« En associant leurs parents, tous les enfants peuvent réussir

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« En associant leurs parents,
tous les enfants peuvent réussir »
PRÉSENTATION DES SITES
Journée d’accueil, Angers 1 & 2 mars 2010
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PRÉSENTATION DE CHAQUE SITE
Impliqué dans l’action-recherche
1. AGEN
2. BELLEGARDE
3. BESANÇON
4. BLANC MESNIL
5. BREST
6. BREST
7. BREST
8. CHARENTE
9. CHATEAUROUX
10. COURCON
11. FLERS-ALENCON
12. GRENOBLE
13. GRIGNY
14. GUERET
15. LE BLANC
16. LORIENT
17. NANTES
18. PIERRE-BENITE
19. POITIERS
20. RENNES
21. RHONE-ALPES - MRIE
22. TARBES - BORDERES
23. TOURCOING
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En
associant
leurs
parents,
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peuvent
réussir
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des
sites
2
1. AGEN
Titre du
projet
Contact
Projet
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Création d’une plate forme d’atelier linguistique (SYLLABE)
dans le cadre du PLIE
• Catherine CHARLERY
145, avenue H. Barbusse – 47 000 AGEN
05 53 87 84 67 – [email protected]
• Sylvie FRIZZI – Directrice d’Atout PLIE
05 53 48 02 12
[email protected]
La plateforme SYLLABE a été créée en 2004 à l’initiative des élus de la
communauté d’agglomération d’Agen. C’est l’association ATOUT PLIE,
gestionnaire du PLIE de l’agenais qui la porte.
La mission initiale de la plateforme s’est redéfinie au fil des ans. Sont
orientées vers la plateforme des personnes en difficulté d’apprentissage de
la langue, des personnes avec des difficultés linguistiques et des lacunes
en termes de compétences de base.
La plateforme accueille beaucoup de jeunes sortis du système éducatif, en
échec, ayant été peu scolarisés en France.
Une réflexion sur l’implication de leurs parents est en cours.
L’objectif est de ne pas rester sur les familles primo arrivantes mais
d’élargir l’accueil à des familles paupérisées ayant des difficultés d’accès à
la langue.
Un projet est proposé « Mots pour l’intégration » labellisé REAAP. Centré
sur les familles primo arrivantes, il entend articuler l’apprentissage de la
langue et la relation avec l’école de ces familles. La plateforme souhaite
élargir ses missions en travaillant avec les familles la relation à l’école.
• Partenariat fort avec le PRE et avec les centres sociaux
• Projet intégré dans le CUCS
• Suite à une rencontre avec l’élue chargée au niveau de la ville du
CCAS et l’élue chargée du Projet éducatif territorial, un accord de
principe pour formaliser un partenariat avec le CISPD.
• Partenariat : contacts pris avec le principal du collège de la ZEP d’Agen
- Formalisation au niveau de la ville, d’un partenariat avec le PRE
• Un comité de pilotage qui comprend l’Etat (Politique de la ville,
développement social urbain), la communauté d’agglomération
(Politique de la ville /CUCS) et la CAF (co-pilotage du REAAP)
• Pas encore de formalisation d’équipe projet.
• Contrat local d’accompagnement à la scolarité - Contrat éducatif local /
projet éducatif local en cours de réflexion - groupes de travail
"communauté éducative" des centres sociaux qui sont dans la phase de
réflexion autour de leur projet de centre social
• Budget prévisionnel = 24 448 €
• Propositions de formation de la DDCSPP, du CLAP (Centre de Liaison
des Acteurs de la Promotion).
En attente via le projet national d’une reconnaissance du projet local par le
territoire et d’une implication plus large des acteurs notamment les élus,
les représentants de l’Education Nationale.
Pas de chercheur impliqué sur le projet – peu d’universités dans la Région,
il semble difficile de mobiliser un chercheur.
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3
2. BELLEGARDE
Titre du
projet
Contact
Accompagnement des parents dans le cadre du PRE
• Philippe Camp – Directeur du Pôle citoyen
Hôtel de ville – 34, Rue de la République
Bellegarde/Valserine
04 50 56 80 81 – [email protected]
–
01
200
• Isabelle Delhomme – coordinatrice PRE - CCAS Bellegarde/Valserine
Au terme de 3 années de fonctionnement du PRE, l’objectif prioritaire du
projet « En associant les parents tous les enfants peuvent réussir » serait
d’associer différemment les parents dans le parcours de réussite éducative
proposé à leur enfant.
Projet
La réussite éducative d’un enfant prend en compte la globalité de son
environnement et relève de la somme de trois sphères : la sphère familiale,
la sphère découverte (temps de loisirs, de pratique sportive, de culture) et
la sphère école. L’intervention auprès d’un enfant pourrait s’accompagner
d’une interaction avec les parents. Ce projet tendrait à ce que les parents
s’approprient leurs capacités à pouvoir influer sur l’éducation de leurs
enfants à partir d’une meilleure connaissance de leur environnement et
favoriser ainsi la construction d’une volonté collective de s’informer et
d’agir sur toutes les questions qui croisent les parcours engagés par leurs
enfants dans le cadre du PRE.
L’expérimentation aurait pour but de proposer aux parents une forme
d’accompagnement collectif en parallèle et en cohérence avec le parcours
éducatif proposé à leur enfant.
Ressources
locales
La mise en place de ce projet s’appuiera sur le PRE.
Une cohérence territoriale : La ville de Bellegarde s’inscrit dans un fort
ancrage partenarial avec les divers acteurs du territoire : les structures
socioculturelles, les associations culturelles, les associations sportives…
Pérennisation des savoir-faire par le biais du PEL. Il pourrait être pertinent
d’imaginer à partir des besoins identifiés, des actions nouvelles : créer à
partir des attentes des parents, avec les parents. L’Education Nationale
(assistante sociale, conseiller principal d’éducation, coordonnateur du
Réseau de Réussite Scolaire, l’équipe du RASED, l’enseignant référent
handicap, la médecine scolaire, équipe enseignante des établissements
scolaires…), l’ADSEA (éducateurs de prévention spécialisée), le Conseil
Général de l’Ain (assistantes sociales, PMI ), les centres sociaux
(animateurs, conseillères en économie sociale et familiale), la Protection
Judiciaire de la Jeunesse, les associations humanitaires, d’entraide,
d’action sociale, sportives, culturelles et artistiques, les services
médicaux…
Ce projet s’inscrit dans le cadre du budget du PRE
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Comment mobiliser un chercheur sur le projet ?
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4
3. BESANCON
Titre du
projet
Contact
Implication des parents dans le suivi scolaire de leurs enfants
JEANNIN Nathalie Jeannin
Directrice
DUROY Magali Duroy
Infographiste
Association PARI
1, rue d’Artois – 25 000 BESANCON
03 81 51 43 07
[email protected]
Dès sa création en 1981 l’association PARI a eu pour objectif de faciliter
l’implication les parents dans la scolarité de leurs enfants et
d’accompagner les familles les plus en difficultés. Pour être sûr de ne
jamais dévier sa ligne de conduite, ces missions ont été incluses dans les
statuts de la structure :
•
Favoriser l’insertion scolaire, sociale et professionnelle
•
Assurer la médiation entre les familles et l’école
•
Aider à l’intégration des jeunes d’origine étrangère
•
Développer les liens entre les différentes structures et les partenaires
de Planoise.
PARI a adhéré à la Charte Nationale d’accompagnement à la scolarité qui
faisait également l’une de ses priorités d’accompagner les parents dans le
suivi de la scolarité de leurs enfants.
Projet
Le quartier de Planoise est un quartier populaire, traditionnel d’accueil des
populations migrantes dont la majorité des habitants est défavorisée
socialement.
Classés en « Zone d ‘Education Prioritaire » puis en « Réseau Ambition
Réussite », les établissements scolaires de ce quartier sont en « zones
sensibles ».
L’association est présente sur le terrain depuis longtemps, donc bien
connue des parents. Elle a recours aux bénévoles.
Actions engagées :
• Participation aux conseils de classe
• Réunions d’information-formation des parents : qu'est ce qu'un enfant
de CP ?
• Coorganisateur de l'école ouverte, en impliquant les parents
• Ateliers sociolinguistiques = animation de groupes sur le quartier, dont
2 dans le collège
• Contractualisation avec les parents à l'accueil de l'enfant (sur le
modèle CLAS). Les parents s'engagent à suivre la scolarité, à
participer à des ateliers et activités ludiques conçues comme
prétextes pour travailler avec les familles.
• Accompagner les familles dans leurs démarches auprès de l'école
• Mise en place de soirées culturelles
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5
Ressources
locales
• Une reconnaissance certaine de l’association localement
• Des réseaux partenariaux établis : Education Nationale, maison de
quartier, ADDSEA, CEMEA, GFEN, travailleurs sociaux, parents,
responsables associatif, des partenaires institutionnels (CAF, ville de
Besançon….)
