WHITE TERROR

Transcription

WHITE TERROR
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]
WHITE TERROR
DOSSIER DE PRESSE
Zentralstrasse 156, CH-8003 Zürich
Telefon: + 41 1 456 30 20
Telefax: + 41 1 456 30 25
E-Mail: [email protected]
Internet: www.dschointventschr.ch
CONTENU
Synopsis
Notes du Réalisateur
SOS contre rassisme
Credits
Daniel Schweizer (Mise en scène)
Piotr Jaxa (Image)
Kathrin Plüss (Montage)
Dschoint Ventschr Filmproduktion
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w w w. d s c h o i n t v e n t s c h r. c h
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[
SYNOPSIS
]
C’est une vidéo néo-nazie provenant de Scandinavie qui constitue le point de départ
d’une investigation sur les réseaux extrémistes en Europe, en Amérique du Nord et
en Russie qui propagent un message de haine, de guerre et de ségrégation.
Au cours de ces cinq dernières années, le milieu de l’extrême droite radicale a connu des passages de témoin significatifs: les vétérans ont quitté la scène,
décédés ou trop vieux. De nouveaux idéologues apparaissent partout en Europe, en
Amérique du Nord et en Russie. Ils n’ont pas forcément le crâne rasé. Ils ont créé
des entreprises, des sociétés de distribution, des clubs de musique, des magazines,
des éditions, des sites internet et ils ont remplacé les vieux symboles par de nouveaux. Avec la mondialisation qui avance à grand pas et en estompant les lignes de
démarcation, les marchands de haine ravivent les feux du passé en soufflant sur leurs
braises.
A cette époque de nouvelles technologies, les Etats-Unis et la Suède
ont été profondément choqués de découvrir que leur jeunesse incitait à la violence
raciale qui, depuis lors, a contaminé tout le monde occidental de même que la
Russie et ses pays voisins. La propagande raciste, diffusée par le web et un nombre
croissant de livres, de pamphlets, de magazines, de CD, de cassettes audio et vidéo
racistes trouvent une audience qui ne cesse d’augmenter.
Dans ce contexte, l’idéologie néo-nazie semble avoir conquis de nouveaux
terrains et trouvé un sol fertile pour sa propagande. Ses représentants les plus jeunes conçoivent le passé comme de l’histoire virtuelle où le réel ne se distingue pas
de son imitation; leur vision de l’avenir est sombre et menaçante. Près de soixante
ans après la Deuxième Guerre mondiale, les Etats-Unis sont devenus le haut-lieu du
nazisme dominant.
White Terror est la dernière partie d’une trilogie sur les skinheads, la
haine et le racisme. Plus de deux ans d’enquêtes sur les groupes extrémistes les plus
actifs ont permis de dévoiler les liens internationaux entre eux, de Stockholm à Dallas, en passant par Moscou.
Daniel Schweizer, réalisateur du documentaire applaudi Skinhead Attitude, s’intéresse aux forces qui se cachent derrière les slogans de «White Power» et de
«New Racists».
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[
N O T E S D U R E A L I S AT E U R
]
Il y a huit ans, j’ai découvert pour la première fois ces univers racistes et néo-nazis
lors de la réalisation du documentaire sur les skinheads Skin or Die puis lors du
tournage du long métrage Skinhead Attitude. Après plus de six ans d’enquêtes sur
les milieux musicaux underground skinheads et punks, il est apparu que les réseaux
néo-nazis se sont restructurés ces dernières années et qu’ils cherchent maintenant à
toucher les jeunes en créant un axe Europe-USA-Russie.
En découvrant des documents vidéos qui faisaient le lien entre les skinheads d’extrême droite avec des idéologues néo-nazis et des suprématistes religieux
blancs, j’avais les preuves de ces nouvelles orientations internationales du White
Power. C’est ainsi qu’est né ce projet de terminer une trilogie sur les skinheads, la
haine et le racisme avec ce film White Terror.
