Supermarché " Maillon "

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LOCUSEM
Supermarché " Maillon "
STRASBOURG HAUTEPIERRE (67)
Etude Géotechnique Préliminaire de Site
Rapport
Emetteur
Phase / cat
Num
AFR
G11
00001
Réf Aff. ARCADIS / 11-003147 71-3025-001
Type
Indice
RPT
A01
11-003147-G11-00001-RPT-A01.doc
Statut
LOCUSEM
Supermarché " Maillon " – STRASBOURG
HAUTEPIERRE (67)
Rapport
Table des Matières
1
PRESENTATION ............................................................................................................. 4
1.1
Situation géographique .............................................................................................. 4
1.2
Contexte géologique .................................................................................................. 4
1.3
Description du projet .................................................................................................. 5
1.4
Missions d’ARCADIS.................................................................................................. 5
2
RESULTATS DE LA RECONNAISSANCE ................................................................... 6
2.1
Programme des investigations .................................................................................. 6
2.2
Coupe et caractéristiques du terrain ......................................................................... 6
2.3
Nappe phréatique ....................................................................................................... 7
3
CONSEQUENCES PRATIQUES (MISSION G11) ........................................................ 8
3.1
Précautions vis-à-vis des limons ............................................................................... 8
3.2
Indications préliminaires pour la réalisation des bâtiments...................................... 8
3.2.1
Synthèse des résultats de la reconnaissance ................................................... 8
3.2.2
Fondations........................................................................................................... 9
3.2.3
Sols du bâtiment ............................................................................................... 10
3.3
Indications préliminaires pour la réalisation des voiries ......................................... 10
3.4
Classification sismique............................................................................................. 11
3.5
Recommandations pour la mise au point du projet ................................................ 11
Annexe 1
Plan de situation ................................................................................................. 12
Annexe 2
Plan d’implantation des sondages................................................................... 14
Annexe 3
Coupe des sondages.......................................................................................... 16
Annexe 4
Missions géotechniques normalisées ............................................................. 22
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Rapport
1 PRESENTATION
A la demande et pour le compte de LOCUSEM, ARCADIS a procédé en février 2012 à une
reconnaissance de sols préliminaire préalable à la construction d’un supermarché au niveau de la place
Maillon à STRASBOURG HAUTEPIERRE (67).
Ce rapport présente les résultats obtenus ; il les interprète et donne en conclusion les indications
préliminaires nécessaires à l’adaptation du projet aux contraintes géotechniques mises en évidence.
Lui sont joints en annexes les documents suivants :
le plan de situation ;
le plan d’implantation des sondages ;
la coupe du forage pressiométrique I ;
la coupe des forages de reconnaissance R1 et R2 ;
les sondages au pénétromètre dynamique PDBS n°1 et 2.
1.1 Situation géographique
Le quartier de HAUTEPIERRE à STRASBOURG se trouve sur une terrasse lœssique à l’Ouest de
l’agglomération strasbourgeoise.
Le terrain étudié est situé au Nord-Est de la Maille Irène, au niveau de la place du Maillon. Il est déjà
occupé par les bureaux administratifs du théâtre LE-MAILLON. Les abords du bâtiment existant sont
constitués par des espaces verts (secteur des sondages I, R1, PDBS n°1 et 2) et des voiries en enrobés
(secteur du sondage R2).
La surface du terrain est quasiment plane, située à une cote locale comprise entre +100,1 et +100,2 au
droit des sondages réalisés. Une petite butte est présente localement en partie Sud-Est du projet le long
de l’avenue Pierre Corneille, dans le secteur du sondage PDBS n°2 (cote locale +100,8).
L'origine du nivellement est le tampon d’assainissement situé sur la voirie dans la cour du théâtre LEMAILLON (voir plan d’implantation). Il a été pris arbitrairement à la cote locale +100,00 et servira de
référence pour la suite de l’étude.
1.2 Contexte géologique
D'après les nombreuses reconnaissances de sols que nous avons réalisées dans ce secteur, et la carte
géologique au 1/50000ème feuille de STRASBOURG, la coupe prévisible des terrains était la suivante, de
haut en bas :
Remblais éventuels sur une épaisseur variable ;
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Lœss sur plusieurs mètres d’épaisseur ;
Alluvions sableuses rougeâtres de la Bruche sur 1 à 2 m d’épaisseur ;
Alluvions sablo-graveleuses rhénanes grises sur une grande épaisseur.
Rapport
La nappe phréatique, sujette à des fluctuations saisonnières, se situe à plus de 6 mètres de profondeur
sous le terrain naturel, soit vers le toit des « graviers ».
Les couches superficielles du terrain peuvent être le siège de circulations d’eau erratiques en liaison avec
l’infiltration des eaux pluviales.
