Monde des artisans d`octobre 2015

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Septembre-octobre 2015 • 1,50 €
RETROUVEZ DANS CE NUMÉRO TOUTE L’INFORMATION DE VOTRE CMA
rtisans
LE MONDE
DES
édition
île-de-France
Essonne
Stars & Métiers
Bimestriel n°108
Deux Essonniens
lauréats régionaux
du concours
PAGE
08
nos formations en un coup d'œil P. 18
événement
En région
L’artisanat au cœur
des enjeux du territoire
du Val d’Orge P. 04
7UDQVPLVVLRQɈ
la préparation, c’est
la clé de la réussite P. 16
Essonne
L’APPRENTISSAGE
C’EST VOTRE AVENIR
POUR L’APPRENTI
UN AVENIR PROFESSIONNEL
« Je sais qu’à
diplôme égal,
un employeur va
toujours préférer
celui ou celle qui
connaît le monde
de l’entreprise »
Joshua, 18 ans,
DUT techniques de
commercialisation à
Montpellier, Hérault
UNE SOLIDE
FORMATION
qui allie apprentissage
théorique et pratique.
UN VRAI SALAIRE
entre 25 et 78% du SMIC et
jusqu’à 93% du SMIC pour
un apprenti handicapé.
DES DROITS
ET AVANTAGES
comme pour les autres
salariés (congés payés,
visite médicale, compte
personnel de formation,
etc.)
POUR L’ENTREPRISE
UN PARI D’AVENIR
UN FUTUR SALARIÉ
« C’est un moyen
d’assurer des
recrutements
efficaces. »
DES PRIMES
ET DES AIDES
FINANCIÈRES
Jean-François Blanchet,
directeur général
du groupe BRL à
Montpellier, Hérault
formé et adapté à la culture
de votre entreprise.
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sociales
• Prime à l’apprentissage et
aide au recrutement
• Aide “Contrat de
génération” (4 000 € par an
pendant 3 ans à l’issue du
contrat)
• Crédit d’impôts
• Aides complémentaires
#IGƂRJ
LWUSWo¼a
pour le recrutement d’une
personne handicapée quel
que soit son âge.
65%
des apprentis
ont un emploi 7 mois après leur formation
Source : note d’information de la Direction de l’Evaluation, de la Prospective et de la
Performance (Ministère de l’Education Nationale - mars 2014)
80%
des professionnels
ayant embauché un apprenti sont satisfaits
GVTÅGODCWEJGPVWPCWVTGCRRTGPVK¼NCƂPFW
contrat
Source : CCI France (2011)
É D I T O
ÉVÉNEMENT
4
L’artisanat au cœur des enjeux
du territoire du Val d’Orge
ACTUALITÉS [ 6
[ 6WDUV0«WLHUV̭GHX[(VVRQQLHQVODXU«DWV
U«JLRQDX[GXFRQFRXUV
[ /H&)$%73GH%U«WLJQ\VXU2UJH
HQSOHLQHPXWDWLRQ
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F̵HVWODFO«GHODU«XVVLWH
PRATIQUE [ 18
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DQQ«H
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regards [ 26
[ *ODFHV$PRULQR̭O
H[FHSWLRQLWDOLHQQH
à Paris
© O. DESALEUX
S O M M A I R E
Laurent Munerot
3U«VLGHQWGHOD&0$
GHOȇ(VVRQQH
L
es chefs d’entreprise artisanale comptent avant tout sur
eux-mêmes. C’est leur force. Leur temps, ils préfèrent le
consacrer à développer leur activité. Alors, quand vient
l’heure des démarches administratives, beaucoup y vont à
reculons. Je les comprends.
Pour les mêmes raisons, et même si les comportements évoluent, une
majorité d’artisans essonniens n’ont pas suffisamment recours aux services de leur Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Depuis l’ouverture de
nos locaux à Évry, ils doivent savoir que tous les moyens sont déployés
pour renforcer l’efficacité de notre action. À l’image de l’offre de formations, les services ont été enrichis pour apporter des réponses à toutes
les situations.
Les élus de la CMA de l’Essonne entendent le faire savoir. En septembre
s’est déroulée notre 7e rencontre territoriale avec la communauté d’agglomération du Val d’Orge. L’occasion pour la Chambre de se rapprocher
de ses ressortissants, également d’en valoriser un certain nombre en leur
remettant une médaille d’honneur des métiers et de l’artisanat. Ces rencontres visent aussi à encourager le dialogue entre artisans et élus locaux.
L’échelon intercommunal peut, en effet, offrir un relais efficace pour la
CMA de l’Essonne. Ces rencontres territoriales ne sont que la partie visible
du travail entrepris pour resserrer les liens avec les intercommunalités.
Si elles sont compétentes en matière de développement économique, les
communautés d’agglomération n’ont pas toujours les clés face à la grande
diversité de l’artisanat.
Au 1er janvier 2016, la nouvelle carte intercommunale va conduire à la
naissance de communautés d’agglomération agrandies. Les attentes des
populations n’en seront que plus importantes. Leurs services savent qu’ils
peuvent compter sur la CMA pour apporter des réponses aux quelque
23 600 entreprises artisanales du département.
[ /HVDUWLVDQVH[SHUWVDXUDSSRUW
[ $QQH0DULH%RXWLQ̭IRQGDWULFHHW
SU«VLGHQWHGHO̵$JHQFHSRXUODSURPRWLRQ
GHODFU«DWLRQLQGXVWULHOOH$3&,
&HQXP«URFRPSUHQGGHVSDJHVVS«FLILTXHVSRXUOHVDERQQ«VGHO
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Le Monde des artisans n° 108 – septembre-octobre 2015ȂGLWLRQGHO
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7«ObHPDLOɋFPDFKDUOHV#DUWLVDQDWIU$YHFOHFRQFRXUVU«GDFWLRQQHOGHODFKDPEUHGHP«WLHUVHWGHOȇDUWLVDQDWGHOȇ(VVRQQHȂGLWHXUG«O«JX«ɋ6W«SKDQH6FKPLWWȂ5«GDFWLRQɋ$7&SRUWɋɋɋɋɋ
HPDLOɋOHPRQGHGHVDUWLVDQV#JURXSHDWFFRPȂ2QWFROODERU«¢FHQXP«URɋ%DUEDUD&RODV0DUMRODLQH'HVPDUWLQ&KULVWHOOH)«Q«RQΖVDEHOOH)OD\HX[*XLOODXPH*HQHVWH0«ODQLH.RFKHUW'HOSKLQH3D\DQ6RPSD\UDF
6DPRUD\D:LOVRQȂ6HFU«WDULDWGHU«GDFWLRQɋ0$QWKRQ\-&OHVVLHQQH-1HLVVHȂ3XEOLFLW«ɋ$7&TXDLGH9DOP\3DULVȂ3XEOLFLW«QDWLRQDOHɋ'LUHFWHXUFRPPHUFLDO0DWKLHX7RXUQLHU7«OɋɋɋɋID[
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MRQTXLHUHV#ZDQDGRRIUȂ3KRWRJUDSKLHVɋ/DXUHQW7KHHWHQUHVSRQVDEOHLPDJHȂ&U«GLWVSKRWRVORFDOHVVDXIPHQWLRQFRQWUDLUHɋ&0$HW&50$Ζ')Ȃ3URPRWLRQGLIIXVLRQɋ6KLUOH\(OWHU7«Oɋ
ɋɋɋɋ7DULIGȇDERQQHPHQWDQ)UDQFHɋHXURV7DULIDXQXP«URɋȜ¢Oȇ«WUDQJHUɋQRXVFRQVXOWHUȂ&RQFHSWLRQ«GLWRULDOHHWJUDSKLTXHɋTEMA|presse7«OɋɋɋɋɋȂ)DEULFDWLRQɋ3L[HO
LPDJHΖ0DUOLQ-07DSSHUW7«OɋɋɋɋȂGLWHXUɋ$7&UXH'XSRQWGHV/RJHV0(7=7«OɋɋɋɋID[ɋɋɋɋȂ'LUHFWHXUGHODSXEOLFDWLRQɋ)UDQ©RLV*UDQGLGLHUȂ
1rbFRPPLVVLRQSDULWDLUHɋ7ȂΖ661ɋȂ'«S¶WO«JDOɋVHSWHPEUHȂΖPSUHVVLRQɋΖPSULPHULH/«RQFH'«SUH]=RQHLQGXVWULHOOH5LXW]%DUOLQ
03
É
VÉNEMENT [ ESSONNE
L’avenir de l’artisanat et des métiers a été au cœur de la rentrée économique du
Val d’Orge. Les élus locaux, au premier rang desquels le président de la communauté
d’agglomération, Olivier Leonhardt, ont adhéré à la proposition de la Chambre
de Métiers et de l’Artisanat (CMA) de l’Essonne de mettre les artisans à l’honneur
à l’occasion de cette rentrée. 22 chefs d’entreprise ont été distingués lors de cette
cérémonie organisée au Trianon, le 28 septembre, à Villemoisson-sur-Orge (lire p. 6).
04
L’artisanat au cœur des enjeux du
territoire du Val d’Orge
P
CHIFFRES CLÉS
• ˰HQWUHSULVHV
DUWLVDQDOHVinstallées
dans le Val d’Orge
• HQWUHSULVHV
DUWLVDQDOHVparticiperont
au dynamisme économique
local après la
fusion du Val d’Orge avec
la communauté de communes
de l’Arpajonnais
Le Monde des artisans [ septembre/octobre 2015
RXU OD &0$ (VVRQQH FH
UHQGH]YRXV PDUTXDLW OD
7eUHQFRQWUH
WHUULWRULDOH
RUJDQLV«H DYHF GHV LQWHUFRPPXQDOLW«V GX G«SDUWHPHQW /HV «OXV GH OD
&KDPEUH VRXKDLWHQW DOOHU DXGHYDQW
GHVDUWLVDQVHWGHOHXUV«OXVSRXUWLVVHU
DYHFHX[GHVOLHQVGHSUR[LPLW«« Il est
déterminant de favoriser les échanges
entre les acteurs économiques, artisans,
élus locaux et élus consulaires, pour
avancer ensemble vers la réussite » D
UDSSHO« /DXUHQW 0XQHURW OH SU«VLGHQW
GHOD&0$(VVRQQH
0DLUHVHW«OXVORFDX[GX9DOG̵2UJHVRQW
YHQXVHQQRPEUHSRXUFHW«Y«QHPHQW
/D SU«VHQFH GX VRXVSU«IHW GH 3DODLVHDX&KDQWDO&DVWHOQRWDRIIHUWXQHU«VRQDQFHVXSSO«PHQWDLUH¢ODUHQFRQWUH
« L’artisanat représente un enjeu impor-
tant en termes d’emplois, des emplois
durables et de proximitéDLQVLVW«ODUHSU«VHQWDQWHGHO̵WDWDe plus, la relation
entre l’artisan et ses clients participe au
bien vivre des territoires. »
̭HQWUHSULVHVDUWLVDQDOHVVRQWLQVWDOO«HVGDQVOH9DOG̵2UJH$Xer MDQYLHU
SURFKDLQDYHFODIXVLRQGX9DOG̵2UJH
DYHF OD FRPPXQDXW« GH FRPPXQHV
GH O̵$USDMRQQDLV FH VRQW HQWUHSULVHVDUWLVDQDOHVTXLSDUWLFLSHURQWDX
G\QDPLVPH«FRQRPLTXHORFDO
« L’artisanat, première entreprise de
France, n’est pas seulement un slogan
D SRXU VD SDUW VRXOLJQ« 2OLYLHU /HRQKDUGW En effet, la mobilisation de ce
secteur pour le développement de l’apprentissage en fait une arme efficace
pour lutter contre le chômage et notamment chez les plus jeunes, tout en
transmettant un savoir-faire précieux. »
ESSONNE
Un parc artisanal
dédié à l’habitat et à la
construction durables
3URMHWSKDUHGHODFRPPXQDXW«G̵DJJORP«UDWLRQGX9DOG̵2UJHOD=$&9DO9HUW
&URL[%ODQFKHHVWXQSURMHWG̵DP«QDJHPHQWJOREDOG«GL«¢O̵KDELWDWGXUDEOHHW
¢O̵«FRFRQVWUXFWLRQ
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GH KHFWDUHV VRQW SU«YXV PL
3OXVLHXUV LQIUDVWUXFWXUHV DQLPHURQW OH
VLWH FHQWUH FRPPHUFLDO SDUF SXEOLF
SDUF G̵DFWLYLW«V SDUF «QHUJ«WLTXH̿ (W
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DUWLVDQVVHURQWK«EHUJ«VGDQVXQK¶WHO
G̵HQWUHSULVHVDGDSW«¢OHXUVP«WLHUV
/DXUHQW 0XQHURW SU«VLGHQW GH OD
&0$(VVRQQH VH U«MRXLW TXH « la
&GICWEJGȃFTQKVGšFrédéric Petitta, vice-président en charge de l’économie du Val d'Orge, Laurent Munerot, président
de la CMA Essonne, Olivier Leonhardt, président du Val d'Orge, et Chantal Castelnot, sous-préfet de Palaiseau.
Chambre soit associée au projet dès sa
EQPEGRVKQP CƒP FG TȌRQPFTG CW OKGWZ
aux besoins des artisans » /RUV GH OD
UHQFRQWUHWHUULWRULDOHGX9DOG̵2UJH)U«G«ULF 3HWLWWD YLFHSU«VLGHQW GH OD FRPPXQDXW«G̵DJJORP«UDWLRQHQFKDUJHGX
G«YHORSSHPHQW «FRQRPLTXH D «PLV OD
SRVVLELOLW« GH « réserver un espace aux
Chambres consulaires » 'H TXRL SHUPHWWUH¢OD&0$(VVRQQHGHSRXUVXLYUH
VRQ DFWLRQ DX SOXV SUªV GH VHV UHVVRUWLVVDQWV
05
« INTERCOMMUNALITÉS : DES RELAIS
EFFICACES DE NOS SERVICES ET DE NOS ACTIONS »
Trois questions à… Laurent Munerot, Président de la CMA Essonne
© O. DESALEUX
Cette rencontre territoriale dans le Val d’Orge est la septième du genre organisée
à l’initiative de la CMA Essonne. Quel est l’objectif d’un tel rendez-vous ?
Les objectifs sont en réalité multiples. Outil de développement et d’aménagement du territoire,
l’intercommunalité est l’échelon de proximité privilégié pour mener à bien la démarche de terrain
engagée par les élus de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Essonne. Je crois fermement que les communautés de
FRPPXQHVHWGȄDJJORP«UDWLRQSHXYHQWFRQVWLWXHUGHVUHODLVHȨFDFHVGHQRVVHUYLFHVHWGHQRVDFWLRQV-HVXLVDXVVLWUªVDWWHQWLI
à ne pas créer des doublons entre les services. Il est donc important de faciliter les synergies avec les collectivités. Cela passe
par une bonne connaissance mutuelle et des liens de proximité.
Quelle place occupent les artisans lors de ces rencontres ?
Ces rencontres représentent une réelle opportunité de valoriser les chefs d’entreprise sur leur territoire et, plus largement,
de faire la promotion de l’artisanat. Un certain nombre de dirigeants reçoivent une médaille d’honneur de l’artisanat et des métiers.
Cette distinction récompense la longévité de leur activité ou leur engagement en faveur de l’apprentissage, souvent les deux
à la fois d’ailleurs. D’un point de vue plus pratique, ces rendez-vous permettent aux élus de la CMA Essonne d’échanger avec
OHVDUWLVDQV&HVGHUQLHUVQȄRQWSDVWRXMRXUVOȄKDELWXGHGHVHUHQGUHDXVLªJHGHOD&KDPEUH¢YU\RXGDQVVRQDQWHQQHGȄWDPSHV
Il est donc important de rappeler aux chefs d’entreprise que nous sommes là pour les accompagner depuis la création jusqu’à
ODWUDQVPLVVLRQGHOHXUDFWLYLW«/D&0$(VVRQQHSURSRVHXQODUJH«YHQWDLOGHVHUYLFHVHQIDYHXUGHVHQWUHSULVHVHQGLȨFXOW«V
comme pour celles qui doivent être accompagnées dans leur développement.
Pourquoi est-il utile de réunir artisans et élus locaux ?
&HUWDLQVVXMHWVUHOªYHQWGHVFRPS«WHQFHVGHV«OXVORFDX[&HVUHQFRQWUHVWHUULWRULDOHVSHUPHWWHQWDX[DUWLVDQVGHPLHX[
VHIDLUHFRQQD°WUHDXSUªVGȄHX[,OVSHXYHQWOHXUVRXPHWWUHOHVSUREO«PDWLTXHVDX[TXHOOHVLOVVRQWFRQIURQW«VDXTXRWLGLHQ
'HFHV«FKDQJHVVRXYHQWLQIRUPHOVSHXYHQWQD°WUHGHVVROXWLRQVYRLUHSDUIRLVGHQRXYHOOHVRSSRUWXQLW«VGȄDȥDLUHV
ÉVÉNEMENT [ ESSONNE
Médaille d’honneur des métiers et de l’artisanat
22 artisans récompensés
Récompensés pour la longévité de leur pratique artisanale ou pour leur engagement en faveur de l’apprentissage,
22 chefs d’entreprise du Val d’Orge ont été distingués par la CMA Essonne.
Catégorie « Expérience
dans l’artisanat »
Alexandra Delahaye, L’Art du home à Brétigny-sur-Orge,
et le maire de Brétigny-sur-Orge, Nicolas Méary.
