linux - Amigaland.com

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linux - Amigaland.com
A
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R
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V
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ja n v ie r 1999 - n°58
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
RedHat 5.2 :
Que vaut la plus
populaire d is
d istrib u tio n s Linux ?
Stations Alpha :
Les bons plans pour
les o b te n ir à bas prix
379230603900200580
linux
Dém arrez
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sont en HTC
et port compris
1 Livraison sous
48/72 h.
UNUX
Linux
O ffice S u ite
r
3 co -ro m
M N IS
DISPLAY
1SERVER
FrecBSD 2^.8 (Walnut Creek) 12/98________
Complété freeBSD (Livre 1725 p. + CD'sl US
unux
Linux MNIS 09/98 (basé sur Debia
noyau 2.0.35. 3 CD'sl
210
Linux S.U.S.E. 5.3 vers. Fr (avec su
^Installation en France)
335
2
Linux Snapshot 5.3 (S.oS.E.)
190
Acceleraled-X
Linux Officiel Red Hat 5.2 (Intel) F
Linux Official Red Hat 5.2 (Intel)
Linux
O li- lin e
Linux Red Hat PowerTools 5.2
Linux Official Red Hat 5.2 (Alpha)
Linux Officiai Red Hat 5.2 (Spart)
Extreme.Linux (Red Hat)
Linux Off-Line (Red Hat)
jÇ . ;
Linux Variety Pack (Red Hat) .
jjjj.
.
Linux Rough Cuts (Red Hat)
C ./ _________
- *__________________
-H?
Linux Library vers. 5 (Red Hat) Documentation__________________
Caldera Open Linux Base 1.3 Fr dr US f+ StarOffice 4.0+DRDQS 7.02'
Linux Archives (InfoMagic) 06/98
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
»
UNUX
Linux Slackware 3.6 (Walnut Creek) 11/98
Linux Debian 2.0 Tmanuel (Linux Press)_________________________
25a
T u rb o U n u x
Turbo Unux f<tr PowerPC -support C3- (Pacific HiTech)__________
L IN U X :
P o w erP C
MkLinux DR 3 + livré 332 p. (Prime Time Freeware)_____________
Real Time Linux (04/98) MNIS
S LA C K W A R E
Ada 11/98 (Walnut Creek)__________' -
-
DICPP Development System 08/98 (Walnut C
IllS Y S ïl-lM J
CICA 32 W95/ NT 08/98 (Walnut Creek)
Son et lm<iges sous Linux 'O'Rellly" (450 p.) (FR)
230
Hobbes OS/2 04/98 (Walnut CreekV
Introduction à Perl "O'Reilly (334 p.) (FR)
230
Simtel MS-DOS 03/98 (Walnut Creekl
Unux Dev ces Drivers "O'Reilly" (442 p.) (US)
265
pratique "O'Reilly" (436 p.) (FR)
230
collections O'Rellly sur commande FR/US
WinFiles.com 06/98 (InfoMaolcl
LINUX
INANUTSHELL
et bien d'autres titres...
Cyreiles" (404 pages! FR___________________________ 215
t" (2019 p.l US
365
Maximum RPM "Red Hat" (442 p.) US
COMPLETE
ÇO M M AN D
$
REFEREN C E
A p p l i c a t io n s
260
Graphisme
xL
DoctorUnux6thEdition (1631 p.) US
310
SambaIntegratingUnix/Windows(300p. + CD) SSC ________________ 285
4
BON DE COMMANDE A retourner à MCD2 Diffusion
'~:nCT*WT> » i
72, quai des Carrières 94220 Charenton / Tél. 0156 29 23 00 / Fax. 01 56 29 23 01
□ Je suis in té re ssé (e) par
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et désire recevoir une d o cu m en ta tio n .
au prix d e _________________ F ttc
au prix d e __________________ Fttc
au prix d e __________________ Ft t c
Total
Fttc
unique
Nom
Société
% • £ * . ’*wÊ Ê ê ê M
_____________________ 320
Linux Complété ComtnaridReference "RedHat" (1500 p.) US
,
Prénom
Adresse
I I Je règle par chèque à l'ordre de MCD2 Diffusion
i I Je règle par Carte Bancaire en reportant son n° ci-dessous
h t t p :/ / w w w .m c d 2 - d iff .f r
email : [email protected]
exp ire :
•
Bonne et heureuse année à
tous. Autant dire qu'elle
commence sur les chapeaux
de roues pour la micro
alternative. De tous bords,
on trouve des acteurs dont le
procès Microsoft a attisé la
hargne. Ainsi, avec son
nouveau slogan "Une
nouvelle année, une nouvelle
révolution", Apple frappe où
ça fait le plus m al. le jeu. Les
machines les plus puissantes
(C3 à 400 MHz, ATI Rage
128...), les plus fun (toutes
les technologies, tous les
coloris), les plus "jeu" (Quake
3 en exclusivité, adaptation
de tous les titres du
moment, compatibilité
Playstation), les plus "Unix
convivial" (le MacOS X est
là I) le prouvent. Amiga en
avait rêvé et c'est Apple qui
l'a fait. De son côté, Linux
rafle le reste avec plus ou
moins de bonheur. Selon le
bilan 1998, il réalise la plus
forte progression des "ventes"
d'OS pour serveurs, au nez
et à la barbe de Windows
NT. Et cela ne s'arrête pas
là . Corel lance une nouvelle
machine bureautique à 4000
francs. Rapide et stable, elle
est construite autour d'un
StrongArm et d'une
distribution RedHat. Et le pire
dans tout cela; c'est que
Microsoft ne réagit même
pas. Y aurait-il un problème
de multitâche ?
Sommaire
Labo
CD-Rom - page 4
Courant alternatif - page 6
m u u
32. RedH at 5.2
36. D raw Stu d io
38. S ta r O ffice
4 0 . C yb er G rap h X
Kgoodstuff/Rocks & Diamonds
42. A dam
44. Inlib
Nouvelles m achines, coloris inédits,
4 6 . A rk eïa
compatibilité Playstation, accord avec
4 7 . V M 1 2 0 0 /T h e Scene A rch ive
tous les éditeurs de jeux et... l'exclusi­
4 8 . D e lta n e t/lm a g e M aster
vité de Quake 3 : Arena ! C'est clair, la
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révolution M acintosh est bel et bien
# Découverte
arrivée ! Le N etW inder, la m achine
50. X -W in d o w
entièrem ent alternative, part à l'as­
52. VNC
sa u t de la b u r e a u tiq u e . Les v iru s
# En Pratique
reviennent sur Amiga...
54. A m iga
® Sondage - page 21
56. RiscOS
Q ue pensez-vous de D ream ? Voici
58. A lp ha
enfin l'occasion de to u t nous dire,
60. O S/2
nous rep ro ch er ou nous conseiller,
pour que nous puissions vous offrir
un m agazine toujours meilleur.
66. O bjet
___ >
■
.
k
;
68. Perl
70. C
7 2 . Java
j
H
IL
\
.
62. W eb
# Programmation
Dossier - page 24
.i
# Approfondir
74. BeOS
76. B litz Basic
# Forum
•æ -3ùt
Mais à quoi sert Linux, à part à faire
79. C o u rrie r
80. PA
to u rn er des sites W eb ? Y a-t-il un
é q u iv a le n t de S u p e rM e g a 3 D ? Le
linuxien d éb u tan t se pose toujours
Abonnem ent P.81
ces questions. Dream tente ce moisci d'y répondre.
Dream's bootik P.82
C D
Spécial 3D sous Linux !
Linux comme plate­
forme privilégiée pour la
création 3D ? Cette idée
n'est pas réellement
neuve... à l'époque les
créateurs des effets
spéciaux de Titanic
avaient compris la
puissance de ce
système. Pour faire écho
ào notre dossier' voici
donc un CD spécial
applications 3D, avec
les meilleurs logiciels du
moment : Blender,
Moonlight Creator
MindsEye... En ce qui
concerne les autres
systèmes nous
poursuivons nos
grandes compilations
les jeux pour BeOS, les
pilotes pour AmigaOS,
les démos pour TOS...
c i.
E lle
Linux passe définitivement dans la catégorie
ftm p /ro o d .3 dom
Edi*.
Qndnl
jylp
‘• -J /M ^ n k o t
U txa rie s
tC ofor filters
>
C hfo m a ticfe s
tS u rfaces
:•
M aterials
t 9 W orld
^TheCone
,
*T a fe l
» ffLarno
ouder
§d»HM
eddamp
jM u u r l
jM u u r ë
du système familial. Exit le système u n iq u e ­
m ent destiné à faire office de serveur W eb
fiable. Après la bureautique, c'est au tour de
la c ré a tio n 3D de se d é m o c ra tis e r so u s
form e de logiciel libre. Vous côtoierez sur le
C D les plus grands noms des logiciels 3D
sous Linux. Au programme notamment, les
d é so rm a is cé lè b re s M o o n lig h t C rea tor et
,;
F ile
R a d ia n c e
R e rtd ering
Ray T r s c l n g
C -asw a
Debug
;
Blender dans leurs dernières versions, ainsi
que l'étoile m ontante M indseye. Toutefois,
vous tro u ve rez é g alem en t d'autres in c o n ­
,
tournables, tels que Renderpark, Gl-Space ou
encore Sceda, évolution de Sced.
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Virtual Network
Com puting
A l'h o n n e u r é g a le m e n t ce m o is-ci, vous
d é c o u v rire z le fa m e u x VNC p ré sen té en
détails dans la rubrique Découverte du maga­
zine que vous tenez entre les m ains. VNC
fonctionne sur le principe du client-serveur
fin, qui permet d'utiliser une machine à dis­
tance, et ce quel que soit (presque) le systè­
m e. Ainsi, depuis votre PC sous Linux par
e xe m p le , vous p o u rre z p ro fite r de vo tre
RiscPc connecté au réseau.
Les variations abondent, à
condition de disposer des
clients et serveurs adéquats.
Sur le CD, vous hériterez de
c lie n ts et se rv e u rs p o u r
Linux, Windows, OS/2, Mac,
Risc Os et de parties clientes
pour Amiga et BeOs.
t r a ’.T - ' n i - r ' v
le
I
V s.
i—
4P
y*
(!
Xfree86 version 3.3.3
XFree86
Project, Inc
^
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^
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^
§ + 0 /^
A
La toute dernière version du ser­
veur X pour Linux apporte son
lo t de n o u v e a u t é s . E n tre
autres corrections de bugs et
amél i orati ons de la sécurité, le
p|us jm p0rtant est certainem ent
le s u p p o rt de n o m b re u s e s p u ce s
graphiques récentes, comme
ARCHI VIT
les Rendition, Cyrix M ediaGX, Matrox
linux
1E3
ARCHI
VIT
h ttp ://w w w .a rc h i-v it.c o m
A T R A v e T ^ S L 'E R E
DES EXEMPLES
Config
0
—
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SI LVER
7500 F TTC
CD
1
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(Possibilité d'extension de garantie)
CL
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ARCHI VIT : \C o n f ig\GOLD
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S ’â s
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C tD- 0
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C w
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ü!
Pentium I I 350 Mhz
128 Mo Sdram 100 Mhz
Hd 8,4 Go
G 200 Matrox 8 Mo
Ecran 17"
Sound Blaster 64 PCI
Boitier medium tour ATX
Clavier PS2 / Souris Logitech
HP lOOw (+caisson basse)
— G . GOLD
12690 F TTC
(Possibilité d'extension de garantie)
ü ).> c
^ — o
(fi
—
AMD K6 I I 350 Mhz
64 Mo Sdram 100 Mhz
Hd 6,4 Go
G 100 Matrox 4 Mo
Ecran 15"
Sound Blaster 64 PCI
Boitier mini tour ATX
Clavier PS2 / Souris Logitech
HP 50w
également été améliorés et supportent encore plus de composants.
(0
IN F O R M A T I6 2 J A 5
ARCHI VIT : \ C o n f ig \S IL V E R
% ARCHI VIT
CL
T el: 04 75 49 24 83
F ax : 04 75 49 26 05
archi-vit@ archi-vit.com
V O T R .B
G100/G200, NeoMagic, ou encore Riva TN T. Les serveurs Mach64 ont
O Le Teil
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Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ARCHI VIT : \ C o n f ig\PLATINUM
® P <0
® c
Répertoire Linux
La 3D et la dernière version de Xfree ne vous suffisent pas ? Alors,
retrouvez également diverses applications, de la bureautique à l'ad­
ministration en passant par les dernières versions de Egcs et Tcl/tk,
qui raviront sans aucun doute les program m eurs, sans oublier la
plus récente version de Xemacs !
Le CD contient également toute les cartes des Etats-Unis pour le jeu
Flight Gear Flight Simulator, offert sur le C D du mois dernier.
Répertoire Amiga
Les heureux acheteurs des précédents num éros de Dream ayant ins­
tallé les versions de Linux fournies avec le journal seront heureux de
profiter des derniers noyaux conçus pour leur nouveau système.
ll- s
E C E
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g -g »
(0
° - B3
D (fi
^ 05,0
Pentium I I 450 Mhz
256 Mo Sdram 100 Mhz
Contrôleur 2940UW Adaptec
Hd ultra Wide Scsi 9 Go
G 200 Matrox 8 Mo
Ecran 19"
Sound Blaster 64 PCI
Boitier maxi tour ATX
Clavier PS2 / Souris Logitech
HP 150w (+caisson basse)
L—O P LA T IN U M
23700 F TTC
(Possibilité d’extension de garantie)
VENEZ CONSULTER
NOTRE
SITE INTERNET
En plus des traditionnels outils bureautiques ou de co nnexio n à
Internet, vous apprécierez la présence des pilotes de scanners et
4 Go 6 Go 8 Go
^ H d d
de trente-huit Mo de jeux et de démos vous sont proposés.
—D isque d u r
Répertoire BeOS
Rien de tel que des jeux pour se remettre des fêtes. Voici une sélec­
- Partition L IN U X
tion des meilleurs freewares pour BeOs. Et com m e le son im porte
- M AN DRAKE
'«.«..•S**.**
i
d'imprimantes les plus récents. Et pour bien débuter l'année, plus
1175 F TTC
Répertoire Atari
Plongez dans le spectaculaire avec les dernières dém os pour Falcon
et St. Et comme tout évolue, les derniers pilotes pour Falcon sont
- W ord P erfect 8
* § Log iciels
m 79 F TTC
également au rendez-vous.
Répertoire Os/2
L'actualité s'avère chargée, ce qui explique l'irruption de nom breux
i
1530 F TTC
pour ce type de produit, le CD accueille aussi les drivers des cartes
sonTurtle Beach's Multisound et Pinnacle Fiji.
i '
1320 F TTC
Participation au frais de port de 12 F
M ANDRAKE
utilitaires. Par conséquent, une m ultitude de serveurs HTTP et de
drivers se côtoient sur la galette argentée.
Répertoire Risc Os
Familiarisez-vous encore ce mois-ci avec des centaines de dém os
WordPerfect o
CO R F ?
P«n»orMi<
500 F TTC
♦ Participation au frais de port de 12 F
(Personnal édition Linux)
commerciales.
Power Pack
330 F TTC
♦ Participation au frais de port de 15 F
PLATE-FORME
StrongArm + Linux : le
futur ordinateur de bureau ?
S-T
ne m a ch in e de bureau altern ative ? C 'est
constructeur, à savoir N cO S (une version allégée de RiscOS).
possible ! Et le canad ien C orel C o m p u te r
N etW inder. Attendu pour les sem aines à venir, le
De l'a d m in istra tif au bidouilleur
M êm e si Corel C om p uter tourne toute sa cam pagne marketing
autour de la cible bureautique, il n'en com m ercialise pas moins
N etW inder sera un ordinateur axé sur le processeur
quatre versions différentes, allant du serveur (m odèle GS) au ter­
StrongArm et une carte m ère réduite (intégrant les
minal (m odèle LC ), en passant par la m achine qui se suffit à elle-
( f ilia le
I
de
C o r e l)
le
p ro u v e
avec
le
contrôleurs graphique, sonore, disques et réseau).
m ê m e
C o m m ercialisé a u x alentours des 4 0 0 0 francs, il
(modèle
sera im m édiatem ent utilisable : Linux et son interface graphique
W S )
KDE seront pré-installés, ainsi que Netscape Comm unicator 4 .5 et
celle qui se
la suite b u reautiq ue W ordPerfect (de C o re l, ju ste m e n t). Et Ron
destine
I« '
et
M cN ab , vice-Président de C orel C o m p u te r, de se m o n tre r fort
aux d éve­
enthousiaste au sujet de ce produit : "Nous souhaitons devenir la
lo p p e u r s
marque leader du m onde Linux. Nous voulons faire pousser ce m ar­
(m o d è le
ché et en faire un sta n d a rd p o u r les plates-form es bureautiques".
D M ). Dans
Conséquence évidente de la dém ocratisation de Linux, convertir
to u s
les
la
le systèm e en une offre m onoposte remue pas mal d'idées précon­
cas,
çu es c h e z les s p é c ia lis te s de ce s y s tè m e . C h e z C a ld e ra , p ar
c o n fig u ra ­
exem ple, on avoue : "Nous avons toujours vu Linux comme un pro­
tio n m a té ­
duit destiné aux serveurs. Nous n'avons pas cherché à en faire une
r ie lle
solution à la Windows" Plus adm iratif, Bob Young, le Président de
e x a c t e ­
e st
Y o i i r C o m m e n t» A r c W r l c o u ir
CO fd W ordPtrftcl * for UN IX « u deosjjcO to bdp you
accutaphih rcal-woild i i * i i Rgbt froni dvc clcsiJop If
you r v o bavt a «ifççraJjon aboti C o rd WofdTcrftcl ”
o* *bout onc of oar pnxiacti. pJc*sc fcd frtc to contact
u l W t seutaudy apf*e<Mtc y ou» commenta.
s C2Z2*
Okmmi dc» ‘itmt, twr ■■■
r* wt
> 0 O «to« 7
il ^
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‘*9
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
P ou r en fin ir avec les austères de bureau.
RedHat Software In c., déclare : "En fait, avec la distribution RedHat
m ent la m êm e ; seule l'offre logicielle change. La famille compte
5 .2 , nous avions plutôt l'intention de répandre Linux sur les machines
cep end ant un cinquièm e rejeton, le N etw inder "RM", physique­
de bureau pour arriver à percer, petit à petit, le m arché des serveurs ".
m ent différent de ses petits frères. Déguisé sous forme de rack, le
Une belle bête de course
Le N etW inder se présente sous la form e d'une toute petite m achi­
ne (l'alim entation est externe) verticale au style original et dont les
couleurs rappellent un peu celles de l'iM ac, mais en plus sobres.
m odèle "RM" dispose du serveur Apache préconfiguré (version
dom aines et se destine bien évidem m ent aux fournisseurs d'accès
Sa carte mère est constituée d'un m icroprocesseur StrongArm 110
Internet ou Intranet.
1.3.3), peut traiter cent cinquante connexions en sim ultané, offre
le sup port d'une m ultitude d'adresses IP ainsi que de noms de
à 275 M Hz (soit une puissance de 250 M ips), de quatre supports
En ce qui concerne le systèm e, il s’agira d'une RedHat standard
Sim m s pouvant accueillir jusqu'à 128 Mo de Ram, d'un contrôleur
qui sera pré-installée avec l'environnem ent KDE. Le tout se verra
IDE sur lequel est relié d'origine un disque d ur 2 ,5 pouces de 810
agrém enté de quelques outils que Corel a spécialem ent dévelop­
Mo (le 2,5 pouces constitue une taille standard pour les disques
pés pour sim plifier à l’extrêm e la configuration de la m achine et
durs d'ordinateurs portables), d'une Flash Ram de 1 à 4 Mo dans
du réseau.
laquelle se trouve toute la logique du systèm e, d'un com posant
Lin u x su r A rm , enfin concevable !
Fonctionnant sous un système gratuit (Linux) et avec l'un des pro­
cesseurs ayant le m eilleur rapport perform ances/prix, l'intérêt du
g ra p h iq u e a v e c 2 M o de Ram v id é o ( 8 0 0 x 6 0 0 en 2 4 b its ,
1 0 2 4 x7 6 8 en 16 bits et 1 6 0 0 x 1 2 8 0 en 8 bits), d'une puce sonore
16 bits (44,1 KHz, qualité C D ) et d'un com posant d'entrée/sortie
NetW inder est bien évidem m ent économ ique. Mais il y a plusieurs
qui co ntrôle le cla vier, la souris (tous d eux en P S /2 ), les ports
autres m oyens de fo n ctio n n e r sous un U n ix g ra tu it avec une
parallèle, série et IrDa, ainsi que les connecteurs réseaux. Ceux-ci
m achine de technologie Arm, donc toujours peu chère. Il y a tout
so n t au n o m b re de tro is : un E th e rn e t 1 0 B a se T , un Eth e rn e t
d'abord la Cats, station de Chaltech (w w w .ch a lte ch .co m ) repo­
10/IO O BaseT et un port EPP/ECP. A noter que le N etW inder per­
sant sur un StrongArm avec 64 Mo de SDRam , une carte S3 Virge
m et directem ent de digitaliser de la vidéo et du son, grâce à deux
(4 M o), une carte Ethernet, un lecteur de C D 3 2 x, 6 Go de disque
prises dédiées, situées à l'arrière de son boîtier (un cinch pour la
dur et BSD installé, le tout pour moins de 7500 francs. D'autre
vidéo, un jack pour l'audio), et qu'il peut se contenter d'un écran
part, on peut trouver depuis quelques sem aines une adaptation
Pal/N tsc pour restituer son im age (la puce grap hiq ue s'arrange
gratuite de la dernière distribution Debian pour tout RiscPC à base
afin que le résultat reste im peccable). Enfin, il y a m oyen de relier
de StrongArm (w w w .debian.org/ports/arm /). Toutefois, le projet
un lecteur de cartouche (Z ip , Jaz, e tc.) ou de CD-Rom à l'appareil,
le plus fou est certainem ent celui qui vise à installer Linux sur un
en passant par son port parallèle. On l'aura deviné : le NetW inder
ordinateur de poche estam p illé... "W indow s CE" ! Bien évidem ­
est plus qu'un sim ple cousin du Concord d'Acorn. A la différence
m ent, c'est une idée de Debian !
que celu i-ci devra fo n c tio n n e r sous le systèm e de son propre
• W a rp S erv er 5 .0 so rt de
sa b êta
SCIENCE
Intel au service du voyage d ans
l'espace
Ce n'est pas une
s 'é c h a p p e n t d e s c ir c u it s . C e p e n d a n t , e lle
n o u v e a u té : les
im p liq u e une co n tra in te : une co n so m m a tio n
m ic r o p r o c e s -
de co u ran t excessive pour les batteries lim itées
seurs ont le mal
d'un engin spatial. Q uestio nné à ce sujet, Dan
de
G o ld in
l'e s p a c e .
ré to rq u e
p ro c e sse u r
R is c
(P o w e rP C , A rm , e tc .) au rait e ffe ctiv e m e n t été
face de la T e rre ,
p lu s a d a p t é , m a is a u r a it é g a le m e n t c o û té
le s
beaucoup plus ch er en d éve lo p p em e n t. Eh oui,
co m p o san t
é le c t r o n iq u e s
il y a une ruse : le Pentium de la Nasa sera p hy­
so nt
siq u e m e n t
en
e ff e t
co m p a tib le avec celui des PC , ce
à
des
qui
r a d ia t io n s
qui
é g a le m e n t a u x
p e r tu r b e n t le u r
in g é n ie u r s de
s o u m is
p e rm e ttra
bon fo n c tio n n e ­
l'entourer
m ent. De fait, la
.
,
,
recherche en cal­
tech n o lo g ie s lar­
culateurs capables de résister aux divers rayo n­
dues et très peu
nements stellaires est un v é r it a b le g o u ffre
c o û te u s e s . A ve c
financier pour la N asa. Et, a u jo u rd 'h u i, les
un P o w e rP C ou
Debout devant la qalaxie.
q u 'u n
So rtis de la su r­
de
g em en t ré p a n ­
engins spatiaux tels que les s a te llite s ou les
un A rm , il a u ra it
navettes souffrent encore d'une "in tellig e n ce"
f a llu p a y e r d e s
limitée. D'où la trouvaille d'Intel : le plus grand
ro ya ltie s su p p lé ­
constructeur de puces vient d'offrir une licence
m e n t a ir e s p o u r
La prochaine version de Warp
Server est annoncée pour le second
trimestre 99. La bêta actuelle
s avère déjà très stable et les
nouvelles fonctionnalités du logiciel
sont très bien implémentées. Le JFS
(nouveau système defichier adapté
d'A IX) est une réelle évolution
d ’OS/2, qui permet d ’agréger au
sein d ’un même disque plusieurs
partitions disques physiques.
•
H iro sh i s'a g ra n d it
Le groupe Hiroshi vient d'ouvrir
trois nouvelles enseignes à Marc-enBaroeul, à Béziers et au Cap
d'Agde. Les alternatifs auront la
joie d'apprendre que la boutique de
Marc-en-Baroeul est géréepar
Bruno Rivière, également
responsable du bastion Amigaphile
"b'ree DsitribuBon Software".
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gratuite de son P e n tiu m au g o u v e rn e m e n t
les cartes m ères,
américain. Pour l'heure, le Pentium n'est pas
plus immunisé qu'un autre processeur au mal
ou alors réinven.
te r la roue.
de l'espace, mais selon Dan C o ld in , d irecteu r à
A va n t to ute ch o se, les A m é rica in s d e stin e ro n t
In te l espace.
r
la Nasa, "s'appuyer sur une technologie déjà lar­
le projet à des ap p licatio n s m ilitaires. Fabriquée
gement éprouvée va nous perm ettre de réaliser
dans les laboratoires du m inistère de la d éfen­
une économie substantielle p o u r le d é v e lo p p e ­
se, la nouvelle puce p erm ettra aux eng ins sp a­
ment, la construction et la program m ation de nos
tia u x de d éco d er les im ages de tous les sate l­
futures puces spatiales.
lite s e sp io n s qui g r a v i­
Il n'y a qu'à adapter le
ten t autour de la planè­
shéma du Pentium aux
te. Reste une question :
procédés de fabrication
quel est l'in té rê t d 'In tel
que nous e m p lo y o n s
d ans ce tte a ffa ire ? Les
déjà"
mauvaises
A n o te r q u e
langues
l'adaptation en q u es­
d ir o n t
q u ’ il s 'a g it
tion ira tout de même
d 'u n e m a n iè re d é t o u r ­
là
chercher dans les 64
née de fa ire o u b lie r au
m illions de
g o u ve rn e m e n t l'enquête
d o lla rs
pendant q u a tre a n s .
en
Par
( F é d é r a l
a ille u rs ,
ce
co u rs
de
la
FTC
T r a d e
Pentium "P lu s" se ra
C o m m is s io n , c o m m is ­
fondu avec une p réci­
sion féd érale charg ée de
sion de 0,35 m icrons.
fa ir e re s p e c te r les lo is
Cette ta ille r e la t iv e ­
sur
ment encombrante en
D 'u n e
regard de ce que l'on
g é n é r a le , c e tte a ffa ire
peut
p e rm e t de h a u sser une
atteindre
la
m a n iè r e
p lu s
nouvelle fois le prestige
microns
d e r­
de la te c h n o lo g ie In te l,
niers P e n t iu m ) e s t
à l'h e u re où M ic ro s o ft
nécessaire pour éviter
serait te n te r d 'a lle r vo ir
que les s ig n a u x
ailleurs.
ne
Il n 'y a p a s de fusée sans feu.
[----------
ATARI
c o n c u rre n c e ).
a u jo u r d 'h u i ( 0 , 1 8
sur les
AM IG A
LINUX
RISC PC
BE OS
OS/2
DIVERS
iC o u r a n t
a lte rn a tif
• On ne co m p re n d
sp lu s rien !
Alors, il y le Windows CE
numéroté 2.0 pour les ordinateurs
de poche à la Psion Séries 5. Le
même pour les pockets façon
PalmPilots'appelle Windows CE
2.01. E t toujours le même pour les
vrais PC mais tout petits s'appelle
Windows CE 2.11. Ensuite. ça
dépend du processeur : c'est un
SA 1/00 d'Arm ou un SH3
d'Hitashi, votre Goldstar ?
Stooop ! Devant la confusion
générale. Microsoft a décidé de
revoir complètement le marketing
de ses ordinateurs de poche.
Désormais, chaque segment de
marché ( "qui tient dans la poche ",
"qui tient dans la paume”, ”qui
fait semblant de tenir dans ta
poche”) aura son propre nom. Cela
fera-t-il enfin décoller les ventes de
Windows CE 2
POCKET
Linux à l'aide des utilisateurs
de Pilot
Les PPP (Palm Pilot Persons) qui disposent de la
sur une autre disquette. Bien entendu, ces don­
m a ch in e de 3 C o m , ont d éso rm ais accès à un
nées p eu ven t être restaurées g râce au m êm e
outil fort pratique développé par de très sérieux
program m e. A noter que PenguinBackup autorise
linuxiens : PenguinBackup. Le logiciel répond à
égalem ent l'installation unique d'un logiciel ou
une p ro b lé m atiq u e de base : en d ép lacem e n t
d'une base de données sur le Palm. Sur le Net :
avec son Pilot, et en cas de plantage, com m ent
w w w ipd.ira.uka.de/~ w itte/pilot/backup/
p o u v o ir ré in sta lle r in sta n ta n é ­
m ent l'ensem ble de ses données
PenguinBacki** v2.0 — Main Nenu
Hain Ncnu
et de ses p ro g ram m es à l'aide
du p re m ie r o rd in a te u r ven u ?
Welcorne to PenguinBackup, the Linux-based
Pilot/PalnPilot/Palm III single-floppy baekup System♦
Désorm ais, deux disquettes suf­
fisent à sécuriser les données. La
Please select (start with "basic confi9uration“>:
p re m iè re d isq u e tte
Basic Configuration
L is t
Backiç»
auto b o o t
sur n'im po rte quel PC
est un
Linux très dépouillé (sur la base
Restons
2 .0 .0 3 3 ) qui ne gère que le port
Tools
Help
série (n é c e s s a ire au b ra n c h e ­
Advanced Configuration
CuRftand shell
m e n t du P a lm P ilo t). Un p ro ­
OuitWfeBoot
gram m e se lance auto m atiq ue­
Configure floppy drive & serial/IR port
List ail programs and databases
Full system baekup
Fui 1 system restore
Format floppies, list directories etc+
Help system with some documentation
Change serial/IR port IRQ# and 10 address
"root" command shell (ash)
End and ReBoot system
mm
m ent et autorise la sauvegarde
<tancel>
c o m p lè t e de la m é m o ire de
votre Pilot (logiciels et données)
Trop de Pilots p o u r être au Net.
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PROCESSEUR
Le "tout intégré" selon $3
Le c o n s t r u c ­
désormais de tous les ponts technologiques pour
te u r de puces
com m uniquer au m ieux avec le reste d'une carte
g raphiques S3
m ère et affich e r des perform ances o p tim ales.
vient de signer
D'un autre côté, Intel trouve dans cet accord un
un
intérêt autrem ent plus concret : il a désormais
avec
Les largesses d'SB .
accord
le f o n ­
lé g a le m e n t le d ro it d 'u t ilis e r les lic e n c e s
deur Intel. Cet
d 'E x p o n e n t ia l.
accord perm et
q u 'Exp o n en tial était le nom d'une société qui
aux
avait réussi
deux
s o c i é t é s
Pour
m é m o ire ,
il y a deux ans
ra p p e lo n s
à développer un
clone du PowerPC pouvant m onter à 500 MHz.
d 'éch a n g er leurs licences techno lo g iq ues pour
Hélas, la société a dû déposer le bilan rapide­
une durée de dix ans. D'un côté, S3 ne cache pas
m ent, les seuls clients possibles (en gros, Apple
son am bition de proposer, à term e, une puce qui
tout court) ayant signé un accord d'exclusivité
face à la fois co m p o sa n t g ra p h iq u e 2 D /3 D et
avec M otorola ! Bien entendu, certains acteurs
processeur com patible Intel (S3 a m êm e le droit
de l'époque n'ont eu aucun scrupule à récupérer
de réutiliser les technologies du Pentium II). Ce
d is c rè te m e n t les te c h n o lo g ie s d 'E x p o n e n tia l
type de co m p o sant serait destiné aux consoles
a v a n t q u 'e lle s ne p a r t e n t à la c o r b e ille .
du futur ainsi qu'aux Set Top boxes, à moins que
M alheureusement pour eux, S3 avait racheté en
d e m a in , il ne s'agisse plus que d 'une seule et
secret les propriétés intellectuelles d'Exponential
mêm e m achine. Par ailleurs, lors de la précéden­
' et réclam e aujo urd 'hui tous les d om m ag es et
te génération de puces graphiques, S3 avait raté
intérêts qu'il veut aux constructeurs qui en ont
le coche faute de support technologique de la
usé. Intel n'était pas encore officiellem ent visé,
p art d 'In te l : ses puces T rio et V irg e ont vite
car le fondeur gardait encore ces fameuses tech­
perdu leur co m p é titiv ité face aux com posants
nologies au chaud, en attend ant de les inclure
incluant l'accélération 3D et la connexion AGP.
dans son futur processeur Risc, le M erced. Il sait
Ferm em ent décidé à revenir sur le devant de la
m a in te n a n t qu'il n 'aura p lus de raison d'être
scène avec la future puce Savage, S3 bénéficie
inquiété.
les
PROCES
Microsoft encore dénigré
par un de ses partenaires
N'en jetez plus ! Attaqué de toutes parts lors de son procès
Microsoft n'a plus qu'à se faire passer pour un martyr.
C
'est W illiam H a rris q ue la c o u r a
sont reunis
au:
,
écouté d ans le c a d re du p ro c è s
tém oin qui n'est ni avocat, ni développeur, ni
intenté à M icro so ft p o u r a b u s de
économ iste" a répliqué en e xp liq u a n t qu'à
position dominante. Le patron d 'In tu it, édi­
l'époque, N etscape "n'avait pas développé la
teur de Quicken (c o n c u rre n t du lo g ic ie l
tech n ologie m odulaire dem a nd ée p a r In tu it
Microsoft Money), n'a pas m âché ses mots
( ...) . En outre, Disney et CBS Sportline ont eu
au sujet de Bill Gates dans un tém oignage
des accords com parables avec M icrosoft tout
qu'il à posté o ffic ie lle m e n t s u r le s ite
en
d'Intuit (w w w .in tu it.co m ). Harris e xp liq u e
N e tsc a p e "
com m ent Gates l'a fo rc é à a c c e p te r de
m e t en v a le u r le fa it q ue M ic ro s o ft, "en
c o n t in u a n t
le u r
p a r t e n a r ia t
avec
D a n s son té m o ig n a g e , H a rris
ven dre In tu it à
co n trô la n t le sys­
M ic r o s o f t , en
tèm e d 'e x p lo it a ­
1994 (cet achat a
tion le plus répan­
été ensuite invali­
du , p e u t fa c ile ­
dé par le gouver-
m ent exclure ce r­
nement)
t a in s
La
de
NOUVEAU !!!
se s
de
concurrents et/ou
Redmond aurait
f a ir e p r e u v e d e
f i r m e
251, rue St Antoine
75011 PARIS
"ram assis de co n je ctu re s form u lées p a r un
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d iscrim in a tio n en
en effet fait com­
prendre à Harris
fa v e u r
qu'un logiciel de
p ro p re s p ro d u its,
gestion
services ou con te­
de
de
ses
co m p te a p p e lé
n u s"
WinATM, était en
s o u lig n a n t q u e
En o u t r e ,
cours de d é v e ­
le s
loppement pour
M ic r o s o f t p e u ­
m a rg e s
de
se voir intégré au
v e n t m o n te r ju s­
s y s t è m e
qu'à 49 % , Harris
W in d o w s
a e xp liq u é que la
En
clair, cela reve-
d o m in a t io n
nait
W i n d o w s
à tuer
de
en
"e m p ê c h e to u t e
quelques m o is...
ré g u la tio n n a tu ­
H a rris a f f ir m e
re lle d e s p r o f it s
égalem ent que
(
M icro so ft lui a
q u 'h o m m e d 'a f ­
Q u i k e n
proposé d 'a sso ­
cier son produit à
. ) . En
port cartouche,
carte M B Ï
tant
fa ir e s , je tro u v e
William H arris : "On m 'a fo rcé"...
q u 'il e st d iffic ile
Windows mais q u'en c o n tre p a rtie , In tu it
d'expliqu er une telle ren tabilité, excepté su r
devait ce sse r
un m arché qui a été épuré de toute concur­
to u t
SCSI. STRATRACK,
p a r t e n a r ia t
avec
Netscape : "Pour obtenir un em placem ent sur
ren ce"... Et Harris de sug g érer à mots co u ­
l'Active Desktop de W indows 98, In tu it n'a
verts qu'un systèm e d 'e xp lo ita tio n d evrait
pas eu d'autre solution que de livrer Internet
être soum is à une régulation g o u ve rn e m e n ­
Explorer avec ses produits et d 'a b a n d o n n e r
tale au m êm e titre qu'une ch aîne télévisée
Netscape" En outre, a-t-il ajouté, M icrosoft
ou q u 'u n e c e n tra le é le c triq u e . "Ce p rocès
a interdit à Intuit "de prom ouvoir N etscape
a dégénéré : désorm a is, tou te so ciété m a l­
sur son site ou d'établir des liens avec les pro­
h e u re u se
en
a ffa ir e
peut
s a is ir
* HADES 68040
* scanner UMAX
* HADES 68060
* solutions Internet
* rack 19 pce pour
MILAN, HADES,
SCSI & PC
WENSUITEIII +
modem
* lecteurs et gra -
le
duits ou les services de Netscape".
D épartem en t de la ju stic e p o u r se p la in dre
Une régulation g o u v e rn e m e n tale
de ses c o n c u rre n ts" a ré p o n d u M ic ro s o ft
Microsoft, qualifiant les propos d'Harris de
dans son c o m m u n iq u é .
* mobilier de studio
* réparation tous
veurs CDR
* XXL, CUBASE,
ATARI
CALAMUS...
tél. 0144 93 40 07
fax. 0144 93 36 80
tél. 0143 48 5810
fax. 0143 48 78 66
REVOLUTION
Com patible Playstation/ ordinateur
de tous les jeux, système Unix :
la révolution M acintosh est née !
ne
nouvelle
et des résolutions allant jusqu'à 1920 x1 2 00 en millions de cou­
velle
leurs.
révolu-
tio n "... ainsi com m encent les
n o u v e lle s
M a c OS X.
Mo de Ram, puce 3D 128 bits, support O penGL, textures 32 bits
année, une nou-
pages
du
s ite
La m a ch in e p a rfa ite p o u r jo u er
Evid e m m e n t, avec de telles caractéristiq u es, on se dit que les
Apple. Et en term e de révolu­
Pow erM ac seraient véritablem ent des machines de jeu absolues.
tions, il faut bien reconnaître
Ju s te m e n t ! En c o n t r a d ic t io n c o m p lè te a v e c l'h is to ir e du
que la firm e de Steve Jobs n'y
M acin to sh , Steve Jobs annonce que, désorm ais, les Pow erM ac
a pas été avec le dos de la
seront expressém ent faits pour jouer ! Et de le prouver : Apple a
c u illè re . En l'o c c u rre n c e , le
passé un acco rd avec tous les éd iteu rs de lo giciels lu diq ues.
dernier M acW orld Expo a été
Désorm ais, ceux-ci adapteront systém atiquem ent leurs gros titres
le th é âtre d ’a n n o n ces
sur les m achines à la pom m e (Sin, BattleZone, Starcraft, Falcon 4
ou encore Quest for Clory 5 sont d'ores et déjà disponibles).
toutes plus sensationnelles les unes que les autres : de
Pour com m encer, c ’est Quake 3 : Arena qui tourne en
nouvelles m achines aux perform ances et à l’aspect
exclusivité sur Pow erM ac alors que les utilisateurs
excep tionnels, la disponibilité de M acO S X (le
de PC a tte n d e n t encore d'en vo ir une capture
M acO S "U nix"), la com patibilité Playstation, et,
d'écran ! Pour m ém oire, rappelons que Quake 3 :
fin du fin , la re c o n v e rs io n de la p la te -fo rm e
PowerM ac en m achine de tous les jeux, avec
Arena est attendu com m e le messie par toute
Quake 3 : Arena en prem ière exclusivité !
l'industrie du jeu vidéo. Nouveau défi du célèbre
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John C a rm a c k (c e lu i qui a "in ven té" Wolf 3D,
Les n o u velles m ach in e s
Doom et Quake), Quake 3 : Arena pose les bases
C 'e s t d é c id é , to u s les n o u v e a u x P o w e rM a c
d'un nouveau rendu 3D en temps réel par courbes
a d o p te ro n t l'a llu r e de l'iM a c ! Et l'o n s e ra it
de Bézier, que tous les éditeurs de la planète atten­
p re sq u e te n té de d ire q ue l'a d a p ta tio n su r les
dent pour l'intégrer à leurs propres produits. L’auteur
m achines de bureau est presque plus heureuse : boî­
tier presque transparent, form es arrondies et élé­
m ents colorés suffisent à jeter aux oubliettes de
Les nou veau x i-M a c !
l'austérité les habituels boîtes beiges des PC industriels. Et ceux-ci
ne manque d'ailleurs pas d'éloges envers la nouvelle
p o litiq u e d 'A p p le : "Ils s o n t en tra in de fa ire
exactem ent les bons choix hardware et software pour que le M ac
s'ouvrent en un claquem ent de doigt ! Ce que l'on trouve à l'inté­
devienne l'une des plus grandes plates-formes de jeu".
rieur ne m anque pas non plus d'ém erveiller : un PowerPC 750 à
de 12 Go, un lecteur de DVD et un lecteur Zip. Le tout agrém enté
M acOS X Server
A noter que c'est sur un autre produit de Steve Jobs que John
Carm ack a développé ses précédents succès : le système d'exploi­
tation N extStep. Modèle com m ercial pour ce qui deviendra plus
tard l'environnem ent graphique de Linux, NextStep est une légen­
de deux ports FireW ire, deux ports USB, un port AD B, un contrô­
de de l’histoire inform atique. Et c'est justem ent lui qu'Apple ressort
leur Ultra-W ide SCSI, un connecteur Ethernet RJ45 (10/100Base-
aujourd'hui sous le nom de M acOS X Server (le "X" servant à rap­
T ), une carte m odem , trois connecteurs PCI 64 bits (com m e sur
peler la com patibilité Posix du systèm e), après moult liftings. Le
4 0 0 M Hz (d e u x fois la vitesse d ’un Pentium II à 4 5 0 M Hz sous
Windows 98, selon Apple), 64 Ko de cache Level 1, 1 Mo de cache
Level 2 (vitesse de 200 M H z), ju sq u’à 1 Go de Ram, un disque dur
les stations Alpha) et d'un connecteur PCI 32 bits. L’affichage est
plus im p o rta n t de ces ch an g e m e n ts vie n t de la co m p atib ilité
quant à lui géré par une carte ATI Rage 128 du meilleurs aloi : 16
ascendante avec les versions standards de M acOS, laquelle faisait
encore défaut lors de la précédente
mouture (que l’on connaissait sous
le nom de "R h a p so d y "). A xé sur
BSD
4 .4
et
in c lu a n t
A pache,
M acO S X Server prétend pouvoir
t r a n s f o r m e r n 'i m p o r t e q u e l
Pow erM ac en serveur (pleinem ent
fonctionnel et correctem ent confi­
g u ré ) au b o u t de q u a ra n te -cin q
m inutes seulem ent, après le débal­
lage de l'appareil.
C o m p a tib le P laystatio n ,
Q uake 3 : A rena.
Tekken sous V irtual Cam e Station .
C'est Steve Jobs lui-m êm e qui l’a
* Les g ro s clie n ts d'IBM
REVOLUTION
m o n tre n t les d e n ts
annoncé : son ordinateur, l'iMac, devient com patible avec la console Playstation de Sony ! En l'occur­
rence, il s'agit d'un émulateur de haut niveau développé par la société C onnectix, à laquelle les utili­
sateurs de MacOS devaient déjà l'excellent Virtual PC (é m u la te u r PC p erm ettan t l'exécutio n de
Windows 95 sur Mac) et les innovants Ram Doubler et Speed Doubler (lesquels doublent respective­
ment la capacité mémoire et la vitesse de la m achine).
Virtual Game Station, c'est son nom, tourne sur tous les ordinateurs à base de PowerPC 750 et de puce
graphique ATI Rage. Autrement dit, il fonctionne sur les PowerM ac G3, iM ac et PowerBook G3 mais en
aucun cas sur une ancienne génération de Pow erM ac, m êm e avec une carte accélératrice G 3 . Pour le
reste, 32 Mo de Ram suffiront à faire tourner la plupart des jeux directem ent sur le bureau de votre
Mac. Dire qu’il s'agit de la "plupart" s'im pose ; afin d'obtenir des perform ances optim ales, Virtual
// semblerait que la politique
«nous sommes les meilleurs sous
Windows NT» d ’IBM ait trouvé
ses limites. De gros clients d ’IBM
!notamment des banques) ontfait
savoir à l’éditeur que si celui-ci les
forçait à migrer vers NT. ils
remplaceraient également leur
solution logicielle par celles
d’autres éditeurs et leur «solution »
service per d ’autres sociétés de
service. IBM aurait réagi en
rassurant ses clients sur la
pérennité d ’OS/Z et en émettant une
note interne pour calmer l’ardeur
de ses commerciaux en ce qui
concerne le tapagefait autour de
Windows NT.
L'U n ix co n vivia l sera it-il né ?
Réseaux, comptes, a p p lica tio n s...
Game Station est plus un "simulateur" qu'un ém ulateur. Entendez par là que la Rom "tous droits réser­
vés" de la véritable Playstation, n'a pas été copiée dans un fichier et se voit encore moins exécutée par
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C O ic o t e a m
un é m u la te u r h a rd w a re de la
P la y s ta tio n . P o u r son lo g ic ie l,
Connectix a em ployé la m éthode
T e c h n o lo g ie s
dite du "re tro -e n g in e e rin g " : les
véritables titres Playstation s'exécu­
tent ici en passant par une nouvelle
Rom , c o m p lè te m e n t re p ro g ra m ­
mée et optim isée pour un PowerPC
G 3. L 'é m u la tio n du p ro c e s s e u r
Vous recherchez plus de puissance ?
Les nouveaux ALPHA 21264 sont arrivés !!!
R3000 et de ses périphériques sert
juste à interpréter les instructions
Le nouveau G 3 de profil.
en langage m achine des jeux. De
fait, il se peut que quelques titres mal program m és ne tournent pas
correctement. Il se peut aussi que l'affichage ne soit pas exactem ent
identique à celui de la Playstation o rig in ale : ce rta in s effets de
lumière et de lissage se tro u ve n t rem p la cés par
d'autres, plus standards sur une puce
ATI Rage. Cela étant, la politique de
développement de Sony co n stitu e
un tel exemple de discipline que les
264
programment
r é fr a c t a ir e s
devraient
demeurer
assez peu nom ­
breux. Enfin, Virtual
Ils sont disponibles chez OOicoteam
Game Station administre
Le S pé c i a l i s t e des St at i ons Al pha
le fonctionnement du son,
des paddles et des
c a rte s
mémoire, en passant par l'audio du
Mac, les manettes standard (ou le cla­
vier) et les fichiers.
Le m icro le plus p u issa n t !
- S t a t i o n s de t r a v a i l s o u s L i n u x - Stations graphiques3D
- S e r v e u r s de f i c h i e r s - S e rv e u rs web - C I u s t e rs Tel
0 5 .6 1 .4 3 .4 8 .3 3 - F a x
05.61.43.48.31
w w w .n ico te a m .co m
• Linux sa cré é vé n e m e n t
de l'année
Le magazine Le Monde
Informatique. ultra de
/'informatique professionnelle et
commerciale, perçoit la montée en
puissance de Linux et du Logiciel
Libre, l'un des dix plus importants
événements de Lannée 98. Cette
tendance est encore renforcée par les
prises de position d'acteurs
importants du marché : Netscape;
qui distribue librement son browser
(et ses sources), IBM , qui intègre
Apache à sa gamme de serveurs
d'applications Websphere, Oracle,
Informix, SAP et Computer
Associatesf qui s'ouvrent à Linux,
et plus récemment Sun, qui a décidé
de proposer indifféremment Solaris
ou Linux sur ses machines...
I. 'enthousiasme du Monde
Informatique s'avère cependant
modéré’puisque lejournaliste
termine son papier en indiquant
que "l'avancée des logiciels libres
n 'estpas extensible à l'infini" et que
"cette offre alternative reste limitée
à certains marchés". Chassez le
naturel, il revient au galop...
SYSTEME
W indows NT 5 élu "Vaporware
1998"
D a n s la fa m ille des te rm e s in fo rm a tiq u e s en
sortie de Windows N T 5 aurait été sciem m en t
"ware" (hard w are, software, freew are, shareware,
retardée lorsque Microsoft a vu arriver Novell 5
e tc .), vo ici le v a p o rw a re . Il s'a g it d 'u n term e
(N etw are) et Linux RedHat 5.1 (pour lequel Intel
anglais qui définit un produit inform atique dont
fait office de partenaire financier). Le temps de se
on parle beaucoup mais qui, en fait, n'existe pas.
remettre à niveau, Microsoft reproduit la straté­
A chaque mois de décem bre, le m agazine am éri­
gie de Nintendo lorsque la Playstation de Sony
cain W ired élit le v a p o rw a re de l'a n n é e . Et le
est sortie : "N'achetez pas tout de suite, attendez
te n a n t du t it r e p o u r 1 9 9 8 n 'e s t a u tre q u e
que le meilleur arrive".
W indow s N T 5 , su r le q u e l M icro so ft p la n ch e
depuis 19 96 . Prévu pour début 98, m i-98, début
9 9 , m i-9 9 et m a in te n a n t fin 9 9 , le g é a n t de
Redm ond a finalem ent décidé de renom m er ce
systèm e "Windows 2 0 00 ". Selon Jonathan Perera,
responsable du projet, le retard s'exp lique par
l'énorm ité et la richesse des nouvelles fonctions
de ce systèm e, successeur à la fois de Windows
98 et de Windows N T 4. "Par ailleurs, les utilisa­
teurs préféreront attendre de voir comment se com­
po rte leur systèm e actu el une fois arrivé en l'an
2 0 00 , avant d'en changer". L'analyste Kurt W inter
a une toute autre vision de la chose : selon lui, la
Plus artésienne que cartésienne...
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Les chevaux de Troie arrivent
VIRUS
sur Am iga
C o m m e si le
de passe volés. Des exem plaires plus ou moins
m anque
tro n q u é s de ce tte liste é ta ie n t ensuite lib re ­
de
s u p p o r t o f f i­
m e n t té lé c h a rg e a b le s d ep u is la p lu p a rt des
c ie l ne s u ffi-
sites p irates. On im ag ine à quel point toutes
sa it
ces d o n n é e s c o n fid e n tie lle s o n t pu c irc u le r.
pas
!
V o ilà q u e les
Rien qu'en France et chez C lub Internet, cin ­
u t ilis a t e u r s
q uante victim e s ont d'ores et déjà été recen­
d 'A m ig a so n t
sées. A u jo u rd 'h u i, les p irates ont ch an g é de
d é so rm a is les
m é th o d e : ils u tilis e n t une ro u tin e qui leur
v i c t i m e s
ouvre sim p le m e n t la porte de vo tre systèm e.
incessantes d'attaques pirates. Passée la m ode
C harg e à eux d'aller vérifier aléatoirem ent s'ils
du bon v ie u x v iru s qui re fo rm a ta it to u t seul
ont un m oyen de s'infiltrer chez vous. Si tel est
votre disque d ur, vo ici les biens plus aléatoires
le cas, ils entrent pour co nsulter ce qu'ils veu­
ch e v a u x de T ro ie . Un ch eva l de T ro ie est un
lent sur votre ordinateur (y com pris vos mots
parasite qui s'active à ch aq ue fois que vous lan­
de passe, bien évid em m en t). C ette routine se
cez une co n n e xio n Internet. Il p erm et au pirate
fait passer pour la tâche SetPatch ; on détecte
de c o n s u lte r vo s in fo rm a tio n s s e c rè te s , tels
sa présence en co nsultant la liste des routines
v o tre lo g in et v o tre m o t de p asse , afin q ue
ré s id e n te s (g râ c e au lo g ic ie l A rtm , n o ta m ­
celui-ci puisse se co n n e cte r et navig u er à vos
m e n t). N o rm a le m e n t, S e tP a tch d ésig n e une
frais. Révélée en novem b re 9 8 , la prem ière rou­
co m m and e du systèm e qui se lance au début
tine de ce type était une fausse d atayp e .lib rary
de la séquence de d ém arrage ; en aucun cas,
(reco nnaissab le à sa taille : 32 Ko au lieu de 27
celle-ci ne devrait rester résidente. Par ailleurs,
p o u r la lib ra irie n o rm a le ) qui e n v o y a it to ute
ce n'est pas forcém ent cette co m m and e qui se
seu le p ar E-m ail vo tre lo gin et vo tre m o t de
tro u ve in fe cté e ; il p e u t s 'a g ir de n 'im p o rte
passe à un groupe de hackers, lesquels s'en ser­
q u e lle a u tre la n c é e , d e p u is la p ro cé d u re de
vaie n t pour co n stitu er une longue liste de mots
dém arrage jusqu'à la co n n e xio n Internet.
E B s ü H
H
H
B H
Silicon Graphics lance les m eilleurs PC
Officiellement prévues courant janvier, les deux nouvelles m achines
sa version de base et pourra a ccu eillir jusqu'à d eu x processeurs
de Silicon Graphics constituent d'ores et déjà ce qui se fait de
Pentium II à 4 5 0 M Hz. La plus grande, la Visual Station 450, avoisi-
mieux en termes de co m patib les PC . La plus p e tite , la Visual
nera en revanche les 4 0 0 0 0 francs et acceptera un à quatre proces­
Workstation 320, sera disponible pour moins de 2 5 0 0 0 francs dans
seurs Xeon à 450 M Hz (com m ercialem ent, le Xeon correspond au
successeur du Pentium Pro, alors que le Pentium II
est le su ccesse u r du Pentium M M X ). Le systèm e
d 'e x p lo it a t io n de ce s fo u d re s de g u e rr e se ra
Windows N T 4. Ces caractéristiques m arquent une
é ta p e c h a rn iè re d an s l'h is to ire du c o n s tru c te u r,
lequel a toujours vendu des m achines sur lesquelles
il co n ce vait lui-m êm e les processeurs (les fam eux
RxOOO de la filiale M ips) et le systèm e d'exploitation
(Irix , un énièm e d érivé d ’U n ix ). Hélas, l'évolution
économ ique du m arché se m ontre telle que Silicon
G rap hics a préféré acheter de la m atière prem ière
toute faite plutôt que de co n tin u er à en fabriquer
dans ses laboratoires. En revanche, la carte m ère des
Visual Station n'a rien de com m un et l'on y retrouve
tout ce qui a fait l'originalité de la m arque (dont une
carte graphique excessivem ent rapide). Revers de la
m édaille : Linux x8 6 (celui des com patibles PC) ne
fonctionne plus sur ces "super PC", mais Silicon tra­
vaille déjà sur une adaptation fonctionnelle.