• Une équipe stable au sein de l’association, dont 50 bénévoles
• L’équipe projet constituée des salariés de PARI (4 personnes) et des
membres du CA
•
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Remarques générales :
− Aller vers les plus pauvres : quid de la représentativité de
l'ensemble des familles ? quid de la mixité ? L’approche territoriale
contre la mixité ?
− Comment impliquer les familles au-delà des plus pauvres ?
− Constituer un groupe de classe moyenne ?
− Mailler les partenaires doit pouvoir toucher toutes les familles
• Problèmes financiers pour assumer les coûts de la co formation et des
séminaires
• Mobiliser les autres partenaires (Ville, Education Nationale, travailleurs
sociaux..) autour d’un comité de pilotage, afin que cela devienne un
projet social de territoire. Se donner les moyens d’une réflexion
commune et mutualiser les actions pour plus d’impact et de lisibilité
pour le public familial ciblé.
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6
4. BLANC MESNIL
Titre du
projet
Contact
« Comment créer les conditions pour permettre aux familles et avec
elles de conquérir un pouvoir d’agir dans l’action éducative au local,
pour leurs enfants et pour tous les enfants ? »
• Zouina Meddour
Chargée de mission lutte contre les discriminations et soutien à la
parentalité
Hôtel de ville - 17 place Gabriel Péri - 93 150 Le Blanc-Mesnil
01 48 67 45 80 – 06 23 86 35 75
[email protected]
Au Blanc Mesnil, le soutien à la parentalité s’inscrit dans les
préoccupations politiques depuis plusieurs années, trouvant sa traduction
dans différents dispositifs contractuels et services rendus à la population.
Ainsi depuis de nombreuses années des actions ont été initiées par
différents secteurs de la ville : la mission droit des femmes, les secteurs
enfance/éducation, les maisons pour tous…Cette question au cœur des
dispositifs contractuels : contrat local de sécurité, contrat éducatif local, a
permis la mobilisation et la coordination de l’ensemble des partenaires du
territoire. Cet engagement de longue date trouve aujourd’hui un
prolongement par la création d’une mission.
La création d’une mission de soutien à la parentalité a été affirmée
dans le projet de mandat de l’équipe élue en 2008 dans ses engagements
pour 2008/2014, croisant les attentes exprimées par les habitants
membres du conseil cantonal participatif.
Pour la première année d’existence la mission s’est orientée sur 3 axes :
Projet :
• Travailler à l’élaboration d’un diagnostic local des actions entreprises
par les différents partenaires ou parents sur le soutien à la parentalité
• Constituer un groupe de travail parentalité
• Fonction « ressources » : accompagner, soutenir, impulser des actions
de soutien à la parentalité sur le territoire à partir des lieux existants, en
partenariats avec les professionnels et les familles (éducation nationale,
maisons pour tous, associations …)
Des demandes de soutien, d’accompagnement, de formation ont été
formulées par un certain nombre de professionnels et bénévoles
associatifs. Des parents se sont manifestés, orientés par des directions
d’écoles pour une aide à l’organisation.
Les directions d’écoles et collèges, le club de prévention, les services
municipaux, les services de santé, les centres sociaux souhaitent
s’engager dans une réflexion sur la participation des familles les plus
éloignées.
La volonté des élus s’inscrit dans une logique de prise en compte de la
parole des parents, pour qu’ils soient coproducteurs des réponses à
apporter sur le territoire local.
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7
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Un réseau partenarial important : un intérêt partagé par les centres
sociaux, l’EN, des parents, les professionnels de l’éducation, le club de
prévention, des collectifs d’habitants et association d’aide aux devoirs
• Validation politique du projet
• Une enveloppe de 8 000 € dans le cadre du CUCS
La ville, en contact avec plusieurs chercheurs, devrait pouvoir trouver un
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8
5. BREST – LA MAISON POUR TOUS
Titre du
projet
Contact
LA MAISON POUR TOUS DU VALY-HIR :
« les jardins partagés »
• Emilie Kuchel
médiatrice de vie sociale
Maison pour Tous du Valy-Hir – 1, rue des Frères Goncourt – 29 200
Brest
02 98 45 10 95
[email protected] - [email protected]
La Maison pour Tous du Valy-Hir est une structure associative fédérée par
la Ligue de l’Enseignement (FOL 29).
Elle intervient sur 3 territoires : les gens du voyage et 2 quartiers de Brest.
Projet
Depuis 2002 la maison pour tous s’implique dans un projet de soutien à la
parentalité.
Le support de l’action de soutien à la parentalité s’appuie sur le projet des
« jardins partagés ».
Géré par la Maison Pour Tous, ce jardin s’organise en 8 parcelles
individuelles de 70m2, une parcelle collective et un jardin pédagogique qui
rassemble les différentes structures éducatives du secteur.
Chaque association (GPAS, CLSH, patronage) cultive un lopin de terre
que les habitants s’approprient. Cela permet des activités telles que le
jardinage parents-enfants, le développement des relations entre les
habitants, intergénérationnelles et sociales. Ces jardins partagés sont de
véritables espaces publics de rencontres et de convivialité.
Des principes d’intervention communs sont définis collectivement pour
développer l’implication des familles.
Projet au sein du CLSH de former les animateurs à l’accueil des parents.
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Action intégrée dans le PEL
• L’équipe projet : le secteur enfance et jeune de l’association de Vert le
Jardin qui coordonne les jardins partagés de la région + autres
partenaires sollicités
Envisager un chercheur commun aux 3 sites brestois ?
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9
6. BREST - PONTANEZEN
Titre du
projet
Collectif des parents sur le quartier de Pontanezen
• Cécile Chauvet - Directrice
• Peggy Rozynek - Référente du projet
• Gaëlle Pennec (CA du CAP)
Contact
Centre d’Animation de Pontanezen
4, rue Isabey – 29 000 BREST
02 98 42 32 33
[email protected]
Le Collectif de parents existe depuis 30 ans, mais face à l’arrivée des
professionnels, un retrait des parents a été constaté. Se sont alors mises
en place des actions de soutien à la parentalité. Il y a toujours quelques
parents dans le CA.
Projet
L’association se pose des questions sur l’éducation des enfants et la
culture, la place éducative et l’interculturalité.
Elle intervient sur les temps de loisirs de l’enfant et souhaite associer les
parents dans le cadre de l’accueil éducatif. L‘objectif est de coopérer avec
les parents pour les devoirs de leurs enfants afin qu’ils prennent une place
malgré leurs difficultés avec la langue française.
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Projet en construction avec un soutien du CA
• Action intégrée dans le PEL brestois
• Partenariats : médiathèque, prévention, réseau local sur le quartier
concernant les relations avec les familles
• Pas encore en contact avec EN, souhait que le projet soit porté par les
familles
• Equipe projet : l’animatrice enfance et l’animatrice petite enfance
Comment rendre leur place aux parents en tant qu’acteurs de
l'association ?
Comment organiser la recherche ? Le chercheur pourrait être commun aux
3 sites brestois.
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10
7. BREST – LA MAISON DES PARENTS
Titre du
projet
Contact
LA MAISON DES PARENTS
• Stéphanie Guillemet
32, rue de Saint-Malo – 29 200 BREST
02 98 15 35 09
[email protected]
La Maison des Parents est un lieu ouvert à tous les parents ou futurs
parents avec leurs jeunes enfants (0 à 5 ans). Elle est implantée sur le
quartier « le bas de la Recouvrance ».
Elle s’est ouverte en octobre 2009 après un long travail de conception du
lieu de 4 années, impliquant divers partenaires. Une collaboration a été
engagée avec ATD Quart Monde (participation à une co-formation en
janvier 2009).
Reconnue par une volonté politique du Conseil Général, l’Association pour
la Sauvegarde de l’Enfance, de l’Adolescence et des Adultes du Finistère
(ADSEA 29) a accepté de porter le projet soutenu par des institutions : la
Caisse d’allocations familiales du Nord Finistère et la ville de Brest,
partenaires associés et financiers.
Projet :
La Maison des Parents s’inscrit dans le cadre de la loi de mars 2007 sur la
protection de l’enfance, dans le champ de la prévention primaire, avant
toute mesure éducative stigmatisante.
Cette démarche traduit la volonté politique du Conseil Général du Finistère
d’inscrire les actions sociales dans le champ du développement durable
décrites dans son agenda 21 sur la promotion des familles et
l’accompagnement dans leur parentalité.
La Maison des Parents a pour volonté de s’inscrire sur l’ensemble du
territoire Brestois et souhaite accueillir toutes les familles, quelles que
soient leurs origines sociales et culturelles, dans un souci de mixité
sociale. Elle doit s’adapter aux besoins des parents dans l’exercice de leur
parentalité, se donner les moyens d’aller à la rencontre des familles
les plus fragiles et proposer des accompagnements en fonction de leurs
demandes.
Les familles sont de plus en plus isolées et démunies, dans un contexte
socio-économique difficile, où l’on manque parfois de repères face à
l’éducation des enfants. Il s’agit bien de construire une cohésion sociale où
les parents, revalorisés et forts de leurs expériences, peuvent se retrouver
autour de projets qu’ils vont pouvoir co-élaborer en fonction de leurs
attentes et avec des professionnels; en tant que citoyens responsables
et premiers acteurs du devenir de leurs enfants.
