric ité de Paris, 1.255—17 ; C ourrières, 371—3 ; D is trib u tio n , 2.670— 25 ; Cie Gle d ’E le c tric ité , 2.235, inchangé ; N ord et Est, 613+2 ; C itroën , 550—1 ; A ir Liquide, 809—19 ; K u h lm a n n , 658—1 ; Péchiney, 1.253—5 ; Azote, 705— 15 ; M é tro p o lita in , 1.326—2 ; C anadian, 311, in c h a n gé ; Suez, 19.400 + 280 ; R io T in to , 1.697+8; V ie ille M ontagne, 1.640—4 ; P énarroya, 327—2 ; R oyal D u tch , 1.754—6 ; Padang, 375+6 ; C row n M ines, 800+5 ; Geduld, 571+1 ; De Beers, 542 + 4. colonie anglaise à P aris, auxquelles s ’étaient mêlés de nom breux s p o rtifs français, ont ac compagné à la gare et fé lic ité une de rnière fois les jo ue urs brita nn iqu es. Ces de rn ie rs étaient po rte urs de la célèbre « D avis Cup •, précieuse.ntfcnt emballée dans sa caisse spé ciale. TOURNOI DU STADE CLERMONTOI 8 Résultats du p re m ie r to u r S im p let Dames. — Mme Beaudonnat bat M lle H o u rta l ; Mme Coussedière bat M ile Astie r ; M lle F le u ry bat Mme Dadet ; M lle Dnura t bat M lle Bussière ; M lle S andeyron bat M lle G iu lia n i. Simples Messieurs. — Besson bat B ig a y ; Coussedière bat La farge ; Dat bat Bellon R.; G iroud bat P o rte fa ix ; S idou bat G om inon ; F le u ry J. bat O rlia c ; M angem atin bat F le u ry R.; Beaudonnat bat T a lla rd ' ; Neige bat Laborie ; T ronchet bat C h a illo u x ; N o ir bat Dadet. Les rencontres d u deuxièm e to u r a u ro n t lie u sam edi so ir, à p a r tir d-e dix-sept heures, su r les courts d u Stade M u n icip a l. Les Joueurs et joueuses q u a lifié s sont priés de s’y tro u v e r à l'h e u re exacte. ; - D .VALEURS Cours Cours précéd. du jour 953 . . ----------- STADE OLERM0NTOI8. — Le Stade Clermontois rappelle 4 tous le» joueurs incorita que les entraînements ont lieu le mercredi, d# 18 à 20 heures, et le dimanche matin, de 9 A 11 heures. Les jeunes gens désirant pratiquer le rugby peuvent se faire inscrire au cours des séances. P .-L.-M . Profitez de vos vacances pour visiter la Côte d'Azur Quelle plue belle excursion pouvez-voue faire que qui de parcourir, en autocar P.-L.-M.. devant la mer et parmi les fleurs, ce mer vellleux ruban de calanques, de rochers de plages et de forêts qui se déroule, tout au long de la Côte, entre Marseille et Nie#. Il n'est pas de meilleur moyen pour admirer la Riviera dan» toute sa splendeur. Les voitures partent tous les matins de la gare de Marseille-Saint-Charles. Ellea s’arré* tent, avant de quitter la ville, à l ’Agence P.L.-M.. 7. boulevard Garibaldi, et vous dépo sent. après le déjeuner au Lavandou. & Nice, le soir même. Dans Je sens Nice-MarselJle, le départ a lieu, le matin, à la gare de Nice, ou à l ’Agence P.-L.-M., 13. place Masséne. Le prix du billet de Nice à Marseille ou de Marseille à Nice est de 85 fr. Des billets d’aller et retour, valable» huit Jour», sont délivré» au prix de 150 fr. Pour des indications plus détaillée», veuil lez vous renseigner auprès des gares. 0 3 0 0 12 12 26 23 3 S 3 6 848 b 848 S 848 8 14 18 I 14 7 10 8 8 1 70 S Minima r.im rr.m r. pm V Maxima 29 2 10 8 S ( Minuit 86 85 8» 2 \ « h. du matin........ E ) Midi M ld •••••’t OlOf'SOI'fl du soir . I ( 6 h. 97 35 62 OS 87 Pluie ou neige (de midi m i d i ) eee»»»a»»»âj»»s»s Ooem Sud tr. faible BO U R SE D E PA R IS d u 31 Ju illet 1 9 3 3 Dans sa réunion du 23 juillet le Comité de TU.R.H.A. a fixé comme suit le calendrier de FONDS D 'E T A T La Division d’honneur. Il est entendu que la 67 rencontre se joue sur le terrain du premier l^ p w M tw L .. nommé ; 3 % am ort........ POULE A 4 % 1917........ 4 % 1918........ 26 novembre. — Sanfloraine-E.S. MarveJols. 10/ 60 5 % 1920 (ara.i. 10 décembre. — E.S. Marvejols-E.S. Allanche. 