1 L`opinion de von K M sur la bataille de la Marne Eptiéméiides dé
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1 L`opinion de von K M sur la bataille de la Marne Eptiéméiides dé
Lo S ifliéro DIX CENTIMES 90e Année — iV0 2 DIX CENTIMES Dimanche 12, Janvier 1 919 ii6 g * ? à 6 ii 1 3 JOURNAL SENLIS O i r e c t e u r - G C r a n t : E. LAMCiAL'X Feraissanf le Dimaiieiie pt ttt la durée de la guerre^ /V T î O 3ST 3ST S3 ÜÆ E TST T a rienh* -AO lat |)D *E>. . . , ifc mois. . 6 fr 4 fr te s- àitrea dtp 8 fr. 8 fr a.ui Liurcaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L 'abonnem ent est payabl» d'avance et contint « de plein droit ju sq u ’à réception d ’avis contraire BUREAUX, SE IV lù IS L’opinion de von K M sur la bataille de la Marne D'après une correspondance du M a tin , un industriel suédois aurait eu avec le fameux général von Klück une conversa tion dans laquelle le vaincu de l’Ourcq aurait exposé son opinion su r la marche ahemande vers Paris en 1914, et la pertes de la bataille de la Marne. Nous reprodui sons une partie des déclarations prêtées au général allemand à titre documentaire, avec toutes les réserves qui s’imposent. « C’est vrai aurait professé von Klück, c’est la bataille de la Marne qu ’il fallait gagner. C’est peut-être parce que je n’ai pas pu faire ce que j ’ai voulu, et c o n tra i rem ent à ce qui a été dit, je ne suis pas l’a u t e u r du plan de campagne appelé « la marche sur Paris ». Il ne suffisait pas d’al ler vite ; il fallait être prévoyant. « -Maintenant, aurait ajouté von Klück à son interlocuteur, si vous voulez les rai sons matérielles de l’échec, reportez-vous aux jo u rn a u x du temps, ils vous parleroi t du manque de munitions, du ravitaille ment défectueux ; tout ceci est exact. Mais il y a une raison qui prime les autres, une raison qui, à mon avis, est entièrement décisive, car elle a permis aux autres de se m anifester. Eh bien c’est l’aptitude tout à fait particulière aux soldats fran çais de se ressaisir rapidement. » Et, pour term iner : « Nous avons commis une erreur, r e connaissons-le, et je n ’ai pas été le seul. Ceux qui sont venus après moi l’ont com mise aussi. P eu t-être a vo n s-n ous été trop sa va n ts ? » Retenons ce dernier aveu ; car, bien que l’histoire exacte de no tre victoire de la Marne ne puisse être écrite encore et que son étude remplira des volumes sar s nombre, on peut admettre que l’une des causes de la défaite des Allemands réside dans la recherche par eux d’une stratégie k a l a e . a l o . L a v io la tio n de la B e lg iq u e n ’a pas été seulement un c r im e p o litiq u e e t moral ; elle a constitué aussi une faute militaire immense. P ar elle, l’armée alle mande disposée en façade a été amenée à décrire une gigantesque conversion ; et ainsi, s’étant disloquée au cours d’un mou vement très difficile dans son envergure démesurée, elle s’est présentée à la ba taille décisive sans réserves et sans pos sibilités de manoeuvre. L’état-major allemand a contrevenu à la règle ordinaire qui prescrit le déploie ment des forces au seul moment de l’ac tion. Tout son dispositif de marche, au lieu d’être en profondeur, se présentait linéaire. Et, qu’on n ’en doute pas, ce pre mier dédain des expériences séculaires au nom d’une science nouvelle, fut la cause initiale de la faiblesse révélée par les a r mées impériales devant l’élan de nos sol dats. La Démobilisation provoquera une baisse du prix des denrées d’alim entation mm ^ f l D 33 ey (i,2» IrlS JbÛ IX* 4 J XÂT B S3 -K. 'J: l tj. '.’illK'S, Faits on n ' a c c e p t e f a s e Tn s e r t io n ac - u k sso u s o e ! .-kanc Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les Départements sont caçuss directomciA aux huresux du |ourual Les m a n u s c r its , insérés o ,< orc, ne so n t p a s rendus. sm s. sible, née de l’abondance et de la suppres sion des intermédiaires. Il semble donc que, dès la fin de jauvier, nous constaterons, avec une offre plus g rande des denrées qui constitent la base de l’alimentation, une baisse sérieuse de leur prix. Il ne convient peut être pas d’y ajouter une autre raison, d’un ordre différent ; le poilu, dont 11 a été dit que nous lui devions tout, n ’admettra pas facilement qu’on lui interdise, à son retour à la vie normale, de se nourrir normalement. Une phrase creuse, qui lui laisserait le ventre vide, lui ferait penser que son sacrifice de quatre années ne fut profitable qu’à ceux qui ne le partagèrent point. Eptiéméiides dé Guerre DE L’A N N É E 1 9 1 8 «------- .. « le i JÉJIj jiHP Xt tle-V ille, P la c e T & oonn em eiit» p a r t e n t das 1" ©ts du 1B fî £ /(sk&qu* m o is. '■stemm î l , F ' tü A D I \ I ■LNJLk T R A Ï I C Ri l»i*yier_ ____ l"r Victoire italienne à Zenson. Au front italien, nous prenons les monts Gappa et Montferrera. Prom ulgation de la loi prorogeant les pouvoirs des membres du Sénat et de la Chambre des députés soumis à la réclusion, et ajournant toutes élections départemenlales, communales, consulaires et prudhomales. — 4. P re mier interrogatoire de M. Caillaux par le commissaire du Conseil de guerre. — 7. M. W ilson expose au Congrès américain les 14 articles du programme de paix des Eiats-Unis Promulgation de la loi in stitu ant la procédure de la Haute Cour. — 10. Message du président W ilson indiquan. les conditions de la paix mondiale. — 11. Arrestation à Marseille de l’anarchiste Sébastien Faure, condamné pour attentat aux m œ urs. — 14. Arrestation de M. Joseph Caillaux, qui est interné à la p ri son de la Santé. (A suivre) D É P flR T E I M I fT Nouveau régim e d e la té lé g r a p h ie privée. L’usage du réseau télégraphique sera désormais assuré conformément au régi me de la zone de l’intérieur dans tout le département de l’Oise, ainsi que dans tous les départements et arrondissements ciaprès : Départements du Pas-de-Calais, de la Somme, de la Marne, de la Haute-Marne, de l’Aube, de la Seine Inférieure et de la Seine-et-Marne : Arrondissements de Laon, ChateauThierry, St-Quentin, Soissons, (Aisne). Rethel, Vouziers, (Ardennes). Bar-le-Duc (Meuse). Mirecourt, Neufchateau (Vosges) Vesoul, Gray (Haule-Saône). Toutefois, le Maréchal de France, commandant en chef, conserve la libre disposition de ce réseau et en assure la direction générale. En ce qui concerne le département de l’Oise, la formalité du visa des télégram mes par les maires et les commissaires de police est supprimée. Au moment du dépôt des télégrammes, ce visa est remplacé par la justification de 'identité des expéditeurs qui ne sont pas, connus des agents taxateurs. Les télégrammes privés sont acceptés m u r toutes localités mais, selon le cas, ils sont acheminés électriquement ju sq u ’au lieu de destination si le bureau distribu teur est ouvert à la télégraphie privée et, dans le cas contraire, postalement ou par exprès, par le bureau télégraphique civil ouvert le plus voisin de c e 'lie u de desti nation. Tous les bureaux télégraphiques d’Al sace et de Lorraine sont ouverts à la télé graphie privée ; lestélégramm es-m andats, euls, ne sont pas acceptés. Les taxes à percevoir sont les mêmes que celles pour a zone de l’intérieur. L’emploi des seules langues française, anglaise, allemande et italienne est autorisé. Sont exclues des dispositions qui pré cèdent toutes communications télégraphi ques avec le territoire aillemand ; ces communications restent rigoureusement interdites. La vie est de plus en plus chère P o u r tant on s’était complu à espérer que la fin des hostilités