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Le fait de livrer l’outil aux bailleurs lors de l’enquête
EPLS permet de leur offrir un retour pour l’effort
fourni et de leur montrer l’utilisation qui peut être
faite de cette enquête.
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La structuration de la base et la phase de recueil de
données et saisie à partir de la BDOrtho®, a été
faite à partir de 2002 sur une durée de 6 mois.
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♦
♦
L’allotissement dans le cadre des marchés de
maintenance du patrimoine
Des indicateurs statistiques sur la vacance et son
évolution actualisés en temps réel
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La mise à jour de la base de données géographiques
comprenant le recueil de données, la saisie, l'actualisation de la base, l'édition du CD et des cartes prend
environ 2 mois chaque année.
Une amélioration de la précision de la position
des bâtiments
Des moyennes statistiques sur l’ensemble des
bailleurs sociaux
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Localiser le
logement
social
fiche n°3
Octobre
2004
iÛÉñé¨êáÉåÅÉ=ÇÉ=ä~=aob=e~ìíÉJ
kçêã~åÇáÉ
La DRE Haute-Normandie et les DDE de l'Eure et de la Seine-Maritime disposaient depuis plusieurs années d'atlas papier du parc HLM, réalisés à partir de l'Enquête sur le
Parc Locatif Social (EPLS). En 1999, la DRE a souhaité gérer le logement social en s'appuyant sur un SIG, d'abord dans les Zones Urbaines Sensibles (ZUS) puis dans l'ensemble des communes des agglomérations de plus de 10 000 habitants. Une mission d’assistance a été confiée au CETE Normandie-Centre pour la réalisation de ce SIG.
La DRE disposait d’atlas papier jusqu'en 1998. Ces
atlas représentaient les bâtiments sur des fonds de
carte IGN au 1/25 000è. Le contour des bâtiments
était levé, avec, à l'intérieur l'identifiant de l'EPLS. Il
n'y avait pas d'indicateurs représentés. Les atlas ont
été réalisés avec l'enquête de 1993. Depuis, il n'y
avait jamais eu de mise à jour et l'identifiant EPLS
ayant changé, les atlas étaient devenus obsolètes.
L’outil livré par la DRE permet :
♦
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Jusqu’à présent, l’OPAC avait réalisé le géocodage
automatique à l’adresse de son patrimoine à partir de
ses bases de données internes et de GéoRoute.
♦
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La mise sous Système d'Information Géographique
(SIG) permet de faire évoluer certaines techniques
de travail et de rendre
dynamique des documents statiques. Depuis
1999, la DRE s'est engagée avec le CETE Normandie-Centre dans la
réalisation d’un SIG du
parc HLM de Haute Normandie, dans ses données structurelles et conjoncturelles, avec 4 objectifs principaux :
Ainsi 2 outils ont été développés : un applicatif SIG
complet et un outil de consultation. L'applicatif SIG
est destinée à la DRE et aux DDE. L'outil de
consultation est réalisé à l'attention des organismes
HLM, des communes, des préfectures.
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Comme pour les fiches 1(DREIF) et 2 (DDE 31), la
source exploitée est l'Enquête Parc Locatif Social
(EPLS).
Cette enquête a pour objectif de décrire le plus précisément possible le parc des logements gérés par les
bailleurs, en particulier son origine
mais aussi la façon dont il évolue au
cours du temps.
’’L’objectif initial était
de mieux exploiter
l’EPLS’’
♦
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Coordinateur Fiche CERTU:
Département Urbanisme
Magali Di Salvo
[email protected]
♦
Contact au CETE Normandie-Centre
Pierre Vigné
[email protected]
Contact à la DRE Haute-Normandie
Erwan Pouliquen
[email protected]
♦
♦
mieux exploiter l’enquête PLS : faciliter son
utilisation, permettre son exploitation à diverses
échelles, faciliter sa gestion et optimiser les
procédures de mises à jour.
diffuser un outil de consultation du Parc Locatif
Social auprès des organismes et des communes
concernés,
réaliser la fusion de 3 documents papier : les
atlas du PLS, l'atlas des ZUS et le tableau de
bord des quartiers.
obtenir des statistiques infra-communales pour
éclairer les politiques du logement et de la ville
par quartier ou IRIS, par ZUS.