Les différents témoignages, propos et documents que nous avons recueillis démontrent comment se construit aujourd’hui une fascination de la destruction,
dans un identique rejet des autres races et de la démocratie. Le plus inquiétant étant
cette Russie de Poutine où les extrémistes néo-nazis ne se sentent pas marginalisés,
ils ont des liens directs avec des groupes américains et même des représentants
importants du Front National Français viennent leur apporter leur soutien. Ces images de ce lien raciste franco-russe sont inédites comme de nombreuses archives de
ce film.
Le documentaire White Terror contribue à donner un nouveau visage
à «la bête immonde» comme la surnommait Bertolt Brecht, cette bête qui plus de
soixante ans après la fin de la deuxième guerre mondiale relève la tête et nourrit une
nouvelle génération.
C’est en raison de la relation particulière que j’avais réussi à créer avec la
scène skinhead internationale, étant considéré bien malgré moi comme un spécialiste
ou un ethnologue de cette culture, que ce film a pu être possible.
Ce tournage a été difficile et éprouvant pour toute l’équipe mais pour
nous tous, faire ce film était une nécessité, c’était faire un film citoyen. Avec nos
coproducteurs nous étions tous d’accord que nous devions faire ce film qui part
d’Interlaken en Suisse et qui se termine à Moscou afin de permettre une prise de
conscience plus large sur cette réalité inquiétante. La place des cinéastes est d’être
présent là où souvent on n’ose plus l’être... White Terror est une manière de boucler
une boucle, ce dernier documentaire est donc pour moi celui qui va le plus loin et
qui clos une trilogie sur la haine et le racisme.
Aujourd’hui, je souhaite me consacrer à d’autres projets de films documentaires concernant l’état de la terre et des forêts primaires. Mon prochain film
m’entraînera dans la jungle de Guyane, un bout du territoire européen en Amazonie
afin de raconter un conte et dénoncer un scandale écologique et humain qui menace
les indiens Wayana. Un autre film engagé sous d’autre latitudes afin de parler toujours de notre monde, de ces zones d’ombre que notre société en général ne veut
pas voir.
3
[
SOS CONTRE RASSISME
]
Le néo-racisme se développe. Il est temps d’ouvrir les yeux
ACOR SOS Racisme s’est associée au réalisateur Daniel Schweizer dès les premiers
pas de son exceptionnel travail documentaire. Ses films donnent à voir et à comprendre les nouvelles formes du racisme; leur impact auprès de milieux - certes
minoritaires - mais dont le nombre des adhérents, et plus encore l’influence, croît
régulièrement.
En 1998, Skin or Die dévoile la propagande en musique, cette technique
d’une mouvance « skinhead » explicitement néonazie pour recruter de jeunes travailleurs – et aussi en Suisse romande. Avec Skinhead Attitude, en 2003, nous plongerons tout à la fois au cœur des racines de la subculture skinhead d’origine jamaïcaine et à la captation de cette rébellion de la jeunesse par les nouvelles formations
racistes et nationalistes qui émergent de la crise des les années 1970. White Terror,
présenté en avant-première au festival de Locarno en août 2005, termine ce cycle en
attirant l’attention sur l’ampleur internationale qu’atteint aujourd’hui ce mouvement
de l’Allemagne, à la Scandinavie, aux Etats-Unis et, significativement, et de façon
considérable, dans la Russie de Poutine. Mais aussi en Suisse: des émules des «hammerskins» des années 1990 ne viennent-ils pas d’être jugés pour avoir liquidé un des
leurs à Interlaken ?
La Communauté internationale s’est reconstruite en 1945 sur la condamnation sans équivoque du racisme nazi. La dénonciation de la Shoah et le «devoir
de mémoire» ont marqué les vingt dernières années. La Suisse s’est ainsi dotée de
dispositions pénales clairement destinées à combattre le négationnisme. Ce corps de
valeurs semble constituer un socle solide.
Et pourtant, des mouvements identitaires se développent sur le communautarisme et le droit à la différence. Ils proclament avec le raciste étasunien David
Lane que la «lutte pour la défense de la race blanche et pour assurer un avenir à nos
enfants» est à l’ordre du jour.