06
■ Jean-Christophe et Christine Motte,
Métallerie Décoration Stores (MDS)
à Sainte-Geneviève-Des-Bois. Cette
DQQ«H -HDQ&KULVWRSKH 0RWWH D F«G«
O̵DFWLYLW« TX̵LO GLULJHDLW GHSXLV ,O
UHVWHHQJDJ«DXSUªVGXUHSUHQHXUSRXU
IDFLOLWHUVDWUDQVPLVVLRQ
■ Didier Demé, Ébénisterie d’art à
Sainte-Geneviève-des-Bois. 'LSO¶P«
GHO̵«FROH%RXOHLODFU««VRQHQWUHSULVH
GHUHVWDXUDWLRQGHPHXEOHVDQFLHQVHQ
DYDQWGHVHODQFHUGDQVODFU«DWLRQGHPHXEOHVDUWLVWLTXHVHQ
■ Antonio Almeida Martins, AMGC
maçonnerie à Leuville-sur-Orge. ,O D
DSSULVOHP«WLHUDXSUªVGHVRQJUDQG
SªUHHWGHVRQSªUHDYDQWGHFU«HUVD
SURSUH HQWUHSULVH HQ /D WUDQVPLVVLRQVHSRXUVXLWDYHFO̵LQW«JUDWLRQ
GH VD ͤOOH GDQV OHV HIIHFWLIV HW XQ UHFRXUVU«JXOLHU¢O̵DSSUHQWLVVDJH
■ Alain et Marie-Thérèse Kimpe, boulangerie-pâtisserie à Morsang-surOrge. (Q $ODLQ .LPSH UHSUHQG
O̵DFWLYLW«GHVRQSªUHFU««HDQVSOXV
W¶W ,O OD G«YHORSSH DYHF VD IHPPH HW
IRUPHXQHGL]DLQHG̵DSSUHQWLV
■ Maurice et Francine Blin, Boucherie
chevaline à Sainte-Geneviève-desBois. 0DXULFH %OLQ H[HUFH VRQ DFWLYLW« GHSXLV SUªV GH DQV $SSUHQWL ¢
DQV O̵DUWLVDQ HVW G̵DERUG HPSOR\«
SXLV LO UDFKªWH DYHF VD IHPPH )UDQFLQHOHFRPPHUFHJ«QRY«IDLQDXG«EXW
GHVDQQ«HV
■ Serge Fontaine, Déménagement
Serge Fontaine au Plessis-Pâté. Créée
HQ O̵HQWUHSULVH HVW LQVWDOO«H DX
3OHVVLV3¤W« GHSXLV 6HUJH )RQWDLQHDIRUP«DSSUHQWLV
■ Philippe Fornaro, Entreprise de bâtiment Fornaro à Longpont-sur-Orge.
(Q 3KLOLSSH )RUQDUR VXFFªGH
¢ VRQ SªUH ¢ OD W¬WH GH O̵HQWUHSULVH
FU««H DQV SOXV W¶W $WWHQWLI ¢ OD
WUDQVPLVVLRQ GX VDYRLU LO V̵DSSXLH
U«JXOLªUHPHQW VXU O̵DSSUHQWLVVDJH HW
LQWHUYLHQWGDQVOHVFROOªJHVSRXUSU«VHQWHUVRQP«WLHU
■ Jean-Marc Levrault, Levrault et
fils à Villemoisson-sur-Orge. /D IDPLOOH /HYUDXOW H[HUFH OD PD©RQQHULH
¢ 9LOOHPRLVVRQVXU2UJH GHSXLV SOXV
GHDQV(QJDJ«GDQVODSU«VHUYDWLRQ GX SDWULPRLQH ORFDO -HDQ0DUF
/HYUDXOW LQFDUQH OD TXDWULªPH J«Q«UDWLRQ GH GLULJHDQWV 8QH FHVVLRQ GH
O
HQWUHSULVHHVWHQYLVDJ«H
■ Alexandra Delahaye, L’Art du home
à Brétigny-sur-Orge. 3UL[ $YHQLU P«WLHUV G̵DUW HQ HOOH V̵LQVWDOOH ¢
%U«WLJQ\VXU2UJH GHX[ DQV SOXV WDUG
%LHQ FRQQXH GHV %U«WLJQROODLV /̵$UW
GXKRPHSURSRVHGHODFRQIHFWLRQVXU
Marc et Marie Ermenault, Cordonnerie serrurerie
à Morsang-sur-Orge.
PHVXUHXQVHUYLFHGHWDSLVVHULHHWGHV
DUWLFOHVGHG«FRUDWLRQG̵LQW«ULHXU
■ Marc et Marie Ermenault, Cordonnerie
serrurerie à Morsang-sur-Orge. &U««HHQ
O̵DFWLYLW«GHFRUGRQQHULHD«W«HQULFKLHLO\DKXLWDQVGHFHOOHGHVHUUXUHULHJU¤FHDXVXLYLG̵XQHIRUPDWLRQ
■ Daniel Puggioni, Point Com à Villiers-sur-Orge.9LOOLHUVVXU2UJHGHSXLV'DQLHO3XJJLRQLDG«PDUU«
VRQ DFWLYLW« GH U«SDUDWLRQ HW G̵LQVWDOODWLRQ W«O«SKRQLTXH HQ XQH
ORQJ«YLW«V\QRQ\PHG̵H[SHUWLVHGDQV
FHP«WLHU
Catégorie « Fidèle
à l’apprentissage »
■ Raymond Blondeau, Marquise et
Tradition à Saint-Michel-sur-Orge.
6DLVRQQLHU LO G«FRXYUH OH P«WLHU GH
FKRFRODWLHU HQ &LQT DQV SOXV
WDUGLOHQIDLWVDSURIHVVLRQHWUHSUHQGUDHQVXLWHO̵«WDEOLVVHPHQWGRQWLOHVW
OH J«UDQW ¢ SDUW HQWLªUH GHSXLV 5D\PRQG%ORQGHDXDIRUP«XQHYLQJWDLQHG̵DSSUHQWLV
■ Franck et Corinne Dispot, Rapid’Chauff à Villiers-sur-Orge. )UDQFN
HWVDVĕXU&RULQQHRQWUHSULVO̵DFWLYLW«
GH SORPEHULH HW G̵«TXLSHPHQWV WKHUPLTXHV GH OHXU SªUH HQ ,OV RQW
IRUP«DSSUHQWLVGRQW« XQGHV0HLOOHXUV$SSUHQWLVGH)UDQFH »
■ Joël et Élisabeth Bazire, Boulangerie-pâtisserie à Fleury-Mérogis. $SSUHQWL¢DQV-RO%D]LUHDRXYHUWVD
ERXODQJHULHS¤WLVVHULH HQ $YHF
VDIHPPHLOVRQWIRUP«DSSUHQWLV
0DLV O̵DUWLVDQ VRXOLJQH DXMRXUG̵KXL
kNC FKHƒEWNVȌ FG TGETWVGT FGU CRRTGPVKU
motivés »
■ Joao et Maria Lourenco, garage
Le Relais de Lormoy à Longpont-surOrge./RUVTX̵HQOHSªUHGH-RDR
SUHQGODJ«UDQFHGX5HODLVGH/RUPR\
ESSONNE
O̵DFWLYLW«VHOLPLWH¢GHODGLVWULEXWLRQ
GH FDUEXUDQW 9RQW V̵DMRXWHU OD P«FDQLTXH HW OD FDUURVVHULH DXWRPRELOH
-RDR D UHSULV OD GLUHFWLRQ DYHF VD
IHPPH 'HSXLV DSSUHQWLV RQW
«W«IRUP«VGRQWXQUHFUXW«
■ Chantal et Gérard Mention, Pluie de
Roses à Sainte-Geneviève-des-Bois.
3U«VHQWVXUODFRPPXQHGHSXLV
FHFRXSOHGHͥHXULVWHVHWG«FRUDWHXUV
ͥRUDX[DIRUP«DSSUHQWLV
■ Fabrice Bernaux et Mohamed Cherifi, Garage du Plessis à Sainte-Geneviève-des-Bois. &U«« HQ OH
JDUDJH HVW SDVV« VRXV OD GLUHFWLRQ
GH0RKDPHG&KHULILHQ$QFLHQ
HPSOR\« FH GHUQLHU D «W« OH PD°WUH
G̵DSSUHQWLVVDJH GH )DEULFH %HUQDX[
DYHF TXL LO SDUWDJH G«VRUPDLV OD FRJ«UDQFH (Q DQV LOV RQW IRUP«
DSSUHQWLV
■ Daniel Macedo Albernaz, Les Métalliers franciliens à Fleury-Mérogis.
$QFLHQ DSSUHQWL LO «WDLW HPSOR\« GDQV
FHWWH HQWUHSULVH GH PHQXLVHULH P«WDOOLTXH DYDQW GH OD UHSUHQGUH HQ 'HSXLV DSSUHQWLV RQW «W« IRUP«V
GRQWVRQWDXMRXUG̵KXLHPSOR\«V
■ Christophe et Isabelle Marsauche,
boulangerie Aux Fins gourmets à Brétigny-sur-Orge. 8Q JUDQGSªUH PHXQLHU XQ SªUH ERXODQJHU &KULVWRSKH
0DUVDXFKH D DSSULV OH P«WLHU HQ IDPLOOH ,O GLULJH OD ERXODQJHULH GHSXLV
DYHFVDIHPPHDSSUHQWLVRQW
«W« IRUP«V GRQW XQ TXL VH SU«VHQWH
DFWXHOOHPHQW DX FRQFRXUV « XQ GHV
0HLOOHXUV$SSUHQWLVGH)UDQFH»
■ Marie-Thérèse
Lecamus, Institut de beauté Yves Rocher à Brétigny-sur-Orge.
« Transmettre, c’est
investir pour l’avenir » FRQVLGªUH 0DULH7K«UªVH /HFDPXV TXL D IRUP«
DSSUHQWLV ¢ FH MRXU (OOH UDFKªWH
O̵,QVWLWXW GH EHDXW« <YHV 5RFKHU G̵$USDMRQHQDYDQWGHSUHQGUHODJ«UDQFHGHFHOXLGXFHQWUHFRPPHUFLDOGH
%U«WLJQ\HQ
Médailles décernées
hors catégorie
■
Mustafa Aydogan, menuiserie Viana
François Chollet, maire de Villemoisson-sur-Orge,
et Michel Meyniel.
à Villemoisson-sur-Orge. 0XVWDID $\GRJDQHVWU«FRPSHQV«SRXUVDUHSULVH
G̵DFWLYLW« U«XVVLH O̵DQ GHUQLHU $WWDFK«
DX PDLQWLHQ GH O̵HPSORL OH FKHI G̵HQWUHSULVHFRPSWHVDODUL«V,ODLQYHVWL GDQV GHV QRXYHOOHV PDFKLQHV SRXU
G«YHORSSHUO̵HQWUHSULVHHWFRQTX«ULUGH
QRXYHDX[PDUFK«V
■ Michel Meyniel, coiffeur à Villemoisson-sur-Orge. OX ¢ OD &0$ (VVRQQH
0LFKHO0H\QLHOHVWDXMRXUG̵KXL¢ODUHWUDLWH,OHVWQRWDPPHQWGLVWLQJX«SRXU
VRQHQJDJHPHQWDXVHUYLFHGXUDSSURFKHPHQWDYHFOHVWHUULWRLUHV
07
LA CMA(66211(/$1&(6$65,(
« ARTISAN D’UN JOUR » AVEC OLIVIER LEONHARDT
1NKXKGT.GQPJCTFVCGPƒNȌNGEQUVWOGFGOGPWKUKGT%QWTCPVUGRVGODTGNGOCKTG
de Sainte-Geneviève-des-Bois et président de l’agglomération du Val d’Orge s’est
RTȍVȌCWLGWFCPUNŨGPVTGRTKUG8KCPCȃ8KNNGOQKUUQPUWT1TIG.ŨȌNWNQECNUŨGUVOKU
ȃNŨQWXTCIGRQWTNGUDGUQKPUFGNCUȌTKGk#TVKUCPFŨWPLQWTz« L’objectif est de permettre
à l’élu de mieux comprendre le métier et les préoccupations de l’artisan qui l’accueille »
RTȌEKUG.CWTGPV/WPGTQV2QWT/WUVCHC#[FQICPSWKCTGRTKUNŨGPVTGRTKUG8KCPC
NŨCPFGTPKGTEGVVGTGPEQPVTGCȌVȌNŨQEECUKQPFGUQWNGXGTEGTVCKPGUFKHƒEWNVȌUCXGENŨȌNW
.GURTQDNȌOCVKSWGUFGHQTOCVKQPGVFGTGETWVGOGPVQPVPQVCOOGPVȌVȌCDQTFȌGU
5RȌEKCNKUVGFGNŨȌDȌPKUVGTKGNŨȌVCDNKUUGOGPV8KCPCEQORVGUCNCTKȌUSWKHCDTKSWGPV
FWOQDKNKGTUWTOGUWTGRQWTNGURTQHGUUKQPPGNU
EQOOGTEGUTGUVCWTCVKQPITCPFGFKUVTKDWVKQPŲ&GITCPFUITQWRGUHQPVCWUUKCRRGN
ȃUQPUCXQKTHCKTGRQWTNCEQPEGRVKQPGVNCTȌCNKUCVKQPFGUVCPFUUWTNGUUCNQPU#WLQWTFŨJWKNGFKTKIGCPVGUVȃNCTGEJGTEJGFŨWP
local plus grand pour accompagner le développement de son activité. « J’ai pu partager mes doutes et mes joies et j’ai le sentiment
d’avoir été entendu »EQOOGPVGVKN%GRTGOKGTXQNGVGUUQPPKGPFŨk#TVKUCPFŨWPLQWTzCȌVȌRTQLGVȌGPCXCPVRTGOKȋTGNQTUFGNC
TGPVTȌGȌEQPQOKSWGFW8CNFŨ1TIG.C%/#'UUQPPGUQWJCKVGTGPQWXGNGTNŨGZRȌTKGPEGCXGEFŨCWVTGUȌNWUNQECWZ.GRTȌUKFGPVFG
NC%/#'UUQPPGXGTTCKVDKGP(TCPȊQKU&WTQXTC[NGRTȌUKFGPVFW%QPUGKNFȌRCTVGOGPVCNUGINKUUGTȃUQPVQWTFCPUNCRGCWFŨWPCTVKUCP
5QPTC[QPPGOGPVRGTOGVVTCKVFGXCNQTKUGTNŨCTVKUCPCVGVUGUOȌVKGTUCWRTȋUFWRNWUITCPFPQODTG
i
Consultez le premier épisode sur www.cm-essonne.fr ou www.facebook.com/chambredemetiers.essonne
A
CTUALITÉS [ ESSONNE
Stars & Métiers
Deux Essonniens lauréats
régionaux du concours
U
08
n voyage pour FGWZ personnes
GV WP NCTIG ȌEJQ OȌFKCVKSWG ȃ
la clé pour les lauréats natioPCWZ5VCTU/ȌVKGTUŲ Organisé par les
$CPSWGU 2QRWNCKTGU GV NGU %JCODTGU
de Métiers et de NŨ#TVKUCPCV EG RTKZ TȌcompense les chefs d’entreprise artisanale pour leurs initiatives en matière
FŨKPPQXCVKQP VGEJPQNQIKSWG OCPCIȌTKCNGEQOOGTEKCNGQWUVTCVȌIKSWG&GWZ
'UUQPPKGPU ƒIWTGPV RCTOK NGU NCWTȌCVU
HTCPEKNKGPU FCPU l’attente des résultats
PCVKQPCWZGPFȌEGODTGȃ2CTKU
■ Patrick Cousteix˱: 1er prix départemental, lauréat régional catégorie
« Management des ressources humaines ». IN FKTKIG $/ 2CHNQOC ȃ
Pecqueuse. L’entreprise de huit salariés
HCDTKSWG FGU DTQUUGU RQWT NŨKPFWUVTKG
NGUNCDQTCVQKTGUNŨCTVKUCPCVGVNGNWZG7P
manuel de procédures par services a
ȌVȌȌNCDQTȌRQWTCUUWTGTNGWTDQPHQPEtionnement en ECU FŨCDUGPEG #WVTGU
actionsš RTQEGUU FG VTCȊCDKNKVȌ HQTOCtion de sauveteur secouriste du travailŲ
Bernard Pérot, vice-président de la Socama Rives de Paris, Patrick Cousteix, lauréat gérant de l’entreprise Pafloma,
Arnaud Gaget, lauréat gérant de l’entreprise Norline, Laurent Munerot, Président CMA Essonne, et Pascal Wettlé,
Directeur général adjoint de la Banque Populaire Rives de Paris.
Arnaud Gaget˱: lauréat régional
« Stratégie globale d’innovation ».
Il dirige NorlKPG #VGNKGT ȃ )TKIP[ étaDNKUUGOGPV FG UCNCTKȌU HCDTKquant
des OCNNGVVGU XCNKUGU GV EQHHTGVU pour
NŨKPFWUVTKG FW NWZG RTKPEKRCNGOGPV Sa
■
stratégie de développement FWTCDNG
a séduit le juryš: recrutements et fourPKUUGWTU NQECWZ FQPV WP SWCTV UKVWȌ ȃ
OQKPUFG MOEQOOWPKECVKQPFȌOCVȌTKCNKUȌG FȌOCTEJG FG NCDGNNKUCVKQP
environnementale EnVolŲ
LES GARES PARISIENNES
À L’HEURE ARTISANALE
À l’occasion de la tournée « Gares gourmandes » organisée du 2 au 16 octobre
par la SNCF Gares et connexions en partenariat avec l’APCMA, les Chambres de
Métiers et de l’Artisanat des départements d’Île-de-France ont invité les artisans
de leur territoire à exposer gratuitement et à vendre leur production dans six gares
parisiennes.%GVkŠKVKPȌTCKTGICUVTQPQOKSWGŠzXKUGȃRTQOQWXQKTNGUGPVTGRTKUGU
CTVKUCPCNGUFWUGEVGWTCNKOGPVCKTGGVȃHCKTGFȌEQWXTKTCWZXQ[CIGWTUNGWTUURȌEKCNKVȌU
TȌIKQPCNGUUWETȌGUQWUCNȌGU%KPSGPVTGRTKUGUGUUQPPKGPPGU
/CECTQPUIQWTOCPFU
%QQMKGU/QPVVGUUW[.Ũ*GTDKGTFG/KNN[ǨNC4GKPGFŨ#UVTKF.C%QTDGKNNGȃEQPƒVWTGUQPV
ainsi représenté le savoir-faire culinaire du département en gare de Lyon et d’Austerlitz.
'PJCWVš%JTKUVQRJG$GTVTCPFCTVKUCPEJQEQNCVKGTFKTKIGCPVFGkǨNC4GKPGFŨ#UVTKFz
'PDCUš;CPPKEM.GHQTVCTVKUCPRȅVKUUKGTFKTKIGCPVFGUk/CECTQPUIQWTOCPFUz
ESSONNE
Travaux en cours
emploi
Le CFA-BTP de
Brétigny-sur-Orge
en pleine mutation
Une
aide pour
embaucher
votre premier
salarié
Ouvert depuis 1972, le CFA de Brétigny-sur-Orge fait peau neuve.