4 1 /2 % 32. S.A. 31 décembre. — E.S. Allanche-Sanfloraine. 11 /2 % 32. S.B. 21 janvier. — E.S. Allanche-E.S. MarveJols, 102 30 4 février. — Sanfloraine-E.S. Allanche. » % 1925 en livre: 18 février. — E.S. Marvejols-Sanfloraine, Son Trtîor6%2< — 7 % 21 POULE B DM. Ut. 22-32.. 26 novembre. — Géraldienne-E.S. St-Eugène. Cils, aul 1929.. 10 décembre. - - C.S. Arpajon-E.S. St-Eugène. Crédit National 1C 31 décembre. — C.S. Arpajon-Géraldienne. — 20 21 janvier. — E.S. St-Eugène-C.S. Arpajon, ! National 21 (bars; 11 f é v r i e r . E . S . St-Eugène-Géraldienne. National nouveau.. 523 50 18 février. — Géraldienne-C.S. Arpajon. — Janvier 2c POULE C — Juin 23 — Janvier 24 26 novembre, — J. Cahors-Alglons de Brlve. [ Algérie 4 % I93C 10 décembre. — Brive-Tulle. Niroc 4 % 1914 31 décembre. — Tulle-Cahors. flirte 8 % 1911 21 janvier. — Tulle-Brive. 4 février. — Cahors-Tulle. Inlo-ChlNiStf 1113 18 février. — Brive-Cahors. Italien............... Eitiiiiun . . . . . . Parmi les changements 4 «lgnaler il faut 41 41 26 Portugais............ noter l ’ascension d'Allanche et de Marvejols Jiptn 1905........ en Division d’honneur dans la Poule A. Dans — 1910........ la Poule C., Figeac, sur sa demande, des cend en Promotion. Ruatt 1916....... 6 30 6 35 — Consolidé.. Pour garder comme l’an passé l ’intérêt « 5 .. qu’offrent demi-finales et finale, force a été IrésH 1699 (inc.) J?3 304 , . 3^2 ., — 1910 — avec l ’inconvénient de 3 poules, de qualifier 291 . , 29' .. les premiers de la poule A et B et les deux 1911 — 1*t> . . premiers de la poule C. Un matçh sur ter Chine 13 rétrg.. 1382 743 735 rain neutre pour qualifier lo premier et le — 1825........ 4 16 second après les éliminatoires des poules A Suif ni 1910 est f *• 180 .. 176 et B aura lieu le 25 février. Roumain 1922... 39 26 32 26 Les demi-finales se joueront le 11 mars op Serbs M895........ posant le premier des poules A et B contre 150 - - 1908........ 149 . . le second de la poule C et le deuxième des 148 . . — 1909........ 136 . . poules A et B contre le premier de la poule C 31 . . 31 . . — 1913........ La finale aura lieu le 25 mars. Ces derniè^ I Turc unifié.......... 24 75 24 60 res rencontres se jouent sur terrain neutre. 30 70 31 20 — 1914.......... Le calendrier de la Division de Promotion 66 70 Fgypil uni!«.... qui groupera de son côté une douzaine d« 17 . . 81 Douants ottoman». clubs sera établi ultérieurement. P.T.T. 6 % 1928 476 50 CONVOCATIONS VO( 6 h. du s o lr ..M «.#> Vent (à m i d i ) » •»•eereea Le Calendrier de l’U. R. H. A. UN MATCH DE CLASSEMENT A L’A.S.M* Un match de water-polo comptant pour le classement de la Division d’Excellence, de vait avoir lieu samedi prochain, à la piscine de l ’A.S.M., entre le Swlmming-Club de Paris et l’A.S.M. La F.F.N.S. nous communique h, l ’instant le forfait des Parisiens. D^ ce fait, la réunloq projetée pour samedi n ’aura pas lieu, . Mt » 732 732 731 731 modéré Soyez b/en assuré que si la Publicité Baromètre 8 midi (nlv, de la prier) ■765 * / * é n’était pas réellement efficace, son vo T EM PS PROBABLE lume diminuerait. Son augmentation pour le mardi l®r août toujours croissante est donc bien la Un anticyclone »'étend sur nos réglons (787 preuve des services qu’elle rend et des sur le Golfe de Gascogne). Les pressions sont j basse» en Ecosse (746). avantages quelle assure. » Temps doux, ciel nuageux, quelques ondées. Association W ater-Polo U 20 juillet, abords place Gaillard, SOMME IM P O R T A N T E pour paye ouvriers P .T .T . P rière rapporter M. B A R R IER E , chef d ’équipe, 72, avenue d’Aubière, qui est responsable.. — Récompensa. ------------ , i C R É D ITd s FRANCEIÄÄ P E R 6 h. du m a tin .......... i Midi P. P.LL 4 i/2%~29 446 , . I Towns 8 1/2 *51 821 . . 