marquerait une décroissance des prix de toutes marchandises et denrées Il apparait que la ration du pain du soldat qui est en moyenne de 600 grammes, va par le jeu de la carte de pain dont vont être muni les démobilisés, qui est de SO't grammes h bérér 1 million de rations de ce dernier poids. Les 37S grammes de viande alloués quotidiennement au soldat ne seront plus consommés par lui lorsqu’il aura quitté l’uniforme. Il en consommera la moitié ou les deux tiers. Etjsur le million de R.A T. libérés, il y en a les trois quarts qui ne mangent pas de la viande chaque jour. Ce sera donc, et de ce fait plus d’un million de rations de viande qui vont se trouver ainsi à la dis position d e là population. Association centrale Le pinard que l’on estime assez néces pour la reprise saire au soldat pour que la ration soit de l’activité industrielle portée à 3 /4 de litre- à litre gratuit ne suivrait peut être pas dans ce mouvement, dans les régions envahies. la même progression que les autres den rées. Le boni des compagnies pourtant A vis très im p o r ta n t permettait une allocation supplémentaire a u x ouvriers e t a u x e m p lo y é s et quotidienne de un quart de litre. Ainsi des régions libérées. la ration se trouvait portée à un litre par Tous les ouvriers et employés mobilisés homme et par jour. L'habitude prise par le soldai fera peut être que le poilu, rede ou non des établissements industriels, mine-s carrières, entreprises de transports venu civü, ne se résignera pas facilement des départements qui ont été occupés par à dim inuer de façon sensible sa ccnsom l’ennemi doivent dans leur intérêt, mation journalière. Il ne faut donc envoyer sans tarder leur nom et adresse à compter, pour voir revenir à un taux Y A sso cia tio n C entrale p o u r la Reprise moins anormal le prix du vin, que sur de l’A c tiv ité In d u strie lle u a n s les Ré l'augmentation des moyens de transports gions E n v a h ie s (Service de Reconstitution qui perm ettra de débarrasser le M di des du Personnel) 40, rue du Colisée. millions d'hectolitres qu’il offre sans En se faisant inscrire à cette association possibilité de les livrer. Cette augm enta c’est la garantie pour eux de retrouver à tion des moyens de transports résultera leur retour au foyer, l’emploi qu ’ils de la libération de ce million d’hommes occupaient avant la mobilisation. D’autre don il f a lla itfa ire v jy a g e rsu r les réseaux, chaque jour, un pour cent environ ; il faut part, l’association a également pour but ajouter, à ce gain en transport celui plus de procurer une occupation le plus près considérable, réalisé par la suppression possible de leur domicile d’avant-guer re du ravitaillement de ce million d hommes. à tous ceux qui, pour une cause quel En estimant à une vingtaine da trains par conque, ne pourraient retourner chez leurs anciens patrons jour l’économie faite et offerte aux produc teurs vinicoles pour la livraison de leur Tous les ouvriers et employés des marchandise, on est amené à penser qu’en catégories ci dessu« indiquées ont dont le quelques jours, la proiuctio i du Midi p ’us grand intérêt à écrire à l’Associa au ra pu atieind e toutes tes régions qui tion. Us s’assureront ainsi contre l’éven l'attendent. Il s’en suivra une baisse sen tualité d’un chômage prolongé. Circulation dans les régions libérées. Comme suite à ses télégrammes des 5 et 23 décembre dernier, et pour répondre à des demandes qui lui sont fréquem ment adressées, M. le Ministre des Ré gions libérées signale que la carte d’iden tité perm anente donne toutes facilités aux habitants rentrés ou retrouvés dans les ré gions libérées pour circuler entre leur résidence et les centres habituels de rela tions d’affaires de la région. B o ls d e c h a u f f a g e . Une certaine quantité de bois de ch a u f fage est mise à la disposition des habitants aux prix de 17 et 23 fr. le stère ; — les distributions ont lieu le mardi de chaque semaine, à l’école des garçons, rue du Chatel. Se faire inscrire à la Mairie. O c tr o i d e S e n tis . Avis aux sinistrés de dom mages de guerre. De nombreux sinistrés s’ad ressen t tous les jours au Ministère du Blocus et, des Régions libérées pour faire la déclaration de leurs dommages de guerre ou demander l’allocation d’acomptes ou d’avances. \ Il est rappelé aux intéressés que le Mi—îw str ê r.'’s peur déclarations de dommages de guerre et ne peut que les transm ettre aux préfets à titre documentaires. Les déclarations dédom m agés de guer re doivent, aux termes de l’article III du Décret du 20 Juillet 1915, être déposées ou adressées par plis recommandés à la mairie de la commune où s’est produit le dommage. Mais cette formalité ne peut être remplie que lorsque le Préfet du Département a, par arrêté, fixé la date à partir de laquelle le dépôt de ces déclara tions peut être effectué. A ce moment un avis est publié au “ Journal officiel” et des formules impri mées sont mises à la mairie du lieu de dommages à la disposition des sinistrés. Quant aux demandes d’acomptes ou d’a vances, elles doivent être adressées au Sous-Préfet de l’arrondissement ou au Préfet du Département dans lequel étaient situés les biens endommagés ou détruits. L’envoi direct au Ministère des déclara v_< u-lU kj V AKJ g uerre V AV AO V AV A tions de! dommages de etI» V des de mandes d’acomptes ou d’avances, ne peut que reta; arder l’instruction de celles-ci. Un emploi de receveur est vacant à la porte de Meaux. Cet emploi peut convenir à un tailleur, à un cordonnier, ou encore à toute pro fession susceptible d’être exercée à do micile. Traitement 250 fr. et logement. S’adresser à M. Regnault, préposé s u r veillant des services de l’octroi. Le match annoncé pour' dimanche 5, n ’a pu avoir lieu en raison du mauvais temps. Dimanche 12, l’équipe de U. S. S. se re nc o ntre ra à 2 h. i/2 au Vélodrome avec la 2e du A. S G. (Association sportive de Chantilly, la partie parait très intéres sante. AVIS M. Emile VALENTIN, architecte, rue Saint-Pierre, a l’honneur d’inform er ses clients de l’arrondissement de Senlis, qu ’à partir de ce jo ur ses bureaux seront ou verts les jeudis et samedis après-midi de chaque semaine. g h e j i A u 3 e h u ssard s. Le maréchal des logis Gaston Clerc, escadrille du 3e hussards, détaché à l’es cadrille Salm 3, a été cité dans ces ter mes à l’ordre de l’armée : « Excelleni pilote, courageux et dévoué. A trouvé la mort au cours d’une mission de protection, en tom bant avec son avion derrière nos prem ières lignes ». v** Feuilles mortes - Rêves morts - . i C ita tio n . Nous relevons avec plaisir la belle cita tion suivante à l’ordre de l’arm ée oc troyée à l’adjudant Louis Artigaud, du 38 hussards, détaché à l’escadrille B 2 11 : « Pilote J ’une audace et d’une allure rem aiquable. A effectué de nombreuses missions photographiques particulière ment difficiles au cours desquelles il a eu de très durs combats, notamment les 17, 20 mai, 29 juin et 19 juillet. Le 21 juillet protégeant une liaison d’infanterie, dut a tterrir près des lignes ennemies, sous une grêle de balles, son appareil ayant été fortement atteint par des balles de terre. Le 29 juillet, protégeant une mis sion photographique est attaqué par plu Service de reconstitution sieurs appareils ennemis. Après un très des régions atteintes dur combat, est contraint d’atterrir avec —.tiaorvateur blessé grièvement, son par le s é v én em en ts d e g u e r r e .'' appareil prend feu au sol ayant été criblé Sur l’invitation de M. le