1.3 Description du projet
L’esquisse actuelle du projet prévoit la construction d’un supermarché d’une emprise au sol projetée de
1000 m2 environ, ainsi que l’aménagement de parkings et de voiries lourdes tout autour du bâtiment. La
surface du terrain étudié est de 2330 m2 environ. L’aménagement global du projet nécessitera au
préalable la démolition d’une partie des bâtiments existants du théâtre LE-MAILLON.
A ce stade d’esquisse du projet, les principes d’aménagements futurs (type et emprise au sol du bâtiment,
implantation des voiries…) ne sont pas définitifs.
Cette étude est basée sur les documents suivants qui nous ont été remis par LOCUSEM le 2 février 2012 :
Plan de situation du projet sans échelle ;
Plan d’implantation global du projet à l’échelle 1/500ème ;
Plan du terrain après démolition sans échelle ;
Plan de principe des aménagements projetés sans échelle.
1.4 Missions d’ARCADIS
L’étude de sols fait suite au bon pour accord de LOCUSEM en date du 23 janvier 2012 (« chrono arrivée »
n°0139/12-0148), conformément au devis ARCADIS n°01 39/11-1582 du 28 octobre 2012 ; elle consiste,
selon la définition des missions géotechniques normalisées de l’USG (norme NF P 94.500 du 5 juin 2000
révisée en 2006) donnée en annexe 4, en :
mission G11 : étude géotechnique préliminaire de site avec prestation d’investigations
géotechniques
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2 RESULTATS DE LA
RECONNAISSANCE
2.1 Programme des investigations
La campagne de reconnaissance de sols préliminaire a comporté la réalisation de :
un forage de reconnaissance avec essais pressiométriques, noté I ; il a été arrêté à 6 m de
profondeur ;
deux forages de reconnaissance courts, notés R1 et R2 ; ils ont été arrêtés à 3 m de
profondeur ;
deux sondages au pénétromètre dynamique lourd, notés PDBS n°1 et 2 ; ils ont été arrêtés
à 6 m de profondeur ;
nivellement des sondages.
La coupe du terrain a été estimée jusqu’à la profondeur maximale de 6 m à partir des échantillons
remaniés remontés dans les forages de reconnaissance.
La résistance mécanique du sol a été appréciée en discontinu par des essais au pressiomètre réalisés
selon la norme NF P 94-110 (pression limite nette Pl* et module pressiométrique EM), et en continu par
des essais de pénétration dynamique (résistance dynamique apparente qd) ; elle a été interprétée selon la
norme XP P 94-011.
2.2 Coupe et caractéristiques du terrain
Les sondages ont mis en évidence la succession de couches suivantes, de haut en bas à partir de la
surface actuelle comprise entre les cotes locales +100,8 et +100,1 au droit des sondages réalisés :
Remblais (R), rencontrés uniquement en R2 et sur une épaisseur de 0,2 m. Sous une fine
couche d’enrobé bitumineux, il s’agit d’un mélange constitué en proportions variables de
galets, graviers et sable (couche de forme sous voirie).
Au droit des sondages au pénétromètre dynamique PDBS n°1 et 2, la compacité devient
rapidement dense à très dense en tête jusque vers 2,2 et 1,1 m de profondeur : qd varie
globalement de 7 à plus de 30 MPa.
Au droit du sondage au pénétromètre dynamique PDBS n°2, la compacité est
irrégulièrement moyennement dense à très dense jusque vers 1,1 m de profondeur : qd
varie de 5,5 à plus de 30 MPa.
Limons (L), rencontrés sous une fine couche de terre végétale en I et R1, et sous les
remblais (R) en R2 à partir de 0,2 m de profondeur (cote locale +99,9). Tous les sondages
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ont été arrêtés dans cette formation qu’ils ont reconnue sur une épaisseur maximale de 6
m. Au droit des sondages I et R1, il s’agit tout d’abord d’un limon marron plus ou moins
sableux à argileux jusque vers 1,2 et 1,5 m de profondeur (cotes locales +98,6 et +99,0).
Plus bas, il s’agit d’un lœss beige à brun. Au droit du sondage R2, il s’agit d’un lœss brun.
Au droit du forage pressiométrique I, la compacité est régulièrement moyennement dense :
Pl* est comprise entre 0,81 et 1,14 MPa avec EM compris entre 5,7 et 21 MPa.
Au droit des sondages au pénétromètre dynamique PDBS n°1 et 2, la compacité devient
régulièrement moyennement dense à partir de 2,2 et 1,1 m de profondeur (cotes locales
+97,9 et +99,7) : qd est généralement comprise entre 4 et 10 MPa.
