LIVRE BLANC Le retour sur investissement de la restructuration des

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LIVRE BLANC Le retour sur investissement de la restructuration des
LIVRE BLANC
Le retour sur investissement de la restructuration des
mécanismes de sauvegarde grâce à la déduplication : une
étude réalisée auprès des utilisateurs EMC Data Domain
Parrainé par : EMC
Richard L. Villars
Eric Hatcher
Siège social : 5 Speen Street Framingham, MA 01701 États-Unis
P.508.872.8200
F.508.935.4015
www.idc.com
Mars 2010
RÉSUMÉ
IDC s’est longuement entretenu avec des représentants de neuf entreprises
utilisant actuellement des systèmes de stockage avec déduplication
EMC Data Domain (remarque : Data Domain a été racheté par EMC en
juillet 2009). Ces entretiens ont permis de mieux connaître les pratiques des clients
dans le domaine des sauvegardes et de collecter un très grand nombre de données
quantitatives, qu’IDC a intégrées dans son analyse de retour sur investissement
(ROI). Ce livre blanc IDC étudie les principaux avantages que présentent les
systèmes Data Domain dans le cadre de l’évolution des pratiques de sauvegarde et
de protection des données. Ce document examine également en quoi les
possibilités de réplication Data Domain pour le déplacement des données d’un
système à l’autre favorisent une baisse des coûts de sauvegarde/restauration et de
gestion associée, une hausse de la productivité du personnel informatique et une
meilleure efficacité de la gestion de l’espace.
Les moyennes déterminées à la suite de cette enquête ont permis d’identifier les
principaux bénéfices clients de Data Domain :
` Les clients ont économisé plus de 1 000 000 $ par an.
` Les clients ont dégagé un retour sur investissement sur trois ans de 264 % et
amorti leur investissement en 6,6 mois.
` Au cours de la première année ayant suivi le déploiement, les clients ont
économisé 200 000 $ en coûts d’acquisition de librairies et de lecteurs
de bandes.
` Les clients ont économisé 156 555 $ par an en frais de maintenance pour le
matériel librairies/lecteurs de bandes.
` Les clients ont économisé plus 80 000 $ par an pour de nouveaux serveurs.
` Les clients ont réduit le délai de restauration de 4,6 heures à 35 minutes.
` Les clients ont réduit le temps de travail du personnel informatique sur trois
ans de 1,6 équivalent temps plein.
TROIS CLÉS POUR VALIDER
L’INVESTISSEMENT INFORMATIQUE
Dans le contexte économique actuel, il est impératif pour les entreprises de
procéder à une collecte et à une utilisation efficaces des informations. Dès lors
qu’elles peuvent accéder à des informations pertinentes au moment et à l’endroit
voulus, les entreprises peuvent améliorer la gestion de leurs coûts, prendre des
décisions plus pertinentes et réagir plus rapidement à un environnement en
perpétuelle évolution.
Dans un grand nombre de secteurs d’activité, il est essentiel que les dirigeants
investissent de manière avisée dans des systèmes informatiques qui soutiennent
les objectifs économiques de leur entreprise. Pour cela, trois critères doivent être
examinés. L’investissement proposé peut-il :
` contribuer à réduire ou maîtriser les hausses de coûts opérationnels (garantie
d’un ROI élevé) ?
` garantir l’intégrité de l’activité en cas de défaillances au niveau du système
et du site (favoriser une meilleure reprise d’activité après sinistre) ?
` répondre à des impératifs de gestion d’informations en constante
évolution (offrir des fonctions compatibles avec un éventail grandissant
d’applications, de types d’informations et d’exigences en matière de rétention
des données) ?
Maîtriser les coûts liés à l’activité
Les hausses imprévisibles ou incontrôlables des coûts des systèmes
informatiques sont inacceptables, notamment en ce moment où les entreprises
sont amenées à contrôler étroitement leurs dépenses d’investissement et
d’exploitation. Pour leur part, les directeurs informatiques doivent réduire leurs
investissements en matériel informatique et en ressources administratives.
La consolidation des ressources informatiques, qui vise à en optimiser l’utilisation
au gré des besoins, représente à ce titre l’une des composantes clés de leurs
efforts. Des technologies comme la virtualisation des serveurs permettent aux
départements informatiques de consolider les ressources serveur en constante
évolution, d’augmenter le niveau d’utilisation des serveurs et d’être plus
réactifs face aux nouveaux besoins en matière de serveurs ; elles sont donc
considérées comme des éléments indispensables à une meilleure utilisation des
ressources informatiques.
Or, le renforcement de l’efficacité opérationnelle du département informatique via
la consolidation n’est pas un effort ponctuel. Avec le développement constant des
entreprises, les ressources soutenant l’activité peuvent rapidement commencer
à éroder les marges et constituer un obstacle à la croissance à venir.
La consolidation doit, par conséquent, être considérée comme un processus
itératif permanent.
Par exemple, les bénéfices tirés de la consolidation des serveurs peuvent être
rapidement neutralisés par les augmentations des coûts de stockage et de
gestion nécessaires pour soutenir le pool grandissant de serveurs virtualisés.
Par conséquent, les départements informatiques doivent déployer des solutions
de stockage dans le cadre de leurs efforts constants d’optimisation de l’efficacité
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du datacenter. Ces efforts incluent la baisse des coûts liés aux systèmes de
bandes existants et la réduction des jeux de données extrêmement redondants
générés dans des environnements de serveurs virtualisés.
Soutenir l’activité
Les meilleures informations au monde ne servent à rien si les clients, employés
ou partenaires commerciaux ne peuvent y accéder en temps opportun.
Les problèmes de disponibilité et d’intégrité des informations peuvent avoir une
incidence directe sur le chiffre d’affaires et le bénéfice. De même, les problèmes
de gestion des données en rapport avec la gouvernance d’entreprise peuvent
influencer les réputations et avoir d’importantes implications juridiques.
Les problèmes de continuité de l’activité et de disponibilité des informations n’ont
jamais été aussi importants pour les dirigeants et les responsables informatiques
qu’au moment de prendre des décisions d’investissement. Ils doivent, en effet,
composer avec un ensemble croissant d’applications stratégiques, une fenêtre de
plus en plus réduite garantissant malgré tout un délai de restauration des
applications acceptable et une perception accrue des coûts liés à la perte ou à la
corruption des données.
L’amélioration des normes de restauration et de disponibilité des données par le
biais de sauvegardes plus larges et plus fréquentes se révèle souvent peu
pratique ou excessivement onéreuse. Une activité permanente implique une
réduction considérable des fenêtres de sauvegarde alors même que les données
à sauvegarder prolifèrent rapidement. D’un point de vue financier et technique,
il n’est pas possible de consacrer davantage de ressources à ce problème.
