dossier de presse

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dossier de presse
DOSSIER DE PRESSE
Jacqueline SALMON
42,84 km2 sous le ciel
HÔTEL DES ARTS, Toulon // 30 janvier – 24 avril 2016
Les palmiers sur la plage du Mourillon, 2015 – carte des vents - papier Japon - 80 x 100 cm
Collection de l'Hôtel des Arts, centre d'art du Département du Var
Jacqueline Salmon – 42,84 km2 sous le ciel
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DOSSIER DE PRESSE
SOMMAIRE
Avant-propos-----------------------------------------------p 3
« 42,84 km2 sous le ciel »-------------------------------------p 4
« Jacqueline Salmon ou l'art d'avancer masquée »-----------------p 9
Liste des œuvres présentées---------------------------------p 10
Sélection de visuels-----------------------------------------p 13
Jacqueline Salmon : repères biographiques---------------------p 17
Les rendez-vous de l'exposition-------------------------------p25
L’Hôtel des Arts--------------------------------------------p 28
Informations pratiques--------------------------------------p 29
Jacqueline Salmon – 42,84 km2 sous le ciel
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Avant-propos
Dans le cadre de sa dynamique d’expositions et son engagement dans l’art
contemporain, l’Hôtel des Arts, centre d’art du Département du Var, oriente
principalement sa programmation artistique autour des questions urbaines en
Méditerranée.
Après avoir présenté ces trois dernières années différentes expositions consacrées
à l'architecture en Méditerranée, une commande artistique à Stéphane Couturier sur
la cité Climat de France à Alger, ou encore récemment une exposition sur la
représentation de la ville avec « Villissima – des artistes et des villes », l'Hôtel des
Arts a décidé de s'intéresser à son environnement de proximité et de confier tout
naturellement à Jacqueline Salmon l'exploration de la ville de Toulon. En 2000,
l'Hôtel des Arts, qui compte aujourd'hui 22 de ses œuvres dans la collection, avait
déjà passé une commande photographique à l'artiste sur l'Arsenal de Toulon, une
forme de ville dans la ville. Cette nouvelle commande reflète le soutien constant de
l'Hôtel des Arts à la création et plus particulièrement au travail de Jacqueline
Salmon.
Fruit de deux années de résidence initiée par le centre d'art en 2014, cette
exposition a pour ambition de proposer au public une interprétation poétique de la
ville traversée par les vents et bouleversée par un immense chantier de rénovation
urbaine.
42,84 km2 c'est la surface de la ville de Toulon riche de ses collections enfouies
dans des réserves, de sa population, de ses architectures, prise dans les tourments
et la beauté de son climat. Toulon se dévoile peu à peu sous l'objectif de l'artiste.
L'exposition s'ouvre sur deux photographies de la ville entre mer et
montagne surplombée d 'un ciel immense. Dans la continuité, le hall et les escaliers
sont habités par une collection de vues de la ville, servant de socles à des ciels
redessinés de cartes des vents à l'encre de Chine.
De part et d'autre, les salles accueillent des constellations de photographies et
vidéos représentatives de l'identité de la ville : objets collectionnés, vues urbaines,
fêtes, récits.
A l'étage, où l'on est conduit par la série de cartes des vents, 107 portraits de
Toulonnais de 4 mois à 99 ans sont installés dans une continuité des âges
entrecoupée de photographies d'arbres dans le vent.
L'exposition est accompagnée d'un film de Teri Wehn Damisch Jacqueline Salmon
ou l'art d'avancer masquée (54') dont le propos est de situer le travail réalisé à
Toulon dans l'ensemble de son œuvre.
Les textes de présentation et d'accompagnement sont de Jean-Christophe Bailly.
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« 42,84 km2 sous le ciel »
(Textes de Jean-Christophe Bailly)
La ville entière et tous ceux qui la peuplent, tous les objets
et tous les signes qui la racontent à elle-même et à ceux qui
passent, voilà quel aura été le matériau de Jacqueline Salmon
pendant des mois et des mois, arpentant les rues de Toulon,
sondant en souriant étonnée toute cette archive vivante. Un
travail de collecte infini, se trouvant à chaque pas de
nouvelles ramifications, de nouvelles issues, en des séries
ricochant sur elles-mêmes pour former un réseau où chaque
image, tout en communiquant avec toutes les autres peut
aussi s’isoler et mener une vie autonome : un visage, un
arbre, une boutique, une rue, une fête, un recoin, une étendue, chaque image
comme un pli de sens, un indice, une incise, une entrée dans la matière de la ville.
Et toutes ensemble comme un labyrinthe sans modèle posé sous la furia légère du
vent, témoin actif de tous les gestes par lesquels la ville se déploie.
Le vent
Représenter le vent souvent on l’a voulu,
sans grand succès, à moins, bien sûr de le
filmer, mais à ce simple double manque
encore quelque chose – l’emprise spatiale du
vent, son amplitude, sa vocation à envahir et
à saturer l’étendue, et c’est pourquoi la
trouvaille
Jacqueline
des
« cartes
Salmon
est
de
vents »
de
formidable :
en
inscrivant à même la peau d’images du ciel
prises ici et là tout un réseau de petites
flèches correspondant à la direction des
courants d’air, elle est parvenue, via cette
sorte de tatouage délicat et fascinant, à
donner au vent le répons d’une image qui
véritablement le porte et le propage, lui qui est entre tous les phénomènes
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météorologiques le plus puissant et le plus fou : une sorte de voyou sublime et
redouté qui s’obstine et revient sur son ouvrage, visible uniquement par ce qui
résulte de ses passages mais qui demeure, lui, des hauteurs au ras du sol, invisible
et insaisissable, la nature de son être étant de s’effacer au moment même où il
passe. Or voici qu’avec cette écriture de flèches et de traits balayant l’immensité de
l’espace il a été piégé, et que ce piège qui toutefois le laisse libre nous le restitue,
et que la vision du ciel qui s’ensuit en est distendue et renouvelée, ce qui n’est
vraiment pas rien, l’ouverture ne cessant pas d’être une béance et devenant en
même temps comme l’empreinte digitale d’un gigantesque pouce enfonçant la
nuée. Jamais, je crois, autant qu’avec les vues grand large de Toulon sur lesquelles
ici elles sont venues s’inscrire les cartes de vent n’avaient été aussi amples et aussi
libératrices d’énergie. Les vues de la plage et de la rade avec les plis et les franges
de la mer, les palmiers ébouriffés du Mourillon, le stade Mayol au moment de la
course faisant suite à un coup de pied de renvoi des London Wasps, le Faron, la
ligne du littoral – autant de signatures de la ville mais revisitées et agrandies, tirées
au-delà de leurs limites vers l’infini qu’elles accueillent, sous le vent qui l’annonce
et les ciels qui le propagent, ivres de gris et de bleus étonnés.