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11
Les principes et méthodes selon lesquels sera organisée ou envisagée
l’implication des familles
Ressources
locales
Il s’agit de constituer une écoute des familles au sein de la Maison par ses
accueillants, mais également en dehors des professionnels, par la
présence régulière d’une intervenante du mouvement ATD Quart Monde.
Outre sa participation aux activités individuelles et/ou collectives, elle
animera un Conseil des parents où ceux-ci pourront se réunir et
constituer un collectif.
Des représentants seront invités à venir participer au Conseil
d’orientation, instance décisionnelle de la Maison des Parents au sein de
l’Association pour la Sauvegarde de l’Enfance, l’Adolescence et des
adultes du Finistère, laquelle est composée des partenaires associés et/ou
financeurs de la Maison des Parents:
• Le Conseil Général du Finistère,
• La ville de Brest,
• La Caisse d’allocations familiales du nord Finistère,
• L’association Aide à domicile 29,
• Le collectif à l’origine du projet,
• Les parents,
• Les institutions et/ou associations qui collaborent aux actions de la
Maison (crèches, écoles, centres sociaux…),
• L’universitaire chargé d’effectuer l’évaluation de la Maison des parents.
Il est vraisemblable qu’il soit difficile, les premiers mois d’ouverture, et sur
du long terme, de pouvoir mobiliser des parents qui pourront s’engager
dans un travail de collaboration pour représenter les familles au sein de la
Maison des parents.
Cette participation, au-delà d’un simple acte de présence, doit
permettre aux parents d’avoir le sentiment que leur point de vue est
primordial et qu’ils peuvent être acteurs dans le devenir de leur
Maison.
Un sociologue est déjà recruté pour conduire une rechercheévaluation. Il pourrait être commun aux 3 sites de Brest.
Les
questions qui
se posent
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8. CHARENTE : LES FRANCAS
Titre du
projet
Contact
Projet
Projet d’étude pour identifier des leviers d’action en vue de
faciliter la fréquentation des activités de loisirs éducatifs
par les enfants des familles pauvres
• Patrick LE MERCIER
Directeur des FRANCAS
39 rue des Bézines - 16 000 ANGOULEME
05.45.95.76.44
[email protected]
Le projet d’étude est conçu comme un levier d’action auprès des territoires.
En 2007, le CA de l’association redéfinit son projet associatif. Est alors
dressé un état des lieux. Des freins sont identifiés autour du non accès à la
culture, au sport et aux loisirs.
Depuis de nombreuses années, l’association des FRANCAS se soucie de
la pauvreté des familles, de l’accessibilité de tous les enfants à l’école, aux
loisirs éducatifs de qualité. L’association départementale des Francas de la
Charente a toujours fait partie des groupes de travail au niveau national.
Lors de la définition du dernier projet politique de l’association, il a été
défini un certain nombre d’hypothèses afin de voir si suite à une étude, les
enfants et les parents avaient une meilleure accessibilité notamment aux
loisirs éducatifs.
Engagement d’une étude
Le travail proposé vise à dégager des axes d’action en vue de faciliter la
fréquentation des activités de loisirs éducatifs par les enfants de familles
pauvres.
• un état des lieux : mesurer la pauvreté, identifier l’offre de services,
• connaître les actions menées
• cerner l’intérêt et les limites des loisirs éducatifs
L’étude va se dérouler sur les 2 territoires où le RSA est expérimenté :
Angoulême et le Pays Horte et Tardoire, pour le milieu rural.
• En attente des réponses des villes d’Angoulême et du Pays Horte et
Tardoire. La MSA ne se mobilisera pas sur le projet.
Ressources
locales
• Budget prévisionnel = 45 000 € (budget non bouclé)
Ressources financières mobilisées :
Conseil Général : 10 000 €
CAF : 5 000 €
• L’Education Nationale n’a pas encore été sollicitée
• Un contact a eu lieu avec Didier Taverne (Languedoc-Roussillon) sur
l’aspect recherche
• Appui au projet de la part de la Fédération Nationale
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9. CHATEAUROUX
Titre du
projet
Mieux impliquer les familles dans l’accompagnement à la scolarité
- CAF de l’INDRE -
Contact
• Christelle Siffre, Dominique Rauly
Centre social Saint-Jean et Saint-Jacques – 2, rue Edith Piaf – 36 000
Châteauroux
02 54 60 38 60
[email protected]
Le centre social Saint-Jean et Saint-Jacques est un équipement de proximité
situé dans le quartier Saint-Jean à Châteauroux. Le centre a choisi de mettre
l’accent depuis 2007 sur différents axes prioritaires, dont l’accompagnement à
la parentalité.
Projet
Il s’agit d’une part, de développer des actions auprès des familles, permettant
à celles-ci de devenir plus autonomes et d’être actrices, et d’autre part,
d’animer et développer une dynamique territoriale autour de la parentalité.
Ce travail de réflexion en cours associe les familles et les partenaires.
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Le partenariat : un point fort
• Un point faible : peu de contacts avec l’Education Nationale
• Une difficulté à faire participer les parents
• Projet en lien avec celui de Le Blanc, coordonné par la CAF de l’Indre
• Comment trouver un chercheur ?
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10. COURCON
Collectif parentalité
Titre du
projet
Contact
Projet
• Gwladys Proust
Agent de développement
Espace Mosaïque – centre social du canton de Courçon
27, rue de Benon – 17 170 Courçon
05 46 35 68 62
[email protected]
Courçon se situe entre La Rochelle et Niort. Espace rural de 14 communes,
13 000 habitants, qui connaît une forte croissance démographique : arrivée très
importante de nouvelles familles avec des enfants.
La naissance du « Collectif Parentalité » est à l’origine d’une mobilisation de
parents : 6-8 parents se sont réunis autour de la création d’un lieu ressource qui
proposerait des informations aux familles.
Puis le groupe s’est ouvert à d’autres acteurs : collège, centre de loisirs,
associations, crèche associative…
Aujourd’hui, ces parents - qui ne sont plus que 3 ou 4 - avec les autres
membres du Collectif, sont en réflexion pour inviter de nouveaux parents à se
joindre à l’action.
•
•
•
•
Organisation de rencontres thématiques avec les parents
Implication de l’Education Nationale dans le collectif parentalité
Reconnaissance au sein du PEL (en cours)
Depuis septembre 2009, les référents familles se sont mis d’accord pour se
rencontrer une fois par trimestre avec pour objectif d’échanger sur les
pratiques, sur les expériences et sur la mise en œuvre d’actions
L’équipe projet est composée des membres actuels du Collectif Parentalité :
• 4 parents bénévoles
• 2 professionnelles de la Maison de l’Enfance (multi accueil et halte-garderie
du canton gérée par la collectivité)
• 2 bénévoles de l’association CLES des Champs (ludothèque du canton)
• 2 bénévoles de l’association 1,2,3 Bou d’Chou (projet multi accueil associatif)
• 1 bénévole et 1 professionnel de l’accueil de loisirs de Courçon
• 2 représentants du collège du canton
• 1 professionnel de l’Espace Mosaïque
Ressources
locales
Partenaires :
• 1 élue Vice-présidente de la Communauté de Communes du canton en
charge de la vie sociale enfance/jeunesse et la coordinatrice du Projet
Educatif Local,
• L’agent de développement et la conseillère technique de la CAF 17,
• La chargée de mission Santé-Social du Syndicat Mixte du Pays d’Aunis
(Région Poitou-Charentes),
• Les référents familles des Centres Sociaux des territoires voisins,
coordinateurs et partenaires des actions, des projets famille/parentalité sur
leur territoire.
• La DDASS, dans le cadre du dispositif des REAAP, soutient le projet depuis
le début.
• A ce jour, nous sommes en lien avec de nouveaux acteurs comme
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15
l’association des Restos du Cœur afin de connaître les familles les plus
éloignées des actions et des animations que nous pouvons mener : un début
de coopération avec l’équipe bénévole pour développer les liens et la
proximité auprès des familles les plus en difficulté.
• Les assistantes sociales DTAS (Délégation Territoriale d’Action
Sociale)/Conseil Général 17 sont informées des actions du Collectif. Le
Conseil Général étant actuellement en redéfinition de ses obligations et de
ses missions de terrain, nous sommes en attente pour faire évoluer nos
relations et notre partenariat.
Traces déjà capitalisées, par exemple : des témoignages de parents,
d’institutionnels, des comptes-rendus de PEL.
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Difficultés financières pour participer aux séminaires nationaux.