Dans cette nouvelle configuration, les départements informatiques doivent
investir dans des solutions qui leur permettent de consolider et d’automatiser les
processus de protection et de restauration des données dans l’ensemble de
l’entreprise. Les responsables informatiques doivent réduire les coûts et simplifier
encore davantage la gestion des restaurations locales. Dans le même temps,
ils doivent tirer le meilleur parti de la réplication des données à des fins de
sauvegarde sur les sites distants dans le but de renforcer la continuité globale
des applications et la reprise d’activité après sinistre à l’échelle de l’entreprise.
Prendre en compte la diversité des besoins
d’informations
L’augmentation de l’efficacité informatique dans le seul but de réduire les coûts
opérationnels est acceptable dès lors qu’une entreprise a pour seul objectif
d’accroître ses bénéfices. La réussite d’une entreprise repose toutefois rarement
sur les seules marges bénéficiaires. Les entreprises doivent constamment
rechercher de nouveaux clients et de nouvelles sources de revenus en innovant
dans les produits et services. Actuellement, l’un des principaux moyens de
développer et de proposer des offres novatrices repose sur une meilleure
utilisation des ressources d’informations plus diversifiées. À savoir :
` Utilisation de la messagerie, d’outils de collaboration et de sites Web pour
communiquer et travailler avec les clients et les partenaires commerciaux
` Collecte, stockage et analyse de davantage d'informations en rapport avec
les produits, les clients et les transactions
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` Numérisation des enregistrements
Le recours généralisé à la création et à l’archivage des informations influe
déjà fortement sur les environnements de stockage d’une entreprise.
Les responsables informatiques réalisent en effet que les coûts de stockage et de
gestion de différents référentiels d’entreprise constitueront à terme un problème
majeur pour bon nombre d’administrateurs de datacenters.
Le problème de la gestion des fichiers de CAO obsolètes illustre parfaitement
l’étendue de cette difficulté. Au cours des entretiens menés auprès d’un
certain nombre de sociétés de conception et d’ingénierie, les administrateurs
informatiques nous ont indiqué que la durée de vie effective de la plupart des
contenus de CAO était comprise entre 30 jours et 1 an. Une rapide analyse de
leurs serveurs de fichiers et de leurs systèmes NAS fait apparaître que plus de
80 %, et bien souvent plus de 90 % des données de CAO sont dupliquées et
n’ont pas été consultées pendant des mois, voire des années.
Actuellement, un grand nombre de ces pools de contenus grandissants (comme
les fichiers de CAO mentionnés précédemment) occupent inutilement un espace
de stockage principal coûteux ainsi que des ressources de sauvegarde limitées
(en temps et en capacité). Face au développement démesuré, voire imprévisible,
des informations, les départements informatiques doivent déployer des solutions
de stockage capables de prendre en charge un vaste ensemble d’informations et
d’exemples d’utilisation.
La suite de ce livre blanc étudie en quoi les solutions de stockage avec
déduplication EMC Data Domain aident les entreprises à mieux faire face aux
problèmes de sauvegarde, de restauration, de stockage à long terme et de
reprise d’activité après sinistre. Elle propose également une évaluation détaillée
des principaux atouts et du retour sur investissement résultant de l’utilisation de
systèmes de stockage avec déduplication Data Domain.
PRINCIPAUX ATOUTS DES SYSTÈMES
DATA DOMAIN
Pour vérifier et quantifier les avantages du déploiement de systèmes de stockage
avec déduplication Data Domain, IDC s’est entretenu avec les directeurs et
responsables informatiques de neuf entreprises ayant intégré des solutions
Data Domain dans leur infrastructure de stockage. Parmi ces entreprises figurent
une grande société de services financiers, Canadian National Railway (CN), qui
gère le seul réseau ferré transcontinental d’Amérique du Nord, une société de
médias internationale et enfin, un fabricant canadien de renommée mondiale qui
dispose d’installations de fabrication aux États-Unis, en Europe et également en
Asie. Les entretiens ont essentiellement porté sur les expériences de ces
différents utilisateurs et sur les économies qu’ils ont pu réaliser en matière de
sauvegarde de données depuis l’implémentation de systèmes Data Domain.
Les entreprises comptent de 5 000 à plus de 100 000 employés. Le personnel
informatique compte pour sa part de 12 à plus de 700 employés. Au sein des
départements informatiques, cinq personnes en moyenne travaillent directement
avec les systèmes Data Domain. Le détail de la population étudiée est présenté
dans le tableau 1.
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TABLEAU 1 :
Informations démographiques
Nombre moyen d’employés
10 067
Nombre moyen de personnes affectées au
département informatique
285
Nombre moyen d’utilisateurs Data Domain
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Source : IDC, septembre 2009
Bénéfices
Les neuf entreprises interrogées par IDC ont tiré d’importants bénéfices du
déploiement de solutions Data Domain. La réduction des coûts de sauvegarde a
permis de réaliser les économies les plus importantes, avec en moyenne plus
d’1 million de $ par an pour chaque entreprise. Les économies annuelles
moyennes résultant de la hausse de productivité du département informatique
ont représenté 204 210 $, tandis que celles provenant de la simplification et de
l’amélioration de la gestion du stockage a représenté en moyenne 123 277 $ par
an. Pour les neuf entreprises, les économies réalisées en moyenne depuis le
déploiement de solutions Data Domain se sont élevées à 1 347 640 $ par an.
La répartition de ces bénéfices et les économies annuelles moyennes sont
illustrées à la figure 1.
FIGURE 1
Bénéfices annuels moyens tirés de Data Domain
Source : IDC, septembre 2009
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Réduction des coûts de sauvegarde
Les principales réductions de coûts résultent de l’absence de besoin de mise
à niveau des librairies et des lecteurs de bandes, et des économies réalisées en
termes de maintenance des lecteurs de bande. Les clients ont eu à choisir entre
augmenter la taille d’un système de bandes obsolète et inefficace, et la mise
à niveau de leurs moyens de sauvegarde en utilisant des systèmes Data Domain.
Après comparaison de leurs dépenses depuis le déploiement de Data Domain
avec ce qu’ils auraient investi dans un système de bandes, il ressort que les
clients ont, en moyenne, économisé au total 429 264 $ par an (voir figure 2).
Les économies annuelles réalisées sur le transport des bandes ont pour
leur part représenté 71 510 $ supplémentaires, tandis que la réduction du
nombre de sous-traitants nécessaires a permis une économie annuelle moyenne
supplémentaire de 77 571 $.
Vous trouverez ci-dessous la synthèse des discussions menées avec les clients
ayant déployé des systèmes Data Domain et bénéficié d’une baisse des coûts
de sauvegarde.