Ministre des ,4e balles. » Travaux publics, il vient d’être créé à la Préfecture de l’Oise “ une commission départem entale du Ravitaillement” qui est L e c ir c u it chargée de l’examen des demandes de d e s C h a m p s d e b a t a ille . w agons destinés au ravitaillement des Notre grand confrère parisien Le P e tit Régions libérées. Dès réception de la présente, toute de Jo u rn a l organise « Les Pâques Sporti ves ». mande de denrées et autres marchandises Dans son numéro de dimanche, il a n nécessaires au ravitaillement à expédier nonce une course cycliste monstre : 1981 p a r wagons complets devra être adressée à M. le Président de la Commission dépar kilomètres en 7 étapes. L’itinéraire gé n é ra l sera : Strasbourg, tem entale de ravitaillement commercial Metz, Thionville, Luxembourg, Arlon, (Service de reconstitution des Régions Bastogne, Spa, Liège, Louvain, Bruxel libérées, Préfecture de l’Oise, BEAUles, Gand, Bruges, Dixmude, Ypres, Lil YAIS). le, Douai, Cambrai, Bapaume, Albert, L’attention des intéressés est attirée sur Amiens, Péronne, Saint Quentin, La P è les points suivants : re, Chauny, Coucy-le-Château, Soissons, 1° Il ne s’agit que de wagons complets. P o ur les expéditions de 300 kilos au ma Villers-Cotterêts, Serilis, Paris, Meaux, Château-Thierry, Dormans, Reims, Vou ximum, qu’il s’agisse de grande ou petite vitesse, ils auront à s’adresser directe ziers, Verdun, Bar-le-Duc, Saint-Mihiel, ment à la gare expéditrice qui sera tou Pont-à-Mousson, Normeing, Nancy, Lujours en mesure de les renseigner sur la néville, Baccarat, Saint-Dié, G érardmer, Belfort, Altkirch, Mulhouse, Colmar, mssibilité d’acceptation de l’envoi. Schlestadt, Strasbourg. 2° Ils devront aviser leurs destinataires La course cycliste d’après le prog ram que le déchargement devra toujours être me prévu passerait à Senlis, le dimanche fait dans le délai le plus rapide, et que, 4 mai. Les cyclistes venant de Villersdans bien des cas, ils auront à prendre ..frdterê-S se dirigeraient sur Paris. leurs dispositions pour effectuer ce dé chargem ent à découvert, les installations dans les régions libérées ne perm ettant L es P r é v o y a n t s d e l ’A v e n ir . ;»as toujours d’utiliser un local couvert. Le Président de la Société “ Les P ré 3° Toute demande provenant d’une ga voyants de l’Avenir ” , rappelle aux Pen re située sur un autre réseau devra égale ment être soumise au visa de la déléga sionnaires, que pour toucher leurs pen sions en 1919, ils doivent remettre leur tion de la Commission départementale du Ravitaillement qui se chargera de la certificat de vie à la recette de février. Il porb, également à la connaissance des présenter à la commission du réseau intéressé pour son acceptation, il l’enver membres de la section, les décisions sui vantes du comité central : ra ensuite à l’expéditeur. 1° A partir du 1er Janvier 1919, les bu 4° Toute demande devra être accompareaux de section ne devront plus accorder d’un timbre ou d’une enveloppe de nouvelles suspensions de paiement du affranchie pour la réponse. fait de la guerre Toutes les suspensions accordées antérieurement de ce fait, ces sent définitivement a partir du 1er ja n vier 1919. 2° Les mobilisés peuvent acquitter leurs cotisations arriérées en une ou plusieurs fois et sans aucune amende, dans le délai k J. G. témoignage d’amitié, en de six mois à partir de leur libération. Ils souvenir des excellentes heures peuvent aussi reprendre leurs versements vécues à Petit-Mont. mensuel! s conformément à l’article 25 SONNET des statuts. (Entrée en jouissance de la pension retardée d’une durée égale à la A u x cimes des sapins, dans le vieux parc qu’irise suspension des cotisations). D ’un m atin de printem ps, le soleil enjôleur, f i 3° Les sociétaires des pays envahis, ré A v a n t d’aller m ou rir sur ce ga^on sans fleu r, fugiés, rapatriés seront traités comme les O feuilles, vous chantiez le refrain de la brise. mobilisés. M ais l’automne, en passant, a te r n i vos couleurs, 4° Les mobilisés, prisonniers, rapatriés E t pu is, un soir, aprls une journée exquise, ~~ ui Ont droit à la pension, peuvent la réUn g ra n d ven t s’est levé soudain à l’heure grise, |clam er en ce mettant à jour de leurs cotiQ u i vous f i t envoler avec ses chants hurleurs. Isalions, elle leur sera service avec retroa^otivité. M aintenant sous le ciel d ’une lumière pâle, 5° Tout les autres sociétaires doivent Vous dansez tristem ent en rond, sans la rafale, se mettre au pair avant le 1er avril 1919, A vec le souvenir des beaux jours d’autrefois. en payant rigoureusement les amendes en retard. Bcaux.zêves, vous chantiez aussi votre cantique A u printem ps de la vie, en notre âme angélique; 6° Les femmes de mobilisés ne peuvent M ais l’automne, en passant, a brisé votre vo ix . profiter du privilège de l’article 25 des statuts qu’autant q u’il leur a été accordé ALEXIS. par le bureau de leur section. Les Commerçants et Industriels ont tout intérêt à s’adresser à notre Imprime rie, 11, Place Henri IV, à Senlis, pour les Imprimés dont ils ont besoin. Us sont assurés d’avoir des T ra v a u x bien fa its , dans le p lu s b re f d é la i et à des co n ditions très a va n ta g eu ses F o o tb a ll a s s o c ia t io n . u. S. S. 'IjT J rc rv e rs Senlt's l’ennemi, défendue par une mitraille u s ’, brisant ensuite une contre-attaque. » M. Georges Declerck est déjà titulaire de la croix de guerre, c’est sa troisième citation. C’est avec plaisir que nous lui adressons toutes nos félicitations. IV ogen t-su r-O ise. Q uerelle e t coups. t La dame Dombrecht, âgée de 44 ans, s’est plaint d’avoir été frappée de deux coups de bâton sur la tête par la dame Cocu, toutes deux marchandes de pois sons. Querelle de métier sans doute ! La justice appréciera. L e certifica t des bonnes. Pour avoir occupé chez elle une bonne qui n ’avait pas produit les certificats exi gés par l’arrêté préfectoral du 9 juin 1918, Madame Dobigny débitante de boissons, a été l’objet d’une contravention. ------- M Bloch, le sympathique directeur du cinéma théâtre de notre ville vient d’être cité de nouveau dans les termes suivants: « Pendant les opérations du Chemin des Dames, à Rocroy, a assuré les liaison dans des circonstances très pénibles de jou r et de nuit, avec un dévouement sans limites, présentant toutes les difficultés et jravant tous les dangers. » C’est la deuxième citation obtenue par M. Bloch qui s’était déjà distingué dans es combats de la Somme en 1916. Nous lui adressons nos sincères félici tations et profitons de l’occasion pour r a s su re r ses nombreux amis sur sa santé. M. Bloch, blessé dernièrement, est a u jo u rd ’hui en convalescence, P e tite s n o u ve lle s. Les jeunes Marcel Lafosse, 15 ans, Ga lant Roger 15 ans de Nogenl-sur-Oise et Calai Jules de Creil, 15 ans, ont été a rrê tés pour vol de num éraire et de deux boites de sardines au préjudice de Mme Vve Dugué Louise, épicière à Creil. - P our vol d’une boîte de conserves commis au préjudice de Mme Vigié, épicièce à Creil, les jeunes Roger Galant 15 ans, Cabat Félix, et A rthur Brasseur se ro nt poursuivis. A p r e m o u t. D én o m in a tio n des rues. Le conseil municipal vient de décider le changement du p usieurs noms de rues de de cette commune : La rue du Louche deviendra rue Galliéni. La ruelle de l’Eglise, rue de l’Eglise. La ru e de la Mare, rue Louis W allon. La rue d’Enfer, rue de la H aute-Pom meraie. La ruelle aux Cochons, rue Charles Durand, La place de la Mare, place