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11. FLERS - ALENCON
Titre du
projet
Projet d’action-recherche multi-sites
• Annie Zakani
coordinatrice PRE Alençon – CCAS Alençon
Mairie d’Alençon Service politique de la ville, réussite éducative
Place Foch BP 362 61014 Alençon cedex
02 50 90 42 07
[email protected]
Contacts
• Laurent Dauty
Chargé de mission politique de la ville
Communauté d’Agglomération du Pays de Flers
CAPF place du théâtre BP 149 61 103 Flers cedex
02 33 96 60 32
[email protected]
• Médéric Martin
Chargé de mission pôle territoire
CEMEA Basse Normandie
33 rue des Rosiers 14 000 CAEN
02 31 86 14 11
[email protected]
La coordinatrice du PRE d’Alençon et l’équipe « Politique de la Ville » de
Flers, les Ceméa de Basse Normandie, le CAREP de Caen et la
Sauvegarde de l’enfance de l’Orne ont développé une habitude de
travailler ensemble. Ils ont initié ce projet commun aux 2 territoires porté
par la ville d’Alençon et la Communauté d’Agglomération de Flers.
2 chercheurs géographes sont associés au projet.
Le projet s’appuie sur des croisements entre professionnels et familles des
deux villes. Il s’inspire de la « capacitación » de Paulo Freire.
Projet
Ressources
locales
Il s’appuie sur des groupes de travail à Flers, et Alençon : groupes familles
et parentalité réunissant institutionnels et acteurs de terrain.
Des familles sont déjà fortement associées sur certaines actions (projets
construits avec et ou par les familles).
Flers : actions familles, projet d’échanges des langues et des cultures,
actions de mobilisation des parents dans les écoles de ZEP, animation de
proximité sur le quartier St Michel.
Alençon : Accueil et promotion des étrangers, expérience théâtre forum
avec les habitants (ADSEAO), accueil et promotion des étrangers, atelier
vie sociale, travail dans le cadre du PRE.
Noyau d’animation :
Annie ZAKANI (PRE Alençon), Laurent DAUTY équipe politique ville Flers)
et Médéric Martin (Ceméa) Isabelle Bordet (CAREP Caen), François
Verger (ADSEAO, Sauvegarde de l’enfance de l’Orne), Rémi JOUAULT
(géographe, université de Caen), Gérard Charbonneau (cabinet Maire
Alençon)
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peuvent
réussir
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des
sites
17
Des partenaires mobilisant leurs ressources dans l’équipe projet et sur les
séminaires locaux : Laboratoire Université Caen ESO, CAREP, CAF Orne,
Sauvegarde de l’Orne, Ceméa Basse Normandie.
Partenariats en cours de construction ou à construire. Ex : avec ATD Quart
Monde de Caen.
Partenariat avec EN à conforter : s'assurer du lien sur la durée, de la
participation de quelqu’un du RAR ou du RRS.
Difficulté pour mobiliser les écoles élémentaires.
Stratégie : aller vers IA pour s'assurer de son soutien, voir s'insérer dans le
Plan Académique de Formation.
Partenariat avec le service social (tout aussi important) à construire sur ce
projet.
Des budgets dédiés : fiches actions déposées dans le cadre du CUCS.
Budget global de 16 000 € avec en dépenses :
• une part des déplacements : 1500 €
• valorisation de l’intervention du laboratoire de l’université : 8 000 €
• les mises à disposition au sein de l’équipe projet ne sont pas
chiffrées
Soutien de la CAF de l’Orne.
Le dispositif de recherche local sera assumé par l’équipe projet, l’apport
du CAREP, des Ceméa et du laboratoire de l’université sera déterminant.
Plusieurs pistes de recherche ont été évoquées (ex. les questions de
répétitions, de reproductions sociales).
Ce dispositif est à construire d’ici la fin de l’année.
Le dispositif local de formation des acteurs est assumé par l’équipe
projet CAREP et Ceméa notamment les expériences d’ingénierie de
formation.
Continuer à structurer le projet : formaliser des partenariats (EN, Services
sociaux), développer l’axe action-recherche.
Points forts : une équipe projet étoffée, l’implication des élus. Des élus
prêts à participer aux séminaires nationaux. 2 territoires qui allient leurs
forces et leurs faiblesses…
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Point faible : l’implication des familles, à creuser avec ATD.
Objectifs de l’action-recherche :
•
•
•
•
•
•
Mieux connaître la réalité des familles du territoire
Faire changer les représentations parents/professionnels
Sortir de l'impuissance
Accompagner la transformation des pratiques
Mettre en place une véritable implication des familles
Influer sur les politiques éducatives locales.
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12. GRENOBLE
Titre du
projet
Contact
Etude-action sur les discriminations liées à l’école
• Myriam Kendsi
Directrice du centre social Arlequin
87 galerie de l'Arlequin- 38100 Grenoble
Tél : 04 76 22 42 20 - [email protected]
• Nathalie Haury
Educatrice jeunes enfants - [email protected]
Suite à un travail de réflexion mené dans le cadre du groupe "Appui à la
parentalité" à l'échelle du secteur 6 (20 000 habitants Villeneuve VO), les
professionnels ont constaté un décalage entre les propositions des parents et
les réponses apportées. Ainsi s’est développé le désir d'entamer un travail sur
les représentations que les professionnels ont des parents.
Un travail de recherche avec les parents et les professionnels se met en
place avec Joëlle Bordet (CSTB) sur les discriminations liées à l'école.
Projet
Contenu de l'action
• Verbaliser les situations qui ont été discriminantes pour les parents dans
leurs relations avec leurs enfants à l'école. Verbaliser les situations où les
parents ont été eux même discriminants
• Restaurer la dignité et l'autorité des parents
• Travailler avec une approche interculturelle tout en étant très clair sur les
règles pour lesquelles il n'y aura pas de dérogation (légalité hommes
femmes, le respect de l'enfant, le refus de la violence)
• Faire des propositions d'actions pour restaurer cette dignité et autorité
parentale
Méthodologie
1. Constitution d'un groupe parents professionnels
2. Mise en place d'un planning avec Mme Bordet
3. Déroulement sur 8 séances de travail entre Parents et professionnels avec
Mme Bordet dont une séance publique pour partager les propositions
d'action du groupe
4. Réalisation d'un écrit par Mme Bordet et présentation aux institutions
L’étude se déroulera sur La Villeneuve
Constitution d'un groupe paritaire entre parents et professionnels avec des
rencontres régulières et des points d'étape ouvert à d'autres
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Projet intégré dans celui de la MRIE (Mission Régionale d’information sur
l’Exclusion)
Le chercheur est financé par le CUCS
Difficultés de partenariat avec l’école (en phase de repli).
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13. GRIGNY
Implication des parents dans l’école
Titre du
projet
Contact
• Martine Vincent
Association DECIDER
01 69 45 16 38
06 77 18 37 13
[email protected]
Le projet se déroule sur le quartier de la Grande Borne à Grigny, ville la plus
pauvre de l’Essonne
En 1994, un groupe d’habitants fortement endettés décide de se mobiliser,
avec le soutien de l’amicale des locataires (CNL) pour sortir de la spirale de
l’endettement et garder la possibilité de garder leur logement : un collectif
d’impayés de loyers se met en place. Cette dynamique d’habitants « réhabilite
les habitants, les aide à sortir de la honte » et se poursuit avec d‘autres
activités. Repérée par le GPV, elle finit par se traduire dans la création d’une
association
en 1998 : « Décider ».
L’association a pour objectif de soutenir les dynamiques d’habitants et a mis en
place, notamment, un soutien bénévole et solidaire pour l’apprentissage du
français.
Projet
LE PROJET « Un prêt de jeux dans les familles ».
Des relations se sont tissées avec une directrice d’école maternelle, pour
travailler sur le vocabulaire des enfants, à partir du constat que, lorsqu’ils
entrent en maternelle, ils n’ont pas les pré-requis pour réussir, notamment en
matière de vocabulaire.
L’approche est de fabriquer des jeux avec les parents, d’inviter les parents à
jouer à ces jeux à l’école, puis de les ramener chez eux.
Aujourd’hui, 3 écoles maternelles de la cité sont concernées, cela donne
l’occasion de rencontres régulières entre enseignants et membres de
l’association. Le dispositif Réussite Educative apporte son soutien.
Sans compter le nombre de parents qui ont demandé à « faire » du français,
depuis 1 an, cette action s’est développée autour de l’intervention de parents,
pour prendre la parole, présenter et nommer des objets du quotidien, dans les
classes.
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Rencontre avec l’Inspection Académique prévue, projet reconnu dans le cadre
de la Réussite Educative.
•
On constate une fatigue des enseignants face aux difficultés des enfants
et des familles, avec une tendance au repli plus importante que par le
passé. Poursuivre le partenariat avec les enseignants concernés.
•
Problèmes financiers pour participer aux séminaires.
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sites
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14. GUERET
Titre du
projet
Contacts
Construction d’une plateforme partenariale d’échanges des savoirs
Mairie de Guéret
• Danielle VINZANT (maire-adjoint chargée de la jeunesse)
[email protected]
• Stéphane FABRE (Directeur Sports Jeunesse Culture ville)
Tél : 05 55 52 99 90 - [email protected]
Le projet s’inscrit dans la poursuite d’un travail partenarial construit autour de
l’opération « Coup de Pouce Clé » menée depuis 5 ans à Guéret.