Avant de déployer la solution Data Domain, une société de services financiers
possédait, sur chacun de ses 80 sites, un ou deux lecteurs de bande LTO, d’un
coût unitaire approximatif de près de 11 000 $. « Avant, nous avions beaucoup
de bandes et consacrions beaucoup d’heures-ressources à leur permutation »,
indique le responsable. « Maintenant, nous n’utilisons plus de bandes. Nous
économisons sur le transport des bandes et gagnons environ 30 minutes par jour
puisque nous n’avons plus à permuter les bandes sur chacun de nos sites. Grâce
à la déduplication, nous économisons de l’espace disque et évitons près de
25 000 $ d’investissement annuel en nouveaux disques. »
Avant le déploiement de sa solution Data Domain, CN Railway disposait de
librairies de bandes sur 10 sites distants et des lecteurs de bande sur 17 autres
sites. Kevin Whelan, Directeur, Systèmes d’exploitation et stockage, a précisé
« Nous disposons maintenant d’une unité Data Domain sur chaque site.
Nous nous en servons pour répliquer des données sur notre datacenter principal.
Avant, tous les matins, il fallait qu’un membre de chaque site enlève la bande du
lecteur et en remette une autre. » L’entreprise estime qu’elle gagne au moins
20 minutes par jour sur ses 27 sites, ce qui représente un gain de neuf heures au
total. Cette entreprise se sert également de trois unités Data Domain pour
répliquer ses données sur son site de reprise d’activité. « Nous réalisons des
économies en termes de transport et de temps. Auparavant, nous devions
charger les bandes sur un site, confier leur acheminement à un fournisseur de
services tiers jusqu’à notre site de reprise d’activité au terme d’un trajet de
20 heures, puis les monter dans une librairie de bandes. »
En ayant recours aux fonctions de régulation de la bande passante du logiciel
Data Domain Replicator pour gérer le débit des données entre les sites, les
entreprises peuvent également réduire leurs coûts liés à la bande passante.
Un responsable indique « Au cours de la journée, nous transférons nos données
à bas débit pendant les périodes d’activité intense et à un débit beaucoup plus
important pendant les périodes plus creuses. Sans cette fonction, il nous faudrait
deux fois plus de bande passante sur certains sites. Nous économisons donc de
20 000 à 30 000 $ par mois en bande passante. »
En déployant la solution Data Domain, une société de médias est parvenue
à supprimer les librairies de bandes sur son site de reprise d’activité et à éviter
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une mise à niveau dans son datacenter principal. « Nous disposions d’une
librairie de bandes dépassée sur l’un de nos sites, et la solution de sauvegarde
locale posait problème », continue le responsable. « Nous avons remplacé la
librairie de bandes par le système Data Domain. Aujourd’hui, nous procédons au
stockage électronique sur des disques vault avec deux sites de la Côte Ouest, et
nous répliquons les données vers notre bureau de New York. »
Avant le déploiement Data Domain, une entreprise employait un format LTO qui
n’était plus pris en charge par le fournisseur du lecteur de bande. « Comme nous
disposions d’environ 10 000 bandes, nous avons cherché à investir dans une
solution nous permettant de nous affranchir de ce type de support », ajoute le
responsable. « Nous avons opté pour la solution Data Domain qui a été
rapidement amortie puisque nous utilisions près de 1 000 bandes par trimestre.
Nous n’enregistrons plus rien sur bande, ce qui nous permet de cumuler les
économies. » L’entreprise est également parvenue à supprimer le goulot
d’étranglement opérationnel engendré par les sauvegardes sur bande. Avant
l’implémentation, l’utilisation du CPU des serveurs de sauvegarde était restreinte.
Maintenant, le taux d’utilisation est supérieur à 80 %, ce qui évite à l’entreprise
d’investir dans de nouveaux serveurs.
FIGURE 2
Réduction des coûts de sauvegarde annuels
Source : IDC, septembre 2009
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Productivité accrue du département informatique
Avec la solution Data Domain, chacune des neuf entreprises a réduit ses besoins
en équivalents temps plein pour la gestion des sauvegardes, la réalisation des
audits et pour assurer d’autres fonctions. De même, en moyenne, le temps
consacré aux sauvegardes a été plus que divisé par deux ; les délais de
restauration ont, pour leur part, été réduits de 53 %. En moyenne pour les neuf
entreprises, les économies provenant de la hausse de la productivité du
département informatique se sont élevées à 204 210 $ par an (voir figure 3).
La réduction du nombre d’heures de sauvegarde a représenté la somme de
75 989 $ dans les bénéfices annuels moyens. Les économies provenant de la
réduction du nombre d’équivalents temps plein nécessaires à la gestion des
sauvegardes ont également contribué aux bénéfices annuels moyens pour
32 838 $. Cette baisse du nombre d’ETP pour les tâches d’audit a aussi permis
de réaliser en moyenne 10 343 $ d’économies annuelles supplémentaires.
Vous trouverez ci-dessous la synthèse des discussions menées avec les clients
ayant déployé des systèmes Data Domain et bénéficié d’une amélioration de leur
productivité informatique.
Avant le déploiement des systèmes de déduplication Data Domain, une société
de services financiers ne disposait pas de suffisamment de temps pour ses
sauvegardes. Au cours de l’entretien, un responsable a indiqué « Notre fenêtre
de sauvegarde est comprise entre 17 et 18 heures. Nos serveurs continuaient
à ingurgiter les sauvegardes de données lorsqu’elles devaient être mises à la
disposition de nos utilisateurs. Aujourd’hui, tout est effectué en temps réel. Nous
n’avons également plus besoin de mobiliser quelqu’un pour permuter les bandes,
ce qui nous permet de gagner 30 minutes par jour et par site. »
Un client Data Domain gagne désormais près de 47 heures par mois, huit heures
par semaine en temps consacré aux tâches informatiques de back-office, car la
solution Data Domain est plus simple à gérer. Elle fait également gagner de cinq
à dix heures supplémentaires par mois sur la gestion de l’allocation du stockage,
et 5 heures supplémentaires par mois sur la demande d’espace.
Les systèmes Data Domain ont permis aux clients de réduire considérablement
les délais de restauration. Un client consacrait une journée par mois à la gestion
des sauvegardes sur son site principal. À présent, cette tâche ne lui prend que
quelques heures. Une stratégie de sauvegarde plus cohérente a également
simplifié les audits de l’entreprise. « Nous procédons à des audits tous les
trimestres. Avant, il fallait compter neuf jours. Maintenant, un seul jour suffit »,
indique un responsable.
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FIGURE 3
Productivité accrue
Source : IDC, septembre 2009
Meilleure gestion du stockage
En écourtant le délai de restauration et en réduisant le nombre d’erreurs de
stockage des données et de sauvegardes avortées, la solution Data Domain
a permis aux neuf entreprises de réaliser des bénéfices moyens de 123 277 $
par an.