Les constellations : les collections, la ville, les récits
Dans une ruelle étroite de Barcelone, juste en face de la chambre de la
pension où je logeais, par la fenêtre ouverte je voyais un homme qui construisait
continûment
la
maquette
d’un
bateau,
pratiquement sans lever la tête de son ouvrage,
et cette image, que j’aurais certes pu voir
ailleurs, m’est restée comme un indice et un
signe de la vie des vieux quartiers de cette ville.
Et ce que l’on aimerait pouvoir se figurer, pour
toute ville quelle qu’elle soit, ce sont justement
toutes ces activités, tout ce qui raconte sans fin,
derrière les murs, une vie qui est comme un lent
tissage, où l’essence secrète de la ville se trouve
déployée. Les collections d’objets, par exemple,
des archives dûment classées aux petites natures
mortes éparses. Une collection de collections,
voilà
aussi
ce
qu’est
une
ville,
un
amas
prodigieux, en grande partie invisible, à moins de
pénétrer dans chaque maison, dans chaque chambre, ce qui évidemment ne se peut
pas. Mais pénétrer dans l’intérieur de la ville, passer dans la doublure de l’habit et
en fouiller les poches, il semble que cela ait fait aussi partie de la longue enquête
menée par Jacqueline Salmon à Toulon, qui alterne sans compter images du dedans
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et images du dehors, images privées supposant un contact négocié et images
prises en passant. Ici la diversité affole et le nombre des pistes suivies donne le
vertige, surtout si on cherche à lui trouver une logique ou un ordonnancement
autres que ceux de la passion de découvrir et de rendre compte, en une sorte de
volonté éperdue. Le ventre chargé d’électronique du sous-marin Casabianca et le
petit totémisme animal d’une collection d’insignes militaires, une fête religieuse et
son concert de palmes, des mains passées au henné et des ballons de rugby
dédicacés, des tags sur les rideaux métalliques de boutiques fermées, la foule à
Mayol, un défilé de marins, un tapis de prière sous les pins avec les chaussures tout
autour dont des bottes de chantier, la mairie, la Halle Esther Poggio, des rues et
encore des rues, et ainsi de suite aurait-on envie de dire, voulant à la fois
continuer, continuer encore et voulant également cesser de rebondir et faire halte,
à l’image par exemple de ce couple assis en pleine lumière devant un mur où se
projette l’ombre d’un palmier. Une belle photo, oui, mais qui l’est d’autant plus
qu’elle n’a pas cherché à l’être et qui est simplement venue, se détachant de l’arbre
à sensations pour venir se poser devant nous parmi les autres.
Les Portraits
Donc ceux de Toulon – pas tous, on ne le peut
pas, mais beaucoup, beaucoup d’entre eux –
donc déjà une population, selon sa variété,
son énergie, sa force, où chaque visage exerce
une action, où qu’il en soit avec le temps et
ses marques si extraordinairement visibles. Ils
sont là, et tel est le pouvoir des images, connu
depuis l’Antiquité, mais que la photo a repris
et déployé : rendre présents les absents, les
rendre, en un sens, plus présents encore que
s’ils étaient là en vrai : parce que devenus
images, images d’eux-mêmes, ils ne bougent
plus. Ils sont donc là pour toujours et cet
instant t de leur vie a devant lui l’éternité, qui
commence par nos regards. Voilà, nous les voyons, nous voyons qu’ils sont là et
sans connaître leurs noms ou leurs histoires, nous imaginons, nous imaginons les
récits et chaque visage en est à la fois la source et la trace. Un par un, puis tous
ensemble : bien plus qu’un roman, une forêt. Comme ce sont des images
immobiles, tous les frémissements de cette forêt se sont arrêtés, mais ils sont là,
on les voit, et ce sont des attitudes, des sourires, de franches gaîtés, de vraies
tristesses, discrètes, masquées, provisoirement éteintes – tout ce qui a été voulu et
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tout ce qui a été refusé, tout ce qui s’ouvre encore, et ce qui ne se ferme plus. On
voit tout cela, et on voit que chaque accent est une force et a une pesanteur, et que
c’est la vie qui a appuyé, qui appuie toujours, et appuiera encore, jusqu’à la fin.
Dans les anciennes représentations des Âges de la vie – il y eut au XIX ème
siècle une mode de ces images – on représentait les âges selon une courbe qui
montait tout d’abord, de la petite enfance jusqu’à la maturité pour redescendre
ensuite de là jusqu’à l’ultime vieillesse. Et chaque image correspondante était un
parfait cliché, conforme aux attendus d’une vie bourgeoise bien réglée : petits
enfants qui courent, vieillards courbés s’aidant de cannes, adultes qui plastronnent,
les hommes surtout, dans la force de l’âge, comme on dit. Or ce que nous montre
le travail que Jacqueline Salmon a fait en reprenant le schème des tranches d’âge
distinctes, c’est justement que ce n’est pas du tout comme cela que les choses se
déroulent et que, pour commencer, il n’y a pas de courbe qui monte ou qui
descend et que chacun des âges est à lui-même son propre horizon. Tu en es là et
j’en suis là, mais tous nous sommes sur la même ligne, sur le même fil, et tous
nous y allons, forcément, vers la mort, mais en prenant le plus de temps possible,
si possible. Et qu’ensuite ce n’est pas du tout comme cela non plus parce qu’il n’y a
pas premièrement des types correspondant à des clichés mais d’abord des cas de
figure, des singularités, un infini de captures différentes, chacun, pris à sa manière
dans le filet du temps, y pointant sa fatigue ou son innocence, sa fureur rentrée ou
sa joie.