Il existe également une action parentalité en direction des parents non
francophones : une population primo-arrivante en provenance de Mayotte
principalement, mais aussi de Turquie, de Tchétchénie, du Maroc…
Ce projet est né du constat que le déclic en lecture pour certains enfants non
francophones était en étroite relation avec les progrès des familles dans leur
connaissance du français.
Projet
Objectifs généraux du projet :
• Renforcer ou favoriser la place des familles dans la démarche éducative, en
particulier celles dont les enfants sont en situation difficile ou d’échec et
celles qui sont le plus éloignées de la culture scolaire et de l’offre éducative,
par des actions innovantes de 2010 à 2015
• Bénéficier de l’appui des partenaires de la plateforme nationale « en
associant leurs parents, tous les enfants peuvent réussir » et intégrer des
réseaux porteurs.
Moyens mis en place :
• Constitution d’une plateforme de partenaires, lieu d’échanges et de
croisement des savoirs entre les associations qui conduira à mettre en place
des informations, voire des formations en lien avec la Mission Régionale de
Lutte contre l’illettrisme et le Portail Limousin Formation.
• A moyen terme, création d’un réseau d’échanges réciproques de savoirs à
destination des parents.
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Fort portage politique
• Fortes interactions entre les différents dispositifs
• La recherche action est complètement intégrée au projet municipal, elle va
regrouper les différents contrats et dispositifs : PEL, CLSPD, Contrat Enfance
Jeunesse, Accompagnement à la scolarité…
• Comment trouver un chercheur qui puisse suivre au niveau local le projet ?
• Question sur le financement pour participer aux séminaires.
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15. LE BLANC
Titre du
projet
Contact
« Regards croisés parents-école »
CAF de L’Indre
• Marie-Claude Pruvost
Agent de développement
1, rue Jean Giraudoux – 36 300 Le Blanc
02 54 28 33 40 – [email protected]
Centre Social municipal situé en milieu rural (7 000 habitants). Le centre social a
été repéré pendant 30 ans comme un service social.
Est proposé une activité de soutien scolaire (15 enfants suivis). A été mis en
place un accueil des parents sur ce temps en 2008 suite à une semaine des
parents (travail avec le RASED). Le constat réalisé alors est que des
enseignants ne voient jamais les parents, les parents ont une crainte des
enseignants. Comment améliorer les relations ?
Objectifs du projet :
• Mieux cerner la question de la relation parents enseignants pour lui
permettre d’évoluer
• Permettre à chacun des participants de travailler sur leurs représentations
réciproques
Projet
Actions mises en place :
• Entretiens individuels pour permettre à chacun d’exprimer son vécu et son
ressenti par rapport à la relation parents enseignants et leurs attentes.
• Trois rencontres ont été organisées où chacun a pu exprimer et entendre les
réactions des autres parties.
o Une avec les parents
o Une avec les enseignants
o Une avec les parents et les enseignants
Ce projet a été conduit en collaboration avec l’équipe du Réseau d’Aide
Spécialisé aux Elèves en Difficulté (RASED) et avec une professionnelle de
l’Association Collectif Enfants Parents Professionnel (ACEPP).
Pistes de travail :
• Améliorer les conditions de la réunion de rentrée des classes : mise en place
d’une garderie pour permettre aux parents d’y assister
• Améliorer l’animation de la réunion par des moyens sonores adaptés
• Améliorer la fiche d’informations pratiques que le directeur envoie aux
familles en début d’année
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Amorce de partenariat avec l’école
• Bonne volonté de l’ensemble des acteurs impliqués mais mobilisation des
familles encore faible
Projet en lien avec celui de Châteauroux, cordonné par la CAF de l’Indre
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16. LORIENT
Titre du projet
Contact
Projet
Institutionnaliser un réseau de partenaires
basé sur des convictions communes
• Chantal Cuette
Directrice de la Maison Pour Tous de Kervénanec
Bertrand Bovani, coordonateur secteur Enfance
2, rue Maurice Thorez – 56 100 Lorient
02 97 37 29 86 – [email protected]
La Maison Pour Tous est implantée sur un quartier très stigmatisé, avec une
population en grande difficulté. Le quartier est en rénovation urbaine.
Au sein du centre social un travail très volontariste se développe avec les
parents.
À l’origine, un "Secteur Enfance" très structuré autour de l'action
Accompagnement Scolaire, ainsi qu’une Coordination Petite Enfance regroupant
des services de la Ville, la PMI, et des associations.
Bénéficie de tous les dispositifs PEL, PRE, CUCS, Accompagnement à la
Scolarité, avec un bon partenariat avec les écoles du quartier, et des contacts
institutionnels avec l'Education Nationale.
Volonté de s’engager, d’officialiser leur implication auprès des familles au sein
d’un réseau qui pour l’instant est un réseau informel dont toute une part est
surtout basée sur l’engagement personnel des acteurs.
Groupes de paroles de parents d’élèves organisés avec une association de
psychologues qui travaillent sur la parentalité (SESAM). Questionnement et
besoin d’accompagnement sur ces groupes de parole.
Organisation régulière de soirées thématiques.
L’équipe a la volonté, à travers le projet national, de dynamiser la construction
partenariale du projet local, de s’appuyer collectivement sur une orientation à
long terme, de formaliser les liens. Il s’agit d’officialiser et de faire reconnaitre
par les décideurs un axe de travail qui est déjà en chantier depuis plusieurs
années, mais qui est tributaire de la bonne volonté des personnes et des
acteurs de terrain. Elle attend de pouvoir bénéficier des échanges entre les
différents porteurs de projets participants à l’opération, et des synthèses de la
recherche-formation et de promouvoir ainsi la visibilité et l’importance de l’axe «
mobilisation et place des parents » à tout niveau dans les réflexions « réussite
scolaire des enfants » et travail éducatif au sens large.
Ressources
locales
• L’équipe au démarrage du projet est composée de : 2 directrices d’écoles,
la directrice et le coordonateur "Enfance" Maison pour tous, la coordonatrice
PEL / APS du service Jeunesse de la Ville de Lorient, l’intervenante de
l’association SESAM
• Partenariat en cours de constitution : les écoles, les associations proches
de l’action « familles / écoles », l’équipe de prévention, la Ville de
Lorient (services Enfance, Enseignement, Jeunesse …), la médiathèque
municipale du quartier
• Demande de subventions en cours (cadre CRE)
Les questions
qui se posent
aujourd’hui
• Une nécessité d’officialiser les convictions partagées par les acteurs
impliqués dans l’association. Comment assurer la continuité du réseau de
partenaires et de l’action ?
• A quel niveau associe-t-on les parents ? A quel moment ? Selon quelle
progression ?
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17. NANTES
Titre du
projet
Contacts
Une démarche d’éducation partagée en construction
• SIMON Anaik
Chargée de mission familles et parentalité
ville de Nantes
[email protected]
02 40 41 66 90 – 06 30 49 61 16
• MONTILLY Patrice
Responsable du secteur vie éducative est – direction de l’éducation
Ville de Nantes
[email protected]
La Ville de Nantes propose comme terrain d’expérimentation le quartier BottièrePin Sec, relevant de la géographie prioritaire.
Le micro quartier Bottière-Pin-Sec présente toutes les caractéristiques des
quartiers en « politique de la Ville », notamment en matière de précarité et de
difficultés scolaires.
On compte 779 ménages vivant sous le seuil « bas revenu » de la Caisse des
Allocations Familiales, et 548 bénéficiant des minima sociaux.
Le taux de chômage est de 33,09% contre 17,79% à l’échelle de la Ville :
notamment celui des jeunes 15/24 ans (43,2% contre 28,2% pour Nantes) et
des femmes (36%).
Le taux de scolarisation des 19/24 ans est de 44,2% contre 74% sur la Ville, et
44,3% des jeunes suivis par la mission locale ont un niveau Vbis et VI.
Projet
Pour l’année scolaire 2008-2009, 50% des familles relèvent du quotient familial
le plus bas pour les tarifications des accueils périscolaires soit 2 fois plus que la
part moyenne des familles sur l’ensemble de la ville et 3 fois la part des familles
du grand quartier.
Le public ciblé est celui des parents, des enfants et des jeunes repérés comme
étant en difficulté, et notamment les parents «en situation de pauvreté» qui sont
les plus éloignés des dispositifs d’accompagnement.
L’idée de ce projet est venue du PRE sur un quartier vivant un isolement
suite à une politique de rénovation urbaine.
La coordinatrice du REAAP part à la retraite, et le lien avec l’Education
Nationale risque de se perdre.
Beaucoup de questions se posent sur ce quartier, la ville se sent très démunie.
Le service de la Réussite Educative, en coordination avec le secteur de vie
éducative Est, l’équipe de quartier et la mission familles, a souhaité approfondir
la réflexion aujourd’hui en répondant à cet appel à projet.
L’appel à projet est porté par la Ville de Nantes, en lien avec ses partenaires. Il
existe un groupe de travail composé à l’heure actuelle de l’équipe de quartier
Doulon-Bottière, de la mission familles, de la direction de l’Education et de
l’Education Nationale.
Ressources
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24
locales
Le groupe de travail souhaite intégrer à la démarche :
• les habitants relais, les fédérations de parents, les parents d’élèves élus, les
membres des conseils d’équipement.