de l’Abreu voir. La place du Louche, place Galliéni. E ta t-c iv il. N a issa n c e . Duchesne André, 32, rue de Royaumont. P u b l ic a t io n de m a r ia g e . E ntre M. Georges Léon Goblet, ajus teur, actuellement sapeur pompier à Paris domicilié à Boran, et Mlle Germaine-Georgette Barbier, sans profession, domiciliée à Nogent-sur-Oise. M a r ia g e , M. Louis-Célestin Fourrier, instituteur actuellement aux armées, domicilié à Noyon, et Mlle Henriette Bleux, sans p ro fession, domiciliée Nogent. DÉCÈS. M François Leelerq, 45 ans, sans p ro fession, hospice des vieillards. M. Xavier Dujardin, manouvrier, 70 ans, hospice des vieillards M Félix Hermant, 64 ans, retraité, rue Voltaire. M. Barck ben Messaoud, 24 ans, domi cilié au Maroc, décédé à l’hôpital ôomplémentaire 41, annexe Paul Bert. Mme Tronel Marie-Augustine, veuve Couilbœuf, 83 ans, sans profession, rue de la Liberté, Saulcy. Mme Edmée Laurendin Lorck, 82 ans, sans profession, hospice des vieillards. M. Ernest Garaud, 26 ans, soldat au 7e bataillon de chasseurs à pied, domicilié à Nimes, décédé à l’hôpital complémtaire 41, annexe Saint-Louis. P r é c y - s u r - O is e . L 'in sig n e des blessés. Dans la liste publiée p a r le Journal offi ciel des personnes auxquelles le Ministre de ITntérieur a attribué, après avis de la commission spéciale siégeant à la Préfec ture de police, l’insigne des blessés civils de la g uerre, nous relevons le nom de Mlle Suzanne Couture, de Précy. CHANTILLY C ita tio n à l'ordre d u j o u r . Nous apprenons avec plaisir que M. Franck Feuillet, sergent au 350e d’infan terie, 146 Cie, a été cité â l’ordre du jour dans les termes suivants : Le 1e1' août 1918, a conduit une section à l'attaque avec beaucoup de sang-froid, a fait preuve d’initiative et de courage. » Croix de guerre, proposé comme souslieutenant su r le champ de bataille. Nos félicitations à ce brave dont le sére est M. A. Feuillet, professeur de sténographie à Chantilly, actuellement mobilisé comme professeur à l’Institut National de rééducation professionnelle des Invalides de la gu erre à St-Maurice (Seine). B E T Z G rave a ccid en t. Les jeunes Auguste Vanneau, René Lallier et Charles Deiigny s’amusaient à faire éclater des cartouches. L’un d’eux lançait un gros pavé su r la cartouche au moment où passait une fillette de 9 ans, Gabrielle Stevens, qui se rendait à la ferme du Bois-Milon. La cartouche explosa et un éclat vint se loger dans l’œil gauche de la petite. La pauvre enfant dut être conduite dans un hôpital parisien pour y recevoir les soins nécessités par son état de gravité. Messe a n n iversa ire. Le 19 janvier a ura lieu en l’église de Chantilly une messe du bout de l’an pour le repos de l’âme du caporal pilote-avia leur Raymond Biondy, mort pour la France le 19 janvier 1918. G o u v ie u x . C ita tio n à l ’O rdre d u ré g im e n t. Le commandant de l’A. L. C. 163 cite à l’ordre de l’A. L. C. 163e D. I. Tesson Léon, classe 1899, n° m le 5156 : « Excellent canon nier d’un parfait dé vouement, venu de l'Infanterie pour ineptitude physique. A toujours été pour ses camarades un bel exemple de bravoure et de calme sang froid particulièrement au cours des récents combats de Cham pagne. » Toutes nos félicitations. MONTATAIRE C ita tio n à l ’ordre d u ré g im e n t. Le soldat Armand Sommereux, du 227e régiment d’infanterie, a été cité à l’ordre du jou r du régim ent dans les termes su i vants : Faisant partie d’une section très éprou vée par un violent barrage et dont les gradés étaient hors de combat, est p a ra en avant le premier, à l’heure fixée, e n traînant ses camarades par s a bravoure et sa décision. Nos félicitations les plus vives à ce courageux soldat. C o n tr a v e n tio n s . C ita tio n . Les nommés Jean Bat, Germain Joffre, Henri Planson, Louis Pottin, venus de Paris à Senlis avec un laissez passer qui ne comportait pas le déplacement de no tr e ville, ont été l’objet d’une contra vention. Le Colonel commandant l’infanterie de la l re D. I. cite à l’ordre de l’Infanterie: « Declerck Georges, du 67e régimen “d’infanterie, caporal énergique, a brillam ment secondé son chef de section le 31 octobre, enlevant une ferme occupée par L é g io n d ’h o n n e u r. M. Duval-Arnould, conseiller municipal de Paris, vient d’être promu officier de la Légion d’honneur au titre militaire comme capitaine d’artillerie M o r ie n v a l. S u ic id e . Souffrant depuis longtemps, M. Beuvelet, âgé de 65 ans, s’est pendu dans sa chambre. Le permis d’inhum er a été délivré. O rrou y. S i x fo is cité d l'o rd re du j o u r . Notre concitoyen, M. Paul Mercier, le boulanger bien connu, vient d’être l’objet à l’ordre de son régiment, d’une sixième citation que nous sommes heureux de reproduire : « Caporal Paul Mercier, du e d’in fanterie. Les 10 et U octobre 1918, au cours des attaques dirigées sur une forte position ennemie, a, par sa bonne humeur et son entrain, entraîné ses hommes à la conquête de l’objectif. « Cinq citations Bon gradé, très cou rageux. » Nos félicitations. S a in t in e s . F ia n ça illes. Nous apprenons les fiançailles de M. Charles Devouges, lieutenant de réserve au 8e dragons, décoré de la croix de guerre, fils de M. et Mme Devouges, de Fay, avec Mlle Suzanne Devouges, Tille de Mme Ernest Devouges, de Soissons. Nous adressons nos meilleurs vœux aux fiancés et nos compliments à leurs familles. s. 1 I j£ ! p r fil; LK Dt L’O.SK NEUILLY-SN-THELLE C am briolage. I J lly -S a in l-G c o r g e s. Dans un précédent numéro nous avons relaté qu ’un nommé Bourcier avait été blessé dans une. propriété privée par le garde Faisy. C itations. Le général commandant la division cite ■à l’ordre de la division le lieutenant Fernand Delafraye, du 6 régiment d’in fanterie : « Excellent officier plein de Sang-froid et de bravoure, a fait preuve d’un beau courage en contre-attaquant, sous un violent bombardement, à la tête de sa section, dans un boyau et une tranchée occupés par l’ennemi. A conservé Le te r rain repris. (Cinq fois cité). » Le colonel commandant l’infanterie de la division cite à l’ordre de la brigade le sous-officier André Delafraye, du 6 ré giment d’infanterie : « Sous-officier d’un courage et d’un sai.fç-l'roi J d i g n e s d e t o u l é l o g e a, p a r s o n absolu mépris du danger, donné le plus bel exemple de dévouement à ses hommes pendant les journées des 2 et 3 novembre 1918, pendant lesquelles il s’est dépensé sans compter. (Deux fois cité). » Toutes nos félicitations aux deux frères. UANTEDIL-LE-HAUDOUIN E rm enonville. C ita tio n . Nous apprenons la citation ci-aprés, dont a été l’objet le 46e régim ent d’artille rie de campagne, commandé par le lieute nant-colonel Martin-Decaen : O rdre n° 131 d u 7 décem bre 1 9 1 8 . Le général commandant le 32' corps d’armée cite à l’ordre du corps d’armée le 46' régiment d’artillerie de campagne : « Régiment d’élite, qui sous le com mandement énergique du lie u te n a n t-c o lo n e l M artin-D ecaen admirablement se condé p a r les chefs d’escadron Hornecker et Glass a pris une part brillante à quatre oflensives couronnés de succès les 17 Juil- fet, 20 et 28 Août et 8 septembre 1917 sous V erdun. Est demeuré à Verdun jusq u’au 7 octobre pour parer a des contreattaques ennemies avec six divisions dif férentes et n’a été relevé q u’après avoir perdu la plus grande partie de ses ser vants. «S’est signalé ju squ ’à la fin par la façon heureuse dont a exécuté ses barrages m é ritant les plus chaleureux éloges de l’In