5QPPQWXGCWDȅVKOGPVQWXTKTCȃNCTGPVTȌGRTQEJCKPGCXGEWPGQHHTG
FGHQTOCVKQPUGPTKEJKGGVCFCRVȌGȃNŨȌXQNWVKQPFGUOȌVKGTUFWDȅVKOGPV
Vous venez de créer votre
GPVTGRTKUGQWCTVKUCPKPFȌRGPFCPV
XQWUJȌUKVG\ȃRCUUGTNGECR
FŨWPGGODCWEJG!5CEJG\SWG
FGRWKUNGLWKNNGV
FȌETGV
0oNGURGVKVGUGPVTGRTKUGU
RGWXGPVQDVGPKT˱HXURVd’aide
si elles recrutent un salarié pour
NCRTGOKȋTGHQKUQWCRTȋUȍVTGTGUVȌGU
sans personnel depuis au moins
douze mois. Le recrutement doit
L
ŨCXCPEȌG FGU VTCXCWZ GUV URGEVC
EWNCKTG 'P UGRVGODTG UG VG
naient les premières réunions de
chantier. Ǩ présentNCTGPVTȌGGUVGP
ligne de mire avec lŨQWXGTVWTG FŨWP %(#
$62HNCODCPVPGWHȃSWGNSWGUGPECDNWTGU
FW%(#JKUVQTKSWGQWXGTVFGRWKU
4ȌCNKUȌ CXGE NG EQPEQWTU du proITCOOG FŨ+PXGUVKUUGOGPVU FŨCXGPKT NG
PQWXGCW%(#$62 de Brétigny-sur-Orge
FQKVRGTOGVVTGFGTȌRQPFTGȃN’évolution
FGUOȌVKGTUFWDȅVKOGPV#KPUKFGPQW
velles formations font leur apparition
RQWT OKGWZ KPVȌITGT NC EQPVTCKPVG GPXK
ronnementale dans l’apprentissage des
OȌVKGTU2CTGZGORNGWPGƒNKȋTG$CE2TQ
Tisec 6GEJPKEKGP GP installation des
systèmes énergétiques et cNKOCVKSWGU
a étéNCPEȌGȃNCTGPVTȌG&GOȍOG
l’offre seraGPTKEJKGUWTNCƒNKȋTGDQKUGP
vue de constituer unXȌTKVCDNGRȖNGFŨGZ
cellenceš: création d’un Bac Pro Technicien menuisier agencement et d’un BTS
Système constructif Dois et hCDKVCV
i%(#$62$4Ǳ6+)0;57414)'
UGHCKTGGPVTGNGLWKPGV
« D’une capacité de près de 600 apprentis aujourd’hui, le CFA pourra en accueillir
840 en 2019, après l’ouverture progressive des formations, annonce David
(CDTG NG FKTGEVGWT FW %(# L’objectif
est aussi de permettre aux apprentis
qui intègrent le CFA en niveau V de se
perfectionner en poursuivant sur des niYHDX[ GH TXDOLͧFDWLRQ SOXV «OHY«V. » %G
UGTC PQVCOOGPV NG ECU GP OCȊQPPG
TKGCXGEWPGOGPVKQPcomplémentaire
BP /CȊQP
PKXGCW+8&GUHQTOCVKQPU
FGECTTGNGWTRNCSWKUVGet de ferronnerie
voient également le jour.
L’approche pédagogique est remaniée.
« Il ne faut pas reproduire l’ambiance scolaire du collège ou du lycée, considère le
FKTGEVGWTFW%(#. Tout l’espace est donc
conçu pour que les apprentis évoluent
dans un environnement professionnel,
comme des salariés et non comme des
élèves. »2CTCKNNGWTUNGUUWRRQTVUPWOȌ
riques et interactifs prennent une place
ȃRCTVGPVKȋTGFCPUNGUCRRTGPVKUUCIGU
NGLWKPGP%&+QWGP%&&
FGOQKU%GVVGCKFGUŨQDVKGPV
par l’envoi d’un formulaire de
09
FGOCPFGFCPUNGUUKZOQKUFG
NŨGODCWEJGCEEQORCIPȌFŨWP4+$
GVFWEQPVTCVFGVTCXCKNȃNŨ#IGPEG
de services et de paiement.
i
Téléchargeable sur www.emploi.
gouv.fr/premiersalarie
Reconnaissance
Une 9e EPV
en Essonne
JEAN-PIERRE
LEBUREAU,
QTPGOCPKUVGȃ
$TKȋTGUNGU5EGNNȌU
CTGȊWNGRTGUVKIKGWZ
NCDGN'PVTGRTKUGU
FW2CVTKOQKPG8KXCPV
'28%GV
CTVKUCPRCTCKNNGWTU/GKNNGWT1WXTKGT
FG(TCPEGHCDTKSWGFGUQTPGOGPVU
FGVQKVWTGUFGUNWECTPGUGVFGU
KNUFGDWHGVTȌPQXGFGUFȌEQTU
CTEJKVGEVWTCWZ.GFȌRCTVGOGPV
compte ainsi neuf EPV.
A
NOMINATIONS
Proximité
La FFB Essonne déménage
au cœur d’Évry
Laurent Munerot,
nouveau président
de l’UNPPD
.CWTGPV/WPGTQVCȌVȌȌNW
NGUGRVGODTGFGTPKGTPrésident
de l’Union Nationale Patronale des
Prothésistes Dentaires (UNPPD).
2TȌUKFGPVFGNC%/#'UUQPPG
FGRWKUGV2TȌUKFGPV
FGNC%4/#ǶNGFG(TCPEGFGRWKU
&GICWEJGȃFTQKVGšBernard Schmeltz, préfet de l’Essonne, Jacques Letort, président de la FFB Île-de-France, Bernard
Toulouse, Président de la FFB Essonne, et Jacques Chanut, président de la FFB.
L
10
es artisans FW DȅVKOGPV XQPV FGXQKT EJCPIGT WPG JCDKVWFG XKGKNNG
FG CPU &GRWKU NG sepVGODTG NG UKȋIG FG NC (ȌFȌTCVKQP (TCPȊCKUGFW$ȅVKOGPVFGNŨ'UUQPPGCSWKVVȌ
UGU NQECWZ JKUVQTKSWGU FG %QTDGKN'Usonnes pour le centre-ville d’Ǳvry. SiVWȌU CW DQWNGXCTF FGU %QSWKDWU
e ȌVCIGNGUNQECWZUGVTQWXGPVHCEGȃ
NŨ*ȖVGNFG8KNNGCWEWTde la cité administrative et économique. « Les nouveaux
locaux ont été pensés pour recevoir les adhérents dans les meilleures conditions »
CPPQPEG$GTPCTF6QWNQWUGNGRTȌUKFGPV
FGNC(($'UUQPPG « L’accès et le station-
nement sont facilités, les espaces dédiés
à l’accueil des réunions d’information et de
formation (plus de 70 par an) ont été triplés ».ŨGURCEGFGVTCXCKNRCUUGFG
ȃ m2. L’occasion d’aménager quatre
salles FQPV trois OQFWNCDNGU. Le siège
a été KPCWIWTȌ NG QEVQDTG ȃ NŨKUUWG
d’une journée portes ouvertes au cours
de laquelle des ateliers thématiques ont
ȌVȌQTICPKUȌU.C(($'UUQPPGEQORVG
000 CFJȌTGPVUFQPV % d’artisans.
FGPVCKTGKPUVCNNȌȃ1TUC[GZGTEGTC
ce nouveau mandat pour une durée
de cinq ans.
Martine Pinville,
une secrétaire d’État
pour l’Artisanat
/CTVKPG2KPXKNNG
FȌRWVȌGFG%JCTGPVG
FGRWKUGUV
© ALAIN_SALESSE
© O. DESALEUX
.CWTGPV/WPGTQVRTQVJȌUKUVG
la nouvelle secrétaire
FŨǱVCVEJCTIȌG
FW%QOOGTEG
FGNŨ#TVKUCPCVFGNC%QPUQOOCVKQP
GVFGNŨǱEQPQOKGUQEKCNGGVUQNKFCKTG
i
FFB Essonne | 56 bd des Coquibus
(entrée par le cours Marc-Seguin)
à Évry | 01 60 90 37 50 (inchangé) |
ZZZG΍EDWLPHQWIU
CWRTȋUFWOKPKUVTGFGNŨǱEQPQOKG
de l’Industrie et du Numérique.
'NNGUWEEȋFGȃ%CTQNG&GNIC
RENFORCEMENT DES RÉSEAUX D’ENTREPRISES :
« LES CHEFS D’ENTREPRISE SE METTENT EN SCÈNE » - ACTE II
&CPUNGECFTGFW2CEVG5WF'UUQPPGNGUEKPS'2%+
ǱVCDNKUUGOGPVRWDNKEFGEQQRȌTCVKQPKPVGTEQOOWPCNGGVNGUTȌUGCWZFŨGPVTGRTKUGU
TCVVCEJȌUȃEGVVGRCTVKGFWVGTTKVQKTGUQPVTCUUGODNȌUCWVQWTFWFGWZKȋOGTGPFG\XQWUCPPWGNk.GUEJGHUFŨGPVTGRTKUGUUGOGVVGPVGP
UEȋPGz5WTNGVJȋOGk%QOOGPVUGOGVVTGȃNCRNCEGFGXQURTKPEKRCWZKPVGTNQEWVGWTUzEGFGWZKȋOGXQNGVFWVJȌȅVTGFŨGPVTGRTKUGQHHTGFG
PQODTGWZDȌPȌƒEGURCTNCOKUGGPUKVWCVKQPGVNCTȌCNKUCVKQPFGXKFȌQURGTOGVVCPVFGFȌFTCOCVKUGTEGTVCKPUUWLGVUGVFŨCOQTEGTFGUȌEJCPIGU
EQPUVTWEVKHUGVHTWEVWGWZ.ŨQDLGEVKHFGEGVVGQRȌTCVKQPGUVFGEQPHQTVGTNGUTȌUGCWZGZKUVCPVUQWGPFGXGPKTGPXWGFGHȌFȌTGTWPTȌUGCW
FŨGPVTGRTKUGUGVFGRCTVGPCKTGUȌEQPQOKSWGUNQECWZȃNŨȌEJGNNGFW5WF'UUQPPGLe Sud Essonne mise également sur les réseaux pour :
• faire émerger des solidarités actives entre les entreprises ;
ŰOCKPVGPKTWPNKGPFWTCDNGGPVTGNGUGPVTGRTKUGUNGVGTTKVQKTGGVNGURCTVGPCKTGU
ŰEQPVTKDWGTCWTGPHQTEGOGPVKFGPVKVCKTGFWVGTTKVQKTG5WF'UUQPPG
i
Service économique de la communauté de communes de l’Étampois Sud Essonne | 01 64 59 23 81
✂
• favoriser les échanges entre le monde économique et le réseau de l’emploi ;
Recensement des métiers d’art dans l’Essonne
Être connu et reconnu
dans son savoir-faire
par ses pairs et sa clientèle
1. Vous exercez une activité dans un ou plusieurs des trois domaines suivants :
◻ ETȌCVKQP
RTQFWEVKQPFGRKȋEGUWPKSWGUQWFGRGVKVGUUȌTKGUȃVGPFCPEGEQPVGORQTCKPGKUUWGd’une recherche créative
RGTUQPPGNNG
◻ TGUVCWTCVKQPGVEQPUGTXCVKQPFWRCVTKOQKPG
KOOQDKNKGTQWOQDKNKGT
◻ HCDTKECVKQPVTCFKVKQPPGNNG
TGRTQFWEVKQPFGRKȋEGUQWQDLGVUGZKUVCPVUQWUŨGPKPURKTCPVRCTNCOCȑVTKUGFŨWPsavoir-faire
VTCFKVKQPPGN
Précisez XQVTGEQFG0#(#
2. Votre activité identifiée par votre code NAFA
correspond à un ou plusieurs des métiers listés
dans la nomenclature des 217 métiers d’art
◻◻◻◻◻◻◻
ȃECTCEVȋTGUUGNQPNGECU
EHCXKUFGUKVWCVKQPCWTȌRGTVQKTG5KTȋPG
3UªFLVH]FLGHVVRXV¡FµWªGHVUXEULTXHVYRXVFRQFHUQDQWOHFRGHPªWLHUGHODQRPHQFODWXUHGHVPªWLHUVG˸DUWGªWDLOOªHDXYHUVR
◻ Art floral ........................................................................◻◻◻
◻ Arts du spectacle .........................................................◻◻◻
◻ Arts et traditions populaires ......................................◻◻◻
◻ Arts graphiques............................................................◻◻◻
◻ Arts mécaniques/LGWZLQWGVU .....................................◻◻◻
◻ Bijouterie-joaillerie-orfèvrerie-horlogerie ..................◻◻◻
◻ Bois ................................................................................◻◻◻
◻ %WKT .................................................................................◻◻◻
◻ Décoration ....................................................................◻◻◻
◻ (CEVWTGKPUVTWOGPVCNG .................................................◻◻◻
◻ Luminaire ......................................................................◻◻◻
◻ Métal ..............................................................................◻◻◻
◻ MétiersNKȌUȃNŨCTEJKVGEVWTG ........................................◻◻◻
◻ Mode ..............................................................................◻◻◻
◻ Pierre .............................................................................◻◻◻
◻ 6CDNGVVGTKG .....................................................................◻◻◻
◻ Terre ...............................................................................◻◻◻
◻ 6GZVKNG ............................................................................◻◻◻
◻ Verre ..............................................................................◻◻◻
3. Votre activité est fondée sur un savoir-faire manuel et/ou peu mécanisé
◻ Oui ◻ Non
Précisez EKEQPVTGNGPQODTGFGUCNCTKȌU
4. Votre entreprise est de taille artisanale
◻◻◻
5. Vous êtes…
Nom de l’entreprise ..................................................................................................................... 0o5+4'0◻◻◻◻◻◻◻◻◻
Adresse .......................................................................................................................................................................................................
Télš.....................................................................................................Télécopieš...................................................................................
E-mailš .................................................................................................Site Internetš ...............................................................................
Activité principale .....................................................................................................................................................................................
Activités secondaires ...............................................................................................................................................................................
6. Précisez…
7\SHGHIDEULFDWLRQ˰
◻ pièces uniques
◻ petites/moyennes séries
◻ grandes séries
/˸DFWLYLWªPªWLHUVG˸aUWHVWH[HUFªH¡WLWUH˰
◻ principal
◻◻◻ %
◻ secondaire
◻◻ %
7. Autorisez-vous la CMA Essonne à vous contacter dans le cadre
de la promotion des Métiers d’art et des diverses manifestations
qu’elle organise ou coordonne au niveau local ou régional ?
◻ Oui ◻ Non
0HUFLGHY«UL̨HUTXHYRXVDYH]ELHQUHQVHLJQ«OHVFKDPSV numérotés de 1 à 6.
✂
i
Bulletin à retourner par voie postale à CMA Essonne, 29 allée Jean Rostand, CS 20543, 91025 Évry Cedex ou sur place |