• des partenaires institutionnels : le Conseil général, la CAF, les bailleurs
sociaux, Nantes Action périscolaire, l’APSFD (prévention spécialisée)
• des partenaires associatifs : les mouvements d’éducation populaire, les
associations du quartier (sportives, culturelles, d’accompagnement à la
scolarité, de loisirs et les associations de locataires.)
Ce groupe de travail pilotera le projet, son suivi et son évaluation.
Il engage les recherches de financement et poursuit le travail de diagnostic afin
d’en affiner les conclusions et perspectives.
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
Possibilité de trouver un doctorant sur Nantes
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18. PIERRE BENITE
Titre du
projet
Action recherche sur les questions éducatives
à l’échelle de la commune
• Gregory Charlet
Directeur de l’Association de la Maison des Roches
Centre Social Maison des Roches – Avenue de Haute Roche – BP 76 –
69493 PIERRE BENITE Cedex
04 78 86 91 89
[email protected]
Contact
Administrativement, le projet est porté par le centre social ; dans la pratique, il
s’agit d’un partenariat étroit entre la Ville de Pierre Bénite (via la direction de
l’action éducative), le centre social et le CUCS.
• Franck Tornicelli, chef de projet CUCS
CUCS, 28 avenue de Haute roche, 69 130 Pierre Bénite
04 78 50 68 04
[email protected]
Sur la commue de Pierre Bénite, un projet de développement social global s’est
développé depuis les années 90, non pas pour les populations confrontées aux
difficultés, mais avec elles : l’intergénérationnalité (pères, mères, jeunes,
enfants) et la transversalité thématique (scolaire, culturelle, économique, ...)
garantit aujourd’hui un appui pour réaliser ce projet territorial. En effet, le projet
de développement social qui a favorisé la promotion des populations en
précarité, peut maintenant se croiser avec le projet de développement territorial
sur la commune, se mutualiser, se négocier…
Ces populations ont priorisé les questions d’éducation et notamment celles liées
à l’école comme une priorité absolue pour l’avenir de leurs enfants.
Projet
Un groupe de mères de famille, directement et personnellement confrontées
aux difficultés scolaires de leurs enfants, travaille depuis des années ces
questions (valeurs à transmettre, rôle du père, rôle de la mère, faut-il dire non à
son enfant, comment favoriser la réussite scolaire, comment éviter l’échec…) ce
travail se réalisant avec l’agent de développement social, sans grande
reconnaissance institutionnelle. Ce groupe qui comprend entre 5 et 7 femmes a
été sollicité par une association pour animer un atelier sur la question de la
démission des parents, le groupe a donc produit une réflexion construite sur
cette question « Parents démissionnaires ? Parents démissionnés ? »
L’UPP et le croisement avec les professionnels
Suite à ce travail, le groupe s’est engagé fortement dans le projet UPP porté par
l’ACEPP et a réalisé une recherche sur le décrochage scolaire avec une
problématique « Enfants décrocheurs ? Enfants décrochés ? » ou le décrochage
scolaire des enfants des milieux populaires avec comme hypothèses que ces
enfants sont décrochés par un système scolaire inadapté aux enfants de milieux
populaires et ils sont décrochés parce que leurs parents sont démissionnés par
la société.
Pour réaliser sa recherche, le groupe a choisi son outil de recherche en réalisant
un croisement avec des professionnels de l’Education Nationale –
professionnels hors territoire par choix délibéré - grâce à un partenariat de
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sites
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longue date avec la MRIE.
Par ailleurs, le groupe a choisi son universitaire Daniel Thin, en fonction de sa
posture en tant qu’universitaire, et en fonction de ses travaux sur l’école et les
familles populaires.
Le groupe a présenté sa recherche à Science Po à Paris en 2008, devant 500
personnes professionnelles et institutionnelles : il a déroulé ses résultats avec
notamment les 7 nœuds de l’école avec un nœud gordien celui de l’humiliation
des familles et quartiers populaires comme cause de décrochage scolaire, le
désamour, ou l’apprentissage sans la relation, la psychomania ou le recours au
psy pour traiter des problèmes de société…
L’enquête sur le territoire
La compétence acquise avec ce travail a légitimé ce groupe pour aborder les
questions éducatives sur le territoire de la commune.
Un projet de croisement parents professionnels – cette fois les professionnels
du territoire - sur ces questions s’est engagé sur la commune entre juin 2008
juin 2009, avec pour objectif de mobiliser d’autres parents sur ces questions,
d’impliquer les professionnels de l’école, mais également des structures
éducatives pour éviter un face à face et de les mobiliser sur les mêmes
questions. A plus long terme l’objectif est de faire bouger les représentations et
les pratiques et d’initier un travail côte à côte parents / professionnels.
Quatre enquêtrices issues du groupe de mères de famille ont donc été
missionnées et rémunérées pour réaliser une enquête auprès des parents de la
commune et notamment ceux confrontés aux difficultés scolaires et éducatives.
Elles ont été accompagnées par l’agent de développement social qui travaille
avec le groupe depuis le début et par l’association Cap’Agir ensemble (Vincent
Plazy).
La MRIE a accompagné les 2 groupes de professionnels (socioéducatifs et
éducation nationale) et a apporté les garanties nécessaires à ce type de
démarche.
Le 27 juin 09, les 3 groupes se sont restitués leur réflexion, et ont expérimenté
le travail ensemble lors d’un atelier, à partir de difficultés rencontrées à la
maison, à l’école et dans le quartier.
Ce temps fort de restitution et d’échange entre les 3 groupes a été marqué par
sa convivialité et la richesse de la réflexion collective, par l’équilibre numérique
entre les groupes, les parents étant présents un samedi matin pour travailler
avec les professionnels, présents également hors temps de travail.
Toutefois, l’implication des parents est encore bien insuffisante par rapport au
quartier et à ses difficultés, l’implication des écoles et du collège reste
également très insuffisante par rapport aux enjeux et aux potentiels de la
démarche avec notamment des engagements plus personnels qu’institutionnels,
l’implication politique reste de l’ordre du soutien et de la validation mais pas de
la co-réflexion et de la démocratie participative.
Il s’agit maintenant de construire les suites du 27 juin :
• en pérennisant la démarche, en gagnant du public sur les 3 types d’acteurs :
parents en situation de grande précarité, professionnels notamment ceux de
l’école, et élus, d’engager plus activement les pères de famille, notamment
ceux qui vivent les précarités et qui sont nécessaires à la démarche,
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• et en engageant ensemble des actions et des pratiques innovantes.
Le petit groupe de mères de famille, groupe d’enquêtrices, est missionné
comme groupe relais. Son rôle est, entre autre, de mobiliser d’autres parents
dans la démarche.
Méthode groupe ou sous-groupes de pairs



groupes de parents
groupes de professionnels
groupe mixé
Dans un second temps une fois une pensée collective construite en groupes de
pairs, restituer cette pensée aux autres groupes et aux élus pour l’échanger, la
mettre en débat sans compromis mais avec des « changements réciproques
nécessaires ».
L’objectif du groupe mixé est d’élaborer conjointement des propositions
d’actions à mettre en œuvre sur Pierre Bénite afin que chaque enfant puisse
réussir.
Ressources
locales
• Engagement de l’EN dans plusieurs ateliers depuis 1 an
• Participation de l’EN au groupe de pilotage en cours de formalisation
• Equipe projet : Directeur et CESF du centre social, agent de développement
et cohésion sociale et agent de développement Promotion des habitants,
responsable de la Direction de l’Action Educative, intervenants MRIE et
Cap’Agir ensemble.
• Budget prévisionnel pour 2010 : 28 774 € (ACSE : 12 900 € - CG : 7 900 € ville : 7 974 €)
Les
questions qui
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aujourd’hui
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19. POITIERS
Titre du
projet
Implication des parents sur l’accueil péri scolaire du centre
socio-culturel des trois cités
• Nathalie Komorniczak
Coordinatrice secteur enfance de l’Association des Centres
Socio-culturels des 3 cités
1, place Léon Jouaux – 86 000 Poitiers
05 49 01 70 17
[email protected]
Contacts
• Bénédicte Sourie administratrice référente du centre socio-culturel
Béné[email protected]
• Pierre Jolly
Ville de Poitiers
1, place du Maréchal Leclerc – 86 000 Poitiers
05 49 52 36 03 – [email protected]
Le projet est co-porté par la Ville de Poitiers et l'association des Centres
Socio-Culturels des 3 Cités.
Le projet est né d’une réflexion des centres socio culturels des Trois Cités, lors
de la mise en place de l’aide personnalisée et de l’accompagnement éducatif,
sur la place des parents dans les différents dispositifs.
Le projet s’appuie également sur la volonté de la ville d’ouvrir les réflexions
menées dans le cadre du PEL sur l’implication des parents.
La ville s’appuie sur les centres/maison de quartier gérés majoritairement pas
les centres sociaux, mais aussi par les MJC et la FOL.
