Programme de salle - Opéra de Saint

//Saison 11/12//
toutou
Agnès et Daniel Besse
nouveau
L’After du Conservatoire
Les grands élèves jazz présentent :
« Musique à la carte »
Les grands élèves jazz vous proposent un cocktail musical sur mesure,
improvisations tous jazzimuts !
Commandez, écoutez, dansez !
Saxophone Rémy Jacquet
Piano Emmanuel Deplaude
Batterie Gaétan Poncet
Guitare Youssef Manard Basse Yannick Prudent Au Café Jules, le restaurant de l’Opéra Théâtre.
à l’issue de la représentation.
établissement de la Ville de Saint-étienne, l’Opéra Théâtre bénéficie du soutien
du Ministère de la Culture et de la Communication ( Direction Régionale des Affaires Culturelles ),
du Conseil régional Rhône-Alpes et du Conseil général de la Loire
L’Opéra Théâtre remercie l’ensemble de ses partenaires pour leur confiance et leur fidélité
Bientôt à l’Opéra Théâtre...
théâtre
Oh, boy !
Murail / Letellier
Quand Barthélémy Morlevent, 26 ans, reçoit une
convocation de la juge des tutelles, il se demande ce
qu’il a fait. Quand il y retrouve sa demi-sœur Josiane,
il se demande de quoi elle va encore l’accuser.
Lorsqu’il découvre qu’il a trois jeunes demi-frère
et sœurs, Siméon, Morgane et Venise, orphelins,
il se dit que ce n’est pas la première fois que son
père abandonne des gosses. Et quand la juge lui
apprend qu’il doit être leur tuteur, il se demande où
est la porte. C’est l’histoire d’une fratrie, l’histoire si
belle d’un homme que rien ne prédisposait à devoir
assumer une famille tombée du ciel. Une histoire
humaine simple et bouleversante.
D’après le roman de Marie-Aude Murail
Mise en scène Olivier Letellier
Avec Lionel Erdogan
Théâtre Copeau
Mercredi 18 jan. : 15h et 20h
Jeudi 19 jan. : 20h
Tarif : 15 € (et tarifs réduits)
festival
nouveau siècle
du 20 au 28 janvier 2012
voix
L’Opéra de quat’sous
Kurt Weill
Héritier de l’Opéra du Gueux présenté à Londres
en 1728 et dans la droite ligne du "ballad opera",
sorte de vaudeville musical où se succèdent des
airs populaires, l’Opéra de quat’sous, deuxième
collaboration entre Bertolt Brecht et Kurt Weill,
s’affirme comme une œuvre lyrique majeure du xxe
siècle.
Jonathan Peachum, roi des mendiants londoniens,
s’oppose au mariage de sa fille Polly avec le roi du
crime Mackie-le-Surineur. Un milieu où tout n’est
que mensonges et menaces, misère, agitation et
cupidité... et où même le happy end surgit comme
le prolongement de perpétuels retournements et
simulations.
Direction musicale Samuel Jean
Mise en scène Laurent Fréchuret
Grand Théâtre Massenet
Du 1er au 5 fév.
Tarifs : de 10 € à 36 € (et tarifs réduits)
da n s e
Viola - Contrepoint
Yan Raballand
Ces deux pièces illustrent à merveille le travail de
Yan Raballand, poursuite d’une forme d’écriture
chorégraphique où le mouvement sans interruption
se renouvelle constamment : balancements,
mouvements en boucles, répétitions qui se
superposent. Le mouvement exactement dupliqué
laisse apparaître une forme de perfection et donne
à voir le rapport d’espace et de temps entre chaque
interprète.
L’unisson provoque à l’œil la même vibration que
l’accord parfait à l’oreille. Une sorte de point
d’équilibre qui menace à chaque instant de basculer.
Présentation et chorégraphie Yan Raballand
Théâtre Copeau
Mercredi 8 fév. : 20h
Jeudi 9 fév. : 20h
Tarif : 15 € (et tarifs réduits)
1
L’Opéra Théâtre, côté coulisseS
janvier
EN PRÉPARATI
ON
L’Opéra de quat’sous du 1er au 5 février.
Après le succès de Barbe Bleue en 2010, l’Opéra
Théâtre s’apprête à recevoir à nouveau le Stéphanois
Laurent Fréchuret pour le chef-d’œuvre du tandem
Brecht/Weill. Sa mise en scène prend le parti du
perpétuel mouvement, dans une scénographie
vive et pleine de surprises en écho au grouillement
permanent de l’intrigue. Samuel Jean, à la tête d’un
groupe de musiciens totalement intégré au dispositif
théâtral, renforce depuis le piano la saveur de ce
mélange entre jazz et cabaret, mélodrame lyrique et
chant populaire qui a fait la fortune de l’œuvre.