Silicon prestance.
Ouvert du
web: www.aps.fr
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Mardi au Samedi.
SALON
email: [email protected]
Forum Linux Arverne
9H30-12H 14H-18H
Vente par correspondance
APS VOUS SO U HAITE UNE BONNE E T H EU R EU SE ANNEE 1999
A M IG A :
2.X (versions 68k et PPC)
M oniteurs P ro fe ssio n n e ls M ultiscan:
S a lu o n s l'in it ia t iv e de la
jeune association LinuxA r v e rn e
(C le r m o n t -
Ferrand) qui organise,
les 29 et 30 ja n vie r
prochains, un forum
de p ré sen ta tio n de
Linux
et
des
l o g i c i e l s li b r e s à
C I e r m o n t
Ferran d . C elui-ci aura
lieu les 29 et 30 ja n ­
ARVÉRN
Le pingouin Arverne.
v ie r dans une grande
s a lle
p u b liq u e
en
c e n tre v ille . L'e sp a ce
du fo ru m sera d iv isé
en tro is : u ne p a rtie
1IYAMA
- M F-8515G 15”
- S 7 0 2 G T 17” (nouveau)
- A701GT 17”
- A901HT 19 ’ ’(nouveau)
I 930
2 790
3 990
5 550
le file system indispensable pour vos disques.
- Processeurs Motorola seuls:
FPU 68882RC 50Mhz PGA
CPU 68040RC 25Mhz
CPU 68040RC 40Mhz
CPU 68060RC 50Mhz
plète et la plus fidèle possible de Lin u x et des autres logiciels
libres. Pour de plus amples renseignem ents sur le fo ru m , il y a
moyen de joindre l'association par l'interm édiaire de son site W eb
http://www.chez.com/linuxarverne.
BlizzardPPC 160Mhz
BlizzardPPC 240Mhz
BlizzardPPC+ 160Mhz
BlizzardPPC+ 240Mhz
390 F
390 F
720 F
1800 F
040RC 25Mhz
040RC 25Mhz
2:
040RC 25Mhz
060RC 50Mhz
Au prix de la version TA O
2150 F
3290 F
2740 F
5740 F
a v e c co ntrôleur UltraW ide S C S I :
CyberStormPPC 233Mhz san s 68k:
5130F
CyberStormPPC 233Mhz avec 040/25: 5490 F
Idem avec 040/40: 5850 F, avec 060/50: 6890 F
- Cartes Graphiques:
N.C
MakeCD 3.x DAO 39 0 F
(stock limité)
- Cartes PowerPC 604e,
rassemblera les invités de
CD Opus Plus
Périphériques SCSI:
- Graveur Y a m a h a 4260T Int. 4x 2x 6x, cache 2Mo: 3050 F Image FX 3 .2
- Graveur P lex to r PX-R412 Int. 4x 12x, cache 2Mo: 2950 F CyberGraph’X 4
- CDRom P lex to r PX-32TS Int. 32x, cache 512Ko: 880 F Envoy 3
- Câbles pour CyberPPC avec: 1 nappe UltraWide,
2 terminaisons actives, 1 adaptateur vers SCSI2: 590 F CygnusEd 4
G estaCom pte
Périphériques A M IG A :
rent le forum de façon à donner aux visiteurs l'image la plus co m ­
et une dernière, baptisée "conférence"
(m ise à jo u r
Mise a jour AFS vers PFS: 200F
marque et présentations exceptionnelles. Ces trois espaces structu­
"démonstration technique" illustrera les usages possibles de Linux,
2 990 F
240 F
990 F
990 F
490 F
590 F
520 F
2 7 0 F ) 540 F
190 F
150 F
1490 F
170 F
340 F
240 F
F - Art Effect PowerPC Plug-in
F - W ildFire 7 (versions 68k et PPC)
F - X-DVE (versions 68k et PPC)
F - Elastic D ream s (versions 68k et PPC)
- Net-Connect 2 (Voyager, AmLRC, etc..)
P F S 2 (version française) 340F
la nouvelle version professionnelle de ÀFS. Get Connected (IBrowse., M iam i. Yam)
- Cartes PowerPC 603e, extensible à 64Mo:
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Logiciels
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CyberVisionPPC 8Mo (en stock)
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BiizzardVision 8Mo (en stock)
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Picasso IV 4Mo (en stock) (pour les modules: NC) 2500 F
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Tel: 0 4 .9 1.00.30.44. - Fax: 04.91.00.30.43.
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m
• SyQ uest rev ien t
d o u ce m e n t à la vie
Face à lu progression de Iomega
sur le marché des supports
amovibles, le géant SyQuest a été
contraint de déposer le bilan le 1 7
novembre dernier. ,4 l’heure
actuelle; aucun investisseur n ’a
encore été trouvé pour assurer la
garantie des appareils. Néanmoins,
le personnel - consciencieux - a pris
sur lui de rouvrir le site de la
marque pour offrir un minimum de
support à ses clients.
www.sysquest.com
ANALYSE
AOL-Netscape ? Le meilleur
argum ent de Microsoft !
Fin
1998,
accéd er au contenu détaillé de l'accord entre
AO L et Netscape. La dem ande est sensée donner
avec
à Microsoft les moyens d'affirmer, preuves à l'ap­
a d é v o ilé
N e t s c a p e
C o m m u n ic a t io n s p a r
pui, que l'accord AOL-Netscape constitue l'indice
un é c h a n g e d 'a c tio n s
indiscutable de l'existence et de l'organisation
p o u r un m o n ta n t de
d'une véritable co ncurrence. Bill Gates entend
4 ,2 milliards de dollars.
a in si p ro u v e r q u 'il n 'est pas en situ a tio n de
e n t e n t e
m onopole et que la position de sa société n'af­
s t r a t é g i q u e a s s o c ie
fecte en rien la vitalité du m arché. Voilà égale­
é g a l e m e n t
Sun
M icrosystem s, qui co m ­
a indiqué qu "'un changement très significatif dans
m ercialisera le logiciel serveur de Netscape, déjà
l'industrie pouvait bien avoir lieu" si l'acquisition de
• Le C lu sif et le C ig re f
a c c ro ch e n t le BSA
Très déta ché, Case.
Le Clusif (Club de la sécurité des
systèmes d'information français) et
le Cigref (Club informatique des
grandes entreprisesfrançaises) ont
le RSA (Business Software
Alliance) dans leur ligne de mire.
D'après les deux clubs, le BSA ,
dont les méthodes visant à réprimer
le piratage de logiciels sont pour le
moins sportives, devrait engager ses
adhérents à mieux assurer la
conformité de leurs produits pour
l'an 2000 avant d'exiger celle des
parcs de logiciels dans les
entreprises. Des affirmations qui
font grimper aux rideaux Jamal
Labed, porte-parole du BSA , qui
déplore qu 'on se permette d'avancer
que "le piratage est possible (...) si
des éditeurs ne satisfont pas à des
spécifications techniques”. On
notera avec intérêt que le Cigref
compte 84 des 100 plus grandes
entreprisesf rançaises parmi ses
membres.
ju g e T h o m a s P e n fie ld ja c k s o n de p o u v o ir
s t r a t é g ie d 'a llia n c e
C e t t e
Sed lex Rom ?
A m e ric a
sa
O n lin e
m ent ce qu'a laissé entendre le juge Jackson qui
u tilis é p a r de n o m b re u s e s e n tre p ris e s p o u r
Netscape par AO L se voyait menée à bien. Il en
héberger leur site W eb. En outre, Sun se serait
résulte que "cet accord pou rrait avoir un effet
engagé à réserver pour plus de 350 millions de
immédiat sur le marché et la définition du marché".
dollars d'espace publicitaire sur les pages gérées
Et rendorm i !
par AO L. En contrepartie, AO L investira plus de
Bien évidem m ent, les plus acharnés détracteurs
5 0 0 m illio n s de d o lla rs d 'ic i 2 0 0 2 d a n s les
de M icrosoft clam ent que l'accord AOL-Netscape
m achines et les services proposés par Sun. AO L
ne remet pas en cause les bases de l'action anti­
u tilise ra en o u tre la te c h n o lo g ie ja va co m m e
trust intentée contre Microsoft. Pour David Boies,
plate-form e de dévelop p em ent unique de tous
Avocat Général, l'affaire montre sim plem ent que
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ses futurs services en ligne. Si l'accord surprend
"Netscape n'a pas pu continuer son activité seul
par l'am pleur de la transaction, il n'offre aucune
d e va n t la pression de M icro so ft" Pour W illiam
surprise quant à la tactique suivie par AO L. Point
Kovacic, avocat d'un des dix-neuf états ayant dili-
d 'o rg u e d 'u n e s tra té g ie d o n t les ra c h a ts de
genté l'action contre M icrosoft, la démarche de
Com puServe ou IC Q ne sont que les m anifesta­
la société de Redmond visant à obtenir le conte­
t io n s les p lu s m é d ia t iq u e s , l'a llia n c e A O L-
nu de l'accord AOL-
N etscap e-Su n p erm e t à Steve C ase , b o u illa n t
N e t s c a p e s 'a v è r e
patron d'Am erica O nline, de m aîtriser
encore plus sournoise :
toute la
chaîne d'accès au W eb : des services au browser
"c'est un très bon jour
en passant par le développem ent.
pour
M icrosoft réveillé
Cette accord de fusion/coopération, dont la mise
Microsoft. Cela va leur
p e r m e tt r e
en place devrait se prolonger jusqu'au printem ps
d 'A O L la s o lu tio n à
99, a évidem m ent eu un im pact sur l'actualité du
leurs problèm es m ais
les
gens
de
de
fa ire
procès M icrosoft, pour lequel A O L, Netscape et
également d'étudier de
Sun ont été cités par le M inistère de la justice
près la stratégie d'AOL
co m m e
et
p r in c ip a u x t é m o in s à c h a r g e . Le
M ercredi 1 6 décem bre, M icrosoft a dem andé au
se s
chances
réussites"
de
Au Gates, Tan neuf.
POCKET
12 m illiards de W indowsCE...
Est-ce parce que W ind o w sC E n’a toujours pas reçu l'accueil qu'escom ptait M icrosoft en O ccident ?
Toujours est-il que Hewlett Packard a décidé de lancer le premier Palm PC doté d'un écran couleur en...
Chine ! Puisque les Am éricains et les Européens sont de piètres consom m ateurs qui ne veulent pas faire
la preuve de leur pouvoir d'achat, M icrosoft et ses amis se tournent donc vers de nouveaux marchés
plus prom etteurs. Le jornada 428 (sous Windows CE 2. 11) sera distribué aux Etats-Unis, oui, mais plus
tard. L’Europe ? Rien ne se trouve encore prévu. Et on aurait presque la tentation de lire "bien fait" ! Peu
im porte, le principal est que les intégrales du Petit Livre Rouge et de la Déclaration des Droits de
l'Hom m e cohabitent sous PocketWord ! http://w w w .h p.com /p ressrel/no v98/25nov98.htm
k
• Courant
alte rn a tif
j
COM PATIBILITE
X-Window pour OS/2,
AmigaOS, BeOS...
t f R E Ï ^#ÜS/2
X11R6.1,
p lu s ie u r s
W in d o w
L'e n v iro n n e m e n t g ra p h iq u e X-
m an ag ers, un bon no m b re d 'a p p lica tio n s et une boîte à outils
W indow avec ses interfaces KDE,
co n sé q u e n te p our en re c o m p ile r ou en d é v e lo p p e r soi-m êm e
W in d o w M a k e r , A f t e r S t e p et
d'autres (ftp .n in e m o o n s.co m ). Sous O S/2, la bonne surprise vient
c o n s o r t s , v o u s a t t ir e
? N ul
de l'apparition récente du serveur X free86/2 en version 3 .3 .3 , soit
b e s o in d 'in s t a lle r L in u x ! X-
l'équivalent direct du serveur X actuellem ent utilisé sous Linux. Au
W ind ow existe en effet pour la
program m e des nouveautés, on note la correction de deux mille
p lup art des systè m e s. L’in té rêt
bugs et le support des cartes graphiques A G P. Xfree/2 est téléchar­
de la chose est de pouvoir trans­
geable depuis h ttp ://se t.g m d .d e /~ ve it/o s2 /xf8 6 o s2 .h tm l.
form er n'im porte quelle m ach i­
ne en term inal pour un serveur
X parade.
U n ix . En rè g le g é n é r a le , X-
Window sert juste dans ce cas à afficher les applications qui s'exé­
cutent sur le serveur et à com m uniquer avec elles dans un proto­
cole qu'elles comprennent. Toutefois, grâce aux librairies Emx et
Ixemul, X-Window prend une autre dim ension sous, resp ective­
ment, OS/2 et AmigaOS. Simulant le fonctionnem ent d'un Unix
"Posix", elles permettent de recom piler et d 'exécuter des applica­
tions Linux directement sur ces systèm es, lesquels n'ont m êm e
plus besoin de se trouver en réseau. De fait, toute une dynam ique
s'est créée autour du sujet. Sur A m ig a , et p ar e xte n sio n sous
BeOS, on trouve la d istrib u tio n G e e k G a d g e t, qui c o m p re n d
Ferm ons les fenêtres et restons les "co ller" clos.
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Vol de voiture
\
"PalmPiloté" !
ATTITUDE
Les nouveaux gangsters sont-
e st c a p a b le de r e c e v o ir e t
ils des clients de 3Com ? Un
d 'e n v o y e r d es in fo r m a tio n s
journaliste de PC World (é d i­
avec des appareils équipés du
tion suédoise) a d é c o u v e rt
systè m e O m n i R e m o te , q ue
qu'il pouvait re p ro d u ire le
l'on trouve sur des m ag n éto ­
comportement de la télécom ­
s c o p e s e t d e s m é c a n is m e s
mande d'ouverture des portes
d'ouverture centralisée d 'auto­
de sa voiture (a c h e té e en
m obiles. Les experts en assu­
1998). Il testait en fa it un
rances ont estim é que 1 3 %
petit logiciel destiné à rem pla­
des v o itu re s p o s sé d a ie n t ce
cer une té lé c o m m a n d e de
s y s tè m e , e t q u e la m e n a c e
télévision via la p o rt in fra
était très sérieuse ! Les repré­
rouge de son PalmPilot, lequel
sentants de 3Com ont déclaré
se sentir très concernés par ce
p ro b lè m e . H e u re u se m e n t, la
d is ta n c e à la q u e lle un P ilo t
peut
d é te c te r
le s
ondes
ém ises par une té lé c o m m a n ­
de re s te trè s c o u r t e , m a is
3Com a annoncé la d isp o nib i­
lité p rochaine d'un a m p lifica ­
te u r in fra ro u g e p ré v u p o u r
am éliorer la qualité des trans­
m issio n s. Le P ilo t sera-t-il le
Art studio pro c d .................260 F
A sim cd fs 3.9a V F ................355 F
Burn It 2.12 DAO .................690 F
Candy factory p r o c d .........349
Cybergraphx 4..................... 179
Deluxe paint 5 c d ................219
Digibooster Pro 3.2............ 287 F
490 F
D opus magellan 2 .....
O pus plus c d ........................219 F
Fan tatsic dream s cd ..........599 F
Get conn ected..................... 519 F
Tower Infinitiv II à partir de....1250 F
Adaptateur écran V G A .................85 F
Scandoubler interne A1200..... 659 F
Scandoubler A1200T/A4000..... 599 F
Scando ub ler externe...................825F
Lecteur de d isk s HD interne....559 F
Nappe IDE 2.5 > 2x3.5................. 125 F
Quadrupleur ID E.......................... 165 F
D isque dur IDE 3.5, 3.2 G O
989 F
D isque dur F S C S I 3.5, 2 GO...1450 F
Lecteur cd-rom ATAPI x 36...... 420 F
Lecteur cd-rom S C S I x 32.........950 F
G raveur S C S I Plextor x4
2550 F
Lecteur Zip atapi interne
749 F
Blizzard P P C 603e 160 Mhz,
68040/25 Mhz............................... 2090 F
B vision P P C ................................. 1490 F
Carte ethernet Am iganet
1550 F
Carte son 16 bits Préludé
1890 F
Sim m s 16 ou 32 Mo 6 0 n s............ NC !
Rom 3.1 A1200/A3000/A4000...315 F
So u ris et tapis Frog d esig n
145 F
Joypad H oneybee........................175 F
Digitaliseur audio + soft
350 F
Interface Midi................................. 277 F
Cable parnet 3 m + soft
139 F
(Miami +lbrowse + Yam)
Network PC + cable II ........229 F
Oxyron patcher................... 139 F
Pfs 2 c d .................................. 345 F
S ca la MM400 c d .................. 535 F
Superview su ite.................. 215 F
Turb ocalc 5.1 cd V F ........... 599 F
Turboprint 7.......................... 395 F
' Ultimate blitz b asic c d ...... 219 F
Wordworth 7 cd V F ............ 490 F
Flying hight c d .................... 199 F
Foundation cd ..................... 279 F
G enetic sp e c ie s cd ............ 279 F
Myst cd .................................. 375 F
Olofight.................................. 229 F
On e scap e e c d .................... 279 F
Sam ba world cup c d ..........273 F
Ultimate Sskid m arks cd...159 F
Virtual karting 2 .................. 179 F
Vulcan cd bonanza............ 239 F
Vulcanology cd ................... 239 F
(C o m p o sé de Je t pilot, Burnout,
B o g ra ts, V a lh a lla , T in y tro o p s,
T im e k e e p e rs 1&2, H illse a lido)
Aminet 25, 26, 27 ou 28...... 85 F
Aminet set 5, 6 ou 7...........209 F
A m im es babes S E ..............179 F
Amiga format c d ................... 49 F
Cartoon clipart.....................175 F
Gateway 3 (2cd).................... 75 F
Golden dem o s........................95 F
Magic publisher................... 179 F
Mods anthology.......... .11 ...206 F
Sce n e Xplorer2............ .IL .145 F
W orkbenc% designer 2.%.120 F
support d'une nouvelle form e
de d élinq uance ?
Palm 3 : l'arme du crime.
Moniteur Sm ile 14”, pitch 0.28 et
scand oubler interne A1200....1750 F
N ous a c c e p to n s le s ch è q u e s,
ca rtes b a n ca ires ou m andats.
F ra is de p o rt VPC : lo g ic ie ls 35 F,
m atériel 80 F, to u r ou écran 100F.
H oraires : du lun di au ven d red i
10h-12h30 et 14h-19h
i
J
____>
/
.
• L'IT C o m d ex g ra tu it !
La société Suze sera présente à LIT
Comdex, du 9 au 12février, Parc
des Expositions de la Porte de
Versailles à Paris. A Poccasion,
Pidée leur est venue d'y inviter qui
le souhaite, sans avoir à payer
Pentrée ! Pour cela, // suffit
d'envoyer une missive explicite à
Suze GMBH Gebhardtstrasse 2 90762 Fürth - Allemagne.
PROCESSEUR
Cherchez le StrongArm !
Il est am usant de voir com bien l'on cache la pré­
La presse p ro fessio n n e lle a salué l'e x p lo it de
sence de techno lo g ies alternatives au sein des
Mylex qui "force une nouvelle fois le respect grâce
produits am b itieusem ent com m ercialisés. Ainsi,
à son savoir-faire tech nologiqu e exceptionn el"
le p ro c e sse u r S tro n g A rm , in itia le m e n t co n çu
Doit-on leur dire que toute la puissance de cette
pour le m icro-ordinateur RiscPC, s'im plante de
carte Raid tient dans une puce à 200 francs ?
plus en plus dans tout type d'appareils inform a­
tiq u e s , v o ire s im p le m e n t é le c tro n iq u e s . Par
• Un shell p o u r P alm P ilo t !
e xe m p le , le co n stru cte u r Em peg prépare pour
l'année prochaine un autoradio MP3 axé sur "un
M anufacturer: Palm Computing
Date: Mari:- 1998
Romsize: 11SÛ972
Free RAM: 950896 ©f 10-48576
puissant processeur Risc à 220 MHz" Certes, dire
qu'il s'agit là du petit d ernier d'ARM /D ec n'ap­
portera pas g rand -ch ose au co n d u cte u r d'une
T w in g o . C ependant, dans un autre ordre d'idée ,
Total RftM: 9508% o f 1048576
<:\>dir Mémo*
MernoDB 7/12/98 1096
Mémo Pad 3/5/98 24331
que penser de l'eX trem eR A ID 1 1 0 0 de M ylex,
Total 2 o f 44 files (dh's).
"2,5 plus rapide que la plus rapide des cartes Raid" ?
ce tte ca rte c o n trô le u r R aid -SC SI v e n d u e a u x
entreprises pour 1 5 0 0 0 francs parce qu'elle est
Prototype de l ’autoradio MP3 d ’Empeg.
C :\ H
Un shell de voleur.
Le Palm OS présente pour les
puristes une limitation de taille :
l'impossibilité de bidouilUer le
système à partir d'un shell. Cette
contrainte se voit en passe d'être
contournée depuis Parrivée du
Palm Dos (pour /'instant en
version 0.7), qui ouvre un shell et
donne accès à la mémoire du
PalmPilot. Pour Pinstant, une
dizaine de fonctions se trouve
iniplémentée (ment, dir, del, ver,
he/p, exe, exit, prefs, reset,
autooff...). On appréciera la
possibilité de recenser de plusieurs
manières les bases de données
présentes en mémoire, de les
effacer, dé faire disparaître les
fichiers "orphelins”inutiles, etc.
Sur le Net :
mix.hive.no/~sting/pi/ot.htm/
PORTAGE
Trois éditeurs PC signent sur Amiga !
Psygnosis a fin ale m e n t signé pour l’adaptation
o ffic ie lle de W ipeout 2 0 9 7 , leq uel sortira en
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
avril p ro ch ain , pour les Am iga Pow erPC dotés
de c a rte s g ra p h iq u e s . Et ce n 'e st pas fin i :
selon l'éditeur Digital Im ages, chargé de réali­
s e r le s a d a p t a t io n s , le je u de s t o c k - c a r
D estruction Derby 2 devrait suivre rapidem ent.
Pour sa p art, l'allem and Blue Byte a autorisé
l'a d a p ta tio n de Se ttlers II (le cé lè b re jeu de
s tra té g ie a u x g ra p h ism e s et à l'a m b ia n c e si
p articu liers) par Titan C o m p u ter. La sortie est
prévue pour la fin de cet été.
Du côté de l'édition o rig in ale, tout va bien. Un
Jante masculine.
c lo n e de Tekken 3 et un a u tre de Syndicate
Le m onde du jeu PC sem ble tro u ver de l'in té ­
Wars se vo ien t annoncés sur PPC et Permedia
rêt dans l'in fo rm atiq u e altern ative et plus p ar­
2 . Phoenix (une sim ulatio n /aventure dans l'es­
tic u liè re m e n t dans l'A m ig a. Après le succès des
p a c e ) et N a p a lm (u n C o m m a n d & C onquer
a d a p t a t io n s p a r f a it e s d e D o o m , Q u a k e et
"like") d evraien t être sortis au m om ent où vous
autres M yst, il ap p araît aux ye u x des éditeurs
lisez ces lignes. On attend égalem ent un clone
que le m arch é peut enco re su sciter q uelq ues
de D iablo ( Diablo's Land) et un jeu d'aventure
b énéfices. Selon e u x, cela fait q uelq ues années
à la Lucas Art ( Gilbert G oodm ate). Seule ombre
q u ’il n ’y a plus eu de gros titres co m m e rcia u x
au tableau : V ulcan, le célèbre éditeur anglais,
p our cette m ach in e ; p o u rta n t, ses utilisateurs
a rrê te
sont toujours n o m b reu x et d yn am iq u e s. Ainsi,
P o w e rP C
CMC»CH
.«MBL
0=31.,
>PO S
^ «=*0^2
- »
*
!»
to u t
ou
d é v e lo p p e m e n t
non. On
la is s e
s u r A m ig a ,
n é a n m o in s
e n te n d re que les pro­
jets en cours arriveront
ÀÊHÊbk».-
to u t de m ê m e à leur
iS b
te rm e .
uul
lé
Par
a ille u r s ,
V u lc a n se d it p rê t à
développer sur les pro­
c h a in e s p lates-fo rm es
d'Am iga In c., quand ce
0=S3.<
La cérém onie des hauts scores.
___________
Bannière Gilbert.
sera possible.
L
SYSTEME
Des
nouvelles
de Phoenix
Apple lorgne
sur le PalmPilot
L'affaire n'est plus un secret
le m e n t d a n s le s n é g o c ia ­
d'état : Apple a bien essayé
tio n s ... m ais Eric B e n h am o u ,
A nno ncé
de racheter à 3Com la d iv i­
le patron de 3 C o m , n'a v is i­
d a n s ce s m ê m e s c o lo n n e s ,
sion Palm en début d'année
blem ent rien voulu entend re.
P h oen ix, se tro u v e d éjà d is ­
1998. Comme il l'a confirmé
Et p o u r ca u se , a ve c p lus de
p o n ib le . Il s 'a g it d 'u n n o u ­
au magazine Fortune, Steve
65 % d es p a rts de m a rc h é
veau sy stè m e d 'e x p lo ita tio n
Jobs s'est impliqué personnel­
au x Etats-U n is, 3 C o m n ’a vait
m u lti-p la te s-fo rm e s, o rig in a l
au cu n e raison de se sé p a re r
so u s b ie n d es a s p e c t s . Par
le m o is d e r n ie r
de ce qui s'a vè re peu à peu
e x e m p le , il fo n c tio n n e sous
être le standard de la m icro-
Java 1 .2 et re p re n d le Look
in f o r m a t iq u e
de p o c h e .
A n d Feel de RiscO s et de ses
Depuis, les rum eurs in diq uen t
a p p lic a t io n s . A c t u e lle m e n t ,
qu'Apple a m odifié sa straté ­
q u e lq u e s-u n e s des fo n c tio n ­
g ie et s o u h a it e d é s o r m a is
nalités du bureau de Risc Os
signer un p artenariat te ch n o ­
so n t d is p o n ib le s , co m m e le
lo g iq u e a v e c 3 C o m p o u r la
D ra g a n d D ro p , le f ile r , la
c o m m e rc ia lisa tio n d 'un n o u ­
b a rre d 'ic ô n e s , a in si q ue le
veau P alm , d o n t la firm e de
p o rtag e de d iverses ap p lica-
C u p ertin o co n cevrait le hard ­
tions,
w a re et d o n t le sy stè m e ne
s'inspirant
serait autre que le P a lm O S ...
Zap.
tel
un
éditeur
du s t y l e
de
P h o e n i x : w w w .la d y -
sh o t.d e m o n .co .u k/P h o en ixO S .
Il berce son Palm.
• Rebol, le la n g ag e
des u to p iste s
html
Form ater les Rebols...
Carl Saenrath, jadis concepteur du
système de !Amiga, n 'est pas à une
folie près. Voilà maintenant près de
deux ans qu 'il s'est lancé dans
l'aventure du Rebol, seul contre
tous. Disponible sur AIX,
AmigaOS, FreeBSD, HP-UX, SCI
IR/X, Linux Red Hat, Linux
Debian, Linux Slackware,
Macintosh PPC. Solaris 2.6
SPARC, et Windows 95/98/NT(et
bientôt sur Psion, BeOs et OS/2), le
Rebol représente un langage de
nouvelle génération. Livré avec la
distribution Redhat 5.2, le Rebol se
trouve conçu pour la manipulation
d'informations via le Net. Il
dispose d'une syntaxe "humaine"
simplifiée, que Cari Sassenrath
qualifie de robuste et élégante. Rick
Snyder, président d ’Avalon
Investments, ne tarit pas d'éloges :
"Quandj'étais président de
Gateway 2000, j'ai compris à que!
point la conception d'applications
réseaux était complexe et mettait à
rude épreuve les développeurs et les
commerciaux. C'est pourquoi
Ava/on Investements soutient Rebol
Technologies. Le langage Rebol
procure un moyen révolutionnaire
et simple de modéliser les échanges
et lesflux d ’informations dans le
monde d'aujourd'hui. Rebol est
véritablement le langage des
développeurs, d'Internet et des
entreprises inter-culturelles" Sur le
Web : www.rebol.com
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Doom est mieux
sur RiscPC !
Destiné aux machines fo n c tio n n a n t sous R iscO S , l’é d ite u r RComp Interactive s'est mis en tête d 'a d a p te r et d 'a m élio re r des
jeux venus du monde PC. Et il p arvie n t à ses fins ! Pour environ
350 francs, on peut par e xe m p le d 'o re s et déjà tro u v e r une
version incroyablement rapide de Fleroes O f M ig ht And M agic 2
Phoenix : le charm e.
une des références
du jeu de rôle
qui
tourne sur n'im porte
quel A7000
et
se
contente de 8 Mo de
Ram. Plus fort, vo ici
Doom+ ! D o o m -n'est
ni plus ni moins que
le vrai Doom, auquel
on a ajouté des effets
de transparence, une
vision haut/bas et un
code e x trê m e m e n t
co m pact p u is q u ’ il
peut s'e x é c u te r su r
des machines ne dis­
posant
que
de
deux Mo de Ram !
www.rcomp.co.uk.
Q u an d notre lecteur fait Doom.
• E xit M odulux
Modulux a étéplacé en liquidation
judiciaire le 3 décembre dernier.
L'assembleur, après avoir
enregistré uneforte croissance grâce
à ses accords avec la grande
distribution, souffrait depuis la
rentrée dernière de la rupture de ses
accords avec Aucl/an.
PROCESSEURS
Le hit-parade des m eilleures puces !
M algré tout le tapage que l'on fait au to u r, les
L e s d ix m e il le u r e s p u c e s
m ic ro p ro c e s s e u rs a tte ig n a n t le G H z ne so n t
en c a lc u l a v e c v ir g u le f lo t t a n t e
pas encore d 'a ctu a lité . Voici d eu x ta b leau x qui
fo nt le p oint sur les d ix plus puissantes puces
Closs.
Processeur
a ctu e llem e n t d isp o nib les, en term es de calculs
• Excel aim e les m a cro s...
Les macros virus infectant les
produits de la gamme Office étaient
connus de Microsoft. Excel, par
exemple; prévient l'utilisateur de la
présence de macros et lui
recommande d ’être prudent.
Seulement voilà : la fonction
"CALL " d'Excel peut très bien
démarrer depuis une cellule sans
que la protection antivirus ne
s'active. Or, "CALL" donne accès
aux fichiers du disque dur
(création, lecture, écriture,
effacement), permet de lancer des
exécutables, de lire et modifier la
base de registres et deforcer ta
fermeture de Windows ! L'outil
idéal pour le programmeur de virii
et autres chevaux de Troie !
Microsoft a d ’ores et déjà réagi en
proposant un patch correctif. Tout
en précisant qu 'il nefonctionnait
qu'avec des versions légales
d'Excel (!) et la version SR-2
d'Excel 91. E, version US ou
anglaise. C’est bien fait pour les
pirates français qui utilisent la SRI, tiens ! Le patch (qui ne nous
servira à rien) se trouve sur
httpjlofficeupdate.microsoft.com/do
wnloadDetailsIxI.9 7cfp.htm. Mieux
vaut avoir recours aux services
d ’A ntiviral Toolkit Pro
(http:llwww.avp-france.comj , la
découverte de ce trou de sécurité
étant d'ailleurs à mettre au crédit
de Kaspersky Labs. éditeur de cet
antivirus.
Résultat
SPECfp95
sur les entiers d'une part et sur les calculs à vir­
1
Dec Alpha 21264 à 575 MHz
30.3
g ule flo tta n te d 'a u tre p art. Ils p e rm e tte n t de
1
Dec Alpha 21264 à 575 M Hz
47.7
tirer de m ultip les co n clu sio n s. Pour co m m e n ­
2
IBM Power3 à 200 MHz
30.1
ce r, on s 'a p e rç o it q ue la te c h n o lo g ie A lp h a ,
3
Dec Alpha 21164 à 600 MHz
29.2
m ê m e a p rè s p lu s ie u r s a n n é e s d 'e x is t e n c e ,
4
HP/PA 8200 à 240 MHz
28.5
dem eure la m eilleure du m onde ! E n fin ... sur­
5
IBM Power2 à 160 M Hz
26.6
tout g râce au tout d ernier 2 1 2 6 4 , car la g én é­
6
Sun UltraSparc 2 à 400 MHz
25.7
ratio n p ré c é d e n te , c e lle des 2 1 1 6 4 , n'a plus
7
Dec Alpha 21164 à 767 MHz
(overclocké)
25.2
qu'à 600 M Hz non o verclo cké, c'est le record
8
Mips R I 0000 à 250 MHz
24.5
a ctu e l) pour rivaliser avec les derniers d 'In tel. A
9
Sun UltraSparc 2 à 360 MHz
23.5
ce p ro p o s , on r e m a rq u e q u e le p ro to ty p e
10
HP/PA 8200 à 200 MHz
pour elle que la hauteu r de sa fréq u en ce (ju s­
23
2 1 1 6 4 overclo cké à 767 M Hz par l'im posante
t e c h n o lo g ie de r é f r ig é r a t io n de K r y o t e c h ,
L e s d ix m e il le u r e s p u c e s en c a lc u l
atte in t en fait des perform ances p ratiques bien
s u r le s e n t ie r s
en deçà de ses p erfo rm an ces th é o riq u es, sur­
to ut dans le d om ain e du calcul en virg ule flo t­
Class.
Processeur
tan te , où il se fait litté ralem en t dépasser par le
1
Dec Alpha 21264 à 575 MHz
m odèle à 600 M H z stan d ard . Autre rem arque,
2
Dec Alpha 21164 à 767 MHz
on s'aperçoit que les processeurs grand p ublic,
Résultat
SPECfp95
30.3
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
(overclocké)
tels que les P o w e rP C de M o to ro la , les A lpha
3
Dec Alpha 21164 6 600 MHz
2 1 1 6 4 P C de D ec et les Pentium II d 'In tel, sont
4
Intel Pentium Il/Xeon à 450 MHz
tout b o n n em en t absents dans la course au cal­
5
Dec Alpha 2 1 164PC à 600 MHz
cul flo tta n t. Voilà un co nstat qui rem et à leurs
6
Intel Pentium II à 450 MHz
places q uelques p ublicités un peu trop prop a­
6
M otorola PowerPC 750 (C3)
g a n d iste s é m ise s de to u te s p a rts. Du m êm e
à 400 M Hz
c o u p , on fa it m ie u x la d iffé r e n c e e n tre un
7
HP/PA 8200 à 240 MHz
P e n tiu m II et un A lp h a 2 1 1 6 4 : m ê m e s'ils
7
Sun UltraSparc 2 à 400 MHz
fo n ctio n n e n t tous les d eux avec le m êm e systè­
8
Sun UltraSparc 2 à 360 MHz
me (W in d o w s N T ou Lin u x)
8
et avec le m êm e h a rd ­
w a re
(s ta n d a rd s
A tx , P C I, U S B ), il
n 'y
en
a q u 'u n
seul vé rita b lem en t
fait pour le calcu l.
E n f i n , o n
note que les ténors
d 'h ie r , à s a v o ir les
HP/PA, M ips et autres
U lt r a S p a r c ,
ont
un
p e u p e r d u d e le u r
p r e s t i g e
N é a n m o in s ,
les
p ro ch a in e s puces
annoncées par les
t roi s c o n s tru c ­
te u rs
c o n c e rn é s
d e v r a ie n t r a p id e ­
m ent
v ap e u r.
re n v e rse r
la
M otorola PowerPC 750 (C3)
à 366 M Hz
A lp h a
à
K A K Ib ü !
Démonstration permanente!
Kit Alpha
COMMERCE
La guerre des puces 3D
se fera au guichet !
Jusqu'à présent, Creative Labs avait vendu sous sa m arque à peu
près tout ce qui pouvait se faire en matière de com posants g ra­
phiques, quitte à créer une co ncurrence entre ses propres pro­
duits... au grand désespoir des acheteurs.
Eh bien, désorm ais, ce
sera pire ! En effet, le distributeur a récem m ent pris la décision de
construire, lui aussi, sa propre puce graphique ! Baptisée M ojo,
celle-ci est en cours de développem ent chez Silicon Engineering
(entreprise rachetée par Creative il y a peu) et devrait sortir d'ici à
cet été. Mojo présentera les caractéristiques suivantes : logique
2D/3D, 6 millions de triangles par secondes, rendering 32 bits et
gestion de l'anistropic filtering. Reste à espérer que le com posant
se montrera réellement à la hauteur de ces promesses. Par ailleurs,
on se demande ce qu’il adviendra des cartes concurrentes qui fig u­
rent encore au catalogue de ce nouveau "constructeur" A l’inverse,
3Dfx, vient de racheter la so ciété de d is trib u tio n ST B . C e tte
Boîtier Middle Tour ATX
Carte mère Samsung Alpha 164LX
64Mo SDRam
Processeur Alpha 21164 533MHz
11.990F TTC!!!
Alpha I64UX2
Boitier Middle Tour ATX
Moniteur 17” Monyka
Clavier 105 Touches PS/2
23.500F
Lecteur 3” 1/2 Sony
Souris Logitech Pilot Plus
Carte mère Samsung Alpha 164UX2
Processeur Alpha 21164 533MHz
128Mo de SDRam
Carte vidéo AccelStar II 8Mo
Contrôleur UW SCSI
Disque dur IBM 4,5Go UW
CD-Rom Pioneer 36X Atapi
Contrôleur Fast-Ethernet DEC
Linux pour Alpha installé
TTC!!!
marque propose actuellem ent une des m e ille u re s ca rte s g ra ­
phiques du marché, la Velocity 44 00 , axée non pas sur un co m po­
sant de 3Dfx mais su r le R iva T n t , du c o n c u r r e n t n V id ia .
Dommage, car STB était tout de m êm e l’un des meilleurs clients
de nVidia... Alors, doit-on considérer que celui-ci se trouve désor­
Processeur Alpha 600
Processeur Alpha 633
Disque IBM 9,1 Go
Disque Barracuda 18,2 Go
+650F
+8350F Lecteur Zip interne IDE
+9150F Passage à écran 19” Monyka +2I50F
+2900F
+I760F Passage à 256Mo de RAM
+5380F Windows N T4
+1200F
mais en position de faiblesse ? A moins qu’il ne se mette aussi à
Alpha I64LX2
vendre ses propres cartes graphiques...
Boitier Middle Tour ATX
Moniteur 15” Monyka
TTC!!!
Clavier 105 Touches PS/2
Lecteur 3” 1/2 Sony
Souris Logitech Pilot Plus
Carte mère Samsung Alpha 164LX2
Processeur Alpha 21164 533MHz
64Mo de SDRam
Carte vidéo S3 Virge 4Mo
Disque dur Quantum Fireball EL 5.1 Go
CD-Rom Pioneer 36X Atapi
Linux pour Alpha installé
17.200F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Trois fois plus de copies
SYSTEME
de Linux en 1998
C’est l’incroyable bilan de 1998 selon le bureau d ’étude IDC : les
chiffres de distribution de Linux ont augm enté de 212 % en un an,
soit 748 000 unités vendues sur CD-Rom ou téléchargées gratuite­
ment l’année passée, contre 236 000 en 19 97 . Cela constitue la
meilleure croissance de 1998 en termes de systèmes d ’exploitation
disponibles pour piloter un serveur. En regard de cette progression,
l’augmentation des ventes chez les ténors de la concurrence paraît
bien modeste : 80 % pour W indows NT et 4 % pour les divers Unix
commerciaux. Attention, on parle ici d ’a u g m e n tatio n , non des
ventes elles-mêmes. Malgré tout, les chiffres restent optim istes :
Processeur Alpha 600
Processeur Alpha 633
Disque Fireball E L 7,6 Go
Disque Fireball E L 18,2 Go
+8350F Lecteur Zip interne IDE
+650F
+9150F Passage à écran 17” Monyka +850F
+470F Passage à 128Mo de RAM
+ 1570F
+935F Windows NT4
+ 1200F
toujours selon IDC, sur les 4 ,4 millions de systèmes "serveur" distri­
bués en 1998, 36 % étaient des W indow s NT, 2 6 ,4 % des NetWare
(de Novell), 17,4 % des Unix divers (Solaris, AIX, Irix, etc.) et 1 7,2
des Linux. Les 3 % restants se répartissent entre divers petits sys­
tèmes propriétaires. Dan Kusnetzky, l’analyste responsable de cette
étude, rajoute que 1998 "était la dernière belle année pour Windows
NT. A partir de maintenant, l'augm entation annuelle de ses ventes
devrait plafonner à 20 ou 30 %" Par ailleurs, ID C estim e que le
nombre élevé de copies de W indows N T s'explique par des perfor­
mances individuelles inversem ent p rop ortionnelles : "Parce que
Windows NT ne dispose pas d'un multitâche aussi performant que celui
d'Unix, une seule copie de Windows N T sera attribuée à une seule fonc­
tion. Ce qui oblige les entreprises à acq u érir plu sieu rs copies de
Windows NT, là où une seule d'Unix aurait été nécessaire" Par ailleurs,
Unix administrie quotidiennement les E-mails de 10.000 utilisateurs,
alors que la plus grosse charge q u ’ID C ait pu observer sur une
machine Windows NT ne dépassait pas quatre cents utilisateurs.
Autres configurations (W indows NT, PC standard à base
d’Intel, Ultra2 SCSI. Contrôleurs RAID Mylex avec cache,
Cartes OpenGL Accel, E isa ou Leadtek. écrans liyam a,
e tc.): n o u s c o n su lte r!
Tarifs TTC!!!
• 3D fx su r A m ig a ?
C o n firm é !
Le constructeur a Hema net Village
Tronic a confirmé la sonie
prochaine d'une carte accélératrice
Voodoo 1 pour sa carte graphique
Picasso IV (uniquement). Village
Tronic avait déclaré que cinq cents
pré-commandesjustifiaient le
développement de cette extension et,
au 3 / décembre 98, cinq cent vingt
étaient signées. Pour mémoire,
rappelons que le Voodoo désigne un
composant d'accélération 3D
(développépar 3 Dfx) qui a
largement obtenu ses lettres de
noblesse dans le monde des
compatibles PC. Le premier jeu à
utiliser cette carte sur Amiga sera
Tadaptation de WipeOut 3091.
RESTRUCTURATION
Nouveau nom, nouveau système :
Acorn continue son grand ménage
,
Depuis qu'il se restructure l'Anglais Acorn à le vent en poupe et souhaite
en profiter. Même si cela se fait au détriment de ses plus fidèles
utilisateurs.
p re n d re des s ig n ific a tio n s re g re tta b le s . Les
rum eurs annoncent que le nouveau nom serait
Elément 14 Limited (l'élém ent 14 correspondant
au silicium ).
RiscOS 4 est là !
Acorn se rattrape tout de même en distribuant
dès ce mois-ci la quatrièm e version de RiscOS,
lequel fête cette année son dixièm e anniversaire
(son prem ier nom était A rth u r). Au menu des
nouveautés : nom s de fichiers longs, limite de
8 0 0 0 0 fichiers par dossier, m eilleur gestion du
• La vid éo sous RiscOS
Warm Silence Software proposait
un outil permettant la conversion et
la lecture en temps réel des vidéos
aux formats Avi et Quicktime sur
les machines Acorn disposant de
Replay. Ufinit actuellement
l'adaptation et l'amélioration d'un
moteur Mpeg gérant te son. Ce
programme permet aussi de lire les
Vidéos CD. La qualité est à peu
près équivalente à cette du player
Xing. Un StrongArm s'avère
nécessaire, llfov prévoit d ’autres
produits du même genre, tel un
lecteur defichiers Real Audio. Wss :
www. warmsi/ence.démon.co.uk
m ultitâche, nouveau jeu d'icônes et préférences
nettem ent plus ergonom iques. Cela dit, RiscOs
A corn et à screen.
4 ne perm et toujours pas la transition vers le
d iv is io n
m od e 32 bits des d e rn ie rs p rocesseurs Arm.
W o rkstatio n (v o ir Dream No 5 7 ) et la
C oncrètem ent, RiscOS 4 tourne sur tout RiscPC
vente de parts Arm , le co nstructeur veut
dont le processeur revêt la form e d'un Arm 6,
d é s o rm a is c h a n g e r de nom ! C e tte a ttitu d e
Arm 7, Arm 8, StrongArm 110 ou d'un StrongArm
A
p rè s
la
fe rm e tu re
de
sa
m é rite un m a g n ifiq u e ca rto n ro u g e , s u rto u t
120. En revanche, il plantera invariablem ent sur
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
quand on sait qu'ailleurs, les acteurs du m onde
to u t A rm 7 T , A rm 9 ou A r m l O . C e qui lim ite
alternatif se battent systém atiquem ent pour que
quelque peu la carrière des cartes accélératrices
perdurent les m arques d'hier, tel Am iga ou Atari.
tio n d 'o r d in a t e u r s et de lo g ic ie ls h a u ts de
sur RiscPC.
Java aussi
Une b o n n e n o u ve lle n 'a rriv a n t jam ais seule,
Acorn continue de développer son java Runtime
Environm ent 1.2 (jre 1.2). C ertes il m anque le
Jdk, ainsi que la nouvelle m achine, le Phoebe,
g a m m e : les o rd in a te u rs A co rn (A rc h im è d e ,
qui avait été prom ise. C ep end ant, ce portage
RiscPC, N C ) ont toujours su se placer com m e les
p ro m e t d 'ê tre e n co re une fo is l'un des plus
Acorn sem ble persister dans ce m anque d ’am our
p ro p re qui le ca ra c té rise d ep u is le d é b u t. La
société, vieille de ving t ans, sym bolise pourtant
l'une des plus fabuleuses com pagnies de fabrica­
plus rapides dans leurs d o m ain es. La firm e ne
rapides et l'un des plus aboutis du marché.
voit cep end ant que le côté péjoratif de son nom
w w w .a co rn .c o m (et peut-être bientôt : www.e-
(en anglais, Acorn signifie "gland"), lequel peut
14.co m ).
POCKET
Bougez avec Psion France !
Le site Internet de Psion France fait peau neuve !
Outre les descriptions des logiciels com m erciaux
" »5i. •
Avec vous.
Partout.
S IlOIN
F R ANC E
proposés par Psion France et ses revendeurs et les
présentations de la gam m e et des accessoires, une
nouvelle rubrique appelée "Le Shareware/Freeware
de la sem aine" a été introduite. Un logiciel sera
ainsi décrit et décortiqué de façon hebdomadaire,
P R O M O P
I O H 6
Cu>4‘>—Pi W mr ! * * * » U
Roule P I m » • SU cet H jn r w r ‘99 • Fat GoJKtn
-50f
-M F
-58F
C h e f* • 5 ty*o Duo * Bcffiti Trad • Mooey
*56 f
-38 F
-58 F
-»F
C o re w ct FUoti 2 0 Mo • 5 S0 Ftesh t Mo • S 5 0 F l » h 2 Mu
uniquem ent sur Sériés 5 dans un premier temps,
-389 f
puis sur Sériés 3a/c/m x par la suite... Il s'agit d'un
Sériés 3mx
très bon point pour Psion France, qui sait à quel
point ses clients apprécient les nouveautés ! Tous
nos encouragements à Eric Finkel, le W ebmaster,
auteur des incontournables CD-Roms de com pila­
tion shareware ! http://www.psion-fr.com
-3MF
-388F
N8 0 VE A0
U SHAREWARE
DELASEMAINE
ChaqueiwnwmPbop
fran c* «a*» p*A c n te ut
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Le rivage des sites.
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Aidez-nous à am éliorer le magazine
et gagnez par tirage au sort
10 abonnements d'un an au
magazine !
Vos habitudes
1. Depuis quel numéro lisez-vous
1 2 . Pour ch acune de ces affirmations êtes-vous : 1. T o u t à fa it
r. O Studio M ultimédia
s. □ SVM
(■ Qj v jrus informatique
u . O A u t r e : ......................................
2. La première fois, comment
avez-vous découvert Dream ?
a. 0 Par hasard chez un marchand de journaux
b. 0 Par une publicité dans
d'autres magazines
1.D P C T e am
2. D Studio Multimédia
3. □ Autre : ............................
c. G En regardant la télé ou en
écoutant la radio
d .G Par l'affichage publicitaire
e. G Parce qu'il vous a été
prêté/recommandé par votre
entourage
f. 0 Sur le Net
g. G Autre:......................................
g Quels autres m agazines (non
informatiques) lisez-vous ?
a □ Ça m'intéresse
d □ Eurêka
c . □ La recherche
d □ Science et avenir
e. O Science et vie
f r j Autre :
9
Le m agazine
pour chacune de ces affirmations êtes-vous : . T o u t à fa it
1
d'acco rd , 2. P lu tô t d 'accord , 3.
pas g u to u t d'accord
a D r @ a m est bien présenté et
agréable à lire
1 .0 2 .0 3 .0
d 'accord , 2. P lu tô t d 'acco rd , 3.
Pas du to u t d 'acco rd
j. O Perl
k. O Schem e
I. O Autre : .............................................
.......................................................................
a. Les actualités doivent être plus
généralistes
1. 0 2 . 0 3 .0
b. Les actualités doivent donner
plus de détails techniques
1 .0 2 .0 3 .0
c. Les actualités doivent être plus
faciles à com prendre
1 .0 2 .0 3 .0
d. Les actualités doivent intégrer
l'information relative à W indow s
1. 0 2 .0 3 .0
e. Les actualités doivent être
mieux illustrées
1 .02.03.0
a. Quelle nouvelle rubrique souhaiteriez-vous voir apparaître
dans d r © a m ?
..................................................................
...................................................................
...................................................................
b. Sur les derniers numéros, quel
dossier de d r © a m avez-vous particulièrem ent apprécié ?
...................................................................
...................................................................
13. Dans les tests de produit,
trouvez-vous les notes...
a. O trop sévères
b. O justes
c. O trop indulgentes
c. Quels dossiers souhaiteriezvous voir traités ?
...................................................................
...................................................................
...................................................................
17. Vos souhaits rédactionnels
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
3. Où achetez-vous généralement
dr@ a m ?
a. G Vous êtes abonné
b. □ En kiosque 1 à 4 fois par an
c. □ En kiosque 5 à 10 fois par an
b. Le sommaire est clair et je me
repère bien
1. O 2 . 0 3 . 0
c. J'apprécie les personnages dessinés qu'on retrouve tous les mois
dans !e m agazine
1 .0 2 .0 3 .0
14. Pour chacun de ces thèm es
régulièrem ent abordés, trouvezvous le niveau technique :
1. tro p ard u , 2. ju ste , 3. tro p
d. Quels logiciels souhaiteriezvous voir abordés en rubrique
pratique ?
...................................................................
.......................................................................
d.G En kiosque tous les mois
10. A l'avenir, com m ent souhai­
sim p le
.......................................................................
4. En vous comptant, combien de
personnes ont lu votre exemplaire
teriez-vous voir évoluer les
rubriques de d r © a m : . plus de
pageS/ 2 . autant de pages, 3.
deOR®AM?......................................
moins de pages
5. Combien de temps mettezvous pour lire un numéro de
DR@AM(en heures) ? ....................
a. Présentation C D 1 . □
b. Actualités
1. □
c. Labo
1. 0
d. Découverte
1. 0
e. En pratique système
a. Configuration système
1 .0 2 .0 3 .0
b. Installation Linux 1 . 0 2 . 0 3 . 0
c. Internet
1. 0 2 . 0 3 .0
d. Program m ation 1 . 0 2 . 0 3 . 0
e. Réseaux
1.02.03.0
f. Tests de nouveaux produits
1 .0 2 .0 3 .0
e. Quelles technologies souhaiteriez-vous voir exposées dans
"Découverte" ?
...................................................................
..................................................................
...................................................................
6. Une fois lu, combien
de fois
reprenez-vous le magazine pour
1
f;
.
.
7. Quels magazines informatiques
lisez-vous regulierement ?
a. G .net
b.G .net Pro
c. G
Informatique
d.G Distributique
e. G Génération PC
f. G Info PC
g. G Informatiques Magazines
h. G Linux France
i. G Linux Journal
j. G PC Expert
k. G PC Fun
I. 0 PC Mag
mG PC Max
n.G PC Team
. G Pirates
p. G Programmez
g. G Puces Informatiques________
01
0
3 .0
2 .0 3 .0
2 .0 3 .0
2 .0 3 .0
1 .0 2 .0
pratique logiciel
le consulter?.....................................
,
2 .0
1g
3 .0
^ '2
g. Programmation 1 . 0 2 . 0 3 . 0
h. M icrostory
1 .0 2 .0 3 .0
. Courrier
,a
2 n 3n
1 1 . Quel espace éditorial souhai­
teriez-vous voir accorder à
chaque système : 1. Beaucoup de
place, 2. Juste quelques pages, 3.
N'a pas sa place dans le m agazine.
a. Am igaOs
1 ,0 2 .0 3 .0
b. AtariOs (TO S et dérivés)
1 .0 2 .0 3 .0
c. BeOs
1 .0 2 .0 3 .0
d. Java
1. 0 2 .0 3 .0
e. Linux
1. 0 2 . 0 3 . 0
f. M acOS
1 .0 2 .0 3 .0
g. OS/2
1 .0 2 .0 3 .0
h. RiscOs
1 .0 2 .0 3 .0
i. W indows
1 .0 2 .0 3 .0
i. Autre : ................................................
i s . Quel thèm es souhaiteriezvous voir aborder plus souvent
dans nos rubriques pratiques et
program m ation ?
a. O Configuration système
b. O Installation Linux
c. O Réseaux
d. O Interfaces graphiques
e. O SGBD
f. O Graphism e
g. O Son
h. O A u t r e s :.......................................
16. Quels langages souhaiteriezvous
a. O
b .O
c. O
d. O
e. O
f. O
g. O
h. O
voir aborder ?
Assem bleur
Basic
C
C++
Cam el
Cobol
Java
Lisp
Le CD-Rom
18. Pour ch acune de ces affirma­
tions concernant le CD-Rom ,
êtes-vous : 1. T o u t à fa it d'accord,
2.
P lu tô t d 'acco rd , 3. Pas du to u t
d'acco rd
a. Le C D est simple d'utilisation
1. 0 2 .0 3 .0
b. Le C D fonctionne généralem ent bien
1.02.03.0
c. Le contenu du C D est varié
1.0 2 .0 3 .0
d. Le contenu du C D est inédit
1. 0 2 .0 3 .0
e.
d'information
1. 0 2 .0 3 .0
19. Q ue souhaiteriez-vous trouver en plus sur le CD-Rom ?
..................................................................
..................................................................
..................................................................
..................................................................
20. Le C D -R om est aujourd'hui
i. O -Pasc-aJ---------------------------------gratuite m e nt livré avec les---------
Le C
m agazines. Si cette gratuité était
remise en question, quel supplé­
m ent de prix accepteriez-vous de
payer pour le m agazine et ses
CD ?
a. G Aucun
b . D 3 francs
c. D 5 francs
Vous
21. Qui êtes-vous ?
a. G Un hom m e
b. O Une fem m e
22. Quel âge avez-vous ?
Si vous lise z D ream à t it r e
p e rso n n e l
Si vous ne lisez d r @ a m qu'à titre
professionnel, merci d'aller d irec­
tem ent en question 37.