2.3 Nappe phréatique
Lors de notre intervention les 14 et 21 février 2012, tous nos sondages sont restés secs jusqu’à une
profondeur maximale de 6 m (cote locale +94,1).
Dans ce secteur, la nappe phréatique rhénane est normalement vers le toit des « graviers », soit à plus de
6 m de profondeur. Elle est sujette à fluctuations saisonnières.
Les couches superficielles du terrain peuvent toutefois être le siège de circulations d’eau erratiques en
liaison avec l’infiltration des eaux pluviales.
La recherche du niveau des plus hautes eaux ne fait pas partie de la présente étude.
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3 CONSEQUENCES PRATIQUES
(MISSION G11)
3.1 Précautions vis-à-vis des limons
Les terrains limoneux superficiels sont très sensibles aux changements de teneur en eau et au
remaniement ; ils perdent leur portance lorsque leur teneur en eau augmente.
Les travaux de terrassement devront être réalisés de préférence en période sèche. On commencera par
établir des pistes de chantier résistantes avec une épaisse couche de matériau insensible à l’eau, sinon la
circulation deviendra rapidement impossible en période humide. Une telle circulation devra être interdite
pendant cette période sur toute la surface non protégée destinée à recevoir des constructions ou
équipements définitifs.
On prévoira des sujétions et on prendra des dispositions pour éviter toute humidification ou toute
dessiccation des terrains d’assise des ouvrages (fond de forme profilé, fossés de collecte des eaux de
ruissellement et de précipitations, protection par béton de propreté, polyane...) sinon on s’expose à des
mouvements du sol lorsque celui-ci retrouvera sa teneur en eau initiale. En particulier, on limitera au
maximum leur exposition aux intempéries.
Si les terrassements devaient être, malgré tout, réalisés dans ces conditions, on veillera à donner à la
surface des sols limoneux une pente suffisante permettant d’éviter la stagnation des eaux, celles-ci étant
recueillies à un point bas et évacuées hors de la fouille.
Les réseaux enterrés devront être réalisés et protégés avec le plus grand soin, pour éviter toute fuite qui
détremperait le terrain d’assise des bâtiments.
3.2 Indications préliminaires pour la réalisation des bâtiments
3.2.1 Synthèse des résultats de la reconnaissance
Au droit du site, nos forages de reconnaissance ont montré que les terrains sont constitués dès la surface
par des limons (L), hormis en R2 où ils peuvent être localement surmontés par des remblais (R) sur une
épaisseur réduite de l’ordre de 0,2 m (couche de forme sous voirie). Il est n’est cependant pas exclu que
des remblais soient présents ailleurs, notamment dans le secteur des sondages PDBS n°1 et PDBS n°2
au regard des compacités mesurées, ainsi qu’au droit du bâtiment qui sera démoli. Des forages de
reconnaissance complémentaires devront être réalisés dans le cadre de la mission d’avant-projet
géotechnique (mission G12 au sens de la norme NF P 94-500), lors de la mise au point du projet, afin de
lever l’incertitude quant à la nature et la coupe des terrains au droit des zones identifiées ci-avant.
La compacité des limons (L), estimée en discontinu à partir des essais pressiométriques réalisés en I, et
en continu à partir des sondages au pénétromètre dynamique PDBS n°1 et 2, est globalement
moyennement dense.
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Lors de notre intervention les 14 et 21 février 2012, tous nos sondages sont restés secs jusqu’à une
profondeur maximale de 6 m (cote locale +94,1). La nappe phréatique rhénane, sujette à des fluctuations
saisonnières, se trouve à plusieurs mètres de profondeur au droit du terrain.
Les couches superficielles du terrain peuvent toutefois être le siège de circulations d’eau erratiques en
liaison avec l’infiltration des eaux pluviales.
3.2.2 Fondations
Le bâtiment projeté pourra solliciter les limons (L) qui ont été reconnus dès la surface (cotes locales
comprises entre +100,2 et +100,1), hormis en R2 où ils ont été reconnus sous les remblais à partir de 0,2
m de profondeur (cote locale +99,9), et en PDBS n°1 et 2 où ils pourraient être situés à 2,2 et 1,1 m de
profondeur (cotes locales +97,9 et +99,7) au regard des compacités mesurées.
La nappe phréatique rhénane, sujette à des fluctuations saisonnières, se trouve à plusieurs mètres de
profondeur au droit du terrain.
Dans ces conditions, les fondations seront constituées de massifs ou de semelles prolongés en tant que
de besoin par un gros béton de rattrapage. Ils seront coulés à sec en pleine fouille, immédiatement après
l’excavation afin de limiter l’altération du sol d’assise. Dans le cas contraire, les fonds de fouille seront
immédiatement protégés par un béton de propreté.