O•n en pa
rle...
Lu dans La Tribune-Le Progrès sous la plume de
Jean-Luc Perrot à propos de l’ensemble baroque
Les Ombres en résidence à l’Opéra Théâtre :
« Voilà un ensemble prometteur, placé sous la
houlette de Sylvain Sartre et Margaux Blanchard,
que l’on aura plaisir à réécouter dans ce répertoire
baroque trop rarement présent dans
la programmation de l’Opéra Théâtre. »
© Cyrille Cauvet
LA PHOTO
L’île de Tulipatan
Les spectateurs de l’Opéra Théâtre ont changé
d’année dans l’univers loufoque de Jacques
Offenbach.
2
540
3 QUESTI
C’est le nombre de lycéens de la
Région Rhône-Alpes accueillis lors
des représentations lyriques de
la saison 11/12 dans le cadre de
l’opération Lycéens à l’Opéra.
ONS À...
Sébastien Giebler,
hautbois solo de l’OSSEL
Quel est votre parcours musical ?
Mes parents, non musiciens, m’ont toujours encouragé,
d’abord pour le piano puis pour le hautbois. à 15
ans, j’ai quitté la maison pour apprendre le métier
de musicien. En 1998, je finissais mes études au
Conservatoire Supérieur de Lyon et j’ai intégré l’orchestre
de Saint-étienne.
Quel est le rôle du hautbois dans l’orchestre ?
C’est un rôle central, déjà par sa position. Et puis c’est
lui qui donne le « la » qui permet à tous (musiciens et
public) d’entrer dans le monde de la musique...
C’est aussi un rôle délicat car c’est souvent lui qui règle
avec ses collègues le timbre et la justesse de l’harmonie
au moment des répétitions.
Parlez-nous du roseau...?
C’est capital pour le son ! Je fabrique moi-même
mes anches et j’achète le roseau au kilo dans le Var
(mondialement réputé pour cela). J’ai également chez
moi une goutteuse, une machine à tailler, une à gratter,
il faut ensuite monter les anches... Pour finalement
terminer en grattant l’anche à la pause des répétitions
pendant que mes collègues se détendent... Mais le son
mérite cela !
BRÈVE
• L’ensemble des personnels artistiques, techniques
et administratifs de l’Opéra Théâtre vous souhaitent
une année 2012 pleine de beaux spectacles,
de découvertes et de plaisirs artistiques.
toutou
Agnès et Daniel Besse
Mise en scène Anne Bourgeois
Assistante mise en scène Sonia Sariel
Décors Stéfanie Jarre
Costumes Mimi Lempika
Accessoires Nils Zachariasen
Alex Patrick Chesnais
Zoé Josiane Stoléru
Pavel Sam Karmann
Grand Théâtre Massenet
Mardi 17 janvier 2012 : 20h
Durée : 1h40 sans entracte
Nouvelle Scène Jean-Claude Lande et Jean Martinez présentent un spectacle
du Théâtre Hébertot .
3
SYNOPSIS
La Disparition
Z’avez pas vu Toutou ? « Où est donc passé ce chien. Je le cherche partout.
Où est donc passé ce chien. Il va me rendre fou. »
Où est passé Toutou ? Pourquoi a-t-il échappé au regard d’Alex ?
Petit a : Alex discutait avec la jolie voisine.
Petit b : Alex a tué Toutou.
Petit c : Toutou a opté pour l’école buissonnière.
Toutou absent, rien ne va plus chez Alex et Zoé. La disparition met à mal
l’image du couple chic, soudé et brillant.
La metteur en scène Anne Bourgeois a choisi Patrick Chesnais, Sam Karmann et
Josiane Stoléru pour incarner trois quinqua en crise. Joutes verbales et humour
au vitriol pour brosser les petits drames de la vie conjugale. à la disparition du
chien s’ajoute la visite de Pavel. Le vieil ami, esseulé, en manque de tendresse.
Une partition à trois voix pour une symphonie meurtrière où chaque grief
conjugal est en ligne de mire. Touchée, coulée, la petite bourgeoisie parisienne
est décapée à grand renfort d’humour noir et de rixes verbales. Sans Toutou,
l’érosion des sentiments dézingue routine et quotidien. Répliques cinglantes
pour joutes meurtrières. La langue ciselée, cinglante et vive est soutenue par
des comédiens excessifs, jubilatoires, dévastateurs. Le potentiel comique du trio
éclate, de sourires en éclats de rire.