23. Quelle est votre profession ?
a.
b.
c.
d.
e.
f.
G
G
G
G
G
G
g- G
h. G
i. G
j- G
k. G
I. G
mG
Sans profession
Agriculteur
Artisan/commerçant
Chef d’entreprise
Profession libérale
Cadre supérieur
Cadre moyen
Employé
Ouvrier
Enseignant/Chercheur
Collégien/Lycéen
Etudiant
Retraité
24. Quels ordinateurs avez-vous ?
a. G Amiga
b. G Atari
c. G Acorn
d. G Com patible PC 486 et infé­
i. G W indow s
j. □ W indow s NT
k. □ Autre : ................................................
26. Q uels périphériques avezvous ?
a. □ Appareil photo num érique
b. G Carte d'acquisition vidéo
c. □ Carte 2D
d. G Carte 3D
e. □ Carte réseau
f. G Contrôleur SCSI
g. G G raveur de CD
h. G Im prim ante
i. G Lecteur CD
j. G Lecteur DVD
k. G Lecteur Zip
I. G Port USB
m .G Scanner
n. G Autre : ................................................
27. Quel type d'accès Internet
utilisez-vous ?
a. G Aucun
b. G M odem 2 8 .8
c. G M odem 33.6
d. G M odem 56
e. G Num éris
f. G Câble
g. G Autre : ................................................
28. A quelles fins utilisez-vous
votre m icro ?
a. G Bidouilles
b. G Bureautique
c. G C onception de sites W eb
d. G Culture/éducation
e. G G raphism es
f. G Jeux
g. G M usique : création musicale
h. G M usique : écoute de M P3,
M ods, CD-audio
i. G Pao, mise en page
j. G Photo num érique, retouche
k. G Program m ation
I. G Recherche sur Internet
m .G Video numérique
n. G Autre : ................................................
f. G Autre : ..............................................
3 1 . Quel budget pensez-vous
consacrer cette année à vos achats
de logiciels et de matériel ?
a. G 1 à 5 0 0 francs
b. G 501 à 1000 francs
c. G 1001 à 50 00 francs
d. G plus de 50 00 francs
3 2 . Pensez-vous acheter un nou­
veau matériel cette année ?
a. G Com patible PC
b. G N etw ork Com puter
c. G PowerM ac
d. G Station Alpha
e. G Station Silicon
f. G Station Sun
g. G Autre : ................................................
3 3 . Pour vos achats de matériel
et de logiciels, à quoi vous fiezvous ?
a. G Aux articles parus dans la
presse
b. G A l'inform ation sur le lieu de
vente (ve n d eu rs...)
c. G A la publicité
d. G Aux conseils de votre
entourage
e. G A ux forum s/discussions sur
Internet
f. G Autre : ................................................
34. Où effectuez-vous vos achats ?
a. G En boutique spécialisée
b. G En grand magasin spécialisé
(Fnac, S u rco u f...)
c. G En grande surface
d. G Par correspondance
e. G Sur Internet
f. G Autre : ................................................
G
G
G
G
G
G
g- G
h. G
i. G
i- G
a.
b.
c.
d.
e.
f.
Moins d'1 MF
De 2 à 5 MF
De 6 à 10 MF
De 11 à 30 MF
De 31 à 50 MF
De 51 à 100 MF
De 101 à 200 MF
De 201 à 500 MF
De 501 à 999 MF
Plus de 1000 MF
39. Com bien de salariés compte
votre entreprise ?
a. G 1 à 5
b. G 6 à 9
c. G 10 à 49
d. G 50 à 99
e. G 100 à 199
f. G 200 à 449
g. G 500 à 999
h. G Plus de 1000
40. Quelle est votre fonction au
sein de cette entreprise ?
a. G Chef d'entreprise/
PDG/Gérant
b. G Directeur/Chef de Service
c. G Ingénieur/Cadre/
Chef de projet
d. G Technicien/Agent de
Maîtrise/Employé
e. G Profession
libérale/Consultant
f. G Enseignant/Etudiant
g. G Autre : .......................................
41. Quel est votre environnement
de travail ?
a. G DOS
b. G OS/2
c. G Unix commercial
d. G Linux et dérivés
d. G W indows
e. G W indows NT
f. G M acOs
g. G Autre : ................... ...................
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
rieur
e. G Com patible PC Pentium et
supérieur
f. G Mac
g. G Netw ork C om p uter
h. G Pow erM ac
i. G Station Alpha
j. G Station Silicon
k. G Station Sun
I. G Autre : ................................................
25. Quels systèmes utilisez-vous ?
G Am igaO s
G AtariOs (Tos et dérivés)
a.
b.
c.
d.
e.
f.
g.
h.
O BeOs
O DOS
G Linux (et dérivés)
G M acO S
G OS/2
G RiscOs
29. Avez-vous une console de jeu ?
a. G Playstation
b. G N intendo 64
c. G G am eboy
d. G Satum
e. G Autre console : ..............................
30. Avez-vous une m achine de
poche ?
a. G PalmPilot
b. G Psion
c. G W indow s CE
d. G T I9 2
e. G HP48
Merci de renvoyer cette page à Posse Press/Sondage
d r@ a m ,
76, rue de la Fontaine au Roi, 75O U Paris.
..................................................... Prénom : ................................................
...................................................................................................................
Code Postal : ........................................ Ville : .......................................................
Téléphone : ..........................................
Nom :
Adresse :
M e rc i d 'a v o ir ré p o n d u à ce q u e stio n n a ire . En a p p lica tio n d e l'a rticle 2 7 d e la lo i 7 8 -1 7 du
6 ja n v ie r 1 9 7 8 , les in fo rm a tio n s q u i vous son t d em a n d ées sero n t exp lo itées d a n s un but d 'a n a ­
lyse g lo b a le et non n om in ative.
Pour p a rticip e r au tirage au so rt, co m p létez le co u p o n a ve c vos coo rdo n n ées et ren vo ye z ce
so n d a g e a va n t le 31 m ars 1 9 9 9 , le ca ch e t d e la p o ste fa isa n t foi. V aleur d e l'a b o n n em en t :
3 2 9 fra n c s. R è g le m e n t d é p o sé a u p rè s d e M a îtr e C o h e n -S c a li, H u is sie r d e Ju s tic e à P a ris.
P articipation lim itée à un b ulletin p a r p a rticip a n t.
35. Avez-vous déjà acheté du
matériel d'occasion ?
a. G Oui
b. G Non
42. A quoi est relié votre micro ?
36. Avez-vous déjà acheté des
logiciels d'occasion ?
a. G Oui
b. G Non
Si vous lise z D ream à t it r e
p ro fessio n n e l
Si ce n'est pas le cas, merci de
passer à la question 44.
37. Q uelle est l'activité principale
de votre société ?
a. G Constructeur/
Editeur inform atique
b. G SSII/VAR
c. G Distributeur inform atique
d. G Industrie
e. G B âtim ent/Travaux publics
f. G Com m erce/D istribution
g. G Hôtellerie/
Restauration/Tourism e
h. G Transports
i. G Banque/Finance/Assurance
j. G Administration/Collect. locale
k. G Enseignem ent/Recherche
I. G Autre : .............................................
38. Quel est le chiffre d’affaires
de votre société ?
a.
b.
G
G
A un réseau local
A un mini ou un mainframe
43. Com bien y a-t-il de micros
dans votre entreprise ?
a. G 1 à 5
b. G 6 à 9
c. G 10 à 49
d. G 50 à 99
e. G 100 à 499
f. G 500 et plus
à ajouter un
petit com m entaire :.......................... I
44. N'hésitez pas
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2 75 F
2 85 F
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425
INTERFACE MIDI PROMIDI [in - through - out x2 + câble + so ftw are + manuel]
215
Câble pour moniteur 1084 S (2 mètres) 100 F
pour 1 0 8 4 SPI (2 mètres) 115
LECTEUR INTERNE AMIGA 500
285
LECTEUR INTERNE AMIGA 6 00 / 1 20 0 [p r é c i s e z SVP]
2 85
Connecteur pour 2 manettes port joystick
45
KIT [avec software + câble multi standard 2 mètres] de transfert de fichiers AM IGA < = >
Le kit transfère également le data de
DATA SWITCH
SO U RIS AM IGA
125 F - 2 pour 2 2 0 F 3 pour 3 00
Boules de souris [diamètre 22 mm]
15 F
10 pour 105
Câble Péritel 2 mètres pour tous Am igas: 95 F - 2 pour 150
F
Câble Péritel pour C D 3 2 [modèle avec 3 fiches banane]
95
F
Q U AD RU PLEU R de M A N ETT ES:
50 F 4 pour 150
F
Prise IDC 25 broches mâle / femelle (précisez SVP)
14
F
Câble pour moniteur 1 0 8 3 S (2 mètres)
115
F
Câble pour moniteur 1 0 8 4 D (2 mètres)
125
F
Câble pour moniteur Philips C M 8 8 3 3 Mk2 (2 mètres)
115
F
Câble double rallonge ports souris et joystick
45
F
ALIM ENTATION 2 2 0 /2 4 0 V POUR CD 32
2 25
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T H E M E P A R K -A 1 2 0 0
75 F
P O W E R D R IV E (F)
35 F
T H E M E P A R K -A 6 0 0
125 F
P R IM A L R A G E
95 F
T U R N IN G P O IN T S -A 5 0 0 -
F - 1 9 S T E A L T H FIGHTER - A 5 0 0 / 2 0 0 0
125 F
R A IL R O A D T Y C O O N
E X IL E -A 1200
A-320 AIRBUS I I ......................
135 F
E X IL E - A 6 0 0
B-17 FLYING F0R T R ESS -5 0 0 /6 0 0 -
125 F
F -1 5 II (M icroprose)
45 F
125 F
75 F
145 F
. .
F
F
F
F
F
F
( P r i x T . T . C . p o r t c o m p r is ) :
AUEN BREED 3D2 Killing Grounds
BUTZKREIG (WARGAME)
495
175
65
40
110
195
..
125 F
125 F
. .
55 F
U .F .O . (A 6 0 0 )
125 F
125 F
BLOODNET (F) - A 1 20 0 . . .
110 F
F IE L D S O F G L O R Y (W B 2 + )
125 F
RO AD RA SH
95 F
U .F .O . (A 1 2 0 0 )
BLOODNET (F) -A500 + /A 600
110 F
F IE L D S O F G L O R Y -A 1 2 0 0
125 F
S E N S IB L E G O LF
95 F
V IR T U A L K A R T IN G - A l 2 0 0 (F)
75 F
125 F
S E N S IB L E S O C C E R E U R O C H A M P
75 F
W H IT E D E A T H (W A R G A M E )
45 F
95 F
BUBBLE & SQUEAK -A 1 20 0
65 F
G U N S H IP 2 0 0 0
BUBBLE & SQUEAK -A 6 0 0
65 F
I m p o s s ib l e M is s i o n 2 0 2 5 ( v f ) a 6 0 0
S E N S IB L E W O R L D O F S O C C E R
95 F
W IN G C O M M A N D E R
CHAOS ENGINE AGA -A 1 2 0 0
65 F
I m p o s s ib l e M is s i o n 2 0 2 5 ( v f ) a 1 2 0 0
95 F
SH A Q F U -A 1200-
60 F
W O R M S (V F)
J A M E S PO N D 2 (F) -A 1 2 0 0
35 F
S IL E N T S E R V IC E 2
CIVILIZATION...................
CRIME DOES NOT PAY (Titus) . .
COLONIZATION (F) . .
DESERT STRIKE
. .
DOGFIGHT (Microprose)
115 F
45 F
125 F
125 F
95 F
ROM
S K E L E T O N K R E W (F) - A 1 2 0 0
85 F
S P E C IA L F O R C E S (M icroprose)
.
95 F
W O R M S D irecto r's C u t -AGA-
145 F
75 F
X T R E M E R A C IN G -A 1 2 0 0 -
75 F
95 F
X tre m e R acing A G A : 2 D A T A D IS K S
55 F
95 F
Z E E W O L F 1 (NF)
45 F
Z E E W O L F 2 W ild Ju s tic e
65 F
35 F
S T A R L O R D (M icroprose)
S T R E E T R A C E R (A 1 2 0 0 n on-Escom ] 1 2 5 F
75 F
S U P E R S K ID M A R K S - A 1 2 0 0
85 F
ZEEW O LF 1 + ZEEW O LF 2
95 F
. .
45 F
SUP ST. FIGHTER 2 TURBO (F)-A1200
95 F
Z O O L (F) - A 5 0 0 / 6 0 0
35 F
P IN B A LL F A N T A S IE S A G A - A l 2 0 0
65 F
S U P E R T E N N IS C H A M P IO N
75 F
C O M P IL A T IO N (2) A 1 2 0 0 :
P IN B A LL IL L U S IO N S (F) A 1 2 0 0
95 F
T E S T A M E N T -A 1 2 0 0 /4 0 0 0 -
N IG H T H A W K F -1 1 7 A 2 .0
95 F
115 F
125 F
, .
95 F
N ICK F A L D O G O L F
EUTE 2 (Version Française)
S E L E C T IO N J E U X A M I G A C D
M IN S K IE S the Abduction -A 1 2 0 0
95 F
115 F
Evolution HUMANS 3 (F) A 1 2 0 0
M IC R O P R O S E G R A N D P R IX F1
95 F
DUNE 2 ........................................
DUNGEON MASTER 2 (VF) A 1 2 0 0
. . 95 F
O D Y S SEY A 600 /1 20 0
-v 3 .0 1
............
P G A E U R O T O U R G O L F -A G A -
et
CD
. .
3 2 ( P r i x T . T . C . p o r t c o m p r is ) - L e s " C D
. .
125 F
.
F E A R S + R O A D K IL L + L E G E N D S (F)
R O M " s o n t p o u r A m ig a 1 2 0 0 / 4 0 0 0
145 F
+ le c te u r C D
125 F
BRUTAL PAWS OF FU RY (VF)
50 F
E L IT E 2 .
95 F
M A R V IN M A R V E L L O U S
45 F
S T R E E T R A C E R [CD R O M ]
BUBBA'N'STYX (F) . .
45 F
E V O L U T IO N H U M A N S 3 (F)
95 F
M EA N A R E N A S (F)
45 F
SU P ER LEA G U E M AN AG ER
75 F
CASTLES 2 ..............................
45 F
E X IL E
50 F
N A U G H T Y O N ES
60 F
S u p e r S t r e e t F ig h t e r 2 T u r b o (F)
95 F
Alfred CHICKEN (F) . .
35 F
G U A R D IA N
CHUCK ROCK 1 ( F ) ------
50 F
HUM ANS 1 + HUM ANS 2
CHUCK ROCK 2 ( F ) .............................
65 F
L E G E N D S (F)
CIVILIZATION AGA ICDROM ]
125 F
.....................
. .
LIB ER A T IO N C A P T IV E 2
.
125 F
75 F
P R E M IE R E (F)
45 F
T H E M E PA R K (CD R O M ]
45 F
S O C C E R KID
50 F
U L T IM A T E G LO O M [CD R O M ]
125 F
95 F
S P E R IS L E G A C Y (Doc F) CD 32/C D R O M
95 F
U L T IM A T E S K ID M A R K S [CD ROM]
125 F
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d'ores et déjà faire et sur ce à quoi on peut rapide­
m ent s'attendre. Pour dissiper les m alentendus, il
n'est cependant pas inutile de co m m encer par un
petit rappel.
Com m ent ça m arche
L'im agerie 3D pose toujours deux problèm es dis­
tincts. Il s'agit d'une part de construire un modèle de
la scène, c ’est-à-dire de trouver un moyen de décrire
"in fo rm a tiq u e m e n t" le m o n de à rep ré sen te r, et, 1
d'autre part, de partir de ce modèle pour créer des
images en 2D , les seules pouvant apparaître sur un
écran (d 'o rd in ateu r ou de ciném a, en passant par
ceu x d'un casque de réalité v irtu e lle ...). En ce qui
concerne-la modélisation, deux techniques sont cou- !
ram m ent utilisées : la fam euse C SC et le maillage,
plus adapté lorsqu'on désire un haut niveau de réa­
Mais à quoi sert
Linux à part
faire tourner des
sites Web ?
Y a-t-il un
équivalent de
SuperMega3D ?
Le linuxien
débutant se
pose toujours
ces questions.
Dream tente ce
mois-ci d'y
répondre.
,
e g ra p h ism e 3 D , a p p lica tio n à la m ode par
lism e. L'affichag e (on dit le "rendu") s'obtient de
excellence, est depuis toujours intim em ent lié
diverses façons, selon les résultats escomptés et l’ap­
au m onde Unix : puissance de calcul, stations
c o n s titu e n t a u ta n t d 'é lé m e n ts fa isa n t d éfa u t a u x
plication visée.
C o n stru ctiv e Solid G eom etry (CSG)
C e p ro céd é, bien co nnu de tous les am ateurs de
autres plates-form es. M êm e M icrosoft éprouve de
POV, est le plus simple : on construit des objets com-
L
graphiques perform antes, logiciels très perfectionnés
grandes difficultés à entrer dans ce club très sélect,
p le xe s à p a rtir de p rim itiv e s plus sim p les et de
en d é p it d es m o y e n s fin a n c ie rs et m é d ia tiq u e s
quelques opérations de base, com m e la fusion d'ob­
d éplo yés. Sur ce créneau, G N U /L in u x occupe une
jets, l'intersection ou encore la d iffé ren ce... Cette
place à part. Ce système dispose de toutes les fonda­
m éthode perm et de décrire les scènes de manière
tio n s p o u r r iv a lis e r a v e c Ir ix (l'U n ix de S ilic o n
très concise et en m êm e tem ps précise, ce qui la
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
G rap h ics), mais il lui m anque encore les applications
rend parfaitem ent adaptée à la CAO ou l'architectu­
nécessaires pour form er une chaîne graphique co m ­
re. En revanche, elle convient nettem ent moins bien
plète. A l'heure actuelle, on voit enfin arriver des ver­
à des utilisations "artistiques", car les images engen- j
sions Linux de certains logiciels em ployés tradition­
drées gardent un aspect très "géométrique" : il s'avè­
n e lle m e n t sur S G I, sans co m p te r les a p p lica tio n s
re difficile, par exem p le, de m odéliser un homme
libres en cours de développem ent. Nous vous pro­
qui ne ressemble pas à Pinocchio !
posons donc de faire le point sur ce que l'on peut
M aillag e
Le maillage supprim e ce défaut : ici, on construit la
scène pratiquem ent "point par point" Chaque surfa­
ce se c o m p o se a in si d 'u n e m y ria d e de petites
facettes, avec une précision plus ou moins grande. Il
y a m oyen d'obtenir de cette façon des dinosaures
très réalistes, mais com m e toujours, tout se paie. La
principale difficulté du maillage provient de la fines­
se. Si elle dem eure trop faible, la scène s'avérera très
grossière et souffrira d'une absence totale de réalis­
me (ce qui va à rencontre de son objectif) ; ainsi, ce
qui d e va it rep résen ter une sphère ne sera qu'un
polyèdre. A l'inverse, au cas où le maillage est trop
fin, la quantité de calculs nécessaires pour engendrer
les images deviendra prohibitive.
Le rend u
La m anière la plus sim ple d'ob tenir des images à
partir du m odèle de la scène consiste sim plem ent à
trace r les arêtes des objets. On o b tient ainsi une
prem ière représentation de l'objet, appelée à juste
titre "fil de fer". Cette technique est susceptible de
s'am éliorer, en n'affichant que les parties visibles de
l'o b jet (o n é lim in e les "faces ca ch é e s"), d'autant
que l'étape suivante im pose de ne plus seulement
tra ce r les arêtes, m ais de réellem ent "rem plir" les
faces par des couleurs ou des textures. Pour pous­
ser le ré a lis m e e n co re p lu s lo in , on p eu t tenir
compte de l'éclairement des faces (plus une face
est éloignée d'une source de lum ière, plus elle res­
tera sombre) et "lisser" l'affichage en espérant sup­
primer la "granularité" due au m aillag e. En fin , si
l'esthétique représente le principal objectif, on utili­
se la méthode du "lancer de rayons" (ra ytra cin g ),
qui tranche radicalement avec les p rocédés cla s­
siques. Ici, le logiciel étudie la trajectoire des rayons
lumineux dans la scène, en te n a n t co m p te des
réflexions, des réfractions et de la nature des m até­
riaux (brillant, mat, etc.). En revanche, com m e ch a ­
cun sait, le très haut réalism e des im ag e s ain si
obtenues se paie par un énorme besoin de puissan­
ce de calcul, si bien que créer une seule im age par
ray-tracing peut parfois prendre plusieurs heures.
A chacun sa t e c h n iq u e
Il importe de com prendre q u 'il n 'e x is te pas de
méthode absolument meilleure qu'une autre. Tous
les procédés évoqués se trouvent utilisés, ch acun
étant parfaitement adapté à un ty p e d 'a p p lic a ­
tions. C la ssiq u e m e n t, le s lo g ic ie ls d e C A O
emploient la CSG, avec un affichage en fil de fer
pour une très grande précision, tandis que les jeux
Le télescope Hubble, modélisé avec BRL-CAD.
d’arcade et autres sim ulateurs s'app uient sur une
forme très simplifiée de C SC et un affichage textu-
G u illau m e G ira rd , qui p ro g ram m e en assem b leur
ré, avec éventuellement des effets d 'éclairag e. Le
sous O S /3 6 0 ).
maillage est quant à lui destiné surtout aux m od é­
M esaGL
lisations scientifiques et au se p tiè m e a rt, leq uel
L'utilisateur de Lin u x se trouve en fait co nfro nté à
doit ensuite faire appel au lancer de rayons pour
un ch o ix : il peut soit acheter une "vraie" licence
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
OpenGL, MesaGL & co
obtenir des images d'un réalism e saisissant.
O p e n C L (p lu s ie u rs é d ite u rs d is trib u e n t O p e n C L
pour Linux ; les prix varien t m ais restent g én érale­
m ent assez élevés), soit utiliser M esa C L. C elui-ci se
p ré se n te en fa it co m m e u ne ré im p lé m e n ta tio n
Nous débutons notre visite des a p p lica tio n s 3D
libre d 'O penC L, sous licence G P L. Pour des raisons
sous Linux par OpenCL l'in co n to u rn ab le . O penC L
légales (entre au tre s), il n'a pas été possible pour
désigne une bibliothèque d'affichage 3D d évelop ­
l'in stan t de faire va lid e r la c o m p a tib ilité officielle
pée par Silicon Graphics et disponible aujourd'hui
de M esaC L avec O penCL (n é a n m o in s, la p rocédure
sur de nombreuses plates-form es, co n stitu an t par
est en co urs) ; il existe bien q uelques différences
conséquent un s ta n d a rd de f a it . En d 'a u tr e s
entre ces deux p rod uits, m ais en p ratiq ue, on les
termes, qu'il s'agisse d'un jeu ou d'un logiciel de
o u b lie ' trè s v it e . M e s a C L r e m p la c e to u t à fa it
CAO, il n'est aujourd'hui plus question (du m oins
O penC L et les a p p lica tio n s u tilisa n t celu i-ci fo n c ­
sous Linux) d’écrire des routines 3D "à la m ain ".
tio n n en t sans p rob lèm e. De fa it, il a réussi à s'im ­
On utilise les primitives O penCL. Celles-ci p erm et­
poser sous Lin u x , car il est fourni en standard et
tent de définir des objets, de les afficher selon d if­
em ployé par d éfaut. C ep e n d an t, si vous envisagez
férents paramètres (q u a lité du re n d u , é cla ira g e ,
d 'exp lo iter sérieusem ent des ap p licatio n s O penCL,
point de vue...), de créer des anim atio ns et bien
on ne peut que vous re co m m a n d e r de vé rifie r la
plus encore. P rog ram m er une a p p lic a tio n sous
versio n de M esa C L d ont vous d isp osez et, le cas
OpenCL plutôt que de réinventer la roue présente
é ch é a n t, d 'in sta lle r la d ern ière m ise à jo u r ( 3 . 0 ) .
un triple intérêt. En effet, l’intégralité du "m oteur
C elle-ci est co m p atib le O penC L 7.2 (soit la d ern iè ­
3D" se voit fournie par la b ib lio th è q u e , ce qui
re v e r s io n en d a t e ), s u p p o rte les c a r te s 3 D fx
représente donc autant de travail en m oins. Plus
V o o d o o l et Voodoo2 et p erm et, g râce au m ulti-
important, le p ro g ra m m e n 'e m p lo ie q u e d es
th re ad in g , d 'exp lo iter plusieurs processeurs en lan­
appels de haut niveau, dont l'im p lém entation peut
çant des calculs en p arallèle. En clair, M esaC L 3 .0
changer à tout mom ent. Ainsi, lors de l'installation
co m blera tout am ateu r de 3D sous Lin u x ; alors,
d'une carte accélératrice 3D, il suffit de rem p lacer
a u ta n t l'in s ta lle r to u t de su ite ! ( f t p :/ / ir is .s s e c .
les routines d'affichage logicielles par un d river de
w isc.e d u /p u b /M e sa ). Les futures versions p ro m et­
la carte, et l'application se v o it ainsi en m esure
ten t le sup port d'un plus grand nom bre de cartes
d’en profiter directem ent, sans qu'il faille la m odi­
accélératrices, m ais ég alem ent du 3 D N o w d'A M D ,
fier. Last but not least, OpenCL constitue une API
du M M X d 'In t e l et s u r to u t l'in c o r p o r a t io n de
standard, bien docum entée et d isp o n ib le sur un
M esa C L au co eu r du serveu r X fre e , p our a ffich e r
grand nombre de systèmes : a'utant de raisons de
des perform ances m axim ales.
la préférer à une so lu tio n "m a iso n " (s a u f p o u r
Pou r p ro g ra m m e r avec O p e n G L...
som m e toute assez rudim entaire, mais n'est pas inin­
téressant pour a u tan t. Résolum ent tourné vers la
création de scènes POV, il s'agit d'un petit modeleur
CSG particulièrem ent intuitif et convivial. Son utilisa­
tio n d e m e u re des p lu s c la s s iq u e s , avec quatre
fenêtres : trois d'entre elles affichent la scène selon
les trois axes et la quatrièm e présente la vue de la I
ca m é ra. C ette d ern ière est p aram étrable et peut I
offrir différents affichages, allant du fil de fer à un I
rendu assez réaliste, avec des ombrages et des tex- I
tures. Le rendu final se fait toujours via POV
;
une
I
option perm et de le lancer autom atiquem ent pour 1
obtenir directem ent l'im age résultante. AC3D n'est <
toutefois pas limité à POV, car il com prend quelques 1
autres form ats (aussi bien en sortie qu'en entrée),
parmi lesquels Renderm an, Softimage et Lightwave.
Il ne s'agit donc pas d'un outil destiné aux profes­
sionnels, mais d'un petit shareware sympathique et
peu coûteux (m oins de 250 francs), parfait pour une
utilisation grand public. Son principal défaut reste
une lenteur excessive, due probablem ent au langage
L'interface définitive p o u r PO V s'appelle 3dPM .
dans lequel le program m e est écrit (Tcl/Tk).
OpenGL en lui-m êm e n'a que peu d'utilité ; encore
Sced
faut-il l'intégrer dans un environnem ent com plet et
A prem ière vue, ce m odeleur ne présente que peu g
co h éren t. C'est en p articu lier le rôle de G LU T (G L
d'intérêt : de la CSG plutôt simpliste et une interface I
U tility T o o lkit), un ensem ble de prim itives de plus
qui co m m e n ce sérieusem ent à d ater. Pourtant, il I
haut n ive au , d estin é à fa c ilite r le d éve lo p p em e n t
s'agit d'un outil réellement puissant et unique à plus fl
d 'a p p lic a tio n s . Par a ille u rs , il e xiste des w id g e ts
d'un titre. Son originalité tient dans son concept de
OpenGL pour M otif, Q T et G TK , qui facilitent encore
"modélisation par contraintes" : la scène est construite
le travail aux program m eurs m anipulant ces toolkits
en imposant aux objets de base des contraintes quant
(il en va ainsi p o u r la q u a si-to ta lité des lo g iciels
à leur placem ent par rapport aux autres objets. Le
récents). Il faut savoir égalem ent que si OpenGL (et
logiciel perm et alors de faire subir toutes sortes de
donc M esaG L) est conçu initialem ent pour une utili­
m o d ific a tio n s à la s c è n e , en s'a ssu ra n t que ces
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
sation en C , on dispose éga­
contraintes se verront tou­
lem ent de "surcouches" pour
jo u rs re s p e c té e s . Il faut
des langages plus populaires
savoir égalem ent que Sced
a ctu e lle m e n t, co m m e C++,
est interfacé avec le langage
Scheme et fournit des fonc­
Python, Schem e et java.
tions Scheme pour créer des
objets, définir des construc­
La
m od élisation
tions CSG ou encore lesdites
contraintes. Dans ce domai­
ne, le logiciel délivre toute
H isto riq u e m e n t, les m o d e ­
sa p u issa n c e : ce rte s, les
le u rs 3D s y m b o lis a ie n t le
scènes peuvent être conçues
m a illo n fa ib le de la ch aîn e
à la main, mais aussi (et sur­
g ra p h iq u e 3D so us L in u x .
Am api, le m odeleur Linux p a r excellence
tout) engendrées automati­
C ela reste vrai a u jo u rd 'h u i,
quem ent
bien q ue les ch o ses so ie n t
gram m es en Schem e. Sced
p ar
des
pro­
enfin en train d'évoluer. Nous
s'o rie n te d o n c par défaut
ne p arlero n s pas ici de ces
vers une u tilisatio n "tech­
outils rudim entaires, com m e
nique" par des initiés ; en
X-Aero par exem p le, qui ne
revanche, il ne constitue pas
perm ettaient pas d'envisager
un "modeleur" dans le sens
une utilisation "sérieuse"
La
cla ssiq u e du te rm e et ne
liste des logiciels existant sous
satisfera pas les besoins de
L in u x s 'a v é ra n t d é s o rm a is
l'amateur de 3D lambda. Ses
longue, on se contentera d'en
p o ssib ilités d 'exp o rt n'ont
exam iner quelques-uns parmi
rien de considérable, mais le
plus im p o rtan t ne fait pas
les plus représentatifs.
A C3D
Ce
m o d e le u r
d e m e u re
Le lissage des facettes perm et de com penser
défaut : en effet, les rende-
l'imprécision du maillage.
reurs les plus courants du
jj
Distributeur français spécialiste de la vente dans les pays franco­
phones des distributions LINUX et des applications optim isées pour
ce système d’exploitation, KHEOPS vous propose un ensemble de
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red a t
C R O
m logiciels du Soleil m
A L T E R N A T I V E
A ? r t r v e^
I
i S o lu t io n
’REILLY
m onde Unix sont supportés (dont, bien sûr, POV et
plus grand nom bre, sous la forme d'un shareware !
Radiance), ainsi que le form at VRML. Parfait !
Blender est norm alem ent développé et utilisé sous
A m api
Am api fut le prem ier m odeleur digne de ce nom à
d isp o n ib le. Un grand bravo pour cette initiative !
Irix, mais un exécutable compilé pour Linux se trouve
a p p a r a ît r e so u s L in u x , p o rté d e p u is M a c O S .
Co ncrètem ent, Blender apparaît com m e un logiciel
Aujourd'hui, il ne représente plus un produit-phare,
tout à fait professionnel et très compétitif. Il ne s'agit
d'autant que la version Linux a quelques trains de
pas uniquem ent d'un modeleur, Blender étant tourné
retard par rapport à sa plate-forme d'origine, mais ne
avant tout vers l'animation. Une fois le logiciel bien
faiso n s pas la fin e b o u ch e : A m api reste to u t de
en m ain, on a moyen de réaliser facilement de véri­
m êm e un très bon m odeleur. En outre, il est share­
tables film s, composés d'animations, de transforma­
w are pour les linuxiens. La première fois, son interfa­
tions d'objets ou même de séquences de morphing.
ce u tilis a te u r d o n n e to u jo u rs l'im p re ssio n de se
L'affichage emploie bien sûr OpenGL (la version Linux
retrouver sur Mars, tant elle se m ontre exotique. Un
exige M esa 3 .0 ). Les seules véritables faiblesses de
m ode "tutoriel" guidant l'utilisateur pas à pas dans la
Blender restent l'absence d'un module de raytracing
co n stru ctio n de sa p rem ière scèn e, co n stitu e une
et son incapacité à exporter vers un logiciel comme
véritable aubaine ! Le logiciel modélise les scènes par
POV. Il est vrai, toutefois, que l'élaboration d'images
m aillage, en utilisant la m étaphore du m enuisier. Il
sta tiq u e s ne sym b o lise pas l'o b je c tif p rem ier de
p e rm e t de c ré e r d es fo rm e s de b ase (s p h è re s ,
Blender et que ce m anque se voit en partie compensé
cylindres, cubes, e tc.) que l'on peut ensuite déform er
par la qualité exceptionnelle du rendu.
à l'aide de divers outils, et de "sculpter" véritablem ent
Des logiciels libres ?
sa scène, au lieu d'assem bler seulem ent des briques.
A côté de ces titres, il existe plusieurs projets sous
Une fois de plus, le logiciel brille par ses possibilités
licence GPL. Aujourd'hui, deux des plus crédibles se
d 'im p o rt/e x p o rt. Les ad ep tes de POV sero n t ravis
nom m ent Moonlight Creator et MindsEye. Le premier
d'apprendre que leur rendereur favori se voit lui aussi
n'est pas inconnu aux lecteurs de Dream, puisqu'il fut
supporté. Attention toutefois, car Amapi travaille tou­
déjà testé dans le magazine. Ce logiciel s'avère encore
jours par m aillage : cette particularité se répercute
très jeune et n'a pas la prétention de jouer le rôle d'un
égalem ent sur les scripts POV, qui ne co n tien n en t
outil professionnel, mais il se distingue tout de même
que des listes in term in ab les de facettes. Il ne faut
par une très grande convivialité. Plus qu'un simple
d o nc pas trop espérer les rééditer à la m ain pour
m odeleur, M oonlight Creator intègre égalem ent un
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ajouter tel ou tel effet !
raytraceur (de qualité médiocre, toutefois) permettant
B lend er
de créer le rendu final. Dans l'ensemble, ce logiciel se
Blender représente à l'heure actuelle le plus avancé
révèle assez moyen, mais vu l'état d'avancement du
des produits disponibles. Il fut développé à l'origine
projet ( version 0.5 !), on peut encore s'attendre à une
par la société d'infographie NeoGeo en tant qu'outil
profonde évo lutio n. Une fois sortie, la version 1.0
de production interne, mais ses auteurs ont finale­
aurait des chances de devenir l'outil "par défaut" sous
m ent décidé de rendre disponible leur création au
Linux. L'autre outsider se montre bien plus ambitieux :
M in d sE ye in n o ve tous a zim u ts, avec
notamment une architecture ouverte. Il
a pour ambition d'apporter à la modéli­
sation 3D autant qu'fmocs à l'édition de
texte ou Cimp au traitement d'images.
Actuellem ent, MindsEye reste embryon­
naire. Le chemin à parcourir reste donc
encore très long, mais il représente déjà
tout ce qu'on est en droit d'attendre
d'une application Linux : une interface
g ra p h iq u e re s p e c ta n t les dernières
norm es en vig u eu r (axée sur Q T), le
principe désormais bien maîtrisé du "bus
logiciel", grâce auquel le programme a
moyen d'être personnalisé et étendu à
s m it'
l'infini, un affichage utilisant Mesa et une
p lein e e xp lo ita tio n des capacités de
Linux. MindsEye disposera par exemple
Raye Editer
de fonctions de "travail en réseau" avec
P age Name:
[Netscape
gestion des groupes, des versions, la
Texture U R L :
jdive://Xdiv e_t ext ure
possibilité d'un stockage centralisé des
U R L:
|http:/AwAv.sics.se/dive/
Cancel
Clear Ail
banques d'objets, etc.
L'em barras du choix
Bien ch o isir son m o d eleu r n'est pas
facile ; cela ne se résum e en aucun
Dive, un environnem ent com plet de réalité virtuelle p o u r Linux.
c a s p a r un "y 'a q u 'à p re n d re le
^
___________________________________________________________________________________
Dream prof
• PVM
Paraile! Virtual Machine est une bibliothèque permettant de programmer des applications
parallèles. Utilisée surtout sur des supercalculateurs parallèles, il y a également moyen de
l'émuler sur un simple réseau de stations ordinaires.
• MPI
Message Passing Interface est similaire à PVM, mais il s'agit cettefois d'une API normalisée,
qui s'impose progressivement en tant que standard. .4 terme, on peut s'attendre à ce que. MPI
remplace totalement PVM.
• C lu ste r
Blender n'o rien à envier aux ténors du genre.
Réseau de machines qui mettent en commun leur puissance de calcul au profit d'une
application, par exemple grâce à PVM.
exem p les ca rica tu ra u x. A b so lu m en t in co m p ré h e n ­
|h to h n tf}l
| Mater »J02
|M a te r ia l0 3
| M a te ria î0 4
sib le s de p rim e a b o rd , ces lo g icie ls fo n t p re u ve
| M ateriaJO S
d'une ergonom ie exem p laire, une fois co m pris leur
ffeîentf properües
Krc.'Tlt:05 1 Spécula:05
j] J -d-d J
■
Shnneïî 05 H Diffuse05
jû J
2J2J J
W os
-il J -il
■
-d
3$
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iu_d
J
J
J
J
J
J
_d
_d
_d
2J
-il
- tàtenai Lferary
m ode de fo n c tio n n e m e n t. D an s to u s les ca s, le
m eilleur logiciel n'est pas celui qui a le plus d 'o p ­
tions, m ais celui que l'on sait le m ieux m anipuler.
Le rendu
Si l'on peut dire que la m odélisation sous Lin u x n'a
pas encore gagné sa m atu rité, le rendu représente
en revanche un d o m ain e où le systèm e libre e xc e l­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
le, grâce à la puissance de calcul qu'il est capable
de d é liv r e r . L 'in t é r ê t d 'u t ilis e r L in u x p o u r ces
tâches réside en effet dans la cap acité de "passage
MindsEye, très prometteur mais encore très jeune.
à l'échelle" propre au systèm e. Rappelons qu'à par­
tir du noyau 2 .0 .3 5 , il sait e xp lo iter plusieurs pro ­
meilleur". Encore une fois, l'application visée aura le
ce sse u rs a v e c des p e rfo rm a n c e s re m a rq u a b le s .
dernier mot. Il faut adopter ou bien une solution
A vec un ren d ereu r m u ltith re a d , où plusieurs pro-'
intégrée (modeleur et ren d e re u r dans un m êm e
cessus parallèles ca lcu len t ch acu n une portion de
logiciel), ou bien une solution "hétérogène", avec
l'im a g e ,
un modeleur qui ne fait que m odeler et un rende­
p ro cesseu rs po ur d im in u e r d 'a u ta n t le tem p s de
reur qui n'a pas d ’a u tre rô le q u e de c ré e r des
calcu l. M ieux : lorsqu'il s'agit d'un raytracin g très
on
peut
m u l t ip li e r
le
n o m b re
de
images. La p re m iè re a p p r o c h e s e m b le p lu s
Où t r o u v e r les l o g i c i e l s ?
attrayante, mais il faut veiller à la qualité de l'en­
semble comme à celle des différents m odules. En
deux mots : s'il existait un m odeleur parfait intégré
Toutes les inform ations su r les logiciels évoqués dans ce dossier (et beaucoup
avec un rendereur infaillible, n'ayant besoin de rien
d'autres) sont disponibles dans la rubrique "Cad/3D" sur http://www.linuxapps.com.
d'autre pour a cc o m p lir des m e rv e ille s , to u t le
A n o te r éga lem en t l'ouverture p ro ch a in e p a r Les Logiciels Du Soleil du site
monde le saurait. Lorsqu'on a des exigences pous­
http://w w w .linux3d.com .
sées, on préférera to ujo urs u tilise r un re n d e re u r
Vous trouverez enfin un certain nom bre de ces produits sur le CD. Voici les sites
"externe1' spécialisé. Dans ce cas, il faut veiller à ce
des principaux logiciels cités dans ce dossier :
que les deux puissent facilem ent co m m u n iq u er par
des formats de fichiers co m m uns. Dans le m onde
A C3D : http://w w w .com p.lancs.ac.uk/com puting/users/andy/ac3dlinux.htm l
professionnel, il dem eure très co u ra n t de d evo ir
Blender : http://w w w .blender.nl
écrire des "moulinettes" en Perl, par exem ple pour
B M R T : http://w w w .seas.gw u.edu/student/gritz/bm rt.htm l
relier entre eux les différents logiciels em ployés. Un
Dive : http://www.sics.se/dce/dive/dive.htm l
autre piège concerne l'in te rfa ce g ra p h iq u e , é lé ­
M indsEye : http://m indseye.luna.net/
ment critique pour un m odeleur. Un (tro p ) grand
M oonlight Creator : http://w w w .cybersociety.com /m oonlight
nombre de produits se targue d'interfaces "co nvi­
PovRay : http://w w w .povray.org
viales", type traitement de texte qui, pour intuitives
RenderPark :
qu'elles puissent p araître, ne se révè le n t a b so lu ­
h ttp://w w w . cs.kuleuven.ac. be/cwis/research/graphics/RENDERPA RK/
ment pas efficaces à l'usage. Dans ce dom ain e, la
SART : http://helga.zesoi.fer.hr/~silovic/sart/
première impression est souvent trom peuse et, à ce
Sced : http://http.cs.berkeley.edu/~schenney/sced/sced.htm l
titre, Amapi ou encore Biender3D co n stitu en t des
co û te u x
te m p s
c o m p a r e r d if fé r e n t s a lg o r it h m e s de syn th èse
m a c h in e , on a m o ye n
d'im ages. A u jo urd'hu i, le produit dépasse ce cadre
d 'e m p lo y e r un lo g icie l
et prend la form e d'un outil de production doté de
u t ilis a n t PVM ou M PI
n o m b reu se s p o ssib ilités in éd ite s. RenderPark est
(c f . D ream Prof ) . A v e c
e n co re je u n e et ne b é n é ficie pas po ur l'instant
des sta tio n s o rd in a ire s
d ’une base in stallée co m p arab le à celle de POV,
(é v e n tu e lle m e n t m u lti­
m ais ce rendereur libre engendre des im ages d'une
p ro c e sse u rs) reliées en
q ualité p h o to g rap hiq ue. Nul doute qu'il fera cou­
clu ste r, on a ainsi l'o p ­
ler de l'e n cre dans les m ois qui v ie n n e n t, car il
p o rtu n ité de b é n é ficie r
rep résen te p ro b a b lem en t l'un des rendereurs les
d'une puissance de ca l­
plus p u issan ts qui e xiste n t, toutes plates-form es '
cu l é n o rm e
co nfo ndu es.
p r ix
La même scène rendue.
en
p o u r un
m o d iq u e . C e t t e
tech n iq u e fut em ployée
e n tre
a u tre s
pour
T i t a n i c ( e n v ir o n
200
statio n s A lp h a en c lu s­
Les autres
Une q u an tité im p ressio n n an te de raytraceurs est ,
d isp o nib le aujo urd 'hui pour Lin u x. Parmi les plus
in t é r e s s a n t s , on p e u t c it e r e n c o re Bluem oon .
R en d erin g Tools ( B M R T) et SART. B M R T offre en
ter sous L in u x ), m ais le
réalité une suite co m p lète, qui couvre toutes les
record actuel ap p artien t
é ta p e s , à s a v o ir la p ré v is u a lis a tio n rap id e des
à une é q u ip e a lle m a n ­
im ages et an im atio n s avec ou sans OpenGL, le ray-
de, qui vien t de m ettre
tra cin g et to u t ce que l'on a le d ro it d ’attendre
en
d 'un lo g iciel très p ro fessio n n e l. Un autre aspect 1
p la c e
un
c lu s t e r
Lin u x de 512 m ach ines
très in téressant de BM RT co ncerne l'utilisation des
a fin d e r é a li s e r ... d es
in terfaces Renderm an pour l'échange de données
effets sp éciau x pour un
e n tre
film .
L a n g u a g e . C e la p e rm e t d 'in t é g r e r fa c ile m e n t
lo g ic ie ls
et
du
R e n d e rm a n
S h a d in g
P ersistence Of Vision
B M R T d ans une ch a în e g ra p h iq u e et en fait un
I n u t ile
p ré se n te r
c o m p lé m e n t trè s o p p o rtu n de to u t m odeleur
POV, ce logiciel faisan t l'objet d'un véritable culte.
co m p atib le Renderm an. SART représente quant à
Un m odèle affiché en fil de fer.
de
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Rappelons tout de m êm e que dans sa dernière ve r­
lui un raytraceu r de bonne facture, dont l'immen­
sion, POV peut to ut à fait être em plo yé à des fins
se m érite consiste à utiliser Schem e en tant que
"sé rieu se s", g râ ce à la q u a lité du rendu et à ses
lan g ag e de d escriptio n de scènes. Schem e étant
nom breuses facu ltés. Il existe en fait d eu x versions
un v ra i la n g a g e de p ro g ra m m a tio n et non un
de P O V p o u r U n ix . La p re m iè re , d is trib u é e de
sim p le fo rm a t de fic h ie rs, on peut program mer
façon standard par le POV-Team, est à m an ipu ler
très fa c ile m e n t des scènes b e au co u p plus com­
d ans le cas d ’un sim p le o rd in a te u r m o n o p ro ce s­
p lexes, ou, pourquoi pas, leur ajouter de l'intérac-
seur. Elle s'avère e xa cte m e n t id entiq ue à celle des
tiv ité ... Par ailleurs, la logithèque Linux comporte
a u tre p la te s-fo rm e s ; p o u rta n t, son e x p lo ita tio n
é g a le m e n t une q u an tité im pressio n n an te de fra-
s o u s L in u x p r é s e n t e d e s a v a n t a g e s d e t a ille .
m ew o rks et de kits de d éveloppem ent de logiciels
C o m m e on ne risque pas de voir le systèm e "p lan ­
3 D . C ry sta IS p a c e , P ixco n & A n itro ll, Panorama,
on a la liberté de la n cer des raytra cin g s de
Panard Vision et bien d'autres p roposent tout le
p lusieurs heures (vo ire de plusieurs jours, s'il s'agit
nécessaire p o ur réaliser très facilem e n t des logi­
d'un film ), sans qu'il faille pour au tan t crain d re la
ciels 3 D , d ep u is les je u x ju sq u 'a u x systèm es de
p erte de lo ng ues heures de calcu ls à cause d'un
C A O les plus puissants.
dérapage ! Si l'on dispose d'une m ach in e m u ltip ro ­
cesseur (ou de plusieurs m a ch in e s), on aura to ut
Une station graphique sur son m icro ?
Si Lin u x possède surto ut une im age de "système
in térêt à se to u rn er vers PVM-POV, la version pour
po ur serveu rs" et que c'est en tant que tel qu'il
ter"
calcu lateu rs p arallèles. O n devra bien sûr installer
rem porte désorm ais un grand succès, on peut dire
la b ib lio th è q u e PVM (e n s ta n d a rd d a n s D e b ia n
c e p e n d a n t q ue le g ra p h ism e v ie n t en seconde
2 .0 ) pour p o u vo ir la lan cer, sach an t qu'elle s'utilise
p o sitio n parm i ses d o m ain es de p rédilection. La
de la m êm e façon que la version sta n d a rd ... à ceci
base de dévelo p p em ent disponible sur ce système
près que les calcu ls se d éro u len t en parallèle sur
est excep tio n n elle et des logiciels de rendu extrê-J
plusieurs processeurs et/ou plusieurs m ach ines du
m e m e n t c o m p é titifs ré p o n d e n t d'ores et déjà à
clu ster.
l'appel. Les m odeleurs existant sous Linux restent
R en d erP ark
POV n'est pas le seul ra y tra c e u r sous L in u x , loin
s'en fau t ! A cet égard, les n o u veaux logiciels qui
p o in t e n t le u r n e z p o u r r a ie n t b ie n lui v o le r la
ved ette. RenderPark fait partie de ceu x-là. Il s'agit à
en revanche encore en deçà des produits de poin-1
l'o rig in e d'un p ro jet de re ch e rch e s à l'U n ive rsité
Irix, N T ou M acO S !
te, et il faudra sans doute un tem ps relativement
lo n g p o u r c o m b le r le r e ta rd . La com binaison
g a g n a n te a u jo u rd 'h u i ? D é v e lo p p e r sous Linux,
créer le rendu sur un cluster Linux et modeler sous
C a th o liq u e de Le u v e n en B e lg iq u e , qui v is a it à
créer un logiciel e xp é rim en ta l, afin de tester et de
]akub Zimmermann i
M o n it e u rs
r r o
oc v i a e o
S c a n D o u b ler i n t e r n e ....................................................... € > b O F
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F
M o n ite u r 15" 0 . 2 6
F
M o n ite u r 17" 0 . 2 6 ........................................................... 2 9 5 0
F
M ite u b ie h i 17" 0 . 2 5 P lu e 71 ..................................... 3 5 9 0
F
M ite u b ie h i 17" 0 . 2 5 P lu e 7 2 ....................................3 9 9 0
F
miga - M a c i n t o s h - P C
3 9 0
F
2 250
F
9 9 0
F
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9 0 0 F
C y b e r e t o r m 2 3 3 M h z avec o e o à 50 MHz
9 9 0
F
....................2 5 9 0
F
P P C
............. 6
U lt r a - S C S I A 1 2 0 0
B liz z a r d 6 0 3 e + 1 6 0 M h z & 040 à 25
mhz
B liz z a r d 6 0 3 e + 200M hzsuppcrc060à50M H z
2 9 9 0
F
B liz z a r d 6 0 3 e + 2 0 0 M h z & 0 4 0 à 2 5 M H z .....................3 1 0 0 F
B liz z a r d 6 0 3 e + 2 0 0 M h z & 0 6 0 à 5 0 M H z .................. 5 2 9 0
F
B liz z a r d 6 0 3 e + 2 4 0 M h z
......... 3 5 9 0
F
B liz z a r d 6 0 3 e + 2 4 0 M h z& 0 4 0 à 2sMHz
3 6 9 0
F
B liz z a r d 6 0 3 e + 2 4 0 M h z& 0 6 0 à 5 0 M H Z
5 9 0 0
F
1 9 9 0
F
...................... 2 5 9 0
F
C a rte s
P P C
su p p o rt
oeo
à s o m h z
A 1 2 0 0
B liz z a r d 6 0 3 c 1 6 0 M h z& 0 4 0 à 2 5 M H z
B liz z a r d 6 0 3 e 2 0 0 M h z
3c
040 à 2 5
m h z
B liz z a r d 6 0 3 c 2 4 0 M h z& 0 4 0 à25M H z........................5 1 9 0 F
4 co n n e cte u rs in tern es M -f s lo t externe F (idéal C yb erstorm ) .............................................. 4 3 0
F
A d a p ta te u r S C S I
1 co nn ecteu r DSub6S> F vers 1 co n n ecteu r FIE10-50M .................................................................................1 9 0 F
A d a p ta te u r S C S I
1 connecteur D5ub6fi> F vers 1 co nn ecteu r F IE 1 0 -5 0 F ................................................................................. 1 9 0 F
A d a p t a t e u r ID E
C â b le S C S I - 2
1 co nn ecteu r IDE 2 1/2 vers 1 co nn ecteu r IDE 3 1/2....................................................................................... 5 0
!
F
Mini D 5 0 M vers D B 2 3 M ................................................................................................................................................... 1 2 0 F
Route départementale 523 • 3 6370 TENCIN
A tte n tio n à la h a u s s e d e s
b arettes d e m é m o i r e s S I M M
3 0 F
N a p p e S C S I UW 6 3 p t e
so n t d is p o n ib le s !
C y b e r s t o r m 2 0 0 M h z avec 04c à 25
u u
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........................1 4 5 0
W o rd w o rth 7 .0 f r a n ç a i s
Les b v is io n P P C b
C y b e r e t o r m 2 0 0 M h z support 040 ou 060
C a rte s
m a s s e
G r a v e u r C D S C S I T e a c R 5 5 S x 4 x12
Incroyable !!!
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1 5 0 0 F
M o n ite u r 17" 0 .2 5 ......................................................... 2 5 5 0
M é m o ir e s d e
u iv r a - V Y i« e
T é l. : 0 4 7 6 4 5 6 0
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Fax 0 4 7 6 4 5 6 0
5 5 • w w w .p r a g m a - i n f o .c o m
Frais de port :
Moniteurs et boitjer : 150 F
Connectique, RAM & logiciels : 25 F
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LE 5 A L O N
EM PLO I-FO RM ATIO N
22 et 23 janvier 1999
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Cyber Emploi
Métra : Parte de Champerret {ligne 3)
RER : ligne C Pereire
Bus : 83, 84, 92, 93, 163, 164, 165, PC
/V
Web : www.formatel.com
P
A . R
I S
Red Hat Linux 5.2
soit le site de l'éditeur.
Les docu m en tation s disponibles ont
connu de nombreuses améliorations.
Ainsi, mises à jour des FAQ, explication
plus pédagogique de l'installation et
Manhattan est m o rtvive Apollo ! ! ! Si la dernière version (5.2) du
Linux de Red Hat n'innove pas énormément elle apporte néanmoins
son lot d'améliorations et d'inventions.
,
approfondissem ent Linuxconf répon­
dent à l'appel.
In stallatio n à la carte
L'installation se décline désormais en
trois modes, ou classes :
L
a plus intéressante des ces nou­
de n o u velles cartes et des p é rip h é ­
velles fo n ctio n n a lité s est peut-
riques audio standard des SUN Sparc.
être la prise en ch arg e lors de
Les lecteurs désireux de connaître la
l’ in s t a lla tio n d es c o n fig u ra t io n s à
liste co m p lète des cartes reconnues
contrôleurs SCSI multiples.
a u ro n t m o yen de la n ce r sn d co n fig
machine sur laquelle est installée la 5.2
C e u x - c i d e v e n a n t trè s a b o r­
avec l'option -n o p ro b e . Cette optiôn
à un usage orienté. Le choix d'une de
d a b le s, il n'est plus irréaliste
invalide la détection des matériels PnP
ces deux classes rendra automatique le
d 'im ag in er une co nfig uratio n
et propose un menu déroulant, similai­
partitionnem ent du disque et définira
dotée d'un bus SCSI pour le ou
re à celui de Xconfigurator, vous per­
a priori les options de base.
les disques bootables, et d'un
m ettant de choisir le type de matériel
Le mode d'installation classique, per­
autre bus réservé au scanner
à gérer.
mettant de tout contrôler, comme les
et au graveur, ainsi qu'à son
Les im prim antes réseau NetWare sont
habitués de Red Hat l'ont connu jus­
d isque b u ffe r, par e xe m p le
d éso rm ais u tilisa b les à p artir d 'une
qu'alors, reste bien sûr disponible sous
sur un co n trô leu r non boo-
m ach ine 5 .2 , ce qui représente, au-
l'option custom.
ta b le . O n p eu t é g a le m e n t
delà d'une fonctionnalité sympathique
Toutefois, l'option encore méconnue,
envisager la mise en service
et intéressante sur le plan technique,
apparue avec la 5.0, et qui permet de
du RAID lo g icie l su r d e u x
un argum ent supplémentaire pour un
créer des configurations particulières,
bus séparés et équipés tant que faire
système destiné à s'intégrer sans soucis
en vue d ’installations multiples ou d'ar­
se peut de co n trô leu rs id e n tiq u e s ...