Daniel Schweizer nous montre des jeunes gens et de banals citoyens qui
adhèrent à des thèses racistes apocalyptiques: pour empêcher la disparition de la
race blanche une guerre raciale serait inévitable. Il révèle également que ces derniers
subissent l’influence de groupes fortement organisés fortement hiérarchisés.
Daniel Schweizer donne à voir un phénomène dont les acteurs évoluent
au cours des années qu’a duré ce long tournage qui leur a été consacré. Leur message s’affine, leur mouvement prend de l’ampleur, s’étend. Il ne suscite que peu de
résistance.
Mais surtout, et pour ACOR SOS Racisme cette démarche est essentielle, cette œuvre invite à comprendre, à s’interroger. Pourquoi l’opinion, les pouvoirs
publics peinent-ils à percevoir ce phénomène?
Ce travail doit absolument être vu à la lumière de l’actualité effrayante qui
nous heurte cet été.
Le terrorisme qui frappe Londres, Charm el Cheikh, Ankara ne diffère
pas de l’idéologie que professent les terroristes du White power. La «leaderless rési-
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stance» que préconisent leurs leaders suppose des cellules indépendantes, liées par
des réseaux ou internet joue un rôle important, des structures clandestines bien sûr
et une idéologie qui semble s’enraciner sans trop de difficultés dans notre étrange
actualité.
Le travail de Daniel Schweizer constitue un formidable outil à l’appui
d’actions d’information et de programmes pédagogiques pour informer de la nécessité absolue de lutter contre toutes les formes du racisme, du nationalisme, de
l’intégrisme religieux, mais également pour la défense des valeurs démocratiques
fondamentales. La reconnaissance des droits imprescriptibles qui s’attachent à la
personne humaine. Le respect de l’égalité de tous et toutes. Nous n’appartenons qu’à
nous même et tous nous appartenons à la seule espèce humaine.
Karl Grunberg, Secrétaire général d’ACOR SOS Racisme
1 «A propos du phénomène des skinheads et du racisme en Suisse», Karl Grunberg
et Monique Eckmann, Editions IES; collection: les cours de l‘ies. 150p. 1999.
2 ACOR SOS Racisme a élaboré du matériel pédagogique à l’attention des reponsables de l’enseignement et de l’éducation pour accompagner des projections de
Skinhead Attitude.
3 «Contre la N», un DVD réalisé par des étudiants de la Haute école en arts appliqués de Genève (HEAA), pour accompagner la distribution de White Terror sera
disponible dès cet automne.
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CREW
Titre
Durée
Version originale
White Terror
90 Minuten
Französisch/Deutsch/Englisch/Russisch
Scénario & Mise en scène
Daniel Schweizer
Producteurs
Samir
Matthieu Belghiti
Co-producteurs
Annette Pisacane
Kaarle Aho
Daniel Schweizer
Rédaction
Image
Montage
Son
Musique
Mixage
Directeurs de production
Assistante réalisateur
]
Irène Challand (TSR)
Paul Riniker (SF DRS)
Tiziana Mona (SRG SSR idée suisse)
Alberto Chollet (SRG SSR idée suisse)
Annie Bataillard (ARTE GEIE)
Jaques Laurent (ARTE GEIE)
Peter Gottschalk (ARTE GEIE)
Erkki Astala (YLE Co-productions)
Piotr Jaxa
Johannes Imdahl
Kathrin Plüss
Luc Yersin
Tapani Rinne
Christophe Couget - Moreno
Claudia Eichholzer
Christine Wiederkehr
Ole Landsjöaasen
Chantal Streijffert-Garon
Une production de Dschoint Ventschr
Co-production exécutive:
Co-production délégué:
Avec l‘aide amicale de:
Distribution Suisse:
Little Bear Production
Cameo Film
Making Movies
Horizon Films
TSR; SF DRS; SRG SSR idée suisse;
ARTE GEIE; YLE Co-Productions
BAK, Zürcher Filmstiftung, Succès passage antenne, Fonds REGIO,
Programm MEDIA, CNC, Procirep,
Filmstiftung NRW, The Finnish Film
Foundation, Regio Distrib
Look Now! Filmverleih
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[
DANIEL SCHWEIZER
]
Daniel Schweizer est né le 24 mars 1959 à Genève. Après des études au Collège
Voltaire en section artistique, il poursuit ses études à l‘École supérieure d‘Art Visuel
de Genève. Durant cette période, il participe à des différents stages et collabore à
l‘image et au son sur des films documentaires et de fiction en Suisse Romande.