fanterie qu’il appuyait. Magnifique régi ment d’une cohésion et d’une trempe r a res qui a fait ses preuves dans les c ir constances les plus difficiles. » Au Q. G . le 5 décembre 1918. Général Passaga. Nous adressons au lieutenant-co’onel Martin Decaen et à ses collaborateurs toutes nos félicitations, pour cette belle citation. V o ici q u e lq u e s d é ta ils S ur c e tte a ffa ire . M. Faisy Ferdinand, âgé de 58 ans, garde particulier de M. Soualle négociant en vins à Pont-Sainte Maxence, renfrait dans cette propriété où se trouve une vil la qu’il habite. Il fut tout sururis d’aper cevoir un individu porteur d’un sac qu’à son approche prit la fuite. Le garde tira un coup de fusil en l’air et invita l’h o m me à s ’arrèier. Celui-ci n ’en tint aucun compte ; mais la propriété était entourée, il Lut forcé de rester un moment sur pla ce. Le garde qui le poursuivait gagnait du terrain l’homme lui lit face et se jeta su r lui, puis reprit sa course ; cependant, q u’elle idée lui passa dans l’esprit, il s’arréia J veau h et lit m i n f o u i l l a r dans ses poches, le garde craignant à jus te titre une agression nouvelle et peutêtre même à l’aide d'un révolver, tira un coups de fusil dans les jambes de l’indi vidu qui lut gravement atteint au genou gauche et à la cuisse droite. Le garde lui fit décliner ses nom et profession. C’est un nommé Bourcier Léon Auguste, â^é de 36 ans, né à Bozicourt (Oise). Le sac qu ’il avait lâché dans sa course contenait Plusieurs litres de vin, une chemise. M. Faisy ayant appelé pour avoir du secours, fit conduire Bourcier à l’hôpital de Pont où après avoir reçu les soins du docteur Debray, il fut dirigé sur l’hôpital de Senlis dans un état très grave. Cet homme avait pénétré dans le chalet eu forçant le volet et eu cassant les car reaux Je la fenêtre q u’il avait ainsi ou verte sans difficulté. Il but tout le vin qu ’il trouva, il eut la précaution de salir six verres ce qui laisse à supposer q u’il vou lait trom per le propriétaire sur le nom bre des visiteurs ; tous les meubles furent pillés consciencieusement, il e m prunta le lit qui portent la m arque de ses souliers et laissa avant de qu itter le chalet des vestiges du repas qu’il avait copieuse ment arrosé d’un vin qui l’avait saoûlé. • B eau rep aire. “ N écio lo g ie. En l’église Saint-Philippe du Roule à Paris, ont eu lieu les obsèques de la com tesse d’Armaillé qui s’est éteinte dans sa 89e année. Elle était la mère de la duchesse de Broglie. la grand'm ère du duc de Broglie, du prince Louis Victor de Broglie et de la marquise de Luppé. Elle était la lille du générai comte Philippe de Ségur, pair de France, membre de l'Académie fran çaise, et de sa seconde épouse, née de Viutimille du Lac. Mme la comtesse d’Armaillé était ap parentée à la famille de M. le marquis de Luppé. VERBER1 E C h o se s m u n ic ip a le s . l Bavage en boue PONT-Ste-MAXENCE N o m in a tio n d a m le C lergé P ar décision de Mgr, l’Evêque de Beauvais, M. l’Abbé Baudoux, professeur prémière à l’école Sainte-Marie de PontSte-Maxence, à été nommé curé de Choisyau-Bac, près Compiègne. On a essayé à Verberie, ces dernières années, un nouveau mode de pavage des trottoirs : mettre la boue liquide des chaussées sur les trottoirs de façon à ce que, par la gelée ou la sécheresse, elle devienne dure et solide. Ce procédé très ingénieux a donné des résultats que l’on admire en ce mois-de décembre 1918. Les villes voisines peuvent venir (à VerDerie qui se prétend ville) rue SaintPierre, pour se rendre compte de cette belle invention et en féliciter la munici-1 palité. *** M écontem ent général. Un vif mouvement se dessine contre la Municipalité à la suite des décisions prises à la dernière réunion du Conseil, dans lé but de singer la capitale et de faire oublier I insuffisance notoire des services de l?j commune. . L unanimité de la population t r o u v 1 que le rôle primordial d’un Conse Municipal de Village consiste à entretenu les propriétés communales, les chemin; les plantations etc., et dans une périom aussi critique, d’assurer le ravitaillemen de la localité. Il y a lieu aussi quand I commune , prétend .avoir le m o n o p o l e r l’éclairage de ne pas laisser les m a isu . sans lumière. F a ite s m a rch er l ’u sin e à g a z oh d o n n e z a V er b e r ie l’é le c tr ic ité qui fonctionne dans les villages voisins. Il est avéré aujourd’hui que si l’électrfcité n a pas_ été établie à Verberie c’eit que la M u n icip a lité s ’y est opposé^* la valeur marchande est aujourd’hui inestimable. On a laissé crever ou mutiler les rares plantations faites depuis dix ans, et, depuis six ans, on n ’a jamais planté un seul arbre. Plantez, m a is p la n te z des arbres de ra p p o rt puisque vous avez de l’argent, et tant d’argent en caisse que vous payez une armée d’agents municipaux à rien LâHEnNJE Précautions à jrenâre pelant PlilYcr. En toutes saisons, la hernie constitue 'tpcA’i ârroité déplorable et inquiétante. Mais c’est e i hiver surtout qu ’elle devient dangereuse et vraiment intolé rable. Le froid paralyse la vigueur de l’homme, enlève aux muscles leur tonicité; enfin la grande ennemie des hernieux : la to u x , courbant en deux le blessé, fait sortir la hernie qui s’échappe, finit par former une t umeur énorme et livre le hernieux aux risques mortels de l’étranglem ent her Il y a trois ans un legs im portant a été] niaire. fait a la commune pour ériger un modeste' Aussi, pour éviter à la fois les dangers monument à la gloire des enfants du de leur infirmité et les inconvénients de pays mort au champ d’honneur. la mauvaise saison, tous les hernieux La somme est suffisante pour édiüer doivent porter l’appareil moderne et per immédiatement une belle plaque de fectionné par excellence : l’A p p a r eil m arbre où seront gravés tous les noms P n eu m a tiq u e et sa n s r e sso r t inventé des héros que la commune a perdus. par le grand spécialiste d e P a r is, M. A . Noms que chaque jo u r les enfanls doivent C L A V E R IE . pouvoir lire et connaître. Un don analogue Seul ce merveilleux appareil, léger et a été fait, d’nue autre plaque commémo agréable à porter im m o b ilise la "hernie rative de la défense de Verberie le l 1'1' d’une façon radicale et définitive, se u l Septembre 1914. Le Conseil estimant que aussi, il permet au hernieux de se livrer, des particuliers n’avaient pas le droit de sans aucune crainte, aux travaux les plus penser aux grands morts avant lui a violents et aux métiers les plus durs. renvoyé aux calendes grecques l’éxécution Ou sait que M. A . C L A V E R IE a de ces projets. organisé depuis longtemps des voyages Avant de planter un chêne de la libéra réguliers, et qu’il continue toujours à tion, qui ne poussera jamais, ilfaut songer faire visiter notre contrée, aussi nous aux libérateurs. Il y a envirqn 80 enfants cyriseiltons vivement à nos lecteurs de de Verberie morts pour la France. çèndre visite à Déminent spécialiste qui Iis ne comptent plus comme électeurs, Recevra de 9 h. à. 4 h. à : il est v ra i. . ' urfEiL1, Lundi c20 Janvier, *RôteTTiu' Mais leurs parents et am s, le'' sonf Chemin de F er. ' encore et s’en souvien dront. S e t i l i s , Mardi 21, Hôtel du Grand-Cerf. *** Le « T raité d e la H e rn ie » par A . P lnn talions C L A V E R IE et le « L iv r e d ’Or » des preuves de guérison sont envoyés g ratui P la n te z ! P la n te z donc 1 C’est la saison tement et discrètement sur demande à savez-vous, chers conseillers municipaux. Plantez un bel arbre su r la place de M. A . C L A V E R IE , 234, Faubourg Saint Martin, à Paris. 