à un réseau d'entreprise.
chivage, reste disponible. En fait, la
unux
Inusable Linu x...
server
- workstation
custom
Les deux premières classes réservent la
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notion de classes disponibles lors de
H aute d isp o n ib ilité et p erfo rm an ces
Le support des cartes PCM CIA fait éga­
sont au rendez-vous !
lem ent des progrès, grâce à la recon­
l'installation est en fait une extension
Désormais, après la détection de votre
naissance de nouveaux matériels.
de cette option.
prem ier contrôleur, vous avez l'oppor­
tunité de dem ander la détection d'un
Les stan d ard s
Enfin, la 5.2 offre en standard Window
Linux, et de prévoir son déploiement
seco n d (p u is d 'u n a u tre , et e n co re
Maker, Apache 1.3, et G//WP 1.0.
sur un parc constitué de nombreuses
d 'un a u t r e ...), et de vo ir ce d ern ier
La raison pour laquelle KDE n'a pas été
m a ch in e s, sans avo ir à craindre de
identifié et configuré.
in té g ré se révè le sim p le : Red Hat
fastidieuses m anipulations ni des dif­
Plus ou vert
Par ailleurs, les utilisateurs de systèmes
a xé s su r des p ro ce sse u rs A lp h a ou
Lin u x co n stitu e la seule distribu tio n
férences entre les systèmes installés.
com m erciale de Linux à être intégrale­
S'il vous m anque la dernière version
m ent sous GPL, alors qu'il n'en va pas
de Xfree 86, faites preuve d'un petit
Il devient encore plus facile d'installer
Sparc ont à présent la liberté de choisir
de m êm e p o u r les lib ra irie s Q t, du
peu de patience, car vous allez avoir
entre Fdisk et Disk Druid, pour créer et
m o ins pas e n co re , car T ro ll Tech a
l'occasion de vous la procurer. Cette
fo rm ater les partitions. Sur ces deux
an n o n cé son in te n tio n de passer la
nouvelle m outure contiendra le ser­
systèmes hauts de gam m e, seul Fdisk
prochaine version de son produit sous
v e u r X a d ap té à vo tre plus récent
était disponible jusqu'alors. Cette nou­
cette politique de licence.
hardware ( NVidia TNT, par exemple),
veauté n'apporte pas de fonctionnali­
Si vous ne pouvez pas envisager un
ainsi que plein d'autres choses toutes
tés supplém entaires, mais seulem ent
système sans KDE, il ne vous reste qu'à
belles et to u te s n e u ves, et tiendra:
un plus grand co n fo rt au cours des
installer cet environnem ent ainsi que
étapes de partitionnem ent et de for­
ses librairies (Q t) à partir du CD-Rom
m atage, lors de l'installation.
L in u x a p p lic a tio n s livré en su p p lé ­
Linux 5.2 est aussi "2.2 ready", c'est-à-
m ent des d eu x C D habituels (binaire
d ire q u e l'in s t a lla t io n de (q u a t re )
et source).
modules suffira pour profiter de cette
Red H at 5 .2 s u p p o rte a u ssi b ie n
toute nouvelle version du kernel, dès
ApplixW are 4.4. 1 que StarOffice 5 .0 ;
que celle-ci deviendra disponible. En
vous aurez donc l'embarras du choix,
atten d an t, les plus cu rieu x pourront
pour peu que vous puissiez envisager
essayer la 2 .1 , en gardant toutefois à
le chargem ent des 70 Mb de l'archive
l’e sp rit qu'il s'ag it d 'u n e versio n de
StarO ffice. Au fa it, p o u rq u o i d evo ir
d é v e lo p p e m e n t , p a r c o n s é q u e n t
té lé c h a rg e r Sta rO ffice ? P arce q u'il
instable !
n'existe aucun moyen de redistribuer
Le support du son se voit égalem ent
ce logiciel, ce qui explique que la seule
am élioré, grâce à la prise en com pte
source pour obtenir ce superbe outil
Redha t 5.2
Statut : com m ercial
En hausse
Support multi SCSI
Classes d'installation
Un ensemble de logiciels de
démos impressionnant
En baisse
Xconfigurator et consorts,
toujours en retrait p a r rapport à
SaX
Note
★ ★ ★ ★
Tableau de tous les pr odui t s c o n t e n u s dans le CD 3
s u p p o rt m ê m e si v o u s fa ite s u n e
in s ta lla tio n à p a rtir d 'u n e v e rs io n
officielle.
AIS
fichiers d'aide du tableur NExS
Tous ces p ro d u its se tro u ve n t d isp o ­
ARDI
émulateur M acintosh
n ib les au fo rm a t RPM , ce qui p e r­
m e t de v is u a lis e r l'e n s e m b le d es
Applix
suite bureautique ApplixWare
CASEmaker
base de données
ré p e rto ire s de ce C D sous G lint, si
CodeForge
environnement de développem ent intégré multiutilisateurs
vo u s n 'a im e z pas v o u s d é p la c e r à
Crosswinds
Cyberschedule, un agenda partagé p a r serveur http
l'in t é r ie u r d 'u n e a rb o r e s c e n c e de
Decosoft
création/gestion d'un intranet
ré p e rto ire s à p a rtir d ’ un p o in t de
DigitalControls
gestionnaire d'imprimantes en réseau LPplus
m o n tag e.
Fastlane
gestionnaire de base de données
HKS
CCVS transactions cartes de crédit
InfoSpring
lig n e au clic k and c lic k , g a rd e z en
XNI, sniffer réseau et générateur de rapports Html
Flame
Herrin
Si v o u s p ré fé re z l'in s t a lla t io n en
outil de sauvegardes BRU2000
EST
m ém o ire l'a ttrib u t -qlp p o ur la c o m ­
m ande rp m . Vous p o urrez ainsi vo ir
Quiver, interface graphique d'un gestionnaire de base
à quel e n d ro it le packag e que vous
de données
v e n e z de c h o is ir a été ou va ê tre
in sta llé , et vous au rez alors m oyen
moteur de recherche intelligent
IX
C ode C ru sa d er et C o d e M ed ic, aide au d év e lo p ­
ad éq u ate.
pement (bug busters)
Kuck
KAI
Knowledge
& Associates C++
To u s les rép erto ires ne co n tie n n e n t
GBB, atelier de développem ent orienté intelligence
pas de R E A D M E , ce qui risq u e de
artificielle
re n d re la d é c o u v e rt e de to u s les
p ro d u its lo n g u e et a rd u e , n o ta m ­
outil de sauvegarde Akeia
Knox
Multisoft
de reco n fig u re r vo tre path de façon
m e n t si v o t r e e s p a c e d is q u e e st
Flagship
co m p té .
tableur
NExS
NetWin
shell
N ous vous proposons ici de d é co u ­
Perforce
gestion de sources en mode client/serveur
v rir un à un les p ro d u its co n te n u s
REBOL
langage de program m ation
dans ch aq u e rép erto ire.
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RPMS
Les g e stio n n aires de bases de d o n ­
liens symboliques, p our Glint
n é e s se v o ie n t r e p r é s e n t é s p a r
Regulus, outil de gestion p o u r un ISP
SAFE
Shpink
Network Shell
C asem aker, Plexxus, Sy b a se, QDDB,
SpectraLogic
outil de sauvegardes Alexandria
Idéal, et autres DBm aker.
Stolker
CommuniGate, serveur de messagerie http
A leu rs c ô té s , on tro u v e les o u tils
b u re a u tiq u e s, a ve c une ve rsio n de
les serveurs X de SuSE
SuSE
Sybase
gestionaire de base de données
d ém o n stratio n d'A pplixW are, et une
Take5
SNiFF+, gestion de projets et environnem ent
ve rsio n de d ém o de W o rd P e rfect7.
de développement
Le ta b le u r Xess répond aussi à l'ap ­
VariCAD
schémas et dessin technique
pel, avec ses rpm dans un répertoire
Visual
outil de sécurité TripWire
(N E x S ), et ses fic h ie rs d 'a id e d ans
WCS
carnet d ’adresses multiutilisateurs
WP
Corel Word Perfect
contrib
un autre (A IS ).
D ans la catég o rie outils systèm e, les
lo g ic ie ls d e s a u v e g a r d e A r k e i a ,
Window m anager KDE 1.0
GIM P m anipulation d'images
BRU2000 et Alexandria, de SpectraLogic,
DDT Dan Desktop, un file m anager amélioré
vous p erm e tte n t de ch o isir l'outil de
VCRON Visual CRON
sau veg ard e de vos systèm es.
VPPP visual PPP
V ie n t e n s u it e l'o u t il d e s é c u r it é
XFCE barre d'outils p o u r X I 1
TripW ire d é v e lo p p é à P u rd u e , ainsi
XTEL émulateur Minitel
que LPplus, un outil de gestion des
im prim antes en réseau (indispensable
dans votre 4 0 0 m 2 habitable).
compte de ceux pour qui la dernière
discrétion de chaque éditeur du pro­
version de Linux n'est m alheureuse­
duit concerné.
En ce q u i c o n c e rn e le d é v e lo p p e ­
ment pas de première importance.
Ces produits ne sont pas supportés
m ent, les langages REBOL et KAI C++
Vous en saurez plus très, très bientôt ;
par Red Hat : n'espérez donc pas de
de Kuck & Associates co habitent avec
aussi, restez à l'écoute...
ATTENTION ! ! !
Linux Applications CD
Avec la version 5.2 de Red Hat pour
Intel est livré un CD co n te n a n t un
Si le choix de la classe workstation n'affecte que les partitions Linux et l'espace
certain nombre de produits fort inté­
n o n p a rtitio n n é d e vo tre d isq u e, le ch o ix d e la cla sse se rv e u r a u ra p o u r
ressants en version de d é m o n stra ­
conséquence de repartitionner TO U T le disque, et donc d'en effacer le contenu
tion, en version allégée ou e n co re
intégral.
restreints à un usage privé, laissé à la
Disponible dans les grandes surfaces
A p p lix i^
et les m a g a s in s s p é c ia lis é s , ainsi
q u 'a u p rè s des d is trib u te u r s (prix
WindowMaker Preferenees Utility
p u b lic c o n s e illé 3 2 9 fra n c s fran­
çais/52 euros), cette dernière version
du Linux le plus multi-plates-formes
du m o m ent offre un excellen t rap­
port qualité/prix et met l'installation
«if» i d i t Vv»w
J-:<As wi«<»ow
.•VAcr/k<»i/ÎHrVC-f*k»3a
de ce système d'exploitation profes­
sionnel à la portée de tout un cha­
cun, en résolvant le problèm e lié à la
Ev*ots
pratique d'une langue étrangère.
V*ok>« 3.0
AN r if h u re:«
C onclusion
Red H at In te rn a tio n a l et Red Hat
St*fO *5M o ç!
S tw w rlî« f V
SU»C*k 5 0
Stvtm£>c*-:s !
Star»*s« 3 0
S tafM tB 3CS t»rCn»rt 3.0
très bon travail ; en outre, ils propo­
Ccoyr«9M(O
Stv Divisé
«k*w
'j
l-v»Ww.>
irt
.
iî) liW!.'«wttSS*Wl.«}:
;
w
m<
a f ( t ►>».
i u u ; r . r t » io
. M ..M
.r
««*»«
i.
■» • . . •
is r
StarScl^au*
Mtok Wftÿic "m ar
i
• ■.■
• »trAl<
H SBx
1
France o n t enco re une fois fait un
sen t un p ro d u it avec un excellent
■nt«fn4tto«wl
jr.rt lnr»;n4!>
BC-fh By I m ;<
a tr*û*m vW •
rapport qualité/prix.
Si les g ran d es in n o va tio n s ne sont
'izr Tm-jî?
v*0
rtv r
rcvrrs
pas au rendez-vous pour cette fois,
la foule de petites mais ô combien
im p o r t a n t e s a m é lio r a t io n s rend
L'environnem ent de base.
néanm oins cet enviro n n em en t tou­
jo u rs p lu s a g ré a b le . En o u tre , la
autres encore.
Red H at 5.2 en fra n ç a is
Parallèlem ent, Les Logiciels du Soleil,
Les in gén ieu rs, tech n icie n s, dessina­
c'est-à-dire Red Hat France, ont sorti
ciels de d é m o n stra tio n perm et de
teurs tech n iq u es, et tous les autres,
la version française/in ternatio nale de
choisir en toute quiétude et à travers
Red Hat 5 .2 .
un la rg e é v e n ta il les applications
b e lle v e r s io n de d é m o de
En plus de l'ensem ble des fo n ctio n ­
répondant au m ieux à vos besoins.
VariCAD. C et outil vous p er­
n a lité s de la m o u tu re a m é ric a in e ,
m et de cré e r des p lans ou
c e lle -c i o ffre les a m é lio ra tio n s s u i­
des
vantes :
les ID E C o d e F o r g e e t q u e lq u e s
b é n é f ic i e r o n t d ’ u n e
trè s
richesse du C D co n ten a n t les logi­
[email protected]
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sch ém as,
avec
des
Remerciements aux Logiciels du
b ib lio th è q u e s de c o m p o ­
Un m a n u e l d 'in s ta lla tio n to u t en
s a n ts m é c a n iq u e s , é le c ­
fran çais, et qui plus est, très bien tra ­
t riq u e s et é le c t r o n iq u e s ,
duit.
d a n s le u r re p ré s e n ta tio n
autres lang ues) avec p ré p o sitio n n e ­
A l'in té rie u r du rép erto ire
m e n t des v a ria b le s d é fin is s a n t les
c o n trib s , vo u s tro u v e re z
locales (seulem ent dans le cas d'une
e n tre a u tre s KD E 1 .0 et,
in s t a lla t io n
dans
la
la n g u e
de
Trad u ctio n des outils Red Hat
lignes su ivan tes, un (su p e rb e) é m u ­
Possibilité d 'installer à partir d'une
lateur M initel.
partition FAT32
A ce p r o p o s , le s f a n a s du M a c
Bien q ue d o cu m e n té e d ans la v e r­
d e v r a ie n t
avec
sion U S, ce tte fo n c tio n n a lité n'est
Exécutor, un ém u lateu r très so p histi­
réellem en t o p ératio n n e lle que dans
qué - il ne requiert pas de copie de
la version éditée par Les Logiciels du
la Rom du M acinto sh (eh o ui, c'est
Soleil.
illégal, a priori)
Les C D pressées par Red Hat n'étant
c o m b lé s
m ais encore un peu
R e d H a t 5.2
v e r s i o n f r anç a i s e
Statut : com m ercial
M olière)
nous allons passer en revue dans les
ê tr e
Soleil/Red Hat France
U n e in s ta lla tio n en fra n ç a is (o u
in d u strielle no rm alisée.
p o u r la d is trib u tio n fra n ç a is e q u e
Christophe Le Cannellier
lim ité.
q u ’au fo rm at IS O 9 6 6 0 et non Joliet,
Un a u tre ( t r è s ) b e a u p r o d u it e st
les nom s de fichiers se tro u vent res­
CyberSched, qui vous donne l'o ppor­
tre in ts au fo rm a t 8+3 lo rsq u e l’on
tu n ité d 'ad m in istrer un agenda par­
copie du C D vers une partition FAT
tagé (p lan n in g d'une é q u ip e ...) à tra ­
Les fic h ie rs , avec leurs n o m s tro n ­
v e rs un s e r v e u r h ttp (A p a c h e ou
qués, d evienn ent alors inexploitables
a u tre ). C e tte a p p ro c h e sé d u isa n te
par la procédure d ’installation.
du g ro u p w a re d e v ra it ré p o n d re à
D ésorm ais, un utilitaire effectue une
l'a tte n te de n o m b reu se s p erso nnes
ré g é n é ra tio n (c e q u i s ig n ifie u n e
chargées de gérer et de partager les
rem ise à la valeur in itiale) des noms
a g e n d a s d e p lu s ie u r s p e r s o n n e s
de tous les fic h ie rs des ré p e rto ire s
sim u ltan ém en t.
avant de d ém arrer l'installation.
En hausse
A
,
En français avec une très belle
traduction
Prépositionnement des variables
pou r les locales
In s t a ll a t io n
à p a r t i r d'une
partition FAT32 enfin possible
A
Encore plus de logiciels de démo
En baisse
Quelques fautes de
frappe/incohérences (mélange
français/anglais) dans certains
menus
Y
Prépositionner les locales pour
les langues autres que le français
Disponible seulement sur platesformes Intel
M anque l'install Redneck’ à la
française (Joël, encore un effort ;■) )
Note
★
★
★
★
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Miami V3 ou IBrowse
TurboPrint 7 (va)
Deluxe Paint V CD
Scala MM400 CD (va)
Siamese System V2.1 (va)
Aminet 16 à 28 CD
Am inet set 2,3,4,5,6,7 CD
Amiga Forever 2.0
Red Hat Linux 5.1 CD
Directory Opus Magellan II
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SuperView Productivity Suite CD
CyberG raphX V4
Amiga Writer
Art Effect 3.0
Tornado 3D V2.0
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Net Connect 2 (Voyager,Am IRC,...)
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Candy Factory Pro CD
M egalosound
Ecran 17” SAM PO
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Amiga Tools 6 CD
Geek Gadgets ADE 1 ou 2 CD
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Distant Suns 4.2
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Cygnus 8
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Sword ou LIFO ou Tiny troops
PPaint 7.1 CD
Mega Typhoon ou Theme Park
Abduction Dk
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Skeleton Krew AGA
Banshee AGA
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Mods Anthology CD
Light Rom Gold CD
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Diavolo Backup
M agic Publisher CD
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Sam ba World Cup CD ou Dk
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149f
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149f
149f
10Of
149f
249f
14 9 f
10Of
10Of
100f
10Of
149f
18 0 f
18 0 f
19 9 f
290f
199 f
19 9 f
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m odestem ent, PageStream sur Amiga.:
DrawStudio 2
P o u r le b it m a p , D ra w S tu d io est
capable d'exporter ses projets dans la;
plupart des form ats courants (Jpeg,
Gif, Pcx, IFF, Targa, etc.).
A ussi p ra tiq u e qu'une trousse
Ressemblant fort à un Ppaint, l'interfa­
Le dessin vectoriel est possible sur Amigo ! DrawStudio vient compléter
la suite PAO des éditions Adfi.
ce de D ra w S tu d io s’avère à la fois:
simple et efficace : sa palette d'outilsi
c o n t ie n t to u s les in stru m e n ts de
P
lé b i s c i t é
o u tre -M a n c h e ,
D raw Studio est un sharew are
de
dessin
C ra v S h ja o o 1 9 5 3 - 1 997 Gra^am Dean, Andy Ooac V2 0 0 (May 9 <997)
j *
G r p
T
■
..
.Y
■:
. :T :
DRAW
Y '..-
vectoriel
Aujourd'hui, les éditions Adfi le co m ­
m ercialisent sur CD -Rom . La distribu­
tion du logiciel y gagne un m anuel
t :_
.1 .
■
p .
Y
r
en français, une banque im age four­
nie et les v e rs io n s e n re g is tré e s de
TextureStudio (p o ur créer et m odifier
S
T
U
D
I
6
des textures Im agine) et ImageStudio
AMIGA
(p o u r co n vertir et reto u ch er légère­
m ent les photos).
D e stin é à l'illu s tra tio n , D ra w S tu d io
prend le parti de la conception vecto­
rielle
c'est-à-dire qu'il privilégie les
form es, au contraire des logiciels bit­
m aps (te ls Ppaint ou A rtE ffe ct), qui
travaillent d irectem ent sur les pixels.
C o n c rè te m e n t, ch aq u e é lé m e n t du
i"prrTtiwnrwmmmmumss.
projet peut ici se désolidariser de l'en­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
se m b le p o u r être in d iv id u e lle m e n t
Des élém ents indépendants.
Une interface peu esthétique.
épaissit le trait des contours grâce à
sélection (attraper, retourner, glisser,
un troisièm e. L'intérêt d'un tel logiciel
observer à la loupe), de tracé (à main
est bien évidem m ent le rapport privi­
le v é e , à la rè g le , au co m p as, au
légié que l’artiste aura avec son tracé :
L e ttra se t...) et de calibre (épaisseur
il a cq u iert en effet l'o p p o rtu n ité de
du trait, couleur) absolument née
dessiner les contours à main levée (les
saires. Une véritable trousse de dessi­
tablettes graphiques sont supportées)
nateur ! La page blanche sur laquelle
et de corriger rapidem ent les im per­
on travaille montre com m ent le pro­
f e c t io n s . La c o lo r a t io n s 'e ffe c tu e
jet sera im p rim é. N éanm oins, pour
ensuite d'une m anière identique à la
des raisons pratiques (lenteur éve
ré a lis a tio n d 'u n d essin su r p a p ie r.
tuelle de la m achine, par exemple),!
C e lu i des tra v a u x a c c o m p lis so u s
d em eure possible de n'afficher que
Draw Studio correspond à la création
les contours.
de v is u e ls p o u r de la P A O ou à
DrawStudio aurait le droit de s'arrêt
retouché, coupé, déform é. Il devient
l'ébauche de graphism es bitm ap. En
là : il im iterait déjà à la perfection
par exem ple réalisable de faire la cari­
ce qui co n ce rn e la PAO , le lo g iciel
d e s s in su r p a p ie r. T o u te fo is , se
c a tu re d 'u n e v o itu r e en q u e lq u e s
crée des docum ents dans un form at
menus recèlent bien d'autres tréso
secondes : on agrandit d'un clic une
com patible avec les ténors X-Press et
Le co lo riag e avec un m otif bitma
roue, retourne d'un autre le capot et
lllu s tr a to r su r M ac et PC o u , p lu s
représente l'un des exemples les plu!
la PAO sur Ami ga
D raw Studio, seul, ne suffit pas à faire de la PAO. Les professionnels de la
m ise en p a g e su r A m iga d evron t a cq u érir quatre outils p o u r mener à bien
a b so lu m e n t tous leu rs tra v a u x . Il s'a g it en l'o ccu rre n ce de PageStream
( in t é g r a tio n d es é lé m e n ts s u r la p a g e ), A r tE f fe c t (re to u c h e d'image),
TypeSm ith (créatio n typ o g ra p h iq u e p o u r les titres et les lettrines) et bien
é v id e m m e n t D ra w S tu d io (c ré a tio n de visuels). Ils so n t tous disponibles
auprès des éditions Adfi.
g ro b je c t attribut.es
e st trè s in té r e s ­
-----
Line style
Coiours
j
Line ends m m
Previev/
None
Solid
Pattem
Gradient
Solid
Pattern
Gradient
Bitmap
j
c e u x du m a n u e l. A la c h a r g e de
sant car il permet,
l'u tilisateur de co m p ren d re tout seul
par e x e m p le , de
q ue lo rsq u e l'on p arle de "m iro ir",
fa ire p asse r une
"d é fo rm e r"
roue à l'arrière du
so u s", il s'a g it en fa it de "b a s c u le ­
"im p o rte r" ou "sa u v e r
châssis d'une voi­
m e n t"
tu re sans que le
" e n r e g is t r e r e n " (e t " e n r e g is t r e r
dessin de celle-ci
sous" ?). De m êm e que lorsqu'il est
ne s 'a lt è r e . O n
é crit "e xp liq u é en page 64"
Apply attributes to
Line dash
Pen colour
aura ainsi moyen
lire "exp liq ué dans le ch ap itre 6 .4 , à
de re faire a p p a ­
la page 2 2 ". Un rien co nfus, tout de
FiHcolour
Line join
raître les p arties
m ê m e ...
Line thicknesa
Line ends
c a c h é e s , si ce la
Cancel
" h a b illa g e " , " in t é g r e r " ou
il fau t
Yann Serra
s 'im p o s e . E n fin ,
A m ig a o b l i g e ,
D ra w S tu d io d is ­
On peut mélanger bitm ap et vectoriel.
pose d'une inter­
face A rexx, laquelle donne la
c a p a c ité d 'a u to m a tis e r c e r­
DS Adver
t a in e s t â c h e s , g râ c e
aux
scripts du m êm e nom .
è»
Pas en co re p a rfa it
Le p lu s g ro s d é f a u t
Range Frorn
D raw Studio v ie n t de la p ro ­
de
g ram m atio n de son in te rfa ­
EPS
ce. Pour c o m m e n c e r, celle-
Converi te/.t to curves
ci est à m oitié axée sur Mui :
on peut m od ifier le taux de
Gradient steps [32
include bitmaps
(>
r a fra îc h is s e m e n t, m ais pas
Colour
les co uleurs. Tro is fois héias,
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En haut, tel qu'à l'im pression..
car le logiciel s'affiche in va ­
Cancel
r ia b le m e n t d a n s d e s to n s
Point fort : les formats de fichier.
parlants : bien que l'on essaye ici de
g ris fo n c é /ro s e b o n b o n du
plus vilain effet. En outre, il n'y a pas
faire du dessin à m ain levée, il est
m o y e n d 'o u v rir le lo g ic ie l su r un
tout à fait possible de rem plir une
é cra n
forme avec une photo existante. Et
co n ten ter de celui offert d'office par
p u b lic ; a u s s i, il f a u t se
d'ailleurs, DrawStudio va m êm e jus­
le logiciel, lequel ne sem ble pas du
qu'à déformer ch a q u e pixel de la
to u t a im e r les m o d e s g ra p h iq u e s
photo pour que celle-ci ép o use les
c o m p re n a n t p lus de 2 5 6 co u le u rs
rondeurs du tracé à r empl i r . Des
(p la n ta g e s répétés de la m a c h in e ).
fonctions plus classiques rép ond ent
C ela se révèle d 'a u ta n t plus reg re t­
également à l'appel, telles l'écriture
table que l'on ne p arvient pas, de ce
d'un texte sur une courbe ou la mise
fait, à ap p récier co n ven a b le m e n t les
au premier (ou en arrière-) plan d'un
tons utilisés.
élément du dessin. Ce dernier procédé
L'a u tre re m a rq u e c o n c e rn e la t ra ­
duction fra n ça ise ... un peu fantaisis­
D r a w S t u d io
En bas, plus pratiqu e p o u r travailler.
te . P o u r une ra iso n q u e la ra iso n
ignore, plus de la m oitié des term es
Statut : commercial
Prix : environ 800 francs
du lo g ic ie l ne c o ïn c id e p as a v e c
En hausse
A Intuitif
À Intégration et déformation des
bitmaps
A Formats de Fichiers
En baisse
V Couleurs de l'interface
V Blocages de l'interface avec plus
de 256 couleurs
Note
★
★
★
★
★
En deux clics de souris, on p eu t transform er le gaphism e d'un tracé.
StarOffice 5
,
en présentant une interface à la fc
in tu itiv e , sim p le , et suffisam m ei
c o m p lè te . A tte n tio n cep end ant,
d e m e u re to ta le m e n t saug renu c
faire d é m a rre r S ta rO ffice pour lii
Plus qu'une simple évolution la nouvelle version de StarOffice arrive à
maturité et pourrait bien damer le pion à ses concurrentstout en
restant exhaustive et gratuite. Réservons donc notre sujet d'aujourd'hui
à ce succès pressenti.
son mail : toute personne ayant dé
lancé ce logiciel ou une de ses préo
dentes versions sait de quoi il retou
ne.
Im p o rt/E x p o rt
Une des fonctionnalités les plus inb
ressantes de StarOffice réside dans
capacité à convertir des fichiers d'u
form at vers un autre. En effet, noi
avons là la seule suite bureautiqi
sous L in u x se tira n t avec brio (e
to u t cas par rap p o rt à ses concu
re n ts ) de ce ty p e de co nversior
StarOffice com prend les fichiers pr<
venant entre autres de M S Office 9.
ce qui perm et déjà de faire face à
p lu p a rt de ses besoins personnel
N o tre
f ic h ie r
de
te s t
é ta it u
d o c u m e n t W o rd 9 7 in c lu a n t de
ta b le a u x , p lu sie u rs p o lice s et de
D ocum ent com posite (TTX/Tableur) : m achine
Un bureau com plet dans la tradition Windows,
surpuissante nécessaire !
filem anager et intégration KDE com pris !
im ages. StarW riter s'en est sorti pli
tôt correctem ent, puisque seuls ce
B
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• tr >
w i
•*-.*« j . k
:w » ,
ien a v a n t l’a c tu e lle "m o d e "
tuer toutes les opérations courantes,
tain s a ttrib u ts s'ég a rèren t (eh ou
a n t i- M ic ro s o ft , S ta rD iv is io n
p o u r un u t ilis a t e u r de b ase d 'u n
n'espérez pas obtenir une conversio
a v a it d é c id é d e p o rte r son
o r d in a t e u r , san s ja m a is q u itte r le
p a rfa ite ...). Notons au passage qui
produit-phare, StarOffice, sous Lin u x.
logiciel. Un gestio nnaire de fichiers,
contrairem ent à WordPerfect8 (égals
m ent d isp o nib le g ratuitem ent soi
Nous avons ainsi vu défiler des ve r­
ressem blant à s'y m éprendre à celui
sions 3.1, 3 .5 , 4 et enfin tout récem ­
de W in d o w s 9 5 , p erm et d 'e ffe ctu e r
L in u x ), StarW riter peine à dénoue
m e n t, la v e rs io n 5 . T o u t d 'a b o rd ,
le s o p é r a t io n s c la s s iq u e s s u r les
l'écheveau d'un fich ier Word sauve
p ré ciso n s q u e la su ite b u re a u tiq u e
fichiers. O utre le traitem ent de texte,
gardé en mode "fast-save"
f o n c t io n n e
so us
le ta b le u r, le g estio n n aire de bases
Le fu tu r sta n d a rd ?
W in d o w s 9 5 / 9 8 / N T , L in u x , S o la ris,
de données, le logiciel de présenta­
A l'instar de la suite bureautique d
d é s o r m a is
M acO S et O S/2 à l'id entiqu e (b ie n ­
tion et de dessin vecto riel, on trou­
M ic r o s o f t ,
tôt une version ja va ). Autre avantage
v era é g a le m e n t un c lie n t M a il, un
époque de l'inform atique, StarOffk
d u ra n t
la
g lo rieu s
p o u rra it bien s'im p o se r comme
m ajeur, StarO ffice5 est gratuite pour
logiciel pour co n su lter les N ew s, et
u n e u t ilis a t io n p e r s o n n e lle so u s
enfin un b ro w ser et un co m p o seu r
nouveau standard de facto. La stre
L in u x . Il s u ffit de té lé c h a rg e r une
W eb. Rien que ça ! Bien sûr, la taille
tég ie co n sista n t à d évelo p p er un
a r c h iv e
de
du logiciel en m ém oire s'en ressent,
application totalem ent identique si
S ta rD iv isio n (u n e c in q u a n ta in e de
m ais l'in tég ratio n répond à l'ap pel,
différentes plates-formes et à autor
m éga-octets quand m êm e), d 'instal­
p u isq u e to u t se fa it dans la m êm e
ser l'u tilisatio n personnelle gratuit
ler, et de s'en re g istre r en ligne (un
fenêtre. On se rapproche m êm e d'un
n 'e st pas in n o c e n te . A ssu re r un
m odèle de sim-
in tég ré de b u re au tiq u e où le point
com patibilité avec le standard actue
p lic it é
ce n tra l est le d o cu m e n t et non les
p ré se n te
s u r le s it e
p .*
rg ♦ • a o r o. «
à
re n d u
p o ssib le g râ c e
application s.
à l'intégration à
Les d iffé re n ts m o d u les
Il n'y a pas de surprise de ce côté ;
to u te s les fo n c tio n s q ue l'on p eu t
a tte n d re d 'u n e s u ite b u re a u tiq u e
S ta rO ffic e d 'u n
b ro w se r
W eb
s u p p o r t a n t le
SSL).
L 'in té g ra tio n
so n t bien sû r p ré se n te s. Le tra ite ­
Il ne s u b s is t e
m ent les tab leau x, le tableur dispose
a u c u n d o u te :
d'un langage de m acro suffisam m ent
on
évolué et le logiciel de dessin vecto ­
p e u t to u t
m en t de te x te a d m in istre p a rfa ite ­
d e p u is
riel est sans co m m u n e m esure avec
StarOffice. Il est
son p ré d é ce sseu r (e n fin rée llem e n t
S tarD raw : enfin un éditeur de dessin
en effet e n visa­
u tilisab le). Les outils annexes o rie n ­
vectoriel potable !
g e a b le d 'e ffe c ­
tés Internet sortent égalem ent du lot
f a ir e
StarOffice 5
Statut : Gratuit non redistribuable
Source : www.stardivision.com
En hausse
Exhaustif
Ressemble à MS-Office
En baisse
Gros, lourd et parfois lent
Toolkit propriétaire
A quand une version pour BeOS ?
Ressemble beaucoup à MS-Office
Note
★ ★ ★★
( Fabrication et distribution )
en m a tiè re de b u re a u ­
c
Payement p a r chèque, m an dat ou CB (> 5 0 0 Frs).
Port : Logiciel 4 0 Frs, M atériel 6 5 Frs, Tow er 1 2 0 Frs.
tique perm et d'envisager
iHKlrnbi*
un p assa g e en d o u ce u r
□
vers StarO ffice, d 'a u ta n t
{o»>btSv^7M .
nü
o
o*»i
q u e la p ré s e n c e d 'u n e
version W indow s incitera
ih:C*%«Ü
VM» J
*»>:* Cubant
■ir<| ' - p '\ -' • /
|||^
de nom breux utilisateurs
bÜ k J " ’
à e x p lo it e r la s u ite de
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«
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delà version Linux notam m ent,
S
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U b it ! te M teu
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Kit de branchem ent pour les L E D
49
|Adaptateur périphériques 3.5” -> 5"1/4 ... 49
Lecteurs d e disquettes
DD interne A500 A6/1200 ............. 2 5 0 /2 3 0
DD interne A2/4000 et Towers A1200 ... 210
IDD externe tout A m ig a ............................. 450
|HD (Towers) pour C a tW e a s e l............... 175
niable en regard des p ré c é ­
dentes versions. Un toolkit pro­
priétaire et certainement déve­
... et le ré su lta t d a n s N etsca p e
loppé pour l'o cca sio n a été
(a p rès q uelq ues b id ou illes).
employé pour donner à l'appli­
Picasso IV (+scandoubleur à 100Hz) .. 2790
- Module audio 16bits (Picasso I V ) ......... 990
- Module de sortie PAL (Picasso IV)
890
BVisionPPC 8Mo (Blizzard P P C )
1590
CyberVisionPPC 8Mo (C yb e rstorm ).... 1690
D ig ita lis e r 24bits temps réel FG24 .. 1190
Moniteur SMILE 14" (pitch 0 .2 8 )........ 1290
M oniteur SMILE 15" (pitch 0 .2 8 ) ........ 1590
M oniteur SMILE 15" (pitch 0.25 NEC) 1890
M oniteur SMILE 17" (pitch 0 .2 8 ) ........ 2890|
Genlocks (int./ext.), Cartes R V B ............N.C.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
cation un "parfait" look'n feel W ind o w s. La ressem blance a été
poussée jusqu'à intégrer au logiciel une barre des tâches recen­
sant les actives à l'intérieur de StarOffice, et, com ble du m anque
d'originalité, un bouton dém arrer, d onnant accès à un m enu du
même nom et permettant de lancer des applications ou de para­
métrer l'environnement
de travail ! Résultat : le logiciel est gros,
lourd et p ar­
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StarOffice
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YtibV'MO'
SiiS t * / 7
f»iaieAM
Des présentations animées, en veux-tu,
en voilà !
o u t il
pour
toute person­
ne se ca n to n ­
nant à la réa­
lis a t io n
de
tâches bureautiques de base. Il est alors to ut à fait envisageable
de lancer le logiciel au début de la session, en plein écran et
sans Window m anag er. S ta rD ivisio n p re n d d o n c le tra in en
marche (©1998, F. Pesch, Ail rig h ts re se rv e d ) et ra ttra p e le
retard, sans pour autant proposer les am élio ration s tan t a tte n ­
dues, comme le support d 'X M L, entre autres.
Guillaume Girard
ggirard@ club-internet.fr
P é rip h é riq u e s
Périphériques IDE ATAPI
iDisque Dur 3.2 Go U ltra -D M A .............. 12901
CD-ROM 32x interne + prise casque .... 590
(Tiroir extractible pour disque dur IDE .... 150|
Périphériques SCSI
IDisque Dur Fast SCSI3 2.4 G o
2390I
CD-ROM 36x interne (P io n e e r)...............890
Cartouche pour lecteur Z I P ......................100
Graveur 2x6x RICOH CD-RW 6200S 3390
Soft "Make CD V3.2" TAO / DAO 395 / 549
Scanner A4, 600x600, 24 b it s .............. 1490|
(Boîtiers ext. + ventillateur (1/2 baies) ... N.C.
L e s C a b le s
(Rallonge 3.5"Male vers 2 x 3 .5 " ................. 89
Cable 2.5" vers 3.5" (approx. 30 c m ) .......69
Cable 2,5" vers 2.5" et 3.5" (~ 3 0 c m )......89
Doubleurs d 'a lim e n ta tio n s......................... 25
Nappe IDE 2 / 3 co n n e c te u rs
30 / 50
Nappe SCSI 2 / 4 / 8 conn
50 / 130 / 180
Cable SCSI avec centronic 50 p t s .......... 120
Cable centro. 50pts vers SUB-D 25pts 150
Terminaison SCSI centronic 5 0 p ts .......... 99
Adapt. SUB-D 9pts M -> SUB-D 25pts F 39
Accélération
Pour Amiga 600
lApollo 630 / 68030 à 33 Mhz + Copro ... 795
|Apollo 630 / 68030 à 50 M h z ................1150
Pour Amiga 1200
lApollô 1240 / 40 à 25/40M Hz ... 1 3 9 0 / 1990
Apollo 1260 / 60 à 50/66MHz ... 2990 / 3590
Module SCSI Phase5 / Apollo
N.C. / 590
Blizzard 603e/160MHz + 040/25MHz 2290
Blizzard 603e/240MHz + 040/25MHz .. 3690I
Blizzard 603e+/240MHz+Ô40/25MHz 4290
Blizzard 603e+/200MHz+060/50MHz 6090
b lizza rd 603e+/240MHz+060/50MHz .. 6590I
Pour Amiga 2000
|Apollo 2030/030/50MHz/Copro/SCSI 1790|
GVP 2040 / 040 à 40 MHz + S C S I
3990
IG V P 2060 / 68060 à 50 MHz + SCSI .. 4990
Pour Amiga 3000 et 4000
lApollo 4040 / 040 à 40 Mhz + SCSI II 2490I
Apollo 4060 / 060 à 50 MHz + SCSI II 3890
Apollo 4060 / 060 à 66 MHz + SCSI II 4490
Cyberstom 604/200M Hz+040/25M Hz 4990
Cyberstom 604/233M Hz+040/25M Hz 5690
Cyberstom 604/200M Hz+060/50M Hz 7390
[Cyberstom 604/233M Hz+060/50M Hz . 819ol
M a is A ussi...
jCarte Ethernet Ariadne (s o fts )................ 890I
Cartes audio Delfina ou P ré lu d é
N.C.
D ig ita lis e r audio stéréo (tous Amiga) 190
Carte Buddha flash (IDE A 2 /3 /4 0 0 0 )..... 490
CatW easel MK2 (pour disquettes HD) .. 520
CatW easel Z ll/lll (Buddha+CatW easel) 750
IDE-Fix Express (accélérez votre IDE) .. 690
Souris 400 DPI 2 boutons (logo Amiga) .. 75|
Mémoires EDO 60ns, 16, 32 & 64 Mo . N.C.
Mémoires Fast Page 60ns,16 & 32Mo N.C.
Modem USRobotics 56K+Kit Internet 13901
Aminet, A. Format, AGA Expérience .... N.C.
Système 3.1 A5/12/23/4000 ....................N.C.
Montage A1200 en boîtier to w e r
300
Prix modifiables sans préavis
SA R L au capital de 50.000 Frs. R C S : St Nazaire B 403 546 443
CybergraphX 4
,
C'est une nouveauté dorénavant les utilisateurs d'Amiga devront
payer pour obtenir la mise à jour de leurs pilotes de cartes graphiques.
p a tib le ( P ic a s s o 9 6 ), et l'A lle m a n d
Phase 5 , en p le in e re s tru c tu ra tio n
écono m ique, a préféré rom pre l'oné­
reux co n tra t. Inévitable co n séq u e n ­
Des moniteurs prédéfinis.
ce : c'est m a in te n a n t à l'u tilisa te u r
d 'a c h e t e r
le s
m is e s
à
jo u r
de
calibrer les fréquences et les résolu
CybergraphX.
tions de chaque mode d'écran) pos
L o ffre
sède désorm ais une liste prédéfinit
V e n d u e m a in te n a n t a u x a le n to u rs
de la plupart des m oniteurs existants
de 1 7 0 f r a n c s ,
4 de
ainsi que de leurs caractéristiques
CybergraphX fait tout pour se rendre
L'utilisateur n'a plus besoin de teste
in d isp en sab le. A in si, elle ne s'arrête
p en d an t des heures le rafraîchisse
pas à la sim ple co rre ctio n de bugs
m ent optim al : un clic sur la bonnt
(pas si no m breu x, en fait) : on trouve
m arque et le modèle approprié suffit.
Et la B V isio n P P C ?
la v e r s io n
p rin c ip a le m e n t sur son C D -R o m la
XiPaint, offert sur le CD.
version com plète du logiciel de créa­
En revanche, là où le bât blesse, c’es'
n peu à la manière de Windows
tion g rap h iq u e XiPaint, ainsi que le
que l'on ne trouve nulle trace d'ur
avec DirectX, l'AmigaOS possè­
kit de d é v e lo p p e m e n t c o m p le t de
p ilo te pour la to ute dernière carte
de a u jo u r d 'h u i so n p ro p re
Cybergraphx. Ce dernier offre tous les
graphique de Phase 5, la BVisionPPC
sous-ensem ble de routines d 'affich a­
outils nécessaires au développem ent
Les utilisateurs devront se contentei
ge p o u r p ilo te r c h a q u e c a rte g ra ­
d'applications en E, assem bleur et C.
de l'an cien pilote pour Cybervisior
U
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
p h iq u e et u n ifie r le u r p ro g ra m m a ­
Le logiciel XiPaint représente quant à
PPC. Voilà un constat d'autant plu:
tio n . Il s'ag it de C y b erg ra p h x, écrit
lui un outil de créatio n en 24 bits,
ennuyeux que Phase 5 lui-même ne
s'est toujours pas mis à l'écriture de
par les m em b res de V ision Facto ry.
qui sait s'acco m m oder de n'im porte
Ju sq u 'à p ré se n t, C y b e rg ra p h x é ta it
q u e l m o d e d 'é c ra n et d is p o s e de
pilote, co m ptant com m e d'habitude
gratuit : il se voyait offert avec toute
fo n ctio n s avan cées en m atière d'ef­
su r
n o u v e lle c a rte g ra p h iq u e et lib r e ­
fets de flo u s ou de d é g ra d é s a ve c
C ep e n d an t, com m e de bien enten­
m ent télécharg eab le depuis Internet
( w w w .v g r .c o m ) .
A
ch a rg e
□ | CGraphXMode
co n stru cteu rs de payer des royalties
IfflUci
__________
Monitor Spécification | Monitor
aux
Edit
_
leurs m atériels. Hélas, avec le tem ps,
ces investisseurs devinrent rares. Atéo
d u , sa n s le fin a n c e ­
m e n t, il ne fallait pas
m ent
A utant de m odes que l'on veut.
rait ce p e n d a n t lui
En hausse
▲ Bugs corrigés
Préférences prédéfinies suivant le
▲ XiPaint offert
ch issem en t. En ce
concerne
C y b e r g r a p h x lu im êm e, un effort a
En baisse
Pilotes graphiques payants
Pas de pilote p o u r la BVisionPPC
★
été fourni q uant à
l'ergonom ie de ses
o u tils . Le m o d u le
C C X M od e p ar
Note
★
t e u r e t ses p r o ­
qui
Kit de développem ent
★
re p ro c h e r sa le n ­
b lè m e s de ra fra î­
modèle d'écran
★
plus
en
C yberg rap hx.
m o tifs . O n p o u r­
Auteur : Vision Factory
de
Yann Serro
CybergraphX 4
Environ 1 70 francs
c a r il y
fa v e u r de l'a c h a t de
re, co ncurrente et partiellem ent co m ­
Statut : com m ercial,
toujours.
D om m age,
1024 x 7 6 8
tournés vers une solution propriétai­
de
aurait eu alors un argu­
15/l6Bit
15/t6eit 800x 600
C o n c e p ts et V illa g e T ro n ic se so n t
p a rte n a ire
s'attendre à un miracle,
©Bit 3 2 0 x 3 4 0
©Bit 5 1 2 x 3 4 2
SBit 6 4 0 x 4 8 0
SBit 8 0 0 x 6 0 0
SBit 10 2 4 X 7 6 8
SBit 1 1 2 0 X 8 3 2
©Bit 1 2 8 0 x 1 0 2 4
1 S / l SBit 3 2 0 X 2 4 0
1 5 /1 ©Bit 6 4 0 x 4 8 0
aux développeurs pour le support de
son
e x e m p le (h is t o r i­
quem ent destiné à
L'écran de calibrage.
Kgoodstuff
Lanceur d'applications p o u r KD E
module Goodstuff du Window
manager Fvwm fut, en son
temps, une véritable vedette.
Autre temps, autres moeurs, le glo­
rieux aîné a pratiquement disparu
(remplacé par FVW M Buttons, plus
puissant). Heureusement, une ver­
sion KDE existe, utilisable par tous et
partout !
L
e
Lancer d es a p p l i c a t i o n s
Comme tout lanceur d'application
qui se respecte, Kgoodstuff propose
un panel de boutons qui permettent
de, devinez quoi (non ! Pas de faire
le café !), lancer des applications
avec un simple clic. Les b o u to n s
peuvent proposer une image et/ou
du texte explicatif (avec bulle d'aide)
ou représenter l'affichage d'une peti­
te application X (le fam eux m ode
Swallow). En plus de ces fonctionna­
lités de base, Kgoodstuff gère les sub­
panels inspirés du Wharf d 'Afterstep.
Et pour ceux qui aiment les hiérar­
chies complexes, sachez que chaque
bouton d'un sous-panel peut égale­
ment ouvrir un autre sous-panel, etc.
Vous rêviez d'un vaste "menu démarrer"(tm) ultra-com plexe, à hiérar­
chies multiples et auto-bordeliseur ?
Kgoodstuff est fait pour vous !
prime au drag and drop et à la sau­
veg ard e a u to m a tiq u e de l'état de
l'application (par le gestionnaire de
session). Loin d'être indispensable
mais fran chem en t utile, Kgoodstuff
m anque tout de même d'originalité.
On apprécierait par exemple la pré­
sence de b o u to n s à sauvegarde
d 'état (je clique une fois, je lance
l'appli, je reclique, l'appli se ferme) !
Et puis Kgoodstuff, com m e tout pro­
g ra m m e KDE, pèse assez lourd en
mémoire (C++ et libqt/kde obligent) ;
voilà pourquoi les petites configura­
tions pourront indéniablement s'en
passer !
Fred Presh
Kgoodstuff
Les plus
Le p rin c ip a l a t t r a i t d e ce
Kgoodstuff qui, rappelons-le, n'est
qu'un simple lanceur d'applica­
tion, provient de son interface
u tilis a te u r C o m m e t o u t p r o ­
gram m e KDE digne de ce nom,
Kgoodstuff propose une configu­
ra tio n g r a p h i q u e d e s plus
simples. Un m e n u c o n tex tu e l,
quelques boîtes de dialogue, une
aide en ligne et le tour est joué !
Et si vous m anipulez les autres
outils KDE, vous aurez droit en
Statut : GPL
Environ 1 70 francs
Auteur : Vision Factory
En hausse
Le meilleur Goodstuff
La configuration graphique
Le support des protocoles de KDE
En baisse
Aucune nouveauté
Un peu trop "gros"
Note
★ ★ ★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Un wharf sous KDE.
Rocks & Diam onds
Le Boulderdash ultim e !
Le retour de Boulderdash.
ertes, le Boulderdash, cher à
notre enfance "informatique"
est déjà un bel a n c ê tre .
Toutefois, il manquait la version ulti­
me : celle que l'on ne peut pratique­
ment pas améliorer !
C
L'idée de base
Al'origine, il s'agissait simplement de
récupérer des diamants en creusant
des souterrains, sans se faire écraser par
un méchant rocher. Une fois tous les
diamants récupérés, il fallait trouver la
sortie pour passer au niveau suivant.
Puis les variantes, p ourvues par
exemple de monstres, ont fait leur
apparition. Suivant leur type, il faut soit
éviter les créatures (m onstres tout
court), soit les écraser sous un rocher
(monstres utiles) ou encore les envoyer
sur une brique explosive (monstres
idiots). D'autres accessoires ont égale­
ment été introduits : clefs et serrures,
bombes, téléporteurs, lave, acide, etc.
P lusieurs jeux en un (et pas
que des B o u ld erd ash s !)
Rocks & Diamonds propose toutes les
variantes de Boulderdash et m êm e
quelques surprises, ainsi qu'un environ­
nement des plus sympathiques (beau
graphisme, ambiance sonore réussie).
Les trois versions de Boulderdash sont
présentes, mais les vrais connaisseurs
iront plutôt exténuer leurs neurones
sur les niveaux d 'Emerald Mine (cher
aux anciens de l'Amiga !). Le "moteur"
de R&D est tellement "puissant" qu'il
offre même de jouer à Sokoban (le titre
préféré des manutentionnaires !). Et
pour ceux qui viendront à bout des
cen ta in e s de niveaux rassem blés,
sachez qu'un éditeur de niveaux très
bien fait est mis à la disposition de l'uti­
lisateur. Bref, Rocks & Diamonds ne fera
pas ronfler votre Riva TNT mais vos
doigts auront rapidement la forme des
touches de direction (les seules exploi­
tées par Boulderdash) !
Fred Presh
Rocks & D i a m o n d s
Statut : GPL
En hausse
Toutes les versions, tous les
niveaux, et même un Sokoban
Graphism es m ignons
1
En baisse
Ne fait pas le café
Note
★ ★ ★ ★ ★
(pour les inconditionnels)
Note
★ ★ ★ '
(pour les autres)
Adam 2.0
Mail F H tering S e ttin g s
F ilte rs
R a ie s
ta ; vtean Micho! Batto
|Sf Annonoe* Be
•X 8runinabox
j (5f BHand
Adam fut le tout premier gestionnaire
évolué de boîtes aux lettres électroniques
pour BeOS. Aujourd’hui, il continue
d'évoluer !
Add
A ctions
X Slot # in foldoi
f” S*l statut
Q f /boot/home/maM/ma
Open AdamBioweer
f
Open message
e x é c u tio n d 'u n e
app lic a tio n que,
pourquoi pas, vous
aurez vous-m êm e
écrit, affichage d'un
texte...) ou déclen­
cher une réponse
automatique.
AdamBrowser
marque bien la dist
in c tio n entre
f ” Ptay coord
L
requêtes et dossiers
a version 7.7 d on t nous vous
r AdamA^rt with text
f~ Stop filterxvg this message
Exécuté apptoabon
de ra n g e m e n ts .
parlions il y a quelques mois
Cependant, la pré­
paraissait plutôt rustique. Cette
sence de requêtes
impression se trouvait accentuée par
L'application des filtres com m e on en fait partout
p o rte parfois à
l'arrivée de son concurrent direct :
ailleurs.
con fu sion : urie
M ail-lt\ (qui est aussi un p ro d u it
requête a en effet
excellent).
des chances d'afficher un courrier
Cette m outure du produit g o m m e
Nouvelle interface
stocké dans un dossier (en nous lais­
AdamBrowser fait partie des améliora­
l'aspect Traban qui pouvait rebuter
sant croire à tort que le courrier en
tions du produit : esthétiq u em en t
plus d'un utilisateur. L'interface rema­
question est présent deux fois). Il suf­
niée app o rte ce qui faisait cruelle­
bien d écoré, ce n ou v eau m o d ule
fit de se rappeler q u 'u n e requête
ment défaut à la précédente version :
offre le tout en un. Il comprend trois
(fonction native dans BeOS) équivaut
parties : la première offre la possibilité
souplesse et efficacité. La version 2
à une simple recherche de fichiers,
d'accéder soit à vos dossiers de ran­
explore encore plus minutieusement
qui va donc parcourir l'ensemble de
gem en t (onglet Folders), soit à vos
qu'autrefois l'idée de base de ce pro­
vos unités disques. La combinaison
requêtes
(onglet
Queries),
soit
à
votre
duit
:
transformer
l'E-mail
en
un
sup­
Adam Brow ser
d o s s ie rs /re q u ê te s offre quelqu es
port multimédia, pas moins.
carnet d'adresses (onglet People).
sa it se faire tout
a v a n ta g e s : im a g in o n s que nous
La s e c o n d e partie d 'A d a m B ro w se r
Nous
ne
nous
attarderons
pas
sur
les
petit.
créions un dossier intitulé "Barbarella"
affiche la liste du courrier : celui
éventualités d'accès à des com ptes
contenant tous les courriers reçus par
contenu dans un dossier préalable­
multiples, la définition des priorités des
notre amazone. On peut alors par
m ent sélectionné ou celui résultant
messages, ni sur les possibilités de fil­
souci de visibilité e n g e n d re r une
de l'exécution d'une requête. Si vous
trage (avec réponse automatique), qui
requête affichant u n iq u e m e n t les
sélectionnez l'onglet People, la liste
constituent les fonctions standards de
nouveaux E-mails de Barbarella et
de vos contacts s'affiche.
tous les bons gestionnaires d'E-mail.
l'intégrer dans AdamBrowser. Le tout
Cette liste est entièrement param é­
A dam 2 .0 est livré saucissonné
s'effectue simplement. Les courriers
trable : ordre de tri, identifiant des
en q u a tre m o d u le s principaux :
seront toujours rangés dans le dos­
colonnes de la liste (sujet, expéditeur,
AdamReader, qui permet de lire et de
sier de "Barbarella" (par l'exécution
rédiger un courrier, Adam Setup qui
statut du courrier, priorité... bref, tous
d 'u n filtre par e x e m p le) et nous
d o n n e m oyen d 'a c c é d e r à son ou
les attributs qui peuvent être liés à un
pourrons immédiatem ent visualiser
E-mail).
ses comptes, AdamBrowser, consacré
les nouveaux courriers.
à la g estio n de ses missives, et
La troisième partie donne l'opportuni­
L'E-mail m ultim édia
té de jeter un rapide coup d'oeil au
AdamDaemon, qui se charge de récu­
A partir de maintenant, cela devient
contenu d'un courrier préalablement
pérer ou de transmettre le courrier.
intéressant. L'écriture ou la lecture
sélectionné.