3DUFRXUULHOɋFPDHFR#DUWLVDQDWIU | 3DUW«O«FRSLHɋ
Recensement des métiers d’art dans l’Essonne
Nomenclature nationale
des métiers d’art
Arrêté ministériel 12.12.2003
3.%QUVWOKGT
4.&ȌEQTCVGWTFGVJȌȅVTG
5. Perruquier-posticheur
BIJOUTERIE-JOAILLERIE-ORFèVRERIE HORLOGERIE
1. (CDTKECPVFGEQORQUKVKQPUHNQTCNGU
HCDHNGWTU
HGWKNNCIGUHTWKVUCTVKƒEKGNU
2.(CDTKECPVFGHNGWTU
CTVKƒEKGNNGURCTWTKGTHNQTCN
HCDCEEGUUQKTGUFȌEQTCVKHU
FWXȍVGOGPV
ARTS ET TRADITIONS
POPULAIRES
6.%CPPGWTTGORCKNNGWT
7.%KTKGT
8.%JCTTQP
9.(CDTKECPVGVTGUVCWTCVGWT
de coiffes
(CDTKECPV
et restaurateur de manèges
11.(QTIGTQP
12. Pareur
13. Pelletier
14. Poêlier
15. /ȌIKUUKGT
VCPPGWT
16. Parcheminier
17. Peaussier
ARTS GRAPHIQUES
18.%CNNKITCRJG
19. Dominotier
Doreur sur cuir
21. Doreur sur tranche
22. Enlumineur
23.(CDTKECPVFGRCRKGT
24. (CDTKECPVFGRCRKGTRGKPV
25. Graphiste
26. Infographiste
27. Maquettiste
28. Graveur et fondeur
de caractères
29. Imagier au pochoir
Imprimeur en
héliogravure
31. Imprimeur en
lithographie
32. Imprimeur en
sérigraphie
33. Imprimeur en tailleFQWEG
ITCXWTGGPETGWZUWT
OȌVCNCWDWTKPȃNŨGCWHQTVGŲ
34. Imprimeur en typographie
35. Photographe de mode
36. Photographe illustrateur
37.4GNKGWT
38.4GUVCWTCVGWTFGTGNKWTGU
39. 4GUVCWTCVGWTFGFGUUKPU
et estampes
4GUVCWTCVGWTFGRCRKGT
41.4GUVCWTCVGWTFGVCDNGCWZ
ARTS MÉCANIQUES/
JEUX-JOUETS
42.(CDTKECPVGVTGUVCWTCteur d’automates
49.$CVVGWTFŨQT
VKTGWTFŨQT
$KLQWVKGTGPOȌVCWZ
RTȌEKGWZ
51. Bijoutier fantaisie
52. %JCȑPKUVG
53. %KUGNGWT
54. Doreur sur métal
55. ǱOCKNNGWTUWTECFTCPU
56. Graveur
57.*ȌTCNFKUVG
58. Diamantaire
59. (CDTKECPVGVTGUVCWTCVGWT
FŨJQTNQIGUECTKNNQPURGPFWNGUCKIWKNNGUDCNCPEKGTU
)N[RVKEKGP
ITCXGWT
UWTRKGTTGUƒPGU
61.)PQOQPKUVG
HCDTKECPV
FGECFTCPUUQNCKTGU
62. Joaillier
63. Lapidaire
64. Médailleur
OȌVCWZRTȌEKGWZ
1THȋXTG
66.2ȌVKUUKGT
HCDTKECPV
FGEQWXGTVUGPCTIGPV
67.2QNKUUGWT
GPDKLQWVGTKG
68.4GUVCWTCVGWTFG
montres de collection
69. Sertisseur.
BOIS
Doreur-ornemaniste
71. Laqueur
72.2GKPVTGUWTDQKU
73.ǱDȌPKUVG
74. 4GUVCWTCVGWTFGOGWDNGU
75. Encadreur
76. Menuisier en sièges
77. Marqueteur
78. Marqueteur de pailles
79. Pipier
4QVKPKGT
81. Sculpteur ornemaniste
DQKU
82. Sculpteur statuaire
DQKU
83.6QWTPGWTUWTDQKU
84. Vannier
85.8GTPKUUGWTƒPKUUGWT
vernisseur au tampon
CUIR
86. Bottier main
87.(QWTTGWT
88. Gainier
89. Gantier
Maroquinier
91. Sellier
92. Sculpteur sur cuir
93.6CZKFGTOKUVG
DéCORATION
(tous matériaux)
94. Décorateur étalagiste
95. Mosaïste
96. Peintre en décor
97. Staffeur-stucateur
gypsier
FACTURE
INSTRUMENTALE
98. Archetier
99.(CDTKECPVGVTGUVCWTCteur d’anches
(CEVGWTGVTGUVCWTCVGWT
d’accordéons
de clavecins et épinettes
de harpes
de percussions
de pianos
(CEVGWTGVTGUVCWTCVGWTFŨKPUVTWOGPVUȃEQTFG
anciens
FŨKPUVTWOGPVUȃXGPVGPDQKU
FŨKPUVTWOGPVUȃXGPVGP
OȌVCN
EWKXTGCTIGPVQTŲ
d’instruments de musique
mécanique
d’instruments traditionnels
d’orgues
111. Luthier
112. Luthier en guitare
LUMINAIRE
113.(CDTKECPVGV
TGUVCWTCVGWTFŨCDCVLQWT
114.(CDTKECPVGVTGUVCWTCteur de lustres et luminaires
MéTAL
115. Armurier
116. Bronzier
117.%CTTQUUKGT
118.%QWVGNKGT
119.%KUGNGWT
Damasquineur
KPETWUVCVKQPRCTOCTVGNCIG
FGƒNGVUFŨQTCTIGPVEWKXTG
121. Doreur
122. Argenteur
123.ǱOCKNNGWT
UWTOȌVCN
124. Graveur
125. Dinandier
126.(GTTQPPKGT
127. (QPFGWT
128. %CORCPQNQIWG
129.(QPFGWTFGENQEJGU
et sonnailles
/ȌFCKNNGWT
UWTOȌVCN
131. Potier d’étain
UWTOȌVCN
MÉTIERS LIéS
à L’ARCHITECTURE
134. Ardoisier
135. Briquetier
136. %JCWOKGT
137.%QWXTGWTšHCDTKECPV
et restaurateur de toitures
URȌEKCNGU%QWXTGWTQTPGmaniste
138. %QWXTGWTQTPGOCPKUVG
139. Escaliéteur
(CDTKECPVFGIKTQWGVVGU
GVFŨȌNȌOGPVUFGHCȑVCIG
141.(CDTKECPVGVTGUVCWTCteur de charpentes
142.%JCTRGPVGFGOCTKPG
143.(CDTKECPVGVTGUVCWTCteur de dallages
144.(CDTKECPVGVTGUVCWTCteur de toitures
145. Lauzier
146./CȊQP
147. /CȑVTGȅVTKGT
148. Menuisier
149. Métallier-serrurier
Parqueteur
151. Paveur-dalleur
152. Tuilier
MODE
153.%JCRGNKGT
154. %QTUGVKGT
155. ǱXGPVCKNNKUVG
156. (QTOKGT
157. Modiste
158. Plumassier
159. Modéliste
Tailleur-couturier
PIERRE
161.(QPVCKPKGT
162. Graveur sur pierre
163./CTDTKGT
164. Marqueteur de pierres
dures
RKGTTG
RKGTTG
167. Tailleur de pierreappareilleur schisteur
168. Tourneur sur pierre
TABLETTERIE
169.$KODGNQVKGT
HCDTKECPVFGDKDGNQVU
Boutonnier
171. Brossier
172.%QTPKGT
173. ǱECKNNKUVG
174. (CDTKECPVFGECPPGU
175. Graveur sur ivoire
GVCWVTGUOCVȌTKCWZFŨQTKIKPG
animale
176. Ivoirier
177. Lunetier
178. Nacrier
179. 6CDNGVKGT
HCDTKECPVFGDQȑVGU
PȌEGUUCKTGFGXQ[CIG
TERRE
%ȌTCOKUVG
181. Modeleur-Mouleur
182. 4GUVCWTCVGWTFG
faïence et de porcelaine
183.ǱOCKNNGWT
184.2GKPVTGƒNGWTFQTGWT
185. Peintre sur faïence
186. Peintre sur porcelaine
187. Pipier de terre cuite
188. Santonnier
189. Potier de grès
Potier de porcelaine
191. Potier de terre cuite
192. Potier raku
TEXTILE
193. Brodeur
194. Dentellier
195.'PPQDNKUUGWTVGZVKNG
/QKTGWT
VTCXCKNUWTVKUUW
196.(CDTKECPVFGVCRKU
197.4GPVTC[GWT
TGUVCWTCVGWTFGVCRKUGVVCRKUUGTKGU
198. (CDTKECPVFŨQDLGVU
décoratifs en tissus
RCVEJYQTMUVKUUWUCRRNKSWȌUEQWUUKPUFTCRGCWZŲ
199. Lissier
Passementier
Peintre décorateur
sur tissu
4GUVCWTCVGWTFGVGZVKNGU
6CRKUUKGTFŨCOGWDNGment/tapissier décorateur
6KUUGTCPF
HCDTKECPV
FGVKUUW
8GNQWVKGT
HCDTKECPV
FGVKUUWGPXGNQWTU
VERRE
ǱOCKNNGWT
XGTTG
)TCXGWT
XGTTG
Tailleur
(NCEQPPGWT
/CȑVTGXGTTKGT
QW8KVTCKNNKUVG
211.4GUVCWTCVGWTFGXKVTCWZ
212. Miroitier d’art
213.$QODGWTFGXGTTG
214.(KNGWTFGXGTTG
215. 4GUVCWTCVGWTFŨQDLGVU
en verre ou en cristal
216.8GTTKGTȃNCOCKP
UQWHHNCIGFGXGTTG
217. Verrier au chalumeau
✂
ARTS DU SPECTACLE
43. (CDTKECPVGVTGUVCWTCVGWTFGLGWZGVLQWGVU
44.(CDTKECPVGVTGUVCWTCteur de maquettes
45.(CDTKECPVGVTGUVCWTCVGWTFGUQNFCVUFGRNQOD
46.(CDTKECPVGVTGUVCWTCVGWTFŨQDLGVUOKPKCVWTGU
47. Marionnettiste
48. Modéliste
ART FLORAL
ESSONNE
Alimentation
3DSLOOHVGȇ2U
nouvelle formule
112 candidats ont été labellisés Papilles d’Or 2016. Organisé par la Chambre
de Commerce et d’Industrie de l’Essonne et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat
de l’Essonne, ce challenge vise, chaque année, à promouvoir les commerces
alimentaires du département.
C
ette nouvelle édition
HCKVRNCEGȃWPGHQTOWNG
d’évaluation plus précise
SWK ITCVKƒG NGU NCWTȌCVU FŨWPG
FGWZ VTQKU QW SWCVTG 2CRKNNGU
d’Or en fonction de différents
ETKVȋTGU Ǩ NC SWCNKVȌ FGU RTQFWKVU QW FG NC VCDNG s’ajoutent des éléments d’appréciation tels que l’accueil
la conception de la carte ou encore l’hyIKȋPG %GVVG ENCUUKƒECVKQP RGTOGV CKPUK
CWZEQOOGTȊCPVUFGUGUKVWGTFCPUNGWT
catégorie et de mesurer leur progression d’une année sur l’autre. Pas moins
FG ECVȌIQTKGU ont été mises ȃ
l’honneur cette année DQWEJGTKG DQWNCPIGTKG EJCTEWVGTKGVTCKVGWT ECXKUVG RȅVKUUGTKG HTQOCIGTKG RTKOGWT
VQTTȌHCEVGWT
RQKUUQPPGTKG
TGUVCWTCVKQP ICUVTQPQOKSWG
VTCFKVKQPPGNNGEWKUKPGHCOKNKCNG
EWKUKPGFWOQPFGGVETȍRGTKGNCDGNU
ont été délivrés VQWU ICIGU FG SWCNKVȌ
une Papille FGWZ2CRKNNGU
VTQKU
Papilles GVSWCVTG2CRKNNGU
.GU
NCDGNNKUȌU DȌPȌƒEKGPV notamment d’une
XKUKDKNKVȌ ȌNCTIKG CXGE WP TȌHȌTGPEGOGPV
dans lŨCRRNKECVKQPOQDKNGFȌFKȌGGVFCPU
le Guide Papilles d’Or
SEMAINE NATIONALE
DE LA CRÉATION
TRANSMISSION
Dans le cadre de la Semaine
nationale de la créationtransmission d’entreprise
GXDXQRYHPEUHSURFKDLQ
la CMA Essonne organise des
ateliers et conférences pour faciliter
l’entreprenariat et la cession des
entreprises artisanales.
AU PROGRAMME
■ Le lundi 16 novembre
• 3HWLWG«MHXQHU&RQI«UHQFH˱
« Comment valoriser son entreprise,
optimiser pour se développer
ou transmettre ? » suivi de rendez-vous
RGTUQPPCNKUȌUCXGEFGUGZRGTVU
UWTFKHHȌTGPVUVJȋOGU
1RVKOKUGT
UCFȌOCTEJGEQOOGTEKCNG1RVKOKUGT
UQPQTICPKUCVKQP4*'ZRGTVKUG
U
FGNC/&'ǱXCNWCVKQPGVVTCPUOKUUKQP
13
FGNŨGPVTGRTKUG
Public visé : %ȌFCPVUCTVKUCPU
FGRNWUFGCPUGPVTGRTKUGU
en développement
• Atelier « Création d’entreprise »
PAPILLES D’OR : LE MEILLEUR CLASSEMENT
Boucherie
%RXFKHULHGHOȄJOLVH
(Marcoussis)
4* Boucherie Chevry II
(Gif-sur-Yvette)
4* Les Trois Petits Cochons
(Ballancourt)
Boulangerie
4* Maison Pottier (Marcoussis)
4* La Briissoise (Briis-ss-Forge)
Caviste
4* Signé Vin (Mennecy)
/D&DYHGȄ2%LªYUHV
Charcuterie/Traiteur
4* Maison Gasdon (Orsay)
4* Event’s Traiteur (Draveil)
4* L’Abeille du Chenet Traiteur
(Milly-la-Forêt)
i
Fromagerie
4* La Fromagerie du Pré-St*HUPDLQ6W*HUPDLQOªV&RUEHLO
Pâtisserie
4* Marquise et Tradition
(Saint-Michel-sur-Orge)
4* Champs des Saveurs
(Juvisy-sur-Orge)
4* La Régale (Vigneux-s/Seine)
Primeur
4* Lirot Halles (Ballainvilliers)
Restauration
gastronomique
4* La Maison du Pressoir
(Crosne)
Restauration
traditionnelle
3* Au Bon’Art (Courcouronnes)
3* O’Bistro (Montlhéry)
Liste complète sur www.lespapillesdor.fr
Restauration cuisine
familiale
3* Variez vos Plaisirs (Arpajon)
3* L’Œillet Rouge (Montlhéry)
Restauration cuisine
du monde
4* L’Atelier Pizza
6W*HUPDLQOªV&RUEHLO
Restauration crêperie
3* Le Châlet de Mennecy
(Mennecy)
3* Crep’Show
6DLQWH*HQHYLªYHGHV%RLV
3* La Crêperie Le Sarzeau
(La Ville du Bois)
3* La Crêperie de Milly
(Milly-la-Forêt)
Torréfacteur
&RȥHD/D9LOOHGX%RLV
3* Les Cafés Molina
6DLQWH*HQHYLªYHGHV%RLV
suivi de rendez-vous personnalisés
CXGEFGUGZRGTVU
Public visé : 6QWVRWDNKEETȌCVGWTU
Fin de matinée et après midi
(sans interruption) :
• Les rendez-vous « experts »
+PVGTXGPVKQPUFGUGZRGTVUEQORVCDNGU
CXQECVUPQVCKTGUURȌEKCNKUVGU
FW45+GVFGNC%/#'UUQPPG
■ Le jeudi 19 novembre
• Atelier « Le crowdfunding, une
DXWUHID©RQGH̨QDQFHUVRQSURMHW}
.C%/#'UUQPPGRTȌUGPVGNG
ƒPCPEGOGPVRCTVKEKRCVKHXWRCT
*GNNQ/GTEK-KUU-KUU$CPM$CPMGV
Lendopolis. L’atelier sera présenté par
1NKXKGT5CPEJ%JGHFGRTQLGV*GNNQ/GTEK
3XEOLFYLV«̰6QWVRWDNKEETȌCVGWTU
entreprises en développement
i
Service économique
de la CMA Essonne |
Claudine Rouxel | 01 69 47 54 28 |
FPDHFR#DUWLVDQDWIU
A
Tendances économiques
Les artisans essonniens
tentent d’amortir la crise
Le dernier Baromètre Artisanat 91 révèle quelques signes encourageants en vue d’une sortie de crise.
Mais, la situation de la majorité des entreprises artisanales essonniennes appelle toujours à la vigilance.
L
14
eerUGOGUVTGCVKNRGTOKUFGUVQRRGTN’hémorragie !
5GNQPNGFGTPKGT$CTQOȋVTG#TVKUCPCVWPGOCLQTKVȌF’artisans essonniens déclare avoir maintenu leur niveau d’activité surEGVVGRȌTKQFG5GWNNGDȅVKOGPVTȌWPKVFCXCPVCIGFGEJGHU
FŨGPVTGRTKUG
CPPQPȊCPVWPEJKHHTGFŨCHHCKTGU
%#GPDCKUUG.
Ǩ noterš FG%#GPJCWUUGFȌENCTȌUFCPUNŨCNKOGPVCVKQP %
dans les services. Au regard de la dernière consultation des chefs
d’entreprise artisanale essonniensƒPNCVGPFCPEGGUV pluVȖVGPEQWTCIGCPVG4GUVGSWGFGRWKUFGNQPIUOQKUNŨKPFKEG gloDCNFGEQPƒCPEGRNCHQPPGUQWUNCOQ[GPPG
■ Maintien GX&$QHVLJQL̨HSDVKDXVVHG˹DFWLYLW«'VPQODTG
d’entrepreneurs préciseraient sans doute qu’il s’agit d’un mainVKGPFWPKXGCWFŨCEVKXKVȌk minimum zk vital zOȍOGRQWTcerVCKPU 6QWU UGEVGWTU CTVKUCPCWZ EQPHQPFWU WPG OCLQTKVȌ UG
prononce encore RQWTWPGUVCIPCVKQPFGNGWT%#FŨKEKNCƒPde
NŨCPPȌG+N[CUKZOQKUNCRGTURGEVKXGd’une dégradation l’emRQTVCKV.GURNWUQRVKOKUVGUUQPVȃEJGTEJGTFCPUNGDȅVKOGPV
GVNGUUGTXKEGUQșRTȋUFGFGWZ artisans sur FKZVCDNGPVUWTWPG
hausse d’activité au second semestre.
■ Les niveaux de trésorerie suivent à peu près les indices
G˹DFWLYLW«˱une majorité d’artisans serait RCTXGPWGȃOCKPVGPKT
leur trésorerie au premiGTUGOGUVTG/CKURQWTNCƒPFGNŨCPPȌG
KNUUQPVWPVKGTUȃETCKPFTGWPGDCKUUGGPRCTVKEWNKGTFCPUNGU
CEVKXKVȌUFGHCDTKECVKQP
■ L’investissement constitue un bon indicateur d’une éventuelle reprise. (KPFWpremiGTUGOGUVTGtrois chefs d’entreprise
artisanale sur quatre CHƒTOGPV PG RCU CXQKT TȌCNKUȌ FŨKPXGUVKU
sement. Et avoir recrutéš!Encore moins. Le renouvellement de
matériel et l’achat d’outils et de machines constituent le premier
RQUVGFŨKPXGUVKUUGOGPVtous secteurs confondus. Il s’agit donc
souvent d’achats de nécessité. Point positifš: près d’un tiers
FGUFKTKIGCPVUKPVGTTQIȌUGZGTȊCPVWPGCEVKXKVȌFGUGTXKEG
ÉVOLUTION DU CHIFFRE
D’AFFAIRES AU 1ER SEMESTRE 2015
60
Amélioré
Maintenu
50
Dégradé
2d semestre 2014
40
42%
44%
30
20
14%
10
0
déclare avoir investi. La promotion et la communication repréUGPVGPV LWUSWŨȃ % des KPXGUVKUUGOGPVU FCPU NC HCDTKECVKQP
%QPUWNVCVKQP CRTȋU EQPUWNVCVKQP EGU FQOCKPGU FŨinvestissement s’inscrivent comme une tendance de fond. Les chefs d’entreprise artisanale essonniensQPVDGUQKPFGXKUKDKNKVȌRQWTȌNCT
gir NGWT ENKGPVȋNG $GCWEQWR RCTVCIGPV NG UGPVKOGPV SWŨKN GZKUVG
DKGPWPOCTEJȌRQWTNGWTQHHTG&ŨCKNNGWTUNCEQOOWPKECVKQPGV
NGUPQWXGNNGUVGEJPQNQIKGUTGITQWRGPVNGRNWUITCPFPQODTGFG
projets FGHQTOCVKQP.CIGUVKQPGVNCEQORVCDKNKVȌGNNGUTGRTȌ
sentent un VKGTUFGEGUDGUQKPU'PEGUVGORUFKHƒEKNGUNGUEJGHU
FŨGPVTGRTKUGEJGTEJGPVȃQRVKOKUGTGVUȌEWTKUGTNGWTCEVKXKVȌ
%QPUWNVCVKQPréalisée en juin CWRTȋUFGEJGHUFŨGPVTGRTKUGCTVKUC
nale essonniens ȌXQNWCPV FCPU NGU CEVKXKVȌU FG HCDTKECVKQP FW DȅVKOGPV FG
l’alimentation et des services.
i
Consultez le baromètre Artisanat 91 sur www.cm-essonne.fr
LES CHIFFRES PRÉVISIONNELS À RETENIR POUR LE SECOND SEMESTRE 2015
*$-'-
*+
)(
-+
1(
L’indice de confiance
atteint tout juste
la moyenne pour
le 2d semestre.