L’assise des fondations devra être descendue à une profondeur minimale de 1,5 m par rapport à la
surface finie à l’extérieur du bâtiment pour limiter l’incidence des phénomènes liés aux variations
saisonnières de la teneur en eau de ces matériaux. Les fonds de fouille devront être immédiatement
protégés par un béton de propreté pour éviter leur altération par les intempéries.
Pour un ancrage minimal de 0,5 m dans les limons (L) et une assise des fondations descendue à une
profondeur minimale de 1,5 m par rapport à la surface finie à l’extérieur du bâtiment, la contrainte limite à
l'ELS sera de l’ordre de 0,2 à 0,25 MPa (2 à 2,5 bars).
Rappelons qu’il est d’usage d’éviter la plantation d’arbres de haute tige à moins de 10 m des
constructions, ceux-ci pouvant induire des variations de teneur en eau des limons et donc des tassements
préjudiciables pour les constructions.
Compte-tenu la présence d’existants (bâtiment du théâtre LE-MAILLON) en bordure Ouest du terrain
étudié, les fondations seront à adapter en fonction des conditions réelles du site et de l’implantation
définitive du bâtiment projeté pour éviter toute interaction entre les fondations existantes et celles à
construire et éviter de déstabiliser l’existant.
On prendra garde à ne pas surcharger les fondations existantes. Des sujétions particulières seront à
prévoir par rapport aux fondations existantes situées dans l’emprise du projet.
On veillera à ce que la pente maximale entre les fondations réalisées à des niveaux différents n’excède
pas de 3 de base pour 2 de hauteur entre les arêtes des fondations les plus voisines.
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Ces indications préliminaires devront être validées dans le cadre d’une mission d’avant-projet
géotechnique (mission G12) propre au projet définitif. Cette mission G12 nécessitera la réalisation
d’investigations complémentaires.
3.2.3 Sols du bâtiment
Les sols normalement chargés (< 2 t/m²) et peu sensibles aux tassements pourront normalement être des
dallages sur terre-plein. La couche de fondation, sera constituée de matériau sablo-graveleux propre, bien
gradué et soigneusement compacté par couches successives selon le GTR. Cette couche sera mise en
place après compactage énergique du fond de fouille, purge intégrale des remblais si nécessaire et des
éléments compressibles et/ou évolutifs éventuellement présents en fond de fouille, et mise en place d’un
géotextile anticontaminant.
L’épaisseur de la couche de fondation sera à définir précisément au moment des travaux en fonction de la
portance mesurée par des essais de plaque réalisés en fond de fouille et des objectifs de portance sous
dallage.
On contrôlera la portance de la plate-forme par des essais de plaque LCPC au fur et à mesure de la mise
en œuvre (au minimum pour chaque tranche d’un mètre d’épaisseur).
Le dallage sera entièrement dissocié de la superstructure fondée.
Les modules de déformation des sols nécessaires au calcul du dallage sur terre-plein au sens du DTU
13.3. de mars 2005 devront être déterminés dans le cadre d’une étude d’avant-projet géotechnique
(mission G12). La mission G12 permettra également de définir les dispositions à prendre vis-à-vis des
remblais.
3.3 Indications préliminaires pour la réalisation des voiries
Après décapage d’une fine couche de terre végétale ou démolition de l’enrobé bitumineux, et purge des
remblais (R) présents localement, le fond de fouille prévisible sera normalement constitué par les limons
(L).
Au droit des sondages réalisés, les limons (L) correspondent à des sols de classe A au sens du GTR et
qui sont sensibles à l’eau.
Ils correspondront à une partie supérieure de terrassement PST n°3 associée à une arase de
terrassement de classe 1 (AR 1). Mais la portance peut chuter sous l’action des eaux météoriques et
conduire rapidement à une arase de terrassement de classe 0 (AR 0). Pour une arase de classe 0 (AR 0),
il conviendra de purger la partie supérieure du terrain et de réaliser une substitution au moyen d’un
matériau d’apport insensible à l’eau et/ou de réaliser un drainage (fossés…) et/ou un traitement (aération,
chaux) de manière à pouvoir surclasser le nouveau support obtenu au moins en classe AR 1.
Sur une partie supérieure des terrassement PST n°3 associée à une AR 1 de portance prévisible
supérieure à 20 MPa, pour obtenir une plate-forme de classe PF 2 (EV2 ≥ 50 MPa), il sera nécessaire
de mettre en œuvre une couche de forme d’épaisseur 0,35 m au moins pour une voirie légère, et
0,6 m au moins pour une voirie lourde, à adapter selon la portance réelle de la plate-forme au moment
des travaux en fonction d’essais de plaque de type LCPC réalisés en fond de fouille. La couche de forme
sera constituée par un matériau d’apport, traité ou non, selon les recommandations du GTR et
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soigneusement compacté par couches successives. Un géotextile anti-contaminant sera disposé entre le
fond de fouille limoneux et la couche de forme sablo-graveleuse. Si pour des raisons de planning, les
travaux devaient se dérouler en période humide, l’épaisseur précédente serait à majorer de 0,3 m au
moins, avec en outre interposition d’un géotextile résistant si les matériaux limoneux à argileux étaient
détrempés.