Subjoct; Coit pour un»copfeQcrenI
Subject: On fait un )*u
H flH H I
Ador-. jpfti -jt.
-EdM;.AÂtft Setin?:
tMizny* Wi
d'un courrier électronique passent par
Vous avez é v i d e m ­
rim
Ok
Gttff
Ja»r.2.0^ ^
£* rJtàn J5S
le module AdamReader. "Barbarella"
m e n t la liberté de
Subpot: jOntu! <
n>*•!?
vous envoie sa dernière vidéo au forc ré e r d e n o u v e a u x
Type Niwl
B»t
©on
To
dossiers dans l'onglet
Folders. Grâce à l'ap­
A d a m 2.0
Ct«M
plication de filtres,
Adamation : http://www.
aux capacités tout à
adamation.com
fait honorables, il sera
Prix : 49.95 $
loisible d e d iriger
Source
: http://www.bedepot.com
au to m atiq u em en t
En hausse
vos E-mails dans ces
Fonctions multimédias
dossiers. En sus, vous
En baisse
p o u rrez é g a le m e n t
Adam Reader est un peu lent au
dem ander
pour
chargem ent
chaque type de filtre
Note
A dam R eader traite tous les fichiers
à ce q u 'u n e alerte
★
★
★ ★★
jo in ts autom atiquem ent.
Barbarella va ado rer !
soit p ro d u ite (son,
Set priority
Open Tracker puery
Repty vnth Statoonary
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
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iptom-mnÇmpc h
AtticfteM'i' ve»*e»
â.m.Httttr .H v jG v ..
Cfûû Distribution
S o ftw a re
Tél : 03.20.98.09.68
Fax : 03.20.98.13.86
Du Mardi au Sam edrde 10 h à 19 h
m
mat QickTime ou AVI ? Adam saura vous la lire. Il a également la
capacité de jouer des sons (AlFF, WAV). En outre, il reconnaît le
format Html et affiche directement les images (JPEG, GIF, PNG,
TIFF, Photoshop, etc.). Vous pouvez même enregistrer et envoyer
directement par AdamReader une capture vidéo, dont la lecture
ne nécessitera aucune carte spécifique.
Toutes ces fonctions constituent une énorme avancée par rapport
à la version 7.7; en outre, l'ensemble se révèle assez stable.
L'E-mail
joueur
Si les performances numériques de "Barbarella" vous barbent, proposez-lui alors de jouer aux échecs. La fonction Chess d'Adam
affiche graphiquement un échiquier (le rendu est agréable). Vous
déplacez vos pions avec la souris et envoyez votre coup à votre
adversaire comme n'importe quel courrier. Vous pouvez vous
confronter à un antagoniste qui ne possède par Adam : les coups
sont décrits au format ASCII. AdamReader offre également via un
P
w
e r
IUP*
A M IG A " G O E S P O W E R P C * "
C a r t e s a c c é lé r a t r ic e s P o w e r P C A m ig a 1200 T :
S a n s c o n trô le u r F a s t - S C S I- ll (ajo u t im p o s s ib le )
Blizzard 6 03 e 160 M hz + 68040 25 Mhz
Blizzard 6 03 e 200 M hz + 68040 25 Mhz
Blizzard 6 03 e 240 M hz + 68040 25 Mhz
A v e c c o n trô le u r F a s t - S C S I- ll d ’o rig in e
Blizzard 603e+ 160 Mhz + 6 80 40 25 Mhz
Blizzard 603e+ 200 Mhz + 6 80 40 25 Mhz
Blizzard 603e+ 200 Mhz + 6 8 0 6 0 50 Mhz
Blizzard 603e+ 240 Mhz + 6 8 0 4 0 25 Mhz
Blizzard 603e+ 240 Mhz + 6 8 0 6 0 50 Mhz
1.9 9 0 F
2 .5 9 0 F
2 .9 9 0 F
2 .5 9 0
2.9 9 0
4 .8 9 0
3 .6 9 0
5 .5 9 0
F
F
F
F
F
C a rt e s a c c é lé r a t ric e s P o w e r P C A m ig a 3000/4000 :
Cyberstorm PPC604e 200 Mhz + Ultra Wide S C S I 3.9 9 0 F
Cyberstorm PPC604e 233 Mhz + Ultra Wide S C S I 4 .6 9 0 F
Option 68040 25 Mhz monté sur la carte
+ 490 F
Option 68060 50 Mhz monté sur la carte
+ 2.300 F
e m ail : fd s @ fd so ft.c o m
Lo g iciels Amiga
390
490
A s im C D F S v 3 .9 a -Version F ran çaise Directory O p u s 5 M agellan - Vo Digi Booster Profession al -VoIB row se -VoM a ste r IS O 2 .2 -Vo- P ro m o tio n
Miami 3.x enregistré - VoS ie g frie d A n tiv iru s - VoS o u n d P r o b e -VoPerso n al Paint 6.4 -Version F ran çaise Turbo C a le 5.xx C D (D oc V4 en F ran çais)
Turbo C a le 5.xx D isk (D oc V4 en Fran çais)
Turbo C a le 5.xx C D / disk m ise à jour
349
349
490
279
•139
259
39
490
490
320
N o u s co n su lter pou r les con ditions d e m ise à jour.
450
490
490
Turbo Print 6 .0 2 -VoW o rd w o rth 7.01 C D - Version F ra n ça ise
W o rd w o rth 7.01 D is k - Version F ra n ça ise
L a version F ra n ç a is e s officielle d e W o rdw orth est livrée a v e c
un m a n u e l im p rim é en F ra n ç a is et a v e c u n e carte
d ’e n re g is tre m e n t à l’a d re s s e d e F re e D istribution S o ftw a re .
W o rd w o rth 7.01 C D ou D is k (m ise à jour)
290 F
L a m is e a jo u r d e W o rd w o rth 7 e s t d ispon ible exclusivement
c h e z F re e D istribution S o ftw a re . V e u ille z nou s co n su lter pour
les con ditions d e m ise à jour.
ZipTools - Vo -
PS : Les 680 40 et 68 0 6 0 sont équipés d e M M U et FPU.
C artes G rap hiques
210 F
CD-ROM Amiga
A téoB u s + Pixel 64 pour A m iga 1200 T
1.990 F
BV isio n 64 (Blizzard P P C )
Cyb ervisio n P P C 8 Mo (Cyberstorm P P C )
NC
1.490 F
Périphériques / Accessoires Divers
B o ît ie r s T o u r s :
Tour Atéo pour A 1 20 0 + Interface clavier P C +
clavier P C + Alim 200 W+ Em p la ce m e n ts pour
l’extension A téoB u s & Pixel 64
1.090
D iv e rs :
Alimentation originale / ou 200 W atts 290 F / 490
Jo ystick C ru ise r Noir
120
Jo y P a d Compétition Pro C D 3 2 & Am iga
189
So u ris 3 boutons haute résolution
149
B lizzard S C S I-K it pour B 1 230-4/1240/1260
Squirrel S C S I (Contrôleur S C S I P C M C IA )
F
F
F
F
F
NC
550 F
SuftSquirrel S C S I (Idem +rapide + port série)
N ap p es ID E & S C S I (nom breux m od èles)
Câb les & adaptateurs S C S I (nombreux modèles)
Adaptateur S C S I Interne B 1 230/40/60
Adaptateur M 1438/1538 pour P C
Adaptateur V G A pour A 1 200/4000
Adaptateur So u ris P C (au cu n logiciel req u is)
C o u d e P C M C IA pour Tour
Scan d o u b le r externe pour tous le s Am iga
790 F
Tél.
Tél.
290 F
159 F
149 F
249 F
259 F
790 F
R O M 3.1 (se u le s) A 1 20 0 /4000 (p récisez)
349 F
R O M 3.1 (seu le) A 3000
349 F
R O M 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F
M o dem U S R o b o t ic s :
Sportster 56K o M e ssa g e Modem
1.190 F
Option : Kit Internet Amiga @ -Net II C D
+149 F
Am iga Form at 31 ou 32 ou 33 ou 34
Am inet 24 (Avril 98) Promotion
Am inet 2 5 (Juin 98) ou 26 (Août 98)
Am inet 27 (Octobre 98)
Am inet 2 8 (D écem b re 98) dispo v e rs le 15
Am inet S e t 1 ou 2 ou 3
Am inet S e t 4 ou 5 ou 6
A m in e t S e t 7
F ren ch Storm (Libre e s s a i en F ra n ça is)
P rofession al File Sy ste m 2
S c e n e Exp lorer 2
Studio Profession al v 2.2b
N etconnect 2
Su p erV iew Productivity Suite
C yb erg rap h X V4
R ed Hat Linux 5.1 Am iga
E n v o y v 3.0
G et C o n n e cte d (M iam i+IBrow se+Yam )
JEU X
Foundation C D
G en e tic S p e c ie s
Q uake C D
Myst C D
Tim e of Reckoning
59
79
89
89
89
150
199
199
39
349
139
249
615
209
179
139
349
519
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
310
310
349
339
199
F
F
F
F
F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
menu la consultation de l'historique des coups.
■Mam 2.0 est un produit qui coïncide parfaitement avec l'esprit
BeOS. Il offre de nouvelles perspectives quant à l'utilisation du
courrier électronique.
Groseille sur le gâteau : en un clic de souris, Adam devient français
(fort pratique, même si parfois le texte français déborde des cases).
La version actuelle est réservée à BeOS R3 (Intel et pcc). Celle-ci
fonctionne cependant sur BeOS R4 ppc, malgré la présence d'un
bug qui oblige à valider des boîtes de dialogue au contenu surpre­
nant lors de la réception du tout premier mail. Une version R4 ne
saurait tarder (gratuite pour ceux qui ont déjà acheté Adam 2.0).
Christophe Morvant
h ttp://perso, easynet. fr/~kubernan/index.html
i
Adam add-on Vboot/home/config/add-ons/adam/
Attachment Viewer* is for an older version of Adam.
Piease delete this addon from your add-on
directory and co n tact the author for a new version.
L e c t e u r s d e d is q u e t te s :
DD 720 / 880 Ko interne A600/1200
230 F
DD 720 / 880 Ko interne pour A 2000/4000
210 F
DD 720/880 Ko externe pour tous
480 F
HD Interne 1.4 /1.76 Mo pour A2000/4000
650 F
HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F
HD Interne 1.4 / 1.76 Mo A 1 20 0 (classiq u e) 650 F
HD Externe 1.4 / 1.76 Mo (WB2.04 minimum) 770 F
SIM M E D O 32 Mo (A tte ntion : P é n u rie im m in e n te !) N C
C D -A U D IO ( R é a lis é s s u r A m ig a)
Am iga T h e m e C D - B a ck for the Future
N euland - d a s sch w a rz e System
59 F
59 F
P lu s de 200 C D -R O M s Am iga sont disponibles !!
D em an d ez notre catalogue gratuit ou co nsu ltez sur
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399 F
A m ig a F o r e v e r 2.0 C D
Em ulateur Am iga pour PC/Pentium
Périphériques
Lecteur C D 3 6X Atapi Interne
D isqu e Dur 3.5" - 3 .2 G o ID E Interne
390 F
890 F
Norme S C S I" :
Lecteur C D P io n eer 32 X S C S I-II Interne
Lecteur C D P io n eer 32 X S C S I-II Externe
690 F
1.050 F
D isque Dur 4 .3 G o Ultra S C S I Interne
Boîtier Externe alim enté en option
2.0 9 0 F
+540 F
N o u s c o n s u lte r p o u r le s a u t re s p é rip h é r iq u e s .
* C o n trô leu r S C S I requis.
Commande sur papier libre ou sur le bon de commande ci-dessous. Règlement joint à la commande
par chèque, mandat ou Carte Bancaire par téléphone ou télécopié ou Internet.
Frais de port en recommandé : 35 F - Tours et configurations : 100 Frs.
Venez visiter notre site web : http://www.fdsoft.com
vous pourrez vous abonner à notre mailing-list pour recevoir par email nos listes de
promotions et ae nouveautés.
Point de vente : C A P M ICRO/FDS, 111 Bd Clem enceau, 59700 Marcq en Baroeul.
(Téléphoner pour la disponibilité des articles)
Bon de Commande à retourner à * F R E E
D ISTR IBU TIO N S O F T W A R E
B P 134 - 59453 L Y S L E Z LA N N O Y C E D E X
NOM /Prénom : ...............................................................................................................................
Adresse : ..........................................................................................................................................
VILLE : .....................................................................................
Code Postal : !__ !__ !__ !__!.
Téléphone (facultatif) : .......
Prix
Désignation
Qîé
Un bug avec Adom fait exprès p o u r BeOS R4 ppc.
Frais de port forfaitaire : 35 F, ou 100 F (Voir ci-dessus)
Montant total de la com m ande
Ci-joint mon règlement par ( ) Chèque, ( ) Mandat,
( ) Carte Bancaire n° : !_______ !_________ !________!____
Date et signature
! Exp !
O ffr e v a la b le d a n s la lim ite d e s s to c k s , p rix d o n n é s à titre in d ic a tifs , le s C D - R O M S e t c e rta m s lo g ic ie ls s o n t e n la n g u e a n g la is e
Imlib 1.8.1
, /e
Parfait remplaçant de libXpm
petit
bijou conçu par Rasterman s'impose
comme "standard"
ette bib lio thèq ue de p ro ­
g ram m atio n dév elo p pée
en C est issue du c o d e
d 'Enlightenment, le Window manager
"de la mort qui tue", pour ceux qui
aiment. Même pour les détracteurs
(qui, com m e nous, préfèrent un bon
"vieux" Fvw m ou, à la limite, un
A f t e r s t e p ) , il fa u t r e c o n n a î t r e
q u ' Enlightenm ent gère de fort belle
manière les images bitmaps. Imlib
est donc la partie "gestion d'images"
d'Enlightenment, mais elle sert égale­
m e n t de base aux to u t nou v eau x
thèmes de GTK+.
C
Fo n ctio n n a lité s
Le but d 'Imlib n'est pas d'offrir une
bibliothèque généraliste de gestion
d'image. Image Magick remplira par
exem ple bien mieux ce rôle. Imlib
s'oriente plutôt vers le chargem ent
m u l t i - f o r m a t et l'a ffic h a g e f o u ­
d ro y a n t de petites im ages (m axi­
m um 32767 pixels de côté) desti­
nées à décorer vos applications. Les
formats reconnus en mode natif sont
PPM, PGM, TIFF, PNG, XPM, JPEG et
EIM. Il d em eu re toutefois possible
d'ajouter le suppo rt des GIF et de
tous les formats reconnus pas Image
M agick et PBMPIus. Inutile de vous
dire que de ce côté-là, Imlib ne pré­
sente aucun défaut. L'affichage reste
tout de m ême le véritable point fort
d e c e t t e b i b l i o t h è q u e . D ans ce
domaine, Imlib est tout simplement
imbattable et montre bien le niveau
de maîtrise du "sieur" Rasterman grâce à son Enlightenm ent - quant
aux images bitmap. En plus d'une
fonctionnalité de cache des images,
Imlib propose une gestion du rendu
(utilisation des couleurs) très évo­
luée. Il y a par exemple moyen de
charger une image 24 bits et de l'af­
ficher avec une qualité correcte sur
un display en 8 bits au colorm ap
(palette) déjà bien chargé (on peut
aider au choix des couleurs grâce au
fichier .imlibrc). Quel q ue soit le
mode de rendu (il en existe six), l'af­
fichage s'avère en outre incroyable­
m e n t rapide. Imlib propose égale­
ment quelques fonctionnalités avan­
cées, offrant certaines capacités de
retouche des images : balance des
couleurs, rotations (par pas de 90°),
zooms (très rapides), etc. L'utilisateur
a m ême la liberté de sauvegarder les
i m a g e s m o d if ié e s (on p ré fé re ra
encore une fois Image M agick pour
ce genre de besoin).
Une API sim ple, un p etit peu
bidouille
L'API proposée par Imlib reprend le
principe du "grosses structures glo­
bales, fonctions associées" cher aux
d é v e l o p p e u r s C (qui n 'o n t pas
enfourché le cheval de bataille "objet
en C"). L'utilisation de vraies struc­
tures et non de Handles d o n n e à
Im lib un a s p e c t un p e t i t peu
bidouille qui correspond en fait assez
bien à son rôle (bricoler avec des bit­
maps). Notez qu'une connaissance
de base en programmation Xlib (ou
GDK) est nécessaire pour pouvoir
tirer parti de Imlib. Voici par exemple
la f o n c t io n d 'in itia lis a tio n d e la
bibliothèque :
encore une fois très simple :
Imlib_render(ImLib, Image, Image>rgb_width, Image->rgb_height) ;
Il existe ensuite deux méthode pour
extraire un Pixmap : copy (si on veut
modifier le Pixmap ultérieurement)
ou move :
Pixmap pixmapl ,pixmap2 ;
pixmapl = Imlib_copy_image{ImLib/Image} ;
pixmap2 = Imlibjnove_image(ImLib, Image) ;
La fonction Xlib XCopyArea() permet
enfin d'afficher tout ou partie des
pixmaps. Les affichages s'effectuant
d ir e c t e m e n t par le serveur X, la
rapidité est au rendez-vous. Imlib
s'adresse donc avant tout aux pro­
grammeurs X "bas-niveau" qui veu­
lent passer outre les limitations de
libXpm. Vu la grande clarté du code
source de Imlib, il est possible de
créer des versions spécialisées très
simplement. Par exemple, il n'a fallu
que quelques minutes pour extraire
le code correspondant au charge­
ment des images XPM, au rendu et à
un sous-ensemble des fonctions de
retouche, pour l'intégrer ensuite à
une bibliothèq ue C++ é g alem en t
sous licence LGPL. On co m pren d
vraim ent ici l'im portance du Free
software ! Le défaut majeur de Imlib
vient de ce qu'elle dépend de nom ­
breuses autres bibliothèques pour la
gestion des formats de fichiers, ce
qui alourdit considérab lem en t les
p r o g r a m m e s e n g e n d r é s et c o m ­
plique la ligne de com m ande pour
l'éditio n de lien (outil du typ e
gtk_config obligatoire I).
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Fred Pesch
Im lib
ImlibData *ImLib ;
ImLib = Imlib_init(display) ; /*
display Xlib */
Il est ensuite possible de définir le
m ode de rendu :
Statut : LGPL
En hausse
▲ Nombreux formats reconnus (pas
de limite intrinsèque)
A M odes de rendus variés
/* mode palette avec dithering et rendu
des "grosses" images)
Imlib_set_render_type(ImLib,
A
RT_DITHER_PALETTE_FAST) ;
couleurs, etc.
C harger une im age constitue une
opération triviale :
Imliblmage *Image ;
Image = Imlib_load_image(ImLib,
mon_image.jpg n) ;
Sans Imlib, pas de Gtk-thèm es !
Rapidité du rendu (m ême p o u r
rapide */
Le rendu est une opération séparée,
Zoom ,
ro ta tio n ,
filtre s
de
En baisse
Un p eu lo u rd lo rsq u e tous les
formats sont activés
T
API p erfectib le (n o ta m m en t la
fonction de rotation !)
Note
★★ ★★
EMOS EXCLUSIVES DE HAD TRAX ET DEFORMER 2
Dossierspêci
t
t
w i o u
In te l O U A H D 9
CDouDVD?
Gros p l a n :
(omment
fonctionnent
les cartes 3D ?
Quelles sont
les meilleures ?
T®utsur
®a«korifice
,es 'ogfcfeis
e contrôle
*d i s t a n c e »
Baldur’s Gaie,
Tomb Raider 3,
Blood
|
Dark Project... t
50 pages y
d'actualités jeux
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
I
l m,
v
w z s
| Intel ouAMD,
indows ou Linux,
CD OU DVD,
I que faudra-t-il
choisir en 1999 ?
S p é c ia l H a t fîT tffe :
Ce qu'il fauf savoir
pour tricher, jouer
en réseau et
personnaliser
f
•
i
les niveaux
ÊLr
t; Pleins fieux : ce que les développeurs français préparent. fa m 'iuim uae *
comment fonctionnent les nouveaux riru-s ? Set : vos €-malls .sur GAIS.
| Nouvelles rubriques pratiques Flash 3 . Soundtorÿc... Rubrique,* Psion.
Pïior, HP/,S, 7792...
Ludi CD
:
ladém
oexclusive
de
MadTrax
I 1
. 9405 --22-42,00 F
792041042001
d o n n e toute sa mesure dans
des e n v iro n n e m e n ts h é té ro ­
gènes com posés de plusieurs
machines en réseau. Les béné­
fices de cette conception abon­
dent ; on notera en particulier
que si le serveur peut sauvegar­
d e r t o u t le réseau, c h a q u e
client a égalem ent moyen de
sauver ses données comme bon
lui semble.
Arkeia
,
Administrateur d'un réseau hétérogène
vous cherchez une solution de sauvegarde
fiable rapide et simple ? Alors, jetez donc
un œil à Arkeia. L'essayer, c'est l'adopter.
,
M ulti-plates-f orm es
marketing
admin
aspicht
marketing
mcolzi _ni
nkherif
oracle
prousse^
root
U SER
□ mars
□
□
□
SB
02/20/97
02/20/97
02/20/97
02/20/97
09:13
09:13
09:13
09:13
Si le programme en lui-même existe
sur de n o m b re u x systèm es (Unix,
NT), il ne demeure pas moins capable
de parler avec la quasi-totalité des
systèm es d 'e x p lo ita tio n existants
(VMS, OS/2, Novell, etc.). Hors de
question en conséquence de voir ses
noms de fichiers tronqués après une
restauration. En effet, tout est sauve­
gardé, depuis les liens symboliques
Unix jusqu'à la base de registre de
WindowsNT.
You have su c c e ssfu lly loaded user informations
Don't foryet to assign passuord to the user : marketing
You have su c c e ss fu lly modified the user 'marketing'
You have su c c e ss fu lly loaded user informations_____________
Fonctionnalités
De nom breuses fonctionnalités.
L'utilisateur p eut recourir à Arkeia
pour effectuer une sauvegarde ponc­
tuelle (par un des clients ou par le
serveur) ou l'employer comme robot
de s a u v e g a r d e , qui p re n d ra par
exemple soin de sauver chaque nuit
toutes les données vitales, modifiées
dans la journée. Là réside sa principa­
le fonctionnalité. Bien entendu, de
telles actions sont programmables et
c u m u la b le s avec une s a u v e g a rd e
incrémentale ; il y a en outre moyen
de piloter le temps depuis des scripts.
Marron sur la bûche, Arkeia
s'avère égalem ent capable
de sauvegarder des parti­
tions m o n té e s en NFS et
propose même de backuper
une base de d o n n é e s de
ty p e Inform ix ou O racle
pendant qu'elle se trouve en
cours de consultation.
G Welcome to Arkeia
g
«3
A le s ia
Garfield
; ~ FZ :- .'r *Ÿ Æ - l i - T > V *
--------------------------
L'interface sous X est quand même d'un
goût douteux.
bilité de voir les fichiers sauvegardés
par un autre utilisateur.
Pour fin ir
L'interface ne traîne pas la patte, puisqu'en plus de l'intuitive interface nati­
ve pour X l l , on a loisir d'administrer
la totalité du processus par l'entremi­
se d'un browser Web, et ce, grâce à
une application en Java. Désormais
adopté par de nombreuses sociétés,
Arkeia apparaît comme LE logiciel de
b ack up sous Linux, plus simple
qu 'Amanda et plus poussé que BRU.
Bien que nous n'ayons pu tester la
totalité des fonctionnalités du logiciel,
nous avons néanmoins constaté des
performances supérieures à celles des
concurrents de ce produit, dans le
cadre de sauvegardes identiques.
C uillaume Cirard
un petit outil pour sauvegarder
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
des images sur disquettes, pas­
n revanche, si vous recherchez
E
sez votre chemin : tar, cpio et autres
taper s'acquitteront parfaitement de
cette tâche. En effet, Arkeia est un
logiciel de b ac k u p professionnel,
orienté réseau. Construit autour d'une
architecture client/serveur, ce logiciel
mmmmm
0 0 h 0 8 '2 9
In sta n t
Savep ack
B S E B B ÎM I
D rh/epack
^wrisispni
pool
Sécurité
Drive B
31 M B /rn in
C u r r e n t d ire c to ry
p ro xim a
p ro x lm a :c :/M S O ffic e /S c h e d u le
m ars:/hom e/hom edev/u3
d u n e :c :/ M y D o cu m e n ts
linux :/hom e2/pannel
in d y :/h o m e /P A T C H E S /iR IX 6 _2
09:13Drive
09:13Drive
09:13Drive
09:13Drive
'Drive
'Drive
'Drive
'Drive
□ ‘9‘e-ur.rfO a s j a
ta*
□ îsopr.w» atge».}
□
w*
□ lu
ü
Vous avez dit multi-plate-formes ?
17950 Aies
Backup Speed
02/20/97
02/20/97
02/20/97
02/20/97
Qa6AUB$*jU 3^*»
A v e ra g e
3 d riv e s
C r u is e c o n tro l
□
□
□
□
ggirard@club-internet. fr
A':
C ':
A':
B':
creatlng
creetlrvg
creatlng
creatlng
segment
segment
segment
segment
'24
'10'
'25 ‘
'16
Arkeia ou N eed For Speed 4
?
En ce qui concerne la sécuri­
té, rien n'a é té oublié.
Monitoring de la connexion
TCP/IP e n tre serv eur et
clients afin d'optim iser la
sécurité lors du backup, véri­
fication de l'intégrité des
données à la volée, chiffre­
ment via DES (toujours à la
volée), et bien sûr, généra­
tion d'un rapport circons­
tancié : rien ne m a n q u e .
Lors de la restauration, un
client n'a même pas la possi-
Arkeia
Statut : commercial
(distribué par MCD2)
Source : Knox Software
(www.arkeia.com)
En hausse
▲ Fiable et robuste
Idéal dans un environnement
hétérogène
Interface Java
En baisse
L'aspect
▼ Le prix
Note
★ ★ ★ ★ *
s
MV 1200
Un scandoubler extern e p o u r to u t
Amiga.
a grande p a rtic u la rité des
Amiga vient de leur chip set
graphique (OCS, ECSet AGA).
Celui-ci permet des modes d'afficha­
ge fort pratiques pour la vidéo (PAL
NTSC), mais inexploitables sur un
moniteur SVGA classique. Il faut
pour cela passer par un téléviseur ou
un écran capable d'afficher des fré­
quences inférieures à 30 KHz (moni­
teurs multiscan).
Le MV1200 donne la possibilité de
remédier à ce problème. Consistant
en un boîtier de 9 cm sur 6 cm, il
vient se brancher sur le port RGB de
l'Amiga. A l’arrière se tro u v e un
L
connecteur 9 broches classique, des­
tiné au b ra n c h e m e n t d' un écran
SVGA. Ainsi, par exemple, le menu
de boot de l'Amiga (habituellement
en PAL ou NTSC) s'affiche parfaite­
ment sur le SVGA. La technique est
simple : le scandoubler récupère le
signal vidéo à la sortie de l'Amiga et
double sa fréquence (on passe de 15
Kz à 30 Kz), le rendant ainsi accep­
table par le SVGA. Concrètement, il
devient possible de lancer les jeux
spécifiques AGA ou OCS sans pro­
blèmes. Les d ém os sont aussi affi­
chables, ainsi que des logiciels pro­
fessionnels com m e SCALA M M , qui
ne s'affichent qu'en PAL ou NTSC.
Toutefois, les m odes entrelacés le
resteront sur le moniteur SVGA, bien
que l'effet de scintillement soit lar­
g e m e n t a tté n u é par rapport à un
téléviseur. Il y a m oyen d 'ac h e te r
séparém ent une ROM contenant un
désentrelaceur (flicker fixer) pour la
brancher sur le M V 1 2 00 : celui-ci
désentrelace ainsi les résolutions et
les affiche sans le moindre scintille­
ment.
Le seul défaut de ce petit appareil
se révèle sur les couleurs unies : des
lignes verticales sombres apparais­
sent, mais au bout du compte, elles
n'ont rien de bien gênant.
Ben YORIS
[email protected]
MV
1200
Scandoubleur
En hausse
A Pratique
Extensible
▼ Rien
En baisse
Note
★ ★ ★ ★
The S c e n e Ar c hi v e
Test CD
The Scene Archive
En hausse
▲ Le classem ent
A La possibilité de lancer
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
En baisse
directem ent les dém os à p artir du
Cela fait plus de dix ans q u e la scè n e des d ém os A m ig a e x iste ! P o u r fê te r
CD
l'événement, APC&TCP a re g ro u p é les m eilleures d ém o s s u r un se u l CD e t
propose ainsi l'équivalent d e 7 0 0 0 d isq u ette s à visionner.
rès pratique, le CD s'appuie
sur un fichier AmigaGuide,
qui classe les d é m o s selon
leur nom, l'année et le g r o u p e .
Bonne surprise, les meilleurs répon­
dent à l'appel : TBL, H a u jo b b ,
Artwork, Nervus Axis, TRSI, etc. La
scène française est aussi à l'honneur
avec Drifters, E s s e n c e , R a m se s,
Silicon, et bien d'autres encore. A
noter l'absence i n e x p liq u é e
d'Ukonx, un groupe français pour­
tant très actif : il s'agit très certaine­
ment d'un oubli. Vous retrouverez
de grands titres de la dém o Amiga
comme Tint, State Of the
T
Art, Nexus 7
The
pour n'en
citer que quelquesuns. Concrètement,
il y a moyen de
lancer directement
une démo depuis le
fichier guide, mais
pas dans to u s
les cas. La d é m o
peut être ancienne
(certaines d a te n t
date,
d'avant 1992 !) et requérir un passa­
ge en disquette via DMS. Les assi­
g n a t io n s ou bien le m a n q u e de
CHIP RAM lorsqu'on se trouve sous
W o rk b en c h c o n s titu e n t un a u tre
obstacle. Ne cédez pas pour autant
à la panique ; il suffit de rebooter
sans passer par la startup-sequence
et d e lancer la
d é m o à p a rtir
du CLI. Dans la
grande majorité
des cas, tout se
passe correcte­
ment. En résu­
Y
Quelques oublis
Note
★ ★ ★ ★
mé, ce CD c o n t i e n t u n e d izain e
d'années de dém os, ce qui en fait
une archive indispensable pour tous
les adeptes de la scène Amiga.
Ben YORIS
[email protected]
D eltanet
Un se rv e u r W eb fa cile à m e ttre en
ro u te .
eltanet est un
serveur d'une
g r a n d e sim ­
6^' il *»!»
plicité,
pour
m a c h in e s Acorn. Il
gère les protocoles
H ttp, Ftp, Finger,
NTalk et Telnet, et
perm et égalem ent
de créer une liste des
Test de connexion Ftp.
utilisateurs et m ots
d e p asse associés.
L'encryption des mots
d e p asse s 'e f f e c tu e
par l'entremise d'un
mu
module intégré, placé
d a n s un ré p e r to ire
non accessible pour
marna
les in té re ssé s. Ce
m odule peut se voir
rem placé facilement
par tout autre procé­
dé d'encryption.
Les Cgi se tr o u v e n t
M3 =
aussi adm in istrés et
« J1*
. . ;» ,»
g l Sa. i i .St.)
les param ètres sont passés via des
variables d'environnement. Deltanet
emploie environ 128 Ko de mémoire
et peu de ressources systèm e. La
contrepartie est que le serveur ne
vérifie les connections que toutes les
demi-secondes.
Deltanet fonctionne sans problèmes
sur Risc PC ou Archimedes. Sa faible
occupation mémoire donne moyen
de le faire tourner sur des machines
de très faible puissance. Les membres
du Fraug ont ainsi mis en place un ser­
veur axé sur un Archimedes à base
d'Arm 2 et sur un réseau Econet ; le
tout assure des connections à plus dé
16 Ko par seconde, soit plus que néces­
saire pour saturer une ligne Numéris de
128 Kbps.
Deltanet est un shareware de Chris
Poole, coûtant environ 70 francs ; on
p e u t joindre l'au te u r à l'adresse
c .e.poole @iee.org.uk et son site
Web séjourne au http://triton.chu.
cam.ac.uk /software/. Ce logiciel ne
représente pas le serveur idéal en
terme de performances, notamment
si on le com pare à N etplex ou au
très véloce Navaho, mais il se révèle
moins gourm and en ressources et
demeure vraiment facile à mettre en
oeuvre.
David Feugey
Deltanet
IDEPiso4.$.Da>tanflt18
(DettaNet
C h ar
Instruct
|P as 5 w o fd
[
Latestl
Currenl user
A Efficace, complet... et rapide
En baisse
at>ce
Phone.
un
Tolk daemon
Version testée : 0.18 / Shareware
En hausse
▲ Simple à installer
De petits bugs pou r le client Ftp
D elete user
[✓ Reque sis Ena
utilisé en ’localhost'
Temps de réponse un peu long
(mais < 1 seconde) sur m achine à
Cancel J
base d'Arm2
Note
★ ★★
★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
lD E I>sc4
0
Im age M aster
Le tra ite m e n t d 'im a g e facile.
se présente com m e
un logiciel de traitem ent d'im a­
ge rapide et puissant, développé
par le très prolifique David Pilling.
Ce produit, du fait de sa gestion
directe des modules Twain, conçus
par le m êm e auteur, sert principale­
m e n t d 'o u til de t r a i t e m e n t d es
images scannées.
Im a g e M a s t e r e m p lo ie un m o d e
page, ce qui peut s'avérer légèreI
m age M a ster
OpocPro
300x30Odp' ; Colour (24bpp) j 2514 S i Ç|
UwpQn | UmpOtt | P | * l l
_JSuporscaJ* _jTranip
Ol
~
1
~HBH—
a
[ 0
iG IO I
~T~°~1 -■
'I ° I i
TTT1 -J-
Provtev» j Ptx*o(7*5)_J jjjj Canc«! j Scan
m s»0 !
IDEOscA
Exem ple d'un m odule Twain.
Vue du logiciel DeltaNet.
m ent déroutant au début, mais ne
constitue pas une limitation. On ne
d isp o se d 'a u c u n outil de dessin,
mais la palette des types de traite­
m ent est complète : redimensionnement, changem ent de palette, rota­
tion, effets divers et conversions
répondent ainsi à l'appel.
Le point m a rq u an t provient de la
g ra n d e vitesse de ce logiciel, qui
p erm e ttra d ’effectuer ra p id e m e n t
to u t type de travaux. Sa rapidité,
très supérieure à celle de ChangeFsi,
d o n n e r a un s e c o n d souffle aux
machines vieillissantes ne disposant
pas de S tro n g A rm . L'utilisateur a
l'opportunité de param étrer Image
M aster, pour effectuer ses travaux
en tâche de fond.
Autre point intéressant, le nom bre
d e fo rm a ts de fichiers g érés est
i m p o r ta n t (o n ze types parm i les
plus courants). On retrouve la vites­
se de tr a ite m e n t d'un logiciel de
conversion com m e Translator, testé
le mois dernier. En ce qui concerne
l’occupation mémoire, elle se révèle
très raisonnable et se partage entre
la vive et un contrôle efficace de la
v irtu e lle , g râ c e à des fichiers
d'échange.
Im age M a ster est un logiciel com ­
mercial disponible, au prix de 300
francs, chez de n om breu x reven­
deurs. David Pilling propose aussi
un ensemble Image M aster + Driver
Twain pour environ 350 francs. Au
b o u t du c o m p te , il app araît que
c'est dans cette configuration qu’il
offre le plus d ’avantages.
David Feugey
Image Ma s t e r
■
___
Source :
www.netlink.co.uk/users/pilling/
Version testée 1.10/commerciale
En hausse
Parfait pou r le traitement
d'image
Rapide et peu gourm and en
mémoire
S'adapte facilement aux modules
Twain
En baisse
Le mode page
Note
★ ★ ★ ★ '
Pour comm ander :
• Passez au magasin ou,
• Écrivez-nous en joignant le paiement par chèque ou mandat cash ou.
• T éléphonez-nous avec votre carte bancaire.
Vive FanNeufs
Neuf»Neuf.
Les livraisons à domicile :
Port total en France sans m atériel...................................................................50
Port total en France s’il y a au m oins unm atériel....................................80
Traitement prioritaire........................................................................................ +20
Livraison sur une î le ...........................................................................................+20
D O M -T O M .........................Prix variable selon le poids et la destination
Zone Euro et S u isse...........................................................................................+ 15
R ecom m andation................................................................................................. +70
Chaque em ballage cad eau ..............................................................................+ 10
A ssurance de transport par tranche de 2000 F..........................................+30
w*
Janvier : Nouveau marché Européen.
Mars : Nouveau magazine AmigaNews.
Septembre Nouveaux ordinateurs Amiga.
Vous pouvez payer en Euro sur sim ple demande.
La législation peut nous interdire de vendre dans certains pays.
Les prix sont indiqués en francs français et sont révisables sans préavis.
Nos conditions de ventes :
L'absence de paiem ent dans les 10 jou rs à com pter de la facturation
am ène une majoration de 10% indépendam ent des intérêts légaux. Toute
som m e due à l’échéance porte intérêt au taux légal annuel majoré de 50%
sans m ise en dem eure préalable et sans préjudice de tout autre droit que
se réserve notre société. Toutes les com m andes sont ferm es et définitives.
Les frais d'ouverture d’un dossier contentieux sont de 120 francs. Frais
d'étude d'un devis 150 francs. Lettre recom m andée 70 francs. Annulation
a ccep tée par notre société 150 francs. Chaque m archandise reste notre
propriété jusqu'à son règlem ent com plet en principal et en intérêts. Les
risques de transport sont à la charge du destinataire. L’acom pte pour
paiem en t an ticip é est de 0%. En cas de litig e seu l le trib u n a l de
C lerm on t Ferrand est com p éten t.
K\,ppi
47 avenue de la libération
F63000 Clermont Ferrand.
» 04 73 34 34 34.
AMIGA
>Ordinateur Amiga A 1200 M agic...........................2590
Ordinateur Amiga A 1200 M agic H D .................. 3290
Ordinateur Amiga A 1300 Tour...............................3340
Ordinateur Amiga A 1400 Tour Zorro I I ............4849
Ordinateur Amiga A 1500 Tour Zonro III...........5949
Apollo 630 68030 33 M hz + C o p ro ....................... 800
Apollo 630 68030 50 M hz + C o p ro ......................1150
Apollo 1240 68040 25 M hz + C o p ro ................. 1390
Apollo 1240 68040 40 M hz + C o p ro ...................1990
lo 1260 68060 50 M hz + C o p ro ..................2990
Apollo 1260 68060 66 M hz + C o p ro ..................3590
Apollo 2030 68030 50 M hz + C opro + S C S I.. 1790
Apollo 4040 68040 40 M hz + Copro + SCSI ..2490
Apollo 4060 68060 50 M hz + C opro + SC SI ..3890
Apollo 4060 68060 6f> M hz + C opro + SCSI ..4490
Arisdne Ethernet............................................................890
Hiuanl 1260...................
3690
; lliuard SCSI K it.........................................................690
Blizzard PPC 603e+ SCSI 160 M hz 6 8 0 4 0 ......2580
Blizzard PPC 603c+ SCSI 200 M hz 6 8 0 4 0 ......3 180
Blizzard PPC 603e+ SCSI 240 M hz 6 8 0 4 0 ......3680
Blizzard PPC 603e+ SCSI 160 M hz 6 8 0 6 0 ......5280
Blizzard PPC 603e+ SCSI 200 M hz 6 8 0 6 0 ......5280
Blizzard PPC 603e+ SCSI 240 M hz 6 8 0 6 0 ......5880
BVision 8MO pour Blizzard P P C .........................1380
Cote tnémoire+horloge avec support 8 M o 390
tywtiorm MK3 UW SCSI 68060 .......................4480
[CïbiîMorm PPC UW SCSI 180 M hz................... 4380
Cybenzorm PPC UW SCSI 200 M hz....................5280
ijbemonn PPC UW SCSI 233 M hz
-5 7 8 0
Cjtemorm PPC UW SCSI 180 M hz................... 4905
Cjberstorm PPC UW SCSI 200 M hz 68040 ....5805
Cjbmtomi PPC UW SCSI 233 M hz 68040 ....6305
1Cybemorm PPC UW SCSI 180 M hz 68060 ....6880
Cyhemorm PPC UW SCSI 200 M hz 68060 ....7780
Cybcnrtorm PPC UW SCSI 233 M hz 6 8 060....8080
Cybervision 8 MO pour C yberstorm ....................1480
Digitaliseur audiophonique 8 b its ........................350
Interface Midi p ro fessio n n elle..............................310
DooMeur de fréquence.................................................659
Lecteur interne DD stan d ard .....................................270
Lecteur çxteme HD M icro n ik . . ......... .................... 629
OS 3.1 VF A500/600/2000 ........................................ 590
OS 3.1 VF A1200/3000/4000 ................................... 690
Piraet Amiga vers A m iga------------------165
PteiHoIV......................................»............................2490
> Concieno Picasso.................... ...............................990
> PaJoma Picasso . ...............................................790
> Pablo Picasso ....... ...........................................990
Ïbd64........................................ .............
1990
Seraet Amiga vers CD 32 avec le c teu r...................249
Souris 2 boutons.............................................................129
Scum 3 boutons haute résolution — ....................209
Joysick............................................................................159
Topolino pour A2000................................................... 320
Topolino autre A m iga..........................................— 295
TourAtéo................................................................. .....998
TourMicronik............................................................... 1040
> Alimentation interne M icronik........................... 380
> Coque davier A m iga+adaptateur+cordon.... 380
> Carte Zorro II M icronik ......................................1390
> Carte Zorro III M icronik.....................................3 189
> Sortie externe SCSI M icronik..............................169
>• Adaptateur PCMCIA M icro n ik ..........................245
> Lecteur interne DD M icro n ik .................. .........380
» Lecteur interne HD M icro n ik..............................559
B ien débuter A 1200/A 4000 V F ..............................190
C lavier accentué V F ..........................................
Environnem ent W orkbcnch V F ............................... 120
3D Im ag es....................................................................... 155
A m iga F orevcr.................................................................. 360
A m iga Form at 35 (et m o in s )........................................49
A m iga tools 8 (et m o in s)..............................................129
A m inet 29 (et m o in s).......................................................89
A m inet set 7 (et m oins)................................................. 199
A PC T C P 6 (et m o in s).....................................................89
A sim C D F S ........................................................................480
Cvbergrafx v 4 ....................................................................160
D igiB ooster P ro ................................................................329
E lastic D ream
...........................................................499
Euro C d 3 (et m o in s)......................................................129
330
Envoy 3 ....................
Fusion M ac E m ulato r.................................................... 699
G cek G a d g e t
............................................................. 99
G P F a x .................................................................................. 495
H ard D rive M e n u .............................................................119
Ibrow sc V F ........................................................................ 380
In to the n e t...............................................
Kara c o lle c tio n .................................................................265
Light ROM 6 (4 C D )......................................................280
M agic W B ........................................................................... 109
M agic P ublisher..........................................
M ak cC D D A O .................................................................380
M eeting P earls.....................................................................69
279
•M iam i....................
M od's A nth o lo g y..............................................................169
M o g el....................................................................................139
N ctncw s o fflin c .................................................................. 39
O pus P lu s..................................................
O rganiser V F .................................................................... 240
Personal P ain t....................................................................199
P F S 2 ...........................................................
330
.............................................................. 259
Print S tu d io
Red Hat L in u x ...................................................................129
R cxecute le com pilateur A R exx...............................290
Scala M M 4 0 0 ...................................................................499
Scanquix V F - S c an érisatio n .................................... 690
S iam csc S y stem ................................................................299
Spcccy C lassix ’9 8 ...........................................................190
STFax P ro ...........................................................................640
Studio P rofessionnal 2 .2 ..............................................296
S u pcrV iew ..........................................................
199
The Best o f M ecom p .......................................................119
Truc 3 D ...............................................................................190
Turbo C ale V F ..................................................................490
Turbo P rin t.............................................— ........................449
U ltim atc B litz Basic C D .............................................. 320
W EB i t ................................................................................. 155
W ordW orth V F ........................
490
W orkbcnch D esigner 2 ...................................................119
UU
/}
G ig a n o ïd ............................................
139
120 G unbcc F 9 9 .........................................................................159
H arlcq u in ..............................................................................139
H istory Line 1 9 1 4 -1 8 ...................................................139
H ook C ro c h e t.....................................................................139
In festatio n ....................................................
139
J e t.............................................................................................139
K nights of the S ky........................
.1 3 9
Kang F u ................................................................................390
K rusty Fun H ouse les S im psons.................................139
K yrandia p o ur A 5 0 0 e t A 2 0 0 0 .................................149
Lcm m ings I I ....................................................................... 139
M o k tar....................................................................................139
Lcthal W capon....................................................................139
Lotus I I I ................................................................................ 139
M cD onaldland....................................................................139
M ickey 12 3 ..........................................................................139
M ickey A B C ....................................................................... 139
M ickey M ém o ire...............................................................139
M ickey M ots c ro isé s....................................................... 139
M ickey Puzzles anim es.................................................. 139
M o g el.....................................................................................139
M155
otorhead............................................................................ 139
M yst CD ou d isq u e tte ....................................................289
Navy se a ls............................................................................ 139
N ernac IV ..............................................................................139
N igel M a n se ll.....................................................................139
189
N o Second P riz e ................................................................139
O b lite ra to r........................................................................... 139
On escap ee...........................................................................259
O thelo K iller....................................................................... 139
P iracy on the High seas..................................................139
P u sh -O v er.............................................................................139
339
Q uake
190 C D .................
R o b o co p ................................................................................139
RVF H o n d a..........................................................................139
Sam ba W orld C u p ........................................................... 259
Scenc X p lo rer2 .................................................................. 169
S ilent Service II.................................................................139
Silk W orm ............................................................................ 139
Sim C ity ................................................................................ 139
Situant - les fo u rm is.......................................................139
Six Sens Investigation....................................................359
Sky B laster...........................................................................139
Star W ars...............................................................................139
Street F ighter 2 .................................................................. 139
Super H ang O n .................................................................. 139
Super T etris........................
139
S uspicious C arg o...............................................................139
Sw ord o f S o d a n
..............................................139
Thèm e p a rk ..........................................................................139
The scenc a rch iv e ............................................................. 145
The S cntin el.........................................................................139
Thunder B la d e....................................
139
T im e K c c p c rs.....................................................................189
Tim e o f R cckoning..........................................................235
Tiny S w c e k ...................
139
U F O .........................................................................................139
U ropa...............................................................:......................189
V irtual K a rtin g .................................................................. 190
Vroom data d is k .................
139
W ild W hcels K a rtin g ......................................................139
W ing C o m m nn d cr........................................................... 265
W izkid....................................................................................139
AT m oyenne to u r...............................................................219
AT m in i.......................................................................
219
A bit PII 440 B X .........................'.J ...........
979
C M 100 M hz S7 A G P .................................................. 499
CM PII Bx ALI + C S ......................................................579
CM BX A sustcc P II...................................................... 1379
C M LX PII + C S ...............................................................729
C M KTX 512 Ko C hips T X ........................................709
C M VX pro + carte s o n .................................................469
ASU S 4 40 BS 5 SC S! 2 ......
2509
P2L 97 A sustec l.X atx + agp P II.............................1169
E xtension ATI 4 M O .......................................................249
ATI X pert @ W orks 4 M O A G P ...............................579
ATI X pert <ê 98 8 M O A G P
.......................... 619
AT! X pert @ w orks 4 M O P C I................................ 609
ATI ail in w onder pro 4 M O A G P .......................1419
S3 I M O ext 2 M O .......................................................... 169
C arte M IR O DC 3 0 + ................................................... 8979
C arte TV M IR O PC T V ........................................
819
269
S is 3D A G P 4 M O + T V ......................
Sis 8 M O A G P ...................................................................229
Intel i740 8 M O A G P
............
509
S3 2 M O .......................................................................... .'.2 5 9
T rident A G P ........................................................................259
N um bcr N inc A G P 4 M O S W R A M ........................269
M illenium G 200 A G P 8 M O ..................
789
V oodoo 11 3 DFX 12 M O ............................................ 1490
W in 98 O E M ... ...............................................................819
W in 98 M a j.......................................................
839
V ia Voice 98 ex clu siv e
...............................1479
M icrosoft office étu d ian t.............................................1479
C iel C o m p ta ......................................................................1479
F am ily P a c k ........................................................................299
R ainbow 6 ........................................................................... 399
O ffice P M E ...................................................................... 2359
H om e E s se n c ial.....................................
949
N T 4 w o rk statio n .............................................................1819
W orks 4 ................................................................................ 319
O ffice Pro M a j.................................................................3119
Pack office L otus Sm art S u ite ......................................79
P cany w h ere
........................................................1419
N orton A m i V irus............................................................ 279
C âble im p rim a n te ...............................................................45
C able d 'alim en tatio n ..........................................................85
C âble SC SI 1 -)2 5 b ..........................................................49
C âble SC SI 3 -)2 5 b ....................................................... 279
C âble SC SI 2 -)2 5 b ........................................................129
C âble SC SI 2 - ) 2 ......
249
C âble SC SI 3 - ) 3 ........................
249
369
N appe SCSI U W 2.......................
N appe 7 SC SI 2 ..............................................................69
N appe interne U ltra W id e .............................................149
N appe 2l/ x vers 3'/2 e t 3Và............................................ 140
Votre nappe est égalem ent d isp o n ib le .................... xxx
lu rib L Iu k
M odem IS D N ....................
619
M odem Pro U S R ............................................................1679
M odem USR K56 externe pour A m ig a................1490
M odem H aycs + ad aptateur pour A m ig a ............1349
M odem U SR 33.6 P C M C IA .....................................1209
M odem externe nu m éris
»................................3519
M odem O litcc interne 56 k
.......................... 459
M odem U SR K56 in te rn e ............................................ 529
...................
399
M odem K ortc x
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
pnnC V F -................................... ............................. 1340
| Ait Effect . .........................— .............. .......... 610
tespater Graphics V F (Sortie vers a v ril)
690
DnwStudto VF...............................................................790
Devpac3.l8 V O ............................................................ 290
Dopa: 3.50 VF............................................................. 695
Décollages V F................................................................290
> Thème Espace............................................................140
» Thème Lettres............................................................140
> Thème Chiffres..........................................................140
!> Thème La mer............................................................140
Décollages complet (économ isez 140 * )........7 1 0
Magic Synthcsis VF (Sonic vers m a rs)................690
fc^eStrcdm Amiga VF nouvelle v ersion
1690
> Extension TcxtFX (effets de te x te )................490
> Extension Bordcrs (effets d 'o rn em entatio n ).490
> Filtre JPEG................................................................240
> filtre WordWorth nouvelle v ersio n.................. 240
> Effet de Gary (effets d 'im ag e)............................ 290
> Moteur True Type (fontes .ttf)............................290
> Scénario ARcxx........................................................240
PageStream complet (économ isez 720 , )....2 9 6 0
:TypeSmith V F..............................
490
Réparateur A.B.E. V F..................................................470
Spookur d'impression V F .......................................... 120
Rl«es Stylus- Canon VF.............................................190
.fane 1 : Excc VF.........................................................320
fane 2 : matériel V F ................................................... 320
8ien débuter A600 V F ................................................. 190
1
A ftcr B um cr A c ria l.................................................. 139
A lcatraz.....................................................
139
Alien 3 ..............................._r............................................... 139
A m iga O lofighi.................................................................269
A nim e Babcs SE Im a g e s X ......................................240
B allistix ......................................................
139
B u rb arian ............................................................................ 139
B ills Tom ato G am e.......................................
139
B la d e .....................................................................................269
Bob M oranc - O céan s................................................... 139
B o b 's Bad D a y ................................................................. 139
Brain D am age P in b a ll....................................
139
C aptain B lo od................................................
C iv ilizatio n .....................................................
C tow n-O -M ania................................................................139
C o lo n izatio n ...................................................................... 170
C om pilation A m iga C lassix (24 je u x ) ...................219
Com pilation Dream Team (3 jeu x O c é a n )
139
Com pilation Fox C ollection (4 jeu x T itu s )
139
Com pilation Gam e A tack (23 je u x )........................149
C om pilation M ctalic Pow er (3 jeu x L a n k h o r).. 139
C om pilation M onde M erveille (3 jeu x O céan). 139
C om pilation A dvcnture (4 jeu x M cg astar)
99
C om pilation F ightcrs (4 jeu x M cgastar)..................99
Com pilation S port 2 (3 jeu x L o ric ie l)..................139
C om pilation Vulcanology (9 jeu x V u lcan )
229
C razy Cars 3 .......................................................................139
C y tro n ...................................................................................139
D arkm an...............................................................................139
Eat the W histlc (fo o tb a ll)............................................215
E lf........................................................................................... 139
Euro League M anager....................................................180
F -19 Stealth F ig h te r........................................................180
FIFA In ternationnal........................................................220
Final O d y ssey ..................!................................................259
Fire F orce
........................................................... 139
Flying H igh...............................................
Flying High d ata d isk .....................................................139
Forest D u m p .......................................................................139
Form ula 1 F e rra ri............................................................ 139
Form ula I G rand P rix ...................................................220
Foundation C D .................................................................259
G .I.G .N . Ju p iter................................................................ 139
G enetic S p ec ie s
.................................................259
MAC INTOSH
139
220PagcS tream M ac............................................................. 1690
PC
P ro c e s s e u rs PC
P rocesseur P 7 5 .....................................
P rocesseur Pentium U 23 3 ......................................... 1499
P rocesseur Pentium II 2 6 6 ......................................... 1789
P rocesseur Pentium II 3 5 0 ........................................ 2359
P rocesseur Pentium 11 33 3 ......................................... 1889
P rocesseur Pentium II 4 0 0 .........................................3139
P rocesseur K 6-2-350.....................................................I I 29
P rocesseur K 6-2-333.....................................................1019
P rocesseur C eleron 3 3 3 A .........................................1179
P rocesseur K6 233 ..........................................................659
P rocesseur K6 2 6 6 .......................................................... xxx
P rocesseur C yrix 2 0 0 .....................................................659
Processeur M il 3 0 0 .....................................
P rocesseur IBM PR 23 3................................................459
I - r-Tf-l t GÎMn I-Ti il«l 11-.
SD R am 32 M O 100 M h z ............................................ 389
SD
245Ram 64 M O 100 M h z ............................................ 759
SD R am 1 2 8 M B ............................................................1509
SIM M ED O 16 M O .........................................................xxx
SIM M ED O 8 M o............................................................. 180
EEB23SG0
ATX G rande to u r..............................................................789
AT G rande to u r..................................................................789
ATX m oyenne to u r.................................................
369
Sound B laster 128 P C I.........................................
609
L ive 128.............................................................................. 1809
Sound B laster 16...............................................................239
C arte S ound B laster A W E 64.......................................479
C arte so n com patible Sound B laster........................ 109
Sound B laster 3 2 ................;..............................................309
C lavier PC
C lavier PC
C lavier PC
C lavier PC
C lavier PC
C lavier PC
C lavier PC
1.7
2.1
3.2
4.3
6.4
6 .4
8.4
6.4
4.3
9.4
P S 2 ................................
89
AT ..........................