Projet
La dynamique relancée dans le cadre du PEL conduit à distinguer
enseignement et éducation. Par ailleurs, elle s’interroge sur la manière
d’associer les parents à ce volet, notamment les parents étrangers (Guinéens)
et les parents les plus pauvres. Après avoir fait le constat que la participation
des parents dans l’ensemble des dispositifs est le plus souvent théorique, la
discussion sur cette implication s’est ouverte avec les partenaires.
C’est le Centre Socio-Culturel des 3 Cités qui présente le projet.
Il consiste à associer les parents dans les activités périscolaires du Centre
Social.
L’école, la CAF et d’autres associations sont associées au projet et
développent un langage commun.
Un premier groupe de 12 parents est mobilisé.
L’objectif est une action d’appui et d’accompagnement à la scolarité des
enfants par leurs parents.
«
En
associant
leurs
parents,
tous
les
enfants
peuvent
réussir
»
Fiches
des
sites
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La mise en place d’une méthode de prise de contact avec les parents se
traduit de la manière suivante :
• repérage d'un certain nombre de familles par les animateurs de manière à
assurer une diversité potentielle
• premiers contacts et propositions de rendez vous individuels
• rendez-vous individuels avec les parents au cours duquel on leur propose
la participation à ce projet.
Tous les modes d'implication des parents sont possibles : accompagnement
des enfants, autour des temps informels (goûters), aide aux devoirs,
encadrement ou accompagnement d'ateliers.
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
•
2 salariés ont été recrutés pour la mise en œuvre de cette démarche (à
temps partiel).
•
Le CA de l’association s'est positionné favorablement à la conduite de
l’expérimentation.
•
L'inspecteur départemental a donné son accord sur le projet le 30 juin
2009. Depuis lors, ce partenariat a du mal à se formaliser en raison des
nombreux changements intervenus au sein de l'Education Nationale.
•
L’équipe-projet est composée de la coordinatrice de secteur, des trois
animateurs permanents, de deux animateurs recrutés spécifiquement.
Sont également impliqués les animateurs vacataires et les bénévoles de ce
temps afin qu'ils soient attentifs à l'accueil des familles.
•
Une référente du projet
d'Administration.
•
Formation des vacataires et des animateurs permanents autour de la
relation avec les parents (assurée par les FRANCAS) depuis 2 ans.
•
Soutien de la Ville de Poitiers et devraient également se positionner la
CAF, l'AFEV, les FRANCAS, l'Ecole des Parents et Educateurs
•
Des ateliers parents, de cours d'alphabétisation ou de Français, de groupes
de paroles organisés soit par des partenaires, soit par le CSC, pouvant être
des outils complémentaires de ce projet.
Les partenaires dans ce domaine sont : l'ALSIV et le Toit du Monde
•
Il reste à constituer plus formellement un comité de pilotage composé des
principaux partenaires.
•
Idée de s’appuyer sur un réseau de villes en Poitou-Charentes (Poitiers,
Angoulême…) pour promouvoir la démarche, notamment auprès de l’EN.
Organisation d’une rencontre régionale ?
•
Comment accompagner les parents au-delà de leur implication sur les temps
périscolaires ? Dans l’idée que les parents deviennent co-acteurs du projet
….
a été nommée au niveau du Conseil
«
En
associant
leurs
parents,
tous
les
enfants
peuvent
réussir
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Fiches
des
sites
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20. RENNES
Titre du
projet
Contacts
« En associant leurs parents à l’école,
tous les enfants peuvent réussir ! «
• Bruno MASUREL
Volontaire permanent d’ATD Quart Monde,
responsable du projet
Mouvement ATD Quart Monde délégation régionale pour le grand-ouest –
21, passage des Carmélites – 35 000 Rennes
02 99 38 75 73 »
[email protected]
• Benoît HOOGE
ATD Quart Monde bénévole
02 99 36 10 33
[email protected]
Ce projet a commencé au début de l’année 2007 et il a inspiré le projet
national « En associant leurs parents, tous les enfants peuvent réussir ».
La similitude entre les noms des deux projets n’est en effet pas fortuite, puisque
c’est le nom du projet de Maurepas qui a inspiré le choix pour le présent projet
entre les 23 sites.
Il vient dans la suite de l’action, de la pensée, et de l’expérience du Mouvement
ATD Quart Monde, pour lequel deux voies sont essentielles pour agir contre la
grande pauvreté et l’exclusion :
Le droit au savoir et à la culture sont fondamentaux, pour rendre les gens
autonomes : « Apprendre à pêcher plutôt que donner du poisson »
Considérer les pauvres eux-mêmes comme les premiers acteurs de la lutte
contre les exclusions, en s’efforçant de « faire avec » plutôt que « faire pour ».
Projet
A Rennes, et en Bretagne, le projet s’est appuyé sur le travail du groupe
"Familles-école-grande pauvreté", qui depuis 10 ans travaille sur la formation
des enseignants et des parents, pour développer des relations de confiance,
travailler à l’élaboration d’un projet éducatif commun, en s’interrogeant sur les
représentations réciproques, des enseignants sur les familles éloignées de
l’école, et de ces familles sur l’école.
Son travail a été symbolisé par l’expression « Dénouer les nœuds
d’incompréhension ».
Le projet est issu du travail d’un groupe mixte, à la fois institutionnel et militant,
qui a produit un outil de formation et intervient régulièrement dans des
formations sur la place des parents, et notamment les parents les plus
défavorisés, dans les projets éducatifs. Cet outil, un DVD, s’appelle : « Famillesécole-grande pauvreté : dénouer les nœuds d’incompréhension ». Il pourra être
prêté dans les sites pour présenter la problématique de la place des parents
éloignés des structures éducatives, et les causes d’incompréhension, et
mobiliser des acteurs.
«
En
associant
leurs
parents,
tous
les
enfants
peuvent
réussir
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Fiches
des
sites
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Le projet consiste à faire travailler de manière collective :
• Les parents entre eux (rencontres enregistrées et transcrites),
• Les enseignants (volontaires) entre eux
• Puis à provoquer un dialogue sur les enjeux de l’éducation, à partir des
apports des deux groupes.
Il a commencé avec les deux écoles publiques du quartier, en s’appuyant sur les
espaces-parents qui existent (dans les écoles, mais pas au collège), mais sont
peu investis. Il a commencé à proposer un travail au niveau d’un collège du
quartier, où vont un grand nombre d’enfants de Maurepas et où existe une
SEGPA.
Les rencontres mélangent des parents et/ou enseignants des deux écoles. Les
rencontres pour le collège sont séparées des rencontres écoles
Les rencontres de parents ou d’enseignants sont co-animées par un membre
d’ATD Quart Monde et un membre d’une autre institution par exemple le
coordinateur RRS du secteur, pour un groupe enseignants, et l’animateur du
dispositif de réussite éducative du quartier, pour un groupe de parents.
Une convention a été élaborée, durant la première année du projet, pour
mobiliser les acteurs institutionnels concernés, et les associer au groupe de
pilotage du projet :
1. L’inspecteur d’académie,
2. Le directeur de l’IUFM, puis le président de l’Université de haute bretagne
3. Le Directeur du CREAD, centre de recherche dépendant de l’Université
Rennes 2,
4. Le Maire-adjoint de rennes, en charge de l’éducation,
5. Le président de la FCPE d’Ille et Vilaine,
6. Un représentant d’ATD Quart Monde
Il s’appuie sur les différentes ressources du quartier, parents, enseignants,
autres professionnels de l’éducation (réussite éducative, structures de loisir et
d’accompagnement, parents de tous milieux, pour agir ensemble pour inviter à
participer les parents plus isolés, qui ont des réticences à s’investir à l’école.Engagement politique formalisé
De très nombreux contacts ont eu lieu, au début, pour mobiliser tous les acteurs
éducatifs du quartier
Ressources
locales
Plusieurs personnes sont mobilisées pour tenter de faire venir des parents qui
ont du mal ou n’osent pas s’impliquer. C’est un travail de longue haleine, qui
demande une volonté collective de tous les acteurs du projet, à commencer par
les parents qui participent déjà. Un membre d’ATD Quart Monde y a beaucoup
travaillé, pour être proche des plus isolés.
Un groupe de pilotage, qui comprend 2 parents, des enseignants, les
représentations des signataires de la convention et les 5 personnes qui animent
les groupes de travail.
Apport du sociologue Pierre Périer, sur les relations entre les familles
populaires et l’école, et explication du différend qui les oppose. Un livre édité
aux presses universitaires de rennes explique son approche : "Ecole et familles
populaires : sociologie d’un différend".
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En
associant
leurs
parents,
tous
les
enfants
peuvent
réussir
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Fiches
des
sites
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Un travail d’interviews de parents, d’enfants et d’enseignants est en cours, à
partir d’une cohorte d’enfants de CM2, interviewés au moment du CM2, puis lors
de leur passage au collège, pour comprendre les différentes représentations du
rôle respectif des familles et de l’école dans l’éducation, les apprentissages.
•
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
•
•
•
•
Avancer un travail d’expression des enfants, et son intégration dans les
échanges parents-enseignants.