Il conviendra également que l’épaisseur de la couche de forme soit suffisante pour assurer la mise hors
gel de la PST, sauf à démontrer que les matériaux de PST sont non gélifs (traitement par exemple).
3.4 Classification sismique
STRASBOURG est située en zone sismique 3 (sismicité modérée) d’après le nouveau zonage sismique
de la France.
La classification sismique du site devra être précisée dans le cadre de la mission d’avant-projet
géotechnique de type G12.
3.5 Recommandations pour la mise au point du projet
Conformément à la commande passée, le présent rapport géotechnique constitue le compte rendu et fixe
la fin de la mission d’étude géotechnique préliminaire de site selon la norme NF P 94-500 révisée en 2006
sur les missions d’ingénierie géotechnique (voir l’annexe 4).
Cette mission, confiée à ARCADIS au stade des études préliminaires de l’ouvrage à construire, a permis
de définir, à partir :
des données de l’esquisse qui nous ont été fournies,
du contexte géotechnique général du site et des investigations géotechniques réalisées,
les hypothèses géotechniques préliminaires à prendre en compte et les principes généraux de
construction des ouvrages géotechniques à ce stade des études préliminaires.
Les principales incertitudes géologiques du site qui subsistent à ce stade d’avancement des missions
d’ingénierie géotechnique concernent la nature et l’épaisseur des remblais (R) qui pourraient être présents
localement, ainsi que la nature et la compacité des terrains au droit du bâtiment existant qui sera démoli
dans le cadre du projet. Ces incertitudes peuvent avoir une incidence certaine sur les méthodes
d’exécution à retenir et le coût final des ouvrages géotechniques : il conviendra de tenir compte de ces
risques géologiques lors de la mise au point de l’avant-projet.
En outre, la norme NF P 94-500 révisée en 2006 précise que l’enchaînement des missions d’ingénierie
géotechnique suit les phases d’élaboration du projet. En conséquence, après la présente étude
géotechnique préliminaire de site, l’étude géotechnique d’avant-projet permettra de préciser et de valider
les conclusions de la présente étude en fonction des caractéristiques du projet (pour les bâtiments en
particulier). Elle nécessitera la réalisation d’investigations géotechniques complémentaires.
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Annexe 1
Plan de situation
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Annexe 2 Plan d’implantation des
sondages
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Annexe 3
Coupe des sondages
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ESSAI DE PENETRATION DYNAMIQUE PDBS n°1
Chantier : Supermarché « Maillon » – STRASBOURG HAUTEPIERRE (67)
Date : 21/02/2012
x:
y:
z : + 100,1 COTE LOCALE
Résistance dynamique qd (MPa)
0
5
10
15
20
25
30
Coupe estimée
0
-1
R?
-2
-3
m : 1/50
-4
-5
-6
-7
-8
-9
-10
Commentaire : Niveau d’eau non relevé.
L
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ESSAI DE PENETRATION DYNAMIQUE PDBS n°2
Chantier : Supermarché « Maillon » – STRASBOURG HAUTEPIERRE (67)
Date : 21/02/2012
x:
y:
z : + 100,8 COTE LOCALE
Résistance dynamique qd (MPa)
0
5
10
15
20
25
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HAUTEPIERRE (67)
Rapport
Annexe 4 Missions géotechniques
normalisées
AFR-G11-00001-RPT-A01 du 06/03/2012
Réf Aff. ARCADIS / 11-003147 71-3025-001
11-003147-G11-00001-RPT-A01.doc
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HAUTEPIERRE (67)
Rapport
CONDITIONS GENERALES DES MISSIONS D’INGENIERIE GEOTECHNIQUE
1.
Cadre de la mission
Par référence à la norme NF P 94-500 sur les missions d’ingénierie géotechnique (en particulier extrait de 2 pages du chapitre
4 joint à toute offre et à tout rapport), il appartient au maître d'ouvrage et à son maître d'œuvre de veiller à ce que toutes les
missions d’ingénierie géotechnique nécessaires à la conception puis à l'exécution de l'ouvrage soient engagées avec les
moyens opportuns et confiées à des hommes de l'Art.