Près d’un quart des artisans anticipe une baisse
du chiffre d’affaires d’ici
la fin de l’année.
Seul un chef d’entreprise
sur 10 prévoit d’investir
au 2d semestre.
Un artisan sur deux mise
sur un maintien de sa
trésorerie jusqu’à la fin de
l’année.
9 chefs d’entreprise sur 10
n’envisagent pas de recruter
de salarié ces prochains
mois.
CONJONCTURE
ACTIVITÉ
INVESTISSEMENT
TRÉSORERIE
EMPLOI
ESSONNE
L’apprentissage, c’est votre avenir
L’Essonne
VHPRELOLVHɈ
En cette rentrée 2015, pour rendre effectif le message « L’apprentissage, c’est
votre avenir » auprès des chefs d’entreprise et des jeunes, l’ensemble des acteurs
de l’apprentissage, gouvernement, conseils régionaux, partenaires sociaux,
chambres consulaires…, ont lancé une vaste campagne de communication
qui a débuté en avril 2015.
534 PLACES
D’APPRENTIS
DANS LES SECTIONS
'(/$)$&8/7
DES07,(56
DE L’ESSONNE
Chefs d’entreprise,
vous souhaitez recruter
des jeunes motivés et les former
¢YRVP«WKRGHVGHWUDYDLO˱"
3UR̨WH]GHVDLGHV¢O˹HPEDXFKH
SRXUUHFUXWHUGHVDSSUHQWLV˱
COMMERCE-GESTION
ADMINISTRATION
• Bac Pro Gestion administration
Ű$CE2TQ%QOOGTEG
SOINS À LA PERSONNE
Ű%#2GV$2%QKHHWTG
Ű%#2GV$2'UVJȌVKSWG
C
ette campagne est relayée aujourd’hui au niveau du département de l’Essonne et porte un
message EQOOWP CFTGUUȌ CWZ LGWPGU
GV CWZ EJGHU FŨGPVTGRTKUG 5QWU l’égide
FG /QPUKGWT NG 2TȌHGV FG NŨ'UUQPPG FW
%onseil régional d’Ƕle-de-(TCPEG FG NC
%%+FGl’Essonne de la %JCODTGFGMétiers et de l’ATVKUCPCV FG NŨ'UUQPPG FW
Medef'UUQPPGFGNC%)2/''UUQPPG
FG NŨ72# GP 'UUQPPG FG NŨCUUQEKCVKQP
Dialogue-'UUQPPG FG 2ȖNG GORNQK FGU
OKUUKQPU NQECNGU FG %CR GORNQK tous
les acteurs de l’emploi et du développement économique de l’Essonne se moDKNKUGnt depuis laTGPVTȌGFGUGRVGODTG
pour promouvoir l’apprentissage.
Tous les opérateurs %GPVTG FG formaVKQPFŨCRRTGPVKU%JCODTGFGcommerce
et d’iPFWUVTKG 2ȖNG eORNQK %JCODTG
de Métiers et de l’ATVKUCPCV missions
lQECNGU %CR GORNQK démarrent une
mission de prospection et seront susEGRVKDNGU d’entrer en contact avec les
GPVTGRTKUGU CƒP de recueillir leurs DG
soins en CRRTGPVK
U
■ Pour l’entreprise, c’est un pari d’avenir, l’opportunité de former un futur
UCNCTKȌ FGU RTQEȌFWTGU UKORNKƒȌGU GV
NC RQUUKDKNKVȌ FG DȌPȌƒEKGT FG RTKOGU
et d’CKFGU ƒPCPEKȋTGU KPVȌTGUUCPVGU GP
particulier pour les TPE-PME. % des
GPVTGRTKUGU C[CPV GODCWEJȌ WP CR
prenti sont satisfaites et TȌGODCWEJGPV
WPCWVTGCRRTGPVKȃNCƒPFWEQPVTCV
■ Pour l’apprenti, c’est un avenir proIHVVLRQQHOTXLVHSUR̨OH Une formation
solide qui allie apprentissage théorique
GV RTCVKSWG WP vrai salaire en pourcentage du Smic en fonction de l’ȅIGGVFG
la durée du contrat.
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teurs. 'PVTGRTKUGU %(# LGWPGU URJȋTG
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i
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à l’apprentissage en page 22 de
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la campagne apprentissage
VXUKWWSWUDYDLOHPSORLJRXYIU
espaces,770/formation-profession
nelle,1937/apprentissage,2500/
sommaire-de-la-rubrique,2505/
espaces,770/formation-profession
nelle,1937/apprentissage,2500/
INDUSTRIE
• Bac Pro Maintenance
des équipements industriels
Ű$CE2TQ6%+EJCWFTQPPGTKG
industrielle
• Bac Pro Technicien d’usinage
• Mention complémentaire soudage
• BTS Assistant technique
d’ingénieur
Ű$65/5
/CKPVGPCPEGU[UVȋOGU
15
MÉTIERS DE BOUCHE
Ű$2%WKUKPGGV4GUVCWTCPV
Ű$65*ȖVGNNGTKG4GUVCWTCVKQP
ÉLECTRICITÉ FEE
Ű$CE2TQ'.''%
Ű%#22TQ'.''%
COMPTABILITÉ-GESTIONINFORMATIQUE
Ű$65%)1
%QORVCIGUVKQP
QTICPKUCVKQP
• Gestionnaire de paie
• BTS Services informatiques
Ű&%)
&KRNȖOGFGEQORVCDKNKVȌ
IȌPȌTCNG
Ű&5%)
&KRNȖOGUWRȌTKGWT
FGEQORVCDKNKVȌGVIGUVKQP
i
Faculté des métiers de l’Essonne |
Campus d’Évry, 3 Chemin de
la Grange Feu Louis, 91035 Évry
Cedex | 01 60 79 74 00 |
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DUWLVDQDW#IGPHIU |
3RXUOHVIRUPDWLRQVGHOȇLQGXVWULHɋ
LQGXVWULHH#IGPHIU |
3RXUOHVIRUPDWLRQVGXWHUWLDLUHɋ
WHUWLDLUHH#IGPHIU
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e chef d’entreprise artisanale
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XQWU ȍVGU EQPEGTPȌ NGU GPLGWZ GPVTG
vous et le repreneur seront différents.
La réussite d’une cession passe par
NŨCPVKEKRCVKQPCWOQKPUEKPSCPUCXCPV
XQVTGFȌRCTVCƒPFGXCNQTKUGTXQVTGQWVKN
FGVTCXCKN%ŨGUVRTKOQTFKCNIl faut savoir
qu’KN[CDGCWEQWRRNWUFŨGPVTGRTKUGUȃ
céder que de repreneurs potentiels. Se
démarquer des autres est importantšЏ
Il vous faudra multiplier les pistes de
prospection en direction de votre faOKNNGUCNCTKȌUENKGPVUHQWTPKUUGWTURCT
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Annuaire des entreprises
artisanales du
E¤WLPHQWTXDOLȨ«HV
• RGE
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• Accessibilité
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rubrique « Les publications »
ÎLE-DE-FRANCE
du 1er au 3 avril 2016
Agenda
Les artisans franciliens
au Salon international
du patrimoine culturel
D
ans le cadre du Salon international
du patrimoine culturel organisé
FW CW PQXGODTG RTQEJCKP NC
%JCODTG4ȌIKQPCNGFG/ȌVKGTUGVFGNŨ#Ttisanat d’ǶNGFG(TCPEGCEQPXKȌUGRVCTVKsans métiers d’art franciliens. Autour du
i
VJȋOGk Patrimoine et modernité zȃNŨJQPneur cette annéeš(CȊCFGFW4Q[ &ȌEQTU 0CVWTG $CTPCDȌ 4KEJCTF Jean-2KGTTG .GDWTGCW #VGNKGT %GTCOKŨM
#VGNKGT/CVUWQMC
GV/WTCPȋUG
GZRQUGTQPVNGWTUETȌCVKQPU
Carrousel du Louvre - 99 rue de Rivoli, 75001 Paris - Stand C41, Salle Delorme |
0«WURɋ3DODLV5R\DO0XV«HGX/RXYUHOLJQHVHW | Pour en savoir plus, rendez-vous
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Les Journées
européennes
des métiers
d’art
%GULQWTPȌGUCFTGUUȌGUȃWP
RWDNKEXGPCPVFGVQWVJQTK\QP
sont l’occasion de valoriser
les professionnels détenteurs de
UCXQKTHCKTGȃVTCXGTUNŨQWXGTVWTG
FŨCVGNKGTUFGEGPVTGUFGHQTOCVKQP
d’organisation de manifestations
et de circuits découvertes.
.C%JCODTG4ȌIKQPCNGFG/ȌVKGTU
GVFGNŨ#TVKUCPCVEQQTFKPCVTKEG
FGNŨȌXȌPGOGPVGPǶNGFG(TCPEG
convie les artisans métiers d’art
HTCPEKNKGPUȃUŨKPUETKTGȃRCTVKT
FGPQXGODTGUWTNCRNCVGHQTOG
de l’événement. Pour plus
ÉLECTRICITÉ : TRANSFORMEZ
/$),1'(67$5,)65*/(0(176
'(9(17((123325781,7
FŨKPHQTOCVKQPUPQWUXQWUKPXKVQPU
17
ȃXQWUTCRRTQEJGTFWTȌHȌTGPV
OȌVKGTUFŨCTVFGXQVTG%JCODTG
de métiers départementale.
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www.journeesdesmetiersdart.fr
8QVTGHQWTPKUUGWTCEVWGNGUV'&(š!8QVTGRWKUUCPEG
UQWUETKVGGUVUWRȌTKGWTGȃM8#š!8QWUFKURQUG\
FŨWPEQPVTCVCWVCTKHTȌINGOGPVȌš!#NQTUXQWUȍVGU
Export
SRXYRLUVSXEOLFVVHUDVXS«ULHXU¢FHOXLGRQWYRXVE«Q«̨FLHULH]HQRIIUHGHPDUFK«
Les rendezvous de
la CRMA
Île-de-France
#NQTUPŨCVVGPFG\RCUNGFGTPKGTOQOGPV5QWUETKXG\FŨQTGUGVFȌLȃWPPQWXGCWEQPVTCV
*WKVGPVTGRTKUGUCTVKUCPCNGU
FGHQWTPKVWTGFŨȌNGEVTKEKVȌ.QTUSWGXQWUHGTG\XQVTGEJQKZEQPUKFȌTG\NGRTKZDKGP
sont parties en mission de
UțTOCKURCUWPKSWGOGPV1RVKOKUG\XQUEQPUQOOCVKQPUKFGPVKƒG\NGUIKUGOGPVU
prospection et de développement
FŨȌEQPQOKGU
PQVCOOGPVUWTNGURQUVGUEJCWHHCIGENKOCVKUCVKQPGVGCWEJCWFG
d’affaires dans les Pays du Golfe
UCPKVCKTGGVPȌIQEKG\FGUFKURQUKVKQPUEQPVTCEVWGNNGUCFCRVȌGUȃXQUJCDKVWFGU
3CVCTGVǱOKTCVUCTCDGUWPKU
FGEQPUQOOCVKQP5CEJG\SWŨGPOCTEJȌFȌTȌIWNȌNG6CTKHFŨWVKNKUCVKQPFGUTȌUGCWZ
FWCWQEVQDTGFGTPKGT
EQPEGTPȌšЏAu 1er janvier prochain, les tarifs dits
m˰MDXQH˰}HWm˰YHUW˰}VHURQWVXSSULP«VHWYRWUHFRQWUDW
sera automatiquement résilié. Si vous ne souscrivez
pas un contrat en offre de marché d’ici là, vous basculerez automatiquement en
RIIUHGLWHWUDQVLWRLUH/˹RIIUHWUDQVLWRLUHVHUDYDODEOHVL[PRLVHWVRQWDULĮ[«SDUOHV
RWDNKEUFŨȌNGEVTKEKVȌ
6742'UWDUKUVG.GRTKZRC[ȌCWVKVTGFGNŨCEJGOKPGOGPVEQPVKPWG
FQPEȃTGNGXGTFGURQWXQKTURWDNKEUSWKƒZGPVNGUVCTKHUEQTTGURQPFCPVU+NGPXC
FGOȍOGRQWTNC68#NC6CZGUWTNCEQPUQOOCVKQPƒPCNGFŨȌNGEVTKEKVȌNC%QPVTKDWVKQP
CWUGTXKEGRWDNKEFŨȌNGEVTKEKVȌGVNC%QPVTKDWVKQPVCTKHCKTGFŨCEJGOKPGOGPV
P
RATIQUE [ ESSONNE
formations
/HVVWDJHVGHȴQG
DQQ«H
HQXQVHXOFRXSG
ĕLOɈ
Dirigeant
d’entreprise
Micro-informatique
bureautique
Stage de préparation à l’installation
d’une entreprise (SPIE)
LQWTU&WNWPFKCWXGPFTGFK
ŰǱVCORGUšUGUUKQPOQKU
ŰǱXT[šJGDFQOCFCKTG
Créer ses premiers courriers
et documents professionnels
2 jours
ŰǱXT[šGVFȌEGODTG
Les différents statuts du conjoint
LQWT
ŰǱXT[šFȌEGODTG
Utiliser un tableau pour les suivis
de gestion
LQWT
ŰǱXT[šPQXGODTG
Développement
commercial
Perfectionnement au tableur
2 jours
6CDNGVVGUPWOȌTKSWGUš
un outil de mobilité
½ journée
ŰǱXT[šFȌEGODTG
18
Optimiser l'utilisation
de son smartphone
½ journée
ŰǱXT[šFȌEGODTG
Les outils de communication
adaptés à votre entreprise
LQWT
ŰǱXT[šPQXGODTG
Créer ses factures, formaliser
ses devis et les défendre
3 jours
Connaître son potentiel commercial
et développer sa clientèle
LQWT
ŰǱXT[šFȌEGODTG
Remporter un marché public
2 jours
ŰǱXT[šGVPQXGODTG
Export
Administration des ventes
internationales
2 jours
ŰǱXT[šGVPQXGODTG
Créer des diaporamas professionnels
3 jours
Ressources Humaines
Gestion des ressources humaines
LQWTU
ŰǱXT[šGVFȌE
Communiquer
et vendre avec
son site Internet
Pack créateur šȌNȌOGPVU
de communication indispensables
LQWTU
Créer et gérer son site Internet
3 jours
ŰǱXT[šGVPQXGODTG
#VGNKGTšTȌFKIGTGVUVTWEVWTGT
les pages
2 jours
ŰǱXT[šGVPQXGODTG
#VGNKGTšETȌGTUCboutique
en ligne avec Prestashop
LQWTU
ŰǱXT[šGVPQX
#VGNKGTšCUUWTGTUQKOȍOGNC
maintenance de son site Internet
LQWTOQKU
ŰǱXT[šPQXGODTGšFȌE
Organisation
administrative
et comptable
L'organisation administrative
et comptable de l'entreprise
2 jours
ŰǱVCORGUšGVFȌEGODTG
Prix de vente, coûts de revient,
marge commerciale
2 jours
Négocier avec sa banque
LQWT
ŰǱXT[šFȌEGODTG
Maîtriser sa comptabilité
au quotidien
LQWTU
ŰǱXT[šPQXGODTG
GVFȌEGODTG
Comptabilité sur logiciel CIEL
niveau 1
LQWTU
ŰǱXT[šGVPQX
Comptabilité sur logiciel CIEL
niveau 2
LQWTU
ŰǱXT[šGVFȌE
Savoir gérer sa trésorerie
2 jours
Savoir lire et analyser un bilan
et un compte de résultat
2 jours
ŰǱXT[šGVPQXGODTG
Atelier de pratique individuelle
comptable sur CIEL Compta
LQWTOQKUǱXT[
Ű)TQWRG#šPQXGODTGš
FȌEGODTG
Ű)TQWRG$šPQXGODTGš
FȌEGODTG
Assistant(e)
de dirigeant
d’entreprise
artisanale (ADEA)
Diplôme homologué de niveau IV
%GVVGHQTOCVKQPGUVFGUVKPȌG
ȃTGPHQTEGTNCEQORȌVGPEG
FGNŨCUUKUVCPV
GFWEJGH
FŨGPVTGRTKUGCTVKUCPCNGCƒP
FGNGUGEQPFGTGHƒECEGOGPV
FCPUUCIGUVKQPCFOKPKUVTCVKXG
EQORVCDNGGVEQOOGTEKCNG
Elle est également ouverte
CWZEJGHUFŨGPVTGRTKUG
%GFKRNȖOGRGTOGVFŨQDVGPKT
WPGTGEQPPCKUUCPEGFWTȖNG
tenu dans la gestion de
l’entreprise par une validation
des compétences acquises.
L’ADEA est composé
GHTXDWUHPRGXOHV˱
Ű%QOOWPKECVKQPGVTGNCVKQPU
JWOCKPGUšJGWTGU
• Gestion de l’entreprise
CTVKUCPCNGšJGWTGU
Ű5GETȌVCTKCVDWTGCWVKSWGš
JGWTGU
• Stratégie et techniques
EQOOGTEKCNGUšJGWTGU
'«EXWGXSURFKDLQPRGXOH̰
Gestion de l’entreprise artisanale,
le jeudi 14 janvier 2016
5\WKPH̰OHMHXGLKRUVFRQJ«V
scolaires
Hygiène alimentaire
Formation réglementaire
*[IKȋPG*#%%2
)WKFGFGDQPPGURTCVKSWGU
LQWTU
NWPFK
ŰǱXT[šPQXGODTGGVFȌE
COMMENT S’INSCRIRE ET NOUS CONTACTER ?