Z’avez pas vu Toutou ? « Où est donc passé ce chien. Je le cherche partout.
Où est donc passé ce chien. Il va me rendre fou. »
Aurélie Noailly
4
note
d’intention
Lorsqu’une épouse (Josiane Stoléru) demande à son mari (Patrick Chesnais)
où est le chien, lorsqu’une pointe d’angoisse perce dans sa voix, qu’il est onze
heures du soir, que le monsieur en manteau, une laisse vide à la main, enfoncé
dans le canapé, répond « je ne sais pas »… c’est que la tragédie du quotidien
plane sur le couple. Elle et lui forment pourtant un ensemble remarquablement
construit, leur place dans la société est assumée, ces gens-là sont résolument
des gens de la ville, ouverts au monde, ils ont une conscience citoyenne très
développée, mais pour eux comme pour d’autres, un rouage dans la machine est
venu ralentir leur course, les ramener à leur solitude, casser leur belle harmonie
de naguère. Il en va de même pour leur brillant meilleur ami (Sam Karmann),
qui vient chercher auprès d’eux en pleine nuit la chaleur et le réconfort qu’un
chien trouve près de ses maîtres.
L’absence du chien, ce sont les non-dits qui émergent. Quand « Toutou »
disparaît, rien ne peut être comme avant. Toutou, c’est une parabole comique de
la vie moderne construite sur des schémas urbains dérisoires, la drôle d’histoire
des propriétaires de chiens emmurés dans une affection animale qui canalise
leurs manques.
Le départ du chien stigmatise les fractures, celles de l’amitié, de l’amour, du
désir. Se pourrait-il qu’il revienne ?… Les auteurs signent une comédie aussi
tendre qu’elle peut être vive et âpre, grâce à une situation de départ qui
oscille entre burlesque et poésie. Les interventions du meilleur copain sont
des variations désopilantes sur les différentes manifestations de l’amitié, ses
exigences, sa tyrannie injuste, l’asservissement assumé qui lie parfois ceux qui
s’aiment.
Le rire est dans la vérité de l’écriture, dans ce théâtre-miroir qui n’attend que le
son des interprètes pour résonner, dans leurs excès qui les poussent hors d’euxmêmes, cassant les apparences du réalisme pour rejoindre la comédie.
Agnès Bourgeois, metteur en scène
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LA PRESSE
EN PARLE
Le Figaro
« Le texte est très intelligent et le décor magnifique ! Bref, c’est un spectacle
passionnant, quel que soit notre avis sur les chiens ! »
Journal du dimanche
« L’interprétation est idéale : Patrick Chesnais, parfait dans l’énervement comme
dans la ruse, Josiane Stoléru, l’épouse angoissée, et Sam Karmann, l’ami à l’air
de chien battu. Une comédie sociale d’aujourd’hui, légère et caustique et un
divertissement bien rodé. »
Pariscope
« L’absence du bâtard déclenche chez le couple une crise majeure et existentielle.
On parle de frustrations, de mensonges et d’infidélité. Tout part en vrille et le chien,
témoin muet et absent, est responsable de tout. La mise en scène d’Anne Bourgeois
laisse une belle liberté aux comédiens dans leurs excès et leurs confessions
ravageuses. Patrick Chesnais, Josiane Stoléru et Sam Karmann forment un trio
épatant, dans le tragique comme dans le comique. »
Au-theatre.com
« Une comédie de mœurs drôle, fine, intelligente, portée par des comédiens
d’exception. »
6
BIOGRAPHIE
Daniel BESSE
et Agnès BESSE
auteurs
Daniel Besse est comédien, metteur en scène et
auteur. Il a joué sous la direction de Bernard Sobel,
Alain Mollot, Jean Gillibert, François Tanguy, Jacques
Labarrière, Danièle Chinski, Marjorie Nakache,
étienne Bierry, Marion Bierry, Stéphane Hillel et
mis en scène des pièces de Jean-François Charlier
(Chambre 304), Léonide Zorine (Le Sujet disparu),
Georges Perec (L’Augmentation) ou Denis Diderot (Le
Neveu de Rameau).
Il est l’auteur des Directeurs, sa première pièce portée
à la scène, cinq fois nominée aux Molières en 2001,
pour laquelle il a reçu le Molière du meilleur auteur
francophone et celui de la meilleure création, ainsi
que le prix SACD Nouveau Talent 2001. On lui doit
aussi, plus récemment, Les Bonniches, Hypothèque et
Le Meilleur Professeur.