Cette enquête est livrée sous la forme
d'un tableau Excel. Chaque ligne est
repérable de façon unique par la
concaténation de deux champs : le
code INSEE de la commune concernée et un identifiant par bâtiment et programme appelé Numerous.
Ce champ est un index. Il est remis à 0 dès que la
commune change. C'est pour cette raison qu'il est
indispensable de réunir le code communal et cet
index afin d’identifier de manière unique chaque
bâtiment.
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En 1999, le référentiel retenu pour localiser le logement social est le Scan25® de l'IGN. Mais celui-ci
s'est assez avéré insuffisamment précis.
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Un des objectifs du SIG est de pouvoir situer précisément les programmes dans leur environnement.
Donc il est nécessaire d’utiliser un référentiel à plus
grande échelle que le SCAN25®. Ainsi la DRE a
choisit d'utiliser la BDOrtho®de l'IGN.
Un des intérêts des photographies
aériennes (BDOrtho®) est de refléter la réalité terrain, et non pas une
représentation comme la BD Topo®
(base de données topographique). En
effet pour des néophytes il est plus
simple de se repérer sur une photographie aérienne que sur un plan. Depuis 2000 la
BDOrtho® est disponible sur la Seine Maritime.
’’Les bâtiments sont
localisés sur des orthophotographies
La base contours...îlots® de l'INSEE a également
été utilisée afin de réaliser des analyses à l'îlot, au
quartier ou à la commune puisqu’il s'agit de réaliser
une application à diverses échelles.
ib=jlabib=ab=alkkbbp=
Chaque programme de EPLS est localisé par un polygone qui représente le contour du bâtiment. Deux
cas particuliers se présentent :
♦
♦
Si on constate plusieurs programmes sur un seul
bâtiment, celui-ci est alors découpé en autant de
polygones qu'il y a de programmes
Les zones pavillonnaires sont représentées par
un polygone les englobant
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Les champs d'adresse ne sont pas normalisés. Les
bailleurs les saisissent manuellement avec parfois des
erreurs. Certains bailleurs remplissent EPLS par appartement, ce qui conduit à la création d'une multitude de lignes dans l'enquête qui doivent être agrégées ensuite pour ne former qu'un bâtiment ou
qu’un programme.
Le champ "nombre de résidences principales" à l'îlot du
RP99 contient des erreurs assez sensibles. On a pu
constater que des résidences principales étaient présentes dans un îlot situé dans une zone de triage
SNCF ou encore dans un îlot ne contenant qu'un
cimetière…
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Des visites de terrain sont ensuite programmées
pour compléter ce recueil de données et pour vérifier le repérage. Pour certaines mairies, une consultation du cadastre numérisé est nécessaire.
A l'issue de ces 2 phases, seuls 2 % des bâtiments
d'EPLS ne sont pas localisés.
Au fur et à mesure de la réception des courriers, une
digitalisation des bâtiments est opérée sous ArcView
à partir de la BDOrtho®. Dans la table attributaire
l'identifiant qui correspond à la concaténation du
numéro INSEE de la commune et du Numerous de
l’EPLS est saisi.
Un CDRom est réalisé à destination des bailleurs et
des communes. Il s'agit d'une extraction du SIG. Les
logiciels utilisés sont Acrobat Reader et Arc Explorer. Ces deux logiciels présentent l'avantage d'être
gratuits et de pouvoir être installés sur toute machine. ArcExplorer est un "Viewer SIG". Simple à
utiliser, il dispose de quelques fonctionnalités de
requêtes. Il présente l'avantage de permettre à l'utilisateur de modifier les cartes ou d'en créer de nouvelles. Les indicateurs sont présentés sous forme de
tableaux et sous forme cartographique à l'échelle de
la commune, de l'îlot et du bâtiment. Pour cette dernière, la BD Ortho® est utilisée comme fond. Une
autorisation préalable à due être demandée à l’IGN
sous forme de licence de représentation électronique. La diffusion du CDRom est gratuite.