460 >P49S99 813 . . 446 . . liltttttlt •• » * • • » o s lio a t io n s Ville de Parle Ville de Paris 1871 — — 1875 — — 1876 — — 1892 » — 1894 — — 1898 — • — 1899 — — 1904 — — 1905 •r 2^X1910 V: deParis SX 1910 1912 — — 1922 — — 1923 « % 1924 — 1% I82E — 4 1/2 1 9 tf — 4 % I98C 393 4*5 481 251 255 310 29 J 319 3a» • •• 269 286 386 482 480 254 2 >2 315 297 322 369 .. .. .. 50 ,. .. 60 .. .. .. „ ,, ,, .. , .. .. .. 270 . . *65 . . 5 8 516 . . 830 . . 663 . . 794 . . 506 . . « '« . . 682 . , »83 785 . . . . . 1 •• • • e es e l t p p t t t t t t t o e •» *» » •• r»» t»«»p|ee»te e t tg t te • • • t t t # • o o e t tu g tg tto t • ee#• e• «»» » » • * • M t t t g Cours précéd. .VALEURS Fenaltret Ftnclèrw. — — — — » ... ... ... ... ... 1879 1883 1889 1895 1003 1900 820 282 C cm m unalat - — — — — — - 1679 I960 1891 1892 1899 . . . 1901 . . . 1812 . . . 1920 1921 iib. 1922 Iib. . : . 1921 . . . 1926 . . . 1827 . . . I99C . . . 1991 193141 508 6’8 216 346 818 846 »77 .. .. . 50 .. .. « * 5 /0 268 344 62J 843 »7» .. . 60 .. .. . • •• et • t» t t • sa an 99 • • • •• •• . . • • • 9P • IIIDUSTRIKl’ .tS tu » ictlont........ Suer parts 6t ftné. — 1/6 p. toc. de Pannaroyt ......... Omnibus.............. Bolée.................. tafsa................... Path!.................. Saint-Gobain........ Bergougnan . . . . . Thomson... . . . . . Algérienne »’Éclair. Energie « te l 1-0. Force mot Vienne. 6U » énergie électr. Myé.-Elect. d Auvtr. ■ iArtlun») , 101*0 16700. , 4485 . , 327 . , 865 . 97 . 534 . 66 6 D 1926 . . ■idl.................... Htrd.................... 14Ô1 •15 Orléans.............. «70 Ouest................... ■être................. 1828 Dtrd-Sud............ #•• 190 Rtsarii erd. . . . . 726 Sente Fé ............ (htm. de ter la ra t Tanger I t u . . . . Tunisiens.. . . . . . T .9.I.P ............. 716 631 lergougnp».. » . . . Torrllhon............ Hydrt-Elactr. d’Auv. — prit.. Rhône Pouline... . Péehlney ............. (ai de LyM........ Automoto............ Trams dt L ttn . . . Bines la S tub* C. — «a (Ita ly ... . • eeaatg lamet-Hema pet«. • aaaeae — Bontrambert. - ée le Loire... — la Pértnnièrs. — dt RocheheRe. — Roche-ia-Bol. Papeteries Ravarrt. lyonnaise des Eaus. Aut Bardai........ Flrminv.............. Lolre-rentre (AetV V LYO N . 790 H 1370 • sa 1160 1260 14*9 .. 99» m* I 50 18 . . *860 . . 1 a® • 00 1 .. . . 1*40 . . 1470 . 1 M no» !![ ..1 4«« . ! 810 • 00 00 510 . . ••• a* 200 •a 221 28 ••• .. 9# .. .? 99 m !! 446 906 , 1 • •• •• I »«•« a* I 200 ; I #• 1 221 ! I aa a• I S O I 9, 1 »H l 890 OSLIOATIONS QMichelin 4 1/2 % I y Hvéro-Eloctr. d’Auv | 726 . . i 716 1 I PATS 1 114 920 934 923 961 M 313 320 334 323 *®0 4*0 .. Üi i» :: .. .. .. 485 .. 248 10 247 611 . . I 845 . . 1 9100 „ 1 2440 . . 1 3240 . . 1 206 . I 470 „ 1 • • • ta I «34 . . 1 HMBI 930 (u a ilg n tic 12625.. I 10576.. I 368 . . 1 1792 . . 1 • *• s e l 2270 . . 1 1127 . . 1 4976 . . I 1098 . . 1 1675 . . 1 2825 , . 1 , 79« 2100 885 170 941 298 178 140 D E a c t io n s 198 700 1er» 9H ........ BANQUES Bangui de France. »2740.. Btngue d’Algérie. 10490.g 368 . . Unltn Parisienne. Camp" Algérienne 1732 . . Crédit Babiller... • me as Crédit Lyonnais... 2290 . . Cempteir H. »Esc. 1125 . . Crédit FMCier. . 49*0 . . Société (énéreie.. 1 1 0 0 . . Banque de Paris.. 1667 . . (anq. nat d’Egypte 2430 . . 618 . . Bqu»4‘*ûom. in Crédit Commercial 842 . . langue Indo-Chine 3125 Crédit Fane. Egypt. 2435 . . Cr.Ftne. Fr.-Canad 3265 . . Bangui du Meilgui 2 M •• tangue Ottomane. 470 . . Lan» tank.......... • • • •• Pente lone., act... «25 .. B O U R SE 696 1326 4. t. T. A,........... 