Vous trouverez ci-dessous la synthèse des discussions menées avec les clients
ayant déployé des systèmes Data Domain et bénéficié d’une meilleure gestion
du stockage.
Un fabricant est passé de 25 erreurs par mois avec son système à bandes
à aucune erreur avec la solution Data Domain. « Nous perdions en moyenne
deux heures chaque fois qu’une erreur se produisait sur nos sauvegardes sur
bande », a précisé le responsable. « Lorsqu’une bande était défaillante, nous
perdions également des données. Nous n’avons jamais rencontré ce problème
avec Data Domain. En outre, les quatre ou cinq restaurations que nous réalisons
chaque semaine ne durent désormais que quelques minutes chacune. Avant, si
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la bande était sur site, cela nous prenait une heure. Si elle se trouvait ailleurs, les
restaurations pouvaient prendre jusqu’à huit heures. »
Avec son système à bandes, CN Railway pouvait effectuer 20 ou
30 restaurations par semaine. « Si la bande était sur site, une restauration durait
de trois à quatre heures. Si elle n’était pas sur le site, ce qui était le cas la moitié
du temps, une restauration pouvait durer deux jours », ajoute Kevin Whelan,
responsable. « Le fait de pouvoir procéder plus rapidement à des restaurations
est un facteur essentiel pour la continuité de l’activité. Avant, si un utilisateur
supprimait un rapport par erreur, il devait patienter deux jours ou recréer tout
simplement le rapport pour gagner du temps. »
La société de médias a considérablement réduit le nombre d’erreurs système en
remplaçant son système à bandes. « Le temps de restauration a également
baissé, avec en moyenne cinq minutes contre 30 minutes auparavant », précise
le responsable. « Nous gagnons également du temps pour les restaurations car
elles sont désormais instantanées. »
Synthèse des bénéfices, investissements et
recettes nettes cumulées
La figure 4 illustre l’investissement opéré sur trois ans dans la solution
Data Domain. Comme il est fréquent de le constater dans les études que mène
IDC sur le ROI, les investissements sont les plus importants l’année
du déploiement, c’est-à-dire l’année d’acquisition des systèmes Data Domain.
Une fois le coût initial pris en compte, l’investissement décline au fil des années
jusqu’à devenir nul. L’investissement continu dépend du taux de remplacement
standard du matériel et du temps nécessaire au département informatique pour
gérer les systèmes Data Domain.
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FIGURE 4
Investissement sur trois ans dans des systèmes Data Domain
Source : IDC, septembre 2009
La figure 5 illustre, par année, les bénéfices, les investissements et les recettes
nettes cumulés sur trois ans pour les clients interrogés par IDC dans le cadre de
son étude. Les bénéfices sont les plus élevés l’année 1 car les clients n’ont pas
eu à acquérir des bandes immédiatement près le déploiement. Les économies
continues liées aux bandes proviennent de la suppression des mises à niveau
des bandes et de la maintenance des lecteurs.
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FIGURE 5
Investissements, bénéfices et recettes nettes
Source : IDC, septembre 2009
Retour sur investissement
L’analyse du ROI sur trois ans effectuée par IDC et portant sur les systèmes
Data Domain repose sur les investissements initiaux et annuels comparés aux
bénéfices dégagés au cours de ces trois années. D’après les données collectées
auprès des clients, cette solution assure un retour sur investissement de 264 %
et est amortie en 6,6 mois. Le tableau 2 indique les résultats en matière de ROI.
TABLEAU 2
Analyse du ROI sur trois ans
3 252 946 $
Revenus (escomptés)
893 334 $
Investissements (escomptés)
2 359 611 $
Valeur actualisée nette
264 %
ROI
Amortissement
6,6 mois
Taux d’actualisation
12 %
Source : IDC, septembre 2009
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MÉTHODOLOGIE IDC DE CALCUL DU ROI
La méthode qu’emploie le cabinet IDC pour calculer le retour sur investissement
mesure l’efficacité des solutions et se base sur les résultats obtenus pour calculer
le ROI des systèmes déployés. Cette méthode se décompose en quatre étapes :
1.
Évaluation des coûts internes et externes liés à la gestion des systèmes
avant le déploiement de la solution.
2.
Vérification de l’investissement dans le cadre de l’acquisition,
l’implémentation et le déploiement de la solution. Il est important d’évaluer
non seulement le coût de l’acquisition initiale, mais également les coûts
nécessaires en termes d’implémentation, d’intégration, de conseils et/ou
de formation. Pour mesurer l’investissement total nécessaire pour le
déploiement, IDC intègre des questions couvrant tant les coûts d’acquisition,
de configuration et d’intégration que les dépenses associées aux logiciels et
le temps de maintenance informatique.
3.
Mesurer les économies dégagées, et les gains de productivité, de disponibilité
et d’efficacité obtenus au moyen de la solution. Certaines parties des
entretiens sont consacrées à l’identification des réductions de coûts, qu’il
s’agisse des coûts informatiques directs comme ceux liés à l’achat de serveurs
ou de bandes pour les sauvegardes ou des coûts induits comme
la productivité du personnel informatique, l’efficacité de la gestion informatique
ou encore la productivité des utilisateurs. Pour cette enquête, nous
avons remplacé les intitulés de nos catégories standard par le texte
entre parenthèses :
4.
‰
Réduction des coûts (Réduction des coûts de sauvegarde) : IDC
demande aux clients les dépenses qui ont pu être évitées ou réduites en
ce qui concerne les serveurs, les bandes de sauvegarde, la bande
passante, les coûts de licence et les déplacements. Les économies
réalisées sont exprimées en dollars par unité économisée ou réduction
annuelle des dépenses.
‰
Productivité du personnel informatique (Productivité accrue du
département informatique) : pour mesurer les modifications intervenues
au niveau de la productivité du département informatique, IDC demande
de préciser les gains de temps dégagés pour la restauration des bases
de données ou des applications métiers critiques, la réduction de la
fenêtre de sauvegarde, le temps consacré aux audits et aux opérations
de chargement/rechargement des données.
‰
Meilleure gestion de l’espace (meilleure gestion du stockage) : IDC pose
des questions précises aux clients sur le nombre d’erreurs de stockage
de données rencontrées par semaine, les temps de reprise, le nombre
de sauvegardes avortées par semaine, les temps de restauration et la
perte de productivité des utilisateurs pendant les restaurations.
Calcul du délai d’amortissement et du ROI pour la solution déployée. Sur la
base des données consolidées issues des entretiens, IDC calcule la période
d’amortissement et le taux de rendement en fonction des économies
globales réalisées grâce aux investissements dans des systèmes
Data Domain.