En 1982, il poursuit sa formation à l‘École supérieure d‘Études cinématographique de Paris (E.S.E.C). En parallèle en 1983 il travaille comme deuxième
puis premier assistant réalisateur pour la Télévision Suisse Romande ainsi que pour
le cinéma de fiction.
En 1993 son premier film documentaire Vivre Avec reçoit un excellent
accueil international. Il est, comme la plupart de ses films, présenté dans de nombreux festivals internationnaux, et il est primé à Leipzig et sélectionné comme entrée
Suisse pour les Félix Européens. Son deuxième film Sylvie a une mention du jury
au prix Europa. Daniel Schweizer fait un cinéma exigeant et engagé qui traite de
l‘ici et du maintenant. Il travaille régulièrement en coproduction avec les principales
chaînes de télévision telles que: ARTE (France et Allemagne), TSR/TSI/ /SFDRS
(Suisse), ZDF (Allemagne), RTBF (Belgique), SVT (Suède) et YLE (Finlande)
Il est membre de différentes associations de réalisateurs et travaille à
Genève, Paris et Zurich, comme réalisateur et producteur indépendant.
Filmographie
2003
White Terror, 35mm, 90 min., documentaire
2003
Skinhead Attitude, 35mm, 90 min., documentaire
2000
Helldorado, vidéo, 52 min., documentaire
1998
Skin or Die, vidéo, 60 min., documentaire
1995
Sylvie, 35mm, 52 min., documentaire
1993
Vivre Avec, 35mm, 56 min., documentaire
Prix
1988
Dernier amour, 35mm, 18 min., court-métrage fiction
Skinhead Attitude
1980-88
Divers films expérimentaux en Super 8, 16mm et vidéo
Prix du Public, Leeds (2004)
Vivre Avec
Grand Prix Arc-en-ciel du
Festival International Dock de
Leipzig (1993); Prime d'Etude
de l'Office Fédéral de la Culture
(1993)
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[
PIOTR JAXA
]
Piotr Jaxa est né en Pologne où il fréquente la célèbre école du cinéma à Lodz. Dans
son pays natal, il travaille avec Krzysztof Kieslowski, Andrzej Wajda et Krzystof
Zanussi, etc.
En 1983, Piotr Jaxa s’établit en Suisse où il continue sa carrière de caméraman et de photographe. Il travaille, entre autres, pour les stations de télévisions
suisses, françaises, allemandes, américaines et japonaises, ainsi que pour l’UNICEF
et pour l’OMC. Il a plus d‘une centaine de productions à son actif.
En plus de son travail de caméraman pour le cinéma et la télévision, les
photographies de Piotr Jaxa ont beaucoup de succès. Ses images sont publiées dans
le New York Times, le Time Magazine, le Newsweek et Forbes.
En 1988, il publie son premier tome de photos, « L’esprit de Genève ».
Son deuxième livre, «Oh! Barcelona» suit quatre ans plus tard et, en 1998, son troisième tome, «Poschiavo, Un Mondo di Valle». Les oeuvres photographiques de Piotr
Jaxa ont été internationalement primées à plusieurs reprises.