2100 W l % ............... BW J % ......... Coats C ra n précéd. do Jour ..1 775 1401 531 718 L-LJL lus. anc — lus. neu«. VALEURS VALEURS notée* en Saneue 1 S ilice ................ 126 60 191 . . I Esteeiitigue danois 2115 2015 . . 1 365 , . 378 , . 1 Padang............ Hutchinson........... 1950 . . 1980 „ 1 Koyal-Dutch........ 17690.. • ••• a I 216 21» . . Shell.................. Grssnyt ordinaire.. • as • e aaa ae 1 H Tubiae privilégiée. 180 60 • aa a® 1 U. «. Ketanga prie. 2652 . . 2640 . . 1 — — cep. 2680 . . 2708 . . 1 486 . . | Bines d’AIM........ 487 . . — de Bruay... 241 . . 298 601 Vlellle-Btntagne.. . 1642 . . 1646 . . | Tharsis................ 315 , , 919 60 I Tanganyika.......... 68 601 M .. Chartered............. 93 99 6 0 1 Crown-Blnis . . . . 798 . . (00 . . 1 Oa Beers trd........ 541 . . 64 / l u t Band............ 124 . . 127 6« (oldfields............ 293 60 297 |0 Hotchkiss e tc * ... 1323 . . 1817 . . 1 74 . , Huanchaci .......... 72 , . | Jagsrslontain........ 123 50 1 2 » . I ■tiambique........ 29 75 (0 , . | 4*1 . . BandBiais......... 498 „ 1 Shansl................ 33 25 39 . I Transvaal land... 145 .. 145 Fin. Caoutchoucs,. 119 50 1 * 0 . 1 West Rand.......... »7 76 •6 26 ■Ichtlin 1/6 part. 1326 1320 . . I li.A N i/V i) I» (Actlor-' 722 Eet.................. 722 912 P.-UB... . . . . . . •00 e t t s t f e .. ,. .. .. .. , , •9888«9«9t889( • • • • • • • »»••»»ttegpte® 655 63 • 738 410 789 . 362 179 366 433 789 124 4466' 829 956 * 95 637 63 1860 740 i 1Q • 343 , 840 615 509 , 1755 1735 . 642 646 . 1020 1042 I8 6 0 . 1850 1015 . Energie du Littoral. 1010 1735 . Pyrénéenne d énir. 1750 2235 Cf* G" »'Electricité. 2236 1260 „ Electricité de Ptris 2200 Chétlllon-Comment 2255 390 „ 690 , Feurchambault. . . 108 „ Forges d’Alals___ 103 . 4b0 „ Aciéries de la Êer. 451 , 1680 ., Creuset.............. 1680 , 54, 640 . Jeumont............. 464 , Trifileries du Hevrt 458 .. 1070 Fivea-Lille............ 1070 , 2295 . . Cherhtnneg. Tenldn HouilléresHte-Loire • • es 1350 OstricourL.......... I860 601 B e rie t.,.. 900 2160 Ptntgihiud........... 2170 2700 . . Bokte-sUHadid. . . 3 700 »697 . . Rit-TInte.............. 1689 330 933 Sosnowlct........ 646 644 . . Sucrtrisi d'Egypte 1440 . . Contrai Mining . , , 1442 96 97 . . Wagons UtS........ 175 Énergie Industrie«! 178 2996 2396 .. Signai» électriques ■(cheville............ 71S 710 Oenain 4 Aniln... 1281 1216 . . Ciments françeis.. 2 0 6 2690 , . (Midien Pacific.. 911 411 ■entecatinl.......... 148 147 60 (» d u Nord et Est. 2630 2625 Lorraine d Eloctrie. *37 886 Havraise d'énergie 1420 , 1405 Union » Electricité. m 927 Kuhlmann............ • • • e b58 Sucrerie» S a y .... 2230 , 2 /2 6 Hydro-Elect Clrt.. »27 . 127 Péchlrey.. . . . . . . 1258 , 1253 1vonneleo d it Eaux * 9 'a , 2924 305 . Ounlep . . . »06 • at état M * » » p g g tp » t tt « i ;; 531 . . 747 . . 805 . . 790 . . *•*••» • a# 844 >0 141 855 176 — SYï>. 1913 160 — 4 % 1913 433 » . . . 1930 798 124 Pmiirii Orléans 3 % . . . . Ouest inc. B M 4 ^ ...;.. E W S % .......... Als.-Lorrtint 8 % , •ud Frtnct • %. tanta Fé 4 l / t . . •sa 516 285 315 81« 962 Ctmmutttbs ... ... — ... — ... Coure du joui .. *»* .. 178 . >47 60 AngMerrt.. «6 16 États-Unis.. »• .. * . [ Allemagne, 0 1 Belgéqut 368 25 368 . z 1 213 60 ^ I Heilande..,. 1081 Halée............ >34 I 49/ t i Tchéco-SItvag S 86 1| 1« *68 213 62I 1091 »84 Je 44« . . 