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Hypothèses de calcul du retour
sur investissement et de la période
d’amortissement
IDC fonde les calculs de la période d’amortissement et du retour sur
investissement (ROI) sur un certain nombre d’hypothèses, dont vous trouverez
un résumé ci-dessous :
` Les valeurs temps sont multipliées par le salaire imputé (salaire + 28 % pour
les avantages et frais supplémentaires) pour quantifier l’efficacité et les
économies de productivité des responsables.
` Les valeurs d’interruption de service sont un produit de la réduction des
heures d’interruption de service multipliée par le nombre d’utilisateurs
concernés et leur taux horaire.
` Comme chaque heure d’interruption de service n’équivaut pas à une
heure de perte de productivité, IDC demande précisément l’incidence
(en pourcentage) d’une heure d’interruption de service et attribue une
fraction du résultat horaire aux économies en dollars.
` Toute solution informatique requiert une période de déploiement. Les
avantages de la solution n’apparaissent pas tous pendant le déploiement.
Pour tenir compte de cette réalité, IDC calcule au prorata les avantages sur
une base mensuelle en fonction du délai de déploiement moyen.
` La valeur actualisée nette des économies sur trois ans est calculée en
soustrayant l’investissement sur trois ans escompté du bénéfice sur trois ans
escompté. IDC applique un taux d’actualisation de 12 % pour tenir compte
des dépenses potentielles engagées au moment du déploiement et de
l’intérêt sur cette dépense.
DÉFIS ET OPPORTUNITÉS
Les informations communiquées par les clients EMC Data Domain font
clairement apparaître que l’utilisation de services de réplication et de
déduplication des données sur disque peut avoir une incidence considérable sur
les coûts et les problèmes liés aux processus actuels de sauvegarde/restauration
et de reprise d’activité après sinistre. Les exigences imposées aux entreprises en
termes de protection des données, de reprise d’activité après sinistre et de
gestion à long terme des données ne feront que s’intensifier dans les prochaines
années. Par conséquent, EMC devra continuer à développer l’étendue et les
possibilités d’évolutivité de ses solutions Data Domain.
L’un des principaux défis posés aux entreprises est la réduction nécessaire des
temps de restauration associés aux nombreuses images de machines virtuelles.
Comme les entreprises évoluent vers un environnement composé
essentiellement de serveurs virtualisés (et utilisent plus largement la virtualisation
des ordinateurs de bureau), elles redoutent de plus en plus les perturbations
éventuelles déclenchées au cours du démarrage des restaurations intégrales des
datacenters ou au démarrage des ordinateurs de bureau en début de journée.
Si les systèmes de stockage avec déduplication Data Domain jouent un rôle
important dans la gestion de ce processus, l’entreprise doit pour sa part s’assurer
qu’elle offre des solutions répondant aux immenses besoins en performances
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nécessaires pour restaurer des données dans le cadre d’une restauration de
grande envergure d’un datacenter.
Un autre problème majeur rencontré par les entreprises est l’éternel problème de
l’archivage. La numérisation de nombreux processus métiers (enregistrements,
images, vidéos) favorise un dédoublement de la création et du stockage de
contenus multimédias. Dans le même temps, l’évolution des exigences de
gouvernance des entreprises en rapport avec le respect de la réglementation et
l’e-discovery obligent les entreprises à stocker ces contenus sur des périodes
plus longues. Ces pools de contenus multimédias peuvent rapidement submerger
les systèmes de sauvegarde et d’archivage prévus plutôt pour prendre en charge
les applications traditionnelles. EMC a la possibilité d’aider les entreprises
à mieux gérer la forte croissance des archives de contenu en proposant d’autres
améliorations dans ses solutions Data Domain (notamment des services encore
plus orientés contenu) et en offrant de plus grandes possibilités d’évolution
vers ses gammes plus étendues de solutions de gestion des informations et
de stockage.
RÉFLEXIONS ET ORIENTATIONS MAJEURES
Les responsables informatiques des grandes et moyennes entreprises sont
tous plus ou moins confrontés aux mêmes difficultés dès lors qu’ils cherchent
à dynamiser l’utilisation des ressources informatiques et à améliorer la
disponibilité/la continuité de l’activité. Ils recherchent des solutions de stockage
capables de renforcer l’utilité des autres ressources informatiques tout en
réduisant de façon significative les dépenses opérationnelles et d’investissement.
Or, pour atteindre de tels objectifs, il ne suffit pas d’identifier un cas d’utilisation
approprié et de choisir la bonne solution. Tous ces responsables doivent
également prendre des décisions éclairées qui leur évitent des reconfigurations
système et des migrations du stockage onéreuses.
Lorsqu’ils font l’acquisition de solutions de stockage, les responsables
informatiques doivent évaluer les fournisseurs comme EMC, ainsi que leurs
partenaires commerciaux, en ne se limitant pas à vérifier lequel d’entre eux
propose les systèmes les moins chers ou les plus performants. Tous ces
responsables ont besoin de s’appuyer sur des partenaires à même de les aider
à pallier les lacunes traditionnelles :
` sous-utilisation des ressources en place ;
` disponibilité non optimisée des applications/données ;
` frais supplémentaires trop élevés.
Les responsables informatiques doivent juger les fournisseurs d’après la capacité
de leurs solutions à optimiser l’utilisation des investissements informatiques
à l’instant T et sur une longue période. Ils doivent également rechercher des
partenaires commerciaux capables de tirer parti des solutions émergences pour
faire face aux problèmes applicatifs et métiers tout en proposant des
implémentations plus rapides et cohérentes, présentant le moins de risques
d’interruption pour les applications, processus et opérations métiers.
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ANNEXE : ÉTUDES DE CAS – CLIENTS
DATA DOMAIN
Étude de cas – Canadian National Railway
Présentation
La société Canadian National Railway (CN) a déployé des systèmes de stockage
avec déduplication EMC Data Domain en 2007 afin d’améliorer ses possibilités
de sauvegarde et de restauration par le biais de la fonction de déduplication de la
solution. Kevin Whelan, Directeur, Systèmes d’exploitation et stockage, a précisé
« Nous avons trouvé de nombreux avantages à l’approche de Data Domain.
Et nous avions passé au crible un grand nombre d’entreprises lorsque nous
avons examiné nos besoins de stockage. »
CN compte plus de 22 000 employés et 725 personnes dédiées à leur support.
Le département informatique compte trois personnes dédiées à la gestion du
système Data Domain. Le datacenter principal est basé au siège social de
Montréal. Les besoins de stockage de l’entreprise n’ont cessé de croître dans ses
27 bureaux nord-américains. On trouve désormais une appliance Data Domain
sur chacun de ces sites et un système central qui assure la réplication sur le
datacenter principal.