Que chaque individu, arrivé à tel point de son existence, soit une singularité,
ce qui veut dire un être unique, irremplaçable, certes nous le savons, mais il faut
toujours s’en souvenir, et se souvenir aussi que tout le monde n’est pas du même
avis et qu’il y a de par le monde, agissantes, des volontés qui cherchent à ce que
les singularités s’effacent ou ne comptent presque plus. Or ce que l’on voit,
justement, dans toute sa force et aussi dans son désarroi, c’est une somme de
singularités, c’est-à-dire de récits, aucune somme n’étant la même, ne revenant au
même, chacune étant comme un rendez-vous, ce qui n’a lieu qu’une fois et se
compose de dizaines et de dizaines de fils qui s’entrecroisent et se dispersent.
Donc ici un rendez-vous toulonnais, avec des gens de cette ville, des corps,
des pensées qui la font exister, cette ville, et qui sont venus d’un peu partout dans
le monde, parce que le monde est comme ça maintenant, un écheveau de situations
avec des exils et des retours, des hasards, des fidélités, des passages. Et voilà
maintenant que c’est nous qui passons devant eux et les voyons tandis qu’eux, ils
restent, parce qu’il y a eu entre eux et celle qui les a photographiés une sorte de
contrat silencieux, d’accord tacite, un seuil a été ouvert et c’est là qu’ils se
tiennent, chacun selon son mode, son style (quelle étonnante diversité d’écritures,
de vêtures, de panoplies !), sa vérité, son âge. Oui, c’est cela : ils se tiennent tous
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sur un seuil et au-dessus de la porte il y a écrit Toulon, ce qui veut dire qu’il nous
reste à déchiffrer la ville en regardant les visages de ceux et de celles qui la
traversent. Tout autour d’eux, tout autour de nous, il y a des arbres que le vent
balance, on les voit, ils font partie du récit, ils en sont la basse continue, la musique
de dessous qui frissonne.
Un catalogue de 256 pages est publié pour l'occasion aux Editions LOCO
Textes : Jean-Christophe Bailly
Prix public : 35 €
EAN 13 : 978-2-919507-50-4
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« Jacqueline Salmon, ou l’art d’avancer masquée »
Un film de Teri Wehn-Damisch // 54 min
Jacqueline Salmon est connue pour sa pratique d’une photographie à
caractère documentaire, principalement pour ses travaux sur l’architecture, sur les
lieux en mutation dont le destin reflète l’évolution de notre société.
Derrière la rigueur des cadrages, des compositions, des formats carrés, par delà les
préoccupations sociales et politiques qui sous-tendent l’œuvre de la photographe,
Teri Wehn-Damisch s’attache à révéler les éléments d’une autobiographie masquée.
Le portrait de ville que Jacqueline Salmon a réalisé au cours de deux années de
résidence à l’Hôtel des Arts à Toulon, met en jeu les thèmes récurrents et les
différentes pratiques photographiques qui caractérisent l’ensemble de son œuvre :
architectures, portraits, paysages, cartes des vents, collections d’objets...
Aux séquences d’entretiens qui laissent à la pensée et à la parole le temps de
s’élaborer, Teri Wehn-Damisch mêle la succession des photographies évoquées,
des images de la photographe au travail, de ses lieux de vie, atelier parisien,
maison familiale dans la campagne beaujolaise. L’œuvre et la vie qui l’alimente sont
ainsi placées dans un échange mutuel, mis en lumière en un va et vient fluide.
Tentative pour approcher le mystère de la création, ce film est aussi le fruit d’une
amitié partagée où la gravité n’exclut pas l’humour.
Ce film est diffusé à l’Hôtel des Arts pendant toute la durée de l’exposition et à la
Maison Européenne de la Photographie à Paris, le 16 février 2016 à 18h30.
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Liste des œuvres présentées
Cartes des vents
images photographiques re-dessinées à l'encre de Chine
Panorama du port à la tombée de la nuit, aqua paper, 90 x 300 cm
La ville devant la mer, adossée à la montagne, bâche Canson,120 x 170 cm (2 tirages)
La plage de la Mitre par grand vent, la tour royale, les palmiers sur la plage du Mourillon, La
préfecture maritime, match de rugby au stade Mayol, promenade au dessus du port Saint
Louis, sentier du littoral, la Rade le soir, nuages sur le port, le Mont Faron, papier Japon, 80
x 100 cm chaque
Ciel translucide, 80 x 120 cm
Constellations
installations de photographies en couleur et encadrées de formats variés
Constellations 1 : les collections
Archives de la bibliothèque municipale
Portraits du fonds Walter Bondy, 23 x 30,5 cm (13 tirages)
Couvertures de Var Matin événements choisi durant le temps de la résidence, 31 x 42,5 cm
et une vidéo d'environ 5' :
Carriera de la Juetaria et carriera perduda sur un plan de la ville au Moyen-Age
Collection de cartes postales de l'entrée de l'arsenal avant qu'elle soit déplacée
devant le musée de la marine
Carnets du journal intime de Dumont D'Urville
Publication franc-maçonne toulonnaise de 1806
Archives de la défense nationale
Registres du bagne de Toulon, 24 x 36 cm (11 tirages)
Pages de mammifères représentant des portraits des peuples découverts dans
Les voyages de l'Astrolabe de Dumont d'Urville, 26,5 x 40 cm (10 tirages)
Dépôt des modèles - Conservatoire de la tenue – service logistique de la marine
Tenues de protection contre les radiations nucléaires, les gaz, les armes chimiques, le feu,
etc., 24 x 36 cm (21 tirages)
Ceintures d'uniformes d'officiers, 21 x 31,5 cm (4 tirages)
L'évolution du béret des marins, 21 x 31,5 cm (5 tirages)
Le bestiaire des insignes, 6 x 150 cm
Collections privées
Ballons de Rugby signés, 21 x 31,5 cm (8 tirages)