484 M 440 484 1 • • es • • • •• 288 . AigenOm...» •M H C 'A V C N 'O T ilt Ol I T E l l l « C M T O A t. MARDI 1« AOUT 1933 Bonne de Commerce de Paris — Cours de clôture du 31 juillet ALCOOLS. — Calme. Courant, 655-6604555, payés ; prochain, incoté ; septembre, incoté ; octobre, incoté ; 3 d’octobre, incoté ; novem bre-décembre, incoté ; 3 de novembre, incoté. HUILE DE LIN et COLZA. — Incotées. BLES. — Tous incotes. Disponible, cote of ficielle, 119 ; base 76 kilos. FARINES. — Sans affaires. Cote officielle, incotée. Courant, incoté ; prochain, incoté ; 3 d'août, incoté ; 3 de septembre, incoté ; 3 d’octobre, 165, vendeur ; 3 de novembre, incoté. MAIS. — Tous Incoté. Cote officielle, 128. AVOINES. — Ferme. Disponible, cote of ficielle, 55. Courant, 56-55,7o-56, payés ; pro chain, 57,75-58 ; 3 d’août, 60 payés ; 3 de septembre, 62,25, payé ; 3 d’octobre, 64,25, payé ; 3 d’octobre, 64,25, payé ; 3 de novem bre, 65,25-65, payés. SEIGLES. — Tous incotés. Cote officielle, 78. ORGES. — Tous incotés. Cote officielle, 80. Hi Vy ■<y Une Révolution dans l’Art d’Habiller A n d ré Ä N ’oubliez pas que le plancher est la partie du logis qui réclam e le plus de soin et nécessite une grosse dépense physique, car les PAR QUETS cirés se salissent aussitôt faits et les TAPIS et CARPETTES dem andent un entretien constant, très fatig an t et fort peu hygiénique. Diminuez votre peine, réduisez les heures, parfois si précieuses, que vous consacrez à ces trav au x pénibles en adoptant le COUVRE-PARQUET IDEAL, le seul résistan t à l ’hum idité et le m eilleur m arché du monde., EXEM PLE : P o u r g a rn ir une pièce norm ale de 3" x 4", la dépense ne s’élèverait q u ’à 1 2 x 10 • ^ JL émmà Agent général : M . D E S T E U Q U E 1 5 , R ut Ranoux, CLERMONT-FERRAND fr« BON N° 1 5 L’album de tous les dessins est envoyé gratuitement à toute personne qui adressera le bon ci-contre à l’adresse ci-dessus nos 3.60 à 4 ; bourbonnaises, nivemaises, 3.70 à 4.10 : gasconnes 3.50 à 3,80 ; mères usées 3 à 3.50. PORCS. — Vente très calme en animaux La Villette, 31 Juillet, maigres et mauvaise en gras. ALLURE GENERALE DU MARCHE On cote au kilo vif : porcs maigres extra GROS BETAIL. — Vente moins mauvaise, d’environ 100 kilos vifs 6,90 à 7.10 ; bons «nais en raison de gros arrivages, seuls les maigres de pays 6.50 à 6.80 ; petite marchan «res bons sujets sont en reprise. dise 6.30 à 6.60 ; cochons un peu épais de l’Ouest et du Centre 6.10 à 6.50 ; porcs de On cote à la livre nette : de Corrèze, dd Limousin, du Midi BŒUFS.- — Les bœufs blancs charollals. l’Aveyron, (culs-noirs) 6.30 à 6.60. Hivernais, bourbonnais, berrichons, ont vaiu Coches 4.30 à 5 ; laitonnes 5 à 6. en beaux châtrons extra allant jusqu’à 800 Porcelets d ’élevage 200 à 300 la pièce sui livres de viande nette 3.40 à 3.75 ; bons ani vant grosseur et qualité. maux de 800 à 1.200 livres 3.10 à 3.30 ; bœufs ordinaires 2.80 à 3 fr, Les Salers du Centre et bœufs rouges di ARRIVAGES PAIR DEPARTEMENTS vers ont été faits en extra 2.60 à 3.10 ; en durant la semaine : bons bœufs 2.30 à 2.50 et en ordinaires 2 à Le Puy-de-Dôme avait envoyé 100 moutons; 1.20. le Cantal, 90 moutons ; la Haute-Loire, 630 Les bœufs du Midi se sont vendus de 2 à moutons ; l’Ailier, 45 bœufs, 15 vaches, 200 1.80. ; l’Aveyron, 25 veaux, 520 mou VACHES. — Les génisses extra ont été moutons ; la Corrèze, 60 porcs ; la Lozère, 400 traitées en limousines ou blanches 3.30 à 3.90; tons rouges extras 3 à 3.50 : génisses ordinaires de moutons. Routes races 3 à 3.20. C o u rs a p p r o x i m a t i f s c o n s t a t é s En vaches, les jeunes ont changé de mains Me 3.10 à 3.25 ; ordinaires 2,70 à 3 fr. ; mé p a r kilo « vif » diocres 2.10 à 2.60 ; viande à saucisson 1 à l re q- 2« q. 3« q. Ex. 1.75. Bœufs ......................... 84 2 77 2 00 4 52 TAUREAUX. — Jeunes taureaux de ferme Vaches ......................... 33 84 2 62 1 95 4 92 extras, 2.30 a 2.50 ; ordinaires 2 à 2.20, Veaux ............................ 