L'enchaînement des missions d’ingénierie géotechnique suit la succession des phases d'élaboration du projet, chacune de ces
missions ne couvrant qu'un domaine spécifique de la conception ou de l'exécution. En particulier :
-
les missions d’étude géotechnique préliminaire de site (G11), d’étude géotechnique d’avant projet (G12), d’étude
géotechnique de projet (G2), d’étude et suivi géotechniques d’exécution (G3), de supervision géotechnique
d’exécution (G4) sont réalisées dans l'ordre successif ;
-
une mission confiée à notre société peut ne contenir qu'une partie des prestations décrites dans la mission type
correspondante ;
-
l’exécution d’investigations géotechniques engage notre société uniquement sur la conformité des travaux exécutés
à ceux contractuellement commandés et sur l'exactitude des résultats qu'elle fournit ;
-
toute mission d’ingénierie géotechnique n'engage notre société sur son devoir de conseil que dans le cadre strict,
d'une part, des objectifs explicitement définis dans notre proposition technique sur la base de laquelle la commande
et ses avenants éventuels ont été établis, d'autre part, du projet du client décrit par les documents graphiques ou
plans cités dans le rapport ;
-
toute mission d’étude géotechnique préliminaire de site, d’étude géotechnique d’avant projet ou de diagnostic
géotechnique exclut tout engagement de notre société sur les quantités, coûts et délais d'exécution des futurs
ouvrages géotechniques ;
-
une mission d’étude géotechnique de projet G2 engage notre société en tant qu'assistant technique à la maîtrise
d'œuvre dans les limites du contrat fixant l'étendue de la mission et la (ou les) partie(s) d'ouvrage(s) concerné(s).
La responsabilité de notre société ne saurait être engagée en dehors du cadre de la mission d’ingénierie géotechnique objet du
rapport. En particulier, toute modification apportée au projet ou à son environnement nécessite la réactualisation du rapport
géotechnique dans le cadre d'une nouvelle mission.
2.
Recommandations
Il est précisé que l'étude géotechnique repose sur une investigation du sol dont la maille ne permet pas de lever la totalité des
aléas toujours possibles en milieu naturel. En effet, des hétérogénéités, naturelles ou du fait de l'homme, des discontinuités et
des aléas d'exécution peuvent apparaître compte tenu du rapport entre le volume échantillonné ou testé et le volume sollicité
par l'ouvrage, et ce d'autant plus que ces singularités éventuelles peuvent être limitées en extension. Les éléments
géotechniques nouveaux mis en évidence lors de l'exécution, pouvant avoir une influence sur les conclusions du rapport,
doivent immédiatement être signalés au géotechnicien chargé de l’étude et suivi géotechniques d'exécution (mission G3) afin
qu'il en analyse les conséquences sur les conditions d'exécution voire la conception de l'ouvrage géotechnique.
Si un caractère évolutif particulier a été mis en lumière (notamment glissement, érosion, dissolution, remblais évolutifs, tourbe),
l'application des recommandations du rapport nécessite une validation à chaque étape suivante de la conception ou de
l'exécution. En effet, un tel caractère évolutif peut remettre en cause ces recommandations notamment s'il s'écoule un laps de
temps important avant leur mise en œuvre.
3.
Rapport de la mission
Le rapport géotechnique constitue le compte-rendu de la mission d’ingénierie géotechnique définie par la commande au titre de
laquelle il a été établi et dont les références sont rappelées en tête. A défaut de clauses spécifiques contractuelles, la remise du
rapport géotechnique fixe la fin de la mission.
Un rapport géotechnique et toutes ses annexes identifiées constituent un ensemble indissociable. Les deux exemplaires de
référence en sont les deux originaux conservés : un par le client et le second par notre société. Dans ce cadre, toute autre
interprétation qui pourrait être faite d'une communication ou reproduction partielle ne saurait engager la responsabilité de notre
société. En particulier l'utilisation même partielle de ces résultats et conclusions par un autre maître d'ouvrage ou par un autre
constructeur ou pour un autre ouvrage que celui objet de la mission confiée ne pourra en aucun cas engager la responsabilité
de notre société et pourra entraîner des poursuites judiciaires.
AFR-G11-00001-RPT-A01 du 06/03/2012
Réf Aff. ARCADIS / 11-003147 71-3025-001
11-003147-G11-00001-RPT-A01.doc
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Rapport
Extrait de la norme NF P 94-500 révisée en 2006
4. Classification et enchaînement des missions types d’ingénierie géotechnique
Tout ouvrage est en interaction avec son environnement géotechnique. C’est pourquoi, au même titre que les autres
ingénieries, l’ingénierie géotechnique est une composante de la maîtrise d’œuvre indispensable à l’étude puis à la réalisation de
tout projet.