69
M ultim édia avec H P ............ — ' ...........149
standard p o ur tour A m ig a .................... 158
M icrosoft Intclli P S II.............................229
M icrosoft É lite...........................................259
ergonom ique pour to u r A m iga
399
689
G o .....................................................
G o U DM 33 ......................................................... . . 8 9 9
G o U DM 3 3 ..............................................................1039
G o UD M 3 3 ........................................... . ................ 1129
G o UD M 33 ..............................................................1429
G o UD M IBM garanti 5 a n s
.............. 1729
G o U D M A 33 ...........................................
1639
G o SC SI U W ............................................................2829
G o S C S I.....................................................................2359
G o SC SI U W ............................................................4239
520 M o IBM garanti 6 m o is......................................1040
3 G o IBM garanti 3 a n s ....................................... 1990
G raveur !D E 2 x 8x m itsu m i......................................1649
G raveur Panasonic 4x 8x S C S I...............................2219
G raveur Yam aha 2x 4x 6x S C S I.............................2690
C édérom vierge K o d ak ......................................................14
C édérom vierge V erbatim ................................................ 14
n.'.r.rcrcmrii
C anon L B P 6 6 0 ...............................................................2509
H P 7 2 0 ...............................................................................2479
HP 67 0 C .....................
1209
H P 40 0 L ................................
1369
HP 690 C .......................................................................- 1949
S tylus C olor 4 4 0 ........
.9 9 0
S tylus co lo r 6 4 0 ..............................................................1490
S tylus C olor 7 4 0 ............................................................ 2090
T oncr H P
...................................................................549
C artouche H P xx N o ir................................................... 239
C artouche H P 6xx C o u le u r......................................... 249
C artouche
319
H P 690 P h o to ..........................
319
C artouche p o ur H P 720 co u leu r.................................309
HP 500 w
...........................................................409
HP 300 w ..............................................................................479
HP 220 w .....................
179
H P 240 w .............................................................................. 179
H ub 8 p o rts..........................................................................709
P C PC R a id e r.......................................................................109
F lignt F o rce ..........................................
439
T ru st.......................................................................................... 69
Joypad T ru s t..........................
79
599
T yph o o n ...................................................................
239
R ainbow ru nner pour M y s tic ...................................2039
L ecteur de cédérom s 34 x UD M A A sus interne 509
L ecteur de cédérom s 32 x in te rn e
................. 369
L e c te u r de c é d éro m s 36 x ID E in te r n e
590
L ecteur de cédérom s 32x SCSI interne .....
789
l^Em SEESBSBBSBB
L ecteur Z IP SC SI e x te rn e ............................................990
L ecteur Z IP p a ra llè le ......................................................990
L ecteur Z IP ID E in te rn e ................................................890
C artouche Z ip ......................
99
L'14frlillü'
lIZIl
” (écran 35 c m )....................................................... 1059
15 " (écran 38 c m )
..............................................1209
15 “ (écran 38 cm ) garanti 3 ans pour A m iga.. 1540
17 ” (écran 43 cm ) p row iew ........ ......................... 2119
HP 50 w
........
69
M icro p h o ne
..............................................................39
17 “ (écran 43 cm ) AD1 piieh 0 .2 6 ......................2359
20 “ (écran 50 c m ).......................................................7590
EaSSE
R outeur Syxcl P restige 1 0 0 .....,...............................3769
R outeur Syxcl P restige 1 2 8 ..................................... 4469
R épartiteur 8 routeurs ................
1729
C arte réseau IS A
— ............................................... 109
C arte réseau P C I................................................................119
19 pouces S A M P O ......................
4709
300 * 60 0 // pour P C ......................................................409
300 * 60 0 SC SI pour P C ..................
1019
S c a n n e r E p so n G T 7 00 0 p o u r Amiga
1790
S c a n n e r E p so n GT7000 P h oto p o u r A m iga 2290
Souris PC PS 2 .....................................................................29
S o uris PC A T ....................................................................... 29
Souris P C 3 b o u to n s.............................
85
Souris PC P ilo t
- ...............................................179
Souris PC H om e M o u se
.........
169
Tapis s o u ris ........................................................................... 30
G am e Pad P C ......................................................................169
mi
MM-zw
Philip m in io .....................................................................3259
Palm P ilo t...............................................................
2589
C onnecteur réseau R J45.....................................................9
C âble R J4 5 ..........................................................................479
Pince R J 4 5 ......................................
319
O nduiatcur 500 v a ...........................................................990
Protecteur a n ti-fo u d re ................................................... 319
C o n trôleur PC SCSI ......................................................489
A daptec 2940 ultra w id c ............................................ 1869
D istributeur 4 é c ra n .......................................................1129
B asculcur 2 écra n s............................................................179
B osculcur 2 im p rim a n te s..............................................180
V entilateur pour b o itic r..................................
69
V entilateur P II......................................................................49
Lecteur PC 3 1/2............................................................... 129
D isquette 72()K o-880 Ko p ar boîle de 1 0 .......— 45
Lecteur LS 1 2 0 ............................................................759
V entilateur P entiu m
................................................29
T ablette graphique T R U S T ....................................... 1699
B oiticr 2 em pl 5 1/4 S C S I............................................589
R ack ID E .............................
109
B oiticr S C S I
.............
540
A daptateur 2Vz vers 3Vi....................................................95
VENTE
RÉPARATION
CONSEIL
M a r r\ m \ / o r r7 o
rZ ~ ,
En savoir plus
sur X (1ere partie)
XWindow System est, comme son nom l'indique, /esystème
de fenêtrage standard sous Linux/Unix.
Faisons donc le point sur certains aspects que beaucoup
de nouveaux venus ont du mal à assimiler.
D ream p ro f
• Client X
Un client D O IT p o u v o ir se connecter à un
se rveu r X p o u r a ffich er quoi que ce soit. // est
également envisageable qu 'un client X n 'ouvre pas
de fenêtre (x p ro p , x k ill, etc.).
• Connection refused
I l a rriv e qu 'une connexion so it refusée. Cela se
m anifeste p a r un message du genre ''Connection
refused" lo rs du lancement d'un client. I l convient
a lo rs de v é rifie r que ta v a ria b le D IS P L A Y se
trou ve correctement positionnée et qu 'on possède
les d ro its nécessaires ( ma n xhost).
n attendant Berlin (http://www.berlin.de), X reste pour le m o m en t le
seul système de fenêtrage utilisé sous
Unix. X désigne en fait initialement un pro­
tocole, mais on l'utilise le plus souvent
pour parler de tout ce qui touche à la par­
tie graphique. Malheureusement, ce systè­
me comprend de nombreux rouages et il
ne s'avère pas toujours évident d'en com ­
prendre les tenants et les aboutissants rapi­
dement. La série d'articles qui commence
ce mois-ci vise un public débutant et les
puristes ne manqueront pas de relever par­
fois des inexactitudes ; relégant l'exhaustivité au second plan, le but consiste ici à
faire c o m p r e n d r e au lecteur ce qui se
c a c h e d e rriè re le t e r m e "X W in d o w
System".
E
ture client/serveur. Sans s'étendre sur les
m éandres du protocole, notons simple­
ment qu'elle permet entre autres de pos­
séder l'affichage et le processus associé sur
deux ordinateurs différents. Prenons un
exemple simple. Sur un réseau, un utilisa­
teur se connecte au serveur depuis un ter­
minal (peu im p orte le m oyen), puis il
"exporte son Display", c'est-à-dire qu'il
indique au serveur que l'affichage des pro­
grammes qu'il va exécuter sera envoyé sur
l'écran de son terminal. Ensuite, chaque
processus qu'il lance est exécuté sur le ser­
veur, le terminal ne faisant qu'afficher le
résultat et renvoyer au serveur les actions
de l'utilisateur sur la souris et le clavier.
Un serveur X, c'est ça !
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
sur le serveur. Cela s'explique de plusieurs
Vous avez dit protocole ?
Le système X Window, que nous appelle­
rons désormais X, repose sur une architec­
C en tralisé vs. fédéral
Ce m o d e d'utilisation est e n c o re très
employé, même si l'on a tendance désor­
mais à préférer exécuter les processus sur
les stations et à ne laisser que les données
manières : le coût désormais équivalent
d'un terminal X et d'un PC, la gourmandise
grandissante des applications actuelles et
bien sûr le souci de préserver au maximum
la précieuse bande passante. Un Display est
une connexion à un serveur X. La variable
d'environnement DISPLAY contient l'adres­
se de la machine exécutant le serveur, le
serveur lui-même et le numéro de l'écran
sous la forme adresse:connexion.écran (oui,
il peut y avoir plusieurs serveurs et plusieurs
écrans sur une machine). Dans le cas d'un
simple particulier avec serveur et clients sur
la m êm e machine, DISPLAY vaut localhost:0.0 ou en abrégé :0 !
Com m ent ça m arche ?
Le même, avec une kyrielle de clients.
Le serveur X désigne un programme qui
affiche un écran gris, se charge de recon­
naître les périphériques raccordés à la
console et attend patiem m ent que des
clients lui réclament des services. Par la
suite, lesdits clients (soit les programmes qui
souhaitent afficher des données graphique­
ment) se connecteront à ce serveur par le
biais du réseau. Il faut considérer l'exécution
de ces logiciels sur la m ê m e m achine
comme un cas particulier, même s'il repré­
sente le quotidien informatique de la majo­
rité d'entre nous. Voici comment sont répar­
ties dans la pratique les différentes tâches,
Un peu de v o c a b u l a i r e
Term inal
Il s 'a g it d 'u n o r d in a t e u r c o n s a c r é à
l'a ffich a g e . En g é n é ra l, il ne p o ss è d e
p a s d e m é m o ire d e m a sse et se v o it
a m o rcé p a r l'entrem ise du réseau. Un
te rm in a l d e type V T 1 0 0 n 'a ffich e que
des ca ra ctè re s, alors qu'un term inal X
sera en m esure d'afficher des élém ents
g rap h iqu es. Un term inal se com pose en
g én éra l d'un processeur, d'un p etit peu
de m ém oire vive, d'une carte g ra p h iq u e
et d'une carte réseau. L'intérêt d'un gros
s e r v e u r e t d e p l u s i e u r s t e r m in a u x
d ev ien t alors évid en t d a n s le cas d'un
réseau co n séq u en t, p uisqu'u n term inal
c o û t e t h é o r iq u e m e n t m o in s q u 'u n e
station.
Serveur
Dans un réseau, le serveur centralise des
in fo rm a tio n s. Il s'a g it d e l'o rd in a te u r
ch a rg é
par exemple dans le cas d'un programme
calculant et dessinant des ensembles tractais :
le client est exécuté et effectue ses calculs
grâce au processeur de la machine qui
l'héberge, les d o n n é e s in d iq u a n t les
points à afficher sont ensuite envoyées au
serveur X via le réseau (les deux machines
peuvent se tenir à plusieurs milliers de
kilomètres l'une de l'autre) et enfin celuici donne à voir les points sur l'écran du
terminal. A aucun m om ent, le terminal
n'a calculé un seul point de l'ensemble
fractal ; d'autre part, il n'est absolument
pas nécessaire q u 'u n écran se tro uv e
connecté à la machine hôte.
présentes dans une bibliothèque. Si on pro­
gramme en C, il suffira d'inclure les fichiers
d'en-tête correspondants et de linker la
bibliothèque en question avec le program­
me. Cette bibliothèque s'appelle la "Xlib".
Les fonctions fournies par celle-ci sont de
très bas niveau ; on a souvent recours à
d'autres bibliothèques de fonctions plus évo­
luées (formant des couches par-dessus la
Xlib) pour réaliser simplement des applica­
tions mettant en oeuvre des éléments gra­
phiques complexes, comme des menus. En
effet, la Xlib ne permet pas directement d'af­
ficher un menu, mais uniquement de tracer
des lignes ; elle s'avère incapable de manipu­
ler des objets graphiques évolués. D'autres
outils se chargeront de présenter au pro­
grammeur une fonction "AfficherMenu" qui
de manière transparente pilotera la Xlib, de
la même manière que la gestion
du réseau est transparente pour le
programmeur. Notons cependant
que la Xlib ne s'en trouve pas
réduite pour autant, car elle four­
nit directement de nombreuses
fonctions f r é q u e m m e n t e m ­
ployées. D'un point de vue du
vocabulaire, si tout ce que nous
verrons par la suite est intrinsè­
q u e m e n t lié au X W indow
System, le terme lui-même ne
désigne que le serveur X et la
Xlib. Après cette introduction,
nous survolerons le fonctionne­
ment des toolkits et présenterons
les plus courants.
d e s e r v i r les r e q u ê t e s
des
m a c h in e s c l i e n t e s , c 'e s t - à - d i r e le s
s t a t io n s ou les te rm in a u x . Un c lie n t
d e m a n d e à a c c é d e r à un fich ie r et le
s e r v e u r le lu i e n v o ie . D e la m ê m e
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Xlib, aux frontières du réel
Si on désire écrire un programme dessinant
des courbes dans une fenêtre, il convient
d'avoir recours à des fonctions spécifiques
m anière, un serveur X sert les requêtes
des clients, les program m es. Un logiciel
dem ande
à a ffic h e r un p o in t p a r
l'e n trem ise d 'u n e fo n c tio n de la X lib ,
ta n d is q u e le s e r v e u r p ilo te la c a r te
g ra p h iq u e p o u r afficher celui-ci.
Station
Le term e "station" s'o p p o se com m e le
te rm in a l au se rve u r. La d ifféren ce est
qu'une sta tion con stitu e un ord in a teu r
"à p a r t e n t iè r e " c o m m e le s e r v e u r
( t r a d itio n n e lle m e n t m o in s p u is s a n t),
q u i a l ' o p p o r t u n i t é d 'e x é c u t e r d e s
prog ram m es localem ent, et d'utiliser le
s e r v e u r , p a r e x e m p le p o u r a c c é d e r
à
des
d o n n ées.
Un
t e r m in a l
ne
p e u t g é n é r a l e m e n t p a s e x é c u t e r de
p ro g ra m m e , s a u f bien é vid e m m e n t le
s e r v e u r X et p a r fo is q u e lq u e s c lie n ts
sim plistes.
Display
Le D isplay ne se tra du it p as sim plem ent
p a r "Affichage" m ais se p résente p lu tôt
co m m e la d o n n é e d es e n tré e s et d es
sorties. On assimile souven t le D isplay à
la c o n s o l e , c 'e s t - à - d i r e à l ' e n d r o i t
(physique ou logique) où so n t entrées et
ré cu p é rée s
le s
données
(e n d ro it
éventuellem ent distinct de celui où elles
se voient traitées).
R éseau
SvgaLib... Outre les adaptations, VNC jouit
également d'une communauté de dévelop­
peurs qui tentent d'améliorer le système en
proposant des add-ons. Parmi ceux-ci, il est
possible de citer notamment la protection
par SSL, l'accès à un serveur à travers un fire­
wall, ou encore la compression des données
transitant entre le client et le serveur.
V irtu al N etw ork
Com puting
,
, eten
,Æ
eOs
,
Utiliser Linux AmigaOs
ou Windows sur une seule
machine
même temps c'est désormais possible
grâce à VNC !
L'apport de VNC
Su T
NC (Virtual Network Computing)
s'ap paren te à un système d'affi­
c h a g e d is ta n t, p e r m e t t a n t de
v isualiser l 'e n v i r o n n e m e n t d e travail
d'une machine sur un poste distant. En
ce sens, il est similaire à ce que peut pro­
p o s e r le s y s t è m e c l i e n t - s e r v e u r XW indow, avec un serveur fonction n ant
sur une machine, et des clients pouvant y
accéder depuis n ’importe quel terminal
du ré s e a u . En r e v a n c h e , se rv e u r s et
clients X sont bien souvent réservés aux
machines Unix, m êm e s'il dem eure pos­
sible de trouver des serveurs sur d'autres
plates-formes. VNC, qui utilise le concept
de client fin (thin client) et possède un
protocole relativement simple, est univer­
sel, puisque le portage sur diverses archi­
tectures ne nécessite q u e l'adaptation,
relativement aisée, du protocole à la nou­
velle machine. Cette facilité de portage a
p e r m is à ORL (O liv e tti R esearch
Labotatory) de développer diverses ver­
sions d e son logiciel ; n o u s c ite ro n s
n o t a m m e n t Linux, Java, W in d o w s ,
Windows CD et Mac.
V
GPL
VNC ne révolutionne pas réellement l'infor­
matique, puisqu'il s'appuie sur le déjà bien
connu concept du client fin (thin client).
Toutefois, à l'opposé de nombreux logiciels
similaires, il est totalement libre et distribué
sous les termes de la licence GPL. Cela signi­
fie que non seulement l'utilisation de VNC
reste totalement gratuite, mais surtout que
les codes sources sont disponibles. La simpli­
cité du protocole mis en œuvre, ainsi que la
disponibilité des sources, ont permis à divers
développeurs de s'atteler à la tâche suivante :
améliorer VNC et l'adapter à d'autres envi­
ronnements. Ainsi, de nombreux portages
ont vu le jour, comme par exemple des ver­
sions du client sous BeOs et Amiga, ou la
réécriture du serveur pour RiscOS. D'autres
adaptations plus exotiques existent égale­
ment, comme un client pour PalmPilot ou
une adaptation pour les systèmes Linux
dépourvus de serveur X mais possédant la
Techniquement, fonctionner sur un grand
nombre de plates-formes constitue une réel­
le prouesse ; en revanche, tout le monde ne
dispose pas toujours d'une BeBox, d'un
Amiga, d'une station Sun et d'un PC chez lui,
ce qui peut limiter l'intérêt de VNC pour tout
un chacun. En effet, le détenteur d'une
machine Unix et d’un PC peut sans aucun
problème faire l'acquisition d'un serveur X
pour Windows, ce qui lui permet d'utiliser
ses applications Unix sous Windows.
Toutefois, VNC offre de sérieux avantages
par rapport à cette méthode. Tout d’abord,
contrairement à un serveur X, aucun état
n'est stocké du côté du visualiseur : cela
signifie qu'on peut débuter une session
i l
VNC info
VNC authentication faile
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
| _ J C vP»o?*i* FfasVOfllAVWC
VMCHoe* t S
VTJCHoe*i.$««r>
cyfcxtgOOha
1et**.! stocfemM
S fita a O ri
W lH D OW SW r^ l
Ou*nB*r JV TfrD rtV ,;
RiscOs aussi dispose d'un serveur VNC.
Heureusement, tout le m onde ne peut
accéder au serveur !
depuis une machine cliente, qu'il est envisa­
geable d'éteindre celle-ci, de s'installer sur
une autre machine n'importe où dans le
monde et de continuer son travail là où on
l'avait interrompu, même au milieu d'une
phrase tapée dans un éditeur. Un serveur X
fonctionne quant à lui par sessions. Il n'existe
par conséquent aucun moyen d'éteindre la
machine cliente sans terminer la session. De
plus, dans ce cas, si l'ordinateur client crashe,
la session est perdue, tout comme le travail
qui se trouvait en cours. Dans le cas de VNC,
si le client devenait défaillant, il suffirait d'en
lancer un autre pour continuer sereinement
son ouvrage.
Autre atout indéniable de VNC : sa totale
indépendance vis-à-vis des plates-formes.
Un environnement Linux peut être affiché
sur toute machine disposant d'un client
VNC. Ainsi, que l'on œuvre sous Windows,
BeOs, Amiga, Risc Os, Solaris, ou même
sur son PalmPilot, l'e n v ir o n n e m e n t
demeurera toujours identique (à part bien
sûr, sur Palm Pilot, pour des raisons évi­
dentes de limitation d'affichage) et il sera
E »
% M
t. *
Non ! Ce n est p as Wine !
Be, avec un look M a c et un environnem ent W indows !
[l'orm iM -lion «Irt.iilx
m
flC V
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Cse
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y
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.sn
o
o
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y
:2
1
C
a
n
ce
l
Toutefois, souvenez-vous du numéro utilisé
par VNC, car il sera nécessaire de le spécifier
au client. Ainsi, lorsque celui-ci vous d e ­
mande d'entrer l'adresse du serveur, il est
impératif de spécifier celle-ci (adresse IP
numérique ou nom de machine), ainsi que
le n u m é ro de serveur, à l'instar de :
serveurVNC:1.
Il demeure également fortement conseillé de
toujours mettre en place un mot de passe,
ce que ne fait pas par défaut le serveur VNC.
En effet, sans mot de passe, n'importe qui a
moyen de se connecter à votre machine ser­
veur et de l'utiliser à sa guise, en possédant
exactement les mêmes droits que vous. Le
mot de passe se trouve souvent défini dans
un menu "configuration" ou équivalent,
selon les plates-formes. Sous Linux toutefois,
il faut recourir à la commande "vncpasswd"
pour le définir. Enfin, ne laissez pas tourner
un serveur VNC plus que de raison, car
comme tout protocole réseau (et même cer­
tainement plus que certains), VNC n'est pas
dépourvu de failles de sécurité. Les add-ons
de cryptage SSL et de limitation des adresses
IP pouvant se connecter n'ont certainement
pas été développés par hasard !
N ’hésitez pas à visiter le site d'Orl :
http://www.orl.co.uk pour en savoir plus sur
VNC et télécharger les mises à jour régulières
ou le portage pour une plate-forme spécifique.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Définition du serveur et du numéro
d'écran virtuel.
donc réalisable de travailler de la même
façon. Le client Java, sous forme d'applet,
fait office de plugin pour les navigateurs
les plus courants. Il est donc parfaitement
concevable d'accéder à son environne­
ment de travail favori depuis Netscape.
Enfin, et c'est certainement là que réside
toute la puissance de VNC, la technologie
"thinclient" utilisée par le protocole VNC
perm et de lim iter au m a x im u m les
échanges de d o n n é e s e n tre les d eux
machines distantes. Ainsi, m ê m e .une
connexion réseau "modeste" (comme un
modem 28kbps) autorise le recours à VNC.
Mise en place de VNC
On ne saurait reprocher à VNC la moindre
difficulté de mise en place. Pour la majori­
té des plates-formes, le logiciel est distri­
bué sous forme binaire. Dans le pire des
cas, il suffit de décompresser une archive
et de réaliser une compilation qui s'effec­
tue sans problèmes. Ensuite, il ne reste
plus qu'à configurer et à exécuter le ser­
veur. Heureusement, le nombre de para­
mètres est très réduit et se limite en géné­
ral à définir un mot de passe. Enfin, depuis
n'importe quelle machine connectée au
réseau, il suffit de lancer le client, de lui
donner l'adresse de la machine serveur et
Un minimum de sécurité.
d 'e n tr e r le m o t de passe : l'év iden ce
même !
Les choses à savoir
Bien entendu, le paramétrage de VNC varie
d'une machine à une autre. En effet, le fonc­
tionnem ent de VNC peut s'apparenter à
celui d'un serveur X. Si les linuxiens ne sont
pas déroutés par un DISPLAY=host:1,0, il
n'en va pas de même pour tout le monde.
VNC, comme X dans ce cas, autorise la pré­
sence de multiples serveurs sur une même
machine, chacun possédant un numéro. Le
Frédéric Dubuy
serveur principal est nommé 0, le second 1,
et ainsi de suite. Sous
Windows par exemple, VNC
emploiera par défaut le ser­
veur 0, mais l'utilisateur ne
ht
pourra plus le modifier
q u'av ec difficulté. En
_±l O C-______
3 <5 3 W -,
revanche, sous Linux, le ser­
veur 0 est n o r m a le m e n t
C ru i
réservé à X-Window, qui
l'exploite par défaut. VNC
devra donc avoir recours à
un autre numéro de serveur.
Heureusement, vncserver, le
programme serveur, recense '
• •
automatiquement les numé­ • S * *
»V*. m
| CM*.
J y C
_*>«»»
|
I àts-on J _ i î ros utilisés et s'approprie
Jam
ais
W
indows
n'a
été
aussi
beau !
le p r e m i e r d is p o n i b le .
CxfconMvMowtoi
uyftocd «puncta
- In sM Ci
1
m
Formater
un disque de plus
de 4 Go sur Amiga
Le RDB, c ’es t quoi ?
Le RDB
-
,
ou Rigid Disk Block - est une
zone du disque dur dans laquelle l'Amiga
stocke des informations essentielles, telles
q u e le n o m b re , l'e m p la c e m e n t et le
form atage des partitions. Le RDB s'avère
in d isp e n s a b le p o u r le d isq u e d u r su r
le q u e l
Vu la chute spectaculaire du prix des disques durs, équiper
son Amiga avec le dernier modèle de Seagate ou Quantum
est tentant. Mais gare ! En effetd a n s sa version d'origine
l'AmigaOS ne peut reconnaître que des disques dont la capacité
est inférieure ou égale à 4 Go !
-
se
tr o u v e
la
p a r t i t io n
de
dém arrage et il est fortement conseillé de
l'é c r ir e s u r
to u t a u t r e
d is q u e
dur
c o n t e n a n t au m o in s u n e p a r t it io n
form atée p a r Am igaO S (FastFileSystem,
AFS ou encore PFS2). A lternativem ent,
p o u r "mounter" une p artitio n , l'Amiga
peut utiliser une m ountlist (fichier texte
co n te n u
dans
d e v s :d o s d r iv e r s / ou
sys:storage/dosdrivers/). Celle-ci se révèle
fort p ra tiq u e p o u r m ou n ter un disque
a u c h e m a r p o u r les a c q u é r e u r s
d'un 6 Go, H D ToolBox croit qu'il
s'agit d'un disque de 20, voire de
16 Mo ! En fait, le p r o b l è m e s'avère
d o u b l e : d ' u n e p a r t, le s y s t è m e de
fichiers (FFS) ne permet de formater que
des partitions dont la taille est inférieure
ou égale à 2 Go, d'autre part, le pilote
m êm e du contrôleur de disque (scsi.device, contenu dans la Rom des Amiga 600,
1200, 3 0 0 0 , 4 0 0 0 et cartes 2/4091) ne
reconnaît que des disques don t la taille
n'excède pas 4 Go. A noter que les utili­
sateurs d'une carte contrôleur optionnel­
le récente (les cartes SCSI de Phase 5,
p ar e x e m p le ) n 'o n t pas à subir c e tte
d e u x iè m e c o n t r a in t e , car l'ex te n sio n
b é n é fic ie d 'u n p ilo te plus m o d e r n e .
Toutefois, pour les autres et pour tous
ceux en général qui veulent disposer de
partitions supérieures à 4 Go, il existe
une solution !
C
fo rm a té p a r M S / D o s ou M a c O S , su r
P atcher le pilote
Amiga International propose une solu­
t io n " t o u t - e n - u n " sur so n site
(w w w .a m i g a .d e ou f t p .a m i g a .d e ) : il
s'agit du fichier Ffs43.20.lha. Cette archi­
ve contient une nouvelle version du FFS
(fichier FastFileSystem) et des patches
pour le scsi.device (fichiers axxxx.ld.strip
qui correspondent chacun à une machi­
ne bien précise). La prem ière chose à
faire est de copier les fichiers au bon
lequel, p a r essence, il demeure impossible
de graver un RDB.
endroit. FastFileSystem va dans le réper­
toire L:, LoadV43M odule se rend dans c:
et les fichiers axxxx.ld.strip p re n n e n t
p la c e d a n s Devs:. P ou r p a t c h e r le
scsi.device c'est-à-dire pour mettre à
jour le pilote IDE/SCSI, de sorte qu'il
reconnaisse la vraie taille des disques
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Pensez à cha rg er le nouveau FFS ; autrem ent, celui de la Rom est pris p a r défaut.
Le
durs il faut éditer le fichier S:Startupsequence et y insérer au tout début la
ligne suivante :
C:LoadV43Module >NIL: DEVS:al000.1d.strip
REB00T
£j_le Systen. . .
£art ition d r iv e ...
□ |
_____ D.QS Format . . ._________
Copy d i s k s . . .
HDInstTools: Setup Drive
Hard Disk
Cy i ind ers | 62258 |
|ST38641B
Blocks per tra c k |
278 |
Heads |
1|
3.11
8 404 560 Kbytes 8 207 MBytes
I n t e r le a v e )
8|
Last Unit
_vi| Last LUN
Last TID
R eselect i on
Synchronous fluto park |
8|
Use
Lance I
Le partitio nnem ent avec HDInstTools.
Al OOO.ld.strip est le fichier qui corres­
pond à l'Amiga 4 0 0 0 ; faites la modifica­
tion pour votre machine. Afin que cette
com m and e soit exécutée, il faut procé­
der à un reset, d'où l'intérêt de l'argu­
m e n t REBOOT Bien évidem m ent, une
fois que le patch du scsi.device se m on­
trera fonctionnel, cette c o m m a n d e se
verra ignorée (heureusement, sinon l'or­
dinateur redémarrerait indéfiniment). Si
votre disque dur se trouve branché sur
une autre carte contrôleur dont le pilote
c o m m e H D T o o lB o x à q u e lq u e s détails
près. Com me d'habitude, on com mence
par cliquer sur le bouton "Setup Drive"
pour lancer la reconnaissance du disque.
O uf ! Si t o u t va b ien , n o u s a v o n s la
bonne taille qui apparaît. L'étape suivante
se révèle très importante : elle consiste à
r é c u p é r e r la n o u v e lle v e rsio n du
FastFileSystem et de la graver dans le RDB
du disque, cela afin de court-circuiter le
l a n c e m e n t du F a stF ile S y ste m original
depuis la Rom. On cliquera donc sur "File
System", "Add...", choisira "LFastFileSystem"
et appuiera sur "Use". Vient ensuite l'éta­
pe de partitionnement : pour des raisons
fo n ction n elles, nous vous conseillons
d'éviter de créer une partition de boot
qui dépasse les 4 Go. En revanche, vous
Un disque de plus de 4 C o ?
C'est possible sur Amiga !
est également limité à 4 Go par disque
(une GVP pilotée par gvp.scsi.device, par
exemple), vous devrez télécharger l'ar­
chive NSD d e p u is le site d 'A m ig a
International et remplacer la ligne précé­
dente par celle-ci :
êtes libre de faire tout ce que vous voulez
sur les autres. A ce propos, voici une peti­
te astuce : pour accélérer la lecture et
l'écriture sur vos disques, vous pouvez
augm enter le nombre de buffers jusqu'à
500 (au-delà, cela ne sert à rien) et passer
la taille de vos secteurs à 1024 voire 2048
octets. Reste l'opération de formatage :
elle s'e ffe c tu e soit d i r e c t e m e n t d a n s
HDInstTools, soit à partir du Workbench
au prochain Reset. Pour des raisons de
sécurité, nous avons préféré passer par le
Workbench, au Reset suivant, c'est-à-dire
une fois que l'on a la certitude que le
RDB a bien été gravé sur le disque. Bon
courage !
Yann Serra
C:NSDPatch QUIET
Form at - DH3
NSD devrait a u to m a tiq u e m e n t re c o n ­
naître et patcher votre carte contrôleur.
Néanmoins, n'hésitez pas à entrer direc­
tement dans son fichier de configuration,
s'il n'en va pas ainsi.
I n f o r n a t ion:
no n du v o l u n e
fivec p o u b e Ile
FF S
Mode international
H o d e répertoire rapide
Maintenant que nous avons réglé le pro­
blème du pilote de disque, il va falloir
formater celui-ci. Cela signifie que nous
serons obligés de c o m m e n c e r par le
découper en partitions (que l'on forma­
tera de fa ç o n i n d é p e n d a n t e ) et
d'y écrire le RDB. Normalement, on e m ­
ploie à c e tte fin un outil s t a n d a r d
du Workbench : HDToolBox. Las ! HDToolBox
ne reconnaît pas non plus les disques de
plus de 4 Go ! Qu'à cela ne tienne, un
outil bien pratique vient désormais de lui
succéder : il s'agit de H D In stTools. On
tro uv era celui-ci d a n s le r é p e r t o i ­
re Disk/Mise d 'A m in e t ou sur nos
plus récents CD-Rom de c o u v e rtu re .
H D In stT o o ls se p r é s e n te e x a c t e m e n t
1 7S« p l e i n
[V ide
Nouveau
Préparer le disque
U n i t é 'DH3'
Vo lu n e ' R E S E R V E '
C a p a c i t é de 3 886M,
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Go /
F o r n a t . r a p ide
F o r n a t âg e
Enfin des partitions de plus de 2
□ I ArnigaShell
Houve U e t âche She 11.
1 2 .Ram Di.sk:> v e r s i o n s c s i . . d e u i c e FULL
t s c s i . d e y i c e 4 3 .2 4 < 0 9 / 1 1 / 9 8 )
1 2 .Ram Di.sk:> u e r s i o n I. :Fas t F U e S y s t e m FULL
f s 4 3 .2 0 < 0 9 / 1 1 / 9 8 )
12 . Ram D Lsk : >
f£
Il faut obligatoirem ent m ettre à jo u r le FFS et le scsi.device.
«a
8 287 MBytes
1842
2047
2831
3086
Use_
□ j HDInstTools: Edit Partition
liane | DH0
C ü l i n d e r s | 7906 |
S ta rt Cvl|
2“
End Cy I | 7 907
Reserved |
2|
Preftlloc |
8|
M^e______ |
A
V
□ | HDlnstToQte: Partition Drive
DH0
DH1
DH2
DH3
| DH0
R n n u 1er
MB
MB
MB VA1
MB
62 256
Ed it P art i t ion _____ I
fte le te P a r t i t i o n
£ack P art i t i on
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Rutonount ✓I
kBytes|
1 067 264
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FFS
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’ïjTîTjlj Pr îor i t y £
oosType liijjjjjijijjiijijjg^^^
«J
Mask 0X7FFFFFFE | Bootblocks f
B uffers | 38
MaxTransfer 0X88FFFFFF |
B lock s i z e 13
512 J
£anc e i
HDInstTools perm et de prép a rer les disques de plus de 4 Go.
D' a u t r e s s y s t è m e s
de f i c hi e r s
La m é th o d e q u e n o u s a v o n s a b o rd é e
d an s cet article est la plus officielle. Il
reste to utefo is e n v isa g e a b le d e p a sse r
p a r un systèm e de fichiers autre que FFS
e t t o u t a u s s i c o m p a t ib le A m ig a O S .
Plusieurs existent su r A m inet et le plus
p e rfo rm a n t est la version com m erciale
d e P FS2 ("P ro fessio n a lFileSy stem 2 ", le
s u c c e s s e u r d 'A F S o u " A d v a n c e d F ile
System "). En re v a n ch e , il n'y a a u cu n
m o y e n d e f o r m a t e r la p a r t i t i o n d e
d é m a rra g e en F A T I 6 / 3 2 (M S/D o s) ou
en HFS (M a cO S).
Configurer
sa machine (3e partie)
Pour clore cette série d'articles sur la configuration de Risc
il nous reste à parler de la configuration du matériel et
de l'occupation mémoire.
période de l'année (heure d'hiver ou d'été).
‘ Configure Sync/TV/M onitorType
Os,
ADFS::IDEDisc4.$.Apps
IChangeFSI
IPaint
IChars
l-Master
IDraw
‘ Configure Baud
Internet
/AI
jB S T
11:49 pm
Sun, 22nd
/A
November
Sync fixe le type de synchronisation, sa
valeur par défaut étant "auto". TV détermine
la position verticale et l'utilisation ou non de
l'entrelacement lors de l'affichage sur télévi­
sion. MonitorType est la commande la plus
intéressante, car elle fixe le type de moni­
teur employé. Les valeurs sont les suivantes :
autodétection automatique
0 Télévision
1 Moniteur multi-fréquences
2 Moniteur haute résolution monochrome
3 Moniteur Vga
4 Moniteur Svga
5 Moniteur Lcd
/A
Détermine la vitesse du port série. Voici la
liste des différentes valeurs applicables
(vitesse exprimée en bauds) :
0 9600
1 75
2 150
C 3 300
4 1200 (valeur par défaut)
/A
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
IDEDisc4
:0
L'horloge standard.
Le m atériel
Il y a moyen de configurer le matériel de
façon précise, ce qui garantit la b onne
acceptation par la machine de périphé­
riques très divers. Cependant, il faut faire
attention, car en cas d'erreur, on risque de
devoir réinitialiser la configuration (touche
delete à l'allumage). Dans ce cas, le systè­
me détermine le nombre de disques dispo­
nibles, ce qui peut prendre beaucoup de
temps ; sur un Risc PC avec StrongArm,
sans disque dur connecté sur l'Ide interne,
le te s t d u r e parfois près d e t r e n t e
secondes... Pas d'inquiétudes, donc.
‘ Configure Floppies/ID ED iscs/H ard
Discs/CDROM Drives
Fixe respectivement le nombre de lecteurs
de disquette disponibles sur la machine, le
nombre de disques durs Ide (interface cou­
rante des Archimedes), celui de disques
durs Eide (interface courante des RiscPc) et
la quantité de lecteurs de CD-Rom.
‘ Configure Drive
Numéro du disque qui sera utilisé lors du
Boot. Cette commande se trouve liée à la
commande ‘ Configure Filesystem et *Opt.
‘ Configure Cache [onloff]
Active ou désactive le cache du processeur.
Il s'agit d'une option très pratique pour
faire fonctionner les vieilles applications sur
des machines à base de StrongArm.
Test avec et sans antialiasing.
‘ Configure Territo ry
et ‘ Configure Country
Configure Territory configure le nom du ter­
ritoire. Il faudra s'assurer que vous disposiez,
à la racine du disque, du bon module Ter­
ritory, car autrement, le système refusera de
démarrer et affichera un logo vous deman­
dant d'insérer une disquette (un peu comme
sur les Amiga).
Configure Country fixe le nom du pays.
Cette commande suffit pour paramétrer le
système en français, car français et anglais
sont très proches. L'ajout du module per­
mettant d'utiliser un clavier français complé­
tera la configuration.
‘ C o n fig u re D S T /N o D S T /B S T /C M T ,
détermine la manière dont est gérée l'hor­
loge. Cette commande est liée à ‘Configure
TimeZone. Classiquement, on utilise les
valeurs ‘ Configure GMT et ‘ Configure
T im eZ one +1 ou +2 en fonction de la
Un mode 12, p our l'affichage sur télévision.
5
6
7
8
2400
4800
9600
19200
‘ Configure Data
Cette commande concerne encore le port
série et détermine le format exploité pour
communiquer.
Bits/mot Parité Bits de Stop
0 7
paire
2
1 7
impaire 2
1
2 7
paire
3 7
impaire 1
4 8
sans
2 (valeur par défaut)
5 8
sans
1
6 8
paire
1
78
impaire 1
‘Configure Print
Fixe l'imprimante par défaut :
0 Null
1 Port parallèle
2 Port série
B Chemin déterminé par la variable
PrinterType$3
4 Réseau (à travers NetPrint)
5 à 7 Chemin détérminé par tes variables
PrinterType$5 6 ou 7
‘Configure Step
Ce paramètre peut prendre les valeurs 2, 3,
6 ou 12ms. Il s'agit du "step rate" du lecteur
de disquette. La valeur par défaut vaut 3.
‘Configure Ignore
Configure la valeur du caractère 'Ignore' de
l'imprimante (par défaut 10).
La configuration
Mémoire
Ces paramètres sont importants, car ils
définissent des blocs de mémoire alloués à
certaines tâches. Q uelques-uns de ces
L'utilisateur entrera les valeurs sous la forme
de numéros ou de nombre de Ko.
Par exemple, Configure Screensize 20 et
Configure 620k sont équivalents, il arrive
que la valeur maximum soit insuffisante ou
que l’on so uh aite modifier l'allocation
mémoire en cours de session. Il existe alors la
c o m m a n d e ‘ C han geD yn am icA rea, qui
modifie les valeurs des blocs Font, Sprite et
RamFs. La configuration d'une valeur pour le
RamDisc p e r m e t de d é m a rre r avec un
disque virtuel en mémoire. Bien entendu, il
reste possible d'en créer ou d'en supprimer
un à tout moment, via la fenêtre des tâches.
On a aussi la liberté de faire disparaître un
RamDisc en 'tuant' le module par la com ­
m ande ‘ RMKill RamFs, m êm e si cela ne
fonctionne pas bien avec les Os inférieurs au
3.5. Notez aussi que l'on n'a les moyens de
modifier la taille du RamDisc que si celui-ci
est vide. Les valeurs allouées pour les sprites
ou le buffer d'imprimante importent peu, car
les modules actuels n'emploient plus guère
ces espaces mémoires.
FontSize fixe la valeur initiale du cache utilisé
par le gestionnaire de fontes, mais celui-ci
peut prendre de l'embonpoint lors de son
remplissage. ‘Configure FontMax détermine
la valeur maximale du cache.
et, pour les machines limitées, on réduira son
exploitation au tracé de fontes de petite taille
(inférieure à vingt-quatre points par exemple)
et on n'utilisera pas le subpixel adjustment.
Conclusion
L'application IConfigure ne fait pas tout : en
réalité, seuls quelques paramètres nécessi­
tent IConfigure pour être fixés. Il en va ainsi
pour le délai de l'économ iseur d'écran,
quoique la com m ande ‘ Blanktime puisse
modifier tem porairement la valeur de ce
paramètre. Il s'avère difficile de changer le
n o m b re de lecteurs de CD-Rom sans
IConfigure. Si celui-ci vaut zéro, le module
ne se trouve pas chargé et la com m ande
‘ Configure CDROMDrive n'est pas dispo­
nible ; on ne peut donc pas fixer le nombre
de lecteurs ! La solution consiste à placer
manuellement cette valeur sur 1, avec la
c om m and e *FX1 62,1 38,225. Autre cas :
définir le numéro de la station. On a moyen
de recourir à l’utilitaire ‘ SetStation pour s'ac­
quitter de cette tâche, quoiqu'une comman­
de FX conviendrait aussi bien.
Il importe enfin de préciser que ISaveCmos
permet de faire une sauvegarde du conte­
nu de la Cmos. Malheureusement, la sau­
vegarde de la Cmos d'un Risc Os 3.5 ne
s'adaptera pas à une autre version de Risc
Os. Ainsi, si vous souhaitez changer de sys­
tème, il vaut mieux concevoir un script qui
regroupe les différentes com m andes cor­
respondant à votre configuration. Il suffira
alors de réinitialiser la Cmos et d'exécuter
le fichier de script pour retrouver sa confi­
guration.
Ces paramètres définissent très finement la
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manière dont le système gère les fontes et
‘ Configure FontM axI à 5
Idem sur le système.
blocs ne peuvent être redéfinis après le
démarrage de la machine.
leur antialiasing. On est en mesure de recou­
rir à 'subpixel adjustment', qui calcule plu­
sieurs modèles d'une fonte et emploie le plus
adapté, ce qui rend lisible les fontes de petite
taille (six points et moins). Evidemment, l'antialiasing demande beaucoup de ressources
‘ Configure ADFSBuffers
Battery Manager
VProtect
RAMFS Filer
Free in Module area
Largest block
Taille mémoire réservée aux buffers Adfs. 1
fixe une valeur par défaut qui dépend de la
mémoire vive disponible. 0 désactive les
buffers ; cette option est indispensable
dans le cas de l'utilisation de disques durs
avec partitions de plus de 2 Go, sous peine
de perdre des données.
System memory allocation
Screen memory
320K i.... —J
Cursor/System/Sound
32K 0
System heap/stack
32K 0
Module area
704K i —
Font cache
64K □
System sprites
32K D
RAM dise
128K □
.
Applications (free)
2688K i
Applications (used)
64K □
System workspace
32K D
Total 4096K I
‘ Configure ADFSDirCache
La valeur minimale vaut 1 et le paramètre
0 définit, com m e pour les buffers, une
valeur par défaut.
‘ Configure CDROMBuffers
Buffers du lecteur de CD-Rom. Les valeurs
fluctuent entre 0 et 512 Ko.
‘Configure FontSize/PrintBufferSize
/Ram FsSize/RM ASize/ScreenSize/Sp
riteSize/SystemSize
Ces commandes permettent de définir l'es­
pace mémoire alloué respectivement aux
fontes, buffer d'im pression, RamDisc,
modules, écran, sprites et systèm e.
104K □
43K □
IDEDisc4
:0
RAM
L'allocation m ém oire et le RamDisc.
David Feugey
Peut-on acheter
une vieille station
Alpha ?
C'est clair. En matière de micro-ordinateurs, les stations Alpha
représentent actuellement le haut du panier Mais à quel prix !
Alors pourquoi ne pas passer par de l'occasion
,
?
e qui devait arriver est arrivé : à
force d'entendre parler des mérites
d'une station Alpha, vous en vou­
lez une à tout prix ! Enfin... presque. Car
si ces machines se sont démocratisées ces
derniers mois, il ne reste pas moins vrai
qu'à ce jour, les systèmes Alpha se trou­
vent encore réservés à une élite financiè­
re. A moins d'avoir la chance de trouver
u n e m a c h i n e d a n s u n e v e n t e aux
enchères (ou par le biais d'une opération
de destockage chez un broker), force est
de constater que les matériels neufs res­
tent onéreux, m êm e si leur rapport quali­
té/performances/prix dem eure favorable.
La solution consisterait à passer par l'oc­
casion, nous direz-vous. Certes. Mais le
p h é n o m è n e Alpha décolle à p ein e en
France et les machines de seconde main
avec un prix raisonnable sont encore
wall, une station de développement, etc.
Le M ultia
Par exemple, de nombreuses offres rela­
tives aux Multia circulent en ce moment
sur les sites américains. Datant de 1994,
le Multia, également connu sous le nom
d'UDB (Universal Desktop Box), est un
p r o je t q uasi m o r t - n é de N etw o rk
C o m p u t e r /o r d i n a t e u r perso nn el chez
Digital. Il s'agit d'une machine en boîtier
"pizza box", sans aucune possibilité d ’ex­
tension interne, mais avec tout de même
le minim um vital pour un ordinateur :
processeur, puce g ra p h iq u e ( D ECch ip
2 1 0 3 0 , ou TGA 1), puce sonore, lecteur
de-disquette, clavier, souris, port parallèle
et port souris. Un peu juste ? Oh, mais
q ue l'on se rassure, la carte m ère du
C
Le M ultia, une sorte d'Am iga 3 0 00 "Alpha".
rares. Hélas !
La situation diffère cepen dan t à l'étran­
g e r . En p a r t i c u l i e r aux USA, où les
organismes de vente par correspondance
p r o p o s e n t des systèm es e n co re utiles
mais q u e les p ro fe ssio n n els e s tim e n t
o b so lète s. Ces m a c h in es s o n t idéales
pour un usage privé ou une utilisation
professionnelle ciblée, tel un serveur (de
scanners, d'im prim antes, etc.), un fire­
Multia intègre également un contrôleur
Fast-SCSI ( NCR 5 3 C 8 1 0 ), deux connec­
teurs PCMCIA externes et, fin du fin, une
carte réseau avec trois connecteurs (AUI,
10base2 et BNC) ! Bien entendu, tous ces
composants sont entièrement supportés
par Linux Alpha. Le Multia existe en deux
versions, 166 et 233 MHz, lesquelles
s'avèrent bien plus puissantes qu’un PC à
fréquence égale. A noter que, suivant la
d a te de sortie, la version à 166 MHz
s'overclocke très simplement à 233 MHz.
Attention, Dec a également commerciali­
sé une g a m m e de Multia éq u ip és de
Pentium à 100 MHz. Bien qu'également
intéressants, ces modèles ne sauraient
satisfaire une personne désireuse de tra­
vailler avec Alpha.
En raison de leur encombrement réduit et
de leur e x te n s io n réseau native, ces
machines symbolisent d'excellentes uni­
tés pour composer une machine de calcul
parallèle. Une réalisation de ce type sera
d'ailleurs abordée dans un tout prochain
numéro.
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Et les autres...
Les fameuses A lphaStation (de 166 à S 3 3 M H z).
Une a u t r e m a c h i n e i n t é r e s s a n te est
YAlphastation 2 0 0 ; un peu plus volumi­
neuse, elle possède de meilleures capaci­
tés d ’extension. Cette machine se voit
également équipée en série d'une interfa­
ce réseau et d'un contrôleur vidéo TGA1,
supporté par le serveur X TGA de Linux.
Carte "Noname".
C arte mère p ou r
A lpha 2 1 2 6 4 .
Carte mère ATX.
Et si vous n'avez besoin que d'une carte
mère, qui sait se contenter de disques
IDE et d'une alim entation PC (250 W
minimum), nous ne saurions que trop
vous conseiller de vous tourner vers les
modèles d'évaluation ou encore vers les
cartes "Noname" Celles-ci accueillent des
processeurs Alpha à 166 ou 233 MHz,
mais s'avèrent à l'usage plus rapides que
les Multia, g râ c e à u ne a r c h ite c tu r e
mieux conçue en ce qui c o n c e rn e les
accès mémoire. Voilà une caractéristique
à ne pas négliger si l'on souhaite faire
to u te fo rm e de calcul ( t r a i t e m e n t
d'images, de son, factorisations diverses,
etc.). De plus, ces cartes sont alimentées
à partir d 'a lim e n ta tio n s PC s ta n d a r d
(250 W mini) et supportent les périphé­
riques IDE, contrairement à une rumeur
tenace.
En revanche, le support SCSI ne se fera
qu'au travers d'une carte ISA ou PCI de
votre choix, to u t c o m m e le son et la
vidéo. Ces systèm es r e p r é s e n te n t les
options les plus abordables pour devenir
le propriétaire d'un Alpha. B eaucoup
d'autres Alpha p e u v e n t faire t o u rn e r
Linux, mais il convient de prendre garde
aux incompatibilités avec les contrôleurs
vidéo et SCSI.
sionnels pour lesquels les en g ag em en ts
de support dans le tem p s sont im p or­
tants. En revanche, les coûts de rempla­
cem ent d'un élément défectueux se révè­
lent parfois très élevés, et la so c ié té
capable de fournir l'élément ou d'effec­
tuer l'intervention peut ne pas pouvoir
facturer un particulier. Une structure type
association loi de 1901 peut dans ce cas
p erm e ttre de c o n to u rn e r ce p ro b lèm e
comptable.
En dernier lieu, gardez à l'esprit que les
toutes premières stations Alpha, les 3 000,
équipées d'un bus TurboChanel, ne sup­
portent pas Linux, et ne le supporteront
p ro b a b le m e n t
jamais. Ces machines, dépassées sur le
plan des performances, ne vous perm et­
t r a i e n t d e faire f o n c t i o n n e r "que"
OpenVMS et Digital Unix. Il est à noter
que s'il existe une licence VMS hobbyist,
d e s tin é e aux particuliers, les licences
Digital Unix restent très onéreuses pour
le simple q uidam . Evidem m ent, l'idéal
serait que Digital propose une licence
gratuite de son Digital Unix pour les par­
ticuliers, ce qui rendrait attrayant n'im­
porte quel modèle d'Alpha. Hélas, cette
option ne semble pas faire partie de la
stratégie du constructeur à moyen terme !
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Le SAV
Un point important à prendre en consi­
dération concerne la maintenance. Aussi
étonnant que cela puisse paraître, celle-ci
reste encore possible pour beaucoup de
systèmes déclassés. Il faut en effet consi­
dérer qu'il s'agit là de systèmes profes­
Christophe Le Cannellier - [email protected]
La mise en œuvre
de TCP/IP sous OS/2
Nous continuons ce mois-ci à présenter l'installation
du réseau sous OS/2. Aujourd'hui nous allons voir comment
mettre en place les fameux services TCP/IP.
;
□□
TCP/IP - Icônes
>
Autoriser le
configuration
è distance
Configuration
de N FS/PM X
IBM Internet
Connection pour OS/2
Eï
m
Configuration de T C P /IP
(local)
Informations
Configuration du
systèm e éloigné
Kit d 'a ccès à T C P /IP
pour DOS/Windows
M odèles
d'applications
Création du mot
de p a sse de
l'administrateur T C P /IP
T C P /IP Lisez-moi
Désinstallation de
T C P /IP 4.1
Telnet5250
TelnetPM
(LAN)
FTP-PM
(LAN)
Utilitaires
TCP/IP
ÇJ Utilitaires ! crviT- icênes
((o))
Personnalisation
de Telnet
PM Ping
n
SN M PTRA P
a
TFTP
5 objects, 0 K bytes total. 1 selected. 0 K bytes
complète pour configurer l'environnement
TCP/IP de la machine. L'utilitaire se présen­
te sous la forme habituelle de booklet. Le
premier onglet va permettre d'affecter une
adresse IP et un masque de sous-réseau à
chaque carte réseau présente dans l'ordi­
nateur. Des options avancées permettent
de paramétrer l'aspect des trames et les
règles de broadcasting sur le réseau. Il
n'est malheureusement pas possible d'af­
fecter plusieurs adresses IP à une carte
réseau par le biais de cette interface. Pour
ce faire, il faudra éditer un fichier de confi­
guration, comme on le verra plus loin.
Le deuxième onglet de TCPCFG procure le
moyen de définir les routes réseaux pour
la machine. L'utilisateur a la liberté de
créer trois types de routes : réseau (pour
joindre un sous-réseau donné), machine
(pour atteindre une machine donnée) et
par défaut (pour définir le routeur par
défaut du réseau). Pour chaque route,
l’u tilisateu r a loisir de d é t e r m i n e r le
nombre de tronçons. Ce panneau permet­
tra é g a l e m e n t de définir la m ach in e
comme routeur.
Les deux onglets suivants vont servir à
nom m er la machine et à configurer ses
DNS, ainsi que son fichier HOSTS (fichier
se situant dans le répertoire \tcpip\etc du
système).
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15 objects, 0 K bytes total. 1 selected. 0 K bytes
Une p a rtie de la boîte à outils TCP/IP d'O S/2.
ans notre précédent article sur la
m ise en oeuvre d es c o u c h e s
réseaux d'OS/2, nous avons lon­
guem ent évoqué MPTS, la couche réseau
qui permet à OS/2 de définir et de gérer
les p r o to c o l e s d e c o m m u n i c a t i o n .
Certains protocoles complexes, s'ils sont
exploités à bas niveau par MPTS, requiè­
rent des outils spécifiques pour leur mise
en place et leur configuration. C'est le cas
par exemple de SNA, que nous n'évoque­
rons pas dans ces lignes, et également de
TCP/IP, qui est l'objet du présent article.
Le TCP/IP sous OS/2 a connu une évolu­
tion lente et douloureuse. Les premières
implémentations dignes de ce nom ont
fait leur apparition sous OS/2 2.1 (1994),
puis se so nt d ém o c ra tisée s avec Warp
C o n n e c t (19 96 ). La version du TCP/IP
fournie avec Warp 4 .0 est la 3.2 ; toute­
fois, une version 4.1 existe sous forme
d'upgrade payant. Cette dernière version
n o u s servira à illustrer n o t r e article.
Néanmoins, les fonctionnalités évoquées
seront également valables pour la version
standard livrée avec Warp 4.0.
D
Installation et inventaire des outils
La mise en place de TCP/IP se fait en princi­
pe lors de l'installation réseau de Warp 4.0.
S'il y a théoriquement moyen d'implémen-
ter TCP/IP seul, sans les outils qui s'y ratta­
chent (la configuration du protocole s'opè­
re alors directement sous MPTS), il dem eu­
re cependant vivement recommandé de les
intégrer, pour disposer d'un niveau de
fonctionnalité satisfaisant.