5 46 4 33 3 41 6 20 VEAUX. — Les gros arrivages ont à nou Taureaux .................... « 3 00 2 40 2 00 3 47 veau rendu la vente mauvaise avec cours Moutons ...................... 7 25 4 87 3 43 7 85 très -faibles, notamment pour les animaux ex Porcs ............................ 6 80 6 20 4 80 7 10 tra. ARRIVAGES. — 3.549 bœufs, 1.775 vaches, On cote à la livre nette : 348 taureaux, 2.610 veaux, 13.531 moutons. Les veaux tout à fait extra do 130 à 170 2.406 porcs. livres de viande des meilleures provenances, INVENDUS. — 375 bœufs, 260 vaches 40 ont valu par bandes de 4.40 à 4.90 et de 2.90 taureaux, 204 veaux, 260 moutons. à 3.40 au détail. Veaux plus ordinaires des bons rayons 4 a 4.30. En veaux à robe blanche on a fait les meilleurs de 3,70 à 4.10 et les morvandiaux de 3.20 à 3.80. Les veaux de service se sont vendus en aveyronnais 3.20 à 3.«0 ; limousins 3.30 à 3.90; Londres, 31 juillet. auvergnats 2.40 à 2.80. Oaoutchouo, Para fine Hard, 5 sh. 1/2. MOUTONS. — Les agneaux ont eu une Paris, 31 Juillet. vente relativement facile, mais les autres Suores. — Lourde. Courant, 226,50-227, payés; animaux ont été placés avec lenteur, prochain, 228-228.50, payés ; septembre, 223On cote à la livre nette î 223,50 ; 3 d’octobre, 211-212 ; 3 ae novembre, Les agneaux extra faisant Jusqu’à 36 li 212,50, payé. — Cote officielle : 227 à 227.50. vres de viande nette ont été traités en SouthLe Havre, 31 Juillet. down 7.30 à 7.70 ; croisés, 7.10 à 7.60 ; DishGotons. — Calme. Ventes, 4.350 balles. Jan leys-mérinos, 6.20 à 6.70 ; bourbonnais, nlvier, 255 ; février, 256 ; mars, 257 ; avril 259 ; yernais, berrichons 6 90 à 7.40, En moutons rie ferme on a tenu les Dish- mai, 260 ; juin, 261 ; juillet, incoté ; août, 251 ; leys-mèrinos 5.50 à 6.20 ; bourbonnais, niver- septembre, 252 ; octobre, 253 ; novembre 254 : décembre, 254. Juillet (1934), 262. nais 6.20 à 6.70 ; berrichons 6.20 à 6.60. Les moutons auvergnats se sont établis de Cafés. — A peine soutenue. Ventes, nulles 4.70 à 5.10 ; limousins 5.10 à 5.60 : bizets du sacs. Janvier, 124; février, 123,25; mars, 140 Plateau Central 4.80 à 5,30 ; lozérots 4.80 à avril, 138 ; mai, 137,25 ; juin, incoté ; juillet, 5.20 ; gascons 4.60 à 5 ; aveyronnais 4.60 à 126,75 ; août, 127,75 ; septembre, 127,50 ; oc5 ; Puv-de-Dôme 4.80 à 5.10. tobva, 27.50 ; novembre, 127,50 ; décembre En brebis on a vendu les Dlshleys-mérl- 124,75. MARCHÉ AUX BESTIAUX DEPECHES COMMERCIALES ran $ ,1 M i NOIRPABLE l LINOLÉUM La Jour^ donné llei -et vos ; TAPIS PRIM E A TOUT ACHETEUR P o s e im m édiats e t garan tie TOUS LES DESSINS EN STOCK Le client. — fi est bleu entendu, monsieur, que maintenant Je n’ai plus d’essayage a fa're, ni pour ce complet ni pour des commandes futures. Je pourrai donc à l ’avenir voua commander mes vêtements par correspondance t Le vendeur. — c est parfaitement exact puisque nous avons votre moulage il vous suffira ft chaque nouvelle commande de nous pré ciser votre grosseur de ceinture. 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TOUR EIFFEL : 1.445,7 m . — 18 h , 45 : L e q u art l ’h eu re d u th éâtre. — 19 h. s J o u rn a l parlé. — 19 h. 15 : La M étéo. — 19 h. 25 : L es a c tu a lité s. — 90 h. : Le M agazine. — 20 h. 20 : D ern iers com m u n iq u és. — 20 h. 30 : R adio-concert. PA R IS P .T .T . : 447 m . — 8 h. : R evu e d e la presse. — 12 h . : R e la is de L yon. — 14 h. s Con cert. — 15 h. : L es g r a n d s fa its m u sica u x . — 18 h. : L a c tu a lité scie n tifiq u e . — 18 h. 15 : R ad io-Jou rn al. — 19 h. 45 : M usique e n r eg istr é e . — 20 h. 15 : Cours d e p h otograp h ie. — 20 h, 23 i C oncert d e solistes. 