1 Eglise, pas un chêne, car il ne poussera pas, mais un platane, un tilleul, un syco more, un saule ou un aooacia cher aux F.-. Plantez aussi de suite, car cela presse, en viron deux mille peupliers de la libéra A u m o n t. tion sur les marais communaux où on pourrait en mettre d ix m ille . N écrologie. C’est bien d’avoir converti en papiers M Pirot Paul, 42 ans, de la classe 1896, tous les arbres de la c o m m u n e , bons'ou conducteur au 20e escadron du train des n o n à a b a ttre. Ils ont été vendus à un prix élevé. Mais il ne faut pas oublier équipages militaires, est décédé à Rambervillers (Vosges), le 6 décembre 1918, qu’ils ne sont plus et que, p erdant 25 ans, aucune vente d’arbres sérieuse ne pourra des suites de la grippe. Condoléances attristées à la famille en être réalisée à Verberie et, qu’en consé deuil quence, ce sera chaque année un déficit de deux mille francs au moins dans le A v illy -S a in t-L é o n a r d . budget des recettes de la commune. Secours a u x in d ig e n ts. U ne suffit pas de tuer ou d’aba tre, il faut engendrer, planter et su r to u t fa ir e vivre M. Georges-Picot Pierre,* industriel à ce q u i e x iste encore. Avilly, gendre du regretté M. Jean-BapVerberie pouvait produire sur ses fri-j tiste Turquet, maire d’Avilly-St-Léonard ches des milliers d’arbres à pousse rapide i u b t conseiller d’arrondissem ent du canton peupliers, " osiers, aulnes, ’ pins, etc ' (TCTroM ae Sentis, vient de faire remettre au S Z E IS T JL IS ^ n s e d l e r amnipjpjj^ faisant fonctions de inaire, a l’occasion du décès de sou beaupêre, une somme de 500 fr. destinée à être convertie en secours immédiats de pain et de viande pour les indigents de la commune. V in e u il-S ttin t-F ir a ilo . C o n tra ven tio n . M. Elie Mourin, garçon brasseur n vaNY^h'r6’ a 6U 16 tort de laisser ses c h e S - R S 6' SUr la ro u ts de Yin euil- S u ic id e . Le 2 janvier dernier, dans la matinée, Mme Caboche, née Caboche Maria-Armentine, âgée de 71 ans, rentière à SaintLéonard, s’est ouvert la gorge avec un couteau. Son mari, qui s’était absenté quelques instants, a déclaré l’avoir trouvée, à son retour, baignant dans son sang. Transportée d’urgence, dans un état désespéré, à l’hôpital de Senlis, elle y est morte le surlendemain. Ses obsèques ont eu heu mercredi à Saint-Léonard. Il semble que le suicide serait dù à une cause d-’ordre financier. ^ L a . v é r i t é su r* l a H E R N IE GUÉRIE DKintis le Matrice, Varices, varlccciies, Obésité, Difformités du corjs. L a C lia p c ile -e n -S e rv a l. La réputation que M. VUACHET, le renommé spécialiste herniaire de Paris a acquise dans notre région, depuis plus de trente années, par les milliers de guéri sons q u’ü a obtenues, n’est plus à faire. Aussi, c’est avec plaisir que nous appre nons à nos lecteurs et lectrices la récente découverte q u ’il vient de faire avec le Les P . T. T à la guerre. Le lieutenant-colonel P errier, com mandant le 8 régim ent d’artillerie, cite à l’ordre du régim ent : Gillaud Edouard, sapeur radiotélégra phiste 8e génie, état-major du 6 R. Â. G. « Sapeur radiotélégraphiste extrêm e ment dévoué et consciencieux, s’intéres sant vivement à son travail qu’il a assuré sans cesse de façon parfaite à l’EtatMajor du régim ent, contribuant, malgré une santé peu robuste, au pénible service d’écoute dans les postes de commande ment les plus périlleux ou les plus som maires. » M. Tillaud a collaboré quelques mois avec Mme Monti, la regrettée receveuse des postes qui, pendant 28 ans, a assuré le service à La Chapelle-en-Serval. Quand il a été mobilisé M. Tillaud était receveur intérimaire à La Chapelleen-Serval. S a in t L éonard. A sso cia tio n S p o rtiv e G auloise Dimanche 29 décembre, l’équipe de l’A S. Gauloise s’est rencontrée sur son te r rain à St-Léonard avec 1U. S A. (Union SpTjet-rr d-’Afriliy). . > Après une partie très acharnée ou l’on a rem arqué la ligne de demis, i’A. S. Gauloise fut vainqueur par 8 buts à 0. V ille rs-S a iu t-F ra n ib o u rg -. C ita tio n à l ’ordre de la D ivision. P our la troisième fois, le caporal Leroi du 161e d’infanterie, vient d’être cité â l’ordre de sa division, dans les termes suivants : « Excellent caporal, d’un moral élevé. A eu une attitude superbe à l’attaque du 1er Novembre, encourageant ses hommes à avancer sous un violent feu de mitrail leuses ». Nos félicitations. A P E R n o u v e l a p p a r e il s o u p a p e e t à a ir c o m p r im e , a im a n t m é d i c a l , c e in t u r e m a illo t (breveté). Nous engageons toutes les personnes atteintes de ces affections à se rendre auprès de M. VUACHET, qui recevra gratuitement de neuf à cinq heures et fera lui-même 1 application de ses mer veilleux appareils; en quelques mois oa peut quitter les appareils et se retrouver aussi robuste qu ’avant l’accident, mêmes les personnes alitées depuis plusieurs années par la hernie. C o n su lta tio n s à : SENLIS, hôtel du Grand-Cerf, Mardi 14 janvier; COMPIÈGNE, Hôtel de Flandre, mer credi 15 janvier; GREIL, hôtel du Commerce, jeudi 16 janvier; CLERMONT, Hôtel du Chemin de Fervendredi 17 janvier; BEAUVAIS, hôtel Continental, Samedi 18 janvier. Paris, tous les jours, 15, ruede l’Aqueduc. B r a s e t ja m b e s pour les amputés A C 'e r f e r * « l e S u i t e Cltapallerié et Modes S’ad r. au b ureau du j'ournal. 1428 C AGE-FEMME, 94*- * l# v F a c e T our S aint-Jacques (Métro Châtelety C o n s u lt a tio n s T U R P dans to n s le s ca««» tN 8RIND VIN BL1NC APÉRITIF NATUREL CMMomnt SAKS ENTRAVE d .s s b mmc àn A ra*>. - f o Ç q la tà m taire, d em eurant à P a ris, avenue de d e u x h eu re s d e l ’a p rès-m id i, et se p ro ’ongeant le long de 1, Etude de flil8 D h erb e, huissier isftMæ évtüjs W agram , num éro 75 ter; SZ®SSK StTrWSüœ E couen, en l ’étude de M= P e ttré , rivière, ayant en trée sur la ru e de dans les arrondissem ents à Pont-Sainte-M axence. notaire audit lieu, p a r le m in istère de Senlis, Cierm ont, Compiègne Poursuivants; Meaux p ar une porte b âtarde et Meaux. A vem uS re a u x e m c l i è r e s A yant pour avoué Me C harles de Me Louet, son suppléant, procédé 5° Autre jard in p o tag er planté Cession de Fonds de Commerce. D upont, ex erçan t près le tribunal à la vente et adjudication, p ar suite d 'arb res à fruits situé en tre la S ad re sse r à M- D herbe, huissier» civil de prem ière in stan ce séan t à de licitation, au plus offrant et der rivière de N onette et les m urs du E s s e n c e s d e p e u p lie r s, P ontoise, dem eurant en ladite ville, n ier e n c h érisseu r, en six lots, des rem p art Samt-Vincent, contenant DEUXIÈME INSERTION o rm es et fr ê n e s. rue B asse, num éro 29, actuellem ent im m eubles dont la désignation suit : onze a re s q u atre vingt-onze cen L e D im a n c h e 12 J a n v i e r 1 9 1 9 , m obilisé, et suppléé p ar Monsieur Situés terro irs de Heilles et Ullyà deiTx heures, tiares, et ten an t d’un bout occident Suivant écrit sous sig n atu res pri D E S I G N A T I O N Leroy, son principal cierc, dem eu Saint-G eorges, au m ur du rem p art Saint-V incent,,et vées en date à V illeneuve-sur-V erbe- i A Pont-Sainte-M axence, rue ran t audit Po; toise, nommé à cet P rem ier lot. d’autre bout orient à un petit terrain rie des quatre et cinq décem bre m il ! . C x ■'JP’ L&Wfe-ar XJl à IÆ A des V endredis, n0 33 effet suivant ordonnance rendue par proche du moulin. neuf cent dix-huit. M