Agnès Besse est Professeur agrégé de Lettres
classiques. Enseigne au Lycée Henri IV à Paris.
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BIOGRAPHIE
Sortie de l’école de la Rue Blanche en 1989, elle
débute comme assistante à la mise en scène puis se
passionne pour le théâtre de troupe itinérant où elle
signera les mises en scène des succès musicaux de la
Troupe du Phénix, notamment La Double Inconstance
de Marivaux, Le Petit Monde de Georges Brassens ,
La Nuit des Rois de Shakespeare et Splendeur et Mort
de Joaquin Murieta de Pablo Neruda.
Actuellement, on peut voir à Paris et en tournée BoxOffice de David Mamet, Des Souris et des Hommes de
John Steinbeck, le one-man-show de Warren Zavatta
Ce soir dans votre ville , ainsi que le tout nouveau
spectacle de Jacques Gamblin Tout est normal, mon
cœur scintille. Récemment, elle a mis en scène Drôle
de Couple de Neil Simon avec Martin Lamotte,
Cochons d’Inde de Sébastien Thiéry avec Patrick
Chesnais et Josiane Stoléru ; Les Diablogues de
Roland Dubillard avec François Morel et Jacques
Gamblin au Théâtre du Rond-Point ; Lacrimosa de
et avec Régis Jauffret au Théâtre du Rond-Point ;
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© DR
Anne BOURGEOIS
mise en scène
Avec deux ailes de Danielle Mathieu-Bouillon avec
Véronique Jannot, Jean-Michel Dupuis puis Marc
Fayet ; La Mouette de Tchekhov (Festival d’Avignon
et Théâtre 14) ; Sur la route de Madison avec Alain
Delon et Mireille Darc au Théâtre Marigny ; Cher
menteur de Jérôme Kilty avec Patrick Préjean au
Théâtre du Ranelagh ; Sur le fil de et avec Sophie
Forte et Philippe Sivy à la Comédie Bastille ; La
Peau d’un fruit de et avec Victor Haïm au Théâtre
du Rond-Point ; Les Montagnes Russes d’éric Assous
avec Alain Delon et Astrid Veillon au Théâtre
Marigny ; Cinquante -cinq dialogues au carré de
et avec Jean-Paul Farré et Jean-Jacques Moreau
au Théâtre National de Chaillot ; La Boîte à outils
de Roland Dubillard au Théâtre du Rond-Point ;
Histoire d’un merle blanc de Musset et Hélas, petite
épopée apocalyptique de Stéphanie Tesson, deux
monologues interprétés par Stéphanie Tesson ; Café
Chinois de Ira Lewis qu’elle a co-mis en scène avec
Richard Berry.
Elle dirige également des séances de jeu sur le
travail du clown utilisé comme outil de recherche
pour l’acteur.
BIOGRAPHIE
Il le dit lui-même : « je peux être le distrait qui a la
tête dans les nuages mais beaucoup plus sombre
et plus dur si ça me prend ». Sur une scène ou à
l’écran, Patrick Chesnais est un acteur tout-terrain,
à l’aise dans tous les registres, capable de faire rire
ou pleurer… ou les deux en même temps. Sorti en
1968 du Conservatoire de Paris avec le Premier Prix
de Comédie, il joue au théâtre les plus grands rôles
du répertoire sous la direction de metteurs en scène
prestigieux, avant de débuter une carrière prolifique
au cinéma dans Les Naufragés de l’Île de la tortue de
Jacques Rozier en 1976.
Difficile aujourd’hui, après 35 ans de carrière, de
faire le compte exact de tous les films auxquels il a
participé – il en avoue à peu près une soixantaine,
parmi lesquels il aime mettre en exergue Je ne suis
pas là pour être aimé de Stéphane Brizé, tourné aux
côtés d’Anne Consigny (« Là, j’ai eu le sentiment
de faire du cinéma » confie-t-il) : un rôle qui lui a
d’ailleurs valu en 2006 une nomination pour le
César du Meilleur Acteur, tandis qu’il avait déjà
reçu en 1989 celui du Meilleur second rôle pour son
interprétation dans La Lectrice de Michel Deville, avec
Miou-Miou pour partenaire.
© Aurélien Faidy
Patrick Chesnais
alex
Même chose au théâtre, où Patrick Chesnais a
été deux fois nominé pour le Molière du Meilleur
Comédien (Joe Egg en 1988 et Skylight en 1998),
avant de recevoir la récompense suprême en 2009
pour sa fabuleuse prestation dans Cochons d’Inde,
la première pièce de Sébastien Thiéry.