Plaque à l'effigie de la résistante Esther Poggio, lieutenant des FFI, 53 x 90 cm
Plaque commémorative d'un monument construit à Alger, en exil à Toulon, 70 x 100 cm
2 allégories de bronze dédiées aux grands navigateurs, 53 x 80 cm chaque
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Constellations 2 : la vie, la ville
La ville en chantier, façades, 21 x 31,5 cm (7 tirages)
Traces des anciens bars de la basse ville, 21 x 31,5 cm (8 tirages)
Les Halles Esther Poggio édifiées en 1929, 43 x 60 cm
L'ancienne prison du quartier Baudin, 60 x 80 cm
Peinture dans le style oriental avec passant, 53 x 80 cm
Graffiti " Rien", 70 x 100 cm
Les rues de la basse ville à la manière de Marville, 21 x 31,5 cm (10 tirages)
L'ancienne Caisse d'épargne, 44 x 66,5 cm
L'Hôtel de Ville, 53 x 80 cm
Le défilé du 14 juillet devant le Musée d'art, 53 x 80 cm
Supporters du RCT au stade Mayol, vidéo de 4'environ
Vitrines, 21 x 31,5 cm (4 tirages) et 31,5 x 42,5 cm (2 tirages)
Peinture de rue dans le style sud américain, 63 x 96 cm
Palmier dans la ville avec mur peint, 33 x 49,5 cm
Jeunes mangeant des frites sur le banc de la Mairie d'honneur, 44 x 66,5 cm
Toulonnais longeant le mur Avenue des tirailleurs sénégalais, 21 x 31,5 (8 tirages)
Constellations 3 : récits
Le sous-marin nucléaire l’Émeraude en grand carénage, 60 x 75 cm
Les sous-marins la Perle et le Casabianca dans leur bassin, 40 x 50 cm chaque
L'intérieur et les pavillons du Casabianca, 21 x 31,5 cm (8 tirages)
L'insigne américain, photographie contrecollée, 8 x 10 cm
La prière des hommes au moment de l'Aïd, 60 x 75 cm
Le henné pour le mariage, 21 x 31,5 cm (2 tirages)
Femme à sa fenêtre, 37,5 x 54 cm
Femme cuisinant sur un balcon, 37,5 x 54 cm
Femme montant un escalier, 56 x 43,5 cm
Les hommes au café, 21 x 31,5 cm
Un ancien combattant, 21 x 31,5 cm
Un joueur de tambour, 21 x 31,5 cm
Deux femmes dansant, 21 x 31,5 cm
Les cabanes de la fête juive de Souccot, 21 x 31,5 cm (5 tirages)
Fillette en robe blanche, 31 x 42,5 cm
La procession du chemin de croix conduite par l'évêque, 21 x 31,5 cm (7 tirages)
Les statues et images voilées de la Semaine Sainte, 33 x 50 cm (3 tirages)
La Fête des pêcheurs, 21 x 31,5 cm (6 tirages)
Procession du 15 août, 21 x 31,5 cm (2 tirages)
Un évêque s'habillant, 60 x 80 cm
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Histoire de lieux
Chalucet : ancien hôpital psychiatrique / futur ensemble culturel (médiathèque, École d'art,
École de Management), 21 x 31,5 cm (8 tirages)
Le déménagement du Musée du Vieux Toulon, 21 x 31,5 cm (5 tirages)
Le Musée Jean Aicard, maison d'écrivain puis de peintre donnée à la ville, 21 x 32,5 cm
(4 tirages)
La Résidence du Cap brun et le souvenir des grands qui y sont passés (Aragon, Charles de
Gaulle...) : rencontre avec Olivier Boré de Loisy (vidéo de 4' environ)
Portraits dans la ville
installation d'une centaine de portraits en couleur de Toulonnais de 4 mois à 99 ans de tous
milieux et de toutes origines culturelles, entrecoupés de 9 arbres dans le vent et de textes
de présentation de Jacqueline Salmon. Un texte de Jean-Christophe Bailly décrit cet
ensemble de portraits qui parcourt les 6 salles du 1er étage. Les visages sont à taille réelle,
les formats varient en fonction du cadrage.
107 Portraits : 80 x 120 cm, 70 x 120 cm (40 tirages), 60 x 110 cm (6 tirages), 60 x 100 cm
(14 tirages), 55 x 100 cm (5 tirages), 55 x 90 cm (3 tirages), 53 x 80 cm, 50 x 80 cm (7
tirages), 46 x 80 cm, 45 x 70 cm, 40 x 60 cm (28 tirages)
2 arbres dans le vent sur support translucide 90 x 212 cm (pin), 88 x 102,5 cm (palmier)
7 arbres dans le vent sur aqua paper satin, 100 x 150 cm (7 tirages)
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Sélection de visuels
(sélection non exhaustive / plus de visuels sur demande auprès du service presse)
Carte des vents
Les palmiers sur la plage du Mourillon, 2015, papier Japon – 80 x 100 cm
Collection de l'Hôtel des Arts, centre d'art du Département du Var
Promenade au dessus du port Saint-Louis, 2015, papier Japon - 80 x 100 cm
La Plage de la Mitre par grand vent, 2015, papier Japon – 80 x 100 cm
Collection de l'Hôtel des Arts, centre d'art du Département du Var
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DOSSIER DE PRESSE
Constellations
Le mariage d'Ilhem, 2015 – 37,5 x 54 cm
Tenue de protection Nucléaire Radiologique Bactériologique et Chimique de 1963
2015 - 24 x 36 cm
Dépôt des modèles – Conservatoire de la tenue – service logistique de la Marine
Femme à sa fenêtre, 2015 – 37,5 x 54 cm
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DOSSIER DE PRESSE
La rue Saint-Vincent, 2015 – 21 x 31,5 cm
Chalucet, ancien hôpital psychiatrique et futur ensemble culturel, 2015
21 x 31,5 cm
Ancienne prison du quartier Baudin, 2015 – 60 x 80 cm
La rue des savonnières, 2015 – 21 x 31,5 cm
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Portraits
Michèle Le Bras, 2015
Grâce Valentini, 2015
Kaïs, 2015
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Jacqueline Salmon : repères biographiques
Née en 1943 à Lyon, elle vit actuellement à Paris.
Études : Arts plastiques, architecture et Histoire contemporaine à la Sorbonne.
Elle a obtenu en 1993 le prix de la Villa Médicis hors les murs pour une série alliant
portraits et lieux.
En 1993 elle réalise le 1% à l'architecture de la DRAC de Rhône Alpes.
Intéressée par la pédagogie, elle a enseigné sa pratique à l'université Paris VIII de
1989 à 1992 puis aux écoles d'architecture de Saint-Étienne et de Lyon. Elle est
régulièrement invitée à donner des conférences et des workshops.