onsieur et Commune et terroir de Belloy M onsieur le P résid en t du tribunal PA R AD JU D IC A TIO N VO LO NTA IR E De C am pagne (Seine-et-Oise). Les cinq articles ci-dessus conte Madame EVRARD-HANNEUSE ont •N y o a civil de prem ière in s'an c e séan t à vendu à M onsieur H enri DAGNEAUX, 1 EN 3 LOTS Avec g ran d Jardin fruitier et paitk: Etude de M T b i e r s o n , notaire Une P ro p riété sise à Belloy, etc... nant, y com pris l’em placem ent des P ontoise, le neuf juin mil neuf cent P a r su ite d e licita tio n en trep ren eu r de battages à Barbery, Le Lundi 2 7 J a n v ie r 1 9 1 9 , boisée. à Nanteuil-Ie H audouin. bâiim ents, les comm uns et le jardin, dix sept, e n reg istrée, lequel est Ville de Senlis (Oise). le fo n d s d e c o m m e r c e d e à deux heures, trente-deux a re s quatre-vingt-cinq A ÉCOUEN Cabinet de M. F ernand CADOi; constitué et occupe pour eux sur la c a fé-b u v ette-re sta u ra n t qu’ils Sixième et d ern ie r lot. centiares. architecte a Crépy en-V alois. l 4âT p résen te poursuite de vente sur V E N TE VO LON TAIRE En l’étude de M” PETTRÉ, notaire faisaient valoir à V illcneuve-sur- A Mouy, en l’étude de Me R ousselet, licitation et ses suites; notaire, Le quart en n u e-p ro p riété grevé audit lieu, DE 0 Et une belle prairie, autrefois Y erberie, place de l’Eglise, moyen 3 'nt. Madame Em élie Sainte-Beuve, de l’usufruit de Madame A urélie en m arais, situé à Senlis entre la nant un prix et aux conditions expri P a r le m inistère de M8 B u r g e a t , P a r le m inistère de M” LOUET son épouse de Monsieur G aston-Jules B oucher, pro p riéiaire, dem eu rant à r.vière de Nonette et le ruisseau de més audit acte. son suppléant. suppléant, comm is à cet effet. D uchesne, ag ricu lteu r, avec lequel Senlis, veuve de M onsieur A lphonse décharge, d’une contenance de cin L’entrée en jouissance a eu lieu le En s ix lo ts, H ervaux; elle dem eure à A ttainville (Seine-etquante-quatre ares quatre-vingt-trois dix-neuf décem bre mil neuf cent dixA N anleuil-le-H audouin, route S 'a d re sse r à M o u y : A V m iV O R E Oise), et M onsieur D uchesne, tant centiares, ayant e n trée sur la rûe huit. DE D ans les im m eubles suivants de Peroy, habitation de M. Cuvinot, P our visiter, à Monsieur L éger, en son nom personnel que pour 1° Un Moulin faisant de blé farine de Meaux par une porte charretière Domicile élu p o u r les oppositions rue de H dlles, num éro 101; Tout e s t e n b on éta t. P R E M IÈ R E M E N T P a r le m inistère de M* T hierson, l’assistan ce et l’au torisation n éces et situé à Senlis, à la P o rte de et tenant du nord au jard in article en l ’étude dudit Me DHERBE. notaire à N anteuil-le-H audouin, UNE S’ad re sse r à M. MALPAIX, Pk f Et pour tous renseignem ents, en saires à la dam e son épouse et la | Meaux, su r la rivière de N onette, le quatre ci-dessus et à la riv ière dp P o u r deuxième insertion, l’étude de M" R ousselet, n o taire, 16, Le Dim anche 12 J a n v ier 1919, A prem ont (Oise). validité de la procédure; 146® faisant to u rn er avec une chute d’eau N onette, du midi et d’occident au DHERBE. piace de l’Hôtel-de-Ville. à treize heu res et dem ie. d’un m ètre soixante-dix centim ètres fossé de décharge, et d’orient à Ta Aussi poursuivants; ru e de Meaux. Ayant pour avoué M' Luxer, sup de h au teu r, produisant une force pléan t feu M A ubert, ex erçan t près brute de q u ara n te -tro is chevaux Etude de VIe -baugin, notaire ■ w m «s» Située à B e llo y (Seine-et-Oise), Etude de M* P e tit, notaire à Senlis le trib u n al civil de prem ière ins vapeur. à Verberie (Oise). ru e de Mywille ou ru e de la Vallée, (Oise). tance séan t à P ontoise, dem eurant Ledit moulin com prenant : e tc ......... PREMIÈRE INSERTION On d e m a n d e pour ferme en ladite ville, rue de la Coutellerie, MISES A P R I X Un principal corps de bâtim ents aux environs de Senlis, c h a r r e S IX IÈ M E M E N T num éro 8, lequel est constitué et construit en p ierres de taille, élevé Outre les charges, clauses et con tie r e t b o u v ie r sérieux, nas. Aux term es d’un acte sous sig n a pour eux su r la p résente de six éiag es, couvert en ardoises, Et le quart en nue-propriété occupe mobilisables. Logement et jardin. e s s e n c e p e u p lie r s, f r ê n e s poursuite de vente su r licitation et avec to u rn an ts, virants et travail ditions énoncées au cahier des tures privées en date à Nanteuii-lecharges d ressé par M* Louet, sup Bons gages. ses suites; D’UN lants, voûte à côté d u m oulin s e r pléant M» P e ttré , notaire, et déposé Haudouin du vingt-neuf décem bre g r isa r d s , h ê t r e s e t o r m e s P ren d rait à l’occasion évacués mil neuf cent dix-hun, en reg istré, En p résen ce ou eux dûm ent appe vant de hangar. M V E N t H R M DE 2 5 H E C T A R E S en son étude ou chacun peut en M onsieur Jean-B aptiste CACHIN, avec deux chevaux. lés de : 2° Une Maison bourgeoise atte pren d re com m unication, l’adjudica aubergiste à N anteuil-le-H audouin S’adr. au bureau du jo u rn al. 13M P a r voie de soum ission cachetée avec fa c ilité d ’a u g m e n ta tio n dent. M adame Marie Joséphine- n an t au moulin, com posée : tion au ra lieu sur les m ises â prix a cédé à Monsieur VANDER ECHEN A VERBERIE, F aisant «le blé fatrine G abrielle Brém ent, veuve de Mon B o n n es te r r e s. M' MAUGIN, notaire * Au rez-d e-ch au ssée, d ’une cuisine ci-dessus indiquées, fixées p ar les Léon, charron à N anteuil-le-H au En l’étude de M8 M augin, n o taire, Verberie (Oise), entre Compiègne eï Situé à S e n lis (Oise), à la porte de sieu r A uguste Sainte Beuve, p ro ayant en trée su r la ru e de Meaux jugem ents ci-énoncés ci-dessus, s’é douin, le fo n d s d e c o m m e r c e S’ad re sse r à M* PETIT, notaire. p riétaire, d em eurant à P aris, avenue p a r une porte bâtarde com m uniquant levant à la som me totale de six Senlis, 14 kilom ., d e m a n d e d e Meaux, su r la rivière de N onette, d’a u b e r g is te , lo g e u r e t r e s Le Dim anche 19 Ja n v ier 1919. W agram , num éro 75 ter; s u ite un p r in c ip a l c le r c faiea i p ar un c o u 'o ’r 8t un escalier avec cent trente-deux ta u r a te u r qu’il exploitait audit ET au courant, accepterait m utilé o® « Au nom et comme tu tr ee | les bâtim ents du m oulin, cabinet de mille cinq cents E tude de M« L a n g lo is, notaire P lusieurs de ces a rb re s m esu ran t N anteuil-le-H audouin, ru e de P aris. évacué. la s ? « naturelle et légale de : 1° travail a la suite et deux cham bres francs, c i........... à Senlis. un m ètre de diam ètre sont propres La p ré se n te insertion sera ren o u « M adem oiselleSim oneSainte- et un cabinet, le tout donnant su r le à l’industrie. M. VIGNARD, m a rc h a n d a s d’une contenance totale de F ait et rédigé par les avoués velée le d ix-neuf ja n v ie r courant, « Beuve, m ineure, née à jard in ; en re to u r, salle à m an g er et bois à Coye (Oise), d e m a n d e d e c’est de cette d ern ière date que « P aris, su r le dixièm e a r- salon, buan d erie, fournil en tre la poursuivants soussignés, S’ad re sse r au notaire pour r e n A V e n d re à l’a m ia b le s u ite d eu x b o n s b û ch ero n s. courra le-délai de dix jo u rs accordé « rondissem ent. le seize mai rue de Meaux et le jard in . A P ontoise, le trente décem bre aux créan ciers pour faire sppos lion seignem ents et dem ander affiches P rix très avantageux. 