Trouver les manières de mobiliser les parents de collégiens en difficulté,
Capitaliser, tirer les enseignements du travail mené pour mobiliser des
parents isolés, qui ne seraient pas impliqués sans ce projet
Partager l’expérience menée avec les partenaires des autres sites du
projet « En associant leurs parents, tous les enfants peuvent réussir ».
Préparer des relais, car le projet lui-même arrive à sa fin en 2011, et qu’il
s’agit donc de voir comment les liens familles-écoles vont pouvoir se
prolonger,
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En
associant
leurs
parents,
tous
les
enfants
peuvent
réussir
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sites
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21. RHONE-ALPES - MRIE
Titre du
projet
Contact
Animation d’une réflexion régionale en lien
avec l’expérimentation nationale
Laurence Potié
Chargée de mission à la Mission Régionale d’Information sur l’Exclusion
(MRIE)
14 rue Passet - 69007 Lyon
04 37 65 01 93
[email protected]
www.MRIE.org
La Mission Régionale d’Information sur l’Exclusion a été créée en 1992 par
différents partenaires dont ATD Quart-Monde.
Le Conseil Régional a lancé début 2009 un plan régional de lutte contre le
décrochage scolaire. L’un des axes de ce plan est la mise en place d’une
mission d’observation dont est membre la MRIE aux côté de l’EN, les
missions locales, les fédérations de parents d’élèves.
Projet
Le projet de la MRIE est d’animer une réflexion en Rhône-Alpes en lien
avec l’expérimentation nationale, incluant les 3 sites de Rhône-Alpes
(Bellegarde, Pierre Bénite, Grenoble) et d’autres acteurs rhônalpins travaillant
sur le champ de l’éducation et motivé par le thème de l’action-recherche.
Ce projet est entériné par le CA.
L’objectif est de participer à l’essaimage de la dynamique "en associant leurs
parents …" en Rhône-Alpes, de produire un document de "repères pour l’action"
diffusable largement.
Le groupe de travail est en cours de constitution. Sont en lien avec des
établissements intéressés (écoles maternelles et primaires, lycées
professionnels, pour l’instant) ainsi que la mission générale insertion de
l’académie de Grenoble.
Le groupe de travail envisagé pour l’instant est un groupe de professionnels. Il y
aura très certainement des rencontres avec des groupes de parents (notamment
ceux des sites), mais ce n’est pas encore formalisé.
Est prévue une première rencontre début mai (entre le regroupement de mars et
celui de Juin).
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Partenariat Education Nationale, Conseil Régional, différents centres
ressources, acteurs de terrain au sein de PRE ou RRS
• Le budget se résume pour l’instant au temps de travail de la chargée de
mission. Elaboration d’un budget plus précis pour faire une demande de
financements par la suite.
N’ont pas encore réfléchi à une collaboration avec un chercheur. La
capitalisation est déjà une pratique que réalise la MRIE. Se pose donc la
question de l’intérêt des chercheurs au niveau local.
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En
associant
leurs
parents,
tous
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Fiches
des
sites
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22. TARBES
Titre du
projet
Contact
CREATION D’UN ESPACE PARENTS
• Dominique Delgado
Coordinateur du projet
ATRUM FJT (Association)
88, rue Alsace lorraine 65 000 Tarbes
05 62 38 91 20 – 06 19 85 81 22
[email protected]
• Maryse Lavie
Coordinatrice REP
05 62 93 44 88 – 06 82 98 36 65
[email protected]
L’Education nationale et l’association ATRIUM FJT ont souhaité initier, sur le site
du quartier Nord, une expérimentation permettant de mieux comprendre les
pratiques, les attentes et les difficultés des familles concernant, d’une part, la
réussite éducative des enfants dans toutes ses dimensions, scolaires, culturelles
et sociales, d’autre part, repérer les leviers pour soutenir les parents dans leur
fonction parentale.
Les coordinatrices du projet appartiennent à des professions de l’éducation dans
des domaines différents mais complémentaires :
• L’une responsable d’enfants et de jeunes dans le milieu associatif et le
domaine périscolaires et extrascolaire (structure véhiculant les valeurs de
l’Education Populaire)
• L’autre enseignante au sein de l’Education nationale, coordonnatrice en
Réseau de Réussite Scolaire (RSS), dans le milieu scolaire
Projet
Ce projet correspond à une demande des enseignants et des parents de pouvoir
se rencontrer et échanger dans un lieu qui ne soit pas celui de l’école, trop
chargé d’affects, parfois de conflits. Quels peuvent être la place et le rôle d’un
espace parents dans l’accueil, l’information et l’orientation des familles.
• une première phase de concertation s’est déroulée de janvier à mai 2009,
avec les institutions et les acteurs locaux (MDS conseil général, mairie de
Tarbes, directeurs d’écoles et services de l’Inspection Académique, DDJS,
CAF, DDASS, Dispositif de Réussite Educative, GIP CUCS Grand Tarbes).
Parallèlement, une enquête a été menée auprès des parents du quartier pour
mieux connaître leurs besoins.
• une deuxième phase commence avec la réunion d’information et
d’appropriation du projet en direction des délégués de parents, ainsi que des
associations partenaires (ADAOS, l’école des parents et des éducateurs,
l'APS, le centre social…), partenaires ressources, pouvant être acteurs du
projet. En parallèle nous entamons la recherche de financements.
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En
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leurs
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sites
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• la phase opérationnelle a été lancée à partir d’octobre 2009 : le local, prêté
par la mairie a été réhabilité en partenariat avec l’AFPA et doit être équipé
(mobilier, postes informatiques, documentation).
• 40 parents sont venus depuis Novembre 2009.
L’objectif est de fidéliser les parents avec des actions concrètes :
accompagnement à la scolarité, actions d’alphabétisation, d’initiation à
l’informatique pour les parents…. Les propositions en cours ne viennent pas
des parents. L’idée, à terme, est que les parents soient organisateurs du lieu.
• L’équipe projet est constituée : GIP CUCS, Conseil Général, Education
Nationale, Mairie (PEL, DRE), CAF, DDJS, DDASS, parents, ADAOS, EPE,
Fédération des parents d’élèves (en cours).
Ressources
locales
• Sont en place : un comité politique, un comité technique et un conseil de
parents (représenté aussi au comité technique)
• Budget dédié au projet = 35 834 €
• Pour la recherche, des contacts avec le pôle universitaire de Toulouse
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Au niveau du projet : comment fidéliser les parents ?
• Au niveau de l’action-recherche : mesurer l’impact de l’engagement en
termes de coûts financiers et de temps
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sites
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23. TOURCOING
Titre du
projet
Contacts
Action-recherche sur le champ éducatif
• Jean-François Delepière
Coordonateur des politiques éducatives
Direction de l’Education Service Politiques Educatives
4, rue Anatole France – 59 200 Tourcoing
03 59 63 41 30 – [email protected]
• Catherine Herchuelz
Référente parentalité Mairie de Tourcoing
[email protected]
La Ville de Tourcoing met en place depuis plusieurs années une démarche
d’aide à la parentalité et de promotion de la bientraitance, afin de développer
l’information, la sensibilisation, et le soutien des parents rencontrant des
difficultés dans leurs fonctions d’éducation.
Projet
Le projet concernera l’ensemble de la Ville et s’appuiera sur une mutualisation
des moyens (une restructuration récente des services a d’ailleurs permis le
rattachement de l’équipe Parentalité-PIF au Service Politiques Educatives) et
sur une convergence des projets (le Projet de Développement Social et le Projet
Educatif Global “ Apprendre ensemble les uns des autres ” seront lancés
conjointement en 2010).
Le projet d’action-recherche représente un élément moteur qui devrait permettre
d’une part, de changer le regard des professionnels et des parents sur les
relations existantes, les missions/les rôles, les attendus/les attentes, les
systèmes d’information/de communication, les notions de réussite/d’échec, les
réalités de travail/de vie sociale…, d’autre part, de donner à chaque acteur la
place qui lui revient, ni plus/ni moins (notion de parents-chercheurs,
d’enseignants-chercheurs…), d’interpeller les systèmes institutionnels, de
déboucher sur des pistes de travail et sur des propositions d’actions très
concrètes.
Ressources
locales
Les
questions qui
se posent
aujourd’hui
• Portage politique très fort sur les politiques éducatives.
Démarche Pégase : projet éducatif global au niveau de la ville.
• Le projet s’appuierait sur un support de mobilisation croisée des acteurs
autour de la démarche Moderniser Sans Exclure - démarche initiée par le
professeur Bertrand Schwartz - déjà utilisée précédemment dans le cadre du
Contrat Educatif Local.
Collaboration initiée avec le CUEEP - Université de Lille 1.
• Pôle parentalité au sein du Service Politiques Educatives : travailler l'axe
parents/école - Présentation du projet déjà réalisée auprès des partenaires.
• Des réseaux associatifs très intéressés : ATD, Restos du cœur, Secours
Populaire, AFEV.
5 centres sociaux + 2 MJC + Club coup de pouce (24).
Comité de Pilotage à construire
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