Elle a été commissaire de grandes expositions au Centre National de la
Photographie, à Paris au Musée de l’Élysée à Lausanne, au Mai de la photographie à
Reims, et directeur artistique avec Françoise Morin de la Biennale Urbi & Orbi à
Sedan.
Elle est représentée par la Galerie Michèle Chomette à Paris.
Sélection d’expositions personnelles et d’événements
1987 Fondation Nationale de la Photographie, Octobre des Arts, Lyon,
1989
1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
Centenaire de Le Corbusier
Galerie l'Ollave, Lyon, Égypte,
Galerie Foto-Médium-Art, Wroclaw, Pologne, Hommage à Tarkovski
Musée des Beaux Arts, Valence, Égypte
Galerie d'ell 'imagine el diafragma, Milan, Lônes, Égypte
Galerie Lindemanns, Stuttgart, Lônes
Mala galerie, Kladno, Tchécoslovaquie, Lônes
Galerie Gasnier-Kamien, Paris, Égypte
Die Grauwert Photogalerie, Hambourg, Égypte
Centre d'Art Contemporain Cadran solaire, Troyes, Hôtel-Dieu
Fotogalerie in der Brotfabrik, Berlin, Lônes
Centre Culturel Français, Le Caire, Lônes
L'imagerie, Rencontres photographiques de Bretagne, Lannion, Hôtel-Dieu
The Banff Center for the Arts, Canada, open studio, In Deo
Musée des Ursulines, Macon, Clairvaux,
Galerie Michèle Chomette, Paris, Entre centre et absence
Centre d'Art Contemporain de Vassivière, La vallée de la Maulde ou l'envers
de l'eau
Centre d'Art Contemporain "Passages" Troyes, Clairvaux
Kunsthalle Krems, Autriche, Petite histoire de l'art du XXeme siècle racontée
à Krems,
Musée des Beaux-arts,Vienne, Prés et loin d’Italo Calvino
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DOSSIER DE PRESSE
Centre d’Art Contemporain de Basse Normandie, Ambassade du Canada,
Paris In Deo
Forum de Bonlieu, Annecy , Quelles sont vos erreurs?
Villa Noailles, Hyères, France, Villa Noailles
1998 Musée Réattu, Arles, La raison de l'ombre et des nuages
1999 Galerie Michèle Chomette, Paris, Chambres précaires
Centre d'Art Contemporain Passages Troyes, Troyes Entre centre et absence
2000 Stadt Galerie, Saarbrück , Kunsthall Erfurt, Städtische Galerie Erlangen,
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
Entre centre et absence, Chambres précaires
Galerie Mathieu, Lyon, Œuvres photographiques et Héliogravures
Vox, Montréal, Chambres précaires
Hôtel des Arts, Centre méditerranéen d'Art, Toulon, L' Arsenal
Musée Paul Dini, Villefranche sur Saône, Entre centre et absence
La Filature, Mulhouse, l’Opéra, Strasbourg, Scénographie de Jeux pour Michel
Kelemenis
Galerie Michèle Chomette, Paris, Le Hangar
Galerie Bayer & Bayer, L’Arsenal, Prague
Galerie de l'Ancienne poste, Scène Nationale, Calais, Le Hangar
La Passerelle, Brest, Sangatte Le Hangar
Centre d’Art Contemporain du Château de Chamarande, Méréville
Galerie Mathieu, Lyon, l’Arsenal
Place Ville Marie, Mois de la Photo à Montréal, Quelles sont nos erreurs ?
Centre culturel Auguste Dobel, Paris, Didascalies
Musée de l’image, Epinal, Paysages d’Epinal
Galerie Michèle Chomette, Paris, Zone déchets nucléaires
Musée d'art et d'histoire, Belfort, le Corbusier, de l’émotion à la sérénité
Cloître Saint Trophime, Arles, dans le cadre de l’exposition XL,
La raison de l’ombre et des nuages
Galerie Mathieu Lyon, Septembre de la Photographie,
Musée Rimbaud, Charleville, Rimbaud parti. Le chemin de Roche
Galerie its art ist, Waterloo Zone déchets nucléaires
Vu, Québec pendant la Manif’d’Art et les fêtes du 400e anniversaire de la
ville
Géocalligraphies
Galerie its art ist, Waterloo, Le Corbusier
Tour de la Chaîne, la Rochelle, vidéos
2 mondes, Imaginaires de l’exil, Partir 1, Découvrir 2
Maison des Couleurs, Morestel, MHSD / Dé-construction
Galerie Mathieu, Lyon, Géocalligraphies
Mala Galerie, Kladno, saison française de Prague , Rimbaud parti
Domaine de Chaumont sur Loire, La racine des légumes
Musée Réattu, Arles in chambres d’échos, la raison de l’ombre et des nuages
Jacqueline Salmon – 42,84 km2 sous le ciel
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DOSSIER DE PRESSE
2010 Galerie Michèle Chomette, Paris, La racine des légumes
Maison des Arts Evreux, Le temps qu’il fait/le temps qu’il est
2011 Galerie Lyon, les miroirs de Venise
Abbaye de Clairvaux,Un monde au secret
2012 Le Compa, Chartres, 3 Variations sur l’horizon et sur le temps, triptyques
vidéo
Opéra Bastille, Paris, Basilique, Sainte Anne d’Auray,
Église St Pierre et St Paul, Ivry, Litanies pour Ronchamp, sur une composition
de Gilbert Amy
2013 Musée du Revermont, Cuisiat, La racine des légumes
2014 Galerie Mathieu, Lyon, Jacqueline Salmon
Musée des Beaux Arts, Festival croisements, Canton, Racines et nuages
La Fenêtre, Montpellier, Détentions
L'Ar(t)senal, Dreux, Graphotopophotologies, ou les écritures du paysage,
avec Jean-Luc Parant
Chartreuse de Villeneuve lez Avignon, fête de l'architecture Aniane, de l'oubli
à la mémoire
2015 Galerie Mathieu Lyon, écritures du paysage en connivence avec Jean-Luc
Parant
Installations permanentes au titre du 1% à l’architecture
Médiathèque du Vercors, Die, Drôme, architectes Dominique Chapuis et Christine
Royer
Notes de chantier en hommage à Tarkovski
Direction Régionale des Affaires Culturelles de Rhône-Alpes, Lyon, architectes
Valode et Pistre
Le grenier d’abondance
Palais de Justice de Melun, Seine et Marne, architecte Françoise Jourda
Donateurs
Sélection d'expositions collectives depuis 2000
2000 Galerie Michèle Chomette, New-York AIPAD Fair, Mutating sights