Filmographie (sélection)
2006
Nachbeben, drame, 35mm, réalisatrice: S. Werenfels (in postproduktion)
2005
White Terror, documentaire, 35mm, réalisateur: Daniel Schweizer
2004
Tout un hiver sans feu, drame, 35mm, réalisateur: G. Zglinski
2002
Guerre algérien, documentaire, video, réalisateur: André Gazu
2001
Alberto Giacometti, documentaire, 16mm, réalisateur: Gero von Boehm
Meine Schwester Maria, documentaire, 35mm, réalisateur: M. Schell
1996
Kurt Masur, documentaire, 16mm, réalisateur: Gero von Boehm
1994
Trois Couleurs: Rouge, drme, 35mm, 2nd Unit, réalisateur: K. Kieslowski
Trois Couleurs: Blanc, drame, 35mm, 2nd Unit, réalisateur: K. Kieslowski
1993
Trois Couleurs: Bleu, drame, 35mm, 2nd Unit, Réalisateur: K. Kieslowski
1988
Three Soldiers, court-métrage, 35mm, réalisateur: Kamal Musale
1986
Devil's Paradise, drame, 35mm, réalisateur: Vadim Glowna
1980
Talking Heads, documentaire, 35mm, réalisateur: K. Kieslowski
1971
Before the Rally, documentaire, 35mm, réalisateur: K. Kieslowski
1969
From the City of Lodz, documentaire, 35mm, réalisateur: K. Kieslowski
Preise (Auswahl)
Outstanding Photography Award
1998
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[
K AT H R I N P L Ü S S
]
Kathrin Plüss est née le 7 octobre 1954 à Zofingue. Elle fréquente le lycée en Argovie. Après sa maturité, elle étudie l‘histoire, l‘histoire de l‘économie et l‘ethnologie à
l‘université de Zurich.
En 1978, elle décide d’apprendre le métier de monteuse. Elle suit plusieurs
stages et travaille en tant que assistante de montage chez Fee Liechti, Elizabeth
Waelchli et Georg Janett, entre autres.
Depuis 1981, elle est monteuse de films free-lance. Elle a collaboré avec
des réalisateurs suisses réputés, tels que Stefan Haupt, Christoph Schaub, Daniel
Schweizer et Werner Schweizer. Elle est ainsi devenue l’une des monteuses les plus
demandées en Suisse alémanique et en Suisse romande.
En 1994, elle s’engage pour la jeune génération en élaborant, en collaboration avec Focal, un projet de formation professionnelle complémentaire de technicien de film.
En 2002, ses travaux sont primés par le prix du film de la ville de Zurich.
Filmographie (sélection)
2005
White Terror, documentaire, 90 min., réalisateur: Daniel Schweizer
2003
Skinhead Attitude, documentaire, 90 min., réalisateur: Daniel Schweizer
2002
Von Werra, documentaire, 102 min., réalisateur: Werner Schweizer
2000
Reise ohne Rückkehr, drame, 42 min., réalisatrice: Esen Isik
Bic Mac Small World, documentaire, 100 min, réalisateur: Peter Guyer
1999
ID Swiss, documentaire, 90 min., plusieurs réalisateurs
1998
Skin or Die, documentaire, 60 min., réalisateur: Daniel Schweizer
1997
I’m just a simple Person, documentaire, 49 min., réalisateur: Stefan Haupt
Die Metzger, comédie, 90 min., réalisateur: Samir
1996
Noel Field, documentaire, 105 min. réalisateur: Werner Schweizer
1993
Vivre avec, documentaire, 56 min., réalisateur: Daniel Schweizer
1990
Der grüne Berg, documentaire, 125 min., réalisateur: Fredi Murer
1989
Dynamit am Simplon, documentaire, 104 min., réalisateur: Werner Schweizer
1988
Filou, drame, 90 min., réalisateur: Samir
Prix (sélection)
1987
Wendel, drame, 60 min., réalisateur: Christoph Schaub
Prix de la ville de Zurich (2002)
1986
Augenblick, drame, 90 min., réalisateur: Franz Reichle
1985
Précis, 82 Min., réalisateur: Veronique Goël
9
[
DSCHOINT VENTSCHR PROFIL
]
La maison de production de films DSCHOINT VENTSCHR développe, produit
et vend des films voués avant tout à l‘aspect multiculturel ˝désigné de «Cross
Culture» - à la politique et à la société. Il s‘agit en l‘occurence de films à longmétrage et documentaires de qualité sur l‘affrontement de différentes cultures.