Le pack TCP/IP d'OS/2 se com pose d'un
outil de configuration graphique, détaillé
dans le paragraphe suivant, de deux dialers
s l i p / p p p m a l h e u r e u s e m e n t un peu
vétustes, d'une doc en ligne bien fournie,
de serveurs FTP, Sendmail et Telnet entre
autres, frustes mais robustes (ceux de la
version 4.1 sont n e tte m e n t plus convi­
viaux), de clients types (FTP, telnet, cour­
rier POP3), ainsi que de serveurs DHCP
(serveur d'adresses) et DDNS (serveur
dynamique de noms) extrêm em ent per­
fectionnés. Toute une kyrielle d'utilitaires
en mode texte, qui n'ont rien à envier à
un env iro n n em en t Unix, une extension
SNMP et une bibliothèque de program ­
mation REXX et C, viennent com pléter
l'ensemble.
Un panneau de contrôle quasi
com plet...
La clef de voûte de tout ce pack est sans
aucun doute l'utilitaire de configuration
TCPCFG, qui fournit une interface convivia­
le (une fois n'est pas coutum e) et quasi
KAsrsu R outage Noms d'hôte Lonc. autom atique G énéral Sécurité SOCKS
Configurationdesparamètre»d'interfaceréseau•Optrarêdefasse
n te rltc i à configun
L A N tns*rf«c« I!
L A N trüsifece !
L A N trïerfsM 2
L nN interface 3
L A N interféré 4
L A N interface 5
L A N in arfeca f
L A N interface?
toopbfrcx
O p fian t de c o n lip if *h a n - L A N tn U rf« c e • ------------------ --------- -------------
y Activationdel'interface
j Ajioma&Q>jement.avecDHCP
Lj&ii&.-tV1* N•ticiX'fJF*> M aruetlem ant a v e c
AdresseIP
;wisatt
Mosquedescus-rèseeu
2 5 5 2 55 25 50
Défaire
QIC
j
Annulation_______________ j
_______________A nte
}
TCPCFG, un outil convivial de configuration.
L'onglet de lancement automatique donne
aussi l'opportunité de préciser les services
TCP/IP que l'on souhaite lancer au démar­
rage de la machine. A peu près tous les
services TCP/IP s'y trouvent : Ftp, tiny Ftp,
Telnet, Talk, Ipd, etc.
L 'onglet offre en outre le pouvoir de
déterminer les conditions de lancement
des applications : en arrière-plan masqué
ou au premier plan. Les choix effectués ici
se r é p e r c u t e r o n t d a n s le fichier
tcpstart.cmd du système. Les onglets res­
tants rendent l'intéressé apte à définir des
paramètres généraux, com m e le fuseau
horaire, ou des param ètres de sécurité
plus spécifiques, comme les comptes d'ac­
cès FTP ou la déclaration de sockets de
sécurité. Enfin, le dernier onglet permet de
configurer le service Ipd d'impression à
distance.
La face cachée de TCPCFG
se réduit à une interface qui facilite
la manipulation des fichiers de configura­
tion, modifiables par ailleurs avec un édi­
teur texte. Ces fichiers sont principalement
\config.sys, \tcpip\bin\tcpstart.cmd (lan­
cem ent des serveurs au d é m a r r a g e ) ,
\tc p ip \e tc \h o sts (fichiers d'association
nom adresse ip) et \m ptn\bin\setup.cm d
(définition des interface et des routes). Il
s'avère souvent utile d'aller visiter ces
fichiers pour regarder les modifications
apportées au système par TCPCFC et de
bien comprendre les implications des choix
effectués dans les boîtes de dialogue.
TCPCFC
Exemple : plusieurs IP sur une même
interface
comporte certaines lacunes. En par­
ticulier, il n'autorise pas la définition de plu­
sieurs adresses IP sur une même interface
réseau (pour la mise en place de plusieurs
serveurs Web virtuels, par exemple). Afin de
réaliser une telle configuration, il faudra aller
modifier à la main un fichier de configuraTCPCFC
OS/2 en tan t que serveur In tern et ?
(■nl*«ynnH«nil» TCF.*
Il est clair qu'OS/2 ne constitue pas une
plate-forme Web éprouvée, de type Unix,
ou à la mode, de type NT. Néanmoins, il
représente un outsider appréciable. Un cer­
tain nombre d'arguments joue en la faveur
d 'O S /2 c o m m e p la te - fo r m e W eb ou
Internet. Les outils IP que propose le systè­
me sont très proches d'Unix et plus fournis
que NT. Son absence de notoriété protège
des intrusions et des virus. Sa robustesse et
sa modularité n'ont rien à envier à Unix et
devraient faire pâlir NT (configurer une
machine NT pour que IP fonctionne du
côté seulement du réseau, n'est pas évi­
dent). Le langage rexx livré en standard
symbolise un bon langage de scripts ;
néanmoins, Perl est disponible gratuite­
m e n t p o u r O S/2. Enfin, des p ro d u its
comme Apache ou Domino tournent parfai­
tement bien sous OS/2.
A l’usage (nous parlons d'expérience réelle­
ment vécue), on constate qu'OS/2 possède
to u s les a to u ts p o u r offrir un serveur
Internet à l'entretien très réduit.
Après avoir évoqué les couches protocoles
du réseau sous OS/2, le prochain article
présentera les couches plus évoluées de
serveur de fichiers, d'impression et de com­
munication du système.
R é s e a u A oatoqa N om s <TWrt» L a»c autan, a tq o o G énéral Sécurrt* SOCKS
Cotégwraaon du loncemeflt autotnq|que i
m«M O p érai d* U o c n n i ,
n?d
rex*cd
t.-?d
m ort
route 3
HU
pw tauç
spoteii)
CiVpd
7*^3
*■Sono» 0 9 pteirwe p»a*
Quelques services IP.
*30
R é se o u Routnqo N om s <n*ôte Loue autom atique G énéral S écan t* SOCKS
X -------• A po j ta setacsoneti court
.'A uqnH oif lo a on m court
Type d o . oui»
% "•** . rctf
rfcntfnedetonçom
1
OK
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Antoine Sabot-Durand
|<PX a □
V: Informations - Icônes
.si....
i
La configuration des routes.
Guide de
TCP/1P
TC P /IP Manuel de référence
T C P /IP R E X X F T P A PI
Reference
T C P /IP R E X X Sockets API
Reference
BUS'
E.EXE - tcpstart.cmd
Fichier
A objects. 0 K bytes total. 1 selected. 0 K bytes.
Une doc aussi bien g ran d public
Edition
Options
*
Aide
§»echo o ff
echo C0NFIGURING TCP/IP
que technique.
tion s'exécutant au démarrage de la machi­
ne. Pour ce genre de configuration,
startup.cmd (dans la racine du système) se
montre tou t indiqué. La c o m m a n d e à
employer est ifconfig.exe. Celle-ci donne la
possibilité d'affecter une adresse IP à une
interface réseau ou de lui appliquer une
adresse alias. Imaginons que nous ayons
défini l’adresse réseau d'une machine en
192.168.200.10 et que celle-ci ne soit dotée
que d'une interface réseau (LANO) ; cette
configuration se traduit alors par la ligne :
ifconfig lanO 192.168.200.10
dans le fichier setup.cmd. Pour affecter éga­
lement 192.168.200.11 à la machine, il suffit
d'ajouter au fichier startup.cmd :
ifconfig lanO 192.168.200.11 alias
echo See i f i n s t a ll cleanup needed.
D :\TCPIP\BIN\TCPCOEX.EXE
IF EXIST D:\TCPIP\BIN\B4TCP.CMD CALL D:\TCPIP\BIN\B4TCP.CMD
echo
FINISHED CONFIGURING TCP/IP
echo Make cu rre n t connection LAN o n ly .
IF EXIST D:\TCPIP\BIN\TOGGLE.EXE D:\TCPIP\BIN\TOGGLE.EXE
IF ERRORLEVEL 1 GOTO : DONESERVERS
echo STARTING THE TCP/IP PROCESSES . .
REM s t a r t inetd
FtEM echo
INET Daemon S ta rte d
REM s t a r t te In e td
REM echo
..
TELNET Daemon S ta rte d
REM s t a r t ftp d
REM echo
. . FTP Daemon S ta rte d
REM s t a r t tftp d
^tartexi
RFM orhn
Lu
t
TFTP Oaomnn
-r • ‘ * <• „ •/ •: "■.v .
:
Le fichier tcpstart.cm d, créé autom atiquem ent p as TCPCFG.
R éseau
Collecte autom atique ou
programmée de données
et de renseignem ents
sur les sites Web
Àforce de développer les interfaces graphiques, l'interaction
et l'ergonomie, on en vient à oublier; pire, à concevoir plus
difficilement; la création d'automates qui feraient le travail à
notre place de façon régulière et autonome. Il est ahurissant
de constater quotidiennement le temps perdu en travaux
répétitifs sur un ordinateur censé pourtant favoriser un
accroissement de productivité.
600 -r -L -np h t t p :// w w w .fnacdi-
de son contenu et plus particulièrement de
la z o n e d é lim ité e p ar les balises
< F O R M x/F O R M > (attention, plusieurs
couples de ces balises peuvent coexister au
sein de la même page, ce qui ne présente
aucune erreur ni incohérence d'un point
de vue logique ou syntaxique) et enfin, la
détermination des différentes variables pré­
sentes, de leurs valeurs et caractéristiques
possibles et même de leur ordre d'appari­
tion dans le document.
L 'o rd re d 'a p p a r i t i o n des c o u p le s
"variable=valeur" dans la requête à rédiger
ne devrait pas se voir pris en compte par
les scripts CGI, mais il n'en demeure pas
moins que bon nombre de prétendus spé­
cialistes du Web ne respectent pas ce prin­
cipe.
En guise d'application typique, vous pou­
vez regarder le source de notre script de
conversion de devises, qu'il suffit d'invo­
quer en prenant en compte pour seul para­
mètre le montant de dollars à transposer
en francs.
rect.fr/images/disques/recto
Œil de Lynx
e nous y trompons pas, il ne s'agit
nullement ici de program mer des
"aspirateurs" de sites tels que Wget
ou Websnake : ce serait quelque peu réduc­
teur. Ceux-ci se voient initialement déve­
loppés afin de rapatrier des hiérarchies
entières de docum ents statiques diffusés
par ces sites, principalement en vue d'une
consultation locale pour des raisons d'éco­
nomie (limitation des durées de communi­
cation) ou pour la gestion de sites miroirs.
Si tel est le cas, nous vous invitons à vous
pencher sur l'utilitaire Wget (fourni en stan­
dard sur les CD de la Red Hat 5.X), qui
remplit parfaitement cette fonction. À titre
d'anecdote, voici ci-dessous la commande
permettant de télécharger les images recto
des pochettes de CD proposés par la Fnac
sur son site (réfléchissez à deux fois avant
de lancer cette commande, car il y a envi­
ron 37 000 fichiers, représentant un peu
plus de 600 Mo) :
N
Le paramètre facultatif "-nolist" évite que
Lynx conclut sur un récapitulatif de tous les
liens trouvés dans le document reçu.
Pour voir le formulaire Html correspon­
dant, il vous suffit de consulter la page
http://www.xe.net/currency.
Vous aurez le loisir de voir dans le source
que la méthode d'envoi des données est
de type "POST" Si elle avait été de type
"GET", le paramètre communiqué à Lynx
aurait tout simplem ent été "-get_data"
plutôt que "-post_data" et n'aurait impli­
qué aucune autre modification. Les trois
tirets sont propres à Lynx et lui indiquent
la .fin des données à soum ettre au ser­
veur. Lynx autorisant l'écriture des valeurs
à envoyer sur plusieurs lignes, la présence
de ces tirets lui indique leur limite.
C om m e vous le constatez, Lynx s'avère
excellent pour ce genre d'op ératio n ;
toutefois, s'il faut le relancer à chaque
requête et que, dans la foulée, il convient
de filtrer le résu ltat o b te n u d ans un
script, autant gagner du temps et écono­
miser des ressources tout en gagnant la
possibilité d'améliorer nos requêtes sur
des points particuliers que Lynx ne per­
m et pas de personnaliser. Pour cela, il
faut et il suffit d 'em ployer une biblio­
thèq ue de fonctions spécialisées, tâche
que remplit à merveille LWP pour Perl.
Attention, LWP repose sur un nom bre
important d'autres bibliothèques, ce qui
rend son installation un rien rébarbative.
Elles servent une grande diversité d'appli­
cations, to u c h a n t essentiellem ent aux
services Internet (telnet, SMTP, POP,
etc.).
Lynx reste pour la suite de nos dévelop­
pements un outil privilégié, en raison de
sa richesse. En effet, parmi sa multitude
d'options, une partie se trouve consacrée
à l'analyse du flux de données qui transi­
tent entre le client (le navigateur Web) et
le serveur. Ce sont ”-dump" et "-source",
p our les plus simples, qui affichent le
source Html du document sollicité, plutôt
que son contenu mis en forme, "-trace"
(éventuellem ent associée avec "-tlog")
qui donne tout le détail des échanges et
"-mime_header", option très intéressante
qui p r é s e n t e to u s les e n - tê t e s re n ­
voyés par le serveur et qui précèdent le
document.
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wg e t -b -o p o c h e t t e s _ C D . l o g -t 10 -T
D éfinition du problèm e
Non, le problème se révèle un tout petit
peu plus complexe, puisque l'idée se résu­
me essentiellement à simuler l'envoi d'un
formulaire, présenté normalement au for­
mat Html à un utilisateur, comme s'il avait
été rempli et renvoyé manuellement par
celui-ci. Un peu plus complexe, mais pas la
mer à boire tout de même.
Les différentes étapes sont, tout d'abord,
l'accès au formulaire à l'aide d'un naviga­
teur quelconque, puis la sauvegarde du
source de la page Html, suivie de l’analyse
En fait, il s'agit juste d'un appel à Lynx,
navigateur Web en mode texte (employé
sur les terminaux privés de capacités gra­
phiques et aussi sur les serveurs Vidéotex
qui assurent un relais vers le Web pour de
simples Minitels en m ode quatre-vingts
colonnes), de façon non interactive (impli­
cite avec le paramètre "-post_data") que
l'on a "encapsulé" dans un script Perl et
dont la sortie est redirigée sur un descrip­
teur de fichier ("LYNX") afin d'en analyser
le contenu pour y trouver une ligne conte­
nant "United States Dollars = X,XXX.XX
FRF"
Autom atisation
Revenons une seconde sur l'étape consis­
tant à répertorier les variables contenues
dans un formulaire, leurs valeurs possibles
(pour les menus et les divers boutons à
cocher, radio ou image) et éventuelle­
ment, les contraintes auxquelles elles sont
soumises, au moins du côté du navigateur
(option "MAXLENGTH" ou vérifications/
modifications en JavaScript). C om m e il
risque de s'avérer fastidieux, et m êm e
hasardeux, de tout relever manuellement
pour ensuite remettre l'ensemble en forme
dans le cadre d 'u n e requête Lynx, par
exemple pour ressembler à :
variable_l=valeur_l&variable_2=valeu
r_2&etc.
une astuce toute simple consiste à rempla­
cer dans le document Html sauvé sur votre
disque dur (en local donc), l'URL associée à
la variable "ACTION" dans la balise "FORM"
par quelque chose du genre :
http://localhost/cgi-bin/test-cgi
Ainsi, en l'ouvrant dans votre navigateur et
en remplissant les différents champs puis
en le soumettant enfin, le script test-cgi
vous re to u rn e ra une valeur p o u r
QUERY_STRING (si la méthode est de type
"CET") correctement formulée, que vous
pourrez utiliser telle quelle dans vos pro­
grammes.
Trouver les coordonnées d'une
entreprise introuvable
Traitons un cas concret : la recherche des
coo rd o nn ées d 'u n e so ciété localisée
quelque part en France.
Facile, nous direz-vous ! Pour cela, il suffit
d'aller sur w w w . p a g e s z o o m . c o m ,
www.annuaire.laposte.fr ou bien encore
sur www.annu.com. Hum ! Hum ! Exact,
sauf que... dans chacun de ces annuaires
et mis à part le premier d'entre eux,
vraiment en dessous de tout, car il fait
l'impasse sur des d e m a n d e s sim ples
(règlement de compte personnel) vous
êtes obligé d'entrer au moins une réfé­
rence g éo graphique, ville ou d é p a rte ­
ment. Quel plaisir de saisir tour à tour
37000 nom s de c o m m u n e s ou alors,
dans le meilleur des cas, près d'une cen­
taine de numéros de départements si l'on
n'a aucune idée de la situation géogra­
phique de l'entité recherchée !
En revanche, il suffit d'un "petit" script
pour résoudre notre problème.
Notez que si ce script, pour des besoins
didactiques, utilise LWP, il pourrait tout
aussi bien, et probablem ent plus facile­
ment, faire uniquement appel à Lynx.
A l'inverse, celui-ci se révélera probable­
ment insuffisant, si vous voulez développer
un utilitaire équivalent, pour chercher l'in­
formation sur les sites de la Poste ou de
France Télécom.
A cet égard, nous vous invitons à plancher
sur ce problème, car il représente un beau
défi (nous sommes convaincus qu'il y a
moyen d'en venir à bout).
Lire la documentation :
man LWP::llserAgent
man HTTP::Response
man HTTP::Request
pour en savoir plus sur ces trois biblio­
thèques de fonctions et toutes les options
qu'elles offrent. HTTP::Request a n o ta m ­
ment l'énorme avantage sur Lynx d'autoriser
la définition d'en-têtes spécifiques, comme
par e x e m p le 'Referer', qui est parfois
employé par les serveurs pour "tenter" de
contrôler la provenance de la requête.
L'exploitation d'un tel méta-annuaire pas­
sera par un Intranet, qui fera office d'inter­
médiaire entre les utilisateurs et les diffé­
rents annuaires cités plus haut, en présen­
tant son propre formulaire ; celui-ci invo­
quera un script CGI dérivé de l'embryon
proposé ici.
Intéressons-nous à la question
pendant quelques instants
La première opération consiste à remplacer
les espaces par le caractère "+" dans le
nom passé en paramètre.
La création de l'objet "Srequete" stipule
que la méthode pour le passage des don­
nées au script CCI est de type "POST" (par
opposition à "CET") et que l'URL du script
s'écrit "h ttp://w w w .annu.com /annu/cgibin/www".
Dans la boucle qui passera en revue les
quatre-vingt-quinze départem ents, nous
donnons nous-mêmes la valeur correcte
pour le champ "Content-length" apparte­
nant à l'en-tête de la requête envoyée au
script CGI. Les différents champs obliga­
toires dans l'en-tête seront automatique­
ment remplis et insérés à votre place par la
méthode "request", si vous ne les avez pas
définis explicitement avant son appel.
La variable d'instance "content" (dans l'ex­
pression "$reponse->content") contient le
résultat délivré par le script CGI via son ser­
veur Web dans sa représentation "source".
Cela explique la présence des deux substi­
tutions dans la procédure "traite_reponse" :
la première sert à faciliter la délimitation de
chaque bloc de lignes constituant les coor­
données d'une personne ou société trou­
vée, et la substitution suivante élimine
toutes les balises Html pour ne conserver
q u e les in fo rm a tio n s b ru te s. Ensuite,
com m e chaque bloc com m ence par son
numéro d'ordre, seul sur une ligne, et finit
par une séquence de quatre tirets, eux
aussi isolés sur une ligne, l'extraction des
coordonnées se trouve de ce fait simplifiée.
Il suffit d'y supprimer les lignes vides et de
remplacer le "é" en "e" (cette dernière opé­
ration se révèle inutile sur les systèmes affi­
chant correctement les caractères codés
selon la norme ISO 8859-1). Notez que, au
besoin, les librairies LW P et associées
contiennent toutes les méthodes requises
p o u r c o n n a îtr e le détail c o m p l e t des
échanges entre client et serveur.
Allons plus loin
Il existe quatre optimisations possibles. La
première consiste à lancer les requêtes
pour tous les départem ents en parallèle
plutôt qu'en séquence. La seconde se résu­
me ainsi : présenter des résultats à l'utilisa­
teur au fur et à mesure de leur réception.
En outre, on peut proposer une recherche
Région Parisienne ou Province. Enfin, une
amélioration d'ordre esthétique passera
par la détection des coordonnées parta­
geant la même adresse pour les regrouper
en une seule entité avec la liste des diffé­
rents services et/ou numéros de téléphone
et/ou de télécopieur.
A tte n tio n , le n o m à r e c h e r c h e r d oit
répondre à la syntaxe a tte n d u e par un
script CGI quant à la représentation des
caractères. Mis à part les lettres, les chiffres
et quelqu es sym boles de p o n ctu atio n ,
ceux-ci sont piochés dans la norme ISO
8859-1 (adoptée avec bonheur et discer­
nement par Linux, et accessoirement, par
pure chance et hasard, sur les dernières
versions de Winchose) et codés en hexadé­
cimal sous la forme %HH.
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Conversion au tom atiq ue
de d e v i s e s
# ! / u s r /bin/perl
$s o mme = $ A R G V [ 0 ] ;
$devise_depart =
'U S D + U n i t e d + S t a t e s + D o l l a r s *;
$devise__arrivee =
'F R F + F r a n c e + F r a n c s ';
open
(LYNX,
post_data
"/ u s r / b i n / l y n x
-nolist
h t t p : / / w w w . x e .n e t / c g i bin/ucc/convert<<FI&_REQUETE\ntimezone=Canada%2FEastern&Amount=$so
mme&From=$devise_depart&To=$devise_arrivee\n
while
\ n F I N _ R E Q U E T E \ n | );
(<LYNX>)
{
if
(/United States
D o l l a r s (^ Xd]+ ( [ \d,
($change = $1)
print
last ;
}
FRF/){
./
"Cela fait $ c hange
Francs F ran caisXn";
}
cl ose
]+)
=~ tr/
( LYNX);
/;
R éseau
À l'inverse, le seul caractère non ASCII
présent dans les réponses délivrées par
w w w . a n n u . c o m s e m b le ê tr e le é de
Télécopie et Numéris, que nous rempla­
çons par un e à l'aide de s/\3 5 1 /e /g .
Soyons clairs : bien que très intéressant,
un automate de ce genre qui semble de
prime abord simple à programmer, révèle
tout de m êm e plusieurs cas de figure à
prendre en considération. Parmi quelques
exemples très communs, nous citerons le
d é c o u p a g e de la rép on se en plusieurs
pages Html contenant un bouton suite lequel o b lig e à s o u m e t t r e u n e a u tre
requête au serveur, plus ou moins diffé­
rente de celle de base (voilà pourquoi le
source présenté ici se ca n to n n e à n'af­
ficher au plus que les dix premières coor­
données trouvées dans chaque départe­
ment) et l'absence de réponse, plus fré­
quente encore. Autrement dit, il se révèle
indispensable de tester m a n u e lle m e n t
une m a jo rité de cas et de sa u v e r les
pages Html correspondant aux résultats,
afin de p ouvoir les analyser en détail
avant de se lancer dans l'écriture d'un
client Web automatique.
SSL
Un cas particulier reste celui de l'accès à
des sites sécurisés avec le protocole SSL.
Normalement, nous pourrions nous abs­
tenir d'en parler puisque, dans le cas de
Lynx par exemple, les modifications du
code développées pour utiliser ce proto­
cole, ou m êm e le code exécutable corres­
p o n d a n t, ne d ev raient pas être a cces­
sibles depuis la France. D'autant que le
site officiel d e L y n x se m o n t r e assez
intransigeant sur ce sujet et ne propose
un envoi de ceux-ci que par la poste et
u n iq u e m e n t sur le territoire américain.
M algré to u t, il arrive q u 'u n q u id a m ,
moins à cheval sur les lois ou moins aver­
ti, dépose sur un site FTP public tout ou
partie du code en question, disponible
alors sous la d ésig n a tio n lynx-ssl-2.81 .i3 8 6 .rp m (m ais b o n , nou s ne vous
avons rien dit, hein ?).
Notez que vous ne serez en mesure d'ins­
taller cette archive qu'à condition d'avoir
p r é a la b le m e n t ré c u p é ré et installé la
librairie SSL (a r c h iv e SSL eay-0.8.1
4 .g lib c .i3 8 6 .rp m par exem p le, mais...
chut !).
Il convient de préciser que l'on retrouve
sur les serveurs très sollicités par le genre
d 'a u to m a te s présentés ici des parades
similaires à celles apparues avec l'essor
du Minitel ; la plus simple consiste à
c h a n g e r la p ré s e n ta tio n des d o n n é e s
c o m m u n iq u é e s à l'utilisateur, afin de
rendre caduque, au moins tem p o ra ire ­
R e c h e r c h e de c o o r d o n n é e s sur t o u t e la France
#! /usr/local/bin/perl
u se L W P : U s e r A g e n t ;
u se HTTP
:R e q u e s t ;
u s e H TTP
:Response;
($ n o m _ c h e r c h e = $ A R G V [ 0 ] ) =- s/ /+/g;
$ f o rmulaire =
"c o u ntry=f rance&type=0&cv=0&num=0&nom=$no m_cherche&:ville=&dep=&rub= " ;
$agent = n e w LWP::UserAgent;
Sr e q u e t e = n e w H T T P ::R e quest
(1P O S T ',
'h t t p : / / w w w . a n nu.com/annu/cgi-
b i n / w w w ' );
for
($dept = 1; $dept <= 95;
$dept++)
{
$ f o r m u l a i r e =- s / d e p = [ ^ & ] * & / d e p = $ d e p t & / ;
$requete->header
$requete->content
('C o n t e n t - l e n g t h ' => length
$ r eponse = $a g e n t - > r e q u e s t
if
($ f o r m u l a i r e ) );
($ f o r m u l a i r e ) ;
($requete);
($ r e p o n s e - > i s _ s u c c e s s ){
$ t o t a l _ r e p o n s e s += t r a i t e _ r e p o n s e
} else
($ r e p o n s e - > c o n t e n t );
{
print STDERR
"Echec de la r e quete p o u r le département $ d e p t \ n " ;
$debug && p r i n t $r é ponse->error_as_HTML;
}
}
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$ t o t a l _ r e p o n s e s && p r i n t
"\ n $ t otal_reponses réponse(s)
trouvée(s)\n";
sub t r a i t e _ r e p o n s e
my
($reponse)
=
my
($trouves,
$element,
if
$coordonnees);
($reponse =~ /Nombre de p e r s o n n e s trouv.es
$ trouves =
($1 > 10)
? 10
: (\ d + ) /)
{
: $1;
$ r e p o n s e =~ s / < H R > / ---- /g;
$ r e p o n s e =~ s/< [/v>] * > / /g;
for
if
($element = 1;
$element <= $trouves;
($reponse =~ / \ n $ e l e m e n t \ n (.*?)\n
$element++){
\n/s){
$ coor d o n n e e s = $1;
$ c o ordonnees =~ s / \ n { 2 ,}/\n/g;
$ c o ordonnees =~ s /\3 5 1 /e/g;
print
"$ c o o r d o n n e e s ";
}else{
die
}
"Problème d ' a n a l y s e de la reponse\n";
}
}else{
$ trouves = 0;
}
r e t u r n $ trouves;
ment, l'analyse contenue dans le script.
Si vous désirez a p p r o f o n d ir ce sujet,
sachez qu'il existe un ouvrage consacré à
ce domaine : Programmation De Clients Web
par Clinton Wong, chez O'REILLY.
Avec Perl,
Yannick Cadin
[email protected]
A la une en janvier :
Tout sur le rendu réaliste
Les rubriques pratiques
pour développer son
site Web
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L R
m R n o t î E z
E T
H O R S
G R L È R E
f r s
S É R I E
R S T b î C E S
n a5
P □ b! R
J E Ï H
P C
O bjet
Im plém entation
objet : Sm alltalk
,
Premier langage orienté objet digne de ce nom Smalltalk
prône le tout objet et dans cette voie personne n'a fait mieux
depuis.
,
nomme un "sélecteur". Lorsqu'un message
est envoyé à un objet, les sélecteurs sont
comparés aux informations du message.
Par exemple, l'écriture 2 + 3 en Smalltalk
signifie que le message "+" avec l'informa­
tion 3 (un objet) est envoyé à l'objet 2"
Notre méthode pourra par exemple se voir
invoquée par l’appel :
2 lePlusGrand: 3
Si la valeur de l'objet 2 (self dans la métho­
de, similaire au this de C++) se révèle supé­
rieure à celle de 3 (le paramètre unEntier de
la m é th o d e), alors le bloc [Ase If] sera
évalué ; dans le cas contraire, il s'agira de
[AunEntier], Le signe A précède l'objet de
retour d'une méthode (si un objet doit être
retourné). Un bloc Smalltalk représente une
expression à évaluation retardée : on ne
l'évalue que lorsqu'on le demande explicite­
m e n t. Plus s u rp r e n a n t : la m é th o d e
ifTrue:ifFalse: (méthode à deux arguments)
appartient aux classes True et False ! Ainsi,
les structures de contrôle habituellement
intégrées au langage (et donc limitées) se
montrent ici totalement extérieures ! Il faut
donc oublier en Smalltalk bon nombre de
principes des langages de programmation
"habituels". Ici, nous utilisons des objets et
des messages pour les faire communiquer,
et c'est (pratiquement) tout !
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Les langages de programmation sont cou­
Le g én érateu r d'interfaces g raphiques de Visual Works :
Tout intégré
les concurrents feraient bien de s'en inspirer.
mois dernier, nous avons vu l'ap­
proche pragmatique du modèle objet
de C++ : une sorte de greffe du lan­
gage C. Bien avant C++, Adèle Goldberg et
d'autres ingénieurs du Xerox Parc (encore
lui !) ont inventé le premier et quasiment
unique langage 100 % objet : une révolu­
tion méconnue.
L
e
Tout objet
L'idée de d é p a r t d e Sm alltalk s'avère
simple : tout les éléments du langage doi­
v e n t être des o bjets. Par e x e m p le , le
m oindre petit n o m b re entier se trouve
représenté par un objet (instance de la clas­
se Integer ou d'une sous-classe). Pour pou­
voir réaliser cette prouesse, il fallait dans un
premier temps oublier le typage fort, trop
contraignant. Smalltalk constitue donc un
langage non typé, c'est-à-dire sans vérifica­
tion de type préalable. Dans le m ê m e
esprit, il s'agit d'un langage interprété ou
plutôt byte-compilé : les applications tour­
nent sur une machine virtuelle. C om m e
vous pouvez le constater, les inventeurs de
Java n'ont en fait pas inventé grand-chose !
Fortement inspiré de Lisp, Smalltalk vante
également le minimalisme syntaxique : peu
de c o n stru c tio n s sy ntaxiq ues p o u r un
grand pouvoir d'expression.
Voici par exemple une méthode Smalltalk,
qui permet de comparer deux entiers (en
supposant que la m étho d e valeur de la
classe Entier soit disponible) :
lePlusGrand: unEntier
self valeur > unEntier valeur
ifTrue:[Aself]
ifFalse:[^unEntier]
Une m é t h o d e au sens de Smalltalk se
ram m ent considérés com m e des entités
spécifiques, clairement séparées de l'envi­
ronnement de programmation, lui-même
c o u p é du sy stèm e d 'e x é c u tio n . En
Smalltalk, cette distinction n'existe pas. La
machine virtuelle Smalltalk s'occupe prati­
quement de tout :
B ibliothèques de classes (tous les
domaines...)
Browser de classes et de méthodes
P r o g r a m m e r en Sma l l t a l k : par où c o m m e n c e r ?
Il existe deux environnem ents Sm alltalk largem ent diffusés. Le prem ier est com m ercial
et très p o p ula ire : Visual Works. A l'origine développé su r M a c, cet environnem ent a été
p o rté su r la p lu p a rt des systèm es existants et se voit même prop osé dans une version
n on com m erciale (p o u r W indows ou Linux). Il s'agit prob ab lem ent de la version la plus
a b o u tie de Sm alltalk. Elle laisse loin derrière elle la p lu p a rt des environnem ents de
p ro g ra m m a tio n p o u r d'autres la n ga ges (Visual m achin ou truc). Reine-claude sur le
g â tea u : un livre com plet et bien fait de plus de 5 0 0 pages est distribué gratuitem ent
(fo rm a t p d f) ! Plus orien té "expérim entation", l'environnem ent Squeak, initialem ent
la n cé p a r A p p le m ais rep ris p a r D isney, se tro u ve d isp o n ib le g ra tu item en t su r de
n om breuses plates-form es (n o tam m en t Linux et RiscOS). L'interface utilisateur se révèle
très inférieure à celle de VisualW orks, mais toutes les fonctionnalités de Smalltalk (y
com pris la lenteur d'exécution) restent offertes !
Deux sites à con su lter :
h ttp ://w w w .o b jectsh a re.co m : la société éditrice de VisualWorks
h ttp ://sq u ea k .cs.u iu c.ed u / : to ut sa voir su r Squeak
Syslein Browser
Interface-Events-Suf
Interface-Models
Kernel-Objects
Kernel-C lasses
Kernel-Methods
Kernel-Processes
Kernel-Exception Haï
Kernel-Support
System -Changes
Boolean
ByteSwapFailedError
False
IndexNotFoundError
MessageNotUnderstoi
and:
IfFalse:
lfFalse:ifTrue:
IfTrue:
accessing
logical opérations
controlling
copying
printlng
convertlng
Model
IfTfiïé:ï7Piïsë~
or
NonlntegerlndexError
/ ^ Instance
v class
IfTrue: trueAlternative Block IfFalse: falseAltemativeBlock
"If the receiver Is true (i.e., the condition Is true), then answer the
value ofthe argument trueAlternativeBlocK. If the receiver is false,
answer the resuit of evaluating the argument falseAltem ativeBlock
This method is typlcally not Invoked because ifTrue:/ifFalse:
expressions are complled In-Hne for (itérai blocks.M
''self subclassResponsibillty
Le Workspace (évaluation d'expressions) et le Transcript
Le b row ser de classes et de m éthode : un outil rem arquable
(messages) en action : un premier "programme" Smalltalk.
(ici, la m éthode ifTrue:ifFalse de la classe Boolean).
Editeur de code (intégré au browser)
Environnement d'exécution et de débogage (Transcript, Inspectors)
G énérateurs d'interfaces g ra p h iq u e s
(UlPainter)
Gestion des versions
etc.
Ainsi, une application Smalltalk constitue
simplement la sauvegarde de l'état d'une
machine virtuelle à un m o m en t donné,
environnement de programmation com ­
pris (on peut toutefois créer une image
réduite pour déployer l'application). Cette
caractéristique très appréciable a pourtant
nui au succès commercial de ce langage :
impossible de distribuer une application
sans son code source !
Il n'existe d'ailleurs
pas vraiment de no­
tion de code source
en Smalltalk, puisque
l'on p ro gram m e di­
re c te m e n t dans les
browsers.
Le modèle objet : un protocole
Cl asses, m é t a - c l a s s e s
et r é f l e x i v i t é
L 'analogie e n tr e le m o d è le o b je t de
Smalltalk et la notion de protocole (liée
aux communications) est très importante.
Nous avons vu que les objets com m uni­
q u e n t via des messages choisis par les
sélecteurs de m é th o d e s . Il nous reste
cependant à com prendre com m ent
Smalltalk administre l'héritage. Ici inter­
vient le seul aspect statique du langage : le
routage des messages. Si on envoie un
message à un objet qui ne comporte pas le
sélecteur requis, il se trouve alors redirigé
vers la classe parent de cet objet, et ainsi
de suite. Si la classe Object (ancêtre de
toutes les autres classes) reçoit un message
qu'elle ne sait pas gérer, une erreur d'exé­
cution est levée. Ce protocole interdit par
exemple l'héritage multiple qui rendrait le
routage des messages extrêmement coû­
teux (il faudrait explorer toutes les direc­
tions possibles). Pourquoi, d'après vous,
java n'implémente pas non plus l'héritage
multiple ? Réponse : parce qu'il utilise l'hé­
ritage Smalltalk !
p ro g ra m m e fo n c tio n n e , in d é p e n d a m ­
Un outil de prototypage avant tout
m ent du cod e d e celui-ci (p a r exemple,
Le p r o t o c o le sta tiq u e de r o u ta g e des
m e ss a g e s S m a llta lk se r a t t a c h e à la
n o tio n d e m é ta -c la s se . C o m m e d a n s
tout la n ga ge orienté objet, cha q ue ob jet
est in sta n c e d 'u n e cla sse. N éan m oins,
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La grande originalité de cet environnement
de développement, ainsi que son approche
très éloignée des aspects de performances,
s'avèrent peu propices à son déploiement à
large échelle. Cependant, de nombreuses
sociétés utilisent Smalltalk pour prototyper
des applications de plus ou moins grande
envergure. IBM y a par exemple recours
pour bon nom bre de ses outils (n o tam ­
ment les fameux Visuals), mais il ne s'agit
pas d'un cas rare. Toutefois, l'arrivée d'im­
p o r ta n te s e n s e ig n e s du g r a n d public
(Disney, ça vous dit quelque chose ?) sur le
marché de Smalltalk pourrait bien offrir à
ce "monstre" le succès qu'il mérite.
Fred Pesch
p o u r p o u vo ir im plém enter des m éthodes
de classes (com m e les m éth od es sta tic
de C++), il fa u t se tro u v e r en m esu re
d 'a jo u t e r d ir e c t e m e n t d u c o d e d a n s
la
c la s s e .
P u is q u e
to u t
é lé m e n t
"modifiable", (d yn am iq ue) de Sm alltalk
est un ob jet, il en va de m êm e p o u r la
classe. C h a q u e cla sse est d o n c u niqu e
instance d'un autre élément du langage :
la fa m euse m é ta -cla sse. La p o ssib ilité
d 'a g ir su r elle a insi que su r les classes
offre à Sm alltalk ce que l'on appelle la
réflexivité. Le p ro g ra m m eu r a la liberté
de
m o d if ie r
la
fa ço n
dont
so n
en t r a n s f o r m a n t la f a ç o n d o n t le s
ob jets so n t créés). Il s'avère p a r exem ple
trè s fa c ile d 'a jo u t e r à S m a llt a lk un
p r o t o c o le d e d é lé g a tio n q u i r e d irig e
vers un a u tre o b je t un m e ss a g e n o n
sélectionnable. Ne vous é to n n ez p a s si
t o u t c e la v o u s t o u r n e la t ê t e , c a r
S m a llt a lk n e se la is s e p a s d o m p t e r
f a c ile m e n t . M a lg r é t o u t, a p r è s u n e
p é r i o d e d 'a d a p t a t i o n , o n f in it p a r
e ffe c tu e r à u n e v ite sse fu lg u ra n te
d e s a p p l i c a t i o n s d 'u n e c o m p le x it é
i n c r o y a b l e ( d e q u o i s ' a r r a c h e r le s
cheveux et la boîte crânienne, dans un
la n g a g e m oins "novateur").
La programmation
orientée objet avec Perl
(1 ee p artie)
En concordance avec la rubrique Programmation Objet (voir
pages précédentes), voici comment déclarer et manipuler des
objets en Perl.
remièrement, un objet possède une
structure qui lui est propre. Cette
structure correspond en fait à une col­
lection d'attributs. A la différence du C++, en
Perl, le type de chaque attribut ne se trouve
pas fixé par avance, contrairement à leur
nom. En outre, nous avons avec Perl un autre
avantage qui consiste à avoir deux possibili­
tés pour créer une structure nous utilisons
soit des tableaux, soit des tables de hachage.
A vous de choisir celle qui vous convient le
mieux, par préférence personnelle ou par
souci de simplicité. Prenons un exemple :
déclarons un objet "voiture" Première solu­
tion, avec un tableau :
P
haitera avoir recours à plusieurs instances de
notre objet "voiture" dans le même program­
me, chacun ayant ses attributs propres mais
un même comportement. Par conséquent,
nous devons isoler la partie déclaration et ini­
tialisation de notre structure de données
dans une sous-routine. Là encore, nous avons
une alternative : soit, on alloue dynamique­
ment une structure à chaque demande, soit,
on renvoie une référence vers une structure
locale à cette sous-routine. Comme un bon
exemple vaut mieux qu'un long discours,
voici le premier cas :
tion qui accède aux attributs d'un objet, que
ce soit en lecture ou en écriture, constitue le
comportement de celui-ci. Imaginons par
exemple une fonction symbolisant l'installa­
tion d'un système GPL sur une voiture :
sub installation_gpl_voiture {
my($ref_voiture) = @_;
$ref_voiture->{«moteur»} = «GPL»;
}
Notez la manière d'accéder aux attributs
d'un objet dont on ne possède qu'une réfé­
rence. Nous utiliserons cette fonction de la
manière suivante :
installation_gpl__voiture($ma_voiture) ;
Un peu de ménage !
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Et le deuxième cas :
Jusqu'à présent, nous avons pris soin de faire
apparaître le mot "voiture" à la fin de chaque
fonction, pour être sûr qu'il n'y ait pas d'am­
biguïté avec les autres fonctions susceptibles
de se trouver dans le programme principal.
Mais cela risque vite de devenir laborieux...
C'est pourquoi nous allons exploiter ce que
nous avons appris le mois dernier à propos
des modules, c'est-à-dire que nous allons pla­
cer les fonctions "new_voiture" et toutes les
autres dans un fichier séparé, appelé
"Voiture.pm" par exemple.
sub new_voiture {
package Voiture;
sub new_voiture {
my ($marque, $modele, $moteur) = @_;
# déclaration
my $ref_voiture = {«marque» =>
$indice_marque = 0;
$marque, «modèle» => $modele, «moteur» =>
$indice_modele = 1;
$moteur};
$indice_moteur = 2;
return $ref_voiture;
# on renvoie une table de hachage
@voiture = («Renault», «R19», «essence»);
anonyme
# utilisation
print «Marque de la voiture :
$voiture[$indice_marque]\n»;
Ce qui est pénible avec cette structure, c'est
qu'il faut déclarer des variables supplémen­
taires pour les indices des données situées
dans notre tableau. Deuxième solution, avec
une table de hachage :
}
my ($marque, $modele, $moteur) = @_;
sub new {
my %voiture = («marque» => $marque,
# initialisation d'un nouvel objet «Voiture»
«modèle» => $modele, «moteur» => $moteur);
return \%voiture;
}
sub installation_gpi {
# on renvoie une référence vers un
# déclaration
objet local
%voiture = («marque» => «Renault»,
}
«modèle» => «RI9»,
«moteur» => «essence»);
Dans les deux cas, on déclare un objet de la
façon suivante :
# utilisation
# ici le code de la fonction
}
Ce qui change quelque peu les appels dans
le programmes principal :
$ma_voiture = Voiture::new(«Renault», «R19»,
print «Marque de la voiture :
$ma_voiture = new_voiture(«Renault», «R19»,
«essence»);
$voiture{"marque"}\n»;
«essence»);
Voiture::installation_gpl($ma_voiture);
Cette solution s'avère plus commode à l'usa­
ge. C'est elle que nous allons employer dans
la suite de cet article. Bien entendu, et c'est
là la base de la programmation objet, on sou­
Après avoir défini de quoi notre objet se
composait (sa structure), nous allons nous
intéresser à son comportement. Toute fonc­
Comportement d'un objet
En programmation objet, il est fortement
déconseillé de laisser libre accès aux attributs
des objets. Cela rend le code un peu plus
"abstrait", mais c'est justement le but recher-
ché. Ici, par exemple, quand on appelle la
fonction "installation_gpl", on ne sait rien du
mécanisme induit par cette opération (modi­
fication de plusieurs attributs, écriture dans
un fichier de log, accès à une base de don­
nées, etc.).
$marque, «modèle» => $modele, «moteur» =>
$moteur, «consommation» => Sconsom};
bless $ref_voiture,
«Vo itureMonoMo tor isation»;
return $ref_voiture;
}
Comme en C++ !
sub calc_consom {
Polymorphisme
Imaginons maintenant que nous soyons
amenés à ajouter comme attribut, à notre
objet "Voiture", sa consom m ation. On
devra alors distinguer deux types de voi­
tures : celles qui n 'o n t q u 'u n m o te u r
(essence ou diesel) et celles qui en ont
deux (essence + gpl), afin de stocker la
valeur pour chaque type de motorisation. Il
nous faut donc maintenant deux fonctions
d'initialisation distinctes :
# ici le code de la fonction
}
package VoitureBiMotorisation;
sub new {
my ($marque, $modele, Smoteurl,
Sconsoml, Smoteur2, $consom2) = @_;
my $ref_voiture = {«marque» =>
Smarque, «modèle» => Smodele, «moteurl» =>
Smoteurl, «consommationl» => Sconsoml,
«moteur2» => $moteur2, «consommâtion2» =>
$consom2};
sub new_mono_motorisation {
my (Smarque, $modele, Smoteur,
bless $ref_voiture,
Smarque, «modèle» => Smodele, «moteur» =>
my (Smarque, Smodele, Smoteur1,
(«Renaul », «R19», «diesel»,
«7.8»);
Là aussi, cela implique une certaine modifi­
cation dans le code de notre fonction
"new" , puisqu'elle va maintenant recevoir
comme premier argument une référence sur
la classe de l'objet en question :
my ($pkg, $marque, $modele, $moteur,
}
Sconsom) = @_;
sub calc_consom {
# etc...
# ici le code de la fonction, qui sera
différent du code plus haut
}
}
sub new_bi_motorisation {
$ma_voiture = new VoitureMonoMotorisation
return $ref_voiture;
Smoteur, «consommation» => Sconsom};
return $ref_voiture;
Les habitués du C++ auront remarqué une
certaine similitude de syntaxe. Mais on a
encore moyen d'aller plus loin ! On peut
é galem ent en Perl instancier un nouvel
objet de la façon suivante :
sub new {
«VoitureBiMotorisation»;
Sconsom) =
my $ref_voiture - {«marque» =>
Notez ici la notation par flèches
pour
appeler des m éthodes sur des instances
d'objet. Le nom de la classe à laquelle
a p p a rtie n t l'objet est transm is com m e
premier argument à la fonction appelée.
Ce qui implique les changements suivants
d an s le p r o g r a m m e
p rincipal : c o m m e
p o u r t o u t o b je t, on
doit faire appel à la
m é th o d e «new» cor­
r e s p o n d a n t au type
d'objet que l'on sou­
P 2-3 5 0
haite instancier, mais
dorénavant, on pourra
IWILL BX
a p p e le r la fo n c tio n
350 Mhz
" c a lc _ c o n so m " sur
Médium
Tour
n 'im p o r t e lequel de
128 Mo sDram
ces d eu x o b je ts , et
6.4 Go Udma
Perl saura de lui-même
FD 3"
quelle fonction utili­
AGP G200 8
ser.
CD 36x IDE
}
Voilà. La suite au prochain épisode, où nous
parlerons entres autres de l'héritage...
Vincent Oneto - [email protected]
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Sconsoml, $moteur2, $consom2) = @_;
my $ref_voiture = {«marque» =>
Smarque, «modèle» => Smodele, «moteurl» =>
Smoteurl, «consommationl» => Sconsoml,
«moteur2» => $moteur2, «consommation» =>
$consom2};
return $ref_voiture;
}
De ce fait, si nous souhaitons calculer une
consommation en carburant pour un kilomé­
trage donné, il nous faudra aussi une fonc­
tion pour chaque type de voiture
("calc_consom_mono_motorisation" et
"calc_consom_bi_motorisation", par
exemple). Il conviendra de faire de même
pour tous les traitements qui devront tenir
compte de cette différence entre les deux
objets. Le plus gênant, c'est que nous obli­
gions l'utilisateur de notre module à tester le
type de l'objet qu'il manipule avant d'appe­
ler une de nos fonctions, ce qui ne lui facilite
pas l'existence. Pour remédier à cela, nous
allons séparer nos deux types de voitures
dans deux modules distincts, et utiliserons la
fonction interne "bless" pour marquer les
objets créés avec le nom de leur package.
LINUX
BeOS BeOS ALPHA
$ma_premier_voiture =
VoitureMono Motorisation:
:new(«Renault», «RI9»,
«diesel», «7.8»);
$ma_deuxieme voiture =
B i-P 2 -4 5 0
U 2 -5 i
«406», «essence»,
«5.6», «gpl», «6.7»);
Sconsoml =
SB 128 PCI
Clavier PS2
Souris PS2
BeOS r4
IWILL BX
UX4
UX2
2x450 Mhz,
533 Mhz
600 Mhz
Médium Tour
128 Mo sDram, Médium Tour Médium Tour
9.1 U2W SCSI 128 Mo sDram 128 Mo sDram
4.5 Go Udma 9.1 Go U2W
FD 3" ,
FD 3"
FD 3" ,
AGP G200 8
CD 36x SCSI SVGA PCI 4 SVGA PCI 4
SB 128 PCI
CD 36x SCSI CD 36x SCSI
Clavier PS2
Clavier PS2,
Clavier PS2
Souris PS2
Souris PS2
Souris PS2
RedHat 5.2
RedHat 5.2
BeOS r4
8.990 FTTC
23.990 FTTC 14.990 FTTC 30.990 FTTC
DORSAÏ, INTERROGEZ NOUS, EQUIPEZ VOUS, UP-GRADEZ VOUS
Pour passer commande, Tél. Messagerie 01 46 65 70 20, Fax 01 46 65 13 20
E-MAIL [email protected]
$ma_premiere_voiture>calc_consom(100) ;
sub new {
$consom2 =
$consom) = @_;
U 4 -6 s
Voiture::New («Peugeot»,
package VoitureMonoMotorisation;
my ($marque, $modele, $moteur,
LINUX
ALPHA
$ma_deuxi eme_vo iture>calc_consom(100) ;
my $ref_voiture = {«marque» =>
AlptwPowered
Les structures
,
Les n o ms de vari abl es
Il est tout à fait envisageable de donner
à u n e v a ria b le "co n te n u e " d a n s une
Après les tableaux et les pointeurs il ne nous reste plus
qu'a découvrir les structures. A vos compilos !
stru ctu re le nom d'une autre variable,
lo ca le ou g lob ale. C ette p ro céd u re ne
suscitera pas de conflit et pourra même
s 'a v é r e r
es structures permettent de regrou­
per plusieurs variables de types éven­
tuellement différents sous un même
nom. Une entité de type structure peut
c on ten ir une ou plusieurs variables de
n'importe quel type (y compris des struc­
tures, puisqu'elles sont imbriquables). Par
ailleurs, il y a moyen de manipuler la struc­
ture ou bien d'accéder aux variables (par­
fois appelées champs) qu'elle regroupe.
Une variable de type structure reste une
variable et peut en conséquence être utili­
sée de la même manière (passage en argu­
ments, fonction retournant une structure,
etc.). En revanche, certaines opérations
demeurent irréalisables ; il eh va ainsi de la
comparaison. En effet, elle oblige à com pa­
rer un à un chacun des membres des struc­
tures considérées.
de type variable (par exemple, une chaîne
de caractères pour l'adresse et un entier
court non signé pour l'âge), il s'avère inté­
ressant d'assimiler une fiche à une structure
et le carnet à, par exemple, un tableau de
structures. Cette m éth o d e a non seule­
ment plus d'élégance, mais elle se révèle
é g a l e m e n t plus p r a tiq u e en cas de
recherche ou de modification.
L
Syntaxe et fo nctionnem ent
Reprenons l'exemple précédent, et considé­
rons q u 'u n individu de votre c arnet
d'adresses se trouve entièrement défini par
son nom, son prénom, son adresse E-mail et
sa note sur vingt présumée au dernier exa­
men sur les SGBD. Chaque fiche contient
donc quatre champs, dont trois se résument
à de simples chaînes de caractères (quarante
caractères au maximum : à vous de recourir
aux pointeurs et au précédent article pour
utiliser des chaînes de longueur variable) et
un flottant (figl .2). Commençons par établir
l'aspect des fiches, en définissant une struc­
ture dont l'étiquette sera "fiche".
Un petit exem ple
u tile
pour
la
c la r té
du
program m e.
float note;
*
};
L'étiquette nom m e ce type de structure
particulier et permet par la suite de simpli­
fier la déclaration de variables de cette
catégorie. Ainsi, pour définir un carnet
d 'a d re s se s c o n t e n a n t c e n t fiches, on
emploiera la ligne suivante :
struct fiche carnet[100];
Attention, c e p e n d a n t, "fiche" n ’est en
aucun cas un nouveau type ; il s'agit juste
d'une étiquette destinée à simplifier la
manipulation des structures. Par consé­
quent, la déclaration suivante est rigoureu­
sement identique à la précédente :
struct {
char n o m [40], prénom[40]
email[40] ;
float note;
Un cas typique d'utilisation des structures
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réside d a n s le p r o b l è m e d 'u n c a rn e t
On préférera généralement avoir recours à
d'adresses (figl 1). Un tel carnet contient
une étiquette, qui autorise un maniement
un nombre variable de fiches, elles-mêmes
contenant des informations différentes d'une
fiche à l'autre. Les données considérées étant
struct fiche {
char n o m [40]
O Nom
PESCH
prénom[40]
email[40];
carnet(0).nom = Pesch
} carnet [100];
plus souple. Considérons une variable
unique nommée "individu" et représentant
une fiche du carnet. Il est possible de l'initialiser "d'un bloc" en indiquant lors de sa
définition les valeurs initiales.
struct fiche individu = { "Pesch",
"Fred",
O Prénom
Fred
carnet(O). prénom = Fred
O E-mail
[email protected]
O Note
i.5
"[email protected]", 1.5 };
Cependant, il est aussi envisageable d'initialiser un à un les membres de la structure
en ayant recours à l'opérateur
individu.nom = "Zimmermann";
carnet(0).note = 1.5
individu.prénom = "Jakub";
individu.email = "jzimm@club-
C normal ?
La norm e du C ANSI nous apprend que
O Nom
ZIMMERMANN
O Prénom
jakub
G E- mail
[email protected]
O Note 2
les seules o p ératio n s autorisées sur les
structures sont :
-
Copie ou affectation, en la considérant
com m e un tout.
U tilisa tio n de l'o p é ra te u r
pour
obtenir son adresse.
- Accès (lecture, écriture) à ses membres.
C e p e n d a n t, com m e n ou s l'a von s d éjà
stipulé, il demeure totalement impossible
de com parer directement des structures.
N otre carn et est un tableau de structures.
par d éfau t. L'idée se m b le
saugrenue, mais cette opéra­
tion nous p e r m e t d'écrire
une fonction q u elq u e peu
torturée. Celle-ci renvoie une
structure fiche et attend en
a r g u m e n t s l'id e n tité et
l'adresse E-mail du nouvel
individu ; elle fait de même
avec celui qui "donne" sa
note au nouveau venu. Dans
le cas de ce dernier a r g u ­
ment, il s'agit d'un passage
par valeur, la variable étant
s i m p le m e n t c o p ié e . On
pourrait écrire la fonction
comme suit :
tures le mois prochain...
Tableaux de structures
N ous a v o n s d é c id é q u e n o tre c a r n e t
d'adresses consisterait en un tableau de
structures. Reprenons donc cette idée en
utilisant une version simplifiée du carnet.
Tout d'abord, les fiches ne comportent que
deux données : le nom et la note. Ensuite,
il n'y a que cinq individus dont les caracté­
ristiques soient "en dur" dans le corps du
code source. Le p ro g ram m e suivant se
charge donc de trouver la personne qui a
obtenu la meilleure note.