2001 Festival Urbi & Orbi, Sedan, cartoucherie 8 rue Juiverie
Ancien musée de peinture, Grenoble, Passions partagées
2002 Biennale de la photographie et des arts visuels, Liège, La disparition
Le Rectangle, Lyon Œil pour œil, figures de l'art contemporain dans les
collections lyonnaises,
Musée de la Chartreuse, Douai, Rives
Daclin Contemporary Art Muséum, Séoul, Mutations Urbaines
2003 Fondation Maeght, Saint Paul de Vence, Arles et la photographie
Jacqueline Salmon – 42,84 km2 sous le ciel
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DOSSIER DE PRESSE
Galerie de l' université, Montréal, Passages, passants, passeurs
Kunsthalle, Wien, Crossing the line, exposition itinérante en Europe
Galerie d’Art Zacheta, Varsovie, Collections sans frontières II Réalités
Kunstpavillon, Innsbruck, Das Gelbe vom Ei
2004 Galerie Michèle Chomette, Paris, Voyages immobiles
Parcours pédestre pour l’ année Rimbaud, Le Chemin de Roche
Paris Photo, Galerie Michèle Chomette, Fun Bazaar
2005 La Filature, Mulhouse, Images du monde et inscription de la guerre
2006 Musée des Beaux Arts, Nantes, Le Corbusier un homme à sa fenêtre
2007 Musée de Saint Denis, Le vif et le furtif
Public library, Los Angeles, Beyong the iconic
2008 Galerie Michèle Chomette, Paris, œuvres à lecture lente et invitation à
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
clairvoyance
Musée d’Histoire contemporaine, mois de la photo, Paris
une traversée photographique du 20e Siècle
Cité nationale de l’immigration, Paris
A chacun ses étrangers France Allemagne de 1871 à nos jours
Musée Réattu, Christian Lacroix, Arles
Stadtmuseum Neuöttingen Tier und Wir
Musée de la Photographie, Thessalonik, water currents
Musée André Malraux, le Havre, Les nuages là bas… les merveilleux nuages
Musée Carnavalet, Paris, L’impossible photographie - les prisons de Paris de
1840 à nos jours
Musée André Malraux, Le Havre,Territoires du désir
Transphotographiques de Lille, Le tri postal, le Hangar
Musée des Beaux Arts, Calais, Voices of the sea
Marseille 2013, Musée Réattu, Arles Nuages
Lishui – Chine, Musée de la photographie La France, essai de portrait
commissariat Alain Sayag
Paris-Photo, Galerie Michèle Chomette, Clairvaux
Pékin, dans le cadre de la 125th exhibition organisée par la China
photographers association
La France, essai de portrait
Mons capitale européenne de la culture Clouds au château du Roeulx
Frac de Champagne Ardenne à l'Hôtellerie des dames, Portraits
Monographies
1985 Saint Jean le temps d'un échafaudage, texte de J.Jacques Romagnoli, La
Manufacture, Lyon
Architecture sacrée de Le Corbusier, texte de Françoise Perrot, La
Manufacture, Lyon
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DOSSIER DE PRESSE
1989 8 rue juiverie, texte de Jean Louis Schefer, Comp'Act, (actuellement L’act
mem) Chambéry
1990 Images, Image, entretien avec Claire Peillod, SERL, Lyon
1991 Calligraphies, texte de Christophe Loyer, Deux Temps Tierce, Paris
1992 Lônes, le Rhône et le sacré, texte de René Pons, entretiens avec Claire
Peillod, Marval, Paris
1993 Hôtel - Dieu, texte de Dominique Baqué, entretiens avec Claire Nedellec,
Cadran Solaire, Troyes
1994
1995
1997
1998
2000
2002
2003
2004
Le Grenier d'abondance, textes d'artistes et d'écrivains, Ministère de la
Culture, DRAC de Lyon
Terres, texte de Jean Pierre Spilmont, Comp'Act, Chambéry
Weimar, texte de Michel Tournier, Ministère de la Culture et Éditions du
Demi-Cercle, France
La rade d'Hyères, îles et presqu'île, texte de Jacqueline Salmon, Marval, Paris
Clairvaux, texte de Charles Juliet, et Thierry Dumanoir, Marval, Paris
Prés et loin d'Italo Calvino, texte de Gilbert Lascault, Marval, Paris
In Deo, texte de Dominique Baqué, Ambassade du Canada, Paris
Villa Noailles, texte d Hubert Damisch, Marval, Paris
Hôtel-Dieu, icônes de l'absence, porte folio, texte de Dominique Baqué,
Galerie Pennings
La raison de l'ombre et des nuages, texte de Jean Louis Schefer, Musée
Réattu, Arles
Notes de chantier, en hommage à Tarkovski, Texte de Bernard Lamarche
Vadel,
Créaphis, Paris
Entre centre et absence, texte de Christine Buci-Glucksmann, et Bernd Schulz
entretien avec J C Fleury, Marval, Paris, édition allemande : Kehrer verlag
Heidelberg
L' Arsenal, textes de Sophie Biass-Fabiani, de Christian Gattinoni et
Christophe Loyer, Hôtel des Arts,Toulon
Chambres précaires, texte de Paul Virilio, Kehrer Verlag , Heidelberg
Le Hangar, texte de Paul Ardenne, Trans Photographic Press, Paris
Sangatte, le Hangar, texte de Denis Peschanski, Trans Photographic Press,
Paris
Archives naturelles, texte de Christine Bergé, Marval, Paris
Cube, texte de Jean Louis Schefer, L’Yeuse, Paris
Non sans, texte de Jean Gabriel Cosculluela, Filigranes éditions, Trézélan
Le jardin de Méréville, texte de Monique Mosser, L’Yeuse, Paris
Paysages d’Épinal, texte de Bruno Duborgel, Musée de l’Image, Épinal
Didascalies, texte de Danielle Mathieu-Bouillon et Jacqueline Salmon, Ville
Ouverte, Paris
Le miroir de Bachelard, texte de Michel Côté, Editions Roselin, Montréal
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DOSSIER DE PRESSE
2005 L’envers de l’ eau, porte folio, texte de Jean Gabriel Cosculluela,
Fata Morgana, Fontfroide le haut
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
Mallet Stevens et la villa Noailles, texte de Hubert Damisch, Marval, Paris
Le Corbusier de l’émotion à la spiritualité, texte de Marie José Lément,