1415 environ. pour le détail. « mit huit cent quatre-vingtmil neuf cent dix-huit, Au prem ier étag e , au -d e ssu s du au domicile élu chez M onsieur Van« dix-huit; 2° et Monsieur salon et de la salle à m anger, trois L e tout p lu s a m p le m e n t désig n é iT" On d e m a n d e pour m ai d e r Echen. S gnés : LEROY, suppléant. ci-a p rè s. « A ndré Sainte-Bi uve, m i- cham bres A V in eu il son bourgeoise u n e p e r s o n n e LUXER, suppléant. « n eu r, né à P a ris, su r le Second étag e converti en m agasin S 'a d re sse r à Me L ang’ois, notaire connaissant le service et la cuisine, « dixièm e arro n d issem en t, le m unie de bonnes références. G aget E n reg istré à Pontoise le deux ainsi que le p rem ier et deuxièm e L’adjudication au ra lieu le Lundi Etude de M » R o u s s e le t , n o ta ire « prem ier jan v ier mil neuf 60 francs. A M JU D IC A T I O J \ janvier mil neuf cent dix-neuf, folio étag e au -d essu s de l’au tre aile des 2 7 J a n v ie r 1911), à M ouy. « cent, de son m ariage avec bâtim ents. S’adr. au bureau du jo u rn al. 142® , case . Reçu un franc quatreSgftMK ÉTUDK DU D R O I T AU BAIL à d e u x h eu res de V a p rès-m id i. « son défunt mari; » S uccesseur d e M- M a r t in . vingt-huit centim es, décim es com* Jardin avec pelouse. On d e m a n d e d e b o n s P o u r 9 ou 12 années pris. Signé : B ernard. Co-licilante; to u p ille u r s e t p e r c e u r s ett A L o u e r d e su ite Le b âtim en t du moulin et la m ai de Ayant pour avoué Me Georges Ou fait savoir à tous ceux qu’il b rosserie fuie. S 'a d re sse r p o u r avoir des r e n s é f) P ie ren s, e x erçan t p rès le tribunal son b o u rg e o is e /s e rv a n t au rem part g n e m e n ts : ap p artien d ra : S’ad re sse r au bureau du journal, de la ville, est situé à droite en sor civil de p rem ière instance séan t à initiales R. G. 136S tan t de la rue de Meaux, la maison Qu’en v ertu et en exécution : A Ecouen : P on to ise, d em eurant en ladite ville, d ’essences tlivenses T erroirs de R oberbal et Villeneuve T erroir d’Orry-la-Ville. 1° D’un ju g em en t contradictoire place Saint Louis, num éro 9, lequel ainsi que le jard in ci-dessus à l’inté On d e m a n d e s té n o A M8 LOUET, supp! ^ __ Ttui im prenant notam m ent : c h ê n e s , En la m airie deV iileneuve-s-Verberie ren d u en tre les parties y dénom est constitué et occupe pour elle su r rie u r et le bàtim i nt du moulin et la notaire, dépositaire du cahiep S’ad resser à M* L anglois, notaire. d a c ty lo avec références sérieuses. p e u p lie r s e t f r ê n e s . m ées, qualifiées et dom iciliées, par la vente su r licitation dont s ’ag it et voûte à l’e x térie u r dudit re m p a rt. Cabinet de M. F ernand CADOT, charges et chargé de la vente ; Le Dim anche 12! Jan vier 1919, Le couloir faisant com m uniquer le trib u n al civil de prem ière in s ses suites; Situés terro ir de Balagny-sur-Thérain architecte à Crépy-en-Valois. 147® à quatorze heures, A P aris : M tM t tTUDK la m aison bourgeoise avec le moulin tance séa n t à Pontoise, le vingt2'»*. E t M onsieur Léon Sainte- est percé dans le rem part. P a r le m inistère de M° Maugin, A M * VICIER, notaire, 18, rue î -A W l E W t i K E l deux juillet mil n e u f cent quatorze, Beuve, ren tier, dem eurant à P a n s, ETUDE DE M* BOCQUET notaire. en reg istré et signifié; A V e n d re à l ’A m ia b le 3° De l’au tre côté de la ru e de P yram ides; PAR a d j u d i c a t i o n v o lo n ta ire C lerc aux a d e s courants ru e de M aubeuge, num éro 60; Meaux, à gauche en so rtan t de la A P ontoise : et inventaires e s t d e m a n d é de 2° E t d ’un au tre ju g em en t co n tra UNE r EN 2 LOTS « Au nom et comme subrosu ite. Etude d e - l l8 l o u r d e ! , notaire ville, com m uns et dépendances con dictoire, rendu e n tre les parties y 1° A M* LEROY, su p p lé a n t M° Le Lundi 2 7 J a n v ie r f 9 1 9 , « g é-tu ieu r a d hoc des deux sistan t en deux écuries, rem ises, à Pont. dénom m ées, qualifiées etdom iciliées, CharleD upont , a v o u é , p o u rsu iv a n t à d eu x h e u rts , « m ineurs Simone Sainle_ ” On d e m a n d e fe m m e Me CAMUS, suppléant. laiterie, trou à pnres, la p i.Jè re s, p ar le tribunal civil de prem ière « Beuve et A ndré S ainte- pigeonnier, poulailler, basse-cour, la vente; Sise à Smilis, d e c h a m b r e . Bonnes références. A Mouy, en l’étude de M« R o u sstlet, instance séan t à Pontoise, le dix « Beuve dénom m és ci des2° A M» LUXER, su p p léan t feu rue du Chat-Haret, num éro 8 . notaire, S’ad re sse r chez Mme DROGOURT g ren ier, c o u r ayant e n trée su r la avril mil neuf cent dix huit, e n re A V en d re à l ’A m iable « sus; » M* A i n e R T , avoué, aussi p o u rsu i 147^ ru e de Meaux p ar une porte ch a rre S’a d resser à Me Langlois, notaire. à V illevert-Senlis. g istré et signifié; P a r le m inistère de M* B urgeat, v an t; « Nommé à cette fonclion suivant tière ; le to u t situé à l’in térieu r du Bon fonds de commerce son suppléai t. E t qu’aux req u êtes, poursuites et On d e m a n d e un g a r délibération du conseil de famille rem part et ten an t du nord à Mon 3° Et à M' PIERENS, a v o u é 'p r é de diligences de : Etude de VI' D h erb e, h uissier ç o n b o u ch er sachant l’étal et d esdits m ineurs tenue sous la sieur Dillas ou re p ré se n ta n ts,^ de sent à la vente. S ’a d resser à M ouy : 1 abattoir. à.P o n t-S an te-M ax en ce. p résidence de M onsieur le Juge l’ouest à la rue de Meaux, et des H»1. M onsieur Alphonse SainteEt pour visiter, su r les lieux. de Paix du dixièm e a rro n d isse au tres portes au rem pait. P our visiter, à M onsieur Léger, Beuve, pro p riétaire, m aire de la S’adr. au bureau du journal. 1475 m ent de P aris, le deux juillet mil rue de Heilles, num éro lo i ; iCommune de Belloy (S eine-et-O ise), 4° Jardin potager et v erg e r p 'anté ET C O R D O N N I E R On d e m a n d e un bon neuf cent quinze, en reg istrée. » y dem eurant; E t pour tous renseignem enls, en d’oi'bres fruitiers, contenant m uf Exploité dans ville de 1 Oise. o u v r ie r c h a r p e u tie r ou oljfTipijPp donne spcret pour g u é l’étude de M8 R o u sse h t, notaire, 16, En bonnes terres 2' “'. M onsieur R oger Sainte- i Il se ra , le L u n d i v in g t- n e u f a res q'iati e-viogt-six cen tiares, au jJlUlüllùu n r pmi au lit et hém or charron. place de ITIôtel-d -Vi’l». Beuve, célibataire m ajeur, proprié J a n v ie r m il n e u f ce n t d ix - n e u f, a nord du r. m part, d rr ère le moulin roïdes. Maison P urot 0 26, à N antes E x c e lle n te affa ire . Usine Marcel PRUS, Gonvieux. Estdemandée de préférence E tudes de 1” M* C h a r les D upont, docteur en droit, avoué à P ontoise (S eine-et-O ise), ru e B asse, n° 29, (Successeur de M' B ourgeois); 2° Feu VIe M aurice A u b ert, avoué à Pontoise, ru e de la Coutellerie, n° 8 ; 3° Et ;«* M ené P e ttr é , n otaire à Ecouen (Seine-et-O ise), (Successeur de MïSRenaud et Quériot) 142 Pieds d’A r te i Objets Mobiliers Oq demande à jtfcJjetet PROPRIÉTÉ Meubles et Objets divers Cheval PROPRIÉTÉ et Voilure DEMANDES ET OFFEES J S f S L r S ? ? 5.00Ô E ïe ta u îstim c ie isi’aifes MOULIN UNE PRAIRIE 7 7 ares 6 8 centiares S eux *mr~ 14? Pieds d’Arbres 9 h. 32 a. 87 e. de terres 6 hect. 25 ares de Terre M A I S O IN T Marchand le Chaussures R V a p ar nous, Maire de la V ilb de Senlis, pour légalisation de la signature de apposée à l ’articla , Le E nregistré à Senlis Reçu Fera Je 200à 300liectara Im prim erie A dm inistrative et Comm erciale de Senlis. 11, place de l’H ôtri-de-Y üle ' ^Hrccteur-Admis;; VV '