Le modèle géologique et le contexte géotechnique général d’un site, définis lors d’une mission géotechnique préliminaire, ne
peuvent servir qu’à identifier des risques potentiels liés aux aléas géologiques du site. L’étude de leurs conséquences et leur
réduction éventuelle ne peut être faite que lors d’une mission géotechnique au stade de la mise au point du projet : en effet les
contraintes géotechniques de site sont conditionnées par la nature de l’ouvrage et variables dans le temps, puisque les
formations géologiques se comportent différemment en fonction des sollicitations auxquelles elles sont soumises (géométrie de
l’ouvrage, intensité et durée des efforts, cycles climatiques, procédés de construction, phasage des travaux notamment).
L’ingénierie géotechnique doit donc être associée aux autres ingénieries, à toutes les étapes successives d’étude et de
réalisation d’un projet, et ainsi contribuer à une gestion efficace des risques géologiques afin de fiabiliser le délai d’exécution, le
coût réel et la qualité des ouvrages géotechniques que comporte le projet.
L’enchaînement et la définition synthétique des missions types d’ingénierie géotechnique sont donnés dans les tableaux 1 et 2.
Les éléments de chaque mission sont spécifiés dans les chapitres 7 à 9. Les exigences qui y sont présentées sont à respecter
pour chacune des missions, en plus des exigences générales décrites au chapitre 5 de la présente norme. L’objectif de chaque
mission, ainsi que ses limites, sont rappelés en tête de chaque chapitre. Les éléments de la prestation d’investigations
géotechniques sont spécifiés au chapitre 6.
Tableau 1 – Schéma d’enchaînement des missions types d’ingénierie géotechnique
Étape
Phase d’avancement
du projet
Étude préliminaire
Étude d’esquisse
1
Avant projet
2
Missions d’ingénierie
géotechnique
Étude géotechnique préliminaire de Première
site (G11)
risques
Projet
Assistance aux Contrats Étude géotechnique de projet (G2)
de Travaux (ACT)
Exécution
Supervision
d’exécution (G4)
Cas
particulier
identification
Prestations d’investigations
géotechniques *
des Fonction
existantes
données
Identification
des
aléas
importants et dispositions
Fonction des choix constructifs
pour
en
réduire
les
conséquences
géotechniques
Fonction des méthodes de
construction mises en œuvre
Identification
des
aléas
résiduels et dispositions pour
géotechnique en limiter les conséquences
Fonction
des
conditions
rencontrées à l’exécution
Étude d’un ou plusieurs
éléments géotechniques Diagnostic géotechnique (G5)
spécifiques
Analyse des risques liés à ce
Fonction de la spécificité des
ou
ces
éléments
éléments étudiés
géotechniques
* NOTE : A définir par l’ingénierie géotechnique chargée de la mission correspondante
AFR-G11-00001-RPT-A01 du 06/03/2012
Réf Aff. ARCADIS / 11-003147 71-3025-001
des
Identification
des
aléas
Étude géotechnique d’avant-projet majeurs et principes généraux Fonction
des
données
(G12)
pour
en
limiter
les existantes et de l’avant-projet
conséquences
Étude et suivi
d’exécution (G3)
3
Objectifs en termes de
gestion des risques liés aux
aléas géologiques
11-003147-G11-00001-RPT-A01.doc
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Rapport
Tableau 2 - Classification des missions types d’ingénierie géotechnique
L’enchaînement des missions d’ingénierie géotechnique doit suivre les étapes d’élaboration et de réalisation de tout projet pour
contribuer à la maîtrise des risques géologiques. Chaque mission s’appuie sur des investigations géotechniques spécifiques. Il
appartient au maître d’ouvrage ou à son mandataire de veiller à la réalisation successive de toutes ces missions par une
ingénierie géotechnique.
ETAPE 1 : ÉTUDES GÉOTECHNIQUES PREALABLES (G1)
Ces missions excluent toute approche des quantités, délais et coûts d’exécution des ouvrages géotechniques qui entre dans le cadre d’une mission d’étude géotechnique de projet (étape
2).Elles sont normalement à la charge du maître d’ouvrage.
ETUDE GEOTECHNIQUE PRELIMINAIRE DE SITE (G11)
Elle est réalisée au stade d’une étude préliminaire ou d’esquisse et permet une première identification des risques géologiques d’un site :
Faire une enquête documentaire sur le cadre géotechnique spécifique du site et l’existence d’avoisinants.
Définir un programme d’investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats.
Fournir un rapport avec un modèle géologique préliminaire, certains principes généraux d’adaptation du projet au site et une première identification des risques.