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Voilà sa fugue et sa Imtre enfin cepté par la famille et ratifié p ar l’inté — Elle a raison. expliquées I ressée. Ce n ’est pas le cas. J ’ai toujours — Alors, que dois-je lui dire ? Il avait donné ces détails brièvement, écarté de Gilberte cet homme indigne — Voulez-vous me perm etre de lui por avec un a ir réel d’impatience. Il était visi d ’elle, et je vous affirm e que m a nièce l’a ter moi-mème m a réponse ? — J ’aim erais mieux pas I Deux orgueil ble que la brouille des deux jeunes gens toujours repoussé avec h orreur. Enfin, Par MAX D U VEUZIT l’irrita it plus q u ’il ne voulait le laisser P laceraud est mort, et je ne vois pas du leux, comme vous l’êtes tous deux, ne peu ■■ tout quel besoin vous aviez d ’évoquer ce vent que se heurter m aladroitem ent paraître. XV, —- Mieux vaut que ce soit tout de suite que Sans se 6 0 ucier de l’énervement de son nom auprès de votre fiancée. • 4,plus tard. Rodolphe eut un geste vague. compagnon, de Fragon réfléchissait à ce — Pardonnez-m oi d ’in sister ; m ais Je q u ’il venait d ’entendre. Il se rem ém orait, — Mieux vaudrait que ce ne fût jam ais l — Ici, les gens disent qu’elle devait l’é Voudrais connaître cette au tre cause ? — Préférez-vous que je me retire ? aussi ses paroles de la veille que Gilberte pouser l’an dernier, et certains da vos ser — Eh 1 bien, voilà l Ce jeune homme avait pu, en effet, interpréter dans le sens viteurs me prennent pour lui et me don Ainsi sèchement posée, la question vou a péri, sous ses yeux, dans u n accident indiqué p a r son tuteur. lait presque une réponse affirmative. nent soq nom. Le comte eut la tentation de la donner. Il de m ontagne... — C’est tout à fait ridicule et, au lieu — Ce n’est pas invraisem blable, constata — 11 est m ort ? Interrom pit avidem ent le jeune homme à mi-voix. d’en parler à Gilberte que vous injuriez se retint pourtant, la pensée de sa nièce ve Rodolphe. Il re p rit la lettre de l’orpheline, et la d’un 6 0 upçon g ratu it — voyez sa lettre ! nant corriger ce que son impétuosité natu — Oui. relut attentivem ent. Evidemment, tout ce — vous eussiez mieux fait de venir m’in relle réclamait. - Il y a longtem ps î Il se contenta de hausser les épaules et, q u ’écrivait Gilberte s’expliquait norm ale terroger : entre hommes, on remet les — Quelques mois. ment. Un seuS point était en désaccord choses au point sans toutes ces exagéra bougonna, l’air moitié fâché, moitié indul tions féminines qui ne rim ent à rien I gent, il accorda : — Ah I avec la vérité. Il ajo u ta : * — Faites comme il vous plaira, je m’en Sa fiancée p a ra issa it croire qu’il était De Fragon baissa la tête. En réalité, le — vous disiez donc if au courant de ses anciennes relations avec tuteur avait raison, ii avait été extrême lave les mains 1 Vous êtes assez grands — Nous escaladions un coin de l’Ober- M. de P laceraud ; or jam ais, le comte ne m ent m aladroit en ces circonstances. pour vous débrouiller, tous les deux, sans land p ar des sentiers de chèvre très es lui avait parlé de celui-ci. Ce fut la conscience d^ ses torts qui l’em que je m'en mêle. carpés, et Gilberte é ta it à coté de PlaceIl lui en fit la rem arque et l'a u tre haussa pêcha de form uler de nouvelles questions. ra u d lorsqu’il a plissé d ans l’abime. Elle les épaules. XVI Le vieax gentilhomme les prévint d’aiifut prise d ’u n e crise de nerfs, et je dus — Pourquoi voue aurais-je parlé de cet leurs.... en lui m etiant presque le m a r Laissant M. de la Saponaire à Jumièges, la faire tran sp o rter d an s un poste de se homme ? Il n ’y a jam ais eu de projet de Rodolphe partit, à vingt-quatre heures de cours où elle ee* restée deux jours. En m ariage entre m a nièce et lui I Dois-je aus ché à la m ain 1 — Vous avez vu que ma nièce était prê différence, p a r le même tra in que sa fian vous entendant le nom m er, e t je ne sais si vous parler de tous ceux qui ont sou cée avait pris la veille. en quels term es I —■elle a u ra supposé que haité devenir le m ari de Gilberte ? Est-il te à vous rendre votre parole ? .