CN se sert de Data Domain de deux façons : tout d’abord, le département
informatique réplique les données de ses nombreux sites satellites vers son
bureau de Montréal. Ensuite, l’entreprise s’appuie sur un système Data Domain
dédié basé à Philadelphie pour la reprise d’activité après sinistre. Avant
l’implémentation du nouveau système, CN devait acheminer par camion toutes
les bandes de reprise d’activité après sinistre à Philadelphie.
Réduction des coûts de sauvegarde
Le déploiement du système Data Domain a parfaitement répondu aux besoins
de CN. En effet, les lecteurs de bande de l’entreprise arrivaient en fin de vie et la
société était dans l’obligation de procéder à certaines mises à niveau de sa
solution de stockage.
CN a résilié les contrats de maintenance et de service relatifs aux bandes, ce qui
lui a permis d’économiser près de 100 000 $ par an. L’entreprise n’a également
pas eu à réparer les défaillances des matériels à bande, d’où une économie
supplémentaire estimée à 175 000 $ par an.
L’entreprise a annulé l’achat de 50 à 60 nouveaux lecteurs de bande tout en
continuant à répondre aux besoins croissants en nouveaux espaces de stockage.
Les responsables informatiques estiment qu’ils économisent plus de 100 000 $
par an par le seul arrêt des achats de bandes, alors que la demande de stockage
augmente à un rythme moyen de 25 % par an.
Kevin Whelan précise : « si nous réalisons des économies au niveau de la bande
passante, c’est grâce aux systèmes Data Domain. Certains de nos sites
fonctionnaient à très bas débit sur des circuits 256 K. Si nous avions continué
à transmettre des sauvegardes entières sur cette liaison alors que les utilisateurs
étaient en ligne, tout le monde en aurait pâti. » Pour améliorer les vitesses de
transfert, l’entreprise estime qu’elle aurait dû dépenser jusqu’à 30 000 $ de plus
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par mois. Par chance, cette dépense est évitée grâce à l’efficacité de réplication
de Data Domain.
Productivité accrue du département informatique
Avant le déploiement de systèmes Data Domain, tous les sites de CN
procédaient à des sauvegardes sur bande. Comme le dit Kevin Whelan
« Chaque matin, sur chaque site, une personne devait sortir la bande du lecteur
et monter la suivante. Cette opération durait de 15 à 20 minutes puisqu’il fallait se
rendre jusqu’au serveur, sortir la bande, la ranger et mettre en place la nouvelle
bande. » Depuis l’implémentation, toutes ces tâches ont été supprimées.
L’entreprise gagne ainsi près de neuf heures par jour pour l’ensemble de
ses sites.
Le département informatique procède en moyenne à une vingtaine ou une
trentaine de restaurations chaque semaine. Avant le déploiement Data Domain,
si une bande se trouvait sur site, une telle opération équivalait à trois voire quatre
heures de travail. En revanche, dès qu’une bande se trouvait à l’extérieur du site,
le temps de restauration passait rapidement à deux jours. Aujourd’hui, grâce au
système de réplication Data Domain, l’entreprise est toujours très bien protégée
contre les sinistres sur site. Les restaurations sont effectuées en deux heures
seulement, car les données récupérables demeurent sur le site. Dans l’hypothèse
d’une restauration des données, CN estime qu’elle évitera près de 20 heures de
transport, car les bandes ne sont plus acheminées de Montréal à Philadelphie
et inversement.
Meilleure gestion du stockage
Chez CN, près de 22 000 utilisateurs profitent du déploiement du système
Data Domain. Avant, si un utilisateur supprimait un rapport par erreur, il devait le
recréer de toutes pièces. Aujourd’hui, avec Data Domain, le rapport peut être
restauré en moins de deux heures ; l’utilisateur n’a donc pas à saisir une nouvelle
fois toutes les données. Kevin Whelan explique que « Si un utilisateur avait
besoin d’un rapport l’après-midi même, il était préférable qu’il le recrée, car
l’ancien processus générait des temps d’attente trop longs. Aujourd’hui, plus
personne ne panique : chacun sait que toutes les données seront disponibles. »
Data Domain inclut une fonction de régulation de la bande passante qui permet
aux départements informatiques de déterminer le taux de transfert des données.
Bien évidemment, l’entreprise ne souhaite pas procéder à d’importantes
sauvegardes pendant les périodes de forte activité. Grâce à cette fonction, les
sauvegardes de CN débutent à la fin de la journée de travail et se terminent
avant 8 heures le matin suivant. Pendant les heures de travail habituelles, le
personnel réduit la vitesse de transfert du système Data Domain afin de maintenir
des performances appropriées. Kevin Whelan précise : « La fonction
nous permettant de réguler le taux de transfert a été une véritable avancée
pour nous. »
CN a économisé une grande quantité d’espace disque grâce à Data Domain.
Auparavant, le département informatique enregistrait les mêmes données sur
une bande tous les jours. Aujourd’hui, depuis le déploiement du système de
déduplication Data Domain, les données ne sont enregistrées qu’une seule fois.
K. Whelan poursuit : « Si les données ont déjà été enregistrées une fois, elles ne
le seront pas une deuxième fois. »
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La gestion des données hors site a été améliorée depuis que CN a arrêté de faire
appel à un fournisseur extérieur. La productivité informatique pouvait en effet être
gravement affectée à tout moment en raison de simples problèmes logistiques.
Au cours de l’entretien, K. Whelan indique : « Un jour, nous avons demandé au
fournisseur de nous apporter une bande située en dehors du site pour que nous
puissions procéder à une restauration. Il m'a répondu : "Dès que la vidange de
mon véhicule sera terminée. La bande est dans le camion et en route pour sa
destination". Avec Data Domain, nous ne sommes jamais confrontés à des
problèmes de ce type. »
Étude de cas – Global Communications
Corporation
Présentation
Une société de communications mondiale a déployé les systèmes de stockage
avec déduplication EMC Data Domain pour l’incroyable efficacité qu’ils offrent en
termes de sauvegarde de données. Les besoins en stockage de l’entreprise
étaient tels que le département informatique ne pouvait tout simplement plus
assurer les sauvegardes sur bande. Comme l’a précisé un directeur technique au
cours de l’entretien accordé à IDC, « Nous avons choisi Data Domain pour son
mode de compression et de déduplication des données. Ce système peut en
effet adopter un débit de 1 Go pendant la fenêtre de sauvegarde. L’algorithme
qu’exécute Data Domain s’adapte à de très grands nombres de débits selon les
spécifications des gammes. Les spécifications sont 200 Mo/seconde pour la
gamme DD500. Par ailleurs, ces machines fonctionnent toute la nuit. »
Alors qu’elle utilise le système Data Domain depuis plus d’un an, l’entreprise est
en passe de déployer d’autres systèmes sur différents sites.