ETUDE GEOTECHNIQUE D’AVANT PROJET (G12)
Elle est réalisée au stade d’avant projet et permet de réduire les conséquences des risques géologiques majeurs identifiés :
Fournir un rapport donnant les hypothèses géotechniques à prendre en compte au stade de l’avant-projet, certains principes généraux de construction (notamment
terrassements, soutènements, fondations, risques de déformation des terrains, dispositions générales vis-à-vis des nappes et avoisinants).
Cette étude sera obligatoirement complétée lors de l’étude géotechnique de projet (étape 2).
ETAPE 2 : ÉTUDE GÉOTECHNIQUE DE PROJET (G2)
Elle est réalisée pour définir le projet des ouvrages géotechniques et permet de réduire les conséquences des risques géologiques importants identifiés. Elle est normalement à la charge
du maître d’ouvrage et peut être intégrée à la mission de maîtrise d’œuvre générale.
Phase Projet
Fournir une synthèse actualisée du site et les notes techniques donnant les méthodes d’exécution proposées pour les ouvrages géotechniques (notamment terrassements,
soutènements, fondations, dispositions vis-à-vis des nappes et avoisinants) et les valeurs seuils associées, certaines notes de calcul de dimensionnement niveau projet.
Fournir une approche des quantités/délais/coûts d’exécution de ces ouvrages géotechniques et une identification des conséquences des risques géologiques résiduels.
Phase Assi stance aux Contrats de Travaux
Etablir les documents nécessaires à la consultation des entreprises pour l’exécution des ouvrages géotechniques (plans, notices techniques, cadre de bordereau des prix et
d’estimatif, planning prévisionnel).
Assister le client pour la sélection des entreprises et l’analyse technique des offres.
ETAPE 3 : EXECUTION DES OUVRAGES GEOTECHNIQUES (G3 et G4, distinctes et simultanées)
ÉTUDE ET SUIVI GÉOTECHNIQUES D’EXÉCUTION (G3)
Se déroulant en 2 phases interactives et indissociables, elle permet de réduire les risques résiduels par la mise en œuvre à temps de mesures d’adaptation ou d’optimisation. Elle est
normalement confiée à l’entrepreneur.
Phase Etude
Etudier dans le détail les ouvrages géotechniques : notamment validation des hypothèses géotechniques, définition et dimensionnement (calculs justificatifs), méthodes et
conditions d’exécution (phasages, suivis, contrôles, auscultations en fonction des valeurs seuils associées, dispositions constructives complémentaires éventuelles), élaborer
le dossier géotechnique d’exécution.
Phase Suivi
Suivre le programme d’auscultation et l’exécution des ouvrages géotechniques, déclencher si nécessaire les dispositions constructives prédéfinies en phase Etude.
Vérifier les données géotechniques par relevés lors des excavations et par un programme d’investigations géotechniques complémentaire si nécessaire (le réaliser ou en
assurer le suivi technique, en exploiter les résultats).
Participer à l’établissement du dossier de fin de travaux et des recommandations de maintenance des ouvrages géotechniques.
SUPERVISION GEOTECHNIQUE D’EXECUTION (G4)
Elle permet de vérifier la conformité aux objectifs du projet, de l’étude et du suivi géotechniques d’exécution. Elle est normalement à la charge du maître d’ouvrage.
Phase Supervision de l’étude d’exécution
Avis sur l’étude géotechnique d’exécution, sur les adaptations ou optimisations potentielles des ouvrages géotechniques proposées par l’entrepreneur, sur le programme
d’auscultation et les valeurs seuils associées.
Phase Supervision du suivi d’exécution
Avis, par interventions ponctuelles sur le chantier, sur le contexte géotechnique tel qu’observé par l’entrepreneur, sur le comportement observé de l’ouvrage et des
avoisinants concernés et sur l’adaptation ou l’optimisation de l’ouvrage géotechnique proposée par l’entrepreneur.
DIAGNOSTIC GEOTECHNIQUE (G5)
Pendant le déroulement d’un projet ou au cours de la vie d’un ouvrage, il peut être nécessaire de procéder, de façon strictement limitative, à l’étude d’un ou plusieurs
éléments géotechniques spécifiques, dans le cadre d’une mission ponctuelle.
Définir, après enquête documentaire, un programme d’investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats.
Etudier un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques (par exemple soutènement, rabattement, causes géotechniques d’un désordre) dans le cadre de ce diagnostic,
mais sans aucune implication dans d’autres éléments géotechniques.
Des études géotechniques de projet et/ou d’exécution, de suivi et supervision, doivent être réalisées ultérieurement, conformément à l’enchaînement des missions d’ingénierie
géotechnique, si ce diagnostic conduit à modifier ou réaliser des travaux.
AFR-G11-00001-RPT-A01 du 06/03/2012
Réf Aff. ARCADIS / 11-003147 71-3025-001
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