Dschoint Ventschr se consacre sans relâche au perfectionnement d‘un langage
filmique moderne et exploite au maximum les possibilités créatives des dernières
technologies.
Chaque année, DSCHOINT VENTSCHR produit en moyenne un à deux
longs-métrages présentés en salle ainsi que, régulièrement, plusieurs documentaires
aussi bien pour le cinéma que pour la télévision. Depuis 1994, plus de 30 documentaires et longs-métrages de caractère politique ont été créés. Il s‘agit pour la plupart
de coproductions internationales (entre autre avec l‘Allemagne, la France, l‘Autriche,
la Grande-Bretagne, la France et le Canada) ainsi que de copropductions avec des
chaînes de télévision renommées, telles qu‘Arte, 3Sat, WDR, ZDF, SWR, RTBF et,
bien entendu, SF DRS.
DSCHOINT VENTSCHR s‘efforce de travailler en première ligne avec de
jeunes auteurs, ce qui lui vaut la réputation d‘«usine de talent». De nombreux films
produits par DSCHOINT VENTSCHR ont obtenu des prix, dont Little Girl Blue
de Anna Luif, Strähl de Manuel Flurin Hendry, Miel et Cendres de Nadia Fares
et Clandestins de Wadimoff/Chouinard; les films documentaires Forget Baghdad et
Babylon 2 de Samir, Noel Field - der erfundene Spion de Werner Schweizer ainsi que
Do It de Sabine Gisiger et Marcel Zwingli; sans oublier le documentaire TV Tarifa
Traffic de Joakim Demmer et les courts-métrages Pastry, Pain and Politics de Stina
Weerenfels, Babami Hirsizlar Caldi (Voleurs de pères) d‘Esen Isik et Exit de Benjamin Kempf. En 1997, Samir et Swiss ont obtenu le Prix du cinéma de Zurich pour
leurs mérites en tant que producteurs exceptionnels.
Par ailleurs, leur travail de réalisateurs a lui aussi été récompensé: Werner
Schweizer a obtenu, pour «Noël Field - der erfundene Spion» le Prix La Sarraz pour
le meilleur documentaire de l‘année. Samir, en 1998, s‘est vu attribuer le Prix du
cinéma suisse pour son court-métrage «Angelique».
Outre les deux auteurs-réalisateurs et producteurs Samir (responsable de
l‘acquisition et du déroulement de projets à long métrage) et Werner Schweizer
(responsable des projets de films documentaires), DSCHOINT VENTSCHR compte à son actif Karin Koch et Susann Rüdlinger (productrices responsables), Remo
Brauchi (distribution international), Frank Steffen (administration), Claudia Eichholzer (directrice de production), Tunje Berns et Tami Berkovits (assistantes de
production).