Réduction des coûts de sauvegarde
Comme Data Domain est la principale solution de sauvegarde, l’entreprise
a considérablement réduit la quantité de bandes et de matériels à bande qu’elle
possédait. Le Directeur technique précise que « Dans la plupart des cas, les
bandes ont été complètement abandonnées au profit de Data Domain. Sur les
cinq nouveaux sites où nous avons installé Data Domain dès le départ, nous
n’avons même jamais déployé de système à bande. »
L’entreprise estime que les économies réalisées en bandes et matériels à bande
représentent chaque année environ 385 000 $ par site. Il poursuit « Lorsque vous
examinez les économies dégagées sur nos 27 sites grâce à ce déploiement, on peut
dire que le jeu en valait la chandelle. » Nos économies annuelles se montent
à 10,4 M$, soit 30 M$ d’économies pour un cycle de vie classique de trois ans pour
le matériel.
Grâce à Data Domain, l’entreprise a investi dans des serveurs plus petits.
Le directeur précise : « Nous avons été dans l’obligation d’acheter des serveurs,
mais ceux-ci sont plus petits et plus abordables que ceux que nous aurions
normalement achetés. Nous économisons ainsi près de 35 000 $ par serveur et
par site. » Soit une économie supplémentaire de 945 000 $ par an.
L’entreprise a également été à même de réduire les risques potentiels en cours
d’audit. Depuis le déploiement de Data Domain, il est possible de stocker les
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données sur un disque vault et de les transmettre à l’extérieur du site, dans le
strict respect de la réglementation.
Productivité accrue du département informatique
Le personnel de l’entreprise qui gère les sauvegardes a gagné du temps puisqu’il
n’a pas eu à étudier les tendances d’utilisation des bandes ni à réapprovisionner
ces dernières, à les étiqueter et à stocker les sauvegardes. Dans l’entreprise,
trois personnes sont dédiées à la manipulation des bandes, mais le temps
consacré à ces tâches a été réduit « de 15 %, ce qui leur permet d’effectuer
d’autres tâches pour nous. »
Les sauvegardes de données sont plus rapides que par le passé car le débit des
systèmes Data Domain est beaucoup plus important que celui d’une bande.
L’entreprise estime que sur une semaine type, 22 personnes font gagner au
moins 10 heures de chargement de données. Auparavant, les restaurations
duraient entre quatre et six heures. Depuis le déploiement, ce temps a été
ramené à moins d’une heure.
Le déploiement du système Data Domain n’a nécessité que deux heures environ
pour l’installation des unités de stockage et n’a demandé aucune maintenance
supplémentaire. Aucune autre solution ne saurait être aussi efficace. Le directeur
ajoute « Avec l’autre système de stockage, nous devions allouer sans cesse de
l’espace en fonction des sauvegardes et des serveurs de sauvegarde. L’un des
principaux avantages de Data Domain est qu’il regroupe des tâches effectuées
auparavant par plusieurs équipes de sorte que, au final, une seule personne peut
s’en charger. » L’entreprise estime que le personnel informatique économise 15 à
20 heures par système Data Domain et par an en termes de tâches d’allocation
du stockage.
Meilleure gestion du stockage
Le directeur résume : « Les données sont désormais plus aisément déplaçables.
Elles peuvent être rapidement sauvegardées, ce qui a une incidence toute
particulière sur l’entreprise. Data Domain a modifié la manière de travailler de nos
équipes. Nous commençons à entrevoir une évolution parmi le personnel au fur
et à mesure que nous abandonnons les libraires de bandes et que la pression
imposée s’atténue. Tout ceci est le fruit du stockage sur des disques vault. Mon
équipe peut désormais gérer l’ensemble du stockage en fonction de l’efficacité
apportée par Data Domain. »
Étude de cas – Financial Services Corporation
Présentation
Cette société, qui gère plus de 180 milliards de dollars en prêts pour l’éducation,
a déployé pour la première fois les systèmes de stockage avec déduplication
EMC Data Domain en mai 2008. Cette décision a été motivée par la nécessité,
pour l’entreprise, de réduire ses coûts en s’affranchissant des sauvegardes sur
bande. Sur le site central de l’entreprise, trois personnes s’occupaient de la
gestion des sauvegardes.
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Réduction des coûts de sauvegarde
Les deux principaux vecteurs de réduction des coûts ont été les économies
dégagées sur les bandes et celles dégagées sur la maintenance qui s’y
rapportait. L’architecte technique estime qu’au cours de l’année qui a suivi le
déploiement, l’entreprise a économisé plus de 800 000 $ en dépenses de bandes
et 100 000 $ sur ses frais de maintenance. Dans l’entreprise, 12 sites distants
ont régulièrement investi dans de nouvelles bandes et géré leur propre
environnement de sauvegarde sur bande. Depuis l’implémentation du système
Data Domain, les dépenses comme l’achat de bandes, la maintenance des
lecteurs et les frais de transport ont été totalement supprimées.
Comme l’entreprise se sert de Data Domain, elle s’est affranchie d’une
actualisation des bandes d’un montant supérieur à 500 000 $. L’entreprise a pu
répartir toutes ses librairies de bandes ou les supprimer en même temps.
Actuellement, aucun des 12 sites distants ne se sert plus de bandes.
Les données sont désormais stockées dans le datacenter principal.
L’entreprise a également réussi à s’affranchir de l’acquisition d’au moins
trois serveurs de média par an, ce qui lui a permis de dégager une économie
annuelle de plus de 30 000 $. Par ailleurs, elle est désormais dispensée des
renouvellements annuels de logiciels et de maintenance associés à son ancien
système de sauvegarde. L’architecte technique estime que ces économies
cumulées représentent 25 000 $ par an.
Productivité accrue du département informatique
Sur chaque site, l’entreprise a accru sa productivité informatique d’un poste
équivalent temps plein (ETP). Si ce gain de temps est répercuté sur les 12 sites,
les économies en heures de travail s’élèvent à plus de 700 000 $.
Comme le précise l’architecte technique « Nous ne passons plus notre temps
à réparer les lecteurs de bande et mécanismes défaillants. Nous avons révisé
notre contrat de transport et faisons gagner à nos administrateurs trois à quatre
heures par jour par le simple fait de ne plus utiliser de bandes. »
Pour prévenir d’éventuelles défaillances des bandes et réduire le temps d’attente
des restaurations, l’entreprise a dupliqué l’ensemble de ses bandes et en
a conservé un jeu en interne et un autre en dehors de ses locaux. Auparavant,
l’entreprise procédait trois ou quatre fois par mois à des sauvegardes sur
ces jeux de bandes dupliquées. Aujourd’hui, depuis le déploiement du système
Data Domain, cette procédure a été supprimée dans son intégralité.
Par ailleurs, l’entreprise a constaté une réduction radicale du temps nécessaire à
une restauration. Ce temps a en effet été ramené d’une heure à seulement
30 minutes.