Bulletin d’inscription sur www.cm-essonne.fr, rubrique Formation :
• 63,( Corinne Dao - 01 69 47 54 21 - [email protected]
• )RUPDWLRQFRQWLQXHTiffany Lequet - 01 69 47 54 34 [email protected] • Pascal Mirailles - 01 69 47 58 92
[email protected]
• 'LUHFWLRQ Christelle Pesquié - 01 69 47 58 36
Horaires des sessions de formation
WDPSHVHWYU\KKKK
Formations recommandées dans le cadre
du dispositif d’accompagnement post-installation
des entreprises (0 à 3 ans).
ESSONNE
Statut
Le conjoint dans l’entreprise,
un rôle essentiel
8QWUȍVGUEQPLQKPV
GFŨCTVKUCP8QWUȍVGUOCTKȌ
GQWNKȌ
GRCTWPRCEVGEKXKNFGUQNKFCTKVȌ
2#%5GVXQWURCTVKEKRG\FGHCȊQPTȌIWNKȋTG
ȃNŨCEVKXKVȌFGNŨGPVTGRTKUGHCOKNKCNGš!%JQKUKUUG\FȋUOCKPVGPCPVXQVTGUVCVWVšБ
Une obligation
Une protection juridique
pour l’entreprise
'P ECU FŨCEEKFGPV FŨKPXCNKFKVȌ KPECRCEKVȌQWFȌEȋUUWDKVFWEJGHFŨGPVTGRTKUGNG
conjoint doit pouvoir prendre les rênes de
NŨGPVTGRTKUGšUCPUWPGCWVTGRGTUQPPGSWK
CNCUKIPCVWTGNGUEQORVGUUGTQPVDNQSWȌU
et les salariés ne pourront pas être payés.
Une protection sociale
pour le conjoint
2GPFCPV FGU CPPȌGU NG EQPLQKPV FŨCTVKsan qui travaillait dans l’entreprise ne
DȌPȌƒEKCKV RCU FŨWPG XTCKG RNCEG 5QP
VTCXCKN ȌVCKV UGWNGOGPV CUUKOKNȌ ȃ WPG
GPVTCKFG HCOKNKCNG UCPU TȌOWPȌTCVKQP
sans droit sur l’entreprise ni couverture
UQEKCNG RGTUQPPGNNG .G EJQKZ FŨWP UVCVWVQHHTGWPGRTQVGEVKQPFGDCUGRQWTNG
EQPLQKPV GV UC HCOKNNGš QWVTG WP CRRWK
EQPVTGNGUCEEKFGPVUFGNCXKG
OCNCFKG
JCPFKECRFȌEȋUŲKNRGTOGVFGEQVKUGT
RQWT NC TGVTCKVG FW EQPLQKPV &G RNWU
EQOOGNGEJGHFŨGPVTGRTKUGNGEQPLQKPV
TCVGWT CHƒNKȌGU FGRWKU CW OQKPU WP CP
RGWXGPVDȌPȌƒEKGTFWTȌIKOGFGUKPFGOnités journalières maladie.
Une reconnaissance
professionnelle
i1..;(161.+#%1/
&GRWKUNCNQKFWCQțVGPHCXGWT
FGU 2/' NG EQPLQKPV SWK GZGTEG WPG
activité régulière dans l’entreprise a
NŨQDNKICVKQP FG EJQKUKT WP UVCVWV 'PEQTG DGCWEQWR FG EQPLQKPV
GU PŨGP
QPVRCUšRCTKIPQTCPEGQWRCTHCEKNKVȌ
6TQKUUVCVWVUUQPVRQUUKDNGUšconjoint
collaborateur conjoint associé ou
conjoint salarié.
.ŨKPUETKRVKQPEQOOGEQPLQKPVEQNNCDQTCVGWT
KORNKSWGNŨCHƒNKCVKQPCW45+RQWTNCEQWXGTVWTGFGUTKUSWGUTGVTCKVGKPXCNKFKVȌFȌEȋUGV
indemnités journalières. Le conjoint collaDQTCVGWTGUVRTȌUWOȌCXQKTTGȊWWPOCPFCVFGNŨGZRNQKVCPVCƒPFŨCEEQORNKTGPUQP
PQO VQWU NGU CEVGU FG IGUVKQP EQWTCPVG
UCWHTGPQPEKCVKQPȃEGOCPFCV
Le statut apporte une vraie
reconnaissance du rôle
tenu et de la valeur ajoutée
du travail accompli
par le conjoint au sein
de l’entreprise,
alors, faites-vous connaître
et reconnaître.
RGWVDȌPȌƒEKGTFŨWPGRTȌXQ[CPEGFCPU
NGECFTGFGNC.QK/CFGNKP
OCNCFKGTGVTCKVGEQORNȌOGPVCKTG
&GRWKUNGFȌDWVFGNŨCPPȌGNGURGTUQPPGUUQWUUVCVWVFGEQPLQKPVEQNNCDQ-
Le statut apporte également une vraie
TGEQPPCKUUCPEG FW TȖNG VGPW GV FG NC
valeur ajoutée du travail accompli par
le conjoint au sein de l’entreprise.
.C LWUVKƒECVKQP FŨWP UVCVWV GUV QDNKICVQKTG RQWT RQWXQKT DȌPȌƒEKGT FGU HQPFU
RQWT NG ƒPCPEGOGPV FG NC HQTOCVKQP
RTQHGUUKQPPGNNG .GU EQPLQKPVU EQNNCDQTCteurs et les conjoints associés non saNCTKȌU RGWXGPV CKPUK UQNNKEKVGT NG %QPUGKN
FG NC HQTOCVKQP FŨǶNGFG(TCPEG GV NG
(#(%'# (QPFU FŨCUUWTCPEG HQTOCVKQP
FGU EJGHU FGPVTGRTKUG GZGTȊCPV WPG CEVKXKVȌ CTVKUCPCNG .GU EQPLQKPVU UCNCTKȌU
RGWXGPVUŨCFTGUUGTȃNŨQTICPKUOGRCTKVCKTG
EQNNGEVGWTCITȌȌ
1RECFQPVKNUFȌRGPFGPV
19
.G EJQKZ FW UVCVWV FQKV ȍVTG OțTGOGPV
TȌHNȌEJKš CW OQOGPV FG NC ETȌCVKQP GV
VQWVCWNQPIFGNCXKGFGNŨGPVTGRTKUGNGU
EQPUGKNNGTU FW 5GTXKEG ǱEQPQOKSWG FG
NC %/#'UUQPPG TGȊQKXGPV NGU CTVKUCPU
et leurs conjoints pour une information
complète et une recommandation au
cas par cas.
pensez adea !
/DIRUPDWLRQTXDOLȨDQWHHWGLSO¶PDQWH
ADEA [Assistant(e) de Dirigeant(e) d’Entreprise
$UWLVDQDOH@HVWSDUWLFXOLªUHPHQWDGDSW«HDX[FRQMRLQWVSDUWLFLSDQWV¢OȄDFWLYLW«GH
OȄHQWUHSULVH'ȄDXWUHSDUWHQFDVGHGLȨFXOW«VSDVVDJªUHVHWGȄXQEHVRLQGHUHWRXU¢OȄHPSORL
H[WUDHQWUHSULVHOHWLWUHREWHQXHQȦQGHIRUPDWLRQȁHWUHFRQQXDX51&35«SHUWRLUH
QDWLRQDOGHVFHUWLȦFDWLRQVSURIHVVLRQQHOOHVȁSHUPHW«JDOHPHQWDXFRQMRLQWGHMXVWLȦHU
des compétences acquises dans l’entreprise familiale.
N’hésitez pas à vous inscrire aux ateliers/conférences gratuits sur le sujet.
i
Formation et ateliers-conférences | 01 69 47 54 34 / 58 92 |
FPDIRUPDWLRQ#DUWLVDQDWIU
R
EPÈRES [ CONJONCTURE
84%
20
des TPE ayant demandé un
crédit d’investissement au
2e trim. 2015 ont vu leurs
demandes satisfaites en
totalité ou en grande partie
(à plus de 75 %). Ce chiffre
progresse par rapport aux
trimestres précédents
(78 % au 1er trim. 2015,
74 % au 4e trim. 2014) ; il
rapproche la situation des
TPE (0 à 9 salariés) de celle
des PME, qui sont 94 % à
avoir obtenu satisfaction.
Concernant l’accès au
crédit de trésorerie, les
chiffres sont stables pour
les TPE : 65 % ont obtenu
gain de cause, au 1er comme
au 2e trimestre 2015. Seules
9 % des TPE ont demandé
un crédit de trésorerie au
2e trim. 2015 et 11 % un
crédit d’investissement.
L’autocensure est marginale
parmi les causes d’absence
de demande (1 % des TPE
interrogées).
1/
Fin 2012 en France, un tiers des indépendants
et dirigeants salariés d’entreprise sont des
femmes. Un pourcentage qui tombe à 25 %
parmi les personnes dirigeant ou codirigeant
une entreprise comptant au moins une autre personne. Les
femmes représentent en outre 40 % des auto-entrepreneurs,
37 % des entrepreneurs individuels « classiques » mais seulement 25 % des gérants de SARL et 17 % des dirigeants salariés
hors SARL. Les femmes indépendantes ou dirigeantes salariées
sont en moyenne plus jeunes que leurs homologues masculins
(44,6 ans contre 46,2 ans) et gagnent 31 % de moins qu’eux.
Elles sont surreprésentées chez les jeunes indépendants et dirigeants d’entreprise (40 % des moins de 30 ans).
3
Source : Insee Première N° 1563 – juillet 2015
Source : Stat Info Banque de France
– Enquête trimestrielle auprès des
entreprises sur leur accès au crédit en
France – 2e trimestre 2015.
16 juillet 2015
ACCESSIBILITÉ
/DORLGXI«YULHUSU«YR\DLWODPLVHDX[QRUPHVDFFHVVLELOLW«GH
GHV«WDEOLVVHPHQWVUHFHYDQWGXSXEOLF(53DXerMDQYLHU2U
LOVQHVHUDLHQWTXH¢DYRLUHQWUHSULVOHVG«PDUFKHV/HVFKRVHVGHYUDLHQW
Q«DQPRLQVV̵DFF«O«UHUFDUO̵RUGRQQDQFHGXVHSWHPEUHTXLDLQVWDXU«OHV
DJHQGDVG̵DFFHVVLELOLW«SURJUDPP«V$G̵$SD«W«UDWLͤ«HOHDR½WGHUQLHULes
professionnels – et notamment les gestionnaires d’ERP de 5e catégorie – ont
GRQFMXVTX˹DXVHSWHPEUHSRXUSU«VHQWHUOHXU$G˹$S/̵$G̵$3FRQVLVWHHQ
XQHSURJUDPPDWLRQEXGJ«WDLUH̭LOVXVSHQGOHVVDQFWLRQVHQFDVGHQRQUHVSHFW
GHVUªJOHVG̵DFFHVVLELOLW«/HVWUDYDX[SU«VHQW«VGHYURQW¬WUHU«DOLV«VGDQVOHV
WURLVDQV ,QIRV SUDWLTXHV HW G«WDLOO«HV VHORQ YRWUH VLWXDWLRQ PHVXUHV G«URJD
WRLUHVVXr accessibilite.gouv.fr.
* Loi n° 2015-988 publiée au JO le 6 août.
La visite d’entreprise,
un argument de vente
Le ministre de l’Économie
a dit…
« La transmission d’entreprises constitue
un potentiel important de croissance et de
création d’emplois. La nécessité d’une
mobilisation particulière des pouvoirs
publics sur ce sujet, et tout particulièrement
en faveur des TPE et des PME, ne fait aucun
doute », Emmanuel Macron, le 7 juillet 2015.
3 ans de baisse ininterrompue
du chiffre d’affaires
Selon l’enquête de conjoncture UPA / I+C sur
le 2e trimestre 2015 réalisée début juillet,
l’artisanat et le commerce de proximité
restent en marge de la reprise, avec un
nouveau recul de l’activité de 2 %.
Osez le tourisme industriel ! Les achats
consécutifs à une visite d’entreprise seraient
2,5 fois supérieurs aux achats sans visite,
selon les chiffres clés de la visite d’entreprise
publiés par Entreprise & Découverte.
i
La moitié des emplois vacants
dans les TPE
Selon la Dares (Dares indicateurs n° 059 –
août 2015), plus de la moitié des postes à
pourvoir le serait dans les entreprises
d'un à neuf salariés alors que celles-ci ne
représentent que 20 % de l’emploi salarié.
OURSE DES ENTREPRISES ARTISANALES [ ESSONNE
ALIMENTAIRE/
MÉTIERS DE BOUCHE
A/14-01 - Boucherie Charcuterie %#*6OQ[GPšŻDCKNEQOOGTEKCN
CRRCTVGOGPVOqFȌRGPFCPEGU
KORQTVCPVGUšRQUUKDKNKVȌCITCPFKUUGOGPV
DQWVKSWGCRRTGPVK%#GPRTQITGUUKQP
'WTQR'UUQPPG.Q[GTššŻ
2TKZFWHQPFUššŻ
#2ȅVKUUGTKG#WEWPUCNCTKȌ
%#*6OQ[GPššŻDCKNEQOOGTEKCN
EGPVTGXKNNGVQWUEQOOGTEGUOq(
GWTQUOGPUWGNUVTȋUDQPPGPQVQTKȌVȌ
FGRWKUVTCXCKNGPEQWRNGNQECNDKGP
ȌSWKRȌ8CNF'UUQPPG2TKZFWHQPFUš
šŻ
BâTIMENT
B/14-13 - Pose fermetures, vitrerie,
menuiseries, fabrication en soustraitance - UCNCTKȌU%#*6OQ[GPš
šŻVTȋUDQPPGPQVQTKȌVȌENKGPVȋNG
NQECNGEQNNGEVKXKVȌUGVȌVCDNKUUGOGPVU
RWDNKEUSWGNSWGUIGUVKQPPCKTGUFGRCVTK
OQKPG'WTQR'UUQPPG.Q[GTšŻ
B/14-14 - Pose fermetures, vitrerie,
menuiseries - UCNCTKȌU%#*6OQ[GP
šŻVTȋUDQPPGPQVQTKȌVȌCPU
ENKGPVȋNGNQECNGOqEQWTKPVȌTKGWTG
CZGEQOOGTȊCPVTȌHȌTGPEGOGPVTȌUGCW
5ȌPCTV8CNFG5GKPG.Q[GTššŻ
2TKZFWHQPFUššŻ
B/14-15 - Chauffage, plomberie,
ramonage - UCNCTKȌ%#*6OQ[GPš
šŻDCKNEQOOGTEKCNOqCZG
EQOOGTȊCPVPQVQTKȌVȌKORQTVCPVGENKGPVȋNG
NQECNGEQPVTCVUHQPFUUGWNššŻ
2QTVGUFGN'UUQPPG.Q[GTšŻ
B/14-17 - Chauffage, climatisation,
plomberie, - #WEWPUCNCTKȌ%#*6OQ[GP
šŻPQVQTKȌVȌKORQTVCPVGEQPVTCVU
FGPVTGVKGPENKGPVȋNG2CTKUGVUWF2CTKU*CWV
FG$KȋXTG2TKZFWHQPFUššŻ
B/14-18 - Chauffage, plomberie,
ramonage - UCNCTKȌ%#*6OQ[GPš
šŻRCUFGDCKNPQVQTKȌVȌ
KORQTVCPVGECOKQPU2)4)'
'WTQR'UUQPPG2TKZFWHQPFUššŻ
SERVICES
S/14-02 - Coiffure mixte - UCNCTKȌ
TGOKUGȃPGWHOqECXGRCTMKPI
GPRKGFFKOOGWDNG5ȌPCTV8CNFG5GKPG
.Q[GTšŻ2TKZFWHQPFUššŻ
S/14-04 - Coiffure mixte - #WEWPUCNCTKȌ
RGVKVUCNQPEGPVTGXKNNG5GKPG'UUQPPG
.Q[GTššŻ2TKZFWHQPFUššŻ
S/14-07 - Coiffure mixte - UCNCTKȌU
OqTGHCKVGP%GPVTG'UUQPPG
S/14-08 - Esthétique - #WEWPUCNCTKȌ
OqECXGVTȋUDQPGORNCEGOGPV
5GKPG'UUQPPG.Q[GTšŻ
2TKZFWHQPFUššŻ
S/14-12 - Fleuristerie - #WEWPUCNCTKȌ
OqRGVKVEGPVTGEQOOGTEKCNQWXGTV
'WTQR'UUQPPG.Q[GTššŻ2TKZ
FWHQPFUššŻ
OqFGWZXKVTKPGUEQWTGZVȌTKGWTG
&QWTFCPPCKU.Q[GTšŻ2TKZFWHQPFU
šŻ
S/14-17 - salon de coiffure mixte UCNCTKȌ%#*6OQ[GPššŻDCKN
EQOOGTEKCNOqGPXšŻOQKUVTȋU
DQPGORNCEGOGPVEQPLQKPVEQNNCDQTCVGWT
'WTQR'UUQPPG2TKZFWHQPFUŻ
S/14-18 - Fleuristerie - UCNCTKȌ%#*6
OQ[GPššŻDCKNEQOOGTEKCNOq
EGPVTGEQOOGTEKCN'PVTG,WKPGGV4GPCTFG
Oq
FQPVUQWUNQECVKQPOq
RTQHNKDȌTCNGCEVKXKVȌEQPPGZGEGPVTGXKNNG
RQUUKDKNKVȌXGPVGRCUFGRQTVG5ȌPCTV
8CNFG5GKPG.Q[GTšŻ2TKZFWHQPFU
šŻ
S/14-20 - Réparations automobiles UCNCTKȌU%#*6OQ[GPššŻDCKN
EQOOGTEKCNNQECWZOqOqVGT
TCKPšOqVTȋUDQPPGPQVQTKȌVȌ8CNNȌG
FGNǱEQNG2TKZFWHQPFUššŻ
%#šŻDCKNEQOOGTEKCNOq
UCNQPGPRKGFFKOOGWDNGCOȌPCIGOGPVU
TȌEGPVU%GPVTG'UUQPPG.Q[GTššŻ
2TKZFWHQPFUššŻ
2CUFGRQTVGCPEKGPKPUVKVWVFGDGCWVȌDCKN
GUVJȌVKSWGEQKHHWTGRTQHGUUKQPUNKDȌTCNGU
UGTXKEGUEGPVTGXKNNG/QPVIGTQP.Q[GTš
Ż2TKZFWHQPFUššŻ
S/14-25 - Coiffure mixte - UCNCTKȌU
%#OQ[GPššŻDCKNEQOOGTEKCN
OqUCNQPUWTITCPFCZGUVCVKQPPGOGPV
HCEKNGGZKUVGFGRWKUCPU5GKPG'UUQPPG
.Q[GTššŻ2TKZFWHQPFUššŻ
S/14-26 - déménagement, garde-meuble #WEWPUCNCTKȌ%#*6OQ[GPššŻ
ENKGPVȋNGVTȋUƒFȌNKUȌGHQPFUšŻOWTU
GUVKOȌUȃšŻOqNQIGOGPV
(VQWUEQOOGTEGUUQWJCKVGXGPFTGNGP
UGODNGGPVTGRTKUGVTȋUDKGPTȌHȌTGPEȌGUWT
KPVGTPGV5GKPG'UUQPPG.Q[GTššŻ
S/14-27 - Esthétique - UCNCTKȌ%#*6
OQ[GPššŻDCKNEQOOGTEKCNOq
DGNNGUWTHCEGGPEGPVTGXKNNGRCUFG
EQPEWTTGPEGOCTSWG)WKPQVENKGPVȋNG
ƒFȌNKUȌG%GPVTG'UUQPPG.Q[GTšŻ
2TKZFWHQPFUššŻ
S/14-28 - Coiffure mixte - UCNCTKȌ
%#*6OQ[GPššŻ%#GPRTQITGUUKQP
šŻ66%GPDCKNEQOOGTEKCN
OqNQ[GTGCWGVEJCWHHCIGEQORTKU
UVCVKQPPGOGPVHCEKNGGZKUVGFGRWKUCPU
%GPVTG'UUQPPG.Q[GTššŻ2TKZFW
HQPFUššŻ
OqEGPVTGkXKNNCIGzEQOOGTȊCPV
XKVTKPGULQNKGDQWVKSWGENKOCVKUȌGEQPVTCVU
NQECWZENKGPVȋNGƒFȌNKUȌG2C[UFG.KOQWTU
S/14-30 - Repassage, retouches - #WEWP
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FȌXGNQRRGOGPVCOȌPCIGOGPVUTȌEGPVU
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Banque Populaire Val de France - SA coopérative de Banque Populaire à capital variable, 9 avenue Newton - 78180 Montigny-le-Bretonneux - RCS Versailles 549 800 373.