Samir
Réalisateur, auteur, producteur
We r n e r S c h we i z e r
Réalisateur, auteur, producteur
Karin Koch
Productrice
Susann Rüdlinger
Productrice
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[ F I LM O G R A F I E D S CHOINT VENTSCHR ]
AUSWAHL
2005
Snow White, drame, 113 min., Samir
Gambit, documentaire, 107 min., Sabine Gisiger
White Terror, documentaire, 89 min., Daniel Schweizer
Ricordare Anna, drame, 96 min., Walo Deuber
2004
Karim Patwa's Spaceship, film expérimental, 55 min., Karim Patwa
La Fidanzata, comédie, 11 min., Petra Volpe
Strähl, drame, 82 min., Manuel Flurin Hendry
Tour d'Enfer, documentaire, 120 min., Pepe Danquart
Zwischensprach, documentaire, 52 min., Samir
The last Wall, doc. TV, 52 min., Silvana Ceschi
2003
Skinhead Attitude, documentaire, 90 min., Daniel Schweizer
Little Girl Blue, drame, 80 min., Anna Luif
Meier Marilyn, comédie TV, 90 min., Stina Werenfels
Aline, conte musical, 55 min., Kamal Musale
Homeland, doc. TV, 52 min., Sabine Gisiger
Tarifa Traffic, doc. TV, 60 min., Joakim Demmer
2002
Forget Baghdad, documentaire, 90 min., Samir (CH/D)
Birdseye, policier multimédia, 90 min., Mike Huber et Stephen Beckner (CH/USA)
Peiden, doc. TV, 22 min., Matthias Caduff
Mama hat dich lieb, drame, 34 min., Carla Lia Monti
Exit, drame, 10 min., Beni Kempf
Von Werra, documentaire, 90 min., Urs Egger (CH/D)
Epsteins Nacht, drame, 90 min., Urs Egger (D/A/CH)
2001
Auf allen Meeren, documentaire, 90 min., Johannes Holzhausen (A/D/CH)
Camenisch, doc. TV, 87 min., Daniel von Aarburg
B-52, documentaire, 90 min., Hartmut Bitomsky (D/USA/CH)
Studers erster Fall, film policier TV, 90 min., Sabine Boss
Reise ohne Rückkehr, drame, 45 min., Esen Isik
Norman Plays Golf, vidéo multimédia, 80 min., Samir
Im Spiegel der Maya Deren, documentaire, Martina Kudlacek (A/CH/D)
2000
Yugodivas, doc., 60 min., Andrea Staka
Do it, documentaire, 97 min., Sabine Gisiger & Marcel Zwingli (CH/D)
Gespräch im Gebirg, doc. exp., 60 min., Mattias Caduff (D/CH)
Summertime, drame 27 min., Anna Luif
1999
ID Swiss, documentaire, 90 min. 7 épisodes, divers auteurs
Viehjud Levi, drame, 97 min., Didi Danquart (D/CH/A)
Babami Hirsizlar Caldi – Vaterdiebe, drame 24 min., Esen Isik
1998
Projecziuns tibetanas, doc. TV., 24 min., Samir
Pastry, Pain & Politics, comédie, 30 min., Stina Werenfels
1997
La eta knabino, fable muette, 7 min., Samir
Clandestins, drame, 90 min., N. Wadimoff & D. Chouinard (CH/F/CDN)
1996
Miel et Cendres, drame 85 min., Nadia Fares (CH/F/TUN)
Take Off From The Sand, documentaire, 60 min., Wageh George
Noel Field – Der erfundene Spion, documentaire, 104 min., Werner Schweizer
1994
Babylon 2, documentaire, 91 min., Samir
Prix du Cinéma Suisse
Strähl (2005)
Meilleur rôle principal (Roeland
Wiesnekker); Meilleur rôle secondaire (Johanna Bantzer); meilleur
camera (Filip Zumbrunn)
Meier Marilyn (2004)
Meilleur rôle principal (Bettina
Stucky)
Do it (2001)
de Sabine Gisiger
& Marcel Zwingli
Summertime (2001)
d'Anna Luif
Babami Hirsizlar Caldi (2000)
d'Esen Isik
Pastry, Pain & Politics (1999)
de Stina Werenfels
Nominations au Prix du
Cinéma Suisse
Ricordare Anna (2005)
Meilleur rôle principal (Mathias
Gnädinger)
Little Girl Blue (2004)
de Anna Luif
Skinhead Attitude (2004)
de Daniel Schweizer
Exit (2003)
de Benjamin Kempf
Forget Baghdad (2003)
de Samir
Yugodivas (2002)
d'Andrea Staka
Reise ohne Rückkehr (2002)
d'Esen Isik
ID SWISS (2000)
divers metteurs en scène
Clandestins (1998)
de Nicolas Wadimoff
et Denis Chouinard
Miel & Cendres (1998)
de Nadia Fares
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