Avant le déploiement du système Data Domain, l’entreprise connaissait
fréquemment au moins une défaillance de bande par jour. La réparation d’une
défaillance type mobilisait un technicien interne pendant environ trois heures.
En outre, un administrateur de l’entreprise devait collaborer avec un fournisseur
pour l’aider à résoudre le problème, ce qui rallongeait encore le processus de
trois heures. L’architecte technique ajoute : « Nous avons connu de très
nombreuses défaillances de bandes. Résultat : le personnel était mobilisé
inutilement et des données sur ces bandes étaient perdues. Dans 5 à 10 % des
cas, la bande ne pouvait tout simplement pas être restaurée et nous devions en
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rechercher une autre copie, ce qui pouvait prendre jusqu’à une demi-journée si
nous avions à récupérer cette copie en dehors de l’entreprise. »
La capacité du système Data Domain permet à l’entreprise d’accélérer la
restauration des données et de prendre des instantanés plus rapidement qu’avec
des lecteurs de bande. Comme il l’a précisé au cours de l’entretien : « Une fois,
des bandes sont tombées dans la cage d’ascenseur. Les bandes ont été
récupérées par l’équipe de reprise d’activité après sinistre. Cinq d’entre elles ont
toutefois été définitivement perdues. L’une de ces bandes contenait des données
très importantes qui n’avaient pas été sauvegardées. »
L’architecte technique ajoute : « Avec le nombre de restaurations que nous
avons, Data Domain a acquis une bonne réputation auprès de nous tous.
Ce système est réputé pour être une solution de restauration fiable. Chacun est
content d’apprendre que ses données sont stockées sur un système
Data Domain et non sur un dispositif à bande. »
Étude de cas – Équipementier
d’envergure mondiale
Présentation
Un équipementier d’envergure mondiale de l’industrie plastique fabrique sur
mesure des presses à mouler par injection pour ses clients. Les clients se
servent de ces moules pour différents types de produit : automobiles, téléphones
portables, jouets, unités de stockage privées, etc.
En 2005, l’entreprise était dans l’expectative lorsqu’elle a sélectionné les
systèmes de stockage avec déduplication EMC Data Domain. Les besoins de
stockage impliquaient soit d’actualiser l’intégralité de l’environnement à bandes,
soit de rechercher une autre technologie à même de satisfaire ses besoins
grandissants en termes de données. L’entreprise était donc confrontée au
problème suivant : investir dans de nouvelles bandes au format LTO-1, qui n’était
plus pris en charge, ou trouver une autre solution.
Le déploiement du système Data Domain a été très rapide. Il n’a fallu que huit
heures environ entre l’installation et les premières sauvegardes. L’entreprise
a consacré un jour de plus à valider les données avant de mettre les systèmes
Data Domain en production.
Au cours des trois premiers mois ayant suivi le déploiement, l’entreprise est
parvenue à éliminer près de 1 000 bandes. L’entreprise conserve une de ses
librairies de bandes pour les restaurations de données à partir des bandes
existantes uniquement. D’ailleurs, comme l’a dit un responsable des systèmes
informatiques « Nous laissons ces anciennes bandes se périmer d’ellesmêmes. » Nous n’enregistrons plus rien sur bande.
Réduction des coûts de sauvegarde
Depuis le déploiement des systèmes Data Domain, l’entreprise s’est affranchie
de l’acquisition de nouvelles bandes et de nouveaux lecteurs de bande.
Elle estime qu’au cours des cinq dernières années, elle s’est affranchie de l’achat
d’au moins 12 lecteurs de bande, chacun d’un montant de 11 000 $.
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L’entreprise a également réduit ses investissements en serveurs et augmenté le
taux d’utilisation de ses serveurs actuels. Le directeur des systèmes
informatiques précise « Nous nous sommes affranchis de l’achat de serveurs, et
constatons que le temps de sauvegarde est plus court et que les serveurs
fonctionnent beaucoup plus. » Avant le déploiement des systèmes Data Domain,
les lecteurs de bande engendraient des goulots d’étranglement et les taux
d’utilisation des serveurs atteignaient en moyenne 20 % à 25 %. Depuis
l’implémentation, les temps de sauvegarde ont été réduits et le taux d’utilisation
moyen est passé à près de 80 %.
Les systèmes Data Domain ont donné lieu à un accroissement de l’efficacité en
termes de gestion des données, ce qui a évité de nouvelles embauches au sein
du département informatique. Selon le responsable « Ces systèmes nous ont
permis de faire face à la charge de travail. Avant l’introduction de Data Domain,
mon groupe a fait l’objet d’une restructuration et deux personnes ont été
affectées à une autre équipe. Pour moi, la question était de savoir comment je
pourrais compenser leurs heures de travail. Finalement, une fois l’installation
terminée, nous avons pu faire face sans problème, même avec deux personnes
en moins. »
Productivité accrue du département informatique
Depuis le déploiement des systèmes Data Domain, l’entreprise réalise des
économies en termes de temps de travail dans le cadre des sauvegardes. Au lieu
de consacrer près de 40 heures par mois à la gestion des sauvegardes, le
personnel en consacre dix fois moins. Le personnel informatique est désormais
à même de se concentrer sur des tâches plus valorisantes pour l’entreprise.
Comme le dit le responsable informatique « Depuis que nous ne consacrons plus
tout notre temps aux sauvegardes, nous pouvons dédier près de 10 fois plus
d’heures par semaine aux projets de l’entreprise et à la maintenance
des systèmes. »
L’entreprise connaît moins d’erreurs de données, d’erreurs système ou de bande
qu’avant l’implémentation. Elle estime qu’une bande sur 100 est totalement
défectueuse et que par le passé, près de 25 erreurs de bande survenaient
par mois. « Pour gérer un événement, un certain nombre d’actions auraient été
nécessaires jusqu’à la résolution complète du problème. Lorsque nous
rencontrions un problème avec un lecteur physique, nous pouvions passer de
8 à 12 heures sur un unique événement. » Depuis le déploiement des systèmes
Data Domain, l’entreprise économise en moyenne deux heures par mois en
s’affranchissant simplement des erreurs de bande.
L’entreprise dispose désormais de fenêtres de sauvegarde plus homogènes et
de temps de restauration plus courts. Avant, lorsque les données étaient
enregistrées sur bande, les sauvegardes pouvaient durer jusqu’à six heures ; le
temps de restauration variant quant à lui de 12 à 14 heures. Depuis le
déploiement des systèmes Data Domain, les temps de sauvegarde et de
restauration ont été réduits chacun à quatre heures seulement. Le responsable
informatique conclut « Nous avons constaté une évolution très favorable de nos
temps de restauration, et plus particulièrement pour des éléments comme les
bases de données. Nos systèmes de fichiers fonctionnent deux fois plus vite. »
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