Unanimement reconnu comme l’un des meilleurs
acteurs français actuels, Patrick Chesnais, également
réalisateur, scénariste et dialoguiste est l’auteur
de Charmant Garçon pour le cinéma (2000), de
Bien agités ! pour la télévision (2004) ainsi que du
court-métrage Face ou Pile (2004). Patrick Chesnais
est Officier des Arts et des Lettres et Chevalier de la
Légion d’honneur.
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BIOGRAPHIE
Josiane Stoléru est une familière des plateaux
de cinéma depuis les années 80. Parmi les films
marquants qui ont jalonné sa carrière, on peut
citer Blanche et Marie de Jacques Renard en 1980,
Fréquence Meurtre d’élisabeth Rappeneau (1988),
Cyrano de Bergerac de Jean-Paul Rappeneau (1990),
Soleil de Roger Hanin (1997), Une Part de Ciel de
Bénédicte Liénard (2002), À la petite semaine de Sam
Karmann (2003).
On a pu la voir cette année dans HH, Hitler à
Hollywood, de Frédéric Sochjer. Mais Josiane Stoléru
est avant tout une amoureuse du théâtre. Elle est
montée pour la première fois sur les planches au
Festival d’Avignon en 1973 dans Autocritique de Peter
Handke, mise en scène de Gaston Jung. Depuis, elle
a joué dans plus d’une quarantaine de pièces, aussi à
l’aise dans le répertoire classique que contemporain.
Deux ans après qu’ils aient déjà été réunis dans
Cochons d’Inde, Josiane Stoléru retrouve dans Toutou,
Patrick Chesnais, son mari à la ville comme à la
scène… pour le meilleur comme pour le pire !
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© Pascal Ito
Josiane Stoléru
zoé
BIOGRAPHIE
« Après un an aux cours de François Florent Sam
Karmann est admis à l’école de la Rue Blanche
(ENSATT) puis rejoint une troupe de jeunes acteurs
qui sortent du Conservatoire National, emmenée
par Jean-Pierre Bouvier, dont le spectacle de sortie,
Lorenzaccio, fut un véritable événement cette annéelà. Le Théâtre d’Action Populaire, fondé par JeanPierre Bouvier, lui permet pendant dix ans de le suivre
à travers d’autres pièces du répertoire et dans une
dizaine d’autres créations. Il en profite pour faire ses
premiers pas de metteur en scène avec Le Roi s’amuse
de Victor Hugo. Ces années sont fondatrices pour lui.
Parallèlement, pendant les années 80, il apparaît
dans des petits rôles au cinéma (Le Grand Pardon,
Le Grand Carnaval, Train d’Enfer, La Rumba...) et fait
quelques belles rencontres au théâtre : Maurice Béjart
(Les Cinq NO modernes de Mishima), Robert Hossein
(Le Courrier de Lyon) et La Compagnie Renaud
Barrault (Le Soulier de Satin).
Au cours des années 90, il apparaît dans les premiers
épisodes de la série Navarro et aussi au théâtre
avec Cuisine et dépendances ou Un Air de famille de
Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui, ainsi que Raisons
de Famille de Gérald Aubert, des rôles lui permettant
d’être deux fois nommé au Molière du second rôle.
Il réalise Omnibus en 1992, court-métrage qui obtient
la Palme d’Or à Cannes et l’Oscar à Hollywood, lui
permettant ainsi de poursuivre son travail de metteur
en scène au cinéma.
© Gérard Nataf
Sam KARMANN
alex
Depuis les années 2000, il alterne entre son travail
d’acteur et celui de metteur en scène : il joue Love
et Frankie et Johnny au théâtre, écrit et réalise
au cinéma Kennedy et Moi, à la petite semaine,
La Vérité ou presque et six épisodes de la série
culte canadienne Les Bougon pour la télévision.
Au cinéma, on le retrouve notamment dans La
Cité de la peur, Le Goût des autres, Mr Batignole,
Casablanca Driver et bientôt Radiostars.
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Locations / réservations
du lundi au vendredi de 12h à 19h
04 77 47 83 40
[email protected]
Conception graphique : www.breakfast-included.com
Réalisation : Opéra Théâtre de Saint-Étienne - Licences n°1028383-1028384-1028385
Opéra Théâtre de Saint-étienne
Jardin des Plantes – BP 237
42013 Saint-étienne cedex 2
www.operatheatredesaintetienne.fr