B
Le Monde des artisans [ Septembre/octobre 2015
J
URI-PRATIQUE
Questions/Réponses
$SSUHQWLVVDJHɈTXHOOHVDLGHV
¢O
HPEDXFKH¢ODUHQWU«HɈ"
8QWUJȌUKVG\GPEQTGȃGODCWEJGTWPCRRTGPVKš!8QWUPGUCXG\RNWUȃSWGNNGUCKFGUXQWURQWXG\RTȌVGPFTGš!
Voici un récapitulatif des dispositifs en vigueur en cette rentrée scolaire.
quelles sont les aides disponibles en fonction de la taille de l'entreprise ?
0RLQVGHVDODULªV
22
'H¡VDODULªV
3OXVGHVDODULªV
1.0QWXGNNGCKFGk62'LGWPGCRRTGPVKz
2. 2TKOGȃNCRRTGPVKUUCIGRQWTNGU62'
3. Aide au recrutement apprenti supplémentaire
4. 'ZQPȌTCVKQPFGEJCTIGUUQEKCNGU
5.%TȌFKVFKORȖVU
6.#KFGUFGN#IGƒRJ
VTCXCKNNGWTJCPFKECRȌ
#KFGCEEGUUKDNG#KFGPQPCEEGUUKDNG0$FȋUNQTUSWGNNGUUQPVCEEGUUKDNGUFHVDLGHVVRQWFXPXODEOHV.
1. / 2.
Que faut-il
retenir des
aides spécifiques aux TPE ?
/
DLGH m73( MHXQH DSSUHQWL}̭ aide
HQTHCKVCKTG FG šGWTQU XGTUȌG VTKOGUVTKGNNGOGPV RCT NǱVCV NC RTGOKȋTG CPPȌG
FWEQPVTCV%GVVGPQWXGNNGCKFGUCFTGUUG
CWZGPVTGRTKUGUFGOQKPUFGUCNCTKȌU
SWKTGETWVGPVWPCRRTGPVKȅIȌFGOQKPUFG
CPUȃNCFCVGFGEQPENWUKQPFWEQPVTCV
/DSULPH¢O
DSSUHQWLVVDJH̭aide verUȌG RCT XQVTG 4ȌIKQP TȌUGTXȌG CWZ GPVTGRTKUGU FG OQKPU FG UCNCTKȌU SWK
UȌNȋXGȃšGWTQUOKPKOWORCTCPnée de formation.
3.
quels sont les
critères à remplir
pour bénéficier de l'aide
au recrutement apprenti
supplémentaire ?
2QWT DȌPȌƒEKGT FG EGVVG CKFG FG
šGWTQU OKPKOWO XGTUȌG ȃ NGODCWEJG RCT XQVTG 4ȌIKQP GV EWOWNCDNG
CXGENCRTKOGȃNCRRTGPVKUUCIGKNHCWVš
VRLWUHFUXWHUXQDSSUHQWLSRXUODSUHPLªUHIRLV̭
VRLWSUHQGUHXQDSSUHQWLVXSSO«PHQWDLUHGDQVYRWUHHQWUHSULVH
4.
Quelles sont les
charges exonérées
selon la taille de
l'entreprise ?
&KDUJHVH[RQ«U«HVSRXUOHV73(̭cotisations patronales et salariales dues au
titre des assurances sociales et des alNQECVKQPUHCOKNKCNGUšEQPVTKDWVKQP(0#.š
cotisations salariales et patronales d’asUWTCPEGEJȖOCIGšXGTUGOGPVVTCPURQTV
GVHQTHCKVUQEKCNNGECUȌEJȌCPVšEQPVTKDWVKQP UQNKFCTKVȌ RQWT NŨCWVQPQOKGš EQVKUCtions retraite complémentaire.
&KDUJHV H[RQ«U«HV SRXU OHV HQWUHSULVHV GH SOXV GH VDODUL«V̭ cotisations patronales et salariales dues au
titre des assurances sociales et des allocations familiales.
&KDUJHV UHVWDQW GXHV̭ les cotisaVKQPU #6/2 CEEKFGPVU FW VTCXCKNOC-
NCFKGU RTQHGUUKQPPGNNGU CKPUK SWG EGTtaines cotisations conventionnelles.
5.
quel est le montant
du crédit d'impôts ?
.GETȌFKVFKORȖVUUȌNȋXGȃ̭͍SRXU
OD SUHPLªUH DQQ«H G̵XQH IRUPDWLRQ GH
QLYHDX ,,, RX LQI«ULHXUH %G OQPVCPV
RCUUGȃšŻFCPUEGTVCKPUECUPQtamment pour les apprentis reconnus
travailleurs handicapés.
6.
quelles sont les
aides de l'agefiph
concernant l'embauche
d'apprentis en situation
de handicap ?
.CKFGȃNCEQPENWUKQPFWEQPVTCVFCRRTGPVKUUCIGXCTKGFGšŻȃšŻ
.CKFG ȃ NC RȌTGPPKUCVKQP UWKVG CW
EQPVTCVFCRRTGPVKUUCIGXCTKGFGšŻ
ȃŻ
i
Renseignements auprès de
votre CMA (www.artisanat.fr)
et sur www.apprentissage.gouv.fr
RUBRIQUE RÉALISÉE PAR SAMORYA WILSON
Vos droits
© OLL
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OT
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Que faire en cas de litige
DYHFVRQH[SHUWFRPSWDEOH"
Partenaire essentiel de la petite entreprise, l’expert-comptable lui fournit une prestation large qui, outre la présentation
FGUEQORVGUGPINQDGIȌPȌTCNGOGPVFGUEQPUGKNULWTKFKSWGUƒUECWZGVƒPCPEKGTU%GVVGOKUUKQPȌNCTIKGRGWVȍVTGUQWTEG
de contentieux mais il existe des solutions pour les régler.
A
XCPV FG EQOOGPEGT UC RTGUVCVKQP NŨGZRGTVEQORVCDNG
HCKVUKIPGTWPGkNGVVTGFGOKUUKQPz au chef d’entreprise qui détaille le champ de ses interventions et ses
JQPQTCKTGUEQORVCDKNKVȌFȌENCTCVKQPUUQEKCNGUGVƒUECNGUDWN
letins de RCKGFWTȌGFWEQPVTCVOQFCNKVȌUFGTGPQWXGNNGOGPV
GVFGTȌUKNKCVKQPEQPFKVKQPUVCTKHCKTGUFGUCEVGURTCVKSWȌUGVE
Un premier moyen de RTȌXGPKTNGUUQWTEGUFGEQPVGPVKGWZGUV
de déterminer qui fait SWQK CWVTGOGPV FKV d'ȍVTG CVVGPVKH ȃ NC
TȌRCTVKVKQP FGU VȅEJGU GPVTG NŨGPVTGRTKUG GV NŨGZRGTVEQORVCDNG
%CT ce dernierCWPGQDNKICVKQPFGOQ[GPs et non de résultats
lorsqu’il s’agit de conseils additionnels qui ne relèvent pas de
NC RWTG EQORVCDKNKVȌ 5ŨCIKUUCPV FGU JQPQTCKTGU KN XCWV OKGWZ
opter pour un forfait ƒZGCƒPFŨȌXKVGTFGUUWTRTKUGU
Responsabilité de l’expert-comptable
.ŨGZRGTVEQORVCDNGPŨGUVRCUȃNŨCDTKd’une condamnation judiciaire lorsqu’il commet une faute. Le RNWUITQUFGUEQPVGPVKGWZ
RQTVGUWTUCTGURQPUCDKNKVȌEKXKNGSWKGPVTCȑPGFCXCPVCIGFGFKU
EWUUKQPUSWGUCTGURQPUCDKNKVȌRȌPCNG
HTCWFGWUCIGFGHCWZ
PQPTGURGEVFWUGETGVRTQHGUUKQPPGNGVE#KPUKNCTGURQPUCDK
NKVȌ EKXKNG FG NŨGZRGTVEQORVCDNG RGWV ȍVTG GPICIȌG GPcas de :
Tableau de bord
RGTVG FŨWP CXCPVCIG ƒUECN RQWT NŨGPVTGRTKUG FȌHCWV FG OKUG
en garde de l’employeur sur une erreur dans le contrat de travail
d’un salarié GTTGWTFCPUWPGFȌENCTCVKQPȃNŨ7TUUCH
GTTGWTFG
régime de TVA GTTGWTUWTNGDWNNGVKPFGRCKG
Ų
Règlement des litiges
Lorsque survient un désaccordil convient d’entamer au préCNCDNG WPG RTQEȌFWTG FG EQPEKNKCVKQP GP UCKUKUUCPV l’Ordre
FGUGZRGTVUEQORVCDNGUFGNCTȌIKQPRCTEQWTTKGT argumenté
et documenté. La procédure gratuite se met en place dans
NGUȃLQWTUCRTȋUTȌEGRVKQPFGNCFGOCPFGǨFȌHCWVFG
EQPEKNKCVKQPNŨGPVTGRTKUGRQWTTC alors se tourner vers un avocat
RQWTUCKUKTNGVTKDWPCNEQORȌVGPV2CTCKNNGWTUKNTGUVGVQWLQWTU
RQUUKDNGFGEJCPIGTFŨGZRGTVEQORVCDNGCXCPVSWGNGUEJQUGU
ne se dégradent.
23
(1) La mission de l’expert-comptable est réglementée par l’ordonnance n° 45-2138
du 19 septembre 1945, la loi du 8 août 1994, le décret n° 2012-432 du 30 mars 2012 et
récemment l'article 62 de la loi n° 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l’activité et
l’égalité des chances économiques (dite Loi Macron. (2) Cass.civ, 10 septembre 2014 n° 1323926. (3) Cass.com. 17 mars 2009 n° 07-20667. (4) CA Paris 12 mai 2004 n° 2004-257381.
(5) Cass.soc. 7 juillet 2010, n° 08-45139. (6) CA Lyon 31 janvier 2008 n° 2008-365753
FINANCE
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/LYUHWG˸ªSDUJQHG˸HQWUHSULVH/((
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SOCIAL
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PRIX
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CRTȋUGPLWKP'PNȌIȋTGJCWUUGUWTCP
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CWerVTKO
UWTWPCP
* Insee / ** Banque de France
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OCUS [ MÉTIER
Coiffure
Donner des perspectives
Elle est l’une des activités les plus représentatives de l’artisanat et du service à la personne. Forte de son dynamisme, la coiffure
TGXGPFKSWGUQPTȖNGOCLGWTCWUGKPFGNCUQEKȌVȌGORNQKHQTOCVKQPFGULGWPGUOCKNNCIGVGTTKVQTKCNGVNKGPUFGRTQZKOKVȌ
MÉLANIE KOCHERT
D
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24
GNCRTQHGUUKQPFGEQKHHGWT$GTPCTF5VCNVGTRQWTTCKV
Échanges, audit et Livre blanc
en RCTNGTFGUJGWTGU2CUUKQPPȌGPICIȌ« plein de
&CPUEGVȌNCPNŨ7nec a notammentCRRGNȌFGUGUXWZ
foi dans l’avenir de ce métier », le président de l’Union
NCTȌFCEVKQPFŨWP.KXTGDNCPE sur la formation au métier de
nationale des entreprises de cQKHHWTG 7nec
EQKHHGWTȌVCVFGUNKGWZXQNQPVȌGVOQ[GPUȃ
s’est engagé avec sa HȌFȌTCVKQP ȃ FȌHGPFTG
OGVVTGGPUCHCXGWT&GPQODTGWZ acteurs
UWTNŨGPUGODNGFWVGTTKVQKTGNGUKPVȌTȍVUde tous
et partenaires du monde de la coiffure ont
NGU EQKHHGWTU UCNQPU KPFȌRGPFCPVU HTCPEJKdŨQTGUGVFȌLȃȌVȌCWFKVKQPPȌUGVWPRTGOKGT
UȌUQWRTCVKSWCPVUȃFQOKEKNG%CTEŨGUVDKGP
état desNKGWZFGXTCKVȍVTGTGOKUCWIQWXGTsous toutes ces formes que les entreprises de
PGOGPVGPƒPFŨCPPȌG.
EQKHHWTGEQPVTKDWGPVCEVKXGOGPVȃNŨCPKOCVKQP
#ƒPFGTGPHQTEGTNGNKGPGPVTGNGUEQKHHGWTU
des EGPVTGUXKNNGU FGU \QPGU FG EQOOGTEG
ETȌGTFGUNKGWZFŨȌEJCPIGUGVFŨKPHQTOCVKQP
OCKUCWUUKȃNCvitalité du monde rural.
la fédération a également investi Internet.
« Avec 82 000 entreprises, nous représentons le
5KVGTGOKUȃPGWHQHHTGFGUGTXKEGLWTKFKSWG
deuxième secteur de l’artisanat en France »TCRCEVKXKVȌ UWT NGU TȌUGCWZ UQEKCWZ « Facepelle Bernard Stalter. /CNITȌWPGDCKUUGTGNCVKXG
book représente une véritable opportunité
de la fréquentation des salons et FWPQODTG
de se rassembler autour de thèmes forts :
$GTPCTF5VCNVGTRTȌUKFGPVFGNŨ7PGE
FG UCNCTKȌU EGU EKPS FGTPKȋTGU CPPȌGU « les
dialogue social, formation, vie artistique, évé« Nous souhaiterions l’établissement
d’une période transitoire de deux ans, sans
marques de son dynamisme sont partout ». Les
nements de l’Unec, mais aussi les concours
charges, pour toute entreprise employant
CEVKQPUȃOGVVTGGPWXTGRQWTNGTȌCHƒTOGT
qui mettent en valeur notre profession auprès
un jeune au sortir de l’apprentissage ».
UŨCXȋTGPVVQWVGHQKUPQODTGWUGU3WŨȃ cela ne
du grand public, comme la Coupe d’Europe de
VKGPPG&ȋUUQPCTTKXȌGȃNCVȍVGFG l’UnecGPOCKNG
coiffure, que Paris a l’honneur d’accueillir pour trois ans. ».
RTȌUKFGPVFGNC%/# d’Alsace a souhaité enfoncer le clou.