— J’ai vu, répondit laconiquement l’ofLe comte n ’avait pas essayé de le retenir vous lui faisiez un crime de l'émotion, — dans les habitudes d'évoquer à un fiancé jusqu’au soir, naturelle pourtan t I — qu'elle eut alors. la liste des prétendants à la m ain d ’une fleler. MARIAGE DORÉ V êtem ents s u r M esures Une ee< un raid l’Afrique. 1, p lace S u g n y . 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Et, comme si réellement il se désintéres sait de la question, cette recommandation quasi paternelle avait été la seule réflexion q u’il eût risquée su r la brouille des deux jeunes gens m aintenant expliquée. Dès son arrivée à Paris, Rodolphe se ren dit avenue d’Iéna. Voulant voir Gilberte loin de l’influence conciliatrice de son oncle, il ne prit pas mê me la peine de passer chez lui échanger son costume de voyage contre une tenue plus soignée, et c’est en feutre souple et souliers américains qu’il fit son apparition, à la tombée du Jour, dans le petit salon bleu que nous avons déjà fait visiter aux lecteurs. Gilberte eut un mouvement de surprise à sa vue, et il eut l’intuition qu’elle ne l’a t tendait pas, du moins si tôt. Il expliqua, tout de suite, sa présence à l’hôtel : — M. de la Saponaire, après avoir cher ché à me cacher votre départ, a bien voulu, ce matin, me communiquer votre lettre. Elle rougit, brusquem ent — Ah I vous avez lu... V — Oui, et cela valait mieux pour nous deux. — Non 1 mon oncle n’aurait pas dû. — Ne lui leprochez pas cette communica tion ; c'est mon insistance qui l’y a con • Le m inisfl communiqu, Le gouvernj cldé, depuis lité du visa toyens françr triche. Nos cd à l’avenir, <j national en rltoire autrlel Pour repoil mesure de rf la République août, les re.-j côté, seraieû sur la slmplj national régi au préalablc.l tiques et corf IM PRIMERIE MODERNS 15, rue du P o rt Le G «~ant: H. SAINRAPT traint. Dans l’état d’esprit où J’étais, la franchise s’imposait Il y eut un court silence de gêne. Ils. au raient voulu ne plus parler, craignant peutêtre les mots qu’ils allaient dire. — Vous êtes venu à Paris, sans mon on cle ? fit Gilberte, rompant la première la silence pénible qui planait lourdement — Je désirais vous voir... Votre lettra m ’autorise à me retirer : m ais avant de . e> décider, je tiens à m ’assurer que telle eat bien votre intention. Le souffle court, Gilberte l’écoulait. — Vous ferez ce qu’il vous plaira, répon dit-elle. la voix enrouée. — Réponse de Normande I répiiqua-t-il, en souriant. Votre lettre équivalait à un ordre de rupture ; est-ce bien ainsi que je dois la comprendre ? — Je n ’ai rien à retirer, ni à ajouter à ce que j ’ai écrit, répondit-elle, plus ferme m en t Elle se ten ait devant lui, très droite, toute raidie dans sa pose impassible ; maie elle évitait de le regarder et ses yeux, obstinément, fixaient -le p a rq u e t Rodolphe l'exam ina quelques instante, sans mot dire ; une réelle hésitation se peignait su r son visage mâle, dont la pâ- _ leur augm entait encore la gravité habi- A «tuelle.. î : ~ U m ort | O Q PETI’ PARIS. nommé mini' arrivé ce m&t| PARIS — quittera Parti route à Merci séjour de qui LYON. — f 15 ans, a été <• à Villeurbaniif La mort a èu BERLIN. — I Tient d'être r| dans les milid tat-mejor du VARSOVIE. . anciens comb4 Cracovle. STAMBOUL] à Stamboul le | en avion poi congé du Gou] BERLIN. —| Ilote habitue 'être décoré V l’Ordre de S