#include <stdio.h>
int maint)
{
struct {
struct fiche
char *nom;
float note;
creer (struct nom_et_prenom
id, struct fiche source)
} carnet [5] = {
{"Pesch"
1.5},
struct fiche tmp;
{"Zimmermann", 2},
tmp.identité.nom =
{"Gronaz", 10},
id.nom;
tmp.emai1 = "none";
{"Botton"
0.25},
{"Heitor"
0.5}
};
tmp.note = source.note;
return tmp;
int i;
float note_max = 0;
Voici enfin le m o m e n t que
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tout le m onde attend... les
Pointeurs de structures
char *meilleur;
for (i = 0; i < 5; i++)
printf
L 'exemple typique d'une structure :
une fiche de votre carnet d'adresses.
internet.fr";
individu.note = 2
M anipulation de structures
Pour am éliorer un p etit peu n o tre
exemple, on pourrait envisager de regrou­
per les noms et prénoms de nos cancres
sous une structure "nom_et_prenom". On
obtiendrait donc finalement le code sui­
vant :
struct n o m _ e t _ p r e n o m {
char nom[40]
p r é n o m [40];
};
struct fiche {
struct n o m _ e t _ p r e n o m identité;
char e m a i l [40];
float note;
};
pointeurs ! Eh oui, il est éga­
lement courant et bien évi­
dem ment fort pratique d'utiliser des poin­
teurs sur structures. Tellement courant
qu'une notation particulière a m êm e été
introduite. Si l'on doit attribuer à une fonc­
tion une structure de taille importante, il
peut s'avérer opportun d'avoir recours à un
pointeur. Suivent donc la déclaration et
l'initialisation d'un pointeur sur fiche :
struct fiche *ptr_individu = kindividu;
Désormais, on peut accéder au nom de
l'individu par (*ptr_individu).nom (pour les
parenthèses, cf. encadré). Une notation
plus pratique et plus intuitive pour dési­
gner ce membre existe :
ptr_individu->nom
C e p e n d a n t, nous rev ien dron s plus en
détails sur ces très utiles pointeurs de struc­
{
("%s : %.2f\n"
carnet[i ].nom, carnet[i ].note);
if (carnet[i].note > note_max)
{
note_max = carnet[i].note;
meilleur = carnet[i].nom;
printf
}}
("\nLe meilleur est %s\n",
meilleur);
return 0;
}
Les deux principales choses à remarquer et
à retenir ici sont la manière dont on initialise un tableau de structures (remarquez les
accolades), ainsi que la m é th o d e pour
accéder à ses membres. Nous ne saurions
q ue trop vous conseiller de bien c o m ­
prendre et d'assimiler ce petit exemple, le
prochain article étant consacré aux poin­
teurs de structure.
Guillaume Girard [email protected]
Pri ori té des o p é r a t e u r s
struct fiche individu;
individu.identité.nom = "Gronaz";
Lorsqu'on utilise conjointem ent les opérateurs '.'et
Admettons m aintenant que l'on veuille
écrire une fonction, permettant de créer
une fiche en lui transmettant l'identité en
arguments et en récupérant la note d'une
autre fiche ; l'E-mail "none" serait attribuée
il se révèle parfois pertinent de jo u e r
d es p a re n th è s e s. En effet, '.' a u n e p r io r ité p lu s g r a n d e q u e '*'. P a r c o n sé q u e n t,
*ptr_individu.nom équivaut à *(ptr_individu.nom ), ce qui signifie que "nom", mem bre de
la structure p trjn d iv id u , est un pointeur. Cependant, il n'en va pas ainsi dans notre cas,
c e q u i e x p liq u e
q u e l'o n
a it r e c o u r s
à des p a re n th è se s
dans
l'e x p r e s s io n
(*ptr_individu).nom (nom est un mem bre de la structure pointée p a r p trjn d iv id u ).
Java
Les Beans
et les événements
}
public int etage() { return noEtage; }
}
l'interface ArriveeEtageListener, dérivée
d'EventListener, doit définir la(les) méthode(s) qui traite(nt) l'événement :
public interface ArriveeEtageListener
extends EventListener {
Les Beans fonctionnent grâce à la propagation d'événements.
Tout le système repose sur le fait que lorsqu'un Bean émet un
événement d'autres Beans doivent réagir en conséquence en
effectuant des opérations.
,
,
ous devons donc apprendre à gérer
le m écanism e d 'é v é n e m e n ts. Le
schéma s'avère identique à celui de
l'AWT (en fait, l'AWT utilise celui des Beans !),
ce qui ne saurait surprendre, lorsqu'on sait
que les composants de l'AWT sont avant
tout des Beans. Le schéma 1 en rappelle le
principe : à chaque objet susceptible de
déclencher des événements (appelé "sour­
ce d'événements"), on associe un ou plu­
sieurs objets "récepteurs" qui se verront
informés de l'événement (on les appelle les
"listeners").
interface que les listeners doivent implém enter. Considérons par exem ple une
application pilotant un ascenseur, et inté­
ressons-nous à l'événement "arrivée à l'éta­
ge X" (ArriveeEtage). Nous aurons les
classes suivantes :
la classe ArriveeEtageEvent représente cet
événement. Elle doit dériver d'EventObject,
la classe mère de tous les événements en
Java, et peut contenir diverses informations
sur l'événement (par exemple, une métho­
de etage() qui renvoie l'étage auquel on
vient d'arriver) :
Design patterns
public class ArriveeEtageEvent extends
N
public void arrivée(ArriveeEtageEvent
aee) ;
}
la source d'événements (l'objet qui doit
signaler que la cabine arrive à un étage)
p o s s è d e o b lig a to ir e m e n t les deux
méthodes addArriveeEtageListener(Arrivee
EtageListener ael) et removeArriveeEtage
Listener(ArriveeEtageListener ael) ; leur but
respectif consiste à enregistrer un Listener
pour cet événement et de le supprimer. En
interne, la source d'événements peut par
exem ple stocker les Listeners dans un
tableau, un Vector, une liste, etc. Lorsqu'il
faut que l'événem ent soit signalé, elle
appelle la méthode "arrivée" de chacun des
Listeners connus.
A u tiliser avec parcim onie !
A l'aide de ces design patterns, on peut
donc définir un nouveau type d'événe­
ments. Il convient néanmoins de préciser
que cela ne doit être fait que dans des cas
précis, sachant que tout l'intérêt des Beans
repose sur l'interopérabilité. Si chaque
Bean s'amuse à créer ses propres événe­
ments, il est clair que l'application devien­
dra rapidement inutilisable, car personne
ne pourra communiquer avec personne !
En pratique, on se retrouve confronté à
trois cas. Si l'on a affaire à des événements
"propres" à l'application (comme l'arrivée à
un étage dans l'exemple de l'ascenseur),
dans ce cas, il demeure indispensable de
créer un type d'événements approprié, en
évitant toutefois leur prolifération et en
prenant soin de rendre publique l'interface
définissant les Listeners, afin de garantir
que les Beans sont bien réutilisables. Dans
le cas où il s'agit d'événements liés à l'inter­
face utilisateur, il n'y a rien à faire : on s'ap­
puiera sur les composants standard (bou­
tons, scrollbars, champs de saisie...), en
utilisant bien sûr les événements prévus
(Action, Mouse, Focus, etc.). Le dernier cas
reste plus compliqué : un Bean partage des
informations avec d'autres Beans et doit les
avertir lorsque les données sont modifiées.
Nous allons en voir maintenant le principe.
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Les design patterns relatifs aux événements
n'ont rien d 'étonnant, car on les utilise
c h a q u e fois que l'on p ro g r a m m e avec
l'AWT. Rappelons que, pour chaque type
d ’événement, il est nécessaire d'écrire une
classe qui représente l'événement et une
EventObject {
private int noEtage;
public ArriveeEtageEvent(Object
source, int etage)
{
super(source);
noEtage=etage;
Rie Eüit Apps Options Buffers Tools Java
Help
i i H
p r iv a t e Thcead th re a d ;
Ptfôpe)
pubUt* H o rlo g e () (
p cs«
ty C h a n g e S u p p o rt( t h i s ) ;
n eu r e s -m inu t e 9 «=Ô;
th re a d »
T h read (fchi ?) ;
th re a d . 3 t a r t ( ) ;
p u b lie v o id a d d P v a p e rty C h e n g e L ie te n e r(P re p e rty Q h a n g e tiô te n e r p c i)
p c s . a d d P r o p e r t y C h a n g e L is t e n e r (p c i) ;
publié
)
p u b lie
v o id r e m c v e P ro p e rty C h e n g e L io te n * r(P rc p e r!:y C h * n g c L is te n c r p c i)
p c s . r e m o v e P r o p e rt y C h a n g e L is t e n e r (p c i);
(;;) In{ t e g e r o ld j a , o l d j i , newjft,
/* Attendre"*), mânufc* */
v o id r u n ()
now_hj
)
)
(
{
{ t h r e a d . s l e e p (6 0 0 0 0 ); )
( E x c e p tio n e) ( )
old_m *
X rtte ç e t( m in u t e s ) ;
m in u t e s * * 1 ;
(m in u tes*»6 0) {
old_h«=
Entege *• (h e u re s) ;
m in u te s«0;
h e u r e s + * l;
n e v _h *
In t e g c r ( h e u r e s ) ;
p c s .f ir e P r o p e r t y C h a n g e ( " h e u r e s " ,
)
{
n e v jn »
in t s g e c (m in u tes) ;
p c s . f i r e P r ope r t y Change ( “m in u te s H,
o ld h, new h ) ;
o ld m, new__m) ;
Des cham ps qui changent...
XEmaca: H o r lo g e .ja v>
(J a v a f o n t ) - — A i l
C a n 't i n s t a n t i a t e image (p ro b à b ly c a c h e d ) : (xbm : m a s k - f i1e H/ u s r / in c lu d e / X ll/ b it m a p s / le f t jp t r m s k w :ma*
Un code assez simple.
En somme, il s'agit de prévenir des Beans
lorsque la valeur d'un cham p change.
Rappelons qu'un Bean a moyen de laisser les
autres lire la valeur de son champ "toto" par
Event Source
/
Listener
Listener
Figure
la méthode getToto ; cependant, il se peut
que cette valeur soit modifiée, et que le "lec­
teur" ait toujours besoin de connaître la
valeur à jour ! Dans ce cas, la solution consis­
te à diffuser un événement. Toutefois, il n'est
ni élégant ni en accord avec le standard de
définir son propre type d'événement pour
effectuer cette opération ; à la place, on utili­
se l'événement prédéfini PropertyChange. La
bibliothèque java.beans fournit alors trois
classes : PropertyChangeEvent, Property
ChangeListener (forcément !) et Property
ChangeSupport. L'interface PropertyChange
Listener ne définit q u 'u n e m é th o d e :
Property Change, qui prend bien sûr en
argument un PropertyChangeEvent. Cette
dernière classe contient quatre informa­
tions : la source de l'événement (comme
tout événement I), accessible par la métho­
de getSource(), le nom du cham p qui a
changé sous forme de chaîne de caractères,
accessible par la m é th o d e getProperty
Name, ainsi que l'ancienne et la nouvelle
valeur, accessibles respectivement par les
méthodes getOldValue() et getNewValue().
Enfin, la classe PropertyChangeSupport
mâche le travail et s'occupe de gérer la
fameuse liste de Listeners et d'envoyer à cha­
cun un événement.
Listener
7
heures=minutes=0 ;
thread=new Thread(this);
thread.start();
public void
addPropertyChangeListener(PropertyChange
Listener pci)
{
p c s .addPropertyChangeListener(pci);
}
public void
removePropertyChangeListener(PropertyCha
ngeListener pci)
ajouter ou retirer un Listener se résument
à dem ander au Property ChangeSupport
de le faire tout seul. Lorsque la valeur du
cham p "heures" change, on stocke dans
old_h et new_h l'ancienne et la nouvelle
valeur du champ. Les valeurs "qui chan­
gent" doivent im pérativem ent être des
objets. Aussi, il faut passer ici par la clas­
se "Integer" (on ne p e u t pas m e ttr e
directement un int). Ensuite, on d em an ­
de au PropertyChangeSupport de diffu­
ser l'événement à tous les Listeners a b o n ­
n és, s i m p l e m e n t à l'a id e d e l'a p p e l
fire P ro p e rty C h a n g e f 'h e u r e s " old_h,
new_h). Bien sûr, il en va de m êm e pour
les m in utes. Le "P ro p e rty C h a n g e " est
donc à la fois très simple et général. Il
existe des variantes (un Bean peut par
exemple "s'opposer" au changem ent ; il
s'agit des "Vetoable Changes", ou encore
des c h a m p s "contraints"), mais on se
contentera ici de ce mécanisme de base.
Le mois prochain, nous allons terminer
l'initiation aux Beans, en précisant c o m ­
m ent on peut leur attribuer une interface
qui permettra de les paramétrer de façon
conviviale.
Jakub Zimmermann
{
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
pcs.removePropertyChangeListener(pci);
}
public void run()
f o r (; ;) {
Integer old_m,
old_h, new_m,
new_h;
/* Attendre
1 minute */
try {
thread.sleep(60000);
}
catch(Exception e)
{}
old_m=new Integer(minutes);
minutes+=l;
if(minutes==60) {
Exemple
Nous avons commencé cette initiation en
manipulant sous BeanBox une petite horlo­
ge ; nous pouvons à présent écrire un Bean
"horloge" qui p o ss è d e d eu x c h a m p s ,
"heures" et "minutes", et qui é m e t un
PropertyChangeEvent chaque fois qu'une
heure ou une minute s'écoulent :
public class Horloge implements
Serializable, Runnable {
private PropertyChangeSupport pcs;
{
old_h=new Integer(heures);
minutes=0;
heures+=l;
new_h=new Integer(heures);
p c s .firePropertyChange("heures", old_h,
new_h);
}
new_m=new Integer(minutes);
p c s .firePropertyChange("minutes"
old_m, new_m);
private int heures, minutes;
private Thread thread;
public Horloge() {
pcs=new PropertyChangeSupport(this);
On voit à quel p o in t ce s y s tè m e est
simple à utiliser : les m é th o d e s pour
Program m ation
d'interfaces
graphiques
sur BeOS
GuiFenetre::GuiFenetre() //constructeur
de la fenêtre
: BWindow(BRect(50,50,394,399)
B_TITLED_WINDOW, B_NOT_RESIZABLE)
{
(1 ee p artie)
Le mois dernier, nous avons vu comment dialoguer entre teams
sur BeOS. Nos programmes s'exécutaient en mode texte
dans une fenêtre de terminal. Nous allons nous moderniser
cet article et les suivants seront consacrés à la création
d'interfaces graphiques.
et exemple constitue une introduc­
tion à la p r o g r a m m a ti o n BeOS.
Certains de ses aspects sont pour le
m o m e n t mis v o lo n ta irem en t de côté ;
nous nous attacherons plus à vous montrer
la philosophie générale sur laquelle repose
ce système.
C
"Une
Interface Graphique Simple",
sont susceptibles d'exister au sein d'une
fenêtre, mais par défaut, chaque BView se
c o m p o rte de façon in d é p e n d a n te : les
polices utilisées et leur taille par exemple
peuvent être différentes pour chaque BView.
Traduisons ce qui vient d'être dit en C++ :
m a i n () {
Notre constructeur GuiFenetre() est bâti à
partir de l'objet BWindow auquel nous trans­
mettons en paramètre sa taille, son titre et
son style. La taille se trouve indiquée par un
objet Brect (qui comme son nom le laisse
supposer, définit un rectangle) ; les chiffres
"50,50" donnent la position en pixels du
coin supérieur gauche de notre fenêtre à par­
tir du point d'origine de notre écran ("0,0"
étant ce point d'origine, tout en haut à
gauche sur notre écran). "394,399" fait de
même avec le coin inférieur droit de notre
fenêtre, toujours selon le même point d'origi­
ne. Le style de la fenêtre se voit formulé par
les paramètres B_TITLED_WINDOW (fenêtre
avec un onglet de titre ; il s'agit du mode le
plus simple) et B_NOT_RESIZABLE (fenêtre
qu'on ne peut pas redimensionner). Nous
avons moyen d'utiliser à loisir d'autres styles
ou comportements (fenêtre exclusive, non
réductible, etc.). Nous serions libres de laisser
ce constructeur vide ; le compilateur ne nous
enverra pas une flopée d'injures, mais le
résultat se révélera peu passionnant (comme
vous le constatez sur la copie écran).
Notre démarche va maintenant consister à
ajouter tous les éléments énoncés plus haut,
en les "attachant" à un élément parent.
Celui-ci sera lui-même attaché à la fenêtre,
l'ascendance ultime. En fait, nous ajoutons
des objets BView. Cette hiérarchie s'appelle la
"hiérarchie des vues".
1
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Explorons m aintenant l'Interface Kit
N otre p r o g r a m m e se m o n tr e des plus
simples : une fen être, c o m p o s é e d 'u n
champ de saisie, d'un bouton et d'une liste
munie d'ascenseurs. Le but consiste à ajou­
ter dans la liste le texte entré dans le champ
de saisie par simple pression sur le bouton.
Ce mois-ci, nous nous bornerons à construi­
re uniquement le squelette de l'application ;
la fonction d'ajout dans la liste sera exami­
née ultérieurement.
Dessiner des fenêtres et interagir avec l'utili­
sateur représentent les possibilités que nous
offre le kit interface dans BeOS. Le premier
objet à utiliser pour notre programme est
l'instance BWindow. Construire un tel objet
ne signifie pas uniq uem ent afficher une
fenêtre à l'écran : le rôle de BWindow consis­
te à se connecter au serveur d'application et
à communiquer avec lui. Vous pouvez créer
plusieurs BWindow. Chacun d'eux aura son
propre thread d'exécution.
Un objet BWindow permet d'afficher une
image, mais pas de la dessiner. Toute mani­
pulation graphique implique la création
d'objets BView. Pour résumer, BW indow
assure la cohérence des éléments d'un e
fenêtre et renseigne l'application au sujet des
événements qui surviennent.
Un objet BView permet de multiples mani­
pulations graphiques (dessiner un trait, affi­
cher une image, du texte ou dessiner un
bouton, etc.). Plusieurs objets de ce type
BApplication app("application/x-
v n d .Kubernan-PourDream_Gui ");
Il
signature de l'appli.
GuiFenetre *unefenetre = new
GuiFenetre();
Il
construction d'une
nouvelle fenetre
unefenetre->Show();
Il
Rend la fenetre
1 ' écran (création d'un thread)
a p p .R u n (); Il démarrage de 1 1appli.
visible a
return 0;
}
BBox *top = new BBox(Bounds()
Rappelons que la création d'une BAppli­
cation est indispensable. Simple­
Une Interface Graphique Simple
m e n t, n o u s c o n s tr u is o n s n o tre
application, déclarons notre fenêtre
(unefenetre) formée à partir de l'ins­
Ajout dans la liftte:
tance "GuiFenetre", lançons le tout
Ajout
(fonction RunQ) et nous sommes les
plus forts.... La fon ction Show()
Liste des ajouts
s'avère très importante ; elle crée
notre fameux thread, place notre
fenêtre dans une boucle d'événe­
ments et déclenche son affichage.
"top1
Construction de la fenêtre
Il ne nous reste plus qu'à construire
notre fenêtre. Celle-ci se composera
des éléments suivants : un champ de
saisie (BTextControl), un b ou ton
(BButton) et une liste (BListView).
Voyons ce que cela donne en ce qui
concerne le cham p de saisie et le
bouton :
h
y> LT .
Le résultat final.
as
B_FOLLOW_ALL, B_WILL_DRAW|B_NAVIGABLE,
cadre_liste-
B_PLAIN_BORDER); // Notre vue
>SetLabel("Liste des
"principale"
ajouts"); // libelle du
AddChild(top); // attachée a la fenetre
cadre
champSaisie = new
rect.OffsetTo(5,15);
BTextControl(BRect(25,27, 314, 32)
//positionnement du cadre
"Champ de Saisie"
rect.right = 293 ;
liste:
""
"Ajout dans la
NULL); // Notre champ de
Une Interface Graphique Simple
A jout d an s la liste:
Ajout
rect.bottom = 221;
saisie
top->AddChild(champSaisie); //
ElementsListe = new
Attachement a la vue "maitresse"
BListView(rect,
BButton *button = new
BButton(BRect(25,47, 314, 57)
"ElementsListe"); //
"Ajout",
Définition objet liste
"Ajout", new BMessage(AJOUT)); // Notre
bouton
BScrollView *scroller = new
top->AddChild(button); // Attachement a
BScrollViewt"ScrollDeListe",
la vue maitresse.
ElementsListe,
B _ F O L L .d w _L E F T | B _F O LL O W _T O P , 0 ,
L'objet top représentera notre vue principa­
le. Elle est créée à partir d'un objet BBox qui
se résume en fait à un délimiteur graphique,
chargé d'homogénéiser les éléments d'une
fenêtre. Cet objet dérive de la classe BView.
Nous retrouvons donc nos petits. La vue
principale a la même taille que la fenêtre
(Bounds() sert à récupérer cette taille).
L'option B_WILL_DRAW indique que la vue
prendra elle-même en charge la mise à jour
de son contenu en cas de recouvrement de
fenêtre par exemple (sans cette option, les
mises à jour ne lui seront pas notifiées).
B_PLAIN_BORDER délimitera le rectangle par
une ligne simple. La fonction AddChild()
connecte cette vue à la fenêtre. Une vue
(BView) sait comment dessiner, mais aucun
rendu ne s'affichera si elle n'est pas attachée
à une fenêtre (BWindow).
C on cern an t notre c h a m p de saisie
(champSaisie) et notre bouton (button),
quelques petites remarques s'avèrent néces­
saires. Les coordonnées qui leur sont trans­
mises ne se calculent plus en fonction de
l'écran, mais de la fenêtre (le point d'origine
"0,0" fait référence au coin supérieur gauche
de la fenêtre). A moins de travailler sur un
système farfelu, les boutons se trouvent
généralement associés à une action ; ici, on
souhaite ajouter des éléments dans notre
liste. Cette action correspond à un événe­
ment BeOS, c'est-à-dire à un message (voir
notre article précédent). Celui-ci s'intitule
AjOUT.
Quid novi pour notre liste ? Créons-la,
justement :
true, true); / / l e
contenant de notre objet
liste
cadre_liste>AddChild(scroller); //
Choque élément ne se trouve plus attaché à la vue principale.
Résultat : c'est du chacun pour soi et c'est plutôt laid.
ajout dans la hiérarchie de
notre "scroller"
Une Interface Graphique Simple
top->AddChild(item_box); //
ajout dans la hiérarchie
}
La liste se voit ornée d'un
c a d r e in titu lé "Liste des
ajouts" C'est plus joli. Sa
taille se trouve indiquée par
l'objet rect. On peut mani­
puler celui-ci afin de redéfi­
nir les coordonnées de l'élé­
ment qui va l'utiliser. Ainsi,
l'o b jet qui définit la liste
(ElementsListe) est "taillé"
un p e u d i f f é r e m m e n t
du c a d r e : la f o n c t i o n
OffsetTo() déplace les coor­
données de rect sans chan­
ger sa taille. Right et bott o m la m o d if ie n t en lui
Avec le con stru cteur C uiFenetre vide (nous obtenons le
donnant de nouvelles coor­
m ême résultat en su p prim an t tous les A d d ch ild ()...) !
données pour le coin infé­
rieur droit.
valeurs booléennes (true) transmises lors
O n a m o y e n d e c o m p a r e r l 'o b j e t
de la création du "scroller" indiquent que
BListView à u n e liste c h a î n é e en
nous souhaitons la présence de barres de
mémoire : BListView est agrém enté de
défilem ent vertical et horizontal. Faire
fonctions perm ettant l'ajout, la suppres­
défiler notre liste ne présentera alors pas
sion, l'énum ération, la recherche et le
la moindre difficulté.
positionnement d'éléments dans la liste.
Notre fenêtre est créée. Peu de lignes de
La particularité de l'objet BListView vient
code ont finalement suffi pour obtenir le
de ce qu'il affiche le contenu de la liste.
résultat rep résenté dans la c a pture de
Toutefois, pour naviguer aisément dans
celle-ci, nous allons inclure la liste dans
l'écran. Il nous reste m aintenant à faire
fonctionner le tout... le mois prochain.
un objet prévu pour : le BScrollView. Il
s'agit d'un container qui hérite automati­
Christophe Morvant
quem ent de la taille de l'objet qu'il recèle
http://perso, easynet. fr/~kubernan/index.html
(soit ici la taille d'ElementsListe). Les deux
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BRect rect(15,105,327,344); //
définition des coordonnées d'un
rectangle
BBox *cadre_liste = new BBox(rect,
"Liste des ajouts"); // création d'un
cadre
B Iit z
Basic
Utiliser les Datatypes
Le Blitz Basic est totalement "OS friendly" La preuve : nous
allons ce mois-ci voir comment utiliser les Datatypes.
allons donc utiliser l'extension MethodBBLib
onsécration de notre première par­
C
d'Erwan Fouret (DoMethodBBLib.lha, free­
tie de l'initiation au Blitz Basic, voici
ware sur Aminet et sur nos récents CDce mois-ci un petit convertisseur
Rom, merci à l'auteur), qui permet égale­
d'image. Le principe se présente com m e
m ent de développer des interfaces sous
suit : on ouvre n'importe quelle image par
Mui. Pour re c o n n a ître le fo rm a t d'un
l'intermédiaire des Datatypes, on l'affiche
fichier, on aura recours à la fo n ctio n
et on peut l'enregistrer au format IFF. Il y a
ObtainDataTypeA_ et pour exploiter l'ima­
plusieurs points-clés dans ce programme.
ge comme un objet Datatype, on la défini­
Le premier consiste à communiquer avec
ra avec la fonction NewDTObjectA_. Le
les Datatypes, ce qui n'était pas spéciale­
deuxième point-clé est la copie des don­
ment prévu à l'origine dans le Blitz. Nous
; P re m ie r co d e p a r E rw an F o u r e t (C )o p y R ig h t
1997 p o u r l a M ethodB B Lib
; N ouveau co d e p a r X a v ie r N u el e t E rw an F o u re t
; (C )o p y R ig h t B a d D o lls P r o d u c tio n 1 7 /0 3 /1 9 9 8
W B S tartu p ; p e rm e t d e l a n c e r l e program m e du
w o rk b en ch
; L i s t e d e s C o n s t a n t e s . ..
u til it y /t a g ite m .h *****
#TAG_USER=(1 LSL 31)
; **** * d a ta ty p e s /d a ta ty p e s c la s s .h *****
#DTA_Dummy
= (#TAG_USER+$1000)
#D T A _L ayoutP roc= (#DTA_Dummy+27)
#DTA_GroupID = ( #DTA_Dummy+31)
#D T A _SourceT ype=( #DTA_Dummy+101)
#DTM__FrameBox =$601
#DTM_PROCLAYOUT=$602
#DTST_FILE
=2
NEWTYPE. d im S tr u c t
W id th _ .l
H e i g h t_ .1
D e p th _ .l
End NEWTYPE
NEWTYPE. F ra m e ln fo
f r i _ P r o p e r t y F l a g s .1 ; / * D is p l a y ln f o
( g r a p h i e s / d i s p l a y i n f o .h ) * /
f r i _ R e s o l u t i o n . P o i n t ; /* D is p l a y ln f o * /
fri_ _ R e d B its .b
f r i _ G r e e n B i t s .b
f r i _ B l u e B i t s .b
NEWTYPE. D ataT y p eH e ad er
*dth_N am e. b
* d th_ B aseN am e. b
* d t h _ P a t t e r n .b
*dth_ M ask .w
d th _ G ro u p ID .1
d th _ I D .1
dth _M ask L en .w
d th _ P a d .w
d th _ F la g s .w
d t h _ P r i o r i t y .w
End NEWTYPE
NEWTYPE. D ataT yp e
d tn _ N o d e l.N o d e
d tn _ N o d e 2 .Node
* d tn _ H e a d e r. D ataT y p eH ead er
d tn _ T o o lL is t.L is t
* d tn _ F u n c tio n N a m e . b
* d t n _ A ttr L i s t .T a g lte m
d tn _ L e n g th .1
End NEWTYPE
#DTF_TYPE_MASK= $ 0 0 OF
#GID_PICTURE=$70696374
#DTMSG_TYPE_OFFSET=2100
; * * * * * “d a t a t y p e s / p i c t u r e c l a s s . h ****
NEWTYPE. B itM ap H ead er
bm h_W idth. w
b m h_ H eig h t.w
b m h _ L e ft.w
bm h_Top.w
b m h _ D ep th .b
b m h_M asking. b
b m h _ C o m p re ssio n .b
bm h_P ad. b
b m h _ T r a n s p a re n t. w
b m h_ X A sp ect.b
b m h_ Y A sp ect.b
bm h_ P ag eW idth . w
b m h _ P a g e H e ig h t.w
End NEWTYPE
# PDTA_Mo deID
= {#DTA_Dummy+200)
# PDTA_Bi tM apH eader = (#DTA_Dummy+201)
= ( #DTA_Dummy+202)
# PDTA_B i tM ap
nées originales en une suite de pixels
décompressés et remis dans le bon ordre
en Fast Ram (chunky). Cela se fera grâce à
la commande DisposeDTObject_. La der­
nière étap e, plus classique, impose la
conversion de cette im age chunky en
quelque chose d'affichable par l'Amiga.
Pour faire fonctionner cet exemple, vous
devrez installer la MethodBBLib et sélection­
ner d a n s le m e n u "Compiler" l'item
"Compiler Options..." (raccourci Amiga
O), afin de marquer "amigalibs.res" dans la
case "Résident blitzlibs".
Benjamin Vernoux
[email protected]
http://www. chez, com/titan/
Remerciements à Erwan Fouret et Xavier NueI
# P D T A _ C o lo rR eg iste rs = (#DTA_Dummy+203)
#PDTA_CRegs
= ( #DTA_Dummy+ 204)
# PDTA_NumColors
= (# DTA_Dummy+209)
# PDTA_Remap
= (# DTA_Dummy+211)
; L i s t d e D e f T y p e ...
DEFTYPE. B itM apH eader *bmhd
* c r e g s , n u m e o lo rs , ModelD
DEFTYPE.1
d tf
DEFTYPE. d tF ram eB ox
fri
DEFTYPE. F ra m e ln fo
gpl
DEFTYPE. g pL ay o u t
* scr
D EFTY PE.Screen
*bm
DEFTYPE.BitM ap
DEFTYPE. Da ta T y p eH ea d er * d th
DEFTYPE. D ataT yp e
* d tn
S c re e n 0 ,0 ,0 ,6 4 0 ,2 5 6 ,4 ,$ 8 0 0 0 ,"Mon E c r a n " ,1,0
;M a x le n = b u ffe r p o u r l e s v a r i a b l e s de ty p e
s t r i n g ( . s ou $)
MaxLen pa$=192
MaxLen fi$ = 1 9 2
; c r é a t i o n du menu
G T M enuT itle 0 , 0 , “F ic h i e r "
G TM enuItem 0 , 0 , 0 , 0 , "C h a rg e r u n e im a g e " ," I"
GTM enuItem 0 , 0 , 0 , 1 , "S a u v e r l'i m a g e en IFF"
GTM enuItem 0 , 0 , 0 , 2 , " S a u v e r 1 1im age en IFF
sous... "
GTM enuItem 0 , 0 , 0 , 3 , " Q u itte r ","Q "
C re a te M e n u S trip 0
Window 1 ,0 ,1 1 ,6 4 0 ,2 4 5 ,$ 8 0 0 ," " ,1 ,2
GTSetM enu 0
A c t iv a te 1
. s ta n d a r d
G T M enuState 0 , 0 , 0 , On
G T M enuState 0 , 0 , l , O f f
G T M enuState 0 , 0 , 2 , 0 f f
.b o u c le
R e p e a t ; r é p è t e l a b o u c le
e v .l= W a itE v e n t ; a t t e n d un év énem ent genre,
a p p u ie d 'u n b o u to n ou a u t r e
I f ev= $100 ; menu a c ti o n n é ?
I f M enuH it=0 ; s i l e menu 0 e s t a c ti v é
S e l e c t Ite m H it ; on r e g a rd e q u e l ID
(num éro) a é t é a c t i v é
C ase 0 :F r e e B itM ap 0 :F r e e P a l e t t e 0:Goto
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
f r i_ D im e n s io n s . d im S tr u c t
* f r i _ S c r e e n .S c r e e n
* fri_ C o lo rM a p . C olorM ap
f ri_ _ F la g s . 1
End NEWTYPE
NEWTYPE. d tF ram eB ox
M e th o d ID .1
* d tf_ G I n f o .G a d g e tIn fo
* d tf _ C o n te n ts I n f o .F r a m e ln f o ; /* I n p u t * /
* d tf_ F r a m e In f o .F ra m e ln fo
; /* O u tp u t * /
d tf _ S iz e F r a m e I n f o .1
d tf _ F r a m e F la g s .1
End NEWTYPE
; * * * * * d a t a t y p e s / d a t a t y p e s . h *****
CHARGE
Case 1 :Goto SauveIFF
Case 2:Goto SauveIFFsous
Posse Press
recrute pour l'ensemble
de ses magazines
Case 3:quitter=l
End Select
Endlf
Endlf
Until quitter=l
Rédacteur technique systèmes - ret dr
;quit
CloseWindow 0
Connaissance du système Unix/Linux.
Forbid_
Connaissances en programmation C, Java, réseaux...
End
Bon contact, maîtrise de l'anglais et bonne plume nécessaires.
.CHARGE
GTMenuState 0,0,1,On
Infographiste PAO - ret pao
GTMenuState 0,0,2,On
Maîtrise des logiciels Xpress, Photoshop, lllustrator.
GTMenuState 0,0,0,On
Bon sens créatif.
Dim attrs.TagItem(15)
La connaissance de la presse informatique ou technique serait un plus.
Dim scrtag.TagItem(15)
.Begin
Chef de pub lunlor - ret pub
; TagList
attrs(l)\ti_Tag = #DTA_SourceType,#DTST_FILE
a t t r s (2)\ti_Tag = #DTA_GroupID,#GID_PICTURE
attrs(3)\ti_Tag = #PDTA_Remap,0
Dynamique, sens du contact et de la négociation commerciale.
Intérêt pour les nouvelles technologies et la micro-informatique.
Maîtrise de l'anglais et de l'outil informatique (Word, Excel).
at t r s (4)\ti_Tag = #TAG_DONE,0
; Ouvre un Requester de fichiers...
Use Window 1
Stagiaires - ret stg
Rédaction, création multimédia ou commercial.
Use Screen 0
name$=ASLFileRequest$("Charger une ima g e . ..",pa$,fi$)
If name$="" Goto standard
Convention de stage indispensable.
Adresser CV et prétentions à :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
If Exists(name$)=0
Err$="Pas de fichier ? !!? *
Gosub ErrHandler
Goto Begin
Pcs&e Press/Recrutement
16, rue de la Fontaine au Roi
75011 Paris
Par fax :
Endlf
oi 43 55 66 68
InnerCls 0
Par e-mail :
rcanonge&poAse-press. eom
WLocate 0,0
Print name$,■:"
NPrint ""
M erci de préciser la référence du poste dans votre correspondance.
NPrint ""
Io c k .l=Lock_(&name$,#ACCESS_READ)
If lock=0
Err$=üImpossible de locker le fichier..."+Chr$(10)
Gosub ErrHandler
Goto Begin
Endlf
*dtn=ObtainDataTypeA__( #DTST_FILE, lock, 0)
If *dtn=0
Err$="Impossible de lire l'entete..."
UnLock_ lock
Gosub ErrHandler
Goto Begin
Endlf
*dth=*dtn\dtn_Header
MaxLen buff$=6
; Affiche les infos sur l'image...
NPrint "Description:
",Peek$(*dth\dth_Name)
NPrint "Nom de base:
*,Peek$(*dth\dth_BaseName)
NPrint
",Peek$(GetDTString_((*dth\dth_Flags &
Type:
#DTF_TY PE_MAS K ) + #DTMSG_TYPE_OFFSET))
NPrint
NPrint "
Groupe: ",Peek$(GetDTString_(*dth\dth_GroupID))
ID: ",Peek$(IDtoStr_(*dth\dth_ID,ibuff$))
; Regarde si le GroupID est
'pict'
GroupID$=Left$(Peek$(&*dth\dth_GroupID),4)
BIit z
Basic
UnLock_ lock
s c r t a g (8)\ti_Tag = #SA_Overscan,2
Goto Begin
If G r o u p I D $ o " p i c t "
Endlf
s c r t a g (9)\ti_Tag = îrSA_AutoScroll, True
Err$= name$+" n'est pas une image
; 2/ Initialize le RastPort et on met les
s c r t a g (10)\ti_Tag= #TAG_DONE,0
ReleaseDataType_ *dtn
BitMaps dedans
ScreenTags
Gosub ErrHandler
InitRastPort_ *TempRast
; 10/ Ouvre un Ecran
Goto Begin
1,scrtitle$,fcscrtag(1)
InitRastPort_ *TempRst2
Suc.l=Window(0,0,0,Wbtm,Hbtm,$1900,"",-1, -1)
Endlf
*bm2=AllocBitMap_(( (Wbtm+15) LSL 4) LSR
If Suc=0
NPrint "
1,1,Dbtm,#BMF_CLEAR,0)
NPrint "Veuillez attendre pendant le
* TempRs 1 2 \L a y e r =0
d " + C h r $ (233)+"codage de l'image..."
*TempRs 12 \__Bi tMap= *bm2
; Créé l'objet DataType
*TempRast\_BitMap=*bm
Free BitMap 0
*obj.b=NewDTObjectA_(&name$,attrs(1))
; 3/ Alloue un Buffer Chunky en Mem Fast
Gosub ErrHandler
If *obj=0
NPrint "... Alloue un Buffer Chunky en Mem Fast"
Err$="Erreur en c r " + C h r $ (233)+"ant le DT
Err$="Pas assez de Mem Chip pour afficher la
copie du BitMap"
Free Screen 1
S i z eFast.l=(( (Wbtm+15) LSL 4) LSR 4)*Hbtm
Goto Begin
Endlf
*FastChunky.l=AllocMem_(SizeFast,#MEMF_FAST|#M
; 11/ Tout est bon, nous pouvons afficher le
Gosub ErrHandler
EMF_CLEAR)
Bitmap
Goto Begin
If *FastChunky=0
BltBitMapRastPort_ Addr
O b j e c t ..."
Err$="Pas assez de Me m Fast pour allouer un
Endlf
B i t M a p (0),0,0,Ras t P o r t (0),0,0,Wbtm,Hbtm,$c0
ShowScreen
buffer Chunky"
dtf\MethodID=#DTM_FrameBox
••
1
dtf \.dtf_ContentsInf o=&f r i ,&f r i ,S i z e O f .Framelnf o
DisposeDTObject_ *obj
ShowPalette 0
DoMethodA *obj,&dtf
FreeMem_ *TempRast,SizeOf.RastPort
MouseWait
gpl\MethodID=#DTM_PROCLAYOUT
FreeMem_ *TempRst2,S i z e O f .RastPort
; 12/ Libère la mem de la fenêtre, du BitMap
g p l \gpl_GInfo=0
Gosub ErrHandler
et de 1'écran
Goto Begin
Free Window 0
gpl\gpl_Initial=l
DoMethodA *obj,&gpl
Endlf
Free Screen 1
GetAttr_ #PDTA_ModeID,*obj,&ModeID
; 4/ Ecrit le buffer Chunky
Use Window 1
GetAttr_ #PDTA_CRegs,*o b j ,&*cregs
NPrint "... Ecrit le buffer Chunky"
Use Screen 0
GetAttr_ #PDTA_NumColors,* o b j ,&numcolors
C o u n t .l=ReadPixelArray8_(*TempRast,0,0,Wbtm-
Activate 1
GetAttr_ #PDTA_BitMapHeader,*obj,&*bmhd
l,Hbtm-l,*FastChunky,*TempRst2)
Goto boucle
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
GetAttr_ #PDTA_BitMap,*obj,&*bm
DisposeDTObject_ *obj
Return
W b t m .w=*bmhd\bmh_Width
; 5/ Ouvre un Bitmap Standard
End
H b t m .w=*bmhd\bmh_Height
NPrint
.ErrHandler
D b t m .b= *bmhd\bmh_Depth
M emNeed.1 = {Wbtm*Hbtm*Dbtm)
NPrint ""
If ChipFree<MemNeed+40000
NPrint
"
NPrint
ModelD: ",ModeID
Largeur du Bitmap: ",Wbtm
"... Ouvre un Bitmap Standard"
NPrint ""
LSR 3
NPrint Err$
NPrint "Clickez sur le bouton droit de la
copie du bitmap"
NPrint
" Hauteur du Bitmap: “ ,Hbtm
FreeMem_ *TempRast,SizeOf.RastPort
NPrint
"
FreeMem_ *TempRst2,S i z e O f .RastPort
Nombre de Bitmap: ",Dbtm
NPrint "Nombre de Couleurs:
",numcolors
NPrint ""
Err$="Pas assez de Me m Chip pour ouvrir la
souris pour continuer..."
MouseWait
Return
FreeMem_ *FastChunky,SizeFast
ReleaseDataType_ *dtn
Gosub ErrHandler
.SauveIFF
NPrint
Goto Begin
If image$<>""
""
; Initialize la Palette et sauve les valeurs
Endlf
SaveBitmap 0,image$,0
RGB de 1'i m a g e ..
BitMap 0,Wbtm,Hbtm,Dbtm
text$="Image sauv"+Chr$(233)+"e en
InitPalette 0,numcolors
; 6/ Met le BitMap RastPort dans ce nouveau
:*'+Chr$ (10) + image$
For i.l=0 To numcolors-1
BitMap
o k=RTEZRequest("Informations
*TempRast\_BitMap=Addr B i t M a p (0)
Else
; 7/ Ecrit le BitMap
text$="Impossible de sauver en
j .l=i*12
j+*cregs
:"+Chr$(10)+image$
r .l=Peek.b(j
MO D 256
NPrint "..
g.l=Peek.b(j+4)
MOD 256
C o u n t .l=WritePixelArray8__(*TempRast,0, 0, Wbtm-
b.l=Peek.b(j+8)
MOD 256
l,Hbtm-l,*FastChunky,*TempRst2)
Endlf
; 8/ Libère la m e m allouée
Goto boucle
AGAPalRGB 0,i,r,g,b
! !",text$,"OK" )
Ecrit le BitMap"
ok=RTEZRequest("Erreur ! !",text$,"OK")
Next
FreeBitMap_ *bm2
.SauveIFFsous
; 1/ Alloue le Rastport
FreeMem_ *TempRast,SizeOf.RastPort
fil$=ASLFileRecuest$("Sauver l ’image IFF
NPrint "... Alloue le RastPort"
FreeMem_ *TempRst2,S i z e O f .RastPort
sou s . ..",pa$,fi$)
*TempRast.RastPort=AllocMem_(SizeOf.RastPort,#
FreeMem_ *FastChunky,SizeFast
If fil$<>""
MEMF_ANY|#MEMF_CLEAR)
; 9/ Ouvre un Ecran pour afficher le BitMap
SaveBitmap 0,fil$,0
*TempRst2.RastPort=AllocMem_(SizeOf.RastPort,#
scrtag(l)\ti_Tag = #SA_Width,^Vbtm
text$="Image sauv"+Chr$(233)+"e en
MEMF_ANY|#MEMF_CLEAR)
scrtag(2)\ti_Tag = #SA_Height,Hbtm
:"+Chr$(10)+fil$
If *TempRast=0 O R *TempRst2=0
scrtag(3)\ti_Tag = #SA_Depth,Dbtm
o k=RTEZRequest("Informations
scrtag(4)\ti_Tag = #SA_DisplayID,ModeID
Endlf
s c r t a g (5)\ti_Tag = #SA_Shov/Title,
Goto boucle
E r r $ = “Pas assez de MEM pour allouer un
RastPort"
False
DisposeDTObject_ *obj
scrtag(6)\ti_Tag = #SA_Quiet, True
;fin
Gosub ErrHandler
s c r t a g (7)\ti_Tag = #SA_Behind,
x
True
! !", text$,“OK" )
Lecteurs
GEM ATARI
"Dans le Dream d'octobre, il y
a ju s te m e n t un article sur
DRI... En revanche, je tiens a
signaler une erreur de l'auteur,
qui écrit que le GEM ne vit
jam ais le jour... ce qui est
inexact. En effet, il vit le jour
sur PC, ne m a rc h e pas,
certes... mais il revit le jour sur
Atari ! ! !"
Laurent (fr.comp.sys.atari)
R.
la critique est justifiée : la
formulation de la phrase peut
laisser pen ser que le G EM n'a
ja m a is été d isp o n ib le . N o u s
étant volontairement limités à
quelques lignes sur le GEM , il
convenait de faire com prendre
plusieurs reprises à des construc­
l'a u tre (e t p lu sie u rs p e u v e n t
teurs ou à des éditeurs de logi­
coexister pour un même serveur,
des variables d'environnement,
ciels so u h a ita n t une interface
p e rm e tta n t a in si l'a ccè s aux
puis à exécuter le script en lisant
graphique. Signalons enfin que
scripts par diverses URL ou le stoc­
sur la sortie standard de celui-ci,
le G EM pour Atari a échappé au
kage dans différents répertoires).
pour envoyer le tout sur le navi­
comme ci-dessus des valeurs à
lifting ergo no m iq ue d em an dé
A l'inverse, les chemins "/cgi-bin/"
gateur du client.
par Apple, la firme de Cupertino
et "/hom e/httpd/cgi-bin" diffè­
Réponse identique pour la ques­
te n a n t p r o b a b le m e n t l'A ta ri
rent d'une directive ScriptAlias à
tion suivante.
pour quantité négligeable.
l'autre.
Il e st p a r a illeu rs difficile de
SCRIPT CGI
J'ai essayé de co d e r en Perl
votre exemple de Dream 56, et
lors de l'exécution de la requê­
te, j'ai droit à une fenêtre Save
AS de mon script CGI ! ! !
Ai-je o ub lié d e c o n fig u re r
quelque chose sous Apache 1.3 ?
C o m m e n t faire e x é c u te r un
script CCI sur ma machine ?
Pourriez-vous expliquer plus en
détails la mise en place de
scripts CGI, et comment tracer
ce que fait le serveur lors de
l'appel ? Ainsi qu'énoncer plus
clairement le mécanisme d'ap­
pel du script et de renvoi de
code Html au browser ?
Quel livre me proposeriez-vous
p o u r m e ttre en p ra tiq u e la
p r o g r a m m a ti o n de se rv e u r
Html d ynam ique en Perl (et
Java) ?
Jean Szabo
Le premier est celui que doit saisir
conseiller un livre en particulier,
Tinternaute dans son navigateur
parce que Ton peut décomposer
ou que vous insérez comme un
le p ro b lè m e en p lu sieu rs d o ­
lien dans vos pages Html, comme
maines distincts, qui possèdent
dans : http://host.dom ain.top_
chacun leurs ouvrages respectifs.
level_domain/cgi-bin/nom_du_script
Il n'y a pas, à proprement parler,
Le nom cgi-bin n'est pas réservé ;
de langage spécifique à la pro­
il s'agit seulement d'une conven­
gram m ation p o u r les a pplica­
tion très prisée. Le deuxième che­
tions Web ; m êm e ja v a , bien
min correspond au répertoire situé
q u e so n im p lica tio n d a n s ce
sur le disque qui accueillera les
domaine soit très forte, ne rentre
scripts (d on t " n o m _d u _scrip t"
pas dans cette définition.
dans l'exemple ci-dessus). Il faut
En fait, il y a u ra it au m ieu x
bien faire attention à rendre ces
javaScript, qui est tout sauf un
derniers exécutables. Si ces points
langage. Toutefois, la program­
sont respectés, vous devriez pou­
mation Web constitue un non-
voir utiliser des scripts CGI.
sens en matière de programma­
La trace d'un appel de script CGI
tion de CD-Rom.
par le serveur peut s'effectuer de
En fait, vous pouvez em ployez
nom breuses façons. Un moyen
n'importe quel langage, y com ­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
simplement la problématique de
la situation : DRI n'a pu rien
faire du GEM et a dû renoncer à
sys­
tème sous la pression d'Apple.
tous ses projets autour de ce
Pour entrer dans les détails, le
GEM a été présenté en novem­
sim ple d'y p arven ir est d'avoir
pris ceux qui ont fait leur appari­
recours à l'affichage de toutes les
tion avant le tout premier réseau
variables d'environnement trans­
lo ca l. M ê m e le C O B O L ou le
mises par le serveur au script, tout
FORTRAN pourraient perm ettre
en faisant en sorte que celui-ci
de faire des sites dynamiques.
renvoie sous forme de résultat
La première chose est de possé­
Html les valeurs en question. Un
der un livre générique sur le lan­
g a g e u tilisé, d isso c ié de son
bre 1983 au Comdex, avant sa
R. : Tout porte à croire qu'effecti­
exemple, qui s'appelle "test-cgi",
commercialisation au printemps
vement, votre serveur n'est pas
se trouve généralement fourni en
usage dans le cadre d'une appli­
1 9 8 4 . R a p id e m e n t, A p p le a
configuré p our gérer les scripts
standard. On peut, sans difficul­
cation Web, et un autre ouvra­
ge, consacré cette fois au Html.
poursuivi DRI en ju stice p o u r
CGI, ou que vous ne savez pas
dans quel répertoire placer
vos
tés, l'améliorer légèrement (le plus
contrefaçon et lui a demandé de
facile étant de le faire en Perl)
La liaison entre les deux, que
limiter dans plusieurs domaines
scripts, ou encore que vous ne
p o u r qu'il a ffich e to u te s les
représente le protocole CGI, est
les similitudes entre sa propre
donnez pas la bonne URL pour
variables du tableau ENV sans
tellement simple qu'elle se maî­
interface graphique et le GEM :
les solliciter, si le démon Apache
exception.
trise en tro is m in u te s. À la
celui-ci ne devait pas permettre
est toutefois configuré p our les
Une seconde méthode consiste à
rigueur, le livre Programmation
d'ouvrir plus de deux fenêtres à
accepter.
débugger les scripts en les appe­
De Clients Web En Perl, ch e z
l’écran, le redim ensionnem ent
Vérifiez que vous avez une ligne
lant directem ent depuis le shell
O'REILLY, constituerait un bon
ou le déplacement des fenêtres
"active" (qui ne soit pas en com­
sans passer par le serveur. Et s'il
choix pour avoir des détails sur
d e v e n a ie n t o b lig a to ire m e n t
mentaire) du genre :
est besoin de simuler leur compor­
les échanges entre serveur, client
impossibles et la poubelle était
ScriptAlias /cgi-bin./
tement en fonction des variables
et scripts.
p ro sc rite ! DRI n 'eu t d 'a u tre
/home/httpd/cgi-bin
d'environnement, il s ’avère sim-
Par ailleurs, nous ne serions pas
choix que d'accepter ces restric­
dans le fichier srm.conf (dans le
plissime de les définir avant leur
objectifs, ca r nous p rôn o n s le
tions qui ont bien entendu assez
dossier /etc/httpd/conf si vous
appel, com m e p a r exem ple (la
traitement du côté du serveur et
rapidem ent disqualifié le G EM
u tilise z la ve rsio n p a c k a g é e
syntaxe pouvant varier un peu
non du côté du client, à cause
dans la course au succès com ­
d'Apache de la distribution Red
d'un shell à l'autre) :
d e la ta ille d e s e x é c u ta b le s
m ercia l. D e v a n t ta n t d 'e m ­
Hat 5.X) et éventuellement direc­
QUERY_STRING=’operandel=valeurl&
envoyés, OU de la monstruosité
bûches, Kildall n'a jamais poussé
tement dans le fichier httpd.conf,
operande2=valeur2' ; export
de ja vascrip t, O U des lacunes
(ta n t c o m m e rc ia le m e n t q ue
si jam ais celui-ci contient une
QUERY_STRING
de Java p a r rapport à tout autre
techniquement) le GEM, si bien
directive du type :
Pour ce qui concerne le serveur,
la n ga ge utilisable du côté du
que celui-ci a été rapidem ent
ResourceConfig /dev/null
il faut savoir que son action est
serveur, OU de l'absence de l'un
retiré de la vente au public. Sa
Seul le m ot-clef ScriptAlias est
très limitée. Elle consiste
ou
licence a cependant été cédée à
identique d ’une configuration à
principalement à attribuer
ja v a sc rip t) du cô té du client,
de
l'a u tr e
(JAVA
et
I
W
I
I II
débattre. Tél. : à 8 h 00 au 01 30 90
Désormais, il est possible d ’écrire
à Dream par E-mail !
N ’hésitez donc pas à envoyer toutes
vos missives à l’adresse
[email protected].
Nos experts se feront un plaisir
de répondre à toutes vos questions !
Dream est édité par Posse Press
SARI au capital de 250 000 francs
98 02.
Associés principaux : Romain Canonge,
Christine Robert
Vds imprimante Samsong 250 francs
W ordthg 250 f am inet 14a 25s au
f20 + 5 CD 250 francs. Tél. : 03 27
47 05 19.
Représentant légal : Romain Canonge
16, rue de la Fontaine au Roi
75011 Paris
Tél. : 01 53 36 84 10
Fax : 01 43 55 66 68
Web : www.posse-press.com/dream
E-mall : dreamiSposse-press.com
Rédaction
Vds flOO 40 Mo ram DD 85uMmo,
CD4x, m ystique 4 M o, écran 15"
s b l6 + enceintes 120w modem 33,6
+ nbrx jeux et logiciels. Tél. : 04 76
901811.
Directrice des Rédactions
Christine Robert (84 24)
crobertiSposse-press.com
Directeur adjoint des rédactions
Yann Serra (84 15)
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Rédacteur en chef
Frédéric Dubuy (84 13)
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Secrétaire de rédaction
OU de l'incompatibilité de ver­
VENTES
Bernard Medioni (84 14)
sion de l ’un ou de l'autre du
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Maupéou, David Feugey, Guillaume Girard, Christophe
Le Cannelier, Christophe Morvant, Vincent Oneto,
Frédéric PeschansJci, Yann Serra, Benjamin Vemoux,
Illustrateur : Christophe Bardon
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Tél. : 02 31 62 67 27 (le week-end,
aux "trucs" mentionnés ci-des­
Belfort
demander Emmanuel).
Directeur des projets multimédia
Frédéric Botton (84 12)
[email protected]
Création
Directeur artistique
Pierre-Yves Roudy (84 28}
[email protected]
Premier rédacteur graphiste
Hervé Teiüier (84 27)
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Ont également collaboré : Yannick Cadin, Godefroy de
Jakub Zimmermann.
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Collaborateurs permanents de la rédaction :
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Rédactrices graphistes
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Dépôt légal : à parution
Commission paritaire : 75364
ISSN: 1259-1165
Directeur de Publication
42 06 43 59. Répondeur.
Romain Canonge (84 25)
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1200 à base de 68040 ou 68060.
Ce numéro de Dream est accompagné d'un CD-Rom
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tion ou toute reproduction intégrale ou partielle du
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