7PGXKVTKPGkOCFGKP(TCPEGzRQWTNŨCTVNGUQKPFWEJGXGWGVVQWVWPEQTRUFGOȌVKGTUSWŨKNUGTCKVDKGPKPWVKNG
FGDQWFGT
Mettre les coiffeurs en valeur
« Nous avons mené des réflexions très larges sur la manière
www.unec.fr
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de revaloriser notre métier et nos collaborateurs, et mis des
chantiers en cours. Nous nous concentrons notamment sur
les questions de temps partiel, de travail dominical et, bien sûr,
d’accès des jeunes à l’emploi. À ce titre, nous souhaiterions
l’établissement d’une période transitoire de deux ans, sans
charges, pour toute entreprise employant un jeune au sortir
de l’apprentissage. » 7P EQPVTCV ȃ SWK KPEKVGTCKV FCXCPVCIGȃNGUKPVȌITGTȃNGWTOGVVTGEGRKGFȃNŨȌVTKGTPȌEGUUCKTG
pour entrer dans le monde du travail. Et Bernard Stalter
d’insister : « La coiffure est un très beau métier, jeune, visible,
dynamique, fait d’échanges, qui peut se mettre en avant dans
des grandes manifestations. Il faut le positionner et lui donner
des perspectives ! »&ŨWPRQKPVFGXWGRNWUNCTIGȌICNGOGPV
« il est de notre devoir commun de participer à l’inversion de
la courbe du chômageEQPUKFȋTGNGRTȌUKFGPV Mais nous ne
pouvons pas le faire seuls. Nous devons travailler avec les ministères. Je mettrai, avec l’Unec, tout en œuvre en ce sens. Car
j’y crois profondément. »
IDFHERRNFRPXQHFRɝFLHO
LA COIFFURE EN FRANCE
❙ 2e secteur de l’artisanat
❙ + de 82 000 activités, dont 62 000 salons
et 20 000 prestataires à domicile
❙ + de 170 000 actifs, dont 99 500 salariés
❙ 10 000 élèves, 22 300 apprentis
et + de 3 000 contrats professionnels
❙XQUHQRXYHOOHPHQW«FRQRPLTXHLPSRUWDQW
+ de 9 000 nouveaux chefs d’entreprise en 2013,
dont plus de 1 500 repreneurs et 7 700 créateurs
❙ 6,2 milliards € GHFKLȥUHGȄDȥDLUHVDQQXHO
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p tions du livre II du Code de la mutualité, n° Si
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LE MONDE (DONT
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UNE CROISSANCE
ENTRE 10 ET 20 %…
PAOLO BENASSI ET
CRISTIANO SERENI,
CO-FONDATEURS
D’AMORINO,
dont le siège
est à Orly (94), SE
DÉFINISSENT COMME
DES « ARTISANS
GLACIERS À GRANDE
ÉCHELLE ».
À TRAVERS LEUR
QUÊTE INSATIABLE
DU GOÛT, ILS
VEULENT ÉDUQUER
LE CONSOMMATEUR.
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SOPHIE DE COURTIVRON
26
GLACES AMORINO
« Nous allons acheter
les ingrédients là où
ils sont les meilleurs »
« Il n’y avait pas de bonnes glaces
italiennes à Paris », assure Paolo
Benassi. C’est à partir de ce constat
qu’il a co-créé Amorino avec son
ami d’enfance (italienne) Cristiano
Sereni. « Il était entrepreneur et habitait à Paris ; de mon côté, bien que
diplômé en économie et en commerce,
j’ai appris le métier pendant un an et
demi, en Italie, auprès d’un artisan :
choix des matières premières, fabrication, vente… » Paolo se consacre à la
production, tandis que Cristiano s’occupe du développement, des franchises et de l’animation du réseau.
Une stratégie
d’ « emplacements »
« Dès la création, nous nous sommes concentrés sur nos emplacements. » La première
boutique était sur l’île Saint-Louis, à côté du
glacier Berthillon. « Notre concept a marché
donc, si ça marchait là, ça marcherait partout ;
nous avions déjà l’ambition d’être sur les axes
les plus passants. » La valeur ajoutée d’Amorino ? Le produit visible. « Dans un contexte
où les Français achètent surtout de la glace
industrielle, il faut tenter le client, lui donner
envie ; c’est un achat d’impulsion. » Dans
chaque magasin, la palette des parfums
accroche le regard, l’ambiance est chaleureuse, les matériaux nobles…
Chacun son rôle
L’exception italienne
à Paris
2002
La première
boutique Amorino
ouvre en juin à
Paris. Suivie par
une autre en
novembre.
De 2003 à 2005
Deux boutiques
par an ouvrent
leurs portes
à Paris.
Diversification des produits
Ingrédients de qualité
Il y a actuellement 24 parfums de glaces, sorbets
et sorbets bio. Il est aussi possible d’acheter de la
glace à emporter, dans un récipient (un litre, etc.) :
« Nous voulons éduquer les clients français qui
achètent habituellement de la glace industrielle ».
Depuis 2008, il y a un coin cafétéria (café, thé, choEQNCV EJCWF ECRRWEEKPQŲ .G EQKP ȌRKEGTKG ƒPG
propose des chocolats et des biscuits. « En hiver,
nous réduisons l’offre de glaces et accentuons celle
des chocolats », précise Paolo. En plus des glaces,
le client peut savourer gaufres, crêpes, foccacine
(pâtisseries italiennes). Et « nous venons de lancer
les macarons à la glace ! »
« Nous allons acheter les ingrédients là où ils sont
les meilleurs », insiste Paolo. Noisettes du Piémont,
agrumes de Sicile, mangue d’Inde, spéculoos de
Belgique… « Il y a 60 % de fruit dans chaque sorbet ! »
Tous les ans, la gamme s’enrichit d’au moins six
parfums ; « le citron vert-basilic a cartonné cet été… »
La création de nouveaux parfums est un travail
d’équipe (élaborer la recette, trouver les matières
premières…). « Nous avons du mal à trouver de bons
ingrédients. Nous voudrions faire de la glace au kaki
mais ne trouvons pas les bons fruits, pareil avec la
glace au pignon de pin… », déplore l’entrepreneur,
perfectionniste.
2006
Centralisation de
la production à
Ivry-sur-Seine (94)
pour une meilleure
maîtrise de la
qualité. Lancement
de la franchise.
De 2006 à 2010
Quatre à cinq
boutiques ouvrent
par an.
2010
Production
à Orly (94) ;
le laboratoire
(800 m2) emploie
40 personnes.
Une fabrication pointue
2013
Cap des
100 boutiques
franchi ; 10 à
15 boutiques
ouvrent par an.
2015
Peut-être bientôt
des boutiques
en Corée et
au Japon…
© DR
L’entreprise fabrique ses glaces
dans le respect de la tradition
italienne. « La glace est un produit
facile à faire, mais la faire bien est
compliqué ; l’équilibre eau-matières grasses (lait entier, œufs
fermiers biologiques, crème) et
UWETGGUVFKHƒEKNGȃIȌTGT.GUFKHférents sucres ont différents rôles :
pouvoir sucrant, anticongélant et
onctuosité. » Il n’y a aucun
CTȖOGCTVKƒEKGNPKEQNQTCPV
« Une des grandes différences
entre la glace industrielle et artiUCPCNG!.CSWCPVKVȌFŨCKTšWPNKVTG
de glace industrielle pèse 500 g
contre 900 g chez nous ! »
27
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IE D'ARTISANS
De l’atelier au cabinet
Les artisans experts
au rapport
Références dans leur profession, ces artisans ont choisi de mettre leurs compétences au service de la justice ou des
assurances. Dire la vérité, toute la vérité, est pour eux une question d’honneur. Dans l’ombre ou dans le prétoire, ils délivrent
NGWTCXKUVGEJPKSWGUWTFGUHCKVUCƒPFŨȌENCKTEKTWPGUKVWCVKQP+NUUQPVRCTHQKUCRRGNȌUVQWVGUCHHCKTGUEGUUCPVGUCWFȌVTKOGPV
FGNGWTCEVKXKVȌRQWTWPVGORUKPFȌƒPK/CKUUKEGTȖNGFŨGZRGTVGUVWPGEJCTIGKNGUVCWUUKWPVKVTGJQPQTKƒSWGRQWTUQP
détenteur, ainsi qu’un gage de qualité, de savoir-faire et de droiture auprès de la clientèle. Témoignages.
MARJOLAINE DESMARTIN
Ferydoun Kabiry, restaurateur de tapis et tapisseries
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28
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EG/GKNNGWT1WXTKGTFG(TCPEGFQPVNCUQEKȌVȌ
4GPCKUUCPEG FW 6CRKU .KOQIGU GUV NCDGNNKUȌG
'PVTGRTKUG FW 2CVTKOQKPG 8KXCPV C WP UCXQKTHCKTG
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www.kabiry.com
RTȌEKGWZFQPVKNHCKVRTQƒVGTCUUWTCPEGURCTVKEWNKGTU
et entreprises. « Je réalise parfois plusieurs centaines
d’expertises dans l’année. » L’artisan est également
GZRGTVCWRTȋUFGNCEQWTFŨCRRGNFG.KOQIGUFGRWKU
janvier 2000. « À partir du moment où j’ai été inscrit
sur la liste, un juge peut demander mon avis technique
en cas de litige. » &CPU NC TȌCNKVȌ NG FQOCKPG FG
EQORȌVGPEGFG(GT[FQWP-CDKT[PGNŨCGPEQTGLCOCKU
EQPFWKV FCPU NGU EQWNQKTU FŨWP VTKDWPCN 'V RQWT
cause : « Très souvent, les parties préfèrent trouver un
compromis que d’aller en justice ».
/CNITȌVQWVȃNŨKUUWGFGUCRȌTKQFGRTQDCVQKTGFGVTQKU
CPU NŨCTVKUCP GZRGTV C Fț TGPQWXGNGT GV LWUVKƒGT UQP
inscription. « J’ai recensé les travaux effectués pendant
cette période et attesté avoir suivi des formations
juridiques. » 5ŨKPUETKTG FCPU NC FWTȌG EQOOG GZRGTV
LWFKEKCKTG GUV KORQTVCPV RQWT (GT[FQWP -CDKT[
« Comme pour les objets d’art, le secteur des tapis et
tapisseries nécessite de mettre les gens, les clients, en
FRQͧDQFH}
LES CONSEILS de Jean-François Jacob, conseiller du président du CNCEJ*
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VTȋUURȌEKƒSWGŤCXCPVFGRTȌUGPVGTUCECPFKFCVWTGȃNCHQPEVKQPFŨGZRGTVLWFKEKCKTGGVPGRCUUGFȌEQWTCIGTCWRTGOKGTTGHWU
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TGPUGKIPGTCWRTȋUFGUEQORCIPKGUFŨGZRGTVUSWKQPVVQWVGUWPUGTXKEGFGIRUPDWLRQSURFªGXUDOH.
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inscription : GRQQHUVRQDYLVHQVRQKRQQHXUHWVDFRQVFLHQFH.
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VIE D'ARTISANS [ LES ARTISANS EXPERTS AU RAPPORT
Sylvie Fouanon, restauratrice de pianos
« Donner ses compétences à la justice »
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FGULWUVKEKCDNGURQWTȌOGVVTGWPCXKUVGEJPKSWGSWK
UŨKNPGUŨKORQUGRCUCWLWIGGUVFȌVGTOKPCPV « Nous
devons être impartiaux. Dire le probablement vrai et le
certainement faux. » La restauratrice s’est familiarisée avec la sphère judiciaire : m1RXV E«Q«ͧFLRQV GH
formations, mais cela reste très compliqué. De nomEUHXVHVSHUVRQQHVY«ULͧHQWFHTXHO̸RQIDLW6DQVFRPSter que notre expertise nous engage pour longtemps ».
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« Dès qu’on vous appelle, il faut se rendre disponible. La
justice prend le dessus sur le travail. » Malgré toutes
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www.pianos.fr
NGU EQPVTCKPVGU KPJȌTGPVGU ȃ EGVVG HQPEVKQP 5[NXKG
(QWCPQP[GUVCVVCEJȌG « C’est un titre, une position,
qui rejaillit favorablement sur notre activité. » La restauTCVTKEGCHCKVFGUȌOWNGUUCUWT%NCKTG)KWKQTICF\Ȍ
spécialisée dans la restauration de monuments hisVQTKSWGUCȌVȌKPUETKVGCWVCDNGCWFGUGZRGTVU
auprès de la cour d’appel de Paris.
29
Jean Paulignan, bijoutier-joaillier
« Une démarche presque philanthropique »
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GUV GZRGTV LWFKEKCKTG CWRTȋU FG NC EQWT FŨCRRGN FG
/QPVRGNNKGTFGRWKU « Mon premier cas concernait
une malfaçon sur des fontes. » Malgré une année de
droit et la présidence du conseil des prud’hommes de
2GTRKIPCP,GCP2CWNKIPCPTGEQPPCȑVXQNQPVKGTUSWGNC
HQPEVKQPFŨGZRGTVLWFKEKCKTGRGWVȍVTGKPVKOKFCPVG« On a
peur de se tromper. » 'PCPUNŨCTVKUCPGUVKPVGTXGPW
UWT WPG XKPIVCKPG FG ECUŲ FQPV WP GP 2TKPEKRCWVȌ FG
Monaco. « Il s’agissait aussi de malfaçons, mais les
sommes en jeu étaient considérables : des centaines
de milliers d’euros. » Jean Paulignan met un point
FŨJQPPGWTȃGHHGEVWGTUGUGZRGTVKUGUOKPWVKGWUGOGPV
leur consacrant le temps nécessaire. « Ça occupe,
mais les avantages sont certains. Pour le public, un
expert est un homme qui connaît tout. J’ai aussi la
satisfaction d’aider les magistrats à résoudre certaines
affaires. »
&GRWKU NŨCTVKUCP GUV ȌICNGOGPV CUUGUUGWT FG NC
%QOOKUUKQP FG EQPEKNKCVKQP GV FŨGZRGTVKUG FQWCPKȋTG
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www.bijou
paulignan.com
Il a été sollicité sur une quinzaine de cas. « J’habite
à proximité de la frontière espagnole et il peut y avoir
SDV PDO GH WUDͧF QRWDPPHQW GH ELMRX[ 0RQ U¶OH HVW
d’évaluer les pièces que les douaniers me soumettent. »
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PINION
« Une démarche
de design bien
menée doit rendre
l’artisan plus
créatif »
L’APCI
%TȌȌGGPO˸$JHQFHSRXUOD
SURPRWLRQGHODFUªDWLRQLQGXVWULHOOH
est une association reconnue d’intérêt
Anne-Marie Boutin
général qui valorise le design comme
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ȌNȌOGPVENȌFGNŨKPPQXCVKQPȌEQPQOKSWG
)RQGDWULFHHWSUªVLGHQWH
GHO˸$JHQFHSRXUODSURPRWLRQ
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ainsi /˸2EVHUYHXUGXGHVLJQTMRTKZ
KPVGTPCVKQPCNGOGPVTGEQPPWXKVTKPG
FGNŨKPPQXCVKQPGVFGNCETȌCVKXKVȌkȃNC
Convaincue de la nécessité pour les artisans de se moderniser
tout en préservant leur savoir-faire, de développer leur créativité
et de valoriser l’image de leur métier, Anne-Marie Boutin croit
GPNŨKPVȌTȍVFWFGUKIPRQWTNGUCKFGTFCPUEGVVGFȌOCTEJG
30
HTCPȊCKUGzGVNG)RUXP'HVLJQPRGH
G˸HPSORLTM pour l’insertion des jeunes
professionnels du design. Sous la
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GNNGRCTVKEKRGCWZITCPFUȌXȌPGOGPVU
PROPOS RECUEILLIS PAR BARBARA COLAS
KPVGTPCVKQPCWZFWFGUKIP'NNGOȋPG
ȌICNGOGPVFGURTQLGVURKNQVGUGP'WTQRG
LMA : Quel peut être l’apport
du design pour le secteur ?
$QQH0DULH%RXWLQ Les études
OQPVTGPVSWGSWGNUSWGUQKGPVNGWTVCKNNG
et leur secteurFŨCEVKXKVȌNGUGPVTGRTKUGU
qui ont intégré le design sont plus innoXCPVGUNCETQKUUCPEGFGNGWTEJKHHTGFŨCHfaires plus TCRKFG NGWT FȌXGNQRRGOGPV
ȃ NŨGZRQTV ȌICNGOGPV GV GNNGU TGDQPdissent plus vite après les périodes de
ETKUG %ŨGUV XTCK des entreprises artisanales. Parce queNGFGUKIPGTQDUGTXGNGU
usages desEQPUQOOCVGWTUKNRGWVCKFGTNŨCTVKUCPȃHCKTGȌXQNWGTUGU produits
GVUGTXKEGURCTHQKUGPTWRVWTGCXGENGU
pratiques du secteur. En apportant son
regard sur le savoir-faire deNŨCTVKUCPNG
FGUKIPGTNŨCKFGȃNGHCKTGȌXQNWGT tout en
RTȌUGTXCPVEGSWŨKNCFGURȌEKƒSWG&GU
ƒNKȋTGU OGPCEȌGU TGXKUKVGPV CXGE FGU
designers leur savoir-faire traditionnel
ITȅEG ȃ FG PQWXGCWZ OCVȌTKCWZ QW FG
nouvelles technologies. D’autres enrichissent leur offre en proposant des
services ou produits d’accompagneOGPVUWIIȌTCPVFGPQWXGCWZWUCIGU
LMA : À quels autres
pans de l’entreprise
le designer peut-il
s’intéresser ?
$0%Par le regard qu’il porte sur le
OȌVKGTNGFGUKIPGTRGWVHCKTGȌXQNWGTNGU
OȌVJQFGUNGUQWVKNU5CEQPPCKUUCPEG
d’autres métiers lui permet de faire des
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ȃNCOQFKƒECVKQPFGNŨKOCIGFGNŨCTVKUCP
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les artisans sont de plus en plus senUKDNGUȃNCPȌEGUUKVȌRQWTXCNQTKUGTNGWT
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FG VTCXCKN FG NGWTU EQNNCDQTCVGWTU +NU
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FGVTCXCKNGVFGNGWTUQWVKNUEQOOGFGU
EKUGCWZ GTIQPQOKSWGU RQWT EQKHHGWTU
des compas professionnels de préciUKQPRQWTVCKNNGWTUFGRKGTTGOGPWKUKGTU
EJCTRGPVKGTU NWVJKGTU FG RQWUUGDQTniers pour les électriciens ou encore de
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www.apci.asso.fr
LMA : Comment l’artisan
peut-il intégrer le design
dans son entreprise ?
$0%Il ne s’agit pas de faire intervenir
le design partout de manière massive. Le
EJQKZFWRȌTKOȋVTGFGNŨKPVGTXGPVKQPGVFG
son moment est important car le design
doit s’intégrer harmonieusement dans
NGURTQEGUUWUOKUGPWXTGRCTNŨCTVKUCP
surtout si l’entreprise pratique le travail
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menée doit rendre l’artisan plus créatif.
On est loin de l’idée que le designer apRQTVGUCETȌCVKQPȃWPCTVKUCPTȌFWKVCW
TȖNGFŨGZȌEWVCPVЏ.CSWCNKVȌFGNCTGNCVKQP
artisan/designer est donc primordiale.
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se faire aider par un organisme de proOQVKQPFWFGUKIPWPGQTICPKUCVKQPRTQHGUUKQPPGNNGWPGEJCODTGFGOȌVKGTUQW
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Monde des artisans d`octobre 2015

Transcription

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