♦
disposer d'indicateur mis à jour chaque année
♦
disposer d'outils de recherche (cet immeuble estil situé dans une ZUS ?)
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Un des objectifs de la DRE est de disposer d'un outil de gestion et d'analyse opérationnel et utilisable
facilement. Une application sous Access a donc été
développée. Elle permet :
♦
♦
♦
♦
♦
de mettre à jour EPLS automatiquement à
condition que le champ Numerous ne change pas
de calculer des indicateurs conjoncturels :
• taux de logements locatifs sociaux par
rapport au nombre de résidences
principales, mobilité, vacance de plus de 3
mois , loyer moyen corrigé,
de calculer des indicateurs structurels :
• nombre total de logements, nombre de
logements de plus de 15 ans, part des
logements individuels, âge du parc par
tranche d'âge, répartition du parc par
organisme, catégories d'organisme,
de rechercher des informations
d'éditer des états récapitulatifs.
Les indicateurs ont été calculé à différentes échelles :
♦
♦
♦
♦
Bâtiment
Quartier IRIS (source : base îlots de l’INSEE)
ZUS (source : décrets de la DIV 2001)
Commune (source : BD Carto)
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S.I.G.
PLS
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♦
♦
Une mise à jour a déjà été effectuée puisque la base
a été structurée avec l'enquête au 1/01/2001 et
qu'entre temps l'enquête au 1/01/2002 a été validée.
La mise à jour sur la Seine Maritime avec l'enquête
au 1/01/2003 est en cours ainsi
que la saisie dans l'Eure.
disposer d'outils de communication dynamiques
(CD) mais aussi statiques (atlas cartographique)
gérer de façon optimale l'EPLS
rå=ÉñÉãéäÉ=ÇÛìíáäáë~íáçå=¶=äÛlm^`=ÇÉ=pÉáåÉJj~êáíáãÉ=
L’OPAC 76 gère 26 000 logements répartis sur 179
communes. Il dispose d’un siège à Rouen et d’une
agence au havre. 100 bureaux de correspondants
sont répartis sur les immeubles de l’OPAC.
’’Le SIG est utilisé en
interne mais aussi chez
certains bailleurs’’
bå=áåíÉêåÉ=aobLaab=
♦
La mise en relation d'Access et d'ArcView permet
de réaliser la cartographie et l’analyse des indicateurs.
Publication au
format PDF
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Partie gestionnaire
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Seules les agglomérations
de plus de 10 000 habitants
sont traitées. Un recueil de
données est lancé auprès
des services techniques des
communes concernées.
Chaque commune reçoit un extrait d'EPLS et un ou
plusieurs fonds de plan issus de l'orthophotographie. Le taux de réponse est très bon et très fiable.
Le taux de localisation est de 75%
situer les programmes du parc HLM dans leur
environnement en croisant avec d'autres
données
Le SIG est un outil qui permet de découvrir facilement
le patrimoine (localisation,
adresses et photos).
Il peut aussi permettre de
mettre en valeur le projet décisionnel de l’OPAC en
simplifiant l’accès aux indicateurs statistiques. Un
projet pilote sur la vacance des logements a été réalisé.
L’OPAC a ainsi développé un outil de consultation
sur Intranet, à partir d’ArcIMS. L’outil intuitif dans
un simple navigateur Internet permet :
Utilisateurs
♦
Diffusion CD à 150
exemplaires
♦
Consultation
géographique
La navigation dans la carte : Zoom,
déplacement, changement d’échelle
La recherche à partir d’une commune, du nom
d’un bâtiment ou de sa référence dans le système
d’information de l’OPAC
L’outil permet des gains de productivité avec par
exemple :
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2 cáÅÜÉ=åø=PÓ=çÅíçÄêÉ=OMMQ====`boqr============
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