Musée d’art et d’ histoire de Belfort
Rimbaud parti, texte de Jean Christophe Bailly, Marval, Paris
La vie entre chien et loup, texte de Christine Bergé, Ed Robert Jauze, Paris
Aline Ribière, Jacqueline Salmon, Maison des Arts d’Évreux
Iles et profils, texte de Laurier Lacroix, J’ai VU, Québec
Les Matins, texte de Jean-Christian Fleury, Maisons Laffitte
Le temps qu’il fait / le temps qu’il est, texte de Michel Poivert, Maison des
Arts, Évreux
MHSD / déconstruction, texte de Christine Bergé, Loco, Paris
Légumes, textes, recettes et photographies de J.Salmon, éditions Sud-Ouest,
Bordeaux
Saline Royale, Cité des utopies, Sekoya, Besançon
textes de Jean Christophe Bailly, Stéphane Rozès et Noël Barbe
Jacqueline Salmon, une image cultivée, texte de Bruno Duborgel,
Jean Pierre Huguet, St Julien Molin Molette
Racines nuages et grues avec Wu Jianwen, texte de Jacques Defert,
Académie des Beaux-Arts de Canton
Graphotopophotologies ou les écritures du paysage, avec Jean-Luc Parant,
textes de Jean-Luc Parant, Kristell Loquet, Jean-Marc Providence et
Jacqueline Salmon, collection 148, Marcel le Poney, Illiers Combray
Collections publiques
Fonds National d’Art Contemporain, Paris
Fonds Régional d’Art Contemporain Rhône Alpes
Fonds Régional d’Art Contemporain Champagne Ardenne
Fonds Régional d’Art Contemporain de Basse Normandie
Fonds Municipal d'Art Contemporain, Paris
Fonds Départemental d'Art Contemporain de l’Essonne
Fonds Départemental d'Art Contemporain de la Seine St Denis
Hôtel des Arts, Conseil départemental du Var, Toulon
Mission du Patrimoine Photographique, Paris
Fondation Nicolas Ledoux, Arc et Senans, France
Conservation départementale de la Drôme. Valence, France
Association des Conservateurs de Musées de la Région Rhône – Alpes
Association Renaissance de l’Abbaye de Clairvaux
Fédération des Ecomusées, Salins les bains
Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris
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DOSSIER DE PRESSE
Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou
Musée Carnavalet, Paris
Musée Fernand Léger, Biot
Musée Nicéphore Nièpce, Chalon sur Saône
Musée Réattu, Arles
Musée d' Art et d'Histoire, Belfort
Musée d' Art Moderne Saint-Étienne
Musée d' Art Moderne, Lodz, Pologne
Musée des Ursulines, Macon
Musée Paul Dini, Artothèque, Villefranche sur Saône
Musée Rimbaud Charleville
Musée des Beaux Arts, Vienne, (France)
Musée de l’Académie des Beaux Arts de Canton, Chine
Musée de l’Homme et de l’Industrie, Le Creusot
Musée de l’Image, Epinal
Musée de la Photographie, Thessalonik
Musée du Revermont
Stadt Galerie Erlangen
Centre d’ Art Contemporain de Vassivière
Centre Georges Pompidou
Cité de l’Architecture, Paris
Villa Noailles
Cité Nationale de l’Histoire de l’Immigration, Paris
Centre de la résistance et de la déportation, Lyon
Conseil départemental d’Eure et Loire
Kunst Halle de Krems, Autriche
Ville de Hyères
Ville de Lyon
Ville d’ Amilly
Ville de Bouillon, Belgique
Ville de Baugé
Ville de Saint Paul Trois Châteaux
Ville de Choisy le Roi
Artothèque de Lyon
Artothèque d’Annecy
Artothèque de St Priest
Artothèque de Villefranche sur Saône
Artothèque idéograf, Saint-Étienne
Artothèque d’Auxerre
Artothèque de Strasbourg
Artothèque de l'Université de Zielona Gora, Pologne
Maison du livre de l'image et du son, Artothèque, Villeurbanne
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DOSSIER DE PRESSE
Maison des Arts et de la culture, Sallaumine
Fondation Nationale de la Photographie, (Bibliothèque Municipale, Lyon)
C.A.U.E , Lyon
Centre d’Art Contemporain de Vassivière
Le COMPA, Chartres
URDLA, Villeurbanne
Bibliothèque Nationale , Paris
Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BDIC)
Bibliothèque Kandinsky, Centre Georges Pompidou
Bibliothèque municipale, Lyon ( Fondation Nationale de la Photographie)
Carré d’Art - Bibliothèque, Nîmes
l Diaframma, Milano
Collection Madeleine Millot-Durrenberger
Collection Mazuyer
Collection Karin Haddad
Collection Josselyne Naef
Collection Vuitton
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DOSSIER DE PRESSE
Les rendez-vous de l'exposition
(programme proposé sous réserve de modifications – entrée gratuite)
Samedi 30 janvier à 11h (sur réservation)
Rencontre entre l'artiste Jacqueline Salmon et le psychanalyste Hervé Castanet
Cette rencontre se propose de découvrir l'artiste invitée par l'Hôtel des Arts sous un
autre angle que l'aspect biographique. Elle permet d’éclairer les relations possibles
entre les œuvres de Jacqueline Salmon, ceux qui les regardent, l’artiste et Hervé
Castanet, psychanalyste à Marseille, membre de l’École de la Cause freudienne et
auteur de l'ouvrage « La Sublimation, L’artiste et le psychanalyste » (Economica,
Anthropos, 2014).
Jeudi 11 février à 18h30 (sur réservation)
Conférence sur les arts numériques avec Philippe Baudelot -En
collaboration avec la
compagnie L'Imparfait
Philippe Baudelot (sémiologue, commissaire indépendant et consultant en arts
numériques) aborde les arts numériques par le biais de l'implication et l'immersion
du corps du spectateur dans les œuvres. Souvent fondés sur la sollicitation spatiale
et tactile des sens, ils modifient le rapport frontal à l’œuvre en plaçant le public,
devenu acteur, en son centre. De la performance à l’installation et à des formes
innovantes, les œuvres numériques explorent différents modes d’expérience de
notre société.
Jeudi 25 février à 18h30 (sur réservation)
Performance de lightpainting avec Virgilien & Sandmotion
Cette performance de peinture en direct où l'artiste échange ses pinceaux par de la
lumière est révélée par une technique de prise de vue photographique projetée sur
un écran. Cette performance visuelle de Virgilien, accompagnée par l’envoûtante
formation musicale Sandmotion, se clôturera par un atelier participatif animé par
l'artiste.
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DOSSIER DE PRESSE
Samedi 12 mars à 20h (sur réservation)
Nuit TLN Digital #4 - En collaboration avec ElectrobE2Chambre
Pour la 4ème édition à l'Hôtel des Arts, une nouvelle exploration des cultures
numériques et électroniques est proposée par un croisement du son et de l'image.
Du live électronique à de nouvelles créations contemporaines liées aux outils
numériques, l'exposition se révèle encore différemment.
Jeudi 24 mars à 18h30 (sur réservation)
Concert du duo folk rock Grandes Mothers -
En collaboration avec Tandem
© Clément Puig
Les Grandes Mothers, c’est comme un collier de perles qu’on enfilerait avec des
aiguilles à tricoter, un hommage à nos grandes mères du rock. A la croisée du rock
acoustique et de la chanson folk dans la lignée de PJ Harvey, Shannon Wright...
Gabrielle Gonin et Sara Giommetti, ce sont deux contrebasses, deux voix, la force
de la simplicité et l’étonnement de faire naître des choses précieuses.
Samedi 2 avril de 14h à 18h (sans réservation)
Performance de dessin à l'explosif avec Cédric Ponti -
En collaboration avec Le PLAC
C’est dans un jeu de contradictions que nous entraîne Cédric Ponti en commençant
sa performance par un tableau blanc sur fond blanc, comme un écran déconnecté,
une peinture sans peintre. Puis le dessin prend forme, figuratif et en lien avec le
travail de Jacqueline Salmon. La performance prendra fin vers 17h30, au
crépitement de la mèche enflammée lorsque succède un joyeux éclairage du
tableau : des explosions tonnent libérant ainsi un flot de couleur sensible à
l'esthétique violente.
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DOSSIER DE PRESSE
Vendredi 22 avril à 20h (sur réservation)
Concert d'Hifiklub & Scanner pour la sortie de l 'album « Mayol »
© Olivier Amsellem
Dans le prolongement de nombreux projets aux croisements du rock moderne et
des musiques libres qu'Hifiklub développe en France et à l’étranger, ce nouvel
album a conduit le quatuor toulonnais sur le terrain des musiques expérimentales
et de la pratique du field recording. Hifiklub a effectué des captations lors du Top
14 au Stade Mayol pour intégrer ces éléments sonores à un travail d’improvisation
avec le musicien électronique Scanner, avant d'enregistrer des lectures d’Eric
Mangion, Jacques Serena, Rudy Ricciotti, Jean-Michel Bossini et Franck Micheletti.
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DOSSIER DE PRESSE
L’Hôtel des Arts - HdA
L’Hôtel des Arts, centre méditerranéen d’art du Département du Var, offre depuis
1999 des espaces de découverte de l’art contemporain. A travers sa programmation
artistique et la diversité des médiums présentés (peintures, dessins, photographies,
sculptures, vidéo, installations, arts numériques…), le centre d’art interroge les
problématiques contemporaines qui l’environnent et porte plus particulièrement un
regard sur les questions urbaines et la Méditerranée.
Sensibiliser le public à l’art des XXème et XXIème siècles, suivre au plus près
l’actualité artistique, commander des œuvres à des artistes, impulser des
résidences, ou encore soutenir la jeune création sont autant d’enjeux dans lesquels
l’Hôtel des Arts s'inscrit.
D’autre part, soucieux de garantir au public un accueil de qualité, le centre d’art
départemental multiplie les initiatives pour rendre l’art accessible au plus grand
nombre. Activités de sensibilisation à l'art, rencontres avec des acteurs de la scène
artistique contemporaine, événements culturels (concerts, performances), mise à
disposition de ressources documentaires sont autant de propositions qui font de
l’Hôtel des Arts un véritable lieu de vie et de rendez-vous.
Acteur clé du territoire varois en matière culturelle, l’Hôtel des Arts exporte
également ses actions hors de ses murs. Outre la présentation dans les communes
du Var du fonds d’œuvres qu’il a constitué au fil des années à l’occasion de ses
expositions, le centre d’art insuffle également des ateliers de sensibilisation à l’art
contemporain en direction des habitants du centre ancien de la ville de Toulon
(enfants, adolescents et parents) en collaboration avec l’association « Arts et
développement ».
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DOSSIER DE PRESSE
Informations pratiques
Exposition
Jacqueline SALMON
42,84 Km2 sous le ciel
Du 30 janvier au 24 avril 2016
Service presse et demande de visuels
anne samson communications
4, Rue de Jarente
75004 PARIS
Léopoldine Turbat – attachée de presse
01 40 36 84 42 – 06 11 81 50 35
[email protected]
Hôtel des Arts - HdA
Centre méditerranéen d’art du Département du Var
Entrée du public : 236 Boulevard Maréchal Leclerc – Toulon
Adresse postale : Hôtel des Arts, centre d’art du Département du Var – Rue
Saunier- BP5112 – 83093 Toulon Cedex
04 83 95 18 40 / [email protected] / www.hdatoulon.fr
Horaires
Ouverture du mardi au dimanche de 10h à 18h
Fermeture les lundi, 1er janvier, 1er mai et 25 décembre
Tarif
Entrée libre
L’accès aux expositions, activités de sensibilisation à l’art et événements est gratuit
Contacts Hôtel des Arts
Ricardo Vazquez
Directeur de l’Hôtel des Arts, Directeur des Affaires Culturelles
[email protected]
Céline Ricci
Adjointe au Directeur de l’Hôtel des Arts
Responsable de la communication et des relations publiques
[email protected]
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